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(A suivre.) ^Dernières Nouvelles A LA CHAMBRE La séance d'hier lundi Le budget de la Marine Les deux séances de la journée 'hier ont été consacrées à la discus- ion générale du budget de la marine. M. Lockroy, qui l'ouvre, semble na- •ré de voir les banquettes presque •ides — au point, dit-il, que « son dis- ours va ressembler à une confl- lence », et ce n'est pas ce que voulait 'ancien ministre de la marine, qui se iropose de faire en grand le procès de administration de son successeur, ans laquelle, il est vrai, il y a à pren- r? les abus de pouvoir et les scanda- ;s à la pelle. M. Lockroy critique d'aTiord la façon lont les marchés sont passés et dé- lontre que l'argent des contribuables t gaspillé. .V. Chaumel reproche à M. Pelletan ! e négliger les avis des officiers de la narine pour la construction des navi- M. Roussel lui reproche d'avoir cassé illégalement un arrêt du tribu- nal de Toulon contre un matelot. La séance du matin est levée. Celle cje l'après-midi voit M. Pelle- lan à la tribune. Il présente sa dé- fense. Il reproche aux adversaires du gou- vernement de soulever des chicanes sur des questions secondaires sans ravoir prévenu. Il explique que l'en- trepreneur qui renfloua VEspingole n'avait pas demandé un sou pour cette opération, mais, sur la proposition de l'amiral Bienaimé, M. Pelletan lui a offert une indemnité. (Exclamations ironiques.) Le ministre se défend d'avoir jamais disgracié par rancune aucun de; 'ses subordonnés. Il n'obéit qu'à sa cons- cience. {Rires.) M. Lockroy réplique et déclare main- tenir l'exactitude des renseignements qu'il a publiés, concernant le renfloue- ment de VEspingole. M. Lemoigne demande la simplifica- tion de la comptabilité, la suppression des dépenses inutiles, et une améliora- tion de la situation des ouvriers et em- ployés des services techniques. fait entendre, surtout le soir, un cri sec ci et sonore, crek, crek, assez bien figuré ,' c< par le mot latin crex, qui est, si mes i souvenirs classiques sont fidèles, c R que les grammairiens appellent une tu onomatopée. C'est un oiseau au vol droit et très m lent, mais courant avec une extrême rapidité. En aulomne, il acquiert beau- se coup de graisse, et on le prend quel- Je quefois alors à l'arrêt du chien. Après un vol ou deux, si on ne l'atteint pas, <I U on ne peut plus le faire lever, et il fuit cni avec célérité. Il est très recherché des res amateurs de gibier pour la délicatesse de sa chair. (Degland). Le Râle de genêt se voit dans tout le département, moins répandu peut-être qu'autrefois, par suite des modifica- tions apportées dans les cultures, qui l'ont privé de ses remises favorites. Les conditions atmosphériques sont égale- ment plus ou moins favorables au dé- veloppement des couvées ; aussi est-il abondant certaines- années et plus rare dans d'autres. Il en est de même pour la caille et la perdrix. Dès le xvni* siècle, Magné de Ma- rolles, originaire de Tourouvre, à qui sont dues les premières recherches sur notre faune, recueillit! et publia des observations sur la fréquence du Râle de genêt dans le pays de Carrou- ges. Par l'entremise d'Odolant-Desnos, avec lequel il élait en relations suivies, 1 avait reçu de M. Antoine de la Pour- nerie de Boisgency, seigneur de la Ferrière-Bochard, des notes 1res dé- taillées sur cet oiseau, son habitat dans la région et les moyens de l'atteindre. [1 se contenta de les analyser d'une fa- çon succincte dans l'Essai sur la chasse au jusil, paru en 1788, et sans avoir soin d'en indiquer l'origine. Or, ces jours derniers, j'ai eu la sonne fortune de retrouver le travail îomplet de M. de Boisgency dans les manuscrits de Magné de Marelles, très gracieusement mis à ma disposition par M. Jean Bournisien, de Bellêrne. Se véritable mémoire, que Magné de Marolles lui-même, sur une note mar- ginale de son manuscrit, déclare excel- lent, est bien l'oeuvre d'un praticien expérimenté. On y voit l'observateur plein de sagacité, qui a su reconnaître les stations et les localités préférées du Râle de genêt, ses habitudes, ses ru- ses pour échapper à la poursuite des chiens et le lemps le plus favorable pour la chasse. Un fait nouveau, et des plus curieux au point de vue scientifique, est signalé par M. de Boisgency, dont on ne doit contester ni la véracité, ni les connaissances techniques. Quel- ques râles s'attardent chez nous à l'au- tomne et y passent la mauvaise saison. On a bien observé des cailles en plein hiver, à St-Julien-sur-Sarthe, dans la i plaine d'Alençon, et aux environs de Vimoutiers, mais jamais, que je sa- | che, personne n'a vu de raies a cette j époque de l'année ; aucun de nos au- teurs normands n'en parle. Il est vrai que les naturalistes anglais, entre au- tres A.