DES PRODUITS DE PÊCHE MARITIME LABELLISÉS « PÊCHE …

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L’écolabel « Pêche Durable » est un label public exigeant pour répondre aux attentes du consommateur qui recherche des produits de la mer de qualité, et des garanties sur : la préservation des écosystèmes marins ; la protection de l’environnement ; des conditions de travail justes et sûres. DES PRODUITS DE PÊCHE MARITIME LABELLISÉS « PÊCHE DURABLE » ENFIN SUR VOS ÉTALS !

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L’écolabel « Pêche Durable » est un label public exigeant pour répondre aux attentes du consommateur qui recherche des produits de la mer de qualité, et des garanties sur :

• la préservation des écosystèmes marins ;• la protection de l’environnement ;• des conditions de travail justes et sûres.

DES PRODUITS DE PÊCHE MARITIMELABELLISÉS « PÊCHE DURABLE »ENFIN SUR VOS ÉTALS !

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Février 2020

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Sommaire

Crédit photo : OP.SATH

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FranceAgriMer accompagne les filières de la pêche et de l’aquaculture

L’écolabel public « Pêche Durable », une démarche construite dans la concertation

Une vision globale de la durabilité, qui s’appuie sur des critères objectifs

Des perspectives de développement favorables

Annexes : grille de synthèse des critères d’évaluation de l’ecolabel

Un cahier des charges ambitieux et exigeant

Les premiers opérateurs s’engagent, de l’amont à l’aval

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FranceAgriMer accompagne les filières de la pêche et de l’aquaculture

Éclairer les opérateurs économiques des filières et leurs organisations en conduisant des études et analyses économiques structurelles et conjoncturelles, à différentes échelles, au niveau de chaque filière ou de façon transversale, de la production jusqu’à la consommation, notamment pour analyser les mécanismes de formation des prix alimentaires.

Organiser le dialogue, la concertation et la mise en oeuvre des politiques publiques en s’ap-puyant sur des instances dédiées (conseils spécialisés).

Accompagner les filières en mettant en œuvre des dispositifs d’aide et de soutien aux inves-tissements, à l’innovation ou à la structuration des marchés, communautaires ou nationaux, de crise ou structurels, à destinations des entreprises, des structures professionnelles ou des instituts scientifiques et techniques. C’est dans ce cadre et en s’appuyant sur ses expertises multiples que FranceAgriMer s’est vu confier par le Gouvernement la gestion et l’animation de l’écolabel public des produits de la pêche maritime.

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Établissement public administratif sous tutelle du ministère chargé de l’agriculture et de l’alimentation, FranceAgriMer s’est vu confier par la loi un ensemble de missions regroupées dans trois grands domaines :

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L’écolabel public « Pêche Durable », une démarche construite dans la concertation

L’écolabel « Pêche Durable » est une démarche publique de certification, au même titre que l’ensemble des autres signes d’identification de la qualité et de l’origine (SIQO). Inscrit au code rural et de la pêche maritime, il a été confié à FranceAgriMer qui l’a progressivement mis en œuvre en concertation avec les parties prenantes pour une définition partagée des critères de durabilité à évaluer. FranceAgriMer intervient aussi en soutien aux opérateurs souhaitant s’ins-crire dans ces démarches.

Une commission de l’écolabel a ainsi été créée dès 2012, réunissant des représentants professionnels des différents maillons (producteurs, criées, mareyeurs, transformateurs, distributeurs), les administrations concernées (environne-ment, consommation, alimentation), des scientifiques, des associations de protection de l’environnement et de dé-fense des consommateurs. Sa mission était de construire une définition commune de la durabilité des pêches, à même de constituer un référentiel clair et exigeant, pouvant faire l’objet d’un audit. Après une phase de consultation élargie à l’ensemble des parties prenantes et au grand public, le réfé-rentiel de l’écolabel a été validé fin 2014.

Cette méthode d’élaboration a permis d’identifier un en-semble de critères objectifs, avec des cibles bien précises, couvrant de larges thématiques et de véritables marqueurs de l’engagement dans la durabilité faisant consensus.

Crédit photo : Pixabay

L’ensemble du dispositif réglementaire permettant la cer-tification des pêcheries par des organismes indépendants, et notamment le schéma permettant l’accréditation des organismes certificateurs par le Comité français d’accrédi-tation (Cofrac), a été arrêté fin 2016. Depuis début 2017, l’écolabel « Pêche Durable » est pleinement opérationnel.

Il appartient désormais aux pêcheries et aux opérateurs de la filière de se saisir du label et d’engager les travaux de préparation des audits de certification, en s’appropriant chacun des critères du référentiel. Il s’agit aussi d’améliorer les connaissances sur l’état de la ressource et l’impact de l’activité de pêche en vue d’aménager les pratiques pour en améliorer la durabilité tout en associant l’ensemble des par-ties prenantes, scientifiques, associations, pouvoirs publics, aux démarches entreprises. Cette appropriation du label doit se faire au niveau de la filière et s’appuyer sur tous les maillons pour permettre aux produits certifiés de parvenir jusqu’aux consommateurs.

L’écolabel « Pêche Durable » est une véritable aventure col-lective, qui nécessite l’engagement de toute une filière pour apporter aux consommateurs les garanties qu’ils attendent.

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Une vision globale de la durabilité, qui s’appuie sur des critères objectifs

Lors de l’élaboration du référentiel, il est apparu indispensable aux membres de la commission d’adopter une vision globale de la durabilité, prenant en compte ses trois piliers : environnemental, social et économique. Cette approche correspond également aux attentes des consommateurs et aux questions diverses qu’ils se posent :

Mon poisson vient-il d’un stock correctement géré, en accord avec les préconisations des

scientifiques ? L’impact de sa pêche permet-il bien de limiter les risques de captures

accidentelles de cétacés ou de tortues marines ?

Les marins sont-ils correctement rémunérés et travaillent-ils en

sécurité ?

Les pratiques à bord permettent-elles de ne pas

générer de déchets ?

Le poisson a-t-il été conservé dans de bonnes conditions garantissant sa

fraîcheur et sa qualité ?

L’armement du navire a-t-il engagé des travaux pour réduire les émissions de

gaz à effet de serre ?

Les démarches de labellisation existantes, dans le domaine des produits aquatiques, publiques ou privées, n’apportent des réponses qu’à une partie de ces questions : le label Agriculture Biologique (public) certifie des pratiques respec-tueuses de l’environnement, les labels de commerce équitable (privés) garantissent des relations commerciales équili-brées, le Label Rouge (public) assure un niveau de qualité élevé…

L’écolabel « Pêche Durable » conçoit la durabilité dans sa globalité afin de répondre à toute l’étendue des enjeux du développement durable de la pêche, et il répond à toutes les missions d’un label :• définir la qualité et les exigences du consommateur dans son cahier des charges ;• veiller au respect de ce cahier des charges ;• rendre immédiatement indentifiables dans les rayons les produits labellisés.

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Un cahier des charges ambitieux et exigeant

En vue d’être certifiée, chaque pêcherie candidate sera auditée sur 7 pré-requis et 12 principes, déclinés en 36 critères ou sous-critères, et 8 critères « bonus ».Les opérateurs de la filière aval devront être évalués sur 10 critères.Les grilles synthétisant ces exigences pour le référentiel production et pour le référentiel commercialisation sont jointes en annexe.

Pour le volet environnemental, tourné à la fois vers la protection des ressources et des écosystèmes, ainsi que la préven-tion des pollutions par l’activité de pêche :• le taux d’exploitation du stock ciblé doit correspondre au rendement maximum durable ;• il existe un cadre de gestion international permettant de maintenir dans les limites de précaution le stock concerné par

la demande d’écolabellisation ; • l’activité de pêche ne met pas en péril les populations des espèces marines affectées, autres que le stock ciblé ; • une gouvernance adaptée au niveau de l’unité de certification, associant scientifiques et parties prenantes, assure

l’encadrement d’une exploitation durable et une gestion adaptative ; • l’unité de certification préserve la capacité reproductrice des stocks impactés, en limitant les captures de juvéniles et en

évitant les zones fonctionnelles (zones de reproduction, nourriceries, nurseries et refuges) ; • l’activité de pêche est adaptée pour limiter les captures non souhaitées des espèces protégées ou menacées et, en cas

de capture accidentelle, maximiser les chances de survie ; • les impacts de la pêche sur les fonds et sur les flores et faunes sessiles associées n’affectent pas l’habitat de manière

irréversible ; • les navires engagent des actions de réduction des consommations énergétiques et d’émission de gaz à effet de serre

et autres polluants et préviennent la pollution par les déchets solides ou liquides.

