Deloitte Etude De NoëL 2011

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Un Noël au chaud Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions 8 novembre 2011

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Intention d\'achats de Noel en Europe on & off line vs type produits

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Un Noël au chaudAvant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

8 novembre 2011

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Sommaire

• Avant-propos• EditorialEditorial• Ce que les consommateurs ont en tête• Les stratégies d’achat• Budget de Noël 2011• Cadeaux rêvés et offerts• Où les consommateurs vont ils faire leurs achats?• Où les consommateurs vont-ils faire leurs achats?• Développement du cross-channel• Méthodologie• Contacts Deloitte

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Avant-propos

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Avant-propos

• Cette synthèse présente la 14ème édition de l’étude de Noël pilotée par les équipes Distribution de Deloitte sur les intentions d’achats des consommateurs européens pour les fêtes de fin d’année en 2011.

• Cette année, l’étude couvre 17 pays de l’Europe de l’Ouest, de l’Est et l’Afrique du Sud. Certains pays sont directement touchés par des mesures sévères de rationalisation budgétaire comme la Grèce, l’Espagne, l’Italie et le Portugal.

• Après la crise financière de 2008, les économies européennes sont aujourd’hui confrontées à la crise de la dette. Il est, dans ces conditions, particulièrement instructif d’évaluer la capacité de résilience de la consommation au moment de la période atypique des fêtes de fin d’année.

A d d iè t t i iè i d t b 2011 i t é é h till• Au cours des deuxième et troisième semaines de septembre 2011, nous avons interrogé un échantillon représentatif composé de 18 354 consommateurs au sein des différents pays étudiés sur leurs intentions de dépenses en cadeaux, en suppléments d’achats alimentaires pour les repas de fêtes et en sorties.

• Cependant le contexte économique particulièrement mouvant de ces dernières semaines et certainement deCependant, le contexte économique particulièrement mouvant de ces dernières semaines et, certainement de celles à venir, influencera les comportements réels par rapport aux réponses obtenues au cours du mois de septembre.

• Ces limites potentielles doivent être, bien entendu, prises en compte par nos lecteurs. p p p p

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Editorial

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Editorial

1. Le moral en berne des consommateurs français

• La crise de la dette en Europe, combinée à des prévisions de croissance maintes fois revues à la baisse, a sonné le glas pour les derniers consommateurs qui espéraient un avenir meilleur à court terme.

• C’est ainsi que 75% des Français estiment que leur pays est en récession, et ce sentiment, même s’il affecte plus durement certains pays comme la Grèce le Portugal l’Italie l’Irlande et l’Espagne se répand dansplus durement certains pays comme la Grèce, le Portugal, l’Italie, l’Irlande et l’Espagne, se répand dans l’ensemble des pays étudiés. Seuls les Allemands se démarquent : ils sont 53 % à penser que leur économie est stable ou en croissance.

• Cependant cette « crise » n’a pas encore affecté le pouvoir d’achat des consommateurs français et ils leCependant, cette « crise » n a pas encore affecté le pouvoir d achat des consommateurs français et ils le reconnaissent : ils sont même 63% à considérer qu’il est resté stable, voire qu’il a augmenté. Les mesures d’économies et d’alourdissement des taxes annoncées n’ont en effet pas encore affecté le budget des ménages.

• Noël 2011 serait ainsi la dernière occasion de se faire plaisir, mais sans folie, avant une année 2012 qui est attendue avec inquiétude.

• Car les Français sont plus inquiets sur la situation économique en 2012. Ceci marque une rupture avec nos é éd t ét d i li i t ti t d’ ti i l f t ê ’il ét it t diti ll tprécédentes études qui soulignaient un sentiment d’optimisme pour le futur, même s’il était traditionnellement

moins fort en France qu’ailleurs. Alors que 1 Français sur 3 attendait en 2010 une reprise pour l’année suivante, ils sont moins de 1 sur 5 à le penser cette année. Et plus nombreux sont ceux qui craignent une contagion de la conjoncture économique sur leur pouvoir d’achat futur : ils sont 45% contre 36% l’an dernier.

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Editorial

• Cette tendance est également observée dans tous les pays européens étudiés, même ceux où les consommateurs étaient, l’an dernier, les plus confiants sur la reprise économique, comme en Slovaquie, en Finlande en Suisse aux Pays Bas en Allemagne et au LuxembourgFinlande, en Suisse, aux Pays-Bas, en Allemagne et au Luxembourg.

• Ces différentes perceptions poussent les consommateurs français à une attitude prudente en matière de consommation. Prudente et non frileuse, car l’envie de fêter Noël reste forte, et leur pouvoir d’achat actuel est globalement préservé. Prudente et indécise, car les consommateurs seront enclins à adapter leurglobalement préservé. Prudente et indécise, car les consommateurs seront enclins à adapter leur consommation sous l’influence d’évolutions défavorables de la « crise » en Europe.

2. Un budget préservé pour les dépenses de Noël 2011

• En 2011, les consommateurs français envisagent de consacrer, en moyenne, un budget de 606 € à leurs dépenses de fin d’année, soit un montant supérieur de 1,9 % à l’an dernier.

• Dans l’ensemble les Français restent peu disposés à recourir au crédit pour financer leurs achats de NoëlDans l ensemble, les Français restent peu disposés à recourir au crédit pour financer leurs achats de Noël, préférant utiliser leur épargne mais aussi les points fidélité acquis. L’inquiétude est forte et pourrait conduire à réduire encore les dépenses de Noël dans les prochaines semaines, notamment en cas d’évolution défavorable de la conjoncture économique (66 %).

• A contrario, les consommateurs restent nombreux à être prêts à dépenser plus pour se faire plaisir et oublier la crise (48 %). Ils seraient aidés en cela par des promotions attractives (pour 43 %) car la recherche du prix le plus bas reste prisée par les consommateurs pour consommer mieux.

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Editorial

• De même, 30% des consommateurs français restent indécis sur l’utilisation du crédit et n’excluent pas de profiter d’offres de crédit avantageuses pour financer leurs dépenses de Noël 2011. Ce sentiment concerne plus particulièrement les plus de 45 ans et pourrait soutenir les dépenses de fin d’année de Français qui ont étéplus particulièrement les plus de 45 ans et pourrait soutenir les dépenses de fin d année de Français qui ont été dans l’ensemble soucieux de réduire leur endettement ces dernières années.

• La tendance de dépenses en France est légèrement meilleure que celle des consommateurs européens qui envisagent de consacrer, en moyenne, un budget de 587 € à leurs dépenses de fin d’année, soit un montantenvisagent de consacrer, en moyenne, un budget de 587 € à leurs dépenses de fin d année, soit un montant inférieur de 0,8 % à l’an dernier.

• Les clivages entre les pays européens restent marqués avec trois principaux groupes qui se dégagent :- les pays qui affichent une baisse prononcée du budget de dépenses pour la deuxième annéeles pays qui affichent une baisse prononcée du budget de dépenses pour la deuxième année

consécutive : Grèce (-21 %), Irlande (-7,4 %), Portugal (-7,9 %), Italie (-2,3 %) et les Pays-Bas (-2,9 %) ;

- les pays qui affichent une augmentation modérée du budget de dépenses comme la Suisse (+0,3 %), le Luxembourg (+0 8%) la France (+1 9 %) l’Espagne (+1 9 %) et la Belgique (+2 2 %) ;le Luxembourg ( 0,8%), la France ( 1,9 %), l Espagne ( 1,9 %) et la Belgique ( 2,2 %) ;

- enfin certains pays qui font ressortir une hausse assez marquée du budget de dépenses : République tchèque (+2,5 %), Pologne (+4,1 %), Allemagne (4,3 %), Slovaquie (+ 6,6 %) et Finlande (+ 6,8 %). Les pays connaissant à nouveau une hausse plus importante seront encore cette année la Russie (+11 %) et l’Ukraine (+18 3 %) rejoints par l’Afrique du Sud (+12 4 %)(+11 %) et l’Ukraine (+18,3 %) rejoints par l’Afrique du Sud (+12,4 %).

• Ces prévisions plutôt positives sont, toutefois, à pondérer de l’inflation qui a progressé dans certains pays.

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Editorial

3. Des choix de cadeaux guidés par les critères d’utilité et de recherche du bien-être personnelp

• Les Français convergent, avec les Européens, dans leurs choix de cadeaux tant souhaités qu’offerts :- l’argent et les livres sont les cadeaux les plus souhaités, et ce palmarès est constaté dans tous les

pays étudiés, quel que soit l’âge ;- de même, les cadeaux les plus offerts seront les chocolats suivis par les parfums et cosmétiques,

comme l’an dernier. Régulièrement positionnés au sein du top 10 des cadeaux les plus offerts et souvent considérés comme un cadeau complémentaire, les chocolats prennent cette année la 1ère

place en France et la 2ème place du classement européen.p p p

• Un engouement certain se développe en France et partout en Europe en faveur des produits de beauté et de bien-être. Car, outre le plébiscite des parfums et cosmétiques, les produits de beauté, massages et spas arrivent en 3ème position des cadeaux les plus offerts. Qui plus est, ils sont attendus par les Français car cités respectivement aux 4ème et 8ème places des cadeaux les plus souhaités.

• Cette tendance au bien-être traduit aussi le souhait des consommateurs à un plaisir un peu plus personnel. Et elle restera associée au critère d’utilité qui reste prédominant dans les choix de cadeaux des Français.

• Confirmant cette recherche de cadeaux utiles, 64% des consommateurs français privilégieront le critère éducatif des jouets offerts : jeux de société, puzzle, jeux créatifs et de construction pour les jeunes enfants. Favoriser leurs apprentissages est considéré par bon nombre de parents comme un moyen de les protéger des incertitudes de l’existence.

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incertitudes de l existence.

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Editorial

• Pour les adolescents, les cadeaux les plus offerts seront les jeux vidéo puis l’argent.

• Les chèques cadeaux rencontrent toujours un grand succès pour les cadeaux offerts après plusieurs années deLes chèques cadeaux rencontrent toujours un grand succès pour les cadeaux offerts après plusieurs années de croissance régulière. Cités à la 6ème place des cadeaux les plus offerts, ils sont confrontés au développement des coffrets et cartes cadeaux, mais aussi aux contraintes rencontrées par les consommateurs dans leur utilisation. En particulier, ceux-ci mentionnent une durée de validité courte ou bien un choix de magasins et d’offres ne répondant pas à leurs souhaits. En d’autres termes, le chèque cadeau ne leur semble pas offrird offres ne répondant pas à leurs souhaits. En d autres termes, le chèque cadeau ne leur semble pas offrir autant de liberté que l’argent.

• Les produits innovants comme les tablettes, la TV 3D et les smartphones n’apparaissent toujours pas dans le top 10 des cadeaux souhaités ou offerts, car leurs prix restent élevés bien qu’en baisse. Mais l’intention d’offrir ces produits augmente sensiblement en 2011, principalement chez les jeunes.

4. Comportements d’achats : un rééquilibrage vers la tradition

• Le contexte économique difficile de ces trois dernières années a conduit les consommateurs européens à transformer leurs comportements d’achats et à procéder à des arbitrages dans leur budget de dépenses. Si ces comportements et ces arbitrages seront maintenus dans l’ensemble, ils seront influencés cette année par un retour aux traditionsretour aux traditions.

• Les critères d’achats prioritaires pour Noël 2011 se fondent, comme l’an passé, sur la recherche de produits utiles et au meilleur prix.

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Editorial

• Le critère d’utilité reste plébiscité par 80 % des consommateurs français, au même niveau que l’an dernier.

• L’attention portée au prix reste une priorité pour 65 % des Français et ne se dément pas :L attention portée au prix reste une priorité pour 65 % des Français et ne se dément pas :- la recherche de cadeaux en promotion est toujours active pour 72% des consommateurs, de même

que le choix de produits moins chers pour 59% d’entre eux ;- et ils seront encore nombreux à rechercher des cadeaux moins chers (59%).

• Cette tendance sera atténuée cette année par la volonté de faire plaisir autour de soi et par des cadeaux plus qualitatifs.

• Ainsi, la tradition du cadeau de Noël reste forte, 60% des Français privilégiant les dépenses de cadeaux au sein d l b d t tt é Et l l té d’ ff i d d à i d éd it lde leur budget cette année. Et la volonté d’offrir des cadeaux à moins de personnes se réduit quelque peu, passant de 51% l’an dernier à 47%.

• De même, par souci de dépenser moins et mieux, certains consommateurs se regrouperont pour acheter ensemble mais cette tendance s’atténue cette année citée par 42% des interrogés contre 47% l’an dernierensemble mais cette tendance s atténue cette année, citée par 42% des interrogés contre 47% l an dernier.

• Enfin, ces dernières années avaient vu les marques nationales perdre du terrain par rapport aux marques distributeurs (MDD) et aux premiers prix auprès de consommateurs qui souhaitaient faire des économies et qui étaient moins sensibles aux avantages fonctionnels des produits de marques. Un rééquilibrage se dessine cette g p q q gannée au profit des marques nationales. C’est ainsi que 46% des consommateurs français prévoient d’acheter en priorité des produits de marques nationales contre 40% l’an dernier. Et cette tendance est plus marquée chez les jeunes (50% contre 33% en 2010) et les populations les moins aisées (43% contre 33% l’an dernier). A noter que ce rééquilibrage est également constaté dans les pays d’Europe de l’Ouest.

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q q g g p y p

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Editorial

• Afin de préserver Noël, les consommateurs français procèderont comme l’an dernier à des arbitrages au détriment des loisirs et les sorties (pour 43%), des vacances (pour 35%) et des vêtements (pour 36%). Et ces mesures d’arbitrage devraient s’amplifier dès cette année et l’an prochain en concernant de nouveaux postesmesures d arbitrage devraient s amplifier dès cette année et l an prochain en concernant de nouveaux postes de dépenses :

- les Français considèrent aujourd’hui la possibilité d’arbitrer leurs dépenses en matière d’éducation (soutien scolaire, éducation privée…), 26% prévoyant de les réduire cette année. Cette tendance nouvelle devrait se poursuivre l’an prochain, 33% annonçant être prêts à réduire ces dépenses, même si 22% sont encore indécis ;

- 55% sont également prêts à réduire l’an prochain leurs dépenses en matière d’équipement de leur foyer (mobilier et communication).

• Enfin, les Français expriment toujours une sensibilité éco-citoyenne, sans être toutefois disposés à payer les produits plus chers. A noter que l’importance de qualité de l’information figurant sur l’étiquetage des produits prend encore de l’ampleur, 78% des consommateurs y étant sensibles contre 73% l’an dernier.

5. Le consommateur français a déjà adopté le cross-channel

• Nos études passées avaient souligné l’émergence d’Internet comme un canal de distribution de plein droit à l’occasion des achats de Noëll’occasion des achats de Noël.

• Dépassant une quelconque opposition entre les deux canaux de vente que sont les magasins et Internet, les Français ont choisi de combiner leur utilisation à chacune des étapes de leur processus d’achat : recherche, comparaison achat

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comparaison, achat.

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Editorial

• Ainsi, près du tiers des consommateurs français utilisent déjà conjointement les magasins et Internet pour rechercher, comparer et acheter les produits.

• Afin de rechercher et comparer les produits sur Internet, les consommateurs utiliseront principalement les sites des distributeurs, puis les moteurs de recherche et enfin les sites proposant des offres promotionnelles. A noter également une utilisation grandissante des sites des fabricants dont la progression est importante au détriment des sites de comparaison. L’utilisation croissante des sites des distributeurs et des fabricants traduit unedes sites de comparaison. L utilisation croissante des sites des distributeurs et des fabricants traduit une véritable reconnaissance par les consommateurs des efforts et des investissements qu’ils ont réalisés. Les réseaux sociaux et les blogs sont stables, mais restent les moins utilisés.

