DELF_B2 DIPLÔME D’ÉTUDES EN LANGUE FRANÇAISE DELF B2

8/12/2019 DELF_B2 DIPLÔME D’ÉTUDES EN LANGUE FRANÇAISE DELF B2

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Nom : Prénom : .

Code candidat : —

DIPLÔME D’ÉTUDES EN LANGUE FRANÇAISE

DELF B2

Niveau B2 du Cadre europ éen commun de r éf érence pour les langues

Nature des épreuves Dur ée Note surCompr éhens on de !’ora!Réponse a des questionnaires de compr éhension portant surdeux documents enregistr és :

3 min environ !2" # intervie$% &ulletin d ’informations% etc. 'une seule écoute(

# expos é% conf érence% discours% documentaire% émission deradio ou t élévisée '2 écoutes(.

Dur ée maximale des documents : 8 minutesCompr éhens on des é"r tsRéponse a des questionnaires de compr éhension portant surdeux documents écrits :

) h min !2"# texte a caractere informatif concernant la *rance ou

l’espace francophone# texte argumentatif.

Produ"t on #"r tePrise de position personnelle argument ée 'contri&ution a un ) h min !2"dé&at% lettre formelle% article critique% etc.(.

Produ"t on ora!e2 min maximum

Pr ésentation et d éfense d ’un point de vue a partir d ’un court!2" Pr é paration : 30 min

document d éclencheur

+euil de r éussite pour o&tenir le dipl ôme : " !)Note minimale requise par épreuve : "!2" Note tota!e $ %&'',ur ée totale des épreuves collectives : 2 heures 3 minutes

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D(CUMENT DU CANDIDATÉPREU)ES C(LLECTI)ES

Part e &C(MPR É*ENSI(N DE L ’(RAL

25 points

R é pondez aux questions en cochant ( ) la bonne r é ponse ou en écri!ant l ’ in"ormation demand ée#

E+er" "e & 5 points

$ous allez entendre une seule "ois un enre%istrement sonore de & minute '0 en!iron#$ous aurez tout d ’ abord & minute pour lire les questions# pres l ’ enre%istrement !ous aurez 3 minutes pour r é pondre aux questions#R é pondez en cochant ( ) la bonne r é ponse# isez maintenant les questions#

). « nitiative /c éane » est une op ération qui vise a :netto0er les plages.promouvoir le surf.lutter contre l ’érosion des dunes.

2. 1e nom&re de personnes qui ont particip é a l ’op ération était de :" " .

"" ." " .

3. 1 ’an dernier cette op ération s ’est d éroul ée dans )) pa0s :d’ urope% d ’ m érique et dans les ,om 4om.d’ urope% d ’ frique et dans les ,om 4om.d’ m érique% d’ frique et dans les ,om 4om.

5. 1 ’op ération est l ’occasion de sensi&iliser les & énévoles :aux dangers de la mer.au rec0clage des ordures.aux especes en voie de disparition.

". /n trouve le nom&re le plus important de d échets dans :le golfe du 1ion.la 6er du Nord.

la 6 éditerran ée.

E+er" "e 2 20 points

$ous allez entendre 2 "ois un enre%istrement sonore de 3 minutes en!iron#$ous aurez tout d ’ abord & minute pour lire les questions# Puis !ous écouterez une premiere "ois l ’ enre%istrement# *oncentrez+!oussur le document# ,e cherchez pas a prendre de notes#$ous aurez ensuite 3 minutes pour commencer a r é pondre aux questions#$ous écouterez une deuxieme "ois l ’ enre%istrement#$ous aurez encore 5 minutes pour compl éter !os r é ponses#

). Com&ien 0 a#t#il de langues parl ées dans le monde au7ourd ’hui 8 & point 999999999999999999999999999999

2. ,epuis un siecle% ce nom&re : & point a diminu é.

a augment é.est rest é sta&le.

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3. Compl éte le ta&leau. 2 points(r,an sat on des Nat ons Un es

Nom&re d ’états repr ésent és :Nom&re de langues officielles :

+u7ets a&ordés 'cite en deux(

5. ;uelles sont les langues officielles des Nations <nies 8 2 points

999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

". ;uels organes de l ’/N< utilisent ces = langues comme langues officielles et langues de travail 8 & point 999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

=. Parmi ces langues% quelle est la place particuliere du fran çais et de l ’anglais 8 & 5 point 999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

>. a( ;uelle est la fonction de 1ouis#,ominique /uedarogo aux Nations <nies 8 & point 999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

&( +ur quel su7et a#t#il particulierement travaill é 8 & point 999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

?. +elon lui% l ’utilisation des langues dans les diff érentes agences de l ’/N< est : & 5 point

coh érente.peu coh érente.on ne sait pas.

-. ;uelle organisation des Nations <nies a une seule langue officielle 8 & 5 point Nom de l ’organisation : 9999999999999999999999999999999999999999999999999999999

1a langue officielle est : 999999999999999999999999999999 depuis : 99999999999999999

) . ;uelle situation provoque l ’étonnement de la pr ésentatrice 8 & 5 point 99999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

)). +elon 1ouis#,ominique /u édragogo% la premiere raison qui explique cette situation est d ’ordre : & point politique

économiquehistorique et technique

)2. a( ;u ’appelle#t#on « interpr étation cons écutive » 8 & 5 point 999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

&( quelle autre technique d ’interpr étation l ’oppose#t#on ici 8 & point 999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

)3. <ne deuxieme raison a conduit a limiter le nom&re des langues de travail 8 1aquelle 8 & 5 point 999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

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Part e 2C(MPR É*ENSI(N DES ÉCRITS

25 points

E+er" "e & 14 points

<ne g énération inox0da&le

C@est un phénomene unique dans l@histoire franAaise% né d@une con7onction particulierement favora&le de ladémographie et de l@ économie plus rare que l@on sait d é 7a qu@il ne pourra pas durer. Ce ph énomene% c@est l@apparitiond@une génération in édite. N ée entre )-3= et )-" % elle fete au7ourd@hui ses " #"" ou =" ans et para ît en tout point horsnorme. ,@a&ord% parce qu@elle est fort nom&reuse. Ces plus de "" ans% qui furent les petits *ran çais &a&illants du &a&0#&oom de l@apres#guerre% repr ésentent au7ourd@hui )= millions de nos compatriotes% soit 2 de la population '...(