Pour le volet social :• l’équipage dispose de bonnes conditions d’emploi et de vie en mer, avec une rémunération attractive, une amélioration

de la sécurité au travail et des formations régulières sur les enjeux environnementaux, de sécurité et de qualité des produits.

Pour le volet économique – qui garantit que l’activité est viable et rentable, condition pour être durable – les critères quali-tatifs sont eux-mêmes la garantie que les produits de la pêche seront bien valorisés et donc rémunérateurs pour les marins :

• la fraîcheur, la qualité et la traçabilité des produits écolabellisés sont garanties, avec une maîtrise de la descente en température des produits après la pêche, une cotation fraîcheur améliorée et une bonne information des maillons de l’aval sur les arrivages.

Sur chaque critère ou sous-critère, une valeur cible est définie ainsi que les moyens pour présenter les actions entreprises par les opérateurs et les justifications attendues. Les audits réalisés, sur document et sur place, permettent de s’assurer de leur véracité et de la conformité au référentiel. Pour ce faire, les organismes de certification accrédités font appel à leurs auditeurs, experts des filières et des démarches de certification.

Environnement

DURABLE

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ÉconomieSocial

Vivable

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Les premiers opérateurs s’engagent, de l’amont à l’aval

En moins de 6 mois, le nombre d’opérateurs certifiés « Pêche Durable » a été multiplié par 10 et devrait continuer de croitre de façon conséquente grâce à l’implication de l’ensemble des acteurs de la filière.

Les premières pêcheries labellisées pêchent le thon rouge, espèce particulièrement symbolique de la mobilisation des pêcheurs professionnels et de leurs structures pour une pêche responsable et durable et l’amélioration continue des pratiques.

Si la pêche du thon rouge (Thunnus Thynnus) est une activité plurimillénaire qui s’exerçait au moyen de méthodes de pêche intensive sur des espaces limités, les évolutions techniques de la deuxième moitié du 20e siècle ont conduit à une situa-tion de surexploitation du stock et causé des impacts forts sur la biodiversité en Méditerranée. Au niveau international, sous l’égide de la Commission internationale pour la conserva-tion des thonidés de l’Atlantique (CICTA/ICCAT), des réformes politiques à la fin des années 2000 ont permis de renforcer l’encadrement de la pêcherie et de mieux associer les scien-tifiques à la définition des stratégies de gestion. Certains en-gins ou pratiques ont été interdits ou abandonnés au profit de techniques de pêche plus sélectives. Un contrôle strict de la totalité des captures, des débarquements et des circuits de commercialisation a été mis en place, afin de s’assurer de la parfaite connaissance des prélèvements sur la ressource. Cette gestion stricte a porté ses fruits : le stock Est de thon rouge de l’Atlantique, qui comprend les populations fréquen-tant la mer Méditerranée, s’est depuis reconstitué et les éva-luations de stocks récentes des scientifiques montrent une augmentation très forte de la biomasse de reproducteurs, à un niveau quatre fois supérieur à celui des années 90, écartant désormais tout risque de surexploitation.

Parallèlement au contrôle exercé par les pouvoirs publics, les pêcheries ont fait évoluer leurs pratiques. Ces évolutions se sont matérialisées par l’abandon dans les années 2000 de

© Stéphane Jacquot/agriculture.gouv.fr

la thonaille ou filet maillant dérivant, engin responsable de captures accidentelles significatives de dauphins, et son rem-placement par la palangre, ligne dotée d’hameçons appâtés. De nombreux travaux ont été nécessaires pour limiter les captures de requins, raies, tortues et oiseaux marins, attirés par ces appâts. Des partenariats ont ainsi été engagés avec l’Ifremer et avec des associations comme la Ligue pour la pro-tection des oiseaux (LPO) pour définir de bonnes pratiques et réduire fortement le risque de capture de ces espèces. Une application sur smartphone, Echosea, a par exemple été déve-loppée pour signaler la présence d’espèces protégées et faci-liter les stratégies d’évitement. Les pêcheurs se sont égale-ment engagés dans des programmes de marquage des thons rouges, permettant de mieux connaître la biologie de l’espèce et les longues migrations des individus. Toutes ces démarches ont permis aux pêcheries de remplir les critères exigeants du référentiel « Pêche Durable » et d’être certifiées.

Pour que les produits certifiés parviennent jusqu’aux consom-mateurs, l’ensemble de la chaîne de commercialisation doit également s’engager. La certification tout au long de la chaine implique une organisation en circuits différenciés et une tra-çabilité totale des produits sous label. Avec l’obtention dès décembre 2019 de la certification des premiers mareyeurs, c’est une nouvelle étape franchie dans la mise en place de l’écolabel.

La première pêcherie certifiée regroupe, au sein de l’organisation de producteur SATHOAN, 15 navires pêchant le thon rouge de l’Atlantique (Thunnus thynnus) en mer Méditer-ranée, au moyen de palangres. Dans cette démarche, l’organisation de producteur (OP) a été accompagnée par l’association pour la promotion des produits de la pêche en Méditer-ranée VALPEM, déjà mobilisée pour la mise en place de la marque collective « Thon rouge de ligne » ou pour la soupe de poisson Label Rouge.

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Des perspectives de développement favorables

Les attentes des consommateurs pour des produits de la pêche certifiés comme étant issus d’une pêche durable se confirment chaque année et l’ensemble des acteurs de la filière en est désormais pleinement conscient. L’écolabel « Pêche Durable » apparaît comme un outil crédible et exigeant. C’est aussi un référentiel accessible, grâce à l’association constante des professionnels à sa rédaction. Aussi, de nombreux opérateurs entendent l’ins-crire dans leurs stratégies d’approvisionnement et de différenciation.

La loi du 30 octobre 2018, issue des travaux des États généraux de l’alimentation, a donner un cap ambitieux pour les gestionnaires de la restauration collective en France en fixant un objectif de 50 % d’approvisionnements certifiés durables en 2022. Pour les produits de la pêche, l’écolabel «Pêche Durable» est inscrit parmi les signes et labels permettant d’atteindre ce taux.Le marché de la restauration collective concerné par le champ de la loi représente près de 3 milliards de repas, et des opportunités multiples pour les produits de la pêche en substitution de produits importés congelés. Mais ce sont des démarches collectives qui permettront d’apporter, en s’appuyant sur la certification « Pêche Durable », des solutions opérationnelles aux gestionnaires de la restauration collective, en prenant en compte leurs contraintes (portionnage, désarrêtage, facilité de cuisson…). La filière pêche française a souhaité, dans son plan de filière, pouvoir répondre à ces attentes et engager de nouvelles pêcheries sur la voie de la certification.

Photo : Pixabay

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erci

alis

ées

et n

on

com

mer

cial

isée

s (in

form

atio

n di

spon

ible

aup

rès

des

inst

itutio

ns s

cien

tifiqu

es) e

t la

dis

trib

utio

n sp

atio

-tem

pore

lle d

e l’a

ctiv

ité d

e pê

che

(car

te).

C/N

C

P3. L

’uni

té d

e ce

rtifi

catio

n,

par l

e bi

ais

des

capt

ures

ac-

cide

ntel

les,

n’a

pas

d’im

pact

su

r les

esp

èces

pro

tégé

es

ou m

enac

ées.

3.1.

L’a

ctiv

ité d

e pê

che

est

adap

tée

pour

lim

iter l

es c

aptu

res

non

souh

aité

es d

es

espè

ces

prot

égée

s ou

m

enac

ées.

Éval

uatio

n de

s m

esur

es d

’ada

ptat

ion

de l’

activ

ité e

n ca

s d’

inte

ract

ion

Les

mes

ures

d’a

dapt

atio

n de

l’ac

tivité

so

nt fo

rmal

isée

s et

app

liqué

es.

Inte

rvie

w e

t co

ntrô

le v

isue

l à q

uai d

e l’e

xis-

tenc

e de

dis

posi

tif(s

) pou

r évi

ter l

es c

aptu

res

acci

dent

elle

s te

l(s) q

ue :

- des

mes

ures

d’a

dapt

atio

n de

l’ac

tivité

(ex

: év

iter l

a pr

atiq

ue d

e la

pêc

he c

erta

ines

sai

sons

ou

en

cert

ains

lieu

x) e

t/ou

- d

es m

esur

es d

’ada

ptat

ion

de l’

engi

n de

che

(ex

: dis

posi

tifs

spéc

ifiqu

es a

ssoc

iés

au

dépl

oiem

ent

des

engi

ns).

C/N

C

3.2.

