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ONNECT business media Septembre 2014 Dossier Santé / Social L’e-santé Dossier Santé / Social Mutualité des employeurs

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ONNECTbusiness media

Septembre 2014

Dossier Santé / Social

L’e-santé

Dossier Santé / Social

Mutualité des employeurs

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Edito

04 | Dossier Santé-social Interview de M. Hervé Barge

10 | Mobilité-Logistique

Projet de loi sur la réforme du contrôle technique

18 | Actualités

Renouvellement du Comité Exécutif et du Conseil d’Administration

21 | Actualités

Mise en circulation du nouveau billet de 10 €So

mm

aire

On taille dans les budgets à gauche, on sabre des subventions à droite, on nous taille des croupières financières au nom d’une croisade portant haut le drapeau d’une austérité à géométrie variable.

Comme ce numéro est consacré plus particulièrement à la santé et au social, nous avons trouvé une petite perle illus-trant le type de rigueur dont on veut nous gaver: ce bijou nous provient du secteur santé que, pour rappel, nous autres entrepreneurs cofinançons : nous parlons des conséquences de la prime unique de 0,9 % et de la revalorisation des carrières du secteur santé qui va tomber en raison des dispositions retenues dans le cadre du projet de la réforme et de l’accord salarial de la fonction publique. Mécaniquement, cette promesse déverserait une manne financière considérable

sur le secteur hospitalier d’après le principe bien connu de nos amis syndicalistes qui veut que, si dans un secteur nous offrons aux uns, les autres en demanderont également : selon une première estimation, la transposition de cet accord sur l’ensemble du secteur hospitalier amènera un surcoût de la masse salariale de + / – EUR 140 millions (sur 2 ans). Et quid des répercussions vers le secteur privé ?

Les équilibres budgétaires qu’on nous fait miroiter sont déjà gagés avant que le moulin de la TVA ne commence à tour-ner. Travaillons plutôt à une croissance, repensons le modèle luxembourgeois, investissons dans des mécanismes de sti-mulation de l’économie réelle, mais de grâce arrêtons de donner aux uns lorsqu’on demande de faire ceinture aux autres.

Robert J. Shiller, prix Nobel d’économie en 2013 pour ses travaux sur le comportement de l’homo economicus, pointe du doigt, dans un récent article paru dans le Guardian, la situation mondiale actuelle qui montre un certain nombre de parallélismes avec celle des années de crise 1937 : « Aujourd’hui comme à cette époque les gens sont déçus pour un bon moment, certains désespèrent. Ils deviennent plus anxieux sur l’avenir à long terme de l’économie. Ce type de crainte peut avoir des conséquences lourdes / … / en générant des peurs, de l’intolérance, un fort potentiel pour la violence ».

Alors regardons avec modestie au-delà de nos frontières et devenons un exemple de modèle économique et de justice sociale pour l’Europe.

... « Et quid des répercussions vers le secteur privé ? » ...

Bidouillons, bidouillons…(Petit Larousse: trafiquer, bricoler), en luxembourgeois « kniwwelen »

Yves GordetDirecteur adjoint de la clc

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Santé-social

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L’Agence nationale des informations partagées dans le domaine de la santé (www.esante.lu)Interview de M. Hervé Barge, directeur générale de l’Agence

Rédaction : Claude Bizjak clc et Sylvie Fasbinder clc I Photos : clc

L’électronique au service de la Santé

Pouvez-vous nous dire en quelques mots en quoi consiste le concept e-santé ?En premier lieu il s’agit d’une plateforme de par-tage et d’échanges qui permet, à tous les inter-

venants qui ont une relation thérapeutique avec un patient, d’ac-céder aux données médicales du patient.

Evidemment, le Patient lui-même peut avoir accès à ses données et décider qui d’autre peut consulter son dossier électronique. L’objectif du projet est d’assurer une meilleure prise en charge

du patient dans la continuité des soins et aussi de créer une base de données cohérente et homo-gène donnant une vue globale et compréhensible au personnel traitant.

Quels sont les atouts pour le patient ?L’atout majeur pour le patient est que la personne traitante connaît son historique médical et qu’elle peut intervenir de façon directe et de manière coordonnée. C’est plutôt rassurant pour le patient. L’accès aux résultats médicaux anciens et récents par les prestataires de soins, peut d’ailleurs réduire considérablement le nombre d’examens redon-dants. In fine, ceci évite aux patients de devoir refaire plusieurs fois les mêmes examens.

Changer les habitudes des professionnels et des patients …

Nom : BargePrénom : HervéAge : 54 ansFamille : marié – 3 enfants

Devise / citation: « Si l’on veut récolter, il faut aussi semer. »

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52014Septembre

Le patient sait à tout moment qui a consulté les données et quand; il peut limiter l’accès ou déci-der de fermer son DSP (Dossier de Soins Partagé).

Quels sont les avantages ou bénéfices pour le corps médical ?Le corps médical (médecin référent, médecin traitant, hôpitaux, maisons de soins, laboratoires, soins à domicile, etc.), selon sa relation thérapeu-tique avec le Patient, a accès à des informations pertinentes et peut agir et interagir de manière ciblée. Les intervenants partageront un même référentiel et bénéficieront ainsi d’une communi-cation claire, facile et directe entre eux.

Le travail du corps soignant sera allégé et plus effi-cace. En cas d’urgence médicale, l’accès à l’histo-rique du patient permettra au médecin de réagir plus rapidement ce qui est, en fin de compte, un avantage aussi bien pour le patient que le presta-taire.

La plateforme e-santé offre cependant aussi d’autres services dédiés aux professionnels du secteur: espace collaboratif, messagerie sécurisée, annuaire comprenant les coordonnées de tous les prestataires de soins, etc.

Et l’agence e-santé, comment est-elle financée et comment fonctionne-t-elle ?L’agence nationale des informations partagées dans le domaine de la santé, a été créée en 2011 suite à la loi portant sur la réforme du système de santé en 2010. Elle est financée pour ¹/₃ par le Ministère de la Santé et pour ²/₃ par la Caisse Nationale de Santé. Etablie sous forme d’une G.I.E. on retrouve quasi tous les prestataires et « stake-holders » du secteur dans le conseil d’administra-tion de l’e-agence. Sans une collaboration étroite avec les acteurs du terrain, cette dernière serait condamnée à échouer. Ainsi l’e-agence a misé, dès le début du projet, sur une organisation décision-nelle qui intègre tous les acteurs du terrain.Le fonctionnement interne de l’agence est assuré par des experts du secteur ayant, pour une grande

partie, une double compétence professionnelle: médicale et technique.

Une priorité est évidemment donnée à la protec-tion des données. Ainsi tous les services lancés sont analysés et approuvés ex-ante par la CNPD (Commission nationale pour la protection des données). Dans ce contexte l’e-agence a créé le poste de Responsable Sécurité. Ainsi une per-sonne, indépendante de la hiérarchie interne, est en charge de la protection des données. Elle contrôle la mise en œuvre et veille à l’application des lois en vigueur.

L’agence est plurilingue et est consciente des enjeux techniques, professionnels et culturels de ce projet national.

Quels sont les défis majeurs du projet ?A l’inverse de ce que l’on pourrait croire, les défis majeurs ne se trouvent pas au niveau technique mais, comme pour tout projet innovateur qui requiert un changement de paradigme, au niveau humain.

Changer les habitudes des professionnels et des patients et leur faire comprendre l’utilité du concept sont les défis majeurs. L’électronique est un outil incontournable de la vie moderne et future, et permet d’optimiser les échanges qui sont d’autant plus importants et indispensables en matière de santé car ils ont un impact direct sur le bien-être et la vie de nous tous.

Quand est-ce que le système sera-t-il opéra-tionnel ?Certains organismes sont déjà connectés, d’autres le seront bientôt ; nous prévoyons d’ouvrir la pla-teforme aux patients d’ici la fin de l’année. Cela se fera par phase jusqu’à couverture nationale.

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Santé-social

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Le gouvernement rompt unilatéralement ses engagements : vers une augmentation des charges patronales ?Lors de l’introduction du statut unique tout était cependant plus que clair : le statut unique ne coûtera pas plus aux entreprises et la prise en charge de la continuation de la rémunération dès le premier jour de maladie par les employeurs sera financièrement neutre. Ainsi le Gouvernement s’était formellement engagé à compenser tout surcoût éventuel via une contribution étatique au budget de la Mutualité.

