Corps des Torpilleurs et Marins 26/02/1927

4
SAMEDI 26 FEVRIER 1927. v .-'ÏIVWWÏW' 30 CENTIMES.' :-;!i;.--V.•-.:.;»•'*;• .**-s¥",.y. V',5,(»•"•';;• v,^•/•"f^ï"***^- 33mc ANNEE, 21. M V 1 '* '-' LES ' - / CAFÉS DE8R00F SONT LES >llILIKIKS LES CAFÉS DE6R00F Organe d'Ostende, du Littoral et de la Région. Directeur-Rédacteur en chef : Pierre MAES. SONT LIS MEILLEURS f: Bureaux : 44, rue Adolphe BuyI. Ostcnde. ) Belgique : 27.50 francs. ABONNEMENTS UN AN Etranger : GO francs. On souscrit à tous les bureaux de poste. ANNONCES : Les annonces sont reçues au bureau du journal ainsi qu'à toutes les agences de publicité du pays et de l'étranger. Toutes communications doivent être adressées an Directeur. lîureaux : 44, rue Adolphe Huyl, Ostendc. 'IV:r.Ki'ii<>.\K 1014. COMPTE CHÈQUES POSTAUX 121.052. Les manuscrits non insères ne sont nos rendus. LE CINEMA ET L'HISTOIRE —'Le « slupide » XlXmo siècle, si dé- crié par Léon Daudet i|ui lui a déroche celle épithèle plus que désoblitïeanlc, a ôlcexlrêinemenl fertile en iitven-* lions. Celles-ci fini considérablement aidé à •: transformer nos laçons do vi- vro.A no eonsidérer que ce que remploi île l'éleelrieilé a apporté eomme modi- fications dans nos enlours. .cela seul suffirait pour que noi's honorions :oul :spécirilemenl je siècle dernier el l'ap- pelerions, avant huit, le siècle de la ra- dieuse lumière. Les inventions qui nous ;>n| permis de capterTéuerpïe el la lumière élec- triques peuvent èlre considérées oom- ; me de vraies inventions révolutionnai- res, dans le sens où elles ont lol;ileivienl ^bouleversé nos accomodnlion« d'exis- tence. • • •'-,;-:'• ^ -; .-..;. ; -, . ... . • .v - : Jadis, le faible éclairage aux flam- beaux ou au gaz de houille que non.», employions ne prolongeai! pas noire vk* diurne, lundis que maintenant l'élee- : Irieité a fait de. la 'îuil s m jo:ir supp'é- mcrilaire. S!:ns eupliémism». ~ Notre vie.-visuelle a élé surlout con- sidérablemonl augmentée, prolongée par l'électricité. Mais ne l"a-l-elle : Dns ' <-;iielc|ii<* f. pfMî surmenée? CY-sl là une <|Uv:=!'oii que nous devrons i.n jour poser J/IÏ.V médecins spécialises, donl r'esl le domaine. ? 'l'An poinl de vue .mémoire, c'est sur- loul la ': mémoire visuelle qui joue le •'plus grand-rôle dans noire vie sociale : ni c"esl par elle que nous enrichissons noire bagage intellectuel de notions sur le monde sensible dos images el -«les idées. La loi-du moindre efforl aidant,' c'est a elle que nous avons recours plu- lût qu'à la mémoire auditive ou olfac- tive pour nous permettre d'évoquer ; d'une façon sûre des souvenirs de ; voyages, ac.spectacles ou de. personnes. . L'électricité, en ' doublant notre vie sensorielle nous a fait voir 'également sons un angle très différent des objets, ; des «îles, des pays relativement peu éclairés : par un - soleil inalurellemenl L ' a v a r e . .-'• , : ' v . ' - - ^...•••''•'••'' ' .'•••• Dans' la vie despectacles el de diver- tissements, la fée électricité nous a fait 'assister- à bien dos miracles el a vi-. ..ffoureusemenl coopéré à noire instruc- tion el à notre agrément. Pour nous en tenir qu'au cinéma, que- ne nous a-l- >lle pas montré, appris. Elle a victo- rieusement multiplié la perception des images par la, projection rapide des photographies animées. - : - ; Le cinéma! C'est «race àTélecIriciiê. lumière el force motrice, la manifesta- lion aiiiïlioue la plus intéressant- qui s o i t . •-.:••-•• •••_. -. . • ; . • • ••" . '•.Pur les films documentaires.' nous avons été mis directement en contact avec dos mondes extrêmement divers. Nous avons pu, au maximum, exercer toutes nos facultés d'observation et de raisonnement. \ Aulrefois/Napoléon disait qu'un cro- quis lui apprenait plus qu'un long rap- po.-l, aujourd'hui, nous pouvons pré- tendre qu'un court film cinématogra- phique peut nous révéler un étal d'ame chez un personnage public, les réac- lions que produisent sur une foule un événemenl local ou mondial el que sais-je encore, bien plus .qu'un long article de journal ou un livre. Ça .•'est du domaine du réel, car |;i photogra- phie animée necache rien, ifinlerpièlc rien, elle se conlenle d'enregislrer ce que l'appareil de prises de vues capte par son objectif tout à fait impartial. l'ne fois que le génie inventif de Bulletin des événements hellos «lo l.« i>n|iitlati..i] indi K one |i,.-.i||,-. ( ,.,, Ions sons par les factieux -|iii attisent les pas- sions , populaires. Kntrolomps, les Kuropéens <-onIiiiiK'iit à fortifier tours concessions ->l des renforts (if . troupes !irilanni<|uos et .-,un:i-i- l'îiins dOi>iii'<|ti^nl .join-nellrmenl :uix bord, du Uoiianir-l'iiii. ' . A l>os ronscignoiuoiils puisi'-s à lionne sour- <•<• .issiireni fjiif: plusi-'iirs gi ; iii-rau\ oanlomiis. lioiii; holchévislos, sùiit, iroci^ino ftiropi'fnnr, l<:ni!>in lo g»'ni'r<-il HVnff-Yii-llsi.inv. oui oM <U- iiaTiorialilt'- lrlnS|ui>.' A I.M CliainlMV aiiii'Ticaiiii- pousse M. iloo- lidî.'!.' it t^-goricr sc'-par.'nicnl aver la ('Mine. •» l.c^t;n< : ral Diaz, dicî.il.'iir nionriigiriyr-n. Milli.-ltiv h.- piol<'«-tor;.| I|I>S Kliils-Unis pour s..ji pays. i.|. g.iuvonii'ini'irl. aii».':-ioriiii a-,.-uro- rait In restaura lion rinan.-i.V.^ d.> la n'p:il»li- <|iit: latino. ,*«, la Oramlr lti-cij, Hn ,. mvisif,vrail l'«nvoi «I*» navîri's •!•; «iierri> dans |os eaux ni.-ara- Ktyfnn.\s, son fiouvernomenl n'ayant aucune K.iranlio ni do la part du .Nicaragua, ni iio la part d<:s Klals-I'nis pour protootion ùo la \»: ••! tics liiins *ios sujets anglais *-n o s dn IIOIIVO.-.MX IronMi's. : l'homme >'esl mis à Iravailler sur l<- réel el a voulu rréi-r des inmgi-s >CII-J sil.ies. photographiques, de ses eoiila- lions intellectuelles, ça n'a pas élé tout- seul et nous avons assisté à des spe» 1 -': lacles ahurissants, à côlé de spectacle- (lélicieusemonl émouvants. Les premiers tâtonnements dans l'in- vention cinématographique MUI! du do- maine (lu comique cl même du cocas- se, mais comme . pour toutes chose-, une évolution vers le mieux s'esl pr- duile el des artistes arlislemenl cl techniquement • doués,, nous .donnent aujourd'hui des films d'une singulier' 1 beauté que nous ne nous lassons pa.» «l'admirer. Les défaillances diminuer)!, mais il.esl un domaine elles se montrent encore avec'une làclieiiM- mulliplicilé : le domaine historique. Quand les metteurs on scène do q'ii-î- que pays-qu'ils soient se mêlent, de n:eilre à l'écrarn un événemenl d i ]>assé. i ^ c'est souvent (oui droit , i un échec cpi'ils courrenl. : Passe ei-- core pour les Français qui cnniiai-iv-si! leur histoire —: ou en oui .Tiuluillo:: toul au moins — el qui se hasardent rarement-, à vouloir représenter l'his- toire des autres pays. Mais parlez-moi clos Américains ! Ah ! ceux-là vous ont une façon d'accommoder l'histoire fie la France, de l'Angleterre. 1 dos 'pays eu- ropéens, en un mol. qui est souvYnl le comble de l'invraisemblance el j>;:ifoi> du ridicule. S'ils se conlenlaien! •>'pro- jeter des films historiques do!--H iliiic dans leur propre pays, nous n'y viv- rions qu'un médiocre ineoiiven: M\\. mais ils veulent pour la plup;n'| '• f!si temps nous -les impose;- c.immr. (\o<. évocations scrupuleusement exactes.' Maîtres du marché du fiîni. ils non» refilent leurs navets avec une désar- mante obstination. - ' "' ^ Nous nous : perniulli'oiis main>er;:iil de citer quelques-uns fie ces fitn.s DM l'histoire française est travestie fie- vient même un carnaval historique) . ' souvenez-vous de'la singulière n nt • préhension ;fle. la révolu lin;; île . 17!):; dans Scuraiiioitclir. les Dca /;<))•/:•//'•- Unes (de Oriffilh). Kl l'évocation de i:- cour tic Louis XV dans M.' Iteaucain. par ailleurs film élincolanl de grâce- décoratives ? ' Quelle cai'icaliire d'un monde formaliste outre tous, les nom- breux mémoires du temps sont pou- nous le prouver. •; Plus ..près de nous, rappelez-vous comment on l'ail lu .guer- re flans la Grande Parade ! Les mal- heureux sa m mies n'auraient pas len;: un quart d'heure devanl les mitrailleu- ses 'boches .s'ils avaient manoeuvrer à-U»» façon dos solfiais de ce film len-: dancieusemcnl sentimental. iVous pour- rions allonger sans elforl la lislc des chapitres d'hisloirc traitée à la façon do l'Oncle Sam. Le fâcheux, dans c- domaine, c'est que -le cinéphile euro- péen, de', culture moyenne, qui n'est 1-as mis en garde contre les fantaisie-; historiques américaines, a plulôl ten- dance à accepter comme véridiquos ce.» images complètement fausses, et faus- sées parfois à dessein, d'une période révolue do la vie d'un grand peuple. : ; Mieux vaudrait.'qu'an poinl de vue cinémalographiquo. l'Histoire restât un domaine réservé où il ne l'ail pas encore bon pour les cinéastes de péné-' lier. Plus lard, quand les moyens do-, ciiineiilaires el techniques seront plus développés f-l mieux adaptés, poiirra- l-on nous montrer tics tableaux d'his- loire. sinon tonl-à-l'ai! vrais du moins plu< xéridiques. . : . Pierre MAKS. | A t.r Kûuv'-'i'nfiiiiMil i-hilir-n inran-V-n- Ions les ili'putés l'rtiiiinunislos. & - I.V-N|iosilii'in d'arl IH-IKC au Caiiv est un gros surcî's. Plusieurs o-uvn-s iinporianlos ont été ari|uis<T> par lo roi Kuad i-t d'.uilres pui'srniiialités haut placées. I.Vxpositirm <lu Cairo s»!i"ji iiiiiii<!<li:)li:nii*nt suivi»- d':inc ftxi-o- sition il'ar-l lmlf.-". à Alftxanilrii-.' n'o l'iii - loiiifiûlt! d'uni' i-xlrriiiiï violuiK'i. sé- vit ili-puis un«i sriDaino dans la Ww .\*oir«'. e'» l..-i jiolé.r inioiTOiiipl la nnvtsratiiin .sur-li >: (.an ;.:..,•. e*» l-'s fiii-lcn-ssi-s alltiliianiios fi.iidainiléi-s par- l'acrord do Paris >«i-onl délrnilos. A l»O!i.v llpni's (!>• rlirinin do iVr niélropoli- lain soûl.Train von! être ronsli'iiitos à V.irso- vlo. .- ' : ' - . . •' •• " '• , . " ,?„ l.'llalii' iT-poussi- !a pi'iipusitiiiij. •!•: dés- .-tt'iiu'iin-nl nuvl «le M. i:oolid.s>-. ' »*• l'n<- ciinlén ïirc inlornalionaN' <!.• proi;<>i:- Icurs d'arii-i: va élri" ronvin|iiéo sous pot: ;i I t r i i x o i l o s . ••• ' l'rn,;;:•:• LES CIGARETTES v JOHNSON ^UNISSENT TOUTES l£S QUAUTfcS| Le Carnaval de Binche l>all> iKilt'i- |>a>'s ail l'ilkli.i'.- si ii>'li.\ rii'it u'rsl plus atlrayanl i|inr ir:issi»li'i* :iii\ maili- f<'>l;ili<>ns un - u. ••lasNi:|ui-< .«!•• IVs-ii-il lie t-Nii-lii-! 1 . >urtiiul il:<us (•••ll> > - où la rullcelivité •-iladitii' sV-linnii* et s.'- •liwrlil un profil d.v tous, l'olir >'ru r-llilr.' ••••uijilv"dans un milieu spécial, ail--/, doiii' à Uitu'li'-. ailuiii'iT son far- llaval. Pour doniK-r un<- idée compli-Ii' di- ••••ini-ii. il famlrail dérrisv. non >. ul'-in.-nl l<- Mardi- Ora- <|ui ••>! rapolliéi>s>' des ïï-l.-s. non ...MI|.-- liit-iit les diniain'ln- --t luiu!i-^!':<s ipii <:i Tout -parlii> iiilé^ran!i' i-l i-ssi iitifli.-. uiiiis III v l.-v lir.l'iludos. la uii'iitalilé •>! l<-> ii|i liions :i.s ll.iliil.oil> à dali-r d<* il«'ii\ mois ava'il l'é- rliéam-i- juvi'iisi*. ri la fit-vri 1 inîi'ii»- >•' « - roi>- siiillr <|ui s'i-nipaiv <1'riix Unis. l'.xrités. iVllault'és par l'appi li> % du Mai'ilN.ïras.. par Us pré|ta'V'.lirs. par la ronsliiuliou de> s'X'ié- i*-s ili' l'iilli'S. par la ronIVi'lion <l:i r h o i x d>-> .'os'lliiii 1 -.. par les a soiuiionros » ipii. rliai|llr iimani'lie. souiêvi-nl la villi 1 . !••> l:i|i<'liois ar- riviil au i-arnav il tians un état Ii-I •|ii"il SIMII- !ilc <|in> loiilr .ii:!r.. i>!-<'oc(-ii|ialion ail disparu !•• leur osp! il. !><'•> If iliiiiain-liii-gras. ISiui'lif n'est plus <|ii'unf <'ilé d<» révo dont la l-'olif .-si la ivino. l';srioul li'S Ini.siiiiios siiilllfill. ri les gens daiisonl sans arsvi i-l sans répil. .Mais, malgré réroinlanli- falimn- <!<• rt:s . deux pn-mii'iros journé.s. l'aiiln- du Mardi-i'.r;is tronvi' !.-s dil- les au poslr. Ils sont là. ji'iiiii's i-l vieux, l'irlii's e' ( [liiii- vres. bourgeois e| oiivriêi-s. tous iiieii!ii|ile.s ri mêlés dans i;i |.lus ri'aloniello égaillé flclle iinii. lîiili-ho s'esl endormie lard dans ,.• hruil dos iiuisi<|iÉ>'-. ilej.i 'idanl. Uini'lio es! ri'voil- lée.avait; le soleil. Les taml'otirs l>alh'n! <lans toutes les ri:és: les lîilles sotll déjà i-.i.-.>ern- i.iés. -, • •• , ' Mails le l-o.slllllle l|lli leill- dél'orille l.'l laill*'. Sous le masque ilo[i.l-~il>lr i-l uniroi'méiiien! liilK-Hé de vert, dans le lolm-liohu do ia «lanse rylliiin'e iiux «ira» <•! aux «lia» di-s !;:m- !>viirs. dans l'assourdissant linl.iiiKiri'.- di'.s iti-niaill'.-s >ii- sonnettes, les Cilles ont ;-i'rdn li'iir p.-i-sotii!!i!ilé l.'épôii>e n'y iceonuai: plus .-•en mari, la mère son l'ils. la promise son fian'-é.;. il n'y a plus >|iié. les liillos... , • V.w voiei un groupe d'une < - i 11 » j i r. 1111 :. ï -1 < •. A celle lii-tni-J'iliilinnsi- eliape;iii à plumes 'l'.ili- Irili'iu: no les coiffe pas encore. Ils n'oit! sur l.ilêle que la «l'arrelle» et le iiloiielii.M liîanc. 'l'on-; sont masqués. Au soleil levanl.les clochettes de cuivre des * aperlinlailles » lar. . (•'•ut i!es iVlalrs: les coMen-Ues de deîîîell^s el de soies ai!X i-fiuloiirs leii'lres :t'loi!eisse;il li :.. Ions fauves cl riii'es des coslumes... Ils Vi.nl en cadence."Trais >•! dispos, alcrîes et Vassifs :'i la fois, leri-ililes el i!t'imilil;<iiv. , 11 Au roilleuienl rylliiiu' de la -t Walleriv > >ie ijualre laiiilioiirs, •-iin'tsiin!-* ! :-"ds s-. 1 l'-vi ni. reioMiSeut. e! i-ili'|!iaule s.tiiols claqur:il en- seislidc: au lion! ili: <'iii'|unii!f bras, riiii|'i:uilj- « iVtitions i Miiil lir.ui.ii-, el immobilisés en même ieiiips. dans le méiiif frfsln lar^i; •'•! su- pprlie... l'as un faille, pas un rem-, pas un mouvement irop rapide ni un pas à conli temps, dans i-el asseiiiMaifc hétéroclite de cinquaiili' l'.inchois ijui ne se connaissent pt'Ui-fMiv pas !•! ijiii ilansenl.'charun pour soi. tourndyan!. ioiirhillonnanl iians le carillon- nement ininiri'i'iiiiipu de .-î11 | crnls cloclu-l- li'S.'v Kl lni'Si|iii'. nyaiil fini la « i-in<[ilièm< !•>••'• p!-i>e ». la c !»at!erie Î- ital son derm'er «fia» ci- sont cinquante statues que vous voyez. IVspa'V de trois secondes, fijrées ilans I;; niè- nif atliludi-. ••••'. N l'mir saisir le cai-iiclêi-e ilu Ciille. i-'est là' qu'i! l'aul le voir. Tantôt, au iriomplial cortè- fte il<- l'après-miiii. il sera plus riche, plu?, somptueux: maintenant." il es! plus vrai, i! csl pres:|i:e émouvant : c'esl le .Ministre d'une di- vinité, de féerie nri'«iniplis.->iml un rile sacré daiis l:i Ville Klernelle ilu Cirnav.il... " : A i.iîie dire du corlè^e île l'après-liiidi et du grand rondeau'.' Il fout avoir assisté à relie l'éorie pour s'en rendre compte. A travers la coînie immense bariolée; mouvante. Irépidan- to. liouieiisc. dans lo tinleinarre inimaginable de. douzaines d'orrlieslro* jouànl i-nn.éme leuips des airs différents, au milieu des cris, dés chants, ces valses à la mode moulues in- lassaidcniciil par des conlainos d'or.uues de barbarie, les Oilles s'nvam'onl. plus fiers que. dos ra.jalis. plus beaux qui- des prinevs de li'-;;ciidcs. couvcrls de denlellos el. brodés d'or, lo chef finit? île plumes fabuleuses.... ils s'a- vanconl et la foule s'ouvre pour laisser pas- ser ers dieux... i l'est l'.ipogëo du Carnaval... De la masse .crouillanle et bariolée rmer- genl seuls tirs chapeaux fantasliques. el la siiccosion des qu:ili-e cents Oilles trace .ians la foui-- une haie de plumes de loule-i le-, nuances, l'.'i-jil un arc-en-cicl féerique se inouvaul dans un décor de kaléidoscope. ... Kl d'en bas jaillissent des milliers d'o- ranges, projeclilos d'or qui vont s'écraser sur les pierres dos façades ou éclater ooi.tre les grillager, qui protègent les fenèlrcs, •y|;i- boiissanl U-s >pri'lalc»irs étourdis et enivrés, dans celle débauche île sons, de couleurs el de inoiivoinenl... A IV sera jusqu'au soir la foule déchaîné:; par les rues, encombrées d'une, foule, de dizaines !•; milliers de personnes qui s'abanilonneiil a l'ivresse de celte ambiance unique, specta- teurs devenus acteurs d "Ile bacchanale moderne. ' l.ii nnil tombe. Les lampes éleclriquus s'al- lument. Voilà lo.corlège cl le rondeau du soir. Si le rondeau >lu jour o»l une harmonie de i-ouli'iirs. celui-ci esl un fouillis de loul^s les lueurs île llaimnos que riionime ail invonlé.e.s. Hans la même orgie de iinisiquos,-de son- niillos el «le bruil, ilans la menu; cacophonie gigantesque que ccllft de lanlôl,' voilà que. les groiipi-s de Cilles sont île nouveau en 1res dans la foule qui s'écrase. Sur cetti! masse houleuse, les lampes élec- triques, jollcnl leur 'lumière crue; les pro- jecteurs dardi-nl leurs faisceaux puissants qui oscillent, les feux de bengali- répandent TÏXÉ "•-mm fcSÎ.! rbur> sortir*/ Un dernier coup d'oeil et Madame sort, assurée que ses'gants, d'une propreté irréprochable et d'une forme parfaite, complètent sa ravissante toilette. Presque tous les ganls. à la mode en ce moment: suède, chamois, soie, etc., sont lavables. LUX est pour cela le produit idéal. Les gants lavés au LUX sont aussi beaux que neufs : ils sont d'une propreté irréprochable et ne perdent pas leur forme. ' - . . - * . 1 Vï£&y<m^ LDQ Pour le lavage de* g an h. L. 122 leurs feux verls nu rouges: de rilotol-ilo-Vil- !e ombiMsé ruisselle une éblouissante cascad'- d'élincclles île magnésium: lus torches ili; ré- sine aux i'Iaiiiniis fauves crachent dos nuages de fuiiH-e ,ici-e... Toul-à-coup. le fe.u d'artifice, s'allume: les fusées giclent en sifflant dans le ciel étoile, les pétards crépitent dans tous les «'oins, los bombes éclatent aveu fracas, et leurs é<-|';its enflammés retombent sur la foule en délire Les musiques . s'exas- pèrent. ' les, liimboui's ballenl à crever les peaux, les Cilles, les dents serrées, rageurs el , l'on i -nés., dansent plus que jamais... I.e spectacle esl prestigieux, indescriptible, fan- tastique... on croirait voir une cuve inf-j^nalo, où. dans un bain de souffre en feu, des dé-. mous ivres dansent une sarabande apooalyp- îi'iue ... . ; . ' La taxe suivies cfiampagnes. Une bonne mesure de l'Administration. A In suile îles ilénuirelies pressantes <li:s hiMflii-r~-rf>l;itirali-iiis. raclminis- li'.-ilioii des .-H-i-isfs viiml de ftécider de permi'Hiv ;uix inlôn-ssôs qui. le 28 fé- vrier t'oiir.'inl ;III soir. (léli(!iiilr.'iir>nl e n - rori; des sini'ks ini|iorl;in|s ilr lioissons Irruifiilécs inoiissiMisi's, de prendre li-' vi'.'iison p;ir_ pnrlie rji-nli-iili-nl des ban- ilëlellps fiscales donl ils auront besoin. - ''«'iix fpii voudront bénéficier de celle faculté drvriiiil en faii'c la. - demaiule qu'ils aiironl à remclliv le 5 mars au plus lard au cuiilroleur des accises. Ce relevé devra comprendre comme poue les cas ordinaires la lolalilé (\i-< ~locks in dcroinple I]I- réirularisaliou par- tielle sera établi jusqu'il apliremeu: complel îles quantités à .-oiimelli'i- au silpplcmciil des laxi-s. Ile Imites façon.-, ce .-upplémcni d<- la.ses devra èh'e iiili'-gi 1 .!leiueiil acipiiité au plu.- lard le ::<) avril prochain, ce qui éipiivaul doue à un délai de deux mois en laveur des intéressés. Pour les reslaiiraleurs el hôteliers, el plus jfénéralemenl pour Veux qui donnent di-s bois-otis fei-iueiilées e! ntoils.-euses ;V consommer Mir place, li: prix île vente servant de base au calcul du supplément de la la.\e sera relu: qui re-MH'l des factures des fourni.-- .-eiir», c"e-l-à-dire le prix réellemeiiî payé pai- le reslauraleiir. el non celui auquel celui-ci revend la marchandise. In exemple tangible: un reslaura- ieur ou un holelier délienl deux rri\l~ houleilles de vin UIOIISM'IIX. ai-hetées à •„* . "> francs eit l!)»'.".. frais, compris. Au 1er avril -l'X'iî. il a payé pour ces vins, la la.\e de I".* p . c . .»oi( fr. :;.?ti par bou- leille. la partie ini|)osable étant ^X.Vd fr.. l'arce que, à celle époque, la lax-' .-e calculail sur le prix de venir. I.'» x * ; compri>e. Désorinais. la laxe ileïti p.'".. exi.î-'ible M 1 calculera sur le prix • de veule, taxe non " comprise, c'ol-à-diri! une': laxe de ."> franc.-; par bouteille de l'.") franc-, mais fr. ">.'.'•• aytinl déjà été |iayés. il restera une laxe fie fr. I.SO par ifiiileille. Oîi en os;l In veiitMe nos (or|)illoiirs cl vcdolles Non- avons déjà, à dill'érenlcs'repri- ses, enll'i'IeiMl lio- lecteurs au' sujet du .-or| reserxé à notre récente marine, de irilel l'e. • • en -ommes-nous au ju.-lê aiiioui-- d'hui ? .'•'•'• ' Ouaiid la .-oppression du corps des torpilleur- et marins fui décidée, on s.- demanda ce qui: deviendraient les III torpilleurs de la Ilottille. - .- l.a première idée qui vint, fut de len- ler de vendre n-< bâlinienls comme tor- pilleurs à une pui.-sauce élraiiiière. Il" e.-l évident que celle solution .-cmblail plus avanlaiM'iise que celle qui aurait i oiisislé à désarmer rr^- bâtiments ei .i les mellre en veille publique pour être démolis ou lr;iii.-l'oi-|]iés. ,.\'o- t-e|ii > é-eulanl> à l'é'i'aiiL-er fureiii doue invité- à sonder le- inlenlioiis des ttoiivernenii'iils aitprê- desqnel- ils soni accrédités. 1 mai> aucune olïre sioeep- iilile d'être retenue ne nous parvint pa.' celle voie. ' Aucun loi-pilleur u'e-l donc vendu ;-.ctuellenield et leur liquidation esl loll- jour.- à l'élude. Oiianl aux veiletles. elles fuieiil mi- .-es en vente publique le •„» ilécenilire "dernier, aprè.- avoir élé remises au dé-' parlement îles liu.nne- qui annonça : celle vente par se- moyens de publicité habituels. l.es prix tdl"erl> pour les vedelles élanl iréncralemenl aii-flessoiis des es- liin.ilions des experts, les ollres d'achat lie furent pas acceptées -nul' en ce'qui concerne une vedette vendue à M. de Calers. |PIIIII-::::.(i(io francs.Trois aulri's vedelle- ,-onl ré.-ei'vée- pour le service ri'arrai-ouuemeul du port d'Anvers : Oeux Vedelles -erolil cédées aux colo- nies. l.es Vedelle» i'e-laule- seront ven- dues par le département des linaine-. Aucune mission, aucun inirénieiii 1 . n'ont été cliarjrés par le .trouvernemiMil ilr trouver des iiequéreurs'à rélranirer. Tous les pourparlers relatifs à |M vente éventuelle ries lorpilleurs el à la venle des vedelles ont eu, lieu 'par le< moyens oiïicicls et parlant, sxalnils. Nous croyons savoir que les chan- tiers navals «le Coi-kerill se >onl occu- |.'és de ces ventes, mais à lilre loul à . fa il privé et jrracieux. uniquemenl par- ce que ce MIIII les chantiers navals ipii' répnrenl habiluellemenl les l'ihilés di: C., T. M. cl qu'ils disposent d'agent-- à rétranirer. ••;•-• '-1 • ' Toitles les vetlelles u'élaienl pas en bon élal. les e-limalioiis de nos expert** allèrent de c.Ol'M) à'•'iO.(HH> francs. Les alïichcs portaient «Vedelles en oi-flrc de marehe •••pour faim affluer les aclie- lenrs. \raisemblabli-menl... " ; ' /-,