-W. Hudson (British Birds 1897, p. 278), assurent que tous les râ- les n'émigrent pas au mois d'octobre, et qu'il en reste toujours quelques-uns en Angleterre et surtout en Irlande ; on doit dès lors moins s'étonner de l'as- sertion de M. de Boisgency. Malgré nombre d'observations per- sonnelles, l'habile chasseur n'était pas exempt des préjugés de son temps : il CMI Rer Ext Rus Act: Obligati M. Lemoiqne demande qu'on active croyait, et c'est encore une opinion ré- les constructions neuves ; il demande au ministre de fournir des documents nécessaires pour juger de notre puis- sance maritime. •Af. Louis Martin appelle la bienveil- lance de M. Pelletan sur la situation des ouvriers des arsenaux. M. Gayraud critique le décret de laï- cisation des hôpitaux de la marine. Il s'indigne qu'on ait renvoyé les soeurs en les injuriant et en les traitant de voleuses. M. de Lanjuinais crie : « C'est abo- minable ! ». ; M. Gayraud affirme que les racon- tars sur les prétendus détournements, ne sont que des motifs pour faire par- tir les soeurs. La séance est levée à 7 h. 5. pandue dans nos compagnes, que la caille et le raie, trop ahargés d'em- bonpoint à l'automne, se dégraissent avec une petite graine d'eux seuls con- nue, avant d'entreprendre leurs lon- gues migrations. Voilà qui parait igno- de la plupart de nos folk-loristes. Je crois être agréable aux naturalistes et même aux chasseurs en communi- quant à la presse locale les observations C)K M. de Boisgency. J'en conserve le style et l'orthographe ; le vieux gentil- homme était sans doute plus exercé a manier le fusil que la plume, mais en considération des faits si nombreux et si curieux qu'il renferme, ce mémoi- re me paraît digne d'être publié. (A suivre.) A.-L. LETACQ. XV, e: Ba Ta VB Coure Taure Vachi Prix< Vente 18va< Cours Extra Prix t Ver Cour; Prix; Ver Cours Porcs Via Coun Prix Vei itis es- et, lin, 0''; •ril, > fr. fr., ier- teu- •2|5. fils, '6-i ; Bill!, r/ni- g Le- An- i M. Kan- VARïÉTÉS LE RALE DE GENET AUX ENVIRONS DE CARROUOES Notes d'un ohasseur aiençonnals en 1786 Le Râle de genêt (Rallus crex L.) nVst pas sédentaire dans nos régiorts ; il arrive vers le 15 avril avec les cailles (c'est de là que lui est venu le nom de roi des cailles), pour repartir à la fin de septembre ou dès les premiers jours d'octobre. Si on l'appelle Râle de genêt,ce n'est pas que cet arbrisseau lui soit, plus sympathique que d'autres, mais il aime à se cacher au milieu des épaisses touffes .d'herbe qui garnissent les genêtraies, et il y trouve en très grand nombre, grâce à l'humidité entretenue par les plantes qui forment sur le sol un véritable tapis, les vers, les mollus- ques et les insectes dont il se nourrit. Quelques naturalistes lui donnent encore le nom de râle rougi, à cause de sa couleur d'un roux ardent, par opposition au râle noir ou râle d'eau, dont le plumage présente des tons beaucoup plus foncés. Le Râle de genêt niche à terre, dans un enfoncement garni de quelques brins d'herbe, parmi les blés, ou plus souvent les grandes plantes des prai- ries un peu humides ; la ponte est de 7 à 8 oeufs d'un blanc cendré, marqués de taches d'un roux plus ou moins vif Au temps de la reproduction, le Rai ORDRES DE BOURSE os en France el à l'étranger. COUPONS Paiement à vue de tous Coupom AVANCES sur Titres Garde de tous Titre» Régularisations, Transferts, ete Renseignements financiers DEPOTS DE FONDS Escompte et Recouvrement Délivrance de Chèques OUVERTURE [E COfflPTES-COUrUNTS productifs d'intérêts. LOCATION COMPARTIMENTSCOFFKES-FORTS s'adresser au CRÉDIT LYONNAIS à ALENÇON, 8, rue St-Blaise BULLETIN FINANCIER Paris, le 30 novembre 1903. Bien que les reports soient un peu plus élevés qu'on ne s'y attendait, a liquidation s'effectue rapidement et ! marché reste calme et ferme Notre 3 "i se traite en liquidation a U7.W1 , le Turc se. raffermit à 88.15. Les Société.» de Crédit sont stationnaires. Crédit Lyonnais 1.129, Crédit Foncier 702, So Tou c'est santé liance la me vèçe, phlteî coosti lité, 1 de toi les m le sar graisï nerfs physi meiui A t la sai nue ' qui s : ver ai Fré accep qu'ell ché ( publi tutioi quali Exig< l'hoir Ecl timb: louct Pi par 902 méli foui tais naît veil M mor