« Mutualité des employeurs »

Conformément à cet accord le conseil de la Mutualité des employeurs avait introduit une par-ticipation étatique de 86 millions dans son budget 2014. Ce budget a été approuvé par voie d’arrêté ministériel par Monsieur Romain Schneider, Ministre de la Sécurité Sociale (et donc de tutelle de la Mutualité) en date du 13 décembre 2013.

A la lecture du budget d’état 2014, les représen-tants patronaux sont donc très étonnés de ne voir figurer que 41 millions dans ce projet. Erreur maté-rielle ? NON – c’est bel et bien « une décision » gouvernementale, qui a été prise rétroactivement sans aucune concertation avec les acteurs concer-nés. Tandis que les accords avec la CGFP sont res-pectés à la lettre, les employeurs sont mis devant des faits accomplis et devront supporter une aug-mentation des charges à hauteur de 0,4 point de % en moyenne.

Le conseil d’administration de la Mutualité conti-nuera en tout état de cause à défendre les droits de l’institution en exigeant de l’Etat qu’il respecte ses engagements budgétaires. A défaut de solu-tions adéquates il semble inévitable de devoir repenser le fonctionnement et le financement de la Mutualité. S’il reste encore une lueur d’espoir pour les négociations avec le gouvernement, diverses pistes sont actuellement en évaluation :

– La mise en place d’une mutualité réellement dédiée au secteur privé : depuis l’introduction du statut unique, le secteur privé finance en grande partie l’absentéisme du secteur non-marchand, donc des institutions financées directement ou indirectement par l’Etat. En même temps, ces institutions montrent souvent un taux d’absentéisme largement supérieur à celui des entreprises privées. Le principe de solida-rité entre tous les membres de la Mutualité couvre

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72014Septembre

La Formation des Conducteurs professionnelsLes conducteurs professionnels d’autobus, d’autocars et de poids lourds, sont tenus d’accomplir une for-mation spéciale, qui dépasse de loin les exigences et les connaissances nécessaires pour l’acquisition du permis de conduire classique.

Une revalorisation de la profession

La formation vise tant à améliorer la sécurité routière générale ainsi que celle du conducteur, mais a également comme vocation d’augmenter la qualification du conducteur et d’assurer, par la même, une revalorisation de la profession.

Cette formation des conducteurs professionnels se fonde sur la Directive 2003 / 59 / CE du Parlement Européen et du Conseil du 15 juillet 2003 relative à la qualification initiale et à la formation continue des conducteurs de certains véhicules routiers affectés aux transports de marchandises ou de voyageurs et a été transposée en droit national par la Loi du 5 juin 2009 et ses règlements d’exé-cution.

Hormis quelques exceptions prévues expressé-ment par les textes légaux, en principe tous les conducteurs professionnels titulaires d‘un permis de conduire des catégories D1, D1 + E, D ou D + E, respectivement des catégories C1, C1 + E, C ou C + E, indépendamment s’ils roulent pour leur propre compte ou qu’ils soient employés par une entreprise établie dans un Etat membre de l’Union Européenne sont concernés par cette formation, qui se compose d’une qualification initiale et d’une formation continue renouvelable tous les cinq ans.

Certains conducteurs professionnels peuvent être dispensés de la qualification initiale, en fonc-tion de la date de délivrance de leurs permis de conduire. Partant, la formation continue reste une obligation pour tout conducteur. La qualification initiale comprend 280 heures, dont au moins 20 heures de conduite individuelle. Elle doit être effectuée dans le pays de résidence du conduc-teur et est clôturée par un examen théorique.

En fonction de l’âge de l’intéressé, la qualification initiale peut être remplacée par une formation ini-tiale accélérée, comprenant 140 heures de cours, dont au moins 10 heures de conduite individuelle

seulement. Les frais occasionnés par la qualifica-tion initiale sont entièrement pris en charge par l‘Etat, sous réserve qu’elle soit effectuée dans le Centre de Formation pour Conducteurs agrée à Colmar-Berg.

Au contrario, la formation continue peut être effectuée au choix dans le pays de résidence du conducteur ou dans le pays où l’activité profes-sionnelle est déclarée. Elle porte sur 35 heures, renouvelable tous les cinq ans et est répartie en cours théoriques et pratiques. La réussite de cette formation n’est pas constatée par un examen, mais attesté par le Ministre du ressort, moyennant apposition d’un code communautaire, le code 95, soit directement sur le permis de conduire, soit sur la carte de qualification du conducteur.

Deux tiers du coût de la formation continue sont à charge du patron, ce qui correspond à plus ou moins 640.- €, le dernier tiers est pris en charge par l’Etat.

Les états membres disposent d’une certaine liber-té d’abréger ou de proroger les délais fixés par la directive pour l’accomplissement de la qualification initiale et de la formation continue, notamment dans le but de les faire coïncider avec la date d’échéance de validité du permis de conduire ou de permettre une introduction graduelle de la formation continue, sans pourtant que ces délais ne soient inférieurs à trois ans ni supérieurs à sept ans.

Le Luxembourg, comme la Belgique d’ailleurs, a opté pour une prorogation maximale des délais de façon à ce que la date limite pour l’obtention du code 95 soit reportée au 10 septembre 2015 pour les conducteurs d’autobus ou d’autocars, respectivement au 10 septembre 2016 pour les conducteurs de camions ou de poids lourds. D’autres pays, comme la France ou l’Allemagne par exemple, ont choisi de fixer la date butoir au

■ Claude Bizjak

actuellement ce surcoût et une sortie de ces institu-tions apporterait un soulagement financier notable.

– La participation financière des salariés au finan-cement du risque d’absentéisme. L’introduction de ce principe amènerait une certaine équité dans ce financement puisqu’il est légitime de se demander pourquoi cette charge est entièrement supportée

par les entreprises alors que ce sont les salariés qui en sont les principaux bénéficiaires.

– Une action en justice contre l’Etat qui viserait à contraindre ce dernier à respecter ses engagements financiers.

Affaire à suivre …

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Santé-social

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10 septembre 2014. Ces deux pays vont donc pro-céder aux contrôles systématiques du code 95 à partir de cette date.

Bien que les 28 pays communautaires aient pris l’engagement de reconnaître mutuellement les différents codes nationaux attribués en raison de la formation accomplie, le seul fait que les dates butoirs soient si variées peut en effet conduire à certaines situations ambigües lors des contrôles effectués sur le terrain. Le principe voudra que les autorités des pays pour lesquels les formations ont caractère exécutoire ne puissent sanctionner les conducteurs pour lesquels l’accomplissement de la formation n’est pas encore devenu obligatoire pour une absence de code.

En pratique, cela voudra dire que d’une part, les autorités luxembourgeoises ne procèderont à aucun contrôle avant le 10 septembre 2015 en ce qui concerne les chauffeurs de bus, respec-tivement avant le 10 septembre 2016 en ce qui concerne les chauffeurs de poids lourds et que d’autre part, tout chauffeur sous contrat luxem-bourgeois ou ayant choisi d’effectuer sa formation au Luxembourg, échappe, pour l’instant, à d’éven-tuelles contraventions à l’étranger.

Dans ce contexte, la clc est intervenue auprès des Douanes et des Services de Police luxembour-geoise et étrangères pour rappeler ces différents principes afin que d’éventuels malentendus puissent être évités. L’enjeu est de mise. Inutile de rappeler qu’en cas d’infraction dûment constatée, le véhicule sera immobilisé sur place, et le chauf-feur en infraction se verra infliger une amende en sus d’une interdiction de conduire jusqu’à régulari-sation de sa situation.

Depuis l’entrée en vigueur de la directive 2003 / 59 / CE et sa transposition en 2009, la clc n’a cessé de militer pour une implémentation de la formation qui collerait au plus près aux besoins et aux réalités des entreprises. A titre d’exemple, citons le souhait d’avoir recours à un formateur interne agrée, d’étendre les jours de formations aux samedis et de pouvoir scinder le bloc de la forma-tions de 35 heures en plusieurs petits modules. Les résultats sont encore jugés insuffisants, mais allant dans une bonne direction, l’espoir d’aboutir pour certains points est réel.

Les dates limites arrivant à grands pas et plus aucune extension étant possible, il est vivement recommandé d’assurer les inscriptions au Centre de formation professionnel, sans plus tarder.

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Mobilité-Logistique

Projet de loi sur la réforme du contrôle techniqueLe Conseil de gouvernement a adopté, en date du 25 juillet 2014, un projet de loi ainsi que quatre règlements grand-ducaux relatifs à la réforme du contrôle technique. Cette réforme était avidement attendue autant par les consomma-teurs que par les professionnels du secteur automobile et des transports.

