COLLECTION MARIE LAFORÊT L’AUTRE VISAGE DE...
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COMMUNIQUÉ DE PRESSE 14 11 2017 COLLECTION MARIE LAFORÊT L’AUTRE VISAGE DE LA FILLE AUX YEUX D’OR Mardi 28 novembre à 19h Le 28 novembre prochain la Maison de ventes Cornette de Saint Cyr dispersa la collection de Marie Laforêt. Riche de près de 150 œuvres cette vacation permettra de découvrir une autre facette de la « Fille aux yeux d’or ». Marie Lafoêt est connu à travers le monde pour ses chansons et pour ses rôles auprès des plus grands acteurs tel Alain Delon ou Jean-Paul Belmondo mais elle est élégamment une passionnée d’art et de littérature. A la fin des années 70 elle s’installe à Genève ou elle ouvre une Galerie d’Art et exerce le métier de commissaire-priseur pendant 3 ans. Sa collection témoigne de ses gouts éclectiques allant des sculptures ethnographiques au mobilier de Charles et Ray Eames en passant par les sculptures classiques et des œuvres du XX e siècle. Le cœur de la collection de Marie Laforêt est articulé autour de magnifiques dessins et tableaux anciens avec des signatures telles que celle d’Eugène Delacroix et Pierre Paul Prud’hon. 1 MARIE LA FORÊT, Actrice, chanteuse et collectionneuse Marie Laforêt de son vrai nom Maïtèna Marie Brigitte Doumenach est née le 5 octobre 1939 à Soulac-sur-Mer en Gironde. Chanteuse et actrice, elle débute sa carrière un peu par hasard, après avoir rem- porté le concours « Naissance d’une étoile » organisé par Europe 1 en 1959. Remarquée par Raymond Rouleau, elle fréquente les cours de théâtre de celui-ci. Puis c’est aux côtés d’Alain Delon et de Maurice Ronet dans «Plein soleil» de René Clément qu’elle fait sa première apparition au cinéma. En 1961, elle épouse son premier mari, le réalisateur Jean-Gabriel Albicocco (1936-2001) qui la fait tourner dans plusieurs de ses films, notamment «La Fille aux yeux d’or» d’après le roman d’Honoré de Balzac. En février 1963 sort son premier 45 tours «Vendanges de l’amour» écrit par Danyel Gérard qui devient un énorme succès. Les tubes s’enchaînent : «Viens sur la montagne» en 1964, «La Bague au doigt» en 1965, «Manchester et Liverpool» en 1966... Fin 1968, Marie Laforêt revint en force dans les hits-parade grâce au titre «Que calor la vida» qui compte également parmi ses plus grands tubes. Depuis 1978, Marie Laforêt vit à Genève et prend la nationalité suisse. Elle y tient une galerie d’art jusqu’en 1981. Durant ces an- nées, la chanteuse et actrice se tourne vers la littérature. Deux ouvrages paraissent sous son nom «Contes et légendes de ma vie privée» en 1981 et «Mes petites magies, livre de recettes pour devenir jeune» en 2001. Plus récemment, Marie Laforêt revient sur les planches. Après avoir joué Maria Callas, dans «Master Class» (nomi- nation aux Molières en 2000 pour son interprétation), elle remplace Isabelle Mergault dans la pièce de Laurent Ruquier «La Presse est unanime» en 2003. En 2007, la chanteuse annonce une série de concerts ainsi qu’une une tournée d’adieu. Mais, ces dates sont annu- lées à cause de problèmes de santé. Son film le plus récent est «Les Bureaux de Dieu» de Claire Simon, sorti en 2008.