• Dans leur grande majorité, les Français réaliseront leurs achats de cadeaux dans les magasins (52%) et principalement dans les hypermarchés et les chaînes spécialisées. Les grands magasins traditionnels restent prisés par les consommateurs, notamment par les jeunes, qui apprécient leur localisation en centre ville, et ceux disposant de hauts revenus.

L’ dhé i d t h l t d’ t t l f d ’il l ff l ibilité d• L’adhésion des consommateurs au cross-channel est d’autant plus profonde qu’il leur offre la possibilité de mieux satisfaire leurs attentes en tirant parti des avantages respectifs des magasins et d’Internet :

- ils trouvent sur Internet des informations auxquelles ils n’ont pas accès en magasin comme l’avis des consommateurs, la possibilité de consommer à n’importe quelle heure et la comparaison des produits et des prix ;

- inversement, ils recherchent les magasins pour la facilité de retour et d’échange des produits, le service après-vente, la sécurité des paiements et le plaisir d’y faire des achats. C’est ainsi que les consommateurs apprécient par exemple de pouvoir rapporter en magasin des produits qu’ils ont

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achetés sur le site internet du distributeur ou bien de payer en magasin une commande passée sur son site de e-commerce.

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Editorial

• La confiance dans la sécurité des paiements sur Internet, après plusieurs années de progression constante, n’est toujours pas un atout reconnu par les clients lorsqu’ils comparent ce canal aux magasins physiques.

• Concernant les dépenses alimentaires, les hypermarchés restent préférés par 86% des Français, suivis des supermarchés pour 26%.

• Les consommateurs français recourent encore peu au m-commerce (mobile commerce), c'est-à-dire la possibilité d’effectuer des achats depuis leur smartphone. Moins d’1 consommateur sur 5 déclare en effet l’avoir déjà utilisé. Toutefois, ce chiffre pourrait presque doubler à l’avenir, notamment chez les jeunes.

• Pour les distributeurs, la mise en œuvre d’une véritable stratégie cross-channel autour d’une relation clients i té é tit d t étitif dé i ifintégrée constituera donc un avantage compétitif décisif.

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Ce que lesqconsommateursont en têteont en tête

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Que pensez-vous de l’état actuel de l’économie?

4%8%France Europe

2008 2009 2010 2011

Index basé sur la somme des réponses positives et négatives

14%

-26%

17%

-10%-6%

-19%-27%

-3%

-19%

-1%

-25%29% -28% -24%

-30%-22%

40% 33% 41%

75%

L'économie est en croissance

-66%

-92%-85%

-70%

-47%

-66%

-88% -88% -91%-86%

-58%-63%

-53%

-82%

-50%-55% -47%

-43% -42%

-59%-66%

-45% -45%-36%

-51%-61%

-79%

-43%

-58%

-38%

-75%

-59%

-46%

-70%

-46%

-86%

-29%-42%

30%

-56%

-44%

-72%

-51%-65%

-53%

-40%

-71%-67%

-84%-82%

-90%

-33%-38%

-61%

-41% -35% -38%

L économie est en croissanceL'économie est stableL'économie est en récessionJe ne sais pas

• Les Français n’ont pas le moral, 3 Français sur 4 pensent que l’économie est en récession‒ Ce sentiment de récession progresse fortement par rapport à 2010 (62%) mais reste en deçà du point bas atteint en 2008 (89%).

‒ Les pays de l’Europe les plus touchés par la crise sont ceux qui ont la perception de récession la plus forte : la Grèce (index net de -90%), le Portugal (-84%), l’Italie (-82%), l’Irlande (-72%), la France (-71%), et l’Espagne (-67%). A noter un sentiment de récession qui a plus que doublé par rapport à 2010 en Espagne et en Italie.

‒ Un second groupe de pays se situe dans la moyenne européenne avec la Belgique (-51%), la Slovaquie (-61%), les Pays-Bas (-65%) et le Luxembourg (-53%). Le sentiment de récession progresse fortement dans ces deux derniers pays.

‒ Un dernier groupe est en deçà de la moyenne européenne : Finlande (-44%), Ukraine (-41%), Suisse (-40%), République tchèque ( 38%) Af i d S d ( 38%) R i ( 35%) P l ( 33%) L All d dé t d t d l’E 53% t

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(-38%), Afrique du Sud (-38%), Russie (-35%), Pologne (-33%). Les Allemands se démarquent du reste de l’Europe : 53% pensent quel’économie est stable ou en croissance contre 27% en moyenne en Europe.

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Que pensez-vous de l’état actuel de l’économie?

75%78% 79%

87%Age75% 73% 76%

Genre

61%67%

73%

4% 7% 5% 2% 4% 1%

14%17%

22%

11% 12%7%8%

14%7% 8% 5% 5%

Moyenne 18-24 25-34 35-44 45-54 55-64

4% 4% 3%

14% 17%11%8% 5%

10%

Moyenne Hommes FemmesMoyenne 18 24 25 34 35 44 45 54 55 64

L'économie est en croissance L'économie est stable

L'économie est en récession Je ne sais pas

Moyenne Hommes Femmes

L'économie est en croissance L'économie est stable

L'économie est en récession Je ne sais pas

• Les séniors et les femmes sont toujours plus nombreux à penser que l’économie est en récession‒ Les personnes les plus âgées sont davantage pessimistes sur l’état de l’économie (87%) que les plus jeunes dont la

perception de la récession est plus atténuée. Mais au sein de toutes les strates d’âge, les consommateurs sont plus nombreux, par rapport à 2010, à indiquer que l’économie est en récession.

‒ En 2011, les femmes sont également plus pessimistes : seules 14% pensent que l’économie est stable ou en croissance contre 21% des hommes.

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Comment pensez-vous que l’économie évoluera dans le futur?

48%

Europe 2008 2009 2010 2011

Index basé sur la somme des réponses positives et négatives

4%16%

France

-11%

7% 3%0% 0% 5%

-7%-1%

21%

21% -16%

25%16%

1%

-11%

16%9%

48%

-11%

25%

-1%-7%

16%8% 17%

-11% -12%20%

10%

-11% -6%

27%

-14%

14%16%

-46%-57% -59%

-52%-57%

-61%

-76%

-63% -55%

-32% -30%-22%-11% -21% 16%

-22%-28%-35%

-23%

-48%

-64%

-20%

-45%-33%

-48%-40%

-61%

-37%-42% -37%

-62%

-41%

-67% -64%

-77%

-22%-33%

-49%

-22% -24%

66%

L'économie sera en croissanceL'économie sera stableL'économie sera en récessionJe ne sais pas

• Les Français expriment une forte inquiétude sur l’avenir de l’économie en 2012, en nette hausse par rapport à 2010‒ Ils sont 3 fois moins nombreux à indiquer que l’économie sera en croissance (4% contre 11% en 2010), et 2 fois moins

nombreux à estimer qu’elle sera stable (14% contre 27% en 2010).

‒ Les Français sont, avec les Grecs, les Italiens et les Portugais, les plus nombreux à craindre une récession en 2012.

‒ Mais, cette inquiétude a aussi gagné tous les pays étudiés et notamment les pays où les consommateurs étaient, l’an dernier, les plus confiants sur la reprise économique comme en Slovaquie, Finlande, Suisse, Pays-Bas, Allemagne et Luxembourg.

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Comment pensez-vous que l’économie évoluera dans le futur?

71%76%

Age Revenu

66%

58% 59%

67%71%

66%63%

70% 68%63%

4% 6% 6%3% 3% 2%

14%18%

22%

11% 11%8%

16%19%

12%19%

15% 14%

Moyenne 18-24 25-34 35-44 45-54 55-64

4% 5% 3% 3% 6%14% 14% 11% 13%

20%16%

19% 16% 15%11%

Moyenne Modestes Classe moyenne Individus aisés Hauts revenusMoyenne 18 24 25 34 35 44 45 54 55 64

L'économie sera en croissance L'économie sera stable

L'économie sera en récession Je ne sais pas

Moyenne Modestes Classe moyenne Individus aisés Hauts revenus

L'économie sera en croissance L'économie sera stable

L'économie sera en récession Je ne sais pas

• L’espoir d’une embellie ou d’une stabilité de l’économie pour 2012 décroît avec l’âge et augmente avec le niveau de revenu‒ 58% des 18-24 ans pensent que l’économie sera en récession en 2012 contre 76% des 55-64 ans. Par ailleurs, les plus

jeunes sont 24% à penser que l’économie sera stable ou en croissance en 2012 contre 10% chez les plus âgés.

‒ De la même manière, 26% des hauts revenus pensent que l’économie sera stable ou en croissance en 2012 contre 19% chez les moins aisés.

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Comment qualifiez-vous votre pouvoir d’achat actuel en comparaison avec l’an passé?l an passé?

18%

France Europe2008 2009 2010 2011

Index basé sur la somme des réponses positives et négatives

18%

37%

-5% 9%9%

2% 3%

-5% 8% 7% 6%

9%

58%

1%

45%-42%

-55%-66%

-47%-57%

-39%-41% -46%

-72%

-57%

-26%

-5%-14% -9%

-59%

-33%

-66%

-32%-28% -28%

-12%-24%

-35%-36%

-36% -37%-25%

-33%-29%

-45%

-25%-34%

-25%-16%

-58%

-27%-24%

-21% -10%-13%

-29%-35% -31%

-41%

-68%

-9%

-27%-17% -21%-18%

-5%

-42%

-17%-25%

-8% -13%-7% -19%

-25%

-52% -50%

-77%

-6%-18%

-11%

Vous avez plus à dépenserVous avez le même montant à dépenserVous avez moins à dépenser

• Les Français sont plus nombreux que l’an dernier à considérer que leur pouvoir d’achat actuel a augmenté‒ Sur les 4 dernières années, la perception moyenne des Français sur l’évolution de leur pouvoir d’achat, comme celle des

Européens, n’a cessé de s’améliorer, 2008 restant l’année la plus difficile. Cette tendance persiste malgré un moral en baisse. Ils sont ainsi 63% à penser que leur pouvoir d’achat s’est maintenu ou a progressé contre 56% en 2010.

‒ En Europe, on note de fortes disparités entre les pays :‒ Les Grecs sont les plus touchés, 81% pensent que leur pouvoir d’achat a baissé en 2011. Les Italiens, les Irlandais et les Portugais

sont également plus de la moitié dans ce cas.

‒ La Russie, l’Ukraine et l’Afrique du Sud se démarquent très nettement avec près de 2 consommateurs sur 3 qui pensent avoir autant

© 2011 Deloitte20 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

q q p q pou plus à dépenser.

Page 21: Deloitte Etude De NoëL 2011

Comment qualifiez-vous votre pouvoir d’achat actuel en comparaison avec l’an passé?l an passé?

49% 48%

Age47%

52%

Revenu

31%

21%

45% 43%46%

49%45%

42%37%

25%

33%

37%42%

48%

20% 22%

45%

39%

45%47%

37%41% 39% 38%

25%

18%14% 13%

10%

Moyenne 18-24 25-34 35-44 45-54 55-64

18%20%

16% 15%

Moyenne Modestes Classe moyenne Individus aisés Hauts revenusoye e 8 5 3 35 5 5 55 6

Vous avez plus à dépenserVous avez le même montant à dépenserVous avez moins à dépenser

Moyenne Modestes Classe moyenne Individus aisés Hauts revenus

Vous avez plus à dépenserVous avez le même montant à dépenserVous avez moins à dépenser

• La perception d’un pouvoir d’achat stable ou en croissance décroît avec l’âge et croît avec le niveau de revenu‒ Le sentiment de baisse du pouvoir d’achat est plus accentué chez les personnes les plus âgées (48% des 55-64 ans contre 25% des 18-24

ans), tandis que les plus jeunes sont plus nombreux à considérer que leur pouvoir d’achat a augmenté (31% des 18-24 ans contre 10% des 55 64 ans) On constate en comparant avec 2010 un retournement de perception concernant les jeunes : en 2010 ils étaient plus nombreux55-64 ans). On constate, en comparant avec 2010, un retournement de perception concernant les jeunes : en 2010, ils étaient plus nombreux à percevoir une baisse de leur pouvoir d’achat (34% contre 20%) ; en 2011, ils sont plus nombreux à percevoir une hausse (31% contre 25%).

‒ Les hauts revenus sont 74% à indiquer un pouvoir d’achat stable ou en croissance contre 59% pour les plus modestes. Cependant, une comparaison avec 2010 permet de noter que les classes modestes et moyennes sont plus nombreuses à considérer leur pouvoir d’achat stable ou en croissance (respectivement 59% contre 49% en 2010 et 61% contre 56% en 2010) alors que les individus aisés et les hauts

t i b à i di i d’ h t t bl i ( ti t 62% t 69% 2010 t 74% t

© 2011 Deloitte21 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

revenus sont moins nombreux à indiquer un pouvoir d’achat stable ou en croissance (respectivement 62% contre 69% en 2010 et 74% contre 79% en 2010).

Page 22: Deloitte Etude De NoëL 2011

Comment percevez-vous l’évolution de votre pouvoir d’achat en 2012?

11%11%

France36%

Europe2008 2009 2010 2011

Index basé sur la somme des réponses positives et négatives

34%

5%

-3%

14%

26%

1%

12% -8% -10% -3% -3%

2% 2% 2%

15%

2%7%

-4%

16% 15%

34%36%

-7%

6%

-7%0% -1%

8%

12% 13% -9% -7%7%

-1%

20%27%

35%

10%

-7% -4%

1%

23%21% 33%

45% -23%

-28%-39%

-23%-28%

-23%

-49%-30%

-33%-25%

-9%-12% 10% -3%

-22%-16%

-24%

-12% -13% 9%

-48%

-7%-14% -18%

-23%-36%

-9% -19%

-33%-42% -42%

-57%

-6% -9%

Votre pouvoir d'achat augmenteraVotre pouvoir d'achat restera le mêmeVotre pouvoir d'achat se détérioreraJe ne sais pas

• Les Français sont nettement plus inquiets pour le futur‒ 45% des Français pensent que leur pouvoir d’achat va se dégrader en 2012 contre 36% l’an dernier.

‒ Alors que ces 3 dernières années, les Français étaient plus optimistes pour le futur, ce sentiment d’amélioration est totalement absent cette année. On note une plus forte proportion de Français qui s’attendent à une détérioration en 2012 (45%) qu’en 2011 (37%).

‒ Il en est de même en Europe, dans la majorité des pays où le niveau d’optimisme pour le futur, traditionnellement observé, est en recul. Alors qu’en 2010, 2 Européens sur 3 pensaient que leur pouvoir d’achat allait s’améliorer l’année suivante, ils ne sont plus que 1 sur 2 en 2011.

‒ 2 pays durement touchés par la crise restent cependant optimistes pour le futur : l’Espagne et l’Irlande où 1 consommateur sur 5 est l ti i t t à l’é l ti d i d’ h t 2012 ’ 2011

© 2011 Deloitte22 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

plus optimiste quant à l’évolution de son pouvoir d’achat en 2012 qu’en 2011.

‒ L’Afrique du Sud, l’Ukraine, la Russie, la Finlande et la Slovaquie anticipent également une hausse de leur pouvoir d’achat en 2012.

Page 23: Deloitte Etude De NoëL 2011

Comment percevez-vous l’évolution de votre pouvoir d’achat en 2012?

