Culturetoute47

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#vendredi6mai2016Citation du jour. «L’élégance n’est pas une question de goût. Chaque culture a une manière de voir la beauté, qui très souvent est complètement différente de la nôtre.»

Paulo Coelho ; Le manuscrit retrouvé

Musiques sacrées de Fès : La princesse Lalla Salma, Cheikha Moza et le gotha national à l’ouvertureExtrait : «Comme nous l’avions annoncé (Lire le flash du 02/05/2016), c’est SAR la Princesse Lalla Salma, accompagnée de Cheikha Mozah, épouse du Cheikh Hamad Ben Khalifa Al-Thani, ancien Émir du Qatar, qui a présidé, vendredi 6 mai, l’ouverture de la 22e édition du festival de Fès des musiques sacrées du monde. Aux côtés de ces deux femmes d’exception illuminant ce spectacle inaugural qui a célébré les «Femmes fondatrices», l’on pouvait remarquer la présence d’autres personnalités de marque telles Salwa Idrissi Akhannouch, Leila Meziane Benjelloun, Rita Zniber, Nawal El Moutawakel, outre les Al Khalifa et les Assobah...»

Source leconomiste.com

Le Festival Gnaoua et Musiques du monde d’Essaouira ou le laboratoire de fusions musicalesExtrait : «Du 12 au 15 mai 2016, le Festival Gnaoua et Musiques du Monde d’Essaouira revient pour une 19ème édition qui se veut un hommage aux anciens, aux grands qui ont ouvert la voie, tout en portant les regards vers la jeunesse et la relève assurée. »

Source huffpostmaghreb.com

Tanger bientôt inscrite au patrimoine mondial de l’humanité de l’Unesco?Extrait : « PATRIMOINE - La ville du Détroit sera-t-elle la dixième merveille marocaine inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité de l’Unesco? C’est en tout cas le souhait de l’Agence pour la promotion et le développement du Nord (APDN), de la wilaya de Tanger-Tétouan-Al-Hoceima et du ministère de la Culture, qui ont récemment signé une convention cadre tripartite posant les bases du projet. »

Source huffpostmaghreb.com

Directeurs des festivals et cachets des artistes Extrait : « A quand la transparence des budgets alloués aux festivals ? La question se pose avec acuité depuis déjà quelque temps. Les pratiques malhonnêtes ont la vie dure dans ce domaine. »

Source libe.ma

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Le caftan Marocain exposé en pLein MiLieu de new Yorkle street style new Yorkais est connu pour être l’un des meilleurs dans le monde. Débordant de modernité et de créativité, les looks qu’on retrouve dans les rues de la ville surnommée la “Big apple” ont souvent une certaine sophistication qui s’associe parfaitement avec la touche “out of the box” et excentrique dont sont réputés les new Yorkais branchés.

il m’a donc été jusque là presque impossible d’être surprise par un quelconque “look” signé new York street style. Jusqu’à ce que je tombe sur ceux-ci.

en me baladant aujourd’hui pour la 1000ème fois sur le site Pinterest, en quête des tendances mode du moment, je suis tombée sur ces images qui m’ont; disons prise au dépourvu.

Je suppose faisant partie du lookbook ou catalogue d’un certain designer de caftans Marocains, ces créations ne sont clairement pas de simples tenues de tous les jours qui se baladent au milieu de la ville américaine. J’ai donc trouvé ces caftans tout simplement exquis. Pas trop extravagants, mais plutôt dégageant un glamour et une sophistication subtile, je dis à la personne qui a créée ces pièces d’art, quelle qu’elle est; « Bravo ». et ce, surtout pour son idée de les mettre en valeur en les exposant dans les rues emblématiques de new York City.

il faut dire que ces photos m’ont fait réfléchir à une chose ; et si les gens se mettaient à porter les caftans traditionnels Marocains comme de simples tenues de street style? il faut dire qu’on n’y est pas si loin, avec toutes les extravagantes tendances qui surfacent chaque saison.J’avoue que l’idée me tente.

par *Souad el Mghari*

Kaftan Mag (http://www.kaftanmag.com/ <http://www.kaftanmag.com

Souad el Mghari



Communiqué de Presse

بالغ صحفي


COMMUNIQUÉ DE PRESSE

« Volumes Fugitifs. Faouzi Laatiris et l’Institut national des beaux-arts de Tétouan »

Du 05 mai au 30 août et du 15 septembre au 30 décembre 2016 (en deux volets), le Musée Mohammed VI d’Art Moderne et Contemporain accordera sa première carte blanche à l’artiste Faouzi Laatiris, sous le titre « Volumes Fugitifs. Faouzi Laatiris et l’Institut national des beaux-arts de Tétouan ».

Né en 1958 à Imilchil au Maroc, Faouzi Laatiris étudie à l’INBA de Tétouan dans les années 1980, où il enseigne depuis 1993 à nos jours, instaurant l’atelier « Volume et installation » qui développera au Maroc les pratiques liées à l’espace, aux formes hybrides et dynamiques, à la mise en scène des objets.

