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Vendredi 8 Septembre 2017 Reprise des répétitions

Samedi 11 Novembre 2017

Cérémonie officielle du 11 Novembre

Dimanche 26 Novembre 2017

Concert de Gala

Samedi 2 Décembre 2017 Audition de Ste Cécile

et Banquet de fin d’année

Vendredi 6 Janvier 2017 Reprise des répétitions

Vendredi 27 Janvier 2017 Assemblée Générale

Dimanche 26 Mars 2017 Concert de Printemps

Dimanche 11 Juin 2017 - 11 h Concert à la Colombe, Maison de Retraite

Mercredi 21 Juin 2017 - en soirée Fête de la Musique

http://philharmonie.roncq.free.fr/

- Editorial du Président - Projet d’Agenda 2017 - L’agenda en ligne - Nouveaux musiciens en 2016 - Comité de Rédaction du Diapason N° 30 - Concert du 27 Novembre 2016 « Un Ticket pour l’Espace » - Dis-moi qui tu es ? - Le renouvellement de la Commission en janvier 2017 - Jeu - Les Planètes de Gustav HOLST - Le Club d’Astronomie de la Région Lilloise - Sur les pas des pionniers - Sortie culturelle au Nouveau Siècle, Ciné-Concert de l’ONL - Jean-Claude Casadesus au forum des associations à Roncq en 1993 - Eli, Lorenzo et Raphaël découvrent les planètes à la Coupole - Le saviez-vous ? - Mini-Rétro Photos 2015-2016 - Si La Philharmonie m’était contée : Le Château Verhaeghe - Opération Membres Bienfaiteurs et V.I.P.

http://www.ville-roncq.fr/

Sur notre site internet :

Toutes nos manifestations et photos

Egalement sur le site

de la Mairie de Roncq, menu :

R.A.R. Réseau Associatif Roncquois

Dimanche 27 Novembre 2016 - 17 h : Concert de Gala - Eglise St Piat

Samedi 3 Décembre 2016 : Audition de Ste Cécile à 18 h 30 - Eglise St Roch

et Banquet de Ste Cécile, salle Georges Catry

Rédaction : . Christophe CARTERON (CARL) . Ludovic DENEUVILLE . Pascal DENEUVILLE . Dominique DUBOIS . David LEBRUN . Julien LEROY (CARL) . Daphné MARLIERE . Catherine PIENIEZNY . Archives de La Philharmonie

Crédits Photos : . C.A.R.L. . Mairie de Roncq . Pascal DENEUVILLE . Archives de La Philharmonie

Maquette Affiche et Flyer du Concert : . Fernando ROCHA

Régie Publicité : Didier CNOCKAERT et Pascal DENEUVILLE

et avec la complicité de : Rémi ANTSON

Marie DELTOUR - Flûte

Marie-Charlotte MER - Clarinette

Cher(e)s ami(e)s et musicien(ne)s.

Cette année, c’est avec la tête dans les étoiles que je tente de trouver l’inspira-

tion pour cet édito 2016 ! Alors, assis devant mon clavier, je décide de me ren-

dre sur youtube et de taper juste « Les planètes de HOLST »..C’est d’actuali-

té !! Quelques premières notes résonnent très vite et finalement je m’arrête sur

la douceur musicale de Vénus.

Et là, en cherchant bien, les yeux fermés, je commence à m’évader (sans fumée

et sans alcool bien sûr) Je me laisse porter par un voyage imaginaire dans notre

magnifique galaxie. Je vois ces planètes ou ces astres faisant ressortir des cou-

leurs extraordinaires dans un fond noir crépusculaire.. Les minutes passent, les

images défilent dans la tête, le tout bercé par le son du cor et du violon .. Et la

magie de la Musique agit. 10 minutes de bonheur et de détente. Le temps s’est

arrêté quelques instants… le temps de profiter de cette harmonie naturelle et

bienfaisante entre l’homme et la Musique..

La musique, 4ème Art de notre culture a pour définition : capacité intuitive de

l’homme de combiner les sons de façon mélodique, rythmique et harmonique.

C’est bien de le dire, mais c’est encore mieux de le mettre en pratique.

Et grâce à vous tous, sous la direction et surtout l’oreille efficace de Francis et

Baptiste, c’est à l’occasion de nos rencontres chaque vendredi soir que nous

tentons de nous exercer au mieux de nos intuitions dans ce 4ème Art.

Avec certainement, nos forces et nos faiblesses, c’est vrai, mais dans le but cer-

tain de nous offrir un instant de plaisir autour de la même passion qui nous ani-

me : la Musique, l’Harmonie, et l’Amitié.