Enr

egis

trem

ent

et c

omm

unic

atio

n de

s ca

ptur

es n

on s

ouha

i-té

es d

es e

spèc

es p

roté

-gé

es o

u m

enac

ées.

Exis

tenc

e d’

un re

gist

re d

es c

aptu

res

acci

dent

elle

s. C

e re

gist

re c

ompo

rte

les

info

rmat

ions

dem

andé

es p

ar le

s pr

otoc

oles

sci

entifi

ques

exi

stan

ts.

Prés

ence

d’u

n sy

stèm

e de

tra

nsm

issi

on d

es d

onné

es d

e ce

regi

stre

aux

sc

ient

ifiqu

es e

n fo

nctio

n du

pro

toco

le é

tabl

i.

Les

capt

ures

acc

iden

telle

s so

nt e

nreg

is-

trée

s da

ns u

n re

gist

re ré

guliè

rem

ent

tran

smis

aux

sci

entifi

ques

en

fonc

tion

d’un

pro

toco

le p

réal

able

men

t dé

fini.

Cont

rôle

doc

umen

taire

:- e

xist

ence

d’u

n en

regi

stre

men

t (re

gist

re,

logb

ook,

cah

ier d

e pê

che)

des

cap

ture

s ac

cide

ntel

les

; - s

’il ex

iste

des

cap

ture

s ac

cide

ntel

les,

pre

uve

de la

tra

nsm

issi

on d

e l’in

form

atio

n au

x in

sti-

tutio

ns s

cien

tifiqu

es a

dapt

ées

(cf.

liste

gui

de

lect

ure)

.

C/N

C

3.3.

Max

imis

atio

n de

s ch

ance

s de

sur

vie

des

indi

vidu

s ca

ptur

és

acci

dent

elle

men

t.

Mis

e en

œuv

re d

e m

esur

es d

e re

mis

e à

l’eau

des

cap

ture

s no

n so

uhai

tées

lo

rsqu

’elle

s on

t lie

u.Le

s in

stru

ctio

ns p

our l

’équ

ipag

e so

nt

form

alis

ées

et a

ppliq

uées

.

Exis

tenc

e d’

inst

ruct

ions

form

alis

ées

pour

l’é

quip

age

et in

terv

iew

à q

uai d

e m

embr

es d

e l’é

quip

age.

C/N

C

P4. L

’uni

té d

e ce

rtifi

catio

n a

un im

pact

fai

ble

ou n

ul

sur l

’hab

itat

Pour

tout

es le

s zo

nes

4.1

Les

impa

cts

de la

pêc

he s

ur le

s fo

nds

et

sur l

es fl

ores

et

faun

es s

essi

les

asso

ciée

s n’

affe

cten

t pa

s l’h

abita

t de

man

ière

irr

éver

sibl

e.

1) c

arac

téris

tique

s de

s fo

nds

impa

ctés

(nat

ure

de l’

habi

tat,

prés

ence

de

flore

et

faun

e se

ssile

) déc

rites

par

les

sour

ces

bibl

iogr

aphi

ques

, 2)

nat

ure

des

impa

cts

3) a

ire im

pact

ée p

ar le

s en

gins

pa

r rap

port

à la

sur

face

tota

le

de l’

habi

tat

iden

tifié

(not

ion

d’im

pact

rela

tif)

L’im

pact

n’a

ffec

te p

as l’

habi

tat

de

man

ière

irré

vers

ible

.

Cont

rôle

doc

umen

taire

:Ex

iste

nce

d’un

e ét

ude

scie

ntifi

que

qui c

arac

té-

rise

les

fond

s im

pact

és, la

nat

ure

des

impa

cts

et l’

aire

impa

ctée

. L’é

tude

con

clut

que

l’im

pact

su

r les

fond

s n’

affe

cte

pas

l’hab

itat

de m

aniè

re

irrév

ersi

ble.

C/N

C

Dan

s le

s zo

nes

à st

atut

sp

écia

l au

titre

de

l’hab

itat

doté

es d

’un

orga

ne d

e ge

stio

n op

érat

ionn

el

4.2

Les

règl

es d

e l’o

rgan

e de

ges

tion

de la

zo

ne à

hab

itat

spéc

ial s

ont

suiv

ies.

Élém

ents

fac

tuel

s pe

rmet

-ta

nt d

e vé

rifier

le re

spec

t de

s rè

gles

(dis

trib

utio

n sp

atio

-tem

pore

lle d

e l’e

ffor

t de

pêc

he, c

ompo

sitio

n de

s ca

ptur

es...)

Des

élé

men

ts d

e pr

euve

son

t di

spon

ible

s co

nfirm

ant

le re

spec

t de

s m

esur

es m

ises

en

plac

e pa

r l’o

rgan

e de

ge

stio

n.

Cont

rôle

doc

umen

taire

:Ex

iste

nce

de re

com

man

datio

ns d

e l’o

rgan

e de

ge

stio

n et

vér

ifica

tion

de la

mis

e en

pla

ce d

e ce

s re

com

man

datio

ns (c

arte

zon

e de

pêc

he /

carn

et d

e pê

che)

.

C/N

C

4.3

Un

dial

ogue

et

colla

bora

tion

exis

tent

en

tre

l’uni

té d

e ce

rtifi

catio

n, le

s sc

ient

i-fiq

ues

et le

s ge

stio

nnai

res

de la

zon

e à

habi

tat

spéc

ial

PV o

u co

mpt

es re

ndus

de

réun

ions

Part

icip

atio

n de

s pr

ofes

sion

-ne

ls à

la c

olle

cte

des

donn

ées

L’un

ité d

e ce

rtifi

catio

n di

alog

ue e

t co

llabo

re a

vec

les

scie

ntifi

ques

et

les

orga

nes

de g

estio

n de

la z

one

à st

atut

sp

écia

l au

titre

de

l’hab

itat.

Cont

rôle

doc

umen

taire

:Pr

ocès

-ver

bal e

t co

mpt

es-r

endu

s de

réun

ions

ou

éch

ange

de

cour

riers

et/

ou p

artic

ipat

ion

des

prof

essi

onne

ls à

la c

olle

cte

des

donn

ées

daté

s de

moi

ns d

’un

an à

la d

ate

de l’

audi

t

C/N

C

Page 12: DES PRODUITS DE PÊCHE MARITIME LABELLISÉS « PÊCHE …

12

Envi

ronn

emen

t : g

esti

on d

e l’é

nerg

ie e

t pr

éven

tion

des

pol

luti

ons

Prin

cipe

sCr

itèr

esSo

us-c

ritèr

esIn

dica

teur

sVa

leur

cib

leM

odal

ités

de

cont

rôle

Not

atio

n

P5. L

’uni

té d

e ce

rtifi

catio

n ut

ilise

l’én

ergi

e fo

ssile

de

ma-

nièr

e lim

itée

On

tiend

ra

com

pte

égal

e-m

ent

de to

us

les

navi

res

de

tran

spor

t (c

’est

-à-

dire

ave

c po

ur

uniq

ue fo

nctio

n le

tra

nspo

rt d

es

prod

uits

ver

s le

ur

prem

ier l

ieu

de

déba

rque

men

t).

5.1.

L’é

nerg

ie

foss

ile u

tilis

ée

est

limité

e.

Pour

cel

a,

les

navi

res

cer-

tifiés

met

tent

en

œuv

re u

n Pl

an Q

ualit

é En

ergi

e (P

QE

voir

défin

ition

da

ns le

Gui

de

de L

ectu

re)

défin

issa

nt

des

mes

ures

de

sui

vi e

t de

duct

ion

de la

co

nsom

mat

ion

d’én

ergi

e.

5.1.

1. C

onna

issa

nce

et s

uivi

du

rend

emen

t én

ergé

tique

Prés

ence

de

mes

ures

per

-m

etta

nt l’

iden

tifica

tion

et le

su

ivi d

es p

oste

s co

nsom

ma-

teur

s d’

éner

gie.

Le P

QE

(Pla

n Q

ualit

é En

ergi

e - v

oir p

réci

sion

s da

ns le

gui

de d

e le

ctur

e) p

erm

et d

e co

nnaî

tre

la

cons

omm

atio

n én

ergé

tique

du

navi

re e

t id

entifi

e le

s po

stes

les

plus

con

som

mat

eurs

. Il c

onst

itue

un

état

des

lieu

x de

s in

dica

teur

s de

con

som

mat

ion

d’én

ergi

e qu

antifi

able

s et

vér

ifiab

les.

