Coquines Tortures Nouvelle Erotique

8/17/2019 Coquines Tortures Nouvelle Erotique

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Couple Coquin - Coquines Tortures

(1) ___________La Cueillette des Champignons

(2) _______________________ Docteur Gynéco

(3) __________________________Les Sarments

(4) _________________ Mon Retour de la Plage

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(1) La cueillette des champignonspar Carole

Un dimanche du mois de septembre, il faittrès chaud, les jours précédent étant pluvieux nousdécidons mon mari et moi d'aller faire un tour dansles bois de Léognan.

Nous garons la voiture dans un petit chemin,

et nous entrons dans une belle forêt de chênes.Après un quart d'heure de marche, nouscommençons à avoir chaud. J'enlève ma veste et lanoue autour de ma taille. Nous nous enfonçonsdans la forêt, traversons des pare-feux, encherchant en vain des champignons.

On entend des coups de fusil, la chasse àouvert ce week end et plus on va, plus ons'approche de la zone de chasse.

Cela commence à être dangereux, on décidede retourner vers notre véhicule, et tant pis pour lescèpes.

Après plus d'une heure de marche, on n'arrive pas à se repérer, j'ai la nette impression que l'ons'est égarés. Nous commençons à être fatigués, ilest plus de midi et la chaleur est étouffante.

On commence à s'inquiéter, impossible de se

repérer, tous ces chemins se ressemblent, on al'impression de tourner en rond.On se repose quelques minutes puis on repart

en essayant de se repérer au soleil et aux éventuels bruits venant d'une route.

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Nous sommes en nage, il est plus de 14 h eton est toujours dans les bois.

Je suis fatiguée, mon tee-shirt est trempé ainsique mon caleçon qui me colle sur les jambes.

A un moment, il nous semble entendre dessons de voix. Nous essayons de nous localiser ennous dirigeant vers eux.

Effectivement après avoir parcouru quelques

centaines de mètres on aperçoit une vieille grange àla lisiere d'un bois. Une groupe d'une dizaine dechasseurs est attablé autour d'une grande table.

On s'approche, content de trouver quelqu'un pour nous indiquer le chemin.

Les hommes ont fini leur repas et sont entrain de boire le digestif.

Lorsqu'ils nous voient, ils arrêtent leurs bavardages et nous regardent avancer vers eux.

Nous les saluons et nous leur expliquonsnotre mésaventure.

Ils plaisantent sur notre méconnaissance decette forêt et nous proposent de nous ramener sur laroute quand ils auraient fini leur haltegastronomique. Ils nous proposent un casse-croûteque nous acceptons volontiers.

Apré avoir savouré un bon morceau

d'entrecôte, en écoutant leur histoires souvent demauvais goût, je me lève de table pour renouer maveste qui s'était défaite.

Lhomme a côté de moi, voyant que je suistoute transpirante me propose de prendre unedouche.

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En effet un petit cabanon de fortune se trouveà côté de la grange. Quatre panneaux de bois toutautour protègent la vue.

Au début je refuse, puis sur l'insistance del'ensemble de l'assemblée, mon mari compris, jefinis par accepter.

En s'éloignant vers la douche, je leur dis "Atout à l'heure". Après quelques minutes, j'entend les

hommes féliciter mon mari sur le choix de sacompagne.En plaisantant mon mari rentre dans leur jeu

en leur disant que la chasse au poil est ouverte, etque je ne risque rien parce qu'on en avait enlevéune bonne partie le matin même (effectivement cematin là, pour faire plaisir à mon mari je me suisrasé entièrement le sexe y compris le haut du

pubis).Aussitôt, ils veulent tous voir, leur état

d'ivresse ne faisant qu'empirer leur excitation.L'un d'eux se lève, se tourne vers mon mari et

lui dit "Attends tu vas voir, on va rire." Il part à petits pas vers la cabane à douche, s'approche, etd'un geste rapide retire mon caleçon (avec maculotte à l'intérieur) qui reposait sur le haut de la

paroi en bois.

Je lui demande aussitôt de ramener meshabits.L'homme me dit "Venez les chercher..." et

ses accolytes s'exclaffaient en choeur, enm'encourageant à venir récupérer mes habits.

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Quelques minutes s'écoulent et je commenceà m'énerver en leur disant que la plaisanterie avaitassez duré.

Voyant que les hommes étaient décidés a ne pas lâcher, mon mari me dit de venir les chercher,en tirant sur mon tee-shirt.

Après quelques insistance, je finis par céder.Je sort du cabanon en tirant le plus possible

vers le bas mon tee-shirt. Une main devant, unemain derrière.Je m'approche lentement vers le chasseur qui

se trouvait près de ses potes sous la grange.Arrivée à quelques centimètres, l'homme qui

tient le pantalon à bout de bras me dit "Attrape!" Jesuis obligée de lâcher mon tee-shirt, je choisis lamain qui tirait sur l'arrière du polo.

Au moment ou j'allais l'attraper, l'hommerecule d'un pas.

Je râle, et m'approche de nouveau. L'hommerecule encore.

Les autres éclataient de rire et encourageaientleur copain.

Au bout de trois fois, je me retrouve au centredes tables qui sont placées en L.

Voyant que ça commence a dégénérer, mon

mari veut se lever pour me venir en aide et pourrécupérer mes vêtements. C'est alors que ses deuxvoisins l'empoignent par chaque bras et le fontrasseoir sur le banc.

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Il réagit en se débattant, mais les deuxhommes sont costauds et lui disent de les laissers'amuser un peu.

Pendant ce temps, l'homme qui me chahutait(un gros moustachu mal rasé) m'a ceinturée parderrière de ses deux bras. Dans la bousculade, j'ailâché prise et mon tee-shirt est remonté en laissantvoir la boursouflure de mon sexe.

Tous les hommes applaudissent. Lemoustachu m'ordonne de leur montrer davantagema truffe rasée de près.

Je serre les cuisses en me débattant. N'arrivant pas me calmer, il passe ses mains

sous mon tee-shirt et empoigne mes seins à pleinemains. Il me dit "Si tu ne te calmes pas, je te lesécrase!" et "Montre-nous ta minette!" Mon maricherche encore à se mettre debout, en les suppliantd'arrêter. Trois hommes se lèvent, le maintiennent,alors qu'un quatrième le ligote sur le banc avec unecordelette en nylon. Il se retrouve les avant-bras etles cuisses ligotés sur le banc.

Maintenant je suis à leur merci.Le moustachu se tient toujours derrière moi,

bâillonne de sa main gauche ma bouche, alors quela main droite est descendue au niveau de mon

pubis. Les autres lui crient: "Ecarte, fais-nous voir!"ce qu'il s'empresse de faire aussitôt. Avec son indexet son majeur, il écarte les lèvres en me faisant

pivoter pour que tout le tour de la table puisse voir.

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Il m'approche du le banc, en présentant machatte bien ouverte. Un jeune rouquin avance samain et fait pénétrer son doigt en le remuant danstous les sens.

Il dit: "Mais elle est mouillée, elle aime ça!"Je sens que certains hommes commençent a êtremal à l'aise, ils essaient de calmer certains de leurscopains! Après une brève discussion, huit hommes

s'en vont en disant aux autres qu'ils sont fous, et leslaissent auprès de moi. Il faut dire qu'ils sont particulièrement émèchés.

Après qu'ils ont démarré avec leurs véhicules,les autres me disent: "Si tu es mouillée c'est que tuaimes ça, non!" Je leur demande une Nième fois deme laisser.

Ils n'entendent rien, et au contraire, lemoustachu m'approche de la table et m'allonge surle dos.

L'un deux coupe un morceau de la cordelettequi tient prisonnier mon mari, et alors que sescopains me maintienne les bras et les jambesécartées, il m'attache solidement a la table.

D'un coup d'Opinel il découpe le tee-shirt(que j'avais toujours sur moi) en laissantuniquement mes seins à découvert.

Un vieux sans dents attrape les bouts de messeins, les tire en les vrillant et dit "C'est vrai qu'elleaime ça, ils sont tout durs ces tétons!" (en effet mestétons étaient bien dressés) Les cinq hommes sontaffairés autour de moi, ils me touchent partout, me

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caressent, promènent leurs doigts dans mon intimitéen plaisantant sur les attouchements qu'ils font...

