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CENTRE INTERNATIONAL DE CRÉATIONS THÉÂTRALES (C.I.C.T.) saison 2016 2017 créations et tournées

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C E N T R E I N T E R N A T I O N A L

D E C R É A T I O N S T H É Â T R A L E S ( C . I . C . T . )

saison 2016 2017

créations et tournées

créations

2017 / 2018

C r é a t i o n s 2 0 1 7 - 2 0 1 8

Lumières

Y v e s G o d i n

Costumes

A n a ï s R o m a n d

Ass is tante à l a mise en scène

P a u l i n e R o u s s i l l e

On a toujours envie de dire à un jeune acteur ou à une jeune actrice : « Prends une chaise et parle ». Et puis il y en a un qui prend une chaise et qui parle, et la vie est là. Ça, c’est l’art du théâtre. Ainsi, maintenant je suis revenu à quelque chose de très classique et de très modeste : écrire du théâtre. Je me confronte à l’écriture dramatique. C’est diffi cile d’écrire du théâtre aujourd’hui parce qu’on pourrait presque dire que tout a été fait. Et pourtant tout est à recommencer.

J’aime écrire pour les actrices. C’est peut-être ça mon travail : donner du travail aux actrices. Leur donner de grands rôles. Je fais ça très consciemment. J’essaie de proposer à des actrices des rôles où elles puissent vraiment y aller et ne pas simplement apparaître dans une scène pour faire joli. Actrice a été écrit pour les acteurs du Théâtre d’Art de Moscou en 2015. La pièce raconte les derniers jours d’une immense actrice. En quelques semaines, elle dit adieu à ceux qu’elle a aimés. Toute sa famille est là, ainsi que ses collègues du théâtre. Jusqu’à la fi n. Entourée de centaines de bouquets de ses admirateurs. Comme dans un reposoir.Pascal Rambert

Production structure ; C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du NordCoproduction Théâtre National de Strasbourg ; TNB Théâtre National de Bretagne / Rennes ; Célestins Théâtre de Lyon ; Le phénix scène nationale Valenciennes pôle européen de création ; Bonlieu scène nationale Annecy ; Théâtre de Gennevilliers CDN ; Le Parvis Scène Nationale Tarbes-Pyrénées ; L’Apostrophe – Scène nationale Cergy-Pontoise & Val d’Oise ; En cours...

actrice

© Patrick Im

bert

Texte , mise en scène e t scénographie

P a s c a l R a m b e r t

Durée : 2h(à c on f i rmer)

Avec

E u g e n i a M a r i n a H a n d s K s e n i a A u d r e y B o n n e t G a l i n a R u t h N ü e s c hE u g e n i E m m a n u e l C u c h e tP a v e l J a k o b Ö h r m a nI g o r E l m e r B ä c kI v a n Yu m i n g H e yA l e x a n d e r L u c B a t a ï n iS e r g e u ï J e a n G u i z e r i x o u P a s c a l R a m b e r tS t a n i s l a v R a s m u s S l ä t i sR o m a n A y a t H a m n a w aS v e t l a n a L a e t i c i a S o m éA r t e m S i f a n S h a oYu l i a L y n a K h o u d r iD i m i t r i A n a s A b i d a r e t N a t h a n A z n a r

C r é a t i o n l e 1 2 d é c e m b r e 2 0 1 7a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r dE n t o u r n é e e n 2 0 1 7 / 2 0 1 8 e t 2 0 1 8 / 2 0 1 9

© Duane Mich

als

P a s c a l R a m b e r t

N a t h a n A z n a r

Mise en scène K a t i e M i t c h e l l

LA maladie de la mort

Production C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du NordCoproducteur associé Les Théâtres de la Ville de LuxembourgCoproduction Théâtre de la Ville ; Le Théâtre de Liège ; Stadsschouwburg Amsterdam ; Théâtre de Caen ; Edinburgh International Festival ; Barbican Theatre / Londres ; Teatro di Roma ; Emilia Romagna Teatro Fondazione ; Fondazione Teatro Metastasio - Prato ; MC2 : Grenoble ; TANDEM – Scène nationale / Arras, Douai ; L’Archipel – Scène Nationale de Perpignan ; Croatian National Theater Zagreb ; En cours…

Une performance vidéo et cinématographique en direct.

Le roman écrit par Duras en 1982 raconte l’histoire d’un homme qui paye une femme pour passer plusieurs semaines avec lui dans un hôtel près de la mer, afi n de l’aider à apprendre à aimer. La femme, qui n’est pas une prostituée, est payée pour accepter tout acte sexuel ou toute autre demande de la part de l’homme. La femme lui rend visite seulement la nuit, elle n’est pas autorisée à lui parler sans y être invitée. La tonalité du texte est très secrète et étrange et s’apparente à un thriller psychologique. Chaque rencontre semble comporter un danger et chaque fois on se demande ce que cet homme pourrait faire à cette jeune femme, et surtout pourquoi la femme accepte un tel arrangement.

Vous verrez un décor de cinéma de la chambre d’hôtel et de salle de bain, où se déroule la scène. Il y aura une large fenêtre avec vue sur l’océan. Trois caméras fi lmeront simultanément l’action sur scène. Les images fi lmées seront alors éditées et montées en direct, puis projetées sur un grand écran au dessus du décor.

L’homme et la femme se disent peu de choses et la majorité du texte est dite en direct par un acteur placé dans une boite en verre insonorisée visible au public.

Cette tension entre l’action sur scène et la subjectivité cinématographique créera pour le spectateur un unique point de vue composé de deux images, révélant à la fois le paysage intérieur du personnage masculin et mettant au défi notre propre voyeurisme, notre manière d’appréhender l’amour, le sexe et le corps de la femme.Katie Mitchell

© Duane Mich

als

Dis tr ibu t i on à c on f i rmer

C r é a t i o n l e 1 6 j a n v i e r 2 0 1 8a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r d E n t o u r n é e à p a r t i r d u 1 2 f é v r i e r 2 0 1 8e t e n 2 0 1 8 / 2 0 1 9

E n f r a n ç a i s

D’après l ’œuvre de Marguerite Duras

Avec

E l l e L a e t i t i a D o s c hL u i N NN a r r a t r i c e I r è n e J a c o b

Direc teur de l a photographie

G r a n t G e e

Décor e t cos tumes

A l e x E a l e s

Musique

P a u l C l a r k

Concept ion sonore

D o n a t o W h a r t o n

Vidéo

I n g i B e k k

Ass is tant v idéo / Programmateur

E l l i e T h o m p s o n

Lumières

A n t h o n y D o r a n

Scénar i s te

A l i c e B i r c h

Metteur en scène assoc iée

L i l y M c L e i s h

Ass is tante à l a mise en scène

L i n d a B o n v i n i

Durée prév i s i onne l l e : en t re 1h e t 1h30

C r é a t i o n s 2 0 1 7 - 2 0 1 8

Je fais de Peer Gynt un jeune musicien-chanteur, qui réussit à quitter son village natal, laissant tout le monde sur son chemin pour devenir une star, un rocker dans la lignée d’Iggy Pop, dans un univers théâtral imaginaire, une sorte de downtown new-yorkais.