6ais ces nouveaux seniors ne sont pas vieux% ou tout au moins ne se sentent pas âgés. Contrairement a leurs a înés%partis a la retraite souvent us és par le travail et les pro&lemes de sant é% les sexag énaires d@au7ourd@hui ont a peinequelques meches grises. ls sont en g énéral &ien portants% soucieux de leur apparence% avides de loisirs% de vo0ages etde sport... '...(

l est donc de plus en plus anachronique de ne voir en la vieillesse qu@une image mor&ide de rigidit é% deconservatisme et de d écr épitude. 1es sexag énaires sont 7eunes. t fringants. ;ue vont#ils donc faire 8 Prendre leurretraite% comme la loi le leur permet 8 /u s@o&stiner a garder les renes de leurs entreprises% a occuper les postesd@administrateurs et les sieges électifs 8 '...(

t% en *rance% la classe politique pourrait &ien ressem&ler% tout du moins en nom&re d@ann ées% a un « pouvoir gris ».

Plus de la moiti é des s énateurs ont plus de = ans% l@ âge mo0en des maires de communes de plus de 3 " ha&itants estde "5 ans. dem pour ceux qui les élisent. lors qu@ils repr ésentent 2 de la population% les retrait és forment d é 7a3 des électeurs. Bref% la d émocratie a les tempes &lanchies. /r% quand les pap0#&oomers seront a la retraite% ilsauront encore plus de temps. Ne vont#ils pas accaparer les affaires pu&liques a leur avantage 8 *aut#il redouter unegérontocratie a la fran çaise 8 « *antasme » Dean#Philippe Eiriot#,urandal% ma ître de conf érences en sociologie al@université de *ranche#Comt é% en est convaincu. Eieux ne veut pas forc ément dire r éac. l en veut pour preuve deuxexemples% d écortiqu és dans son livre. ,@a&ord% la derniere élection pr ésidentielle% ou le vote pour le *ront national futautant le fait des 7eunes électeurs que de leurs a înés. 1a preuve aussi avec l@adoption de l@euro. « +ix mois apresl@introduction définitive de la monnaie unique europ éenne% les nostalgiques du franc étaient a peine plus nom&reux cheles plus de =" ans que dans l@ensem&le de la population – "3 % contre 5? »%écrit le sociologue. ;ui a7oute que« l@opposition entre les 7eunes g énérations% ouvertes sur le monde et sur l@avenir% et les anciennes% r étives au changementet r éfractaires a la nouveaut é »% ne serait que caricature.

'...( 7outons% pour parfaire ce ta&leau% que ces seniors ont re çu de la science la perspective d@un quart de siecle delong évité suppl émentaire travers é en relative &onne sant é. « = ans au7ourd@hui% on a encore devant soi vingt#cinq%voire trente ann ées »% explique Patrice 1eclerc% responsa&le du programme personnes âgées a la *ondation de *rance.4ous se disent actifs% se sentent 7eunes et le sont. » 4oniques% les pap0#&oomers sont format és pour le changement. 1eurhistoire est en effet aussi celle de la fin des certitudes. '...( <ne g énération d écrisp ée pour laquelle il est devenu presque&anal de refaire sa vie largement pass é l@âge de la retraite et tout aussi courant que ces nouveaux amoureux conserventchacun son logement. 1es pap0#&oomers sont individualistes% ce sont d@ailleurs eux qui ont mis en vogue le concept.'...( lors% que faut#il attendre de cette g énération si nom&reuse et si peu connue 8 « 1a soci été fran çaise ne s@est 7amaisdemand é comment accompagner le vieillissement inexora&le de sa population% anal0se Patrice 1eclerc% de la *ondationde *rance. 1e vieillissement était 7usqu@il 0 a peu une stricte affaire de famille. » /r% au7ourd@hui% c@est un défi massiflanc é a notre pa0s. , é 7a% les pro&lemes s@accumulent. ,e la prise en charge des personnes âgées d épendantes # « dansvingt ans% il 0 aura 2 5 personnes âgées de plus de ?" ans »% rappelle volontiers Fu&ert *alco% secr étaire d@Étataux Personnes âgées # au financement des retraites% les solutions manquent. *aute d@0 avoir r éfléchi% car la recherche surles cons équences sociales du vieillissement reste limit ée. +urtout éviter d@0 penser...

Pourtant% en 2 =% le choc d émographique sera rude. C@est l@ann ée ou les centaines de milliers de &a&0#&oomers% n éslors du pic des naissances de )-5=% arriveront a la retraite. C@est &ient ôt.

*atherine -olliau et É milie anez + © e Point 03.&0.03

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). Coche ER ou * <G et 7ustifie votre r éponse en citant un passage du texte. 3 points

ER * <G

). 1es retraités sont sur#représentés dans lHélectorat franAais par rapport aux autrestranches d ’âge.

Dustification :

2. l n’est pas rare pour les retrait és d ’au7ourd ’hui de s ’engager dans une nouvellerelation amoureuse.

Dustification :

3. 1es anciennes g énérations sont &eaucoup plus conservatrices que les 7eunesgénérations.

Dustification :

2. ,onne deux éléments qui permettent de penser que le pourcentage de retrait és dans la classe politiquefran çaise augmentera dans un avenir proche. 2 points 999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

3. ;uel est le ton des 7ournalistes quand elles concluent : « +urtout éviter d ’0 penser » 8 Coche la &onner éponse & point pol émique

ironiquedu&itatif

5. Releve trois caract éristiques qui distinguent les pap0#&oomers de la g énération qui les a pr écédés. & 5 point 99999999999999999999999999999999999999

99999999999999999999999999999999999999

99999999999999999999999999999999999999

". ;uels nuages pesent sur l ’hori on 2 = 8 2 points 999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999 999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

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=. xplique les expressions ou les mots soulign és ' 5 points / & 5 point par r é ponse<ne g énération inox0da&le

999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999 999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

a un I pouvoir gris J.

