-dernier match
Transcript of -dernier match
Paris sera toujours Paris, et nous aussi !
Dans une ironie œcuménique terrible, il y avait
peut-être un Rémi, un Akim et un David assis à
la terrasse de « La-Belle-Equipe » ce soir de
novembre 2015. Un peu plus loin surement aussi
Jean-Pierre et Marie, Cédric et Mélanie, Elise,
Christophe, Charlotte, Imène, Anaïs, Florence,
Marylou, Marcel, Fabien, Fabienne, Laurent,
Damien, JC, Jojo… La voilà la Belle-Equipe ! Il
y avait même Manuel le chauffeur de car du
stade de France, premier du carnage à se faire
perforer de métal brulant. Aurait-il conduit un
jour le bus du VRC pour une finale ? Tous
profitaient dans une joyeuse mêlée aussi
bruyante que riante, une bière à la main, d’un été
indien qui lui aussi vivait ses dernières minutes.
Ils ont visé tout ce que l’on aime : la fête, les
copains, les copines, la bière, la musique,
l’apéro, l’amour, la drague, le sexe, les soirées
qui durent sur le trottoir à attendre les potes en
retard, « putain il fait froid et si ça continue ils
vont plus servir – on va encore finir au
kébab ! », la beauté des choses, la beauté des
gens – « parce que c’était celle du diable ? »
Celle de nos 20 ans -. Bref, ils ont tiré sur tout ce
que l’on aime dans le rugby. « Quelle bande de
cons ! », s’ils avaient pu, ils auraient crevé le
ballon !... Oui mais, nous…
…Mais nous on a Rémi, Akim, David et leurs
copines et tous leurs potes et les minots, les
mamans, les papas… et à nous tous, des
ballons ?
- On en a plein !
Site : http://vitrollesrugbyclub.clubeo.com/
Avant-dernier match VRC 48 - 17 Gardanne
Samedi 5 décembre
plateau des écoles de rugby Moins de 6 ans / 8 ans / 10ans le matin
Moins de 12 ans l’après-midi A Pélissane : suivre les info site et JP
Venez voir jouer, les petits du VRC !!!
Mercredi 9 décembre à 19h30
Le sponsor INTERCAVE ZC-La-Palmeraie de Plan-de-
Campagne, organise à la demande des TAMALOUS pour
tout le VRC, une dégustation de vins, whiskys, rhums.
Une bonne idée pour finir les cadeaux de Noël.
Week-end du 24 janvier 2016
GRAND LOTO du VRC.
DIMANCHE 6 DECEMBRE à 15h stade de Fontblanche.
VITROLLES RUGBY CLUB vs MARSEILLE HUVEAUNE
Venez nombreux soutenir le XV de Fontblanche
Championnat de Provence 2ème
série
2ème
série territoriale
PROVENCE
Oraison 10 14 VRC
VRC 33 16 Graveson
Uchaud 19 29 VRC
VRC 48 17 Gardanne
Beaucaire 5 38 VRC
VRC 6 déc Huveaune
Vidourle 13 déc VRC
VRC 17 jan Vaison
VRC 31 jan Oraison
VRC 7 fév Beaucaire
Gardanne 14 fév VRC
VRC 28 fév Uchaud
Graveson 3 mar VRC
VRC 13 mar Huveaune
Vidourle 3 avr VRC
Vaison 17 avr VRC
Classement clubs P J G N P 1 VRC 23 5 5 0 0 2 Vidourle 15 5 3 0 2 3 Uchaud 15 5 3 0 2 4 Gardanne 12 5 3 0 2 5 Huveaune 8 4 2 0 2 5 Vaison 6 4 1 0 3 7 Beaucaire 5 4 1 0 3 8 Oraison 5 4 1 0 3 9 Graveson 4 4 1 0 3
Mercredi 9 décembre
PHOTO du CALENDRIER Avec un photographe professionnel
M6 M8 M 10 rdv dès 14h30.
