COMBAT - 6 Novembre 1989 - François Raes

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 Hebdomadairesyndicaletwallon Fondé e 5 anvier 1961 par André Renard Rédaction : 55, rue de la Régence, 4000 Liège. Tél. 041-20.18.11 Télex 41.143 - Fax 041-23.21.52 Abonnements : 9, place St-Paul, 4000 Uège - Tél. 041-20.62.11 - Tarif : 1 an : 1.200 F - 3 mois : 300 F Editeur responsable : *Carol GLUZA, 9, place St-Paul, 4000 Liège 12 PAGES WMER044 JNIVEMBRE1989 J- ¥> Dans  l industrie  brassicole  :  Interbrew, redéploiement ou concentration  ? (PAGES 6 et 7) Sur la Place publique Les foulards des éco- lières m usulmanes : le doigt dans lengrenage ? (PAGE 2) Social Les salai res et  lindce des prix doctobre 1989 (PAGE 3) •.G az et électri cité: la FGTB demande une consultation du Comité de contrôle (PAGE 3)  Lartice  143 : le chô- mage de ongue durée •-•*-• >•;•••• (P AGE 4) Gendarmes Un entretien avec Fran- çois Raes, e proscrit (PAGE 5) Sucre La Raffinerie tirlemon- toise  sest  vendue aux Alle- mands (PAGECENTRALE) Communes Seraing et Herstal après Liège par un plan d'assai- nissement financier ? Le  C.E.S.R.W.  et le .Fonds de  l'emploi  : un demi-milliard pour aider les chômeurs en 1990 (PAGE 8) Loisirs Un livre et un film : « Nocturne indien » (PAGE 9) Livres-service Annuler une vente peut coûter cher La amille  au  jour  le  jour (PAGE 11) A  l'écoute  du monde Le Parti socialiste espa- gnol après les élections : une victoire et un avertisse- ment (PAGE 11) Fiscalité La réforme de  l mpô t des sociétés sera-t-elle réelle ? (PAGE 12) I316S Nouvelles mesures pour régulariser les paiements (page  4)

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Revue "Combat" du 6 novembre 1989

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  • Hebdomadaire syndical et wallonFond le 5 janvier 1961

    par Andr RenardRdaction : 55, rue de la Rgence,

    4000 Lige. Tl. 041-20.18.11Tlex 41.143 - Fax 041-23.21.52

    Abonnements : 9, place St-Paul,4000 Uge - Tl. 041-20.62.11 -Tarif : 1 an : 1.200 F - 3 mois :

    300 FEditeur responsable :

    *Carol GLUZA, 9, place St-Paul,4000 Lige

    12 PAGESWMER044

    JNIVEMBRE1989

    J-

    >

    Dans l'industrie brassicole : Interbrew,redploiement ou concentration ?

    (PAGES 6 et 7)

    Sur la Placepublique Les foulards des co-lires musulmanes : ledoigt dans l'engrenage ?

    (PAGE 2)Social Les salaires et l'indicedes prix d'octobre 1989

    (PAGE 3) .Gaz et lectricit: laFGTB demande uneconsultation du Comit decontrle

    (PAGE 3) L'article 143 : le ch-mage de longue dure

    - * - > ; ( P A G E 4 )

    Gendarmes Un entretien avec Fran-ois Raes, le proscrit

    (PAGE 5)Sucre La Raffinerie tirlemon-toise s'est vendue aux Alle-mands

    (PAGE CENTRALE)Communes Seraing et Herstal aprsLige par un plan d'assai-nissement financier ?

    Le C.E.S.R.W. et le.Fonds de l'emploi : undemi-milliard pour aider leschmeurs en 1990

    (PAGE 8)Loisirs Un livre et un film : Nocturne indien

    (PAGE 9)Livres-service Annuler une vente peutcoter cher La famille au jour le jour

    (PAGE 11)A l'coute dumonde Le Parti socialiste espa-gnol aprs les lections :une victoire et un avertisse-ment

    (PAGE 11)Fiscalit La rforme de l'imptdes socits sera-t-ellerelle ?