Le vieux s'acharne sur mes seins, il les pétrit,les empoigne a pleines mains en les écrasant; tiresur les tétons en les secouant violemment...

Je ne disais plus rien, je subissais.Ma minette est effectivement toute luisante,

deux hommes la triturent, enfoncent leurs doigts

sales. Le plus vieux, un gros bedonnant, écarte mes petites lèvres avec ses deux pouces et me lèche lachatte en salivant et aspirant bruyamment.

Le gros moustachu, tout en pinçant mesmamelons me dit "Tu aimes bien que l'on temalmène hein?" Je lui réponds que non. Il merépète en serrant plus fort "Dis que tu aimes bienque l'on te malmène." Je lui répond toujours non. Il

pince mes tétons encore plus fort et les tire vers lehauts, en allongeant mes seins de plusieurscentimètres. Je pousse un cri de douleur, etl'homme me répète "Avoue que tu aimes!" en tirantde plus en plus.

Je finis par lâcher un petit 'oui'. "Alors, tu vasêtre gatée", il dit à un de ses potes "Va chercher ma

boîte à pêche dans le coffre de ma voiture!"Quelques secondes plus tard, son copain revient, en

marchant un peu de travers, avec la mallette, et la pose sur la table.Le gros bedonnant est toujours concentré sur

ma minette qui dégouline de salive. Avec sonacolyte, ils s'exclaffe en y introduisant, les unsaprès les autres, les couverts en inox qui traînent

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sur la table. Une dizaine de couteaux sont plantés,avec la lame qui dépasse.

Ils continuent avec les fourchettes, et chaquefois ma chatte s'écarte un peu plus.Ils ne peuventrajouter que 5 fourchettes, à la sixième, je les aisuppliés d'arrêter.

Le vieux en me disant "C'est bon on arrête!"malaxe les couverts entre ses deux paumes de

mains. Les couverts remuent dans tous les sens, ilattrape à pleines mains les dents des fourchettes etles serre fortement. Ceci a pour effet d'écarter lesmanches qui sont bien enfoncés dans me sexe.Je

pousse un cri de douleur qui le fait relâcher.Le vieux retire brusquement les ustensiles. Ils

sont tous les cinq en admiration devant mon sexe béant.

Le moustachu ouvre sa mallette et en retiredu fil de pêche, la boîte à hameçons, et desgrappins de surf casting. Les quatre hommesobservent leur copain qui dénoue le fil en nylon.

Il s'approche de moi, fait un noeud autourd'un mamelon et le serre fortement.

Il tire un coup sec pour vérifier si le noeudtient bien. Je pousse un petit cri.

Il me dit: "Attends, je m'occupe de l'autre!" Il

fait un autre noeud un peu plus loin et attachel'autre téton.Il attrape par le milieu le bout de fil et tire sur

les deux seins, les tétons se déforment et secongestionnent par la pression du noeud qui seresserre! Je gémis de douleur, et les hommes

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s'amusent chacun leur tour à tirer sur le bout de filqui étire démesurément mes deux seins.

Le moustachu attache un autre bout de fil aumilieu du fil qui tient les tétons, le passe au dessusde la poutre, et en tenant le bout, il dit au rouquin:"Va me chercher les câbles à batterie dans moncoffre!" Aussitôt dit aussitôt fait, le rouquin luiamène un câble de batterie muni d'une pince

crocodile a chaque bout.Il attache le bout du fil à une pince etapproche celle-ci lentement de l'entrée de monsexe. Il titille doucement mes petites lèvres avec lemétal froid, et après avoir ouvert largement lesmâchoires, il fait pénétrer une branche de lamâchoire profondemment dans mon vagin.

Je me tortille sur la table, sentant que quelquechose allait se passer.

Les hommes me maintiennent plusfermement, en ricanant. Le moustachu me pose lamain sur la bouche, et commence à relâcher lesmors de la pince.

L'effet est immédiat. Je me contracte, lesmors pénètrent doucement dans la chair tendre.

Il lâche complètement la pince, j'essaie decrier, mais la main de l'homme m'en empêche.

La pression de la pince m'écrase le clitoris,les hommes sont hilares. La douleur est intense!!!Le moustachu enlève sa main, et s'empresse de me

bâillonner avec une des serviettes de table. Il medit: "Pour le moment c'est le plus dur, mais tu vasvoir tu vas aimer!" Effectivement, je semble se

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calmer, du moins il me semble m'habituer à ladouleur! Après quelques petites minutes, lemoustachu attape le fil qui passe sur la poutre, et letend doucement.

La tension du fil provoque l'étirement de messeins et remonte la pince vers le haut en étirant leschairs à vif. Je réagis à chaque tension que l'hommeexcerce sur le fil. Il tire de plus en plus fort, mes

seins sont étirés de plusieurs centimètres, les tétonssont déformés et la pince est presque verticale dansmon sexe.

Je transpire, alors que les hommes s'esclaffentde rire, en palpant la peau fine de mes seins qui esttendue outrageusement.

Le moustachu attrape l'autre pince, la frottesur une plaque de beurre qui était restée sur latable, ouvre les mors, fait pénétrer un mors dansmon anus et l'autre dans mon vagin déjà occupé parla première pince. Je me contracte, l'homme relacheles mors encore une fois.

La pince me déforme et m'arrachelittéralement le sexe.

Voyant que je souffre trop, il enlève ladeuxième pince.

Durant plusieurs minutes ils jouent chacun

leur tour avec le fil en nylon.Le moustachu me dit: "C'est bien, on va tedélivrer de tes liens!" Il retire lentement la pincecrocodile de mon sexe rougeoyant et coupe le fil denylon.

Il laisse l'autre fil attaché aus tétons.

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Ils dit à ses copains, "Détachez-là et tenez-la bien!" Ils me détachent et me font remettre debout.Au dessus de moi, il y a une poutre sur laquelle

passe le fil en nylon.Le moustachu m'attache les poignets avec la

cordelette et me suspend les bras en l'air à la poutre. J'ai toujours la serviette dans la bouche quim'empêche de crier.

Un des hommes m'arrache mon tee-shirt àmoitié découpé, et me caresse les seins dont lestétons sont toujours noués par le fil.

Le moustachu m'écarte les jambes, approchesa mallette près de lui, et attrape la boîted'hameçons!!! Je n'en crois pas mes yeux, est-ilcapable d'en arriver là? Il me dit "Tu vas voir, jesuis amateur de pêche au vif!" Il demande à deuxdes hommes de me tenir les jambes, et avec sesdeux pouces, il écarte largement mon sexe. Lesdeux petites lèvres apparaissent.

De sa main droite, avec son pouce et sonindex, il attrape une petite lèvre et l'étire de façon àl'allonger.

Une fois bien étirée il attrape un hameçon de8 et d'un coup sec, il tranperce la fine chair.

Je sursaute.

Il fait pareil à l'autre petite lèvre, et ensuiteattache à chaque hameçon un petit bout de filnylon.

Il s'empare des grappins en plomb, et lesattache à l'autre bout de chaque fil.

Ils pèsent au moins deux cent grammes.

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Il prend ensuite les deux grappins et les metdans sa paume de main pour les soutenir.

Il me dit "Retiens ton souffle ma chérie, tuvas voir, tu vas aimer!!!" Les hommes sont enadmiration et attendent avec impatience l'effet quiva en résulter.

Le moustachu descend doucement les deux poids, le fil commence à se tendre, les hameçons

commence à tirer sur mes petites lèvres.Lentement, il descend, mes lèvres se tendentde plus en plus, j'essaie de me débattre, mais àchacun de mes mouvements le fil se tend et tireviolemment sur mon sexe.

Le moustachu descend completement samain, les deux plombs pendent au bout du fil, mes

petites lèvres sont distendues de 3 a 4 centimètres.Les hommes rient à pleins poumons.L'un deux d'un coup de main fait tourniquer

les poids qui s'entrechoquent en malmenant la chairétirée au maximum.