J’ai rassemblé une distribution multiculturelle et pluri-disciplinaire : acteurs, danseurs, chanteurs, musiciens. La danseuse indienne Shantala Shivalingappa joue la fi dèle Solveig. Le plus grand des comédiens islandais, Ingvar Sigurdsson, incarne Peer Gynt.

Un groupe de musiciens constitue la base de la narration, accompagnant de nouveaux textes et poèmes de Sam Shepard écrits à l’occasion pour les monologues de Peer. Iggy Pop a contribué à cette aventure en composant deux nouvelles chansons pour le spectacle.

Le chef-d’œuvre d’Ibsen offre une richesse théâtrale unique. Il me permet de partager avec vous non seulement l’un des plus grands classiques du répertoire, mais aussi une histoire accessible à tous, un questionnement philosophique et existentiel, sous la forme d’un conte de fées intemporel. Irina Brook

“Un Peer Gynt rock’n’roll et électrique. Avec ce spectacle joyeux, poétique et actuel, Irina Brook annonce la couleur et la teneur de son ambition, fondée sur les comédiens, c’est-à-dire le jeu. D’où l’excellence de la distribution internationale réunie ici. Une distribution jeune, aussi brillante dans le chant que dans la danse qui émaillent ce formidable opéra rock. [...] La proposition d’Irina Brook touche, amuse et enchante. Une réussite.” L’Express

Production C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du Nord ;Théâtre National de Nice - CDN Nice Côte d’Azur

PEERGYNT

D’après

H e n r i k I b s e n

Adapta t ion e t mise en scène

I r i n a B r o o k

Avec

H e l e n e A r n t z e n , F r ø y d i s A r n t z e n D a l e ,D i e g o A s e n s i o , J e r r y D i G i a c o m o ,M a i j a H e i s k a n e n , S c o t t K o e h l e r, M i r e i l l e M a a l o u f , R o m é o M o n t e i r o ,D a m i e n P e t i t , M a r g h e r i t a P u p u l i n ,P a s c a l R e v a , A u g u s t i n R u h a b u r a ,G e n S h i m a o k a , S h a n t a l a S h i v a l i n g a p p a e t I n g v a r S i g u r d s s o n

C r é é e n j u i l l e t 2 0 1 2 a u Fe s t i v a l d e S a l z b o u r g R e p r é s e n t a t i o n s a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r de n f é v r i e r 2 0 1 8E n t o u r n é e e n 2 0 1 7 / 2 0 1 8

Chorégraphie

P a s c a l e C h e v r o t o n

Scénographie

N o ë l l e G i n e f r i

Costumes

M a g a l i C a s t e l l a n

Masques

C é c i l e K r e t s c h m a r

Lumières

A r n a u d J u n g

© Jean-C

laude

Fra

icher

Durée : 2h45 avec en t rac t e

E n a n g l a i s , s u r t i t r é e n f r a n ç a i s

Poèmes

S a m S h e p a r d

Chansons

I g g y P o p

C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du Nord ;Théâtre National de Nice - CDN Nice Côte d’Azur

© Maria

n Adr

eani

Lumières

P h i l i p p e V i a l a t t e

Un homme est installé sur une petite colline en face d’une grande prison moderne en béton aride – il fait chaud et l’homme a construit une petite hutte étrange et provisoire pour se préserver du soleil – il est en train de cuire quelque chose sur un petit réchaud à gaz – il s’arrête soudainement et avec toutes ses forces vocales il se met à injurier violemment quelqu’un qui n’est pas là – il rallume son réchaud et fait cuire son repas – puis il commence à le manger – à ce moment arrive une voiture – un étranger s’approche de l’homme et lui dit en anglais – « Yassad Emri m’a dit que vous seriez là – je n’ai pas eu de mal à vous trouver ! Vous êtes bien en face de la prison » L’homme sourit – « Voulez vous partager mon repas ? »Il tend sa gamelle sale et remplie d’une nourriture immangeable à l’Anglais qui refuse poliment mais avec un air assez dégouté, ce qui fait à nouveau sourire l’homme qui reprend sa gamelle, recommence à manger tout en fi xant calmement l’étranger avec ses deux grands yeux brûlants.

Qui est-il ? Pourquoi est-il assis là assis devant cette prison ?Est-ce un choix délibéré ? Est-ce une punition ? Et ceux qui sont à l’intérieur, quels crimes ont ils commis eux ? Et comment considèrent-ils cet homme qui leur fait face ? Un fou ? Un fou de Dieu ? Un criminel lui aussi, comme eux ? Quelle punition pour quel crime ? Quelle justice ? Qui a pris cette décision ? L’homme seul ? Pourquoi le laisse-t-on ainsi narguer la justice ? Questions pour ceux qui dirigent la prison, et pour tous ceux qui y sont enfermés. Cet homme cherche-t-il une rédemption ? Est-ce que des gens viennent le voir ? A-t-il voulu fuir ? Est-il là depuis longtemps ?

A travers des ateliers, en France et à l’Etranger, nous allons pénétrer dans la richesse de tous ces thèmes. Et présenter l’évolution de cette incursion dans cette étonnante fourmilière aux Bouffes du Nord en mars 2018. Peter Brook et Marie-Hélène Estienne

Production C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du NordCoproduction En cours...

le prisonnier

© Maria

n Adr

eani

Texte e t mise en scène

P e t e r B r o o k e t M a r i e - H é l è n e E s t i e n n e

Avec

H i r a n A b e y s e k e r aC a r o l e K a r e m e r a E r y N z a r a m b a

D i s t r i b u t i o n e n c o u r s

C r é a t i o n e n m a r s 2 0 1 8 a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r dE n t o u r n é e e n 2 0 1 7 / 2 0 1 8 e t 2 0 1 8 / 2 0 1 9

S p e c t a c l e e n a n g l a i s ,s u r t i t r é e n f r a n ç a i s

C r é a t i o n e n m a r s 2 0 1 8 a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r dE n t o u r n é e e n 2 0 1 7 / 2 0 1 8 e t 2 0 1 8 / 2 0 1 9

C r é a t i o n s 2 0 1 7 - 2 0 1 8

Beggar’sopera

C r é a t i o n a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r d e n a v r i l 2 0 1 8E n t o u r n é e e n m a i 2 0 1 8 e t e n 2 0 1 8 / 2 0 1 9

Bal lad opera de

J o h n G a y e t J o h a n n C h r i s t o p h P e p u s h

Mise en scène

R o b e r t C a r s e nDirec t ion e t concept ion mus ica le

W i l l i a m C h r i s t i e

Avec

1 0 c h a n t e u r s - c o m é d i e n se t

1 0 m u s i c i e n s d e s A r t s F l o r i s s a n t s

Production C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du NordCoproduction Théâtre de Caen ; En cours...

E n a n g l a i s , s u r t i t r é e n f r a n ç a i s

Une réécriture au plateau de l’œuvre qui a inspiré Bertold Brecht et Kurt Weill pour leur Opéra de quat’sous. Plus qu’un opéra à proprement parler, c’est une pièce de théâtre entremêlée d’une soixantaine de chansons populaires et d’airs dont certains ont même pu être attribués à Purcell ou Handel. William Christie à la direction musicale et Robert Carsen à la mise en scène ont à cœur de dévoiler la saveur satirique du livret de John Gay, sur qui repose la dramaturgie de ce ballad-opera dans les bas-fonds londoniens, mais aussi tout le talent d’improvisateurs et d’arrangeurs des musiciens des Arts Florissants qui réharmoniseront eux-mêmes l’ensemble de la partition.

