Dérapage en Famille

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1 Dérapage en Famille Tout est prêt, nous voilà enfin partis ! 2000 km nous attendent avant d’arriver à la maison qu’on a louée dans les environs de Malaga, en Andalousie, pour passer deux semaines de vacances en famille. Enfin, en famille incomplète puisque mon père n’a pas pu obtenir ses congés en même temps que nous, alors nous ne serons que ma mère, ma sœur et moi. On est d’origine marocaine, et pour la première fois on a décidé de ne pas aller au Maroc mais en Espagne, pour changer un peu. Ma sœur Amina vient d’avoir dix-huit ans, et le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle a été gâtée par la nature, brune, grande, la peau mate, les yeux noisette, les cheveux châtains, longs et bouclés, elle est plutôt mince mais avec des formes très généreuses bien de chez nous : un bon 90D de poitrine, et bon gros cul bien bombé, avec de larges hanches, qu’elle savait mettre à profit depuis qu’elle s’est mise à la danse orientale il y a deux ans, et c’est d’ailleurs à peu près à la même période qu’elle a commencé à s’habiller de plus en plus sexy, avec des décolletés, hauts moulants, minijupes, jeans taille basse avec le string qui dépasse... enfin bref, toute la panoplie de la petite beurette coquine. Ma mère, elle, a à peine quarante ans, et elle fait plus jeune, à la fois physiquement et mentalement. C’est vrai qu’elle vient du bled, mais elle a su évoluer et aujourd’hui elle est assez ouverte, elle porte par exemple volontiers des décolletés ou des vêtements moulants qui mettent en valeur ses formes, plus généreuses encore que celles de ma sœur. Après 24 heures de route, nous voici enfin arrivés. La joie et l’excitation effacent la fatigue du voyage, et nous découvrons avec la propriétaire qui nous attendait, la maison que nous avions louée. C’est une grande et belle maison, bien agencée et joliment décorée, avec trois chambres, un très grand jardin, et surtout une sublime piscine qui nous promet de bons moments de détente et de plaisir. On décharge la voiture, chacun choisit sa chambre et range ses affaires, avant de déjeuner puis de faire une bonne sieste bien méritée. Vers quatre heures on se lève, et on se retrouve à la cuisine pour manger un morceau et discuter un peu du programme à venir, et on exprime tous notre satisfaction quant à la maison avec sa piscine, et au cours de la conversation ma sœur a eu cette phrase prometteuse : – Mais je vous préviens, on n’est pas au bled là, et en plus y a pas Papa, alors j’aimerais bien me lâcher un peu sans qu’on me prenne la tête... Et ma mère de répondre avec bienveillance : – T’inquiète pas, on te laissera tranquille, hein Mehdi ? – Oui oui, t’inquiète, répondis-je. – Tous à la piscine ! On s’est changé, je suis le premier à y être, rejoint tout de suite après par ma mère qui arrive à en maillot de bain... et là je me dis : Ma mère aussi veut se lâcher ou quoi ? En effet, même si elle a

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Un adolescent découvre sa sœur et sa mère sous un nouvel angle plus coquin.

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Dérapage en Famille Tout est prêt, nous voilà enfin partis ! 2000 km nous attendent avant d’arriver à la maison qu’on a louée dans les environs de Malaga, en Andalousie, pour passer deux semaines de vacances en famille. Enfin, en famille incomplète puisque mon père n’a pas pu obtenir ses congés en même temps que nous, alors nous ne serons que ma mère, ma sœur et moi. On est d’origine marocaine, et pour la première fois on a décidé de ne pas aller au Maroc mais en Espagne, pour changer un peu. Ma sœur Amina vient d’avoir dix-huit ans, et le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle a été gâtée par la nature, brune, grande, la peau mate, les yeux noisette, les cheveux châtains, longs et bouclés, elle est plutôt mince mais avec des formes très généreuses bien de chez nous : un bon 90D de poitrine, et bon gros cul bien bombé, avec de larges hanches, qu’elle savait mettre à profit depuis qu’elle s’est mise à la danse orientale il y a deux ans, et c’est d’ailleurs à peu près à la même période qu’elle a commencé à s’habiller de plus en plus sexy, avec des décolletés, hauts moulants, minijupes, jeans taille basse avec le string qui dépasse... enfin bref, toute la panoplie de la petite beurette coquine. Ma mère, elle, a à peine quarante ans, et elle fait plus jeune, à la fois physiquement et mentalement. C’est vrai qu’elle vient du bled, mais elle a su évoluer et aujourd’hui elle est assez ouverte, elle porte par exemple volontiers des décolletés ou des vêtements moulants qui mettent en valeur ses formes, plus généreuses encore que celles de ma sœur. Après 24 heures de route, nous voici enfin arrivés. La joie et l’excitation effacent la fatigue du voyage, et nous découvrons avec la propriétaire qui nous attendait, la maison que nous avions louée. C’est une grande et belle maison, bien agencée et joliment décorée, avec trois chambres, un très grand jardin, et surtout une sublime piscine qui nous promet de bons moments de détente et de plaisir. On décharge la voiture, chacun choisit sa chambre et range ses affaires, avant de déjeuner puis de faire une bonne sieste bien méritée. Vers quatre heures on se lève, et on se retrouve à la cuisine pour manger un morceau et discuter un peu du programme à venir, et on exprime tous notre satisfaction quant à la maison avec sa piscine, et au cours de la conversation ma sœur a eu cette phrase prometteuse :

– Mais je vous préviens, on n’est pas au bled là, et en plus y a pas Papa, alors j’aimerais bien me lâcher un peu sans qu’on me prenne la tête...

Et ma mère de répondre avec bienveillance :

– T’inquiète pas, on te laissera tranquille, hein Mehdi ?

– Oui oui, t’inquiète, répondis-je.