Le moustachu se releve et attrape les filsreliés à mes tétons, les attache de la même manièreavec deux autres grappins. Là, il les lâche avecmoins de précautions! Mes deux seins sontlittéralement déformés et distendus par les deux

poids que les hommes s'amusent à balancer.Je transpire, mon corps est tout mouillé, j'ail'impression qu'ils m'arrachent mes seins et mes

petites lèvres!La douleur est insupportable! Le moustachu

s'approche de moi, m'embrasse à pleine bouche, me

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caresse en prenant bien soin de passer ses mains surmes seins tendus à l'extrême.

Il me dit, "Je vais te délivrer, mais avant tudois être gentille avec nous!" Il approche un banc,monte dessus en descend son pantalon.

Il sort un membre énorme et tendu.Il me dit "Maintenant suce-moi à fond! et ne

mords pas sinon on t'arrache ce que tu sais!!!" Il

enfourne sa grosse queue dans ma bouche. J'essaiede m'appliquer au mieux en aspirant de toutes mesforces, et en enfournant sa queue au plus profond.L'homme apprécie, il effectue des va et vient de

plus en plus rapides, les poids prennent de plus en plus de mouvement en étirant mes chairs fines.

Tout d'un coup, il se retire et éjacule sur monvisage en me criant "Ouvre la bouche".

Tour à tour, j'ai dû sucer les 5 hommes, et mefaire éjaculer dans la bouche. J'ai le visage plein desperme.

Les hommes semblent être apaisés, j'ai peur pour sortir les hameçons!!! Les hommescommencent à me détacher, coupent les fils etdéfont les noeuds.

Le moustachu m'attrape par les épaules et me bascule sur le dos contre la table.

Il me dit "Je vais te sortir les hameçons!" Ilm'écarte les jambes, avec deux doigts ouvre monsexe, dont les petites lèvres pendent comme uunecrête de dindon. Il s'empare d'une pince coupantedans sa mallette et sectionne les deux hameçons.

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Ensuite il tire d'un coup sec les hameçons, sansdéchirer les chairs en feu.

Je reste hébétée, ils m'ont enlevé le bâillon, etils m'emmènent a la douche.

Ils me savonnent à plusieurs, passent leurdoigts dans tous les trous.

Ensuite, les hommes m'ont baisée chacun leurtour, et je dois avouer que j'ai pris mon pied!!!

Quelques minutes après, nous revenons tousles six, je vais vers mon mari et m'effondre en pleurant.

Il me dit de me calmer, que s'est fini. Je luiréponds "Je dois t'avouer, j'ai pris mon pied, j'aimal mais je suis excitée, je suis folle!!!" Leshommes rigolent en me disant qu'ils en étaientsûrs!!! Ils détachent mon mari, qui ne peut riendire, car j'ai apprécié!!!

Je me suis ensuite rhabillée, les hommes nousont ramenés comme convenu, et arrivés à la maisonmon mari m'a appliqué longuement du Mixa bébésur mes parties enflammées puis nous avons faitl'amour comme jamais.

Ceci est un rêve!!! Nous faisons souventl'amour le long des vignes du Chateau Chevalier, etespérons être surpris par des chasseurs!!!

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(2) Docteur Gynécopar Carole

Un bel après midi du mois de juin, alors que je jardinais, je m'entrave sur une racine et basculeen arrière. Je me retrouve à califourchon sur unchevalet que mon mari avait laissé traîner. Je sensune grande douleur au niveau de mon entre-

jambe!!! Je rentre vite dans la maison et explique àmon mari ce qui m'est arrivé. Il me répond que jedevrais aller voir mon gynéco! Le fait de m'avoirdit ça, je ressens une chaleur qui m'envahit le basventre!!!

Je lui dis OK, mais ma gynéco ne consulte pas le samedi, par contre j'ai une amie qui en a un près de chez nous; (mon amie m'avait racontéqu'elle était allée voir un gynéco qui était vicieux).Il me dit, alors je t'emmène; je prends vite unedouche, me rase soigneusement le pubis et le sexesans oublier le trou du cul (pour être bien nette car

je suis toujours rasée!), et enfile une robe légèresans soutien-gorge.

Après 15 mn nous sonnons à la porte. Unvieil homme ouvre et nous dit que son cabinet estfermé. Je lui explique rapidement mon incident en

insistant pour qu'il m'ausculte. Il me regarde dehaut en bas et me dit de rentrer. Nous pénétronsdans la salle d'attente et il propose mon mari des'asseoir.

Je rentre derrière lui dans le cabinet et laissesciemment la porte légèrement entre baillée pour

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que mon mari puisse avoir une vue de l'examen!!!Le vieux faisan avait des petits yeux vicieuxderrière ses lunettes à double foyer!!! Il me posedes questions sur ce qui m'est arrivé. Après luiavoir expliqué, il me dit: "Déshabillez-vous, que jevoie ça!"

J'enlève ma robe et me retrouve en slip, (que j'avais choisi en dentelle transparente!) Il me

regarde de haut en bas, et demande: "Avez vous vurécemment votre gynéco?" Je lui réponds enmentant qu'il avait au mois 3 ans que je n'avais pasété visitée! Il me dit: "On va en profiter pour lefaire. Allongez-vous sur la table."

Tout en m'installant, j'aperçois dansl'entrebâillement de la porte l'ombre de mon mariqui n'en perd pas une miette!!! Je fais exprèsd'écarter largement mes jambes en m'allongeant. Jeme sens toute moite déjà!!! Le vieux se met à côtéde moi et demande de mettre mes bras en arrière. Ilcommence a me palper le dessous de l'aine, le cou,et arrive à mes seins. Il les palpe, les malaxe, jesens l'excitation qui monte en moi, et je pense qu'ils'en aperçoit.

Il me presse les tétons de plus en plus fort jusqu'au moment où un spasme m'envahit le bas-

ventre!!! Là, il a compris que cette situationm'excite vraiment!!!Il me regarde en souriant, et accentue la

pression sur mes tétons. Il me demande: "Avez-vous mal?" Je lui réponds non, il appuie de plus en

plus fort en les vrillant: "Et là vous avez mal?"

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"NON!"Il les tire de plusieurs centimètre en les

vrillant entre son pouce et son index."ET LA?""Un peu!!!" (la douleur que je ressens est très

forte, mais m'excite au plus haut point!!!) Il lâchemes bouts et empoigne à pleines mains mes deuxseins en les écrasant littéralement!!!

"Et là, vous sentez quelque chose?"Je réponds doucement: "Un peu!!!" Il me dit,"Vous manquez de sensibilité au niveau des seins,on y reviendra tout à l'heure!!! Enlevez votre slipque je voie les dégâts! Je retire ma culotte, et, en latouchant je m'aperçois qu'elle est toute mouillée!!!Il se place devant moi, entre mes jambes, écartemes genoux le plus possible et me place les piedsdans les étriers. Il approche sa tête de mon sexe etdit: "C'est bien de vous être rasé la vulve, on voitmieux ainsi! Elle est toute gonflée! On va arrangerça!!!"

Pendant qu'il s'éloigne pour se laver les mains j'aperçois mon mari qui me fait signe avec son pouce que la situation lui plaît complètement. Levieux revient et s'enduit les doigts avec une

pommade. Il dit: "Je vais vous appliquer cette

crème qui devrait vous soulager."Il commence doucement à appliquer la pommade sur le pourtour de mon sexe, sur lesgrosses lèvres et avec deux doigts les écarte pourdégager mes petites lèvres. Il les caressedoucement... les déplie... les tire doucement. Je

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sens que je mouille abondamment, ce qui lui faitdire: "La séance risque d'être longue, voulez-vousque je dise à votre mari qu'il revienne vouschercher plus tard?" Je lui réponds que non, maisqu'il pouvait le faire rentrer!

"Vous croyez?""OUI, j'en suis sûre!"Il fait rentrer mon mari et le fait asseoir tout

près de la table d'auscultation. Mon mari lui dit:"Faites comme si je n'étais pas là, prenez le tempsqu'il faut." L'homme reprend son massage et fait

pénétrer lentement ses doigts dans mon vagin.Ma chatte s'écarte sans difficultés. Le vieux

me dit: "L'intérieur à l'air touché aussi, je vaisdevoir vous dilater pour voir ça de près." Je luiréponds: "Allez-y!" Il se lève et revient avec unspéculum en fer, et, après m'avoir averti de lasensation de froid, il l'enfonce entièrement dans machatte. Le fait de me sentir offerte et ouverte devantcet homme qui profite de mon intimité m'excite àun point tel que j'accepterais n'importe quoi, et

pourquoi pas, vu ses tendances sadiques, d'endurerdes tortures sexuelles!!!