©DR©Nico

las O

rland

o

On a réglé depuis longtemps son compte au Marivaux poudré, badin, marivaudant. Vilar, Planchon, Chéreau, Lassalle, Nichet, entre autres, ont porté au jour la cruauté qui régit les rapports humains dans ce théâtre où la langue est à la fois masque et révélateur, épée et bouclier, poison et remède. Le jeu amoureux fait la torture des âmes, et le désir, quand il paraît, n’a de cesse de faire souffrir les corps jusqu’à l’aveu, obtenu par tours et détours, parfois hilarants, parfois tragiques, qui font la comédie.

On représente volontiers Marivaux sous l’angle abstrait, et d’autant plus cette pièce qui met en scène un philosophe. Je voudrais au contraire voir l’Amour triompher au milieu d’un repas, pendant une chorale ou une sonate, au sortir d’un buisson, d’une botte de paille, pendant qu’on coupe ou scie le bois. Hermocrate, Léontine, Agis, Arlequin, Dimas, mais aussi un musicien, présent en scène, muet (le violoncelliste Christophe Coin), sont les habitants détraqués de cette communauté dont l’ordre et la paix vont être détruits.

Phocion arrive innocemment, c’est à dire sans connaître ou comprendre la loi du lieu. Mais elle ne connaît pas non plus l’amour. [...] Ce n’est pas une libertine avouée. La situation lui en donne les apparences puisqu’elle mène simultanément trois conquêtes amoureuses avec une rare virtuosité.Cette science lui vient peut-être précisément de son innocence et de son ignorance. Et Léontine, Agis et Hermocrate succombent, non parce qu’ils ont affaire à une femme diabolique, mais à l’Ange, à l’Amour en personne, qu’ils avaient cru chasser du jardin une fois pour toutes.Denis Podalydès

le triomphe de l’amour

©Nicolas

Orla

ndo

C r é a t i o n e n m a i 2 0 1 8R e p r é s e n t a t i o n s a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r de n j u i n e t j u i l l e t 2 0 1 8E n t o u r n é e e n 2 0 1 8 / 2 0 1 9

Mise en scèneD e n i s P o d a l y d è s ,Soc i é ta i re d e laComéd i e -França i s e

De

M a r i v a u x

Production C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du NordCoproduction Maison de la culture d’Amiens ; Les Théâtres de la Ville de Luxembourg ; Théâtre de Liège ; Théâtre de Caen ; Théâtre de Nîmes ; Châteauvallon – Scène Nationale ; Opéra Royal / Château de Versailles Spectacles ; Printemps des Comédiens / Montpellier ; Théâtre du Gymnase / Marseille ; Espace Jean Legendre, Théâtre de Compiègne ; Théâtre Le Forum / Fréjus ; En cours...

Avec

P h o c i o n L e s l i e M e n uH e r m i d a s N NH e r m o c r a t e P h i l i p p e D u c l o sL é o n t i n e N NA g i s T h i b a u t V i n c o nD i m a s P a s c a l R é n é r i cA r l e q u i n J e a n - N o ë l B r o u t éM u s i c i e n C h r i s t o p h e C o i n

Dis tr ibu t i on à c on f i rmer

Scénographie

E r i c R u f

Costumes

C h r i s t i a n L a c r o i x

C r é a t i o n e n m a i 2 0 1 8R e p r é s e n t a t i o n s a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r de n j u i n e t j u i l l e t 2 0 1 8

Lumières

S t é p h a n i e D a n i e l

Son

B e r n a r d V a l l e r y

Créations 2018/2019

©DR

Il y a un mystère non résolu autour des Dichterliebe de Schumann (1844) – sur les poèmes du Lyrishes Intermezzo de Heinrich Heine, extrait de son Buch der Lieder (1827).

Á l’origine le manuscrit comportait 20 lieder, 4 lieder (2 groupes de 2) furent coupés avant la publication, pour donner le fameux « cycle » de 16 que nousconnaissons actuellement. Alors que les érudits parlent d’une décision esthétique du compositeur, aucune preuve d’époque n’existe, qui expliquerait pourquoi Schumann fi t ces coupures.

Bernard Foccroulle et Martin Crimp ont donc pris ces deux points où les lieder furent retirés comme des invitations à intervenir – et même à prolonger les Dichterliebe eux-mêmes. On peut y voir un geste radicalement moderne, mais cela fait aussi référence à des pratiques d’interprétations authentiques du 19e siècle, où il était tout à fait courant d’intercaler des musiques additionnelles au sein de ces soi-disant « cycles ».

Production C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du NordCoproduction En cours...

DichterliebeLESSONS IN POETRY

©DR

C r é a t i o n a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r d e n m a i 2 0 1 9E n t o u r n é e e n 2 0 1 9

Musique

R o b e r t S c h u m a n n

e t

B e r n a r d F o c c r o u l l e

Texte

H e i n r i c h H e i n e

e t

M a r t i n C r i m p

Mise en scène

K a t i e M i t c h e l l

Avec

S o p r a n o J u l i a B u l l o c kP i a n i s t e C é d r i c T i b e r g h i e n

Créat ion pour soprano e t p iano , en d ia logue avec l es Dich t er l i eb e de Robert Schumann

S p e c t a c l e e n a l l e m a n d e t a n g l a i s , s u r t i t r é e n f r a n ç a i s

Durée : 1h15 (à c on f i rmer)

C r é a t i o n s 2 0 1 7 - 2 0 1 8

À Londres, on appelle mews les ruelles qui menaient autrefois aux écuries. Francis Bacon avait son atelier au 7 Reece Mews.

C’est dans la bohème londonienne des années 1950 que l’on retrouvera le peintre.Il côtoiera le temps d’une folle soirée le photographe John Deakin et la muse Henrietta Moraes pour cette nouvelle pièce de théâtre musical interprétée par trois chanteurs et huit musiciens.

Production C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du NordCoproduction En cours...

mews songs

© Dimitri

Kas

terin

e

C r é a t i o n e n 2 0 1 8 / 2 0 1 9E n t o u r n é e e n 2 0 1 8 / 2 0 1 9

Musique

F r a n ç o i sM e ï m o u n

S p e c t a c l e e n f r a n ç a i s

Durée : 1h30 (à c on f i rmer)

Livre t

M i c h e l A r c h i m b a u de t P a u l - H e n r y B i z o n

Scénographie

F a b i e n Te g n i é

Mise en scène

M a r i e - E v e S i g n e y r o l e

Effec t i f

M e z z oC o n t r e - t é n o rB a r y t o n

2 c l a r i n e t t e s2 c o n t r e b a s s e s4 p e r c u s s i o n s

Cette saison

C r é a t i o n s 2 0 1 6 - 2 0 1 7

Dans Traviata - Vous méritez un avenir meilleur, les spectateurs sont invités dans l’intimité de Violetta à voir de tout près le feu auquel elle se livre, parmi les convives de cette fête musicale et fantasmagorique où se mêlent théâtre et opéra, voix parlées et voix chantées, où la distinction entre instrumentistes et chanteurs se brouille, où Charles Baudelaire se trouve assis près de Christophe Tarkos et où chantent et meurent les fantômes de ce Paris en plein essor industriel dont nous vivons à présent l’avenir.Benjamin Lazar

