Sécurité des trajectoires

de vie, emploi, revenu…

objectif à atteindre!

Sécurité des trajectoires

de vie, emploi, revenu…

objectif à atteindre!

Logement,quelle

stratégie?Une victoirepas deuxdéfaites!

Hebdomadaire de la fédération du Parti communiste fra

nçais - 9

8eannée - 1,20€

TLeTravailleurde Lot-&-Garonne

vendredi 31 mars 2017

N° 4704

Nouvelleindustrialisationen Lot-et-Garonne

Sommaireen bref p 2 et 3Macron, candidat anti-système? - Macron, degauche, je rêve! - Solidarité avec Standing Rock- Création d’un collectif « migrants 47 » - Grippeaviaire - Mauvais goût - ADRA47: des raisonsd’espérer - Assises de l’industrie : témoignage

à mon avis p 3actu p 4 à 8À l’initiative de la CGT: réindustrialisation enLot-et-Garonne - Centre-ville : « Il faut unestratégie volontariste » - Pour 2017, une victoireplutôt que deux défaites - Prélèvement à lasource (fin) - Pauvreté : s’attaquer à ses causeset non aux pauvres - Zoom sur le département- 100 migrants - Contre Lafarge et ses ravages :sauvez Gaujac !

à propos de p 8locales p 9Marmande - Auvignon - Casteljaloux -Villeneuve-sur-Lot - Agenculture p 10Rencontres-ciné - Festival - Théâtre avec G. Filo

che, P. Lacaze, des

représentants de la ga

uche,

du monde agricole, CN

L, SPF…avec G. Filo

che, P. Lacaze, des

représentants de la ga

uche,

du monde agricole, CN

L, SPF…

enbref

Un jeune militant de la CGT de Marmande a eu la chance dit-il,de pouvoir assister aux assises de l’industrie, le 22 février, à laCité des sciences et de l'industrie, à Paris. Voici une partie de sontémoignage: « Un millier de personnes étaient réunies pour parlerde l'avenir, en partant du constat du présent, dans tous lesdomaines professionnels, tant du public que du privé. Ons'inquiète tous de la « désindustrialisation », ce qui va resterdemain pour les générations à venir. La finance étouffe l'industriefrançaise, elle investit dans les pays à bas coût pour plus de profitstout en profitant de l'argent des contribuables français (CICE…).Sans industrie, pas de services publics, les deux sont inévitable-ment complémentaires… De nombreuses solutions ont été

évoquées… en abordant le passage aux 32 heures qui créerait

près de 4 millions d'emplois. Dans l'aéronautique, on pourraittransformer près de 4500 emplois d'intérim en CDI et pourvoirprès de 11000 emplois supplémentaires, en remettant la retraiteà 60 ans… Plusieurs camarades sont intervenus sur des projetsde demain dans le domaine des transports, de l'énergie nonpolluante, non fossile… L'industrie alimentaire, si souvent critiquéemais pourtant nécessaire, encore faut-il se poser les bonnesquestions : qualité des produits, méthode de culture, hygiène,circuits d'approvisionnement écologiques… Des solutions, il y ena, mais nous devons essayer d'élever un rapport de forcessuffisant, surtout dans la période préélectorale dans laquelle noussommes, pour peser sur les choix politiques : la solution, c'estd'agir nous, public, privé, privés d'emplois, retraités, tousensemble au niveau national et même international ».Un pays sans industrie n'a pas d'avenir ! Luttons pour unerenaissance industrielle écologique au service de l'humain.<

Marie-Renée Gérard

apport de plus d’un mil-liard d’euros. Une initi-ative non-violente est or-ganisée devant l’agencedu Crédit Agricole duPassage d’Agen le jeudi30 mars à 12h00.<

Création d’uncollectif

« migrants 47 »Le 14 mars s'est tenu aucentre Jean XXIII, àAgen, une réunion desdifférentes organisationsparticipant à l'accueil desmigrants. Il a été décidéde créer le collectif « Mi-grants 47 ». Les organi-sateurs indiquent qu’il sedonne pour mission decoordonner les actionsd’aide aux migrants, desensibiliser la société ci-vile à leur accueil et derappeler aux pouvoirspublics la nécessité derespecter les Droits del’homme. Ce collectif adécidé de procéder à unrassemblement et de re-prendre les cercles desilence selon le calen-drier suivant- vendredi 31 mars2017 à 18h00: cerclede silence, place Wilsonà Agen, et au même mo-ment à Villeneuve-sur-Lot- mardi 4 avril 2017 à18h00: réunion du col-lectif « migrants 47 » au

teur du groupe d'assu-rances AXA, il a aussicréé l'institut Montaigne,cercle libéral proche dupatronat) - Xavier Niel(patron d'iliad-Free) -Marc Simoncini (fonda-teur du site de rencon-tres Meetic) - Saïd Ham-mouche (patron du ca-binet de recrutementMozaïk RH) - CatherineBarbaroux (présidentede l'association pour ledroit à l'initiative écono-mique) - Françoise Hol-der (des boulangeriesPaul et Ladurée, long-temps membre actif duMEDEF, ex-sarkozyste,est une des neuf délé-gués d'En marche !) -Gaël Duval (PDG dejeChange.fr) - Axelle Tes-sandier (a lancé le mee-ting d’En marche) - Lu-dovic le Moan (sigfox) -Frédéric Mazzella (bla-blaCar).En bref, ce n’est pas malpour un candidat « horssystème »! <

Macron, degauche, je rêve!