Pour le premier volet de l’exposition (05 mai-30 août 2016), Faouzi Laatiris présentera son nouveau projet « Les Sept portes », entouré de neuf artistes qu’il a contribué à révéler soit dans les années 1990, soit dans les années 2000, deux générations d’artistes qui connaîtront un écho remarquable et toujours vibrant sur la scène internationale. Le deuxième volet de l’exposition (15 septembre-30 décembre 2016) se recentrera sur l’œuvre de Faouzi Laatiris depuis les années 1990, toujours ancrée dans l’histoire de l’atelier « Volume et installation » de l’INBA de Tétouan. Remonter aux années 1990 permettra de se replonger dans les transformations économiques et esthétiques liées à la mondialisation – autant d’enjeux que Faouzi Laatiris incarne, à la manière d’un éclaireur iconoclaste.

Pour accompagner l’exposition, un ouvrage ambitieux et trilingue (français-arabe-anglais) sera publié en coédition entre la Fondation Nationale des Musées et Kulte Gallery & Editions. Croisant les archives, les entretiens et les essais critiques, il retrace les trajectoires des professeurs et étudiants emblématiques de l’INBA de Tétouan, des années 1950 à nos jours. Afin de s’interroger collectivement sur ce que « faire école » veut dire : dans le contexte de Tétouan, dans l’histoire nationale et au-delà de l’ici et maintenant.

LES ARTISTES DE L’EXPOSITION:

MOHAMED AREJDAL (1984)MUSTAPHA AKRIM (1981)

KHALID EL-BASTRIOUI (1985) SAFAA ERRUAS (1976)

MOHSSIN HARRAKI (1981)FAOUZI LAATIRIS (1958)

ETAYEB NADIF (1989) MOHAMED LARBI RAHHALI (1956)

YOUNES RAHMOUN (1975)BATOUL S’HIMI (1974)

Le commissariat de l’exposition, ainsi que la direction de l’ouvrage accompagnant l’exposition, sont assurés par Morad Montazami, commissaire-chercheur à la Tate Modern de Londres et soutenu par Iran Heritage Foundation. Il est l’auteur de textes sur les artistes Jeremy Deller, Jordi Colomer, Allan Sekula, Farid Belkahia, Eric Baudelaire, Walid Raad, Hamed Abdalla... Il fut commissaire des expositions « Bahman Mohassess, 60 Pieces of a Lost Body » (2015) et « Behjat Sadr, Trace Through the Black » (2016) aux galeries Ab-Anbar et Aria à Téhéran, ainsi que co-commissaire de l’exposition « Unedited History: Iran 1960-2014 » au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris et au MAXXI (Rome) en 2014-2015. Il dirige également la revue Zamân sur l’art moderne et contemporain du Moyen-Orient et du Maghreb ainsi que les éditions Zamân Books.

Contact Presse

Meryem SAADI

[email protected]+ 212 663 41 21 69

Imane IMJAN

[email protected]+ 212 678 50 95 13

né en ukraine, M’hammed Kilito grandit au Maroc jusqu’à ses 18 ans avant de déménager au Canada où il étudie la photographie à l’École d’art d’ottawa et le cinéma à l’université de Montréal. il détient un diplôme en génie logiciel et une maitrise en science politique de l’université d’ottawa.

M’hammed a commencé à travailler en tant que photographe indépendant à partir de 2007, son travail a été publié dans plusieurs magazines et a été exposé au Maroc, au Canada et en argentine. en 2012, il commence à travailler dans une agence de publicité à Montréal en tant que responsable du département vidéo et photo avant de quitter trois ans après pour s’installer au Maroc et se consacrer exclusivement à la photographie.

Dans les séries illusion réel et Réflexion, c’est l’esthétique derrière les jeux multiples des techniques de l’illusion et l’invalidation des repères habituels qui motivent son travail. Depuis son retour au Maroc, sa recherche photographique vise à documenter les petits détails de la vie quotidienne qui peuvent renseigner sur la situation générale du Maroc d’aujourd’hui.


EXPOSITION exposition solidaireDes femmes rurales présentent leurs créations à la galerie nadar

Organisée à l’initiative de l’association «Kane Ya Makan», cette exposition permettra de découvrir des triptyques réalisés par des femmes d’Agadir et des bijoux créés par des femmes de Marrakech.

Source lematin.ma

VIdEO«Ma hasalsh haga», le nouveau clip de Samira Saïd

Source youtube.com

La Maison des Artistes s’est fixée comme objectif de promouvoir l’art contemporain marocain. Notre agence également spécialisée dans la communication propose un concept original pour la décora-tion murale des bureaux et de l’intérieur des locaux. Notre agence se charge aussi de tous travaux de conception, d’édition ...

Pour sponsoriser un mailing envoyez votre demande à [email protected].


Ahmad Bouzoubaa, Fondateur et créatif de lamaisondesartistes.ma & culturetoute.com


Communiqué de PresseL'été 2016, verra naître la troisième édition du Raid des Deux Rives. Cet événement

motocycliste programmé sur un tracé global de plus de 2700 kilomètres, prévu du 17 Juillet au29 Juillet, à travers le Nord du Maroc, l'Espagne et le Portugal.

Cette troisième édition vient après le grand succès de celles des années précédentes,sera marquée par l'inauguration de nouveaux totems commémoratifs du Raid des Deux Rives,à l'instar de ce qui a déjà eu lieu, à Al Hoceima, à Ajdir, à Jebha, à Chefchaouen à Oued

Laou et à Tanger, au Nord du Maroc et dans la ville de Motril en Espagne.

