FRANCIS CHOUQUET

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Création de couverture : Studio Eyrolles © éditions EyrollesVisuels de couverture : Francis Chouquet

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Francis Chouquet a exercé quelques années comme graphiste avant de créer ses premiers lettrages. Depuis, il n’a cessé d’explorer les différentes manières d’écrire ou de dessiner les lettres. Après quelques projets de lettering, il part aux États-Unis en 2015 pour apprendre auprès d’un maître en la matière, Ken Barber. Il décide alors de faire du lettrage son activité à temps plein.

Depuis 2015, il réalise des projets de logotypes et d’illus-trations, autant pour des petites start-up que pour des grandes marques comme Adobe. Il anime également de nombreux ateliers et conférences un peu partout en France et en Suisse.

En parallèle, il partage ses connaissances sur le blog Beautiful Type (beautifultype.net) qui attire aujourd’hui plus de 120 000 abonnés, et anime « Je me mets au lettering », un groupe Facebook qui frôle actuellement les 10 000 membres.

fran6art.com

@fran6

Rejoignez la communauté du lettering sur le groupe Facebook « Je me mets au lettering » et partagez vos créations en utilisant #atelierslettering

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NG 5 ateliers très visuels pour s’initier, crayon en main, à l’art de

dessiner les lettres – introduction au brush lettering et au script lettering ; initiation au détournement et à la décoration de lettres issues d’alphabets typographiques ; règles de composition et procédés de vectorisation

30 exercices de difficulté progressive

16 études de travaux pour comprendre ce qui fait un bon lettrage

52 contributions inspirantes de pointures internationales (Tyrsa, Luca Barcellona, Tony Di Spigna, Ken Barber, Martina Flor…)

160 pages qui s’adressent aussi bien aux grands débutants qu’aux graphistes professionnels

1 auteur passionné de lettering depuis une dizaine d’années, qui anime toute une communauté autour de cette discipline

26 lettres comme nouveau terrain de jeu

1 hashtag #atelierslettering pour échanger avec d’autres lettreurs et poster ses créations

Les ateliers du lettering, c’est…

Atelier 5 | Numérisation et vectorisation | 121

Pour aborder la vectorisation, j’ai choisi de m’appuyer sur un projet de logo. Ce type de projet est typiquement voué à être em-ployé dans de nombreuses situations, sur des supports divers et surtout sous différentes tailles. Si l’on utilise un logo pixellisé, le rendu risque d’être très mauvais, en grande comme en petite taille. Les traits doivent donc être parfaits dans n’importe quelle dimension. C’est là que la vectorisation prend tout son intérêt.

J’ai préparé pour cela un croquis finalisé à 80 %. Je n’encre pas mon lettrage car les courbes de mon croquis sont suffisamment

À savoirPlus vous vectoriserez et moins vous finaliserez vos croquis. Avec le temps et l’aisance acquise sur le logiciel de vectorisation, vous n’aurez plus besoin de ces courbes parfaites. Votre expérience vous permettra de passer plus vite sous Illustrator et de travailler de manière plus rapide.

EXERCICE 2 | PREMIERS PAS EN VECTORISATION

précises pour être travaillées directement sous Illustrator, qui les rendra parfaites.

3. Mon croquis final avant vectorisation. Il a été scanné et nettoyé selon la méthode vue précédemment.

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122 | Les ateliers du lettering

Ouvrez le document contenant votre lettrage dans Adobe Illustra-tor via le menu Fichier (Fill) > Ouvrir (Open).

Redimensionnez votre croquis pour qu’il occupe l’ensemble du plan de travail.

Votre croquis est alors un calque. Appelez-le tout simplement « Croquis ». Il faut toujours nommer les calques dès le départ, pour retrouver facilement les différents éléments qui compose-ront votre image si vous souhaitez ensuite les modifier. Ici, le cro-quis sera le calque d’arrière-plan, que vous verrouillerez.

Ensuite, selon la qualité du croquis et du scan, ajustez l’opacité du croquis au niveau du panneau Calques (Layers). Si ce panneau n’est pas ou plus visible, il est facile de le retrouver via le menu Fenêtre (Window) > Calques. Dans le panneau Calques, cliquez sur le calque pour le sélectionner et ajustez l’opacité via la barre de menu en haut de la fenêtre.

Travailler avec une opacité moindre du scan permet de le garder en fond mais suffisamment transparent pour ne pas le confondre avec la vectorisation. Ici, je choisis une opacité de 70 %, mon scan n’étant pas forcément très contrasté au départ. À vous de jauger en fonction de votre croquis.

1. Mon croquis est importé sous Illustrator, le calque est nommé « Croquis » et verrouillé.

2. Augmentation de la transparence de mon scan pour qu’il ne se confonde pas avec ma vectorisation.

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