Detambel

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Régine Detambel 1, chemin de la Plaine 34990 Juvignac Mobile : 06 81 77 72 89 Courriel : [email protected] www.detambel.com © Ulf Andersen Parcours Régine Detambel est née le 7 octobre 1963. Son premier ouvrage est paru aux Éditions Julliard, en janvier 1990, sous l’égide de Christian Bourgois et Elisabeth Gille. Depuis 1994, ses romans paraissent aux éditions Gallimard, dans la collection Blanche. Elle a publié des romans (Le Jardin clos, Gallimard, 1994 ; La Verrière, Gallimard, 1996 ; La Chambre d'écho, Seuil, 2001 ; Noces de chêne, Gallimard, 2008…), des textes courts (La Ligne âpre, Christian Bourgois, 1998 ; Blasons d'un corps enfantin, Fata Morgana, 2000 ; Graveurs d'enfance, Folio, 2001…), des essais (Petit éloge de la peau, Folio, 2007 ; Le Syndrome de Diogène, éloge des vieillesses, Actes Sud, 2008…), de la poésie, des pièces radiophoniques, des critiques d’art, des livres pour la jeunesse… Ces ouvrages sont traduits dans une dizaine de langues. Régine Detambel est également conférencière et animatrice d’ateliers d’écriture. Sa formation de masseur- kinésithérapeute lui permet d’aborder notamment la thématique du corps. Elle propose des conférences sur des sujets variés : Eloge d’une vieillesse créatrice, La Peau racontée, Courir à l’écriture, etc. Suite à la publication de son essai, Le Syndrome de Diogène, éloge des vieillesses (Actes Sud, 2008), elle est la marraine nationale 2008/2009 de la Semaine Bleue, semaine des retraités et personnes âgées. Extraits de presse « On commence à se rendre compte aujourd’hui que, sous un apparent désordre, une abondance fiévreuse, une envie de tout écrire et de tout essayer, Régine Detambel compose une œuvre. (…) Elle doit ressembler à cette écriture qu’elle habite : nette, rectiligne, fragile et cassante comme une arche de verre sous laquelle fileraient des torrents de tumulte et de violence. » Pierre Lepape (Le Monde) « Une écriture très sobre, classique, qui s’efface devant le sujet. Une émotion qui s’arrête si loin en deçà de la sentimentalité qu’elle pourrait presque passer pour objective froideur. Et l’on hésite à employer le mot ‘réussite’ parce qu’il y reste encore une part trop belle au hasard, il faudrait plutôt parler de ‘maîtrise’. Déjà ? Dit-on ‘bête d’écriture’ comme on dit ‘bête de scène’ ? » Michèle Bernstein (Libération) « Ce qui fascine est insaisissable, c’est une sorte de noyau dur, irradiant, que l’on retrouve à chaque livre, un substrat impénétrable qui nourrit une écriture à nulle autre pareille, une écriture au scalpel, vraiment : qui tranche sans cesse dans le vif pour mettre à nu la crudité des mots qui nous gouvernent… » Bertrand Leclair (Les Inrockuptibles) « Ecrire transforme le monde en mots. C'est l'histoire d'une survie tracée de page en page. Réinventer, redire, créer des personnages. Les textes de Detambel atteignent une puissance d'évocation intime que l'on rencontre peu chez les contemporains. Elle ne raconte pas... Les trames ne sont faites que pour se recouvrir de l'enchevêtrement des sentiments. Les plus sauvages, les plus révoltés. » Xavier Houssin (Le Monde)

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Dossier de presse

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RégineDetambel1,chemindelaPlaine 34990JuvignacMobile:0681777289 Courriel:[email protected]

© Ulf Andersen

Parcours

Régine Detambel est née le 7 octobre 1963.

Son premier ouvrage est paru aux Éditions Julliard, en janvier 1990, sous l’égide de Christian Bourgois et Elisabeth Gille. Depuis 1994, ses romans paraissent aux éditions Gallimard, dans la collection Blanche. Elle a publié des romans (Le Jardin clos, Gallimard, 1994 ; La Verrière, Gallimard, 1996 ; La Chambre d'écho, Seuil, 2001 ; Noces de chêne, Gallimard, 2008…), des textes courts (La Ligne âpre, Christian Bourgois, 1998 ; Blasons d'un corps enfantin, Fata Morgana, 2000 ; Graveurs d'enfance, Folio, 2001…), des essais (Petit éloge de la peau, Folio, 2007 ; Le Syndrome de Diogène, éloge des vieillesses, Actes Sud, 2008…), de la poésie, des pièces radiophoniques, des critiques d’art, des livres pour la jeunesse… Ces ouvrages sont traduits dans une dizaine de langues. Régine Detambel est également conférencière et animatrice d’ateliers d’écriture. Sa formation de masseur-kinésithérapeute lui permet d’aborder notamment la thématique du corps. Elle propose des conférences sur des sujets variés : Eloge d’une vieillesse créatrice, La Peau racontée, Courir à l’écriture, etc.