Cont

rôle

doc

umen

taire

:•

vérifi

catio

n de

la p

rése

nce

du P

QE

ou

• pr

otoc

ole

d’en

regi

stre

men

t de

s co

nsom

-m

atio

ns d

’éne

rgie

s do

nt la

con

som

mat

ion

d’hy

droc

arbu

res

et e

nreg

istr

emen

ts

asso

ciés

.

C/N

C

5.1.

2. O

bjec

tifs

de ré

duct

ion

de la

co

nsom

mat

ion

éner

gétiq

ue.

Form

alis

atio

n et

per

tinen

ce

des

obje

ctifs

de

rédu

ctio

n po

ur le

s po

stes

iden

tifiés

co

mm

e le

s pl

us c

onso

mm

a-te

urs.

Le P

QE

prop

ose

des

obje

ctifs

de

rédu

ctio

n pe

rti-

nent

s po

ur le

s po

stes

con

som

mat

eurs

d’é

nerg

ie.

Ces

obje

ctifs

son

t ch

iffré

s, p

ertin

ents

et

mes

u-ra

bles

et

les

déla

is p

our a

ttei

ndre

ces

obj

ectif

s so

nt d

éfini

s.

Cont

rôle

doc

umen

taire

:•

exis

tenc

e d’

un P

QE

fait

par u

ne s

truc

ture

ex

tern

e ou

• l’u

nité

de

cert

ifica

tion

s’es

t fix

é de

s ob

-je

ctifs

de

rédu

ctio

n de

s po

stes

con

som

ma-

teur

s d’

éner

gie.

Ces

obj

ectif

s so

nt c

hiff

rés,

pe

rtin

ents

et

mes

urab

les

et le

s dé

lais

pou

r at

tein

dre

ces

obje

ctifs

son

t dé

finis

.

C/N

C

5.1.

3. M

ise

en œ

uvre

des

mes

ures

d’

amél

iora

tion

du re

ndem

ent

éner

gétiq

ue.

Taux

de

réal

isat

ion

des

pré-

coni

satio

ns e

n fo

nctio

n de

la

dép

enda

nce

éner

gétiq

ue

des

entr

epris

es d

e pê

che

repr

ésen

tées

par

l’un

ité d

e ce

rtifi

catio

n.

Le P

QE

doit

form

alis

er le

s m

esur

es m

ises

en

plac

e afi

n d’

atte

indr

e le

s ob

ject

ifs d

éfini

s da

ns

le 6

.1bi

s.2.

Les

am

élio

ratio

ns id

entifi

ées

com

me

étan

t éc

onom

ique

men

t fa

isab

les

doiv

ent

être

m

ises

en

plac

e. D

ans

le c

as o

ù un

e m

esur

e d’

amé-

liora

tion

n’a

pas

pu ê

tre

mis

e en

œuv

re p

our d

es

rais

ons

écon

omiq

ues,

l’un

ité d

e ce

rtifi

catio

n do

it pr

ésen

ter l

es a

rgum

ents

form

alis

és.

Cont

rôle

doc

umen

taire

des

reco

mm

anda

-tio

ns d

u PQ

E et

vér

ifica

tion

visu

elle

de

leur

m

ise

en œ

uvre

(si m

atér

iel).

Dan

s le

cas

une

mes

ure

d’am

élio

ratio

n n’

a pa

s pu

êtr

e m

ise

en œ

uvre

pou

r des

rais

ons

écon

omiq

ues,

la s

truc

ture

col

lect

ive

doit

prés

ente

r les

arg

umen

ts fo

rmal

isés

par

une

st

ruct

ure

exte

rne

(exp

ert

com

ptab

le, c

entr

e de

ges

tion)

.

C/N

C

5.1.

4. R

éalis

atio

n d’

une

étud

e de

fai

sabi

lité

: évo

lutio

n de

s te

chni

ques

de

pêch

e ve

rs d

es

tech

niqu

es p

lus

écon

omes

en

éner

gie

Exis

tenc

e d’

une

étud

e de

fai

sabi

lité

déta

illée

et

pert

inen

te

L’ét

ude

de f

aisa

bilit

é dé

crit

les

coût

s et

les

béné

-fic

es a

tten

dus

dans

le c

as d

e la

mis

e en

pla

ce d

e te

chni

ques

de

pêch

e pl

us é

cono

mes

en

éner

gie.

Cont

rôle

doc

umen

taire

:Ex

iste

nce

de l’

étud

e de

fai

sabi

lité.

Bonu

s

P.6

La p

ollu

tion

par l

es d

éche

ts

solid

es, li

quid

es,

huile

ux, e

t ga

-ze

ux e

st é

vité

e

6.1.

Pré

vent

ion

des

pollu

tions

pa

r les

eau

x us

ées

6.1.

1. L

es n

avire

s ce

rtifi

és m

ette

nt

en a

pplic

atio

n un

pla

n de

ges

tion

des

eaux

maz

oute

uses

gar

antis

-sa

nt l’

abse

nce

de p

ollu

tion

par l

es

eaux

usé

es.

Plan

de

gest

ion

des

eaux

m

azou

teus

es

Un

plan

de

gest

ion

des

eaux

maz

oute

uses

est

di

spon

ible

et

confi

rme

l’abs

ence

de

pollu

tion

par

les

eaux

usé

es.

Cont

rôle

doc

umen

taire

:un

pla

n de

ges

tion

des

eaux

maz

oute

uses

es

t di

spon

ible

et

confi

rme

l’abs

ence

de

pollu

tion

par l

es e

aux

usée

s.

C/N

C

6.1.

2. L

e po

stul

ant

limite

sa

pollu

tion

par l

es e

aux

usée

s pa

r l’a

pplic

atio

n de

bon

nes

prat

ique

s :

utili

satio

n de

dét

erge

nts

à us

age

quot

idie

n ay

ant

des

prop

riété

s bi

odég

rada

bles

ou

resp

ectu

euse

s de

l’en

viro

nnem

ent

mar

in.

Eval

uatio

n de

s bo

nnes

pr

atiq

ues

de p

réve

ntio

n de

s po

llutio

ns p

ar le

s ea

ux u

sées

Les

déte

rgen

ts u

tilis

és à

bor

d so

nt b

iodé

grad

able

s et

con

form

es a

u rè

glem

ent

com

mun

auta

ire

N°6

6/20

10 d

u 25

nov

embr

e 20

09.

Insp

ectio

n vi

suel

le à

bor

d du

nav

ire à

qua

i.C/

NC

Page 13: DES PRODUITS DE PÊCHE MARITIME LABELLISÉS « PÊCHE …

13

Prin

cipe

sCr

itèr

esSo

us-c

ritèr

esIn

dica

teur

sVa

leur

cib

leM

odal

ités

de

cont

rôle

Not

atio

n

P.6

La p

ollu

tion

par l

es d

éche

ts

solid

es, li

quid

es,

huile

ux, e

t ga

-ze

ux e

st é

vité

e

6.2.

Pré

-ve

ntio

n de

s po

llutio

ns p

ar

les

ordu

res

6.2.

1. L

e po

stul

ant

ne re

jett

e pa

s d’

ordu

res

mén

agèr

es e

n m

er :

l’ens

embl

e de

s dé

chet

s do

it êt

re

ram

ené

à te

rre e

t je

té d

ans

les

cont

eneu

rs p

révu

s à

cet

effe

t à

terre

.

Form

alis

atio

n de

s co

nsig

nes

à bo

rd.

Les

ordu

res

sont

ram

enée

s à

terre

à c

haqu

e m

arée

. Le

s co

nsig

nes

inte

rdis

ant

le re

jet

à la

mer

de

tout

ob

jet

en p

last

ique

son

t fo

rmal

isée

s, c

onnu

es e

t re

spec

tées

.

Cont

rôle

à q

uai :

form

alis

atio

n de

s co

nsig

nes

à bo

rd

affic

hées

ou

acce

ssib

les

aux

mem

bres

de

l’équ

ipag

e.

C/N

C

Prés

ence

d’u

n su

ivi d

es q

uan-

tités

ram

enée

s à

terre

.U

tilis

atio

n de

sac

s bi

odég

ra-

dabl

es.

Un

suiv

i des

qua

ntité

s ra

men

ées

à te

rre d

oit

être

di

spon

ible

.Et

des

sac

s bi

odég

rada

bles

son

t ut

ilisé

s.

Cont

rôle

doc

umen

taire

du

suiv

i des

qua

nti-

tés

ram

enée

s à

terre

.

Et c

ontr

ôle

visu

el d

e l’u

tilis

atio

n de

sac

s bi

odég

rada

bles

.

Bonu

s

6.2.