« Ce à quoi nous avons assisté […] est de pure grâce, un moment magique, rare, où théâtre et musique – et humanité – empruntent le couloir ascendant d’un souffl e unique. » « Sans doute l’un des spectacles les plus aboutis présentés ces dernières années au Théâtre des Bouffes du Nord »Le Monde

D’après L a Travia ta de Giuseppe Verdi

Production C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du NordCoproduction Théâtre de Caen ; Espace Jean Legendre, Théâtre de Compiègne – Scène Nationale de l’Oise en préfiguration ; Le Parvis - Scène Nationale de Tarbes-Pyrénées ; le Théâtre - Scène nationale Mâcon-Val de Saône ; TANDEM – Scène nationale ; Théâtre Forum Meyrin / Genève ; Le Moulin du Roc - Scène nationale de Niort ; Théâtre de l’Incrédule ; Cercle des partenaires des Bouffes du NordAction financée par la Région Île-de-FranceAvec le soutien de la SPEDIDAM et l’aide d’Arcadi Île-de-France Avec la participation artistique du Jeune théâtre national Construction des décors Ateliers du Moulin du Roc - Scène Nationale de NiortLe Théâtre de l’Incrédule est soutenu par la Région Normandie

S p e c t a c l e e n i t a l i e n e t f r a n ç a i s , s u r t i t r é e n f r a n ç a i s

Durée : 2h

Avec F l o r e n t B a f f i , D a m i e n B i g o u r d a n / S a f i r B e h l o u l , J é r ô m e B i l l y , R e n a u d C h a r l e s , E l i s e C h a u v i n , J u d i t h C h e m l a , A x e l l e C i o f o l o d e P e r e t t i , M y r t i l l e H e t z e l , B r u n o L e B r i s , G a b r i e l L eva s s e u r, S é b a s t i e n L l a d o , B e n j a m i n L o c h e r e t M a r i e S a l va t

Concept ion

B e n j a m i n L a z a r, F l o r e n t H u b e r t e t J u d i t h C h e m l a

Mise en scène B e n j a m i n L a z a r

Chef de chantA l p h o n s e C e m i n

ScénographieA d e l i n e C a r o n

CostumesJ u l i a B r o c h i e r

LumièresM a ë l I g e r

Maqui l l agese t co i f fures M a t h i l d e B e n m o u s s a

Ass is tante à l a mise en scèneJ u l i e t t e S é j o u r n é

Ar rangements e t d i rec t ion mus ica le F l o r e n t H u b e r t e t P a u l E s c o b a r

Giuseppe Verdi

traviataV O U S M É R I T E Z U N A V E N I R M E I L L E U R

© Pascal Gély

C r é é l e 1 7 s e p t . 2 0 1 6 a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r dE n t o u r n é e e n 2 0 1 7 / 2 0 1 8 e t 2 0 1 8 / 2 0 1 9

© Marc

el H

artm

ann

nevrotikhotel

Mise en scène

M i c h e l F a u

MusiquesJ e a n - P i e r r e S t o r a

DécorE m m a n u e l C h a r l e s

CostumesD a v i d B e l u g o u

LumièresJ o ë l F a b i n g

AvecM i c h e l F a uA n t o i n e Ka h a nPiano M a t h i e u E l F a s s iAccordéon L a u r e n t D e r a c h eViolonce l l e L i o n e l A l l e m a n d

Arthur Rimbaud disait : « Rien n’est beau que le faux, le faux seul est aimable ». Une certaine théâtralité factice me fascine, me fait rire et m’inquiète... Je veux continuer mon travail sur le travestissement et sur la voix transformée, mais par des chemins différents... En compagnie du charismatique Antoine Kahan, je vais tenter d’incarner la vérité de l’artifi ce... Jean Genet disait : « Ma vie visible ne fut que feintes bien masquées ».

À partir de chansons inédites de Michel Rivgauche et d’autres, sur des musiques mélancoliques et raffi nées de Jean-Pierre Stora, j’ai demandé à Christian Siméon d’inventer un conte maléfi que et pathétique...

Vous allez assister à l’étrange histoire d’une vieille dame dévastée par la vie, seule dans une chambre d’hôtel en bord de mer, qui propose à un joli groom agaçant un contrat funèbre et délicat... Cela ressemble à une vertigineuse mise en abîme des clichés humains, mais c’est aussi un hommage décalé et poignant à la grande chanson française.Michel Fau

C r é é a u Fe s t i v a l d e Fi g e a c 2 0 1 6Re p r i s e a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r d e n j a n v i e r 2 0 1 7 e t m a i 2 0 1 8E n t o u r n é e e n 2 0 1 7 / 2 0 1 8 e t 2 0 1 8 / 2 0 1 9

C H A N S O N S

Si y ’ava i t pas l e s vagues ( p a r o l e s M i c h e l R i v g a u c h e )La moust iqua i re du Caire ( p a r o l e s M i c h e l R i v e g a u c h e )Un lof t avec vous ( p a r o l e s M i c h e l R i v g a u c h e )Fleurs de papiers pe int ( p a r o l e s P a s c a l B o n a f o u x )L e pr intemps dans l e Sussex ( p a r o l e s M i c h e l R i v g a u c h e )Premier amour perdu ( p a r o l e s J e a n F r a n c o i s D e n i a u )Ce mois de mai ( c h a n s o n d u X I I I è m e s i è c l e )À chaque fo i s qu ’on a ime ( p a r o l e s M i c h e l R i v g a u c h e )L e syndrome de Stockhom ( p a r o l e s C h r i s t i a n S i m é o n )Coup de foudre sur l a montagne ( p a r o l e s M i c h e l R i v g a u c h e )Je croya i s ( p a r o l e s J u l i e D a r o y )Hote l des fous ( p a r o l e s J u l i e D a r o y )I l passa ( p a r o l e s H é l è n e V a c a r e s c o )À quoi ça t i ent un amour ? ( p a r o l e s M i c h e l R i v g a u c h e )Chacun sa l imonade ( p a r o l e s C l a u d e D e l e c l u s e & M i c h e l l e S e n l i s )

Production Scène conventionnée pour le Théâtre et Théâtre Musical - Figeac / Saint-Céré - Festival de Théâtre de FigeacCoréalisation C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du Nord ; Le Théâtre de Lorient – Centre dramatique national