49%

64%Age47% 47%

Revenu

19%

34%36% 38% 36%

30%27%

45%

30%

39%42%

49%

34%

27%

35% 34%

41%45% 43%

47% 47%

38%

11%

19%16%

9% 9%

3%

11%15%

7%12% 12%

7%

Moyenne 18-24 25-34 35-44 45-54 55-64

11%14%

7% 10%

16%11%

16%11%

9%5%

Moyenne Modestes Classe moyenne Individus aisés Hauts revenus

Votre pouvoir d'achat augmentera Votre pouvoir d'achat restera le même

Votre pouvoir d'achat se détériorera Je ne sais pas

Votre pouvoir d'achat augmentera Votre pouvoir d'achat restera le même

Votre pouvoir d'achat se détériorera Je ne sais pas

• Le pessimisme croît avec l’âge et décroît avec le niveau de revenu‒ La moyenne cache une forte disparité entre les plus jeunes et les plus âgés. Les plus jeunes sont toujours plus optimistes

pour l’année suivante avec 55% des 18-24 ans qui pensent que leur pouvoir d’achat va rester stable ou croître contre seulement 30% des 55-64 ans.

‒ Seuls les hauts revenus sont plus nombreux à penser que leur pouvoir d’achat va rester stable (41%) alors qu’ils sont 38% à penser qu’il diminuera. Les autres catégories de revenus pensent prioritairement que leur pouvoir d’achat diminuera en 2012.

© 2011 Deloitte23 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 24: Deloitte Etude De NoëL 2011

Les stratégies d’achatg

© 2011 Deloitte SA© 2011 Deloitte SA

Page 25: Deloitte Etude De NoëL 2011

Avez-vous changé vos comportements d’achats liés au prix?

France

35%

33%J'offrirai des cadeaux sans me préoccuper du prix

72%

59%

71%

63%

J'achèterai des produits et des cadeaux en promotion

J'offrirai des cadeaux moins chers

72%

2010 2011

• Une majorité de Français toujours à l’écoute du prix‒ Comme en 2010, 72% de consommateurs français privilégient l’achat des cadeaux en promotion. Même les hauts revenus sont plus

sensibles qu’en 2010 à ce critère d’achat (68% en 2011 contre 59% en 2010). Les 18-24 ans et les 35-44 ans sont les tranches d’âge dont la sensibilité à ce critère a le plus augmenté en 2011 (respectivement 68% contre 63% en 2010 et 77% contre 72% en 2010).

‒ Offrir des cadeaux moins chers restera également prisé pour 59% des consommateurs français, toutefois en légère baisse par rapport à 2010 (63%). Cette tendance à la baisse se retrouve autant chez les hommes que chez les femmes, et est plus marquée chez les hauts revenus.

‒ Offrir des cadeaux sans se préoccuper du prix ne sera réalisé que par 35% des Français, en légère hausse par rapport à 2010. Etonnamment, cette hausse se retrouvera chez les revenus les moins aisés (36% en 2011 contre 29% en 2010) à la différence des

© 2011 Deloitte25 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Etonnamment, cette hausse se retrouvera chez les revenus les moins aisés (36% en 2011 contre 29% en 2010) à la différence deshauts revenus et aisés qui enregistreront une baisse (respectivement 43% et 32% contre 54% et 39% en 2010).

Page 26: Deloitte Etude De NoëL 2011

Avez-vous changé vos comportements d’achats liés au produit?

France

46%

56%

40%

J' hèt i t t d d it i i d di t ib t t d

J'achèterai surtout des grandes marques et peu de produits premier prix ou de marques distributeurs

80%

52%

80%

56%

Je vais privilégier les cadeaux utiles

J'achèterai surtout des produits premier prix ou de marques distributeurs et peu de produits de grandes marques

80%

2010 2011

• Les Français toujours à la recherche du produit utile et évoluant vers une sélection des marques plus équilibrée‒ Ils sont toujours aussi nombreux (80%) à vouloir acheter des produits utiles, quels que soient les consommateurs.

‒ Les Français continueront de privilégier les marques de distributeurs et premiers prix aux grandes marques mais cet écartLes Français continueront de privilégier les marques de distributeurs et premiers prix aux grandes marques, mais cet écart se réduit par rapport à 2010. Alors que l’an passé, 56% des consommateurs déclaraient privilégier les produits premier prix, ils ne seront que 52% en 2011, tandis que les marques nationales seront choisies par 46% des Français contre 40% en 2010. Ces dernières semblent, finalement, avoir trouvé les réponses aux attentes des consommateurs qui les avaient quelque peu délaissées.

© 2011 Deloitte26 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 27: Deloitte Etude De NoëL 2011

Avez-vous changé vos comportements d’achats liés au produit?

Age57%

RevenuJ'achèterai surtout des grandes marques et peu de produits premier prix ou de marques distributeurs

40%37% 39%

48%

39%36%

46%

53%49% 47%

44%

37%40%

33%

41%47%

54%

46%43% 42%

46%

57%

Moyenne 18-24 25-34 35-44 45-54 55-64

2010 2011

Moyenne Modestes Classe moyenne Individus aisés Hauts revenus

2010 2011

• Ce rééquilibrage au profit des marques est plus sensible chez les jeunes et les personnes aux revenus modestes‒ Les marques retrouvent des couleurs auprès des jeunes (18-34 ans), chez lesquels 1 consommateur sur 2 privilégie les

achats de marques nationales, en nette hausse par rapport à 2010 (1 sur 3).

‒ Les personnes aux revenus modestes étaient 66% en 2010 à acheter principalement des marques de distributeurs et premier prix, ils ne sont plus que 57% en 2011, tandis que 43% privilégieront l’achat de marques nationales en 2011 contre 33% en 2010. Les classes moyennes ont, par contre, une tendance inverse puisqu’ils sont 61% à privilégier les marques de distributeurs contre 53% en 2010.

© 2011 Deloitte27 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 28: Deloitte Etude De NoëL 2011

Avez-vous changé vos stratégies d’achat?

47%51%

J'offrirai des cadeaux à moins de personnes

61%

47%

65%J'achèterai des cadeaux en fonction de mes coups de coeur

42%

24%

47%

J'achèterai des produits d'occasion

Je compte réaliser des achats groupés

25%J p

2010 2011

• Des stratégies d’achat maintenues pour réaliser des économies‒ Acheter des cadeaux à moins de personnes est moins cité (47% contre 51% en 2010), particulièrement chez les hommes

(45% contre 54% en 2010) et les séniors (45% contre 57% en 2010).

‒ Les Français sont toujours nombreux à céder à leurs coups de cœur (61% contre 64% en 2010), bien plus que leurs voisins ç j p ( ), p qeuropéens (30%).

‒ Les achats groupés connaissent une légère baisse cette année (42% contre 47% en 2010), tendance marquée chez les hauts revenus (41% contre 58% en 2010).

‒ Les Français restent toujours plus intéressés que les Européens par les produits d’occasion 1 Français sur 4 indique acheter

© 2011 Deloitte28 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Les Français restent toujours plus intéressés que les Européens par les produits d occasion, 1 Français sur 4 indique acheterdes produits d’occasion, comme en 2010. Les 18-34 ans sont ceux qui adopteront le plus volontiers cette stratégie d’achat (près de 1 consommateur sur 3 et en hausse chez les 18-24 ans à 29% contre 23% en 2010).

Page 29: Deloitte Etude De NoëL 2011

Pensez-vous avoir plus, autant ou moins recours au mode de financement suivants?suivants?

21% 57% 9% 13%J'utiliserai mes points de fidélité

France21%

17%

14%

12%

57%

51%

52%

77%

9%

14%

18%

5%

13%

17%

17%

6%

J utiliserai mes points de fidélité

J'utiliserai mes cartes cadeaux

J'utiliserai l'argent que j'ai mis de côté

Je paierai avec ma carte bancaire ou cash 12%

5%

3%

3%

77%

24%

18%

21%

5%

44%

48%

48%

6%

27%

31%

29%

Je paierai avec ma carte bancaire ou cash

J'utiliserai le crédit offert par les distributeurs

J'emprunterai auprès de ma famille

J'utiliserai le crédit à la consommation

Plus Autant Moins Je ne sais pas

• Les Français restent méfiants vis-à-vis du crédit, privilégiant d’utiliser leur épargne et leurs points fidélité‒ Les consommateurs privilégient l’argent dont ils disposent : paiement comptant, points fidélité, cartes cadeaux, épargne.

‒ 1 Français sur 2 aura moins recours au crédit pour financer ses achats de Noël.

Mais encore nombreux sont les indécis‒ Mais, encore nombreux sont les indécis…

© 2011 Deloitte29 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 30: Deloitte Etude De NoëL 2011

Pensez-vous avoir plus, autant ou moins recours aux modes de financement suivants?

78% 84% 80% 77% 77%

Utilisation des points de fidélité et des cartes cadeaux

Utilisation des crédits

financement suivants?

Utilisation des crédits : focus sur « je ne sais pas »

78%73%

77% 77%69%

65%

73% 72% 68%65%

29%

37% 39%27%

23%19%

23%

32% 31%

21% 20%22%

31% 32%31%

23% 25%30%

34%41%

28% 29% 31%34%

Moyenne 18-24 ans25-34 ans35-44 ans45-54 ans55-64 ans

19%20%12%22% 20% 16%

10%

Moyenne 18-24 ans25-34 ans35-44 ans45-54 ans55-64 ans

23% 25%28%23% 25%

29%

Moyenne 18 24 25 34 35 44 45 54 55 64Moyenne 18 24 ans25 34 ans35 44 ans45 54 ans55 64 ans

J'utiliserai mes points de fidélité

J'utiliserai mes cartes cadeaux

J'utiliserai le crédit offert par les distributeursJ'utiliserai le crédit à la consommationJ'emprunterai auprès de ma famille

Moyenne 18-24 ans

25-34 ans

35-44 ans

45-54 ans

55-64 ans

Emprunt familialCrédit

• Un niveau d’indécision élevé concernant le recours au crédit‒ Les jeunes de 18-24 ans et les 25-34 ans seront les plus nombreux à utiliser le crédit (distributeur, consommation, famille).

‒ Tandis que les séniors, grands utilisateurs des points de fidélité, seront moins nombreux à utiliser le crédit sous toutes ses formes. Cependant, il est important de noter qu’ils sont nombreux à être indécis quant au recours au crédit. Cette indécisionp , p q qpourrait constituer un surplus de consommation au cas où la conjoncture économique s’améliorerait.

© 2011 Deloitte30 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 31: Deloitte Etude De NoëL 2011

Par rapport à l'année dernière, comment vos dépenses ont-elles évolué au sein de vos principaux postes budgétaires?sein de vos principaux postes budgétaires?

17% 37% 39% 7%Les loisirs et divertissements

Europe11% 38% 43% 7%Les loisirs et divertissements

France

26%

18%

20%

19%

16%

44%

45%

43%

38%

40%

24%

32%

28%

36%

25%

5%

5%

9%

7%

19%

Les dépenses quotidiennesLes vêtements et chaussures

Les dépenses ponctuellesLes vacances

L'éducation

16%

11%

9%

13%

9%

51%

49%

48%

44%

45%

25%

29%

36%

35%

26%

7%

10%

7%

8%

20%

Les dépenses quotidiennesLes services financiers

Les vêtements et chaussuresLes vacances

L'éducation

33%

29%

22%

24%

18%

51%

53%

55%

52%

52%

11%

10%

18%

15%

20%

5%

9%

5%

9%

10%

Les produits de première nécessitéLes dépenses de logement

Les produits d’équipement du foyerLa santé

Les services financiersp q

15%

21%

17%

14%

14%

67%

55%

58%

56%

54%

12%

16%

14%

24%

24%

6%

8%

11%

7%

8%

Les produits de première nécessitéLes dépenses de logement

La santéLes produits d’équipement du foyer

Les dépenses ponctuellesp q

p p

Plus Autant Moins Je ne sais pas

p p

Plus Autant Moins Je ne sais pas

• Les arbitrages de dépenses se sont installés et se développent sur de nouveaux postes de dépenses‒ Comme en 2010, les Français vont prioritairement réduire leurs dépenses en matière de loisirs (43%), d’habillement (36%) et de

vacances (35%).

‒ Les femmes seront les plus attentives à leur budget, en étant plus nombreuses à réduire leurs dépenses dans ces 3 postes (de 39 à 48% contre 31 à 38% pour les hommes), ainsi que les séniors.

‒ L’éducation est annoncée cette année comme un poste qui est réduit par 26% des Français, mais 20% d’autres consommateurs se disent encore indécis à faire des économies sur ce poste. Les arbitrages concerneront plus particulièrement les personnes modestes (32%) et les classes moyennes (30%). De même, des arbitrages sont perceptibles chez les personnes modestes en matière de dépenses de santé (21%) et le sont moins pour les autres catégories de revenu.

© 2011 Deloitte31 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

dépenses de santé (21%) et le sont moins pour les autres catégories de revenu.

‒ Les dépenses d’équipement du foyer (TV, Internet, téléphonie, mobilier…) seront réduites par 24% des Français, sans doute pour atténuer la hausse des dépenses en matière de logement qui ont progressé pour 21% d’entre eux.

Page 32: Deloitte Etude De NoëL 2011

Dans l'hypothèse où votre revenu baisserait, quels seraient les postes de dépenses que vous seriez prêt à réduire ?dépenses que vous seriez prêt à réduire ?

74%

78%

81%Restaurants

62%

68%

70%

71%

74%

78%

Vacances

Habillement

Loisirs

26%

33%

55%

32%

29%

61%

Alimentation

Education

Les dépenses en matière d'équipement du foyer

19%19%Santé

2010 2011

• La hiérarchie des arbitrages resterait identique en cas de baisse du pouvoir d’achat‒ Maintien des 4 postes d’arbitrage habituels : restaurants, loisirs, vêtements et vacances. Les femmes seront toujours plus

nombreuses que les hommes à réduire ces dépenses considérées comme facultatives (80% d’entre elles réduiront les dépenses de restaurants contre 68% des hommes, 74% d’entres elles réduiront les dépenses de vêtements contre 61% des h )hommes).

‒ En règle générale, les réductions budgétaires augmentent avec l’âge, avec des écarts particulièrement importants en ce qui concerne l’habillement (76% pour les séniors contre 59% pour les 18-24 ans), l’équipement du foyer (63% contre 44%) et les loisirs (80% contre 57% pour les plus jeunes).

© 2011 Deloitte32 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

‒ Les arbitrages en matière d’éducation se confirment et concernent 33% des Français (contre 29% en 2010), en particulier pour les personnes modestes (41%) et les classes moyennes (38%).

Page 33: Deloitte Etude De NoëL 2011

Dans l'hypothèse où votre revenu baisserait, quels seraient les postes de dépenses que vous seriez prêt àseraient les postes de dépenses que vous seriez prêt à réduire ?

Finlande Equipement du foyerIrlande Equipement du foyer Belgique LoisirsPays‐Bas Equipement du foyerPays Bas Equipement du foyer Allemagne RestaurantsLuxembourg RestaurantsSuisse RestaurantsFrance RestaurantsEspagne Equipement du foyer Portugal Equipement du foyer Italie Equipement du foyer Grèce HabillementPologne Equipement du foyer République tchèque RestaurantsSlovaquie RestaurantsUkraine Equipement du foyer 

© 2011 Deloitte33 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

q p yRussie RestaurantsAfrique du Sud Restaurants

Page 34: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quand comptez-vous réaliser la majorité de vos cadeaux cette année, en comparaison avec l'année dernière?comparaison avec l année dernière?