Pour le M12 rdv à Fontblanche à 15h30.
SHORT CHAUSSETTES DU CLUB de rigueur !
Samedi 19 décembre 16h30
NOEL DE L’ECOLE DE RUGBY Spectacle, gouter, Papa-Noël !
Venez voir jouer, les petits du VRC !!!
Dernier match Beaucaire 5 - 38 VRC
Et n’oubliez pas le site internet du VRC !!! http://vitrollesrugbyclub.clubeo.com/
Toutes les infos de votre club préféré garanties sans faute d’orthographe : L’info en direct, les photos, les comptes-rendus de match, les newsletters, les archives, le calendrier, les
résultats, la vie du club, les infos parents de l’école de rugby, l’info rugby et bientôt les
insolites et la boutique…
SENIORS : VRC vs GARDANNE / Parce qu’il n’y a pas de meilleure réponse à la terreur que de continuer à
vivre ses rêves et passions sans peur et avec dignité, le VITROLLES RUGBY CLUB avait décidé de maintenir
l’ensemble des initiatives prévues à Fontblanche ce dimanche. Remise des maillots historique et réception de bon
ton compte tenu des circonstances, la rencontre contre Gardanne fut lancée, à l’issue d’une minute de silence, par le
jeune Nollan. Vitrolles prit rapidement les commandes et creusa irrémédiablement la marque à une cadence
métronomique. Sans mauvaises arrières-pensées, quelques bourre-pifs émaillèrent ça-et-là la rencontre, une manière
de dire entre gens de bonne compagnie que l’on reste ami ou au pire en contact. David Reimund livra un quart
d’heure de tigre que ne manqua pas de saluer maître Pleutin au service
du sifflet de cette après-midi quasi printanière, printanière au point de
débrider les humeurs d’Akim Tazerart, qui entre deux plaquages
rigoureux, lançait des baisers à son président en tribune, à moins que ce
ne fut à la belle Imène assise deux rangs plus bas. Plus tôt Yoann
Lacroix s’était pris pour un ailier en filant à dame et plus tard Jordan
Malahieude s’envola dans l’embut à la façon de Drew Mitchell dont il
veut adopter désormais le patronyme. A la sirène, en guise de signature
d’un succès bonifié, Viciana dégagea la gonfle de manière fort fantaisiste
dans la Cadière. Fermez les bans : Vitrolles 48, Gardanne 17.
A la même heure que le Beaujolais, les nouveaux maillots sont
arrivés, endossés et ils ont déjà pris 5 points contre Gardanne.
Design retravaillé et désormais plus tigrés que camouflés,
toujours jaunes-rouges-noirs et frappés du nouveau logo du VRC, la
tunique a été remise en présence des édiles de la commune, du CG13 et
des partenaires privés. Monsieur le maire remettant le 15, le jardiner
remettant le 1, Luc Gallais (sponsor maillot) accrocha le 8 aux épaules du
capitaine et l’ensemble des partenaires affichés sur cette newsletter
participèrent aussi à la réception et à la distribution.
SENIORS : Beaucaire vs VRC / Une douceur inattendue était venue caresser le sud du pays en cette fin de
semaine où l’on avait cru pourtant l’hiver venu. Et sur ce point de la carte que l’on nomme Beaucaire, ce
dimanche, au delà d’une excellente collation d’après-match, c’était surtout la troisième mi-temps de l’été indien.