description

Corps des Torpilleurs et Marins belges dans la presse d'époque

Transcript of Corps des Torpilleurs et Marins 26/02/1927

Page 1: Corps des Torpilleurs et Marins 26/02/1927

SAMEDI 26 FEVRIER 1927. v

.-'ÏIVWWÏW'

30 CENTIMES.'

:-;!i;.--V.•-.:.;»•'*;• .**-s¥",.y. V',5,(»•"•';;• v ,^• / •"f^ï"***^-

33mc ANNEE, n» 21.

M

V1'* '-'

• LES ' - /

CAFÉS DE8R00FSONT

LES >llILIKIKS

LES

CAFÉS DE6R00F

Organe d'Ostende, du Littoral et de la Région.Directeur-Rédacteur en chef : Pierre MAES.

SONT

LIS MEILLEURS

f:

Bureaux : 44, rue Adolphe BuyI. Ostcnde.

) Belgique : 27.50 francs.ABONNEMENTSUN AN Etranger : GO francs.

On souscrit à tous les bureaux de poste.

ANNONCES :Les annonces sont reçues au bureau du journal

ainsi qu'à toutesles agences de publicité du pays et de l'étranger.

Toutes communications doivent être adressées an Directeur.

lîureaux : 44, rue Adolphe Huyl, Ostendc.

'IV:r.Ki'ii<>.\K 1014.

COMPTE CHÈQUES POSTAUX 121.052.

Les manuscrits non insères ne sont nos rendus.

LE CINEMA ET L'HISTOIRE—'Le « slupide » XlXmo siècle, si dé-crié par Léon Daudet i|ui lui a dérochecelle épithèle plus que désoblitïeanlc,a ôlc exlrêinemenl fertile en iitven-*lions. Celles-ci fini considérablementaidé à •: transformer nos laçons do vi-vro.A no eonsidérer que ce que remploiîle l'éleelrieilé a apporté eomme modi-

fications dans nos enlours. .cela seulsuffirait pour que noi's honorions :oul

:spécirilemenl je siècle dernier el l'ap-pelerions, avant huit, le siècle de la ra-dieuse lumière.

Les inventions qui nous ;>n| permisde capterTéuerpïe el la lumière élec-triques peuvent èlre considérées oom-

; me de vraies inventions révolutionnai-res, dans le sens où elles ont lol;ileivienl

^bouleversé nos accomodnlion« d'exis-tence . • • •'-,;-:'• ^ -; .-..;. ;-, . ... . • .v- : Jadis, le faible éclairage aux flam-

beaux ou au gaz de houille que non.»,employions ne prolongeai! pas noire vk*diurne, lundis que maintenant l'élee-

: Irieité a fait de. la 'îuil s m jo:ir supp'é-mcrilaire. S!:ns eupliémism».

~ Notre vie.-visuelle a élé surlout con-sidérablemonl augmentée, prolongéepar l'électricité. Mais ne l"a-l-elle: Dns

' <-;iielc|ii<* f. pfMî surmenée? CY-sl là une<|Uv:=!'oii que nous devrons i.n jourposer J/IÏ.V médecins spécialises, donlr'esl le domaine. ?

' l ' A n poinl de vue .mémoire, c'est sur-loul la ': mémoire visuelle qui joue le

•'plus grand-rôle dans noire vie sociale: ni c"esl par elle que nous enrichissonsnoire bagage intellectuel de notions surle monde sensible dos images el -«lesidées. La loi-du moindre efforl aidant,'c'est a elle que nous avons recours plu-lût qu'à la mémoire auditive ou olfac-

t ive pour nous permettre d'évoquer; d'une façon sûre des souvenirs de; voyages, ac.spectacles ou de. personnes.

. L'électricité, en ' doublant notre viesensorielle nous a fait voir 'égalementsons un angle très différent des objets,

; des «îles, des pays relativement peuéclairés : par un - soleil inalurellemenl

L ' a v a r e . .-'• , : ' v . ' - - • • ...•••''•'••'' • ' • • . ' • • • •

• Dans' la vie de spectacles el de diver-tissements, la fée électricité nous a fait

'assister- à bien dos miracles el a vi-...ffoureusemenl coopéré à noire instruc-tion el à notre agrément. Pour nous entenir qu'au cinéma, que- ne nous a-l-

>lle pas montré, appris. Elle a victo-rieusement multiplié la perception desimages par la, projection rapide desphotographies animées. - : -

; Le cinéma! C'est «race àTélecIriciiê.lumière el force motrice, la manifesta-lion aiiiïlioue la plus intéressant- quis o i t . • • - . : • • - • • •••_. - . . • ; . • • ••" .

'•.Pur les films documentaires.' nousavons été mis directement en contactavec dos mondes extrêmement divers.Nous avons pu, au maximum, exercertoutes nos facultés d'observation et deraisonnement. \ •

Aulrefois/Napoléon disait qu'un cro-quis lui apprenait plus qu'un long rap-po.-l, aujourd'hui, nous pouvons pré-tendre qu'un court film cinématogra-phique peut nous révéler un étal d'amechez un personnage public, les réac-

• lions que produisent sur une foule unévénemenl local ou mondial el quesais-je encore, bien plus .qu'un longarticle de journal ou un livre. Ça .•'estdu domaine du réel, car |;i photogra-phie animée ne cache rien, ifinlerpièlcrien, elle se conlenle d'enregislrer ceque l'appareil de prises de vues captepar son objectif tout à fait impartial.

l 'ne fois que le génie inventif de

Bulletin des événements

hellos «lo l.« i>n|iitlati..i] indiKone |i,.-.i||,-.( ,.,,Ions sons par les factieux -|iii attisent les pas-sions , populaires. Kntrolomps, les Kuropéens<-onIiiiiK'iit à fortifier tours concessions ->l desrenforts (if . troupes !irilanni<|uos et .-,un:i-i-l'îiins dOi>iii'<|ti nl .join-nellrmenl :uix bord, duUoiianir-l'iiii. ' .

A l>os ronscignoiuoiils puisi'-s à lionne sour-<•<• .issiireni fjiif: plusi-'iirs gi;iii-rau\ oanlomiis.lioiii; holchévislos, sùiit, iroci^ino ftiropi'fnnr,l<:ni!>in lo g»'ni'r<-il HVnff-Yii-llsi.inv. oui oM <U-iiaTiorialilt'- lrlnS|ui>.'

A I.M CliainlMV aiiii'Ticaiiii- pousse M. iloo-lidî.'!.' it t^-goricr sc'-par.'nicnl aver la ('Mine.