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COMMUNIQUÉ DE PRESSE 14 11 2017
COLLECTION MARIE LAFORÊT L’AUTRE VISAGE DE LA FILLE AUX YEUX D’OR Mardi 28 novembre à 19h
Le 28 novembre prochain la Maison de ventes Cornette de Saint Cyr dispersa la collection de Marie Laforêt. Riche de près de 150 œuvres cette vacation permettra de découvrir une autre facette de la « Fille aux yeux d’or ». Marie Lafoêt est connu à travers le monde pour ses chansons et pour ses rôles auprès des plus grands acteurs tel Alain Delon ou Jean-Paul Belmondo mais elle est élégamment une passionnée d’art et de littérature. A la fin des années 70 elle s’installe à Genève ou elle ouvre une Galerie d’Art et exerce le métier de commissaire-priseur pendant 3 ans. Sa collection témoigne de ses gouts éclectiques allant des sculptures ethnographiques au mobilier de Charles et Ray Eames en passant par les sculptures classiques et des œuvres du XXe siècle. Le cœur de la collection de Marie Laforêt est articulé autour de magnifiques dessins et tableaux anciens avec des signatures telles que celle d’Eugène Delacroix et Pierre Paul Prud’hon.
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MARIE LA FORÊT, Actrice, chanteuse et collectionneuse
Marie Laforêt de son vrai nom Maïtèna Marie Brigitte Doumenach est née le 5 octobre 1939 à Soulac-sur-Mer en Gironde. Chanteuseet actrice, elle débute sa carrière un peu par hasard, après avoir rem-porté le concours « Naissance d’une étoile » organisé par Europe 1 en 1959. Remarquée par Raymond Rouleau, elle fréquente lescours de théâtre de celui-ci. Puis c’est aux côtés d’Alain Delon et de Maurice Ronet dans «Plein soleil» de René Clément qu’elle fait sa première apparition au cinéma.En 1961, elle épouse son premier mari, le réalisateur Jean-Gabriel Albicocco (1936-2001) qui la fait tourner dans plusieurs de ses films, notamment «La Fille aux yeux d’or» d’après le roman d’Honoré de Balzac. En février 1963 sort son premier 45 tours «Vendanges de l’amour» écrit par Danyel Gérard qui devient un énorme succès.Les tubes s’enchaînent : «Viens sur la montagne» en 1964, «La Bague au doigt» en 1965, «Manchester et Liverpool» en 1966... Fin 1968, Marie Laforêt revint en force dans les hits-parade grâce au titre «Que calor la vida» qui compte également parmi ses plus grands tubes.Depuis 1978, Marie Laforêt vit à Genève et prend la nationalité suisse. Elle y tient une galerie d’art jusqu’en 1981. Durant ces an-
nées, la chanteuse et actrice se tourne vers la littérature. Deux ouvrages paraissent sous son nom «Contes etlégendes de ma vie privée» en 1981 et «Mes petites magies, livre de recettes pour devenir jeune» en 2001.Plus récemment, Marie Laforêt revient sur les planches. Après avoir joué Maria Callas, dans «Master Class» (nomi-nation aux Molières en 2000 pour son interprétation), elle remplace Isabelle Mergault dans la pièce de LaurentRuquier «La Presse est unanime» en 2003. En 2007, la chanteuse annonce une série de concerts ainsi qu’une une tournée d’adieu. Mais, ces dates sont annu-lées à cause de problèmes de santé. Son film le plus récent est «Les Bureaux de Dieu» de Claire Simon, sorti en 2008.
