de Christian GuyaderDossier de presse - juillet 2018

PAGES 4 - 5

PAGES 6 - 7

PAGES 8 - 9

PAGES 10 - 11

PAGES 12 - 13

PAGE 14

PAGE 15

PAGE 16

PAGES 17 - 18

PAGE 19

PAGE 20

LA ROUTE DU RHUM

LE PARCOURS

CHRISTIAN GUYADER

LE BATEAU

GASTRONOMIE AVANT TOUT

LES OBJECTIFS DE CHRISTIAN

LES PETITS + DE CHRISTIAN

LEUCÉMIE ESPOIR

GUYADER GASTRONOMIE

NOS PARTENAIRES

CONTACTS

En 1982, lorsqu’il voit passer Marc Pajot sur son catamaran Elf Aquitaine au large du cap Fréhel en

pole position peu après le coup d’envoi de la deuxième édition de la Route du Rhum, Christian Guyader se fait la promesse de participer un jour, lui aussi, à

l’épreuve sur deux coques...

Crédit photo : Alexis Courcoux - Route du Rhum 2014 4

LA ROUTE DU RHUMTOUS EN-RHUMÉS !

Tous les quatre ans, c’est la récidive, la rechute. Inévitablement. Un virus marin se développe chez les terriens, qui, soudain perdent la tête pour le large, qui subitement se piquent de vivre collectivement au rythme d’une bande de fous solitaires. Les premiers symptômes apparaissent sous les remparts de Saint-Malo, qui accueillent la plus belle flotte des coursiers des océans. Dès les premiers jours de novembre, on mesure une forte poussée de fièvre populaire, un engouement effréné pour tous les marins qui s’en vont affronter les éléments, seuls et à mains nues, sur des incroyables machines des mers. Cette ferveur ne retombera que quelques 3 540 milles plus loin, quand les skippers seront passés de l’automne dépressif à la douceur exotique des tropiques.

EFFETS SECONDAIRES À TERRE

Nous y voilà donc. Le diagnostic saute aux yeux : place à la Route du Rhum – Destination Guadeloupe, la course océanique la plus médiatique et la plus populaire. Une épreuve qui n’a pas son pareil pour propager, à terre, un cortège d’effets secondaires : enthousiasme, passion, admiration, émotion… La plus belle des transats, qui véhicule depuis 1978 tous les ingrédients des grands évènements : du sport et de l’aventure sur fond d’embruns. Tout comme l’avait imaginée et mise au point son génial inventeur, Michel Etevenon. L’alchimie fonctionne à merveille, servie dès la première édition par une arrivée d’anthologie, les fameuses 98 secondes d’avance de Mike Birch et de son petit trimaran Olympus Photo sur le grand monocoque de Michel Malinovski. La légende du Rhum était bien née pour survivre, malgré tout, aux terribles tempêtes des disparitions d’Alain Colas puis de Loïc Caradec en 1986.

SYMPTÔMES RÉCURRENTS

Tous les quatre ans, les symptômes ressurgissent. Pire, ils prennent à chaque fois un peu plus d’ampleur. Régénérés par des éditions qui se suivent mais qui ne se ressemblent pas. Revigorés par des arrivées qui couronnent de nouveaux héros des flots, des nouvelles idoles des houles : Marc Parc Pajot, Philippe Poupon, Florence Arthaud, Laurent Bourgnon, Ellen MacArthur, Michel Desjoyeaux, Lionel Lemonchois, Roland Jourdain, Frank-Yves Escoffier, Franck Cammas, François Gabart ou encore Loïck Peyron, pour ne citer qu’eux. Surmultipliés aussi par les multicoques qui font des prouesses et gagnent entre Saint-Malo et Pointe-à-Pitre toutes leurs lettres de noblesse. La poussée de fièvre promet, cette année, pour les 40 ans de l’évènement, d’être bien plus forte encore avec pas moins de 123 solitaires au départ.