2. U

n tr

i sél

ectif

des

déc

hets

es

t ef

fect

ué à

bor

d en

fonc

tion

des

cont

eneu

rs d

e tr

i dis

poni

bles

à

terre

Dis

posi

tif d

e tr

i des

déc

hets

Prés

ence

d’u

n di

spos

itif

de t

ri de

s dé

chet

s à

bord

en

fonc

tion

des

cont

eneu

rs d

e tr

i dis

poni

bles

à

terre

.

Insp

ectio

n à

quai

: fo

rmal

isat

ion

des

cons

igne

s à

bord

et

prés

ence

de

bacs

de

tri.

C/N

C

6.2.

3. L

es d

éche

ts is

sus

de l’

acti-

vité

de

pêch

e ai

nsi q

ue c

eux

issu

s d’

autr

es a

ctiv

ités

sont

récu

péré

s,

stoc

kés

et ra

men

és à

terre

.

Éval

uatio

n de

l’ap

plic

atio

n de

s co

nsig

nes

conc

erna

nt le

reje

t à

la m

er d

es d

éche

ts is

sus

d’au

tres

act

ivité

s.

Les

cons

igne

s co

ncer

nant

la ré

cupé

ratio

n de

s dé

chet

s is

sus

d’au

tres

act

ivité

s so

nt fo

rmal

isée

s,

conn

ues

et re

spec

tées

.

Insp

ectio

n à

quai

: fo

rmal

isat

ion

des

cons

igne

s à

bord

et

inte

rvie

w d

’un

mem

bre

de l’

équi

page

pou

r éva

luer

la c

onna

issa

nce

et le

resp

ect

des

cons

igne

s.

C/N

C

Éval

uatio

n du

sui

vi d

es q

uan-

tités

ram

enée

s à

terre

Le s

uivi

des

qua

ntité

s dé

barq

uées

est

enr

egis

tré

et

confi

rme

l’eng

agem

ent

du p

ostu

lant

dan

s la

rédu

c-tio

n de

l’im

pact

des

déc

hets

issu

s de

la p

êche

.

Cont

rôle

doc

umen

taire

:ex

iste

nce

d’un

sui

vi d

es q

uant

ités

Bonu

s

6.3.

Pré

-ve

ntio

n de

s po

llutio

ns d

e l’a

tmos

phèr

e

6.3.

1. L

es n

avire

s éq

uipé

s de

cal

es

réfr

igér

ées

n’ut

ilise

nt p

as d

e ga

z do

mm

agea

ble

à l’e

nviro

nnem

ent

: int

erdi

ctio

n d’

utili

ser u

n flu

ide

frig

orig

ène

type

CFC

.

Dis

poni

bilit

é de

la fi

che

tech

-ni

que

du g

az u

tilis

é da

ns le

sy

stèm

e de

refr

oidi

ssem

ent

Inte

rdic

tion

de C

FC p

our l

es n

avire

s an

térie

urs

à 20

05 e

t in

terd

ictio

n du

HCF

C su

r tou

s le

s na

vire

s.

Cont

rôle

doc

umen

taire

: ca

ract

éris

tique

s te

chni

ques

des

équ

ipem

ents

et/

ou re

-ch

arge

s (n

otic

es o

u fa

ctur

es d

’ach

at)

C/N

C

6.3.

2. A

bsen

ce d

’inci

néra

teur

s à

bord

Le n

avire

ne

doit

pas

disp

oser

d’u

n in

ciné

rate

ur à

bo

rd.

Inte

rvie

wBo

nus

Page 14: DES PRODUITS DE PÊCHE MARITIME LABELLISÉS « PÊCHE …

14

Soci

al :

rém

unér

atio

n et

con

diti

ons

de t

rava

il de

s pé

cheu

rsPr

inci

pes

Crit

ères

Indi

cate

urs

Vale

ur c

ible

Mod

alit

é de

con

trôl

eN

otat

ion

P7. L

’équ

ipag

e di

spos

e de

bon

nes

cond

ition

s d’

empl

oi e

t de

vie

en

mer

Ce p

rinci

pe s

’app

lique

à

l’ens

embl

e du

per

-so

nnel

em

barq

ué à

la

fois

en

mer

mai

s au

ssi

lors

que

les

navi

res

sont

à q

uai.

7.1.

Rém

unér

atio

n m

ini-

mal

e de

s m

arin

sRé

mun

érat

ion

conv

enue

sur

le

cont

rat

de t

rava

il de

s m

arin

s.La

rém

unér

atio

n m

inim

ale

est

3 fo

is s

upér

ieur

e au

ni

veau

dem

andé

par

la c

onve

ntio

n de

l’O

IT.

Cont

rôle

des

con

trat

s et

des

fich

es d

e pa

ie d

e to

ut le

per

sonn

el in

scrit

au

rôle

d’é

quip

age

pour

tous

les

navi

res

de l’

écha

ntill

on c

ontr

ôlé.

(cf.

mod

alité

s de

con

stitu

tion

de l’

écha

ntill

on

au §

B.2.

5 pl

an d

e co

ntrô

le c

adre

.)

C/N

C

7.2

Acc

ès f

acili

té à

des

pr

otec

tions

com

plé-

men

taire

s en

mat

ière

de

prév

oyan

ce n

otam

men

t en

cas

d’in

capa

cité

tem

-po

raire

ou

d’in

valid

ité

Faci

lité

de s

ousc

riptio

n d'

un c

ontr

at

de p

révo

yanc

e co

mpl

émen

taire

L’ar

mem

ent

faci

lite

ou p

rend

en

char

ge (e

n to

ut o

u pa

rtie

) l’a

cces

sion

à u

n co

ntra

t de

pré

voya

nce

com

plé-

men

taire

.

Sont

con

sidé

rés

com

me

«com

plém

enta

ire»

les

cont

rats

de

pré

voya

nce

couv

rant

au

choi

x le

s ris

ques

: dé

cès,

in

capa

cité

tem

pora

ire, in

valid

ité, r

etra

ite c

ompl

émen

taire

ou

mut

uelle

.

Cont

rôle

doc

umen

taire

de

l’exi

sten

ce d

’un

cont

rat

de p

révo

yanc

e pr

is e

n ch

arge

(en

tout

ou

par

tie) p

ar l’

empl

oyeu

r ou

d’un

cou

rrie

r d’

info

rmat

ion

à ce

suj

et d

estin

é à

l’équ

ipag

e.

C/N

C

7.3.

Info

rmat

ion

sur

l’act

ivité

éco

nom

ique

de

l’ent

repr

ise

Réal

isat

ion

d’un

dia

gnos

tic é

co-

nom

ique

ann

uel d

e l’a

ctiv

ité p

our

chaq

ue e

ntre

pris

e de

l’un

ité d

e ce

rtifi

catio

n, p

ouva

nt a

u be

soin

pr

évoi

r des

mes

ures

de

gest

ion

et

fais

ant

l’obj

et d

’une

info

rmat

ion

de

l’équ

ipag

e.

Prés

ence

d’u

n ra

ppor

t su

r l’a

ctiv

ité é

cono

miq

ue e

t fin

an-

cièr

e m

is à

jour

ann

uelle

men

t.

Info

rmat

ion

de l’

équi

page

.

Cont

rôle

doc

umen

taire

: •

prés

ence

d’u

n ra

ppor

t su

r l’a

ctiv

ité

écon

omiq

ue e

t fin

anci

ère

mis

à jo

ur

annu

elle

men

t ;

• in

form

atio

n de

l’éq

uipa

ge :

com

pte-

re

ndu

de ré

unio

n d’

info

rmat

ion

ou e

nvoi

du

rapp

ort

ou s

ynth

èse

aux

mem

bres

de

l’équ

ipag

e.

C/N

C

7.4.

Con

ditio

ns d

e vi

e à

bord

Exis

tenc

e de

zon

es d

e re

pos

perm

et-

tant

l'ac

cès

aux

med

ias

(tél

évis

ion,

ra

dio,

…)

Acc

ès f

acili

té a

ux m

edia

s da

ns le

s zo

nes

de re

pos

(pou

r le

s na

vire

s pr

atiq

uant

des

pêc

hes

de p

lus

de 2

4h)

Cont

rôle

à q

uai d

e l’e

xist

ence

de

zone

s de

re

pos

et d

e la

pré

senc

e d’

accè

s au

x m

édia

s en

ét

at d

e fo

nctio

nnem

ent.

Bonu

s

7.5.

Am

élio

ratio

n de

l'in

sert

ion

des

jeun

es

mar

ins,

Acc

ueil

de je

unes

mar

ins

à bo

rd

Des

jeun

es –

moi

ns d

e 40

ans

- (a

ppre

ntis

, sta

giai

res

ou

jeun

es d

iplô

més

) son

t ré

guliè

rem

ent

emba

rqué

s da

ns la

lim

ite d

e la

cap

acité

d’a

ccue

il du

nav

ire, t

elle

qu’

elle

est

m

entio

nnée

sur

son

per

mis

de

navi

gatio

n.