Lu dans le petit journal« L'Étincelle » mars/avril,édité par la section PCFdes Coteaux de Guyen-ne : «Macron, de gauche,je rêve! »Pierre Gattaz, présidentdu syndicat patronal, le

local de l'ACAT, centreJean XXIII, 43 BD Édou-ard Lacour à Agen.<

Grippeaviaire

Soutien affirmé du Dé-partement - Au 22 mars2017, quatorze foyers pa-thogènes ont été repérésen Lot-et-Garonne sur leszones de Monbahus, Can-con, Puch-d'Agenais,Saint-Eutrope-de-Born etvingt élevages pour les-quels les canards ou pou-lets ont été euthanasiés.Sur le reste du territoirenational, 514 foyerstouchés ont été recensés.En concertation avec lachambre d’agriculture etses partenaires socio-éco-nomiques, le Départe-ment a décidé de doublerexceptionnellement en2017 sa participation aufinancement du fondsdépartemental d’aide auxexploitants agricoles, gérépar l’association pour laprévention et le redres-sement des exploitationsen difficulté et ainsi deporter sa contribution de32500 à 65000 euros. Cefonds, également financépar la MSA, permet l’ac-compagnement social etfinancier des exploitantsagricoles rencontrant desdifficultés ponctuelles.L’effort financier supplé-

MEDEF, exulte en parlantdu programme d'E. Ma-cron: « Globalement ça vadans le bon sens » dit-il.C'est donc que ça ne vani dans le nôtre, ni dansle vôtre, lecteur del'Étincelle! » <

Solidarité avecStanding Rock

Standing Rock est uneréserve Sioux Lakota,située à cheval entre leDakota du Nord et leDakota du Sud aux États-Unis. La lutte a réelle-ment commencé à l’été2016, alors qu’un projetd’oléoduc devait passerpar la réserve, en viola-tion des traités de 1868.Cet oléoduc géant doitégalement traverser larivière Missouri, consi-dérée comme sacrée parle peuple Sioux. Cetterivière traverse les États-Unis dans sa quasi-totalité. Si l’oléoduc sevide dedans, ce serait undésastre écologique ma-jeur. Il s’agit d’un projetconduit par de grandesmultinationales avec unmépris total des peupleset de l’environnement.Parmi les investisseurs,on retrouve quatre gran-des banques françaises :la BNP, le Crédit Agri-cole, la Société Géné-rale et Naxitis, pour un

Macron,candidat anti-système?

Macron, candidat décla-ré « ni de droite - ni degauche » s'offre unecampagne électoralegrand format qui vacoûter « bonbon ». Maisd'où vient l'argent de cethomme sans assise ? Iln'est pas inutile de sa-voir qui sont ses sou-tiens… Le monde de lafinance a trouvé son jou-eur de flûte pour se met-tre en marche ! La listeest longue : Henry Her-mand (milliardaire dessupermarchés qui finan-ça pendant des décen-nies le rocardisme, pro-che de Terra Nova, a étéle premier parrain d'E.Macron, dès 2002) -Claude Bébéar (fonda-

Assises de l’industrieTémoignage

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à monavisL'insécurité socialecancer du Lot-et-Garonne

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Le taux de chômage en Lot-et-Garonne (10,1 %)est supérieur au taux régional. En février 2017,il y avait 28750 demandeurs d'emploi inscritsà Pôle emploi en recherche active d'emploi.Près d’un sur deux était chômeur de longuedurée (un an et plus).La part des actifs en CDI dans l'emploi salariéy est la plus faible de la région (82,8 % contre84,4 %). Mais les emplois en CDD y sont les plusnombreux (17,2 %), tout comme l'intérim (+21 %en 2016), accentuant la précarité. Et la croissancede l'emploi (+3,6 % en seize ans) y est très faible.Avec un taux de pauvreté de 16,8 %, le Lot-et-Garonne est le deuxième département le pluspauvre de la Nouvelle-Aquitaine. Un quart desmoins de 30 ans et 1/6 des 75 ans ou plus sonttouchés. À peine 38,7 % des foyers acquittentl'impôt, faute de revenus suffisants. Le salairenet moyen est de l'ordre de 1341 eurosmensuel et le revenu net moyen de 1501 euros.En réalité, les facteurs qui pénalisent l’emploiau nom de la croissance contribuent à unaccroissement important du chômage et dela pauvreté. Des revenus plus faibles irriguentplus modestement l’économie locale.Ce qui empêche le développement de l'activitéet alimente chômage et précarité sociale.C'est un cercle vicieux. Rechercher la croissanceen baissant les dépenses sociales et publiquesutiles, en baissant le coût du travail,accentue l'effet vicieux.Il faut rompre avec cette insécurité socialeet d'emploi si l'on veut relancer la croissance.Ce n'est pas elle qui crée l'emploi et les revenus,comme disent les libéraux de tous poils. C'estl'inverse, c'est la sécurisation de l'emploi etdes revenus qui crée la croissance et la richesse.Il est donc essentiel que la sécurité destrajectoires de vie, la sécurité de l'emploiet des revenus tout au long de la vie, deviennentun objectif politique. Elle doit être à l'ordre dujour de la présidentielle et du futur quinquennat.Nous pouvons commencer à en débattredimanche 2 avril prochain à Marmande!