5

DÉPART DE SAINT-MALOLE 4 NOVEMBRE 2018

ARRIVÉE À POINTE-À-PITREFIN NOVEMBRE 2018

3542 milles nautiques6 560 kilomètres123 concurrents

6

Les 3 542 milles (soit 6 560 kilomètres) qui s’ouvriront devant les étraves de Christian Guyader et des 123 autres concurrents de la Route du Rhum – Destination Guadeloupe le 4 novembre prochain n’auront rien d’une navigation contemplative. Après une navigation en Manche où il faudra veiller attentivement au trafic intense tout en jouant avec les courants, à la pointe Bretagne, le jeu océanique se mettra en place et les choix stratégiques se dessineront afin d’aborder au mieux le fameux golfe de Gascogne. La flotte se scindera et s’étalera au gré des

« Il est certain que mon bateau sera plus à l’aise aux allures portantes plutôt qu’au près dans le mauvais temps. C’est d’ailleurs typiquement le genre de conditions que je redoute le plus car à bord d’un catamaran on vit avec le risque constant de retournement. J’appréhende aussi logiquement un peu la sortie de la Manche car si le vent souffle de secteur ouest, ce qui est courant à cette période de l’année, il faudra tirer des bords dans un endroit très fréquenté. Arriver à Ouessant sans encombre sera le premier gros challenge de cette Route du Rhum. Ensuite, il faudra dégolfer, ce qui n’est jamais une mince affaire au mois de novembre. Il faudra faire preuve de vigilance. A coup sûr, une fois que je serai dans les alizés, j’aurai accompli un bon bout du chemin »,avance Christian Guyader. Pour lui comme pour les autres, nul doute que le mérite de boucler la Route du Rhum sera à la hauteur de l’énergie et de l’engagement fournis.

LE PARCOURS

différentes options. L’Atlantique se transformera en immense échiquier et les skippers en joueurs. Il faudra alors se mettre dans le bon rythme, doser ses efforts, se préserver soi-même et le bateau au plus fort du mauvais temps, anticiper les difficultés et parfois gérer les avaries inhérentes sur ces bateaux de course. L’objectif principal sera d’aborder au mieux les systèmes dépressionnaires qui balayeront l’Atlantique Nord en cette période, et de bénéficier à terme des vents portants : les alizés.

7

Date de naissance : 29 janvier 1960Lieu de naissance : Quimper

Age : 58 ansNationalité : Française

Profession : Chef d’entreprise

PALMARÈS

• Vainqueur des Voiles de Saint-Barth 2018

• Vainqueur de l’ARC 2017

• Deuxième du Spi Ouest-France 2017

• Vainqueur de l’Armen Race 2017

• Deuxième de la Drheam Cup 2016

• Vainqueur du Record SNSM 2016

• Vainqueur du Trophée Atlantique

• Vainqueur de la Coupe de France de Dragon 2015 et 2016

8

CHRISTIAN GUYADEREn 1982, lorsqu’il voit passer Marc Pajot sur son catamaran Elf Aquitaine au large du cap Fréhel en pole position peu après le coup d’envoi de la deuxième édition de la Route du Rhum, Christian Guyader se fait la promesse de participer un jour, lui aussi, à l’épreuve sur deux coques. Trente-six ans après, nous y voilà. Le Finistérien qui n’a eu de cesse de sillonner tous les plans d’eau ces dernières années et de s’illustrer à la fois en IRC, en Open 7.50, en Dragon ou en multicoque, tout en associant le nom de son entreprise, Guyader Gastronomie,

au Grand Prix éponyme, fait le grand saut. « J’ai énormément régaté en équipage mais j’ai toujours été fasciné par les courses en solitaire notamment celles des copains : Jean Le Cam, Roland Jourdain, Bertrand de Broc, Michel Desjoyeaux ou encore Patrick Morvan que j’ai vu partir lors de la dernière édition, ce qui a fini de me motiver à franchir le cap tout en sachant que si je ne le faisais pas maintenant, je ne le ferais jamais »,explique le président du groupe Guyader qui compte aujourd’hui 450 salariés.

C’est le bon moment dans ma vie », assure le Quimpérois de 58 ans dont la passion de la voile lui a été transmise par son grand-père et son père dès son plus jeune âge, entre l’Ile Tudy et Loctudy, et qui profite cette année d’un petit créneau dans sa vie de chef d’entreprise pour tenter l’aventure en se donnant les moyens de ses ambitions. Car pour Christian Guyader, quand on fait quelque chose, on le fait bien. C’est ainsi que depuis deux ans, il a engrangé plus de 15 000 milles à bord de son bateau en prenant soin de ne pas griller les étapes.

