Concours de la résistance et de la déportation 2013 …...Comité régional résistance et...
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Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
Concours de la résistance et de la déportation
2013
Remise des prix
Hôtel de la Préfecture du Calvados
Caen
Mardi 18 juin 2013
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
Les sociétés développées vivent dans, avec et par la communication et définissent
même leur niveau de développement à partir de leur aptitude à produire et à faire circuler
de l’information. Tout le monde y communique tout le temps et perd la dimension
stratégique de la communication. Il faut que les soubresauts de l’Histoire en train de se faire
aux quatre coins du monde nous la rappellent pour que le lien intrinsèque qu’elle entretient
avec la guerre redevienne une évidence. Sur le front de la guerre économique ou
d’opérations militaires, la communication est une arme, la plus universelle de la modernité.
La communication n’est pas l’information, mais son traitement orienté par un objectif,
autant dire que son rapport à la vérité n’est pas sa cible privilégiée, même si elle la côtoie
souvent et l’atteint parfois. Sans doute mieux que les démocraties, les totalitarismes qui
voient le jour en Europe au lendemain de la Première Guerre mondiale ont compris
l’importance de la communication politique, - on parlait de « propagande » - au point de la
verrouiller au bénéfice exclusif de la conquête et de la conservation du pouvoir ; son
monolithisme fut le pendant symbolique de la violence exercée contre les corps. Les
hostilités déclarées, la communication escorte les conquêtes : qu’on se souvienne des
images d’Hitler traversant un Paris désert après la défaite française de 1940, l’insistance des
images sur les panneaux en langue allemande indiquant le chemin de la Kommandantur et
signifiant aux vaincus la perte de leur identité nationale. Il était donc normal que dans ce
sursaut, tant moral que politique, incarné par la Résistance, la communication jouât un rôle
important, complémentaire de l’action militaire. La communication est consubstantielle à la
Résistance car résister c’est communiquer, témoigner de l’existence d’une autre vérité, de la
possibilité d’une autre vision de l’homme et de l’Histoire. Sans les moyens de l’ennemi, la
Résistance sut utiliser les vecteurs de communication de son temps : tracts, journaux
clandestins, poèmes, chants ou récits, radio… Grâce au cinéma, toutes les générations ont
présent à l’esprit le générique sonore de Radio-Londres et ses messages codés, poétiques à
force d’être énigmatiques. Qui ne sait pas aujourd’hui que les « violons » du 6 juin 1944 pour
n’être pas ceux de l’automne n’en sont pas aussi « longs » que le jour ? Mêmes les sabotages
constituaient des actions de communication, car au-delà des pertes infligées à l’ennemi, ils
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
venaient signifier une volonté de liberté et de dignité qui est une arme plus redoutable dans
la durée que les autres. En invitant à travailler sur la communication durant la Seconde
Guerre mondiale, le concours national de la Résistance a souhaité attirer l’attention sur le
rôle déterminant qu’elle a joué dans la victoire finale et dans l’émergence d’une société
reposant sur les valeurs de la Résistance. Il a permis à des collégiens et des lycéens de
s’approprier des documents d’époque, de les faire « parler » avec l’aide de leurs professeurs
et des résistants dont la parole et la mémoire accompagnent et permettent de dégager leur
force au-delà du temps. Que tous ceux qui ont participé à ces travaux soient remerciés pour
leur engagement et la qualité de leur production. Ils ont permis également de percevoir
l’évolution des moyens de communication en à peine quelques générations. Nul doute que
les résistants d’hier utiliseraient aujourd’hui internet et tweeter, comme nous le montrent
des résistances plus récentes, des citoyennetés en acte.
Jean-Charles HUCHET Directeur académique des services de l'éducation nationale,
Directeur des services départementaux de l'éducation nationale du Calvados
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
La cérémonie
Allocution de Monsieur Bernard Duval, résistant déporté
Monsieur le préfet,
Mesdames, Messieurs les élus
Chers élèves, chers amis,
Monsieur le préfet, l’accueil, toujours aussi chaleureux, qui nous est fait dans les
salons de la préfecture, pour cette remise des prix aux lauréats du concours national de la
Résistance et de la déportation, nous montre combien l’intérêt porté à ce concours est
grand, et nous vous en remercions chaleureusement.
Le sujet proposé aux élèves, cette année, intitulé : « Communiquer pour résister »
était difficile à développer. Aussi, je tiens à vous remercier, collégiens et lycéens, pour la
grande qualité de vos travaux qui ont su montrer, à la fois, les difficultés et les dangers
encourus pour mettre en œuvre cette communication.