999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

*aute d@0 avoir réfléchi

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1e compte a re&ours

Conservation ou exploitation 8 1e dé&at n@est pas nouveau. l commence meme dé7a a dater. 1es éternelsaffrontements entre ceux qui militent pour la protection inconditionnelle de sanctuaires naturels et ceux qui d éfendentles int érets économiques des compagnies forestieres sem&lent meme pass és de mode. <ne voie m édiane commence as@imposer entre deux points de vue 7ug és longtemps inconcilia&les. 6ais au r0thme auquel les forets tropicales se

dégradent% il devient urgent de traduire sur le terrain une politique propre a p érenniser les ressources forestieres.+ur le continent africain% qui recele un cinquieme des forets tropicales du monde% il est d élicat d@éta&lir un palmaresdes risques que connaissent les ones expos ées. 1a prolif ération de la culture sur &rulis a largement d égrad é la foretivoirienne alors que le Ka&on a plus a craindre de l@ouverture de son couvert forestier a l@exploitation industrielle du&ois. 1a construction de routes et d@infrastructures dans les forets entra îne le plus souvent un afflux de populationincontr ôla&le% ce qui ne fait qu@accro ître le d é&oisement.

6ais ce n@est pas la le seul effet secondaire. 1a chasse est également li ée a l@exploitation forestiere% le commerce dugi&ier offrant des possi&ilit és lucratives. <n ouvrier forestier peut dou&ler son salaire en &raconnant un chimpan é% et lepercement des routes permet d@ écouler les produits de la chasse vers les grandes villes ou un march é florissant sedéveloppe.

1@exploitation est la plupart du temps confi ée a des soci étés priv ées europ éennes ou asiatiques. n regle g énérale%l@exploitation sélective qui en r ésulte n@entra îne pas de d é&oisement massif. t une foret &ien am énag ée pourraultérieurement fournir une nouvelle r écolte de &ois. Cependant dans certains cas% les exploitants veulent renta&iliserleur concession au maximum et dans des d élais &eaucoup trop courts d@un point de vue écologique. Reprochant aux

autorit és administratives l@a&sence de politique forestiere a long terme% ils profitent de la dur ée de leurs permis pourexploiter sans discernement tout ce qui peut se vendre afin d@accro ître leurs marges & énéficiaires.

,@autre part les pa0s d étenant une partie de la foret tropicale en font une source de revenus optimale a court terme.Pour ces États qui croulent sous le poids d@une dette ext érieure souvent insoutena&le% les revenus s0lvicoles en devisesconstituent une part importante de leur &udget et de leur produit int érieur &rut. Cr éatrice d@emplois% la filiere permetaussi de r ééquili&rer une &alance commerciale souvent d ésavantageuse% tout en diversifiant les activit és locales. Resteque la &onne gouvernance appara ît comme un facteur capital pour l@avenir de la foret. ,ans certains pa0s% la prise dedécision est aux mains d@un petit groupe de personnes ou de clans au sein du gouvernement qui considerent les foretsprimaires comme une source de revenus personnel a court terme% ce qui entra îne la conclusion de contrats rapportantprincipalement des & énéfices a l@investisseur et a certains fonctionnaires. 1a corruption se ressent a diff érents niveaux:les salaires sont si &as que les emplo0 és sont tent és d@accepter des pots#de#vin pour approuver des plans d@exploitationqu@ils n@ont 7amais vus.

*ace a cette pression du march é dou&lée d@une a&sence de contr ôle rationnel% la foret est#elle condamn ée 8 Pasforc ément% mais il ne s@agit pas de sous#estimer la menace. Plusieurs pa0s ont commenc é a appliquer les principes d@unegestion intelligente d@une ressource longtemps consid ér ée comme in épuisa&le. +imultan ément des forestiers seconvertissent a l@am énagement afin de proc éder a une exploitation s0lvicole rationnelle. Reste a faire de ces principesune regle pour tous. +inon le poumon de la terre continuera inexora&lement a dispara ître. u r0thme d@une vingtaine deterrains de foot&all par minute.

eune "rique 30 mai 2000

Réponde aux questions en cochant la &onne r éponse.

). 1@idée principale du premier paragraphe est que : & point la conservation et l@exploitation des forets sont incompati&les.

le d é&at entre écologistes et exploitants forestiers n@a pas [email protected] peut concilier la conservation et l@exploitation des forets.les exploitants forestiers ne sont sensi&les qu@a l@app ât du gain.

2. 1e deuxieme paragraphe signifie que : & point les risques que connaissent les ones expos ées sont les memes partout.

le classement des risques selon leur gravit é est indispensa&le.les pa0s sont class és en fonction de l@intensit é du d é&oisement qu@ils su&issent.les risques et leur gravit é varient d@un pa0s a l@autre.

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3. ,ans ce meme paragraphe% l@auteur estime que l@ouverture des routes : & point facilite l@aménagement des forets.

favorise la chasse du gi&ier.permet de vendre le gi&ier plus facilement.est une activit é lucrative.

5. ,ans le troisieme paragraphe% la plupart des exploitants... & point ont une vision a court terme de la renta&ilisation des forets.

pr éconisent une renta&ilisation progressive des forets.

soutiennent la politique forestiere locale.défendent une exploitation écologique de la foret.

". ,ans le quatrieme paragraphe l@auteur du texte estime que le d é&oisement a&usif dans certains pa0safricains : & point est la seule responsa&ilit é des exploitants forestiers.

est du au manque de vision des chefs d@ État qui ne sont pas concern és par [email protected] li é a la pauvret é du pa0s et parfois a la corruption de certains fonctionnaires.contri&ue a accro ître le d éficit &udg étaire de la nation.

=. ,@apres vous% l@auteur de l@article : & point prend position.

reste neutre.se veut allusif.

cherche la confrontation.