Rédaction : Alain Petry clc I Photos : SNCT / shutterstock.com

La législation en projet a comme objectif d’alléger le contrôle technique afin de parer à la congestion des stations de contrôle technique telle que vécue dans le passé. A l’époque le MDDI, en coopération avec les responsables de la SNCT et les fédérations automobiles, avait déjà pris un certain nombre de

mesures telles l’ouver-ture du contrôle technique périodique aux garages. En com-plément à ces sim-

plifications, trois directives européennes récem-ment publiées et formant le paquet « contrôle technique » seront rapidement transposées dans

notre législation nationale. Il s’agit notamment de la directive 2014/45/UE relative au contrôle tech-nique périodique des véhicules à moteur et de leurs remorques, de la directive 2014/47/UE relative au contrôle technique routier des véhicules uti-litaires circulant dans l’Union européenne, et de la directive 2014/46/UE relative aux documents d’immatriculation des véhicules.

Programme gouvernemental de 2013: « Pour ce qui est du contrôle technique des véhicules, le Gouvernement prévoit d’évaluer la performance et l’organisation actuelle afin d’y apporter les améliorations qui s’imposent ».

… un service plus rapide et plus fluide …

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112014Septembre

Objectif du contrôle technique périodique: « veiller à ce que les véhicules en circulation soient correctement entretenus et contrôlés afin de maintenir leurs performances et ainsi leur sécurité au niveau garanti par la réception par type pendant toute leur durée de vie ».

Abolition du contrôle de conformitéLa loi du 14 février 1955 concernant la régle-mentation de la circulation sur toutes les voies publiques prévoit que tout véhicule routier doit être soumis à un contrôle technique avant sa première immatriculation au Luxembourg. Dans le cas où ce véhicule est couvert par un certificat de conformité européen valable, le contrôle tech-nique se fait sous forme de contrôle de confor-mité qui porte sur l’identification du véhicule, sur sa conformité technique ainsi que sur la vérifi-cation visuelle de la présence et du fonctionne-ment réglementaire des équipements prescrits. D’après la législation européenne en vigueur, les véhicules routiers fabriqués dans la Communauté doivent être dotés de ce certificat de conformité européen, camions et autres véhicules utilitaires inclus.

Comme stipulé par le règlement grand-ducal modifié du 27 janvier 2001, le contrôle de confor-mité s’étend concrètement à l’identification du véhicule par le numéro de châssis, la plaque du constructeur et le cas échéant, la plaque d’imma-triculation. Le contrôle s’étend également sur la vérification de la conformité du véhicule au pro-totype réceptionné en ce qui concerne le champ de vision, les feux et les dispositifs de signalisation, les dimensions des roues et des pneus ainsi que le nombre de places. En termes d’équipements sont vérifiés la présence d’un triangle de secours et d’une veste de sécurité ainsi que, le cas échéant, le ou les extincteur(s) d’incendie et le coffret de secours.

Pour les véhicules supérieurs à 3.500 kg, le contrôle de conformité porte en outre sur le tachygraphe et le limiteur de vitesse, la présence de raccords pour manomètres sur les circuits du système de freinage à air comprimé ainsi que sur la pré-sence de protections latérales et de pare-chocs conformes dans la mesure où la présence de ces éléments est obligatoire.

En principe, la présence d’un certificat de confor-mité européen garantit déjà, pour les différents Etats membres de l’UE, la régularité du véhicule à immatriculer par rapport aux exigences tech-niques concernant la sécurité routière et les nui-sances environnementales telles que le bruit et les émissions.

Nonobstant, suivant les statistiques publiées par la SNCA, 56.116 véhicules routiers ont dû passer le contrôle de conformité national en 2013. Ils ont ainsi été inspectés chacun par deux contrôleurs assermentés, ceci en complément au certificat de conformité européen existant.

Environ 23.000 de ces contrôles de conformité ont été effectués dans les 3 stations de contrôle technique de la SNCA et ont nécessité le déplace-ment physique des véhicules à immatriculer vers la station. Ceci correspondait à 46.000 trajets rou-tiers et quelque 140.000 heures de travail pour les salariés des garages procédant à l’immatriculation. Les 33.000 contrôles restants ont été effectués par les inspecteurs de la SNCA dans des garages directement. Ceux-ci ont nécessité quelque 16.000 heures de travail supplémentaires pour les distributeurs d’automobile.

L’exposé des motifs du projet de loi sur la réforme du contrôle technique constate maintenant que le Luxembourg est le seul pays de l’Union euro-péenne à appliquer ce type de contrôle de confor-

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Mobilité-Logistique

mité aux véhicules neufs. Le projet de loi prévoit la suppression du contrôle de conformité qui devrait permettre, « d’une part, de supprimer une charge administrative sans équivoque injustifiée, sans pour autant porter atteinte à la sécurité rou-tière, et d’autre part, de désengorger les stations techniques en place ».

Les véhicules neufs qui ont été transformés avant leur immatriculation et ne correspondent donc plus au certificat de conformité européen devront conti-nuer à être soumis à une agrégation spécifique,

notamment pour des raisons de sécurité routière.En remplacement du contrôle de conformité actuel, l’immatriculation se fera à l’avenir sur base d’un dossier introduit auprès de la SNCA par voie postale ou par voie électronique. Le certificat d’immatriculation pourra être enlevé dans une boîte aménagée pour le professionnel auprès de la SNCT ou être envoyé par courrier recommandé. La procédure d’immatriculation future ne nécessi-tera en principe pas plus qu’un à deux jours, sera moins onéreuse pour le client, et le véhicule à immatriculer, disposant d’un certificat de confor-

Adaptation des fréquences de contrôle (en années)

Catégorie de véhicules Situation actuelle Projet de loi

Voitures ordinaires Remorques entre 750 kg et 3.500 kg MotocyclesVoitures d’auto-école Voitures de location

3,5 – 1 – 1

4 – 2 – 1

Petites remorques < 750kg 3,5 – 1 – 1 exemptées du CT

Camionnettes < 3.500 kgMinibus max 9 places, chauffeur inclus, immatriculés comme taxis, voiture de location ou ambulance

1 – 1 1 – 1

Camions, tracteurs de remorques, tracteurs de semi-remorques et remorques >3.500kg ¹Autobus et autocars >3.500kg ¹Remorques destinées au transport de personnes ¹ Véhicules à usage spécial > 3.500kg (camping-cars...) ¹

0,5 – 0,5

1 – 1

Véhicules historiques – immatriculés à partir du 01.01.1950

– âgés de plus de 30 ans

– immatriculés avant le 01.01.1950

– âgés de plus de 50 ans

3,5 – 2 – 2

exemptés du CT

4 – 2 – 2

exemptés du CT

Tracteurs et machines mobiles < 40 km / h, > 600 kg, servant à traîner des véhicules > 25 km / hVéhicules destinés au service d’incendie et à la protection civile

3,5 – 2 – 2 4 – 2 – 2

¹ Ces véhicules peuvent être soumis à tout moment à un contrôle technique routier.

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132014Septembre

mité européen, ne devra plus être présenté phy-siquement aux inspecteurs de la SNCA A relever que la suppression du contrôle de conformité avait déjà été revendiquée auprès du ministre des transports il y a 26 ans par l’Association des Distributeurs Automobiles Luxembourgeois (ADAL).

Adaptation de la fréquence du contrôle tech-nique périodiqueLe projet de loi sur la réforme du contrôle propose d’aligner la fréquence des différentes périodicités du contrôle technique aux dispositions euro-péennes de la directive 2014 / 45 / UE. Les périodi-cités récemment retenues par la directive sont en effet moins contraignantes que celles qui sont en place actuellement au Luxembourg. Les auteurs du projet de loi sont d’avis que l’adaptation des différentes périodicités constitue une simplifica-tion administrative pour les citoyens sans pour autant être nuisible à la sécurité routière. Voici un tableau qui résume les principales adap-tations voir tableau page 12) :L’alignement de la fréquence des contrôles périodiques pour les voi-tures ordinaires aux normes européennes n’aura pas d’incidence importante pour les consomma-teurs. Si on prend par exemple une période de référence de 10 ans, une voiture ordinaire doit passer actuellement 7 fois au contrôle technique périodique, à savoir après 3,5 – 4,5 – 5,5 – 6,5 – 7,5 – 8,5 – 9,5 ans. Sous le nouveau régime, endéans les 10 ans, une voiture ordinaire ne passera plus que 6 fois au contrôle technique périodique (après 4 – 6 – 7 – 8 – 9 – 10 ans).