« Aujourd’hui, j’ai confiance en mon bateau. Nous formons un bon binôme », note le skipper amateur qui a fait le choix de régater aux Antilles l’hiver dernier, réalisant ainsi une deuxième transat à bord de sa monture, dont la moitié en solo. « Le but était de laisser le moins de place possible au hasard, mais on le sait, une traversée de l’Atlantique en solitaire, ce n’est jamais un exercice anodin. J’espère me faire plaisir et faire plaisir aux gens. Aller au bout de mes rêves. »

9

Pour sa Route du Rhum, le choix de partir à bord d’un catamaran s’est avéré être une évidence pour Christian Guyader. « Je ne me suis, à vrai dire, même pas posé la question car pour moi, le Rhum, c’est d’abord une route de multicoque. La preuve, depuis la première édition, ce ne sont que des bateaux à deux ou trois coques qui ont gagné la course », explique le skipper de Guyader Gastronomie qui garde notamment en tête le passage en tête de Marc Pajot, au cap Fréhel, lors de l’édition 1982.

LE TS42A l’époque, j’avais trouvé son catamaran Elf-Aquitaine remarquable et je m’étais mis en tête que si un jour je venais à faire la course, je la ferais sur un bateau similaire », explique le Finistérien qui a finalement opté pour un TS 42. « Je voulais une machine de taille raisonnable. Il se trouve que le TS 42 est assez haut sur l’eau et offre des conditions de confort supérieures à des montures plus petites, telles que les trimarans de 30 ou 40 pieds qui eux, mouillent énormément ».

Longueur : 13,86 mLargeur : 7,42 mTirant d’eau : 1,5 mTirant d’air : 20 mDéplacement lège : 5,8 TLongueur de mat : 17,6 mSurface grand-voile : 56,2 m²Surface gennaker : 80 m²Surface spinnaker : 180 m²

10

UNE CONSTRUCTION HIGH TECH, UN AMÉNAGEMENT CONVIVIAL

Plus en détails, le TS 42 est un plan de Christophe Barreau construit chez Marsaudon Composites. Un catamaran de croisière rapide, entièrement conçu pour allier la performance au confort de la navigation à deux coques. Ses particularités : des étraves inversées très fines, une nacelle courte à la forme échancrée pour ménager une bonne visibilité vers l’avant, un ensemble cockpit-nacelle traité comme un espace continu ou encore une plateforme centrale moulée d’une seule pièce. « Ce bateau, j’en rêvais », assure Christian Guyader qui a mis à l’eau sa monture en mai 2015, à l’occasion du Grand Prix Guyader. « C’est le mixte parfait entre l’esprit de course et la croisière. Nous avons légèrement allégé le bateau, ce qui lui permet d’être un peu plus rapide que la série classique », détaille le chef d’entreprise qui a optimisé sa monture pour la navigation en solitaire. « Nous avons fait en sorte de simplifier au maximum l’ensemble, de limiter les efforts puis d’éviter les manœuvres à l’avant car sur un cata, lorsque l’on se trouve sur le trampoline, on perd à la fois en stabilité et en force », souligne Christian dont le bateau ne reste pas moins bien équipé, avec une cuisine pour élément central.

11

12

« UN CATAMARAN CONSTRUIT AUTOUR D’UNE CUISINE »« C’était ma volonté d’unir la voile et la cuisine en mer. Je suis fier de naviguer sur un bateau qui possède un tel équipement. Il aura cette particularité par rapport à tous les bateaux qui prendront le départ à Saint-Malo ». Assurément. A la clé : des bons petits plats pour Christian Guyader.

« Dans les usines du groupe, nous avons lancé la fabrication de plats cuisinés en conserves souples car l’expérience a montré que c’était facile d’utilisation grâce à une cuisson au bain-marie, mais aussi que c’était la garantie de produits de bonne qualité », avance l’amateur très éclairé qui a toutefois pris la décision de ne pas embarquer de réfrigérateur à bord. « Un frigo, c’est énergivore et la priorité reste le pilote automatique », justifie Christian.

