Club Amicalement Professionnel-La-Libre-Entreprise-20-02-2016
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8 La Libre Entreprise - samedi 20 février 2016 9samedi 20 février 2016 - La Libre Entreprise
QUE DIRIEZ-VOUS D’UNE BONNE
DÉ FORMATION DIGITALE?Si vous travaillez dans le marketing ou la communication, vous le savez: le digital a changé les règles. Mais a-t-il changé vos réflexes et votre manière de travailler ? Pour garder une longueur d’avance, il ne suffit pas de se mettre à jour mais bien de penser autrement.
La Solvay Brussels School a mis au point une formation digitale de 12 jours qui changera votre approche du marketing ou de la communication. Un mix unique de théorie et de pratique pour bien vous déformer et vous rendre directement opérationnel.
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D ans un contexte d’expérience client qui doit êtreperformante tant aux plans relationnel quetransactionnel et opérationnel, les entreprises
favorisent la convergence des canaux physiques et online et accompagnent cette convergence que le client adéjà réalisée. Face à des clients très enclins à communiquer des informations les concernant sous réservequ’elles soient utilisées à bon escient, les entreprisesdoivent valoriser toute la connaissance acquise : ils’agit ainsi de passer d’une exploitation des donnéeshistoriquement propriété de l’entreprise à une exploitation de données beaucoupplus ouverte et ce dans une logique de recherche de valeur ajoutée réciproquecliententreprise. Face à ces parcours clients qui ne sont plus linéaires, favoriserl’omnicanalité revient à adresser plusieurs enjeux. Dans une situation où l’entreprise devient progressivement un simple hub relationnel et ne peut plus maîtriser
une relation historiquementunidirectionnelle avec chacunde ses clients, trois fondamentaux émergent pour contribuerà la réussite d’une stratégieomnicanal : stocker les données (transactionnelles et plusseulement référentielles), lesanalyser de manière pertinente et répondre à chaquesollicitation de manière individualisée, autant d’informations que seules de nouvellescompétences sont en mesured’exploiter car, audelà du vo
lume d’interactions, de commandes, de revenu, c’est bien l’analyse de la valeur etdes signaux faibles d’évolution des marchés qui prime. Ce pilotage de la performance dépend évidemment des stratégies de marché poursuivies par les entreprises face au digital (défensive ou offensive) et des évolutions de leur modèle opérationnel (adaptation ou réinvention). Il passe par la mesure de la performance marketing, mesure qui doit accompagner l’évolution des usages client, intégrant plusétroitement marketing produit et marketing client dans un contexte où l’omnicanal et le digital diluent les frontières entre usage du produit et expérience client.Benoît Octave
D es clubs d’entrepreneurs,cela existe déjà en Wallonie.Mais celui qui s’est ouvert
cette semaine à Wavre, lié à ungroupe de clubs locaux (http://www.crmclubs.com/) s’inscritdans un cadre particulier, moinsguindé que les clubs d’hommesd’affaires traditionnels, et plus axésur le développement du tissu régional. L’ambiance ? “C’est amicalement professionnel”, nous expliqueChristophe Boeraeve avocat fiscaliste membre de ce club naissant.
“Et le principe est de “faire” quelque chose. On se fixe un ou des objectifs et on s’y tient, comme celui dese rencontrer une fois par semainepour partager des contacts, des ex
périences, des clients…”Attention ! On est ici entre pros,
hommes et femmes à la recherched’une croissance des affaires : pasquestion de traîner mollementdans des divans en alignant cigareset cognacs après un agréable souper… “Les premières réunions quenous avons tenues se passaient le matin de 7 h 15 à 9 heures, avant d’allerau bureau, pour présenter des activités ou des projets, face à une équipede pros capables de doper le businessplan d’un autre membre, jeune entrepreneur. Avec par exemple, deux banquiers, un comptable fiscaliste et unspécialiste des services juridiques”.
Et surtout, l’objectif est de fairedu concret : échanger des listes de
clients, de prospects ciblés, dans lebut d’alimenter la machine commerciale. Découvrir le club, c’estfacile : il existe une procédure departicipation au terme de laquelle,le droit d’entrée (avant une participation annuelle de quelques centaines d’euros, totalement déductible selon les termes de l’article 49du CIR) est la fourniture d’une listede 50 contacts. Le nouveau membre est parrainé afin de définir aveclui des objectifs et de déterminerson potentiel. La suite, que l’on soitcommerçant, professionnel de labrique ou de la plomberie, entrepreneur en herbe ou confirmé,c’est sur le terrain qu’elle se passe.P.V.C.