Suite à la publication de son essai, Le Syndrome de Diogène, éloge des vieillesses (Actes Sud, 2008), elle est la marraine nationale 2008/2009 de la Semaine Bleue, semaine des retraités et personnes âgées.

Extraits de presse

« On commence à se rendre compte aujourd’hui que, sous un apparent désordre, une abondance fiévreuse, une envie de tout écrire et de tout essayer, Régine Detambel compose une œuvre. (…) Elle doit ressembler à cette écriture qu’elle habite : nette, rectiligne, fragile et cassante comme une arche de verre sous laquelle fileraient des torrents de tumulte et de violence. » Pierre Lepape (Le Monde)

« Une écriture très sobre, classique, qui s’efface devant le sujet. Une émotion qui s’arrête si loin en deçà de la sentimentalité qu’elle pourrait presque passer pour objective froideur. Et l’on hésite à employer le mot ‘réussite’ parce qu’il y reste encore une part trop belle au hasard, il faudrait plutôt parler de ‘maîtrise’. Déjà ? Dit-on ‘bête d’écriture’ comme on dit ‘bête de scène’ ? » Michèle Bernstein (Libération)

« Ce qui fascine est insaisissable, c’est une sorte de noyau dur, irradiant, que l’on retrouve à chaque livre, un substrat impénétrable qui nourrit une écriture à nulle autre pareille, une écriture au scalpel, vraiment : qui tranche sans cesse dans le vif pour mettre à nu la crudité des mots qui nous gouvernent… » Bertrand Leclair (Les Inrockuptibles) « Ecrire transforme le monde en mots. C'est l'histoire d'une survie tracée de page en page. Réinventer, redire, créer des personnages. Les textes de Detambel atteignent une puissance d'évocation intime que l'on rencontre peu chez les contemporains. Elle ne raconte pas... Les trames ne sont faites que pour se recouvrir de l'enchevêtrement des sentiments. Les plus sauvages, les plus révoltés. » Xavier Houssin (Le Monde)

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Parutions 2007/2008

Petit éloge de la peau (essai) Folio n°4482, janvier 2007

Petit éloge de la peau est un voyage épidermique à travers la littérature et les arts. Depuis Gustave Flaubert, hanté par le personnage du lépreux, jusqu'à La Peau de chagrin d'Honoré de Balzac ; depuis le supplice chinois du dépècement jusqu'aux écorchures de l'enfance chères au Nabokov de Lolita ; de Marcel Proust jusqu'au célèbre paradoxe de Paul Valéry : "Ce qu'il y a de plus profond dans l'homme, c'est sa peau", tous les écrivains furent des écorchés vifs, qui rapportèrent inlassablement que l'aventure humaine est affaire d'épiderme.

Le Syndrome de Diogène, éloge des vieillesses (essai) Actes Sud, janvier 2008

La reconnaissance du problème du vieillissement de la population en Occident oblige enfin à sortir des idées reçues sur la vieillesse et à réviser les propos conventionnels sur la beauté, le désir, la sexualité.

Le point de vue de l’éditeur : « Régine Detambel convoque ici une intime et longue connaissance du corps, son érudition littéraire et les différents horizons du geste artistique pour montrer, notamment, comment les artistes, en offrant à l’humanité des œuvres majeures conçues dans leur grand âge, nous donnent sans doute, à travers elles, la seule leçon de vie qui vaille. »

Notre-Dame des Sept Douleurs (roman) Gallimard, 2008

Paul pense qu’elle est un ange, mais Sibylle est le diable dans ce lycée de bonnes sœurs. Sa tabagie, ses emportements et ses poèmes scandaleux troublent la surface lisse de cette société religieuse. Comme s’ils creusaient un trou dans le réel de l’institution, l’étau se resserre sur le jeune couple maudit. Paul est exclu du lycée et sœur Jeanne doit partir en Afrique. Nul n’est prophète en son enfance, et pour Sibylle, privée de ces deux-là, le ciel reste désespérément vide…

Le point de vue de l’éditeur : « Comme souvent dans l’œuvre de Régine Detambel, ce qui se joue dans les mots ramène à l’enfance comme à une représentation du monde. C’est la vie, sa violence même qui innervent une écriture rompue au langage du corps, mais touchée par la grâce de ses jeunes humains. »

Des petits riens au goût de citron (nouvelles) Thierry Magnier, janvier 2008

Pour les adolescents. Parfois, ce sont des petits riens qui changent la vie. Un SMS vient illuminer une morne journée au collège, le timbre d'une voix fait battre le cœur, une panne de courant révèle l'infinie beauté de la Voie lactée, le désir de transgresser les règles pour se sentir grand fait soudain naître la sensation qu'il est encore trop tôt… Instants éphémères de grâce ou de tristesse que les douze nouvelles de ce recueil s'attachent à saisir au vol pour mieux révéler la fragile magie du monde.

