Diaporama sur la poésie et l’art aux Diaporama sur la poésie et l’art aux XIXème et XXème sièclesXIXème et XXème siècles

● Paul Verlaine poète symboliste (à définir), auteur de la poésie: Chanson d’automne.

● Ce poème parle de la nostalgie du passé et de l’inquiétude pour l’avenir. Notamment grâce a un rythme 4/4/3 qui donne aux rimes une ampleur très suggestive (qui suggère quoi!) . La musique s’impose (?).

Les sanglots longs Des violons → Diérèse sur le « i », adoucit (NON!) la De l’automne strophe. Blessent mon cœur → Hyperbole: Insiste sur la douleur. D’une longueur du poète. Monotone.

→ Rime riche: insiste sur la lenteur et l’harmonie

A/ Un poème, une œuvre plastique

Tout suffocantEt blême, quand Sonne l'heureJe me souviensDes jours anciensEt je pleure

-Mots soulignés: Met en exergue le registre pathétique.

→ Champ lexical de la douleur.

Et je m'en vaisAu vent mauvaisQui m'emporteDeçà, delà,Pareil à la → Comparaison: Ici, l’auteur met en valeurFeuille morte sa mélancolie en se comparant à une feuille morte.→ Vocabulaire péjoratif met en valeur le mal-être du poète.

→ Élidé ( le « e » ne se prononce pas), attire l’attention du

lecteur sur le fait que l’auteur « disparaît » dans le paysage.

Conclusion du commentaire linéaire

L’évocation de l’automne à travers la musicalité du vers (?) montre la douleur du poète. Dans la 2ème strophe il y a une allusion à la mémoire et aux souvenirs comme remède à la fuite du temps. La dernière strophe décrit l’effacement progressif du poète. On retrouve dans « chanson d’automne » le thème du poète incompris qui est confronté à un sort (lequel?). Verlaine se cache derrière une saison « l’automne » pour nous informer de son état (mal dit). Cela nous évoque des couleurs ternes et la tristesse du paysage.

La persistance de la mémoire, de Salvador Dalí

● Peinture sur toile surréaliste (à définir), datant de 1931.

● Huile sur toile.● 24cm x 34cm.

● Sur cette œuvre, nous voyons un paysage terne et triste (arbre coupé). On peut y voir des montres molles dans un paysage de Catalogne.

● On peut alors déduire de cette œuvre la nostalgie du temps qui passe « je me souviens des jours anciens et je pleure », en rapport avec le poème de Paul Verlaine.

● « sonne l’heure » dans la poésie de Paul Verlaine est évoqué sous forme de montres molles dans le tableau de Salvador Dalí, ce qui accentue de plus la douleur et le chagrin des auteurs (?).

● Le paysage sec et humide à la fois nous rappelle l’automne (?!) donc on fait le rapprochement avec la poésie ou l’auteur se cache derrière cette saison (mal dit).

Complainte du Petit Cheval Blanc, Paul Fort avec Le cimetière de l’Eglise des

Saints innocents, Jakob Grimer:

● Mais toujours il était content, menant les gars du village,A travers la pluie noire des champs, tous derrière et lui devant.

● Sa voiture allait poursuivant sa belle petite queue sauvage.C'est alors qu'il était content, eux derrière et lui devant.

● Ces deux œuvres m’inspirent un paysage sombre et peu joyeux (ce n'est pas flagrant dans l'extrait de poème cité!) .

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●Il pleure dans mon cœur, Paul Verlaine avec La Rue Saint-Séverin, Johan Barthold :

● Il pleure dans mon cœurComme il pleut sur la ville ;Quelle est cette langueurQui pénètre mon cœur ?

Ô bruit doux de la pluiePar terre et sur les toits !

● Ces deux tableaux utilisent une hyperbole (?!) pour bien exprimer la pensée de l’auteur. (précisez!)

●Le Bonbon, Robert Desnos avec Auguste Rodin, Danseuse Cambodgienne de face

● Je je suis suis le le roi roides montagnesj’ai de de beaux bobos beaux beaux yeux yeuxil fait une chaleur chaleur

● j’ai nezj’ai doigt doigt doigt doigt à àchaque main main

● Ces deux œuvres m’inspirent la breveter (?!!!) et abordent des sujets peu banals.

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●Le Point Noir, Gérard de Nerval avec?!!!.

● Quiconque a regardé le soleil fixementCroit voir devant ses yeux voler obstinémentAutour de lui, dans l'air, une tache livide.

Ainsi, tout jeune encore et plus audacieux,Sur la gloire un instant j'osai fixer les yeux

Ces deux œuvres (c'est de l'humour?!) me font penser au presque vide (?!).

●L’ennemie, Charles Baudelaire avec La Bataille de Taillebourg, Eugène Delacroix

● Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orageTraversé çà et là par de brillants soleils;Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.

● Voilà que j'ai touché l'automne des idées,Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux

● Ces deux œuvres me font penser aux cahots et aux conflits. ( c'est moins net chez Baudelaire...)

●

C/ Sources● Wikipédia ( Paul Verlaine, Chanson d’Automne, ● La Persistance de la Mémoire ).● Site du musée Salvador Dalí à Figueras,

musées d’Orsay, du Louvre.

Le poème Présentation trop rapide (pas de définition du mouvement et rien sur le titre du recueil)

1/3

Étude : des analyses de procédés assez pertinentes mais trop peu nombreuses

4/7

L'œuvre d'art Présentation : trop rapide 0,5/2

Étude : très succinte 1/2

L'association des deux (poème et œuvre d'art)

Explication répétitive et pas assez argumentée 2/4

Les 5 extraits associés à cinq œuvres d'art

Des associations pas toujours très convaincantes

0,5/2

Note globale 9/20