Fiche pédagog

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COSI FAN TUTTE

LE SPECTACLE

Le sujet de Cosi est un condensé du théâtre amoureux du XVIIIème siècle : deux jeunes gens, chacun fiancés à deux soeurs, sont obligés de séduire la fiancée de l’autre pour honorer un pari. I ls réussissent l’un et l’autre dans leur entreprise perdant du même coup leur pari. Mozart et Da Ponte se jouent des conventions théâtrales et musicales de leur époque. L’Envolée Lyrique leur emboîte le pas en utilisant diverses disciplines du spectacle vivant. Chant, danse, masques, combats et instruments se mélangent au cours du spectacle pour le plus grand plaisir de chacun, ajoutant une irrésistible jubilat ion au-delà de ce que l’oeuvre représente déjà. INFLUENCES DE LA PARODIE

L’influence de Marivaux qui, avec la troupe masquée des « Comédiens Italiens », explore ce qu’on appelle à l’époque la Comédie psychologique expérimentale. Type de pièce à démonstration et non à thèse qui se borne à démontrer des conceptions et des lois d’ordre psychologique et acquérant ainsi une dimension quasi scientifique en montrant avec précision comment ces lois fonctionnent en pratique. Cosi s’inscrit au coeur de cette tradition et l’œuvre, grâce à sa musique, est l’exemple suprême du genre. L’intérêt de ce type de pièce est dû essentiellement aux étapes psychologiques par lesquelles les personnages se dirigent vers une conclusion connue d’avance, comme dans Le jeu de l’amour et du hasard.

LES ORIGINES DE LA PIECE

Dans quelle condition Mozart fut-il amené à mettre en musique une pareille donnée dramatique ? Personne ne sait vraiment. Le mystère qui entoure la genèse de Cosi est une énigme à l’image de l’opéra tout entier. Comment Da Ponte et Mozart furent-ils conduits à traiter un sujet que la postérité ne devait pas tarder à trouver indigne du compositeur ? Dans la biographie de Mozart par Niemetschek on peut lire : « On se demande en général comment un tel esprit a pu

s’abaisser à répandre sur un texte aussi misérable ses radieuses et divines mélodies ». Il n’était pas en son pouvoir de refuser la commande et le texte lui fut expressément imposé. Par qui ? Friedrich Heinse renchérit en affirmant que le commanditaire avait été Joseph II empereur d’Autriche en personne, et que ce dernier avait choisi le sujet en référence à un incident réel survenu peu auparavant.

Les auteurs de l’oeuvre n’avaient pas de prétention à la vraisemblance, en revanche tout leur soin portait à la convenance, c'est-à-dire à la conformité des caractères et des actions avec les règles du genre. Il fallait donc trouver un univers où les conventions sont reines, permettant ainsi de faire ressortir la parodie par leur respect à outrance comme l’ont fait Mozart et Da Ponte dans leur écriture. 1790. L’empereur d’Autriche Joseph II meurt avant de pouvoir assister à la première de Cosi fan tutte dont il aurait commandé la création suite à un évènement identique qui se serait produit à la cour. Fait ? Rumeur ? Pure invention ? Qu’importe, cela suffit à faire apparaître d’une manière troublante des similitudes entre le monarque, disciple des philosophes et Don Alfonso, personnage clef de l’oeuvre. Que les couples soient bien assortis ou pas, qu’ils soient heureux ou brisés à la fin n’est pas la question importante car Cosi apporte une réponse à un comment et non à un pourquoi. C’est en ce sens que l’oeuvre rejoint la comédie psychologique expérimentale développée par Marivaux. Dans Cosi fan tutte le ressort dramatique tient non pas à des sentiments forts comme la jalousie ou l’amour blessé mais à un simple pari et à la vanité des protagonistes. Il nous paraît dès lors intéressant de renforcer le poids du pari en associant Don Alfonso à Joseph II lui donnant ainsi un pouvoir omnipotent voire inquiétant sur les personnages. Le metteur en scène prend donc le parti suivant : Don Alfonso est Joseph II. La pièce se passe à la cour de l’empereur en villégiature à Naples. Nous pouvons ainsi jouer avec les conventions de la noblesse de la fin du XVIIIème siècle dont le monde déjà ébranlé commençait à sombrer dans le r idicule aux yeux du siècle suivant et avec les conventions des reprises historiques telles qu’elles sont conçues aujourd’hui. LES COSTUMES seront globalement de la fin du XVIIIème siècle, nuancés dans leurs époques selon les castes sociales.