Frédéric Rauch<

TLeTravailleurdeLot-et-Garonne

Le Travailleur de Lot-et-Garonnefondé par RenaudJean, premier député communiste de France

directrice de la publication: Jacqueline Debord - rédaction: MichelCeruti, Lysiane Chantre, Edmond Coëdelo, Roger Déjean,Jean-Claude François, Marie-Renée Gérard, Daniel Heinrich,Nicolas Lucmarie, Monique Mirande, Frédéric Rauch, GuyRauzières, Vincent Santoro, Claude Vaccari, Élie Vergnollesédité et imprimé par SARL Le Travailleur du Sud-Ouest18, rue Jules Ferry 47006 AgenTél. 0553668259 - Fax 0553476101letravailleur@orange.frCCP 1309 19X Bordeaux 4e trimestre 2 016 - ISSN 1627-2471 - CPPAP N° 0620 C 86962

mentaire du Départementen 2017 permettra de veniren aide aux éleveurs depalmipèdes gras, en grandedétresse pour certains suiteaux épisodes successifs degrippe aviaire.<

Mauvais goûtAprès le mauvais goût dela dernière affiche de lacoordination rurale, dé-couvrez le « bon mot » deSerge Bousquet-Cassa-gne, président de la cham-

bre d’agriculture. Dans ledernier journal de cet or-ganisme, il a indiqué àpropos de l’abattage despalmipèdes: « on a « holo-causté » même les en-fants ». les mots ont unsens et dans le cas précis,tirer un parallèle entrel’holocauste et l’abattaged’animaux est réellementde très mauvais goût.L’outrance de ces proposn’a d’égal que le secta-risme et le clientélismedont il fait preuve…<

Site du PCF de Lot-et-Garonne: pcf47.fr

prélèvement automatique trimestriel : 15,24 € avec RIBabonnement 1 an : 58 € - abonnement 2 ans : 99 €abonnement de soutien : 1 an 76 € - 2 ans 122 €

Tarif d’abonnement

ADRA47Des raisons d’espérerL’ADRA 47 tient son 22e congrès,

vendredi 31 marsà 10h00 - salle Renaud Jean de Samazan

Son thème est : « Des raisons d’espérer ». Nousavons demandé à Guy Soulage, son président derépondre à nos questions.Vous baptisez votre congrès « Des raisonsd'espérer », quelles sont-elles pour le monde desretraités agricoles?La proposition de loi pressentez par André Chassai-gne, député PCF du Puy-de-Dôme sur la revalori-sation des retraites à 85 % du SMIC a été votée àl’unanimité des groupes politiques et donne de l’es-poir. Le passage au Sénat serait prévu en juin oujuillet.Vos actions ont amené à des réussites. Quels sontles combats qu'il reste à mener pour l'ADRA47?L’espoir donne du courage afin de poursuivre lescombats pour évoluer vers la parité et les 85 % duSMIC pour les conjoints et aides familiaux, la sup-pression de la CSG et du RDS pour les retraites endessous de 1200 euros par mois… <

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Le prélèvement à la source,un traitement en temps réelde l'impôt par rapport aurevenu? Faux.Le système fiscal français est telqu'il rend impossible la prévisionde l'impôt exact d'un contri-buable à un instant T. Il faudralaisser passer l'année entièrepour pouvoir déterminer le tauxd'imposition de la personne. Lesdivers changements de situationaboutiront fréquemment à desrectifications et des ajustementsde taux. À titre d'exemple, une

personne qui travaillera en 2018en CDD pendant six mois avecun salaire mensuel de 2000euros n'aurait théoriquement pasdû être imposée : pourtant ellesera bien prélevée et ne seraremboursée qu'en 2019 aprèsrégularisation!Le prélèvement à la source, plusefficace? Faux. Avec un taux derecouvrement actuel de l'impôtsur le revenu proche de 99 %, laFrance se caractérise par un desmeilleurs taux au monde! Avecun tiers collecteur, comme c'est

le cas actuellement pour la TVA,les déperditions seront inévi-tables : la fraude à la TVA estd'ailleurs estimée à 32 milliardspar an. Et que dire des entrepri-ses qui se feront de la trésoreriesur le dos de leurs salariés, oude celles, basculant en procé-dures collectives, qui n'aurontpas reversé les prélèvements àl'administration fiscale? Les ser-vices de contrôle, dont les ef-fectifs se réduisent, ne manque-ront sans doute pas d'êtresollicités sur ces sujets…

Les recettes de l'État seront doncde nouveau impactées, aggra-vant encore la dette publique etpermettant aux pouvoirs publicsde justifier de nouvelles coupesbudgétaires. Car, rappelons-le, leproblème de la dette n'est pas dûà une augmentation des dépen-ses publiques, mais bien à unediminution des recettes!