Ses premiers plaisirs en mer ? « Je suis fils de charcutier et une petite assiette de charcuterie sèche fera mon bonheur dans les moments un peu plus durs, mais plus généralement, le matin, ce sera céréales, le midi salade, le plus souvent à base de miettes de thon germon confectionné chez Groix et Nature, et le soir, plat chaud ».

GASTRONOMIE AVANT TOUT

13

La catégorie Rhum Multi rassemble tous les bateaux à deux ou trois coques d’une longueur comprise entre 39 et 59 pieds. Force est de constater qu’elle rencontre un sacré succès pour cette édition anniversaire de la Route du Rhum – Destination Guadeloupe puisque pas moins de 21 concurrents, parmi lesquels Christian Guyader, ont choisi de de se lancer dans l’aventure. Reste que pour les uns ou pour les autres, les objectifs diffèrent. Le skipper de Guyader Gastronomie, lui, ne fait pas de mystère à ce sujet.

Je m’aperçois qu’en mer, je me mets spontanément en mode « régate ». J’essaye systématiquement de faire marcher le bateau au mieux, je change les voiles sans lésiner et j’utilise le grand spi, même en solitaire, car je me suis rendu compte que jusqu’à une certaine force de vent, il restait raisonnable d’utiliser tout le potentiel du bateau. Pour faire simple, disons qu’il y a un avant et un après 20 nœuds de vent. Au-delà de cette limite, il faut penser sécurité avant tout. Mon premier objectif sera de régater en bon marin. Mon deuxième sera de mettre moins de 21 jours, le temps qu’avait mis Marc Pajot pour boucler la course en 1982. »

LES OBJECTIFS DE CHRISTIAN

1NAVIGUER EN BON MARIN METTRE MOINS DE 21 JOURS

2

14

LES PETITS « PLUS » DE CHRISTIAN EN MER

Si son activité professionnelle occupe une grande place dans sa vie, lorsqu’il est en mer – et en course qui plus est – Christian Guyader déconnecte complètement et parmi ses petits plaisirs lorsqu’il est au large, bien qu’il ne soit pas du genre à s’encombrer d’objets superflus, le Cornouaillais ne part jamais sans son téléphone.

« J’en profite pour faire du tri au sein de ma photothèque composée, à ce jour, de plus de 3 000 images », s’amuse Christian. Autre petit « plus », qui saura assurément lui donner du baume au cœur lors de cette Route du Rhum – Destination Guadeloupe, la fameuse playlist composée par son ami Michel Pomat, propriétaire du Café de la Cale à Sainte-Marine, également président de son comité de soutien.

« Au final, ce ne sont rien que des petites choses simples qui font toujours du bien dans les temps-morts ou dans les moments difficiles », assure le skipper de Guyader Gastronomie.

15

Fondée en mars 1994, la Fédération Leucémie Espoir a pour but de soutenir des enfants et des adultes atteints de maladies du sang et aider leur famille dans cette épreuve.

Ses actions : appuyer moralement et financièrement les enfants et les adultes atteints de maladie du sang et leurs familles, participer à l’amélioration des conditions

d’hospitalisation, puis aider la recherche.

Il était important pour moi de porter une bonne cause à travers mon projet. Soutenir la Fédération Leucémie Espoir s’est imposée comme une évidence car son histoire a débuté en Cornouaille, avec les tragiques destins de deux enfants, Céline et Stéphane, qui sont encore aujourd’hui, l’âme et l’énergie de l’association. Pour moi qui suis Quimpérois, cela a forcément du sens. De plus, j’apprécie foncièrement la manière dont l’association fonctionne. Elle soutient administrativement, moralement et financièrement les enfants et les adultes atteints de maladie du sang et leurs familles. Elle réalise un travail formidable qui mérite d’être mis en lumière »

LES COULEURS DE LEUCÉMIE ESPOIR DANS LES VOILES

Christian Guyader 16

Depuis sa création à Landrévarzec en 1930, Guyader Gastronomie s’attache à développer des produits savoureux et authentiques au service d’une gastronomie réinventée. Le groupe fonde son développement sur ses valeurs historiques : l’excellence, le territoire et l’innovation culinaire. Son offre s’articule autour de quatre secteurs : charcuterie, traiteur, poisson fumé et végétal. Ces activités entre terre et mer marquent la volonté de développer une gamme de produits qualitative conjuguant naturalité, goûts authentiques et respect du consommateur. Très impliquée dans le rayonnement et la valorisation de la Bretagne, Guyader Gastronomie privilégie des partenariats avec des filières bretonnes. De l’approvisionnement au produit fini, l’entreprise s’attache à respecter quatre valeurs qui lui sont essentielles et qu’elle met au service du bien manger et du partage : l’innovation, la qualité du produit, le développement territorial et l’ouverture sur le monde. Elle compte 450 collaborateurs, répartis sur six sites de production et un site logistique, tous implantés en Bretagne.