Comme à l’accoutumée, les participants à cet événement, sont des motocyclistes deplusieurs pays dont, le Maroc, l'Espagne, le Portugal, l'Arabie Saoudite, le Bahreïn, Le Qatar,les Émirats Arabes Unis et le Brésil, l'originalité de ce raid a pu attirer de plus en plus departicipants qui cherchent à ajouter à leur palmarès de rider un parcours aussi remarquableque celui que nous avons dessiné, chargé des valeurs que nous cherchons à véhiculer.

Motorcycle.ma sous son label/enseigne Morocco Riders est fière d'être la première

structure privée marocaine spécialisée en événementiel motocycliste. Pour que l'activitémotocycliste soit revisitée en tant qu'argument de rencontres et de promotion des patrimoinesroutiers, culturels, historiques et paysagers.

L'événement du Raid des Deux Rives se veut être organisé dans un cadre officiel, encollaboration avec les autorités de toutes les villes, les régions et les pays traversés. Il chercheà créer un lien de culture et de passion entre les deux rives de la Méditerranée, où le Marocprivilégié par sa position exceptionnelle de carrefour humain et civilisationnel trèsremarquable, est riche d'interactions et d'échanges historiques avec les peuples de la rivenord méditerranéenne.

Ainsi l'événement du Raid des Deux Rives 2016 offre une occasion nouvelle pour larelecture de l'esprit de ces relations pluriséculaires, en profitant d'un moyen exceptionnelqu'est la moto, il favorise pendant cet événement, l'opportunité de rencontrer une sélection deprofils de motards de toutes origines, qui iront à la découverte des routes aux cachetspaysagers très remarquables, aussi bien à travers les voies montagneuses et côtières duMaroc qu'à travers les routes de la péninsule ibérique.

Signé : Idriss Saadani Administrateur et Fondateur

Morocco Riders Mobile : +212611274427

Note Technique :

est accompagné et couvert au Maroc par les médias nationaux; est accompagné d'avals et de validations des autorités des étapes et des villes qu'il franchi; est certifié à sa clôture par des attestations de participation, à tous les motards qui ont vécu

cette expérience inédite; véhicule impérativement une valeur ajoutée : culturelle et touristique; aspire à devenir cyclique et annuel, donc institutionnalisé en tant que promoteur d'un genre nouveau

d'approche des patrimoines culturels, historiques et évidement ludiques;

www.motorcycle.ma - N°15 rue Oukaïmden - Agdal – Rabat - Morocco. Tel. : +212537682660 - Fax : +212537683277 - emails : [email protected] - [email protected]

Programme CompletDate Haltes Timing Remarques Itinéraire Remarques

17/07/16

Distribution des paquetages + Dîner

Étape 01 De Al Hoceima à Chefchaouen

18/07/16

Al Hoceima 09:00:00 Départ

N 16

6 250

Jebha 11:00:00 Brunch

Oued Laou 14:00:00 Pause Déjeuner

Akchour 16:00:00 Pause découverteP 4105

Chefchaouen 18:00:00 Arrivée

Étape 02 De Chefchaouen à Tanger

19/07/16

Chefchaouen 09:00:00 Départ

N2

5 200

11:00:00 Brunch

Tétouan 13:00:00 Halte Carburant

14:30:00 Pause Déjeuner A6

Ksar Sghir 16:00:00 Pause CaféN16

Tanger 18:00:00 Arrivée

Étape 03 De Tanger à Motril

20/07/16

Tanger 07:00:00

Départ + Traversée Maritime

7 400

Tarifa 11:00:00

13:00:00 --- N340

Marbella 14:00:00 Pause DéjeunerA7

16:00:00 ---

Malaga 17:00:00 Halte Carburant

N34017:30:00 ---

Motril 18:00:00 Arrivée

Étape 04 De Motril à Granada

21/07/16

Motril 10:00:00 Départ

N340

5 85 Soirée Libre

Almunecar 11:00:00

15:00:00 Pause Café A-4050

15:20:00 Pause Déjeuner GR-3208

Granada 18:00:00 Arrivée A44

Étape 05 De Granada à Sevilla

22/07/16

Granada 09:00:00 Départ

114

5 300 Soirée Libre

10:30:00 Halte Carburant

12:00:00 Pause Déjeuner CO-3203 + N342

14:30:00 Halte Carburant A-431 + A-440

Sevilla 15:45:00 Arrivée A-436

Étape 06 Sevilla

23/07/16 Découverte de la ville et de ses environs

Étape 07

24/07/16

Sevilla 09:00:00 DépartN-433

7 450 Soirée Libre11:00:00 Halte Carburant

Pause Déjeuner N-433 + N255

15:00:00 Halte Carburant N4 + N114

17:00:00 Arrivée N10

Étape 08 Lisbonne

25/07/16 Découverte de la ville et de ses environs

Étape 09 De Lisbonne à Faro

26/07/16

09:00:00 Départ

IC1 5 35010h00:00 Halte Carburant

12:00:00 Pause Déjeuner

Faro 17:00:00 Arrivée

Étape 10

27/07/16

Faro 09:00:00 DépartN-431

9 520 Soirée Libre

10:00:00 Halte Carburant

Sevilla 12:30:00 Pause Déjeuner

CA-4011 + N-IVJerez 14:00:00 Halte Carburant

15:30:00 Arrivée

Étape 11

28/07/16

09:00:00 Départ

N-340

4 16010:30:00 Halte Carburant

Tarifa 13:00:00 Traversée Maritime

Tanger 16:00:00 Arrivée

Étape 12 Tanger

29/07/16 Brunch de Fin de l'Événement du Raid des Deux Rives 2016

Moyenne Quotienne de Conduite (en

Heures)

