Communiquer sur internet

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C E P E G R A TRIMESTRIEL D’INFORMATIONS DES FORMATIONS POUR L’INDUSTRIE GRAPHIQUE C E P E G R A TRIMESTRIEL D’INFORMATIONS DES FORMATIONS POUR L’INDUSTRIE GRAPHIQUE L I NF O 7 4 Qu’est devenue Julie ? Nouvelles formations au Cepegra Graphic Design Museum à Breda Label FSC : pour qui, pour quoi ? © Eshuis Fotografie
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    21-Sep-2014
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Cepegra info47 : Communiquer sur internet, le Cepegra vous (in)forme ! Article des pages 5 et 6.

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Page 1: Communiquer sur internet

C E P E G R A

T R I M E S T R I E L D ’ I N F O R M AT I O N S D E S F O R M AT I O N S P O U R L’ I N D U S T R I E G R A P H I Q U E

C E P E G R A

T R I M E S T R I E L D ’ I N F O R M AT I O N S D E S F O R M AT I O N S P O U R L’ I N D U S T R I E G R A P H I Q U E

L I N F O’74

Qu’est devenue Julie?

Nouvelles formations au Cepegra

Graphic Design Museum à Breda

Label FSC: pour qui, pour quoi?

© Eshu

is Fotografie

Page 2: Communiquer sur internet

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À faxer ou renvoyer au centreForem Formation Cepegra - Avenue Georges Lemaître 22 - 6041 Gosselies - Fax : 071250399

Nom: Mme/M. : Prénom:

Fonction : Entreprise :

❑ Adresseprivée :

❑ Adresse professionnelle/Société :

Code postal : Localité :

Téléphone :

❑ J’ai changé d’adresse, voici ma nouvelle adresse:

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PRINT 201112 > 13/10

Les 12 et 13 octobre 2011, la deuxiè-me édition de PRINT aura lieu auBrussels Expo. Tout comme lorsde l’édition précédente, PRINT2011 est organisé parallèlementau salon de l’emballage le plusimportant de Belgique, EMPACK2011. Ainsi, les industries souventcomplémentaires de l’emballageet du graphisme sont rassembléessous un seul toit.

PRINT 2011 est une plate-formeunique en Belgique, où la plus-va-lue des imprimés est au centre desdébats. Cet événement de deuxjours présente aux professionnelsdécisionnaires ciblés, impliquésdans l’achat, la conception, la pro-duction et la finition d’imprimés,une opportunité unique de fairele plein de nouvelles idées et des’informer.

Les exposants de PRINT 2011 sontactifs dans différents domaines :

• les systèmes prépresse et pré-média, applications et logiciels

• les impressions à la demande etles solutions de publicationscommerciales

• les presses et imprimantes,équipement et pièces

• la finition des imprimés et laconversion

• les solutions de mailing directet marketing direct

• les services d’impression et lesconseils aux imprimeurs.

Le catalogue des exposants estdisponible sur le site internetwww.easyFairs.com/print-be. Ilcontient une fiche pour chaqueexposant, reprenant les produitset services. Il est possible de sé-lectionner les exposants qui vousintéressent et de créer le plan etla liste de vos préférences.

De mini-séminaires gratuits trai-tent de thèmes pratiques et ac-tuels du secteur graphique et descommunications. Ils font partiedu programme annexe au salon,pour lequel l’organisateur tra-vaille en collaboration avec lesexposants, des fédérations pro-fessionnelles et associations quifournissent des informations in-dispensables quant aux innova-tions, à la formation, à la régle-mentation, aux tendances etc.

C’est dans ce cadre que le Centrede compétence CEPEGRA sera pré-sent afin de répondre à vos ques-tions.

Le salon est une plate-forme derencontre unique, qui offre pleind’opportunités de réseautage. Lepremier jour du salon sera clôtu-ré par la remise officielle des Ga-zelles du secteur graphique parRoularta/Nouvelles Graphiques.

Informations pratiques :PRINT 2011Brussels Expo, palais 9Mercredi 12/10 : 12.00 – 21.00Jeudi 13/10 : 10.00 – 18.00

Pour plus d’informations, surfezsur www.easyFairs.com/print-be.

Viscom Paris27 > 29/09

Viscom Paris s’adresse aux transfor-mateurs de communication visuel-le et aux professionnels des artsgraphiques, aux annonceurs, auxprescripteurs et agences de com-munication, aussi bien concepteurset réalisateurs opérationnels qu’auxdonneurs d’ordres.

Vous y trouverez :- toutes les solutions et applica-

tions pour vos campagnes decommunication visuelles ou pu-blicitaires ;

- les nouveaux matériaux, pro-cess et nouvelles machines desfabricants/distributeurs du mar-ché international pour optimi-ser votre productivité ;

- les offres d’images, de contenuet de design pour personnaliservos supports de communicationvisuelle.

Le salon se déroulera à Paris NordVillepinte, hall 8. Il sera ouvertaux visiteurs de 9h30 à 18h00 le27 et 28/09 et de 9h30 à 17h00le 29/09.

Pour en savoir davantage surfezsur http://www.viscom-paris.com.

Page 3: Communiquer sur internet

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sommaire

Trimestriel gratuit, imprimé à 10000 exemplaires - 3e trimestre 2011

Rédaction : CepegraAvenue Georges Lemaître, 226041 GosseliesTél. : 071/250321 - Fax : 071/250399

Conception : Murielle Chauvaux - Nathalie Gautier

PAO et impression : Cepegra

Ont collaboré à la rédaction Murielle Chauvaux - Fred Colantoniode ce numéro: Thierry Herman - Stéphan Justin

Serge Perreau - Stagiaires assistants managers

Éditeur responsable : Jean-Pierre MéanBoulevard Tirou, 1046000 Charleroi

Imprimé sur papier ECF, FSC, EMAS.

dossier9

actualité du centre7

12

4

agenda

actualité du centre

que sont-ils devenus?

14 entreprise graphique

2

10 planning des formations

ÉditoÉdito

Gestionnairede projets graphiques

De l’ortho

à la graphie

Utilisant l’objet, la peinture ou le signe pour témoigner, dévoiler une

pensée, transmettre un message ou décrire une action… l’homme se

raconte depuis la nuit des temps.

De traits en courbes, de pictogrammes en idéogrammes, de concepts

visuels en alphabet, il s’inscrit dans l’histoire et nous livre la sienne

transcendant d’âge en âge la tradition orale par celle de l’écrit.

Analytique, cunéiforme, hiéroglyphique, calligraphique, alphabétique,

l’écriture sous toutes ses formes marque son évolution, dessinant

ce qu’il est et ce vers quoi il tend.

La pierre, l’argile, le papyrus, la soie, le bronze, le plomb, le bois ou le

papier… il sculpte, maquille transforme et habille le support. Fidèle à

l’expression qui le caractérise, insatiable, poursuivant sa course et

traversant les siècles, il découvre l’imprimerie. L’art d’écrire se propage

alors pour caresser ses jours, jalonner les générations et les vies.

