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ACADEMIE DE MONTPELLIER INSPECTION ACADEMIQUE DE L’AUDE _________________________________________ CIRCONSCRIPTION DE LIMOUX PRESENTATION ET AXES DE TRAVAIL AXES DE TRAVAIL 2009-2010 T. MALET Inspecteur de l’Education Nationale Circonscription du premier degré Limoux 1, rue de l’Aiguille 11300 LIMOUX Téléphone : 04.68.31.69.77 Télécopie : 04.68.31.20.62 Mél : [email protected]

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ACADEMIE DE MONTPELLIER INSPECTION ACADEMIQUE DE L’AUDE

_________________________________________

CIRCONSCRIPTION DE LIMOUX PRESENTATION ET AXES DE TRAVAIL

AXES DE TRAVAIL

2009-2010

T. MALET Inspecteur de l’Education Nationale

Circonscription du premier degré – Limoux 1, rue de l’Aiguille 11300 LIMOUX Téléphone : 04.68.31.69.77 Télécopie : 04.68.31.20.62

Mél : [email protected]

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A – PRESENTATION DE LA CIRCONSCRIPTION ET CONSTATS

I – PRESENTATION

Classement des écoles par secteur de collège

Couiza Chalabre Quillan Limoux Bram Carcassonne ALET LES BAINS ANTUGNAC MONTAZELS LUC SUR AUDE ARQUES MISSEGRE VILLARDEBELLE BUGARACH RENNES LES BAINS CAMPAGNE / AUDE COUIZA MAT COUIZA EL ESPERAZA MAT ESPERAZA EL FA BOURIEGE FESTES ST ANDRE ROQUETAILLADE

CAUDEVAL CHALABRE SAINT BENOIT RIVEL SAINTE COLOMBE

AXAT BELCAIRE ESPEZEL ROQUEFEUIL BELVIANES LAPRADELLE SALVEZINES NEBIAS PUIVERT Élém.CALMETTE Élém NICOLEAU Mat. NICOLEAU Mat. PASTEUR

ALAIGNE ROUTIER BELVEZE BRUGAIROLLES MALVIES CAMBIEURE CASTELRENG LA DIGNE D'AM. LA DIGNE D'AVAL CEPIE ST MARTIN DE V. COURNANEL GAJA ET VILLE. MALRAS PAULIGNE LAURAGUEL V. HUGO E.E.PU J. MOULIN E.E.PU L. PASTEUR E.E.PU MAT M. PAGNOL Mat J MOULIN Mat PREVERT LOUPIA VILLELONGUE PIEUSSE POMAS Ecole Sainte Germaine Ecole CALANDRETA

MAZEROLLES BELLEGARDE

ALAIRAC ARZENS LAVALETTE Elém. PALAJA Mat. PALAJA ROULLENS PREIXAN ROUFFIAC CAVANAC CAZILHAC COUFFOULENS LADERN / LAUQUET VERZEILLE LEUC SAINT-HILAIRE

A la rentrée 2009, le redécoupage des circonscriptions sur le département a eu comme corollaire le rajout de 14 écoles supplémentaires à la circonscription de Limoux (secteurs de collège de Bram et Carcassonne). De caractère rural, elle est actuellement composée de 79 écoles réparties sur 68 communes et organisées autour de 8 secteurs de collèges. Une SEGPA et une UPI sont implantées sur le collège de Limoux et deux CLIS sur les écoles de Louis Pasteur à Limoux et de Calmette à Quillan. De plus, deux écoles primaires privées situées à Limoux sont rattachées à la circonscription (Ecole Sainte Germaine et une calendreta).

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I-1 Géographie – Carte de la circonscription :

I-2 Economie :

Les écoles de la circonscription sont essentiellement rurales. Les villes les plus importantes de la circonscription sont Limoux (9680 habitants) la deuxième sous-préfecture de l’Aude, Couiza, Quillan, Axat, Belcaire, Chalabre, Saint-Hilaire. Elles représentent environ 17500 personnes soit 5% de la population totale du département de l’Aude. Le recensement de 2006 confirme une diminution de la population de ces villes situées le long du fleuve (depuis Axat jusqu’à Limoux). En revanche, celles situées plus au nord en limite de Carcassonne connaissent une augmentation. Cette croissance s’expliquerait par le retour des retraités de plus de 60 ans dans leur région d’origine et par l’arrivée d’une population immigrée issue du bassin méditerranéen. La viticulture est la première économie de la circonscription. Elle a connu ses heures de gloire mais aussi de grandes difficultés. Aujourd’hui, elle s’est adaptée et doit encore s’adapter à un marché difficile et changeant. L’activité industrielle est représentée dans la haute vallée de l’Aude surtout dans l’arrondissement de Limoux. Aujourd’hui encore, l’usine de brique (groupe Lafarge) de Limoux est en pleine expansion. Mais depuis les années 1970, l’industrie connaît un rapide déclin. Des industries traditionnelles comme la chaussure ou le chapeau basées dans le sud de la circonscription ont disparu.