•» l.c^t;n<:ral Diaz, dicî.il.'iir nionriigiriyr-n.Milli.-ltiv h.- piol<'«-tor;.| I|I>S Kliils-Unis pours..ji pays. i.|. g.iuvonii'ini'irl. aii».':-ioriiii a-,.-uro-rait In restaura lion rinan.-i.V.^ d.> la n'p:il»li-<|iit: latino. •

,*«, l a Oramlr lti-cij,Hn,. mvisif,vrail l'«nvoi«I*» navîri's •!•; «iierri> dans |os eaux ni.-ara-Ktyfnn.\s, son fiouvernomenl n'ayant aucuneK.iranlio ni do la part du .Nicaragua, ni iio lapart d<:s Klals-I'nis pour là protootion ùo la\»: ••! tics liiins *ios sujets anglais *-n o s dnIIOIIVO.-.MX IronMi's. :

l'homme >'esl mis à Iravailler sur l<-réel el a voulu rréi-r des inmgi-s >CII-Jsil.ies. photographiques, de ses eoiila-lions intellectuelles, ça n'a pas élé tout-seul et nous avons assisté à des spe»1-':lacles ahurissants, à côlé de spectacle-(lélicieusemonl émouvants.

Les premiers tâtonnements dans l'in-vention cinématographique MUI! du do-maine (lu comique cl même du cocas-se, mais comme . pour toutes chose-,une évolution vers le mieux s'esl pr- •duile el des artistes arlislemenl cltechniquement • doués,, nous .donnentaujourd'hui des films d'une singulier'1beauté que nous ne nous lassons pa.»«l'admirer. Les défaillances diminuer)!,mais il.esl un domaine où elles semontrent encore avec 'une làclieiiM-mulliplicilé : le domaine historique.

Quand les metteurs on scène do q'ii-î-que pays-qu'ils soient se mêlent, den:eilre à l'écrarn un événemenl d i]>assé. i c'est souvent (oui droit , iun échec cpi'ils courrenl. : Passe ei--core pour les Français qui cnniiai-iv-si!leur histoire — : ou en oui .Tiuluillo::toul au moins — el qui se hasardentrarement-, à vouloir représenter l'his-toire des autres pays. Mais parlez-moiclos Américains ! Ah ! ceux-là vous ontune façon d'accommoder l'histoire fie laFrance, de l'Angleterre.1 dos 'pays eu-ropéens, en un mol. qui est souvYnl lecomble de l'invraisemblance el j>;:ifoi>du ridicule. S'ils se conlenlaien! •>'pro-jeter des films historiques do!--H iliiicdans leur propre pays, nous n'y viv-rions qu'un médiocre ineoiiven:M\\.mais ils veulent pour la plup;n'| '• f!sitemps nous -les impose;- c.immr. (\o<.évocations scrupuleusement exactes.'Maîtres du marché du fiîni. ils non»refilent leurs navets avec une désar-mante obstination. - ' " ' ^

Nous nous : perniulli'oiis main>er;:iilde citer quelques-uns fie ces fitn.s DMl'histoire française est travestie fie-vient même un carnaval historique) . 'souvenez-vous de ' la singulière n nt •préhension ;fle. la révolu lin;; île . 17!):;dans Scuraiiioitclir. les Dca /;<))•/:•//'•-Unes (de Oriffilh). Kl l'évocation de i:-cour tic Louis XV dans M.' Iteaucain.par ailleurs film élincolanl de grâce-décoratives ? ' Quelle cai'icaliire d'unmonde formaliste outre tous, les nom-breux mémoires du temps sont là pou-nous le prouver. •; Plus ..près • de nous,rappelez-vous comment on l'ail lu .guer-re flans la Grande Parade ! Les m a l -heureux sa m mies n'auraient pas len;:

u n quart d'heure devanl les mitrailleu-ses 'boches .s'ils avaient dû manœuvrerà-U»» façon dos solfiais de ce film len-:dancieusemcnl sentimental. iVous pour-rions allonger sans elforl la lislc deschapitres d'hisloirc traitée à la façondo l'Oncle Sam. Le fâcheux, dans c-domaine, c'est que -le cinéphile euro-péen, de', culture moyenne, qui n'est1-as mis en garde contre les fantaisie-;historiques américaines, a plulôl ten-dance à accepter comme véridiquos ce.»images complètement fausses, et faus-sées parfois à dessein, d'une périoderévolue do la vie d'un grand peuple. :

; Mieux vaudrait. 'qu'an poinl de vuecinémalographiquo. l'Histoire restâtun domaine réservé où il ne l'ail pasencore bon pour les cinéastes de péné-'lier. Plus lard, quand les moyens do-,ciiineiilaires el techniques seront plusdéveloppés f-l mieux adaptés, poiirra-l-on nous montrer tics tableaux d'his-loire. sinon tonl-à-l'ai! vrais du moinsplu< xéridiques.

. : . Pierre MAKS.

| A t.r Kûuv'-'i'nfiiiiMil i-hilir-n inran-V-n- Ionsles ili'putés l'rtiiiinunislos.

& - I.V-N|iosilii'in d'arl IH-IKC au Caiiv est ungros surcî's. Plusieurs o-uvn-s iinporianlosont été ari|uis<T> par lo roi Kuad i-t d'.uilrespui'srniiialités haut placées. I.Vxpositirm <luCairo s»!i"ji iiiiiii<!<li:)li:nii*nt suivi»- d':inc ftxi-o-sition il'ar-l lmlf.-". à Alftxanilrii-.'

n'o l'iii- loiiifiûlt! d'uni' i-xlrriiiiï violuiK'i. sé-vit ili-puis un«i sriDaino dans la Ww .\*oir«'.

e'» l..-i jiolé.r inioiTOiiipl la nnvtsratiiin .sur-li>:

(.an ;.:..,•.

e*» l - ' s fiii-lcn-ssi-s alltiliianiios fi.iidainiléi-spar- l'acrord do Paris >«i-onl délrnilos.

A l»O!i.v llpni's (!>• rlirinin do iVr niélropoli-lain soûl.Train von! être ronsli'iiitos à V.irso-

v l o . .- ' : ' - . . •' •• " • '• • , . • "

,?„ l . ' l lalii' iT-poussi- !a pi'iipusitiiiij. •!•: d é s -.-tt'iiu'iin-nl nuvl «le M. i:oolid.s>-.

' »*• l'n<- c i in lén ïirc inlornalionaN' <!.• proi;<>i:-Icurs d'arii-i: va élri" ronvin| i iéo s o u s pot: ;iItriixoilos. ••• ' l'rn,;;:•:•

LES CIGARETTES v

JOHNSON^UNISSENT TOUTES l £ S QUAUTfcS|

Le Carnaval de Binchel>all> iKilt'i- |>a>'s ail l'ilkli.i'.- si ii>'li.\ rii'it

u'rsl p lus at lrayanl i|inr ir:issi»li'i* :iii\ maili-f<'>l;ili<>ns un p«-u. ••lasNi:|ui-< .«!•• IVs-ii-il liet-Nii-lii-!1. >urtiiul il:<us (•••ll>>- où la rullcel ivité•-iladitii' sV-linnii* et s.'- • l iwr l i l un profil d.vtous , l'olir >'ru r-llilr.' ••••uijilv"dans un milieuspécial , ail--/, doiii' à Uitu'li'-. ailuiii'iT son far-llaval.

Pour doniK-r un<- idée compli-Ii' di- ••••ini-ii.il famlrail dérrisv. non >. ul'-in.-nl l<- Mardi-Ora- <|ui ••>! rapolliéi>s>' d e s ïï-l.-s. non ...MI|.--liit-iit les diniain'ln- --t luiu!i-^!':<s ipii <:i Tout-parlii> iiilé^ran!i' i-l i-ssi iitifli.-. uiiiis III vl.-v lir.l'iludos. la uii'iitalilé •>! l<-> ii|i l i ions: i . s ll.iliil.oil> à dali-r d<* il«'ii\ mois ava'il l'é-rliéam-i- juvi'iisi*. ri la fit-vri1 inîi'ii»- >•' «-roi>-siii l lr <|ui s'i-nipaiv <1'riix Unis. l'.xrités.iVllault'és par l'appi li>% du Mai'ilN.ïras.. parU s pré|ta'V'.lirs. par la rons l i iu l iou de> s'X'ié-• i*-s ili' l'iilli'S. par la ronIVi'lion <l:i rhoix d>->.'os'lliiii1-.. par les a soiui ionros » ipii. rliai|llriimani'lie. souiêvi-nl la villi1. !••> l:i|i<'liois ar-

r i v i i l au i-arnav il tians un état Ii-I •|ii"il SIMII-!ilc <|in> loi i lr .ii:!r.. i>!-<'oc(-ii|ialion ail disparu• !•• leur osp! il.

!><'•> If iliiiiain-liii-gras. ISiui'lif n'est plus<|ii'unf <'ilé d<» révo dont la l-'olif .-si la ivino.l';srioul li'S Ini.siiiiios siiilllfill. ri les gensdaiisonl sans arsvi i-l sans répil. .Mais, malgréréroinlanli- falimn- <!<• rt:s . deux pn-mii'irosjourné .s . l'aiiln- du Mardi-i'.r;is tronvi' !.-s dil-les au poslr.

Ils sont là. ji'iiiii's i-l vieux, l'irlii's e' ( [liiii-vres. bourgeois e| oiivriêi-s. tous iiieii!ii|ile.sri mêlés dans i;i | .lus ri'aloniello égaillé flclleiinii. lîiili-ho s'esl endormie lard dans ,.• hruildos iiuisi<|iÉ>'-. ilej.i 'idanl. Uini'lio es! ri'voil-lée.avait; le soleil. Les taml'otirs l>alh'n! <lanstoutes les ri:és: les lîilles sotll déjà i-.i.-.>ern-i . i é s . -, • •• , ' •

M a i l s l e l - o . s l l l l l l e l | l l i l e i l l - d é l ' o r i l l e l.'l l a i l l * ' .

Sous le masque ilo[i.l-~il>lr i-l uniroi'méiiien!liilK-Hé de vert, dans le lolm-liohu do ia «lanserylliiin'e iiux « i r a » <•! aux « l i a » di-s !;:m-!>viirs. dans l'assourdissant linl.iiiKiri'.- di'.siti-niaill'.-s >ii- sonnettes, les Cilles ont ;-i'rdnli'iir p.-i-sotii!!i!ilé l.'épôii>e n'y iceonuai: plus.-•en mari, la mère son l'ils. la promise sonfian'-é.;. il n'y a plus >|iié. les liillos... , •

V.w voiei un groupe d'une < - i 11 » j i r. 1111 :. ï -1 < •. Acel le lii-tni-J'iliilinnsi- eliape;iii à plumes 'l'.ili-Irili'iu: no les coiffe pas encore. Ils n'oit! surl . i l ê l e que la « l ' a r r e l l e » et le iiloiielii.Mliîanc. 'l'on-; sont masqués. Au soleil levanl.lesclochettes de cuivre des * aperlinlail les » lar. .(•'•ut i!es iVlalrs: les coMen-Ues de deîîîell^sel de soies ai!X i-fiuloiirs leii'lres :t'loi!eisse;illi :.. Ions fauves cl riii'es des coslumes. . . IlsVi.nl en cadence."Trais >•! dispos, alcrîes etVass i f s :'i la fois, leri-ililes el i!t'imilil;<iiv. , 11

Au roilleuienl rylliiiu' de la -t Walleriv > >ieijualre laiiilioiirs, •-iin'tsiin!-* ! :-"ds s-.1 l'-vi ni.reioMiSeut. e! i-ili'|!iaule s.tiiols claqur:il en-seislidc: au lion! ili: <'iii'|unii!f bras, riiii|'i:uilj-« iVtitions i Miiil • lir.ui.ii-, el immobilisés enmême ieiiips. dans le méiiif frfsln lar^i; •'•! su-pprlie... l'as un faille, pas un rem-, pas unmouvement irop rapide ni un pas à conlitemps, dans i-el asseiiiMaifc hétéroclite decinquaiili' l'.inchois ijui ne se connaissentpt'Ui-fMiv pas !•! ijiii i lansenl.'charun pour soi.tourndyan!. ioiirhillonnanl iians le carillon-nement ininiri'i'iiiiipu de .-î11 • | crnls cloclu-l-li'S.'v Kl lni'Si|iii'. nyaiil fini la « i-in<[ilièm< !•>••'•p!-i>e ». la c !»at!erie Î- ital son derm'er « f i a »ci- sont cinquante statues que vous voyez.IVspa'V de trois secondes, fijrées ilans I;; niè-nif atliludi-. • • • • ' . N

l'mir saisir le cai-iiclêi-e ilu Ciille. i-'est là'qu'i! l'aul le voir. Tantôt, au iriomplial cortè-fte il<- l'après-miiii. il sera plus riche, plu?,somptueux: maintenant." il es! plus vrai, i! cslpres:|i:e émouvant : c'esl le .Ministre d'une di-vinité, de féerie nri'«iniplis.->iml un rile sacrédaiis l:i Ville Klernelle ilu Cirnav.il...

• ": A

i.iîie dire du corlè^e île l'après-liiidi et dugrand rondeau'.' Il fout avoir assisté à reliel'éorie pour s'en rendre compte. A travers lacoînie immense bariolée; mouvante. Irépidan-to. liouieiisc. dans lo tinleinarre inimaginablede. douzaines d'orrlieslro* jouànl i -nn.émeleuips des airs différents, au milieu des cris,dés chants, ces valses à la mode moulues in-lassaidcniciil par des conlainos d'or.uues debarbarie, les Oilles s'nvam'onl. plus fiersque. dos ra.jalis. plus beaux qui- des prinevs deli'-;;ciidcs. couvcrls de denlellos el. brodés d'or,lo chef finit? île plumes fabuleuses.... ils s'a-vanconl et la foule s'ouvre pour laisser pas-ser ers dieux...

i l'est l'.ipogëo du Carnaval...De la masse .crouillanle et bariolée rmer-

genl seuls tirs chapeaux fantasliques. el lasiiccosion des qu:ili-e cents Oilles trace .iansla foui-- une haie de plumes de loule-i le-,nuances, l'.'i-jil un arc-en-cicl féerique seinouvaul dans un décor de kaléidoscope.

... Kl d'en bas jaillissent des milliers d'o-ranges, projeclilos d'or qui vont s'écrasersur les pierres dos façades ou éclater ooi.treles grillager, qui protègent les fenèlrcs, •y|;i-boiissanl U-s >pri'lalc»irs étourdis et enivrés,dans celle débauche île sons, de couleurs elde inoiivoinenl...

AIV sera jusqu'au soir la foule déchaîné:; par

les rues, encombrées d'une, foule, de dizaines• !•; milliers de personnes qui s'abanilonneiil al'ivresse de celte ambiance unique, specta-teurs devenus acteurs d "Ile bacchanalemoderne.

' l.ii nnil tombe. Les lampes éleclriquus s'al-lument. Voilà lo.corlège cl le rondeau du soir.Si le rondeau >lu jour o»l une harmonie dei-ouli'iirs. celui-ci esl un fouillis de loul^s leslueurs île llaimnos que riionime ail invonlé.e.s.

Hans la même orgie de iinisiquos,-de son-niillos el «le bruil, ilans la menu; cacophoniegigantesque que ccllft de lanlôl,' voilà que. lesgroiipi-s de Cilles sont île nouveau en 1resdans la foule qui s'écrase.

Sur cetti! masse houleuse, les lampes élec-triques, jollcnl leur 'lumière crue; les pro-jecteurs dardi-nl leurs faisceaux puissantsqui oscillent, les feux de bengali- répandent

TÏXÉ

"•-mmfcSÎ.!

rbur> sortir*/Un dernier coup d'œil et Madame sort, assurée que

ses'gants, d'une propreté irréprochable et d'une formeparfaite, complètent sa ravissante toilette.

Presque tous les ganls. à la mode en ce moment:suède, chamois, soie, etc., sont lavables.

LUX est pour cela le produit idéal. Les gants lavésau LUX sont aussi beaux que neufs : ils sont d'unepropreté irréprochable et ne perdent pas leurforme. • ' - . . - * .

1 Vï£&y<m^ LDQPour le lavage de* g an h.

L. 122

leurs feux verls nu rouges: de rilotol-ilo-Vil-!e ombiMsé ruisselle une éblouissante cascad'-d'élincclles île magnésium: lus torches ili; ré-sine aux i'Iaiiiniis fauves crachent dos nuagesde fuiiH-e ,ici-e... Toul-à-coup. le fe.u d'artifice,s'allume: les fusées giclent en sifflant dansle ciel étoile, les pétards crépitent dans tousles «'oins, los bombes éclatent aveu fracas, etleurs é<-|';its enflammés retombent sur lafoule en délire Les musiques . s'exas-pèrent. ' les, liimboui's ballenl à crever lespeaux, les Cilles, les dents serrées, rageursel , l'on i -nés., dansent plus que jamais... I.espectacle esl prestigieux, indescriptible, fan-tastique... on croirait voir une cuve inf-j nalo,où. dans un bain de souffre en feu, des dé-.mous ivres dansent une sarabande apooalyp-î i ' i u e . . . . • • • ; • . ' •

La taxe suivies cfiampagnes.Une bonne mesure de l'Administration.

A In suile îles ilénuirelies pressantes<li:s hiMflii-r~-rf>l;itirali-iiis. raclminis-li'.-ilioii des .-H-i-isfs viiml de ftécider depermi'Hiv ;uix inlôn-ssôs qui. le 28 fé-vrier t'oiir.'inl ;III soir. (léli(!iiilr.'iir>nl en-rori; des sini'ks ini|iorl;in|s ilr lioissonsIrruifiilécs inoiissiMisi's, de prendre li-'vi'.'iison p;ir_ pnrlie rji-nli-iili-nl des ban-ilëlellps fiscales donl ils auront besoin.- ''«'iix fpii voudront bénéficier de cellefaculté drvriiiil en faii'c la. - demaiulequ'ils aiironl à remclliv le 5 mars auplus lard au cuiilroleur des accises. Cerelevé devra comprendre comme poueles cas ordinaires la lolalilé (\i-< ~locksi n dcroinple I]I- réirularisaliou par-tielle sera établi jusqu'il apliremeu:complel îles quantités à .-oiimelli'i- ausilpplcmciil des laxi-s.

Ile Imites façon.-, ce .-upplémcni d<-la.ses devra èh'e iiili'-gi1.!leiueiil acipiiitéau plu.- lard le ::<) avril prochain, cequi éipiivaul doue à un délai de deuxmois en laveur des intéressés.