Puis, soudainement, une nouvelle ère, une explosion poussant le

genre humain dans son évolution… Le XXe siècle s’estompe désignant

Internet pour mieux nous raconter, nous écrire, communiquer,

toujours, sans limites ni frontières, nous rencontrer, aujourd’hui,

simplement autrement…

Murielle Chauvaux

Le label FSCpour qui, pour quoi?

5 actualité du centre

e- communication

BredaGraphic Design Museum

JulieExilardennais pour

contenu et écriture web

Photographie première de couverture Eshuis Fotografie©

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Le label FSC, la garantie d’uneorigine responsable !

Créé il y a moins de 20 ans (en 1993), le FSCpour Forest Stewardship Council (traduisez« Conseil de bonne gestion forestière ») estune organisation non gouvernementale quiregroupe aussi bien des acteurs économiquesdes milieux forestiers, des filières bois et pa-pier que des organisations environnemen-tales et sociales. Par l’élaboration d’une nor-me internationale de gestion forestière etd’une norme garantissant la traçabilité desproduits, le FSC entend ainsi protéger les fo-rêts et valoriser la ressource bois à traversdes produits en bois/papier issus de forêtsgérées durablement et certifiées FSC et/oude sources responsables comme la fibre re-cyclée. L’identification de ces produits se faità travers le label FSC.

FSC, une garantieà travers trois labels !

Il n’existe non pas un, non pas deux, mais bientrois labels FSC différents ! En fonction de lanature du produit et de sa composition, vouspouvez rencontrer l’un des trois labels FSCreprésentés ci-contre. Le label « FSC 100%»est dédié aux produits fabriqués à 100% àpartir de fibres issues de forêts certifiées FSC,le label « FSC Recyclé » est quant à lui asso-cié aux produits fabriqués à 100% à partirde fibres recyclées alors que le label « FSCMixte» est utilisé sur des produits composésd’un mélange d’un minimum de composantsFSC (= fibres vierges certifiées FSC et/ou re-cyclées post-consommation) et de fibres re-cyclées et/ou de fibres vierges contrôlées.

Effet de mode outendance structurelle ?

Malgré les nombreux efforts menés en Eu-rope pour réduire ses impacts sur l’environ-nement, le secteur du papier souffre encoreaujourd’hui des dérives rencontrées danscertains pays en matière de coupes illégalesd’arbres pour la fabrication du papier.

Fin 2010, l’industrie papetière belge s’est en-gagée à garantir avec une fiabilité de 100%la provenance légale des fibres de bois et dela pâte utilisées pour la production de papieret de carton. Pour autant, de nombreux pro-duits en papier provenant de pays étrangersnotamment des marchés asiatiques n’appor-tent aucune garantie à ce sujet. Pour appor-ter ce type de garantie au client, de plus enplus d’entreprises du secteur du papier setournent vers les produits labellisés FSC.

Avec plus de 230 imprimeries certifiées FSCen Belgique, de plus en plus d’agences decommunication, d’agences de publicités oud’éditeurs sont amenés à devoir travailler

avec le label FSC. Or, le label FSC est unemarque déposée et certaines règles doiventêtre respectées notamment au niveau gra-phique. Qui peut utiliser le label FSC et com-ment? En quoi peut-il être intéressant pources agences ou pour un éditeur? La certifica-tion FSC est–elle obligatoire? Comment l’ob-tenir? Quels avantages sur le plan marketing?Tant de questions qui seront abordées lorsd’une journée de formation destinée auxagences de communication/publicités et auxéditeurs et organisée par le CEPEGRA et leCEFORA. Un rendez-vous à ne pas manquer !

Quand? Le mardi 25 octobre 2011 de 8h00à 16h30.

Où? : Au centre de compétence de l’indus-trie graphique (CEPEGRA) à Gosselies.

N’hésitez pas à vous inscrire via notre siteinternet www.formation-cepegra.be ou surwww.cefora.be (si vous faites partie de laCP218). Pour en savoir davantage surfer surwww.fsc.be.

Difficile de ne pas remarquer le label FSC et pour cause : on le retrouve sur une multitude deproduits en bois mais surtout de plus en plus sur des imprimés ! Mais que signifie-t-il au juste,qui peut l’utiliser et comment?

Le label FSC,

Stéphan Justin

pourquoi pas sur vos imprimés?

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Le Cepegra, attentif aux évolutions d’Internet et aux transformations de ce dernier, vous proposede découvrir dans les lignes qui suivent l’intérêt de ces deux nouveaux modules de formation etleur contenu pédagogique.

Le Web aujourd’huiet l’e-communication

Les technologies et outils qu’offre Internet àune entreprise pour se promouvoir ont consi-dérablement évolué ces dernières années.Plusieurs axes expliquent cette mutation :

- Les appareils communicants : téléphonesintelligents, tablettes ou encore netbooksconstituent la partie émergée de l’iceberg.De plus en plus d’outils entrés dans la viequotidienne se connectent à Internet (citonspour illustration les GPS ou encore la télévi-sion numérique). Cette situation permet auxsociétés d’explorer de nouvelles manières dese faire connaître (exemple : en s’inscrivantdans l’index d’un GPS pour figurer parmi lesétablissements proposés lors de l’arrivéedans une ville).

- La connexion à Internet en continu : enécho au point précédent, la permanence del’accès à Internet modifie sa consommation.L’apprentissage subit les impacts de cettesurabondance d’informations infiniment dis-ponibles. Les entreprises doivent prendreconscience que le web représente bien plusqu’un simple espace promotionnel et publi-citaire supplémentaire.

- L’avènement du web social : les médias etréseaux sociaux en ligne constituent le pointd’orgue d’une lente progression d’Internetdans le temps. Au départ réservé aux infor-maticiens, ce média s’est considérablementdémocratisé et la technique s’est effacée auprofit des usages. Les utilisateurs d’Internetne sont plus des techniciens, les places et

moyens d’expression sont nombreux. Le webmoderne permet aux individus de créer etentretenir des conversations dont la carac-téristique est la visibilité, puisque les mes-sages échangés peuvent être vus et relayéspar des milliers, voire millions, d’internautes.

Cette triple donne a favorisé la naissance denouveaux modes de ce qu’il est convenud’appeler « e-communication ». Cette forma-tion, organisée sur une journée, présente cecontexte du web moderne. Un accent estmis sur la génération née avec Internet. Eneffet, c’est elle qui intègre les entrepriseset, bientôt, les dirigera. Sa consommationd’Internet doit donc être prise en considé-ration lorsqu’on aborde ce média pour fairedu business.

Technologies et outils disponibles sont abor-dés lors d’exercices. L’objectif est double :- d’une part, donner un tour d’horizon des

possibilités et perspectives dès lors qu’ils’agit d’utiliser Internet pour promouvoiret vendre produits et services ;

- d’autre part, ouvrir l’esprit des participantsà de nouvelles méthodes d’informations in-novantes et originales pour valoriser unemarque, une entreprise ou encore un indi-vidu en ligne.

La stratégie dans le contexte du web socialest brossée. Les éléments indispensables àune bonne présence web et leur articulationsont présentés. La communication sur lesmédias et réseaux sociaux en ligne est miseen avant afin de permettre aux participantsqui le désirent d’exploiter ces outils dans lecadre d’une utilisation professionnelle.