© Marc

el H

artm

ann

Durée : env iron 1h30

Maqui l l agesP a s c a l e F a u

Per r uqueL a u r e Ta l a z a c

Ass is tant à l a mise en scèneD a m i e n L e f è v r e

Col labora t ion ar t i s t iqueS o p h i e Te l l i e r

Trame e t d ia loguesC h r i s t i a n S i m é o n

Comédie mus ica le de chambre

C r é a t i o n s 2 0 1 6 - 2 0 1 7

ORFEO J E S U I S M O R T E N A R C A D I E

Mise en scène

S a m u e l A c h a c h e e t J e a n n e C a n d e l

Ar rangements mus icaux

c o l l e c t i f s sous l a d i rec t ion de

F l o r e n t H u b e r t

Scénographie

L i s a N a v a r r o

Accesso i res

F r a n ç o i s G a u t h i e r - L a f a y e

Lumières

J é r é m i e P a p i n

Costumes

P a u l i n e K i e f f e rass i s tée de

C a m i l l e P é n a g e r

Masque

L o ï c N é b r é d a

Chef de chant

N i c o l a s C h e s n e a u

Une compos i t ion théâ t ra le e t mus ica le écr i t e e t a r rangée par La v ie brève , avecM a t t h i e u B l o c h , A n n e - E m m a n u e l l e D a v y , V l a d i s l a v G a l a r d , A n n e - L i s e H e i m b u r g e r, F l o r e n t H u b e r t , C l é m e n t J a n i n e t , O l i v i e r L a i s n e y , L é o -A n t o n i n L u t i n i e r, T h i b a u l t P e r r i a r d , J a n P e t e r s , M a r i o n S i c r e , M a r i e - B é n é d i c t e S o u q u e t e t L a w r e n c e W i l l i a m s

Production C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du Nord ; la vie brèveCoproducteurs associés La Comédie de Valence - CDN Drôme Ardèche ; Les Théâtres de la Ville de Luxembourg ;Le Théâtre de Lorient – Centre dramatique nationalCoproduction Espace Jean Legendre, Théâtre de Compiègne – Scène nationale de l'Oise en préfi guration ; Théâtre de Caen ; Les Subsistances / Lyon ; Théâtre Garonne – scène européenne / Toulouse ; Le Quai - CDN Angers Pays de la Loire ; Le Grand T, Théâtre de Loire-Atlantique ; Théâtre de la Cité Internationale ;Cercle des partenaires des Bouffes du NordAvec le soutien du Pôle-Culturel d’AlfortvilleAvec l'aide d'Arcadi Île-de-France, de l'ADAMI, de la SPEDIDAM ;action fi nancée par la Région Île-de-FranceConstruction des décors Ateliers des Théâtres de la Ville de Luxembourg

D’après L’Or f eo de Monteverdi e t d’autres matériaux

S p e c t a c l e e n i t a l i e n e t f r a n ç a i s , s u r t i t r é e n f r a n ç a i s

© Abelardo Morell, Boston / Cou

rtesy

Edw

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Orphée voit disparaître deux fois la femme qu’il aime. Une première fois mordue par un serpent, une seconde fois renvoyée à nouveau et défi nitivement dans les enfers par le regard de son amant. Orphée, par son chant, a le pouvoir d’enchanter les bêtes sauvages, d’amadouer les dieux, mais surtout de créer et de transformer les espaces, les lieux, les montagnes, les forêts dans notre imaginaire.

L’Orfeo est considéré comme le premier opéra. L’Orfeo est le lieu de notre « artisanat furieux »,le grand fond sous-marin dans lequel nous plongeons. C’est une immersion dans différents langages qui racontent les étapes, les pauses, les paliers et les transformations intérieures d’Orphée. Nous cherchons à passer d’un monde à l’autre, à glisser du profane au sacré, à faire co-exister le bruit de la vie et la clarté de la mort, la puissance du mythe et la physicalité de la musique. Rien n’est sûr, tout peut se convertir en son contraire.Samuel Achache et Jeanne Candel

© Rémy A

rtige

s

C r é é l e 4 j a n v i e r 2 0 1 7 à l a C o m é d i e d e Va l e n c e R e p r é s e n t a t i o n s a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r dd u 1 7 j a n v i e r a u 5 f é v r i e r 2 0 1 7 E n t o u r n é e e n 2 0 1 7 / 2 0 1 8 e t 2 0 1 8 / 2 0 1 9

LA REcherche

De e t avecY v e s - N o ë l G e n o d Son

B e n o î t P e l é

Lumières P h i l i p p e G l a d i e u x

De Proust, on ne peut rien dire ou beaucoup — et, beaucoup, c’est à l’infi ni. Comme nous manquerons de courage et comme nous ne voulons pas mentir, nous tenterons une troisième voie : la fl uidité, la mouvance, rien de fi xe, l’inachevé...

C’est ainsi qu’écrivait Proust. Il ne s’arrêtait pas. La parution des premiers volumes et la mort pour les derniers, seules, ont suspendu l’écriture. Il avait voulu appeler son œuvre La Vie rêvée. Á un jeune homme à qui il lit ses textes, qui l’écoute et lui répond que c’est extraordinaire, mais qu’il faut aérer, mettre des points, aller à la ligne, Proust promet. Le lendemain, il relit le même passage et le jeune homme (qui a témoigné) constate que c’est pire. Encore plus touffu. Encore plus épais, encore plus démultiplié, encore plus mouvant. C’est bien sûr cela qui nous éblouit. Rien d’autre.

« Nos sensations sont une jungle », dit Proust et il invente un style pour ne pas les affadir, un style presque d’imitation de cette jungle des sensations, peut-être comme l’Art Nouveau 1900 est une imitation de la nature. Feuilles, tiges, phrases arborescentes où le sujet se perd. Ça tombe bien, le Théâtre des Bouffes du Nord qui m’accueille n’est pas le temple de l’Intelligence cartésienne (qui n’est rien, selon Proust : « le savoir [...] est nul en art »), mais, tout en courbes, celui de l’Impression et de l’Instinct. Théâtre de l’Être beaucoup plus que du Sujet (freudien ou cartésien). Proust dit, dans une lettre fameuse qu’il ne se met à écrire que quand il est redevenu chien et d’ailleurs qu’il n’aime lire que les livres écrits ainsi. Puissent les dieux du théâtre m’aider à redevenir chien !Yves-Noël Genod

Production C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du Nord ; Le DispariteurAvec le soutien de Marseille Objectif Danse ; Nanterre Amandiers, centre dramatique national ; Le Vivat, scène conventionnée d’Armentières ; ICI — centre chorégraphique national Montpellier - Occitanie / Pyrénées-MéditerranéeRemerciements à Vincent Darré et Elie Top (manteau), Marc Toussaint (décor)

© Rémy A

rtige

s

Durée : 2h15 environ

C r é é l e 2 1 f é v r i e r 2 0 1 7 a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r dE n t o u r n é e e n 2 0 1 7 / 2 0 1 8

D’après À la Recher che du t emps p erdu de Marcel Proust

ET toujours en Tournée... ET toujours

©Simon A

nnan

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Battlefield

C r é é l e 1 5 s e p t e m b r e 2 0 1 5 a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r dE n t o u r n é e e n 2 0 1 7 / 2 0 1 8

Production C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du NordCoproduction The Grotowski Institute ; PARCO Co. Ltd / Tokyo ;Les Théâtres de la Ville de Luxembourg ; Young Vic Theatre / Londres ; Singapore Repertory Theatre ; Le Théâtre de Liège ; C.I.R.T. ; Attiki cultural Society / Athènes ; Cercle des partenaires des Bouffes du Nord