Moyenne Quotienne des distances

parcourues (en Km)

Rassemblement à Ajdir – Al Hoceima

+ Check in à l'Hôtel + Découverte de la Région

Dîner offert par Morocco Riders


Barrage Ennakhla

Fnidek


Estepona

Benalmadena

Nerja

Halte devant la statue de Abderrahmane 1er

Albunuelas

Loma del Valle

Baena

Restaurante Baldomero

Lora del Río

De Sevilla à Lisbonne

Aracena

Evora 13 :40:00

Pegões

Lisbon

Lisbon

Dîner offert par Morocco RidersMarateca

Ourique

De Faro à Cadix

Lepe

Cadix

De Cadix à TangerCadix

Dîner offert par Morocco RidersVejer de la fronteraPR

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INTROdUCTIONSUBABIENNALE est un salon d’art contemporain qui réunit des artistes, émergents et reconnus, de partout dans le monde : Nigéria, Ethiopie, Kenya, Suède, Afrique du Sud, France, Bénin… tous se retrouvent pour échanger et partager leur travail, à Dakar.Le projet s’inscrit dans la dynamique actuelle de la politique culturelle de l’Etat du Sénégal, qui vise à promouvoir et stimuler le secteur créatif. Il s’agit aussi de mettre l’accent sur l’émergence sur le continent d’un marché de l’art à travers des foires, des salons et des performances d’ingénierie culturelle moderne et adaptée portée par des professionnels. Un événement phare de qualité dans un lieu tel que le CICAD symbolisera forcément l’actuelle émergence d’une industrie culturelle et touristique sénégalaise.Mariam Selly Kane DIOP, conseillère en COM pour SUBABIENNALE

EdITORIALEntreprenons, sortons des sentiers battus et proposons un contenu qualitatif et surprenant. ICI. Donnons à nos capitales africaines une force d’attraction égale à la richesse de leur vie culturelle. Londres, Paris, NY, les capitales du marché de l’art contemporain ont découvert et reconnu la richesse de la création artistique en Afrique dans l’espace des quinze dernières années. Aujourd’hui, les focus sur l’Afrique dans les publications et les grands événements internationaux fleurissent.Et pourtant, le « boom » de l’art contemporain africain sur le marché n’aura pas lieu : pas si toute cette belle énergie demeure un effet de mode ailleurs et si les expositions, les ventes, les rencontres majeures se passent exclusivement ailleurs.SUBABIENNALE fait partie d’une nouvelle génération d’événements artistiques, où on ne sélectionne les acteurs que sur la base de leur travail et leur désir d’exposer à Dakar.Initiative d’une petite poignée de personnes basées au Sénégal, SUBABIENNALE est la preuve qu’avec de l’expertise, de la rigueur

et de la volonté, on peut agir au lieu d’attendre que les autres agissent, et entraîner le monde avec nous.Salimata Diop, Conseillère artistique pour SUBABIENNALE 2016

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IT’S ALL ABOUT EMERGING ARTSNos ExposantsINVITE D’HONNEUR

El AnatsuiEl Anatsui est l’un des artistes les plus célébrés de notre temps. Le lion d’Or de la Biennale de Venise 2015 lui est décerné pour l’ensemble de sa carrière. Ses installations métalliques monumentales et ses sculptures de bois font désormais parties des plus grandes collections muséales et privées. Les artistes d’iciLaeïla Adjovi : Franco-béninoise, Laeïla Adjovi a fait ses premiers pas en photo à 20 ans, lors d’un stage à New-Delhi dans une ONG indienne. Elle s’initie ensuite aux techniques de la photographie argentique et du laboratoire. Elle travaille dans la presse à Paris, puis dans le Pacifique, en Nouvelle-Calédonie. Adepte d’une photographie documentaire ou de reportage qui créerait du lien entre les couches sociales, entre les cultures et entre les mondes, elle développe aussi une approche artistique qui mêle peinture, dessin et manipulations en


chambre noire. Reporter, photojournaliste, plasticienne, elle vit et travaille à Dakar depuis 2010.Cheikhou Bâ : Cheikhou Bâ est un artiste contemporain sénégalais, diplômé de l’École nationale des arts de Dakar et de la Haute école d’art et de design de Genève. Il a exercé durant plusieurs années une activité d’enseignant en arts plastiques à côté de sa pratique de plasticien...