Communiquer sur internet

le Cepegravous (in)forme!

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Contenu et écriture web

On vous le répète assez : l’avenir est aucontenu. Une certaine presse papier, désor-mais qualifiée de « traditionnelle », en amême fait son slogan commercial. Au-delàde l’effet d’annonce, il est vrai que les outilspour créer des sites web se multiplient, ac-centuant l’importance et les difficultés à of-frir aux visiteurs un contenu de qualité, à lafois informatif et attractif.

Le web ayant fait la place aux utilisateursnon techniciens, il devient facile de vouscréer une présence en ligne : en 10 minutes,vous pouvez démarrer un blog, ouvrir un siteen ligne, créer votre profil sur un réseau so-cial et vous exprimer !

Les outils sont relativement faciles à prendreen main, déployer et mettre en place. Unefois que c’est chose faite, une question de-meure : qu’allez-vous dire ? Cette interroga-tion constitue l’arbre qui cache la forêt. Enréalité, de nombreux points concernant laproduction de contenus pour le web sontépineux : que dire ? À qui délivrer le messa-ge ? Quelle organisation mettre en place ?Comment rédiger pour être lu ? Commentprendre en compte les attentes du lecteur

(utilisabilité) et des moteurs de recherche(référencement) ? Comment respecter l’er-gonomie de l’information?

L’ensemble des médias disponibles pour leweb ajoute encore à la difficulté de bien ex-ploiter l’ensemble pour être efficace. La mas-se d’information disponible sur Internet im-pose aux utilisateurs qui veulent y êtrevisibles de :- rédiger des contenus intéressants : les in-

formations que vous allez communiquerdoivent être formulées pour capter l’atten-tion et susciter l’intérêt de votre lectorat.Des techniques inspirées du journalisme, dumarketing et de la communication écritesont abordées lors de la formation pour dy-namiser l’intérêt autour de vos publications.

- les mettre en forme pour les rendre attrac-tifs : malgré l’impact de la vidéo, le web est,par nature, un média de l’écrit. Juguler cesdifférentes sources de contenus fait évi-demment partie de la stratégie de conte-nus. De même, elle englobe les principesd’écriture et de rédaction pour le web. Denombreuses règles, qui se présentent par-fois comme des « trucs et astuces » aide-ront les participants à formater et struc-turer visuellement l’information qu’ilssouhaitent valoriser en ligne.

Inventorier les informations disponibles, lesstructurer puis les hiérachiser pour enfin lesrelier entre elles constitue les 4 étapes fon-damentales du processus de gestion descontenus. Quant à la production des conte-nus proprement dite, 4 phases sont mises enlumière au cours de la formation: l’audit préa-lable, la planification, la production même (ycompris la publication), et l’entretien.

Au-delà des mots, chaque stade requiert uneattention méticuleuse et ne s’improvise pas.La formation offre aux participants un dé-coupage de ces différents temps qui condui-sent la création et le suivi des contenus pro-duits et mis en ligne.

Même si elles sont très complémentaires, cesformations sont indépendantes l’une del’autre. Elles peuvent être suivies ensembleou isolément selon les conditions habituellesdu Centre.

Fred Colantonio

Les prochaines formations «Contenu et écri-ture web» auront lieu les 14 et 21 octobre,le module «Outils d’e-communication» sedonnera le 18 novembre. N’hésitez pas àvous inscrire ou nous contacter via notresite internet www.formation-cepegra.be.

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Intéressons-nous à ce métierde manager d’équipe

À côté des méthodes, des techniques et desoutils qui seront utilisés lors des modules decette longue formation (c’est un paramètreimportant !), le pari est d’inviter le groupe à« s’utiliser » comme matériau, comme outil -une « terre à façonner » - pour comprendrecomment fonctionne une équipe en devenir.

Hypothèse risquée ! Pari difficile ! Évidem-ment des précautions sont prises et grâceaux compétences des formateurs et à l’at-tention de l’encadrement du Cepegra, cesqualités sont atteintes.

Le groupe deviendra-t-ilune équipe?

Tout commence lors de l’«assessment center1»,une douzaine de personnes sont choisiespour vivre ensemble et travailler tous lesjours durant 9 mois ! Fameux défi. Très rapi-dement l’accent est mis sur ce qui consti-tuera dans ces premières minutes, ces pre-mières heures, les fondamentaux : commentêtre accepté par tous? Comment être recon-nu par le groupe?

Ces questions, qu’en dynamique de groupe ondésigne comme celles attachées à l’apparte-nance au groupe, sont fondamentales. Elles

vont déterminer les premiers phénomènesd’une future (bonne) équipe : confiance (ensoi et aux autres), acceptation, attitudes ou-vertes, «même pas peur des critiques ! ».

À l’opposé, rater cette étape cruciale en-gendre la méfiance, la peur des autres, lacrainte de ne pas être conforme. Elle s’ob-serve par exemple dans des attitudes de mé-fiance, des ambiances polies, des défensesde son image.

Enfin, c’est un moment sensible qui très sou-vent implique chacun et permet à tous des’interroger et souvent de répondre à cetteapparente contradiction «quelles valeurs in-dividuelles suis-je prêt à remettre en ques-tion au nom des normes d’un groupe que jene connais que si peu? ».

La communication permet tout !

Pour entrer en relation avec un autre, il fautse mettre à sa place, le comprendre, saisirses centres d’intérêt. Séduire, informer etconvaincre sont, dans un groupe qui se consti-tue, les éléments d’une autre étape fonda-mentale ; elle concerne la communication.

La proposition de travail qui est faite, vise àmaîtriser les 5 éléments qui vont construirela communication en groupe… et se méfierdu 6e qui la démolit !

C’est une bonne occasion pour chacun decomprendre le fonctionnement du cerveaude « l’autre » (et très souvent par la même oc-casion le sien !). Cette compréhension, bio-logique mais surtout métaphorique, est l’oc-casion de réfléchir aux conditions quifaçonnent nos comportements communica-tionnels et nos échanges interpersonnels.Comment échangeons-nous? À quelles émo-tions faisons-nous appel ? Quels sont nos ré-flexes face à ce que l’on nous dit ?

1 L’assessment center est un processus de sélectiondes candidats. Plusieurs techniques, individuelles etcollectives, sont utilisées et plusieurs observateursévaluent le candidat. Les tests permettent de véri-fier si le candidat dispose bien des qualités néces-saires pour s’engager dans cette formation.

Une formationtrois métiers…

Comme son titre l’indique, la formation «Gestionnaire de projets graphiques», repose sur troispiliers, trois métiers peut-on même dire. Métiers du secteur graphique (fabrication, infographie,webdesign…), métiers de la « gestion de projets » (définition d’objectifs et clarté de la méthode,organisation temps/moyens/résultat, capacité d’anticipation…) et métiers de la gestion deséquipes (écoute et communication, sens du contact, esprit collectif, dynamique de groupe etrelations interpersonnelles, management différencié…).

Serge Perreau, formateur en dynamique de groupeet créativité.