« Communiquer pour résister ». En peu de mots, cette phrase résume, à elle seule, le
début de la Résistance, ou plutôt l’opposition à l’occupant, car le mot « Résistance » n’était
pas encore très usité en 1940.
Si je m’en tiens à mon expérience personnelle, nous étions une bande de copains,
âgés de 15 ans, n’acceptant pas la défaite de la France, et qui étaient animés d’une volonté
farouche de vouloir combattre l’occupant. Sans structure et sans mots d’ordre, nous
agissions par pulsions, nous acharnant d’abord sur la propagande nazie qui fleurissait sur les
murs de la ville de Caen, sous la forme d’affiches, qu’avec joie et rage, nous lacérions.
Sans autre directive que celle de notre instinct, nous nous efforcions de suivre les
conseils prodigués par la radio anglaise, que nous écoutions, avec ferveur, dans la
clandestinité. C’était la seule source, à nos yeux, qui nous soutenait et entretenait l’espoir de
retrouver, un jour, la liberté. C’était le témoin tendu qu’il fallait saisir pour combattre, avec
nos faibles moyens, l’occupant.
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
Le désastre de l’armée française en mai-juin 1940 fut un choc effroyable pour tous les
Français. Il fallait absolument se ressaisir et ne pas se laisser charmer par le chant des sirènes
nazies et vichyssoises prônant la collaboration avec l’Allemagne. La seule arme dont nous
disposions, en ce début de l’Occupation, était de communiquer, de renseigner, de
convaincre.
Cet état d’esprit, cette forme de lutte, nous l’avons toujours entretenue, tant
pendant notre combat de résistant, que pendant notre détention en camp de déportation.
Ces camps étaient des univers hermétiquement clos, mais il arrivait parfois, on ne savait par
quels stratagèmes, que nous avions connaissance de nouvelles de l’extérieur. Elles se
voulaient être toujours optimistes, apportant ainsi un peu de baume sur nos souffrances, et
soutenant notre moral, souvent, hélas, défaillant.
Il faut dire que dans ce monde de brutes, maintes fois, il nous était répété que notre
seule porte de sortie était la cheminée du crématoire.
Chers élèves, à l’occasion de ce concours, j’ai pu lire nombre de vos ouvrages.
Permettez-moi de vous féliciter, tant pour leur sérieuse élaboration que pour la richesse de
l’information rassemblée sur ce difficile sujet. Soyez-en remerciés.
Mais l’histoire continue. Nos rangs s’éclaircissent, et c’est vers vous que nous nous
tournons, en vous tendant ce témoin symbolique, reçu quand nous avions votre âge. Il est
impérieux que vous restiez vigilants : l’hydre du mal et de la domination est toujours
présente, prête à s’emparer de notre liberté.
Bernard DUVAL,
résistant-déporté
KL Sachsenshausen n°84364, Kommando de Falkensee
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
Allocution de M. Michel LALANDE,
Préfet de la région Basse-Normandie, préfet du Calvados
Salut aux autorités et personnalités présentes.
En ce jour qui marque le 73ème anniversaire de l’appel historique du Général de
GAULLE à refuser la défaite et à poursuivre le combat contre l’ennemi, c’est un beau symbole
de remettre les prix aux lauréats départementaux du concours national de la résistance et de
la déportation. Après l’émouvante cérémonie commémorative qui nous a rassemblés devant
le Monument aux Morts de la Place Foch, cet instant privilégié de rencontres et d’échanges
entre nos grands anciens et les jeunes, entre ceux qui ont fait l’histoire, ceux qui ont mission
de l’enseigner et ceux qui la feront demain, est particulièrement riche d’émotion et
d’éducation.
Je suis à cet égard personnellement sensible au fait que cette manifestation se
déroule au sein de l’Hôtel de la préfecture, la maison de la République. Le concours national
de la résistance et de la déportation est la pierre angulaire de la transmission de l’histoire de
la résistance française auprès de la jeunesse. Aux yeux de Lucien PAYE, ministre de
l’éducation nationale en 1961, ce concours n’avait pas pour objectif de « réveiller des haines
mais d’évoquer le souvenir de sacrifices très purs et héroïques, dans le combat livré pour que
les jeunes Français puissent vivre libres et fraternellement unis dans la patrie retrouvée ».
En 2013, il conserve la même essence et les mêmes ambitions que celles portées, à l’époque,
par les pouvoirs publics et les associations de résistants et déportés. Il prend également une
dimension particulière en cette année qui marque le commencement d’un cycle mémoriel
exceptionnel avec le 70e anniversaire des années 43 à 45. Le 27 mai dernier, était célébré le
70e anniversaire de la première réunion, à Paris, du conseil national de la Résistance dont
l’artisan fut le préfet, Jean Moulin, dont nous commémorons, cette année, le 70ème
anniversaire de la disparition tragique.