Soly Cissé : Artiste majeur né en 1969, Soly Cissé est diplômé de l’Ecole des Beaux-Arts de Dakar. Présent dans toutes les grandes Foires et expositions d’art contemporain depuis 15 ans, dont « Africa Remix » à Beaubourg et Londres), il est un acteur incontournable de l’art actuel issu d’Afrique.Delphine Diallo : Delphine Diallo (née en 1977 à Paris) est franco-sénégalaise. Diplômée en 1999 de l’Académie Charpentier (catégorie arts visuels), à Paris, elle travaille sept ans dans l’industrie musicale avant de se tourner vers la photographie. Elle se rend alors à Saint-Louis-du-Sénégal, d’où son père est originaire. Là, elle rencontre les membres de sa famille et les photographie dans un studio qu’elle baptise Magic, en hommage au photographe malien Malick Sidibé, dont elle revendique l’influence, ainsi que celle de son compatriote Seydou Keïta. Delphine Diallo vit et travaille aujourd’hui à New York. En 2012, le magazine Smithsonian l’a distinguée comme l’une des jeunes photographes à suivre.Omar Victor diop : Né en 1980 à Dakar (Sénégal), Omar Victor Diop est diplômé de l’Ecole supérieure de commerce de Paris et de l’Institut supérieur de management de Dakar. Il a appris la photographie en autodidacte, et s’est fait connaître avec la série « Le futur du beau », exposée aux Rencontres de Bamako en 2011. S’il n’a pas fait d’études artistiques, Omar Victor Diop revendique l’influence des maîtres de la peinture classique (Edouard Manet, Diego Velásquez) et moderne (Henri Matisse). Il s’inscrit également dans la culture pop africaine des années 1980, en héritier des grands photographes de studio (Mama Casset, Seydou Keïta, Malick Sidibé...). Il vit et travaille à Dakar.Camara Gueye : Amadou Camara Gueye né en 1968 est un artiste peintre Sénégalais. Il vit et travaille à Dakar dans le quartier populaire de Pikine, Par sa démarche artistique, A. Camara Gueye veut «éclairer tout ce qui est sombre dans la vie. Il travaille le plus souvent sur de grands formats des oeuvres aux compositions imposantes. Promu de l’Ecole Nationale des Beaux-arts de Dakar en 1997, il expose à l’international depuis l’an 2000 et au pays depuis 1993. Il a participé également à l’exposition Création contemporaine au Sénégal au Musée Dapper, Paris et, en 2005, au National Black Fine Art Show, The Puck Building à New York (USA). Ousmane Mbaye : Ousmane Mbaye, né le 26 novembre 1975 à Dakar, est un designer et décorateur sénégalais. Ancien technicien en froid – un métier qu›il a exercé pendant 17 ans –, il tire profit de ce savoir-faire (ou « savoir fer », selon lui1) pour créer des meubles contemporains à partir de matériaux de récupération (couvercles de fûts, conduites d’eau en métal galvanisé)2. Il vit et travaille à Soumbedioune (Dakar)Marc Montaret : Né en France, il vit et travaille à Dakar. Le travail de Marc Montaret révèle son amour des couleurs, de la lumière et son sens de l’humour. Sa série de masques célèbre la diversité des sculptures traditionnelles africaines : ife, mama, fang, ashanti, ciwara, lega marc les sort de leur sphère sacrée pour les rendre accessible à tous notamment aux enfants en les recréant dans son studio, en les rendant lumineux, gais et colorés. Il en fait aussi de beaux objets décoratifs. Cet artiste explore aussi bien le bronze, la céramique que la terre cuite.

Les artistes d’ailleurs

Bruce Clarke (Afrique du Sud) : Né en 1959, à Londres. Après des études aux Beaux-arts à Leeds University, Grande-Bretagne, s’installe en France. Plasticien et photographe, il expose depuis 1989 en France et à l’étranger. Collaborateur de Fest’Africa à Lille pour le projet «Rwanda : Écrire, filmer, peindre par devoir de mémoire». Collaborateur et animateur de l’Afrika Cultural Centre à Johannesburg en Afrique du Sud. En 2002 il était artiste en résidence en Guadeloupe, invité par le Conseil Général de ce département. À la fin de la résidence, il a réalisé l’exposition : «Fragments d’une Histoire de Demain», qui traite du lien entre l’esclavage, le colonialisme et la mondialisation. Création d’affiches de films, «Fools», 1997, «Silmandé», 1998, «Edvard Munch», 2004, «Retour à Gorée», 2008, etc. Également photographe, a publié des reportages sur l’Afrique du Sud, la reconstruction du Rwanda, le retour des réfugiés Libériens.

Malin Fezehai (Ethiopie / Suède): Malin Fezehai est un photographe basé à New York érythréenne / suédois et cinéaste.Sa carrière a commencé dans son pays natal de la Suède, où elle a étudié la photographie avant de déménager à New York pour assister à l’International Center of Photography. Son travail se concentre sur les communautés de déplacement et de dislocation dans le monde entier. En 2014, son travail sur les demandeurs d’asile africains vivant la vie dans les centres de détention dans le sud d’Israël était fonction LightBox pour le magazine TIME. Malin a été la destinataire d’un World Press Photo Award 2015, le prix Wallis Annenberg et a été nommée l’une des 30 photographes émergents à surveiller en 2015 Photo District Nouvelles. King Houndekpinkou (Benin): King Houndekpinkou est un céramiste franco-béninois vivant à Paris. Il a découvert la céramique il y a à peine 4 ans et il excelle déjà dans cet art si particulier et tellement technique. La céramique s’est révélée à lui comme une évidence, lui qui baignait déjà dans un milieu artistique avec la musique et le théâtre. Puis, comme un appel sourd, une voix intérieure qu’il n’avait peut-être pas pris la peine d’écouter jusque là, le pousse à s’inscrire à un cours de céramique à l’Atelier Mire, tenu par la céramiste japonaise Kayoko Hayasaki dans le Marais. La révélation !