Pour les reslaiiraleurs el hôteliers,el plus jfénéralemenl pour Veux quidonnent di-s bois-otis fei-iueiilées e!ntoils.-euses ;V consommer Mir place, li:prix île vente servant de base au calculdu supplément de la la.\e sera relu:qui re-MH'l des factures des fourni.--.-eiir», c"e-l-à-dire le prix réellemeiiîpayé pai- le reslauraleiir. el non celuiauquel celui-ci revend la marchandise.

I n exemple tangible: un reslaura-ieur ou un holelier délienl deux rri\l~houleilles de vin UIOIISM'IIX. ai-hetéesà •„*."> francs eit l!)»'.".. frais, compris. Au1er avril -l'X'iî. il a payé pour ces vins,la la.\e de I".* p.c. .»oi( fr. :;.?ti par bou-leille. la partie ini|)osable étant X.Vdfr.. l'arce que, à celle époque, la lax-'.-e calculail sur le prix de venir. I.'» x • * ;compri>e. Désorinais. la laxe ileïti p.'"..exi.î-'ible M1 calculera sur le prix • deveule, taxe non " comprise, c'ol-à-diri!une': laxe de ."> franc.-; par bouteille del'.") franc-, mais fr. ">.'.'•• aytinl déjà été|iayés. il restera une laxe fie fr. I.SO parifiiileille.

Oîi en os;l In veiitMe nos(or|)illoiirs cl vcdolles

Non- avons déjà, à dill'érenlcs'repri-ses, enll'i'IeiMl lio- lecteurs au' sujet du.-or| reserxé à notre récente marine, deirilel l'e. • •

Où en - o m m e s - n o u s a u ju.-lê ai i ioui--d'hui ? .'•'•'• '

Ouaiid la .-oppression du corps destorpilleur- et marins fui décidée, on s.-demanda ce qui: deviendraient lesIII torpilleurs de la Ilottille. - .-

l.a première idée qui vint, fut de len-ler de vendre n-< bâlinienls comme tor-pilleurs à une pui.-sauce élraiiiière. Il"e.-l évident que celle solution .-cmblailplus avanlaiM'iise que celle qui auraiti oiisislé à désarmer rr^- bâtiments ei.i les mellre en veille publique pourêtre démolis ou lr;iii.-l'oi-|]iés.

,.\'o- t-e|ii>é-eulanl> à l'é'i'aiiL-er fureiiidoue invité- à sonder le- inlenlioiis desttoiivernenii'iils aitprê- desqnel- ils soniaccrédités.1 mai> aucune olïre s ioeep-iilile d'être retenue ne nous parvint pa.'celle voie. '

Aucun loi-pilleur u'e-l donc vendu;-.ctuellenield et leur liquidation esl loll-jour.- à l'élude.

Oiianl aux veiletles. elles fuieiil mi-.-es en vente publique le •„» ilécenilire

"dernier, aprè.- avoir élé remises au dé-'parlement îles liu.nne- qui annonça :

celle vente par se- moyens de publicitéhabituels.

l.es prix tdl"erl> pour les vedellesélanl iréncralemenl aii-flessoiis des es-liin.ilions des experts, les ollres d'achatlie furent pas acceptées -nul' en ce'quiconcerne une vedette vendue à M. deCalers. |PIIIII-::::.(i(io francs.Trois aulri'svedelle- ,-onl ré.-ei'vée- pour le serviceri'arrai-ouuemeul du port d'Anvers :Oeux Vedelles -erolil cédées aux colo-nies.

l.es Vedelle» i'e-laule- seront ven-dues par le département des linaine-. •

Aucune mission, aucun inirénieiii1.n'ont été cliarjrés par le .trouvernemiMililr trouver des iiequéreurs'à rélranirer.

Tous les pourparlers relatifs à |Mvente éventuelle ries lorpilleurs el à lavenle des vedelles ont eu, lieu 'par le<moyens oiïicicls et parlant, sxalnils.

Nous croyons savoir que les chan-tiers navals «le Coi-kerill se >onl occu-|.'és de ces ventes, mais à lilre loul à .fa il privé et jrracieux. uniquemenl par-ce que ce MIIII les chantiers navals ipii'répnrenl habiluellemenl les l'ihilés di:C., T. M. cl qu'ils disposent d'agent--à rétranirer. • ••;•-• '-1 • '

Toitles les vetlelles u'élaienl pas enbon élal. les e-limalioiis de nos expert**allèrent de c.Ol'M) à'•'iO.(HH> francs. Lesalïichcs portaient «Vedelles en oi-flrcde marehe •••pour faim affluer les aclie-lenrs. \raisemblabli-menl... " ; '

/-,

Page 2: Corps des Torpilleurs et Marins 26/02/1927

^•WB^Kà^ff W3: ^zT^^if^W^^^^^^W1^^^^^^m LE CAMLLON.

NOTRE COURRIER. Xous prenons à cœur de publier la lettresuivante qui apporte un si bel hommage aux

; l oueu r s de Hcyst et de «eebrugge." ' ' , Monsieur je Directeur,"".; _ .

Votre Journal a relaté dernièrement que luchaloupé de.pOche' H. 29. patron D. Vlietinck..a été coulée- par abordage dû au fort brouil-:

;lard. en vue de 2eebru£j;t'. à environ JûO tne-.tres du nord du MAI*. * , >-:-;••

Ce bateau. coulé a 20 m. de profondeur, aété remis à flot et ramené au port d'Ostendcle 22 février dernier.' par les soins» «le la firmeJ. Denye, constructeur do chaloupes à voiles«•à moteur a Ostende. quai du chantier.

: A cette occasion, il convient de rendre untribut' de ' reconnaissance aux pOeheursU'IIeyst. et de Zeebrupge. qui ont aidé au ren-flouement et ont travaillé sans relâche pen-dant plut de soixante heures. . • •_ • • •: J'ai cru. M. le Directeur, etiv

' ' : : : . r - ï : . : - - : - ^ . ' > s ^ f t . ; < : - J. DENYE. -

Etats-Unis en Amérique latine;Que les Etats-Unis d'Amérique du Nord

cherchent à mettre In main sur les nationsde l'Amérique latine; que, sous In dénomina-tion de pan-nméricanisme ou de pan-monroïs-me, ils tentent de dominer le Nouveau Alon-de tout entier, la chose, aujourd'hui, lie faitplus aucun doute dans l'opinion universelle.Les événements récents du Nicaragua, où ilssont intervenus de la façon que l'on sait dansune question de politique intérieure, ceux duMexique, ceux des Antilles, dissiperaient lesdoutes de bien des gens qui auraient fait con-fiance à des déclarations comme on aimed'en faire par delà l'Océan. « C'est pour leurbien, y dit-on couramment, que nous domi-

'.. nous ces- nations, Cuba, les autres Antilles,les Philippines, etc. *?••• : .

Evidemment, en agissant sur l'Amériquelatine, ce que les Etats-Unis recherchent siir-

• • tout, c'est à se rendre maîtres des marchés.Ils en valent la peine, ainsi que l'on va pou-voir en juger, et que le démontre le Bulle-tin de l'Union pan-américaine. : "

: •; Pendant le dernier exercice, le commercetotal des Etats-Unis a atteint neuf milliardsdeux cent vingt et un millions de dollars;dans ce total, les relations avec l'Amériquelatine figurent pour un milliard huit cent cin-quante millions, c'est-à-dire plus du cinquiè-me. Le chiffre d'affaires est en augmentationcontinue .depuis ; 1916; sur l'exercice précé-dent, cette augmentation est de 25 millionsde dollars. • • " • : - •-_•:.. Dans l'ensemble des exportations de la ré-publique du Nord, qui s'élèvent à 4 milliards

,754 millions de dollars, l'Amérique latine in-tervient pour 841 millions; dans les importa-tions évaluées à 4 milliards 467 millions de

. dollars, la part dépasseun milliard. ;.•.•;•• -J •Les produits importés peuvent être divi-

sés en deux séries, selon leur provenance :•'. d'abord ceux d'Amérique < Nord et Centre,

' comprenant le Mexique, les républiques cen-tre-américaines, Cuba, la République domi-nicaine et Haïti; ensuite les républiques duSud. Le total a été de plus de 454 millions

• de dollars pour les premiers; (relevons ceschiffres : 227 millions et demi pour le Mexi-

: ' q u e ) . . • . : • ; ^ ; " : Ï - v s - _ ' - .-• .- • '

Pour les seconds, le total a été de plus de554 millions — dont 245 millions pour le Bré-

• sil, qui place aux Etats-Unis son café pan-lista avec succès. : . - • ;'• Quant aux produits exportés par les Etats-

Unis, leur valeur a été de 425 millions de dol-lars pour le premier groupe de pays et de416 millions pour le second. ..t•.-. .

•-Ainsi qu'on le constate, la balance de ce- mouvement est déficitaire; le solde passif est- d e 167 millions environ. Mais il était à la

fin- de l'exercice précédent de 206 millions; de dollars; le déficit a donc diminué de près. de 40 millions de dollars, ce qui est un chif-fre considérable étant donné l'énorme con-currence qui existe sur les marchés latino-américains. - . . . .-••'

Les bénéfices que les Etats-Unis tireraientde la maîtrise de ceux-ci, réalisée sous uneforme quelconque : — ententes, traités, con-cessions douaniaires, unions économiques,etc. — sont trop apparents pour que nous in-sistions. Mais cette maîtrise, il ne paraît pasqu'ils soient près de l'obtenir. Enregistrons,en tout cas, les chiffres à titre de renseigne-ment. • • : • • • • . . . .

Nouvelles delà Ville.

" i

Manifestation Mgr RoeleiisUn Te Deum sera clinnte par Mon-

seigneur Roelens, vicaire apostoliquedit Haut-Congo, le dimanche 27 fé-vrier, vers 10 h. 3/4, à l'issue de lamesse qui sera célébrée à 10 heures, àSte Giidulc. avec assistance pontificale,par le R. Père Rullen, Supérieur Géné-ral de Scheut.

Après celte cérémonie, à 11.30 h., lecomité organisateur de la manifesta-tion en l'honneur du vénérable prélai,réuni au Palais des Académies, lui re-

La somme de 72,50 fr. a été collecléo

Au Giné PalaceDu Vendredi 18 Février au

- Jeudi 3 Mars Inclus

LES BATELIERSDE LA VOLGA

d'après l'eeuvr* célébra

DK CÊCJL H. DR MILLE

:' \

sfM«*««*M*«VMM»VM«V tfc»»»»»»»%»»»l

iMadNMàécrinUNDERWOODLa plu» fort* production du monde

.10, rue de Flandre, GAXI).

I

AUJOURD'HUI. ?' ---Prenez un abonnement de lecture

à la Librairie du «Carillon», 44, rueAd. Buyl. Un mois, 10 fr.; trois mois,30 fr.; un an, 50 fr. — Réduction de33 p. c. sur ces prix à tous nos abon*n é s . ' r - - ' - ^ - - y-- .••••:•,.-•• •.; " : - r v - \ ; - - ' : • - - t - r r * : ^

A 18 h., acheter «LE SOIR ».' Information*s a 1C pages. Fils spéciaux Paris et Londres.

A 1$ h., réception solennelle- de S. M. Car-naval XXVII, par le< sociétés locales er.l:< po-pulutlon. . • • , ' - > : • • ..•-•;. ';•-•••'•'._ .-•

DIMANCHE 27 FEVRIER.A 15 h., ileelion do la ftoin«> «les PiVàc-uis.

.m quartier des POi'hours.; "••' ' '.'••",A 15 h., grand bal d'enfanKparé et t rausU.

eliez les Joyeux Zigotnars. .. ; - .•A S0 h., ftrantl bal costumé aux Joyeux '/.',-'.

g o m a r s . . • . " ' . . . • j

A 22 h., grand l>;il masqué, paré et lruvesli,organisé par le fvrclo Cœellia. nu Kursaal.LUNDI 28 FEVRIER. " . '

A 20 h., (irand Jazz liai.- paré i l travesti,aux Joyeux Zigomars. .• A 15 h., grand bal dVnfanis. aux Joyeux

Z i g o m a r s . • •••;-•' " ' /

':'A 21 h., grand l>:d masqué, aux Joyeux.Zlgomars. . ••.. .: •DIMANCHE 6 MARS. •• A 15 h.. Joyeuse Entrée «le !:«. !ieine <!<;•» Pê-cheurs, acc-nmpatm.'e •le S.M. C-trnaval XXVII.

A 18 h., lîul Populaire Ambulant, duns lesdiverses quartiers de la ville. : ; ;

A 22 h., grand bal. masqut1. paré et travesti,organisé par le Cercle Cwellla. au Knrsaal. •SAMEDI 1> MARS. "'<•, 'A" ClaWdge, Orand Bal Carnavalesque, dit«Bal Apachcs», organisé par le Cercle Lapon.MERCREDI 23 MARS.. •'•"'•' ^ ; ;o"v;*V , ï : ?' JVmc et dernier Grand Concert d'hiver du

l.apon; exécution de «La Mer», de Paul OI1-' s o n . ; . . - • ; • ; . • • • • - ; • - • ' • • ' • • • • • • ; • : ; •*•;•: ' • . • • • . . . - - f . ^ - - / . '-

DIMANCHE 27 MARS (Mi-Carême). .; Grande sortie carnavalesque; Sortie de s>. ALCarnaval XXVII. dft la tteine de la All-Cnrùmc,de la Heine des Pécheurs, des Géants d'Oslen-,de Toonc <:t Wanuo,..avec >lc concours d«s So-KIÔU'-S Philanlliropiqucs « Les Joyeux Zigo-inais » et les « Joyeux Pierrots », les « Cent.Kilos d'Oslende» et de diverses société-» loc.i-jes et étrangères.

THEATRES, CINES, DANCINGS.? C A m i m » ' r i l ° ' s semaines d'Amour on La. r U r U i n • TrouliUnte Volupté. , ;

ST. SEIÎASTIEX. -^ « Les Polits ». ;

CINE PALACE. — Jusqu'au jeudi 3 marsinclus (non censuré). — «Les Bateliers de laVolga ». le cher-d'eruvre de Cécil B. de Mille,avec William Boyd, Elinor Pair, Victor Var-eoni et'Théodor Kosloff. - - > > .-• ;

*" CINEMA MODERNE. — Du 25 février au 3mars : Constance Talmadge. dans « Un romanC h i n o i s » . E n f a n t s a d m i s . ,. -. : - • < . - , . ;-;••• - • > . •% PATIIE. — « Titi 1er. roi des Gosses ». filmen*quatre chapitres. — âme chapitre: «Titlsauve la petite Heine Vamir». ; ;. * ' , . ':'•'• CLAP.IDGE. — Oiu\ dim. et lundi soir, a 9 h.

Heures d'ouverture. :;•'..'• .; •,• Par décision du Collège, les établis-sements publics pourront rester ouvertsaprès 1 heure du malin, les 26, 27, 2Sfévrier et 1 et 27 mars. •...--Le Carnaval à Ostende.

Depuis que notre edililé, par ses ar-rêtés, a confirmé à la population cita-dine que les joies du carnaval allaientnous être rendues cette année, toutesnos bonnes sociétés sont. en émoi • efs'ingénient à organiser des bals parés,masqués et travestis, pour petits e!grands, pour les prochains dimanches.J! y en aura un peu dans tous les coins.

Combien de nos concitoyens ol denos concitoyennes — fringants jeuneshommes ol pétulantes jouveneelles —•d itvenl s'avouer perplexes et hésitantsdevant le choix d'un costume et d'ui;masque pittoresques à souhait ! .

Toujours est-il que noire chère villeva retrouver une joyeuse animation de-main et dimanche en huit! Que lei.eau temps soit de la partie.

Bon Carnaval, chers lecteurs ! .Aux bals de Carnaval organisés par le

Kiirsaal . ; >les messieurs non travestis porleron!l'iiabil. La délicatesse du détail, le con-h-asle nuancé du relief des vêlementsde soirée sortant "de chez Thicme, ruedu-, Soleil. .11. Gand, justifient sa re-nommée de maison de 1er ordre qui apour devise: charme, fraîcheur, sim-plicité. '•'•••'". . - • • • ' .

Allez y sans plus tarder. 4488Le « Château des Dunes » à Middel-

kerke. • -Pendant leur occupation de la côte,

les Allemands avaient construit, à Alid-delkerke, à cheval sur le chemin desdunes, un abri énorme en béton armé,â l'épreuve des plus puissants bombar-dements.

Cel abri était plutôt un hôtel, de parses dimensions et son ordonnancement,I! hébergeait tout un étal-major de ma-rine, avec un général. Comme confort,il ne manquait rien: éclairage électri-que, chauffage central, aérage perfec-tionné, etc., etc. • ' • ' ' .

Celle construction, dénommée «Châ-teau des Dunes» par les Allemands,va ùlro prochainement démolie.

Ajoutons que le département de ladéfense nationale a condamné au mê-me sort la plupart des ouvrages de dé-fense entiers qui avaient été conser-vés jusqu'ici comme sites de guerre.

Qu'il est bon, qu'il est bon, le filtre préparcaux grains Trappistes Vincart !

Pour les Pauvres Honteux.La somme de 130 fr. a été collectée

pendant le. Bal des Carabiniers au pro-fil d'une famille de nécessiteux.

La somme de 50 fr. a été collectéependant une fêle intime des « JoyeuxZigomars » pour la même famille.Pour la Maternité.

La somme de 72,50 fr. a été eollecléopendant une réunion intime de l'Uniondes Employés au profil de la Maternité.