Le prélèvement à la source,inégalitaire?Vrai.Cela pose notamment un problè-me d'égalité homme femme. EnFrance, les femmes gagnent enmoyenne 20 % de moins que leshommes. Il sera possible, dansun couple, de prévoir deux tauxdistincts, mais à condition d'unedémarche active des contribua-bles concernés. Si l'un des con-joints baisse son taux, l'autredevra compenser : voilà qui ne

Nous poursuivons et terminons le traitement qu’en fait le syndicat des finances CGT surle département. Pour lui, le prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu effectif en2018 et présenté comme une simplification du paiement de l’impôt est un vrai le chevalde Troie d’une refonte de l’ensemble de la sphère des prélèvements fiscaux et sociaux…

À l’initiative de la CGT

Réindustrialisationen Lot-et-Garonne

La semaine dernière, l'uniondépartementale CGT s'inscri-vait dans le cadre de l'initiativenationale sur l’industrie, enorganisant un débat sur laRéindustrialisation du départe-ment. La soirée animée parFernand Gonzalez s’est dé-roulée à Ayet sous la prési-dence de Laurent Jacquelin,secrétaire de l’union dépar-tementale CGT. Claude Tressosa présenté un diaporama surl'évolution industrielle en Lot-et-Garonne, celle des salaireset de la valeur ajoutée. Il a

Prélèvement à la source (fin)

donné de nombreux élémentspour le débat avec des axesde propositions sur diversesfilières :bois, chanvre, aéronautique,agroalimentaire… On noterala présence de Michel Cerutipour le PCF, de MagaliCastagnet et Paul Laustriat duParti de gauche, avec uneassemblée de vingt-cinq per-sonnes. Michel Ceruti a rap-pelé le travail engagé par lePCF autour de l’industrie et lanécessité de travailler ensem-ble pour être efficace.<

On peut être surpris par cepourcentage qui est très sem-blable à celui de tous lescentres urbains des villes denotre pays. Il existe en France2,6 millions de logementsvacants.

Premier paradoxeIl existe d’un côté 1,8 millionde demandeurs de logement

social, et de l’autre 2,6 mil-lions de logements vides. Cephénomène tend d’ailleurs às’amplifier malgré les beauxdiscours des ministres suc-cessifs du logement puisqu’enseulement dix ans, l’augmen-tation du nombre de loge-ments vides a progressé de73 %.

Centre-ville

« Il faut une stratégievolontariste »

actu

À Nérac, suite aux travaux du dernier recensementde la population, le nombre de logements vacantsrépertoriés en centre-ville est de 650, soit environ20 % du parc de cette zone.

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Le slogan « des logementsvides, des gens à la rue » est deplus en plus d’actualité. Au-delà des orientations donnéesdans le plan local d’urbanis-me ou le plan de sauvegardeet de mise en valeur, cettequestion mérite d’être traitéerapidement.La municipalité de Nérac ad’ores et déjà débattu sur lesujet afin de trouver des so-lutions pour résoudre partiel-lement ce problème récurrentqui prive notre cité de millecinq cents consommateurspotentiels.Quelques mesuresenvisageables :

= une fiscalité incitative quiconsisterait à mettre en placeune taxe d’habitation sur leslogements vacants ainsiqu’une taxe d’aménagementminorée, permettrait certai-nement une mise en chantierde logements aujourd’huiinoccupés, exonérés de taxed’habitation et qui sont sou-vent impropres à être habités.= remettre sur le marché(vente-location) des loge-ments et donc permettre unrepeuplement du centre-ville= éviter une hausse de lapaupérisation par une amé-

lioration de la qualité du parcde logements.Afin de limiter les effets de cequi pourrait apparaître com-me une simple hausse de lafiscalité, nous envisageonsd’élargir le périmètre de l’aidecommunale à la pierre à toutlogement jusqu’alors exonéréde taxe d’habitation qu’il soiten secteur sauvegardé ou non,mais également d’élargir l’exo-nération de la taxe d’aména-

gement pour les abris dejardins.Nous envisageons aussi detravailler en étroite colla-boration avec les divers ser-vices de l’État compétents etles services concernés (CAF) etdéfinir, avec précision, les casdans lesquels les pouvoirs depolice du maire pourraient êtreactionnés.La pression sur les proprié-taires indélicats doit permettre,