Je pense que l'homme l'a compris et ce quim'attend va le confirmer. Je sens l'appareil qui

bouge dans mon vagin quand l'homme serre la vis.Je sens mes chairs qui se tendent au fur et à mesurequ'il progresse. Ils s'arrête et me dit: "Ca va? pastrop mal?" Je réponds: "Ho non," (en espérant qu'ilcontinue!!!)

"C'est bien, je suis presque à fond!"

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Il fait quelques tours et s'arrête! Il penche satête entre mes cuisses et approche tout près de monsexe. Je sens son souffle sur ma peau. Il seredresse, attrape une lampe torche sur sa tablette detravail et éclaire l'intérieur de ma chatte. Il entredeux doigts à l'intérieur, et je sens qu'il les frottecontre les parois. Il se redresse et me dit: "Vos

parois génitales sont impeccables, mais je vois mal

votre utérus. Il faut que je dilate davantage votrevagin!"Il se lève aussitôt et attrape dans une armoire

une poche en plastique qu'il ouvre devant moi. Il ensort un genre vessie en caoutchouc munie d'unevalve. Il me dit: "Je vais introduire cette vessie et jevais la gonfler, dès que vous aurez mal faites unsigne et j'arrêterai. Sachez que pour que monexamen en profondeur soit efficace, je dois dilatervotre sexe au maximum! " Mon corps se met atrembler de peur, et de désir de découvrir cettedouleur qui va m'envahir! Il se replace entre mes

jambes, et pousse avec ses doigts la vessie quirentre avec déjà un peu de difficulté. A côté de moi

j'observais mon mari qui avait le yeux braqués surle bout de valve qui dépassait de mon sexe. Levieux attrape une vulgaire pompe à vélo et la visse

sur l'embout. Il commence à effectuer des va etvient, on entend l'air qui entre dans le caoutchouc.Doucement je sens que ça bouge, le ballon se

met en place, puis commence a se bloquer.L'homme s'arrête et le remue doucement pours'assurer qu'il soit bien en place! Il me demande si

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ça va, et je lui réponds "Très bien." Il reprend legonflage, là je sens mon ventre qui se remplit, trèsvite une sensation bizarre m'envahit, mais je n'ai

pas mal "encore". Après quelques coups de pompesupplémentaires la pression m'écarte les lèvres, jecommence à sentir une douleur, le ballon essaie desortir, mais le vieux le retient en continuant degonfler doucement. Il s'arrête et me demande:

"Avez vous mal?" Je répond en fanfaronne "Non pas du tout.""C'est bien car il faut le gonfler encore!" C'est

alors qu'il se met à accélérer le pompage, la vessieest bien bloquée a l'intérieur! là je sens la pressionqui m'étire la vulve poussée par le caoutchouc! Jecrie Aïe Aïe , mon bas-ventre est complètementrempli, j'ai l'impression qu'il va éclater!!! Le vieuxs'arrête et me dit "C'est bien, on va la laisser unmoment que les chairs se détendent!!!" Je meredresse sur mes coudes et en penchant la tête enavant j'aperçois l'entrée de mon sexe entrouvertavec la valve qui dépasse!!! Mon clitoris poussé parla pression est redressé vers le haut. Le vieux leremarque vite et me dit: "Vous avez un beauclitoris!!!"

Il pose son doigt dessus et exerce une petite

pression qui me fait tressaillir! Il attrape la hampeentre son pouce et son index et tire en arrière d'uncoup sec. Mon clito déjà bien dégagé se décalottecomplètement. Il me demande: ressentez vousquelque chose? Je lui répond spontanément "Non",

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en espèrent qu'il intensifie son test!!! De son autremain, il attrape mon bouton et le pince doucement!

"Je vais faire un test de sensibilité, dites moid'arrêter si besoin!" Je sens ses doigts qui seresserrent, il écrase mon bouton qui s'aplatit de plusen plus. Je commence a avoir mal, mais je ne disrien!!! Il serre encore tout en me regardant. Je faisun peu la grimace mais l'incite a continuer! Soudain

je sens une douleur vive qui me fait sursauter, il esten train de l'étirer par petit coups secs! Là j'ai mal, je geins doucement en serrant les dents, mais leregarde dans les yeux sans broncher. Je redresse matête et m'aperçois que mon clito est allongé de

plusieurs centimètres et complément écrasé entreson pouce et son index...

Cette vue m'excite encore plus et entraîne unspasme qui me noue le ventre. Voyant monexcitation monter, le vieux se met à le branlerviolemment en le tordant dans tous les sens!!! Là jeme mets à jouir et obtiens un orgasme inouï (...)

(bon pour ce soir, je m'arrête, J'AI EU MON ORGASME REEL SUR MON FAUTEIL) à demain pour la suite)

(...) je m'écroule sur la table en haletant!!! Legynéco me dit: "Ce n'est pas normal que vous soyezsi insensible, je dois voir jusqu'où je dois aller pourque vous ressentiez la douleur!!!" (il ne se doutait

pas que je souffrais, mais j'aime ça!!!) Il attrape une bobine de fil de suture, et demande à mon mari de prendre mon clitoris entre ses doigts et de l'étirer.Mons mari s'exécute et tire vivement sur le bouton

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congestionné. Le vieux coupe un bout de fil de 2mètres et fait un petit nœud coulant. Il passe monclito à l'intérieur et tire d'un coup sec enl'emprisonnant. Mon mari se retire et le gynéco tiresur le fil. Mon clito congestionné rougit à vue d'œilet se gonfle. La douleur commence a être forte,mais je serre toujours les dents!!!

Il passe le fil par dessus le bras de la lampe

télescopique et y attache à l'autre bout un petit seauen plastique muni d'une anse. Mais que va-t-ilfaire? Il me regarde et me dit "Je vais remplir lerécipient avec de l'eau, il contient 2 litres, si vousne ressentez rien avec 2 kg de tension sur votreclitoris, j'abandonne!!!"

Doucement il commence a remplir le seau, j'entends l'eau qui tombe à l'intérieur et je sens monclito qui s'étire, la pression du fil me fait commeune brûlure, je sens mon ventre me brûlerd'excitation mais le ballon m'empêche de laissercouler ma cyprine. J'ai mal, je redresse ma tête et jevois mon bout étranglé qui est devenu rouge cerise,mes chairs sont distendue de 3 ou 4 centimètres. Jene peux m'empêcher de pousser un petit cri!

Il s'arrête de remplir le seau et me dit: "Alors, j'arrête, le seau est rempli a moitié, 1 kg! Sentez

vous quelque chose?" Je lui réponds entre mesdents: "Un petit peu!!!""Alors je continue!" Il rajoute une rasade,puis

une deuxième, une troisième mais là, la douleur estnettement plus vive, j'ai l'impression que monclitoris va s'arracher. je n'en peux plus, je pousse un

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cri et le gynéco s'arrête net!!! "Ah, enfin, jecommençais a m'inquiéter, 1,5 kg c'est beaucoup et

je risquais de l'arracher!" Aïe Aïe Aïe, là j'ai mal,(...)

(OUF, QUELLE PEUR!!! j'écris souvent du bureau et j'avais égaréma disquette!!! je l'ai retrouvée ce soir dans mes disquettes desauvegarde!) demain la suite)

(...) Je lui dis d'arrêter! Il repose le pichet sur latablette et s'approche de mon bout turgescent! Il medit: "Il est bien gonflé" en l'attrapant entre son

pouce et son index! Il le caresse doucement du boutdu doigt, en fait le tour puis le pince doucement ensaccade!!! Chaque pression me fait sursauter, j'ail'impression qu'il va éclater! Après quelques

pressions successives, voyant que je ressens unedouleur vive, il s'arrête et me dit en libérant monclitoris du fil qui était encastré dans ma chair: "Jesuis rassuré, je pensais que vous aviez vraiment un

problème. Maintenant, retournez vous et mettezvous à quatre pattes la tête le plus bas possible. Jedois retirer la vessie."