Collège de Bram

Collège de Carcassonne Varsovie

Collège de Carcassonne

Le Bastion

Collège de Carcassonne Chenier

Collège de Chalabre

Collège de Quillan

Collège de Couiza

Collège de Limoux

83 k

m

44 km

Nord

Sud

3

I-3 Données du département

Population selon la catégorie socioprofessionnelle et le sexe au 1er janvier 2008 en nombre :

Champ : population totale des 15 ans ou plus. Source : Insee, RP2008 exploitation complémentaire

Population selon la nationalité au 1er janvier 2008 en nombre

Aude Gard Hérault Lozère Pyrénées-Orientales

Français 330 436 657 519 959 527 74 375 416 523

Français de naissance 314 213 623 411 909 448 72 906 388 608

Français par acquisition 16 222 34 108 50 079 1 469 27 916

Étrangers 18 801 36 804 60 271 2 598 24 864

Espagnols 1 729 2 627 5 981 83 6 298

Italiens 429 1 113 1 780 59 470

Portugais 1 662 2 709 2 391 1 338 2 708

Autres étrangers de l’Union européenne 7 369 6 014 10 911 441 5 334

Autres Européens 839 1 355 1 791 107 719

Marocains 3 350 13 555 21 695 277 3 443

Algériens 1 188 4 727 5 372 36 2 726

Tunisiens 168 835 831 10 196

Autres étrangers d’Afrique 376 1 054 3 329 46 694

Turcs 704 864 2 169 124 818

Autres 985 1 949 4 021 77 1 457

Total 349 237 694 323 1 019 798 76 973 441 387

Source : Insee, RP2008 exploitation principale.

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Revenus salariaux par catégories socioprofessionnelles en 2008 en euros

Cadres

Professions intermédiaire

s Employés

Ouvriers qualifiés

Ouvriers non qualifiés

Aude 33 372 20 688 12 484 15 634 10 112

Gard 36 452 21 464 12 888 16 409 10 952

Hérault 36 016 20 553 12 707 15 346 10 686

Lozère 30 649 19 843 12 675 15 640 11 206

Pyrénées-Orientales 34 241 20 409 12 588 15 389 9 778

France 41 255 22 136 13 641 16 955 11 841

source : Insee, Déclarations annuelles de données sociales (DADS)

Revenu de solidarité active (RSA) et couverture maladie universelle (CMU)

Allocataires du revenu de solidarité active

en 2010 Bénéficiaires de la couverture maladie

universelle en 2009

Allocataires

Pour 1000 personnes de 25 à 64 ans

CMU de base CMU complémentaire

Aude 16 579 93 13 691 30 258

Gard 31 497 87 30 521 66 255

Hérault 44 659 85 41 293 86 771

Lozère 1 266 31 1 199 3 335

Pyrénées-Orientales 23 008 103 21 266 45 166

Bénéficiaires de prestations sociales solidarité et insertion au 31 décembre 2010

Aude Gard Hérault Lozère

Pyrénées-Orientales

Languedoc-Roussillon

Allocation d’éducation de l’enfant handicapé 929 1 710 3 113 168 1 206 7 126

Taux d’allocataires pour 1 000 personnes de moins de 20 ans 11,9 10,1 12,9 10,2 12,2 11,8

Allocation adulte handicapé 7 035 10 345 18 001 2 421 8 418 46 220

Taux d’allocataires pour 1 000 personnes de 20 à 59 ans 40,9 29,1 33,7 61,7 38,8 35,1

Allocation de soutien familial 4 328 9 715 14 385 439 7 493 36 360

Élèves inscrits dans les conservatoires à rayonnement régional ou départemental en nombre Année 2009

Aude Gard Hérault Lozère

Pyrénées-Orientales

Languedoc-Roussillon

Musique Conservatoire à rayonnement régional 0 0 1 087 0 2 375 3 462

Conservatoire à rayonnement départemental 0 968 0 0 0 968

Danse Conservatoire à rayonnement régional 0 0 263 0 248 511

Conservatoire à rayonnement départemental 0 109 0 0 0 109 Source : Deps.