Et c’est donc le Dimanche 27 Novembre à 17 h que nous pourrons offrir à

notre public le fruit de notre travail à travers notre concert intitulé :

« UN TICKET POUR L’ESPACE ».

Un grand voyage musical à la découverte de notre système solaire et un peu

plus… Nous avons tenté avec Florent MACKER, Paul GOURMEZ et l’ensem-

ble de la commission de nous rapprocher au plus près de la réalité scientifique

dans les commentaires et les images proposés dans la présentation de ce

concert.

Le soutien apporté par le CARL (Club d’Astronomie de la Région Lilloise)

donnera une dimension scientifique supplémentaire à cet événement musical et

culturel.

Je profite aussi de l’éditorial de cette fin d’année 2016 pour remercier et félici-

ter l’ensemble des membres de la commission qui ont œuvré activement et effi-

cacement pendant ces trois dernières années au sein de la Philharmonie.

En effet, 2017 sera l’occasion pour notre association de renouveler les mem-

bres de sa commission. Alors, dans l’intérêt du bon fonctionnement de la Phil-

harmonie, et pour maintenir une bonne dynamique associative, nous serions

ravis de voir de nouvelles recrues nous rejoindre. (voir en page 6)

Enfin, à vous tous musiciens, et musiciennes, je vous souhaite une très bonne

fête de Sainte Cécile, et vous invite dès maintenant à réserver vos places pour

notre banquet de fin d’année prévu salle Catry le Samedi 3 décembre 2016 à

20H00, et qui sera précédé de notre traditionnelle audition à l’Eglise St Roch.

Bien amicalement et musicalement

David LEBRUN

MERCURE : MERCURY MARCH - Jan Van der Roost

VENUS : L’AMOUR SORCIER - Manuel de Falla

TERRE : AROUND THE WORLD - Jean-Philippe Vanbeselaere

MARS : LES PLANETES DE HOLST : MARS

E.T. - John Williams

JUPITER : LES PLANETES DE HOLST : JUPITER

SATURNE : AMMERLAND - Jacob de Haan

URANUS : MOONLIGHT SERENADE - Glenn Miller

NEPTUNE : CONQUEST - Alfred Newman

EXO-PLANETES : AVATAR - James Horner

——

Direction : Francis BILLET & Baptiste VANDEVOGHEL

Scénario du concert : Florent MACKER

Réalisation technique & vidéo : Paul GOURMEZ

Le Tuba, c’est ce grand instrument de musique qui peut atteindre une longueur

développée de 5,5m. Le plus souvent en laiton, muni de trois à six pistons et

d’une embouchure, il est classé dans la catégorie des cuivres.

Comme tous les instruments à son grave, il illustre le sérieux, la sévérité, la

rigueur, la rigidité, l’austérité, la patience, la persévérance ….

Il n’a que 16 ans, il a rejoint le pupitre des cuivres de la Philharmonie en

septembre 2014.

Le Diapason a voulu en savoir plus sur Rémi ANTSON.

Le Diapason :

Que fais-tu dans la vie ?

Rémi :

Je suis en 1ère S, aujourd’hui je ne

sais pas vraiment ce que je veux

faire plus tard, ça restera dans le

domaine scientifique ou technolo-

gique. Peut-être ingénieur mais je

ne sais pas dans quel domaine.

Le Diapason :

Quels sont tes centres d’intérêts ?

Rémi :

Je suis passionné de musique,

j’aime beaucoup les cuivres, j’ai

déjà essayé la trompette mais le

tuba reste l’instrument que je pré-

fère.

Je fais du rugby, c’est ma premiè-

re année et ça me plait. C’est un

sport que je compte pratiquer

longtemps.

Le Diapason :

A quel âge as-tu commencé la

musique, Raconte-nous ton par-

cours musical ?

Rémi :

J’ai commencé les cours à 7 ans,

et j’ai tout de suite accroché au

Tuba.

C’est le Tuba qui m’a donné en-

vie de me lancer dans la musique.

Vers l’âge de 12 ans, J’ai fait 2

ans de trompette mais J’ai arrêté

parce que le Tuba m’intéressait

plus.

J’ai terminé le solfège il y a 4 ans.

Aujourd’hui, je suis toujours à

l’école de musique de Roncq pour

les cours de Tuba avec Mr Ber-

trand Monet.

Le Diapason : Qu’est-ce qui t’a donné envie de

faire de la musique ?