Fintechs
Une plateforme pourla nouvelle finance
Le monde financier belge estdéjà riche de start-up en passede révolutionner la banque telleque nous la connaissons. On lesappelle les “Fintechs”. Uneplateforme vient de voir le jourdont le but est d’attirerl’attention sur ces jeunespousses prometteuses, créerune émulation sectorielle etreprésenter ces entreprisesauprès des autorités financièresbelges. Un des obstacles à leurdéveloppement est en effetl’absence de cadre légal précispermettant de simplifier lespratiques et de sécuriser lesclients de ces entreprises. PourIsabelle de Laminne,journaliste qui collabore à “LaLibre”, et qui fait partie desfondateurs de cette nouvellecommunauté, “FinTech Belgiumest un beau projet pour redorerla place financière de Bruxelleset encourager les start-up à venirs’installer ou à rester àBruxelles”. Parmi les autresmembres fondateurs, onretrouve Patricia Boydens(MeDirect), Xavier Corman(Edebex), Xavier De Pauw(MeDirect), Grégoire de Streel(fondateur de Keytrade Banknotamment), Catherine Houssa(Partner Simont Braun), OlivierLefebvre (ex-patron d’EuronextBrussels), Eric Rodriguez(Data.be) et Toon Vanagt(Data.be). La machine estlancée, et promet d’attirer dubeau monde, gratuitement pourles FinTech en développement,moyennant une participationpour les candidats membresintéressés au suivi de cettetendance de fond du mondefinancier. Pour tous, il y a làmatière à entrer dans un réseausolidement ancré dans lesecteur financier belge, enbénéficiant d’une meilleurevisibilité, d’un accès aisé auxautorités régulatrices. et le caséchéant, au monde del’investissement… Unprogramme spécifique estproposé aussi aux sponsorspotentiels de la plateforme. Uncoup d’œil sur le projet ?http://fintechbelgium.be/Patrick Van Campenhout
Le pitch
Transformationdigitale
Un enjeu universel. La miseen place d’une véritable appro-che omnicanal fait souventpartie de larges projets detransformation digitale. Quelen est l’impact sur les entrepri-ses et comment doivent-ellesadapter leur approche clientspour gagner -ou “a minima”maintenir- parts de marché,rentabilité et préférence dansl’esprit des clients ? Premierconstat : le secteur de lagrande distribution n’est pas leseul à s’interroger sur l’impactde cette omnicanalité tantrecherchée par leurs clients ouprospects. Les entreprisesissues de secteurs aussi variésque les télécoms, l’e-com-merce, l’assurance, le luxe oul’industrie, sont toutes con-frontées à ces mêmes interro-gations : comment fidéliser unclient volatile ? Commentutiliser le digital pour mieux lesatisfaire ? Comment alignerl’ensemble des directions del’entreprise sur un objectifcommun de traitement sanscouture de ces clients dont lesparcours sont de moins enmoins linéaires ? (B.O.)
Club “amicalement professionnel”
Marketing digital/Tendances
Expérience individualisée
CRIT
IZR
Réseautage/Wallonie
APPS
Call RescueNouvelle app belgetout à fait sympapour ceux ou cellesqui ont la fâcheusehabitude de perdre,de casser ou de sefaire subtiliser leur
smartphone, Call Rescue permet pour1,99 euro (pour 3 ans de garantie) desauvegarder ses contacts et d’y avoiraccès au départ d’un autre appareilconnecté à Internet, quel qu’en soit lesystème d’exploitation (iOS ouAndroid). Une app mobile simple àutiliser, un paiement léger et uneforme d’assurance sur la perte descontacts. Pas mal ! A découvrir sur lesite http://www.call-rescue.com/. Leconcept a été développé par Nicola DiTullio, Benoît Callewaert et CatherineZurstrassen. Et l’app est disponiblesur l’App Store et sur Google Play.(P.V.C.)
CALL
RESC
UE
Elle tombe bien, Apik !
L es têtes pensantes de la société de services informatiques Megabyte, FrançoisBryssinck et Marianne Kalgout, se sont
associées avec JeanDenis Schampaert pourcréer Apik, une agence spécialisée dans lacréation de sites web et ecommerce. Elle estbasée à LouvainLaNeuve. Ce nouvel outil dédié aux entreprises va bénéficier des expertises de ses fondateurs avec d’une part, l’offremultiservices éprouvée de la société bruxelloise et, d’autre part, l’expérience de plus de
10 ans de JeanDenis Schampaert dans le secteur du web. Les activités de l’agence Apik sedéploient sur six secteurs, explique FrançoisBryssinck : “Il y a l’ecommerce, les websites, ledéveloppement sur mesure, l’audit et l’analysetechnique, la stratégie digitale et la conceptiongraphique”. Et derrière cette offre, il y a évidemment les besoins de gestion des offresproduits, des commandes, de la logistique, lacréation de sites mobiles, le référencement. Ceque l’on appelle en français informatique :ERP, CRM, PIM, DAM, BI,… Bref, une matièrequi demande l’intervention de spécialistes eninformatique, en design mais aussi, tout simplement, de partenaires capables de comprendre les besoins des entreprises. Surtout pourcelles qui ont en matière de présence web, unpeu de retard à rattraper.P.V.C.
P Naissance d’une agence decréation de sites web d’entrepriseou à vocation ecommerce.
Web/CréationApps: on a testé pour vous