50%France

50%Europe

25%

30%

35%

40%

45%

25%

30%

35%

40%

45%

0%

5%

10%

15%

20% 2010

2011

5%

10%

15%

20% 2010

2011

0%Avant

novembreAu cours du

mois denovembre

Entre lepremier et

le 15décembre

Entre le 15et le 24

décembre

Entre le 25et le 31

décembre

Durant etaprès lemois dejanvier

0%Avant

novembreAu cours du

mois denovembre

Entre lepremier et

le 15décembre

Entre le 15et le 24

décembre

Entre le 25et le 31

décembre

Durant etaprès lemois dejanvier

• La majorité des Français feront leurs achats de Noël du 1er novembre au 15 décembre‒ 68% des Français effectueront la majorité de leurs achats de cadeaux avant le 15 décembre, de manière égale entre novembre et la

première quinzaine de décembre. Cette tendance est globalement similaire à l’an passé, avec une légère augmentation des achats en novembre au détriment de la semaine avant Noël.

‒ Les hommes seront plus nombreux à effectuer leurs courses de Noël entre le 1er et le 15 décembre (36%), tandis que les femmes préfèreront anticiper en achetant leurs cadeaux durant le mois de novembre (38%).

‒ Les plus jeunes effectueront leurs achats de manière plus tardive que les autres (18% entre le 15 et le 24 décembre contre une moyenne de 14%).

C ti t à l llè é l F i hèt t bi l d d b (34% t 22%)

© 2011 Deloitte34 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

‒ Comparativement à leurs collègues européens, les Français achèteront bien plus de cadeaux en novembre (34% contre 22%).

Page 35: Deloitte Etude De NoëL 2011

Pour les jouets sélectionnés, quel critère privilégierez-vous?

France Europe

6%

12%64%

44%

60%66% 63% 68% 63% 64% 64%

80% 76%

50%

70%75% 74%

62% 58%53%

71%

18%24% 22% 23% 18%

28%21%

64%

18% 16% 18% 22% 23%

10% 12% 14% 18%

5%10% 12% 15% 16% 21%

13% 16%6%

Critère éducatifCritère traditionnelCritère développement durableCritère innovant Critère éducatif Critère traditionnel

• Consensus sur le critère éducatif pour les choix de jouets‒ 64% des Français et des Européens privilégieront les cadeaux éducatifs.

‒ Les hommes privilégieront un peu moins le caractère éducatif du cadeau (61%) que les femmes (66%), mais seront au contraire plus sensibles qu’elles sur le critère traditionnel (22% contre 15%).p q ( )

‒ Les plus jeunes sont légèrement moins sensibles aux caractères éducatif et traditionnel que les autres catégories d’âge, préférant même pour un quart d’entre eux le critère innovant, placé devant le critère traditionnel chez les 18-24 ans.

© 2011 Deloitte35 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 36: Deloitte Etude De NoëL 2011

Etes-vous sensibles aux thématiques éco-citoyennes?

EuropeFrance

73%

77%

70%

82%

76%

70%

J'accorde de l'importance aux informations fournies sur l'emballage

Je n'achète pas de produits impliquant le travail des enfants

J'évite d'acheter des produits ayant un impact carbone polluant la planète

84%

73%

79%

80%

78%

73%

Je n'achète pas de produits impliquant le travail des enfants

J'accorde de l'importance aux informations fournies sur l'emballage

J'achète de préférence des produits fabriqués en France

64%

57%

41%

70%

60%

57%

carbone polluant la planète

J'achète de préférence des produits fabriqués dans mon pays

Le développement durable est un prétexte pour augmenter les prix

Je me préoccupe de payer le moins cher

71%

74%

45%

73%

72%

70%

en France

Le développement durable est un prétexte pour augmenter les prix

J'évite d'acheter des produits ayant un impact carbone polluant la planète

Je me préoccupe de payer le moins cher 41%45%

Je me préoccupe de payer le moins cher possible quelle que soit l'origine du produit

2010 2011

45%43%

Je me préoccupe de payer le moins cher possible quelle que soit l'origine du produit

2010 2011

• Les Français sont toujours sensibles aux enjeux environnementaux face à des offres peu convaincantes‒ Plus de 2 consommateurs sur 3 privilégient les produits qui n’impliquent pas le travail des enfants, ainsi que les produits qui

n’ont pas d’impact carbone sur la planète. Cependant, ils sont presque tout autant à manifester un certain manque de confiance en pensant que le développement durable est une excuse pour augmenter les prix.

‒ L’information sur l’emballage prend de l’ampleur : 78% indiquent y être sensibles contre 73% en 2010. Les distributeurs devront poursuivre leurs efforts d’information sur les produits.

‒ Le prix le plus bas, quelle que soit l’origine du produit, reste cité par 43% des consommateurs français malgré leur préférence affichée aux produits fabriqués en France (73%). Le « made in local » a un potentiel, mais il devra adapter ses

© 2011 Deloitte36 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

prix et le promouvoir sur l’emballage.

Page 37: Deloitte Etude De NoëL 2011

Etes-vous sensibles aux thématiques éco-citoyennes?

78%74% 80%82% 84%77%

83% 86%

72% 73%

43%

78%

64%59%

54%

68%69% 67%52%

73%71%

37%

74%77%

40%37%36%

Le développement durable est un prétexte pour augmenter les prix

J'achète de préférence des produits fabriqués en France

Je me préoccupe de payer le moins cher possible quelle que soit l'origine du produit

J'accorde de l'importance aux informations fournies sur l'emballage

Moyenne 18-24 25-34 35-44 45-54 55-64

• La préoccupation du « made in local » et de l’information croît avec l’âge et le revenu‒ Plus la population vieillit, plus elle est à l’écoute des produits fabriqués en France et des informations fournies sur

l’emballage. Cependant, c’est aussi cette population qui pense le plus, que le développement durable est une excuse pour augmenter les prix. 83% et 86% des séniors achètent des produits fabriqués en France et accordent de l’importance à l’ b ll t 69% t 68% d l j 77% d é i t l dé l t d bl tl’emballage contre 69% et 68% des plus jeunes. 77% des séniors pensent que le développement durable est une excuse pour augmenter les prix contre 64% des plus jeunes.

‒ La préoccupation des prix quelle que soit l’origine du produit concerne majoritairement les jeunes (54% contre 40% des séniors) et les personnes modestes (49% contre 35% des aisés).

© 2011 Deloitte37 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

‒ A noter que ces tendances sont homogènes, quel que soit le niveau de revenu.

Page 38: Deloitte Etude De NoëL 2011

B d tBudgetde Noël 2011de Noël 2011

© 2011 Deloitte SA© 2011 Deloitte SA

Page 39: Deloitte Etude De NoëL 2011

Cette année, qu'allez-vous privilégier lors de vos achats de fin d'année?

60%

70%

30%

40%

50%

Nourriture

Cadeaux

0%

10%

20%Cadeaux

Sorties

Voyages

• Les cadeaux, poste de dépenses privilégié des Français‒ La France fait partie des 6 pays, parmi les 18 étudiés, qui vont privilégier les cadeaux.

‒ Les Français sont 59% à indiquer privilégier les cadeaux ; ils étaient 53% en 2010.

La nourriture est citée par 31% des Français en légère diminution (37% en 2010)‒ La nourriture est citée par 31% des Français, en légère diminution (37% en 2010).

‒ Les sorties et les voyages sont accessoires pour les Français, seuls 4% et 5% d’entre eux indiquent privilégier ce type de dépenses.

© 2011 Deloitte39 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 40: Deloitte Etude De NoëL 2011

Cette année, qu'allez-vous privilégier lors de vos achats de fin d'année ?

59% 57%

67% 68%Age

59% 61% 61% 60%

Revenu

31%28% 26% 27%

35%42%

59% 57%54%

50%

31%35%

31% 30% 29%

59%56%

60%

4%8%

4% 2% 4% 3%5% 7%4% 3%

7% 6%

Moyenne 18-24 25-34 35-44 45-54 55-64

4% 5% 4% 4% 5%5% 5% 5% 5% 6%

Moyenne Modestes Classe moyenne Individus aisés Hauts revenus

Nourriture Cadeaux Sorties Voyages Nourriture Cadeaux Sorties Voyages

• Dans l’ensemble, les Français privilégieront les dépenses en matière de cadeaux (59%)‒ En 2011, les cadeaux seront privilégiés quel que soit l’âge. Les séniors, qui en 2010 privilégiaient la nourriture, donneront

cette année leur priorité aux cadeaux. La nourriture restera toutefois prisée des 55-64 ans et plus en retrait pour les 45-54 ans, 35% indiquant privilégier la nourriture contre 43% en 2010.

‒ En 2011, les cadeaux prennent une place prioritaire plus importante pour les classes moyennes et modestes. 61% de la classe moyenne et 56% des Français modestes déclarent privilégier les cadeaux, un peu plus nombreux qu’en 2010 où ils étaient respectivement 57% et 49%. Les achats alimentaires viennent bien sûr en 2ème position, mais ils ne sont plus que 31% et 35% en 2011, quand ils étaient 36% et 43% en 2010. La nourriture, au contraire, semble être plus privilégiée en 2011 par les hauts revenus tout en restant leur 2ème poste de dépenses pour 29% des consommateurs contre 18% en 2010

© 2011 Deloitte40 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

par les hauts revenus, tout en restant leur 2ème poste de dépenses pour 29% des consommateurs contre 18% en 2010.

Page 41: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quelles seraient vos principales raisons de dépenser moins pour les fêtes de fin d'année?de fin d année?

France Europe

69%

14%

66%

15%

Les conditions économiques continuent de se dégrader

Je préfère économiser de l'argent car j'ai peur de perdre mon emploi

54%

27%

61%

23%

Les conditions économiques continuent de se dégrader

Je suis trop endetté

J éfè é i d l' t22%

17%

8%

14%

14%

Je suis trop endetté

Je dois faire des économies car j'ai perdu mon emploi

A i

16%

16%

18%

20%

16%

Je préfère économiser de l'argent car j'ai peur de perdre mon emploi

Aucune raison

Je dois faire des économies car j'ai 8%13%Aucune raison

2010 2011

18%15%

jperdu mon emploi

2010 2011

• La crainte d’une dégradation de l’économie est le principal frein de consommation‒ 66% des Français indiquent les mauvaises conditions économiques pour dépenser moins (69% en 2010 et 64% en 2009).

‒ Cependant, les Français ne semblent pas encore concrètement concernés par les conséquences de la crise en Europe. La crainte pour son emploi reste forte, pour 15% d’entre eux, tandis que 14% indiquent avoir perdu le leur. Mais ils sont moins p p , p , q q pnombreux qu’en 2010.

‒ Par contre, la crainte d’un endettement trop important se réduit (de 22% en 2010 à 14% cette année). Les Français semblent avoir mis à profit ces dernières années pour se désendetter.

© 2011 Deloitte41 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 42: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quelles seraient vos principales raisons de dépenser moins pour les fêtes de fin d'année?de fin d année?

Premier frein : la crainte que les conditions économiques continuent de se dégrader

69% 67%

50%

67%

77% 78%

66%

40%

59%

73% 74% 76% 69% 71% 69% 70%66%

60%

70%77%

69% 68% 71% 73%

45%

66% 65% 64% 67% 66%

Moyenne 18-24 25-34 35-44 45-54 55-64

2010 2011

Moyenne Bac + 3 et au-delà

Lycée à bac +3 Ecole primaire au collège

2010 2011

Moyenne Modestes Classe moyenne

Individus aisés

Hauts revenus

2010 2011

• 66% des Français dépenseront moins si les conditions économiques continuent de se dégrader (69% en 2010 et 64% en 2009)‒ Les 18-24 ans sont moins sensibles qu’en 2010 à l’évolution de la conjoncture économique (40% contre 67%).‒ Les moins formés y sont plus sensibles (77%) et cette crainte est en hausse par rapport à 2010 où ils étaient 70% à exprimer

tt i i décette raison pour moins dépenser.‒ Quel que soit le niveau de revenu, en 2011, la crise est invoquée de la même façon. Ainsi, les hauts revenus y sont

beaucoup plus sensibles que l’an passé (66% contre 45% en 2010).

© 2011 DeloitteUn Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions42

Page 43: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quelles seraient vos principales raisons de dépenser moins pour les fêtes de fin d'année?

24%22%

de fin d année?

14%

Autres raisons de dépenser moins : l’emploi et l’endettement

15%8%

15%17%

14%

21%

15%

9%

11%14%

15% 16% 15%

6%

15%

19%

17%

22%

10%10%

14% 13% 14%

19%

13%11%

14%13%

17%15%

14% 12%14%17%22%

26%

26% 20%29%

18%

22%

5%

28%

16%

27%

14%

21% 10%8%

5%

9%

Moyenne Modestes Classe moyenne Individus aisés Hauts revenusMoyenne 18-24 25-34 35-44 45-54 55-64

5% 16%29%

Je préfère économiser de l'argent car j'ai peur de perdre mon emploi

Je dois faire des économies car j'ai perdu mon emploi

Je suis trop endetté 2010

• Cependant, les Français expriment moins de crainte qu’en 2010 quant à leur emploi et à leur niveau d’endettement‒ Les séniors ne sont que 12% en 2011 à prévoir de dépenser moins au motif qu’ils sont trop endettés, contre 28% en 2010.

Cette amélioration, au plan de l’endettement, est ressentie quelles que soient les catégories de revenu. L l i é t h t t t t f i l ibl à l i t d d l l i l’‒ Les classes moyennes, aisées et hauts revenus sont, toutefois, plus sensibles à la crainte de perdre leur emploi que l’an dernier (respectivement 24%, 15% et 17% en 2011 contre 14%, 10% et 5% en 2010). Alors que les personnes les plus modestes sont 2 fois moins nombreuses à exprimer cette crainte.

© 2011 Deloitte43 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 44: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quelles seraient vos principales raisons de dépenser plus pour les fêtes de fin d'année?fin d année?

France39%

Europe54%

35%

22%

48%

43%

38%

17%

Je souhaite me faire plaisir sans trop penser à la crise

Les promotions

Mes revenus ont augmenté

Il y a beaucoup d'innovations qui me donnent envie d'acheter

39%

36%

17%

42%

39%

30%

21%

Mes revenus ont augmenté

Je souhaite me faire plaisir sans trop penser à la crise

Les promotions

Aucune raison

13%

3%

6%

6%

17%

5%

5%

5%

Aucune raison

Les avis des consommateurs sur internet m'incitent à acheter plus

La crise est terminée

Les conditions de crédit proposées par les magasins sont intéressantes

20%

11%

7%

9%

21%

8%

8%

7%

Il y a beaucoup d'innovations qui me donnent envie d'acheter

Les services et recommandations offerts dans les magasins m'incitent à acheter plus

Les avis des consommateurs sur internet m'incitent à acheter plus

La crise est terminée

7%5%

Les services et recommandations offerts dans les magasins m'incitent à acheter plus

2010 2011

8%7%

Les conditions de crédit proposées par les magasins sont intéressantes

2010 2011

• L’envie de se faire plaisir reste forte en France, en utilisant notamment les promotions‒ 48% des Français souhaitent, en premier lieu, oublier la situation économique difficile et se faire plaisir. Ils sont seulement

39% en Europe et placent cette raison en 2ème position, après la raison plus objective d’une augmentation de leurs revenus.

‒ Des promotions attractives inciteront le consommateur à acheter plus, elles prennent la 2ème place des raisons invoquées en p p , p p qFrance (43% des Français).