Pour notre regretté Jacques VICO, disparu le 5 août dernier, et qui a été pendant plus
de 30 ans l’artisan de ce concours dans notre département, « cet outil pédagogique est le
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
meilleur support de transmission d’une mémoire active, d’une mémoire vivante à destination
des jeunes, de ce que fut l’histoire de la Résistance ». Que cette remise de prix soit également
l’occasion pour nous de lui rendre un hommage particulier.
Dans notre département, avec 10 établissements participants, ce sont 20 travaux
collectifs et 58 copies individuelles qui ont été rendus cette année. La participation des
élèves et le caractère passionné de leur réflexion, qui vient en surcroît du travail normal de
l’année scolaire, attestent qu’ils y ont trouvé une motivation, un intérêt et un enrichissement
personnels. Je tiens à remercier et à féliciter les lauréats ici réunis. Bravo à vous tous.
En empruntant volontairement les chemins de la mémoire de la Résistance, vous
avez, sans doute, mieux perçu les valeurs qui doivent guider votre future vie d’hommes et de
femmes ainsi que la société dans laquelle vous souhaitez vous épanouir et que vous
contribuerez activement à construire ; vous vous êtes ainsi donné les outils nécessaires à la
construction de votre propre citoyenneté.
Je veux saluer aussi tout spécialement le jury du concours 2013 dont la tâche est
toujours délicate compte-tenu de la qualité des prestations.
Je tiens à remercier également tout particulièrement M. le directeur académique, ses
services et les enseignants qui, par leur message, les réflexions et les enseignements qu’ils
ont dispensés en travaillant sur ce concours, ont été ainsi des militants de la mémoire en
même temps que des bâtisseurs de la société de demain.
Je tiens enfin à remercier très chaleureusement les combattants volontaires de la
Résistance, déportés, enfants de déportés et Français Libres impliqués dans l’organisation de
ces travaux ; en continuant à porter le témoignage d’une époque tragique de notre histoire
contemporaine et de l’idéal qu’ils ont dû soutenir tout au long de ces sombres années, ils
sont pour les jeunes générations des exemples et des éveilleurs de conscience.
Je salue à cet égard l’action de l’association du Calvados pour la promotion et
l’animation du concours national de la Résistance et de la déportation sans laquelle ce
concours ne connaîtrait pas un tel succès dans notre département.
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
La réflexion historique et civique des élèves a porté cette année sur le thème difficile
et peu abordé, je crois que c’est une première d’ailleurs, de « Communiquer pour Résister ».
Ce thème de réflexion fut à bien des égards riche d’enseignements. Dans un pays occupé et
mis en coupe réglée par l’occupant nazi, dans un pays où l’Etat est engagé dans une politique
de collaboration qui muselle la population, quels sont les moyens et les solutions pour
recouvrer son droit inaliénable qu’est celui de pouvoir s’exprimer librement ? Comment
accéder à la véritable information, à la vérité en somme, quand la seule chose qui vous est
donnée à entendre, à lire ou à voir, tient lieu de la propagande, de la manipulation ? Où se
trouvent la liberté et la vérité ? Les anciens résistants et déportés présents aujourd’hui
l’avaient rapidement compris. Cette liberté ne pouvait se recouvrer qu’en s’unissant et en
portant également la vérité aux yeux de ceux qui, aveuglés par Vichy et l’occupant, n’avaient
pas encore compris que le chemin qu’on leur donnait à voir n’était pas le bon ; en faisant de
l’opinion publique l’allié de ceux qui, minoritaires, luttaient déjà au sein de l’armée des
ombres.
Les candidats ont rapidement compris que pour rompre cet isolement et survivre
dans la clandestinité les résistants ont dû se doter de moyens pour communiquer avec
l’extérieur : avec Londres, par la radio et par les « radios » qui ont risqué leur vie pour
émettre leurs messages à destination de la France Libre ; avec la population, par le biais de la
presse clandestine, des tracts et de la littérature ; avec les autres mouvements et réseaux,
par le biais des agents de liaison, des planques et boîtes aux lettres. Chacun d’entre vous a
pu mesurer, en étudiant les documents qui vous ont été fournis et en entendant les témoins
qui sont venus vous rencontrer, que c’est par ces moyens de communication que les
résistants ont pu s’attacher la solidarité des populations, convaincre des milliers de leurs
compatriotes qu’il leur était permis de croire en la libération du territoire, convaincre des
milliers d’hommes et de femmes de rejoindre également la lutte ou, plus simplement, à
s'abstenir d'apporter toute forme de soutien à l'ennemi et à Vichy.