Douloureux aaaiversaire.' r 11 y aura aujourd'hui un an, exacte-ment, jour pour jour, que notre excel-lent ami Arthur llendrickx a quitté comonde de tristesses ol do joies.""ï > ;

iNous sommes certain que nos lec-teurs nous sauront gré de rappeler icion ce jour do douloureux aiiinversahv.lu.incmoiro do notre regretté concitoyen( ' . 'adoption.- •.^•''•f.'\--t:-j. ' - ^ ^ '*'•">• " v - • "• ''VA cette occasion nous adressons à S-Ï

famille notre «invonir sinceremen!/ n u i . ' - ••"••• • . - . • • : • • - " • " • " • •

: [ { * * " - ^

T• : ; ; ; ; • ' .

CIRIO TOMATE, mMê JAMAIS tjâk«

A la Fédération des Sociétés Suisses•.- e n B e l g i q u e . ••- . " . • • • - ? r < ; - " - ! i " - ; • • • ' • "

La Fédération dos Sociétés Si:isse-en Belgique, organise pour le loi- mai.à l'Hôtel Mèmlinc, à Bruges, avei- 1 'concours de la Chorale Suisse de Bru-xelles, une réunion à laquelle tous noscompatriotes habitant le Littoral sontpriés d'assister, ^ n ' - -S:- :

w ; Pour plus amples 'renseignements el' inscriptions éventuelles, s'adresser à Al.• Paul'Meyer, 17. rue de la Chapelle. Os-i lendc'.où à Monsieur Werder, à l'HôtelS Memlinc, Rruges. r-;"'X . •

L'IMITATION RST LA FORMK LAPLUS SINCERE DE LA FLATTERIEPepuis 1S25 la CHICOREE PACHAmarche en tête. On.l'imite toujours; onn o l ' a l t e i n l j a m a i s . •.-,--... .•'•'•'•^•.•.•••••••.^•t:*'/.

I l y a 6 0 a n s . • • • '? ' •£ ; • • • • • ;; '•.''' 'y:';'-^'";'--A

v En 1867 — heureuse époque — oiïpouvait.^pour 13-fr. 70. aller on Iroclasse d'Ostende. à Bruxelles et en re-venir, en train express, et pour 11 fr. 40.en train ordinaire.; f -:-. s * ; : r*— Ou pouvait faire le même trajet, ai-le:* e! retour, en 3e classe, pour 0 fr. 80en Irain express et pour 0 fr. 00 enîrain ordinaire. Les tarifs ont, depuis,subi une certaine ascension !.,..•'$ •..>•>.

Il y a peinture... et peinture... ;

C'est ce que dit Hector Slandaerl, boi-seur-màrbrenr diplômé,•-:? 34,': vue desPlantes, Oslende, qui " se recommand--1

pour t( us travaux de peinturé. La bon-_ne exécution en eslla meilleure preuv.\'Prix modérés.<1:

Vente de terrains domaniaux. - -:Les J0 lois dos lorrains domaniaux

se Iro'.ivanl • à l'Aven::e de Rmel deN.ieyor on! été mi« à prix à 2«K» francsl e m è t r e c a r r e . ?••'•• '••"•'•: ^.<•'•"•::- «.•••<ÏV;'- I :

1

• La vont,t définitive aura lieu le mar-di le:- mars, à in h^urr-s, nu e^ifi St-Sébastien.

La Maison C. Thieme.habille les messieurs.._

Fondée en 187.>. • rue du Soleil, i l ,Gand, près de la place d'Armes. Tél.2 S S 2 . . . . • . • - . ; . : v : . - y - , - - - , v , ; . . . . - . , - , . - , , ^ ; , :'••:•-, "

• i Seul agent pour les Flandres de lamaison • Burboi-rys de Londres, ' Rain-coal.'Fournisseiii's de T.-. M. le roi et la.reine d'Angleti-rre.'la reine des Belges,de nombreux princes, ducs el membre-;de familles royales. : ^ • " SJ4489

I AS Tpunnifttfls PI- d ' A r m « , i 1, TU . M

Le droit d'enlever du sable de l'estran.* Le 10 mars ; prochain, le Receveurdes Domaines d'Oslende adjugera pu-bliquement le droit d'enlever le sableaccumulé par le vent sur l'eslran entre

•ia rue du Mont Kemmel el le RoyalPalace Hôtel. -•;„• • - ^'

Le concessionnaire ne pourra toute-fois enlever que le sable se trouvant àlm~5 sous la ; partie supérieure de latablette du perré du promenoir, pour c«qui concerne la section située entre larue du Mont Kemmel et la rue de Pa-ris, et à Im25 sous cette même (ablettepour ce qui concerne la section de l'es-iian comprise entre la rue de Paris cli e R o y a l P a l a c e H ô t e l . .-:.:-•:••••'•:•'••;-•-'"^'•-1 ••

H devra,-partout, enlever le sable enréalisant, vers la mer, une pente de

h p . c . - . • • • • • . . • • •• - \ " • • : - ' • : • ' ' :

OSTENDE.«AUX GOURMETS». Restaurant fin

PENDANT LES FETES BU CARNAVAL.' Toute la nuit des plats chauds.

Soupe à l'oignon au gratin.SPECIALITE

Croquettes aux crevettes.Homards frais. — Américaine. — Thermidor.

RETENEZ VOS TABLES. -« 4. RAMPE CHRISTINE. 4 «

L'épiscopat belge contre les activistes.Dans certains milieux catholiques

généralement bien ; informés, dit le« Soir », on assure que l'épiscopat belge'.ont entier envisage la publication d'unelettre aux fidèles, dans laquelle il s'as-socierait au passage du mandement decarême de J'evêquc de Bruges condam-nant le nationalisme flamand cl défen-dant la lecture et la propagation despublications nationalistes flamandes.

Celle lettre serait publiée dans quel-ques jours. • •Pourquoi vous désoler?

Si vous brisez vos pince-nez nu lu-nettes puisque la LUNETTERIE BEL-GE, 84, rue de la Chapelle, Ostende (enface du Cinéma) se charge de toutesles réparations livrées le jour mêmeaux prix les plus bas.

Examen gratuit de la vue. Tous le-;verres spéciaux en magasin.A l'Ecole professionnelle d'Ostende. -

II y a eu G0 ans, le 10 février cou-rant, qu'un arrêté royal autorisa le Mi-nistre de l'Intérieur à prendre, de con-cert avec l'AdmjnisIrajion communal»!d'Oslende, les dispositions nécessairespour organiser l'école professionnelleinstituée en notre ville. *

A la même date, était suppriméel'école d'architecture el de dessin, fon-dée le 12 décembre 1820.

Llh«ltfcBÙ"tflirLorsque l'on va aux* bains do mer, •si l'on veut un bonnet peu cher. --Pourtant coquet, (car on est fier).

'.- : Qu'on le désire bleu, rosé ou vert. . . ,- C'est un bonnci de bain «MILLEK ». . ' . .

Il le faut gai ou bien afvère. L-S; •''....-Mais toujours dite, c'est l'affaire. ' .•

• fit son oi-iginulilâ sait plaire, •; A mademoiselle ou a grand'môro

, Cat- c'est runi<iue bonnet « MH.l.El*. ». :

..- Il est durable autant, que neVessairè.<l il est toujours populah-c, s

• l.e noin-geois oii-lc Pi-olétain». ' .. It'aeconl avec le millionniûre

• Tuiis demandent un bonnet « Mil.l.r.l'. ».C'est un cadeau d'anniversaireOu.- cliaeun admire et vvnere.

: r;t' chaque femme qui «tlt attraii-c' Vous «lit qu'il n'en est qu'un sur lei r<- :C'est le Bonnet de Bain «MII.I.KR».

Pour \<t gros vous adresser : 1 '•'•'<"','•'• i.AMEnifiAN llUItBKIl COOliS and At;TO

SUPPLY.O. FANNING.

218, avenue d'Auiériqus,• - ; . . • • - ANVERS. ;• T é l . S9I.4Û

D o n s . • • • : -r?*ï?:<>??^''-'^••••'•;.

:'La Section locale de la Ligue Nalio-nale Belge contre la Tuberculose vientde recevoir les sommes suivantes : • i'380,50 fr., montant de la fête orga-nisée par lé Cercle Symphonique Ed-mond Lapon dans les salles di\ Casino,le j e u d i 1" de ce niois . ••?;:';'•- £•>:•*: •-28,85 fr., produit d'une collecte faite

par M.'L. Reynaerts, aprft.* exécutionpar lui d'une conférence comique, ledimanche 20 et, au Café do Rruges.lenu par. M. Pr. Galle. •* ' .-"; •" --'

B A L S d u K U R S A A L&^ caK-NteHUstairait * CM :* 5, r u e Longue fu/s à-vis du Kursaul) ; \

<4 Ouwture Samedi 26 Février ^• ••f^ P Ù T S CHAUDS *>*«, ;;Soupe à l'oignon.- — Buffet-froid soif/nr. " J,

L'heure d'été. ."-' " .1 On lit'dans le «Temps» : , '•-.'Après un accord intervenu entre le»gouvernements belge, britannique, hol-landais et français, la date du passage'dejl'heure normale àTh.cure d'été a été.fixée ' celle année au samedi 0 avril(nuit du 0 au 10 nvril):H>i ; .^2%- - M Le retour à l'heure légale aura lieule samedi 1er oclobra-;(jniit du 1er au2 octobre). r;vv^.-^^;. -.%f ;-• *.:?-"\-:,y .?y:'.:>La Boucherie Populaire. - " V!Roulevard A'ph. Pieters, 22 et coin desrues de l'Instruction el des Ecoles vousoffre de la viande contrôlée de Ire qua-lité : >.-" • - / , • - • • > •Roàstbeef et beefsleak'sans os,

•; • • 10 F,-, le kilo,Carbonades. " • - - S fr. • >. •Bouilli. ti. 7 et .S fr. »Graisse fondue. 9 fr. ' »Saindoux, - l-î fr. >•

Le rendement des impôts.i; Les rentrées produites par les con-Iribulions directes, douanes et accise:?,enregistrement et :recelles exception-nelles, ^pendant" le mois de "janvierécoulé, se sont élevées à 040,350,000 frs,coii-re. un total de GOS.ISO.OOO frs en dé-c e m b r e l\)'4(J. >.•*"''••'r!.--.;;-'f"'-"- .•;*'" •'••:^:-^--yly-'V"•' Cette augmenta t ion de 32,000,000 en -

viron csl - a l l r ibuablc , • n o t a m m e n t , a•jne légère augmen ta t ion • des - recettesdes droits de succession, ainsi que duliiiibre el de la taxe de transmission. -

:VTV ' . •,"• • ^ A V i s ^ r . ? ; ^ ; " . ^ ' : ^ , - - :Je paie le plus haut prix pour vieux,métaux, vieux cuivre jaune et rouée,étain, plomb, zinc, fer, etc. On achetépar petites et grosses quantités. En-voyez une carte postale ou téléphonezau 1282, à Meyer GOOTDQRP, rue desBateliers, I, à Ostende, qui se rendra*de suite à domicile. '-? ; . . ; -ïf 4527

Nouvelles musicales. . •• '•A la suite de la conférence que don-

na récemment,• à • Bruxelles, un jeun-icompositeur M. Jacques Brillonin, suri es ressources musicales nouvellesqu'offre le piano automatique'et la per-fection artistique d'exécution qu'il per-met d'atteindre, quelques amateurs ontreconnu l'ulililé de créer, en Belgique,i!ne Association pour favoriser le dé-veloppement de la musique enregistrée.'• Celle future association, sans but lu-cratif ni professionnel, groupera ICÔnombreux amateurs du piano automa-tique soucieux ihi développement chses ressources et de la création d'orga-nes do crijique musicale relative à ce;instrument. • '•• . .

Les personnes désirei.ses d'encourap;ci' ce mouvement on assistant à laréunion constitutive qui aura lieu abref délai sont priées de se faire con-naître en écrivant à M. R. Dcsplats, In-génieur, 0, r.ue Ste Anne, Bruxelles.

Oeeasions très intéremntes :A vendre chez MUMBA, chaussés de

Menin, Roulers :1) Superbe conduite intérieure,

EXCELSIOR, 7 places. Partie mécani-que revisée à l'usine. Carrosserie enexcellent état. Conviendrait à hôtel1er ordre. — Prix : 45.000 francs.

2) Une limousine GERMAIN, en par-fait état de marche. Carrosserie im-peccable. 6 places. Conviendrait pourHôtelier ou taxi.— Prix: 25.000 francs.

I

Rue Chapelle, 40. 6 billards de haute préci-sion RENIER, match et

. « . , ' « • ' j h , M • demi-match. Salle deH i t l l AT llMlUt " t M a v " seil" à uI I I U l U l U«HW difposition de Soeie-

IrMMflHlMtlilfMt bert. Atatenne pourRadio-Concert. Salles

de banquets et réunions. • '

, On nous annonce du llàvro la' îuorîde M. Roger Puissesseàn, ingénieur div«ris et manufactures de Paris, survenu-;la-bas, lo 21 février dernier, après nn-ilongue maladie. :-i-* »iïvr >« ïf-t** .

Le défunt appartenait à. l'adminis-tration de la firme bien connue en IHK..,tre ville Beliard, Crighton et Cie.•*? Nous adressons à;la famille de AI. ,Puissesseau, ainsi .qu'à MM. Beliard.Crighton et Cie nos sincères «-ondoléan- Kvc e s . - . - - . / • v : • • • : - ' • • • : . ; . - ^ r » / -• ••.•A .. - . • • • - ? . : ; ' ' ? . - • • • •

Journées de Courses en 1927A WELLINGTON..

!!•<> joul'rtyvïme V »

•imc, . »;mu> * . »

'i'.il:»lnl'

"lïlft, Smo: OrnelOin.-llm.t

• lïmo

. Mme'*. lime- I5m<-

; H'.me

: l>!inoiOme.

' îOnio•Hnift

'. •Hmc- C ' 3 : I K -

:, ï'unirJ Î5mc

^'im.*" 27mc

îSino

•*30inoi :ilrnc' Mine' 33me; :iîme; ifâaieI-'Wmo.

' .'Jïme •

y39mo\ ifime••'ilrne ;

»

• ». »

> ' l 'lion

iV:iilil

siirnodi â juillet,illmanchc 3 .juillet,lundi i juillet,jeudi 7 Juillet,samedi 9 juillet,dimanche 10 Juillet.;'.;•"• Critérium),lundi 11 juillet. "mercredi 13 jnillel..siunedi H> juillet,dimanche 17 juillel.lundi. 18 Juillet. --mercredi 20 .Juillet.

X - > 'ïllippifiue).' .•£-*:"•» jeudi 2t juillet.» •. \ samedi %\ juillet.» ' dimanche i'i juillet

-siPrix d'Ostende).» • lundi 25 juillet. •£&:-••.

> jeudi 5» juillet, - ^ r ^ -» : samedi :W juillet. '^S-.» ; dimanche 31 JuilleL' 'ï^i^fclundi 1 aooc.^-s^v» ' ' j o u d i : i aoilt.••'•:?•'•*•'/$•

». - : samedi fi aoûl.'»;• ' • i imanchd 7 fioill. :. '..>,y • ' l u n d i S a o û t . >••••••» jeudi 11 août.V --» .samedi 13 aoiU. \ .

dimanche l î août. ; .lundi 15 août. "~

•j mardi -JC ao.lt ^f.Mililnry,:"tt ternatlonal). ? ; : - •--.,;••: M

jeudi 18. aoftt. . • '. .-, ... samedi 80 aoftt.. dimanche 21 aoi*l. '

H i n d i 2 2 a o f t t . * ; . •-:••::

jeudi 25 aoftl. w . ' " r-samedi 27 aoftt. • - • :

. :, diriianchc 28 août. (Granil tu-•-. >^.ternatlonal). :-•• .:-"-..• . •;.;;MMIM!I 29 aoftt. '• :':"2J•:',"> ' ;:-•'s? mercredi 31 aoftl. C, r"'v •

Çdimanche 4. septembre "iroi)'.''{.lundi s sepiembre (troty."' , . '-•", jcu.M'8 septembre (trot). . ; ; :

. •dimanche 4? sêptomhriv'iioiv

••; A BREEDÉNR-I-tK'-^/V ~ r':

** »•'

.. »' - ' • • >

' • - * ^ •

. ï »'.vl .

lil-

ire journée:2rne - »

" 3me »

ime."•meOrne

. 7me. Sme

OrnelOme

' lime12meJ.1mc

' i imeI5mo .ICmft •

; 17meiS:ne

' JOme•3f»ie

»..." » ^ '

. »' ' ' • ' : »

• • " " » • -

»

• • - : •

vendredi S Juillet. •".mard i 12 juillet. , :ï jeudi l'i juillet (Orarid i»c;- des Trotteurs).'• '•;-•;•'<

...vendredi 15-juillet. \l mardi ; 19 juillet. :-"-~' :,- ••:';

^.•vendredi 22 juillet. ,-;.-.•''-}J. mardi 20 juillet; mercredi 27 juillel ,

\eudrcdl 29 juillet.:1 mardi 2 août.- -

J irierçredP'3 aoftt. :•; vendredi 5 août.

- mardi 9 août. -s mercredi 10 août./vendredi1 12 août•; mercredi 17 aoûtj vendredi 19 aoftt.

•'" mardi 23 août.s'mercredi 24 aoftt ^

'i vendredi 2fi aoftl

^ATa^Théàtre Royal« STAMBOUL »'AU THEATRE ROYAL.

