couv · Title: Microsoft Word - couv Author: Pleutre Created Date: 2/25/2012 3:09:54 PM

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1 Sommaire de ce Numéro http://qst.mm.monsite-orange.fr Avant propos P.2 Participants MRD P. 4 Pêle Mails P. 5 Autorisations 472 /479 KHz P.6 à 8 Schéma Tx 75 W P. 7 Paquebots Français et T.S.F. P. 9/10 Souvenirs Laurent/F5DVL sur le Joseph Blot P. 11/12/13 Traduction en Français txt WRC-12 (472/479 KHz) P. 14 et 15 Seoul Radio P. 16

Transcript of couv · Title: Microsoft Word - couv Author: Pleutre Created Date: 2/25/2012 3:09:54 PM

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    Sommaire de ce Numéro

    http://qst.mm.monsite-orange.fr

    Avant propos P.2

    Participants MRD P. 4 Pêle Mails P. 5

    Autorisations 472 /479 KHz P.6 à 8 Schéma Tx 75 W P. 7

    Paquebots Français et T.S.F. P. 9/10 Souvenirs Laurent/F5DVL sur le Joseph Blot P. 11/12/13

    Traduction en Français txt WRC-12 (472/479 KHz) P. 14 et 15 Seoul Radio P. 16

  • AVANT PROPOS

    Une fois de plus, on ne pourra pas dire que le qst/mm est en avance. J’ai d’ailleurs failli changer le mois et mettre mars à la place de celui de février sur la page de couverture, dans ce cas il aurait été en avance. Mais je me connais, cela m’aurait enlevé toute velléité de sortir un numéro le mois prochain. Et je voudrais quand même honorer à temps ce mois de mars qui fut jadis le premier de l’année, la preuve : septembre, octobre, novembre décembre ne s’appelleraient pas comme ça s’il en avait été autrement. Espérons que les ides de mars me donneront aussi quelques idées pour le prochain numéro. Je ne me fais pas trop de souci car en plus de la suite des souvenirs de Laurent que vous y trouverez, je viens de recevoir un mail passionnant que vous commencerez à découvrir dans le prochain bulletin.

    Pour en revenir au retard de parution de ce bulletin, je me cherche des excuses. J’ai pensé vous dire que c’était à cause des élections. Car vous n’êtes peut être pas au courant de la tenue prochaine de celles ci. C’est vrai qu’on n’en parle pas beaucoup à la TV. Je vais donc vous rappeler que beaucoup d’associations (dont certaines à laquelle j’adhère) organisent généralement leurs AG au mois de mars. Mais je n’ai de responsabilités dans aucun bureau, donc cette excuse ne tiendrait pas la route, du moins auprès de ceux qui me connaissent.

    Alors quoi dire ? Le froid qui a régné sur Nantes pendant une bonne partie du mois de Février. Cela m’a amené à sortir l’appareil photo. Je vous apporte une preuve, voici le ‘’Maillé Brézé’’ entouré de glace. Mais bon ne nous plaignons pas, j’ai reçu d’amis des photos des Baléares où je passe tous les ans quelques vacances radioélectriques, il y a beaucoup neigé. J’espère que la neige aura fondu au mois d’août, sinon je vais devoir trouver un autre lieu de vacances.

    J’ai été un peu radioactif fin janvier dernier, ayant aidé modestement quelques copains à activer la station TM1T pour la coupe télégraphie du Ref. Ceci pour les radio amateurs que nous aurions contactés ou les SWL qui auraient pu nous entendre.

    Pour en revenir à des considérations plus sérieuses, vous trouverez dans ce numéro quelques infos au sujet du prochain Maritime Radio Day ainsi que les adresses internet où vous pourrez trouver tous les détails. Pour les lecteurs qui ne sont pas radioamateurs, ils peuvent nous écouter via les stations SDR, pour cela ils peuvent chercher sur google ‘’websdr’’ et ils auront les adresses de tous les sites qui leur permettront de télécommander un récepteur éloigné à partir de leur ordinateur et d’écouter la fréquence de leur choix. Pour le MRD, il y aura certainement de l’activité autour de 7020 KHz. J’espère que vous pourrez m’entendre. Vous trouverez également ici la suite des souvenirs de Laurent/F5DVL sur le Joseph Blot/FPPO. Ainsi que quelques renseignement sur une station CW de Corée (Séoul Radio) que j’ai eu la surprise de très bien entendre dernièrement. Mais si vous n’avez pas de récepteur vous pouvez également l’écouter par internet.

    Bonne lecture, je vous donne rendez vous en mars pour un prochain bulletin……….73

    [email protected]

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    Traduction du règlement du MRD dont vous trouverez l’original sur le site www.doese-apprt.de/mrd/

    Règlement du Maritime Radio Day – MRD – version non contest

    Version 5-0 Le Maritime Radio Day a lieu tous les ans pour commémorer près de 100 années pendant lesquelles la télégraphie a été utilisée par les marins. Depuis ses débuts en 1900 elle a été utilisée jusqu’à la fin 1998. Tous les radio amateurs et les écouteurs sont invités à nous rejoindre et à participer à cet événement.