Dustifie votre r éponse en relevant une expression du texte. & point 999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

>. R éponde aux questions suivantes avec vos propres mots : 2 points par r é ponse

a( xplique le choix du titre « 1e compte a re&ours ». 999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999 999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

&( 6ontre en quoi certaines soci étés d ’exploitation ont une position am&igu ë vis a vis del’administration 8

999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999 999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999

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Part e -

PR(DUCTI(N ÉCRITE

25 points

Demande ar,ument ée

Eous etes de plus en plus nom&reux dans votre entreprise a avoir des enfants en &as âge. ,e plus% voussouffre du manque d ’espace dans vos &ureaux.

u nom de vos collegues% vous écrive au directeur pour demander a ce que chacun puisse travailler chelui.Eous lui indique les avantages du travail a distance 'en plus de ceux d é 7a cités( et le & énéfice quel’entreprise pourrait en tirer. '2" mots environ(

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D(CUMENT DU CANDIDATÉPREU)E INDI)IDUELLE

ÉPREU)E DE PR(DUCTI(N (RALE

25 points

30 min de pr é paration20 min de passation

Cons ,nes

Pr ésenter et d éfendre un point de vue construit et argument é a partir d ’un court texte d éclencheur., é&at avec l ’examinateur.

Eous d égagere le pro&leme soulev é par le document ci#dessous.Eous pr ésentere votre opinion sur le su7et de maniere argument ée et vous la d éfendre si n écessaire.

u choix su7et n °) ou su7et n °2

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D(CUMENT R.SER). AU/ C(RRECTEURS

C(RRIG É ET BAREME

Part e & 0 C(MPRÉ*ENSI(N DE L ’(RAL 0 21 po nts

E+er" "e &

5 points

Une p n"ée de sa !e dans !es d é"hets ') min 5 s(C@est reparti Eendredi% samedi et dimanche prochain% les surfeurs lancent pour la neuvieme ann ée « nitiative /c éane ». <neop ération destin ée a collecter les d échets accumul és sur les plages.1@an pass é% " " personnes avaient pass é au cri&le une centaine de sites dans )) pa0s d ’ urope% d@ frique et dans les ,om 4om.

lles ont ramass é 53 metres cu&es de d échets% de quoi remplir 2 &ennes a ordures. 1@op ération ne se &orne pas au netto0age.lle est aussi l@occasion de sensi&iliser les & énévoles et les curieux a la protection des oc éans ou encore au tri s électif des ordures

ménageres.Ramasser les d échets n@est pas une t âche si facile. l faut veiller a ce que les plus 7eunes ne touchent pas aux d échets dangereux. lfaut laisser sur place les &ois morts échou és sur les dunes : ils contri&uent a fixer le sa&le et a lutter contre l@ érosion éolienne. l fautéviter évidemment de pi étiner les ones sensi&les.<ne étude d@ fremer a montr é que les d échets s@accumulaient essentiellement a l@em&ouchure des fleuves% a proximit é des grandesagglom érations ou le long des routes des navires de commerce et de peche. vant de s@ échouer sur les plages% les d échets flottent

au gr é des vagues : on estime a " millions et demi le nom&re de d échets flottant dans le golfe du 1ion. Certains finissent par &oire latasse : )" millions de d échets sur les fonds de la mer du Nord ou encore 3 millions en 6 éditerran ée. 1es em&allages plastiquesconstituent l@échantillon le plus repr ésentatif : = a -" des d échets selon les sites.Nous sommes donc tous coupa&les disent les surfeurs. Rende #vous le $eeL#end prochain pour ramasser et pour faire passer cemessage : ne 7ete rien a la mer% elle vous le rendra 1a liste des sites de netto0age est disponi&le sur francedirecteinfo.com

,athalie 1ontrel Planete er 1rance+ n"os le &' ars 200'

). « nitiative /c éane » est une op ération qui vise a :netto3er !es p!a,es4

promouvoir le surf.lutter contre l ’érosion des dunes.

2. 1e nom&re de personnes qui ont particip é a l ’op ération était de :" " ."" .

1 1''4

3. 1 ’an dernier cette op ération s ’est d éroul ée dans )) pa0s :d’ urope% d ’ m érique et dans les ,om 4om.

d’Europe5 d’A6r 7ue et dans !es Dom Tom4 d’ m érique% d’ frique et dans les ,om 4om.

5. 1 ’op ération est l ’occasion de sensi&iliser les & énévoles :aux dangers de la mer.

au re"3"!a,e des ordures4 aux especes en voie de disparition.

". /n trouve le nom&re le plus important de d échets dans :le golfe du 1ion.la 6er du Nord.

!a Méd terranée4

DELF B2 Page ) sur >




E+er" "e 220 points

M6arion <r&an : # l 0 a entre = et > langues parl ées dans le monde% moiti é moins que celles que les linguistes ont recens éesdans les siecles pass és. nternet% nécessit é de l ’écrit o&lige% n’en a a&sor& é que pour l ’instant que )5 . l ’/rganisation desNations <nies% une institution qui regroupe )?- états% on n ’en a retenu que six. +ix% ce n ’est pas &eaucoup quand on veut se parler%quand on veut diffuser de l ’information sur des su7ets aussi importants que la guerre% l ’école% le sida% les droits de l ’homme% enfintoutes ces choses qui font l ’actualit é et le quotidien de = milliards de personnes% dont nous sommes. 6ais le pa0sage linguistique del’/N< et de ses agences n ’appara ît pas si formel% si compact% si homogene quand on s ’en approche% et c ’est ce qu ’a fait*rancophonie en se rendant a l ’un des sieges de l ’organisation a Keneve% en +uisse.1’/N< s ’est donc choisi = langues officielles : le fran çais% l’anglais% l’espagnol% le russe% le chinois et l ’ara&e # un choix dict é par ses