,.\ O'est.lc jeudi."3 mars, que «Stamboul» se-ra {lonht: pour la première fols au TlséfttreRoyal d'Ostende, sous'lcs auspices de l'Union •'les "Aneiehs Elevés.:de notre Athénée Royal. ;'au profit'dbs bourses d'Otudcs. '*>••&.? •.••n>vrI "« Le succès de ce drame lyrique fui •Jusqu'à •'•'•ce joui- enthousiaste et se traduisi t 'par denombreuses représentations consécutiws sut- •;Ise ipi'invipitles scènes françaises et belgcj». ;.: .;* oilons, comme principaux interprètes,- Mme- •Horwa; et. V.Mlle -lacquemin, notre gracieuse-~conc'iloycnnci que nous verrons jouer pour 'la première fois au ThC-atre d'Ostende; MM -"lilouzo. si souvent applaudi-dans notre ville.' "'Delalti-e, R e n g l e t , CIK. ?:'-"-^-.-î ;..•-,-w-'•"'•?'-;•• '

0-. I-e public a donc en perspective une su- "perbe soirée au profit d'une œuvre intéres-sante. Le placement des caries par ies mem-!>res du comité organisateur a obtenu le incll-.leur résultat, r Nous engageons vivemer.ï. les "umat(U>rs d'art thcïiti-al :'i se pi-ocurei- descartes au plus tôt. • v * . . . . ..- La location est ouverte ohex. le coneieiv-'s du

Théâtre Royal,.rue Christine, de. 10 h. à midi,et de 3 à 5 h., à partir du jeudi 2i révrlftr. v

PORTAu port de pèche. . _• • ••••--•:' :

MM. Bout-kaert. directeur géncr.'il des Pontset Chaussf-cs, cl Mélollc, inspecteur généraldes voies navigables, ont longuement. visili-,jeudi malin, les chantiers du nouveau-port depCche d'Oslende. v : - ; - r- •

Ils ont notamment examiné, en compagnie:l«-s ingénieurs du service, les travaux de con-,solidation de la tOte aval du bassin à flol. .-:La nouvelle mlnque d'Ostende. ; ;., !l si.-i-ih'le a-lmis >y.w r.-uljitdicalion îles tra-vaux de construction de la nouvelle minqne•J'Osicnde pourra avoir lieu dans la premièrequinzaine du mois de mai 1927. Les adjudica-taires devront fournir eux-mêmes les détailsde celle importante construction, sur le vudes plans généraux établis par. le départementdes Travaux Publics. •-, ,• ;...-.--'- - ; .

l.a nouvelle minque aura environ *i0 mètresde longueur: elle sera donc édifiée sur le.terre-plein de 112 m. de largeur qui séparo lebassin s'i flot du bassin h marée. •-..•"•

Son hall de vente, érigé au droit tlu bassinà flot, aura 20 mètres de large, et sera cou-vert par une toiture en l>é(on. La chaussée quila longera, el destinée au charroi, aura 10 mè-Iri-s de large. • v-. ' , .

Les magasins, au nombre de 9$ (28 grandscl 7« petits), seront aménagés sur les deuxcotés d'une chaussée large de 8 mètres. -- Au delà de la minque, vers lu bassin a « a - -nV. se trouvera lo table à poissons. Tous l c smagasins seront surmontés d'un bureau avecim grenier pour la remise ries paniers et dumatériel. Des installations sanitaires tout »fait modernes seront, aménagées a l'intérieurmOme de la minque. • • "

ChOCOlat " M a n œ U V r e " dc h marque K W A T T A T> n'existe pas dft meilleur

Page 3: Corps des Torpilleurs et Marins 26/02/1927

^W^^^r^WfT^

r;- L£; CAiULLON,

TEÎJVTÎCIRERIE KOENTGESh Ru« de la Chapelle, 3O, OSTKNDE

Nettoyage à sec d'ameublements. — Lavage de rideaux, stores et couvertureBattage et nettoyage mécanique de tapis.

PFAFF et DURKOPPr j .ES CE1.KB11ES MACHIXKS A COUDRE."-.'VELOWASBER, 1» meilleure machin* à lavar

. pour le ménage et peur l'industrie. CempUnt,i j crédit. — Craud choix de voitur«» d'enfant*

• de luxe L. D. V.. dômiei-s modêlea. —Répa-rations en tous genreJ. Exécution soignée et

•» 'rapide. — Machines 1 coudre spéciales pour' ' . t o u t e s i n d u s t r i e s . •?•"••?•*?!'?/*""'••'• ^ • * " ' • ' . ..'.-,•

LiUis Otlty-Vtftfurt, H, m k Um"' Seul vendeur du littoral.

• ^ S ï f

- Pour oinpûciici* les vols, la miHquc se:' » i<n-léù par «le hautes clôtures métalliques :V sesdoux extrémités. Des portes roulantes avec

* guichets seront aménagées dans ces clôtures., Ile sorte qu'un contrôle «les sorties et des en-

trées y pourra être parfaitement .organisé.".1 - il est probable que l'on pourra commencerla construction <le là nouvelle minque «Uns lecourant rtc l'élc 1M7. •";". -••••; • tLes dragages du port d'Osteude en 1926.' Au cours «le l'annOe I92<>. «m n clraguû, aul>ort •• il'OsleiKle, tant «tans le port intérieur•{lie «tans le chenal, un cube total de 902.000mètres cubes environ, dont 700.000 a l'inté-rieur du port. 2G5.OOO dans le chenal. 37.000dans le bassin dVcImuago des chaloupes de

• p C ' C l i e . • ; ; • < • - • - . • ' : ' ^ } " ' ••••••:• • . " ! • , » • ; - . ' • " • • • •

.;'.,.,D'autre pari, on a enlevé lâ.«>00 inùtres eu-,-l>es de déblai dans U« bassin de la marine.-;<Dans la passe du Stroombank, les déblaisont atteint 180.000 métros cubes environ.

'•iiPour l'ensemble de ces dragages, la <!•'-,.pense a atteint 'î.270.000 francs environ.• . : ' • ' • ' • • : - ' ? • • » « - • « " • ' • • • • • . • : A " - ^ : ^ - : ^ ; • • • • • • • • . •

Tous «-es déblais sont transportés et (lever-'si's sur le talus Norrt-Ouost du banc de Wen-duync, soit A une distance de 8.000 t» 9.M0 inè-

"Ires des musoirs des estacades du chenal et"de 7.300 à 0.000 mètres de la passe du Strnom-• h a n t . • ' . • • - ^ • • . " • ^ • • . • • ' - . • • / • » ' ' ' ! V " v • • : • . • . " • • '• ' • ' . : i - : . ï > " : • • -

MOUVEMENT BU PORT D'OSTENDE.• : - • - . » • • . -V-Ù ,••',-•:••" - E N T R É E S : - -•• ..• - . - ' -

; ii février. — s.s. allem. «Rival», cap. Pc-tersen, de Danzig. av. bois. (.1. Olsen et fils}.

' •_ S-S. allem. « Gcrda Kunstmann », cap. Kol-how. de Dan/ig, av. bois. (Dcweert et Cie).

• 23." s.s. belge « Topaze », cap. François, de„ Tilbury, av. divers. (J. Cocker!»). — s.s. angl.;

« Kiùg'Pisher », cap. Conolly, de Londres, av.divers. (Geh. St. N. Cie). ^- s.s. angl. « E. Ho-

vse », cap. Goortmahn, de Douvres, s. lest. (Dn-: chaîne et Cie). —• s.s. angl. «Jolly Norman»,; «ap. Davies^-de I.owcstott, s. lest. (Ilamlol on

Scfieepvaar). — s.s. belge «Saphir», cap. Ta-tbai-y, de Tilbury, av. divers, .(.l. Cockcrill). '

. 2i. s.s. angl. «Marie S.», cap. Curtis, deXewcastle. av. charbons. .•(Lumière et Fjrcc

•l; M o t r i c e ) . - Î V ' - ' . <•;•••••?:,•:• >• i > - . w , . . - ; : . - » " ; • - - , : - >il?sr '.'">. s.s. belge « Topaze ». cap. François, deTifbury. av. divers. ÇJ. Coekerillj. — s.s. ançl.

^«lîilly», cap. Scott, de Shorcham, s. lest.(Frcvman et Van.Loo). -r.s.s.norv. « Larrf.Vil»,cap.'Olsen, de Mavlon, av. harengs. / J . Olsen

.et rils). - •- — - - , -'• " SORTIES :

•22 févrter. — s.s. belge « Saphir », cap. T J -bary, a Tilbury, av. divers. (J. Cockerill).^ 23. s.s. belge «Yvonne, 0.60», cap. Defi-r. àWick, av.'rats vides. (Rau). — s.s. belge * To-paze », cap. François, à Tilbury, av. divers.^

: { . l . C o c k e r i : i ) . - a ; . ; - . - i - i - : ' . ' - - - ' w : f e • « • • • • . • - ? - • • • • • •-•.'

; 2i. s.s. angl. Vlvlng Fisher», cap. Conoity.à Londres, av. divers. (Gcn. St. Nav. Cie). —;s.s. belge « Saphir », cap. Tal>a:->:. ;'i ,Tiibury.iiv. divers. (J. Cockerill). : :• .'":}V:'~.

• •-•85. s.s. belge « Topaze»." cap. François." »Tilbury, av. divers. (J. Cockerill). — s.s. ::iigl.«Jolly Norman s. cap. Ravies, ;i Cardiff. avec

' . t u l l c s . _ " « . ; f ' f . t • - > ' : : . • " . ' • • , nï;•>;.••:•:••-• "•••••••^ :•'•:•;• '•

U REGION: BRUGES. " \

Ordre judiciaire. . .-'...' :"'• jPar ai'rélé royal du 21 révrier 1927, est (K-.s:gni5comme'juge des enfants an tribunal de pre-mière instance, de Bruges, pour un terme- de

: trois ans,-prenant cours le.25 .février. 1927, M.'. Soenen; juge d'instruction près ce tribunal. ••: •;j NIEUPORT. .&&m& 3 iy 3 - p --•;" :• -.r^^r • :

Phare, reconstruit. \ - • • - " " ' ' -•" Le Pilotage porte ù-la connaissance des in-téressés que le feu du phare reconstruit deNfcuport, dont il est question dans l'Avis auxNavigateurs n. 151 du mois d'août 1920.. seraallumé vers 1« iâ février 1927. y^ ;?-">t•<".'••''<•'••; Le feu provisoire situé a l'ouest du chenaldu port sera définitivement ,-ioinl ;'» la i:it*!ine

: d a t e . :\:<;'-•;.•.:r^-.:»,-j^-:--?-*.->• ,-v.t '••••.'- ••; •.,:••• •:/.*•••; - ••:

' . - - - • - A . ; : - ' • • : • • ' • ' " • * » ' ; ' • ' • • • . • • •

Nous nous permettons de faire remarquerque le nouveau phare de Nieuport est allumédepuis quelque temps déjà, et qu'il fonctionneà l'acétylftnc dissous, en attendant, qu'il puisse.'•Ire alimenté à l'électricité. : ; ; • - : . . . , ; - . - .

On va placer 2 cAbles dans le chenal, quitransporteront le courant électrique au nou-veau phare, fie ; travail' sera prochainementexécuté par la firme Nouvroy fi fils. <\f Garni.

: Qui les Pilules Pink prend assez tôt,Voit la maladie partir au galop.

Faire sans retard, des que les malaises quel'on ressent persistent un peu, une bonne cure.le Pilules Pink, c'est ia seule précaution vrai-ment, efficace contre la maladie. On tue ainsi.'comme on dit, le mal dans l'œuf. On est sur-,pris, notamment, de la remarquable et p'-omp-<le efficacité .des Pilules Pink contre ifs sifréquents malaises de l'estomac. '

Les maux d'estomac, comme la plupa:-; denos malaises, ont souvent pour caus-> ! ap-pauvrissement du santf ou une dépressionnerveuse. Los Pilules Pink, en reconstituantla richesse du sang .>! en tonifiant éners.'que-;nu ni les nerf"., suppriment cette cause cl. parsuite, en dissipent les effets. Les Pilules Pinkexercent, en outre, une action îles plus salu-taires sur n.-nsemble des fonctions de i'orga-iiisme. «Test pourquoi elles constituent un re-mède «î'unc si puissant'» efficacité contre l'a-n.-niir. la neuraslhénie, l'affaiblissement géné-ral, les troubles de la croissance et du retourd'âge, les- maux <|Vslonw«\ • maux «le. trie,.'•pîiisemcni nerveux. ' r

Le. Pilules PinkUtiMfYkw et mi, ***** * • « * .

sontenventedans toute» le»ph«««. Dépôt: Ph«"Derneyille, 66. boul. de Waterloo, à Bruxelles.Pr. 6. la boite. 33 fr. les six boites, franco.

<>»»»»t»t»»»»»»»»»»»%*»%»%%%>**»»»**»»*»»»»»*»»»**»>*%*»^»»»»%*«>»»<»t»»»»%»»»»/ <M*4»«<m«MMiMM*«*\**'

Z9O

1z

A L'INNOVATION. H B ï . A L'INNOVATION. 1 . 1 S A L'INNOVATION, fin ï A L'INNOVATION 1 " V - ' V " Â T ' Ï N N ' Ô V A T Î O N " "»>»» wm>www»i>wwM»»WMWu ><>»i,>»^^»n j. "-'iii°ii^iUin»mimuuùuûtu

A L1N N OV/\TIO N^ ^ <»»»»*»»»»»»Ml»»»%»»»«*»»»«vt • • • D E B R U X E L L E S • • • w w w w w w v

57, rue de Chapelle•»%»»»»»%*»%»»?

2

O<

O* 2

Maison veiidaiU le meilleur marché de tonte laOSTENDE j

Helrji(|ue.

et jours

FEVRIERx tt îvan lis

MOllVEAUTÉSC= '

Nombreuses et intéressantes occasions. — Demandez notre catalogue spécial.

Notre publicité n'est jamais tapageuse, mais elle dit toujours la vérité.

>;

A -L'INNOVATION. 1! 1 t. A L'INNOVATION. 1 fl II A L'INNOVATION. 11 1! ï A L'INNOVATION. 1! 11iWMWHWW

!! A L'INNOVATION.

Kluflos «le Maîtres il'." POTT'IKR11. I.RYM; iirttîiii'fts ;i SPA.

: —— • • "r ! • u n . : r.oxfii'i^VKNTK ABSOLUMF.NT nKPI.NITIVI

„.„„„ ri_ ,. {on ùno seule svanci^i du

Les Enfantsqui se sont blessés,traitez-les de suite

d e j :•

Crémerie GRI-ORI

au

PUROLBoites frs. 2 50 et 5.— dans toutes les pharn*.

Pêctieries du littoral; - Société Anonyme'

Uno <!e Londres, S, ÔSTKNDK.

:".' MM. le.s Actionnaires sonl priés «!"as-sislfii' :i l'assemblée générale ordinaire.<|iii sc'licurlra le mardi, 15 mars pj-o-ohain, à l â heures, au sièye social dela Société, S. rue de Londres, à Os-.|l e r j d e . • :*• - - . - :• . • • » • : •••••• • . . • '•• •!

«r; • . ORDRK DU. JOUR : .1 ), Aapporl '- du Conseil - d'Adminislra-

.lion el du Hollège des Gommissa:-•,- -:: res. «vi-^.^'.^-ii... ;.-.. ..,;.v..,.vi,..:.:.:,:.-;.;.:

•J) Approbation du Bilan «•! (\a Complo-; de: Prof ils cl Pei-les. - ; ' /

:!) 'Décharge à?donner aux , Admiiiis-Irateurs el Commissaires. . -v -• '

'•) Nominations slalulaires! ' '•'.'''•'MM. les Aclionnairesv qui désirent

assister à l'assemblée générale soûlpriés d'en aviser le Conseil (l'Adminis-tration, au siège social, au moins cinqjours francs avant l'assomMée. :/i."-;!)

NORDIANASneïfiiê anonyme fin liquhlatiou

I • - OSTKNDK. ~j . .. ••,_. • . _ i _ i _ .-. •

j Ass/-inl>lét: <ièni:eulc, c.rlriuinlliiiiirr. .'

I " Messieurs les Actionnaire:; sonl priésj d'assister ;i l'assemblée générale ex-; Iraordinaire qui aura lieu le mardi 1~>I mars 1027, à 15 heures, a l'Hôlftl de Inj-Couronne, avenue du Vindiclive. à Os-

iende. ; - '••;••'•••' -ORDRK DU JOUR :1) Rapport des liquidateurs.2) Nominalioii de commissaires po"i;r

la vérification ries comptes.:;} Divers.

Les actionnaires soûl priés de dépo-ser leurs actions à la Banque d'Ostendeet du Littoral, Place d'Armes, Oslende.cinq jours avant l'assemblée générale.

: • • ' • ' • • ' • ' ' - • • - • • • :" . _ . 4 5 ? >

CréditGénéralLiégeois

C'mi|>le <l«pij(s fi vue, 3.50%Compte h préavis I"> joursr> Vi fc. Comple h terme OJIH préavis rt'iin mois r>.SO%.préavis, <lf> 3 mois S.50%Comptes i> • terme rio • fimois . 5.50CÔ. Comptes hlernw «le 1 an. f*. %. — r>e-mandez con«litions. — Lo-cation rie roffres-forls. —'•

' 'Ilianse: toujours le Mieil-' leur cours. — 1, Square: Marie-José. 1. Ontemla.

CASINO DES FLEURS (SporlinpCInbel du CHATIIAM-IIOTr:ï.

à SPA. '-•

U'l MliRCllEDI 16 MARS 1U<>::, à 3 heures précises,

au café de la Paix. Place Royale à Bp.t.Maîtres Pollier el Leyh, procédèrent-.'ila venté publique en uua seule séfm.-i.•.v' . i- .^-.-viLLE DR RPA ' • -•

1 e r L O T . • • • - - • < • • - ; - - . • ^ . • • " ' - . - . • • . : • ? / '

Une grande et luxueuse Salle de Fêtesdénommée Casino des Fleurs

avec - bar, lavalorics." dépendances ri••omprenanl en outre 11 grandes cham-bres à l'étage, vaste grenier, chaull'e-i ie, 15'caves dont :"» planchées et •'$ ca-ves à vins contenant 85 loges voûtée.-<>l • 'maçonnées, grand jardin, le lou!(l'une contenance de 1S1C mètres <;ar-iés /10 décimètres.'ayant à là rue duWaux Hall où là salle esl côlée sonsle numéro \, una façade de ?.r> mètres."•:J et ayant sortie vers la r\io Xln-ouel.^me LOT. ; " .V .