Nombre de sportifs licenciés en 2009 licenciés pour 10 000 habitants

Football Tennis

Judo, jujitsu et disciplines associées

Pétanque et jeu provençal

Basketball Equitation Golf

Aude 282 181 79 166 17 90 23 Gard 311 191 77 97 36 120 43 Hérault 277 217 66 110 35 100 44 Lozère 311 137 88 145 5 107 44 Pyrénées-Orientales 221 184 82 115 55 93 39 France métropolitaine 341 176 86 49 70 102 65 Les ratios sont calculés à partir des estimations de population au 01/01/2009. Sources : Mission des Études, de l'Observation et des Statistiques (Meos) ; Insee,

I.4 Organigramme et missions de l’équipe de circonscription

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INSPECTEUR DE L’EDUCATION NATIONALE

Thierry MALET [email protected]

Inspections Traitement et suivi des divers dossiers et projets Carte scolaire Relations avec les élus, les parents d’élèves, les différents partenaires Constructions scolaires Agrément des intervenants Représentation de l’Inspecteur d’Académie

SECRETARIAT

Corinne MAURI [email protected]

Accueil des usagers et accueil téléphonique Relais dans les communications Agenda IEN Gestion des absences et congés de maladie Gestion des moyens de remplacement TR ZIL Traitement du courrier Traitement de différents dossiers et enquêtes en cours Suivi des dossiers IEN

CONSEILLER PEDAGOGIQUE

Marianne PERROT [email protected]

Formation, production, recherche Suivi des enseignants débutants : T1, T2 Aide pédagogique directe à la demande Aide à la préparation d’examens et concours professionnels : CAFIPEMF, CIRPE, … Élaboration, organisation et mise en œuvre des actions de formation : animations pédagogiques, stages de circonscription et/ou d’école, stages inscrits au PDF Production de documents, d’outils pédagogiques Organisation des contrôles des scolarisations à domicile. Aide à la mise en œuvre des évaluations nationales Animation, partenariat Liaison avec les collèges : liaison CM2 / 6ème Groupe maternelle départemental : production d’outils, formation continue,… Actions de développement d’activités : programme Apprendre à Porter Secours, la sécurité routière,… Relations avec les associations et partenaires sportifs : USEP Relations avec les municipalités dans le domaine culturel : Festival du conte et des conteurs Gestion Aide à l’organisation et gestion des rencontres sportives inter-écoles Mise en œuvre des aides personnalisées, stages de remise à niveau Suivi des dossiers entrée sixième, passage de classe, commission d’appel Gestion des prêts de matériel LVE Divers Représentation de l’I.E.N

CONSEILLER PEDAGOGIQUE E.P.S

Sébastien RAYNAUD [email protected]

Formation, production, recherche Suivi des enseignants débutants : T1, T2 Aide pédagogique directe à la demande Élaboration, organisation et mise en œuvre des actions de formation en EPS et autres : animations pédagogiques, stages de circonscription et/ou d’école, stages inscrits au PDF Production de documents pédagogiques en EPS Élaboration, organisation et mise en œuvre des actions de formation en direction des bénévoles participant à l’encadrement des activités sportives Suivi des scolarisations à domicile Animation, partenariat Liaison avec les collèges : liaison CM2 / 6ème Actions de développement d’activités : programme Apprendre à Porter Secours, la sécurité routière,… Relations avec les associations et partenaires sportifs : USEP,… Relations avec les municipalités dans le domaine sportif : infrastructures En charge de l’évaluation des risques en matière d’hygiène et de sécurité au travail (ACMO) Groupe départemental mathématiques : production d’outils, formation continue,… Gestion Organisation et gestion des rencontres sportives inter-écoles Organisation et gestion des bassins aquatiques en liaison avec les municipalités Organisation et gestion des intervenants extérieurs en EPS Suivi des dossiers sorties et voyages scolaires Organisation dans la mise en place des projets scientifiques Gestion des prêts de matériel EPS Divers Représentation de l’I.E.N

ANIMATEUR TICE Gilles PITAULT

[email protected] Aide aux écoles Identification des besoins en équipement, en information et en formation des écoles Suivi de la mise en place du B2i Préparation et suivi des actions TICE Assistance dépannage Formation Accompagnements des projets TICE Formation TICE (animations pédagogiques, stages, ateliers) Suivi de BE1D (Base Elèves) Repérage de pratiques innovantes et favoriser leur diffusion et leur mise en réseau. Participation â la réflexion sur les enjeux des TICE dans la pratique de classe. Applications pédagogiques Veille technologique : matériels et logiciels Expérimentation de matériels et logiciels Conseil en équipement Mise en place et suivi des :

- ENT (Espaces Numériques de Travail) - ENR (Ecoles Numériques Rurales) - Etwinning

Protection des mineurs et usages de l'internet Traitement des données des évaluations Gestion informatisée de la circonscription

ENSEIGNANT REFERENT A.S.H.

Alain RICHOU [email protected]

Scolarisation des élèves handicapés (1er degré) Suivi de la scolarisation des élèves handicapés (Accueil, information des familles. Organisation de l’évaluation des besoins des élèves en situation scolaire. Réunion des ESS. Contribution à l’élaboration et à l’évaluation des PPS. Transmission des éléments à la MDPH. Continuité et cohérence de la mise en œuvre des PPS.) Adaptation Orientation vers UPI, CLIS, Etablissements spécialisés, SEGPA.