    (PAGE 12)

    I316S

    Nouvelles mesures pour rgulariser les paiements (page 4)

  • Combat du 6 novembre 1989

    SUR LA PLACE PUBLIQUEDpnalisaf ion de Pavortement : l'heure de passer au vote.Foulard islamique : le symbole de la sujtion des filles

    Snat: reprise (et fin?)du dbat

    Vendredi 3 novembre, leSnat devait reprendre sondbat sur la proposition deloi qui dpnalise l'avorte-ment. Le calendrier fix,avec des sances le sa-medi 4 et le lundi 6, devraitpermettre d'en arriver auvote final le mardi 7 novem-bre, autre journe ven-tuellement de sance, unvote de nuit avait t exclupar le prsident Swaelen.

    Toutefois, la discussiongnrale n'tait pas close la veille de la Toussaint, etcelle des articles risquaitd'tre longue, surtout l'arti-cle 2. Et la dtermination duCVP faire traner leschoses en longueur (de fa-on retarder le processus la Chambre) ne doit pas tresous-estime.

    Le discoursde M. Van Rompuy

    Le vendredi 27 octobre, leprsident du CVP, HermanVan Rompuy ( ne pasconfondre avec son frreEric Van Rompuy, qui estdput) a prononc un dis-cours trs attendu, trscout et trs dogmatique.M. Van Rompuy est d'appa-rence fluette, mais son inter-vention, en vingt pages dac-tylographies, tait plutt enacier ou en bton.

    D'emble, la dramatisa-tion : Ce dbat est le plusimportant de notre histoire...pour les sociaux chrtiensflamands, il s'agit d'un dbatsurlavieetlamort.

    Le droit la vie, a affirmaprs tant d'autres M. VanRompuy, commence ds laconception, car pour lui dsle premier jour il y a un trehumain. C'est videmmentl le dogme. A partir de l,M. Van Rompuy peut soute-nir que nul n'a le droit des'riger en juge de la vie oude la mort, ce qui escamotele dbat sur la libert indivi-duelle de la femme.

    Charges motionnelles

    M. Van Rompuy a placdes charges motionnellesdans son discours : On nevoit pas l'enfant en gestationet c'est cette absence qui lerend vulnrable (...). La tech-nique moderne de l'chogra-phie permet actuellement devoir l'enfant en gestation, detelle sorte que l'implicationmotionnelle devient beau-

    coup plus grande et que laconscience morale de la pr-sence d'un tre humain s'ac-crot (...). L'enfant natreest sans dfense et totale-ment dpendant.

    Ces considrations nesont pas risibles et on auraittort d'en sous-estimer l'im-pact sur l'opinion publique.C'est vrai que tout dans cedbat est terriblement affec-tif. Et c'est vrai qu'un avorte-ment est toujours un chec.C'est vrai encore que l'IVGne doit pas, en aucun cas,devenir un substitut normal la contraception. Il reste, etc'est le nud du dbat,qu'on ne peut imposer unegrossesse une femme qui,pour l'une ou l'autre detrente-six raisons, n'en veutpas.

    Trois hypocrisies

    Dans les attitudes men-tales des intgristes chr-tiens, il y a un tre humainds la conception, on d-cle aisment trois hypocri-sies. ,

    La premire quivaut confondre un enfant et unepromesse d'enfant. Lesavortements naturels, lesfausses couches, limi-nent un nombre norme depromesses d'enfant...

    La seconde est de se ca-cher les yeux sur un mondeo le nombre d'enfants quisouffrent, et qui sont littrale-ment massacrs, amo-chs, affams, exploits, ex-cde de beaucoup celui desenfants heureux de vivre, ousimplement assurs des

    conditions d'une vie d-cente. Ce n'est pas sousprtexte qu'on est en Belgi-que que les horreurs du tiersmonde doivent tre occul-tes.