Au

cour

s de

s 5

dern

ière

s an

nées

, em

barq

uem

ent

d’au

m

oins

3 je

unes

mar

ins.

Cont

rôle

doc

umen

taire

: vé

rifica

tion

de la

ca

paci

té d

’acc

ueil

du n

avire

dan

s le

per

mis

de

navi

gatio

n et

• so

it co

pie

cart

e d’

iden

tité

du je

une

et d

u co

urrie

r d’in

form

atio

n ad

ress

é à

la D

DTM

• so

it co

pie

du f

asci

cule

du

jeun

e m

arin

.

Bonu

s

7.6.

Pro

mot

ion

du m

étie

r de

mar

in p

êche

ur e

t an

crag

e te

rrito

rial d

e l’a

ctiv

ité

Part

icip

atio

n à

des

man

ifest

atio

nsD

es m

embr

es d

e l’u

nité

de

cert

ifica

tion

part

icip

ent

à de

s év

énem

ents

de

valo

risat

ion

Cont

rôle

doc

umen

taire

: pr

ogra

mm

e ou

list

e de

s pa

rtic

ipan

ts à

la m

anife

stat

ion.

Bonu

s

P8.. L

’équ

ipag

e di

spos

e de

bon

nes

cond

ition

s de

séc

urité

8.1.

Info

rmat

ion

des

nou-

veau

x ar

rivan

ts :

chaq

ue

nouv

el a

rriv

ant

à bo

rd

reço

it un

livr

et d

'acc

ueil

l'info

rman

t de

s rè

gles

de

sécu

rité

Mod

alité

s d’

accu

eil d

e ch

aque

nou

-ve

au m

embr

e d’

équi

page

Les

navi

res

emba

rque

nt d

es m

arin

s qu

i sui

vent

une

fo

rmat

ion

au m

inim

um 1

fois

tous

les

4 an

s.Co

ntrô

le d

ocum

enta

ire :

prog

ram

me

ou li

ste

des

part

icip

ants

à la

man

ifest

atio

n.C/

NC

Page 15: DES PRODUITS DE PÊCHE MARITIME LABELLISÉS « PÊCHE …

15

Prin

cipe

sCr

itèr

esIn

dica

teur

sVa

leur

cib

leM

odal

ité

de c

ontr

ôle

Not

atio

n

P8. L

’équ

ipag

e di

spos

e de

bon

nes

cond

ition

s de

séc

urité

8.2.

Les

zon

es d

e tr

avai

l et

de

trai

tem

ent

des

pro-

duits

à b

ord

perm

ette

nt

à l’é

quip

age

d’op

érer

en

tout

e sé

curit

é. L

es

navi

res

équi

pés

de

syst

èmes

de

trac

tion

offr

ent

des

cond

ition

s de

curit

é op

timal

es p

our

les

mem

bres

d’é

quip

age

char

gés

de le

ur m

anip

u-la

tion.

Org

anis

atio

n de

s zo

nes

de t

rava

il.O

rgan

isat

ion

des

zone

s d’

inst

alla

tion

et m

anip

ulat

ion

des

équi

pem

ents

de

trac

tion.

Au

min

imum

1 fo

rmat

ion

d’un

e pe

rson

ne ré

fére

nte

à bo

rd

tous

les

2 an

s

Cont

rôle

à q

uai :

vér

ifica

tion

de la

loca

lisa-

tion

des

zone

s de

tra

vail

de t

raite

men

t de

s pr

odui

ts e

t de

leur

sép

arat

ion

avec

les

zone

s de

tra

ctio

n.

Cont

rôle

doc

umen

taire

: co

pie

du P

V d

e la

vi

site

de

sécu

rité

du C

SN (c

entr

e de

séc

urité

-de

s na

vire

s) e

t du

per

mis

de

navi

gatio

n.(c

f. ex

igen

ces

FAO

en

anne

xe a

u gu

ide

de

lect

ure)

C/N

C

8.3.

Sui

vi d

es a

ccid

ents

du t

rava

il.Bi

lan

annu

el.

Des

mes

ures

vis

ant

à pr

éven

ir to

ute

cons

omm

atio

n no

n co

mpa

tible

à b

ord

avec

la s

écur

ité d

u m

arin

et

du n

avire

so

nt m

ises

en

œuv

re.

Cont

rôle

doc

umen

taire

:ex

iste

nce

d’un

bila

n an

nuel

et,

en c

as d

’acc

i-de

nt, d

e fic

he(s

) de(

s) a

ctio

n(s)

cor

rect

ive(

s)

à m

ettr

e en

pla

ce e

t co

ntrô

le v

isue

l de

leur

ap

plic

atio

n.

C/N

C

P9. L

’équ

ipag

e es

t se

nsib

ilisé

et

form

é à

la s

écur

ité, à

l’hy

gièn

e et

aux

thé

mat

ique

s du

dév

elop

pem

ent

dura

ble

9.1.

For

mat

ion

com

plé-

men

taire

à la

séc

urité

: le

per

sonn

el e

st fo

rmé

régu

lière

men

t à

la s

écu-

rité

par d

es fo

rmat

ions

co

mpl

émen

taire

s à

la

form

atio

n in

itial

e.

List

e de

pré

senc

e à

une

form

atio

n ou

ce

rtifi

cat

de fo

rmat

ion.

A

u m

inim

um o

rgan

isat

ion

d’1

form

atio

n to

us le

s 2

ans

par

l’uni

té d

e ce

rtifi

catio

n.

Cont

rôle

doc

umen

taire

: lis

te d

e pr

ésen

ce

à un

e ré

unio

n de

form

atio

n de

s m

embr

es

d’éq

uipa

ge o

u ce

rtifi

cat

de fo

rmat

ion.

Si le

mar

in é

tait

sur u

n au

tre

bate

au a

u co

urs

des

4 de

rniè

res

anné

es, le

s fo

rmat

ions

à la

curit

é su

ivie

s su

r d’a

utre

s ba

teau

x pe

ndan

t ce

tte

pério

de p

erm

ette

nt d

e va

lider

le c

ritèr

e.

C/N

C

9.2.

For

mat

ion

à l’h

y-gi

ène

: le

pers

onne

l qui

m

anip

ule

les

prod

uits

de

la p

êche

est

form

é ré

-gu

lière

men

t au

x bo

nnes

pr

atiq

ues

d’hy

gièn

e.

List

e de

pré

senc

e à

une

form

atio

n ou

ce

rtifi

cat

de fo

rmat

ion.

Au

min

imum

1 fo

rmat

ion

d’un

e pe

rson

ne ré

fére

nte

à bo

rd

tous

les

2 an

s

Cont

rôle

doc

umen

taire

: lis

te d

e pr

ésen

ce

à un

e ré

unio

n de

form

atio

n ou

cer

tifica

t de

fo

rmat

ion.

C/N

C

9.3.

Sen

sibi

lisat

ion

aux

dang

ers

des

cons

omm

a-tio

ns a

ddic

tives

(alc

ool,

taba

c, m

édic

amen

ts...)

.

Polit

ique

de

l’ent

repr

ise.

Cons

igne

s do

nnée

s à

l’équ

ipag

e.Pa

nnea

ux d

’affi

chag

e.Co

nsig

nes

dans

le li

vret

d’a

ccue

il.

Des

mes

ures

vis

ant

à pr

éven

ir to

ute

cons

omm

atio

n no

n co

mpa

tible

à b

ord

avec

la s

écur

ité d

u m

arin

et

du n

avire

so

nt m

ises

en

œuv

re.

Cont

rôle

doc

umen

taire

: lis

te d

e pr

ésen

ce

à un

e ré

unio

n de

form

atio

n de

s m

embr

es

d’éq

uipa

ge o

u ce

rtifi

cat

de fo

rmat

ion

ou

vérifi

catio

n de

la d

ispo

nibi

lité

de l’

info

rmat

ion

à bo

rd (p

anne

au d

’affi

chag

e, c

onsi

gnes

dan

s le

livr

et d

’acc

ueil,…

).

C/N

C

9.4.

For

mat

ion

aux

thé-

mat

ique

s de

la re

ssou

rce,

de

la b

iodi

vers

ité e

t de

l’e

nviro

nnem

ent.

Plan

ning

de

form

atio

nsA

u m

inim

um o

rgan

isat

ion

d’1

form

atio

n to

us le

s 2

ans

par

l’uni

té d

e ce

rtifi

catio

n.