Le principal changement est à constater au niveau du contrôle technique périodique des véhicules lourds comme les camions, tracteurs routiers, remorques, autobus et autocars, dont la fréquence de contrôle sera réduite de moitié, tout en sachant que les nouvelles normes européennes imposent

que les points à contrôler soient étendus.Conformément aux exigences de la directive européenne sur les contrôles techniques routiers des véhicules utilitaires, ces derniers pourront à tout moment être soumis à un contrôle technique routier lorsqu’ils circulent au Luxembourg ou à l’étranger. Dans ce contexte, les Etats membres sont appelés à soumettre annuellement 5 % du parc circulant à un tel contrôle routier.

Allègements supplémentairesLe projet de loi prévoit également l’abolition de l’obligation à l’enregistrement de certains véhi-cules non soumis à l’immatriculation comme les vélos électriques ou ceux à pédalage assisté. Cette mesure devrait contribuer à propager leur utilisation et promouvoir la mobilité douce.

La réforme du contrôle technique prévoit l’ouver-ture du contrôle technique automobile à la concurrence, de sorte que des sociétés spécialisée en contrôle technique automobile pourront s’éta-blir au Luxembourg. Celles-ci devront disposer d’un agrément du Ministre en charge des trans-ports et remplir certaines conditions d’honorabi-lité, de capacités financières et personnelles, avoir une personnalité juridique propre, et effectuer le contrôle technique comme activité principale.

En cas de changement de propriétaire, le certificat de contrôle existant du véhicule restera d’office valable, même un certificat de contrôle émis par une autorité de contrôle étrangère d’un véhicule importé d’un pays de la Communauté euro-péenne. Le nouveau propriétaire ne devra plus renoncer formellement au contrôle technique, pour autant que le certificat de contrôle n’ait pas encore atteint sa durée de validité.

Projet de loi modifiant la loi modifiée du 14 avril 1955 concernant la réglementation de la circulation sur toutes les voies publiques - PL 6715 – 13 août 2014.

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Le web marketing au service des entreprises et commerçants du LuxembourgAu Grand-Duché certains acteurs économiques envisagent d’augmenter leur budget web marketing. Pour que la publicité sur Internet soit aussi efficace que dans les médias classiques (TV, radio ou journaux), il y a quelques règles à respecter.

Rédaction : Rafael Michel, MUM S.A. I Photos : MUM S.A.

Le marketing sur Internet peut être rentableAu Luxembourg, comme partout ailleurs, le web marketing gagne du terrain. Pourquoi ? Tout sim-plement parce que les résultats sont rapidement et facilement mesurables. Néanmoins, pour garder les coûts de sa campagne sous contrôle, l’entre-prise devra suivre l’approche suivante :

1. Proposer des contenus de qualité

2. Ensuite, les diffuser

3. Sans oublier les utilisateurs mobiles

4. Et mesurer le retour sur investissement

1 Proposer un contenu original, informatif et à jour

Un contenu de qualité est généralement très ciblé. Il apporte une information ou une solution concrète à une problématique rencontrée par les membres d’un groupe cible susceptible d’acheter les produits ou services proposés par l’entrepre-neur.

En fournissant gratuitement des informations per-tinentes aux internautes, les entreprises attirent spontanément de nombreux et fidèles visiteurs

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152014Septembre

vers leur site. C’est plus efficace et moins cher que de payer des espaces publicitaires sur Internet qui ne permettront sans doute pas de toucher les acheteurs potentiels.

2. Partager au maximum les contenus sur les réseaux sociaux

En tenant compte des réalités du paysage média-tique propres au Grand-Duché de Luxembourg, le commerçant pourra tirer profit de la notoriété de Facebook, YouTube ou Google pour se faire connaître et attirer davantage de prospects vers ses produits ou services.

Les entreprises luxembourgeoises savent déjà qu’il est important d’être visibles dans les moteurs de recherche comme Google, mais elles restent timides dans l’utilisation des réseaux sociaux. Pourtant, ces derniers sont bien plus qu’un effet de mode. Ils permettent notamment de renforcer la communication de l’entreprise sur le web. Par exemple, des commentaires positifs à propos d’un produit sur Facebook favorisent la notoriété de l’entreprise qui les propose.

Partager du contenu de qualité, c’est aussi acquérir une réputation d’expert dans son secteur d’activité. Cela donne plus de poids aux publi-cations de l’entreprise et renforce son image de marque ou son e-réputation auprès des consom-mateurs.

3. Ne pas oublier les utilisateurs mobilesLe pourcentage d’utilisateurs de tablettes et de smartphones est en hausse constante à tel point

que les experts internationaux prévoient que le trafic provenant d’appareils mobiles dépassera celui des PC en 2014.

Selon un récent rapport du Statec, au Luxembourg, 50 % des mobinautes utilisent leur téléphone mobile / smartphone et 20 % leur tablette pour accéder à Internet en dehors du tra-vail ou du domicile. Sont particulièrement concer-nées les deux tranches des 25–34 ans (70 %) et des 35–44 ans (68 %), à savoir des tranches d’âge à pouvoir d’achat élevé.Ces mobinautes cherchent bien sûr des infor-mations concernant leurs loisirs, leur santé ou les vêtements qu’ils voudraient porter, mais ils cherchent aussi des idées ou conseils pour la construction, l’aménagement ou la décoration de leur habitation. Comme l’industrie de la construc-tion est bien établie au Grand-Duché, il est judi-cieux que les acteurs locaux puissent être trouvés par leurs futurs clients potentiels. Un site web doit s’afficher correctement sur les tablettes ou les smartphones, sans quoi les entrepreneurs et artisans courent le risque de devenir invisibles aux yeux des jeunes générations.

4. Mesurer l’efficacité du web marketingLe coût d’une vente acquise lors d’une campagne de publicité dans les journaux, à la radio ou à la télévision est difficile à déterminer. Par contre, il est plus simple de mesurer le retour sur investisse-ment des campagnes en web marketing. C’est une tâche indispensable qui permettra de savoir si le budget Internet est judicieusement dépensé.Par ailleurs, mesurer, c’est également comprendre ce qui fonctionne moins bien. Corriger les fai-blesses, c’est aussi réduire les coûts d’acquisition. En définitive, l’utilisation d’un outil d’analyse statis-tique peut révéler :• si le budget publicitaire est dépensé à bon

escient ;• si la notoriété et l’image de marque sont en

progrès ;• si la publicité en ligne est plus rentable que celle

dans les autres médias ;• s’il y a une demande pour l’achat en ligne de

certains produits.

ConclusionEn suivant l’approche présentée dans cet article, le web marketing peut devenir un outil publicitaire complémentaire pour les entreprises. Ces der-nières peuvent facilement en mesurer l’efficacité et, si l’investissement est rentable, y consacrer une partie de leur budget publicité en connaissance de cause.

Plus d’infos : www.mum.lu

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ICTluxembourg se constitue en asbl

Digital

Depuis 2011, ICTluxembourg fonctionnait sous un ‘memorandum of understanding’ en tant que plateforme de coordination pour les associations professionnelles représentant le secteur des TIC au Luxembourg.

Sa constitution en asbl vient concrétiser la volonté des différentes associations professionnelles de coopérer de manière plus étroite en vue d’amé-liorer la visibilité du secteur, de disposer de plus de moyens permettant de mener des actions concrètes et enfin de mettre en œuvre un cadre opérationnel transparent.

Sa principale mission est de rassembler les orga-nisations actives dans le domaine des services numériques, des TIC (Technologies de l’Infor-mation et de la Communication) et des médias. Dans ce sens, ICTluxembourg contribuera à la promotion du secteur tant au niveau national

qu’international ainsi qu’au développement et à la diversification de la branche.

ICTluxembourg se veut d’être la voix unique des acteurs du digital au Luxembourg.

Associations professionnelles membre d’ICTluxembourg :• Association des Banques et Banquiers,

Luxembourg (ABBL)

• Association des Professionnels de la Société de l’Information asbl (APSI)

• Association des PSF de Support

• EuroCloud Luxembourg asbl

• Fedil-ICT asbl

• Fédération des Intégrateurs en Télécommunication, Informatique, Multimédia et Sécurité, a.s.b.l.

L’APSI, en collaboration avec 5 autres associations professionnelles, a lancé en juillet dernier, ICTluxembourg asbl.