    Ceci est la version no-contest du MRD - 1 Date : du vendredi 13 Avril à 12.00 GMT jusqu’au samedi 14 avril à 23.59 GMT - 2 Bandes : 160m, 80m, 40m, 15m, et 10 m et WARC - 3 Mode seulement CW - 4 Puissance non limitée - 5 Echange lors du QSO : QSA, QRK, nom, indicatif d’appel du dernier ou d’un autre

    navire ou aéronef, - QSA 1…..5 force du signal reçu, QRK 1…..5 lisibilité - et si vous le souhaitez tr, msg, et qtc - 6 Périodes de silence , doivent être observées H+15-18 et H+45-48 - - 7 Date limite d’envoi pour les CR 1ER Mai

    - 8 Certificat de participation (CoP)

    - Les SWL doivent envoyer un log complet pour vérifier les données par sélection. Les

    radio amateurs autorisés enverront par qsl ou lettre les indicatifs et nr du qso avec stations côtières, officiers radios, radio amateurs.

    - Pour cette activité, envoyez ce compte rendu avec les données et leur adresse e-mail à

    - ROLF Marschner

    Narzissenweg 10 53359 Rheinbach

    Allemagne Les certificats sont uniquement envoyés par e-mail

    - 9 Les résultats du MRD-NC seront publiés sur mmqtc-award.org link MRD – results 10 Cartes QSL Chaque participant gère ses qsl, il n’y a pas de qsl manager Exemple d’un qso Cq mrd cq mrd cq mrd de dl9cm dl9cm dl9cm k dl9cm de ik6ijf gm rolf qsa 5 hr is aalfredo shipname/ikky or (last ship was ikky) k ik6ijf de dl9cm gm alfredo qsa 5 op rolf shipname/dlcm (or last ship was dlcm ik6ijf de dl9cm tnx 73 titatitatit Ce qso est simplement un exemple, vous pouvez changer le contenu, mais vous devez absolument indiquer (ou noter) le nom, l’indicatif ou le numéro du qso pour les radioamateurs non ex radios.

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    Liste des stations côtières et des stations navires françaises participant au M.R.D. (établie fin janvier)

    Une liste complète de toutes les stations et régulièrement mise à jour par Rolf/DL9CM est disponible sur le site www.doese-apprt.de/mrd/ (cliquer sur news) Pour vous inscrire envoyez un mail à l’adresse [email protected] en spécifiant, votre nom, indicatif, nom de votre navire ou de station côtière COAST STATIONS (Entire World) Argentina Alberto LU1DZ „General Pacheco Radio“/LPD single op Jorge LU6EBA „Bocar Radio“/LSA Australia Peter VK4QC „Brisbane Radio“/VIB single op Karl VK8CAW „Darwin Radio“/VID Canada Ian VA3ICC „Halifax Radio“/CFH single op France Gerard TM2FFL „Saint Lys Radio“/FFL multi op Germany Hans-Peter DK4VQ „Kiel Radio“/DAO single op Onno DL0DAN „Norddeich Radio“/DAN multi op Joachim /Jo) DL5KUD „Rügen Radio“/DHS multi op Manfred DL9CE „Elbe-Weser-Radio“/DAC single op Great Britain John G3XRJ „Landsend Radio“/GLD single op Larry G4HLN „Portishead Radio“/GKA single op Tony GB0GKA „Portishead Radio“/GKA single op David GB2LD „Lizard Wireless Station“/LD multi op Norway Hans LA1LGN „Bergen Radio“/LGN single op Oddvar LA4FG „Isfjord Radio“/LML Poland Ted SP1CVP „Szczecin Radio“/SPE single op Spain Andres EA2AJB „Barcelona Radio“/EAB single op Sweden Sten-Eric SK6SAG „Gothenburg Radio“/SAG multi op Lars SM6NM „Gothenburg Radio“/SAG single op Christer SM7YII „Gothenburg Radio“/SAG The Netherlands Ad PA2PCH “Scheveningen Radio”/PCH single op Ko PA6PCH „Scheveningen Radio“/PCH multi op Uruguay Luis CX7AF „Trouville Radio“//CWC39 single op USA Ben N6SL „Slidell Radio“/WNU single op FRENCH SHIP STATIONS John F5VHC M/V „Canadian Star“/GVYG single op Henry F6AXV M/V „Batillus“/FNJW Jean-Pierre F5YG S/S „Leda“/FNHG Andre F6GIN T/S „Fina Portugal“/FPZK Chris F8EUK M/T „Isère“/FAIS

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    Pêle Mails

    Maman, les p’tits bateaux qui vont sur l’eau, ont-ils des jambes ?

    Quelques photos reçues par mail, grazie Alfredo, vous reconnaîtrez le navire et quant à la carte, vous remarquerez que contrairement à ce que vous avez lu page 12 dans les souvenirs de Laurent, la nature du fond ici n’était pas signalée…..ça doit être pour ça. Bon j’arrête, on ne doit pas plaisanter avec ce genre de choses…. Exercice d’Anglais OMI : Le navire transmet : ‘’I am aground on a rocky bottom not indicated on my chart !’’ Le Coast Guard répond :’’Do you expect to refloat at high tide?’’ Vous êtes à la passerelle du navire, que répondez vous?