Despina est une colombine du premier baroque car les costumes des serviteurs à la cour se recyclent de génération en génération.

Les costumes de Dorabella et Fiordiligi sont tradit ionnels du début du règne de Joseph II et inspirés de la fête au Colysée de François-Louis Watteau. LES DÉCORS mobiles sont formés de 4 panneaux en T qui évoluent au sol grâce à un quadrillage orné par un motif étiré de parquet marqueté. Cela nous permet d’avoir à la fois une ouverture de scène à l’italienne ou de reproduire des scènes de labyrinthe à l’image des fameux « viali leggiadri » de Fragonard. Les ambiances romantiques et volontairement clichées de l’œuvre sont ainsi tour à tour représentées : intérieur (salon, off ice), extérieur (labyrinthe, bord de mer…)

MISE EN SCENE

L’OPERA

L'opéra est une pièce de théâtre entièrement chantée. Les chanteurs ont chacun le rôle d’un personnage et sont accompagnés par un orchestre. Il y a des solistes, des choeurs et l’orchestre. Cette forme est née de la volonté de fusionner plusieurs arts : la musique, le théâtre et les arts visuels(décors)… SES ORIGINES Si l’on devait prendre une machine à remonter le temps, on remonterait jusqu’à l’Antiquité. A cette époque, en Grèce, chanter était déjà habituel. Lors des représentations théâtrales, un choeur (que l’on appelait coryphée) intervenait au moment où l’on parlait des sentiments. Ensuite, le voyage se poursuit vers l’Europe. Au Moyen Age, les messes étaient longues. Certains passages de la Bible ont donc été mis en scène et en musique (les mystères). Cela était très apprécié par la population.

C’est enfin en Italie que l’on trouve un des premiers éléments de l’opéra : le récitatif. A la Renaissance, le madrigal italien était une forme musicale fortement appréciée de tous. Cependant un soucis demeurait : les chanteurs interprétaient en même temps un texte différent et une mélodie différente. On ne pouvait donc pas comprendre ce qu’ils racontaient. La solution fut trouvée par un groupe de musiciens qui s’appelait la Camerata Florentina : lorsque le texte est

plus important que l’écriture musicale il suffisait de le réciter avec très peu d’accompagnement musical. De là est né le récitatif. LA NAISSANCE DE L’OPÉRA Claudio Monteverdi a composé le premier opéra en s’inspirant des idées de la Camerata Florentina. Son opéra, L’Orfeo, est daté de 1607 et sa célébrité reste encore d’actualité. A son époque, la musique n’était pas le plus important, la musique était au service du texte. On avait le goût du grandiose. Un énorme système de machine faisait apparaître des décors immenses. Les chanteurs étaient parfois suspendus à des harnais. On utilisait également des fumigènes. L’opéra était un grand succès national. Le texte était lui aussi une priorité. Monteverdi ainsi que ses successeurs et élèves vont peu à peu donner une grande importance à la musique. Elle devient la traduction des sentiments. On n’hésite pas à répéter des mots ou à allonger des syllabes. En 1700 cette façon de chanter devint un des plus importants ingrédients de l’opéra que l’on appela l’aria aujourd’hui int itulé air.

L’opéra a ensuite conquit les autres pays comme la France, la Russie, l’Allemagne… Son histoire, ses diverses transformations et évolutions sont différentes selon chaque pays puisque les goûts et les traditions ne sont pas les mêmes. Mais aujourd’hui, on se rend tout de même compte qu’il a traversé des siècles d’histoire.