ASBL

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Actualités

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Renouvellement du Comité Exécutif et du Conseil d’Administration

Bureau Exécutif et Conseil d’Administration clc – juillet 2014Nom Entreprise/Firme Fédération/Groupement/Association

Président

Fernand ERNSTER LIBRAIRIE ERNSTER Fédération Luxembourgeoise des Libraires FLL

Vice-Présidents

Commerce

Laurent SCHONCKERT CACTUSSyndicat des importateurs-exportateurs et distributeurs-grossistes en alimentation et autres produits de consommation

Services

Georges MULLER CEGECOM Fédération des opérateurs alternatifs du Luxembourg OPAL

Bob WALTE LEASEPLAN LUXEMBOURG Fédération luxembourgeoise des loueurs de véhicules FLLV

Transports

Jos SALESSALES-LENTZ AUTOCARS

Fédération Luxembourgeoise des Exploitants d’Autobus et d’Autocars FLEAA

Administrateurs

Commerce

Claude ALVISSE MOEBEL ALVISSE Fédération Luxembourgeoise de l’Ameublement FEDAM

Anna FELGEN FELGEN CREATION Fédération de la Mode FEMO

Robert GOERES GOERES HORLOGERIE Groupement des activités commerciales diverses

Christian MAROLDT MAROLDTFédération Luxembourgeoise des Négociants en matériaux de construction FEMACO

Raymond MUNHOWEN IMEX DRINK Fédération luxembourgeoise des Distributeurs en Boissons FEDIB

Raymond NIESEN BUROTREND Fédération Bureautique FEBU

Michel RODENBOURG L’EPICERIE Groupement Alimentation

Services

Jean DIEDERICH KURT SALMON Association des Professionnels de la Société de l’Information APSI

Carlo HEIN PROPERTY Fédération Internationale des Professions Immobilières FIABCI

Gary KNEIP DATA 4 Association des Professionnels de la Société de l’Information APSI

Berny LEY VOYAGES FLAMMANG Groupement des Agences de Voyages du Grand-Duché GAVL

Netty THINES MEDIATIONAssociation des agences conseils en marketing et communication MARKCOM

Transports

Louis DESLANDES TRANSPORT HEIN Groupement des Entrepreneurs de Transports

Edouard GOEDERT AUTOPOLIS SA Association des Distributeurs Automobiles Luxembourgeois ADAL

Roland SIMON VOYAGES KOOBFédération Luxembourgeoise des Exploitants d’Autobus et d’Autocars FLEAA

Marianne WELTER ARTHUR WELTER Groupement des Entrepreneurs de Transports

La clc a le plaisir d’annoncer l’élection de son nouveau Comité Exécutif en date du 07 juillet 2014.

Suite aux élections du nouveau Conseil d’Adminis-tration le 24 juin, celui-ci a élu M. Fernand Ernster au poste de Président du Comité Exécutif succé-dant ainsi à M. Gary Kneip qui avait choisi de ne

plus présenter sa candidature. MM. Georges Muller, Jos Sales, Laurent Schonckert et Bob Walté ont été nommés Vice-Présidents de la clc.

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Le GME a un nouveau ComitéLe « Groupement des Importateurs et Grossistes de Matériel Electrique (GME) » du Grand-Duché de Luxembourg, créé en 1980, représente aujourd’hui 26 entreprises regroupant plus de 650 employés qui réalisent un chiffre d’affaires dépassant les € 100 Mio.

Le Groupement des Importateurs et Grossistes de Matériel Electrique (GME)

Avec l’aide de son nouveau Conseil d’Administra-tion, le Président M. Christian MICHEL, Directeur Général de la société Rexel Luxembourg qui a succédé à M. Guy Thill (ancien responsable de Minusines), veut insuffler un vent nouveau au Groupement en l’orientant vers un nouveau posi-tionnement.

Ainsi, il est notamment prévu de redéfinir les missions du GME pour que celles-ci soient en adéquation avec la conjoncture changeante. Dans ce contexte, les membres souhaitent revaloriser le métier en créant un label de qualité au niveau national. Ce différentiateur visera à sensibiliser le partenaire à acheter au Luxembourg pour soute-nir, d’une part la création de valeur sur le territoire national et d’autre part les emplois.

Le GME se ralliera aux efforts de la clc, l’organisa-tion faîtière à laquelle est affiliée le Groupement, dans ses démarches relatives à la problématique de l’approvisionnement. Par ailleurs, le GME s’est aussi fixé comme mission de préparer tous les membres aux changements légaux futurs en matière de consommation énergétique, en vigueur à partir de 2018.

Le nouveau Conseil d’Administration se com-pose des membres suivants : M. Michael Thiel (Sipel) Vice-Président, M. Jean-Pierre Fuchs (AEM) Trésorier, M. Laurent Petry (Electrolux), M. Laurent Saeul (Minusines), M. Jean-Claude Theisen (Phoenix Contact), M. Marco Zenner (Zenner Marco).

■ Silvia Teixiera

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Actualités

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Clever botzen (Nettoyer malin) – stand d’information à l’OekoFoireLaver et nettoyer sans porter atteinte à la santé et nuire à l’environnement – c’est sous cette devise qu’était placé le stand commun de l’Union Luxembourgeoise des Consommateurs et de la SuperDrecksKëscht® lors de l’édition 2014 de l’Oekofoire organisée par le Mouvement Ecologique et l’OekoZenter (Luxexpo, 26. – 28.09.2014). Outre la présentation détaillée de lessives et de produits de nettoyage mis en évidence dans le cadre de la campagne Clever akafen, de petits ateliers sont proposés pour illustrer les techniques de nettoyage écologiques. Au programme : par ex. le nettoyage des sols à l’aide de mops en microfibres et le nettoyage de fenêtres et de miroirs à l’aide de chiffons en microfibres.

Le choix d’un produit de lavage et de nettoyage écologique

Le lavage et le nettoyage écologiques se com-posent fondamentalement de 2 éléments : outre le choix d’un produit de lavage et de nettoyage si possible écologique, l’utilisation d’une technique correcte de lavage et de nettoyage est un facteur déterminant.

Le choix d’un produit de lavage et de nettoyage écologique – la campagne Clever akafenCertains des composants utilisés dans les lessives et les produits de nettoyage peuvent fortement polluer le milieu aquatique et déclencher des allergies (cutanées) chez les consommateurs. Les déboucheurs et décapants pour fours, très cor-rosifs, et les produits contenant du ‘chlore actif’ comme les produits d’entretien pour sanitaires, les agents de blanchiment et les désinfectants (par ex. l’Eau de Javel) sont particulièrement probléma-tiques. Les acides et les produits alcalins concen-trés polluent l’eau et peuvent, en modifiant le pH, avoir un impact direct sur la flore et la faune du milieu aquatique. La présence de stations d’épura-tion ne résout pas ce problème.

Dans le cadre de la campagne Clever akafen de la SuperDrecksKëscht®, les lessives et les produits de nettoyage écologique sont mis en évidence dans les magasins qui participent à l’action et portent le logo « Clever akafen – Produits recommandés par la SuperDrecksKëscht® ». Les produits recomman-dés par la SuperDrecksKëscht® doivent satisfaire à des critères rigoureux en ce qui concerne les com-posants tels que les agents tensioactifs, les agents de blanchiment, les adjuvants de lavage, les sol-vants, les parfums et les additifs, etc., ainsi que leur dégradabilité dans le milieu aquatique.

L’utilisation de la technique correcte de lavage et de nettoyage – les formations « EcoCleaner » de la SuperDrecksKëscht®

Des modules de formation continue sur le net-toyage écologique ont été mis au point dans le cadre du projet Leonardo da Vinci « EcoCleaner » cofinancé par la Commission européenne. La SuperDrecksKëscht®, centre de formation accré-dité, propose ces formations ainsi que d’autres formations continues aux particuliers, employés et demandeurs d’emploi.

Les formations continues « EcoCleaner » mettent l’accent sur l’utilisation des techniques de net-toyage correctes, par ex. l’utilisation de chiffons et de mops en microfibres. Les formations portent également sur l’utilisation de machines de nettoyage. D’autres aspects importants sont le dosage correct (le surdosage nuit à la santé du consommateur, pollue l’environnement, génère des coûts élevés et peut endommager les maté-riaux) et le respect du code couleur dans le sec-teur du nettoyage.

Vous trouverez les dates de ces formations conti-nues de la SuperDrecksKëscht® sur le site inter-net www.sdk.lu.

Écologie

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Euro

Mise en circulation du nouveau billet de 10 €

23 Septembre 2014:

Le 23 septembre, la Banque centrale du Luxembourg (BCL) a mis en circulation le nouveau billet de 10 euros. Au cours des prochaines années les autres billets de la série « Europe » seront introduits dans l’ordre croissant des dénominations.