https://fr.wikipedia.org/wiki/26_novembre

https://fr.wikipedia.org/wiki/Novembre_1975

https://fr.wikipedia.org/wiki/1975

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dakar

https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Frigoriste&action=edit&redlink=1

https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Frigoriste&action=edit&redlink=1

Peterson Kamwathi (Kenya) : né en 1980 au Kenya, il vit et travaille à Nairobi. Peterson Kamwathi enquête sur les espaces sociaux, économiques et culturels des contextes postcoloniaux. Ses travaux récents explorent la psycho dynamique des files d’attente, un lieu où la structuration administrative et sociale peut être comprise comme une manifestation des bouleversements et des changements dans l’humanité.

William Kentridge (Afrique du Sud) : William Kentridge est né à Johannesburg, Afrique du Sud, en 1955. Il a assisté à l’Université de Witwatersrand, Johannesburg (1973-1976), Art Foundation Johannesburg (1976-1978), et a étudié le mime et le théâtre à l’École Internationale de Théâtre Jacques Lecoq, Paris (1981-82). Ayant été témoin de première main l’une des luttes les plus controversées du XXe siècle dissolution de l’apartheid-Kentridge apporte l’ambiguïté et la subtilité de l’expérience personnelle à des sujets publics qui sont le plus souvent formulés dans des termes strictement définis. En utilisant le film, le dessin, la sculpture, l’animation, et la performance, il transmute les événements politiques qui donnent à réfléchir dans de puissantes allégories poétiques. En maintenant une technique signature, Kentridge photographie ses dessins au fusain et collages de papier au fil du temps, l’enregistrement de scènes à mesure qu’ils évoluent. Kentridge a eu de grandes expositions à San Francisco Museum of Modern Art (2009);Philadelphia Museum of Art (2008); Moderna Museet, Stockholm, (2007); et le Metropolitan Museum of Art, New York (2004); parmi d’autres.

Loza Malehombo (Côte d’Ivoire) : Loza Maléombho est la nouvelle étoile montante du stylisme africain. La jeune femme a vu son nom propulser sur la scène internationale lors de la diffusion du clip « Formation » de la chanteuse américaine Beyoncé. La créatrice ivoirienne de la marque éponyme Loza Maléombho anime actuellement Instagram avec sa série de photos Alien Edits. L’idée lui est venue après les évènements de Ferguson, lorsque Michael Brown, un jeune homme noir de 18 ans, a été abattu par Darren Wilson, un policier blanc, le 9 août. Basée à New York en 2009 elle a déménagé en Côte d’Ivoire depuis 2012, où sa production a lieu. La marque est décrite comme une fusion entre les cultures / sous-cultures traditionnelles et la mode contemporaine. Née au Brésil, Loza a grandi entre la Côte d›Ivoire et les Etats-Unis. Elle est dans la conception depuis l’âge de 13ans. Elle est diplômée en 2006 de l’Université des Arts de Philadelphie avec un BA des Beaux - Arts de l’animation. Elle s’est ensuite lancée dans l’industrie de la mode en faisant des stages chez des designers basés New york comme Jill Stuart, Yigal Azrouël et Cynthia Rowley avant de décider de lancer sa propre marque.

Emo de Medeiros (Benin / France) : Emo de Meideros, est un artiste franco-béninois qui travaille la vidéo, le son, la 3D et la photographie numérique.Sa pratique est construite sur un principe unique : celui de contexturation. Il compose ses œuvres, concrètement et au sens large, à partir de textures. En tant qu’élément, la texture va du tissu ou du pixel au texte. En tant que notion, elle traverse le matériel et le mental, et inscrit dans un continuum le matériau et le concept.

Aida Muluneh (Ethiopie) : Née en 1974, l’Éthiopienne Aida Muluneh est l’un des photographes les plus travailleurs et les plus talentueux que t le continent. Aida vit à Addis - Abeba où elle a fondé DESTA (Développement et éducation de la société à travers l’art), une organisation qui promeut le développement culturel grâce à l’utilisation de la photographie en offrant des ateliers, des expositions et des échanges créatifs. Son livre de photographie Ethiopie: Past / Forward (Africalia, 2009) explore l’Ethiopie à travers les lentilles de l’identité, voyage personnel et nostalgique de la famille après une absence de 30 ans. Son travail a été exposé au Musée national d’art africain à Washington, DC et d›autres lieux dont certains à Cuba et au Sénégal.