Le Ghatham Hôtel• ôlé rue du Waux Hall, numéro O. com-prenant salle de café el de reslauraiil.10 chambres, lavoir, grenier, glacièredépendances et grand jardin arboréd'une contenance de ISS'i mètres car-1

r é s ' 8 4 . '. •• • ' • ; ! " • ' - • • ' ' : , " • • • • "

: Pour visiter s'adresser nie Xhnmel.I, les lundis et mercredis de 1 à 4 heu-res.— Renseignements en l'élude. -

ET LE LENDEMAIN JEt'DI 17 MARS,H 10 heures du matin el jours suivantss'il y a lieu les dits notaires procéde-ront à la vente du '• •:•'•>

Magnifique Mobilier

A parlir di- dimanche 20 févrierel dimanches suivants

La crémerie sera rouverte"'ilrintnult.'z- nols-i! spécialité

•-•(JOUPBfiRI-CIRI ttB BAXANËK: COKPES A PARTIR DE 0,75 fr.

Goût-z nos excellenles Gaufres de Bruxelles" L'élaôli.ssemonl sera ouvert le lund:

• !u Carnaval.':•-• ' ' ; ' •'IÔIO

,. Nous portons à Ipublic que. le Café

rumiaissanW-.dll

AUX QUATRE YOLONTRERESrue Christine, OSTENDE

"' a élé repris par; M. Albert DE ÛUELDRE.

Consommations de 1er choix.'i5-,>.;

PENDANT LES JOURS de CARNAVAL(•:• le CAFE-RESTAURANT

« DfN HOlLANDffi »Eugène HERME-VANBATTEN

13, Marché-atiX'Herbes, 13— OUVERT TOUTE LA NUIT —

Bealsteak frites. — Moules et frite* et autresmets. Maison particulièrement recommandéepour poisson mariné et frit. Prix très modères.Bière Wielcmans. Bock et foncée, 1 franc.

garnissant ie CASINO DKS FLKURSet notamment: 2 fauteuils el 1 canapé-àc< arabe, meuble en marquettent-,grand bronze de Jef Lambeaux <• Im-péria » horloge, table de salon de lec-ture. 2 tailles de roulette avec, roulette.2 tables de baccara, cylindres el malé-riel pour employés, jetons el plaques.•T> canapés velours dont ?. avec dossiers.appareil.de T.S.F. avec 2 liants par- |leurs, i) paravents. Tentures de 15 le- !nctres, rideaux, guéridons, pouITs. la-pis de très grande salle, tapis de pe-.iuche — environ 70 chaises divi-rscs.ventila leurs, abat-jours dont ? Irè-grands, piano marque Ruesled Londres.<ï lampes éleclri«iues portatives ave.-nbal-jour, dcssiTle en acajou, accessoi-res de bar y compris, service de verres,nombreuses glaces, bureau ministre à2 faces en chêne, lable bureau presse» copier, encriers, meuble classeur, ta-bles à jeux, porte manteaux divers,glacières, <:omploir, lauriers, foyer agaz, réchaud a gaz, fauleuils osier,bancs de jardin, lasses, soucoupes, etc.el<\ .AT COMPTANT. — Frais 15 %. 15:^

i PENDANT les travaux «Je reconstruc! tion de son immeuble, rue de Flandre,! 4 et 6, la GANTERIE SAMDAM est in-i stallée. RUE ADOLPHE BUYL. 46.j Ostende. ; : •

OSTENDAIS !Pour vos soieries, Tissus, fourrures

Robes, Blouses, etc.Adressez rons de confiance, à la maison

AU MEILLEUR MARCHÉCnrz KALTIîU LKOPOI.I)

Boulev. A. Pieters (coin rue Stockholm)5 »/., de ristourne sur tous articles .

AU GRAND CHIC * /

Pr. TlioJrssoii-VaiKlonaineèlcMARCIlANn-TAlLLHUH

Coïtiuv es. pour Hommes et DamesRobes de mariées

Spécialité de robes (loues. Manteaux de soieRUE CHRISTINE, 151 O S T E N O F

(près du Bassiné E-ntUC.

POUIÎ-.VOS ACHATS Dli ;

LÉGUMES, BEURRE. ŒUFSET FRUITS

EN GROS ET EN DÉTAIL

Adresse/vous T\CC ^ \ f~\O' & la Maison t l C r A É l W K •

76, rue Christine MAISON DECONFIANCE

ii Claridge a

Gentil MARES28, rue de l'Eglise, Ostende

La maison de la ville, vendaut le moins cher.• ' < • • ; • Comptant, crédit.

VELOS : Pneus et accessoires « Jupiter »,-.-Gentil», G. M. 0., etc.de toutes grandeurset de tous modèles.

VOITURES d'ENFANTS, grands rabais. G.M.O.,le plus grand choix. Derniers modèles. Nousavons toujours de 75 à 100 voitures d'en-fants en magasin.

MACHINES A COUDRE: «Naumann», «Titan» !et «Wilson». Accessoires de toutes marques. !

MACHINES A LAVER et tordeurs RECTA.; Toutes réparations. — Location. .

Ouvert le dimanche iusrrue 3 h. l'après-midi. !. , . • • . l

. - • l

Banque Maurice Ellebondt et .013, avenue Léopoid

TKLHPFIONE 710

Boulevard Van Ise« lioniOuvert les dimanehe et lundi soir à 9 h.

Dancing de Famille

Charcuterie ModerneChaussée de Thourout, 98, Ostende.

Téléph. 597.• Maison renommée pour ses boi.'nessaucisses el s:< cliarctitcrie. Kn diiliiii elen gros. — Toutes nos niai-clinn«tises-ont f.-iltriqnûcs par nous, faites avnn• l'cxcellcnlos matières, garanties pures,non colorées; recommandée» pour leslëles, les mariages, etc. Plais garnis.

GODFRIED BAUMER.Nombreuses distinctions. • .. .

! ;

Toutes opérations de banqueCrédit* d'Escompte

' Avances pour bâtir

ENGLISH TAILOR

THIEMECorrect West End Cut and Style

Agent for Burlierrys:

1 1 , rue du Soleil, GAND(Près Place d'Armes)

English Spokcn.

*%*%*****%%%%+*%***%%%< i**»»**»*^»»»»

Pour meubles, tapis, rideaux, tentures, papiers-peints, etc., adressez-vous auxEtablissements E. VEREYCKEN, 1, rue des Capucins, Ostende; — •Tel 272:i

Facilités de Paiement.

Page 4: Corps des Torpilleurs et Marins 26/02/1927

'SS î?'"

LE CARILLON.

C a n a v a l d« Binch*. . . ' . . .l .e mardi 1er mars, un train de plaisir, orga-nisé avec;: le concours du « Vlaaiiisohen Toe-rlstea<-Bcjftd_». sera mis on marche pour Bin-

* Stations d'embarquement : Alost (Nord).Denderleouw, Gand (Siul).Sotlegliein et C.ram-

' U l O n t . " ' • • . . :•• : - v ; . . . / • . : - • : - : >-

• La distribution: des billots se fera dans lesbureaux de dlparl désignés ci-dessus, à con-currence du nombre de places* disponible» les27 et 28 février entre 8 et 1C heures.

Les cartes d'abonnement ne sont pas valu,-*blés à;.ce train. : >•• ,";•

MU06MPNK

^.v-**'

F Aux Edition» du Nord, 183. boulev. A. Max,.. Bruxelles. •

L'excellente maison d'édition HerbilU»:-Crombé vient de lancer sa nouvelle collection:« Les Oloirtt Littéraires ». l.c premier volu-me qui a paru tout récemment : «Trois con-

• tés drAUUqu«s», d'il, de Balzac, illustré encinq couleurs par Joseph Hémard. est une

. : petite merveille de bon goût. La typographieen est parfaite. 1016 exemplaires ont seule-ment 4to- tirés de cet ouvrage sur papier de

- luxe et l'édition a été quasiment épuisée des: sa mise en- Vente. :

Les trois autres volumes de cette collectionqui sortiront de presse au cours de cette an-née sont' : « Las Flamandes et les Bords de laRoute » (augmentés de poèmes inédits) d'K-îiiile Verhacrcn, illustré par Henri Cassfcrs;«La Leçon.d'Amour dans un Parc», de UcnéHoylesye. illustrations en couleurs par A. Uc-nois et.-«Poil de Carotte», de Jules Renard, il-lustré par Pierre Falké. •

•••-•-. Le prix- des exemplaires sur vélin varieraentre 120 fi\ et liO fr.

'.-.• On souscrit aux « Editions du Nord », (11er-billon-Crombé). iC3, boulevard Adolphe Max.Bruxelles, et aux bureaux • 1 n « Carillon ». "

, ' , < * - ' -

Les TWâtres à Bruxelles. P a l a i s d ' E t é . " '•; ': . : • ' . •':-••' •'.- • '

Aux deux grandes vedettes du moment clqui détiennent le record t'ai succès, ilre'iîor ets«s ours comédiens et Derkas, l'énigme espa-gnole viendra s'ajouter vendredi les cinq Car-ras, ,- présentant • une T véritable merveilled« culture.- physique ; •' en oulre • débute-ront lés trois'Lewis, dans leur travail aérien,!*•» danseurs fantaisistes Jess et Biuldy, l'é-

; qnilibriste Jutes Cheroy. etc. Certains autres> numéros à sensation "restent encore au pro-gramme de la semaine. Jeudi et dimanche,• m a t l n O ç a 3 . 1 5 ' h e u r e s . ••:•:•.••,- - • ' :• •

• iC. Kogier Jlagt-rs. •'».niais, av. Passohyn. 20.17. <>ivi.v Vanlieeko. il ans. célibat., r. do la

Watei-ingue, 2. —,Anne Laforee. :û ans, .veuve"de Orneille Clou. r. E. Beern:*erl,2.—. Edouar<lVcrschrai'gen. &> ans. épfux do Mathildelioons. r. d'Ypres. l i . ! •

1$. Georgette Waeyaert, 3 ans. r. des De-niers, 07.—;.Maurice Bremin, 57 ans,, ép. de'rios*y Laniy." r. des Champs. <K». — IVniseStoont. :t mois. av.. J'asschyn. :ti. - ; ^ •' ;

.'••->. . . . : ' ,MAniAOBS.- „ .

l ' ierro i t londé . p l îo te , et Oeriuaino E v e r a e r d ..—.•Pierre C o u c k c . o f f ic ier d e m a r i n e , et Mar ieItavis. s. prof. — Mauriee ^ohepens. sous-in-gériieur. et Eslher Barbais. %- François Buga,cuisinier, et Clare Duweyn. s. pror. — Alphon- :se.VanbiervIiet. ouvrier, et Bcrthe Bomquez.si.prof. —* Louis Van l.oa. «uivri'-r. et l'anla jIVintaine. vouturK-iv.— Oscar Marlein, infra- |nieien. et Lydie Van Keckhouttô. demoiselleîle magasin. • ' .

PROMESSES DR MARIAGE.Victor Yan lîeylen, artiste peintre, r. du Vé-

lodrome, 55. ci ltacli*i Margolia. — Jean MoU-g'.-n. liùtelier, av. du Vindicllve, 20. et Stépba-.nie Taek. av. du Vlndi.-tive, 20.— Julien V.aen-houdt. c«>utre-i.n:iitiv, à StceiK\ et Elise Meau-mosi. r. Arvliitlui'lt'-sso. :to. — .Inscpl* Kroi iw.employé d'b«'>lel. et (ïorinitinc All:ierl, rueChristine, 1i:i. — Juban Kok. r-loflricien. î»Vllssepliein e | KsIelU- Sl'mders. i: K.lilli' Ca-w l l . l i . — Léon Stubl'ê. mé«'anicien. <•!•. îlelîieodene. M," et '/.î-ivMt Thuylle. eh. «!e Xleu-porl. l">. —Julien Keirls. plombier, r. < 111 Cer-cle. ::i. « t Marie Yi>vlin.-k. r. d« l'Egalité, 1W.Raymond Ooossche. empUiyé, ;\ ?t. Cilles, etHonorine P.rock. r. du Chanvre. :Ci. — FrançoisSpiessens. ajusteur, r. l>. Hennît, Ci, et Vir-ginie De Ki-yser. r. dos Korgfron.s. '.». — LucienVanhove. liiarnin. r. î le\ l'Economie, •iï. ClLéontine Corvcleyn. av. Passchyn. -10. — Char-les Verplancko, ouvrier, à Eerneghem. et Ma-deleine lilomme. digue de .«IIVIIP, i l . — JosephOecraecke. pOrheur. r. ti> s Batelier*. 23, etVJùJ^rine Itiesmoortel. r. du Port l-'ranc, 28.-—François Hys". coiffeur, à Middeikerke. etYvonne Vanloocke, r. Neuve, •".. •

Coolkerke.— Edouard Yandergunsl, ouvrier,et Marguerile Van l.oo, s. prof.

Ghistelles. — ltené liecoster. charpentier, etLéonii; Vyvey, servante. •• . :, . ;

Hôtels RecomnandésBLANKENBERGHE

EUAAIMAM BELLC VUE HOTELI I L H I N H I I Contre Oijîue - Tel 59.u v w i w w i PHOIMI. GUSTAVE IVIIOXDT.-ChaùlTagc cenîral. — Confort raotierne.

Rau froide et chaude partout — Auto garage*'v ""i""~ • ~ * Ascenseur.. — g— •:%^-. -;

/•• •;•••' Y P R E S ;.••;• ] ':

Hôtel SKinUles

ÉTAT-CIVIL. NAISSANCES.

11 février. — Léa Vandecastcele. de Henri etde Mathilde Van de Moere, r. de l'Ecole.

M. Roland Laforcc, de Maurice et de MarieDe Nys, r. du Chalet, 1. — Roger Huygheb.iert,de Médard et de Irma Debeen. r. d'Amster-dam, 4 . — S i m o n n e Fonteyne, lie Antoine, ettic Madeleine Vantournhout, r. St. François.8.^ 15. Maurice Gunst, de Pierre et de Margue-rite Macrtens. r. de la Wateringue, !>.

ifi. Charles Castelein. de Prosper et de Mar-guerite: AVnheersch, r. du Cliemin de fer, 1-ï.— Christine Hoedt, de Henri et de Florido Du-foor. eh. de Thourout, 350. — Emilienne Ca-sier, de Emile et de Marie Roussel, r. Edm.Deniers. 23). — Irène Pittery. de Jérùme et deLucie Decock, r. de l'Eglise, 15. — MargueritePille, de Charles et de Léonie Vyvey. r. des IDeniers, 231. — lrf-nc Pittery, de Pérûmc <*| de jAdrienne Boedt, n i e Archiduchesse.' VI. — jEdouard de Prince, de Constantin et de Màr- joelline Zeebrock, r. de Brabant, l i . — Honina jDouvcre, de Napoléon et de Adcline Gongc- •

.1)01^, r. de la Chapelle. 107. • • • .'•' ' |18. Fernand Smissaert, de Louis et. de Jean- !

ne Van Duyvcnboden, r. d'Ypres, Ci. — José jHonte, de Emile et de Irma Provoost. r. Loui- ise> 4. — José Bonté, de Emile et de Irma Pro- ;

, se, 4. — Marcel Keirsebilck, de Rémi et «le Ir-ma Coopman, r. Archiduchesse, 43. •' j

DECES. ;11 révrier. — Robert Verfaillie, ."» mois, rue

des Deniers, 273. • ' i12. Giiberte Fischer. 15 ans, r. Ad. Buyl. 23. •

— Eugénie Declercq. 81 ans. "épouse de EduardVan Remoortelc. eh. de Thourout, 152.— Loui-se Vandccasteele. 02 ans. épouse de CharlesCattrysse, rue des Deniers, 231. - "

13. Julie Hautekiet. 76 ans, veuve de LouisDeschacht, r. Ed. Cavell. 'ifi. — Eugénie Van-<;esen, 57 ans, veuve de Philippe Ramon, i . duMeiboom. — Oscar Deschepper, •*• mois. r. de

' l'Archiduchesse,-'iC15. Marcellirçe Billiau. 1 mois, route o'Ou-

denbourg. 19. — Henri Missiaen. 77 nns, r. duMeiboom. — Irma Coucke, 20 ans, célibat., àMiddeikerke.

, . ' pour les MARCHANBISES entre ?

LE CONTINENT& L'ANGLETERRE

ET VICE-VERSA.• «puipw • • • ' — •

Départs d'OSTENDE :• _ Tous les jours (samedi excepté)

pour LONDRES (via TILBURYDOCKS); deux fois par semaine

- pour LONDRES DIRECT < (St.1 Katherina's Wnorî). • ;

Oilivraison des marcUandisea. .h LONDRES: le lendemain à 4 h.du matin, dans les marchés, pourles denrées alimentaires;Avant 10 li. du matin pour les

• marchandises de grande vitesse.( S a u f i m p r é v u ) . •••••.

Réfxpèdition dans t'oules les villes deVANGLETERRE cl du CONTIXENT

Pour renseignements s'adresser :00STENDE : Société CockeriU.

The Goneral Steam Navigation Co Ld.LONDRES : The John CockeriU Line,

37-38, Marte* Lane, E. C. 3.The General Stcam Navigation Co Ld.

15, Trinity Square, E; C. 3.BRUXELLES : 34, rue Picard.LIEGE : . • 80, rue Paradis.

: Place de la GareYPRES T. 8 .

Etablissement del'f ordre. Dernier confort. Kcndcz-vous duOîonde selcct. ; .'T-rrïrr—";•':••• r

LE PHENIX BELGE. Saciété tawyat «'Usmacn it M léisiraMts

*•'••". Capital Frs. e .OOO.OOO

Agrèie- par ic Gouvernement ]>oitrr Assurances contre les Accidents <hi Travail

\*mm, Kwmv. TWTI mm...: V«l, VIE, MNTES VtMUfS. -...

Oarantlss plus <!• Frs. 1O.OOO.OOO

' • Stê^P soc ia l : - •2 5 . Av#nuft de France, ANVERS.