Nous n’oublierons jamais ce que ces femmes, ces hommes et, même parfois, ces
enfants ont subi et ont eu le courage de faire pour qu’aujourd’hui nous vivions en paix et en
liberté.
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
Hier, comme aujourd’hui, le concours national de la résistance et de la déportation
constitue, pour les jeunes générations, une occasion inestimable de réfléchir sur le sens de
l’engagement et du sacrifice individuel, en faveur de la liberté, de la tolérance et de la justice
qui constituent le fondement de nos institutions démocratiques et de notre pacte
républicain.
Cet inestimable travail de mémoire porte le passé au présent pour une tâche d’avenir.
Puisse-t-il être une réflexion à vivre, une responsabilité à assumer, une volonté de s’engager
au service des valeurs de l’humanisme.
Lecture du palmarès par Monsieur Franck Leconte, directeur du service
départemental de l’ONACVG du Calvados.
Statistique départementale du concours
La participation des établissements scolaires :
13 établissements : 5 lycées – 8 collèges
Les établissements primés :
Lycées : 4
Collèges : 6
Les lauréats :
Lycées : 14
Collèges : 32
Soit un total de 46 lauréats.
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
CONCOURS NATIONAL DE LA RESISTANCE ET DE LA DEPORTATION
PALMARES DEPARTEMENTAL
PREMIERE CATEGORIE : classes de tous les lycées
Devoirs individuels
Prix Nom prénom des lauréats Lycées Enseignants Chefs d’établissements
1
er
Adélaïde SUBTS
Charles de Gaulle
CAEN
Carole LIZE
M. MACREL
2
ème
Ahlam MARZOUKY
Sainte-Marie
CAEN
Pierrette LEROUX
M. CAMUS
3
ème
Clémence CISAR
Dumont d’Urville
CAEN
François
REVERSAT
M. LE CLEACH
DEUXIEME CATEGORIE : classes de tous les lycées
Travaux collectifs
Prix Nom prénom des lauréats
Lycées Titres Enseignants Chefs d’établissements
1
er
Alissa COSSON Laura GIOMMI
Margot GUILLOUET
Malherbe
CAEN
Communiquer c’est résister 1940-1945
Laurence
ALEXANDRA
Mme VALETTE
2
ème
Pauline BISSONNET
Cheyenne CAUCHON Parrine CORBEIL Loreley GOULOIS
Malherbe
CAEN
Communiquer pour résister
Laurence
ALEXANDRA
Mme VALETTE
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
TROISIEME CATEGORIE : classes de tous les lycées
Travaux collectifs EXCLUSIVEMENT AUDIOVISUEL
Prix Nom prénom des lauréats Lycées Titres Enseignants Chefs d’établissements
1
er
Martin BINET
Léo CHANTREUIL Mathias EMO
Raphaël HUOT-MARCHAND
Malherbe
CAEN
Communiquer pour résister
Laurence
ALEXANDRA
Mme VALETTE
QUATRIEME CATEGORIE : classes de troisième
Devoirs individuels en classe
Prix Nom prénom des lauréats
collèges Enseignants Chefs d’établissements
1
er
Elias MORANGE
Pasteur
CAEN
Christophe LEGRAND
M. SALLES
2ème
Margo VILLEROY
Du Bois d’Orceau
TILLY-SUR-SEULLES
Hervé PATUREL
Mme LACOSTE
3
ème
Marie HARIVEL
Montgomeri
TROARN
Jean-Pascal AUVRAY
M. CHAILLON
1
er
accessit
Enguerrand DENOUAL
Pasteur
CAEN
Christophe LEGRAND
M. SALLES
2
ème
accessit
Clémence HERVOUET
Institution Saint-Pierre
CAEN
Françoise LE GRAND
M. LACHAUD
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
CINQUIEME CATEGORIE : classes de troisième
Travaux collectifs
Prix Nom prénom des lauréats
collèges Titres Enseignants Chefs d’établissements
1er
Noémie DUPUIS Gwladys GUERIN Estelle ROBINE Sarah SAFOUI
Montgomeri
TROARN
Communiquer pour
résister Les femmes aussi
J-P AUVRAY
M. CHAILLON
2ème
Léa AMILCAR Claire BRIOIS
Théophile HUET Benoit PEPIN
Montgomeri TROARN
Le papier contre l’acier
J-P AUVRAY
M. CHAILLON
3ème
Dorian CACITTI-HOLLAND
Thomas JOYEUX-ALCINDOR Armand LECLERC Charles ROQUES
Montgomeri
TROARN
Communiquer pour résister en Normandie : un acte de courage et
d’ingéniosité
J-P AUVRAY
M. CHAILLON
1er accessit Clémence DUFOUR Caroline GLOWACKI