    Un peu plus réjouissant et pour vous remonter le moral une photo du Disney

    Fantasy qui est maintenant terminé et vogue sur la mer jolie. Vous trouverez à son sujet de nombreuses autres photos dans le prochain qst/mm. Merci à Yves W9KU /F6DAT ex Chef Mécanicien du Pierre Guillaumat maintenant ingénieur chez Disney pour ses envois.

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    LES AMATEURS AUTORISES DE 472 à 479 KHz ( voir pages 14 et 15 pour le texte WRC)

    Comme cette bande de fréquences de 7 KHz dans la bande Hectométriques sera

    bientôt ouverte au service amateur (enfin espérons le), du moins le principe en est-il admis avec les restrictions que vous pourrez lire un peu plus loin dans ce qst/mm. J’ai trouvé intéressant de vous communiquer le schéma d’un émetteur marine qui fonctionnait précisément dans cette bande OH. Il ne faut pas rêver avec les 5W P.I.R.E. maxi autorisés (et encore si vous habitez à plus de 800 Kms des pays énumérés dans la liste que vous trouverez plus loin) ça va être difficile de faire du Dx. Mais bon, je suis presque certain que la fabrication de quelques Tx nécessairement QRP va en inspirer quelques uns.

    Merci à Jacques Lemée ex O/R SNC, qui m’a communiqué le schéma d’émetteur qu’il avait en archives et que vous trouverez page suivante. Pourquoi ne pas s’en inspirer un peu, surtout pour ceux qui choisiront les tubes. Quant à ce schéma, si je l’ai publié c’est peut être surtout pour susciter de ‘’bons ?’’ souvenirs chez ceux d’entre nous qui ont connu ce genre de matériel, et pour le faire découvrir aux autres. On voit au premier coup d’œil qu’il était plus facile à réparer que les Tx actuels bourrés de petits composants ! Il s’agit d’un émetteur destiné à la bande 405 à 535 KHz, soit l’ancienne bande dont on va récupérer 7 KHz et où l’on trouvait les fréquences : 410 KHz (radio goniométrie) 425, 454, 468, 480 (fréquences d’écoulement du traffic) 500 KHz (fréquence de Détresse, d’Urgence, de Sécurité, et d’appel). 512 KHz (fréquence à utiliser pour l’appel lorsqu’une détresse était en cours sur 500 KHZ). (A part le navtex sur 518 et 490 KHz, croyait à tort cette bande abandonnée, vous lirez page 9 et 10 qu’il semble n’en être rien !) Vous vérifierez sur le schéma qu’il y a bien 7 positions pour les quartz. Cet émetteur était utilisé à l’école de Pléneuf Val André pour la formation des futurs officiers Radio mais des modèles identiques ont certainement été utilisés dans la marine marchande. Description sommaire de cet émetteur : Le tube EE91/6AM6 (pentode) est l’étage pilote à quartz (oscillateur Pierce) qui oscille en

    permanence, il est alimenté directement par la ligne HT par le diviseur 25/30 K. L’étage suivant tétrode est un étage séparateur (EL90/6AQ5) qui n’est alimenté en HT de même que les étages suivants que lorsque le manipulateur est baissé via le relais de manipulation (bornes 1 et 3 de la barrette de connexion allant au relais). La P17W (ou 807) est l’étage préampli HF, les CV 101 et CV 102 couplés mécaniquement permettent de fignoler le réglage en fonction de la fréquence choisie. L’étage final est constitué par 4 807 montées en parallèle. Un variomètre couple la sortie du PA à l’antenne, on cherchera donc un maximum pour I antenne grâce au thermo couple inséré dans le circuit antenne. On mesure par un commutateur le

    courant plaque préampli (SG 101), la polar grille de commande de l’ampli (SG 102), les courants grilles écran des P 17 (SG 103, SG 104) ce qui permet de vérifier l’équilibrage et enfin le courant plaque de l’ampli. Un néon dans le circuit antenne permet de vérifier l’accord, mais c’est une méthode un peu empirique. En effet, si on alimente un quart d’onde parfait le néon n’a aucune raison de s’éclairer, mais sur ces fréquences il était rare de disposer d’une antenne de 150 mètres de long. On pouvait émettre en A1 ou en A2, grâce à un 800 pps via le transfo T 101 ( borne 7 transfo et masse). On pouvait passer en puissance réduite grâce à la résistance R130 de 60 KΩ. suite page 8

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    Suite de la page 6 Une photo d’émetteur un peu équivalent et

    que vous pouvez voir ci contre m’a été fournie par Laurent F5DVL qui l’utilisait comme émetteur OH principal sur un navire de la SFTP, soit sur le Limousin/FOEC ou sur le Dauphiné/FPFY.

