pyramide - centre culturel

Avenue de Paris41200 Romorantin-Lanthenaytél. 02 54 94 42 20fax 02 54 76 94 36courriel : pyramide@romorantin.frsite : www.romorantin.fr

COMMUNIQUÉ DE PRESSEDE PRESSE

CIRCUSAvec Calogero, Stanislas, Philippe Uminski,

Karen Brunon et Elsa Fourlon.

D’après une histoire originale de Marie Bastide.

MERCREDI 4 DÉCEMBRE 2013 - 20H30

PYRAMIDE - CENTRE CULTUREL - ROMORANTIN-LANTHENAY

Tarifs : Plein tarif : 35 € - tarif réduit : 33 € - tarif abonné : 30 € - tarif jeune : 10 €

Contact presse : Isabelle Moussy ou Michel Tazé – Tél. 02 54 94 42 20

Renseignements : Pyramide - Centre culturel Tél. : 02 54 94 42 20 – Fax : 02 54 76 94 36 – Courriel : pyramide@romorantin.fr

P.J. : 1 dossier de presse 1 photo

Saison culturelle bénéfi ciant du soutien de la Région Centre et du Conseil Général de Loir-et-Cher

OPÉRA-POP

CIRCUSAVEC CALOGERO, STANISLAS, PHILIPPE UMINSKI, KAREN BRUNON ET ELSA FOURLON

Appelés et unis par Calogero, ils sont cinq : Calogero lui-même, le chanteur Stanislas, Philippe Uminski et les multi -instrumenti stes Karen Brunon et Elsa Fourlon.

Violon, clarinett e et theremin pour l’une, guitare, basse et harmonica pour l’autre, claviers en tous genres : ici, harpe ou six cordes, là, ces gens ne ti ennent pas en place. Il faut se fi gurer une ronde d’arti stes qui se passe-raient le micro les uns après les autres, tout en changeant d’instruments…

A écouter Circus, on pense à des coins du feu forains, mais surtout aux chorales des Beach Boys, aux bandes originales signées Michel Legrand ou Burt Bacharach, aux opéras des Who, aux fanfares des Beatles et même la synthpop du début des années 80.

Les cinq viennent de sorti r un album auquel ont joyeusement parti cipé Jean-Jacques Goldman, Dominique A, Marc Lavoine ou encore Benjamin Biolay.

Opéra pop avec Calogero, Stanislas, Philippe Uminski, Karen Brunon et Elsa Fourlon.D’après une histoire originale de Marie Basti de.

GenreOPÉRA POP

DateMercredi 4 décembre

2013à 20h30

Tarifs(détails pages 32-33)

Plein tarif : 35 €Tarif réduit : 33 €

Tarif abonné : 30 € Tarif jeune : 10 €

Durée1h30

sans entracte

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CIRCUS « C’est quoi ce cirque ? » – questionne très à propos le premier titre de ce premier album d’un groupe de musiciens qui ne sont pas tout à fait des jeunes premiers. C’est quoi ce bordel ? – serait-on tenté d’ajouter. Appelés et unis par Calogero, ils sont cinq. Cinq musiciens/chanteurs/musiciennes/chanteuses confirmés qui se débrouillent très bien chacun dans leur coin, mais ont choisi de tout réunir dans un pot commun, comme on constitue une cagnotte au début des vacances. Un pour tous, et le tout pour le tout… Violon, clarinette et theremin pour l’une, guitare, basse et harmonica pour l’autre, claviers en tous genres ici, harpe ou six-cordes là, ces gens ne tiennent pas en place. Il faut se figurer une ronde d’artistes qui se passeraient le micro les uns après les autres, tout en changeant d’instruments, avant de se retrouver à tue-tête sur des lalalala carillonnants… A écouter CIRCUS, on pense à des coins du feu forains, mais surtout aux chorales des Beach Boys, aux bandes originales signées Michel Legrand ou Burt Bacharach, aux opéras des Who, aux fanfares des Beatles et même à la synth pop du début des années 80. Toutes références assumées, toutes (ir)révérences envers les tables de la loi pop exécutées avec l’audace d'une toupie folle.

«Pop», donc. Un joli bruit, comme un bouchon qui saute pour que se mettent à couler des fontaines mélodiques, comme une promesse de bulles harmoniques éclatant aux oreilles de ceux qui voudront bien écouter. A l’origine de CIRCUS, ce groupe de pop, cette troupe de rock, il y a la triple amitié Philippe Uminski/Calogero/Stanislas, qui remonte à plus de dix ans, comme quoi les goûts et les couleurs peuvent parfois faire l’objet d’accord(s) parfait(s) entre musiciens. Après s’être souvent côtoyés sur disques et en tournée, les trois lascars ont flashé coup sur coup sur deux chanteuses multi-instrumentistes, Karen Brunon et Elsa Fourlon, et les ont entraînées dans un projet fou, capable de fondre l’idée du «Sgt Pepper’s Lonely Hearts Club Band» et celle du «Magical Mystery Tour» en un concept unique : former une troupe bigarrée et embarquer joyeusement pour un voyage loufoque au pays de la pop musique, cette terre d'exubérance et de mélancolie. Un voyage englobant le disque, la scène de théâtre et bien sûr, le cirque, royaume éternel du saltimbanque sans filet, qu’il soit jongleur, dompteur ou funambule. A propos de leur musique, CIRCUS parle de «Fellini rock», comme pour dire que tout y est possible et, surtout, que tout est permis, les extravagances tonales les plus recherchées comme les synthés les plus baveux.

Au fil des treize chansons écrites et interprétées collégialement avec l’aide de la parolière Marie Bastide et de quelques amis (Jean-Jacques Goldman, Dominique A, Gioacchino, Marc Lavoine, Grégory Jacques ou encore Benjamin Biolay), la joie de chanter et le plaisir de jouer, de tout, tous ensemble, sont palpables, comme l’est l’excitation de Calogero d’accomplir là un pur fantasme de bassiste (passant d’une sonorité Revolver à des accents Smile, Tommy ou Nile Rodgers d’un titre à l’autre), celle de Philippe Uminski ou de Stanislas de jouer collectif en marge de leurs belles carrières solo, celle de Karen Brunon et Elsa Fourlon d’entrer gracieusement dans la danse. Laissons nous aller, c’est – souvent – une valse. Il y aura donc trois temps : après celui du single radio Sur un fil, hier, voici venu celui de cet album paquet cadeau, rempli de refrains souriants, de grandes marées harmoniques et de chansons-manèges. Ensuite, à l’automne 2013, CIRCUS OPERA POP viendra conclure cette étonnante aventure collective sur scène. Une échéance qui promet là encore un joyeux bordel. Et un drôle de cirque. Mais pour l’heure, musique !