CORRIGE, semaine du 30 mars au 3 avril

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Conjugaisons à l’imparfait

Elle soignait son apparence. Avant, nous envoyions des cartes postales. Vous envisagiez une carrière dans la police. Avant que j'arrive, tu balayais le magasin. Je pensais ne jamais vous revoir. Tu avançais tout doucement dans le noir. Nous chantions dans la chorale de l'école. Il rangeait toujours ses billes dans sa trousse. Elle partageait tout avec les pauvres. Ces riches bourgeois possédaient la moitié de la ville. Vous cherchiez un emploi, l'avez vous trouvé ? En 1985, nous publiions déjà le premier roman de ce jeune auteur. Nous croisions de temps en temps mon frère sur le marché. À cette réunion, tu parlais au nom des ouvriers. Elle regardait la télévision lorsque tu es parti. Les trains ne circulaient jamais le dimanche sur cette ligne. Mes cousins écoutaient beaucoup les disques des Beatles. Il marchait toujours en regardant ses pieds. Les affaires fonctionnaient mieux du temps de l'ancien gérant. Quand je suis arrivé, vous jouiez du piano. On n’entendait que plaintes et imprécations contre les Flamands, le cardinal de Bourbon, madame Marguerite d’Autriche, le froid, le chaud, le mauvais temps, l’évêque de Paris, le pape, les piliers, les statues, cette porte fermée, cette fenêtre ouverte ; le tout au grand amusement des bandes d’écoliers et de laquais (sujet des verbes mêler et piquer) disséminées dans la masse, qui mêlaient à tout ce mécontentement leurs taquineries et leurs malices, et piquaient pour ainsi dire, à coups d’épingle la mauvaise humeur générale. Il y avait entre autres un groupe de ces joyeux démons qui, après avoir défoncé le vitrage d’une fenêtre, s’était hardiment assis sur l’entablement, et de là plongeait tour à tour ses regards et ses railleries au dedans et au dehors, dans la foule de la salle et dans la foule de la place. À leurs gestes de parodie, à leurs rires éclatants, aux appels goguenards qu’ils échangeaient d’un bout à l’autre de la salle avec leurs camarades, il était aisé de juger que ces jeunes clercs ne partageaient pas l’ennui et la fatigue du reste des assistants, et qu’ils savaient fort bien, pour leur plaisir particulier, extraire de ce qu’ils avaient sous les yeux un spectacle qui leur faisait attendre patiemment l’autre.

CORRIGE, semaine du 30 mars au 3 avril

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LA GIRAFE BLANCHE, chapitre 11

1. Juliette et ses camarades de classe se rendent au jardin botanique de Kirstenbosh, au Cap

(Cape Town). 2. Ils y vont le dimanche. 3. Luke découvre une ouette d’Egypte. C’est une espèce d’oie très grande avec des ailes rouge-

brun et blanc. 4. Juliette l’impression de revivre le rêve qu’elle a fait au chapitre 1. 5. Juliette a le don de soigner les animaux. 6. Lorsqu’elle utilise son don, ses mains chauffent au point de rougeoyer. Elle sent une force qui

traverse tout son corps. Elle voit des hommes africains qui portent des masques d’antilopes et des rhinocéros qui soufflent le feu.

7. Les étapes de la visite :

3 Le Vallon

5 La promenade des Fynbos

2 La petite rivière

1 Les pelouses magnifiques

4 L’amphithéâtre des Cycades.

8. Quels types de plantes les élèves vont-ils découvrir au cours de la visite ? Coche la (les) bonne(s)

réponse(s).

des plantes vertes des plantes carnivores

x des plantes médicinales x des plantes aromatiques.

9. L’enseignante de Juliette doit s’absenter car elle rejoint un élève qui fait une allergie suite à une piqûre d’abeille.

10. Ils poursuivent Juliette parce qu’ils pensent qu’elle est une sorcière (une umthakathi).

11. Ben lui vient en aide.

GRAMMAIRE : Complète chaque phrase avec le verbe à l’infinitif ou le participe passé.

1. Sais-tu si Louise a acheté des graines pour les oiseaux ? 2. Les enfants établissent un tour pour nettoyer la cage. 3. Pendant les vacances, nous avons emmené notre chat. 4. Ont-ils fait vacciner le chien avant le départ ? 5. Barnabé a soigné et apprivoisé une mésange.