G UYADER GASTRONOMIE

17

L’implication de Guyader Gastronomie dans la voile est un engagement de longue date. Un engagement à part entière de l’entreprise, ainsi qu’en témoigne son président, Christian Guyader :« Je dis souvent que l’esprit de la mer vit en Guyader Gastronomie. En ce sens, le sponsoring du Grand Prix Guyader, à Douarnenez depuis 2011, en est un parfait exemple. C’est un événement qui donne du sens et de la cohérence à l’identité de l’entreprise, qui fait vivre notre territoire et dont la voile et la gastronomie

GUYADER & LA VOILEsont les piliers », note le dirigeant pour qui il est inconcevable de ne pas être à la fois acteur et spectateur de la mer. Pour preuve, les différents projets qu’il a accompagnés depuis 1995, que ce soit en Sun Fast 32, en Figaro, en Open 7.50, en JPK9.60, en 60 pieds IMOCA, en Caravelle, en Diam 24 OD ou en Dragon. « Mes motivations ? J’aime relever des défis mais j’ai aussi à cœur de porter les valeurs de mon entreprise et de mes équipes, puis de renforcer la notoriété de Guyader Gastronomie ».

1995 1998 2000 2002 2004

2012

2003

2009 2011 2016

Sun Fast 32 Solitaire du Figaro AG2R Open 7.5 JPK 9.5

Dragon

AG2R

Transat Jacques Vabre Grand Prix Guyader CaravelleDiam24 OD TS42

20162015

18

PARTENAIRES DU PROJET

Groix & Nature confectionne sur l’île de Groix, des rillettes, des plats cuisinés, des soupes et aides

culinaires cuisinés avec passion. Celle des Hommes, de la mer et de la terre.

La Fédération leucémie espoir (FLE) est une association de Vie et d’Espoir,

ournée vers l’avenir pour apporter aide morale, matérielle et soutien aux malades et à leur famille.

Navicom est une société de commerce d’électronique. Elle est spécialisée dans

l’électronique marine. Son réseau de distribution est constitué de revendeurs,

d’agents, de centrales d’achat et de chantiers navals.

Crée dans les années 80, la voilerie INCIDENCE est n°1 en France et dans le top 5 mondial. La qualité des voiles et du service

d’INCIDENCE sont reconnus aux quatre coins de la planète

mer.

Marsaudon Composites est spécialisé dans la construction de catamarans sportifs. La société réalise également une partie de son activité comme sous-traitant de différents

constructeurs, dans le composite.

Tonnerre Gréement existe depuis 1934, l’entreprise actuelle est issu de la séparation des deux activités :

La voilerie et l’atelier de gréement.Aujourd’hui, Tonnerre Gréement emploie 5 personnes.

Fondée en 1997, l’agence Sea to See se nourrit del’univers de la mer pour apporter son expertise

dans l’organisation globale d’événements maritimes et la gestion de projets sportifs.

19

INFOS

GUYADERSAILINGTEAM

CONTACT PRESSE : JULIETTE BOËSSÉ

0647043245 - JULIETTE@SEA-TO-SEE.COM

CONTACT TEAM : GWEN CHAPALAIN

0685323970 - GWEN@SEA-TO-SEE.COM

CRÉA

TIO

N G

RA

PHIQ

UE :

JULI

ETTE

BO

ËSSÉ

- G

UYA

DER

SA

ILIN

G T

EAM

CRÉD

ITS

PHOT

OS

: FR

AN

ÇOIS

VA

N M

ALL

EGH

EMIM

PRES

SIO

N :

IMPR

IM’V

IT D

OUA

RN

ENEZ

WWW.GUYADER.COM