Rémi : Tout petit, j’écoutais des musiques

que je retenais pour les rechanter.

Je me suis dit : pourquoi pas me

lancer dans la musique et pratiquer

un instrument.

Le Diapason :

Pourquoi as-tu choisi cet instru-

ment de musique ?

Rémi :

C’est un coup de cœur que je ne

sais pas expliquer.

Le Diapason :

Tu n’as pas eu envie de jouer d’un

autre instrument ?

Rémi :

J’ai essayé la trompette.

La percussion m’intéresse. J’aime

beaucoup le rythme et l’accompa-

gnement.

Le Diapason :

Quel est l’instrument que tu ne

voudrais vraiment pas apprendre ?

Rémi :

Je n’aime pas trop tous les instru-

ments harmoniques, je trouve que

c’est trop difficile.

Le Diapason :

Y a-t’il d’autres personnes de ta

famille qui font ou on fait de la mu-

sique ?

Rémi :

Mes parents étant jeunes ont fait de

la guitare, pas longtemps mais ils

aimaient bien. Il y a aussi mon

grand-père qui faisait du trombone.

Aujourd’hui, il ne peut plus en

jouer mais il en a joué très long-

temps, c’est ce qui a fait sa vie.

Le Diapason :

Quand es-tu rentré à la Philharmo-

nie ?

Rémi :

Je suis rentré à la Philharmonie, en

septembre 2014.

Le Diapason :

Qu’est-ce que tu apprécies à la

Philharmonie ?

Remi : J’apprécie les personnes, accom-

pagner tout un groupe. J’aime

quand on joue tous ensemble.

Le Diapason :

Que t’apporte la Philharmonie ?

Rémi :

Le plaisir de jouer ensemble.

Le Diapason :

Quel est ton meilleur souvenir à la

Philharmonie ?

Rémi :

Les bons morceaux.

Le Diapason :

Tes morceaux préférés à la Phil-

harmonie ?

Rémi :

Je n’ai pas de préférence.

Le Diapason :

D’un point de vue musical en gé-

néral, qu’est-ce que tu aimes ?

Rémi :

J’aime vraiment tout.

J’écoute toutes les musiques, tous

les styles, il y a peut-être le jazz

que j’aime le moins.

Le Diapason :

Si tu avais une seule chose à dire à

la Philharmonie, quelle serait-

elle ?

Rémi :

On m’a invité, j’ai accepté. Je suis

très content d’être là.

Basket

Le 27 janvier 2017, lors de notre prochaine Assemblée Générale, aura lieu le vote triennal pour le renou-

vellement de la commission administrative.

Nous vous rappelons que, conformément aux statuts, la Commission est composée de 12 membres ma-

jeurs, élus pour une durée de 3 ans. Les membres sortants sont rééligibles.

Nous lançons un appel à candidatures. Cela doit être l’occasion, pour chaque musicien qui le souhaite, de

s’investir dans la vie de la société et de prendre des responsabilités au sein de la commission. Celle-ci se

réunit environ 3 à 4 fois dans l’année. Chaque membre de la commission élue a un rôle à jouer dans la

bonne marche de La Philharmonie.

Si vous êtes intéressé, n’hésitez pas à contacter notre Président David LEBRUN.

Réponses en Page 10

Statue de Holst dans sa

ville de naissance,

Cheltenham.

Il est représenté avec la

baguette dans sa main

gauche, ce qu'il faisait

souvent à cause de sa

neuropathie touchant le

bras droit.

Gustav Holst, est un compositeur anglais (1874-1934).

Bien que principalement connu pour sa suite orchestrale

Les Planètes, il a composé un grand nombre d’œuvres

de genres divers, mais aucune n'a eu autant de succès.

Son style de composition particulier est le produit de

plusieurs influences dont celle du renouveau des chan-

sons populaires anglaises au début du XXe siècle.

Un famille de musiciens professionnels

Les trois générations de la famille Holst le précédant

comptaient des musiciens professionnels et il était clair

dès son enfance qu'il serait musicien. Il voulait être pia-

niste mais n'a pas pu à cause d'une neuropathie touchant

son bras droit. Malgré les réserves de son père, il entama

une carrière de compositeur, étudiant au Royal College

of Music. Incapable de vivre de ses compositions, il joua

du trombone professionnellement et devint plus tard

professeur. Parmi ses autres activités d'enseignement, il

a été le directeur musical de 1907 à 1924 au Morley

College. Il est le fondateur d'une série de festivals de

musique de Whitsun qui ont eu lieu de 1916 à sa mort.