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Pour un groupe qui communique, qui réus-sit ce moment d’exploration, c’est ouvrir unréseau « all channel » : chacun s’y sent res-pecté de donner son avis, la spontanéité estvécue positivement… et c’est une bonne ma-nière pour apprendre à rencontrer ses senti-ments !

Que voulons-nous faire ensemble?

P = C x M. La Performance d’un groupe estle produit de la Compétence et de la Moti-vation de chacun de ses membres.

Nous connaissons tous cette équation : ellese pose à nous quand dans un groupe, dansnotre équipe professionnelle, nous nousconfrontons à la question du projet, de laproduction, du travail à réaliser.

C’est le moment où le gestionnaire de pro-jets prend toute son importance. Où il rap-pelle et fixe les buts communs, les objec-tifs collectifs. C’est aussi le temps où l’ontente de répondre à cette interrogation :« mais de quoi, ensemble, sommes-nous ca-pables ? ».

C’est une étape d’évolution du groupe « af-finitaire » au groupe à tâches efficaces, dugroupe projet à l’équipe de travail.

Des notions préalables sont impérieuses àcomprendre et à intégrer par chacun: la coopé-ration et la collaboration active (plutôt quela compétition), l’implication, la définitionet la recherche des rôles des membres pourse concentrer sur les objectifs à atteindre.

Le gestionnaire de projet sera attentif à ceque les objectifs communs tiennent comptedes attentes personnelles. Par ses attitudes,il soutiendra la créativité et la liberté expé-rientielle. Il marquera un intérêt réel et per-sonnel pour le groupe afin de l’aider à deve-nir une équipe performante. Il restera enquestion sur tout ce qu’il observera : com-ment motiver ses collaborateurs, commentleur manifester mécontentement ou satis-faction, comment éviter l’apparition des« divas », comment contrer la résistance auchangement, comment s’assurer qu’ils aientréellement compris ce qu’on attend d’eux?Mais aussi quel travail, comme manager, ildoit accomplir sur lui-même pour qu’avecson équipe, il atteigne des résultats à la hau-teur de ses ambitions ?

Organisation et contrôle

Toutefois ce travail managérial serait vain sinotre gestionnaire de projet ne veillait à ins-crire ces attitudes dans le temps : la ques-tion de l’organisation, du « comment allons-nous faire ? » est à l’actualité.

Trop souvent nous observons – et parfoisl’avons-nous vécu – ces phénomènes destruc-teurs: ces «combats des chefs» stériles qui nesont qu’affrontements personnels et détour-nent l’équipe de sa mission, ces organisationsstructurées de manière tellement rigidequ’elles ne laissent plus de place à l’autono-mie. Au contraire, un bon gestionnaire d’équi-pe veillera à dynamiser dans son organisationdes « réseaux ouverts», soutiendra auprès deses coéquipiers l’interdépendance et la com-plémentarité des rôles, sera capable de délé-guer ses missions, aidera ses collaborateurs àsurmonter les échecs auxquels tous serontconfrontés. Enfin, gérer une équipe et l’accom-pagner dans son évolution passera par de né-cessaires phases de contrôle et d’évaluation.

Trois métiers… oui mais lequel ?

L’idée, lors de cette formation, n’est pas dedevenir un expert en gestion managériale !

Bien plus, durant ces 9 mois, la proposition detravail faite aux participants est de périodi-quement revenir sur les questions, les ré-flexions du métier de manager d’équipe touten les réintégrant dans le monde de l’entre-prise graphique. Sortir du « laboratoire » Ce-pegra pour suivre un stage en imprimerie, enmaison d’édition, en agence web… est un for-midable moment de confrontation avec le réel.Il permet très souvent aux apprenants de com-prendre où ils en sont dans leur évolution etde clarifier leurs futurs choix professionnels.

Réussir cette formation, c’est finalementparvenir à créer cette synthèse, cette poly-valence entre ce graphiste, ce porteur deprojet et ce gestionnaire d’équipe. Fameuxdéfi, n’est-ce pas !

Serge Perreau

Si vous êtes intéressé(e) par cette forma-tion, ou si vous désirez en savoir davantage,n’hésitez pas à vous inscrire, via notre siteinternet www.formation-cepegra.be, à laprochaine séance d’information qui aura lieule 20 septembre 2011 au Cepegra à Gosselies.

Page 9: Communiquer sur internet

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Ce 13 mai, Le Forem a organisé un col-loque portant un regard sur la nouvelleorthographe et la typographie. Le sujetest loin d’être anodin : la gestion de lacommunication occupe 70% du mon-de professionnel.

Les participants y ont découvert, par-fois avec stupeur, des mots comme: né-nufar, ognon, charriot, relai, etc. Il nes’agit pas ici de fautes, mais bien d’or-thographe réformée. Les règles princi-pales de cette réforme jouent sur quatredomaines : traits d’union, pluriel desnoms, accents et trémas ainsi que lesdoubles consonnes. Rendez-vous surhttp ://www.orthographe-recomman-dee.info pour tous les détails.

Cependant, constat a été posé qu’aucu-ne directive n’a été prise au niveau dela Communauté française concernant lechoix de l’une ou l’autre orthographe.Ces deux écritures existent et peuventcohabiter. Selon certains, même au seind’un seul texte. D’autres spécialistes re-commandent par contre une certaine cohé-rence. Régine Gendarme, responsable des for-mations en langues, communication etsecrétariat au Forem et initiatrice du colloquede conclure: «Aujourd’hui, on a essayé d’êtreclairs, mais rien n’est moins sûr que ce le soit…Doit-on former nos stagiaires à l’orthographetraditionnelle ou réformée? ».

L’informatique a également suivi la langue pournous simplifier la vie. Ainsi, la suite MicrosoftOffice 2010 propose divers outils linguistiquesà définir dans l’onglet «Vérification».

Il existe en premier lieu le correcteur clas-sique qui isole les fautes sur base d’un dic-tionnaire prédéfini. Ce sont les fameux mots

soulignés en rouge. La nouveauté estqu’il est dorénavant possible de sélec-tionner l’orthographe nouvelle ou recti-fiée, ou les deux. Le second est le cor-recteur grammatical qui a bien évolué.C’est celui qui souligne les mots en vert,comme le classique « si j’aurais su ». Ladernière trouvaille est le correcteurcontextuel en langue française qui per-met d’éviter des fautes d’homonymes. Ilsoulignerait donc en mauve « fosse scep-tique».

D’autres outils utiles au rédacteur sou-cieux de qualité sont disponibles. On peuttraduire de manière littérale, certes, l’en-semble ou une séquence d’un document;créer une bibliographie à l’instar d’unetable des matières déjà existante; recon-naître l’écriture manuscrite et, enfin, per-mettre une reconnaissance vocale mêmesi l’outil en est encore à ses premiers bal-butiements.

Quant aux hiboux plein de poux de notreécole primaire, ce n’est pas encore demainqu’ils perdront leur « x » au pluriel. Même sicelui-ci n’est qu’un accident de l’histoire, ladernière réforme de l’orthographe n’a pasosé y toucher. La prochaine sautera-t-ellele pas ?

Cet article a été écrit dans le respect des règlesde la nouvelle orthographe.