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II – TISSU SCOLAIRE

II -1 Les écoles

Circonscription SECTEURS DE COLLEGE

Quillan Couiza Limoux Chalabre Bastion Bram Chenier Varsovie

Total écoles publiques 79 13 18 25 5 5 2 3 8

Ecoles maternelles Ecoles élémentaires Ecoles primaires Ecoles uniques Ecoles en RPI

10 8 18 3 42

2 2 1 1 7

2 1 2 0

13

3 3 4 0 15

0 0 1 1 3

0 0 3 0 2

0 0 1 1 0

0 1 2 0 0

1 1 4 0 2

Total écoles privées (primaires)

2 0 0 2 0 0 0 0 0

TOTAL GENERAL 81* 13 18 27 5 5 2 3 8 * 68 écoles en 2008 soit 13 de plus depuis la rentrée 2011.

II- 2 La structure des écoles publiques

Ecoles publiques 1 classe 2 classes 3 classes 4 classes 5 classes 6 classes 7 classes TOTAL

Rentrée 2010 31 22 11 6 6 4 1 81

Rentrée 2011 30 20 12 4 6 7 0 79 - 38% des écoles ont une seule classe. 2 écoles uniques : Saint-Benoît et Belvianes.

II- 3 Les structures des classes

Cycle 1 Cycle 2 Cycle 3 Cycle 1 / Cycle 2

Cycle 2/ Cycle 3

C1 /C2/C3 C1/C3 TOTAL DES CLASSES

Rentrée 2010 55 classes 43 classes 62 classes 23 classes 6 classes 2 classes 1 classe 192

Rentrée 2011 58 classes 40 classes 62 classes 23 classes 6 classes 2 classes 1 classe 192

Rentrée 2012 54 classes 137 élémentaires + 2 CLIS 193

II- 4 Les moyens matériels de la circonscription

Etat des structures :

Bât

imen

ts

réce

nts

Bât

imen

ts

anci

ens

Mob

ilier

adéq

uat

Esp

ace

EP

S

20 11

21 58 79 79

% d'écoles récentes

% d'écoles anciennes

% d'écoles avec un mobilier adéquat

% d'écoles avec un espace EPS

26% 74% 100% 100%

Equipement informatique

RENTREE 2011

Nombre d’écoles

Nombre d’élèves (constat rentrée 2010)

Nombre d’élèves par ordinateurs

Nombre d’élèves de CM2 par ordinateurs

% d’écoles connectées à INTERNET Haut débit

% de TBI par école

Nbre d’école E.N.R.

% d’école E.N.R

LIMOUX 79 4149 7 1,0 100% 25% 18 23%

DEPARTEMENT 357 31326 12 1,4 99% 48% 81 23%

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II- 5 Les élèves

Effectifs des écoles publiques

Maternelle (PS, MS, GS) Cycle 2 Cycle 3 Eff.

Année TPS PS MS GS Total CP CE1 Total CE2 CM1 CM2 Total Total

2009 116 460 493 480 1433 553 555 1108 521 560 528 1609 4150

2010 66 464 490 493 1447 532 573 1105 535 506 556 1597 4149

2011 74 458 507 506 1471 531 567 1098 574 531 505 1610 4179

2012 85 434 507 523 1549 540 527 1067 551 578 535 1664 4280

Effectifs des écoles privées Maternelle (PS, MS, GS) Cycle 2 Cycle 3 Eff.

Année TPS PS MS GS Total CP CE1 Total CE2 CM1 CM2 Total Total

2010 16 16 25 29 70 23 27 50 20 26 22 68 188

2011 11 28 24 29 81 26 25 51 32 25 29 86 218

2012

Effectifs des élèves en instruction dans la famille IF SANS SUPPORT IF PRIVE IF CNED REGLEMENTE. TOTAL

2009-2010 25 3 28

2010-2011 20 7 6 33

2011-2012 23 2 6 31

Effectifs des élèves handicapés PS MS GS CP CE1 CE2 CM1 CM2 CLIS TOTAL

2009 2 2 5 13 7 6 6 5 17 63

2010 4 4 10 10 8 5 4 2 22 69

2011 1 6 9 2 6 7 6 4 23 63

2012 4 10 7 6 5 6 2 24 64

Effectifs des élèves nouvellement arrivés en France (ENA) Aucun dispositif CLIN sur la circonscription. L’élève nouvellement arrivé est directement intégré dans une classe ordinaire. Le Casnav travaille avec les enseignants concernés pour les appuyer dans la prise en charge des ENA, à travers la mise à disposition d’outils documentaires et un appui pédagogique.

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II -6 Le personnel enseignant

Effectif

EN

SE

IGN

AN

TS

ELE

ME

NT

AIR

ES

EN

SE

IGN

AN

T

S M

AT

.

DIR

EC

TE

UR

S

EL.