à moyen et long terme, unemise à niveau des logementset éviter un développementtrop important de la paupé-risation du centre-ville.Aujourd’hui, « dynamiser lecentre-ville » relève d’unestratégie volontariste affir-mant la place primordiale dece dernier dans l’armature duterritoire. <

Jean-Claude Baury

favorisera pas la paix des mé-nages! Sans parler des couplesen instance de séparation…

Le prélèvement à la source,une position de force pourles entreprises au détrimentdes salariés?Vrai.Les entreprises connaîtront lestaux d'imposition de leurs sa-lariés. Certes, une démarche ac-tive permettra à un contribuablede demander l'application d'untaux neutre, mais combien leferont réellement? La connais-sance du taux par l'employeurpermettra à celui-ci de devinerl'existence éventuelle de revenusannexes (fonciers ou autres) etimpactera inévitablement lesnégociations salariales.De plus, avec le prélèvement à lasource et des taux de prélève-ment différents, la lisibilité des

salaires deviendra plus com-plexe, tout comme leur compa-raison. Les salariés verront leurposition de nouveau affaiblie.

La section CGT finances publi-ques de Lot-et-Garonne dénonce,par ailleurs, l'opacité de lacommunication gouvernemen-tale, tant vis-à-vis des salariésque des employeurs. Le rapportparlementaire souligne que c'est« l'administration fiscale, grâce àson maillage territorial… qui cons-tituera le relais privilégié de ladiffusion de l'information sur leterrain ». Or, avec une politiquede suppressions de postes, defermetures de services, etd'accueil « dématérialisé » surinternet, tout est fait pourdécourager les usagers de serendre dans nos services. De quise moque-t-on?

Le prélèvement à la source, sup-posé selon le gouvernement per-mettre une « rationalisation » desservices de la direction généraledes finances publiques, va en faitgénérer une usine à gaz, enimpliquant des services déjàexsangues et à ce jour nonconcernés par le recouvrementde l'impôt sur les revenus :Services impôt Entreprise,services de contrôle… et biensûr, un volume d'accueil crois-sant dans les services impôt desparticuliers.En réalité, la mise en place duprélèvement à la source incarneà terme la volonté de démantelerla mission recouvrement par sonexternalisation vers le privé. Il estlégitime aussi de s'inquiéter, àtravers cette réforme, sur unprojet de fusion entre l'impôt surle revenu et la CSG, visant à

terme à l'instauration d'un tauxunique et à la suppression de laprogressivité de l'impôt. Cetteperspective irait évidemment àl'encontre de l'équité fiscale, etfavoriserait, une fois encore, lesplus riches.Face à cette réforme absurde, lasection CGT finances publiquesde Lot-et-Garonne appelle l'en-semble des citoyens à exprimerson mécontentement, tant dansles urnes lors des prochaineséchéances électorales (en rap-pelant au passage son oppo-sition ferme à l'extrême droite)que dans la rue lors des pro-chaines mobilisations.Seule une mobilisationcollective d'envergure,dépassant les clivagessectoriels, peut aboutirà des changements con-crets.<

Pour 2017, une victoireplutôt que deux défaitesLe message monte dans le pays, notamment dans ledépartement. En témoigne la pétition massivementsignée sur les marchés de Lot-et-Garonne. Lancée depuismoins de quinze jours, cette pétition départementale aété signée à ce jour par plus de trois cents personnesde toute obédience à gauche. Elle appelle à amplifierle mouvement pour un rassemblement de toute la gauchesur une plate-forme commune de propositions et uncandidat unique de la gauche qui la porterait, afin dedébloquer la situation.Des soutiens de France insou-mise et de J.-L. Mélenchonjusqu'aux soutiens de B.Hamon et du PS, en passant

par les communistes, lesécologistes et lesprogressistes, tous ont signéavec ce souci de faire gagner

la gauche debout. Tous veulentun candidat à gauche mais pasdeux, parce que tous préfèrentune victoire plutôt que deuxdéfaites. Aucun ne veut deperdant magnifique!Rien n'est encore joué.Signons et faisons signer cettepétition. Tout est possiblejusqu'au dernier moment.Avec l'engagement populaire,la raison peut l'emporter.Cette démarche de rassem-blement sur un contenu pro-grammatique (suite page 6)