Les Planètes : un succès international

Les œuvres de Holst étaient jouées régulièrement au dé-

but du XXe siècle mais sa notoriété n'est vraiment venue

que grâce au succès international des Planètes dans les

années suivant la Première Guerre mondiale. Timide,

Holst n'appréciait pas cette renommée et préférait com-

poser et enseigner.

Dans ses dernières années, son style personnel de com-

position, sans compromis, heurta de nombreux méloma-

nes qui le considéraient trop austère et sa brève populari-

té déclina.

Les Planètes est une œuvre pour grand orchestre. C'est

en grande partie à cette pièce que Holst doit sa notoriété.

L'œuvre est composée de sept mouvements correspon-

dant chacun à une planète du système solaire exprimée

selon une vision astrologique. La pièce fut composée

entre 1914 et 1917 et créée à Londres le 29 septembre

1918, sous la direction d'Adrian Boult.

Au programme de notre concert sur l’espace figurent JUPITER et

MARS, extrait des Planètes de Holst dont voici, ci-dessous,

un petit résumé de sa biographie musicale.

Les 7 planètes de Gustav Holst :

Mars, celui qui apporte la guerre

Vénus, celle qui apporte la paix

Mercure, le messager ailé

Jupiter, celui qui apporte la gaieté

Saturne, celui qui apporte la vieillesse

Uranus, le magicien

Neptune, le mystique

Le premier mouvement

Mars fut composé juste

avant le début de la Premiè-

re Guerre mondiale (1914).

Il s'agit, pour Holst, d'expri-

mer plus son sentiment

d'une fin du monde, qu'une

réaction face à la tragédie de la guerre. Le troisième

mouvement Mercure, composé en dernier, sera dicté en

grande partie à des proches collègues à cause d'une né-

vrite au bras droit, et sera achevé en 1916. Holst rangera

ses partitions après les avoir terminées, croyant que per-

sonne ne pourrait monter en temps de guerre une œuvre

demandant un aussi grand orchestre. La première repré-

sentation publique eut lieu quelques semaines plus tard et

fut très bien accueillie. Seuls cinq des sept mouvements

furent joués.

Holst se trouva soudain très demandé. L’Orchestre phil-

harmonique de New York et l’Orchestre symphonique de

Chicago voulaient être les premiers à jouer The Planets

aux États-Unis. Vers la fin de sa vie Holst composa Cho-

ral Fantasia en 1930 et la BBC lui commanda une œuvre

pour orchestre militaire. Holst composa en 1931 une mu-

sique pour le film britannique The Bells et s'amusa de

jouer un figurant dans une scène de foule. De nos jours,

le film est malheureusement disparu.

Maître de conférence à Harvard

L'Université Harvard offrit à Holst un poste de maître de

conférence pour les six premiers mois de l'année 1932. Il

apprécia son séjour à Harvard, mais sa santé déclina et il

se retira de toute activité musicale. Un de ses derniers

efforts fut de guider les jeunes musiciennes de l'orchestre

de la St Paul's Girls' School à travers sa dernière œuvre,

Brook Green Suite en mars 1934. Holst meurt à Londres

le 25 mai 1934 à 59 ans d'insuffisance cardiaque. L'évê-

que George Bellt fit l'oraison funèbre lors de l'enterre-

ment et Vaughan Williams dirigea des œuvres de Gustav

Holst.

Pad

Fondé en 1976 par un groupe de jeunes amis du Lycée

Calmette de Marcq-en-Barœul, le Club d’Astronomie

de la Région Lilloise cultive depuis maintenant 40 ans

cet émerveillement que suscite la contemplation des

nuits étoilées. Ainsi, l’astronomie, science de l’étude et

de l’observation des astres, participe à nourrir la curio-

sité de tous les amoureux du ciel.

Plus grand club d’astronomie au nord de Paris, le

C.A.R.L. s’attèle par tout son panel d’activités, à as-

souvir notre soif de compréhension du monde céleste.

Chacune de nos actions n’ont de cesse de mettre en

exergue notre devise « Découvrir et faire découvrir

l’Univers ». Pratiquer l'astronomie par l'observation

tout en accueillant le public, y compris les non-initiés,

c'est la passion du C.A.R.L.

Que diriez-vous de voyager à nos côtés ?