‒ Les jeunes mettent en avant des raisons plus objectives de dépenser plus (hausse de revenus, prix plus bas) alors que dès 25 ans, l’émotionnel prend le dessus.

© 2011 Deloitte44 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 45: Deloitte Etude De NoëL 2011

Prévisions de dépenses de fin d’année (€)2011 Finlande Irlande Belgique Pays - Bas Allemagne Luxembourg Suisse France Espagne Portugal Italie Grèce Pologne

Total cadeaux 6,15% -9,44% 1,87% -5,54% 4,83% 0,30% -0,86% 1,85% 3,42% -7,82% -3,19% -24,84% 4,55%

Total supplément alimentaire 7,66% -5,39% 1,49% 0,22% 2,79% 2,26% 0,37% 1,30% -0,83% -6,19% -0,68% -15,68% 3,70%

Total supplément divertissement 6,97% -3,99% 6,34% -0,44% 5,41% 0,00% 6,59% 4,04% 1,17% -13,54% -0,13% -24,33% 3,55%

Total 6,75% -7,44% 2,21% -2,90% 4,34% 0,83% 0,35% 1,88% 1,93% -7,89% -2,30% -22,09% 4,09%

Total cadeaux 361 € 520 € 335 € 134 € 286 € 582 € 496 € 407 € 393 € 346 € 416 € 180 € 230 €

Total supplément alimentaire 226 € 259 € 178 € 96 € 118 € 267 € 243 € 150 € 179 € 141 € 139 € 101 € 140 €

Total supplément divertissement 75 € 165 € 61 € 30 € 45 € 75 € 102 € 48 € 96 € 43 € 70 € 38 € 93 €

Total dépenses 662 € 943 € 574 € 260 € 449 € 923 € 841 € 606 € 668 € 530 € 625 € 319 € 463 €

2011 Républiquetchèque Slovaquie Europe Ukraine Russie Afrique du Sud

Total cadeaux 3,08% 7,09% -1,25% 19,54% 11,11% 11,93%

Total supplément alimentaire 1,96% 4,18% -0,09% 20,58% 12,55% 12,46%

Total supplément divertissement -0 08% 13 40% 0 04% 8 30% 8 33% 13 68%Total supplément divertissement 0,08% 13,40% 0,04% 8,30% 8,33% 13,68%

Total 2,49% 6,63% -0,78% 18,27% 11,05% 12,39%

Total cadeaux 335 € 289 € 354 € 179 € 250 € 224 €

Total supplément alimentaire 122 € 121 € 165 € 109 € 113 € 124 €

Total supplément divertissement 50 € 27 € 68 € 43 € 65 € 74 €

• Des prévisions de dépenses en hausse de 1,9% en France, pour un budget de 606 €‒ Le calcul de la moyenne européenne est un résultat pondéré par la taille des populations de chaque pays. Cette moyenne reflète les résultats de 15 des 18 pays

étudiés cette année, excluant les résultats de la Russie, de l’Ukraine et de l’Afrique du Sud, pays pour lesquels notre étude n’a couvert que les grandes villes, mais

Total dépenses 507 € 437 € 587 € 331 € 428 € 421 €

incluant ceux de la Grèce dont seulement les 3 plus grandes agglomérations du pays ont été analysées.

‒ Des réductions supplémentaires de budget sont annoncées, sans surprise, en Grèce (-22,1%) en raison des effets immédiats de la crise sur le pouvoir d’achat des consommateurs. On notait déjà une réduction de 21% en 2010. D’importantes baisses de budget sont également prévues au Portugal (-7,9%). On note une nouvelle baisse du budget des Irlandais (-7,4%), après une baisse importante de -10,6% en 2010. Le budget des Irlandais étant en valeur le plus élevé d’Europe (943€), l’impact de la baisse est très significatif sur la moyenne européenne.

L i i i b i d b d 2011 l’I li ( 2 3%) l P B ( 2 9%) i l b d l l b d’E (260€)‒ Les autres pays qui anticipent une baisse du budget en 2011 sont l’Italie (-2,3%) et les Pays-Bas (-2,9%) qui ont le budget le plus bas d’Europe (260€).

‒ Dans 5 pays où la croissance du budget est légèrement positive, la Suisse (+0,3%), le Luxembourg (+0,8%), la France (+1,9%), l’Espagne (+1,9%), et la Belgique (+2,2%), la hausse est cependant inférieure à l’inflation du pays.

‒ Les pays connaissant une croissance relativement forte de leur budget en 2011 sont la République tchèque (+2,5%), la Pologne (+4,1%), l’Allemagne (+4,3%), la Slovaquie (+6,6%) et la Finlande (+6,8%).

© 2011 Deloitte45 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

‒ La très forte croissance des budgets de dépenses en Russie (+11%), en Ukraine (+18,3%) et en Afrique du Sud (+12,4%), qui reflète seulement les résultats des grandes villes, s’explique principalement par un contexte économique plus favorable et des taux d’inflation élevés.

Page 46: Deloitte Etude De NoëL 2011

Cadeaux rêvéset offerts

© 2011 Deloitte SA© 2011 Deloitte SA

Page 47: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quels types de cadeaux préféreriez-vous le plus recevoir ?

1er choixFinlande LivresIrlande Livres

Top 10 2011 2010

Argent 43% 38%Belgique ArgentPays-Bas LivresAllemagne LivresLuxembourg LivresSuisse LivresFrance Argent

Livres 42% 33%

Chèques cadeaux 34% 45%

Parfums et cosmétiques 34% 37%g

Espagne LivresPortugal LivresItalie LivresGrèce LivresPologne LivresRépublique tchèque Livres

Vêtements / Chaussures 33% 37%

Chocolats 31% 33%

Bijoux / Montres 30% 34%

Produits de beauté massages spas 28% - République tchèque LivresSlovaquie LivresUkraine ArgentRussie ArgentAfrique du Sud Argent

Produits de beauté, massages, spas 28% -

Voyages 28% 32%

CD 27% 20%

• Comme dans l’ensemble des pays étudiés, l’argent et les livres arrivent en tête parmi les cadeaux les plus souhaités par les Français‒ L’argent et le livre composent le top 2 des cadeaux préférés, suivant la tendance européenne. L’argent prend la tête du classement par

rapport à sa 2ème place en 2010, démontrant le souhait de liberté d’achat. Les livres (2ème place) grimpent de 4 places, ce qui peut être li é i i bl L h it t t té h l j (18 34 )expliqué par son prix raisonnable. Le souhait a surtout augmenté chez les jeunes (18-34 ans).

‒ Les produits de beauté, massages, spas entrent dans le top 10 en 2011 (8ème place), et les parfums et cosmétiques restent largement souhaités (4ème place).

‒ Les chèques cadeaux reculent en tant que cadeau préféré de 34% des Français contre 45% en 2010 (1er en 2010, 3ème en 2011). Cette évolution pourrait s’expliquer par une concurrence accrue des coffrets et cartes cadeaux et par des contraintes rencontrées pour les

© 2011 Deloitte47

évolution pourrait s expliquer par une concurrence accrue des coffrets et cartes cadeaux et par des contraintes rencontrées pour les utiliser (durée de validité jugée courte et inadéquation entre les offres (magasins, produits) et les souhaits des utilisateurs).

Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 48: Deloitte Etude De NoëL 2011

Préférences des plus jeunes et des plus âgés

Top 10 des 18-24 ans 2011

Argent 60%

Top 10 des 55-64 ans 2011

Livres 44%

Vêtements / Chaussures 45%

Livres 45%

Chèques cadeaux 43%

Parfums et cosmétiques 31%

CD 29%

Chocolats 28%

Bijoux / Montres 38%

Cartes cadeaux 37%

Parfums et cosmétiques 36%

Produits de beauté massages spas 36%

Argent 27%

Restaurant 25%

Chèques cadeaux 24%

Voyages 22%Produits de beauté, massages, spas 36%

Voyages 36%

Spectacles 35%

Voyages 22%

Bijoux / Montres 20%

Articles de décoration 19%

• Une hiérarchie différente dans les souhaits des jeunes et séniors‒ Les jeunes expriment le souhait

‒ de liberté dans leurs achats au travers de l’argent, chèques et cartes cadeaux positionnés respectivement en 1ère , 4ème et 6ème position du Top 10.

‒ d’apparence au travers des vêtements des bijoux et des parfumsd apparence au travers des vêtements, des bijoux et des parfums.

‒ de bien-être avec les produits de beauté, massages et spa.

‒ Les séniors expriment trois souhaits nouveaux par rapport à 2010 au sein du Top 10 : CD, argent et restaurant au détriment des vêtements et spectacles.

Le li re fait son entrée dans le top 10 des je nes et prend la 1ère place che les séniors Il est donc n so hait

© 2011 Deloitte

‒ Le livre fait son entrée dans le top 10 des jeunes et prend la 1ère place chez les séniors. Il est donc un souhait incontournable, quel que soit l’âge.

48 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 49: Deloitte Etude De NoëL 2011

Lesquels de ces cadeaux pensez-vous acheter cette année pour votre famille et pour vos amis (hors enfants et adolescents) ?

1er choixFinlande ChocolatsIrlande Parfums et cosmétiques

famille et pour vos amis (hors enfants et adolescents) ?

Top 10 2011 2010

Chocolats 57% 34%Belgique Parfums et cosmétiquesPays-Bas Parfums et cosmétiquesAllemagne Parfums et cosmétiquesLuxembourg Parfums et cosmétiquesSuisse Parfums et cosmétiquesFrance Chocolats

Parfums et cosmétiques 50% 34%

Produits de beauté, massages, spas 42% -

Bijoux / Montres 34% 21%

Espagne Parfums et cosmétiquesPortugal Parfums et cosmétiquesItalie Parfums et cosmétiquesGrèce Parfums et cosmétiquesPologne Parfums et cosmétiquesRépublique tchèque Parfums et cosmétiques

Argent 34% 18%

Chèques cadeaux 32% 18%

Nourriture et boissons 32% 9%

Vêtements / Chaussures 32% 28% République tchèque Parfums et cosmétiquesSlovaquie Parfums et cosmétiquesUkraine Parfums et cosmétiquesRussie Parfums et cosmétiquesAfrique du Sud Parfums et cosmétiques

Vêtements / Chaussures 32% 28%

Articles de décoration 31% 5%

Livres 31% 30%

• Les chocolats et les parfums/cosmétiques seront les deux cadeaux les plus offerts, comme en 2010‒ Ces produits permettent de faire des cadeaux à prix raisonnable et sont donc idéaux pour les personnes qui surveillent leur budget. Et ils sont attendus, puisqu’ils

arrivent respectivement en 6ème et 4ème positions des cadeaux souhaités.

‒ Malgré l’arrivée constante de nouveaux choix de cadeaux, l’argent, les chocolats, les chèques cadeaux, les parfums/cosmétiques, les livres, les vêtements et les bijoux/montres sont incontournables dans le top 10 depuis 8 ans.bijoux/montres sont incontournables dans le top 10 depuis 8 ans.

‒ Les produits de beauté, massages, spas arrivent en 3ème position des cadeaux offerts et en 8ème position des cadeaux souhaités, et cette tendance illustre un besoin grandissant de bien-être personnel des Français, partagé par de nombreux Européens.

‒ Les nourritures/boissons ont connu un grand progrès en 2011 (7ème en 2011 vs.16ème en 2010).

‒ Les livres, qui occupaient la 3ème place des cadeaux les plus offerts depuis 2004, arrivent cette année en 10ème position (31% des interrogés offriront ce cadeau). Ce cadeau est plus souhaité qu’offert car il a progressé à la 2ème position des cadeaux les plus souhaités (pour 42% des interrogés)

© 2011 Deloitte

cadeau est plus souhaité qu’offert car il a progressé à la 2ème position des cadeaux les plus souhaités (pour 42% des interrogés).

‒ Par rapport à 2009, plus de Français souhaitent recevoir les produits de petit électroménager (13% vs. 9%) et plus nombreux seront ceux qui en offriront (19% vs. 4%) . Ces produits sont surtout souhaités et offerts par les jeunes.

49 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 50: Deloitte Etude De NoëL 2011

Evolution des chèques cadeaux de 2004 à 2011

Evolution du classement des chèques cadeaux entre 2004 et 2011

Evolution des chèques cadeaux, cartes cadeaux et coffrets cadeaux offerts entre 2010 et 2011

4ème5ème

3ème 3ème 3ème

1er

3ème

5ème 5ème 5ème4ème

28%32%

18%

28% 27%

6ème

6ème

7ème

6ème

7ème

6ème 13%4ème

10ème

12ème

13ème

14ème

2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011

Chèques cadeaux souhaités Chèques cadeaux offerts

2010 2011

Chèques cadeaux Cartes cadeaux Coffrets cadeaux

• Succès ininterrompu des chèques cadeaux au sein du top 10 depuis 2004, mais qui marque le pas au profit des cartes cadeaux et des coffrets cadeaux‒ Les chèques cadeaux, depuis 2004, sont offerts par plus d’1 Français sur 5 (oscillant entre la 4ème et la 7ème place des

cadeaux offerts). Cette popularité exprime une volonté de donner la liberté à la personne d’acheter ce qu’elle désire.

‒ Dès leur entrée au sein des cadeaux étudiés, les cartes et coffrets cadeaux ont fait partie du top 15. Le pourcentage des Français offrant ces deux produits ne cesse de croître (18% en 2010 et 28% en 2011 pour les cartes cadeaux, 13% en 2010 et 27% en 2011 pour les coffrets cadeaux).

‒ Les chèques cadeaux restent légèrement plus souhaités qu’offerts (34% souhaités vs. 32% offerts) alors que les cartes

© 2011 Deloitte50 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

q g p q ( ) qcadeaux et les coffrets cadeaux sont plus offerts que souhaités (23% souhaités vs. 28% offerts pour les cartes cadeaux ; 18% souhaités vs. 27% offerts pour les coffrets cadeaux).

Page 51: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quels cadeaux high-tech souhaitez-vous recevoir et offrir ?

27%

Je souhaiterai10%

11%11%

13%12%

J'offrirai2%

5%

14% 19%

15%13%

11%9%6%

10%8%

6% 6%

14% 15%

15%

9%

9%

10%

7%7%

8%

5% 6%

9%9%

6%7%2%

2%

3%5% 7%

3%5%

1%

5%1%

22%2%

3%1%

15%13%

17%

21%

9%2%

9%

3%

Moyenne 18-24 25-34 35-44 45-54 55-64

3%4%

2%

Moyenne 18-24 25-34 35-44 45-54 55-64

18%17%

22% 14%

18%

Tablettes numériques TV 3D Smartphone 2010

• L’intention d’achat des produits high-tech progresse fortement en 2011‒ Pas de réelle progression en termes de souhait.

‒ Les plus jeunes sont les plus demandeurs de produits innovants, notamment de smartphones et de tablettes numériques. A noter que le souhait de recevoir une TV 3D a fortement baissé en 2011 (6% contre 18% en 2010).q ( )

‒ L’intention d’offrir des cadeaux high-tech a beaucoup augmenté en 2011 (quadruplé pour les tablettes numériques et triplé pour les smartphones). Ces produits seront principalement achetés par les jeunes (18-34 ans).

‒ Les produits high-tech restent encore 2 fois plus souhaités qu’offerts, probablement du fait de leur prix ; en revanche, il s’agit de produits que les consommateurs auront plus volontiers tendance à vouloir s’offrir pour eux-mêmes

© 2011 Deloitte

de produits que les consommateurs auront plus volontiers tendance à vouloir s offrir pour eux mêmes.