mem&res fondateurs et l ’évolution des adh ésions. 1 ’/N< doit donc fournir des services d ’interpr étation et de traduction dans ces sixlangues. Par ailleurs le fran çais et l ’anglais ont un dou&le statut% puisque ces deux langues sont aussi des langues de travail et doncprivilégiées dans l ’administration. Ce n ’est pas simple% et c ’est encore moins simple quand il s ’agit d ’autres agences des Nations<nies% comme l ’explique 1ouis#,ominique /uedraogo% nspecteur des Nations <nies% auteur d ’un rapport d ’enquete sur lemultilinguisme :# Ça varie d ’une organisation a l ’autre% et a l ’intérieur de la meme organisation% ça peut varier également. 1 ’ ssem&l ée g énérale et leConseil de s écurit é ont ces six langues a la fois comme langues officielles et langues de travail% mais si on prend un autre organeprincipal% qui est le Conseil économique et social% les langues officielles sont les memes six langues% mais les langues de travail sontanglais% fran çais et espagnol. +i on prend une organisation comme l ’<nion postale universelle% qui est la seule organisation de lafamille des Nations <nies ou le fran çais est la seule langue officielle% et cela depuis la cr éation de l ’<nion postale en )?>=.# Pourquoi on n ’a pas appliqu é d ’em&lée ces six langues officielles et on ne les pas institutionnalis ées comme étant des langues detravail 8# Ben% 7e crois qu ’il 0 a deux choses qui ont 7ou é% d’a&ord% historiquement% il faut &ien se rendre compte que au moment ou l ’/N< aété cr éée par la charte de +an *rancisco% la technologie de l ’époque en matiere d ’interpr étation n ’était pas ce qu ’elle est au7ourd ’hui.

/n en était encore a l ’interpr étation cons écutive au lieu de l ’interpr étation simultan ée.# Cons écutive% cela voulait dire qu ’en fait la personne parlait dans sa langue maternelle% et puis était traduite apres … # …et l ’interprete interpr était au fur et a mesure% alors quand vous le faites d é 7a entre deux langues% ça prend le temps qu ’il faut% s’ilfaut le faire en six langues% vous imagine un peu ce que ça repr ésente comme difficult é. De crois qu ’il 0 a eu d ’a&ord cette premierepro&lématique. 1a deuxieme pro&l ématique est évidente% c ’est que ça a un cout : plus de langues il 0 a% plus de ressources il fautpour assurer et l ’interpr étation et la traduction.

R1 a%azine 2002 4emaine 35

). Com&ien 0 a#t#il de langues parl ées dans le monde au7ourd ’hui 8 & point Entre 8''' et 9'''4

2. ,epuis un siecle% ce nom&re : & point a d m nué4

a augment é.est rest é sta&le.

3. Compl éte le ta&leau. 2 points(r,an sat on des Nat ons Un es

Nom&re d ’états repr ésent és : &:;Nom&re de langues officielles : 8

Deu+ r#ponses parm $ ,uerre5 #du"at on5 s da5 dro ts+u7ets a&ord és 'cite en deux(

de !’homme

5. ;uelles sont les langues officielles des Nations <nies 8 2 points Le 6rança s5 !’an,!a s5 !’espa,no!5 !e russe5 !e "h no s et !’ara e4

". ;uels organes de l ’/N< utilisent ces = langues comme langues officielles et langues de travail 8 & point L’Assem !ée , énéra!e et !e Conse ! de s é"ur té4

DELF B2 Page 2 sur >




=. Parmi ces langues% quelle est la place particuliere du fran çais et de l ’anglais 8 & 5 point E!!es sont non seu!ement !an,ues o66 " e!!es5 ma s auss !an,ues de trava !4

>. a( ;uelle est la fonction de 1ouis#,ominique /uedarogo aux Nations <nies 8 & point Inspe"teur4

&( +ur quel su7et a#t#il particulierement travaill é 8 & point Le mu!t ! n,u sme4

?. +elon lui% l ’utilisation des langues dans les diff érentes agences de l ’/N< est : & 5 point coh érente.

peu "oh érente4 on ne sait pas.

-. ;uelle organisation des Nations <nies a une seule langue officielle 8 & 5 point Nom de l ’organisation : !’Un on posta!e un verse!!e

1a langue officielle est : !e 6rança s depuis : &:98

) . ;uelle situation provoque l ’étonnement de la pr ésentatrice 8 & 5 point Le 6a t 7ue !es s + !an,ues o66 " e!!es ne so ent pasé,a!ement toutes des !an,ues de trava !4

)). +elon 1ouis#,ominique /u édragogo% la premiere raison qui explique cette situation est d ’ordre : & point politique

économique

h stor 7ue et te"hn 7ue

)2. a( ;u ’appelle#t#on « interpr étation cons écutive » 8 & 5 point La personne 7u par!e s ’e+pr me dans sa !an,ue et ! ’ nterprete tradu t ensu te4

&( quelle autre technique d ’interpr étation l ’oppose#t#on ici 8 & point L’ nterpr état on s mu!tanée4

)3. <ne deuxieme raison a conduit a limiter le nom&re des langues de travail 8 1aquelle 8 & 5 point Le "out de !a tradu"t on et de ! ’ nterpr état on dans un ,rand nom re de !an,ues sera t trop

é!evé4





Part e 2 0 C(MPRÉ*ENSI(N DES ÉCRITS 0 21 po nts

E+er" "e & 14 points

). Coche ER ou * <G et 7ustifie votre r éponse en citant un passage du texte. 3 points

ER * <G

). 1es retraités sont sur#représentés dans lHélectorat franAais par rapport aux autres

tranches d ’âge. /Dustification :

2. l n’est pas rare pour les retrait és d ’au7ourd ’hui de s ’engager dans une nouvellerelation amoureuse.

/Dustification :

3. 1es anciennes g énérations sont &eaucoup plus conservatrices que les 7eunesgénérations.

/Dustification :

2. ,onne deux éléments qui permettent de penser que le pourcentage de retrait és dans la classe politiquefran çaise augmentera dans un avenir proche. 2 points

Arr vée mass ve a !a retra te de "ette , énérat on en 2''8 $ p!us nom reu+4

Une 6o s en retra te5 auront p!us de temps $ p!us d spon !es pour !a po! t 7ue4

3. ;uel est le ton des 7ournalistes quand elles concluent : « +urtout éviter d ’0 penser » 8 Coche la &onner éponse. & point

pol émiqueron 7ue

du&itatif

5. Releve trois caract éristiques qui distinguent les pap0#&oomers de la g énération qui les a pr écédés. & 5 point Tro sé!éments parm !es su vants $ en portants5 sou" eu+ de !eur apparen"e5 av des de

!o s rs5 a"t 6s5 se sentent <eunes…

". ;uels nuages pesent sur l ’hori on 2 = 8 2 points Pro !eme du 6 nan"ement des retra tes =

>uest on de !a pr se en "har,e des personnes d épendantes4





=. xplique les expressions ou les mots soulign és ' 5 points / & 5 point par r é ponse<ne g énération inox0da&le

>u ne v e !! t pas5 ne rou !!e pas5 reste en p!e ne santé4

a un I pouvoir gris J.