DIR

EC

TE

UR

S

MA

T

CO

MP

EN

SA

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CL

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TR

ZIL

TR

BD

TR

BD

FC

P.S

TA

GIA

IIR

ES

C

PC

AT

ICE

Psy

E

G

78 42 59 14 0,5 2 3 4,5 1 0 9 16 3 3 2 1

Pyramides des âges des enseignants Rentrée 2010 :

Commentaires :

54 % du public enseignant ont un âge inférieur à 40 ans. L’âge moyen des enseignants est de 39 ans. 78% des enseignants sont des femmes. Plus de 76% d’entre eux exercent sur le même poste depuis plus de trois ans.

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III- LA FLUIDITE DES PARCOURS SCOLAIRES

TAUX DE REDOUBLEMENT

LX GS CP CE1 CE2 CM1 CM2

R 2009/10

0.4 3.1 3.4 1.2 0.4 1.9

R 2010/11

0.8 4.6 7.5 2.3 2.4 3.3

R 2011/12

0.6 2.2 3.7 0.7 0.4 0.8

R 2012/13

0.8 3 4.5 1.1 0.5 1.3

Retard 1 an MAT / GS CP CE1 CE2 CM1 CM2

2009/2010

0.6 5.9 9.2 9.9 14.9 14.4

2010/2011

0.8 5.9 10.7 12.1 12 14.8

2011/2012

1.4 4.1 8.9 12.8 13 12.9

2012/2013

1.4 5.2 8.3 10.5 12.9 15

Retard 2 ans et +

MAT / GS CP CE1 CE2 CM1 CM2

2009/2010

0.2 0 0.4 0.6 0.2 0.4

2010/2011

0.4 0 0 0.4 0.6 0.4

2011/2012

0 0.2 0.2 0.2 0.6 0.6

2012/2013

0 0.2 0.6 0.2 0.2 0.2

Taux supérieurs aux moyennes départementales Taux inférieurs aux moyennes départementales

PROPORTION D’ELEVES EN RETARD SCOLAIRE PAR NIVEAU D’ENSEIGNEMENT

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IV. LES POINTS FORTS DE LA CIRCONSCRIPTION - Stabilité des équipes enseignantes. - Equipe de directeurs volontaires. - Elaboration de projet dans toutes les écoles. - Bonne collaboration des municipalités (équipement, entretien des bâtiments,…). - Volonté de partenariat fort (associations de villages,…). - Projets culturels en quantité et en qualité. - Dynamique de l’USEP lancée depuis des années. - L’enseignement des langues vivantes est assuré en totalité. - Bonnes relations Ecoles/Collèges. - Mise en œuvre effective des programmes officiels. - 99% des classes à plusieurs niveaux (différenciation pédagogique de fait). - Organisation de l’aide personnalisée dans toutes les écoles. - Equipe RASED stable, bien présente sur le terrain. -Le comportement des élèves est dans l’ensemble satisfaisant ; ceux-ci sont impliqués dans la tâche qui leur est proposée et sont, pour la plupart d’entre eux, capables d’agir en autonomie. -Les relations établies par les maîtres avec leurs élèves, sont pour la plupart positives. Les consignes sont dans l’ensemble passées avec clarté, même si les critères de réussite ne sont pas toujours donnés avec précision. -L’organisation matérielle des classes est souvent rigoureuse et réfléchie. -Mise à disposition des élèves d’outils de travail nombreux. -L’exigence des maîtres pour la qualité des travaux d’élèves : en particulier les cahiers du jour sont généralement bien tenus. Les efforts sont à poursuivre. -Les productions des élèves sont régulièrement corrigées. -La régularité des évaluations avec, très souvent, des cahiers spécialement dévolus à cette pratique et des résultats communiqués aux familles, via des livrets d’évaluation soigneusement remplis. -La présence de programmations affichées et la régularité de la préparation de classe. -Harmonisation des programmations disciplinaires à l’intérieur d’un cycle. -L’exploitation souvent intelligente des manuels scolaires, en complément d’autres supports didactiques. -La pratique régulière du calcul réfléchi en élémentaire. -L’enseignement de l’E.P.S. est plutôt bien investi. Bonne collaboration avec les intervenants extérieurs. -Les P.P.R.E. sont la plupart du temps rédigés avec soin mais attention, certains sont encore trop vagues. -Le menu « pédagogique de la journée est souvent affiché ou présenté aux élèves. A poursuivre. -Le cahier d’appel est dans l’ensemble bien tenu (renseignements administratifs, pourcentage de fréquentation). -La rigueur des directeurs dans la gestion de leur école (soin apporté aux tâches administratives, souci de la sécurité, précision des comptes financiers) et la qualité des relations qu’ils ont su instaurer au sein de la communauté scolaire.