    La troisime, plus particu-lirement politique, se re-trouve dans les discours denombre d'intervenants duPSC comme du CVP. Fai-sons plutt davantage pourles familles, Aidons lesfemmes garder cet en-fant I. De la part des an-ciens dfenseurs de Mar-tens-Gol, des avocats del'austrit pour les fai-bles, de ceux qui ont notam-ment rduit les allocationsde chmage des cohabi-tantes, ce langage laissepantois. Il faudrait peut-trenous dire avec quelsmoyens budgtaires cettebelle politique de la famille,du logement, de la sant pu-blique, sera mene, alorsqu'on en rduit sans cesseles moyens, ceux des CPASentre autres, et alors que lacrise des finances publiquesnous interpelle...

    L'avis du Conseil d'Etat

    Entre-temps, il y a eu l'in-termde ou l'interlude del'avis du Conseil d'Etat, sec-tion de lgislation.

    Le Conseil d'Etat rend desavis, mais ceux-ci sont pure-ment consultatifs. En l'occur-rence, c'est le moment derappeler que nous ne vivonspas et ne devons pas vivresous un gouvernement desjuges. La primaut va aupolitique, la souverainet

    L'affaire des foulards en Belgique comme en France

    de la reprsentation natio-nale.

    Ces messieurs du Conseild'Etat ont mis les pieds dansle plat, jugeant l'tat de d-tresse de la femme mal d-fini (et d'ailleurs mal dfinis-sable). Sans doute! Maisn'est-ce pas cette expres-sion qui offre le plus grandcommun dnominateur auxpartisans de la propositionde loi Lallemand-Herman Mi-chielsens? Par tat de d-tresse, ne faut-il pas enten-dre perturbationpsychologique grave, oustress qui offre mme unerime? La femme enceintecontre son gr est stresse,donc en dtresse.

    L'avis du Conseil d'Etat aaussitt t rcupr,abusivement, par le CVP etpar le troisime courantdu PSC. Mais il est peu pro-bable que les dfenseurs dela proposition de loi tombe-ront dans le pige d'inscriredans leur projet l'IVG sursimple demande, comme s'ils'agissait d'une formalit ad-ministrative...

    Le foulard islamique

    Entre ce sujet de la dp-nalisation de l'avortement etl'affaire du voile hidjab oufoulard islamique, un seulpoint commun : les droits dela femme. Car qu'est doncce foulard des filles destin cacher leur chevelure au re-gard des hommes, sinon lesymbole mme de leur suj-tion? Les musulmans mlesde stricte obdience doivent-ils porter un foulard sur leurscheveux?

    La gauche un peucoince

    Dans cette polmique, deCreil en France MolenbeekSaint-Jean, la gauche estmal prise, un peu coince,divise.

    S'agit-il d'une question re-ligieuse? Mais si oui, pour-quoi un foulard serait-ilmoins innocent qu'une croixporte autour du cou ?L'cole publique, laque,ne dispense-t-elle pas descours de religion? Il fautdonc carter l'argument reli-gieux, et y regarder deuxfois avant de dicter une inter-diction d'ordre vestimentaire des filles de surcrot issuesde milieux immigrs mo-destes.

    La gauche est donc divi-se sur cette affaire. Une Gi-

    sle Halimi, en France, s'estspare de SOS Racisme,et au PS Yvette Roudy n'estpas sur la mme ligne que leministre de l'Education natio-nale Lionel Jospin, qui apench pour la tolrance.Elles ont raison : le seul vraiterrain solide pour la gauche,dans cette affaire du foulardislamique, est celui de l'ga-lit des sexes.

    Il faut affronterles intgristes

    Qui ne voit d'ailleurs que,dans cette affaire, sous pr-texte des droits culturels desimmigrs, les intgristes mu-sulmans cherchent l'preuvede force et se dressent,contre l'Etat lac, une formed'Etat qui n'existe nulle partdans le monde arabo-musul-man ? Et qu'il s'agit en ralitde la mixit des cours et desactivits, sportives en parti-culier?