Je sens sa main gauche s'appuyer sur unefesse. Il dit: je dois la retirer sans la dégonfler,retenez votre souffle! Il s'empare de la valve et tire

doucement, je sens mon sexe s'ouvrir, il tire de plusen plus fort, j'ai ma chatte qui vas se déchirer, Jecrie "Arrêtez, j'ai mal!!!"

ll me répond: "N'ayez pas peur je faisdoucement, les chairs vont se dilater!!! Vous allezvoir!!!"

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Il continue à tirer sur caoutchouc en prenantappui avec sa main sur mes fesses. La douleurdevient insupportable, je suis en nage!!! Il me dit:"Elle est a moitié sortie, le plus dur est passé, jevais la laisser comme ça quelques minutes pour

bien vous dilater!!!" Il se met a côté de moi etattrape mes seins qui pendent. "Je vais en profiter

pour vous ausculter!"

Il me palpe les seins, pince mes tétons, lesétire, les vrille dans tous les sens, puis il prend unsein dans chaque main et les écrase de toutes sesforces! Je crie très fort!!! Il relâche prise et me dit:"C'est bon là aussi vous ressentez la douleur!" Ilrepasse derrière moi, et d'un coup sec extrait lavessie. OUF, quel soulagement... J'imagine montrou béant sous le nez de cet homme vicieux qui

profite de la situation!!!Il s'adresse a mon mari et lui dit: "Vous

voyez, la vessie a été efficace!!! je vais pouvoirexplorer votre femme en profondeur!!!" Il enfile ungant, l'enduit de pommade et je sens qu'il pénètreen moi sans difficultés. Il rentre sa main jusqu'aufond de mes entrailles, la tourne, la retourne puis semet à pomper tellement violemment que j'ai peine àme tenir sur la table!!! Un bruit de succion

accompagne les mouvement de son bras!!! Je sensque je vais jouir! Je me mets à haleter, gémir, crierde plaisir et m'effondre à plat ventre sur la table.

Le toubib ressort sa main trempée par macyprine. Je m'assois sur le bord de la table, reprendsmes esprits et vois mon mari médusé de la scène a

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laquelle il a assisté. Il me regarde en souriant touten retirant son gant et me dit: "Vous êtes en parfaitesanté, un peu dure à jouir, mais la preuve on yarrive!!! Je vous prescris une pommadeadoucissante que vous n'hésiterez pas à utiliser." Jeme rhabille, paie la consultation et en arrivant à lamaison saute sur mon mari pour qu'il assouvissecomplètement mon envie!!!

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(3) Les Sarmentspar le mari de Carole

Un après midi du mois de mai, il fait untemps splendide, nous partons avec ma femme dansles vignes toutes près de chez nous, avec notrefourgon, pour ramasser des sarments.

Nous entrons dans une propriété pour

demander l'autorisation de ramasser les sarmentsqui sont regroupés au bout de chaque rangée devigne.

Le château paraît inoccupé, après avoirfrappé à la porte personne ne se manifeste.

Nous allions rebrousser chemin lorsque l'onaperçoit dans un chai avoisinant, trois hommes entrain de travailler.

On s'approche d'eux et leur demandons si l'on peut ramasser les sarments.

Ils nous répondent que les propriétaires sontabsents mais qu'il n'y a aucun problème pourramasser des sarments. L'un d'eux s'est rapprochéde la vitre de notre véhicule et a plongé les yeuxsur les cuisses de ma femme qui est vêtue d'une

petite robe en jean.Je le vois faire discrètement un clin d 'oeil à

ses potes, et il nous dit: "On va vous donner uncoup de main, normalement c'est notre travail!" Onles remercie de leur aide sans trop d'enthousiasme,d'autant que l'haleine qu'il dégageait en parlantlaissait supposer qu'ils n'était pas à jeun...

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Evidemment elle doit se courber pour passerla ficelle sous le fagot, le vieux a le décolleté de mafemme à 50 centimètres de lui. Il n'en perd pas unemiette, alors que, nous, nous avons la vue sur lesfesses de Carole qui nous tourne le dos!!! Mes deuxcollègues restent pantois.

Moi je fais mine de ne pas me rendre comptede cette situation. Le fait de voir ces hommes mater

ma femme m'excite au plus haut point!!! (Plus tard je vais le regretter!!!) Après avoir préparé unedizaine de fagots, nous devons nous éloigner un

peu plus pour ramener les sarments. C'est alors, quel'homme près de ma femme, l'ayant vu sous toutesles coutures, a eu un geste qui a fait réagirvivement ma femme.

En effet, je suis a une cinquantaine de mètreset je vois ma femme qui se lève subitement et quis'adresse à lui en colère.

Je m'approche et ma femme me dit: "On s'enva, il m'a passé un sarment sous la robe!!! partonsvite."

Je m'adresse a l'homme en lui demandant cequ'il lui a pris, et, à peine j'ai fini ma phrase quecelui qui était avec moi me ceinture par derrière etme dit: "Calmez vous, il n'y a pas de mal!" Les

deux autres hommes ont ceinturé Carole et tout enla tripotant nous disent: "Ta femme nous a excités,maintenant on veut juste en voir davantage!"

Ils nous entraînent dans le fourgon malgréque l'on se débatte.

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Après m'avoir ficelé les mains et les mollets,ils me font asseoir a l'avant du fourgon, alors queCarole reste avec eux à l'arrière.

Carole est terrorisée, elle leur donne descoups de pieds et se débat dans tous les sens.

Le gros moustachu se met en colère, l'attrape par les seins et lui dit: "Si tu ne te calmes pas, je teles arrache!!!" La douleur la fait calmer de suite! Il

dit: "Maintenant, tu vas te calmer, si tu te laissefaire on te feras pas trop de mal!!!" Il maintienttoujours les seins de ma femme a pleine main et luidit, "Maintenant enlève ta robe..."

Ma femme hésite, et essaie de crier. Le petitvicieux lui met la main sur la bouche et dit à soncollègue: "Mets-lui un bâillon et bande-lui lesyeux."

Après l'avoir bâillonnée avec un vieuxchiffon, ils entreprennent eux-mêmes de sortir larobe de Carole.

Elle se retrouve rapidement en slip. Leshomme s'esclaffent en la regardant.

"Regardez si c'est mignon. Elle a de beauxtétons, mais ses loloches pendent un peu! On va lesredresser."

Tout en disant cela, il attrape les bouts de

seins de ma femme entre son pouce et son index etle remonte vers le haut."Regardez si c'est élastique tout ça!!!" Ma

femme se trémousse, alors que les deux autreshommes commencent a lui passer la main surl'entrejambe.

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Le petit vicieux leur dit: "Attendez n'allez pastrop vite, on tout le temps. On va s'occuper de sesloloches, donnez moi le raphia, on va les fairedurcir. Attachez-lui les bras en l'air."

Pendant que les deux hommes attachentCarole, le petit vicieux donne des tapes sur sesseins qui sont ballottés dans tous les sens. Il attrapeles tétons et les tire de haut en bas de plus en plus

fort. Les seins s'allongent de plusieurs centimètres. je vois le visage de Carole qui se crispe de douleur.Les hommes le regardent faire en rigolant et

lui disent: "Allez tire! Ses bouts ont l'air de tenir."Le vicieux tire de plus en plus fort entraînant

ma femme en avant, ses pauvres seins sontcomplètement déformés et ses tétons, écrasés entrele pouce et l'index de l'homme, sont aplatis et

blanchis par la pression.Depuis ma place je vois toute la scène, et,

malgré la peur, je sens une certaine excitation devoir ma femme dans les mains de ces pervers. Oùcela va-t-il s'arrêter?

Le vicieux dit au gros moustachu: "Pendantque je tire ses mamelles, entoure-les avec la ficelle,et n'aie pas peur de serrer!"

Le moustachu s'empresse de ligoter les seins

de ma femme en passant la ficelle derrière son dos pour éviter qu'elle ne glisse.Le seins compressés par la pression

deviennent tout rouges, les tétons sont violacés etgonflés. Après une dizaine de tours bien serrés, les

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hommes éclatent de rire en palpant les deux boulesgonflées et durcies.