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partagé, où chacun àgauche doit pouvoirtrouver sa place, estla condition impéra-tive pour conjurer lacatastrophe. Ellepeut donner une

chance à la gauche d'être pré-sente au second tour de laprésidentielle et au pays de nepas avoir à endurer un parle-ment majoritairement « bleu-bleu marine ».Cette démarche fait écho àl'initiative de l'ensemble desappels à l'unité à gaucheimpulsée par une multituded'organisations politiques,syndicales et citoyennes re-présentant l'éventail de lagauche tout entière et qui adonné lieu à une manifes-tation à Paris samedi dernieret qui se traduira par unerencontre-débat publique dans

la semaine du 2 avril, avecl'ensemble des organisations.Le pays subit, depuis quinzeans maintenant et sans inter-ruption, une politique dedroite. Baisse de la dépensepublique et sociale, baisse ducoût du travail, flexibilité del'emploi et des revenus, ontété au cœur des réformesengagées par les gouverne-ments successifs. Ces poli-tiques austéritaires ont échoué.Il est urgent désormais demener une vraie politique degauche, d’en construire unecapable d'ouvrir sur une vraiepolitique de gauche.Nous en avons les moyens.S'il existe des différences évi-dentes entre les deux candi-dats et entre toutes les com-posantes de la gauche, il y aaussi beaucoup de commun.Nous pouvons ensemble bâtircette plate-forme alternative

de propositions programma-tiques réellement de gauche.Et ce commun n'exclut pas lasingularité.Nous pouvons d'ores et déjàtravailler ensemble un pactepour une sécurisation des tra-jectoires de vie, dimanche2 avril prochain, à Marmandelors de la journée de la fra-ternité. La porte est ouverte àtous ceux qui n'acceptent pas

qu'on prenne la gauche en ota-ge et qui ne lâcheront rien. <

(suite de la page 5)

actusur Casteljaloux

sur l’Agenais

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Face à cette recherche de boucémissaire parmi les plusfragiles dans la société, il estnécessaire de dénoncer lescontre-vérités prononcées tantpar des citoyens que par desélus. C’est le pari d’une cin-quantaine d’associations delutte contre l'exclusion et lapauvreté qui a démarré uneopération vérité sur la pau-vreté… « Alors que 8,8 millionsde personnes vivent sous le seuilde pauvreté en France, les dis-cours de certains responsablespolitiques se durcissent à leurégard » indique le collectif.Pour Florent Guéguen, direc-teur de la fédération des ac-teurs de la solidarité (Fnars) etporte-parole de cette initiative« on observe depuis plusieursmois un certain nombre dedérapages dans les prises deposition politiques sur la manièredont on parle des pauvres et dela pauvreté ». Il évoque mêmeun phénomène de « pauvro-phobie » en soulignant que les« pauvres et les exclus sontdevenus les boucs émissaires del'insuffisance des politiquespubliques ». Pourtant, loin de« profiter du système » commecertains le clament haut et fort,les personnes en situationd’exclusion ont des conditionsde vie insoutenables :privations multiples, honte duregard de l’autre, parcours ducombattant pour accéder à sesdroits…En ces temps électoraux, lecollectif invite « ensemble,choisissons le juste combat :attaquons-nous aux causes de la

pauvreté, et non aux pauvres! ».Voici quelques-unes des con-tre-vérités que combat lecollectif := « Pour sortir de la rue, les SDFn’ont qu’à chercher du travail » -un SDF sur quatre a un travail ;

= « Beaucoup préfèrent toucherle RSA plutôt que travailler » - leRSA est suspendu si l’alloca-taire refuse deux offres » ;= « La fraude sociale estresponsable du déficit de l’État »- la fraude sociale est estimée

La pauvreté est très marquée en Lot-et-Garonne, son taux de 16,8 % est le plusélevé après celui de la Creuse. Il estsupérieur de 3,5 points au taux régional.La pauvreté touche un quart des moinsde trente ans ainsi qu’une personne sursix de 75 ans ou plus.Les arrondissements de Villeneuve-sur-Lot et Marmande, où respectivement 18,3et 17,8 % des habitants vivent sous le seuilde pauvreté, sont particulièrement af-fectés.Les prestations sociales, également plusélevées, représentent 5,6 % du revenu

disponible (4,9 % pour la région). La partdes revenus d’activité est sensiblementinférieure à celle de la région (62,8 %contre 67,2 %).Fin 2014, 9,2 % des habitants âgés de 15à 64 ans sont allocataires d’un des troisminima sociaux (AAH, ASS, RSA socle),les allocataires du minimum vieillesse(ASPA, ASV) représentent 3,7 % de lapopulation contre 3,0 % en région. Cesproportions sont les plus élevées desdépartements de la région après laCreuse.Les bénéficiaires de la CMUC concernent7,7 % de la population départementale.Ainsi, le niveau de vie des Lot-et-Garonnais se situe en dessous de lamoyenne régionale. Leur revenu annuelmédian de 18132 euros les place enavant-dernière position devant les Creu-sois.Le Lot-et-Garonne n’échappe pas nonplus aux inégalités :les 10 % de personnes les plus aisées ontun niveau de vie supérieur à 32283 eurosannuels tandis que les 10 % les plusmodestes en ont un inférieur à 10011 eu-ros, soit un niveau 3,2 fois moins élevé.Le taux de ménages endettés par lesdépenses d’énergie place le départementdans les 20 % les plus touchés par cetteproblématique en France.<