Un pouvo r 7u appart ent au+ personnes â, ées ?"heveu+ ,r s@4

*aute d@0 avoir réfléchi

Par"e 7ue !es ,ouvernements n ’3 ont pas su66 samment pens é4


Réponde aux questions en cochant la &onne r éponse.

). 1@idée principale du premier paragraphe est que : & point la conservation et l@exploitation des forets sont incompati&les.

le d é&at entre écologistes et exploitants forestiers n@a pas [email protected] peut "on" ! er !a "onservat on et ! e+p!o tat on des 6orets4

les exploitants forestiers ne sont sensi&les qu@a l@app ât du gain.

2. 1e deuxieme paragraphe signifie que : & point les risques que connaissent les ones expos ées sont les memes partout.

le classement des risques selon leur gravit é est indispensa&le.les pa0s sont class és en fonction de l@intensit é du d é&oisement qu@ils su&issent.

!es r s7ues et !eur ,rav t é var ent d un pa3s a ! autre4

3. ,ans ce meme paragraphe% l@auteur estime que l@ouverture des routes : & point facilite l@aménagement des forets.

favorise la chasse du gi&ier.permet de vendre !e , er p!us 6a" !ement4

est une activit é lucrative.

5. ,ans le troisieme paragraphe% la plupart des exploitants... & point ont une v s on a "ourt terme de !a renta ! sat on des 6orets4

pr éconisent une renta&ilisation progressive des forets.soutiennent la politique forestiere locale.défendent une exploitation écologique de la foret.

". ,ans le quatrieme paragraphe l@auteur du texte estime que le d é&oisement a&usif dans certains pa0safricains : & point est la seule responsa&ilit é des exploitants forestiers.

est du au manque de vision des chefs d@ État qui ne sont pas concern és par [email protected] ! é a !a pauvret é du pa3s et par6o s a !a "orrupt on de "erta ns 6on"t onna res4

contri&ue a accro ître le d éficit &udg étaire de la nation.

=. ,@apres vous% l@auteur de l@article : & point prend pos t on4

reste neutre.se veut allusif.cherche la confrontation.

Dustifie votre r éponse en relevant une expression du texte. & point « ! dev ent ur,ent de »… ?prem er para,raphe@ ou en« Reste a 6a re de "es pr n" pes une

re,!e pour tous4 » ?dern er para,raphe@4 La ! ste n’est pas e+haust ve4

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>. R éponde aux questions suivantes avec vos propres mots : 2 points par r é ponse

a( xplique le choix du titre « 1e compte a re&ours ».Le "ompte a re ours s ,n 6 e 7u’ ! ne reste 7ue peu de temps avant 7u ’on pu sse nverser !e

"ours des "hoses "ar a"tue!!ement !es 6orets d spara ssent a ra son de 2' terra ns de 6oot a!!par m nute4 ? dée d’une 6oret « "ondamn ée »5 mena"ée dans !e dern er para,raphe@4

&( 6ontre en quoi certaines soci étés d ’exploitation ont une position am&igu ë vis a vis del’administration 8

Les so" étés repro"hent au+ autor t és adm n strat ves !eur a sen"e de po! t 7ue 6orest ere a

!on, terme ma s e!!es en pro6 tent pour sure+p!o ter !es 6orets4 E!!es se montrentrresponsa !es "ar e!!es ont pretes a ut ! ser !es 6a !!es des autor t és tout en !es "r t 7uant4?para,raphe -@4

DELF B2 Page = sur >




Part e - – PR(DUCTI(N ÉCRITE 0 21 po nts

B2 : Prise de position personnelle argument ée sous forme d ’une contri&ution a un d é&at% lettre formelle%article critique...

Respe"t de !a "ons ,neRespecte la situation et le t0pe de production

' '41 & &41 2demand ée.Respecte la consigne de longueur indiqu ée.

Corre"t on so" o! n,u st 7uePeut adapter sa production a la situation% au' '41 & &41 2

destinataire et adopter le niveau d ’expressionformelle convenant aux circonstances.Capa" té a pr ésenter des 6a tsPeut évoquer avec clart é et pr écision des faits% ' '41 & &41 2 241 -des événements ou des situations.Capa" té a ar,umenter une pr se de pos t onPeut d évelopper une argumentation en

' '41 & &41 2 241 -soulignant de maniere appropri ée pointsimportants et d étails pertinents.Cohéren"e et "oh és onPeut relier clairement les id ées exprim ées sousforme d ’un texte fluide et coh érent.

' '41 & &41 2 241 - -51 Respecte les regles d ’usage de la mise en page.1a ponctuation est relativement exacte mais peutsu&ir l’influence de la langue maternelle.Compéten"e !e+ "a!e %ortho,raphe !e+ "a!eÉtendue du vo"a u!a rePeut utiliser une gamme asse étendue de

' '41 & &41 2voca&ulaire en d épit de lacunes lexicalesponctuelles entra înant l ’usage de p ériphrases.Ma î tr se du vo"a u!a rePeut utiliser un voca&ulaire g énéralementappropri é &ien que des confusions et le choix de ' '41 & &41 2mots incorrect se produisent sans gener lacommunication.Ma î tr se de !’ortho,raphe ' '41 &Compéten"e ,rammat "a!e%ortho,raphe ,rammat "a!eCho + des 6ormes

un &on contr ôle grammatical. ,es erreurs non' '41 & &41 2 241 - -51

s0st ématiques peuvent encore se produire sansconduire a des malentendus.De,r é d’é!a orat on des phrasesPeut utiliser de maniere appropri ée des ' '41 & &41 2constructions vari ées.

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D(CUMENT R.SER). AU/ E/AMINATEURS

ÉPREU)E DE PR(DUCTI(N (RALE

25 points

30 min de pr é paration20 min de passation

Cons ,nes Pr ésenter et d éfendre un point de vue construit et argument é a partir d ’un court texte d éclencheur., é&at avec l ’examinateur.