Cailloux, choux, genoux, hiboux, joujoux, etc. Bientôt un vague souvenir d’enfance?Entre les partisans de l’orthographe traditionnelle pour qui tout changement est vécu commeune atteinte à notre patrimoine et ceux qui estiment indispensable une certaine modernisation,la hache de guerre n’a jamais été enterrée. Et au milieu de ce conflit sans fin, ceux pour quila langue française est un outil de travail quotidien se retrouvent parfois bien dépourvus…

De l’ortho

Notre langue ne s’est pas faite en un jour et son orthographeactuelle est déjà le résultat de bien des réformes comme entémoigne ce dictionnaire de Robert Estienne de 1539…

à la graphie

Les stagiaires assistants managersde Forem Formation, Centre de Floreffe.

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planningformations travailleurs

Pour les travailleurs à titre professionnelFormation pour les enseignants3D Maya 04,05,06,07,08/07 Gosselies3D Maya 22,23,24,25,26/08 GosseliesDreamweaver -Niveau 1 11,12,13,14,15/07 GosseliesHtml et CSS 04,05,06,07,08/07 GosseliesHtml et CSS 22,23,24,25,26/08 GosseliesIllustrator -Niveau 1 22,23,24,25,26/08 GosseliesInDesign-Niveau 1 04,05,06,07,08/07 GosseliesInDesign niveau 1 22,23,24,25,26/08 GosseliesInDesign-Niveau 2 22,23,24,25,26/08 GosseliesPAO-Exercices intégrés 04,05,06,07,08/07 GosseliesPhotoshop base 11,12,13,14,15/07 GosseliesPhotoshop base 17,18,19,22,23/08 GosseliesPhotoshop pré-presse 24,25/08 GosseliesPhotoshop perfectionnement photomontage 29,30,31/08 GosseliesWeb - Exercices intégrés 04,05,06,07,08/07 GosseliesWeb - Exercices intégrés 22,23,24,25,26/08 GosseliesWordpress 29,31/08 Gosselies

Formation en semaine (de 8h00 à 16h30) à GosseliesAfter Effects - Niveau 1 22,23,25,29/11 - 06/12 GosseliesBase de données pour le web 09,12,13,15/09 GosseliesCharte graphique - Utilisation 15/09 GosseliesCharte graphique - Utilisation 16/11 GosseliesCMS 07,10,11,12,13/10 GosseliesColor management - Initiation 05/12 GosseliesColor management - Initiation 19/09 GosseliesColor management pour les photographes 28,29,30/11 GosseliesConcepts et techniques d'internet 17,18/08 GosseliesConcepts et techniques d'internet 01,02/12 GosseliesContenu et écriture web 14,21/10 GosseliesCréative Suite - Mise à jour PAO (version 5.0) 27/06 GosseliesCréative Suite - Mise à jour PAO (version 5.5) 03/12 GosseliesCréative Suite - Mise à jour PAO (version 5.5) 14/12 GosseliesDreamweaver - Niveau 1 11,12,13,14,15/07 GosseliesDreamweaver - Niveau 1 12,13,15,16,19/09 GosseliesDreamweaver - Niveau 1 21,22,23/11 - 05,06/12 GosseliesDreamweaver - Niveau 2 20,22,23/09 GosseliesDreamweaver - Niveau 2 08,12,13/12 GosseliesErgonomie de la mise en page 30/06 - 01/07 GosseliesErgonomie de la mise en page 10,11/10 GosseliesErgonomie de la mise en page 12,13/12 GosseliesErgonomie et layout des sites web 19,22,23,25,26/08 GosseliesErgonomie et layout des sites web 07,08,09,10,14/11 GosseliesFinal Cut 11,12,18,25,26/10 GosseliesFireworks et Photoshop pour le web 07,08,09/09 GosseliesFlash 20,21,22,27,28/06 GosseliesFlash 10,11,12,13,14/10 GosseliesGestion et référencement d'un site web 27,28,29/06 GosseliesGestion et référencement d'un site web 19,20,21/09 GosseliesGestion et référencement d'un site web 18,19,20/10 GosseliesHTML et CSS 22,23,24,25,26/08 GosseliesHTML et CSS 29,30/08 - 01,02,05/09 GosseliesHTML et CSS 04,05,06,07,08/07 GosseliesHTML et CSS 20,21,24,25,26/10 GosseliesHTML5 et CSS3 - Mise à jour 28,29,30/09 GosseliesHTML5 et CSS3 - Mise à jour 05,06,07/12 GosseliesIllustrator - Niveau 1 22,23,24,25,26/08 GosseliesIllustrator - Niveau 1 10,11,12,17,18/10 GosseliesIllustrator - Niveau 2 23,26,28/09 GosseliesIllustrator - Niveau 2 21,22,23/11 GosseliesInDesign - Niveau 1 04,05,06,07,08/07 GosseliesInDesign - Niveau 1 22,23,24,25,26/08 GosseliesInDesign - Niveau 1 08,09,12,13,14/09 GosseliesInDesign - Niveau 1 26,27/10 - 07,08,09/11 GosseliesInDesign - Niveau 2 22,23,27,28,29/06 GosseliesInDesign - Niveau 2 22,23,24,25,26/08 GosseliesInDesign - Niveau 2 03,04,05,06,07/10 GosseliesInDesign - Niveau 2 05,06,07,19,20/12 GosseliesInitiation à la programmation pour le web 29,30,31/08 GosseliesJQuery - Base 01,05,06/09 GosseliesJQuery - Avancé 05,06/10 GosseliesLabel FSC et secteur graphique 25/10 GosseliesLightroom 24,25/10 GosseliesMise en page magazines et quotidiens 04,05,06/07 GosseliesMise en page magazines et quotidiens 12,13,14,17/10 GosseliesNewsletter 21,22/11 GosseliesOutils d'E-Communication 18/11 GosseliesPDF 07,08/07 GosseliesPDF 19,20/12 Gosselies

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PDF 28,31/10 GosseliesPhotographie numérique 03,04,05/10 GosseliesPhotoshop base 11,12,13,14,15/07 GosseliesPhotoshop base 17,18,19,22,23/08 GosseliesPhotoshop base 29,30,31/08 - 01,02/09 GosseliesPhotoshop base 07,08,09,16,17/11 GosseliesPhotoshop pour le pré-presse 24,25/08 GosseliesPhotoshop pour le pré-presse 05,06/09 GosseliesPhotoshop pour le pré-presse 28,29/11 GosseliesPhotoshop perfectionnement photomontage 29,30,31/08 GosseliesPhotoshop perfectionnement photomontage 20,21,22/09 GosseliesPhotoshop perfectionnement photomontage 05,06,07/12 GosseliesPHP avec Dreamweaver 19,20,22,23,29/09 - 03,04/10 GosseliesPreps version 6.1 - Mise à jour 30/09Preps version 6.1 - Mise à jour 19/12Wordpress 23,24/06 GosseliesWordpress 29,31/08 GosseliesWordpress 22,23/09 GosseliesWordpress 01,02/12 GosseliesWordpress - Webdesign 04,06,07/10 GosseliesWordpress - Webdesign 21,24,25/10 GosseliesXML 07,08/09 GosseliesXpress 27,28,29,30/06 - 01/07 Gosselies