VI. LES POINTS A DEVELLOPER DE LA CIRCONSCRIPTION

LES TAUX DE REDOUBLEMENT

LX

GS CP CE1 CE2 CM1 CM2

R 2009/10 0.4 3.1 3.4 1.2 0.4 1.9

R 2010/11 0.8 4.6 7.5 2.3 2.4 3.3

R 2011/12 0.6 2.2 3.7 0.7 0.4 0.8

R 2012/13 0.8 3 4.5 1.1 0.5 1.3

Taux supérieurs aux moyennes départementales

Taux inférieurs aux moyennes départementales .Préparation de la classe Les emplois du temps ne prennent pas toujours en compte la diversité des élèves (différenciation, automatisation, plage horaire dédiée au travail individualisé). Les objectifs des séances ne sont pas toujours opérationnels. Les critères de réussite ne sont pas toujours définis. Pour chaque séance prévue à l’emploi du temps, le travail des compétences langagières (lire, écrire, parler) n’est pas toujours anticipé : vocabulaire spécifique, type de lecture, nature de la trace écrite, copie, … En élémentaire, les projets des classes devraient davantage faire référence au projet de l’école dont ils sont le prolongement. En maternelle, la part dévolue aux apprentissages doit être plus importante, avec un rééquilibrage des emplois du temps en leur faveur. - Gestion du temps en école maternelle (le volume horaire accordé aux temps sociaux (goûter, collation, toilette,…) est encore trop important. Des grilles critériées hebdomadaires d’observation des comportements d’élèves et de suivi de leurs travaux sont à généraliser dans toutes les classes maternelles.

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Cadre de la classe

Les affichages : exploitation au quotidien à optimiser. La mise à disposition des élèves d’outils cognitifs et méthodologiques fonctionnels est à généraliser dans toutes les classes. Un tableau de services doit prendre place dans chaque classe. Il favorise l’émergence d’un esprit de responsabilité, aide à la prise de conscience du bien commun et de l’intérêt collectif. L’affichage d’espaces paysagers, de plans, de cartes locales (IGN 1/25000e), essentiel pour aborder les concepts de la géographie à partir de l’environnement proche, reste toujours à installer. De même, on ne trouve pas encore dans toutes les classes de cycle III, des cartes de géographie représentant le Monde, l’Europe, la France et l’Aude, ainsi que des frises représentant des périodes de l’histoire à des échelles différentes. Les expérimentations, les petits élevages ou les plantations, qui constituent des supports d’observation pour les activités scientifiques apparaissent très peu souvent ; ils doivent être généralisés. L’usage des TICE en classe est à développer. Outils et travail des élèves Le recours aux polycopiés, en découverte du monde (ou disciplines humaines au cycle III) est encore trop fréquent. Il s’opère au détriment d’une utilisation d’informations plus concrètes, d’expérimentations et, surtout, de la conception par la classe de la trace écrite et de sa copie par les élèves. Les maîtres valoriseront les documents authentiques dans la conception des séances. Ils accorderont une place importante au lexique actif et aux compétences langagières dans ces disciplines. Aussi, d’une manière générale, les élèves devront produire davantage d’écrits (copie, dictée à l’adulte, récit, compte-rendu, …). En mathématiques, les situations/problèmes devraient être plus nombreuses (2 à 3 par semaine constitue un objectif raisonnable), tout comme les activités de construction géométrique. En cycle II et III, les maîtres mettront à la disposition des élèves une typologie numérotée de problèmes variés et de tracés géométriques auxquels ces derniers pourront régulièrement se référer. Le cahier d’expériences doit désormais intégrer les outils mis à la disposition des élèves. Les « cahiers de règles », en français, sont intéressants, à la condition que les traces écrites ne soient pas la reprise pure et simple des résumés du manuel. On devrait plutôt y trouver des exemples, références, exercices permettant de dégager des régularités et de comprendre la règle. La grammaire de texte doit être aussi développée. Chaque élève doit disposer d’un cahier de mots que le maître exploitera de toutes les manières possibles. Par exemple, un enfant quittant la GS, entrera au CP avec un bagage lexical de 40 à 50 mots. En élémentaire, il convient de systématiser un apprentissage de l’orthographe lexicale, à partir d’échelles de fréquence ou de mots étudiés au cours des lectures. Une dictée courte quotidienne (quelques mots, une phrase) permettra d’en fixer la connaissance. Le temps accordé à la lecture à haute voix aux cycles 2 et 3, notamment au CP, n’est pas encore satisfaisant. Elle ne doit cependant pas prendre la forme d’une « lecture suivie » fastidieuse, mais davantage concerner individuellement chaque élève, pendant que le reste de la classe est engagé dans des exercices personnels. Les objectifs d’apprentissage en compréhension de lecture doit mieux être définis à tous les niveaux. Les apprentissages linguistiques (LVE) feront l’objet d’une progression méthodique du CE1 au CM2. Les disciplines artistiques ne sont pas investies à la hauteur de ce que les programmes d’enseignement prévoient. Les élèves devraient s’approprier une plus grande diversité d’outils, de techniques et de méthodes d’expression plastique. L’image trouve difficilement sa place dans les apprentissages artistiques des élèves. Elle doit pourtant être étudiée et exploitée sous toutes ses formes, fixes et animées (télévision, cinéma, affiches, photographies, albums illustrés, écrans d’ordinateur, …). La rencontre des élèves avec des œuvres du patrimoine, la découverte de réalisations contemporaines, l’établissement de relat ions avec d’autres domaines disciplinaires (histoire, littérature, …) sont à développer. L’enseignement de l’histoire des Arts doit y contribuer. En musique, l’utilisation des percussions (objets fabriqués ou manufacturés), à travers des jeux rythmiques ou des accompagnements rythmiques de chansons, est à généraliser dans toutes les classes. En maternelle, il s’agit de poursuivre la mise en place d’outils de travail adaptés et spécifiques au profit des jeunes enfants (cahier de mots à exploitation multiple en GS, premier cahier d’activités graphiques puis d’écriture, cahier des premières expériences ou découvertes scientifiques, portfolio des productions artistiques, enregistrements sonores, supports cognitifs individualisés,…).