Noces de chêne (roman) Gallimard, 2008

Taine, un vieil homme de 80 ans, est follement amoureux de Maria, à peu près du même âge. Tous deux habitent une maison de retraite, du côté de Carpentras. Un jour, Maria ne se présente pas au dîner et Taine croit qu’elle a fugué pour retourner dans sa maison, au pied du mont Ventoux. Il décide de l’y rejoindre et se lance à sa recherche, escaladant la montagne malgré la canicule. Il se perd et tombe d’épuisement, avant d’être trouvé in extremis par Vitalie, une cueilleuse de simples. Vitalie le sauve, l’héberge et devient sa maîtresse. Mais Taine, obstinément, veut retrouver Maria qu’il croit toute proche…

Le point de vue de l’éditeur : « Cette pastorale moderne est en réalité une méditation sur l’amour sénescent, y compris l’amour physique : sujet dérangeant et mal connu, mais traité ici avec une grande délicatesse, en un texte court, dense et poétique à la fois. Un texte de moraliste des surfaces, pourrait-on dire, tant Régine Detambel est douée pour parler de la peau, de la nature, du visible et des racines plongées dans l’invisible. »

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Romans

Nocesdechêne(coll.«Blanche») Gallimard,2008.

Notre­DamedesSeptDouleurs(coll.«HauteEnfance») Gallimard,2008.

Pandémonium(coll.«Blanche») Gallimard,2006.

Mésanges(coll.«Blanche») Gallimard,2003.

LaChambred’écho(coll.«CadreRouge»&«PointSeuil»n°1062) LeSeuil,2001.

LaPatiencesauvage(coll.«Blanche») Gallimard,1999.

Elleferaitbattrelesmontagnes(coll.«Blanche») Gallimard,1998.

LaVerrière(coll.«Blanche»&«Folio»n°3107) Gallimard,1996.

LeVentilateur(coll.«Blanche») Gallimard,1995.

LeJardinclos(coll.«HauteEnfance») Gallimard,1994.

LaLunedanslerectangledupatio(collection.«HauteEnfance») Gallimard,1994.

LeVélin Julliard,1993.

LaQuatrièmeorange Julliard,1992.

LelongSéjour Julliard,1991.

LaModéliste Julliard,1990.

L’OrchestreetlaSemeuse Julliard,1990.

L’Amputation Julliard,1990.

Textes brefs

LesEnfantssedéfontparl’oreille FataMorgana,2006.

Blasonsd’uncorpsenfantin FataMorgana,2000.

LaLigneâpre ChristianBourgois,1998.

Album(coll.«PetiteBibliothèqueduXXesiècle») Calmann‐Lévy,1995.

Graveursd’enfance(premièreéditionChristianBourgois,1993) Folion°3637,2003.

LesEcartsmajeurs Julliard,1993.

Essais

LeSyndromedeDiogène,élogedesvieillesses ActesSud,2008.

Petitélogedelapeau Folion°4482,2007.

BernardNoël,poèteépithélial Jean‐MichelPlace,2007.

L’Ecrivaillonoul’enfancedel’écriture Gallimard,1998.

Colette.Commeuneflore,commeunzoo Stock,1997.

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Poésie

Icônes ChampVallon,1999.

Emulsions ChampVallon,2003.

POUR LA JEUNESSE

Aux éditions Gallimard

LesContesd’Apothicaire 1998

Aux éditions Gallimard Jeunesse (choix)

Jimmyetlereggae 2001.

LaComédiedesmots 2004.

Aux éditions Thierry Magnier

LeRêvedeTanger 1998.

Despetitsriensaugoûtdecitron 2008.

Ainsi qu’aux éditions L’Atelier du Père Castor/Flammarion (L’Arbre à palabres…) ;

Hachette Jeunesse (Le Mémo des gens merveilleux…) ;

Bayard Jeunesse (Ecoute-moi ; Jalouse) ;

Les 400 Coups (La Fille mosaïque)