L’OPERA

Tout le monde n’aime pas les films d’action. Au cinéma il y en a donc pour tous les goûts : des comédies, des westerns, des films policiers… Pour l’opéra c’est la même chose. Chacun peut se divertir comme il le souhaite. Il existe donc plusieurs types d’opéra. L’OPÉRA SERIA Le sujet est tragique, celui d’un amour perdu ou d’une rivalité familiale par exemple. On y trouve des ensembles, des airs et des récitatifs. Ce type d’opéra date du XVIIIème siècle. Il était souvent la commande d’un roi, ou d’un noble. Ce sont ce que l’on appelait des mécènes.

Exemple : Idoménée de Mozart LE GRAND OPÉRA Le livret a souvent un sujet historique. La mise en scène est généralement spectaculaire.

Exemple : Le vaisseau fantôme de Wagner

L’OPÉRA BOUFFE Il est destiné à amuser le public. Faire rire est son objectif. Le texte est amusant et la musique le met en valeur pour qu’on le comprenne bien. Le récitatif est donc peu présent dans l’opéra Bouffe. Les personnages y sont populaires et on y trouve beaucoup de duos, de trios, d’ensembles de tailles diverses.

Exemple : La Grande Duchesse de Gérolstein de Jacques Offenbach

L’OPÉRETTE C’est un ouvrage lyrique où l’on alterne des dialogues parlés et des airs. Les sujets sont souvent sentimentaux et divertissants. Elle se différencie de l’opéra-comique par l'ut ilisation de musique dite « légère » (en opposit ion à la « musique savante ») pour ses partitions et le fait qu'elle ait une f in le plus souvent heureuse.

Exemple : Ciboulette de Reynaldo Hahn L’OPÉRA COMIQUE Genre lyrique du XVIIIème siècle, l’opéra-comique dérive de la comédie-ballet, avec de nombreux emprunts au répertoire des airs sérieux et à boire. Opéra-comique ne signifie pas que l'œuvre sera comique et que le dénouement sera heureux mais il correspond à des œuvres où les scènes chantées alternent avec des dialogues parlés (avec des apartés au public). L’opéra-comique aborde des sujets de la vie quotidienne et n’hésite pas à faire référence à des sujets d’actualité.

Exemple : Sapho de Jules Massenet

AVANT LE SPECTACLE

PRÉPARER LA VENUE DU JEUNE SPECTATEUR

Aller au spectacle requiert la concentration, l’écoute attentive, la disponibilité du spectateur contrairement aux produits télévisuels consommés le plus souvent dans le bruit et l’inattention. L’un des enjeux de l’école du spectateur est de faire prendre conscience à l’élève qu’il n’est pas simplement destinataire ou consommateur d’un acte de communication, mais acteur de la représentation, participant à une expérience humaine au présent où tous ses sens et son imagination sont sollicités. L’opéra possède ses codes, ses rituels auxquels il convient d’être initié depuis le plus jeune âge. ANALYSE DE L'AFFICHE

- Ta première impression - Son sujet - Son format (horizontal, vertical...) - Couleurs dominantes - Quelle ambiance s'en dégage ? - Combien d'image(s) compose(-ent) cette affiche ? - Quelle est la technique utilisée (dessin, photo, collage) ? - Après cette analyse, que te suggère cette affiche ? HISTOIRE DE L’OEUVRE

- Nom de l’artiste - Titre de l'oeuvre - Date de création - Genre - Circonstances de sa création M IEUX SE PROJETER - Après avoir étudier l’affiche, imagine ce que tu vas voir et dessine le sur une feuille

blanche.*

- Après avoir découvert le métier de costumier, crée le patron d’un costume pour la représentation que tu vas découvrir.*

*Après la représentation, il sera bon de revenir sur les créations produites pour une comparaison détaillée avec

ce que l’élève a pu vivre lors de la représentation.

POUR ALLER PLUS LOIN

- Biographie de l’artiste (nom, siècle, nationalité, profession, etc)

- Histoire du mouvement artistique (date et circonstances de création, caractéristiques, grands noms, œuvres, continuité dans le temps, etc)

APRES LE SPECTACLE

LE RETOUR À L’ÉCOLE, AU COLLÈGE OU AU LYCÉE….