Cont

rôle

doc

umen

taire

: lis

te d

e pr

ésen

ce à

un

e fo

rmat

ion

des

mem

bres

d’é

quip

age

ou

cert

ifica

t de

form

atio

nC/

NC

Page 16: DES PRODUITS DE PÊCHE MARITIME LABELLISÉS « PÊCHE …

16

Qua

lité

et v

alor

isat

ion

des

prod

uits

au

déba

rque

men

tPr

inci

pes

Sous

-prin

cipe

Crit

ères

Déc

linai

son

Sous

-Crit

ères

Indi

cate

urVa

leur

cib

leM

odal

ité

de c

ontr

ôle

Not

atio

n

P10.

La

fraî

cheu

r et

la

qual

ité d

es

prod

uits

éco

labe

l-lis

és

sont

ga

ran-

ties

10.1

. Pré

serv

a-tio

n de

la q

ualit

é à

bord

10.1

.1.

Fraî

cheu

r du

prod

uit

10.1

.1.

Glaç

age

des

prod

uits

Prés

ence

de

glac

e da

ns

les

cont

e-na

nts

au

déba

r-qu

emen

t.

Prés

ence

de

gl

ace

dans

les

cont

enan

ts

au d

ébar

quem

ent.

Obl

igat

ion

de d

ébar

quer

les

prod

uits

gla

-cé

s.

Cont

rôle

vis

uel :

une

insp

ectio

n au

déb

ar-

quem

ent

des

prod

uits

.

C/N

C10

.1.1

bis

Prés

erva

tion

de

la

vita

lité

à bo

rd

avec

de

s m

oyen

s de

co

nser

vatio

n ad

apté

s

Prés

ence

de

sys-

tèm

es d

e co

nser

-va

tion

de l

a vi

ta-

lité

à bo

rd.

Prés

ence

de

syst

èmes

de

cons

erva

tion

de la

vi

talit

é à

bord

.

Pour

les

mar

ées

> 12

h, o

blig

atio

n de

co

nser

ver

les

gran

ds

crus

tacé

s (la

n-go

uste

s,

hom

ards

, ar

aign

ées

et

tour

-te

aux)

à b

ord

dans

un

vivi

er.

Cont

rôle

vis

uel d

u di

spos

itif

de c

onse

rva-

tion

de la

vita

lité

à bo

rd.

10.1

.2. S

oin

appo

rté

au p

rodu

it

Ran

gem

ent

/ co

nditi

onne

men

t du

pro

duit

Le ra

ngem

ent

/ con

ditio

nnem

ent

du p

ro-

duit

est

adap

té a

u ty

pe d

e pr

odui

t as

su-

rant

une

pré

serv

atio

n op

timis

ée.

Les

guid

es d

e bo

nnes

pra

tique

s d’

hy-

gièn

e ap

plic

able

s à

la c

ongé

latio

n et

à la

tr

ansf

orm

atio

n, q

uand

ils

exi

sten

t, so

nt

appl

iqué

s.

Cont

rôle

vis

uel d

u re

spec

t de

l’as

pect

et

inté

grité

phy

siqu

e du

pro

duit.

Si d

es g

uide

s de

bon

nes

prat

ique

s d’

hy-

gièn

e ap

plic

able

s à

la c

ongé

latio

n et

à la

tr

ansf

orm

atio

n ex

iste

nt, c

ontr

ôle

de le

ur

appl

icat

ion.

C/N

C

10.2

. Qua

lité

des

prod

uits

de

la

pêch

e au

déb

ar-

quem

ent

10.2

.1. C

otat

ion

fraî

cheu

r pou

r les

pro

duits

éco

labe

llisé

s

Qua

ntité

des

pro

-du

its d

e la

pêc

he

clas

sés

B/ A

et

EXTR

A /

E

Seul

s le

s pr

odui

ts d

e qu

alité

Ext

ra e

t A

so

nt é

cola

belli

sés.

Les

pro

duits

de

qual

i-té

B n

e so

nt p

as v

endu

s so

us l’

écol

abel

.

La p

art d

e vo

lum

e co

té e

n B

au d

ébar

que-

men

t es

t <

2,5%

ann

uelle

men

t.

Vent

e en

hal

le à

mar

ée :

docu

men

ts d

e ha

lle à

mar

ée à

con

sulte

r, av

ec in

dica

tion

de la

cot

atio

n fr

aîch

eur.

Vent

e ho

rs h

alle

à m

arée

: d

ocum

ents

d’

acco

mpa

gnem

ent

du p

rodu

it lo

rs d

e la

re v

ente

.

Non

-app

licab

le a

ux p

rodu

its d

ébar

qués

vi

vant

s.

C/N

C

10.2

.2.

La

tem

péra

ture

à

cœur

des

pr

odui

ts

de

la p

êche

Mar

ées

<12h

Tem

péra

ture

de

s pr

odui

ts a

u dé

bar-

quem

ent

< 10

°C

Cont

rôle

mét

rolo

giqu

e :

tem

péra

ture

à

cœur

du

prod

uit

au d

ébar

quem

ent.

Non

-app

licab

le a

ux p

rodu

its d

ébar

qués

viva

nts.

C/N

CM

arée

s de

12h

à 2

4h<

4°C

Mar

ées

> 24

h<

2°C

P11.

Les

pro

duits

so

nt

bien

va

lori-

sés

11.1

. Pré

visi

on

des

appo

rts

Info

rmat

ion

des

halle

s à

mar

ée à

l'av

ance

des

vol

umes

qui

vo

nt ê

tre

déba

rqué

s.

Prés

ence

d’u

n sy

s-tè

me

d’in

form

atio

n de

s ha

lles

à m

arée

de

s ap

port

s.

Un

syst

ème

d’in

form

atio

n es

t en

pla

ce

perm

etta

nt a

ux a

chet

eurs

d’ê

tre

info

r-m

és d

es a

ppor

ts.

Inte

rvie

w e

t vé

rifica

tion

que

si le

nav

ire

déba

rque

en

halle

à m

arée

, il a

dhèr

e à

un

syst

ème

colle

ctif

des

prév

isio

ns d

’app

orts

.

Non

-app

licab

le a

ux n

avire

s dé

barq

uant

ho

rs h

alle

s à

mar

ée.

C/N

C

P12.

La

traç

abili

est

gara

ntie

12.1

. Mai

ntie

n de

la t

raça

bilit

é et

des

exi

genc

es ju

squ’

à la

pre

miè

re v

ente

Syst

ème

de t

raça

-bi

lité

et

d’id

entifi

-ca

tion

L’un

ité d

e ce

rtifi

catio

n m

et e

n œ

uvre

un

syst

ème

form

alis

é d’

iden

tifica

tion

et d

e tr

açab

ilité

des

pro

duits

éco

labe

llisé

s au

barq

uem

ent

jusq

u’à

la p

rem

ière

ven

te.

Les

info

rmat

ions

sui

vant

es s

ont

disp

o-ni

bles

: en

gin

de p

êche

, zon

es d

e ge

stio

n du

sto

ck (c

arré

s CI

EM).

Cont

rôle

au

déba

rque

men

t :

test

de

traç

abili

té a

scen

dant

e su

r un

bor-

dere

au d

e ve

nte

d’un

pro

duit

écol

abel

:

vérifi

catio

n de

la q

uant

ité p

êché

e su

r le

lo

gboo

k.

C/N

C

Page 17: DES PRODUITS DE PÊCHE MARITIME LABELLISÉS « PÊCHE …

17

Exig

ence

s po

ur la

cha

îne

de c

omm

erci

alis

atio

nPr

inci

pes

Critè

res

Déc

linai

son

Sous

-crit

ère

Indi

cate

urs

Vale

ur c

ible

Mod

alité

de

cont

rôle

Not

atio

n

1. M

aîtr

ise

des

intr

ants

: l’e

ntre

-pr

ise

dém

ontr

e un

e m

aîtr

ise

des

mat

ière

s pr

emiè

res

et

s’ap

prov

isio

nne

en p

rodu

its

cert

ifiés

.

1.1.

Maî

tris

e de

s fo

urni

sseu

rs :

App

rovi

sion

nem

ent

aupr

ès d

e fo

urni

sseu

rs c

ertifi

és

Syst

ème

de

réfé

renc

emen

t et

de

gest

ion

des

four

niss

eurs

Un

syst

ème

est

en p

lace

afin

de

gara

ntir

que,

lors

du

réfé

renc

emen

t de

tout

nou

veau

four

niss

eur d

e pr

odui

ts

écol

abel

lisés

, la v

alid

ité d

e la

cer

tifica

tion

est

vérifi

ée.