Su<et n°&Eous d égagere le pro&leme soulev é par le document ci#dessous.Eous pr ésentere votre opinion sur le su7et de maniere argument ée et vous la d éfendre si n écessaire.

« La "r se d’ado!es"en"e n ’a r en d’une 6ata! té » Par ichel 1ize sociolo%ue au *,R4 (*entre national derecherche scienti"ique)

qui revient cette id ée folle d ’inventer% un 7our... la « crise » d ’adolescence 8 Dean#Dacques Rousseau lui#meme% le

philosophe p édagogue l n ’0 aurait% selon lui% qu ’adolescents r évoltés ou d éprim és... Pourtant% tout ceci n ’est qu ’unefa&le 1a crise d ’adolescence 'de la pu&ert é% en r éalité( n ’a rien d ’une fatalit é% ne r épond a aucun d éterminisme&iologique. t l ’opposition aux parents # aux enseignants quelquefois # n ’est pas une n écessit é% meme si les« sp écialistes » estiment que non seulement la crise existe% mais encore qu ’il vaut mieux la faire t ôt que tard. Noussavons maintenant que l ’erreur d ’anal0se tient au fait que la plupart des ps0chologues% ps0chiatres% ps0chanal0stes etmédecins parlent de l ’adolescence sur la &ase d ’o&servation de 7eunes en difficult é ps0chologique ou sociale% essa0antde comprendre et de dessiner le « normal » a partir du « pathologique ».

Su<et n°2Eous d égagere le pro&leme soulev é par le document ci#dessous.Eous pr ésentere votre opinion sur le su7et de maniere argument ée et vous la d éfendre si n écessaire.

) o!en"e $ !es é"rans en a""usat onUne 7uest on "omp!e+e 7u ne sem !e pas pres d etre r éso!ue

Ce n@est plus une vague mais un ra #de#mar ée. n urope et aux États#<nis% les associations familiales et detéléspectateurs% les instances de r égulation voire les cha înes elles#memes s@inquietent de l@impact de laviolence des films et s éries t élé sur les enfants. vec chiffres et exp érimentations a la rescousse. Comme cetteenquete de Colum&ia <niversit0 expliquant qu@un enfant regardant la t élé plus de trois heures par 7ourrisque cinq fois plus qu@un autre d@avoir un comportement violent a l@ âge adulte. '...( /u encore comme cestests canadiens d émontrant que le degr é de la violence accept ée par un 7eune est plus élevé que celui d@unadulte.*ace a certains « experts » pour qui la t élévision est responsa&le de tous les maux% d@autres comme KeorgeKer&ner% pionnier am éricain des études t élé% osent rappeler que l@industrie du film et les exigencesmercantiles sont a l@origine du ph énomene. « 1@homme n@a pas attendu la t élé pour tuer »% ironisel@universitaire canadien Richard 4rem&la0. 1e pro&leme% complexe% exige des r éponses forc ément nuanc éeset la responsa&ilisation des familles et des parents% eux#memes &ien souvent en crise. t puis il 0 a aussi

nternet : un mal chasse l@autre...!es+ arie ab é e onde du 3 mai 2003

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D(CUMENT R.SER). AU/ E/AMINATEURS

Gr !!e d’éva!uat on de !a produ"t on ora!e B2

&ere part e – mono!o,ue su v $ dé6ense d ’un po nt

de vue ar,ument é

Peut d égager le theme de r éflexion et introduire le' '51 & &51

dé&atPeut pr ésenter un point de vue en mettant enévidence des éléments significatifs et ! ou des ' '41 & &41 2 251 -exemples pertinentsPeut marquer clairement les relations entre les id ées ' '41 & &41 2 251

2 part e – E+er" "e en ntera"t on $ dé at eme Peut confirmer et nuancer ses id ées et ses opinions%

' '41 & &51 2 251 -apporter des pr écisionsPeut r éagir aux arguments et d éclarations d ’autrui

' '41 & &41 2 251 -pour d éfendre sa position.

Pour !’ensem !e de ! ’épreuve

Le+ 7ue ?étendue et ma î tr se@Possede une &onne vari été de voca&ulaire pour variersa formulation et éviter des r épétitions O le voca&ulaire ' '51 & &51 2 251 - -51 est pr écis mais des lacunes et des confusionssu&sistent.Morphos3nta+e

un &on contr ôle grammatical% malgr é de petites ' '51 & &51 2 251 - -51 51 1fautes s0ntaxiques.Ma î tr se du s3steme phono!o, 7ue

acquis une prononciation et une intonation claires et ' '51 & &51 2 251 -naturelles.

N(TE SUR 21 T(TAL $

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D(CUMENT R.SER). AU/ SUR)EILLANTS

TRANSCRIPTI(N DES D(CUMENTS AUDI(

4 ’ assurer a!ant de commencer l ’é preu!e que tous les candidats sont prets#’ enre%istrement sur cassette comporte l ’ ensemble des consi%nes ainsi que les temps de pause entre les écoutes# e sur!eillant ne

doit donc pas inter!enir sur le ma%n étophone a!ant la "in de l ’é preu!e#

M6ise en route du magn étophone

, 1* , 1*% niveau B2 du Cadre urop éen de R éf érence pour les 1angues% épreuve orale collective.

E+er" "e &

Eous alle entendre une seule fois un enregistrement sonore de ) minute 5 environ.Eous aure tout d ’a&ord ) minute pour lire les questions. pres l ’enregistrement vous aure 3 minutes pour r épondre aux questions.

Réponde en cochant ' ( la &onne r éponse. 1ise maintenant les questions.