Pour les travailleurs à titre personnel ou professionnelFormation du samedi (de 9h00 à 17h00)After Effect - Niveau 1 19,26/11 - 03,10,17/12 GosseliesCMS 17,24/09 - 01,08,15/10 GosseliesConcepts et techniques d'Internet 17,24/09 GosseliesContenu et écriture web 10,17/12 GosseliesCréation de logos 08,15,22/10 GosseliesDos numérique et éclairage en studio 22/10 GosseliesDreamweaver - Niveau 1 19,26/11 - 03,10,17/12 GosseliesErgonomie de la mise en page 17,24/09 GosseliesFinal Cut 17,24/09 - 01,08,15/10 GosseliesGestion et référencement des sites web 19,26/11 - 03/12 GosseliesHDR, agrandissement et piqué d'image 22/10 GosseliesHTML et CSS 01,08,15,22,29/10 GosseliesHTML5 et CSS3 - Mise à jour 19,26/11 - 03/12 GosseliesIllustrator - Niveau 1 19,26/11 - 03,10,17/12 GosseliesIllustrator - Niveau 2 19,26/11 - 03/12 GosseliesInDesign - Niveau 1 17,24/09 - 01,08,15/10 GosseliesInDesign - Niveau 2 19,26/11 - 03,10,17/12 GosseliesJQuery base 19,26/11 - 03/12 GosseliesJQuery avancé 10,17/12 GosseliesLightroom 17,24/09 GosseliesLightroom 19,26/11 GosseliesOutils d'E-Communication 22/10 GosseliesPhotographie numérique 01,08,15/10 GosseliesPhotoshop base 17,24/09 - 01,08,15/10 GosseliesPhotoshop pour le pré-presse 19,26/11 GosseliesPhotoshop perfectionnement photomontage 03,10,17/12 GosseliesPhotoshop pour les photographes 03,10/12 GosseliesWordpress 17,24/09 GosseliesWordpress - Webdesign 01,08,15/10 Gosselies

Formation à distanceIntroduction à la typographie du 04/07 au 31/08 Présentiel : 11/07 AM, 31/08 GosseliesIntroduction à la typographie du 05/09 au 05/10 Présentiel : 12/09 AM, 05/10 GosseliesIntroduction à la typographie du 07/11 au 07/12 Présentiel : 14/11 AM, 07/12 GosseliesMise en page créative du 04/07 au 31/08 Mise en page créative du 01/09 au 30/09 Mise en page créative du 07/10 au 07/11 Mise en page créative du 16/11 au 16/12 Photoshop Acquisition et retouche du 04/07 au 31/08 Photoshop Acquisition et retouche du 01/09 au 30/09 Photoshop Acquisition et retouche du 07/10 au 07/11 Photoshop Acquisition et retouche du 16/11 au 16/12 Photoshop photomontage du 04/07 au 31/08 Photoshop photomontage du 01/09 au 30/09 Photoshop photomontage du 07/10 au 07/11 Photoshop photomontage du 16/11 au 16/12

Informations pratiquesFormation gratuite pour:• les enseignants (sur base d’une convention signée entre l’établissement scolaire et le centre de compétence CEPEGRA) ;• les travailleurs introduisant une demande à titre personnel (uniquement le samedi) ;• les travailleurs des entreprises de la commission paritaire 130 sur base d’une attestation du service social de l’entreprise précisant

la commission paritaire de ses travailleurs (ou fiche de salaire).• les travailleurs des entreprises de la commission paritaire 218 en s’adressant au CEFORA.Pour les candidats ne répondant pas à ces critères, les frais de participation s’élèvent à 120 euros par jour.Possibilité de prise en charge des frais avec les Chèques-formation de la Région wallonne : www.formabanque.be.

Formations personnaliséesLes formations personnalisées peuvent être envisagées dans notre centre de formation ou en entreprise. Les frais de participation s’élèventà 600 € par jour et par groupe de 5 personnes maximum et 120 € supplémentaires au-delà de ce nombre.

Inscrivez-vous via notre site internet www.formation-cepegra.be

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Commune de Sainte-Ode province deLuxembourg. Altitude : 500 m. Quand onarrive au domaine de Beauplateau, il estdifficile de s’imaginer y trouver une impri-merie moderne. Julie Cristofani ne pensaitsans doute pas décrocher son premieremploi dans un tel endroit, au milieu desbois et des prés, à une vingtaine de kilo-mètres de Saint-Hubert.

Après un graduat à Saint-Ghislain, la jeunefemme s’était inscrite au Cepegra pourcombler quelques lacunes techniques. «Àl’école, on touchait un peu à tout et cela meplaisait bien car je ne savais pas encoreexactement ce que je voulais faire », raconteJulie. «À ma sortie en 2008, je trouvais queje n’avais pas eu assez de cours d’infogra-phie et un de mes professeurs m’a recom-mandé les formations du Cepegra. J’aienvoyé une lettre de candidature et, à la finde l’année, je passais les tests d’entrée. Onm’a alors inscrite à une semaine d’essai et, ala fin de celle-ci, on m’a conseillé de plutôtsuivre un « parcours » qu’une formationlongue. Ces deux mois m’ont apporté denouvelles connaissances mais aussi plus deméthode. Ensuite, j’ai eu la possibilité departiciper à l’atelier organisé dans le cadrede la formation en Gestion de projets gra-phiques. Comme il n’y avait pas assez d’info-graphistes, j’ai eu la chance de travailler surdeux projets, une brochure consacrée à desateliers pour enfants et un dépliant dédié àdes stages sportifs pour ados ».

Avec deux clients satisfaits et deux exemplesde plus à ajouter à son portfolio, Julie a pualors se mettre à la recherche d’un emploi.«Sur le site du Forem, je suis tombée sur uneoffre pour Impribeau et j’ai envoyé mon CV.

C’était seulement le deuxième que je postais !J’avais certaines craintes parce que l’an-nonce parlait de workflow et de choses queje ne connaissais pas mais j’ai tenté machance. Et ils m’ont recontactée », expliquel’infographiste.

À la recherche de quelqu’un de polyvalent,la petite société ardennaise convoque doncJulie pour un entretien. Timide et peu habi-tuée à ce genre d’exercices, elle en ressortpersuadée de ne pas convenir. «Ce qui m’asauvée, c’est mon book. Je n’avais pasencore beaucoup de choses à montrer maisj’avais essayé de présenter mes travaux demanière originale, un peu sous forme delivre. Ça leur a beaucoup plu et ils ont puvoir que je pouvais être créative et quej’étais capable d’une certaine réflexion parrapport à la mise en page », précise Julie.« Je n’étais malgré tout pas du tout sûre du

résultat mais ils m’ont rappelée : j’avais étésélectionnée et je pouvais passer un testpratique ».

Un pied dans la maison

Déjà un peu surprise d’avoir franchi victo-rieusement la première étape, Julie reprenddonc la route de Sainte-Ode sans trop destress, se disant qu’au pire, ce sera toujoursune expérience de plus.