    Dans le cas de l'InstitutMachtens Molenbeek, ladirection de l'tablissementavait cru parvenir un com-promis, avec le foulard auto-ris en prsence de profes-seurs masculins... Ceci taitdj croquignolet. Maisc'tait encore trop peu pourles fanatiques et les obscu-rantistes d'obdience saou-dienne ou iranienne, d'ail-leurs en concurrence les unsavec les aujres I

    Si la gauche n'est pasferme sur cette question deprincipe, elle fera le jeu desbons Belges racistes etxnophobes de tout poil I Cen'est jamais facile de se bat-tre sur deux fronts. Maisquand il le faut...

    Arguments pourla rgionalisation

    La Communaut franaisea boucl son budget dans lasueur et les larmes, un bud-get affreusement triqu, etdont la mise au point a tdouloureuse.

    Voil qui va apporter del'eau au moulin des parti-sans d'une rgionalisationaccrue, aux Dehousse, Hap-pait, Van Cauwenberghe. LaRgion dispose et disposerade plus en plus d'un pouvoirfiscal, mme rfrn parl'Etat national. La Commu-naut est voue des habitsde plus en plus triqus.

    C'est l'un des lments dudbat qui doit se poursuivredans le PS, ainsi que cela ad'ailleurs t expressmentprvu son dernier congrs.

    Robert FALONY.

    Combat du 6 novembre 1989

    Salaires : l'index

    L'Indice des prix la consom-mation (index) tabli par le Mi-nistre des affaires conomi-ques atteint 140,91 points aumois d'octobre 1989. Conform-ment aux clauses d'chelle mo-bile conventionnelles et comptetenu de la moyenne arithmti-que de l'indice des prix laconsommation de quatre moisqui s'lve 140,32, une aug-mentation des rmunrationsaura lieu en novembre 1989 (1)dans les branches d'activit fi-gurant au relev ci-aprs.

    Ouvriers- Carrires: carrires et scie-

    ries de marbre: 1%- Industrie du ciment : cimente-

    ries: (2); agglomrs de ci-ment: 2%

    - Matres-tailleurs et tail-leuses:2%

    - Blanchisseries et entreprisesde teinturerie et dgrais-sage: 2%

    ' - Industrie et commerce du p-trole: (2)

    - Commerce alimentaire : 2%- Entreprises de nettoyage et

    de dsinfection: 2%- Production des ptes, pa-

    piers et cartons : 1,5%- Imprimerie et arts graphi-

    ques: 2%- Journaux:2%- Fourrure et peau en poil : fa-

    brication industrielle et artisa-nale de la fourrure: 2%; ap-prt et teinture de pelleteriesautres que de lapin:1,50F/Theure.

    -SOCIAL-la liaisond'octobreEmploys- Magasins d'alimentation

    succursales multiples : 2%- Import, export, transit et

    commerce extrieur et bu-reaux maritimes et d'expdi-tion: 1,4%

    - Employs du notariat : 2%- Commission paritaire natio-

    nale auxiliaire pour em-ploys: 2%

    - Industrie alimentaire : 2%- Industrie papetire : 1,5%

    Ouvriers et employs- Ports: 1,6%- Industrie cinmatographi-

    que: salles de spectacles ci-nmatographiques : 2% ; dis-tribution du f i lm : 2 % ;production de films : 2%

    - Entreprises d'assurances:0,65275%

    - Socits de prts hypoth-caires, d'pargne et de capi-talisation : 0,65%

    - Agents d change : 0,65%- Banques:0,65%- Aviation commerciale: com-

    pagnie arienne Sabena:2%(3)

    - Pompes funbres : 2 %- Grossistes-rpartiteurs de

    mdicaments : 2 %- Industrie du gaz et de l'lec-

    tricit : (2).(1 ) II s'agit soit du premier jour du mois,de la premire priode de paie, de lapremire quinzaine ou de toute autrepriode prvue par la convention.(2) Pourcentage variant de mois enmois proportionnel la variation de l'In-dice des prix la consommation.(3) Calcul sur le salaire de base 100%.