– Tous à la piscine ! On s’est changé, je suis le premier à y être, rejoint tout de suite après par ma mère qui arrive à en maillot de bain... et là je me dis : Ma mère aussi veut se lâcher ou quoi ? En effet, même si elle a

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l’habitude de porter des maillots deux pièces, cette fois ci elle son maillot est presque un bikini avec des échancrures très prononcées. Ma sœur elle, a toujours eu l’habitude de porter des bikinis, et même, quand mon père n’était pas là, ma mère lui permettait souvent de retirer le haut, c’est donc avec plaisir que j’attendais de voir le cru de cette année, et avoir encore le bonheur de regarder sa belle grosse poitrine de si près... Et quelques minutes plus tard, la voilà, avec une serviette de bain nouée juste au-dessus de la poitrine, et une fois au bord du transat, elle défait sa serviette, et là, ce n’est pas juste un bikini habituel qu’elle porte mais je vois, ébahi, que le bas est un minuscule string ficelle qui dévoile complètement son cul ! C’est vrai que ça mettait superbement en valeur ses belles fesses bien charnues et fermes à la fois, mais c’était quand même un peu choquant, alors immédiatement je lui dis :

– Attend, c’est ça ton maillot ?! À cette phrase, ma mère se retourne vers ma sœur, et voyant son string minuscule, elle lui dit :

– Ah oui, là t’y va fort quand même... !

– Vas-y Maman, vous m’aviez promis que vous ne me prendriez pas la tête cette année…

– Et tu vas enlever ton haut évidemment ?

– Ben oui !

– Ouais, donc tu vas être à poil alors... !

– Vas-y, franchement les traces de bronzage ça craint, c’est classe comme ça... On est en famille là, c’est rien...

– Bon OK, fais comme tu veux...

– Merci Maman !

Étonné par la permissivité de ma mère, je dois dire que je n’arrive pas à décoller mes yeux du corps super bandant de ma sœur, avec sa belle poitrine généreuse, et surtout son bon gros cul que je découvre pour la première fois... S’en suivent de belles heures de baignade et de détente, avant de rentrer à l’intérieur, et de se changer pour sortir faire quelques courses. Au détour d’une rue, et au vu du nombre de jeunes filles, principalement des touristes anglaises, extrêmement dévêtues, pendant que ma mère est à la caisse d’une supérette, je dis à ma sœur sur un ton coquin et de défi :

– T’as vu, les meufs ici, elles ont l’air plus bonnes et plus ouverte encore que toi...

– Plus bonnes, ça m’étonnerait, mais plus ouvertes, on dirait que oui, mais t’inquiète, elles ne peuvent pas me battre... me dit-elle en rigolant

De retour à la maison, on traîne un peu, avant de se préparer à sortir dîner en ville.

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Ma sœur porte alors une robe noire moulante, très ouverte au niveau de la poitrine ce qui permet de voir facilement qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, et super courte, à la limite de la décence, d’autant plus qu’elle porte aussi des mules à talons hauts, qui accentuaient encore plus ses courbures.

– Et, franchement, là on dirait grave une pute !

– Ben quoi, je t’ai dit qu’on ne pouvait pas me battre ! me répondit-elle en rigolant. Ma mère elle, une fois de plus, ne dit rien... Au cours du dîner, je m’amusais à observer tous les mecs, évidemment, mater ma sœur dans sa tenue provocante, et il faut dire que je ne me privais pas moi non plus de mater son décolleté pigeonnant et ses cuisses dénudées... De retour à la maison, tout le monde se couche, heureux de cette première journée de vacances. Le lendemain, grasse mat, on se lève à dix heures, et on se retrouve dans la cuisine pour le petit-déj, et après, on décide de partir à la plage. Arrivés à la plage, on trouve tant bien que mal une petite place au milieu de la foule et on installe nos serviettes. Je me mets en maillot de bain, ma mère aussi, le même qu’hier, découvrant largement sa poitrine et une partie de ses fesses, et ma sœur aussi, enlève sa robe et dévoile sa nudité quasi-totale, puisque elle ne portait que son string ficelle en dessous, ça devait être réservé à la maison, mais bon, faut dire qu’elle n’est pas la seule à être en string sur cette plage, ça doit peut-être rassurer ma mère qui ne dit toujours rien... On part, ma sœur et moi, sur le bord de l’eau voir si elle était bonne, et je ne peux pas rater tous les regards qui fixaient les fesses et la poitrine alléchante de ma sœur, je dois dire que j’en étais presque fier, en tout cas, je lui dis sur le ton de la plaisanterie par convenance :

– Sérieux, tu vas faire bander tous les mecs avec ton cul et tes nichons à l’air comme ça...

– Ah bon, tu crois ?... Ben tant mieux pour eux ! Revenus à nos serviettes, ma sœur dit à ma mère qui était allongée sur le dos :

– T’as pensé à te passer de la crème solaire au moins... ?

– Ah non, j’ai oublié, je vais en mettre,

– Ben attends, je t’en mets moi... Elle se rapproche d’elle et au moment d’ouvrir la bouteille, elle dit à ma mère :

– Franchement Maman, regarde, presque toutes les femmes font du monokini, alors pourquoi pas toi ? Les marques de maillot ça craint grave ! Enlève ton haut, c’est les vacances, y a pas Papa, personne nous connaît, profite !

– Quoi ?! Tu veux que je montre mes seins ici devant tout le monde, et devant ton frère en plus ?!

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– Allez, c’est rien, regarde, elles le font toutes, et Mehdi je suis sûre que ça le dérangera pas, hein Mehdi ?

– Ah non non, moi y a pas de problème...

– T’es sûr, Mehdi ?

– Ben oui, en plus c’est vrai, tu ne seras pas la seule, et pour une fois qu’on n’est pas au bled ici, alors autant en profiter un peu...