Le Mahabharata n’est pas seulement un livre, ou une série de livres, c’est un champ immense, qui couvre tous les aspects de notre existence. On y trouve les questions essentielles qui concernent notre vie, des questions qui sont à la fois contemporaines et urgentes. [...] La richesse du langage de cette épopée millénaire, ses histoires toujours étonnantes, nous offrent la possibilité de faire revivre sous une forme théâtrale cette situation qui, bien qu’appartenant au passé, refl ète en même temps les très durs et innombrables confl its qui déchirent notre monde aujourd’hui.Peter Brook et Marie-Hélène Estienne

« Il enroule comme par jeu une histoire sur une autre, et semble distiller

la recherche de toute une vie : le théâtre comme sur une place de village en

Afrique, le bruit et la fureur de l’épopée shakespearienne, le soubassement

discret, mais jamais démenti, de la tragédie grecque. Tout cela avec une

simplicité magistrale que le sorcier Brook affi ne de spectacle en spectacle. »Le Monde

29 mars au 2 avr. 2017 : T H E J O H N F . K E N N E D Y C E N T E R

F O R T H E P E R F O R M I N G A R T S / W A S H I N G T O N / É T A T S - U N I S

5 au 8 avr. 2017 : M U S E U M O F C O N T E M P O R A R Y A R T

C H I C A G O / É T A T S - U N I S

13 au 23 avr. 2017 : G U T H R I E T H E AT E R / M I N N E A P O L I S / É TAT S - U N I S

26 avr. au 21 mai 2017 : A M E R I C A N C O N S E R V A T O R Y

T H E A T E R / S A N F R A N C I S C O / É T A T S - U N I S

24 au 28 mai 2017 : T H E W A L L I S A N N E N B E R G C E N T E R F O R

T H E P E R F O R M I N G A R T S / L O S A N G E L E S / É T A T S - U N I S

16 au 19 juin 2017 : W I E N E R F E S T W O C H E N / A U T R I C H E

23-24 juin 2017 : T H É Â T R E D U D R A M E / E K A T E R I M B O U R G / R U S S I E

28 au 30 juin 2017 : T H É Â T R E D E S N A T I O N S / M O S C O U / R U S S I E

D’après l e Mahabhara ta e t l a p ièce de Jean-Claude Carrière

D A T E S D E R E P R É S E N T A T I O N S A V E N I R

Adapta t ion e t mise en scène

P e t e r B r o o k e t M a r i e - H é l è n e E s t i e n n e

S p e c t a c l e e n a n g l a i s ,s u r t i t r é e n f r a n ç a i s

©Simon A

nnan

d

Durée : 1h10

Musique

To s h i Ts u c h i t o r i

Costumes

O r i a P u p p o

Avec

C a r o l e K a r e m e r a , J a r e d M c N e i l l ,E r y N z a r a m b a e t S e a n O ’ C a l l a g h a n

Music ien

To s h i Ts u c h i t o r i

Lumières

P h i l i p p e V i a l a t t e

S p e c t a c l e s e n t o u r n é e 2 0 1 6 - 2 0 1 7

© Pascal Victor /

ArtCom

Art

monsieur depourceaugnac

Production C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du NordCoproduction Les Théâtres de la Ville de Luxembourg ; Les Arts Florissants ; Théâtre de Caen ; Château de Versailles Spectacles ; Châteauvallon Scène Nationale ; Théâtre Impérial de Compiègne - Scène nationale de l’Oise en préfi guration ; Com-pagnie des Petits Champs ; Cercle des partenaires des Bouffes du NordConstruction des décors Les Ateliers des Théâtres de la Ville de LuxembourgAction fi nancée par la Région Île-de-FranceAvec le soutien de la SPEDIDAM et l’aide à la diffusion d’Arcadi Île-de-France

Une comédie-ba l l e t de

M o l i è r e e t L u l l y

Avec

E r w i n A r o s , C l é m e n c e B o u é ,C y r i l C o s t a n z o , C l a i r e D e b o n o , S t é p h a n e F a c c o , M a t t h i e u L é c r o a r t , J u l i e t t e L é g e r, G i l l e s P r i v a t , G u i l l a u m e R a v o i r e , D a n i e l S a n P e d r o , A l a i n T r é t o u te t l e s m u s i c i e n s d e s A r t s F l o r i s s a n t s

D A T E S D E R E P R É S E N T A T I O N S

Le 6 octobre 1669, la troupe de Molière crée, au château de Chambord, une nouvelle comédie-ballet, sur une musique de Lully, pour le « divertissement du Roi ». Monsieur de Pourceaugnac narre les aventures de ce gentilhomme limougeaud monté à Paris pour épouser la jeune Julie mais que Sbrigani et Nérine, gens d’intrigue payés par l’amant de la belle, vont s’ingénier à perdre. La pièce connaît un grand succès. Elle ne sera pourtant que rarement montée par la suite. Certains ont ainsi voulu voir dans la comédie-ballet l’éphémère triomphe d’un genre mineur. C’est là bien mal considérer l’ambition du projet de Molière. En mêlant inextricablement l’art dramatique, la musique et la danse, Molière rêve d’un spectacle total qui révélerait, aux yeux de tous, la puissance du théâtre. Dans Monsieur de Pourceaugnac, peut-être davantage que dans toute autre pièce, il nous rappelle que le théâtre est un monde où toutes les transgressions sont permises, un monde où les fous sont les rois, où les fous sont les sages.Clément Hervieu-Léger

« Le spectacle joliment chanté, joué, dansé est alerte, insolent, semblant étonnamment jeune et vif malgré les siècles. C’est que les Arts Florissants de William Christie accompagnent avec grâce le Pourceaugnac baroque et pathétique de Gilles Privat, formidable. » Télérama

© Brigitte

Eng

uera

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17 et 18 mars 2017 : P A L A I S D E S B E A U X - A R T S D E C H A R L E R O I / B E L G I Q U E

22 et 23 avril 2017 : O P É R A R O Y A L D E V E R S A I L L E S

Durée : 1h45

Mise en scène

C l é m e n tH e r v i e u - L é g e r

Direc t ion mus ica lee t concept ion mus ica le

W i l l i a m C h r i s t i e

Direc t ion e t c lavec in en a l ternance

W i l l i a m C h r i s t i e , J o n a t h a n C o h e n e t P a o l o Z a n z u

C r é é l e 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 5 a u T h é â t r e d e C a e nE n t o u r n é e s u r l e s s a i s o n s 2 0 1 7 / 2 0 1 8 e t 2 0 1 8 / 2 0 1 9

DécorsA u r é l i e M a e s t r e

CostumesC a r o l i n e d e V i v a i s e

LumièresB e r t r a n d C o u d e r c

Son J e a n - L u c R i s t o r d

Chorégraphie B r u n o B o u c h é

Maqui l l ages /co i f furesD a v i d C a r v a l h o N u n e s

Le Bourgeoisgentilhomme

Production C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du NordCoproduction Les Nuits de Fourvière / Département du Rhône ;Les Théâtres de la Ville de Luxembourg ; Théâtre de Liège ; Théâtre de Caen ; Opéra Royal - Château de Versailles Spectacles ; Ensemble Baroque de Limoges - Fondation Laborie ; Maison de la Culture d’Amiens ; Châteauvallon - Scène Nationale ; Printemps des Comédiens / MontpellierConstruction des décors Ateliers des Théâtres de la Ville de Luxembourg ;art&Oh - Benoît ProbstConfection des costumes Ateliers du Théâtre de la Place / Liège