Sue Williamson (Afrique du Sud) : Sue Williamson est né en 1941, à Leitchfield, en Angleterre. Sa famille a émigré en Afrique du Sud en 1948. Elle a étudié l’art à New York de 1967 - 1969, et en 1983 a obtenu son diplôme. Sue travaille et vit à Cape Town, Afrique du Sud. Elle est membre fondateur de l’organisme artistique le Public Eye. Elle a participé en 2005 au Symposium Ars & Urbis, à doual’art.Elle est non seulement reconnue en tant qu’artiste mais aussi comme un écrivain. Elle est l’auteur d’ouvrages fondamentaux sur l’art d’Afrique du Sud. En tant que rédacteur en chef du Arthrob, elle lutte contre le manque d’information sur l’art en Afrique du Sud. Dans ses installations et photographies, Sue Williamson raconte l’histoire et les problèmes actuels de son pays. Les travaux de cette artiste démontrent son audace, son militantisme et sa façon impitoyable de critiquer les institutions du pays.

EXPOSANTS SUBABIENNALENos partenairesAKAAAKAA – Also Known As Africa- est la première foire d’art contemporain et de design sur le prisme de l’Afrique organisée en France, à Paris. AKAA c’est un voyage à travers la diversité de la création contemporaine, un manifeste en faveur des artistes, des galeries, et de tous ceux qui nous font rêver d’Afrique.

AKAA présente :(1) l’exposition ‘Identité en Transition’, en partenariat avec LagosPhoto Festival (2) Workshop animé par Sue Williamson(3) Fantôme de la Mer, installation de Bruce ClarkeBruce Clarke, artiste invité par AKAA et SUBABIENNALE


http://www.lemonde.fr/ferguson/

https://translate.googleusercontent.com/translate_c?depth=1&hl=fr&prev=search&rurl=translate.google.com&sl=en&u=http://www.destaforafrica.org/about.html&usg=ALkJrhiQaqCd_f9rEtoR59dFQIibdA1oIw

https://translate.googleusercontent.com/translate_c?depth=1&hl=fr&prev=search&rurl=translate.google.com&sl=en&u=http://www.facebook.com/notes/aida-muluneh/ethiopia-pastforward-aida-muluneh-book/130091261101&usg=ALkJrhgP7sWj87nsJOpWc0Pm2vJLyiZ2lg

https://translate.googleusercontent.com/translate_c?depth=1&hl=fr&prev=search&rurl=translate.google.com&sl=en&u=http://en.wikipedia.org/wiki/National_Museum_of_African_Art&usg=ALkJrhhdk_JoQq_oy8h7eBsklAkEv0plqg

LagosPhoto FestivalLancé en 2010, LagosPhoto est le premier et l’unique festival international d’art célébrant la photographie au Nigéria. Pendant un mois des événements comme des expositions, ateliers, presentations d’artistes, conversations et affichage de tirages monumentaux en plein air sont presents partout dans la ville avec pour but de reconquérir les espaces publics et créer une conversation avec un large public sur une Afrique aux multiples histoires et facettes. www.lagosphotofestival.com

Africa design daysLa Fondation ONA et Africa Design Award & Days, fondés par Hicham Lahlou Designer, organisent Africa Design Days 2015 Morocco, un événement inédit mettant à l’honneur plus de 40 designers internationaux de plus de 10 pays africains dont des designers et artisans créateurs du Maroc. Vitrine d’Africa Design Award, cet événement majeur, est porté par des membres influents et des experts du monde entier et vise à positionner l’Afrique au coeur de la scène mondiale du design. Fondation ZinsouL’action de la Fondation est, depuis son lancement il y a 11 ans, aussi bien artistique que culturelle, pédagogique et sociale. La mise en valeur du patrimoine artistique touchant à l’Afrique, l’éducation, le développement et la réduction de la pauvreté sont au cœur du projet. La méthode recherchée est de réaliser des « actions témoins » susceptibles d’être répliquées avec le concours d’entreprises et de particuliers. Au fil du temps, et grâce aux actions de mécénat et aux partenariats qui ont vu le jour, la Fondation a pu concevoir, exécuter, suivre, analyser et perfectionner les programmes sur le terrain. www.fondationzinsou.orgDakar 66.16, Un projet proposé par Dagara Dakin, Poète, Critique d’art, et Commissaire d’ExpositionLe projet _ Dakar 66.16 _ se présente sous la forme d’une série de projection vidéo, placée en regard de documents d’archives. Aller-retour entre le passé et le présent, il met en dialogue des documents qui interrogent le temps écoulé depuis le Festival Mondial des Arts Nègres de Dakar, dont nous fêtons cette année le cinquantième anniversaire. Vidéos et documents sonores revisitent les liens entre histoire passée et mémoire présente. Ils soulignent la persistance du passé dans la répétition de certains schémas, questionnent la pertinence de certains choix et ouvre sur le devenir du continent africain.