Nous la vécûmes sur une pelouse d’exception où l’on aurait pu jouer en pantoufle et Mélanie Galindo,
responsable de la table de marque du VRC, n’eut pas le temps de s’asseoir qu’il était déjà temps d’inscrire
Viciana Robin au tableau d’honneur. A la fin du quart d’heure Bruno Forsans fut pardonné d’engloutir un 6
contre 1 en allant à dame en solitaire : début en fanfare. Mais le VRC se complique alors la tâche par, entre autre
une feinte, dont l’auteur restera anonyme par égard pour sa famille et notamment la jeune Ninon : Beaucaire
marque un essai en contre de 80 mètres et s’enhardit. Akim Tazerart sur une percée fulgurante dont il garde le
secret se fait rattraper et essuie un plaquage redoutable. Le guerrier se relève encore, toujours, mais un temps
cette fois.. Baptiste Rapetto-primero est récompensé d’une belle partie par un bel essai, itou pour Erwann Perrick
qui bonifie dans le rôle-titre du « père-courage » ou « la sécurité sociale du pack ». Bressy Rémi peaufine le score
en alliant puissance et flegme qui lui donne cet air suffisant que d’aucun nomme « l’aisance » et Nico Rapetto-
secundo altruiste en diable, dépose l’offrande entre les bras de l’artiste Danny Gouland qui clôture. 5#38 : 5ème
victoire en 5 matches pour les tigrés de Fontblanche.
Galerie de portraits du VRC
N°23 et talonneuse… Marie Jaubert
Si un jour vous entendez la brume automnale du dimanche
après-midi sur Fontblanche être déchirée par un rire
pétaradant, ne cherchez pas, elle est là ! Juchée sur la
pointe de son improbable 40, elle vient d’apercevoir au
bout de la diagonale du terrain, par-delà les barrières, son
petit écraser comme à son habitude, un essai rageur. Quel
rire cette Marie ! Il est annonciateur de toutes les victoires,
d’une bonne troisième mi-temps et d’une bonne recette à
la buvette. Car c’est bien là son poste. 23ème
nom sur une
feuille de match qui en comporte 22, elle est, de ses grands
pieds, mais aussi de ses « petites-mains », comme l’on
désignait les ouvrières anonymes de la confection, de ceux
qui dans l’ombre font tourner la manufacture du VRC.
Première maman et mamie du club, prépare le repas
d’avant-match avec les copines,
tient la buvette par tous temps, sert
la collation vers 17h30, mélange les
sirops pour le gouter des petits... Et
y’a plus qu’à jouer au rugby,
comme dans un théâtre quand le
régisseur a tout bien réglé. Tiens !
Marie ? Elle s’occupe aussi des
papas car c’est elle qui fait la daube
de Noël des Tamalous. Mais c’est
elle aussi qui dans sa vie de femme
a su gagner des batailles bien plus
rudes qu’un partie de rugby. En fait
Marie, c’est une première ligne.
Il était difficile, impossible, de trouver dans les pages des presses
nocturnes un hommage qui fut assez singulier pour qu’il méritât
de figurer dans cette newsletter au point de traduire fidèlement ce
que fut Jonah Lomu pour le rugby et à fortiori pour un jeune
Vitrollais. Un monstre planétaire, un précurseur, un être sans
précédant, ainsi fut il à la démesure d’une fédérale 1 et d’une ville
de banlieue, dont la métropole se trouvait être profane de l’ovalie
au pays du TOP-14. Quelle folie de se dire qu’il s’est parfois
changé sur le banc du vestiaire ou je me changeais petit et encore
aujourd’hui avec mes vieux camarades, qu’il s’est appuyé sur la
même barrière au bord du stade, qu’il a bu la même bière au
foyer. C’est un peu comme si Christophe Colomb avait navigué
sur l’étang de Berre ou si Saint-Exupéry avait fait du cerf-volant
sur le rocher. Certes l’écrin de Fontblanche est joli, mais pour
Lomu c’est un décor de Péplum qu’il fallut. Je l’avoue j’avais pris
une joie immense de le voir perdre en 2001 à Twickenham. Au
moment du rebond favorable à Dominici, j’en avais renversé la
table basse, mais j’ai aussi admiré l’aura quand Garbajosa avoua
« j’ai râté le plaquage, Il m’a fait peur ». Je ne l’ai jamais vu car
on ne croise pas Pharaon. Venu de la dernière île avant la Lune,
du pays du seigneur des anneaux, je le préférais martien que
semblable, et c’est très bien comme ça. Au club de rugby de
Vitrolles, alors que les journalistes appellent pour demander des
archives, on se contentera d’une photo accrochée au mur la
semaine dernière. Elle porte le sourire d’un gamin de neuf ans, fier
d’être tenu à l’épaule par un Hercule bienveillant. Aujourd’hui ce
gamin porte le numéro 15 des jaunes et rouges, c’est notre
hommage et c’est très bien comme ça.