51 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 52: Deloitte Etude De NoëL 2011

Le cadeau le plus souhaité et le plus offert en 2011 et en 2007

20071er souhait 1er acheté

Finlande*Irlande Livres Livres

20111er souhait 1er acheté

Finlande Livres ChocolatsIrlande Livres Parfums et cosmétiques Irlande Livres Livres

Belgique Chèques cadeaux Chèques cadeauxPays-Bas Livres LivresAllemagne Argent LivresLuxembourg*Suisse Livres Chèques cadeauxFrance Argent Livres

qBelgique Argent Parfums et cosmétiquesPays-Bas Livres Parfums et cosmétiquesAllemagne Livres Parfums et cosmétiquesLuxembourg Livres Parfums et cosmétiquesSuisse Livres Parfums et cosmétiquesFrance Argent Chocolats

Espagne Vêtements / Chaussures Vêtements / ChaussuresPortugal Vêtements / Chaussures LivresItalie Livres LivresGrèce Vêtements / Chaussures LivresPologne*République tchèque Livres Parfums et cosmétiquesSlovaquie*

Espagne Livres Parfums et cosmétiquesPortugal Livres Parfums et cosmétiquesItalie Livres Parfums et cosmétiquesGrèce Livres Parfums et cosmétiquesPologne Livres Parfums et cosmétiquesRépublique tchèque Livres Parfums et cosmétiquesSlovaquie Livres Parfums et cosmétiques Slovaquie*

Ukraine*Russie Argent Parfums et cosmétiquesAfrique du Sud Vêtements / Chaussures Musiques*Pas de statistiques pour 2007

Slovaquie Livres Parfums et cosmétiquesUkraine Argent Parfums et cosmétiquesRussie Argent Parfums et cosmétiquesAfrique du Sud Argent Parfums et cosmétiques

• Les consommateurs européens convergent dans leurs choix des cadeaux les plus souhaités et les plus offerts‒ Alors que, dans le passé, on constatait une assez grande variété entre les pays des cadeaux souhaités et offerts, les

consommateurs européens convergent nettement cette année. Les cadeaux les plus souhaités sont les livres et l’argent.

‒ Les cadeaux les plus offerts sont les parfums/cosmétiques dans 16 pays et les chocolats dans les 2 autres. Les premiers p p q p y pchoix étaient également plus diversifiés il y a 4 ans, avec notamment les chèques cadeaux et les vêtements.

© 2011 Deloitte52 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 53: Deloitte Etude De NoëL 2011

Que pensez-vous acheter pour des enfants de moins de 12 ans ?

Top 10 2011 2010

Jouets pour bébés 33% -

1er choix 2e choixFinlande Jouets pour bébés Jeux, puzzlesIrlande Jouets pour bébés Jeux, puzzlesBelgiq e Jo ets po r bébés Je p les

Jeux, puzzles 27% 15%

Jeux créatifs et d'art 24% 20%

Jeux de construction 24% 20%

Belgique Jouets pour bébés Jeux, puzzlesPays-Bas Jouets pour bébés Jeux, puzzlesAllemagne Jouets pour bébés Jeux, puzzlesLuxembourg Jouets pour bébés Jeux, puzzlesSuisse Jouets pour bébés Jeux, puzzlesFrance Jouets pour bébés Jeux, puzzles

Poupées 24% 14%

Livres 24% 28%

Peluches 21% 12%

Jeux vidéo 19% 22%

Espagne Jouets pour bébés Jeux, puzzlesPortugal Jouets pour bébés Jeux, puzzlesItalie Jouets pour bébés LivresGrèce Jouets pour bébés Jeux, puzzlesPologne Jouets pour bébés Jeux, puzzlesRépublique tchèque Jouets pour bébés LivresJeux vidéo 19% 22%

Figurines et accessoires 19% 11%

Véhicules 18% 10%

République tchèque Jouets pour bébés LivresSlovaquie Jouets pour bébés LivresUkraine Jouets pour bébés Jeux créatifs et d'artRussie Jouets pour bébés Jeux créatifs et d'artAfrique du Sud Jouets pour bébés Jeux, puzzles

• Des choix cohérents avec la priorité accordée aux jeux éducatifs par 64% des Français‒ Pour le 1er âge, les jouets seront préférés aux peluches.

‒ Les puzzles, les jeux créatifs et d’art, les jeux de construction et les livres arrivent en tête des cadeaux offerts aux enfants, marquant la volonté d’éduquer au travers des jouets.q q j

‒ La priorité accordée aux jeux éducatifs peut s’interpréter, dans l’environnement économique actuel, comme la préoccupation des adultes à offrir les conditions d’une réussite future à leurs enfants. A noter que cette tendance est plus marquée pour les 25-34 ans (les nouveaux parents) et les populations les plus formées.

© 2011 Deloitte53 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 54: Deloitte Etude De NoëL 2011

Que pensez-vous acheter pour des adolescents ?

Top 10 2011 2010

Jeux vidéo 26% 24%

1er choixFinlande Jeux vidéoIrlande Jeux vidéo

Argent 22% 37%

CD 15% 19%

DVD/Blu Ray 12% 16%

Belgique ArgentPays-Bas Jeux vidéoAllemagne Jeux vidéoLuxembourg Jeux vidéoSuisse ArgentFrance Jeux vidéo

Livres 12% 19%

Jeux électroniques (robots, jeux télécommandés…) 11% -

Chèques cadeaux 9% 23%

Vêtements / Chaussures 8% 20%

a ce Jeu déoEspagne Jeux vidéoPortugal Jeux vidéoItalie Jeux vidéoGrèce Jeux vidéoPologne Jeux vidéoRépublique tchèque LivresVêtements / Chaussures 8% 20%

Vêtements de sport 8% 14%

Jeux, puzzles 8% 2%

République tchèque LivresSlovaquie LivresUkraine Jeux vidéoRussie Jeux vidéoAfrique du Sud Jeux vidéo

• Les jeux vidéo et l’argent restent les 2 cadeaux les plus offerts‒ Les jeux vidéo remplacent l’argent comme cadeau le plus offert aux adolescents en 2011. Ils restent une valeur sûre pour les

adolescents (au sein du top 3 depuis 2007).

‒ L’argent traduit la volonté de donner la liberté aux adolescents d’acheter ce qui leur convient. g q

‒ Les livres occupent la 5ème place parmi les cadeaux les plus offerts, comme en 2010, en cohérence avec la priorité accordée au critère éducatif.

© 2011 Deloitte54 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 55: Deloitte Etude De NoëL 2011

Avez-vous reçu, au cours des 12 derniers mois, des chèques ou cartes cadeaux et les avez-vous utilisés?cadeaux et les avez vous utilisés?

France

42% 47%58% 51% 57% 54%

43%

51%50%

34% 38%31%

43% 33% 34% 33%62%

43% 43%28% 30% 24% 28%

45%25% 33%

50% 45%66%

55%43% 50% 53%

67%55%

29%

4%

16%

48%

50%

48%

33%

2010

2011

15% 11% 14% 19% 19% 18% 11%24% 16% 16% 16% 12% 14% 15% 17% 13% 12% 12% 9%

22%31% 34%

21%33%4% 48% 48%2010

Oui, mais je ne les ai pas encore utilisés et je ne les utiliserai pas tous

Oui je les ai tous utilisés ou j'en ai utilisé quelques uns et j'ai

Oui, mais je ne les ai pas encore utilisés et je ne les utiliserai pas tousOui, je les ai tous utilisés ou j'en ai utilisé quelques-uns et j'ai l'intention d'utiliser les autresNon, je n'ai pas reçu de chèques ou cartes cadeaux au cours des 12 derniers mois

Oui, je les ai tous utilisés ou j en ai utilisé quelques-uns et j ai l'intention d'utiliser les autres

Non, je n'ai pas reçu de chèques ou cartes cadeaux au coursdes 12 derniers mois

• Le succès des chèques cadeaux ne se dément pas, mais leurs contraintes d’utilisation sont mises en avant par les consommateurs‒ Sur les 66% de consommateurs français qui ont reçu des chèques cadeaux, 50% les ont utilisés ou les utiliseront.

‒ Mais 16% indiquent qu’ils n’utiliseront pas tous les chèques cadeaux qu’ils ont reçus en nette croissance par rapport à l’anMais 16% indiquent qu ils n utiliseront pas tous les chèques cadeaux qu ils ont reçus, en nette croissance par rapport à l andernier (4%).

© 2011 Deloitte55 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 56: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quelles sont les raisons de ne pas utiliser les chèques ou cartes cadeaux?

15%3%

France20%

10%15%

6% 6% 7% 7% 6% 3% 3% 9% 9% 14% 18%24%

19%

15%

55%55%29%

80%49%

15%

32%60% 19% 33% 18%

44%

31%

32%28%

20%

0%

49%

19%

18%14%

39% 39%32% 20% 35%

32%

19%

18% 28%34%

30%23% 23% 25% 22%26% 13% 15%

25% 31% 13%

52%23%

39%

48%37%

% 18%

39%

Ils ne me permettent pas d'acheter dans mes magasins préférésJ'ai oublié de les utiliser

15%15% 23%23%2%2%

55%55%

21%21%4%4%

24%24%12%12% 15%15%

26%26%7%7%

24%24%13%13% 9%9% 14%14%

37%37%29%

17%

60%38% 28%

5%

31%

25% 15%14%

28%

La validité d'utilisation est trop courte

Les possibilités offertes ne correspondent pas à mes choix

Autre raison

Ils ne me permettent pas d'acheter dans mes magasins préférésJ'ai oublié de les utiliserLa validité d'utilisation est trop courteLes possibilités offertes ne correspondent pas à mes choixAutre raison

• Manque de choix et durée de validité courte sont, pour les consommateurs, les deux principaux freins à l’utilisation des chèques cadeaux‒ 39% des consommateurs français soulignent la problématique d’une durée de validité trop courte. A ceux-là, peuvent

s’ajouter les 19% de consommateurs français qui oublient de les utiliser.

‒ 15% des consommateurs français trouvent que le chèque cadeau n’offre pas suffisamment de choix en termes de produits et 24% en termes de magasins.

‒ Ainsi, le chèque cadeau ne leur semble pas offrir autant de liberté que l’argent.

© 2011 Deloitte56 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 57: Deloitte Etude De NoëL 2011

Où les consommateursOù les consommateursvont-ils faire leurs achats?

© 2011 Deloitte SA© 2011 Deloitte SA

Page 58: Deloitte Etude De NoëL 2011

Où pensez-vous acheter vos cadeaux (hors Internet)?

74%Hypermarchés

France

26%

40%

65%

74%

Ventes par correspondance

Grands magasins traditionnels

Chaînes spécialisées

Hypermarchés

7%

12%

17%

26%

Magasins de luxe

Magasins d'usine

Petits commerçants de quartier

Ventes par correspondance

7%

7%

Je ne sais pas

Magasins de luxe

• Les Français réaliseront majoritairement, comme l’an passé, leurs achats de cadeaux en hypermarchés (74%) et dans les chaînes spécialisées (65%)‒ Les Français trouvent dans les hypermarchés la réponse à leur recherche de prix le plus adapté, de par les multiples

promotions qui y sont proposées et une large gamme de produits.

‒ Les grands magasins traditionnels arrivent en 3ème position, en étant visités par 4 consommateurs sur 10.

‒ Les ventes par correspondance, en France, sont utilisées par 1 consommateur sur 4.

© 2011 Deloitte58 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 59: Deloitte Etude De NoëL 2011

Où pensez-vous acheter vos cadeaux (hors Internet)?

82%74%

Revenu80% 77%

69%77%

Age72%

59%

36%

62%

74%68%

40%

65%71%

54%

65%

55%

45%

71% 66%

42%

66%

36%

%69%

37%

68%

38%36% 33%37%

Hypermarchés Chaînes spécialisées Grands magasins traditionnels

Modestes Classe moyenne Individus aisés Hauts revenus

Hypermarchés Chaînes spécialisées Grands magasins traditionnels

18-24 25-34 35-44 45-54 55-64

• Les hypermarchés et les chaînes spécialisées prédominent, quel que soit le consommateur‒ Les femmes sont plus nombreuses à aller faire leurs achats en hypermarchés (77%) et en chaînes spécialisées (69%).

‒ Les populations les plus jeunes sont les plus enclines à se rendre dans les grands magasins traditionnels (souvent en centre-ville), et les moins enclines à se rendre dans les hypermarchés. ), yp

‒ Les consommateurs à hauts revenus se rendent davantage en chaînes spécialisées et en grands magasins : 71% en chaînes spécialisées (65% en moyenne) et 54% en grands magasins traditionnels (40% en moyenne).

‒ Les hauts revenus sont, en revanche, moins nombreux à effectuer leurs achats en hypermarchés (65% contre 74% en moyenne)

© 2011 Deloitte59 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

moyenne).

Page 60: Deloitte Etude De NoëL 2011

Où préférez-vous faire vos achats alimentaires pour les fêtes de fin d'année ?

86%Hypermarchés

26%

27%

86%

Magasins alimentaires traditionnels

Supermarchés

Hypermarchés

8%

12%

Boutiques de luxe

Internet

3%Supérettes

• Les hypermarchés, plébiscités par les Français pour leurs achats alimentaires‒ Les consommateurs français, quel qu’ils soient, privilégient l’hypermarché.

‒ Sans réelle distinction, les Français choisissent en 2ème et 3ème choix les supermarchés et les magasins alimentaires traditionnels. Ces derniers seront privilégiés par les séniors et les hauts revenus.p g p

‒ L’achat sur Internet, dans les boutiques de luxe et les supérettes restent minoritaires.

© 2011 Deloitte60 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 61: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quels types de marques achèterez-vous?

48% 42% 42%

36%41% 46%

%

15% 16% 12%

Supérettes Magasins alimentaires traditionnels Supermarchés Hypermarchés

3% 26% 27% 86%

• Une répartition différente des marques achetées selon les canaux de distribution ‒ En hypermarchés, premier lieu d’achat alimentaire, la proportion des marques nationales est légèrement supérieure à celle

des marques distributeurs.

‒ En supermarchés, les marques distributeurs seront légèrement préférées aux marques nationales, tendance nettement plus marquée en supérettes (48% de marques distributeurs contre 36% de marques nationales).q p ( q q )

‒ Les marques hard discount sont moins représentées, proches de 15% des achats dans chacun des canaux.

© 2011 Deloitte61 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 62: Deloitte Etude De NoëL 2011

Dé l tDéveloppementdu cross-channeldu cross-channel

© 2011 Deloitte SA© 2011 Deloitte SA

Page 63: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quels sont les canaux de distribution utilisés dans vos étapes d’achat?

France Europe

28%

29%

40%

35%

31%

36%

Chercher

Comparer

27%

25%

28%

26%

45%

49%

Chercher

Comparer

16% 52% 32%

p

Acheter 13% 53% 35%

p

Acheter

Par InternetEn visitant les magasins physiquesPar internet et en visitant les magasins physiques

Par InternetEn visitant les magasins physiquesPar internet et en visitant les magasins physiques

• Le consommateur français a déjà adopté le cross-channel‒ Près du tiers des consommateurs français utilise la combinaison des 2 canaux de distribution (Internet et magasins

physiques) dans toutes leurs étapes du processus d’achat (recherche, comparaison et achat).

‒ En revanche, les Français sont plus de la moitié à conclure leur acte d’achat en magasin. , ç p g

‒ Le taux d’attrition des clients vis-à-vis d’Internet est encore élevé au bénéfice des magasins : 16% seulement des Français achètent sur Internet sans passer par un magasin physique, cependant supérieur aux 13% d’Européens.