Mise en scèneD e n i s P o d a l y d è s ,Soc i é ta i re d e laComéd i e -França i s e

Direc t ion mus ica leC h r i s t o p h e C o i n

Col labora t ion ar t i s t ique E m m a n u e l B o u r d i e u

ScénographieE r i c R u f

C r é é l e 5 j u i n 2 0 1 2 a u x N u i t s d e Fo u r v i è r eD i s p o n i b i l i t é s s u r d e m a n d e

Le paradoxe magnifique du Bourgeois gentilhomme tient à ce qu’on y réunit et célèbre les Arts au profit d’un homme qui écoute, voit et pratique les plus belles choses, sans jamais y rien entendre. Non pas par bêtise. Il est comme forcé à l’ignorance, car il ne peut être celui qu’il voudrait devenir, le propre d’un homme de qualité étant de l’être par nature et non de l’apprendre par science ou maîtrise. Mais la capacité d’étonnement et d’émerveillement de notre Bourgeois est sans limite. Augmentée du désir amoureux, de la haine de sa condition bourgeoise et de la passion d’être un autre, elle lui fait braver tous les ridicules, de sorte qu’à travers mille folies comiques, devenu « Mamamouchi », avatar extrême de son extrava-gance, il parvient malgré tout à ses fins, un court instant seulement.Denis Podalydès

« C’est un Bourgeois d’une finesse, d’une légèreté et d’une profondeur comme on n’en a pas vu depuis longtemps. En revenant au contexte de création de la pièce, ou plutôt de la comédie-ballet, Denis Podalydès fait éclater toute sa modernité et son actualité, sa force comique intacte et irrésistible. »Le Monde

Durée : environ 3h avec entracte

AvecJ u l i e n C a m p a n i , I s a b e l l e C a n d e l i e r,M a n o n C o m b e s , B é n é d i c t e G u i l b e r t ,M a n u e l l e L i è v r e , F r a n c i s L e p l a y , L e s l i e M e n u , N i c o l a s O r l a n d o ,P a s c a l R é n é r i c , A l e x a n d r e S t e i g e r,T h i b a u l t V i n ç o n , d a n s e u s e s , c h a n t e u r se t l e s m u s i c i e n s d e l ’ E n s e m b l e l a R é v é r e n c e .

Une comédie-ba l l e t deM o l i è r e e t L u l l y

LumièresS t é p h a n i e D a n i e l

CostumesC h r i s t i a n L a c r o i x

ChorégraphieK a o r i I t o

Maqui l l ages e t co i f fures V é r o n i q u eS o u l i e r - N g u y e n

© Pascal Victor /

ArtCom

Art

S p e c t a c l e s e n t o u r n é e 2 0 1 6 - 2 0 1 7

© Luc R

odier

dansla solitude

des champs de coton

Col labora teurs ar t i s t iquesT h i e r r y T h i e û N i a n ge t W i l f r i e d W e n d l i n g

CostumesN a t h a l i e P r a t s

6 et 7 avril 2017 : T H É Â T R E J O L I E T T E - M I N O T E R I E / M A R S E I L L E

11 avril 2017 : T H É Â T R E D E B A S T I A

21 et 22 avril 2017 : L ’ A P O S T R O P H E / C E R G Y - P O N T O I S E

28 et 29 avril 2017 : T H É Â T R E D E L ’ A R C H I P E L / P E R P I G N A N

D A T E S D E R E P R É S E N T A T I O N S A V E N I R

Au plateau, deux femmes, différentes, où la question centrale du désir se joue. Un dialogue de deux solitudes enfermées par la question sous-jacente à tout échange : « Que me veux-tu ? ».

Et d’obliger l’autre, par tous les moyens du discours, à se dévoiler, à répondre au manque fondamental, à cracher un peu de sa vérité…

Le public et les actrices ne font qu’un organe déambulatoire où la quête koltésienne se déroule. Des casques pour chaque personne du public sont proposés pour entrer dans l’intime des mots, de la situation et du corps des actrices. Cette démarche cherche à dépasser la seule vision de la représentation, à repenser l’espace et révéler des infi mes ou entrevoir des failles.Les perceptions visuelles et auditives associées aux déplacements du public constituent les fondements de la relation du récit intime dans l’espace public.

« Deux immenses comédiennes s’affrontent, dans un duel angoissant, une

danse de menace, de terreur, de séduction aussi, de fascination. »Le Figaro

« Le dispositif scénique utilisé par Roland Auzet [...] nous offre un texte

miraculeusement proche et nous permet de bénéfi cier de chaque subtilité, de

chaque intonation des deux interprètes magnifi ques et bouleversantes. »Les Trois Coups

« Une expérience théâtrale bouleversante et unique. »Les Échos

Production La Muse en circuit / Centre national de création musicaleCoproduction Act-Opus-Compagnie Roland Auzet ;C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du Nord ; Théâtre des CélestinsAvec le soutien du DICREAM et SPEDIDAMLe texte est édité aux Éditions de Minuit.Diffusion C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du Nord

© Christophe R

aynau

d de

Lag

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DeB e r n a r d - M a r i eK o l t è s

Scénographie sonoreL a M u s e e n C i r c u i t ,C e n t r e n a t i o n a l d e c r é a t i o n m u s i c a l e

LumièresB e r n a r d R e v e l

Musique e t mise en scèneR o l a n d A u z e t

Durée : 1h15

C r é é l e 1 3 m a i 2 0 1 5d a n s l a g a l e r i e c o m m e r c i a l e d e l a Pa r t - D i e u à L y o n – p r o g r a m m a t i o n d u T h é â t r e d e s C é l e s t i n sE n t o u r n é e e n 2 0 1 8 / 2 0 1 9

AvecA n n e A l v a r oe t A u d r e y B o n n e t

Notre Crânecomme accesso ire

Production C.I.C.T. – Théâtre des Bouffes du Nord,en association avec la compagnie Les Sans CouCoproduction Théâtre Luxembourg / Meaux ;Cercle des partenaires des Bouffes du NordAvec le soutien d’Arcadi Île-de-France et de la Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Ile de France - Ministère de la Culture et de la CommunicationAction fi nancée par la Région Île-de-FranceAvec la participation artistique du Studio d’Asnières-ESCALe texte de Notre Crâne comme accessoire est édité aux éditions Actes Sud

En adaptant le Théâtre ambulant Chopalovitch, nous pensions aborder une pièce sur le théâtre comme arme de résistance à la terreur, sur l’art pour soulager les blessures de la guerre. Nous nous sommes rendu compte au fur et à mesure du travail que nous avions affaire à une pièce sur la rencontre entre les êtres et sur l’onde de choc qu’elle provoque. Toutes nos interrogations hypothétiques et fantasmées sur la place et l’utilité du théâtre en temps de guerre n’ont pas vraiment trouvé de réponse. Notre seule résolution a été de faire du théâtre.Igor Mendjisky / Les Sans Cou In Notre crâne comme accessoire, édité aux éditions Actes Sud