Cont

rôle

doc

umen

taire

: pr

é-se

nce

des

cert

ifica

ts

des

four

niss

eurs

(c

orre

spon

dant

au

x bo

ns d

e liv

rais

on).

C / N

C

1.2.

Gar

antie

de

cert

ifica

tion

des

intr

ants

Pour

l’op

éra-

teur

en

char

ge

du p

rem

ier

agré

age

1.2.

1 L’

opér

ateu

r en

cha

rge

du p

rem

ier

agré

age

s’as

sure

de

la c

onfo

rmité

du

pro-

duit

au c

ertifi

cat

prés

enté

par

le f

ourn

is-

seur

: re

spec

t de

s ca

ract

éris

tique

s du

pro

-du

it (e

spèc

e, z

one

de p

êche

, qua

lité)

.

Syst

ème

de

vérifi

catio

n de

la

cert

ifica

tion

des

intr

ants

Cert

ifica

ts v

alid

es e

t in

tran

ts c

ouve

rts

par l

e ch

amp

de

cert

ifica

tion

(Ann

exe

au c

ertifi

cat)

au

mom

ent

du p

re-

mie

r agr

éage

.

Cont

rôle

doc

umen

taire

: A

la

suite

de

la c

haîn

e de

com

mer

-ci

alis

atio

nC

/ NC

1.2.

2 Lo

rsqu

e l’a

chet

eur s

’app

rovi

sion

ne e

n pr

odui

ts c

ertifi

és, l

’étiq

ueta

ge e

t le

s do

cu-

men

ts d

’acc

ompa

gnem

ent

du p

rodu

it at

-te

sten

t la

cer

tifica

tion

du p

rodu

it. L

a m

en-

tion

de l’

écol

abel

doi

t êt

re p

rése

nte

sur

la

cais

se o

u su

r les

bar

quet

tes,

sur

les

libel

lés

d’ac

hat,

les

bons

de

livra

ison

et l

es fa

ctur

es.

Etiq

ueta

ge e

t do

cum

ents

d’a

c-co

mpa

gnem

ent

L’ét

ique

tage

et

les

docu

men

ts d

’acc

ompa

gnem

ent

du

prod

uit

atte

sten

t la

cer

tifica

tion

du p

rodu

it.

Cont

rôle

vis

uel e

t do

cu-

men

taire

: id

entifi

catio

n de

s pr

odui

ts é

cola

belli

sés

sur l

es

cais

ses

ou s

ur le

s ba

rque

ttes

, su

r les

libe

llés

d’ac

hat,

les

bons

de

livra

ison

et

les

fact

ures

.

C / N

C

2. I

dent

ifica

tion

des

prod

uits

ce

rtifi

és

2.1.

Iden

tifica

tion

clai

re e

t pe

r-m

anen

te d

es p

rodu

its (

réce

p-tio

n, s

tock

age,

tra

nsfo

rmat

ion,

co

nditi

onne

men

t, ve

nte)

. Dan

s le

cas

de

la t

rans

form

atio

n de

s pr

odui

ts,

la m

entio

n de

l’é

co-

labe

l doi

t êt

re in

diqu

ée s

ur le

s no

uvea

ux c

ondi

tionn

emen

ts.

Syst

ème

d'id

en-

tifica

tion

des

prod

uits

cer

tifiés

da

ns l'

entr

epris

e

Un

syst

ème

d’id

entifi

catio

n fo

rmal

isé

des

prod

uits

éc

olab

ellis

és e

st e

n pl

ace

afin

de p

erm

ettr

e d’

iden

tifier

cl

aire

men

t le

s pr

odui

ts é

cola

belli

sés

parm

i le

rest

e de

la

prod

uctio

n.

Cont

rôle

vis

uel

: vé

rifica

tion

de

l’iden

tifica

tion

des

pro-

duits

éco

labe

llisé

s.C

/ NC

2.2.

Gar

antie

s de

non

mél

ange

de

s pr

odui

ts c

ertifi

és e

t no

n-ce

rtifi

és

Syst

ème

de

sépa

ratio

n de

s pr

odui

ts c

ertifi

és

et n

on-c

ertifi

és à

ch

aque

éta

pe.

Prés

ence

d’u

n sy

stèm

e de

sép

arat

ion

des

prod

uits

cer

ti-fié

s et

non

-cer

tifiés

. La

sépa

ratio

n do

it êt

re t

empo

relle

ou

spa

tiale

.

Cont

rôle

vis

uel d

e la

sép

ara-

tion

spat

io-t

empo

relle

ent

re

les

prod

uits

éco

labe

llisé

s et

le

s au

tres

.C

/ NC

3. T

raça

bilit

é

3.1.

Le

syst

ème

de t

raça

bilit

é pe

rmet

la

tr

açab

ilité

as

cen-

dant

e et

des

cend

ante

des

pro

-du

its e

ntra

nts

et s

orta

nts

et la

alis

atio

n d'

un b

ilan

mat

ière

de

s pr

odui

ts c

ertifi

és.

Syst

ème

de

traç

abili

Le s

ystè

me

de t

raça

bilit

é pe

rmet

de

trac

er l

es p

ro-

duits

ent

rant

s et

sor

tant

s et

la

réal

isat

ion

d'un

bila

n m

atiè

re d

es p

rodu

its c

ertifi

és p

our l

’ens

embl

e de

s op

é-ra

teur

s à

l’exc

lusi

on d

es p

oint

s de

ven

te. L

e sy

stèm

e de

tr

açab

ilité

des

poi

nts

de v

ente

doi

t pe

rmet

tre

une

tra-

çabi

lité

asce

ndan

te*

des

prod

uits

pré

sent

s en

mag

asin

.

Cont

rôle

doc

umen

taire

: te

st

de t

raça

bilit

é as

cend

ant

et

bila

n m

atiè

re p

our u

n lo

t. Po

ur le

s po

ints

de

vent

e :

test

de

traç

abili

té a

scen

dant

un

ique

men

t.

C / N

C

3.2.

Con

serv

atio

n de

s en

re-

gist

rem

ents

néc

essa

ires

à la

tr

açab

ilité

Syst

ème

de

gest

ion

docu

-m

enta

ire

Un

syst

ème

de g

estio

n de

s do

cum

ents

gar

antit

la

cons

erva

tion

des

enre

gist

rem

ents

néc

essa

ires

au m

ain-

tien

de la

tra

çabi

lité

des

prod

uits

cer

tifiés

. Les

enr

egis

-tr

emen

ts s

ont

cons

ervé

s 3

ans

min

imum

ou

pend

ant

tout

e la

dur

ée d

e vi

e du

pro

duit

si c

elle

-ci e

st s

upér

ieur

e à

3 an

s po

ur l’e

nsem

ble

des

opér

ateu

rs à

l’exc

lusi

on d

es

poin

ts d

e ve

nte.

Dan

s le

cas

de

la v

ente

en

vrac

au

déta

il, le

s ét

ique

ttes

ser

ont

cons

ervé

es 2

moi

s au

min

imum

po

ur le

s co

quill

ages

et

crus

tacé

s vi

vant

s et

2 s

emai

nes

au m

inim

um p

our l

es a

utre

s pr

odui

ts d

e la

pêc

he.

Cont

rôle

doc

umen

taire

: v

é-rifi

catio

n de

la d

urée

d’a

rchi

-va

ge d

es d

ocum

ents

d’e

nre-

gist

rem

ent

sur u

n lo

t.C

/ NC

4. Q

ualit

é du

pr

odui

t fin

i fra

is

: l’e

ntre

pris

e ga

rant

it la

qu

alité

du

prod

uit

fini f

rais

éc

olab

ellis

é

4.1.

Qua

lité

des

prod

uits

ven

-du

s fr

ais

entie

rs e

n vr

acEt

ique

tage

à la

ve

nte

en f

rais

Les

prod

uits

éco

labe

llisé

s ve

ndus

en

frai

s n’

ont

pas

été

cong

elés

déc

onge

lés,

à m

oins

qu’

il y

ait

eu u

ne a

utre

op

érat

ion

de t

rans

form

atio

n (c

uiss

on, f

umai

son,

sal

ai-

son,

mar

inad

e)

Cont

rôle

vi

suel

de

l’é

tique

-ta

ge : l

e pr

odui

t fra

is é

cola

bel-

lisé

n’a

pas

été

déco

ngel

é.. (

La

men

tion

de la

déc

ongé

latio

n su

r l’é

tique

tage

est

une

obl

i-ga

tion

règl

emen

taire

.)

C / N

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