à 150 millions d’euros par an,la fraude fiscale à 60 milliards ;= « Le problème du RSA, c’estla fraude » - 36 % des per-sonnes éligibles au RSA ne ledemandent pas.<

Nicolas Lucmarie

Pauvreté

S’attaquer à ses causeset non aux pauvres

« Les chômeurs sont des assistés », « les SDF ne veulent pastravailler », « on vit bien avec le RSA »… nombreuses sontles idées stigmatisantes qui circulent dans les discussionscourantes mais aussi dans les discours politiques…

Pauvreté

Zoom sur le département

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À propos de : la résistible conquêtede l’égalité hommes femmes (8/10)

Sous la féodalité et à la Renaissance, les serves, lesouvrières, les femmes de condition modeste n’avaientaucune, ou peu, de chances de se distinguer et des’émanciper (voir mon article de la semaine dernière).Ce sont (des) femmes de la noblesse et de la bourgeoisieà fort caractère et grand talent qui, bravant les tabous,les idées fausses et l’idéologie dominante, ont réussi às’affirmer, notamment dans le domaine littéraire.Dans le cadre limité de cet article, on peut citer quelquesgrands personnages féminins parmi d’autres (source : « Lafemme », par Marie-José Chombart de Lauwe).Aliénor d’Aquitaine (1122-1204) encourage les arts etlettres. Marie de France (1154-1189) est l’auteur de fableset de lais. Christine de Pisan (1365-1430), poétesse ethistorienne; veuve, elle élève elle-même ses trois enfantset défend les femmes, s’attirant les foudres de la noblesse

et de l’Église. Marguerite d’Angoulême (reine deNavarre) poétesse, auteur de « L’heptaméron ».Louise Labé (1524-1566), poétesse, elle anime un cerclede lettrés. La reine Margot (1553-1615), auteur depoésies et de mémoires. Madame de Sévigné (1626-1696) et ses fameuses « Lettres ». Madame de Lafayette(1634-1693), auteur notamment de « La princesse deClèves » qui a fortement influencé la littérature française.Ces femmes de la noblesse et de la bourgeoisie avaientgagné la possibilité de s’exprimer ce qui, en soi, étaitfavorable à l’émancipation future des femmes.Mais, même à la Renaissance, de nombreuses célébritéset personnalités étaient misogynes ou tenaient la femmedans un état de dépendance. C’était le cas de Bossuet(1627-1704) et de Jean-Jacques Rousseau (1712-1778).Le grand prélat et prédicateur Bossuet continuait àsoutenir que la femme était inférieure à l’homme puisque« la première femme n’était qu’une portion d’Adam ».Quand à Rousseau, il pensait que « le destin des femmesest de plaire et d’être assujetties… préparé aux travauxménagers… de mère et de nourrice ». (à suivre)<

Edmond Coëdelo

La situation resteabsolument critique ! Lessections de l’ARAC, particu-lièrement celles situées àproximité de la mer, sont auplus près de ces personnesdésespérées qui fuient ladictature, la guerre, la persé-cution, la famine… la séche-resse. Cette fuite s’organisesur des bateaux de fortune,en surcharge, sous la con-trainte de passeurs voyous.Ils sont sauvés parfois pardes bonnes volontés commeles volontaires sur le bateau«Aquarius ». Des milliers devies dépendent de la volontépolitique européenne: nousne pouvons pas rester insen-sibles à cette situation. Ilsont pris le risque de mourirplutôt que de rester dansleur pays, dans un voyageau bout de l’enfer : 46000migrants ont péri depuisquinze ans (plus de 5000 en2016). Comment ne pas

prendre en considérationcette catastrophe humani-taire et aboutir enfin à desrésolutions de l’ONU appli-cables immédiatement? Les

passeurs voyous doiventêtre poursuivis, les filièresanéanties… Et surtout, toutfaire pour changer cettetragédie, l’Union européen-ne doit s’engager. De plus,on ne peut pas laisser ceuxqui font preuve d’huma-nisme en aidant les mi-grants, être condamnés pourdes actes de solidarité.<

Gérard Vallée (ARAC)

100 migrantsInacceptable ! Près de 100 migrants senoient par semaine en Méditerranée. actu

Après les révélations sur ses finan-cements de Daech, après ses amen-des de 728 millions d'euros pour

pollutions aggravées et récidivesd'ententes coupables, après lesavertissements de l’État pour ses

impudences sur le« mur Trump » Lafargecontinue :trop c’est trop!Signez la cyberaction-pétition de cyberac-teurs…Cette pétition rencontreun franc succès puis-qu'elle a recueilli prèsde 4500 signataires enmoins d'une semai-ne!<

B. Poulmarc'h

Contre Lafarge et ses ravages: sauvez Gaujac!

http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/contrelafargeetsesravages-sauvezgau-1304.html