Le vicieux dit a ma femme: "Regarde, tesseins ne tombent plus a présent!!! Et attends je vaiste les remonter encore."

Il coupe un bout de raphia et fait un nœud bien serré sur les deux bouts de seins. Ensuite ilattrape la ficelle par le milieu et la tire vers le haut

sans ménagement.Les hommes sont hilares, l'un d'eux attrapeun sandow et après l'avoir accroché en haut de lacarrosserie du fourgon, y accroche la ficelle quirelie les deux tétons.

Ma femme geint tellement la tension est fortelorsqu'il relâche le tendeur.

Les seins de Carole sont dressés vers le hautet ses tétons sont allongés de plusieurs centimètres.Le vicieux dit à ma femme à l'oreille: "On va telaisser comme cela un moment, avec un peu dechance il ne pendront plus après!" Les hommeséclatent de rire.

Le moustachu qui depuis un moment acommencé à caresser la chatte de ma femme dit:"Et si on s'occupait de sa chatte." L'homme a tirél'élastique du slip sur le côté, on aperçoit le bord du

sexe de Carole.Alors que le moustachu commence adescendre la petite culotte de ma femme, le vicieuxlui dit: "Attends, tu vas voir comment je les sors lesculottes des salopes!" Il attrape le devant du slip etle tire vers le haut, l'étoffe pénètre dans la fente de

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ma femme. Les boursouflures du sexe dépassent dechaque côté. Il continue a tirer, encouragé par lesautres. Le tissu disparaît dans la fente...

"Il est solide ton slip ma chérie, pourtant ilfaut qu'il lâche!"

Le petit moustachu s'approche, attrapel'arrière de l'élastique et tire avec son acolyte. Mafemme est soulevée de 10 centimètres par les deux

hommes, malgré la souffrance le fait de la souleverrelâche la tension du tendeur qui tire toujours lesseins de ma femme à l'extrême... Le tissu rentre

profondément dans la tendre chair. J'entends Carolequi gémit sous son bâillon.

Le vicieux dit: "Coupe-le avec le sécateur puisqu'il ne veut pas lâcher."

Le troisième homme passe la lame dusécateur entre la peau et le tissu et d'un coup sec lecoupe.

Le slip s'arrache d'un seul coup, et Caroledescend brusquement, si bien qu'elle fléchit un peules jambes. La tension sur les tétons, trop forte, aarraché un nœud des deux tétons!!! Le sandow sedécroche et ma femme reste pendue par les

poignets.Les hommes craignent de l'avoir blessée! Ils

regardent te téton rougeoyant et distendu qui pend.Le vicieux caresse doucement le bout de seinet rassuré dit: "Tu vois qu'ils tiennent bien testétons, celui-là est un peu tuméfié mais il esttoujours là. On va voir si ta chatte est aussi solide."

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Ils s'accroupissent tous les trois se placentdevant le sexe de ma femme... épilé du matinmême.

Le vicieux dit: "Une chatte sans poils! monrêve!" Avec ses deux pouces, il écarte les lèvres

pour dégager les petites lèvres et le clito de mafemme. "Que c'est beau tout ça, écartez-lui bien les

jambes et attachez-lui les mollets."

Il attrape les petites lèvres et les dégage en lestirant légèrement. "Regardez bien les mecs." Il tiredoucement la fine peau qui s'étire à vue d'œil.Carole se trémousse de tout son corps. "Tenez-la

bien, bon sang!"L'homme tire de plus en plus fort, les chairs

s'étire de plusieurs centimètres. Ensuite il écarte leslèvres sur coté et dit: "Regardez ce trou, allongez-la!" Les hommes allongent ma femme sur le dos etlui replient les jambes en arrière, les genoux sur la

poitrine. Son sexe est exposé, les petites lèvresrougeoyantes dépassent de quelques centimètres.

L'homme s'en empare et recommence a tirerdessus sans ménagement. Ensuite chacun leur tourils enfoncent leur doigts sales dans la chatte de mafemme qui geint de douleur.

Après lui avoir dilaté la vagin à l'extrême, ils

baissent leur pantalon et burinent chacun leur tourla pauvre chatte tuméfiée.Soudain, par bonheur on entend un coup

d'avertisseur.Aussitôt les hommes se retournent et

s'aperçoivent que les propriétaires sont rentrés.

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Ils nous disent: "Cassez-vous et si vous ditesquelques chose on vous retrouvera!" Carole serhabille vite et après m'avoir détaché nous nous

jetons dans le fourgon et partons à toute allure.En passant a côté des propriétaires, nous

hésitons pour leur raconter notre aventure, et, enfait, nous décidons de ne rien dire. Si la presses'empare de ce fait divers, quelle histoire!!!

Voilà notre histoire, Carole a eu durant huit jours très mal aux seins et à son entrejambe, maismalgré la sauvagerie de ces mecs, nous gardons unsouvenir excitant de cette aventure. D'autant plusque j'ai moi-même poussé pour que cela arrive!

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(4) Mon Retour de la Plagepar Carole

Travaillant dans la coiffure, j'ai la chance de pouvoir profiter de mon lundi.

Nous sommes au mois de Juillet, il fait unechaleur caniculaire, mon mari travaillant le lundime suggère d'aller au bord de la plage pour profiter

de la journée. Il est vrai que nous habitons à 60 kmdu cap Ferret, et que je peux très bien entreprendrece parcours toute seule.

Je pars donc en début d'après-midi.Vers 17 heures, après avoir bien doré au

soleil et m'être baignée plusieurs fois, je décide derentrer car il faut à peu prés 2 heures de routequand il n'y a pas circulation.

Après 15 mn de route, j'aperçois une fileinterminable de voitures complètement arrêtées.Les passagers étaient même descendus de leur auto.

Il ne manquait plus que ça!!!. N'ayant pas le choix, je prends mon mal en

patience.La file avance au pas, lorsque je me rends

compte que ma jauge est au mini. Les stations étantrares sur cette route, je décide m'arrêter dans une

petite buvette que j'aperçois à une centaine demètres, le temps que le bouchon se dégage.

Je demande au serveur où je peux trouver del'essence au plus proche.

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Celui-ci me répond que j'ai intérêt à prendrela première petite route à droite pour rejoindre laroute d'Arcachon.

"Personne ne connaît cette route dans les boiset vous roulerez sans problème."

Je l'écoute et prend cette petite route à traversla forêt de pins.

Voilà 10 mn que je roule et l'aiguille est

complètement en bas, et je ne vois toujours pas lafin de cette route.La nuit commence à tomber, je n'ai pas croisé

une seule voiture, je commence à m'inquiéter.

Soudain, ma voiture se met à hoqueter et jedois m'arrêter sur le bas côté.

J'essaie d'appeler mon mari sur le portable,mais catastrophe "Pas de réseau."

Je restais dépitée dans mon véhicule enespérant voir arriver une voiture. Après une demi-heure d'attente toujours rien, pas un chat!!!

Là, je commençais à paniquer, j'étais seuledans ces bois, avec juste mon petit short en jeans et

un débardeur léger en coton à large encolure.

La nuit étant tombée, il me semble apercevoirà quelques centaines de mètres une lumière àtravers les arbres. Je descends de la voiture et pars

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en direction de cette lumière en espérant trouver del'aide.

Effectivement, une vieille cabane semblehabitée. Autour, des veilles carcasses de voituressont dispersées parmi de la ferraille.

Lorsque je m'approche du vieux portail, ungros chien loup à moitié pelé se jette sur la clôture

en aboyant.

Je me demande si je dois sonner, sur qui jerisque de tomber.

J'étais sur le point de faire demi-tour, lorquela porte s'ouvre laissant apparaître un vieil hommeen bleu de travail qui me crie: "C'est quoi?"

Je lui dis toute tremblante: "Je suis en panne,auriez-vous un peu d'essence pour me dépanner, jevous paierai."

J'entend une voix derrière qui crie: "On arien, il y a une station à 5 km, démerdez-vous!"

L'homme sur le perron se retourne et lui parleà voix basse. Je n'arrive pas à comprendre ce qu'il

dit. (Quoique je crois avoir compris après ce qu'illui disait!)