« Le fait d’être une femme a sans doute jouéun rôle : les deux autres postes d’infogra-phistes étaient occupés par des hommes etils souhaitaient varier les points de vue etprofiter aussi d’une sensibilité féminine »,raconte-t-elle. «D’ailleurs, on nous demandesouvent, à mon collègue Michaël et à moi, defaire deux projets séparés lorsque l’imprimeriereçoit une commande d’un nouveau client.Suite au test pratique, on m’a rappelée poursigner un contrat et j’ai commencé à travaillerle lendemain. Après deux CDD de 6 mois, j’aiété embauchée à durée indéterminée».

Un engagement qui s’accompagnera d’undéménagement pour la jeune Hennuyère,car faire la navette entre Chapelle-lez-Herlaimont et le centre de l’Ardenne deve-nait impossible… « L’an dernier, j’ai même dûacheter des pneus adaptés. Circuler ici enplein hiver, ce n’est pas toujours facile,surtout avec 40 centimètres de neige !Même les camions des papetiers ou deslivreurs de plaques offset ne parviennent pastoujours jusqu’à l’imprimerie. On est obligéd’aller à leur rencontre avec le transpalettecar ils ont trop peur de ne plus pouvoir remon-ter la côte qui mène à l’atelier…».

On imagine les imprimeries, blotties au cœur des agglomérations ou installées en périphériedans d’impersonnels zonings industriels, pas trop loin de leurs marchés potentiels. À mille lieuesde ce cliché souvent vérifié, Impribeau a su dénicher ses clients au beau milieu de la campagneardennaise. Et Julie Cristofani, à peine sortie du Cepegra, y a trouvé son bonheur…

Pour Julie, un job intéressant vaut bien un petit exil.

JulieExilardennais pour

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Pas facile non plus de quitter la maisonpour venir s’installer si loin dans le sud dupays. « J’ai pris un appartement à Tennevilleet j’y vis pendant la semaine. Seule, ce n’estpas évident et c’est un peu loin de tout. Jedois prendre la voiture pour aller à la banqueet il faut presque dix minutes pour se rendreau magasin le plus proche, déplore la jeunefemme. Heureusement, c’est une petiteentreprise familiale, pas du genre ” chacunpour soi ” et je ne me sens pas trop isolée. Sij’étais dans une boîte plus impersonnelle, jene tiendrais peut-être pas le coup ».

Elle regrette d’ailleurs un peu le manque decontact avec les clients. « Le plus souvent,on a des contacts par téléphone et on nevoit pas grand monde mais au niveauboulot, cela va de mieux en mieux.L’entreprise a changé sa manière de tra-vailler : on a mis en place un véritable plan-ning de production pour l’impression : avant,on imprimait ce qui était le plus urgent ; àprésent, c’est davantage organisé. C’est plussimple pour les imprimeurs et cela nouspermet de mieux suivre les clients, de lesavertir du moment où leur travail sera prêt,de leur demander les corrections pour teljour… Parfois cela marche, parfois pas… ».

Au menu de Julie, des brochures, des pla-quettes, des affiches mais aussi les jour-naux communaux de quelques entitésvoisines comme Sainte-Ode ou Saint-Hubert.Ces travaux un peu répétitifs ne constituentpas la totalité de son quotidien et Julie aparfois l’occasion de travailler sur desprojets plus originaux qui la ramènent à cespremières amours…

«Nous devions réaliser une brochure sur lessoins palliatifs. Ce n'est pas un sujet très gaiet la cliente aurait voulu des illustrations àl’aquarelle mais n’avait trouvé personnepour le faire, se souvient-elle. J’ai pris celaen charge et j’ai travaillé chez moi durantles heures de bureau pour créer toutes lesillustrations du livre. C’était d’autant plusamusant que je savais qu’ensuite, montravail serait imprimé dans les règles de l’artet que le résultat serait satisfaisant…».

Une entreprise pas comme les autres

Bref, la graphiste de Chapelle-lez-Herlaimontse plaît plutôt dans son boulot, malgré lasituation géographique et les petites contra-riétés inévitables. Elle se sent à l’aise danscette petite structure qui occupe 10 per-sonnes et jouit d’un statut un peu particulier.SPRL à finalité sociale, Impribeau est enfait une émanation du Domaine deBeauplateau, une institution qui accueille desenfants et adolescents placés par le juge. Ilsvivent dans le domaine et certains y suiventmême des formations dans le secteur del’Horeca ou dans celui de la finition. Riend’étonnant donc à ce qu’une partie destravaux imprimés par Impribeau soit ensuitereliée dans l’entreprise de formation par leTravail (EFT) voisine, le Futur Simple. Quantaux bénéfices générés par Impribeau, ilssont intégralement reversés au Domaine etcontribuent donc à son financement. Cetteappartenance à l’économie sociale ne changepas grand-chose au travail des infographisteset Julie s’en accommode très bien.

«Petit à petit, j’ai pris plus d’assurance »,explique-t-elle. « J’arrive à créer des misesen page variées et cela se passe très bienavec la clientèle. C’est toujours valorisant devoir des clients demander à travailler avecmoi parce qu’ils ont été contents du boulotprécédent et qu’ils savent que cela va biense passer », ajoute-t-elle en souriant. Un belaboutissement pour un premier emploi…

Dans ses locaux de Saint-Ode, Impribeau héberge une Roland 304, une Speedmaster 2 couleurs et unstudio prépresse.

Propos recueillis par Thierry Herman

Si de nombreux travaux réalisés à Beauplateauont une coloration locale, l’imprimerie va aussichercher ses clients en France.

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«Dans notre pays, le graphisme est unsecteur qui compte et la profession est trèsbien considérée. C’est pour cela qu’y créerun lieu uniquement consacré à cette spécia-lité nous paraissait naturel », explique FranVanden Bogaert, qui gère la communicationdu Graphic Design Museum. Malgré cettesituation favorable, le projet n’est pourtantpas né du jour au lendemain. Si l’institutiona ouvert ses portes il y a trois ans, ses ori-gines remontent au début des années 80.

Au départ, le bâtiment qui abrite le muséeservait déjà de centre culturel et de salled’exposition mais il était trop exigu pourhéberger une collection permanente. FrankTiesing et Willem Sandberg commencèrent àcaresser l’idée d’y créer quelque chose deplus durable. Graphiste célèbre dans le pays,Willem Sandberg était aussi le directeur duStedelijk Museum d’Amsterdam. Peu à peu,les deux hommes firent avancer le projetjusqu’à aboutir à l’inauguration du muséepar la Reine en 2008.

«Nous sommes sans cesse entourés par ledesign graphique : quand nous lisons unjournal ou un magazine, quand noussommes dans la rue, quand nous faisons noscourses au supermarché… Ce que nousessayons de faire au musée, c’est expliqueraux gens ce qu’est le design, qui en sont lesprofessionnels et comment ils travaillent »,précise la jeune femme. «C’est d’autant plusimportant que l’évolution technique a misentre les mains de tout un chacun des outils quiétaient jusqu’ici l’apanage des professionnels.