    Ces deux pétroliers ont tous les deux été construits en Angleterre en 1930 dans des chantiers différents. Ils ne sont passés sous pavillon Français qu’en 1939 pour le Limousin et en 1940 pour le Dauphiné. Ils ont tous les 2 fini en 1959 sous le chalumeau des démolisseurs après être passés sous divers pavillons. Deux autres navires ont porté le même nom le Limousin/FNCD DE 155.000 TDW et le Dauphiné/FNTC de 130.000 TDW construit à Saint Nazaire aux chantiers de Penhoët.

    Anecdote amusante, sur le Limousin/FOEC, Laurent/F5DVL m’a confié que l’émetteur de secours OH était un émetteur à étincelles. Ces fameuses étincelles qui ont valu aux radios anglophones le surnom de ‘’Sparks’’, ce mot signifiant précisément étincelles en

    anglais. Personnellement je n’ai jamais utilisé ce genre de matériel, en revanche je me souviens très bien au début de ma navigation avoir entendu lors des traditionnels essais du matériel de secours du dimanche matin, la ‘’voix’’ très caractéristique de ce genre d’émetteur. Inutile d’ajouter que lorsque vous étiez à proximité du navire qui émettait on pouvait l’entendre sur toute la bande. Il n’est donc pas étonnant que Jack Philips sur le ‘’Titanic’’ qui avait de nombreux télégrammes à transmettre ait été agacé par l’appel de son collègue du ‘’Californian’’ qui voulait l’aviser de la présence d’icebergs à proximité de sa position. Il est vrai que si à partir de 1900 on a commencé à équiper les navires de T.S.F, c’était plus dans un but commercial que par des soucis de sécurité. Il a fallu la conférence qui a suivi après cette tragédie pour que des mesures soient prises.

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    PAQUEBOTS FRANÇAIS ET T.S.F.

    (Complément à un article paru sous ce même titre dans le QST/MM N° 66)

    Dans l’article dont il est fait référence ci dessus, vous avez pu voir la station TSF (c’est ainsi que cela s’appelait à l’époque) du paquebot France 2è du nom et ancêtre du France/FNRR qui a fini tristement dernièrement dé-coupé par les chalumeaux des démolisseurs et sous le nom de ‘’Blue Lady’’ qu’il avait troqué contre celui de ‘’Norway’’. Il se trouve que j’ai retrouvé dans un ouvrage de ma bi-bliothèque, (un très vieux Larousse de la mer) une photo de ce paquebot construit en 1912 dans le même chantier que le France/FNRR, à Penhoët, près de Saint Nazaire, là où se trouvent encore actuellement les chantiers de l’Atlantique qui continuent plus que jamais leur activité de bâtisseurs de navires et tout particulièrement de paquebots. Le France 2è du nom que l’on aperçoit sur la photo ci dessus à son arrivée au Havre, était en acier, possédait 4 hélices. Long de 218,83 mètres, sa puissance de 45 000 CV lui permettait une vitesse de 22,8 noeuds. Pour la petite histoire, il fut réquisitionné en 1915. En 1918, il repoussa au canon une attaque de sous-marin. On notera les 4 cheminées, ce qui était courant à l’époque, dont au moins une d’entre elles n’était là que pour la décoration, comme c’était le cas pour le Titanic qui, lui disparut en avril 1912, je lui consacrerai le qst/mm d’avril pour le centenaire de sa disparition. Dans le même Larousse de la mer, il y a également une photo du tableau de manœuvre de la machine, j’ai été frappé de la similitude avec par exemple celui du Maillé Brézé/FAJU, construit pourtant des années plus tard. Il semble que l’évolution des chaufferies ait été beaucoup moins rapide que celle des stations radio, du moins en ce qui concerne l’apparence. Cela fera l’objet d’un prochain article où vous pourrez trouver quelques photographies à l’appui de ces dires.

    A cette époque (1910/1920) voici en quoi consistait l’équipement radioélectrique complet d’un grand navire de commerce:

    - 1° Un poste d’émission principal à ondes amorties alimenté par le courant du bord ; - 2° Un poste d’émission à ondes entretenues (sur les grands paquebots seulement) ; - 3° Un poste d’émission de secours à ondes amorties alimenté par une batterie

    d’accumulateurs ; - 4° Un poste de réception de service, généralement avec amplificateur ; - 5° Un ensemble de réception de presse ; - 6° Un radiogoniomètre.

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    Au début du siècle dernier, les aides à la navigation se limitaient pratiquement au radiogoniomètre et au sondeur (pas toujours). Cela a d’ailleurs perduré, vous pourrez le constater en lisant la suite des souvenirs de F5DVL/Laurent à propos de son embarquement sur le cargo ‘’Joseph Blot/FPPO’’. Cargo que vous connaissiez d’ailleurs déjà grâce à Gilbert Garrigues qui vous a raconté les péripéties de sa navigation sur ce navire dans les qst/mm du N° 57 au N° 60. Il est intéressant de comparer son récit avec celui de Laurent, en effet lorsque ce dernier était sur le Joseph Blot, il n’y avait pas encore de sondeur à Ultra Sons. Si bien qu’un jour où le navire avait dû stopper par brume épaisse pour sonder manuellement, il a été abordé par un navire Anglais, le British Providence !!! Vous pourrez lire cette mésaventure et ses conséquences dans ce numéro du qst/mm.