Pierre II MARIETTE (Paris 1634 – 1716) d’après DÜrerPortrait de Philippe Mélanchthon (1497 – 1560)Plume et encre bruneDim. : 29,5 x 20 cmSigné et daté P.Mariette 1667 en bas à droite Reprise du texte en marge du portrait 1526/Viventis.Potrait.Durerius.Ora.Philip-pi.Mentem.Non.potrait.Pingere.Docta./Manus ADContre signé au verso P.Mariette 1670 à la plume et encre brune Provenance : ancienne collection Mariette, son cachet en bas au centre ( L.1852) ; sa vente, Pa-ris, 1775, n°893, comme Dürer : « Le portrait de cet auteur, connu par l’Estampe, où la tête est presque de profil, et le col de la chemise déboutonné, fait à la plume et très bien ombré ». Croquis par Saint-Aubin dans la marge du catalogue illustré (vendu avec le 894).ancienne collection Thomas Lawrence, son cachet en bas à gauche ancienne collection du Marquis de Lagoy , cachet en bas à droite (L.1710) ancienne collection JCR.Robinson, son monogramme en bas à gauche Estimation : 4 000 - 6 000 € - Lot 432
Jacopo di CHIMENTI da EMPOLI (Florence 1551 – 1640)Tête d’homme coiffé d’un chapeau, 1613-14Pierre noire et estompeDim. : 28,8 x 25 cmÉtude pour la tête du bourreau à l’extrême droite dans Le martyre de saint Vincent de Sarragosse, tableau conservé à la Galleria d’Arte della Sicilia, à Palerme (voir A. Marabottini, L’Empoli, De Luca ed., 1988, Rome, n°79, p.237, reproduit).Le tableau fut sans doute commandé à la mort de Vincenzo Giustiniano pour déco-rer la chapelle de San Giorgio dei Genovesi à Palerme.Estiamation : 10 000 - 15 000 € - Lot 433
Eugène DELACROIX (Charenton-Saint-Maurice 1798 – Paris 1863) Trois études musculaires de jambes et un brasPlume et encre brune, sur traits de crayon noir et lavis brunDim. : 20,5 x 31 cmNuméroté « N°251 » en bas à droite Cachet de l’atelier dans le bas (L.838a)Estimation : 4 000 - 6 000 € - Lot 435
Pierre Paul PRUDH’ON (Cluny 1758 – Paris 1823)Étude de bras droit pour un ange de « L’assomption de la Vierge », vers 1819Crayon noir, estompe et rehauts de craie blanche sur papier bleuDim. : 20 x 35 cmProvenance : ancienne collection Boisfrémond, son cachet en bas à droite (L.353)Notre dessin est probablement une étude pour le bras droit de l’ange situé à droite de la Vierge dans le tableau L’Assomption de la Vierge conservé au Louvre (voir Sylvain Laveissière et G. Tinterow, Prud’hon ou le rêve du bonheur, ed. Réu-nions des musées nationaux, Paris, 1997, n°210, repr p. 295).Estimation : 8 000 - 12 000 € - Lot 438
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École ESPAGNOLE vers 1500, entourage de Jaume HUGUETLa descente de croixPanneau, un fragmentDim. : 86 x 66 cmEstimation : 7 000 - 8 000 € - Lot 451
Attribué à Alessandro MORETTO (1498 – 1554)Portrait d’un gentilhomme ToileDim. : 91 x 76 cmEstimation: 15 000 - 20 000 € - Lot 454
École française du XIXe siècle Un soldat protégeant un Dieu-fleuveÉpreuve en terre cuiteH : 92 x L. 52 x l. 45 cmRéalisé au XIXe siècle, cette épreuve en terre cuite pourrait avoir comme ori-gine un morceau de réception à l’Académie royale de peinture et de sculp-ture créée en 1648. On y retrouve le format et les proportions imposés ori-ginellement par l’Académie aux sculpteurs pour leurs réalisations en marbre. Le thème tiré sans doute de la mythologie (peut-être Achille combattant le Scamandre ou Hercule détournant l’Alphée) s’apparente aux sujets classiques traités alors par les futurs académiciens.Dim. : 2 000 - 3 000 € - Lot 464
COMMUNIQUÉ DE PRESSE 14 11 2017
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VENTE AUX ENCHÈRES - 6, avenue Hoche 75008 Paris Mercredi 28 novembre 2017 à 19h
EXPOSITION PUBLIQUE - 6, avenue Hoche 75008 Paris Vendredi 24 et dimanche 26 novembre de 14h à 18h
Samedi 25 et lundi 27 novembre de 11h à 18h
RELATIONS PRESSE : Anne d’Artigue - [email protected] - 06 77 07 09 88