– Ouais, c’est vrai... mais alors on dit rien à votre père !

– Ben oui, Maman !

Et là, je vois ma sœur me faire un grand sourire complice comme si nous avions remporté une victoire, une victoire sur la pudeur et les principes traditionnels de ma mère. Elle a aussitôt tiré le cordon attaché dans son dos pour enlever son haut, et là c’était une magnifique explosion de chair. L’énorme poitrine de ma mère jaillit superbement, ses seins étaient encore plus gros que ceux de ma sœur, elle doit bien faire du 95 E, ils se maintenaient un petit moins bien que ceux de ma sœur mais ils restaient très beaux à voir, et je dois dire que j’étais fasciné par le spectacle excitant de cette énorme poitrine de ma mère que je voyais pour la première fois d’aussi près... Je me ressaisis parce que je sens qu’avec ma sœur presque à poil que je n’arrête pas de mâter, et maintenant les seins de ma mère, l’érection que je tente désespérément d’arrêter, est en train de s’affirmer, et étant donné l’étroitesse de mon maillot de bain, ça va se voir...

– Attends Maman, je vais te mettre de la crème maintenant.

– OK, vas-y... Et là, le spectacle continue, et je ne peux m’empêcher de le contempler, je vois ma sœur passer de la crème solaire sur le corps de ma mère et je la vois en mettre aussi, sans retenue, sur la poitrine dénudée de ma mère en prenant soin de bien l’appliquer, ce qui fait de son geste un pelotage en règle de sa poitrine, que je vois être tirée, massée, serrée dans les mains de ma sœur, je commence vraiment à bander, ça m’excite de plus en plus. Quand elle a fini, ma mère lui dit :

– Tu veux que je t’en mette, moi aussi ? Pris dans cette ambiance de plus en plus chaude, je me suis permis d’intervenir à cet instant :

– Non, laisse, je vais lui en mettre moi, OK ?

– OK, laisse-le Maman, il va m’en mettre lui, allonge-toi. Le rêve ! Je vais, sous prétexte de passer de la crème, pouvoir toucher et caresser le corps superbe de ma sœur, qui m’excitait de plus en plus, et surtout son bon gros cul offert au regard de tous... Elle s’allonge d’abord sur le dos, je lui passe de la crème sur les jambes, en étalant bien des pieds jusqu’au haut des cuisses et aux hanches, puis sur le ventre, puis je remonte encore tout doucement pour atteindre ses superbes seins que je m’applique à caresser et masser longuement, je les sens

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bien fermes dans mes mains. Là je dois dire que la sensation est tellement agréable que je bande ferme, ce qui provoque une belle grosse bosse dans mon maillot de bain. Je tourne alors tout à coup ma tête vers ma mère que je croyais allongée les yeux fermés en train de bronzer, mais que je la trouve allongée sur le côté en train de me regarder peloter ma sœur en me lançant un petit regard coquin avec un large sourire complice, l’air de dire : « Je vois ta bosse entre les jambes, je sais que tu te régales petit cochon ! » Un peu gêné, je fais comme si de rien n’était et je continue d’étaler la crème. Ma sœur se retourne sur le ventre et je recommence avec l’intérieur de ses jambes, puis je passe directement aux épaules et au dos, et là ma sœur me dit : « Mets-en aussi sur mes fesses, s’il te plait. » Inutile de dire que je ne me fais pas prier, et je mets aussitôt un peu de crème sur ses belles grosses fesses bien rebondies qui m’envoûtaient littéralement, d’autant plus que son minuscule string ficelle les dénudaient vraiment complètement en ne couvrant, tout juste, que ses orifices. En étalant la crème, je prends tout mon temps pour bien en profiter, et je pelote son cul avec une vive excitation, ce qui m’amène rapidement à tenter de furtives incursions avec mes doigts au plus profond de la raie de son cul et aux abords immédiats de sa chatte, en ayant peur d’une réaction négative de ma sœur ou d’une protestation de ma mère qui m’observe toujours. Mais ni l’une ni l’autre ne se produisent, si bien que je n’hésite pas à bien profiter de ce contact si agréable avec son cul, en bandant comme un cheval en toute impunité, sentant bien que le plaisir de ces caresses qui ne disent pas leur nom, sont largement partagées... Après cela, et la séance de bronzage se prolonge, entrecoupée de baignades, pendant lesquelles je m’amuse avec ma sœur et avec ma mère dans l’eau par ces jeux d’enfants qui consistent à faire semblant de vouloir noyer l’autre ou à plonger sous l’eau et passer sous les jambes écartées de l’autre, et à chaque fois j’en profite pour, l’air de rien, toucher furtivement leurs seins ou leurs fesses, sans que ça ne les gêne le moins du monde... À la fin de cette après-midi délicieuse, on est retourné à la maison, chacun range ses affaires dans sa chambre avant de se diriger vers la salle de bain pour prendre une douche. Ma sœur est la première à la prendre, puis ma mère, et alors que je croyais que ma mère était déjà repartie dans sa chambre, je rentre dans la salle de bain et je la vois qui y est encore, et en culotte seulement :

– Oh pardon, je croyais que t’avais fini...

– Non mais c’est rien, reste j’ai presque fini là, et puis tu m’as vu comme ça à la plage alors c’est bon...

– Ouais, c’est vrai, OK.

– Ta sœur en tout cas, c’est vrai que son maillot ne cache presque rien, mais ça lui va super bien, elle a un super beau corps ! Surtout ses seins, ils sont gros et vachement fermes en même temps, elle a de la chance !

– Ouais, c’est vrai.

– D’ailleurs t’en as bien profité tout à l’heure, hein ! me dit-elle avec un sourire coquin.

– Ben, on ne peut pas résister à ça !... en lui renvoyant le même sourire.