    En revanche, comme vous le lirez dans le récit de Laurent le Joseph Blot en 1947 était

    muni comme presque tous les navires d’un radiogoniomètre. J’ai retrouvé deux intéressantes photographies d’un des premiers appareils embarqués. Les deux photographies représentent l’antenne extérieure et le récepteur et la commande permettant de faire tourner cette antenne que l’on trouvait dans la timonerie. Ce radio-goniomètre SFR était installé à bord d’un chalutier à la fin des années 1920. Mais le gonio que j’ai connu sur le T2 Purfina Portugal/FPZK en 1959 ressemblait étrangement à celui-ci du moins quant au volant de prise des relèvements. Ce n’est qu’ensuite que les antennes Bellini Tosi puis la prise automatique des relèvements sont apparus. Je vous en reparlerai. Note : Paquebot vient de l’anglais ‘’packet boat’’, nom donné au départ à de petites unités qui acheminaient le courrier sur rade. En Anglais ‘’passengers ships’’ Sources : Le 1er livre de l'amateur de T.S.F. par Joseph Roussel Ed Vuibert 1923, Le Havre-New York par Christian Clères Ed Hazan 1997, carte postale d'époque, coll f6gin, divers documents d'époque). Larousse de la mer (année d’édition non spécifiée sans doute 1920)) A suivre (probablement)

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    Souvenirs de Laurent/F5DVL 3ème partie

    (suite des QST/MM NR 67 et 68)

    A la fin de l’épisode précédent, vous avez pu voir, si j’ose dire, notre nouveau Commandant habillé pour l’hiver, malgré sa tenue un peu légère plus en adéquation avec la température qui régnait ce jour là à Nemours. En fait, c’était un excellent marin, comme tous ceux qui avaient effectué leur apprentissage sur les chalutiers de Terre Neuve. Et j’avoue qu’à l’époque il provoquait chez moi plus de crainte et d’admiration que d’hilarité, contrairement à ce que vous pourriez croire après la description que je viens de faire. Mais revenons au Joseph Blot proprement dit. En 1947, ce navire ainsi que beaucoup d’autres ne disposait comme aides à la navigation pour se positionner en cas de brume que du radiogoniomètre. Les radars, à cette époque, bien qu’ils aient été largement utilisés pendant le dernier conflit mondial encore tout proche, n’avaient pas encore fait leur apparition sur la plupart des passerelles des navires de commerce. Le Joseph Blot n’était pas non plus équipé de sondeur à ultra sons, on verra un peu plus loin combien cela nous manquait. Quant aux relèvements gonio, ils étaient, comme je vous l’ai déjà dit, effectués par le Radio. Peut être cela était-il dû au fait que les indicatifs des radio phares étaient émis en morse, à faible vitesse toutefois. Ceux qui ont effectué des relèvements gonio à l’époque se souviennent certainement du lancinant tititata titititit (üh) du radiophare d’Eckmül à la pointe de Penmarch. Il est scotché dans beaucoup de mémoires. Les indicatifs transmis par les radiophares (groupés parfois par 3 ou 4 émettant à tour de rôle sur la même fréquence) étaient ensuite suivis d’un trait continu pendant lequel on cherchait, en tournant le cadre mobile à obtenir l’extinction du signal. Celle ci étant plus facile à apprécier qu’un maximum. Le gonio du Joseph Blot était de la première génération, c'est-à-dire pas de cadre fixe Bellini Tosi, mais un volant qui commandait la rotation de l’antenne circulaire située au dessus et à l’extérieur. Une fois trouvé le secteur du minimum, on tournait lentement ce volant en prenant un repère avec les deux pouces et on cherchait rapprochant petit à petit ceux-ci le milieu de la plage d’extinction. Pour ce genre d’exercice, les oreilles du radio avaient la réputation, justifiée ou non, d’être plus sensibles et on arrivait à obtenir un gisement à un demi degré près. Je pensais parfois à la correction Givry que l’on nous avait apprise au cours et que nous n’appliquions

    jamais : mg Φsin.21 . C'est-à-dire la moitié de l’écart en longitude multiplié par le sinus de la

    latitude moyenne, cela pour tenir compte de la projection Mercator des cartes marines. Mais l’écart était toujours insignifiant et de toute façon bien inférieur à l’erreur instrumentale. Cette mise au point expliquant l’utilité du radio pour les relèvements gonio va vous aider à comprendre l’attitude du Commandant dans l’épisode qui suit