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2,650 fr. au 1", 800 fr. au 2», 400 fr. au3", 200 fr. au 4*.PRIX DE LA SEINE. — Attelé. — 3,000 fr.,

3,000 m.i- Artisan, pn b., 3 ans, par Fuschia

etGoodNigt, àM. Poupel, 5'15"2|5.i- Arlaban, à M. de Basly, 5'15"i[5.3. Aspirante, àMmeveuveCb. Fleury,

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Non placés : Quarteronne, à M Le-monnier, 5'25"1|5 ; Artésia, à M. CCavey, 5'26"3[5 ; Amarante, à M. duRçzier (7-) ; Apporte Ici,à M. Selba(8");Alcazar, à M. Désassis (9«) ; Angou àM. Th. Lallouet (101) ; Andalouse, à M.Letot (arrêtée).

;2.080 fr. au i", 800 fr. au 2 \ 400 frau 3", 200 fr. au 4».

(A suivre.)

^DernièresNouvellesA LA CHAMBRE

La séance d'hier lundi

Le budget de la Marine

Les deux séances de la journée'hier ont été consacrées à la discus-ion générale du budget de la marine.M. Lockroy, qui l'ouvre, semble na-

•ré de voir les banquettes presque•ides — au point, dit-il, que « son dis-ours va ressembler à une confl-lence », et ce n'est pas ce que voulait'ancien ministre de la marine, qui seiropose de faire en grand le procès deadministration de son successeur,ans laquelle, il est vrai, il y a à pren-r? les abus de pouvoir et les scanda-;s à la pelle.M. Lockroy critique d'aTiord la façon

lont les marchés sont passés et dé-lontre que l'argent des contribuablest gaspillé..V. Chaumel reproche à M. Pelletan

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M. Roussel lui reproche d'avoircassé illégalement un arrêt du tribu-nal de Toulon contre un matelot.

La séance du matin est levée.Celle cje l'après-midi voit M. Pelle-

lan à la tribune. Il présente sa dé-fense.