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– Moi mes seins, ils sont plus gros mais pas aussi fermes malheureusement... me dit-elle, en prenant ses seins dans les mains devant le miroir.

– Non, ça va je trouve...

– Ben vas-y, touche-les tu verras !

Je me mets alors à toucher les énormes seins de ma mère, en les pressant dans mes mains, et en lui faisant remarquer qu’ils étaient encore fermes et très agréables... c’était un délice !

– Vas-y, rentre sous la douche, j’y vais là. Je me déshabille alors, en ne me gênant pas pour dévoiler ma queue en pleine érection devant ma mère, avant de rentrer dans la douche, et ma mère, après un petit coup d’œil bien placé, quitte la salle de bain et je commence ma douche. Quelques minutes plus tard, j’entends la porte se rouvrir, c’est ma sœur :

– T’as pas vu où j’ai mis mon string rouge ?

– Non, lui dis-je en lui tournant le dos... Et là, emporté par l’élan d’érotisme qui croit depuis hier, et surtout cet après-midi, j’ai une idée géniale :

– Ben comme t’es là, tu ne peux pas me frotter le dos s’il te plait ?

– OK, ben vite fait alors ! Après un instant, alors que je fais tout pour me tourner, elle finit par s’apercevoir de mon érection et lança :

– Waow ! C’est quoi qui te fait bander comme ça ? me dit-elle en fixant sans gêne ma queue que j’exhibe franchement

– Ben je ne sais pas... ben je repensais à tout à l’heure quand je te mettais de la crème, franchement t’as des formes de ouf !

– Merci, et c’est quoi qui t’excite le plus, mes seins ou mes fesses ? me dit-elle en rigolant et en me lançant un regard très chaud...

– Hmmmm je sais plus, faudrait que tu me remontres un peu !

– OK, ben voilà mes seins ! me dit-elle en montant son débardeur, sans la moindre hésitation.

Je me mets alors à les peloter sans scrupules, en sentant le bout de ses tétons se durcir sous mes caresses, et après quelques instants, elle se retourne et lève sa minijupe, en me disant :

– Et voilà mon cul !

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Mais là je vois qu’elle n’a pas de string, son cul est totalement nu, je me mets immédiatement à lui caresser les fesses, et je n’hésite pas à passer ma main entre ses fesses et descendre sur sa chatte que je sens humide. Je la vois au passage dans le miroir fermer ses yeux de plaisir et se cambrer d’avantage encore, je caresse franchement sa vulve et je glisse un doigt dans sa chatte toute chaude et toute mouillée, j’ai l’impression d’être en plein rêve ! C’est trop bon ! Je lui dis alors :

– Et toi, elle t’excite ma queue ? Regarde comment tu la fais durcir...

– Hmmmm, c’est vrai qu’elle est bien dure là, elle me donne trop envie ! Elle se met alors à se rapprocher d’elle avant de la prendre dans sa bouche ! Putain, je n’en reviens pas ! Ma bite dans la bouche de ma propre sœur, c’est trop bon !!! Elle me suce comment une reine, en passant bien sa langue de haut en bas tout en me caressant les couilles, et en me regardant dans les yeux, je vois dans ses yeux l’immense plaisir qu’elle prend à me sucer comme une salope. C’est trop, je ne tarde pas à jouir, je la préviens une seconde avant, mais elle me retient dans sa bouche que j’inonde ainsi de mon sperme... Elle se retire en fermant sa bouche, se lève et remet ses habits en place, puis ouvre la bouche pour me montrer le sperme qu’elle a recueilli. Je vois mon sperme dans la bouche de ma sœur, en ayant du mal à en croire mes yeux tellement cette situation est extraordinaire de perversion et d’excitation. Puis elle l’avale avec un bruit de déglutition sonore. Elle me sourit et me dis :

– T’as aimé ?

– Trop ! Puis elle sort de la salle de bain, puis j’en sors à mon tour, pour aller dans ma chambre me remettre un peu de mes émotions. En m’écroulant sur mon lit, je me dis : « Putain ! Les vacances commencent bien !! » Le lendemain matin, encore grasse-mat, puis je me lève, je me lave et je vais à la cuisine prendre mon petit-déj, et je tombe sur ma sœur justement. J’appréhende un peu cette rencontre au lendemain de ce qui s’est passé entre nous, j’ai peur qu’elle ne regrette et qu’elle décide de dresser une barrière entre nous, mais à ma grande joie, elle me fait un grand sourire et me dit :

– T’as bien dormi ?

– Ouais très, très bien... répondis-je sur un ton coquin, et toi ?

– Pareil !

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– Tout va bien alors ?

– Tout va très très bien !... répondit ma sœur sur le même ton coquin,

– Et au fait, j’ai oublié de te dire, t’as assuré hier à la plage avec Maman, de lui faire enlever son haut, t’as fait fort, je ne pensais pas qu’elle aurait accepté.

– T’inquiète, y a pas de raison qu’elle se lâche pas elle aussi, je vais la pousser à s’ouvrir au maximum !

– Excellent !

Je suis soulagé et ravi de voir que la partie continue, et qu’en plus, elle veuille même plus ou moins y entraîner ma mère. Ma sœur part ensuite en direction de la piscine, et moi je finis de manger avant de la rejoindre, et au moment de me lever, je vois ma mère qui débarque, avec juste le bas de son maillot, les seins déjà à l’air, qui ballottent sans pudeur à chacun de ses pas.

– Bonjour chéri.

– Bonjour Maman.

– T’as décidé de faire concurrence à Amina on dirait ?

– Ben je vais à la piscine, autant me préparer complètement avant, et puis concurrencer ta sœur, je ne suis pas sûre que je pourrais, mais c’est pas une mauvaise idée, me dit-elle sur le ton convenu de la plaisanterie.

– Bien sûr, et ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre ! dis-je en rigolant.