Rien n’est plus important que de susciter chez les élèves des réactions à ce qu’ils ont vu, par toutes sortes de moyens. Afin de dépasser les traditionnels “j’aime / j’aime pas” et permettre aux enfants une meilleure compréhension du langage théâtral, diverses activités sont proposées. L’objectif recherché est de construire du sens à partir d’échanges dialogués et justifiés. RÉDIGER UN ARTICLE DE PRESSE / UNE CRITIQUE DU SPECTACLE Vous trouverez ci-dessous la trame qui peut être proposée aux élèves pour la rédaction d’un article ou d’une critique du spectacle qu’ils viennent de découvrir. A. Le titre

Pour t’aider à trouver ton titre et les premières phrases accrocheuses qui résument en une ou deux phrases ta critique et pour intéresser les lecteurs, commence par écrire ton texte. Ainsi, tu auras une meilleure idée de ce que tu veux dire et ça sera plus facile à résumer ! B. L’introduction

Pour ta mise en contexte, tu peux répondre à ces 4 questions, dans l’ordre qui te semble le plus logique : Quoi ? Où ? Qui ? Quand ?

Par exemple… - Quoi : spectacle de théâtre / le titre du spectacle / le type de théâtre (pièce pour enfant, théâtre de

marionnettes, etc.)… - Où : le lieu où le spectacle est présenté - Qui : le nom de la compagnie de théâtre qui a fait le spectacle / le nom des comédiens, de l’auteur, etc. / à qui s’adresse le spectacle (enfants, adultes)…

- Quand : les dates de présentation du spectacle / si le spectacle a déjà été créé avant et qu’il s’agit d’une reprise, tu peux parler du moment ou la pièce a été jouée pour la première fois, etc.

C. L’histoire

Décris le spectacle en racontant l’histoire en pensant que le lecteur ne l’a peut-être pas encore vu. Tu peux expliquer comment l’histoire est racontée. D. La critique

Parle-nous de ton appréciation du spectacle. Tu peux parler des différents éléments suivants : le texte (l’histoire), le décor, les costumes, les maquillages, la musique, les éclairages, le jeu des comédiens… Est-ce que c’était réussi ou décevant ? As-tu été touché, surpris ? Est-ce que les éléments ont évoqué quelque chose chez toi ? Leur signification… Est-ce que cela a aidé à l’histoire ou non ? Tu peux même parler d’un moment préféré, d’un personnage marquant. Cette partie de la critique est très personnelle. Il se peut que tu ais aimé un élément du spectacle que quelqu’un d’autre n’a pas aimé ou vice-versa. Nous avons tous notre opinion, nos sensibilités. C’est à toi de les expliquer ! E. La conclusion

Idéalement, pour ta conclusion, rédige une phrase ou deux avec ton appréciation globale du spectacle.

METIER DU SPECTACLE

LE COSTUMIER Le costumier s'intègre à une équipe artistique et se met au service d'un projet où divers intervenants ont leur mot à dire. Des relations privilégiées sont nouées avec les comédiens. Compagnies théâtr ales, mais ons de pr oduc tion cinématographiques, associations culturelles... Autant d'employeurs potentiels pour le costumier. Il débute comme

assistant. Son expérience, les projets auxquels il a collaboré lui permettent d'acquérir au fur et à mesure une certaine réputation... indispensable dans le milieu artistique. Le titre de «costumier créateur » est réservé au professionnel qui a déjà fait ses preuves et qui est reconnu comme tel. Une consécration qui permet, par exemple, de travailler pour la Comédie-Française. Le costumier travaille dans un atelier de confection, mais se déplace fréquemment dans les coulisses des lieux de représentation. Son calendrier suit le rythme des horaires décalés : nuit ou week-end, le spectacle continue ! CRÉATIF ET CULTIVÉ