Pensez à former votre personnelLe nouveau billet de 10 euros et ses signes de sécurité peuvent être consultés sur le site internet dédié suivant: http://www.nouveaux-billets-euro.eu. Du matériel de formation et d’information sera disponible auprès de votre banque à partir du mois de septembre. Vous avez également la possibilité de commander ce matériel auprès de la BCL en envoyant un message à l’adresse e-mail « [email protected] ».

Cours légalLes billets de 10 euros de la première série conti-nueront à avoir cours légal pendant plusieurs années. La date à laquelle ils perdront leur cours légal sera communiquée au public en temps voulu. Même après cette date, les billets de la pre-mière série pourront toujours être échangés aux guichets de la BCL.

Nous restons à votre disposition pour toute question que vous pourriez avoir. Merci de nous envoyer un message à l’adresse e-mail « [email protected] ».

Signes de sécuritéCe nouveau billet bénéficie des progrès technolo-giques réalisés dans l’impression des billets depuis l’introduction de la première série et comporte de nouveaux signes de sécurité améliorés. Ainsi, le filigrane et l’hologramme montrent un portrait d’Europe, personnage de la mythologie grecque qui a donné son nom à la nouvelle série de billets.

L’hologramme (la bande argentée sur la droite du billet) fait apparaître un portrait d’Europe ainsi que le symbole de l’euro (€), une fenêtre et la valeur du billet.

Un élément visible au premier coup d’œil est le nombre émeraude sur la gauche du billet, qui change de couleur, passant du vert émeraude au bleu profond, et produit un effet de lumière qui se déplace de haut en bas et de bas en haut.

Enfin, de petites lignes imprimées en relief sur les bordures, à gauche et à droite du billet, per-mettent, notamment aux aveugles et aux mal-voyants, de reconnaître facilement le billet. Le motif principal, les lettres et le chiffre de grande dimension indiquant la valeur du billet présentent également un effet de relief.

Adaptez vos machines et appareilsLa Banque centrale du Luxembourg rappelle la nécessité de faire adapter au nouveau billet de 10 € les machines et appareils acceptant, traitant ou authentifiant des billets.

La BCL met gratuitement à votre disposition des autocollants. Ces autocollants pourront être appo-sés dès que votre matériel aura été adapté. Ainsi, l’autocollant indiquera à votre clientèle ou votre utilisateur que votre matériel a été adapté au nou-veau billet de 10 euros. Si cette initiative vous inté-resse, nous vous invitons à prendre contact avec les services de la BCL et à communiquer directe-ment le nombre d’autocollants dont vous aurez besoin en envoyant un message à l’adresse e-mail «[email protected]».

■ BCL I Photos : BCL

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Actualités

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Rédaction : GoodIdea I Photos : shutterstock.com

Les étrangers (nos voisins ?) découvrent le Luxembourg !La « Gëlle Fra », est-ce une attraction sur la Schueberfouer ou un monument au centre-ville ? L’événement incontournable qui a lieu le deuxième lundi de la Schueberfouer, est-ce la Grande Braderie ou le festival «Rock um Knuedler» ?

Le Luxembourg City Quiz a fait le buzz en Grande Région au mois d’août. Les gagnants ont pu rem-porter comme prix un week-end à Luxembourg, un des 50 Luxembourg-City-Packages comprenant chacun un bon d’achat pour les magasins de la ville, des carnets pour la Schueberfouer et une visite guidée de la ville.

L’équipe de « Shopping in Luxembourg – Good Idea » avait élaboré ce projet pour —l’association européenne des commerçants-forains (AECF), l’union commerciale de la ville de Luxembourg (UCVL) et le Luxembourg City Tourist Office (LCTO). Les trois partenaires dési-raient promouvoir leurs différentes manifes-tations : la Schueberfouer, la Grande Braderie,

les ouvertures dominicales des magasins et le « Summer in the City ».

L’objectif de l’action consistait à faire une com-munication cohérente autour de la ville de Luxembourg tout en considérant les différents aspects qui rendent une ville attrayante et accueil-lante: culture, traditions, personnalités, manifesta-tions et infos pratiques. L’équipe de Good Idea a géré les budgets des différents acteurs et élaboré un concept global comprenant le jeu-concours et une campagne de communication couvrant toute la Grande Région. Le plan de communication pré-voyait entre autre une version « offline » du jeu en collaboration avec « Radio Salü » (Sarre) qui atteint chaque jour 232.000 auditeurs.

Shopping, Schueberfouer, City Promenade :

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Shoppingtipps online immer gefragterImmer mehr Menschen suchen online nach interessanten Shoppingtipps und Informationen zu Produkten und Geschäften. Auch Luxemburgs Handelslandschaft wird verstärkt im Internet erkundet. Aktuelles Beispiel sind die neuen Besucherzahlen von Goodidea.lu.

Neue Zahlen zur Entwicklung von Goodidea.lu

Der Shopping-Blog informiert seit 2008 insbesondere Menschen in Luxemburg und der Großregion in vier Sprachen über das attraktive Einzelhandelsangebot, Restaurants & Co. im Land. Im ersten Halbjahr 2014 konnte Goodidea.lu im Vergleich zum Vorjahreszeitraum eine Steigerung der Besuche von über 60 % verzeichnen. Fast 300.000 Mal wurde Luxemburgs Shoppingblog Nr. 1 in diesen Monaten konsultiert. Insbesondere das Dossier „I love local“ rund um lokale Produkte und Produzenten / Designer zog interessierte Internetnutzer an, die viele neue und individuelle Facetten von „Shopping in Luxembourg“ ent-decken konnten – und nach wie vor können. Sämtliche lokale Good Ideas sind noch online und werden laufend ergänzt.

Viele Besucher kommen „mobil“„Online“ und „mobil“ gehen immer häufiger Hand in Hand. Das erweiterte Angebot der runderneuerten Mobilversion von Goodidea.lu trägt diesem Trend Rechnung. Die aktuellen Zahlen übertreffen jedoch alle Erwartungen: Der Anteil der mobilen Besuche an der Gesamtzahl der Besuche von Goodidea.lu liegt

inzwischen im Monat im Durchschnitt bei über 50 %, was einer über hundertprozentigen Steigerung im Vergleich zu 2013 entspricht.

Shopping in Luxembourg… gefällt mir!Gute Ideen teilt man gerne mit anderen: Woche für Woche postet Good Idea interessante Tipps aus Luxemburgs Einzelhandelslandschaft auf der eigenen Fanpage Facebook.com/goodidealuxembourg. Inzwischen gefällt Shopping in Luxembourg über 16.000 Facebook-Nutzern.

Goodidea.lu «accueillait» les internautes de la Grande Région afin de leur donner une vue d’en-semble sur tout ce que se passait en ville, et de les rediriger ensuite vers les sites des trois partenaires. Le principe de Goodidea.lu est de diffuser des informations complémentaires à celles déjà dispo-nibles sur les sites partenaires, en mettant surtout en avant les « bons plans » et en développant le lien émotionnel de la communauté Good Idea avec le Luxembourg. Pour atteindre un maximum de clients potentiels du commerce luxembour-geois, Good Idea rédige ses contenus en 4 langues (F, D, GB, L) et adapte ses contenus aux différents groupes cibles, via des stratégies de communica-tion sur mesure pour l’Allemagne, la France et la Belgique, sur les réseaux sociaux, etc.

Le Luxembourg City Quiz a été un grand succès: pendant toute la période du jeu, presque 15.000 internautes ont répondu aux questions du quiz afin de remporter leur Luxembourg-City-Package. C’est à dire que presque un visiteur sur trois a participé! Les différents articles en relation avec le Luxembourg City Quiz ou la Schueberfouer sur la fanpage Facebook de Good Idea ont atteint à peu près 87.000 personnes et généré 2.500 «likes», partages et commentaires.

Promouvoir le pays à l’étranger pour conser-ver et développer le chiffre d’affaires !

L a croissance économique du Luxembourg ne peut résulter exclusivement de la

demande intérieure. L’exemple du commerce montre qu’il est essentiel d’attirer une clien-tèle de la Grande Région : la réduction des dépenses des ménages résidents, les efforts des villes frontalières pour élargir leurs zones de chalandises et attirer le pouvoir d’achat des Luxembourgeois ainsi que l’essor du com-merce en ligne nous exposent à une situation concurrentielle qui demande une nouvelle approche: soyons différents !