On se retrouve tous à la piscine, et on commence une petite séance de bronzage, ma sœur et ma mère s’allongent sur le dos et me demandent de leur passer de la crème solaire. Je commence par ma sœur, en pelotant bien ses seins et ses fesses au passage et en fourrant ma main jusque sur sa chatte, sans hésitation, ça fait du bien de ne plus avoir de barrières... Puis vient le tour de ma mère, je commence par le devant, et là, même si je suis un peu plus prudent, je me laisse aller à bien lui caresser les seins, d’autant qu’il y avait de la surface à badigeonner de crème, alors je prends bien le temps de m’occuper de sa poitrine que je malaxe ouvertement pendant de longues minutes, à mon plus grand bonheur, et sans que ça ne gêne le moins du monde ma mère, au contraire, je vois ses tétons durcir, et son visage, même les yeux fermés, trahit un soupçon de plaisir... Puis vient le dos, l’arrière des jambes et en remontant l’arrière des cuisses, je glisse mes doigts tout doucement un ou deux centimètres sous le bas de maillot de mère, et j’en profite pour le relever un peu, et pour me faire un peu comprendre, je lui dis :

– Ben si tu veux faire un peu concurrence à Amina, faut relever un peu ton bas, ça serait mieux, pour bien mettre de la crème partout...

Ma mère ne répond pas, ma sœur me regarde et me fait un clin d’œil. Continuant mon grignotage de la frontière entre son maillot et le bas de ses fesses, et sentant où je voulais en venir, et visiblement assez échauffée, ma mère surpasse toutes mes attentes, elle saisit tout d’un coup son

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maillot par le bas de chaque côté, et se met à le relever très haut en se l’enfonçant entre les fesses, dévoilant ainsi presque toute la surface de ses fesses, tout en disant :

– Comme ça, c’est bon ?

– Ah oui, comme ça c’est parfait ! J’en reviens pas, déjà que lui faire montrer ses seins, je pensais que c’était un exploit, mais là carrément elle dévoile d’elle-même son bon gros cul à son propre fils sans aucune pudeur. Ça me fait bien sûr bander super fort, surtout quand je commence à lui passer de la crème dessus, et que je malaxe ainsi ses bonnes grosses fesses, bien larges et bien charnues. C’est vraiment le pied, je peux désormais non seulement mater, mais peloter aussi sans problème, les poitrines et les fesses de ma sœur et de ma mère, c’est le rêve ! Ma sœur d’ailleurs, au moment où ma mère fit ce geste impudique, n’as pas manqué de l’encourager par un grand :

– Ouaaiiiis bravo Maman, voilà, faut s’ouvrir, faut se lâcher un peu, on est en vacance, faut profiter !

Je nage ensuite un peu, vite rejoint par ma mère et ma sœur, on joue un peu à se taquiner, et comme toujours j’en profite pour toucher tout ce qui est à ma portée. On ressort ensuite, on déjeune, et c’est reparti pour une bonne sieste. Sauf qu’évidemment, je ne tarde pas à rejoindre ma sœur dans sa chambre. Je la trouve comme toujours juste en string :

– Bien joué Mehdi, sur ce coup c’est toi qui assuré, t’as vu le bon tarpé de Maman, t’as du te régaler à lui peloter le cul hein ?

– Grave ! Mais t’as vu c’est elle toute seule qui a voulu faire ça, je crois qu’elle aime ça elle aussi...

– T’inquiète, je crois que je ne suis pas une salope pour rien...

– C’est vrai qu’hier, putain, tu m’as sucé comme une vraie salope !

– Ça me fait plaisir que t’aies aimé, moi aussi j’ai adoré ! Faut dire que j’ai de l’entraînement dans la cité avec tous les lascars que j’ai sucés...

– Ah ouais, sérieux ? – Ben oui, j’ai sucé presque tous les gars, même tes potes ! – Putain ! Et juste tu les suces, ou... ? – Ben c’est clair, la plupart ils me baisent après, et des fois même par derrière ! – Sérieux, tu te fais souvent enculer ? – Grave, j’adore ça ! – Putain, c’est pour ça que ton string a du mal à couvrir complètement ton trou du cul, tellement il est ouvert !

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– Ben ouais, au lycée, y a même des potes qui me surnomment « Sodomie » ! Celui qui m’encule le plus en ce moment d’ailleurs c’est Karim...

– Qui Karim ?

– Ben celui qui est derrière la gare, tu sais le frère de Salima, la grosse salope qui se met toujours en décolletés où on voit tous ses seins... – Ah ouais, elle a des seins de ouf elle, je me la suis tirée plusieurs fois elle... – Ben quand je dis à Papa à chaque fois que je vais réviser mes cours chez elle, ben en fait je vais direct dans la chambre de son frère et il me bourre le cul comme une chienne ! En plus il a une bonne grosse bite, putain j’adore !!! – Putain, je n’en reviens pas ! Je ne savais pas que ma sœur était une salope à ce point !!! Il faut que tu me fasses profiter de tout ça alors, je suis ton frère, après tout je suis prioritaire, non ! – Mais bien sûr !... me dit-elle en rigolant et en se mettant à genoux...

Là, elle commence à me sucer. Ma queue était tellement dure que j’en ai presque mal, et le fait de l’avoir dans la bouche de ma sœur, avec sa langue de velours qui s’active dessus, ça me procure un plaisir fou ! Elle me lèche la queue de tous les côtés, du gland aux couilles, qu’elle met aussi de temps en temps dans sa bouche, tout en me fixant du regard, comme une vraie pute ! Après quelques minutes, elle se relève, elle enlève son string et s’allonge sur son lit :

– Tu veux goûter ma chatte ?! Sans répondre, je me mets à lécher sa belle chatte toute chaude et toute mouillée, et avec délice je promène ma langue sur ses lèvres, puis je titille longuement avec le bout de ma langue son clito, et de temps en temps je fourre ma langue dans sa chatte en feu, avant d’y glisser un doigt, puis deux, puis trois, et en relevant ma tête, je la branle avec trois doigts dans sa chatte tout en regardant l’expression du plaisir sur son visage. Elle me regardait, en se tordant de plaisir et en pétrissant ses gros seins qu’elle tenait fermement dans ses mains.