(WMtitétftllCMWaHiC) fSuccursnlcs: .

BRUXELLES, 1 + 1. Boulevd AnspaehCAND. 4 . Place Van Artevelde. (Mprlétitt U CMpualt). ff^H^^'V • ••*::•*:- -'i - 2 0

LUNETTERIE FLANDRIII94, B1 Alph. Pieters

Exainengraii!itâelav:eExéeition des orÉORcance' de

MM. les ectlines.réparations prix motK rvs

Pour récolter il faut semer•.-. .-.„„,., , . , ,v ,^- -;,,•.-,:•,.. >- — — 4 '

Pour vendre vos produite.

Annoncez-les

NOUS REDRESSONS.TOUS LES CAS ÛC

DEVIATIONSCOLONNE VERTÉ8RRLEJAMBES CROCHES PIEDS BOT*,

' SOUS CONTRÔLE OU MEDECIN TRAITANT

VERDONCKMINNtAU. HENRI SERRUY5.7. O5TEND&BANDAGES ^ERNiAlRES 5 A N 5 RESSORTN<" â^^Ti^e.C&NTUReS VENTRiÈRES5PECIALÊ5 POUR OESCENTES ou oepiA^XCMENTS DES OHGANE5 ET POUR COftPUH.ENce .PR0PRE5 5Y5TÈME5 BREVEtÉi

; CHAuSSUPES ODTHOPeDiQues

Ateliers de ''Réparations Maritimes

BÉLIARD - CKIGHTON & C0

A N V E R S21, Quai Ouest Bassin Katfendyk

Télêfframmcs : Bélfard-Anvers.

SOCIÉTÉ ANONYME

LE H A V R E50, Rue de l'Aviateur Guérin

Télégrammes : Béliard-Hàvre.

OSTENDE. Bassin d'Evolution

Télégrammes : Béllard-Ostende.

D U N K E R Q U ERue de Turenne

V Télégrammes : Béliton-Dunkerque.

RÉPARATIONS GÉNÉRALES POUR LA MARINE ET L'INDUSTRIE

PETITES WOMBSDIVERS.

MALGRE la hausse considfr. cl à titre tle r<Vclame. 1« Iiijoutoric do la ûiuche d'Or..ifi. r. UcFlandre, vend touj. .ta montre bracelet en or18 cirais pr dame au m£rn-; prix qiif l'an der-nier, soit &0 fr., mouvom.'iil suisse garanti2 ans. N'omhreux bijoux d'c-icaston. _ N.i'â"!O

ON DEMANDE d'urgence ù adiolor et louermaisons, villas, pensions, etc. S'a<lr. ComptoirImmobilier. 56. avenue de la ltfinc. .• \'.vV37ft

ACHAT AU PLUS HAUT PRIX, nijoiix. brillants. or, argent, viens d.i'itiors, \r., rue deFlandre. .UGO

ON DESIRE ACHETER « PIANOS oeousi.tr. i*rûlùves, d e 1000 ù aôOO fr., infime :"» rûparer. Kn-tovcmcnl Immédiat par auto !• âiWîeial. Kcrlrcà n e b r e n d e r . SJ, r. T r a v e r s i e z , l'.i-uxollcs. 4 '.OCi

ON DEMANDE l achet . «le. s u i t e PHOPIURTICSDB R A P P O R T o n d'AGREMKNT. a ins i q u edes industries :n ts genres. Kermès. cMtoaux,brasser., etc. Capitaux pr eoininamlitcs.issoe..constil. de sociétés. Placement de litres. Ecr.Uamiuc d'Etudes. CS. a.MarIe-Joso. Bruxelles.

PARTICULIER aelifterait wPETITK : PIM)-*!PltlETK. un Otage, eenlre ou parc. Offres.'H. I... avenue Alherlyn. '>.'>. liruxelles. ; --toîS

;-y.j- • A L O U E R . :"'•• ' '

OSTENDE. On demande quartier ou L<..nncvliamiîie garnie, chauffage, réchaud Ker. con-ditions. 2i, aven. Uogier. Bruxelles. . 4i9S

PERSONNE DESIRE DONNER EN LOCATIONh l'année, rez-de-chaussée garni. S'adr. bur.du Journal, initiales Y. W. ":'; 1 ?";>- : /

A LOUER, REZ-DE-CHAUSSEE GARNI, \ l'an-,nOo. Y. \V. bur. jounif -:?^ «-^T- •.«^T/- 'ûtîO

ON CHERCHE, ù Itlankenhcrghe ou ailleurs,sur la côte. MAISONS av. chambres mouillées.Faire offres, bur. journal E. V. : :<"»H

ON DESIRE ACHETER MAISON DE RENTIER,!avec annexe, au centre de la ville. S'adr. Ag."

•Yamlen Berghe, rue Christine. t*î. • ;• 4X>ri

SPA. — A LOUER DE SUITE, superbe ci im-mense HOTEI.-RESTAUR.-DAn. part, meublé.,gaz, l'i chambres à {courtier. 1000 m. belleterrasse,- 10.000 francs l'an.— Pour conditions,s'adresser propr. Not. Vervlool. llùtel Wayls,Boulevard Anglais, Spa. -;»>>••• - ï . ; ;• '/;"•;. 4M2

A VENDRE.

A VENDRE ' plusieurs grandes maisons av.jardin, au centre, maisons de commerce, etc.Comptoir Immobilier. âO.av.de la Heine. N.43S1-

:r^*,y M I DDELKERKE:' ' *- Rue des Dvnes 61 et 63.

.MAISON NEUYE, 5.S0 m. façade, avec atelier ;iétage, onlr. partie, et coch. à vendre 09.500 fr.MAISON NEUVE, MO m. façade, avee grandesalle, 0 chambres, garage, entrée cochère, à;vendre Cî.ûOO fr. — Facilités de paicnè'ents.Rchseign. 127, avenue du Parc. Bruxelles, ou33,-rue Muscar. Ostendc. . -.; .. . ^;-lX>3

OFFRES D'EMPLOI. ;

ON DEMANDE POUR LE LITTORAL, repré-sentant sérieux pour la vente des chocolatsHosmeulen. S'adr. Flacliel-Bouffioux, rit': deWondblghem, Gand. ; ; " ; /: • .- : 'i518

ON PEMANDE UNE DACTYLO, écrivant cor-rectem. franç..flam.S'adr.bur.journ. .I.V.D. -î5i3

ON DEM. DEMOISELLE, bonne vendeuse, aucourant lingerie fine, connaiss. anglais, allem.,réf. exig."Ecr. bureau joiirn. .1. B. B. • ,:'i5-ï2

ON DEMANDE représentants ou dépositairespour FABRIQUE i)K MARGARINE. Etabllssem.Van Eupen et C!e. J?oe. An., Menin. , .. iô'i'i

DEMANDES D'EMPLOI

CHEF DE CUISINE, désire faire sai-son. 20 années de métier, diplômé auconcours d'art culinaire. Ecrire : M.GERARDI, r. des Fossés, 21, Liège, -rais

JEUNE FILLE, part, angl., franc... allem.. et,ncerland., désire place rémunéralr.. ven.'-cuscou gérante, art.moiK' ou luxe, saison ou année.Ecr. M. II. S. bur. journal. '• i53<;

MONSIEUR, 33 ANS, 1res instruit, dist. etd'éduc. parf., ayant, dirigé - imp. mais, decommerce, eheivlu; bonne situation géranceou autre. Bur. .jotirnal. M. 0 . V- ;.',-/;r>iO

PERDU. — TROUVE.

PERDU, samedi malin, ''PETIT PEKINOIS,brun, 100 fr. de récompense. Prif-re 'le rap-r'porter, tfi. rue Royale. Ostende. -'i5ir,

i u M e m i H e i i x 1 1 ^ ^ 'PAUL MEYEU Bijouterie, or et argent de fantaisic>Maroquinerie. (Srvnd. choix darli-

deuil et jais. — Souvenirs d'Osteode.CCS

AH T l \ \ l h f SuécialitcsdcnrapsdeH U I |O«iItlMn ii,s, toiles, toiles nnxtes. colons, css. bain, toUcltc. cuisino, lingerie pour daines. labUers. cte. •

• I I T Â i p l'oiir vos carossencs «le luxe.DUll lX peintures et réparations deffVU I V « l [o u i c s o r t e , adresse/.-vous entoute sécurité à la maison A. AKIClvV -•

Gaiiifîc et ateliers, 2S-29, place SmnleCatherine. Téléphone 701. ' .

Pièces." sur commande. — Héparalîons. — ;Spécialité de bagues pour dames. "

JMffS %&&&&&'»-M » " . INCOMPARABLES.lances spéciaux pour Hôteliers, Hestaura-r a t o u r s e t C a f e t i e r s . • : • • , - . .; • ; • • ; • : .^1 : "'

O. VEREECKE1, rue «Je Gand. 1

Outstel'ItliseStJtsuMChaussiues en tous genres. Chaiissuresil'IseglieHiSpécialité de cliaiissiires imperméables, i'-:-.':-•

Ecole Sténo-DactyloRue Wellington, 17. Cstende

Sténo-Dactylo : Cours complets en 3 clG m o i s . - . . - . - . . . . . . . • .•'•••'<".- •;. •: •'. • ••••-

Français et Anglais : Leçons particuliè-res données par Professeurs d'Origine. -

f PICERIES A. IM Jonghe-DeBaiUiea l'honneur (^informer sa clientèle que sonmagasin t d'épiceries, • sis précédemment, ruedes Soeurs Blanches, 59, en face d« la poste,a été transféré rue Christine, 54. H- .««*wK>».

Chaussures

Garages Delahaye80» rue dt la Chapelle 21, rue dt StockholmTélép. 301 : OSTF.NIHv ;TêKlp :«58

'•': Localion 'de voilures de luxe. Iîx-cursions au front(clianip de batuillc)Réparnlions-accessoircs-dépannagc-pneus. Voitures pour baptêmes, pourcouunuu'ons et pour mariages. ' -"-f •

Le DENTISTE C: DelraeRue d'Amsterdam, 55. OSTENDETout ce qui se rapporle à-l'arl dentaire.

Pharmacie Commerciale20. Galerie James Ensor, 20, OSTENDE.

Réouverture à Pâquesf M.» LAUWERS, 6 1 . rue Christine.* Lespo traits le*plus artistiques

1 s francs: Glacis de poche »tc m t i .PhotosVint Franrak v é r i t ? b l e s?e t rfe

l l l l ) llallVOIa qualité sxtra"' ' R o u g e à -1.50 fr. l e l i t r e •••-.

• • ' H l n n c ; . si 5 . 0 0 f r . l e l i t r e •."••"••'•-••Dc'pùl: 6, rue de la Bride, entre !cs Jeux mnrol.ôs

. . . . . - . , :.. . . . . .. - - . . , - , . - , ; . . i > ^ . - i .. .• - •.;

Aiiieiiblemoiit f i93, rue la Chapelle " 1 .

OSTENDE ':-,.. m

l\

Meubles, Fauteuils, Tissus• . ' ^ a - n C a r p e t t e s -. •••:••• ;;- ->-

INSTALLATIONS COMPLÈTES '; Spécialité srlicles cadeaux

Peintures —r Grarures -—Poteries d'Art

L'ANTICORS SCHMITZRemède inl'aillil>lc contre cors uiiX'picds,

durillons. Prcpa .6 cl en venlc :'i la !

PHARMACIE DU KURSAAL6, Squale Marie-Jcsé, 0, OSTENDE

M. W A N D E t S , phar-macien-chimiste;V Tontes les snrcitditcs, etc. • >IMS

JEAN EBEN, Chirurgien-Dentiste, 62, Boulevard Alphonse Pieters, 62, OSTENDE

J.'EUILLETON DU CARILLONdu 2G février 1020 No 122

EYREOU

LES MEMOIRES D'UNE INSTITUTRICE

ROMANDE

CURBER BELL.— Oui, et si un serment est néces-

saire pour vous satisfaire eh bien, jfile jure ! ,

— Alors, monsieur, je.vous épouse-rai. •

— Appelez-moi Edouard, ma petitefemme.

— Cher Edouard !— Venez à moi; venez tout entière a

moi,» dit-il; puis il ajouta tout bris,me parlant à l'oreille, pendant que .sajoue touchait la mienne: «Faites monbonheur, et je le ferai le vôire. Dieume pnrdonne,ajouta-l-il au bout do peaude temps, et que les hommes no vien-nent* pas se, mêler de. lotit ceei ; je

.l'ai et je la garderai. .— Les hommes n'auront pas besoin

de s'en mêler, monsieur je n'ai pas de

parents qui puissent s'opposer ;i vosprojets.

— El c'est ce qu'il y n do mieux. ••dit-il.

Si je l'avais inotii» aimé, j'aurais re-marqué dans son regard ol dans sr."voix une sauvage exaltation. Mais, as-fisc près de lui, sortie de ce douloureuxrêve de la sépara Mon, appelée à un-1

heureuse union, je ne pouvais penserqu'au bonheur qui vennif do m'èlre silibéralement donné bien des fois il m-?demanda: «Elos-vous heureuse, Jane?»et bien des l'ois je lui répondis. «Oui:»puis il murmurait loul bas :

«Oui. nous nous aimerons. Je l'aitrouvée sans ami, sans joie et le cœurplacé; je la garderai près de moi pourTa caresser el'la consoler; n'y a-t-il pa?de ramoiii- dans mon cœur et de laconstance dans mes résolutions ? Eîcela seul pourra racheter toul le reskrdevant le tribunal de Dieu. Je sais quomon Créateur m'approuve; peu m'im-portent les jugements du monde: quanià l'opinion des hommes, je la défie ! •>

La nuit venait de tomber; la lunen'était pas encore levée, et nous étionstous deux dans l'obscurité ; quelqueprès que je fusse de mon maître, j 'a-vais peine à voir son visage; le vei:tmurimirnil dans l'alléo des lauriers,

sifflait entre le» brandies un niaron-nier cl envoyait son souffle jusqu'ànous.

« II faut rentrer, me dit M. Rochoslcr,le temps va changer; je serai avec loijusqu'au malin, Jane.

— Moi aussi,» pensai-je; cl je l'au-rais peut-être dit, si un éclair ne fûtvenu déchirer la portion du ciel que jeregardais; l'éclair fut suivi d'un cra-quement et d'un violent coup de lon-M'OITO qui me sembla avoir éclaté loulprès de nous. Je ne songeais qu'à ca-cher mes yeux éblouis contre l'épaul*de M. Roche-sler ; la pluie tombait à.Ilots: nous traversâmes rapidementl'allée. les champs, et nous entrâmesdans la maison; mais, lorsque non?atteignîmes le perron, l'eau ruisselai!sur nos vêtements. M. Rochester nv:relirait mon châle et secouait l'eau quicoulait de mes cheveux dénoués. lors-que Mme Fairfàx sortit de sa chambre;ni moi ni M .Rochesler ne l'aperçûmesau premier moment; la lampe était al-lumée : rhorlogiY; marquait minuit.

« Dépêchez-vous de ehangor de vête-ments, me dit-il, et maintenant bon-soir; bonsoir ma bien-aimée ! » >

II m'embrassa à plusieurs reprises.Lorsqu'on,lo quittant j e regardai au-tour île moi, je vis la veuve pâle, grave

et étonnée; je me contentai de sourire' e! de gagner l'escalier. «Tout s'expli-quera bientôt, » pensai-je. Cependant,lorsque je fus arrivée à ma chambre,je fus attristée de la pensée qu'un seulmoment même elle avait pu se mé-prendre sur ce qu'elle avait vu; mais,au bout de peu de temps, la joie effaçatout autre sentiment; malgré le veiilqui soufflai! avec violence, le tonnerrequi relenlissail avec force tout près demoi, les éclairs qui scienlillaienl vif>et rapprochés, la pluie qui, • pendantdeux heures, tomba avec la violenceo'uiifi cataracte, je n'éprouvai aucunoffroi, et peu de cette crainte respec-tueuse qu'éveillait ordinairement chezmoi la vue d'un orage. Trois l'ois M.Rochesler vint frapper à ma porte pourvoir si j'étais tranquille; c'était assezpour me rendre forte et calme contretout.

Le lendemain matin, ayant que jefusse levée, la petite Adèle accourutdans ma chambre pour me dire que tegrand marronnier au bout du verge-.-avait été frappé par le tonnerre ol amoitié détruit. ;

•CHAPITRE XXIV.

Tout en m'habillanl, je repassai dans

i

| ma mémoire les événements de la veil-h\ et je me demandai si ce n'était poinleu rêve: je n'en fus bien convaincue,«pie lorsque, ayant vc\i\ M. Rochester,je l'entendis me répéter ses promesse»(•! nie reparler (](• son amour. '* Kn me peignant, je me regardai dansla glace, i-t je m'aperçus que je n'étaisplus laide: mon visage était plein do\io_el d'espérance, mes yeux sem-blaient avoir contemplé une fontaine'.'e joie et emprunté l'éclat à .ses ondestransparentes. Souvent je m'étais ef-foirée de no pas regarder moij maître,craignant que ma figure, ne lui déplût:aujourd'hui'. je pouvais lever mon re-gard jusquïi lui sans avoir pour de re-froidir son amour par l'expression d••».mon visage. Je mis une robe (i'éfé,_lé-gère et d'une couleur claire; il me sem-bla quejjamais, vêlement ne m'avaitmieux paréo, parce que jamais auei;;in'avait été porté avec tant de joie.

Quand je descendis dans la grande*alle, je ne fus pas Mirprise de voirqu'une belle matinée do juin avait suc-cédé à l'orage de la veille, et de sentir,à travers la porte ouverte, le souflied'une brise fraîche et parfumée; l.-<nature devaij avoir quelque chose d<-joyeux: j'étais si heureuse! ;'

(A suivre).

Impr. Centrale, A. ROUCHERY, me Si-Sébastien. 47. Ostendc — Tél. 023.