« Notre crâne comme accessoire, en se positionnant dans un juste équilibre entre manifeste politico-artistique et trips tarantinesques [...], transpose de manière impeccable les enjeux de l’œuvre dont elle est librement inspirée. »« C’est donc un ravissement de voir revenir [Les Sans Cou], toujours fi dèles à leur amour des mises en abyme vertigineuses, mais avec un zeste de didactisme en moins et une touche de légèreté en plus – elle qui s’accommode si bien des sujets les plus lourds. »Libération

© Luc R

odier

L ibrement insp i ré duThéâ tre ambulan t Chopa l ov i t chde Lioubomir Simovitch

Coutur ièreS a n d r i n e G i m e n e z

ChorégraphieE st h e r Va n d e n D r i e s s c h e

MusiqueR a p h a ë l C h a r p e n t i e r

CostumesM a y K a t r e m

Durée :1h45

AvecC l é m e n t A u b e r t , R a p h a ë l C h a r p e n t i e r,H é l è n e C h r y s o c h o o s , R o m a i n C o t t a r d , P i e r r e D é a u x , P a u l J e a n s o n ,E l é o n o r e J o n c q u e z , I g o r M e n d j i s k y ,A r n a u d P f e i f f e r e t E s t h e r Va n d e n D r i e s s c h e

Créat ion co l l ec t iveL e s S a n s C o u

Mise en scèneI g o r M e n d j i s k y

LumièresS t é p h a n eD e s c h a m p s

ScénographieC l a i r e M a s s a r de t I g o r M e n d j i s k y

VidéoYa n n i c k D o n e t

C r é é l e 8 m a r s 2 0 1 6 a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r dE n t o u r n é e e n 2 0 1 7 / 2 0 1 8

S p e c t a c l e s e n t o u r n é e 2 0 1 6 - 2 0 1 7

marcel

Formés tous les deux à l’école de Jacques Lecoq, Jos Houben et Marcello Magni nous livrent un duo burlesque à la poésie aérienne. L’un est petit, un peu rond. L’autre est grand, longiligne. Le premier se présente à une sorte d’audition et le second lui fait passer des tests absurdes, dont on ne saisit pas tout à fait les tenants ou les aboutissants. Marcel n’est plus tout jeune. Quand il échoue, il trouve des chemins détournés pour s’en sortir, cocasses, attendrissants, parfois pathétiques. Ces deux grands clowns rêveurs, pleins de malice, abordent ici le thème du déclin des facultés, de la fragilité de la condition humaine et explorent les différentes manières de s’en accommoder. Alternant les gags avec virtuosité et fi nesse, les deux comparses, ou plutôt les deux « Marcel », ont gardé un atout essentiel : l’esprit de l’enfance.

« Deux clodos métaphysiques et magnifi ques [...] mettent le public dans une transe de rire absolument irrépressible et libératrice. Irrésistiblement drôle[...], le spectacle glisse vers l’absurde et l’étrangeté. »Le Monde

« Il y a infi niment de poésie à les observer. »Télérama

« Tout dans ce spectacle est d’une précision hallucinante (...). Marcello et Jos offrent une leçon de comique qui a tout d’une magnifi que leçon d’humanité. » La Terrasse

C r é é l e 2 9 j a n v i e r 2 0 1 5a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r dD i s p o n i b i l i t é s s u r d e m a n d e

Production C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du NordCoproduction TANDEM - Scène nationale / Arras-Douai

Durée : 1h

© Pascal Victor/A

rtCom

Art

© Marc

Dom

age

Scénographie e t cos tumesO r i a P u p p o

LumièresP h i l i p p e V i a l a t t e

De e t avecJ o s H o u b e ne t M a r c e l l o M a g n i

En 1992, Pascal Rambert écrit De mes propres mains pour Éric Doye quelques années avant sa disparition. Un an plus tard, au Théâtre Nanterre-Amandiers, Charles Berling interprète la première version scénique.En 2007, il crée à Bonlieu Scène Nationale d’Annecy, une troisième version pour l’actrice et performeuse américaine Kate Moran qui surgissait de l’obscurité totale. Version qui tournera dans le monde entier de New-York à Tokyo. Ce texte sur la condition humaine, Pascal Rambert le remonte maintenant tous les dix ans. Aujourd’hui, il le met en scène pour son ami Arthur Nauzyciel.

« Ce texte met en voix l’introspection patiente, acharnée, tellement sincère et honnête qu’elle en devient bouleversante, d’un homme encore jeune, un homme d’aujourd’hui et d’ici, qui a décidé de mettre fi n à ses jours. »Le Monde

de mes propresmains

Coproduction C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du Nord ; T2G - Théâtre de Gennevilliers - centre dramatique de création contemporaine ; CDN Orléans Loiret CentreTexte édité aux éditions Les Solitaires Intempestifs

© Marc

Dom

age

Texte e t mise en espaceP a s c a l R a m b e r t

LumièresY v e s G o d i n

AvecA r t h u r N a u z y c i e l

Durée : 45 min

R e c r é é l e 1 6 j u i n 2 0 1 5 a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r dE n t o u r n é e e n 2 0 1 7 / 2 0 1 8

S p e c t a c l e s e n t o u r n é e 2 0 1 6 - 2 0 1 7

Production C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du NordCoproduction Les Théâtres de la Ville de Luxembourg ; Compagnie MIARemerciements à la Maison des MétallosLe livre Journal d’un corps est édité aux Éditions Gallimard

C r é é l e 2 4 o c t o b r e 2 0 1 2 a u T h é â t r e d e s B o u f f e s d u N o r dE n t o u r n é e e n 2 0 1 7 / 2 0 1 8

De douze à quatre-vingt-sept ans, un homme tient le journal de son corps. Ou plus exactement, le journal des surprises que son corps fait, sa vie durant, à son esprit. C’est à première vue le plus intime des journaux intimes. Mais dès qu’on s’y enfonce, on s’aperçoit que ce jardin archi secret est notre territoire le plus commun.

« Pennac lit comme il respire, avec un naturel désarmant, tantôt drôle, tantôt émouvant. Il semble avoir fait ça toute sa vie. » Le Huffi ngton Post

« Contrairement à une pièce de théâtre, cette lecture mise en espace et en lumières ne distrait pas l’attention mais la recueille. Le jeu de Pennac est juste et modulé, jamais monocorde ni bavard, il crée du silence dans la salle, cet espace sonore qui permet aux mots de prendre corps dans l’imagination du spectateur. »Le Figaro

Texte , adapta t ionet in terpré ta t ionD a n i e l P e n n a c

Décors , cos tumes e t lumièresO r i a P u p p o

MusiqueJ e a n - J a c q u e s L e m ê t r e

Voix of fA l i c e P e n n a c c h i o n i

Adapta t ionet mise en scèneC l a r a B a u e r

© Pascal V

ictor

/ Ar

tCom

Art

S p e c t a c l e e n f r a n ç a i s

Durée : 1h30

journald'un corps

PARTENAIRES

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de la Création Artistique et soutenu par la Ville de Pariset la Région Île-de-France.

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naire de la saison de concerts et soutient sa politique de qualité

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La Belle Saison est soutenuepar la Sacem, l’Adami et

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37 (bis), boulevard de la Chapelle, 75010 Paris Tél : +33 (0)1 46 07 33 00

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