    Lors d’une escale à Oran, par suite d’une intoxication alimentaire, j’avais attrapé un superbe ictère. Je n’étais pas vraiment affaibli, mais, en plus d’une légère migraine assez supportable, le problème venait surtout d’aller et retour incessants et obligés entre ma cabine et les toilettes qui étaient situés un étage plus bas. Ce qui m’a fait plusieurs fois descendre les escaliers à une vitesse qui aurait mérité de figurer au livre Guinness des records. Quant à mon visage, il avait pris une jolie couleur jaune citron. Je n’osais plus me regarder dans une glace, de peur de ne pas me reconnaître. Cela avait un peu alarmé le médecin appelé en consultation. Il avait demandé à ce que je sois débarqué et hospitalisé, par précaution. ‘’Pas question’’ avait répondu le Commandant, ‘’j’ai trop besoin de mon radio pour la remontée du navire vers le Nord’’. Il est évident que les années qu’il avait vécu sur les chalutiers pendant sa jeunesse l’avaient considérablement endurci. Sur les bancs de Terre Neuve, il n’était bien sûr pas

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    question d’interrompre une campagne de pêche pour une vulgaire jaunisse. Je suis donc resté à bord. Une fois ingurgités les quelques médicaments prescrits par le médecin et trouvés dans la pharmacie du bord, au moment de l’appareillage, je me suis senti beaucoup mieux. Suffisamment en tout cas pour pouvoir prendre des relèvements gonio lors du passage de Gibraltar que nous avons franchi par très faible visibilité. Il faut savoir que les courants qui règnent dans le détroit obligent parfois à choisir une route passant très près des cailloux. Il est donc assez impressionnant d’apercevoir dans une trouée du banc de brume la terre si proche et qui défile si vite qu’on a le sentiment de s’être un peu trop rapproché. D’où nouveau relèvement pour contrôler encore et encore la position. Une fois relevé le gisement, on le donne à voix haute au lieutenant qui demande le cap au Timonier. Le Joseph Blot n’était pas muni de gyro. Seul l’homme de barre pouvait donc indiquer ce cap, lu sur le compas magnétique, qu’il fallait ajouter au gisement pour obtenir le relèvement à porter sur la carte. Et puis, il y avait aussi cette atmosphère bien particulière au temps de brume. Silence ouaté où l’on percevait le moindre son. Les veilleurs, sur l’aileron de passerelle guettaient anxieusement tout bruit pouvant signifier l’approche d’un autre navire. Et, périodiquement, le long mugissement de notre propre sirène résonnait, allant jusqu’à couvrir le signal du radiophare que l’on écoutait casque sur les oreilles. Cette brume nous a accompagnés pratiquement jusqu’au Havre. Après Gibraltar, nous avons passé Saint Vincent (SV), Roca (RC), Finisterre (FI) Eckmül (üh) au gonio, pour atterrir sur le bateau pilote du Havre. A cette époque, le bateau pilote du Havre était équipé en télégraphie, de même que le Havre port (FFY). Ces stations terrestres privées (FFY, Dunkerque/FFF, Rouen/FFR ne dépendaient pas directement des P.T.T comme par exemple FFU FFB FFM ou FFL et donc étaient opérées par des Officiers Radio Marine Marchande. Pour en terminer avec le gonio, il faut également savoir que la courbe de correction était fonction du chargement que l’on transportait, il fallait donc la vérifier chaque fois que la visibilité le permettait et que nous passions auprès d’un radiophare, mais lors de ce voyage Oran le Havre, à aucun moment cela n’a été possible. C’est donc un soupir de satisfaction qu’a poussé notre Commandant lorsque nous sommes arrivés en vue du pilote Le Havre, port qui portait ce jour là bien son nom !

    Toutefois, et c’est heureux la plupart des voyages se déroulaient sans incident. Ce ne fut toutefois pas le cas, quelques mois plus tard, alors que nous venions de Rouen, chargés de demi muids de vin vides que nous allions remplir à Oran. Une brume épaisse nous surprit au large de Saint Vincent. Ce jour là l’expression ‘’brume à couper au couteau ‘’ avait tout son sens. Comme nous étions sur une droite joignant les radiophares de Tanger et de Saint Vincent, aucun intercept gonio n’était possible. Nous savions simplement que nous étions situés sur cette

    droite. Le navire était donc stoppé pour sonder. Pour cela, nous disposions d’une sonde à main puisque, comme je vous l’ai dit plus haut, nous n’avions pas de sondeur à ultra sons. Au bout de la sonde se trouvait une boule de suif qui permettait de remonter un échantillon du fond marin. En le comparant à ce qui était spécifié sur la carte, et connaissant la hauteur d’eau et la nature du fond, cela permettait de se situer grossièrement (voir ci dessus un exemple de ce que l’on trouvait sur une carte marine). Le procédé est assez empirique mais à l’époque c’était le seul dont nous disposions. J’étais, pendant les opérations de sondage, dans le poste radio et depuis un moment j’entendais un inquiétant bruit de sirène qui se rapprochait de plus

