DOSSIER DE PRESS

DOSSIER DE PRESSEE EE EE EE

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Deux ans après l'excellent Encuentros, le pianiste et compositeur Yoel Diaz nous présente un nouvel album piano solo dont le titre « Origen » nous invite à parcourir l'univers musical à la fois imaginatif et personnel de ce grand musicien.

Avec ce nouvel opus, le prolifique compositeur nous propose un tout nouveau répertoire original ainsi que certains standards de la musique cubaine arrangés spécialement pour cette formule en piano solo. Avec « Origen », Yoel Diaz poursuit son intention de faire revivre des rythmes moins connus de la mu-sique cubaine tels le zapateo, la danza, la contradanza, le danzón, etc. À travers les pièces composées pour cet album, il nous dévoile un jeu pianistique plus percussif et lyri-que où les racines de la musique cubaine continuent d'inspirer ce brillant musicien. Avec ce troisième album, c'est un véritable hommage à ses origines musicales et culturelles que nous offre Yoel Diaz.

ORIGEN

YOEL DIAZ YOEL DIAZ PREMIER ALBUM PIANO SOLO

www.yoeldiaz.net

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Site web Espace.Mu de Radio-Canada dans la section LU/VU/ENTENDU

Lien internet : http://www.espace.mu/Monde/Lu-Vu-Entendu/4616

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JOURNAL DE MONTRÉAL, CAHIER WEEK-END, 12 mai 2012

Par Christophe Rodriguez

Yoel Diaz

Origen, Artic/Select

Présent tous les lundi soirs au Dièze Onze (4115 A St-Denis), lors des soirées cubaines, le jeune pianiste Yoel Diaz, fine pointure à l’aise dans tous les courants de jazz remonte à la source. La musique cubaine, pas la « trafiquée », qui fait le bonheur des plagistes, est com-plexe, empreinte de moult subtilités qui remontent à une époque aussi lointaine que la contredanse, devenue contradanza. Les quelques passionnées qui ont pu entendre lors du Festival de jazz l’immense Chucho Valdès ou le vétéran Ruben Gonzalez hélas ont été à même de mesurer les difficultés d’interprétation. Dans ce piano solo au nom prédestiné d’Origen, Yoel Diaz, sans vouloir remettre les pendules à l’heure, nous entraine donc vers ce jazz cubain pour le moins « tripatif ». Sur le mode de quinze plages bien tassées qui vont de la composition personnelle (Espanola, Fantasia Guajira, Oleg’s Danzon), aux classiques (Siboney, Andalucia ou Mandinga), il nous invite à un feu d’artifice qui requiert une exigen-ce de tous les instants. Servi par une prise de son très aérée, le pianiste fait en quelque sorte le tour de la question. Une nouveauté captivante.

(4 étoiles)

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Par Ralph Boncy Le Cubain Yoel Diaz n’a peut-être pas un look très in, mais on le sait très compétent et depuis fort long-temps comme sideman, en trio, en quartette ou à la tête de son big band échevelé. Ici, en solo, c’est un tout autre pianiste qui nous apparaît: savant et sentimental, libre, mais rattaché à son Cuba ombilical. Ori-

gen est émouvant et limpide, se réécoute sans le moindre effort. Pas de solos effrénés, pas de redites ni de standards paresseux. Sur 15 titres, 11 sont des offrandes originales inspirées par des personnes en chair et en cœur comme Oleg, l’ami russe, la charmante petite Lili ou la «Mamita» éternelle. Bref, on dirait du folklore ou du classique plutôt que du jazz, mais partout résonne la tendresse de l’exilé. Con alma. (3,5 étoiles)

31 mai 2012

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Publié le vendredi 08 juin 2012 par Marie-Eve Boulanger

Lien internet : http://www.camuz.ca/blogue/yoel-diaz-diese-onse-cuba-et-origen

Yoel Diaz - Dièse Onse, Cuba et «Origen»

Yoel Diaz ou l’esprit de Cuba en trio, un bon soir de semaine en période «pré-FIJM» au Dièse Onze. Forte d’une bel-le programmation, l'endroit nous offre l'occasion de découvrir ce pianiste talentueux qui y tient la tête d’affiche ce mois-ci; un rendez-vous hebdomadaire à ne pas manquer, car Yoel Dias en a beaucoup à démontrer.

C’est en attendant le moment de vous assaillir d’une multitude de critiques du Festival de Jazz que je me ferai le plaisir de couvrir dans les pro-chaines semaines que je vous parle ce soir d’un musicien qui vaut le détour. Le 7 juin dernier, entouré exceptionnellement du bassiste Fraser Hollins et du batteur cubain Michel Medrano, Yoel Diaz nous a offert des arrangements de son album solo paru en mai dernier, «Origen», son troisième en carrière. Le pianiste est arrivé au Québec il y a quinze ans et s’exprime en français à son public. Chacune de ses pièces jouées live sont dédiées à une connaissance et possèdent une signification particulière. Son jeu, quant à lui, témoigne d’un apprentissage très fort du piano classique et des percussions, obligatoires dans l’enseignement des jeunes cubains. Le trio est une forme qui met en valeur les compositions de Diaz tant elle ont un pouvoir mélodique important; le concert auquel j’ai assisté m’a démontré la grande finesse de ses compositions et a su donner une grande place à l’expression improvisatrice des musiciens de talent qui l’accompagnaient. De la valse ancienne à la samba et à la salsa, Yoel Diaz impressionne en virtuosité et en énergie aux côtés d’un Fraser Hollins plus mélodique que jamais et d’un Michel Medrano très prometteur à la batterie. Pour terminer, la sonorité du Dièse Onze enveloppe le tout comme un cadeau, nous faisant sentir privilégié d'assister à un tel moment. Une soirée magnifique!