    Paiement de la primesyndicale 1989

    La Fdration syndicale des Mtallurgistes de Lige signale ses affilis que les nouveaux montants de la prime syndi-cale 1989 s'lvent 2.700 F pour les travailleurs (ses)actifs(ves) et 2.200 F pour les autres membres.Les prpensionn(e)s pourront toutefois prtendre la primede 2.700 F s'ils paient une cotisation complmentaire de 60 F(180 F pour les femmes). Un timbre spcial est dit et misen vente dans les permanences syndicales.Afin d'assurer le paiement de cette prime, la Fdration inviteses membres remettre leur carnet syndical auprs de leursectionnaire.La prime sera paye ds que le carnet est en ordre de cotisa-tion pour la priode de rfrence (du V novembre 1988 au31 octobre 1989).

    FACTURES DE GAZ ET ELECTRICITELa FGTB demande une consultation

    du Comit de contrlede l'lectricit et du gaz

    La forte augmentation desversements provisionnels engaz et lectricit suscite denombreuses ractions, dontcelles du ministre des Affairesconomiques, Willy Claes.

    La FGTB estime que, lorsde hausses aussi substan-tielles, les secteurs doiventconsulter le CCEG charg deveiller ce que les tarificationset conditions de fournituresoient tablies en fonction del'intrt gnral.

    En outre, il s'avre nces-saire d'valuer, voire de modi-fier, les mcanismes sous-ja-

    cents afin d'viter de telscoups durs pour les consom-mateurs.

    Pour conclure, la FGTB re-grette que les organes decontrle du secteur nergtj-que ne soient pas systmati-quement consults pralable-ment aux dcisions qui y sontprises.

    On pense ici notammentaux problmes du passif nu-claire, de la cration d'uneagence publique de contrlede la scurit nuclaire, larforme de l'impt des so-cits.

    INDICE D'OCTOBRE : 140,91 pointsEVOLUTION DE L'INDICE DES PRIX

    JanvierFvrierMarsAvrilMai .JuinJuilletAotSeptembreOctobreNovembreDcembre

    (Base 74-75 = 100)

    81

    148,34149,66150,62150,54150,43151,26153,72154,46155,90156,50158,06159,07

    82

    160,59160,97161,25163,22164,68166,16166,37168,39170,48171,87172,06171,95

    83

    174,05175,02175,65176,21177,13178,28179,99181,70182,97183,00183,92184,26

    (Base 81 = 100)

    84

    120,76121,67122,18122,99123,26123,60124,27124,76125,13125,71125,76126,04

    85

    126,85128,16129,19129,70129,83129,85130,56130,56130,83130,76131,07131,11

    86

    131,27131,37131,17131,58131,28131,45131,44131,56132,02131,87131,77131,88

    87

    132,43132,69132,83133,44133,50133,61134,12134,54134,30134,16133,75133,79

    88

    133,68134,06134,11134,71134,84135,07135,48135,77135,92135,96135,87136,36

    89

    136,88137,49137,81138,74138,87139,13139,58140,05140,74140,91

    Le 1 e ' janvier 84, un nouvel index, bas sur 1981 = 100 est entr en vigueur. Pour obtenir lechiffre de l'ancien index, bas sur 74-75 = 100, il faut multiplier le nouvel index par 1,5401.Ce qui donne pour aot 140,74 x 1,5401 = 216,75.Pour ramener l'indice 1974-75 = 100 l'indice 1971 = 100 il faut multiplier l'indice 1974-75 par1,36999. Pour ramener l'indice 1971 = 100 l'indice 1966 = 100, il faut multiplier l'indice 1971par 1,1889. Pour obtenir un indice de base 1953 = 100, il faut multiplier l'indice 1966 par 1,2992.Indice liss (moyennes des 4 derniers mois) 140,32 (base 1981 = 100).Prochain indice-pivot pour les allocations sociales : 140,77.

    (Source : Combat du 30 octobre 1989)

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    LE CASTEL IDEPONT-A-LESSE