Il reproche aux adversaires du gou-vernement de soulever des chicanessur des questions secondaires sansravoir prévenu. Il explique que l'en-trepreneur qui renfloua VEspingolen'avait pas demandé un sou pour cetteopération, mais, sur la proposition del'amiral Bienaimé, M. Pelletan lui aoffert une indemnité. (Exclamationsironiques.)

Le ministre se défend d'avoir jamaisdisgracié par rancune aucun de; 'sessubordonnés. Il n'obéit qu'à sa cons-cience. {Rires.)

M. Lockroy réplique et déclare main-tenir l'exactitude des renseignementsqu'il a publiés, concernant le renfloue-ment de VEspingole.

M. Lemoigne demande la simplifica-tion de la comptabilité, la suppressiondes dépenses inutiles, et une améliora-tion de la situation des ouvriers et em-ployés des services techniques.

fait entendre, surtout le soir, un cri sec ciet sonore, crek, crek, assez bien figuré ,' c<par le mot latin crex, qui est, si mes isouvenirs classiques sont fidèles, c Rque les grammairiens appellent une t u

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lent, mais courant avec une extrêmerapidité. En aulomne, il acquiert beau- s e

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avec célérité. Il est très recherché des r e s

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Le Râle de genêt se voit dans tout ledépartement, moins répandu peut-êtrequ'autrefois, par suite des modifica-tions apportées dans les cultures, quil'ont privé de ses remises favorites. Lesconditions atmosphériques sont égale-ment plus ou moins favorables au dé-veloppement des couvées ; aussi est-ilabondant certaines- années et plusrare dans d'autres. Il en est de mêmepour la caille et la perdrix.

Dès le xvni* siècle, Magné de Ma-rolles, originaire de Tourouvre, à quisont dues les premières recherchessur notre faune, recueillit! et publiades observations sur la fréquence duRâle de genêt dans le pays de Carrou-ges. Par l'entremise d'Odolant-Desnos,avec lequel il élait en relations suivies,1 avait reçu de M. Antoine de la Pour-

nerie de Boisgency, seigneur de laFerrière-Bochard, des notes 1res dé-taillées sur cet oiseau, son habitat dansla région et les moyens de l'atteindre.[1 se contenta de les analyser d'une fa-çon succincte dans l'Essai sur la chasseau jusil, paru en 1788, et sans avoirsoin d'en indiquer l'origine.

Or, ces jours derniers, j'ai eu lasonne fortune de retrouver le travailîomplet de M. de Boisgency dans lesmanuscrits de Magné de Marelles, trèsgracieusement mis à ma dispositionpar M. Jean Bournisien, de Bellêrne.Se véritable mémoire, que Magné deMarolles lui-même, sur une note mar-ginale de son manuscrit, déclare excel-lent, est bien l'œuvre d'un praticienexpérimenté. On y voit l'observateurplein de sagacité, qui a su reconnaîtreles stations et les localités préféréesdu Râle de genêt, ses habitudes, ses ru-ses pour échapper à la poursuite deschiens et le lemps le plus favorable pourla chasse. Un fait nouveau, et des pluscurieux au point de vue scientifique,est signalé par M. de Boisgency, donton ne doit contester ni la véracité, niles connaissances techniques. Quel-ques râles s'attardent chez nous à l'au-tomne et y passent la mauvaise saison.On a bien observé des cailles en pleinhiver, à St-Julien-sur-Sarthe, dans la iplaine d'Alençon, et aux environs deVimoutiers, mais jamais, que je sa- |che, personne n'a vu de raies a cette jépoque de l'année ; aucun de nos au-teurs normands n'en parle. Il est vraique les naturalistes anglais, entre au-tres A.-W. Hudson (British Birds1897, p. 278), assurent que tous les râ-les n'émigrent pas au mois d'octobre,et qu'il en reste toujours quelques-unsen Angleterre et surtout en Irlande ; ondoit dès lors moins s'étonner de l'as-sertion de M. de Boisgency.