Sachez que nos manifestations publiques, toutes gra-

tuites, vous permettront de découvrir et d’appréhender

le ciel avec les explications et les conseils avisés de

nos membres. Vous pouvez nous rejoindre tous les

premiers mardis du mois à la Ferme du Héron de Vil-

leneuve d’Ascq, lors des « Nuits des étoiles » en août,

aux « Journées de l’astronomie » dans le cadre de la

fête de la science début octobre et à pleins d’autres

rendez-vous tout au long de l’année…

En marge de ces observations publiques gratuites, nous

vous proposons des cours d’astronomie ouvert à tous

et sans pré requis. Ce programme payant se veut être

une approche complète d’acquisition des bases de l’as-

tronomie.

Nous poursuivons égale-

ment notre action de vul-

garisation par des partena-

riats et des interventions

auprès de différents orga-

nismes publics ou privés.

Les membres du club bé-

néficient d’observations

plus nombreuses avec mise

à disposition d’instruments

performants, d’une session

d’ateliers d’approfondissements des connaissances hebdo-

madaires de janvier à juin, d’une bibliothèque abondam-

ment fournie, d’un bulletin d’information hebdomadaire

etc…

Le club organise également des visites et des voyages de

sites où le dépaysement se mêle aux activités liées à l’as-

tronomie.

En somme, avec le C.A.R.L., laissez-vous bercer par votre

émerveillement et venez à nos côtés faire un pas de plus

dans cette immensité qui nous lie tous.

Pour tous renseignements :

Club d’Astronomie de la Région Lilloise

Maison Régionale de l'Environnement et des Solidarités

23 rue Gosselet - 59 000 LILLE

Tél.: 03.20.85.99.19

[email protected]

Site internet :

http://www.astro-carl.com/

Christophe CARTERON & Julien LEROY

Explorer l’inconnu, connaitre l’histoire de la formation du

système solaire et de l’Univers tout entier, tous ces enjeux

ont poussé l’homme à découvrir son environnement spatial.

Les premières foulées dans l'espace ont été cantonnées, à

leurs débuts, à une compétition entre les deux grandes puis-

sances du moment. C’est après Spoutnik, la petite chienne

Laïka et le chimpanzé Ham, que l’homme pris enfin la pla-

ce qui lui est due dans les expéditions cosmiques. Le milieu

du XXe siècle marque un tournant dans l’histoire de l’hu-

manité. L’avènement de l’exploration spatiale vient avec

le programme Vostok, premier programme spatial habité de

l’Union Soviétique, qui permit le 12 avril 1961 d’envoyer

dans l’espace : Youri Gagarine et ses 108 minutes en orbite

pour entrer dans l’histoire. Vostok, dont les vols eurent lieu

de 1961 à 1963, comportait cinq autres missions avec équi-

page, dont celui de Valentina Tereschkova en juin 1963.

Elle reste aujourd’hui la seule femme et la plus jeune à

avoir effectué un voyage en solitaire dans l'espace avec 48

orbites autour de la Terre à bord de Vostok 6.

Quelques jours après la création de la NASA, le program-

me Mercury permet à Alan Shepard et les Etats Unis d’em-

boiter le pas aux russes à peine trois semaines après le vol

de Gagarine. Cette étape symbolique pour les américains

ne fut qu’un vol suborbital d’une quinzaine de minute au-

dessus de l’Atlantique en mai 1961. De 1958 à 1963. Le

programme Mercury s’attèle à la réalisation de ses objec-

tifs : placer un homme en orbite autour de la Terre, étudier

les effets de l'impesanteur sur l'organisme humain et mettre

au point un système de récupération fiable du vaisseau.

C’est en février 1962 que le programme Américain égalera

la performance des russes en plaçant sur orbite John Glenn.

Avec le programme Voskhod, de 1964 à 1967, l’Union So-

viétique poursuit sa conquête de l'espace avec un équipage

de trois cosmonautes en octobre 1964 et, en mars 1965,

effectue la première sortie de 12 minutes dans l’espace

avec Alexei Leonov. Leonov transgressera bien des procé-

dures pour regagner tant bien que mal son vaisseau et son

équipage. Il s’en est fallu de peu...

Les vols spatiaux habités soviétiques ne reprendront qu'en

1967 dans le cadre du Programme Soyouz.

L'agence spatiale américaine développe, dans le cadre de

programme Gemini de 1963 à 1966, un vaisseau spatial

biplace disposant de capacités de manœuvre en orbite im-

portantes. C’est ce vaisseau qu’utilisa Edward White pour

effectuer une sortie extravéhiculaire moins de 3 mois après

Leonov, en juin 1965 lors d’une sortie dans l’espace qui

dura 21 minutes. Gemini fut un programme de grands suc-

cès préparant au triomphe du programme Apollo, qui fut

malgré tout entaché par les décès d’Edward White, Virgil

Grissom et Roger Chaffee lors d’un exercice de la mission

Apollo 1.