© 2011 Deloitte63 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 64: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quels sont les canaux de distribution utilisés dans vos étapes d’achat?

High-tech, livres, musique, films et jeux vidéo Jouets, produits de mode et de sport, cartes cadeaux et cadeaux pour la maison

38%

37%

30%

27%

32%

36%

Rechercher

Comparer

21%

23%

46%

39%

33%

38%

Rechercher

Comparer

23% 44% 33%

p

Acheter 13% 55% 32%

p

Acheter

Par InternetEn visitant les magasins physiquesPar internet et en visitant les magasins physiques

Par InternetEn visitant les magasins physiquesPar internet et en visitant les magasins physiques

• Une utilisation du cross-channel déjà forte, quelles que soient les catégories de cadeaux achetés‒ Elle est, ainsi, forte pour les produits high-tech, films, musique et livres, catégories de produits dont le processus d’achat

s’est déplacé sur Internet.

‒ De même, elle est forte pour les jouets, les produits de mode, de sport, les cartes cadeaux et les cadeaux pour la maison qui, p j , p , p , p qrestent majoritairement achetés en magasins.

‒ A contrario, la nourriture se distingue car une majorité de Français indique rechercher de l’information en magasins. Il faut, cependant, noter un contraste avec l’Europe : en France, les consommateurs sont environ 20% à chercher et à comparer leurs produits alimentaires en combinant les 2 canaux, alors qu’ils sont déjà plus du tiers en Europe.

© 2011 Deloitte64 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 65: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quel est votre second choix pour chercher et comparer?

Au sein de tous les pays étudiés, les consommateurs seront plus nombreux à indiquer utiliser la combinaison des 2 canaux de distribution (cross-channel) pour chercher et comparerchercher et comparer.

L’analyse fait ensuite ressortir les pays, où les consommateurs privilégient Internet aux magasins et inversement. 10 pays sur 18 privilégient Internet aux magasins pour rechercher et comparer.

Finlande En visitant les magasins physiques

Irlande En visitant les magasins physiques

Belgique En visitant les magasins physiques

Pays-Bas Par Internety

Allemagne Par Internet

Luxembourg En visitant les magasins physiques

Suisse En visitant les magasins physiques

France En visitant les magasins physiquesg p y q

Espagne En visitant les magasins physiques

Portugal Par Internet

Italie Par Internet

Grèce Par Internet

Pologne Par Internet

République tchèque Par Internet

Slovaquie Par Internet

Ukraine Par Internet

© 2011 Deloitte65 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Russie Par Internet

Afrique du Sud En visitant les magasins physiques

Page 66: Deloitte Etude De NoëL 2011

Où comptez-vous acheter?

Les consommateurs, dans la majorité des pays étudiés, indiquent acheter en magasins. Seuls 4 pays se distinguent : l’Allemagne la Grèce lapays se distinguent : l’Allemagne, la Grèce, la Pologne et la République tchèque où les consommateurs achèteront à la fois en magasin et sur Internet.

Finlande En visitant les magasins physiquesIrlande En visitant les magasins physiquesBelgique En visitant les magasins physiquesPays‐Bas En visitant les magasins physiques

.

Pays Bas En visitant les magasins physiquesAllemagne Cross‐channelLuxembourg En visitant les magasins physiquesSuisse En visitant les magasins physiquesFrance En visitant les magasins physiquesg p y qEspagne En visitant les magasins physiquesPortugal En visitant les magasins physiquesItalie En visitant les magasins physiquesGrèce Cross‐channelPologne Cross‐channelRépublique tchèque Cross‐channelSlovaquie En visitant les magasins physiquesUkraine En visitant les magasins physiques

© 2011 Deloitte66 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

g p y qRussie En visitant les magasins physiquesAfrique du Sud En visitant les magasins physiques

Page 67: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quels sont les canaux de distribution utilisés dans vos étapes d’achat?

57%51%

Mode et produits de soin et beauté51%

Produits high-tech, musique, films et jeux vidéo

24%

50%46%

26%

36%

25%

43% 38%

32%

42%

51%

29%

37%

Rechercher

40%

32%29%

29% 31%

39%39% 35%

25%

26%

35% 39%

25%

41%

34% 32%

Rechercher24%

18%

26%20%

14% 12%

Comparer

Acheter17%

Comparer

Acheter

H F H F H F

Internet Magasins physiques Combinaison des deux

H F H F H F

Internet Magasins physiques Combinaison des deux

• Les femmes évoluent davantage vers le cross-chanel, notamment sur la mode‒ Concernant la mode et les produits de soin/beauté, les hommes sont plus nombreux à indiquer acheter dans les magasins

physiques que les femmes (57% vs. 51%), alors que celles-ci sont plus nombreuses à acheter via les 2 canaux de distribution (37% vs. 29%). Elles sont, aussi, plus nombreuses au préalable à chercher et comparer via les 2 canaux.

‒ Concernant les produits high-tech, les hommes sont plus nombreux que les femmes à acheter sur Internet (25% vs. 17%) et à acheter via les 2 canaux de distribution (34% vs. 32%) alors que les femmes privilégient les magasins physiques (51% d’entre elles vs. 41% des hommes).

© 2011 Deloitte67 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 68: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quelles sources utilisez-vous pour chercher ou comparer?

11% 14% 66% 9%Magasins Internet (avec points de vente h i )

France15% 15% 61% 9%Magasins Internet (avec points de vente

h i )

Europe

17%

11%

18%

11%

14%

16%

12%

14%

53%

60%

60%

66%

16%

13%

9%

9%

Sites Internet des fabricants de marques

Sites Internet avec offres promotionnelles

Moteurs de recherche

physiques)

19%

15%

26%

%

15%

13%

10%

%

52%

48%

53%

%

14%

23%

11%

%

Sites Internet des fabricants de marques

Sites Internet avec offres promotionnelles

Moteurs de recherche

physiques)

8%

11%

7%

13%

5%

12%

23%

16%

21%

30%

53%

54%

66%

47%

18%

16%

Réseaux sociaux (Facebook, Twitter.)

Forums et blogs

Sites de comparaison

Magasins Internet uniquement (pure player)

11%

13%

13%

17%

7%

11%

20%

15%

26%

32%

51%

54%

56%

44%

17%

15%

Réseaux sociaux (Facebook, Twitter.)

Forums et blogs

Sites de comparaison

Magasins Internet uniquement (pure player)

Chercher Comparer Chercher et comparer Je n'utilise pas ces sources Chercher Comparer Chercher et comparer Je n'utilise pas ces sources

• Les sites des distributeurs font leur percée au sein du classement des sources utilisées‒ Les sites Internet de distributeurs prennent la première position en France comme en Europe. Les moteurs de recherche

arrivent en 2ème position en France avec 60%, au même titre que les sites Internet avec offres promotionnelles.

‒ Les sites Internet des fabricants sont en 4ème position en France (53%), soit une progression sensible. Cette reconnaissance p ( ), p gest à mettre au crédit des efforts et investissements consacrés, ces dernières années, par les fabricants dans ce domaine.

‒ Les sites de comparaison, en 2ème position en 2010, arrivent cette année en 4ème position, avec 53%. Cette tendance est la même en Europe. Blogs et réseaux sociaux sont les deux sources les moins utilisées. Les réseaux sociaux sont d’ailleurs moins cités que les blogs et forums : 30% vs. 21% sur 2011.

© 2011 Deloitte68 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 69: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quelles sources utilisez-vous pour chercher ou comparer?

58%60%66%

Genre57% 57%

60% 60%64% 61% 63%

57% 57%

Age

53%47%

58%60%55%53%

50%

57% 53%

45%51% 53%

57% 57%53%53%

42%

57% 56% 57%53%

Moyenne Hommes Femmes Moyenne 18-24 25-34 35-44 45-54 55-64Moyenne Hommes Femmes

Sites Internet fabricants marques Sites Internet offres promo Sites de comparaison Sites Internet fabricants marques Sites Internet offres promo Sites de comparaison

• Les hommes et les jeunes moins attirés par les sites de fabricants, de promotion et de comparaison pour chercher ou comparer‒ Les femmes utilisent plus souvent que les hommes les sites de fabricants de marques (58% vs. 47%), les sites d’offres

promotionnelles (66% vs. 55%) et les sites de comparaison (57% vs 50%) pour chercher ou comparer.

‒ Globalement, ce sont les sites d’offres promotionnelles qui reviennent le plus souvent chez les hommes et les femmes ; en revanche, les hommes privilégient ensuite les sites de comparaison au détriment des sites de fabricants de marques, à l’inverse des femmes.

‒ Les populations les plus jeunes sont les moins enclines à utiliser les sites Internet d’offres promotionnelles (53% contre une

© 2011 Deloitte69 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

p p p j p (moyenne de 60%), les sites de fabricants de marques (45% contre 53%), et les sites de comparaison (42% contre 53%). Les jeunes prennent moins le temps que leurs aînés d’aller sur les sites Internet pour chercher ou comparer.

Page 70: Deloitte Etude De NoëL 2011

Pour quelles raisons utilisez-vous les réseaux sociaux?

47%Pour chercher des informations sur les magasins

France63%Pour chercher des informations sur les magasins

Europe

38%

39%

47%

Pour donner mon avis à propos des magasins

Pour chercher des informations sur les marques connues

Pour chercher des informations sur les magasins

41%

47%

63%

Pour obtenir de l'information provenant des magasins

Pour chercher des informations sur les marques connues

Pour chercher des informations sur les magasins

32%

32%

33%

Pour obtenir de l'information provenant des marques connues

Pour obtenir de l'information provenant des magasins

Pour donner mon avis à propos des marques connues

25%

31%

32%

Pour donner mon avis à propos des marques connues

Pour donner mon avis à propos des magasins

Pour obtenir de l'information provenant des marques connues

marques connues

• Une information indépendante sur les magasins et marques recherchée sur les réseaux sociaux par des consommateurs plus actifs‒ Les Français utilisent les réseaux sociaux pour rechercher de l’information sur les magasins (47% vs. 63% en Europe) et sur les marques (39% vs.

47%). Ils sont, en revanche, moins sensibles à obtenir de l’information délivrée par les marques et les distributeurs. Cette tendance pourrait traduire un manque de confiance vis à vis de l’information délivrée par les marques et distributeurs ou un manque de présence de ces derniers sur les réseauxmanque de confiance vis-à-vis de l information délivrée par les marques et distributeurs ou un manque de présence de ces derniers sur les réseaux sociaux.

‒ L’utilisation des réseaux sociaux pour obtenir de l’information est moins bien positionnée en France : obtenir de l’information à propos des magasins et à propos des marques ont été citées à 32%, ce qui place ces deux options en dernière position alors qu’elles sont 3ème et 4ème en Europe.

‒ A l’inverse, les Français utilisent davantage les réseaux sociaux pour y donner leur avis : donner son avis en France à propos des magasins et à

© 2011 Deloitte70 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

propos des marques ont été citées à 38% et 33%, ce qui place ces deux options en 3ème et 4ème position alors qu’elles sont 5ème et 6ème en Europe.

Page 71: Deloitte Etude De NoëL 2011

Pour quelles raisons utilisez-vous les réseaux sociaux?

58%

Age52%

Genre

51%45%

31%30% 29%29%

39%

31%37%

31%40%

50%43%

58%

48%38%39%

35%

45%

37%

30% 25%

35% 36% 35%33%

23%

37%

28%

40%38% 40%36%

33%37%

29%

47%42%

39%33%

45%

32%

24%

40%

32%

25%

38%

Moyenne 18-24 25-34 35-44 45-54Pour donner mon avis à propos des magasins

Moyenne Hommes FemmesPour donner mon avis à propos des magasins

Pour donner mon avis à propos des marques connuesPour chercher des informations sur les magasinsPour chercher des informations sur les marques connuesPour obtenir de l'information provenant des magasinsPour obtenir de l'information provenant des marques connues

Pour donner mon avis à propos des marques connuesPour chercher des informations sur les magasinsPour chercher des informations sur les marques connuesPour obtenir de l'information provenant des magasinsPour obtenir de l'information provenant des marques connues

• Les femmes recherchent et obtiennent, les hommes et les jeunes donnent leur avis‒ Les femmes utilisant les réseaux sociaux s’axent davantage sur la recherche d’information : elles sont 52% à utiliser les réseaux

sociaux pour chercher de l’information sur les magasins (vs. 42% des hommes), et 45% sur les marques (vs. 33%).

‒ Les femmes sont également plus enclines que les hommes à utiliser les réseaux sociaux pour obtenir de l’information : elles sontrespectivement 40% et 38% à utiliser les réseaux sociaux pour obtenir de l’information sur les magasins et les marques, contre seulement 24% et 25% des hommes.

‒ Quelque soit l’âge, les consommateurs utilisent le plus souvent les réseaux sociaux pour y rechercher de l’information sur les magasins, les plus nombreux étant les 35-44 ans (58%).

L l ti l l j t l l b à tili l é i d l i 45% d 18 24

© 2011 Deloitte71 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

‒ Les populations les plus jeunes sont les plus nombreuses à utiliser les réseaux sociaux pour donner leur avis : 45% des 18-24 ans donnent leur avis à propos des magasins, et 39% à propos des marques, alors qu’ils sont entre 29% et 37% parmi les autres strates d’âge.

Page 72: Deloitte Etude De NoëL 2011

Quel canal de distribution répond le mieux à vos besoins de shopping?

Internet

Possibilité de connaître les avis des consommateurs 64%

Magasins physiques

Possibilité d'échanger facilement ou de retourner le produit 65%

Le shopping peut être fait quand je veux 55%

Facilité de recherche et de choix par rapport au besoin 53%

Peu de temps pour faire les courses 52%

Service après-vente 61%

Plaisir durant le shopping 58%

Sécurité du paiement 49%

Comparaison facile des prix 48%

Niveau de prix 45%

Large gamme de produits 43%

Comparaison facile des produits 41%

Conseils avisés 46%

Délais de livraison 43%

Qualité de l'information relative au produit 36%

Information sur la disponibilité du produit 29%Comparaison facile des produits 41%

Information sur la disponibilité du produit 29%

Qualité de l'information relative au produit 26%

Information sur la disponibilité du produit 29%

Comparaison facile des produits 26%

Peu de temps pour faire les courses 25%

• La combinaison des avantages respectifs d’Internet et des magasins permet de satisfaire toutes les attentes des consommateurs… confortant la nécessité de mettre en œuvre une stratégie de cross-channel‒ Les consommateurs trouvent sur Internet les informations auxquelles ils n’ont pas accès en magasin, comme l’avis des

consommateurs (64%), la possibilité de faire du shopping quand il le souhaite (55%) et la facilité de recherche et de choix par rapport au besoin (53%).

‒ Inversement, ils trouvent dans les magasins les réponses à leurs attentes qu’ils n’ont pas via Internet : facilité d’échange (65%), service après-vente (61%), plaisir du shopping (58%), sécurité du paiement (49%) et conseils avisés (46%).

‒ Les consommateurs français se distinguent des Européens par l’importance qu’ils accordent au plaisir durant le shopping :

© 2011 Deloitte72 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

ç g p p p q p pp gles Français estiment à 58% (contre 50% des Européens) que l’intérêt du magasin physique est de prendre du plaisir pendant le shopping (3ème position en France vs. 5ème en Europe).

Page 73: Deloitte Etude De NoëL 2011

Dans quelle catégorie souhaiteriez-vous que les distributeurs investissent pour améliorer votre shopping?pour améliorer votre shopping?