47local

village, l’autre, celle d'une militantequi, par le biais de sa convivialiténaturelle, organise des échanges devues autour de connaissances à sondomicile.En fait, une candidature unique de lagauche à la présidentielle pour lavictoire, ils la méritent tous cent fois,tout comme le dialogue à la sectiondu PCF, qui est un acquis. Et ce n’estpas rien également que Dany Blasco,Jean-Claude Baury, les candidats duPCF à la législative, avec FrédéricRauch, secrétaire du PCF 47, annon-cent leur participation à l’assembléegénérale de la section : jeudi 13 avril2017, dès 20h00, à St-Vincent-de-Lamontjoie, lieu-dit « Labourdasse »où tous les adhérents sont invités, demême qu'à Marmande ce 2 avril. <

J. Farré

STEICO: un projetprend forme

« Sans trêve ni repos », le comité desoutien autour des militants et élussyndicalistes de l'entreprise STEICOet de l'UL de Casteljaloux, avec desmilitants, des élus communistes etFront de gauche, travaille à construireun projet industriel a contrario de lapolitique de liquidation de la mul-tinationale. Chaque semaine estauditionné qui, une personnalitéprofessionnelle, qui un spécialiste duchanvre, un autre du peuplier… Letout vise à faire apparaître aux yeuxde tous que d'autres choix sont pos-sibles pour, non seulement stopperles licenciements (pour le moment,les neuf derniers sont refusés par ladirection du travail ; une réunion duCE est prévue le 6 avril) mais surtoutpour développer à nouveau cetteentreprise sur ce territoire des forêtsde Gascogne dévasté par les politi-ques d'abandon de l'industrie auprofit des gros de la finance qui nesavent plus que faire de l'argent avecl'argent de la spéculation financière.Chacun peut bien se rendre à l'évi-dence, le capitalisme financier est deplus incapable d'obtenir son taux deprofit dans l'industrie sauf à plier lespeuples et les pays à bas coût de

Casteljaloux

Candidat communistesur le marché

Comme chaque samedi les militants,avec leur candidat, ont arpenté lemarché pour défendre l'idée d'unecandidature commune à la prési-dentielle et ont porté l’invitation duPCF au débat du 2 avril sur les trajec-toires de vie. La pétition a reçu 25 si-gnatures. <

Vie du PCF:ce n’est pas rien…

Dans une situation compliquée, lescommunistes de l’Auvignon se sontparlé lors de l’assemblée tenue le19 janvier à « Barrens » commune deLaplume, chez Vincent Bacque:unanimes pour tourner la page d’unepolitique de droite néfaste, maisdécidés de s’engager vers une dif-férente et éviter peut-être la pireencore. Depuis, des militants sontvisibles en différents lieux du secteur« non pour s’épier où se compter »,mais pour intervenir chacun à partirde lui-même dans le sens de l’humainet sa manière d’être communiste.Ceci, selon qu’ils se soient rendus àdes initiatives départementales duPCF, de la France insoumise ou ayantparticipé à la primaire du PS ; maisaussi, assurant le succès des réunionsd’associations de défense, celles del’ADRA à Saint-Vincent-de-Lamontjoie,du collectif de défense de la ligneAgen-Condom à Lamontjoie, ou demémoire avec MER 47 à Laplume. ÀSt-Vincent-de-Lamontjoie, notonsdeux initiatives menées par des jeu-nes communistes : l'une au conseilmunicipal avec l'élu, sur le sujet del’inauguration à venir de la place du

Marmande

Auvignon

main-d'œuvre à leur exploitationmaximum (comme pour STEICO enPologne).D'où la course aux paradis fiscaux quia rapporté aux banques l'an passé,plusieurs dizaines de milliards d'eu-ros, sans avoir à produire le moindreordinateur ou panneau d'isolant, lamoindre batterie de voiture élec-trique… Mais c'est un désastre pourle peuple et les jeunes en premierlieu. D'où le nécessaire rassem-blement de tous les électeurs degauche, y compris les millionsd'abstentionnistes écœurés par lestrahisons des élus, avec, en cemoment, une candidature uniqueavant le premier tour. <

JCF

Faire sociétéLa section villeneuvoise de la Liguedes droits de l’homme organise undébat public le vendredi 7 avrilprochain, de 18h00 à 20h00 à lamaison de la vie associative. Il porterasur trois grandes questions primor-diales, selon l’association : « noslibertés, qui s’amenuisent au fur et àmesure que les pouvoirs de l’État serenforcent ; notre démocratie et sesinstitutions qui, manifestement,entraînent de moins en moins l’adhé-sion; notre capacité à faire société enrespectant le primat de l’unique etégale humanité ». Le débat est ouvertà tous les citoyens. <

Les Montreursen assemblée

L’assemblée générale annuelle del’association Les Montreurs d’Imagesse tiendra le jeudi 13 avril à partir de18h00. La soirée est réservée auxadhérents. Le programme est lesuivant :18h15 - séance surprise, offerte auxadhérents19h45- buffet offert, verre de l’amitié20h30- assemblée générale <

Villeneuve-sur-Lot

Agen

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culture

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