Réputés pour leur riche tradition en imprimerie et en typographie, les Pays-Bas le sont aussipour leur avant-gardisme. Ils ont su imposer, d’un bout à l’autre de la planète, le label du « dutchgraphic design ». Que le premier musée au monde à être entièrement dédié au graphisme ait éludomicile dans ce pays, à deux pas de notre frontière, n’étonnera donc pas grand monde…

Au cœur de Breda, le musée du design graphique profite d’un environnement agréable… et n’est qu’à deux pas de nos frontières.

Tulipes, fromageset art graphique

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Dans ce sens, nous menons aussi uneréflexion sur le futur du métier et sur sonévolution possible ». Une réflexion dont onpeut découvrir quelques résultats dans lessalles d’exposition: une projection muralerecompose sans cesse une mise en pagebasée sur des contenus récoltés sur le web.Pour le studio Lust de La Haye, il s’agissait demontrer que le rôle du graphiste s’éloignede la mise en page pour se rapprocher de laprogrammation…

Une mise en perspective de la création

Qu’il s’agisse des collections et expositionsou de l’aspect du bâtiment lui-même, leMusée du Design Graphique a constammentun pied dans le passé et l’autre dans leprésent et l’avenir. Installés au cœur de lapetite ville du sud de la Hollande, àquelques pas seulement de la place dumarché et des rues commerçantes, les4000m2 du musée se partagent entre uneaile datant de 1643 à l’allure typiquementnéerlandaise et une extension conçue dansun style très actuel. Le visiteur y pénètrepar un porche à l’ancienne mais c’est dansles locaux modernes et les sous-solscreusés pour l’occasion qu’il passera le plusclair de son temps. Au programme, uneexposition permanente consacrée à unsiècle de graphisme au Pays-Bas, des expo-sitions thématiques temporaires et un vasteespace interactif et ludique.

Quel que soit le sujet, l’approche retenueprivilégie les liens entre société et designgraphique. C’est cet esprit qui a présidé à la

conception de l’expo intitulée 100 ans degraphisme au Pays-Bas. «Nous avons choiside remonter un siècle en arrière car c’est àce moment-là que la spécialité est devenueun vrai métier », explique Fran VandenBogaert. « Les entreprises ont compris alorsque l’emballage de leurs produits, la publi-cité qu’on pouvait en faire avait un impactcertain sur les ventes. De la même manière,l’obtention du suffrage universel au débutdu XXe siècle a entraîné l’apparition desaffiches électorales car chaque parti devaitdésormais convaincre le peuple de voterpour lui. »

C’est ce que montre l’exposition, en insis-tant aussi sur l’extraordinaire essor qu’àconnu le secteur après la deuxième guerremondiale, à un moment où il fallait rebâtir

un pays laissé en ruine et où une vague deliberté transformait en profondeur lasociété hollandaise.

L’accent est aussi mis sur l’interactivité etsur la démarche des créateurs. Une dessalles propose ainsi des tables interactivesqui permettent de découvrir quelques réali-sations emblématiques du design hollan-dais. Présentés sous forme d’études de cas,les exemples vont de la signalétique à laconception de livres ou d’affiches enpassant par la création d’identité. Ils sontdécortiqués et expliqués au travers devidéos et de documents : quelle était lademande du client, où le créateur a-t-iltrouvé son inspiration, quelles ont été lesréactions du public, etc. Petit bémol toute-fois, ici comme ailleurs dans le musée, lesexplications ne sont disponibles qu’ennéerlandais et en anglais. Dommage pourceux dont la seule langue est le français…

Dans la salle voisine, «UnCOVERing Women»,une expo temporaire plus modeste (quis’achevait le 29 mai), détaille l’évolution dela presse féminine et de l’image de lafemme dans celle-ci. Ici encore, le lien avecl’évolution de la société est évident et ils’agit aussi de s’adresser à un public pluslarge et sans doute moins pointu.

Approche différente pour la seconde exposi-tion temporaire créée par Mieke Gerritzen,la nouvelle directrice du musée. ConnectingThe Past And The Future met en relation descréations modernes et plus anciennes etintéressera sans doute davantage les gra-phistes ou les étudiants que les novices…

L’expo «UnCOVERing Women » retraçait l’évolution de la place de la femme dans la société hollandaise.

Une démarche originale : le logo d’une chaîne de supermarché détourné par ses propriétaires et intégré àune mosquée provisoire créée pour le ramadan.

©Lopke van de Reijt

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La main à la pâte

La visite se termine par une vaste salle aucontenu plus ludique. «Au départ, nousl’avions conçue pour les enfants mais lesadultes aussi voulaient s’y essayer. Nous lafaisons donc évoluer dans ce sens », précisela responsable de la com. Les visiteurs sontinvités à y réaliser une mise en page déme-surée en disposant des éléments pré fabri-qués sous le regard d’une web cam, àconcevoir un pictogramme au départ d’unedemande générée de manière aléatoire ouencore à créer un T-shirt. Chaque créationdoit être bouclée dans un délai donné auterme duquel le résultat est posté sur un siteweb dédié. Une bonne première approchedu métier et de ses contraintes…

L’an dernier, le musée a attiré 50000 visi-teurs dont environ 20000 enfants. «La plupartsont des gens intéressés par la culture ausens large. Ce n’est pas toujours facile deconvaincre le grand public car le nom mêmedu musée en laisse certains perplexes. Nousdevons souvent commencer par expliquer dequoi parle vraiment le musée. Le fait de nepas être dans une grande ville touristiquecomme Amsterdam, par exemple, est aussiun handicap. La ville sera bientôt desserviepar une ligne de train à grande vitesse etnous espérons en profiter. »

L’implantation du musée dans une petiteagglomération décentrée comme Bredapourrait en effet paraître un peu paradoxalemais elle ne doit pas grand-chose au hasard.

Avec une académie pionnière dans ledomaine de l’infographie et de nombreuxgraphistes de premier plan installés dansles environs, la cité brabançonne n’était pasétrangère à ce domaine. Aujourd’hui, ellecherche à affirmer son image de ville de la

communication visuelle : une semaine dudesign y est organisée tous les deux ans (ilfaudra attendre mai 2012…), de même qu’unfestival de bande dessinée. Quant à son fes-tival du film, il s’ouvre toujours davantage àl’animation. Autant de raisons pour les visi-teurs belges d’y faire un saut durant lesmois d’été…

En pratique…

Breda se trouve à 50 kilomètres d’Anvers viala E19. De Bruxelles, il faut compter unecentaine de kilomètres et une bonne heurede route si on a la chance d’échapper auxbouchons des rings des deux villes. Sur place,on trouvera un vaste parking payant à deuxpas du musée. La principale rue commer-çante de Breda n’est pas loin et débouchesur la grand-place…

À partir du 11 juin, une nouvelle expositionbaptisée «Graphic Detour » explorera leslimites de plus en plus floues du design gra-phique et associera studios graphiques etcréateurs venus d’autres disciplines.

L’entrée coûte 7,50 € pour les adultes.http://www.graphicdesignmuseum.nl

Thierry Herman

L’interactivité tient une grande place dans le musée : on peut s’y essayer à la mise en page de façon démesurée ou y créer des T-shirts.

Après les expos sérieuses, on découvre des activitésplus ludiques.

©Lopke van de Reijt