Je commençais à m'en aller, lorsque l'hommeme rappelle et me dit: "Attendez ma p'tite dame, un

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pote doit arriver avec sa voiture.Rentrez, il ne va pas tarder."

J'hésite, puis finis par accepter.

J'arrive au seuil de la porte, je vois uneimmense cuisine de campagne éclairée par uneampoule jaunie par la saleté. Une grande table de

bois massif sur laquelle sont posées des assiettessales et quelques bouteilles de vin.L'autre homme est accoudé sur la table, assis

sur un banc avec un verre de vin à la main.

Je sens le regard des hommes qui parcourtmon corps de haut en bas. Je me sens mal, prête àfaire demi-tour, mais l'homme derrière moi a déjàrefermé la porte.

Ces deux hommes sont d'une saletérepoussante, ils ont la soixantaine, les cheveuxlongs et gras et sont petits et trapus.

L'un deux me propose de manger un morceauavec eux.

Je refuse, mais ils insistent tellement que jefinis par accepter. Je voulais éviter de les froisser

en espérant que leur collègue arrive rapidement.

Ils me font asseoir sur le banc entre eux deux, je serrais les jambes et les coudes sachant pertinemment qu'ils avaient les yeux rivés surl'entrebâillement de mon débardeur.

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Je mange quelques bouchées de pain avec du pâté, vraiment sans appétit lorsque mon voisin dedroite me pose la question: "Vous allez sur la plagedes nus-nus vous, non?"

Je lui réponds: "Non, pourquoi cettequestion?"

Il se retourne vers moi, attrape l'échancrure

de mon débardeur et tire violemment dessus endécouvrant un sein.

"Avec des seins bronzés comme ça je suis surque tu te fous à poil à la plage!"

Je me retire en arrière, mais l'homme meretient par la bretelle de mon vêtement. L'autrehomme se lève, vient derrière moi et me ceinture

par la taille.

"Alors, ma belle, tu te montres à poil à la plage et nous, tu veux rien nous montrer?"

J'essaie de me dégager en me débattant et encriant de toute mes forces, mais les hommes memaintiennent fortement.

Le plus gros avec ses grosses mains salesm'empoigne les deux seins et les écrase entre sesdoigts tendis que l'autre me pose la lame ducouteau sur la gorge et me dit: "Calme-toi, tu peuxcrier, ici personne ne t'entendra et si tu veuxressortir d'ici vivante sois gentille, OK"

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A priori, je n'ai pas le choix!

L'homme relâche la pression et soulève mondébardeur. "Beaux seins, ils tombent un peu maison va te les redresser ma chérie" (J'ai une petite

poitrine qui tombe un peu malheureusement et deuxtétons assez proéminents.)

Tout en disant cela, il relève mon téton qu'il à

pris entre son pouce et son index et relève mon seinle plus haut possible.Je pousse un petit cri de douleur

"C'est normal, au début ça fait mal, mais tuverras tout à l'heure ce que je te fais là ça te ferasourire!" L'autre homme sourit et se met aussi à

palper mes seins, à tirer sur les bouts, les vrillerdans tous les sens.

Ensuite ils me sortent mon débardeur etcontinuent à s'affairer sur ma poitrine.

Le gros dit: "J'aime bien les loches qui pendent, regarde Pierre on va les faire valser..."

Ils me tiennent chacun un bras et avec leurautre main ils donnent des claques sur les seins, de

haut en bas, de droite à gauche, mes seins ballottentdans tous les sens. Je serre les mâchoires pour ne pas crier. "Tu n'es pas douillette ma chérie, il vautmieux pour toi avec ce que tu vas subir. Nousavons une sacrée revanche contre les femmes Pierre

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et moi. Nos deux salopes de femmes nous ontlâchées, c'est toi qui va payer pour elles. Compris!"

Ensuite après avoir ligoté mes poignets ilss'asseyent sur le banc et me font mettre face à eux.

"Mignon ce petit short, surtout qu'il te rentredans la fente!" (Je portais un petit short issu d'un

jean que j'avais coupé et qui effectivement meserrait pas mal l'entrejambes.)Le vieux attrape le haut de mon short par la

ceinture et le remonte sèchement vers le haut.Je sent le tissu qui m'écrase la chatte, il

continue à tirer et finit par me soulever.Je commence à tituber lorsque son collegue

me happe les bouts de seins et me retient enéquilibre par mes tétons.

Là, je hurle, le poids mon corps déséquilibréest maintenu par mes bouts de seins.

La tension est terrible, mon corps est déplacéde tous les côtés et mes tétons sont étirés.

"Tais-toi salope, elles sont solides tes miches,elle ne vont pas s'arracher comme ca!"

Après quelques minutes, il me repose etconstate l'état de mes tétons. "Regarde-moi ces bouts de loches, ils sont beaux comme tout, et ilssont timides, ils sont tout rouges!"

Les deux hommes s'esclaffent alors que l'undeux ayant pris mes tétons, les secoue dans tous les

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sens, tirant dessus comme un dingue enm'entraînant en avant. Je sanglote et leur demanded'arrêter, que je ne dirai rien à personne, mais qu'ilsme laissent partir!

"De toute façon, si tu dis quelque chose tu esune femme morte. On à noté ton adresse dans tonsac, et on saura te retrouver."

"Maintenant montre-nous ta chatte, et vite!"

Toute tremblante je dégrafe mon short et ledescends lentement.

Je me retrouve en petite culotte devant cesdeux sadiques qui observent sans relâche mon bas-ventre.

"C'est bien, n'enlève pas ta culotte, tire dessuset fait rentrer le tissu dans ta fente." J'obéis et tiresur l'élastique lentement. Je sens le tissu quis'infiltre entre mes lèvres.

"J'ai dit tire , si tu n'as pas compris, je m'enoccupe, OK!"

Craignant qu'il ne le fasse lui-même,

j'accentue la tension jusqu'au moment ou le tissurisque de se déchirer. Le tissu a complètementdisparu entre mes lèvres, de chaque côté les

boursouflures de mes grosses lèvres dépassent etsont toutes gonflées. "C'est bien reste comme ça."

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L'homme approche ses doigts et s'empare des boursouflures et tire violemment dessus en lesécartant.

Je pousse un cri de douleur et l'homme tire,tire de plus en plus pendant que son acolyte continuà étirer mes seins sans ménagement.

"Très bien, je voulais voir si le tissu était bienrentré, tu peux relâcher maintenant et enlève-moi

cette culotte."Pendant que j'enlève ma culotte, les deuxhommes boivent un grand verre de vin rouge etdébarrassent la table. Je m'attends au pire!

Ils se retournent vers moi et restent les yeuxfigés sur ma chatte. (Je m'était fais le "maillot de

bain amélioré" le matin même, et j'ai même enlevéle léger duvet que je garde en général sur le haut du

pubis.)

"Quelle chatte mes aïeux! Regarde-moi ces petites lèvres qui dépassent!"

En disant ça, il attrape les deux petites lèvresqui dépassent légèrement et les tiraille doucement.

"Regarde Pierre, je tire à peine dessus et elles

sortent déjà! Allonge-toi sur la table salope."Ils me poussent sans ménagement, me fontallonger sur le dos et m'attachent les poignets audossiers des deux bancs. La table est encore grassede leur mangeaille et l'un d'eux me demande:"Ecarte tes cuisses et montre-nous ton intérieur."

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J'écarte mes cuisses et écarte mes lèvresdoucement.

"Tu n'as pas compris, tu veux que je viennem'en occuper?"

J'écarte donc plus fort, les hommes ont lesyeux rivés sur mon sexe ouvert, leur regardlubrique me fait peur. "Tire-moi sur ces petiteslèvres, chauffe-les moi avant que je m'en occupe

pour de bon. J'adore la viande molle."

Soudain on entend le chien qui aboie.

"Tiens voilà Michel, il va être heureux!"

"Ma chérie, pas de chance pour toi, nous onest gentil à côté de Michel, franchement je te

plains."

Je suis ébranlée, moi qui espérais quel'arrivée de leur pote me délivrerait!

Je penche la tête vers la porte et j'aperçois ungrand rouquin habillé d'un treillis maculé decambouis. Il porte une grosse caisse en carton.