C’est maintenant la Lune que visent les deux pays avec les

programmes Soyouz et Apollo. Le programme russe

Soyouz, lancé au début des années 1960, avait pour objectif

de conduire un cosmonaute soviétique sur la Lune. Malgré

l’abandon russe pour cause de problèmes techniques, le

vaisseau et la fusée Soyouz survécurent dans de nombreux

projets aussi bien civils que militaires.

20 juillet 1969, un homme sur la Lune

Mené durant la période de 1961 à 1975 sous l’impulsion de

John F. Kennedy, le programme Apollo rencontra de durs

échecs mais aussi de grands succès. Après les phases d’es-

sais des vols d’Apollo 7, 8, 9, et 10 avec test du matériel en

orbite terrestre et lunaire, ce fut l’avènement d’Apollo 11.

Le 20 juillet 1969, Neil Armstrong et Buzz Aldrin furent

les premiers à fouler le sol lunaire. « Un petit pas pour

l’homme et un bon de géant pour l’humanité »

Buzz Aldrin sur la Lune

Le 20 juillet 1969

C’est ainsi que 6 missions partirent à la conquête de Sélène

de 1969 à 1972 pour un total de 12 hommes durant les mis-

sions Apollo 11, 12, 14, 15, 16 et 17.

Houston, on a un problème !

La mission Apollo 13 fut malheureusement interrompue à

la suite de l'explosion d'un réservoir d'oxygène au cours du

trajet vers la Lune. Le vaisseau et son équipage furent obli-

gés de poursuivre leur voyage jusqu'à la Lune et d'en faire

le tour, sans s’y poser, afin de revenir vers la Terre, laissant

dans les mémoires la célèbre phrase « Houston, on a un

problème ».

Puis ce fut, à partir des années1971, les premières stations

spatiales, Saliout pour les Russes et Skylab pour les Améri-

cains, qui virent le jour avec l’ambition de développer les

technologies nécessaires à l'occupation permanente de l'es-

pace. Plusieurs équipages s’y succédèrent jusqu’à l’arrivée

de la station Mir et des navettes spatiales américaines à

partir des années 1980.

Dès lors, la compétition fit place à la coopération entre les

nations qui comprirent que l’aventure spatiale était l’affaire

d’une humanité unifiée. Cette union fut symbolisée par la

mission Apollo-Soyouz en juillet 1975. Elle restera gravée

comme un événement historique précurseur avec une mise

en commun des technologies mais aussi politique car elle

permit aux opinions publiques des deux camps de se rendre

compte que Soviétiques et Américains pouvaient trouver

des sujets d’entente.

Station spatiale

internationale

en 2011

Quand est-il aujourd’hui ? La coopération internationale a

donné naissance en 1998 à la station spatiale internationale.

Plus grand objet artificiel placés en orbite terrestre, elle

s'étend sur 110 m de longueur, 74 m de largeur et 30 m de

hauteur pour une masse d'environ 400 tonnes. La station se

déplace autour de la Terre à une vitesse de près de 27 000

km/h pour une altitude maintenue autour de 375 kilomètres.

Elle permet d’y faire des expériences scientifiques et d’étu-

dier le comportement du corps humain pour nous préparer

aux futurs voyages d’explorations. Occupée en permanence

depuis 2000, chacun des astronautes y séjourne de 3 à 6

mois,

Retourner sur la Lune, poser les pieds sur Mars, sont autant

de prochains pas que l'homme ambitionne et rêve de vivre.

Qui sait ? Peut-être qu’un jour, l’humanité perdurera aux

quatre coins du ciel dans les valeurs qui ont qualifiées les

hommes d’intelligents. Les hommes s’ils se tournent vers le

ciel trouveront le moyen de s’unir enfin vers un but com-

mun et harmonieux.

Bien des découvertes nous attendent encore...

Julien Leroy & Christophe Carteron

Club d’Astronomie de la Région Lilloise

Navette spatiale

Columbia en 1981 Lancement d’Apollo 11 en 1969

Jacques DENEUVILLE en grande discussion

avec Jean-Claude CASADESUS

Régis VANOVERMEIR

avec Jean-Claude CASADESUS

Réponses au Jeu : Un Ticket pour l'Espace :

1 - Avatar / 2 - Soleil / 3 - Jupiter / 4 - Tintin / 5 - Vénus / 6 - ET / 7 - Neptune / 8 - Mars

9 - Holst / 10 - Houston / 11 - Mercure / 12 - Lune / Mot Mystérieux : Philharmonie

Le 20 Avril 2016, l’ONL nous proposait un ciné

concert au Nouveau Siècle. Le film projeté était The

Artist, la musique étant interprétée par l’ONL sous la

direction de Ernst Van Tiel.