Marie HARIVEL Anouchka MEZERAY
Montgomeri
TROARN
Communiquer pour
résister : La parole et le geste
J-P AUVRAY
M. CHAILLON
2ème accessit
Simon ETTORI
Lucie LEBELANGER Pauline VALERY
Hastings
CAEN
Communiquer pour résister :
La presse clandestine en Normandie (1940-1944)
Christelle LOUAIL
Mme LANGEARD
3ème accessit
Aline ADELEE
Romain BAILLEUL Alexine CHEMIN Gilles PERRIER
Notre-Dame
THURY-HARCOURT
Les voix de la Liberté
Régine BOUVET
Matthieu DUBOIS
M. DZIURA- KEUKELINCK
SIXIEME CATEGORIE : classes de troisième
Travaux collectifs EXCLUSIVEMENT AUDIOVISUEL
Prix Nom prénom des lauréats
collèges Titres Enseignants Chefs d’établissements
1
er
Arthur BADJI Bréwal DIEULEVEUX
Arnaud DREVET Lilian DUJARDIN
Hastings
CAEN
Communiquer pour résister : le rôle des
radios dans la Résistance
Christelle LOUAIL
Mme LANGEARD
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
PRIX PARTICULIERS
Prix Nom des lauréats Etablissements
Prix du Comité du
Débarquement
Elias MORANGE
Collège Pasteur
CAEN
Prix IHEDN
Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale
M. Jean-Pascal AUVRAY
M.CHAILLON Principal
Collège Montgomeri
TROARN
Prix ONBF
Œuvre Nationale du Bleuet de France
Adélaïde SUBTS
Lycée Charles de Gaulle
CAEN
Prix ANOCR
Association Nationale des Officiers de Carrière en retraite
Mme VALETTE
Proviseure
Lycée MALHERBE
CAEN
Prix de l’Amicale des Français libres
Mme PATARD-LEGENDRE
Mme LANGEARD Principale
Rectorat
CAEN
Collège Hastings CAEN
Le jury tient à remercier tous les chefs d’établissements ainsi que les professeurs
dont la participation a été particulièrement appréciée.
Les élèves des établissements qui n’ont pas été primés, mais qui ont fait preuve d’intérêt
pour ce concours, sont, eux aussi remerciés.
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
Etablissements ayant participé au concours
Lycée Charles de Gaulle,Caen.
Lycée Malherbe, Caen.
Lycée Dumont d’Urville, Caen.
Lycée privé Sainte-Marie, Caen.
Lycée Victor Hugo, Caen.
Collège Pasteur, Caen.
Collège Hastings, Caen.
Collège du Bois d’Orceau, Tilly- sur- Seulles.
Collège Montgomeri, Troarn.
Collège du Val d’Aure, Isigny-sur-Mer.
Collège Jean Castel, Argences. Collège privé Notre-Dame, Thury-Harcourt.
Collège Institution Saint-Pierre, Caen.
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
Les donateurs
Etat
La Préfecture du Calvados
L’Office national des anciens combattants et victimes de guerre du Calvados
(ONACVG)
La Direction des services de l’Education nationale du Calvados
Collectivités territoriales
Le Conseil régional de Basse-Normandie
Le Conseil général du Calvados
La Mairie de Caen
Associations patriotiques et mémorielles
ADIRP (Association des déportés, internés, résistants et patriotes)
ADIRP-FD du Calvados (Association des déportés et internés résistants et politiques
et familles de disparus).
Amicale des Français libres du Calvados
ANOCR (Association nationale des officiers de carrière en retraite)
Association du Calvados pour la promotion et l’animation du CNRD
Association régionale des auditeurs de l’IHEDN (Institut des hautes études de la
défense nationale)
Association Normandie mémoire
Association Souvenir et jeunesse
Comité du débarquement
Comité du souvenir français du Calvados
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la résistance et
compagnie Scamaroni.
FNDIRP (Fédération nationale des déportés et internés, résistants et patriotes)
Fondation de la Résistance
Œuvre nationale du bleuet de France
Comité régional résistance et mémoire, combattants volontaires de la Résistance et compagnie Scamaroni.
Monument aux fusillés du maquis de Saint-Clair (Donnay),
l’un des hauts-lieux de la Résistance dans le Calvados.