Son imagination fertile ne l'empêche pas de s'inspirer des modèles conçus par ses prédécesseurs et de respecter certaines règles. Il connaît parfaitement l'histoire du costume, son évolution à travers les siècles, les techniques de coupe propres à chaque époque. Ce qui lui permet d'adapter les vêtements à chaque période de l'histoire. Les délais de préparation d'un spectacle étant souvent serrés, le costumier doit être capable de travailler dans l'urgence. I l veille à ce que le budget prévu ne soit pas dépassé. Il dirige avec efficacité les couturières chargées de confectionner le costume. Il règle méthodiquement le ballet des habilleuses qui aident les comédiens à changer de tenue entre deux scènes. Doué pour l'écoute et fin psychologue, le costumier prend le temps de consulter les divers membres de la troupe (du réalisateur au comédien en passant par le décorateur et le scénographe). Il tient compte de leur point de vue au moment de réaliser ou d'acheter un costume. CRÉER UN COSTUME

D'une manière générale, il s'efforce de traduire le plus f idèlement possible les idées d'un auteur et de créer des vêtements dans lesquels les acteurs se sentiront à l'aise. I l présente

au metteur en scène des maquettes ou des croquis accompagnés d'échantillons. Si le modèle proposé est accepté, il achète les tissus, les coupe aux mensurations des acteurs et les coud. En cas de besoin, il effectue les retouches directement sur les comédiens. Le budget d'un spectacle ne permet cependant pas toujours de créer des costumes de toutes pièces.

Dans ce cas, le costumier doit se montrer débrouillard et ingénieux. I l court les « puces » et les magasins spécialisés pour dénicher des «fripes » qu'il pourra utiliser en l'état ou en les transformant.

CHARTE DU SPECTATEUR

Objectifs : connaître les codes d’observation d’un spectacle, rappeler le cadre, préparer la venue des élèves au spectacle. Mise en place : la charte peut être lue avec les élèves ou construite directement avec eux. LES DROITS DU SPECTATEUR Avant le spectacle : - Être bien informé sur le spectacle. - Être confortablement installé et voir sans problème l’espace de jeu. Pendant le spectacle : - Pouvoir réagir (rire, applaudir) mais avec discrétion, pour respecter l’écoute des autres

spectateurs et le travail des comédiens. - Pouvoir s’ennuyer mais en silence car les autres spectateurs savourent peut être ce

moment. Après le spectacle : - Ne pas avoir envie de parler du spectacle, de dire son ressenti de ce qu’on a vu. - Critiquer le spectacle, dire ce qu’on en pense, s’exprimer, échanger, confronter ses idées,

ses jugements avec les autres spectateurs. - Garder une trace de ce moment particulier en écrivant, en dessinant. - Revenir au spectacle avec sa famille, ses camarades pour partager cette expérience avec

eux, prendre du plaisir ensemble, apprendre des choses, grandir… LES DEVOIRS DU SPECTATEUR Avant le spectacle : - Être calme, attentif. - S’ouvrir pour vivre un moment agréable. - Éteindre complètement son téléphone portable : les sonneries intempestives et la lueur

des écrans est un des plus forts désagréments au théâtre car il casse la magie du spectacle.

Pendant le spectacle : - Ne pas se manifester quand le noir se fait dans la salle. - Ne pas bavarder avec ses voisins car les bruits et les chuchotements s’entendent même

sur scène. - Ne pas sortir pendant la représentation (sauf en cas d’urgence) parce que tous les

déplacements dans la salle perturbent l’attention générale. - Se rendre disponible et écouter. - Ne pas manger. - Ne pas gigoter sur son siège.

Après le spectacle : - Respecter les avis et commentaires des autres. - Éviter les jugements trop rapides et brutaux. - Réfléchir à ce qu’on a vu, entendu, compris ou pas.

Document réalisé à partir du travail de l’équipe du Grand T,

Scène conventionnée Loire-Atlantique,

Côté Court de la Ligue de l’Enseignement,

Scène jeune public Franche Comté et la Ligue de l’Enseignement (FAL 53)