France Europe

5,6

5,7

5,9

6,3

Conseil à la clientèle

Livraison à domicile

E-commerce

Prix bas

5,2

5,6

5,7

6,0

Livraison à domicile

Conseil à la clientèle

E-commerce

Prix bas

3,4

3,9

4,2

4,8

Investissement supplémentaire dans la décoration pour améliorer l'ambiance

Service d'emballages cadeaux

Caisses automatiques

Développement durable

3,4

3,5

4,5

4,7

Investissement supplémentaire dans la décoration pour améliorer l'ambiance

Service d'emballages cadeaux

Caisses automatiques

Développement durable

2,4

2,8

Commerce par téléphone

Prise en charge des enfants durant le shopping

pour améliorer l ambiance

3,0

3,3

,

Prise en charge des enfants durant le shopping

Commerce par téléphone

pour améliorer l ambiance

• Les principales attentes des consommateurs français : prix bas, e-commerce, livraison à domicile et relation clients (conseils)‒ En lien avec un pouvoir d’achat perçu à la baisse, les consommateurs français souhaitent que le premier investissement des

distributeurs se porte sur le prix. Cette tendance est assez similaire en Europe : les prix bas sont en tête dans 10 pays, et en 2ème ou 3ème position dans les 8 autres.

L dé l t d é t é l t tt t i t t l t f i (2ème iti ) O‒ Le développement du e-commerce représente également une attente importante pour les consommateurs français (2ème position). On observe la même tendance en Europe puisque le e-commerce est positionné dans le top 3 des attentes de tous les pays hormis l’Afrique du Sud, les Pays-Bas, la Belgique et l’Espagne, ce qui illustre l’appétit des consommateurs pour une pratique d’achat cross-channel, combinant une utilisation d’Internet et des magasins.

‒ Ensuite, les Français privilégient la livraison à domicile au conseil à la clientèle, alors que c’est l’inverse pour les Européens.

© 2011 Deloitte73 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

ç p g q p p

‒ A noter que les services additionnels (emballage cadeaux, garderies d’enfants) ne paraissent pas prioritaires puisqu’ils se retrouvent respectivement en 7ème et 9ème position des réponses citées.

Page 74: Deloitte Etude De NoëL 2011

Dans quelle catégorie souhaiteriez-vous que les distributeurs investissent pour améliorer votredistributeurs investissent pour améliorer votre shopping?

Finlande Prix basIrlande Prix basBelgique Prix basPays‐Bas Prix basAllemagne E‐commerceLuxembourg E‐commerceSuisse E‐commerceFrance Prix basEspagne Prix basPortugal Prix basItalie Prix basGrèce Prix basPologne E‐commerceRépublique tchèque E‐commerceSlovaquie Conseil à la clientèleUkraine E‐commerce

© 2011 Deloitte74 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Russie E‐commerceAfrique du Sud Prix bas

Page 75: Deloitte Etude De NoëL 2011

Dans quelle catégorie souhaiteriez-vous que les distributeurs investissent pour améliorer votre shopping?pour améliorer votre shopping?

6 57,0Genre

6 57,0Age

4 04,55,05,56,06,5

4,55,05,56,06,5

2,02,53,03,54,0

Moyenne Hommes Femmes 2,02,53,03,54,0

Moyenne Hommes Femmes

E-commerce Commerce par téléphoneLivraison à domicile Prix bas

Moyenne 18-24 25-34 35-44 45-54 55-64

E-commerce Commerce par téléphone

Livraison à domicile Prix bas

• Les hommes sont plus sensibles que les femmes au commerce par téléphone et par Internet‒ Les hommes sont plus nombreux que les femmes à souhaiter que les distributeurs investissent dans l’e-commerce et dans le

commerce par téléphone. Les femmes sont, en revanche, plus sensibles à la livraison à domicile et aux prix bas.

‒ Plus les consommateurs français sont âgés, plus ils sont sensibles à la livraison à domicile : les 45-54 ans attribuent une ç g , pnote de 6 contre seulement 5,6 pour les 18-24 ans. En revanche, plus les consommateurs français sont jeunes, plus ils privilégient l’e-commerce.

‒ A noter que les prix bas sont la catégorie la plus citée parmi toutes les tranches d’âge, notamment chez les 25-34 ans.

© 2011 Deloitte75 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 76: Deloitte Etude De NoëL 2011

Avez-vous déjà utilisé votre téléphone portable pour acheter un produit, avez-vous l'intention de le faire dans le futur?

50%58% 57% 54%

avez vous l intention de le faire dans le futur?

18% 19% 22%

10%17% 16%

24%

16%13% 15% 13%

16%

28%

18% 19%

30%23%

27%

35%30%

42%

16%22% 24%

27%31%

27%

38% 38%33%

39%

50%

31%

41%

9% 10% 13%

Je l'ai déjà fait Je le ferai dans le futur

• Un recours au m-commerce encore limité en France, mais qui devrait progresser‒ 16% des Français ont déjà utilisé leur portable pour acheter un produit, ce qui les situe dans la moyenne européenne (18%) ;

en revanche, le potentiel est là car ils sont 27% à envisager de le faire à nouveau (35% en Europe).

‒ Ce canal de vente devrait se développer à l’avenir puisque 1 consommateur sur 3 déclare être prêt à utiliser son mobile. Les pp p q pconsommateurs des pays de l’Europe du Sud, de l’Est et d’Irlande y seront les plus enclins. Les consommateurs de l’Europe du Nord sont plus réservés, moins de 1 consommateur sur 4.

‒ Les hommes et les jeunes sont plus sensibles à l’utilisation du téléphone mobile pour procéder à des achats.

© 2011 Deloitte76 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 77: Deloitte Etude De NoëL 2011

Avez-vous déjà utilisé votre téléphone portable pour acheter un produit, avez-vous l'intention de le faire dans le futur?avez vous l intention de le faire dans le futur?

Age35%

Genre

16%

24%21%

17%

27%

32% 31% 32%

22%

17%16%

21%

27%

19%

9% 10%

Moyenne 18-24 25-34 35-44 45-54 55-64

12%

Moyenne Hommes Femmes Moyenne 18 24 25 34 35 44 45 54 55 64

Je l'ai déjà fait Je le ferai dans le futur

Moyenne Hommes Femmes

Je l'ai déjà fait Je le ferai dans le futur

• Le m-commerce connaît un potentiel de croissance auprès des hommes et des plus jeunes‒ Plus d’hommes ont déjà utilisé leur téléphone portable pour acheter un produit (21% pour les hommes vs. 12% pour les

femmes) ; il y a également plus d’hommes qui ont l’intention de le faire à nouveau dans le futur (35% pour les hommes vs. 19% pour les femmes).

‒ Plus les populations sont jeunes, plus elles ont utilisé leur téléphone portable pour acheter un produit (24% des 18-24 ans contre seulement 9% des 45-54 ans), et plus elles ont l’intention de le faire à nouveau dans le futur (32% des 18-24 ans contre seulement 17% des 45-54 ans).

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Page 78: Deloitte Etude De NoëL 2011

Méthodologie

© 2011 Deloitte SA

Page 79: Deloitte Etude De NoëL 2011

Méthodologie de l’enquête

• Deloitte a réalisé une étude sur la consommation à l’occasion des fêtes de fin d’année 2011 dans 18 pays couvrant principalement l’Europe de l’Ouest, l’Europe de l’Est et l’Afrique du Sud.

• Un rapport spécifique a été produit pour chaque pays étudié.

L l i d tt ét d t b é d d é t ll té i êt• Les conclusions de cette étude sont basées sur des données consommateurs, collectées via une enquête réalisée en coopération avec un institut spécialisé, Q&A Research and Consultancy.

• Les consommateurs ont été interrogés les 2ème et 3ème semaines de septembre 2011Les consommateurs ont été interrogés les 2 et 3 semaines de septembre 2011.

• Au Luxembourg, l’enquête a été conduite par TNS à la même période que dans les autres pays. L’échantillon est composé d’un panel représentatif de 500 personnes.

• Pour l’ensemble des pays, des comparaisons avec les données des études précédentes ont pu être réalisées, uniquement si la question a été posée de manière identique aux années précédentes.

• Les sondés sont âgés de 18 ans et plus. Les données ont été recueillies via Internet, par le biais d’un questionnaire structuré, auprès d’un échantillon appartenant à un panel qui participe régulièrement à des études.

© 2011 Deloitte79 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 80: Deloitte Etude De NoëL 2011

Méthodologie de l’enquête

• Chaque interviewé est qualifié selon les critères suivants‒ éléments sociodémographiques ;‒ centres d’intérêts ;‒ comportements de consommation.

• Pour ajuster la population Internet par rapport à la population réelle de chaque pays, nous avons utilisé des t ti ti t i fl t l l’â l t l’éd tistatistiques ex-post influant sur le sexe, l’âge, les revenus et l’éducation.

Pondération basée sur:- le sexe - les revenus

Echantillon Pondération basée sur : - le sexe - les revenus

l’â

Echantillon

- l’âge - l’éducationBelgique 1 277Pays-Bas 946Allemagne 1 755

- l’âgeFinlande 761Irlande 780Luxembourg 500Allemagne 1 755

France 1 757Espagne 1 776Italie 1 796

Suisse 773Portugal 805Grèce 776Pologne 764Pologne 764République tchèque 601Slovaquie 644Ukraine 780

© 2011 Deloitte

La taille totale de l’échantillon est de 18 354 sondés.

80 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Russie 1 104Afrique du Sud 759

Page 81: Deloitte Etude De NoëL 2011

Méthodologie de l’enquête

• Comme pour les années précédentes, nous avons utilisé des index sur les graphiques afin de comparer les pays. Voici une définition de ces index :

‒ nous déduisons les réponses négatives d’une certaine question des réponses positives de cette même question ;

‒ par exemple, sur la question de la situation économique actuelle du pays, si 42% de la population est optimiste et 12% pessimiste, il en résultera un index de 30% ;i l ê i 25% d i i 32%‒ si pour un autre pays, sur la même question, 25% des consommateurs sont optimistes et 32%

pessimistes, l’index sera de -7%.

© 2011 Deloitte81 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 82: Deloitte Etude De NoëL 2011

Méthodologie de l’enquête

• L’échantillon russe est plus représentatif des classes moyennes et supérieures puisque le sondage est réalisé via Internet. 95% de l’échantillon proviennent d’une ville comptant plus d’un million d’habitants.

‒ Moscou : capitale de la Russie et plus grande ville du pays, elle est le centre économique, politique et culturel du pays. Son agglomération représente plus de 10 millions d’habitants (8,9% de la population). Moscou représente 29,3% de l’échantillon russe ;

‒ Saint-Petersbourg : représente 29,8% de l’échantillon. C’est la seconde ville de Russie et la quatrième ville européenne ;ville européenne ;

‒ Nizhniy Novgorod : localisée dans le sud-ouest de la Sibérie, c’est la 3ème ville de Russie. Cette région est un centre industriel et représente 10,1% de l’échantillon russe ;

‒ Iekaterinburg est la quatrième ville du pays mais seulement la septième en termes d’apport industriel. Le secteur industriel domine dans l’économie locale Iekaterinburg représente 8 3% de l’échantillonLe secteur industriel domine dans l économie locale. Iekaterinburg représente 8,3% de l échantillon russe ;

‒ Rostov-na-Donu est la capitale de l'oblast de Rostov, au nord du Caucase et la 10ème ville de Russie. Elle représente 8,4% de l’échantillon russe ;

‒ Novossibirsk est la 5ème ville de Russie et est également un grand centre industriel (machinerie etNovossibirsk est la 5 ville de Russie et est également un grand centre industriel (machinerie et métallurgie). Cette ville représente 8,9% de l’échantillon russe.

© 2011 Deloitte82 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 83: Deloitte Etude De NoëL 2011

Méthodologie de l’enquête

• L’échantillon ukrainien a été interrogé par Internet. 80% des répondants habitent les villes suivantes :

‒ Kharkov (22,8% de l’échantillon) est la deuxième plus grande ville d’Ukraine. Elle se compose principalement d’entreprises du secteur industriel ;

‒ Kiev (23,2% de l’échantillon) est la capitale et la plus importante ville d’Ukraine avec 2,6 millions d’habitants. C’est un important centre industriel, scientifique, culturel et universitaire ;Lvov (8 3% de l’échantillon) est une des plus grandes villes et jouit d’une forte croissance Elle est‒ Lvov (8,3% de l échantillon) est une des plus grandes villes et jouit d une forte croissance. Elle est considérée comme un centre culturel majeur. L’industrie et la finance jouent un rôle important dans l’économie ;

‒ Odessa (7,8% de l’échantillon) est la 4ème plus grande ville d’Ukraine avec 1,1 million d’habitants ;‒ Nikolaïev (7,3% de l’échantillon) est le centre administratif de l'oblast de Mykalaiv mais aussi un pôle

de construction navale ; ‒ Dnipropetrovsk (6,1% de l’échantillon) est la 3ème plus grande ville ukrainienne avec 1,1 million

d’habitants tout en étant un pôle industriel majeur d’Ukraine ;d’habitants, tout en étant un pôle industriel majeur d’Ukraine ;‒ Donetsk (4,4% de l’échantillon) est la 5ème plus grande ville d’Ukraine avec 1 million d’habitants ; ‒ Sumy (4,1% de l’échantillon) est une ville de taille moyenne avec 290 000 habitants.

© 2011 Deloitte83 Un Noël au chaud - Avant la tempête, les consommateurs se tournent vers les traditions

Page 84: Deloitte Etude De NoëL 2011

Méthodologie de l’enquête

• L’échantillon sud-africain est plus représentatif des classes sociales moyennes et supérieures puisque l’étude a été administrée via Internet. Le sondage a été réalisé dans 9 régions :

‒ Gauteng (48% de l’échantillon) : l’étude a été menée dans deux principales villes, Johannesburg qui représente le centre économique et financier (elle apporte 40% du PIB) et Pretoria, 3ème ville d’Afrique du Sud ;

‒ Western Cape (22% de l’échantillon) : région touristique dont la capitale est Cape Town et représente‒ Western Cape (22% de l échantillon) : région touristique dont la capitale est Cape Town et représente 13% de l’échantillon ;

‒ Eastern Cape (7,3% de l’échantillon) : une des régions les plus pauvres d’Afrique du Sud. Les deux principales villes, Port Elizabeth & East London, ont cependant des économies développées basées

l’i d t i t bil P t Eli b th & E t L d é t t 4% d l’é h till d f i isur l’industrie automobile. Port Elizabeth & East London représentent 4% de l’échantillon sud-africain ;‒ Free State (3,2% de l’échantillon) : région qui repose principalement sur l’agriculture et l’industrie

minière dont la principale ville est Bloemfontein, carrefour routier et ferroviaire ;Kwazulu Natal (13 8% de l’échantillon) : région la plus peuplée d’Afrique du Sud ;‒ Kwazulu Natal (13,8% de l échantillon) : région la plus peuplée d Afrique du Sud ;

‒ Mpumalanga (3% de l’échantillon) : région de l’est de l’Afrique du Sud. En1995, son nom a été changé de Transvaal Est à Mpumalanga ;

‒ North West (2% de l’échantillon) : province de l’Afrique du Sud dont la capitale est Mafikeng ;( ) p q p g ;‒ Limpopo (1% de l’échantillon) : Limpopo est la région la plus au sud de l’Afrique du Sud, la principale

ville est Polokwane ;‒ Northern Cape (1% de l’échantillon) : vaste province peu peuplée de l’Afrique du Sud. Sa capitale est

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Kimberly.

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