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Artiste : Yoel Diaz Album : Origen Étiquette : Artic Records Lien vers achat (iTunes)

Par Nicolas Pelletier Paru le 11/06/2012

Le pianiste d’origine cubaine – installé à Montréal de-puis 1997 - lance un nouvel album fort plaisant, intitu-lé « Origen ». Diaz s’y retrouve en solo, sans aucun accompagnement, ce qui laisse apprécier son talent mélodique, au piano. Sa touche est peut-être plus « carrée » que celle d’un Gonzales, et ses thèmes plus romantiques, comme la Contradanza # 1 « tu cami-

na’o », mais d’autres moments sont très beaux par leurs mélodies entraînantes (Danza pa’ mamita) ou leur ton plus solennel (Siboney). Yoel Diaz n’a pas une touche délicate. Le ton est ferme et rarement laisse-t-il sonner plus longuement les notes. À part peut-être sur la Fantasia guajira, plus poétique que la moyenne des pièces sur ce 3e dis-que du pianiste.

Autrement, Diaz joue en saccades, virevolte sur les touches, souvent en alternant les mains droite et gau-che à tour de rôle (Contradanza # 3 « a Evelina »). Les plus beaux moments sont, à mon goût, ceux où Diaz explore des ambiances plus feutrées comme sur sa Dos gardenias, à cheval entre Satie et Chopin, avec en prime plusieurs beaux accords de jazz, comme s’il sautait d’un style à l’autre, avec l’aisance d’une gazelle.

Artiste du jour : YOEL DIAZ

Lien internet : http://blogue.enmusique.ca/2012/06/artiste-du-jour-yoel-diaz.html

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Yoel Diaz – Orígen September 17, 2012 · Posted In: CDs

Reviewed by: Raul da Gama

The image of Yoel Díaz on the cover of Orígen is an apt and enduring one. Seated at a keyboard turning, as if by magic, a myriad colours and hues, in the middle of a Cuban

street, his arms are outstretched as he attacks the keys with growling left hand and fluttering right hand, he resembles the percussionist he once was in Holguín and Cama-

guey, Cuba. For it was there that he gave shape and character to the musicality of his voice and on this fine album he revisits the place of his birth, to reconnect with that

which made him who he is today. This is a wondrous journey and like that proverbial hypnotist in another era in Hamelin, Díaz seduces, both the cognoscenti as well as the

unsuspecting with a spectacular reading of classic music from Cuba.

The role of a solo pianist is a lonely one, but Díaz makes the most of it. He conjures up a gilt-edged ballroom full of glamorously clad dancers who accompany him on his jour-

ney. For his part, Díaz leads these fabled couples on a memorable journey. His masterful approach to the piano is both singular and mesmerising. It is almost as if the pianist

strokes the keys as if they were alive. In response to this deft touch, the ebony and ivory respond with resonant tinkling and extravagant arpeggios as Díaz applies a magi-

cian’s touch to these keys. The piano echoes with soaring emotion as he continues from song to song and dance to dance. Díaz extracts an endless stream of moods as he

negotiates his way from “Zapateo” and “Contradanza” to “Danza Lenta” and “Danzón-chá”. At each turn there is spectacular brightness when the score calls for it, as in “A

Evelina,” or a forlorn and elemental ache as in “Melodia De Otoño”. The spritely and magical intimacy of “Danza Pa’ Mamita” is so beckoning that the pirouetting dancers all

but come alive at the enchanted touch of the pianist.

Yoel Díaz was once a percussionist and although this informs the unique character of his playing Díaz is a master of dynamic and expression. His sliding attack marks the man-

ner in which his fingers come in contact with the keys. Still he seems to have a million ways in which he might bring his notes to life. This is done with the subtle pressure he

applies to the keys as they come into contact with the tips of his fingers. Many times the melody might demand the same note several times during the course of a song’s

verse, but caressing it once; then tapping it a second time or slapping it a third time around produces an array or colour and for this all of Díaz’s ingenuity comes into play.

The “Zapateo,” “Lili” is a fine example of myriad shades that come into play as the character in the song comes to life.

Yoel Díaz is a pianist of whom much will be expected as he grows in character and as his musical persona develops. Listening again and again to his mastery as he plays the

classics—“Siboney” and “Andalucía” he affirms his absolute mastery of the magical instrument that is the piano, it is imperative that he will grow into a role of ingenuity and

even more stellar uniqueness is only a matter of time.

Lien web vers l'article : http://latinjazznet.com/2012/09/17/reviews/cds/yoel-diaz-origen/