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VII- LES COMPETENCES PROFESSIONNELLES : LES CAPACITES A DEVELLOPER

Compétences Capacités

C1.Agir en fonctionnaire de l’État et de façon éthique et responsable

- repérer les signes traduisant des difficultés spécifiques des élèves dans le domaine de la santé, des comportements à risques, de la grande pauvreté ou de la maltraitance ;

- contribuer, en coopérant avec des partenaires internes ou externes à l’institution, à la résolution des difficultés spécifiques des élèves ;

- se faire respecter et utiliser la sanction avec discernement et dans le respect du droit.

C2.Maîtriser la langue française pour enseigner et communiquer

- repérer les obstacles à la lecture, les déficiences du langage oral et écrit en identifiant les difficultés que peuvent rencontrer les élèves ;

- construire des séquences d’enseignement qui visent des objectifs de développement de l’expression orale et écrite des élèves ;

C3.Maîtriser la discipline et avoir une bonne culture générale

- organiser les divers enseignements en les articulant entre eux dans le cadre de la polyvalence ;

- profiter de la polyvalence pour construire les apprentissages fondamentaux ;

- insérer dans les apprentissages les exercices spécifiques et systématiques pour développer les automatismes (lecture, écriture, calcul, grammaire, orthographe, éducation physique, etc.).

C4.Concevoir et mettre en oeuvre son enseignement

- définir des objectifs d’apprentissage à partir des références des textes officiels ;

- raisonner en termes de compétences, c’est-à-dire déterminer les étapes nécessaires à l’acquisition progressive des connaissances, des capacités et des attitudes prescrites

-construire une progression et une programmation sur l’année et sur le cycle différenciées selon les niveaux des élèves ;

- s’appuyer sur ses connaissances des processus d’apprentissage des élèves et de la psychologie de l’enfant;

- prendre en compte les résultats des évaluations dans la construction d’une progression pédagogique ;

C5.Organiser le travail de la classe

-prendre en charge un groupe ou une classe, faire face aux conflits, développer la participation et la coopération entre élèves ;

- organiser l’espace de la classe et le temps scolaire en fonction des activités prévues ;

- organiser les différents moments d’une séquence ;

- adapter les formes d’interventions et de communication aux types de situations et d’activités prévues (postures, place, interventions, vérification des consignes, etc.).

C6.Prendre en compte la diversité des élèves

- prendre en compte les rythmes d’apprentissage des élèves ;

- déterminer, à partir des besoins identifiés, les étapes nécessaires à l’acquisition progressive des savoirs et des savoir-faire prescrits ;

- mettre en œuvre des dispositifs pédagogiques visant à adapter la progression à la diversité des élèves (pédagogie différenciée, programme personnalisé de réussite éducative) ;

- participer à la conception d’un projet individualisé de scolarisation pour les élèves à besoins particuliers et les élèves handicapés.

C7.Évaluer les élèves

- comprendre les fonctions de l’évaluation ;

- concevoir des évaluations aux différents moments de l’apprentissage, c’est-à-dire :

- définir le niveau d’exigence de l’évaluation,

- adapter le support et le questionnement en référence aux objectifs et au type d’évaluation que l’on souhaite mener ;

- expliciter les consignes, guider les élèves dans la préparation de l’évaluation ;

- expliciter les critères de notation ;

- analyser les résultats constatés et déterminer les causes des erreurs ;

- concevoir des activités de remédiation et de consolidation des acquis (exercices d’entraînement, exercices de

mémorisation oraux ou écrits, activités d’aide, de soutien et d’approfondissement, etc.) ;

- développer les compétences des élèves dans le domaine de l’autoévaluation ;

- pratiquer l’évaluation certificative (examens, contrôle en cours de formation, compétences linguistiques incluses dans le

cadre européen commun de référence pour les langues…).