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    en plus. Je regardais à travers l’énorme hublot (indiqué par la flèche sur la photo ci contre), hublot dont le but était de permettre au radio pendant la guerre de quitter la station si le navire était torpillé et que la porte se trouve bloquée à la suite de l’explosion. Quand, tout à coup j’ai vu arriver une énorme masse qui se dirigeait droit sur nous. C’était un navire Britannique, le ‘’British Confiden-ce/GZBV’’ qui est entré en collision sur notre bâbord. Disons que les deux navires se sont frottés l’un à l’autre, à tel point que le GZBV a laissé sa coupée encastrée dans la coque du FPPO ! J’ai reçu presque aussitôt après un télégramme de ‘’l’agresseur’’, illustration parfaite du flegme Britannique, message en effet assez laconique qui disait : ‘’=just collided please indicate damage regards =Master’’. Avec l’aide du Chef Mécanicien qui était venu aider le Commandant les constatations d’usage ont pu se faire relativement rapidement, et comme il n’y avait ni victimes ni dégâts trop importants, les deux navires ont ensuite repris leur route. Note de F6GIN :Heureusement avec le radar, un tel accident ne peut plus se produire,

    quoique (voir ci contre) une image récemment récupérée sur Internet !!! Lors de l’escale d’Oran, des répa-rations provisoires furent effectuées, et le chargement du liquide cher à Bacchus effectué, nous sommes remontés sur Rouen, cette fois ci sans problème. A Rouen, le navire est resté en réparations pour environ 3 semaines, ce qui m’a permis de prendre des congés. Puis je suis revenu à nouveau sur ce même navire pour quelques mois. Hélas, mes parents recevaient depuis quelque temps une convocation pour que j’aille effectuer mes obligations militaires. Ils répondaient à chaque

    fois aux gendarmes que j’étais embarqué, et qu’il leur faudrait sans doute attendre mon retour. Apparemment, l’explication n’a pas entièrement convaincu la maréchaussée, si bien que lors d’une escale à Rouen, j’ai bénéficié d’un comité d’accueil constitué par deux gendarmes, j’étais considéré comme insoumis. C’est tout juste si je n’ai pas quitté le navire menottes aux poignets encadré par la force publique. Mais, bon, mes gardiens se sont montrés compréhensifs, se contentant de me transmettre l’ordre de me présenter à Mimizan le 1er novembre, nous étions alors le 28 octobre 1948……………………………..A suivre………..

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    Amateur Radio Gets Secondary MF Allocation at WRC-12

    Traduction de l’information récupérée sur Internet.

    Les Radio Amateurs obtiennent le statut secondaire en OH à WRC-12

    C’est officiel, les délégués à La Conférence Mondiale des télécommunications (WRC-12) ont approuvé le statut secondaire pour le service radioamateur de 7 KHz entre 472 et 479 Khz. Ce paragraphe (Item 1-23), est passé en seconde lecture à l’ordre du jour de la session plénière ce mardi 14 Février de façon à être inclus dans le règlement des radiocommunications de l’I.U.T. Chaque sujet de l’ordre du jour doit impérativement être lu deux fois lors de la session plénière. L’acte final devant être signé vendredi, lors de la clôture de la conférence, mais cette nouvelle allocation ne prendra effet qu’après être effectivement entrée dans le règlement des Radio Communications. La date n’a pas encore été précisée mais ce ne sera sans doute pas avant le 1er Janvier 2013. En aucun cas les Radio Amateurs ne doivent utiliser cette bande avant que leur propre autorité nationale ait approuvé cette nouvelle allocation.

    Le président de l’I.A.R.U. Tim Ellam VE6SH s’est vivement félicité de cette nouvelle allocation du spectre radio électrique pour les Radio Amateurs. Il l’attribue au efforts de l’I.A.R.U et des pays membres mandatés pr leur administration nationale qui ont travaillé sur ce projet auprès de l’I.U.T.

    A l’origine la demande pour cet Item 1-23 était de 15 KHz à l’intérieur de la bande de 415-526,5, mais d’après David Sumner, K1ZZ Chief Executive Officer de l’A.R.R.L. cela ne permettait pas de respecter les besoins du Service Mobile Maritime. Lors de la préparation de la conférence il avait été ensuite étudié la possibilité d’une allocation entre 495 et 505 KHz (agenda item 1.10) mais précisément comme l’a expliqué K1ZZ, du fait des besoins du service mobile maritime, cela n’était pas possible. Il a donc fallu chercher un autre segment mais cela a provoqué un ‘’conflit’’ avec la navigations aérienne. Finalement ce segment attribué est très proche de ce que demandait la C.E.P.T. c.a.d. 472-480 KHz. Cette nouvelle allocation (valable pour le monde entier) attribuée au service amateur de 472-479 KHz à titre secondaire limite la puissance à 1 W PIRE. Cependant certaines administrations pourront autoriser jusqu’à 5W PIRE pour des stations situées à plus de 800 kms de certains pays qui souhaitent protéger leur service de navigation radio aérien (balises non directionnelles) de tout brouillage.

    Toutefois des notes de bas de page permettent à certaines administrations de ne pas autoriser le trafic amateur dans cette portion de bande et/ou de donner un statut exclusif à leur service de radionavigation aérienne s’ils le souhaitent. De plus, le service amateur doit éviter tout brouillage envers le service mobile maritime qui a un statut primaire. Un certain nombre d’autres administrations, principalement dans l’ex Union Soviétique et dans les pays Arabes ont ajouté le nom de leur pays à cette note de bas de page.

