Colis du Poilu présentation · 2015. 10. 25. · cette guerre. Quant aux colis, Mes poilus, qui...
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La Cave du Vieil Armand
Fondée en 1959, la Cave du Vieil Armand se situe au pied du Hartmannswillerkopf, haut-‐lieu de mémoire de la guerre de 1914-‐1918. La Cave du Vieil Armand vinifie les vins des coteaux du Vieil Armand qui s'étende de Guebwiller à Cernay.
Le Colis du Poilu 1914-‐1918 en Alsace
Le Centenaire de la Grande Guerre
Dans le cadre du centenaire de la Première Guerre mondiale, la Cave du Vieil Armand a élaboré un colis spécial. Le « Colis du Poilu » a été créé afin de rappeler le moment tant attendu où les soldats recevaient les colis envoyés par leurs proches. L’arrivée des colis était pour eux un moment d’une grande importance à la fois synonyme de joie, de réconfort mais également de partage.
Le Colis du Poilu contient :
§ Une bouteille de vin : produit très consommé par les soldats français à l’époque.
§ Un cruchon d’eau de vie en grès : d'utilisation traditionnelle dans les pays germaniques, ils sont à l’époque largement diffusés. L’eau de vie, fabriquée de façon artisanale, était consommée quotidiennement.
§ Une terrine : la viande était un des principaux aliments consommés par les combattants. La charcuterie agrémentait les repas du quotidien.
§ Du chocolat : une douceur appréciée des soldats et même réglementaire qui constituait l'un des vivres de réserve.
§ Un jeu de cartes : les poilus se laissaient parfois aller à de rares moments de distraction et de convivialité.
§ Des cartes postales : symbole de correspondance et de lien entre les soldats et leurs familles.
La Cave du Vieil Armand – 1 route de Cernay 68360 SOULTZ-‐WUENHEIM Tél. : 03.89.76.73.75. Mail : [email protected]
Horaires d’ouverture : Du Lundi au Samedi : 8h00 à 12h00 et 14h00 à 18h30
Le Dimanche et jours fériés : 10h00 à 12h00 et 14h00 à 18h00
Le passage du Vaguemestre qui apporte les let tres et co lis envoyés par la famille , les amis , l es marraines de guerre , es t guetté avec impatience et représente un des rares moments de joie dans la vie des tranchées. Jamais les français ne se sont autant écrit que pendant cet te guerre . Quant aux col is , « Mes poi lus, qui sont tous de bons gars des campagnes du Tarn, reçoivent souvent des co lis de bonnes charcuterie de campagne, ce qui varie agréablement l 'ordinaire .»
Source : Paul Janin, Soldat au 152e RI durant le s combats en Alsace