C8.Maîtriser les technologies de l’information et de la communication

- concevoir, préparer et mettre en œuvre des contenus d’enseignement et des situations d’apprentissage ;

- participer à l’éducation aux droits et devoirs liés aux usages des technologies de l’information et de la communication ;

- s’impliquer dans l’éducation aux risques encourus dans l’utilisation des réseaux numériques ouverts sur l’internet ;

- utiliser les TIC et les outils de formation ouverte et à distance pour actualiser ses connaissances ;

- travailler en réseau avec les outils du travail collaboratif.

C9.Travailler en équipe et coopérer avec les parents et les partenaires de l’école

- inscrire sa pratique professionnelle dans l’action collective de l’école ou de l’établissement, notamment :

. dans le domaine de la programmation des enseignements ;

. dans le domaine de l’évaluation (supports et échelles d’évaluation harmonisés, livrets scolaires, bulletins trimestriels…) ;

.dans le domaine de l’aide et de l’insertion des élèves, en collaboration avec les autres personnels enseignants spécialisés,…) ;

. dans le domaine de l’éducation artistique et culturelle ;

- communiquer avec les parents :

-en contribuant à l’établissement d’un dialogue constructif dans le but de les informer sur les objectifs de son enseignement ou de son activité, de rendre compte des évaluations dans un langage adapté, d’examiner les résultats, les aptitudes de leurs enfants, les difficultés constatées et les possibilités d’y remédier ;

- s’impliquer dans des tâches de formation.

C10.Se former et innover

- tirer parti des apports de la recherche et des innovations pédagogiques pour actualiser ses connaissances et les exploiter dans sa pratique quotidienne.

- faire preuve de curiosité intellectuelle ;

- remettre son enseignement et ses méthodes en question ;

- s’inscrire dans une logique de formation professionnelle tout au long de la vie.

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B – AXES de TRAVAIL Les axes de travail prioritaires découlant à la fois du constat de circonscription et des priorités nationales et du projet académique porteront sur les points suivants :

I- Axe : Optimiser la qualité de l’action pédagogique et éducative ; renforcer la formation initiale et continue des maîtres

I-1 Assurer l’évaluation des maîtres

La visite régulière des maîtres et des écoles dans le cadre des inspections est une tâche fondamentale permettant de vérifier la qualité de l’action éducative qui repose d’abord sur l’activité de l’enseignant dans sa classe, au contact des élèves. L’entretien individuel est un moment essentiel de l’inspection permettant souvent d’aider le maître à réduire l’écart qui peut séparer résultats et objectifs. Cet entretien porte aussi, au-delà des séquences observées, sur l’ensemble du travail de classe à replacer dans le cadre de l’école. L’objectif est de 70 inspections par année. Ce nombre d’évaluations individuelles répond aux attentes des enseignants et permet un regard plus large et plus précis sur le travail des écoles de la circonscription et de l’équipe qui l’a en charge. I-2 Assurer l’évaluation des écoles

Objectifs : L’objectif central de l’évaluation d’école est de permettre l’amélioration des résultats des élèves. Mais elle a également pour buts : - de dresser un constat de l’organisation et du fonctionnement pédagogiques de l’école (points forts et axes de progrès et de performance potentielle) ; - d’examiner son projet et les conditions dans lesquelles il est mis en œuvre à travers les orientations choisies, en vue de la réussite de tous les élèves pour, le cas échéant, y apporter les modifications qui s’avèreraient nécessaires ; - de proposer des éléments de réponse en termes d’information, d’animation et de formation.

I-3 Accompagner les jeunes enseignants et les titulaires en difficulté

Le suivi systématique par les conseillers pédagogiques des jeunes professeurs des écoles (en première et deuxième année d’exercice) et des enseignants titulaires plus expérimentés (notamment après les inspections ou en formation continue (animations pédagogiques ou stages du plan départemental) est l’une des tâches prioritaires de la circonscription. I-4 Développer l’autonomie des acteurs du système éducatif en particulier les directeurs d’écoles

Pour créer une dynamique d’équipe d’encadrement, la seule réunion annuelle des directeurs ne suffit pas. Il faudrait accroître le temps d’information et de formation de ce personnel. I-5 Assurer le développer des compétences professionnelles des enseignants : . Animations pédagogiques et stages . Constitution d’un vivier de professeurs des écoles ressources.

II- Axe : Ne laisser personne au bord du chemin éducatif ; étendre l’usage des pédagogies différenciées, apportées une aide spécifique aux élèves défavorisés ou en difficulté ; répondre aux besoins des élèves à besoins éducatifs particuliers

II-1 Développer les liaisons écoles-collèges

II-2 Poursuivre l’évaluation des enfants en instruction dans les familles