Un Programme culturel variéProgramme de conférences et tables rondes6 mai à 15 hFaut-il repenser la médiation culturelle ? : Emo de Medeiros (Artiste visuel), Dagara Dakin (Commissaire d’Exposition). Moderateur : Salimata Diop (Commissaire d’Exposition)12 mai à 15hWorkshop animé par l’artiste Sue Williamson14 mai à 16hLa femme dans le développement des industries créatives en Afrique de l’Ouest : Oulimata Sarr (UN Women), Victoria Mann (AKAA art fair), Céline Seror (IAM Magazine), Aissa Dione (Designer), Barbara Prezeau Stephenson (Fondation AfricAmericA). Programme de concerts et animations5 mai à partir de 17h : Soirée de vernissage

Programme d’animations musicales et performances artistiquesdiscours d’inauguration

8 mai à partir de 17h : Programme d’animations musicales et performances artistiques, avec :Keziah Jones & Inna ModjaProjet curaté par LagosPhoto

21 mai à partir 17h :Soirée de clôtureProgramme d’animations musicales et performances artistiques

Programme découverte pour les enfantsTous les mercredis après-midi Workshop animé par Docta, et d’autres artistes.Concept StorePop-up store made in Africa avec Bul Doff, Sophie Zinga, Mariah Bocoum, Sisters of Africa et d’autres. Qui sommes-nous ?


http://www.fondationzinsou.org

Mo Sow, Administrateur : Mo Sow est un réalisateur et créateur de contenu digital. Diplomé de NEW YORK UNIVERSITY en BACHELOR in ARTS, il possède aujourd’hui une expérience de plus de 15 ans dans les domaines de la communication et de la direction artistique. Il a notamment été rédacteur en chef du magazine Anglomania (Mode, Sport, Arts) à Londres et directeur artistique de l’exposition ‘Kenako’ pour PUMA, organisée à l’occasion de la coupe du monde de football 2010 sous le patronage du président de l’Afrique du Sud Jacob Zuma. En 2011, Mo devient le publiciste du champion du monde de boxe poids lourd David Haye, qu’il présente au président de la république du Sénégal Abdoulaye Wade. Après une longue carrière entre New York et Londres, Mo rentre au Sénégal en 2012 pour créer les studios ‘MoreHuman’ à Dakar où il est nommé responsable. Passionné d’art, Mo organise deux événements majeurs à l’occasion des biennales Dak’art 2012 et 2014 avec des artistes réputés du Sénégal. Il est le fondateur du projet SUBABIENNALE, Salon International des Arts, dont la troisième édition se tient en mai 2016 au CICAD.

Mariam Selly Kane, Experte en Communication : répondant de 25 ans de métier en tant que journaliste au sein de la RTS (radio télévision du Sénégal), Mariam Selly Kane est titulaire d’un master (Ms Com) en communication organisationnelle de l’université de Montréal. Elle a conçu et présenté pendant des années une grande émission culturelle « melting-pot » qui a permis de faire connaître les plus grands plasticiens du Sénégal et d’Afrique. Mariam est cofondatrice avec la créatrice haïtienne Barbara Prézeau de la fondation AfricAmericA qui est un trait d’union entre l’Afrique, le Canada et les Caraïbes pour la promotion des arts et la culture. La fondation (www.africamerica.org) organise tous les deux ans le forum transculturel d’arts contemporains à Port-au-Prince. Mariam Selly Kane est aussi à l’origine de la semaine du cinéma canadien et québécois de Dakar (cinecan) qu’elle a organisé en relation avec l’organisme culturel à but non lucratif « culture jokko » de Saidou Kane, cinéaste sénégalais qui vit à Ottawa. Très connaisseuse du milieu des arts et de la culture du Sénégal depuis 1990, Mariam a initié plusieurs projets événementiels. Militante et passionnée des arts visuels, elle suit la biennale de Dakar depuis 1992.

Salimata diop, Conseillère artistique, responsable de la sélection des exposants : Commissaire d’exposition, Critique d’art et Consultante spécialisée en art contemporain, Salimata Diop vit entre Londres, Dakar et Paris. Directrice de la programmation de l’Africa Centre de Londres en 2014-15, elle est Directrice artistique de la foire internationale AKAA (Also Known As Africa) et membre du comité de rédaction de IAM magazine. Elle a co-dirigé la série de documentaires African Masters pour the Africa Channel en 2012-13, et publie régulièrement des revues et critiques dans divers magazines artistiques à travers le monde. Les expositions qu’elle a organisées au Sénégal, en France et au Royaume-Uni incluent : 53 Echoes of Zaire, Popular Painting from Lubumbashi, The Africa Centre & Sulger-Buel Lovell gallery , UNIVERS/UNIVERSE et GRAIN DE FOLIE (Mai 2014, Dakar Biennale, Mairie de Dakar ; et Les Comptoirs du Fleuve, Saint-Louis), XEET at 50Golborne gallery (October 2015 London). Titulaire d’un Master en Littérature (Hypokhâgne-Khâgne à la Maison d’Education de la Légion d’Honneur puis La Sorbonne Paris IV) et d’un Master en Histoire de l’Art, Histoire des Collections, et Marché de l’art (University of Warwick & Institut d’Etudes Supérieures d’Art –IESA- de Paris), Salimata Diop a vite concentré sa pratique sur l’émergence du marché de l’art en Afrique, sujet qu’elle enseigne depuis 2012 pour l’IESA et a l’Université de Warwick. Elle est aussi Co-fondatrice de l’agence de formation Creative Intelligence avec le professeur Liz Lydiate.

Adenile Soglo, Commissaire assistantStacey Okparacey, Commissaire assistantPape Moussa Kane, Assistant Infographe

CONTACTSSite : www.subabiennale.com Contact Info : [email protected]; [email protected] Presse : [email protected] Contenu Artistique : [email protected]


http://www.africamerica.org

mailto:[email protected]



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