– Alors comme ça, tout le monde est rentré dans cette chatte de salope !?

– Grave, prend-la toi aussi, vas-y baise-moi !! Je pose ma queue à l’entrée de sa chatte trempée, en frottant mon gland sur son clito, puis après quelques secondes, j’enfonce d’un grand coup toute ma queue au fond de sa chatte. Putain ! La chatte de ma sœur ! Ce n’est pas bien, mais qu’est-ce qu’elle est bonne !!! Je me mets à la chevaucher de plus en plus vite, de plus en plus fort, en tenant fermement ses hanches, alors que ma sœur, elle, écarte ses jambes à fond !

– Oh ouiiiiiiiiii défonce-moi ! Encore ! C’est trop bon putain ! Elle a du mal à étouffer ses cris de plaisir, sa chatte est si chaude, si mouillée, c’est irrésistible ! Je ne tarde pas à jouir, je me retire juste à temps pour lui envoyer des puissantes giclées de sperme sur sa poitrine, pendant qu’elle atteint elle aussi un orgasme très violent quelques secondes à peine après

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moi en frottant énergiquement son clito ! Tout de suite après, elle étale mon sperme sur ses seins en continuant de gémir doucement, pendant que je m’affale sur son lit à côté d’elle... C’était trop bon, j’ai du mal à réaliser que c’est quand même ma propre sœur que je viens de baiser comme une chienne à l’instant, je n’ai jamais joui aussi fort... Reprenant nos esprits, elle me dit :

– Vas-y, vas prendre ta douche, je te suis... Je me lève, je remets mon caleçon et je sors de sa chambre, et là je remarque que ma mère est juste à côté, dans la cuisine !

– Tu fais quoi ? lui dis-je rougissant et inquiet, mais essayant malgré tout de faire comme si de rien n’était ...

– Rien, je faisais un gâteau, et toi ?

– Euh... je vais prendre ma douche...

Je suis sûr et certain qu’elle a dû tout entendre, à cette idée je réalise la gravité de ce qu’on vient de faire et l’inquiétude quant à ce que ma mère va dire ou faire, mais je me soulage en me disant qu’elle aussi a fait elle comme si de rien n’était, et qu’elle décidera donc, peut-être, de ne pas en parler... Je prends vite fait ma douche. Ma sœur fait de même juste après. On se retrouve tous à la cuisine, pour déguster donc le gâteau que ma mère venait de faire. Je n’arrive pas à m’empêcher de penser à ma mère qui était de l’autre côté du mur de la chambre de ma sœur pendant qu’on baisait comme des bêtes... je suppose que ma sœur y pense aussi, mais on arrive à nous concentrer malgré tout sur le gâteau...

– On fait quoi ce soir ? lance ma sœur, pour briser le silence suspect qui commençait à s’installer.

– Ben je ne sais pas, tu ne veux pas qu’on fasse un peu de shopping ? – Ouais, c’est une bonne idée ! – Super, et moi alors... ? – Ben toi, tu peux te balader un peu si tu veux, on va essayer de ne pas être trop longues... – Non, je vais vous attendre là, je vais regarder un peu la télé... – OK, comme tu veux...

Elles partent donc toutes les deux faire leur shopping, alors que je m’allonge sur le canapé, devant la télé, en repassant les images de la baise de ouf que je viens de vivre avec ma sœur une heure avant, et en me demandant quelle pourrait être la suite de nos rapports... Après deux heures, les voilà de retour...

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Elles filent dans leur chambres ranger quelques paquets, et ma sœur vient me voir discrètement dans le salon, mais avant de me parler je le lui lance immédiatement :

– Elle t’as dit quelque chose pour ce qu’elle a entendu tout à l’heure ? – Non non, elle n’a rien dit, mais tu vas adorer, j’ai grave dévergondé Maman ! – Ah ouais ? – Ouais, tu verras...

Ma mère nous rejoint pour nous dire qu’on allait dîner au resto ce soir. J’attendais donc avec impatience cette bonne surprise, et je faisais confiance à ma sœur en matière de dévergondage. Quelques temps après, on est tous prêts, ma sœur comme à son habitude est habillée comme une salope, avec un mini-short en jean et un débardeur blanc super moulant, sans soutif évidemment, et des belles chaussures blanches à très hauts talons. Mais là où c’est agréable, c’est quand je vois ma mère sortir de sa chambre avec un maquillage prononcé, et habillée d’une petite robe noire arrivant juste au-dessus des genoux, mais avec un immense décolleté devant, qui dévoile la quasi-totalité de son énorme poitrine ! C’est époustouflant ! J’ai déjà vu ma mère mettre des décolletés, dans des mariages par exemple, mais ça restait assez raisonnable, mais là, c’est vraiment indécent, surtout avec les seins qu’elle a. C’était tellement ouvert qu’il suffisait qu’elle se penche un peu trop pour qu’ils sortent complètement de sa robe, c’est super excitant et j’arrive pas à décoller mes yeux de ce délicieux spectacle... Et au vu du sourire radieux qu’arborait ma mère, elle doit être bien consciente de son effet sur moi... Au resto, le serveur nous installe, en reluquant ouvertement ma sœur et ma mère. « C’est mon jour de chance ! » doit-il se dire. Tout le monde dans le resto les a remarquées, avec leurs tenues de salopes, et je sens que ma sœur, ce qui n’est pas nouveau, et ma mère, pour qui ça l’est beaucoup plus, se réjouissent de produire un tel effet, et font tout pour attirer les regards excités au plus près de leurs poitrines arrogantes. Ma mère, surtout, en rajoute beaucoup, et à chaque passage du serveur, elle tente, sans trop de difficultés vous vous en doutez, de le retenir le plus longtemps possible en lui posant des questions et en prolongeant longtemps ses hésitations. Sous le regard et les sourires complices et encourageants de ma sœur et de moi-même, ma mère prend soin de se pencher au maximum en avant pour faire ressortir encore plus ses énormes seins, si bien qu’à un moment, sachant que son décolleté arrivait vraiment au bord de ses auréoles, et n’était pas assez serré pour tenir en place, ce qui devait arriver arrive. Elle se penche pour ramasser sa serviette, qu’elle avait bien entendu fait plus ou moins exprès de laisser tomber par terre, et ses seins sortent alors complètement de son décolleté, en se redressant, elle a les seins à l’air avec les tétons complètement dévoilés. Et n’est que les grands yeux que ma sœur et moi lui faisons en fixant sa poitrine, que ma mère remarque cette indécence et rapidement remet ses seins dans sa robe, tout en éclatant de rire, ce qui fait que pendant quelques secondes, tout le monde a pu admirer la belle grosse poitrine de ma mère ainsi complètement exhibée, je dois dire que c’était super excitant !