S aviez-vous que plus d’1,5 millions de clients potentiels résident dans la zone

frontalière, ceux-ci habitent à moins de 30 km ou à une heure maximum de trajet de nos frontières? C’est trois fois le nombre d’habitants du Luxembourg! Pour susciter leur curiosité et surtout pour les fidéliser, l’équipe Good Idea mène des actions en Grande Région tout au long de l’année. Elle propose et exécute aussi des actions spécifiques pour le compte des fédérations et unions commerciales.

■ Goodidea

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clcnetworking

Le 11 septembre, la société Tango, en collaboration avec LuxConnect, a accueilli des membres de la clc pour un networking sous le signe de la connectivité

Networking aux connexions assurées

Accueillis par M. Jean-François Willame, Managing Director de Tango S.A., plus de 70 invités se sont retrouvés au siège de la société à Bertrange pour un événement clcnetworking. M. Willame s’est adressé en Luxembourgeois aux convives pour les saluer et passer ensuite la parole à Fernand Ernster, nouveau président de la clc depuis juillet 2014.

M. Ernster, après avoir souhaité la bienve-nue aux personnes présentes, a confirmé la détermination de la clc de continuer d’œuvrer de manière efficace et durable dans l’intérêt de ses membres. Il a mis l’ac-cent sur les défis et les opportunités que représentent les nouvelles technologies de

Rédaction : Sylvie Fasbinder clc I Photos : agence Médiation S.A.

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communication. Il a ensuite invité M. Roloff (store indien « Mélange ») à remettre le prix gagné à Mme Sylvia Rapp (AIB Vinçotte) qui avait remporté le jeu des cartes de visite lors du networking précédent.

M. Willame a repris la parole pour présenter plus amplement la société Tango. Un bref historique montre l’évolution importante de la société, en développement continu. Tango est un des pionniers mondiaux pour la 4G. Le service 4G de Tango couvre désor-mais 90 % de la population au Luxembourg, une population qui par ailleurs est la plus connectée au monde. M. Willame évoque les innovations en cours et celles à venir dans le secteur des télécommunications et mentionne le potentiel du cloud compu-ting.

Après la présentation, les convives sont invités à visiter le showroom de la société et à faire plus amplement connaissance avec l’offre iPTV de Tango, à savourer un verre et d’excellents amuse-bouches (Steffen traiteur) et surtout, à se parler, à s’échanger, à se connecter.

Soirée réussie ! www.luxconnect.luwww.tango.lu

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Actualités

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SPL

Transfert des activitésSuite à l’adhésion du Syndicat des Pharmaciens Luxembourgeois (SPL) auprès de la clc en tant que membre fin 2010, il a été décidé, courant 2014, de transférer les activités du SPL au sein de la clc. Le contrat de service a été signé le 22 août dernier.

Syndicat des Pharmaciens Luxembourgeois (SPL)

Le rôle de la clc, au travers de son conseiller, sera d’assurer la continuité de la mission du SPL dont, en particulier, le suivi et l’implémentation de la légis-lation, la participation à l’évolution des structures

intégrées au travers du volet e-santé et la formation continue. Au-delà, le SPL bénéficiera de compé-tences dans divers domaines communs à d’autres fédérations.

FELSEA

1ère Assemblée Générale le 9 juillet et Lancement de son site La FELSEA, une asbl constituée le 22 mars 2013 à l’initiative de plusieurs gestionnaires de crèches privées, a tenu sa première assemblée générale le 9 juillet 2014. Lors de cette assemblée, la FELSEA a officiellement lancé son site internet www.felsea.lu où les informations et les revendications les plus importantes de la fédération sont reprises.

La FELSEA (Fédération Luxembourgeoise des Services d’Education et d’Accueil pour Enfants) :

Actuellement, la FELSEA, vu les enjeux importants pour les crèches, souhaite avant tout s’associer aux réflexions que le Ministère de l’Education est en train de mener en ce qui concerne la petite enfance.

A noter que le Conseil d’Administration s’est renfor-cé du dynamisme de 6 nouveaux administrateurs pour pouvoir répondre aux nombreux défis du secteur privé.

Le Conseil d’Administration de la FELSEA se compose désormais comme suit :M. Marc Hoffmann (Villa Wichtel) – président, membre fondateurMme Béatrice Martin (KidsCare) – vice-présidente, membre fondateurMme Fabiana Caruso (Kids’Ville) –

secrétaire générale, membre fondateurM. Pierre Godard (L’Enfant Roi) – trésorier, membre fondateur

Administrateurs : Mme Yolande Haas-Hoffmann (Crèche Butzebuerg) – membre fondateurM. David Huth (Crèche Butzemillen) M. Maxime Arend (Crèche Butzennascht) Mme Maria Castrovinci De Almeida (Crèche Coccinella)M. Arthur Carvas (Crèche King Arthur’s Castle)M. Christian Mitchell (Crèche La Luciole)Mme Evita Jordao (Top Crèches)

Monde littéraire

20 ans Walfer BicherdeegDu vendredi 14 novembre au dimanche 16 novembre, le prestigieux salon du livre fêtera son 20ème anniversaire.

Soyez les bienvenus dans le monde littéraire ! 

La fédération des libraires sera parmi les exposants cette année afin de mettre en évidence sa com-pétence principale qui est celle du conseil. Ainsi, chaque libraire présentera ses coups de cœur dans les domaines « romain, essai et jeunesse ». Des résumés de chaque livre seront présentés et les visi-teurs pourront poster un choix personnel. Un tirage au sort déterminera les vainqueurs.Walfer Bicherdeeg, une belle occasion pour les grands et les petits à la recherche de nouvelles

idées de lecture ou d’inspiration pour des cadeaux de Noël.

■ Serge Moulin

■ Isabelle Phalippou

■ Lucia Seda

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« Festival du meuble 2014 »

Profitez du Festival du meuble pour changer d’intérieur !

« Héich Zäit fir néi Miwwelen » illustre le thème du festival de cette année et invite tous ceux qui sont à la recherche d’un nouveau mobilier à venir découvrir les dernières collections et tendances dans une atmos-phère de fête.

Festival oblige, les magasins participants vous déroulent le tapis rouge pendant 9 jours du 27 septembre au 5 octobre, avec des offres promotionnelles. La découverte se prolonge lors des ouvertures dominicales du 28 septembre et 5 octobre, de 14 à 18 heures.

Le Festival, c’est toutes les marques, tous les styles et toutes les tendances pour tous les budgets ! Rendez-vous chez :

• Abitare • Ameublement Galerie Moderne • Ameublements Thill • Ameublement Jean Ruhl • Angle Vert • Capésius & Reding • Casa Nova Contemporain • Conforama • CS-Schranksysteme • Cuisines et Meubles Carlo Scheer • Decker Line • Home Interiors by Flamant • Kichechef • Kicheconcept • L’AS du Placard • Le Couturier de la Cuisine • Literie Kandel • Maison du Lit • Meubles Marc Scheer • Meubles Mich-Gillen • Meubles Oestreicher • Miwwel Roller • Miwwelhaus Koeune • Möbel Alvisse • Roche-Bobois • Sichel • Stoll Maître Matelassier • Tousalon-Salonix sàrl • Wolf-Moritz Cuisines

Samedi, le 27 septembre 2014, la Fédération Luxembourgeoise de l’Ameublement (FEDAM) a donné le coup d’envoi de la semaine du « Festival du meuble ». Celui-ci se tiendra dans 30 magasins d’ameuble-ment réputés du Luxembourg et durera jusqu’au 5 octobre.

Toutes les informations relatives au « Festival du Meuble » peuvent également être consultées sur le site web www.ameublement.lu.

Fedam

GoodIdea

Neue Kommunikationswege für neue KundenFrüh morgens auf der Place Guillaume II in Luxemburg-Stadt. Frisches Obst und Gemüse, duftende Backwaren, Blumen… die Markthändler haben ihre Stände aufgebaut und die ersten Kunden sind auch schon da. Wochenmärkte sind traditionsreiche und moderne Handelsform zugleich. Direktvermarktung, hohe Produktqualität und Beratungskompetenz sind nur einige Aspekte, die von heutigen Konsumenten geschätzt werden. Das moderne Konsumentenverhalten verlangt aber auch nach Innovationen in der Kommunikation.