Réalisé par Michel Hazanavicius, The Artists raconte

la vie de George Valentin, artiste de cinéma muet. En

1927, sa vie bascule avec l’avènement des films par-

lants.

La musique est composée par Ludovic Bource, mais

on y retrouve d’autres compositeurs tels que Alberto

Ginastera, Bernard Hermann, Duke Ellington, Rose

Murphy.

Ce ciné concert fut l’occasion pour les 40 musiciens et

amis de La Philharmonie de voir jouer en direct une

musique de film simultanément avec la projection de

ce même film. Ce qui a permis de montrer les diffi-

cultés liées à ce genre d’exercice qui consiste à inter-

préter une partition tout en collant parfaitement à l’his-

toire et à l’image.

« La musique doit prendre en compte toutes les hu-

meurs, mais aussi toutes les variations, toutes les rup-

tures, tous les conflits, tous les changements de direc-

tion de chaque séquence. La musique est parlante. »

dit Michel Hazanavicius

Ce fut une soirée instructive et enrichissante pour la

Philharmonie et pour son travail futur.

Catherine PIENIEZNY

En ce mois de septembre

2016 où Jean-Claude Casa-

desus quitte la direction de

l’Orchestre National de Lille,

nous ne résistons pas à sortir

de nos archives les photos de

son passage à Roncq lors de

l’inauguration du Forum des

Associations du 10 octobre

1993, forum au cours duquel

la musique était particulière-

ment mise à l’honneur.

En prélude au concert sur l’espace du 27 novembre,

La Philharmonie a eu la bonne idée de faire décou-

vrir les planètes en visitant le site de La Coupole près

de St Omer.

Eli, Lorenzo et Raphaël, qui accompagnaient les musiciens de la Philhar-

monie, ont pu découvrir le planétarium en 3 D et la visite du centre histo-

rique de la Coupole. Entrer dans l’espace, foncer vers la Lune à bord de la

fusée Saturne V, poser le pied sur Mars… le tout dans une salle de projec-

tion à 360°, inutile de dire que ce fut une expérience inoubliable pour les

enfants. Les anneaux de Saturne et la découverte des étoiles on été les

moments les plus impressionnants de la projection. Puis la visite s’est

poursuivie avec un guide dans l’énorme bunker de la Coupole conçu pen-

dant la seconde guerre mondiale pour le lancement des V2 qui furent les

précurseurs des fusées interplanétaires.

Vers 13 h, un pique-nique au soleil a réuni tous les participants avant une

seconde visite du site historique dans l’après midi. Une journée culturelle

pleine de découvertes pour tous.

Lors de la projection en 3 D,

difficile d’atteindre les anneaux

de Saturne !

Voici 2 anecdotes découvertes dans l’espace par notre reporter « EOS »

En 1969, deux astronautes de la mission Apollo 10 ont entendu

une musique aux abords de la lune. L'enregistrement sonore a

été révélé par la NASA en 2008 et vient de le rendre public.

Les astronautes Eugene Cernan et John Young ont bel et bien entendu

en 1969 une « musique de l’espace » durant l’exploration de la face

cachée de la lune. C’est lors de l’émission américaine «Les dossiers

inexpliqués de la Nasa» que les téléspectateurs ont pu découvrir pour la

première fois cette « musique bizarre », comme l’appelle les astronau-

tes. À cet enregistrement sonore vient s’ajouter une conversation entre

Cernan et Young , au moment où ils découvrent cette musique :

« On dirait de la musique sortie tout droit de l’espace, tu ne trouves

pas ? Tu entends ce sifflement? - Oui ! - Whoooooo ! - Toi aussi tu as

entendu ce sifflement ? - On dirait… de la musique de l’espace. - Je me

demande ce que ça peut bien être. - Qui va nous croire ? - Personne.

Est-ce que nous devons leur dire ? - Je ne sais pas. On va devoir réflé-

chir. »

Si les fans de science-fiction voient derrière cette musique un nouveau

phénomène inexpliqué, la NASA se veut quant à elle plus rationnelle.

Selon l’agence, il y aurait eu une simple interférence entre les radios du

module lunaire et du module de commande Apollo…

Véritable musique ou interférence ? Pourquoi cette conversation est

restée secrète durant près de 40 ans ?