Une p n"ée de sa !e dans !es d é"hets ') min 5 s(C@est reparti Eendredi% samedi et dimanche prochain% les surfeurs lancent pour la neuvieme ann ée « nitiative /c éane ». <neop ération destin ée a collecter les d échets accumul és sur les plages.1@an pass é% " " personnes avaient pass é au cri&le une centaine de sites dans )) pa0s d ’ urope% d@ frique et dans les ,om 4om.

lles ont ramass é 53 metres cu&es de d échets% de quoi remplir 2 &ennes a ordures. 1@op ération ne se &orne pas au netto0age.

lle est aussi l@occasion de sensi&iliser les & énévoles et les curieux a la protection des oc éans ou encore au tri s électif des orduresménageres.Ramasser les d échets n@est pas une t âche si facile. l faut veiller a ce que les plus 7eunes ne touchent pas aux d échets dangereux. lfaut laisser sur place les &ois morts échou és sur les dunes : ils contri&uent a fixer le sa&le et a lutter contre l@ érosion éolienne. l fautéviter évidemment de pi étiner les ones sensi&les.<ne étude d@ fremer a montr é que les d échets s@accumulaient essentiellement a l@em&ouchure des fleuves% a proximit é des grandesagglom érations ou le long des routes des navires de commerce et de peche. vant de s@ échouer sur les plages% les d échets flottentau gr é des vagues : on estime a " millions et demi le nom&re de d échets flottant dans le golfe du 1ion. Certains finissent par &oire latasse : )" millions de d échets sur les fonds de la mer du Nord ou encore 3 millions en 6 éditerran ée. 1es em&allages plastiquesconstituent l@échantillon le plus repr ésentatif : = a -" des d échets selon les sites.Nous sommes donc tous coupa&les disent les surfeurs. Rende #vous le $eeL#end prochain pour ramasser et pour faire passer cemessage : ne 7ete rien a la mer% elle vous le rendra 1a liste des sites de netto0age est disponi&le sur francedirecteinfo.com

,athalie 1ontrel Planete er 1rance+ n"os le &' ars 200'

E+er" "e 2

Eous alle entendre 2 fois un enregistrement sonore de 3 minutes environ.Eous aure tout d ’a&ord ) minute pour lire les questions. Puis vous écoutere une premiere fois l ’enregistrement. Concentre #voussur le document. Ne cherche pas a prendre de notes.Eous aure ensuite 3 minutes pour commencer a r épondre aux questions.Eous écoutere une deuxieme fois l ’enregistrement.Eous aure encore " minutes pour compl éter vos r éponses.

DELF B2 Page ) sur 2



D(CUMENT R.SER). AU/ SUR)EILLANTS

M6arion <r&an : # l 0 a entre = et > langues parl ées dans le monde% moiti é moins que celles que les linguistes ont recens éesdans les siecles pass és. nternet% nécessit é de l ’écrit o&lige% n’en a a&sor& é que pour l ’instant que )5 . l ’/rganisation desNations <nies% une institution qui regroupe )?- états% on n ’en a retenu que six. +ix% ce n ’est pas &eaucoup quand on veut se parler%quand on veut diffuser de l ’information sur des su7ets aussi importants que la guerre% l ’école% le sida% les droits de l ’homme% enfintoutes ces choses qui font l ’actualit é et le quotidien de = milliards de personnes% dont nous sommes. 6ais le pa0sage linguistique del’/N< et de ses agences n ’appara ît pas si formel% si compact% si homogene quand on s ’en approche% et c ’est ce qu ’a fait*rancophonie en se rendant a l ’un des sieges de l ’organisation a Keneve% en +uisse.1’/N< s ’est donc choisi = langues officielles : le fran çais% l’anglais% l’espagnol% le russe% le chinois et l ’ara&e # un choix dict é par sesmem&res fondateurs et l ’évolution des adh ésions. 1 ’/N< doit donc fournir des services d ’interpr étation et de traduction dans ces sixlangues. Par ailleurs le fran çais et l ’anglais ont un dou&le statut% puisque ces deux langues sont aussi des langues de travail et donc

privilégiées dans l ’administration. Ce n ’est pas simple% et c ’est encore moins simple quand il s ’agit d ’autres agences des Nations<nies% comme l ’explique 1ouis#,ominique /uedraogo% nspecteur des Nations <nies% auteur d ’un rapport d ’enquete sur lemultilinguisme :# Ça varie d ’une organisation a l ’autre% et a l ’intérieur de la meme organisation% ça peut varier également. 1 ’ ssem&l ée g énérale et leConseil de s écurit é ont ces six langues a la fois comme langues officielles et langues de travail% mais si on prend un autre organeprincipal% qui est le Conseil économique et social% les langues officielles sont les memes six langues% mais les langues de travail sontanglais% fran çais et espagnol. +i on prend une organisation comme l ’<nion postale universelle% qui est la seule organisation de lafamille des Nations <nies ou le fran çais est la seule langue officielle% et cela depuis la cr éation de l ’<nion postale en )?>=.# Pourquoi on n ’a pas appliqu é d ’em&lée ces six langues officielles et on ne les pas institutionnalis ées comme étant des langues detravail 8# Ben% 7e crois qu ’il 0 a deux choses qui ont 7ou é% d’a&ord% historiquement% il faut &ien se rendre compte que au moment ou l ’/N< aété cr éée par la charte de +an *rancisco% la technologie de l ’époque en matiere d ’interpr étation n ’était pas ce qu ’elle est au7ourd ’hui./n en était encore a l ’interpr étation cons écutive au lieu de l ’interpr étation simultan ée.# Cons écutive% cela voulait dire qu ’en fait la personne parlait dans sa langue maternelle% et puis était traduite apres …

# …et l ’interprete interpr était au fur et a mesure% alors quand vous le faites d é 7a entre deux langues% ça prend le temps qu ’il faut% s’ilfaut le faire en six langues% vous imagine un peu ce que ça repr ésente comme difficult é. De crois qu ’il 0 a eu d ’a&ord cette premierepro&lématique. 1a deuxieme pro&l ématique est évidente% c ’est que ça a un cout : plus de langues il 0 a% plus de ressources il fautpour assurer et l ’interpr étation et la traduction.

R1 a%azine 2002 4emaine 35

1ise a pr ésent les questions. Eous ave une minute.Écoute le document une premiere fois.Commence maintenant a r épondre aux questions. Eous ave 3 minutes.Écoute le document une seconde fois.Compl éte maintenant vos r éponses. Eous ave cinq minutes.1’épreuve est termin ée. Eeuille poser vos st0los.

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