Malgré nombre d'observations per-sonnelles, l'habile chasseur n'était pasexempt des préjugés de son temps : il

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M. Lemoiqne demande qu'on active croyait, et c'est encore une opinion ré-les constructions neuves ; il demandeau ministre de fournir des documentsnécessaires pour juger de notre puis-sance maritime.

•Af. Louis Martin appelle la bienveil-lance de M. Pelletan sur la situationdes ouvriers des arsenaux.

M. Gayraud critique le décret de laï-cisation des hôpitaux de la marine. Ils'indigne qu'on ait renvoyé les sœursen les injuriant et en les traitant devoleuses.

M. de Lanjuinais crie : « C'est abo-minable ! ».; M. Gayraud affirme que les racon-

tars sur les prétendus détournements,ne sont que des motifs pour faire par-tir les sœurs.La séance est levée à 7 h. 5.

pandue dans nos compagnes, que lacaille et le raie, trop ahargés d'em-bonpoint à l'automne, se dégraissentavec une petite graine d'eux seuls con-nue, avant d'entreprendre leurs lon-gues migrations. Voilà qui parait igno-ré de la plupart de nos folk-loristes.

Je crois être agréable aux naturalisteset même aux chasseurs en communi-quant à la presse locale les observationsC)K M. de Boisgency. J'en conserve lestyle et l'orthographe ; le vieux gentil-homme était sans doute plus exercéa manier le fusil que la plume, maisen considération des faits si nombreuxet si curieux qu'il renferme, ce mémoi-re me paraît digne d'être publié.

(A suivre.) A.-L. LETACQ.

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LE RALE DE GENETAUX ENVIRONS DE CARROUOES

Notes d'un ohasseur aiençonnalsen 1786

Le Râle de genêt (Rallus crex L.) nVstpas sédentaire dans nos régiorts ; ilarrive vers le 15 avril avec les cailles(c'est de là que lui est venu le nom deroi des cailles), pour repartir à la finde septembre ou dès les premiers joursd'octobre.

Si on l'appelle Râle de genêt,ce n'estpas que cet arbrisseau lui soit, plussympathique que d'autres, mais il aimeà se cacher au milieu des épaissestouffes .d'herbe qui garnissent lesgenêtraies, et il y trouve en très grandnombre, grâce à l'humidité entretenuepar les plantes qui forment sur le solun véritable tapis, les vers, les mollus-ques et les insectes dont il se nourrit.

Quelques naturalistes lui donnentencore le nom de râle rougi, à causede sa couleur d'un roux ardent, paropposition au râle noir ou râle d'eau,dont le plumage présente des tonsbeaucoup plus foncés.

Le Râle de genêt niche à terre, dansun enfoncement garni de quelquesbrins d'herbe, parmi les blés, ou plussouvent les grandes plantes des prai-ries un peu humides ; la ponte est de7 à 8 œufs d'un blanc cendré, marquésde taches d'un roux plus ou moins vifAu temps de la reproduction, le Rai

ORDRES DE BOURSEos en France el à l'étranger.

COUPONSPaiement à vue de tous Coupom

AVANCES sur TitresGarde de tous Titre»

Régularisations, Transferts, ete

Renseignements financiers

DEPOTS DE FONDSEscompte et Recouvrement

Délivrance de ChèquesOUVERTURE [E COfflPTES-COUrUNTS

productifs d'intérêts.

LOCATION

COMPARTIMENTS râ COFFKES-FORTSs'adresser au

CRÉDIT LYONNAISà ALENÇON, 8, rue St-Blaise

BULLETIN FINANCIERParis, le 30 novembre 1903.

Bien que les reports soient un peuplus élevés qu'on ne s'y attendait, aliquidation s'effectue rapidement et !marché reste calme et ferme Notre3 "i se traite en liquidation a U7.W1 , leTurc se. raffermit à 88.15. Les Société.»de Crédit sont stationnaires. CréditLyonnais 1.129, Crédit Foncier 702, So

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