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C’est la première fois que je voyais ainsi ma mère jouer l’allumeuse en public à ce point, je dis discrètement à ma sœur en me penchant vers son oreille :

– Je comprends maintenant que tu sois aussi salope !

– C’est clair ! En tout cas, ma mère est ravie d’exciter tout le monde, et semble elle-même très excitée de cela, j’ai l’impression d’être avec deux copines bien cochonnes plutôt qu’avec ma sœur et ma mère. On a passé une super soirée. En retournant à la maison, ma sœur va dans la chambre de ma mère, et très vite elles m’appellent...

– Regarde ce qu’elle a acheté Maman… Elles étaient en train de déballer des paquets, ma mère me dit :

– Ben, y a la robe déjà... en parlant de celle qu’elle porte depuis ce soir.

– Ouais, ça c’est clair que tu l’as bien choisie, elle te va super bien, surtout avec tes gros seins. – Et moi, regarde, je me suis acheté un nouveau string, me dit ma sœur. – Comme d’hab ! – Il est trop beau celui-là, regarde, me dit-elle en baissant son mini short, et en se retournant, me montrant son nouveau string et par là-même son magnifique cul.

– Ca va, il fait bien chaudasse ? – Amina t’exagères... lui dit ma mère, sans trop de conviction. – Ouais c’est excellent ! – Maman aussi, elle en a acheté un pour le mettre comme maillot. – Sérieux ? – Ben ouais, la dernière fois vous m’avez dit qu’il fallait se montrer plus, alors au lieu à chaque fois de tirer sur mon bas de maillot pour le faire rentrer dans mes fesses, autant mettre directement un string, non ? Ou alors tu trouves que c’est trop ? – Ah non, pas du tout, lui répondis-je, ravis.

– Ben attend, elle va te montrer, dis-lui si t’aime bien, me dis ma sœur, qui est restée en string devant nous.

– Tu veux voir, tu me donnes ton avis ?

– OK, vas-y.

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Elle se mit à déballer un des paquets, et en retira un magnifique minuscule string ficelle vert olive, du style de celui que met ma sœur en guise de maillot, un vrai appel au viol !

– Alors, t’en penses quoi ?

– Ben il a l’air bien, mais il faut le voir porté...

– Ben ouais Maman, vas-y mets-le, il va te dire s’il te va bien. – Quoi, maintenant là ? – Ouais vas-y... regarde, moi aussi je suis en string là... – Ouais, mais moi il faut que j’enlève ma culotte pour le mettre, ça ne te gêne pas Mehdi ? – Non, vas y mets-le, dis-je avec impatience. – Ben oui, toi évidemment, dès que tu peux mater nos nichons, notre cul et notre chatte, t’es content ! me dit ma sœur, pour pimenter encore plus la situation...

Ma mère ne dit rien, elle soulève sa robe jusqu’à la taille, elle se retourne, elle enlève sa culotte et enfiles son nouveau string, puis se retourne, et me dit :

– Alors ? Qu’est-ce que t’en penses ? me dit-elle en se retournant un peu pour que je voie son sublime gros cul.

– Ça te va super bien, dis-je en admirant ce magnifique cul qu’elle exhibe sans pudeur. – Ben oui, ça a l’air de lui plaire, regarde comment ça le fait bander... lance mon audacieuse salope de sœur en me touchant la queue par-dessus mon bermuda, devant ma mère.

Et c’est vrai que, malgré une certaine gêne, je bandais fort déjà...

– Tu vas trop loin là, Amina, c’est ton frère quand même, et en plus ce n’est pas bien, vous allez finir par m’exciter là... répondit ma mère partagée entre son devoir de mère et une excitation qui commençait déjà à submerger tous ses tabous...

– Ah ouais ? Et comme ça, ça t’excite plus ? dit ma sœur en me caressant la queue avec plus d’insistance...

– Arrête... dit mollement ma mère, qui fixe néanmoins la bosse que caresse ma sœur.

Ma sœur ne peut pas arrêter, et au contraire elle se met à genoux et elle retire ma queue toute dure de mon bermuda, et se met à me titiller le gland du bout de sa langue devant ma mère en lui disant :

– Et là, ça t’excite encore plus ?... Ma mère reste comme tétanisée, fascinée par ce spectacle si pervers et si excitant à la fois. Elle était là, debout à trente centimètres de moi, avec sa robe toujours relevée, et enhardi par l’audace de ma sœur et excité par ses coups de langue de plus en plus grands, je me mets à caresser les seins de ma mère en les faisant sortir de son décolleté.