Il fait trois pas et m'aperçoit, là, offerte, les

cuisses largement écartées.

Il reste figé. Pose son carton par terre et dit àses copains. "Où avez vous trouvé ça les mecs?quelle bonne surprise"

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Les deux hommes lui racontent le pourquoide ma présence en précisant qu'ils avaientcommencé à me chauffer .

Il s'approche de moi, passe ses doigts sur machatte et dit: "Tu es mouillée salope, si tu aimes ça

je vais te gâter!!!"

Je suis médusée, j'ai peur, j'ai mal et malgré

tout ma chatoune est toute mouillée. En écartantmes lèvres je sentais bien la moiteur qui émanait del'intérieur de ma chatte.

Je croise le regard du rouquin, son visage est bouffi, boutonneux avec des petits yeux vicieux quime font froid dans le dos. Il dit à ses potes: "Quelui avez vous fait, elle est toute fraîche!"

Les hommes lui relatent les sévices qu'ilsm'ont fait subir et l'homme éclate de rire! "Il étaittemps que j'arrive je crois!"

Il s'approche de moi, observe mon corps endétail et commence à promener ses mainscagneuses sur tout mon corps. Soudain il passe sesmains sur mes seins et les empoigne à pleinesmains en les écrasant de toutes ses forces!

Je pousse un cri tellement la douleur est forte.Les deux vieux viennent derrière moi et me

mettent la main sur la bouche.Mon cœur bat à cent à l'heure, cet homme est

sûrement un sadique pervers.

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"Tu as de belles miches bien molles, j'adoreça, quand tu vas repartir, si tu repars, elle vont tetomber sur le nombril!"

Il attrape une ficelle à rôti sur le buffet, la passa sous mon dos et commence à entourer chaquesein en serrant de plus en plus fort.

Je sent la brulure de la fine corde autour dechaque sein, mes mamelles se congestionnent. Ellessont ligaturées à partir de la base, sur toute leurlongueur, exactement comme un saucisson. En

baissant les yeux j'aperçois la pointe des mes seinsredressée par la pressions. Ils deviennent violets.

La douleur devient insupportable, j'essaie decrier, mais les mains d'un vieux manquent dem'étouffer.

"Regarde tes loches, elles commencent à êtrefermes, et ces tétons jamais ils ont autant bandé,non!"

Mes pauvres seins sont presque entièrement boudinés, leur diamètre est tellement réduit que l'ondirait deux cierges planté sur mon thorax.

Juste une boursouflure violette laisse devinerl'aréole et les tétons."Regarde-moi ces deux petites bites si elles

sont belles, maintenant je vais te les étirer, après tuauras deux grandes bites fais-moi confiance!"

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Il attrape une corde, attache chaque bout à laficelle qui entoure mes seins. Ensuite il monte surla table, se met au dessus de moi et tend la cordevers lui.

Il se met à tirer, mes seins me brûlent, je medébats, mais les hommes me maintiennent. Plus jeremue plus j'ai mal et l'homme continue à tirer, ilfinit par me soulever de plusieurs centimètres et

lorsqu'il me soulève, il me relâche brusquement etme soulève encore.Mes seins vont s'arracher à ce rythme-là.

Soudain, je sens que je pars, je m'évanouis...

Après quelques minutes, je reprends mesesprits, j'entend le rire des hommes qui me remetvite dans le contexte. Je suis couchée sur le côté,les hommes ont retiré la ficelle et sont en train de

jouer avec mes tétines distendues et rougeoyantes.Ils ont noué la ficelle autour de chaque téton,

et, assis à deux mètres de moi, s'amusent à tirerdessus par petits coups secs.

Mes seins ressemblent à deux grands boudins blanc fripés, il sont tellement distendus qu'à chaquetension sur la ficelle ils sautent en l'air et retombent

violemment sur le bord de la table en bois.Ils sont tellement meurtris que je ne ressent pas la douleur, j'ai chaud, très chaud aux seins, ilsme brûlent.

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"Alors ma chérie, on se réveille? Regardes tesloches on dirait deux serpillières!"

Je les supplie une énième fois de me laisser partir, mais le rouquin me répond: "Tu plaisantessalope, on est juste à l'amuse-gueule, on va laissertes seins se reposer. Maintenant on va s'occuper deta chatte, d'après ce que j'en ai vu il y a du travail àfaire!"

Il dit à ses potes: "Faites-la mettre à quatre pattes sur le table et écartez lui bien le cul."

Les deux hommes obéissent et sansménagement me tirent par les seins vers la table.

Je n'ai pas le choix, je m'installe sur la tabledans la position demandée et j'attends en craignantle pire.

"Belle chatte, mais un peu coincée, on vat'aider à la détendre. Ecarte-la bien, prépare-la au

pire!"

L'homme s'installe derrière moi et rentre brusquement ses deux pouces dans ma chatte.

Je sens mes chairs se déchirer quand il écartemon sexe.

Il s'adresse a ses potes et leur dit: "Attrape-moi la louche et les poids de la balance."

Le vieux mal rasé s'empresse de lui amenéses accessoires. Je m'attends au pire!

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"Allez ma chérie, cambre-toi bien!"

Les hommes me tiennent la tête en bas contrela table. Je sens alors quelque chose froid à l'entréede ma chatte bouillante.

Une tension vers le bas me fait comprendreque la louche a été accrochée à mon sexe.

Les homme lui crient "Allez charge!"

Le rouquin lance les poids les uns après lesautres en débutant par les plus légers.

Je sent la pression qui étire ma chatte vers le bas en écrasant mon clitoris.

"On n'en est qu'a 500 g ma chérie, le meilleurest à venir!" dit-il en ricanant. "Allez 500 g de

plus!"D'un seul coup il a posé le 1/2 kilo dans la

louche! Je pousse un cri violent et les hommes memusellent la bouche pour étouffer mes cris.

"T'as encore 4 kg à supporter ma chérie, tuvas voir qu'elle est solide ta chounette!" L'hommerajoute les poids, kilo par kilo, le métal de la louches'incruste dans mes chairs, mon sexe va s'arracher.

Les hommes me maintiennent à 4 pattes, jene peux plus maîtriser la situation.

"Tu vois qu'elle est solide ta chatte!" dit-il enfaisant balancer la louche... La douleur est

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insupportable, je tombe une deuxième fois ensyncope.

Lorsque je reviens à moi, je ne sais quelleheure il est. Je suis allongée par terre, les jambesécartées, le corps tout visqueux de sperme.

Les 3 hommes sont avachis sur la table etdorment comme des loirs

Je sens des choses bizarres sur mon sexe et j'y porte ma main. Lorsque j'en retire des bribes deviandes, je comprends en voyant le chien quidormait lui aussi qu'il avait participé à moncalvaire.

Personne ne pourra me raconter ce qui s'est passé, mais vu l'état de mon corps dévasté et demes loches, comme ils disent, toutes déformées ilvalait mieux que je sois inconsciente.

Je me redresse, je suis endolorie de partout, j'essaie de récupérer mes vêtements pour m'enfuirsans les réveiller.

Mais en tirant mon débardeur qui se trouvesous le bras d'un homme, je le réveille.

L'angoisse me reprend, je ne pourrai passupporter plus longtemps leurs tortures.

L'homme se lève, les yeux bouffis et il me dit

"Viens avec moi!"J'enfile rapidement mes vêtements et le suitsans réfléchir.

Il se penche, attrape un bidon en plastique etme dit "Tiens voilà tes 5 litres d'essence," et, en me

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montrant un bout de papier "C'est ton adresse, si tu parles à quiconque, on te fait la peau, OK?"

Je lui promets de rester muette sur cetteaffaire et dès qu'il a ouvert la porte je m'enfuis encourant vers ma voiture.

Après avoir rempli les quelques litresd'essence et galéré pour relancer le moteur jereprend la route en cogitant pour expliquer mon

retard à mon mari.Je m'en suis sortie en lui racontant la panned'essence et durant 2 semaines j'ai prétexté lamigraine pour éviter les câlins et bien sûr cachermon corps.

Il paru étonné de mon comportement, mais 2semaines c'est vite passé à côté des 3 heures que j'aivécues.

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