ChB.
…La soule, le rugby, puis Jonah.
Préparation : 7 jours / cuisson : 4x6 heures
Ingrédients (pour 30 personnes) : - 600 g de lard gras,
- 10 kg de cuissots de jeune sanglier et 6 couenne de porc.
- huile, 2 têtes d'ail, 15 échalotes, baies de genièvre, laurier,
thym, persil plat, 12 oignons, 15 carottes, 10 clous de girofle, sel
poivre. - 5 l de vin rouge noir, 30cl de Cognac.
Préparation de la recette :Taillez le lard en languettes et
piquez-en le cuissot sur toutes les faces. Versez 10 c. à soupe
d'huile dans un plat creux. Pelez et hachez l'ail et les échalotes.
Mettez-les dans l'huile. Ajoutez 10 baies de genièvre concassées,
3 feuilles de laurier émiettées et 2 brins de thym. Mélangez.
Hachez finement un bouquet de Persil. Ajoutez-en la moitié aux
aromates précédents, avec les queues. Placez les cuissot de
sanglier dans le plat et arrosez-le de vin rouge. Laissez mariner au
moins 5 jours. Retournez le cuissot dans la marinade 3 ou 4 fois
par jour. Pelez les oignons et les carottes. Emincez-les. Etalez les
couennes dans une cocotte en fonte. Ajoutez par-dessus les carottes et les oignons. Retirez les
cuissots de la marinade et posez-le dans la cocotte. Filtrez la marinade et versez-la dans la cocotte.
Ajoutez les clous de girofle écrasés, le reste de persil et le cognac. Salez et poivrez. Couvrez. Faites
cuire au four à 170°C par tranche de 6 h en laissant refroidir entre 2 cuissons. Sortez les cuissots de
la cocotte et découpez-le en tranches épaisses. Passez le jus de cuisson. Servez les tranches nappées
de jus, avec comme garniture de la polenta. Manger avec un vin rouge corsé.
………………………………………………… De notre envoyé permanent dans les Corbières ……………………………
Billet tannique d’Appellation-Ovalienne-Contrôlée écrit à la plume de canard et transmis depuis le val d’Orbieu par signaux
de fumée de sarments, dans la plus pure tradition audoise. Lézignan le 30 novembre 2015, 5h22 G.M.T.