    Plus de 3000 participants (représentant plus de 150 des 193 membres de l’I.T.U.) ont assistent à cette conférence qui a duré 4 semaines. Environ 100 observateurs parmi les 700 membres du secteur privé (avec les organisations internationales comprenant l’I.A.R.U.) assistaient également à cette conférence. Un certain nombre des délégués à WRC-12 sont radio amateurs, et beaucoup d’entre eux oprent 4U1ITU, la station radioamateur au siège de l’I.T.U. Pendant toute la durée de la conférence l’indicatif 4U1WRC a été utilisé.

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    Notes de bas de page pour Item 1.23 5.77 Différentes catégories de service. En Australie, Chine, les territoires d’outremer

    Français de la région 3, la République de Corée, l’Inde, l’Iran, le Japon, le Pakistan, la Papouasie Nouvelle Guinée et le Sri Lanka, l’allocation de la bande de fréquence 415-495 KHz au service de radionavigation aérienne est sur la base d’un statut primaire. En Arménie, Azerbaïdjan, Biélorussie, la fédération Russe, le Kazakhstan, la Latvia, l’Ouzbékistan et le Kyrgystan, l’allocation de la bande 435-495 KHz se fait sur un statut primaire. Les administrations des pays sus mentionnés prendront toutes les mesures pour s’assurer que les stations de radionavigation aérienne ne causeront aucun brouillage à la réception par les stations côtière des transmissions provenant des navires sur les fréquences attribuées aux navires sur un plan mondial.

    5.82 Dans le service mobile maritime la fréquence 490 KHz doit être utilisée exclusivement

    pour la transmission par les stations côtières d’avis urgents aux navigateurs ou d’avis météorologiques au moyen de la télégraphie à impression directe par bande étroite ainsi que cela est précisé dans les articles 31 et 52. Lorsqu’elles utilisent la bande de fréquences 415-495 pour le service de radionavigation aérienne, les administrations devront s’assurer que cela ne causera aucun brouillage à la fréquence 490 KHz. En autorisant la bande de fréquences 472-479 KHz au service amateur, les administrations s’assureront que cela ne cause aucun brouillage à la fréquence 490 khz ((ajout important)

    5.A123 La Puissance Isotropique Rayonnée Equivalente (P.I.R.E.) des stations du service

    amateur utilisant des fréquences dans la bande 472-479 KHz ne devra pas excéder 1 W. Les administrations pourront augmenter cette puissance à 5 W dans les portions de leur territoire qui se trouveront à une distance de plus de 800 Kms des frontières de : Algérie, Arabie Saoudite, Azerbaïdjan, Bahreïn, Biélorussie, Chine, Comores, Djibouti, Egypte, Emirats Arabes Unis, Fédération Russe, Iran, Irak, Jordanie, Kazakhstan, Kuwait, Liban, Libye, Maroc, Mauritanie, Oman, Ouzbékistan, Qatar, République Arabe de Syrie, Kyrgystan, Somalie, Soudan, Tunisie, Ukraine et Yemen. Dans cette bande de fréquences, les stations du service amateur ne devront pas causer de brouillages, ni réclamer protection auprès des stations de radionavigation aérienne.

    5.B.123 L’utilisation de la bande fréquence 472-479 KHz en Algérie, Arabie Saoudite,

    Azerbaïdjan, Bahreïn, Biélorussie, Chine, Comores, Djibouti, Egypte, Emirats Arabes Unis, Fédération Russe, Iran, Irak, Jordanie, Kazakhstan, Kuwait, Liban, Libye, Mauritanie, Oman, Ouzbékistan, Qatar, République Arabe de Syrie, Kyrgystan, Somalie, Soudan, Tunisie et Yemen est limité au service mobile maritime et à la radionavigation aérienne. Le service Radio Amateur n’est pas autorisé à utiliser cette bande de fréquences dans les pays sus mentionnés et ceci devra être pris en compte par les pays qui en autorisent l’usage.

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    SEOUL RADIO Station Sud Coréenne émettant en télégraphie A1. Je la reçois très bien le soir sur 8 MHz, pas étonnant quand on voit leurs antennes. Je n’ai pas encore essayé les autres fréquences. Merci de me signaler vos rapports d’écoute éventuels. La plupart du temps, HLO passe une bande CQ. Il semble qu’ils répondent par une QSL (voir ci-dessous) aux rapports d’écoute.

    HLF = 4273, 6344. 8484, 12916.5, 17079, 22611.5 HLG = 4308, 6451, 8473, 12935, 17118, 22482 HLJ = 8497, 12902, 16910 HLO = 8577, 12843, 16990 HLW = 8636, 13005.5 17130 (info transmise par Rolf/DL9CM)

    Info signalée sur Radio Officers, le site de HLO est à l’ads: http://www5a.biglobe.ne.jp/~BCLSWL/QSL0807.html Lorsque vous voulez identifier une station que vous pouvez aussi écouter : essayez par exemple TAH (Istambul) ou IAR (Roma)…. Il y en a beaucoup d’autres. http://qrg.globaltuners.com/ Bonne écoute

    5329 [email protected]