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Ma mère ne réagit pas, elle regarde toujours silencieusement ma sœur, qui maintenant a pris complètement ma queue dans sa bouche et me suce ouvertement, et ma mère me laisse totalement libre de lui peloter les énormes nichons, ce qui me procure un grand plaisir. Je sens ses tétons durcir, elle ne peut dissimuler son excitation, puis je descends ma main le long de son flanc et me met à lui caresser les fesses aussi, et je sens qu’elle frémit de plus en plus... Tout à coup, elle n’en peut plus :

– Putain, vous m’excitez trop, donne-la-moi que je la suce moi aussi ! Ma mère descend à hauteur de ma sœur, saisit ma queue que ma sœur a retirée de sa bouche, et la plonge directement dans sa bouche. Elle se met à me sucer frénétiquement, comme une chienne en chaleur, en y mettant toute sa langue et toute sa salive...

– Alors, elle est bonne sa queue, hein ?... lance ma sœur à ma mère.

– Ah ouais, j’adore ! C’est la plus agréable pipe qu’on m’ait jamais faite, ma mère et ma sœur se mettent à partager ma bite, en se l’échangeant plusieurs fois, parfois l’une me suce et l’autre me lèche les couilles en même temps, c’est trop trop bon !! Déjà que j’avais découvert que ma sœur était une vraie salope, mais à vrai dire, ce n’était pas une surprise absolue, mais voilà que je découvre là que ma mère est aussi cochonne qu’elle, voire plus, et qu’elle s’est finalement laissée aller à franchir le pas de baiser avec son propre fils !

– Vas-y, faut pas trop le sucer, il va finir par jouir avant même de nous avoir baisées, dit ma mère à ma sœur...

Ma sœur se met alors à quatre pattes sur le lit, et m’invite ainsi à venir la prendre en levrette. Je me mets immédiatement à le chevaucher ainsi en limant sa belle chatte brûlante et dégoulinante de mouille, alors que ma mère écarte les fesses de ma sœur pour mieux faire pénétrer ma bite et surtout mieux admirer le spectacle de ma queue dans la chatte de sa salope de fille. Puis très vite, ma mère se place à côté de ma sœur, en écartant ses jambes à fond et en se mettant à se caresser la chatte. Ma sœur, surexcitée, lui dit alors :

– Vas-y Maman, mets-toi devant, je vais te lécher la chatte ! Ma mère ne se fait pas prier évidemment avec plaisir, et se place ainsi en face de ma sœur, et ma sœur commence alors à lécher sa chatte ! C’était un vrai film de cul en direct, ma sœur que je suis en train de baiser en levrette, lèche la chatte de ma mère, qui me regarde en gémissant de plaisir sous ses coups de langue.

– Elle est bonne la chatte de Maman ? dis-je à Amina.

– Grave !

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– Vas-y, bouffe-moi la chatte c’est trop bon ! lui dit ma mère. – Et toi, comment tu trouves la chatte de ta sœur ? poursuit ma mère. – Trop bonne ! J’adore la baiser cette salope !

– Ben viens me baiser moi aussi, tu verras que t’as pas qu’une seule salope ici, t’en as deux !

Avec bonheur, je vois ma sœur se retirer et se placer sur le côté, et ma mère s’avancer vers moi, toujours allongée sur le dos, spontanément je saisis à pleines mains les deux gros seins de ma mère et je les serre fort l’un contre l’autre, pendant que ma mère prend ma bite et la dirige à l’entrée de son orifice... Sans hésiter, j’enfonce ma queue d’un coup jusqu’au fond de la chatte bien chaude et bien humide de ma mère. C’est le pied putain, à ce moment-là je ne n’arrive pas à me rendre compte que c’est ma propre mère que je suis en train de baiser ! Pendant que je m’emploie à limer la chatte de ma mère, ma sœur lui pelote les nichons et me dit :

– Vas-y Mehdi, baise-la bien, on est tes deux putes ! Hein Maman ?

– Oh oui, c’est trop bon, c’est vrai qu’on est deux belles salopes, ça sert à rien de le cacher... Je suis fière de vous les enfants, vous êtes aussi chauds que votre pute de mère !

Pendant que je défonce ma mère comme un malade, elle tourne sa tête vers ma sœur qui avait placé sa chatte juste à côté, et après quelques coups de langue, ma sœur, qui se caressait, se met à jouir violemment en tremblant de plaisir. Ça m’excite tellement que je me retire de la chatte de ma mère en annonçant que j’allais jouir ! Ma mère me dit :

– Vas-y chéri, mets-moi tout sur les seins ! J’ai à peine le temps de m’approcher de sa grosse poitrine que de puissantes giclées de sperme s’écrasent sur elle. Ma sœur me nettoie alors le gland en avalant les dernières goûtes de sperme, puis se tourne vers ma mère qui est en train de se caresser frénétiquement le clito, les seins souillés de mon sperme, et lui dit :

– Attends Maman, je vais te nettoyer tout ça ! Et elle se met aussitôt à lécher tout le sperme que j’avais déversé sur ses seins.

– Oh oui Amina, vas-y, lèche bien tout le sperme de ton frère sur mes gros nichons, régale-toi salope !

Et pendant que ma sœur lui nettoie les seins en avalant tout mon sperme, je mets deux doigts dans la chatte toute trempée de ma mère en même temps qu’elle se caressait le clito, et quelques

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secondes après, c’est à son tour d’atteindre un énorme orgasme qui la fait crier à mort. Ce n’est plus ma mère, mais une grosse chienne que j’ai en face de moi, ou plutôt c’est ma mère et c’est une grosse chienne !!! Tous nos tabous ont volé en éclat, on a tous baisés ensemble, on a tous jouis les uns sur les autres, c’est hallucinant ! C’est trop bon !!!

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