(Sous-titre : « Le progrès ? C’était mieux avant. »)
Les aventures mondialistes s'étant conclues avec le constat peu surprenant de la domination écrasante des
kiwis sur la planète rugby, je me replongeais avec enthousiasme dans le passionnant Top 14 afin d'y trouver
les frissons du suspens et de l'incertitude que le pied de Dan Carter et les jambes de Ma'a Nonu avait
cruellement fait disparaître des rencontres internationales quand je pris connaissance avec effroi de certains
résultats de nos rencontres hexagonales. J'en cite quelques uns au hasard et à l'appui de ma démonstration à
suivre : 6ème journée, Rugby Club Toulonnais : 61 – US Oyonnax : 3 ; 8ème journée : Rugby Club
Toulonnais : 52 – Montpellier Hérault Rugby : 8 ; Stade Toulousain : 52 – FC Grenoble : 12 ! Vous
conviendrez avec moi qu'en ce qui concerne la glorieuse incertitude du sport ces résultats ne sont pas de
nature à nous questionner longtemps sur le résultat final d'un championnat que l'on nous vend pourtant
depuis des années comme le plus relevé et le plus intéressant du monde ovale, voire de l'univers sportif tout
entier. Or, comment imaginer à la lecture de ces scores que la finale du Top 14, programmée le 24 juin au
Camp Nou de Barcelone, et il faudra bien à ce sujet qu'un responsable de la LNR nous explique clairement
un jour pourquoi ce match sera disputé dans un stade qui s'intéresse autant à l'ovalie qu'un élève de
cinquième à l'accord du participe passé, comment imaginer, disais-je avant d'être interrompu par cette
digression catalano-sceptique, que la finale du championnat sus-nommé
ne finisse pas par opposer le RC Toulon au Stade Toulousain ? Les
journalistes désireux de vendre toujours plus de papiers, les annonceurs
partenaires de la LNR et Canal + pourront bien nous répéter sur tous les
tons que la compétition majeure du rugby français serait capable de
donner des sueurs froides à Alfred Hitchcock, ce Top 14 est en passe
devenir aussi soporifique que la ligue 1 de football, dramatiquement
écrasée par un PSG boursouflé de supériorité, ou aussi ennuyeux que la
liga espagnole qui propose, depuis des années, un duel répétitif et
monotone entre le Barça et le Réal, reléguant les autres clubs au rang de
figurants condamnés à seulement participer sans espoir de triomphe et
que l'on accepte par obligation, un peu comme ces camarades de classe que l'on choisit dans notre équipe en
cours d'EPS parce qu'il faut bien faire le nombre... Non, je vous le dis, le rugby français a perdu son âme
depuis que son championnat ne compte plus, comme dans les années 70 et 80, entre 40 et 80 clubs sur
laligne de départ. Là oui, il y avait du supens ! Le Stade Bagnérais va-t-il sortir des poules ? Le FC Lourdais
passera-t-il les huitièmes de finale devant Tyrosse ? Le FC Oloron parviendra-t-il à se défaire du rugueux
CO Le Creusot ? Chaque saison, entre 1971 et 1984, posait la même question enthousiasmante au public
d'ovalie avide d'incertitude rugbystique : quel club hexagonal aura l'honneur d'être défait en finale par l'AS
Béziers ? Voilà un vrai enjeu sportif ! Voilà un questionnement de nature à réserver les plus grandes
émotions aux amoureux du mystère ovalien ! Les rencontres dramatiquement déséquilibrées de notre actuel
Top 14 font bien pâle figure devant les matches au couteau de cette glorieuse époque. Il me revient même en
mémoire l'homérique AS Béziers - Montchanin de 1979 qui se termina sur le score 100 à 0 en faveur du
glorieux club héraultais ! Les gradins du temple de Sauclières qui accueillit ce match doivent encore
trembler du suspens insoutenable que ménagea cette rencontre, ainsi, d'ailleurs, que de l'exploit de l'ailier
Michel Fabre qui inscrivit ce jour-là 11 essais, soit 44 points, record qui tient encore aujourd'hui ! Non,
voyez-vous, quand on a connu, comme moi, la terrible incertitude du rugby d'Albert Ferrasse, on ne peut se
satisfaire de la victoire programmée du RC Toulon en fin de saison. J'entends d'ici quelques fielleux
contradicteurs tenter de me rétorquer avec une mauvaise foi que je ne saurais tolérer, en étant moi-même
totalement dépourvu, que le championnat de l'an dernier a été remporté par l'inattendu Stade Français et que
le suspens a donc été soutenu et haletant toute la saison, et même jusqu'en finale, ce qui détruit totalement le
long argumentaire qui précède. A ceux-ci je répondrai qu'ils ont peut-être raison mais que le Top 14 ne
trouvera grâce à mes yeux que lorsque l'As Béziers et le RC Narbonne Méditerranée seront en mesure de s'y
retrouver en finale !
* * Contient des Sulfites.