Online-Kampagne für Wochenmärkte

Es gilt, über neue Wege neue Kunden zu errei-chen. Aber kann man traditionelle Wochenmärkte über eine onlinebasierte Kommunikationsstrategie bewerben? Hier scheinen Welten aufeinander zu treffen; der „Lëtzebuerger Maarteverband“ hat es dennoch gewagt: strategisch und operativ unterstützt vom Team der Initiative „Shopping in Luxembourg – Good Idea“ wurde eine Kampagne

entworfen, um auf die Wochenmärkte der Stadt Luxemburg aufmerksam zu machen, positive Imagearbeit zu leisten und neue Kunden – insbe-sondere dort wohnende Ausländer – zu erreichen. Wer heute im Internet unterwegs ist, sucht vor allem eines: Informationen. Je mehr Informationswert ein Artikel hat, desto besser, und desto eher kann dieser Beitrag mit Artikeln ande-

■ Rafael Raimundo

Fedam

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Actualités

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rer Anbieter konkurrieren. Portulak, Sauerampfer, Blumenkohl und andere sogenannte „Gemüse des Monats“ stehen daher im Zentrum dieser etwas anderen Werbung für die Wochenmärkte der Stadt. Jeden Monat soll eine andere „Markt-Good Idea“ die Menschen auf das umfangreiche, hochquali-tative und lokale Angebot der hiesigen Händler aufmerksam machen. Dazu gibt es Rezeptideen online vom Vorsitzenden des „Lëtzebuerger Maarteverband“, Niki Kirsch – alles natürlich (wie bei Goodidea.lu üblich) in vier Sprachen.

Individuelle Inhalte sind das eine, hohe Reichweite das andere: Der „Maarteverband“ investierte in eine spezielle Kampagne im Google-Netzwerk, mit der die Internetnutzer auf die Goodidea.lu-Inhalte aufmerksam gemacht wurden. In weniger als drei Monaten konsultierten so mehr als 2.000 Personen die Markt-Good Ideas und erfuhren so auch von den Daten der Wochenmärkte.

Shopping auf dem Wochenmarkt ist häu-fig mehr als schlichtes Einkaufen. Der Wochenmarkt erfüllt auch heute seine Funktion als Kommunikationsforum mitten in der Stadt. Warum also den Markt nicht auch selbst zum Thema auf anderen Kommunikationsplattformen machen? Als weiterer interaktiver Baustein der Kommunikationsstrategie wurde daher die Facebook-Fanpage von Good Idea integriert. Hier wird nicht nur regelmäßig auf das neue Gemüse des Monats hingewiesen, sondern es wurde auch ein Quiz durchgeführt, bei dem es Einkaufsgutscheine für den Wochenmarkt zu gewinnen gab. Über 200 Personen nahmen teil,

und wichtiger noch: viele Tausend Fans erfuhren und erfahren auch immer noch regelmäßig vom Wochenmarkt.

Traditioneller Handel auf dem Wochenmarkt und innovative Kommunikation zur Erschließung neuer Kundenkreise schließen sich also keinesfalls aus. Das hat die Kooperation von Lëtzebuerger Maarteverband und „Shopping in Luxembourg – Good Idea“ deutlich gezeigt.

Von Kirschtomaten bis Ochsenherzen… jetzt ist Tomatenzeit!Man mag es kaum glauben, aber auch Tomaten haben eine „Saison“. Im August und September können sie hierzulande ohne großen Aufwand angebaut werden und sind besonders lecker!

„Im Supermarkt bekommt man zwar ganzjährig Tomaten, aber mit dem was Sie aktuell auf dem Markt finden, hat das wenig zu tun“, ist Niki Kirsch vom Lëtzebuerger Maarteverband von der Qualität der Luxemburger Tomaten überzeugt.

Aktuell können Sie mehr als 10 Sorten kaufen: Kirschtomaten, gelbe (eher süßliche) Tomaten, Tomaten für Salat (mit geringerem Wasseranteil), schwarz gestreifte Tomaten, „Ochsenherzen“… Am besten, Sie geben den Verwendungszweck an, und die Fachleute auf dem Wochenmarkt zeigen Ihnen die passende Sorte. Zum Beispiel eine Tomatensorte, die sich speziell für Tomatensoße eignet, weil sie eine dünne Schale hat…

GoodIdea

Für mehr Informationen und ein leckeres Rezept

Hier das Rezept für eine Tomatensoße à la Niki Kirsch:

Zutaten (ergibt rund 2 Liter Soße):

2 kg Tomaten1 Zwiebel

1 kleiner Stangensellerie3 Möhren

Salz und PfefferButter

Knoblauch

Zubereitung: Die Tomaten waschen und kleinschneiden. Den Strunk dabei heraustrennen. Stangensellerie und Möhren ebenfalls putzen und klein-schneiden. Eine Zwiebel kleingeschnitten im mit etwas Butter in einem Topf andünsten. Tomaten, Stangensellerie und Möhren hinzugeben. Alles mit wenig

Hitze 2–3 Stunden köcheln lassen. Dabei öfter umrühren, um Anbrennen zu vermeiden. Wenn alles zerfallen ist, kurz mit dem Pürierstab (vorsichtig) pürieren. Mit Salz und Pfeffer abschmecken. Knoblauch nur hinzugeben,

wenn die Soße frisch serviert wird. Rest einfrieren oder einkochen (ohne Knoblauch!)

Guten Appetit!

■ Sebastian Reddeker

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Abonnement annuel : 15 EUR.Parution : bimestrielle.ISBN : 1025-6822

clconnectEdition - Rédaction clc.rue Alcide de Gasperi, 7.L-1615 Luxembourg.B.P. 482.L-2014 Luxembourg.Tél. : 439 444-1.Fax : 439 [email protected] / Conception & Layout : clc - Regie.lu, [email protected], [email protected] / Publicité - Regie.lu : [email protected] Christophe Plantin, 2.L-2988 Luxembourg.B.P. 1355 – L-1013 Luxembourg.Tél. : (352) 4993-9002/9507.Fax : (352) 4993-9534.www.saint-paul.lu / Impression : myprint.lu

Save the date2 octobre 2014 GoodIdea@mudam - Conférence « l’innovation dans le commerce »

plus d’infos sur www.goodideapro.lu

5 octobre 2014 Fête des Pères 19 octobre 2014 Mantelsonndeg8 – 9 novembre 2014 Grande Foire d’Antiquités et de Brocante / LuxExpo 13 novembre 2014 Conférence Deloitte « Dépenses de fin d’année 2014 »

plus d’infos sur www.goodideapro.lu

22 – 26 novembre 2014 Expogast à LuxExpo

clcnetworking 26 novembre 2014 à l’ADEM à Esch/Alzette (Belval) en partenariat avec l’ITM

Serge Moulin a rejoint la clc en juillet 2014 pour renforcer l’équipe des Conseillers. Serge a passé un baccalauréat européen (sciences) à Luxembourg en 1986 et a conclu des études en aviation à l’ENAC à Toulouse avec succès en 1992.

La clc organise deux conférences d’information et de formation concernant la mise en œuvre de la nouvelle règlementation (transposition du règlement N° 1169 / 2011 du Parlement Européen et du Conseil concernant l’information des consommateurs sur les denrées alimentaires)

clc

Save the date

Pendant 25 ans l’aviation civile fût son domaine de prédilection dont l’essentiel s’est déroulé en tant que pilote de ligne sur court et moyen-courrier en Europe – Méditerranée jusqu’en 2011.

Depuis, suite à une première expérience en tant que co-fondateur d’une société d’aviation entre 2005 et 2007, Serge a saisi l’opportunité de répé-

• 6 octobre 2014 de 11.30 à 14.00 en langue française

• 13 octobre 2014 de 11.30 à 14.00 en langue luxembourgeoiselieu : 7, rue Alcide de Gasperi, Kirchberg orateur : M. Patrick Hau, Chef de service de la sécurité alimentaire, Ministère de la Santé

Le règlement s’applique aux exploitants du sec-teur alimentaire à tous les stades de la chaîne ali-mentaire lorsque leurs activités concernent l’infor-

mation des consommateurs sur les denrées alimen-taires. Il s’applique à toutes les denrées alimentaires destinées au consommateur final, y compris celles servies par les collectivités (restaurant, cantine, hôpital, crèches, ...) ou destinées à être livrées à des collectivités.

Inscription : renvoyer le formulaire (à télécharger sur www.clc.lu) par email ([email protected]), fax (439 450) ou par voie postale (clc, BP 482, L–2014 Luxembourg)

ter cette démarche dans le domaine des éner-gies renouvelables et durables jusqu’en 2014. Aujourd’hui, Serge entame un troisième parcours en tant que conseiller auprès de la clc. La tâche qui lui est dévolue est celle de l’intégration du Syndicat des Pharmaciens Luxembourgeois au sein de la clc ainsi que la prise en charge du Groupement de Transport.

Serge Moulin, nouveau collaborateur

Conférence – sécurité alimentaire

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