Ça fait presque quarante ans que l'agence

spatiale américaine a envoyé des messages

sonores et visuels dans l'espace, grâce à des

"Golden Records".

Le projet date de 1977, avec l'envoi des deux

sondes Voyager dans l'espace. La Nasa déci-

de alors d'envoyer des messages à de poten-

tiels extraterrestres ou aux futurs astronautes

qui parcourront l'espace dans le futur. Sur

des "Golden Records", l'agence spatiale a

rassemblé des salutations dans 55 langues,

des morceaux de musique classique et popu-

laire issus de tous les continents et des bruits

de la nature et de la vie terrestre au XXe siè-

cle. Les disques contiennent aussi 115 ima-

ges décrivant notre espèce.

Mais attention, dans l'espace, personne ne les

écoute pour l'instant et il va falloir attendre

un long moment pour que ce soit éventuelle-

ment le cas. Les sondes ne se trouveront à

proximité d'une nouvelle étoile que dans

40.000 ans… encore faudra-t-il qu'ils possè-

dent le lecteur de disque adéquat :

Tous ces éléments sonores sont disponibles

sur le site de la Nasa.

La rénovation récente de l’Annexe-Mairie, sise dans l’ancien château

VERHAEGHE, nous donne l’occasion de ressortir des archives de La

Philharmonie des documents intimement liés à ce lieu historique.

En effet, M. Joseph VERHAEGHE-MEURILLON fut Président d’hon-

neur de La Philharmonie de 1933 à 1968. Les plus anciens d’entre-nous se

souviennent encore des réceptions données au château lors des fêtes de

Sainte-Cécile ou lors de l’inauguration du nouveau costume le 13 avril

1952.

L’audition de Sainte-Cécile en l’église Saint-Piat, début décembre 1962,

au cours de laquelle la Philharmonie avait interprétée, entre-autres, la mar-

che héroïque de St Saens, avait précédée une des dernières réceptions au

château. La dernière eut lieu le 4 décembre 1966.

M. Joseph VERHAEGHE-MEURILLON présenta sa démission de Prési-

dent d’Honneur à l’âge de 86 ans le 22 décembre 1968, non sans avoir

proposé à sa succession M. le Docteur Jacques MAES.

Nous reproduisons ci-contre le début de ce courrier de démission qui était

rédigé sur le papier à lettre avec le dessin du château, devenu aujourd’hui

l’Annexe-Mairie.

Page suivante c’est la partie directrice de la « Marche Syncopée » compo-

sée par notre ancien Directeur-adjoint et responsable des cours de solfège

et d’instruments de l’époque, M. Henri DECOTTIGNIES. Cette marche

fut dédiée à M. Joseph VERHAEGHE-MEURILLON le 13 Mai 1951.

M. ARCHIVE

Inauguration du nouveau costume de La Philharmonie le 13 avril 1952 au château VERHAEGHE

au centre de la photo : M. Joseph VERHAEGHE-MEURILLON et son épouse

Membre fondateur de la Philharmonie, Henri DECOTTIGNIES a toujours tenu,

du début à la fin de sa carrière, une place prépondérante dans la Société, tant com-

me membre de la Commission que comme professeur de solfège ou comme Sous-

Directeur.

D'un dévouement inlassable à la cause musicale, il forma un très grand nombre

d'élèves auxquels il inculquait, avec une patience légendaire, non seulement le

solfège mais également la théorie musicale dont il détenait les moindres secrets.

Comme Sous-Chef, il dirigeait rarement, préférant de loin se placer, lors des répé-

titions, à côté de ses élèves pour les aider et les conseiller.

Son instrument de prédilection était la clarinette et il était

titulaire des Palmes Académiques.

Ses moments de loisirs étaient toujours orientés vers la mu-

sique et nombreuses furent ses compositions, principale-

ment : "La Marche Syncopée" qu’il dédia le 13 mai 1951 à

M. Joseph VERHAEGHE-MEURILLON.

Il est décédé à l’âge de 86 ans en janvier 1986 à Moissac où

il s’était retiré en 1963.

Lors du rallye-pédestre du 26 septembre 2010, quelques membres

actuels de La Philharmonie posent devant le château VERHAEGHE.

Vous recevrez :

. Une invitation personnelle à nos concerts

. Une place réservée aux premiers rangs

. Notre journal LE DIAPASON

. Un accès privilégié après nos concerts à notre espace détente : collation

Nous vous remercions d’établir votre chèque à l’ordre de :

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