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Challenge n°6 - Janvier 2006 Le palmarès du challenge 1. Hellspawn 2. Atorgael 3. Rendar 4. Maitre de la foi Théopylas 5. Akira 6. Galdrick 7. Shas o night 8. Galahad

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Challenge n°6 - Janvier 2006 Le palmarès du challenge Les deux adversaires se font face, dans quelques secondes le silence pesant va retentir du fracas des combats, une lutte à mort est engagée. Il était arrivé à cette conclusion depuis peu mais c’était une décision mûrement réfléchie. Car c’était ça son point fort, à Krushkull : il réfléchissait. Ou plutôt, disons que

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Challenge n°6 - Janvier 2006

Le palmarès du challenge

1. Hellspawn 2. Atorgael 3. Rendar 4. Maitre de la foi Théopylas 5. Akira 6. Galdrick 7. Shas o night 8. Galahad

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Hellspawn Les deux adversaires se font face, dans quelques secondes le silence pesant va retentir du fracas des combats, une lutte à mort est engagée. Cela n’aurait pas dû finir ainsi… Krushkull en était conscient mais quoi, fallait-il qu’il se laisse supplanter par le premier venu sous prétexte que sa Waaagh est la première de toute l’histoire orkoïde à privilégier une certaine forme de « démokratie » ? Non. Il était évident qu’il devait tuer ce rival encombrant… déléguer une partie du pouvoir de décision à ses gars était une chose, en laisser un gravir les échelons jusqu’à mettre en péril son statut d’individu alpha en était une autre ! Satané Murkreg. Cette anomalie d’albinork à peau laiteuse avait profité de sa tare physique pour faire croire à une bonne moitié de l’armée qu’il était un envoyé des dieux. Foutaises ! Tout le monde savait pourtant que plus la peau d’un ork était sombre, plus grande était sa force ! Et ce décoloré venait remettre en question cette logique infaillible en se montrant toujours plus habile au kombat, toujours plus vicieux au klose kontact, toujours plus rapide lors des kastagnes… c’était un fait : Murkreg était doué et il était primordial pour Krushkull de mettre un terme à son ascension avant de ne plus en être lui-même capable. Il était arrivé à cette conclusion depuis peu mais c’était une décision mûrement réfléchie. Car c’était ça son point fort, à Krushkull : il réfléchissait. Ou plutôt, disons que

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son cerveau témoignait d’une activité tellement peu habituelle pour un membre de sa race que l’on pouvait quasiment l’en considérer capable ! Dans ce cas précis, cela faisait plusieurs semaines qu’il pesait le pour et le contre : tuer « blanchette » équivaudrait certes à devoir se passer d’un de ses meilleurs combattants mais le laisser en vie constituait un risque évident : au fil des bastons, le jeune ork gagnait en force et en volume, on pariait de plus en plus de dents sur le nombre de victimes dont il ramènerait la tête… sa cote commençait même à avoisiner celle de Krushkull. Si le Big Boss n’avait pas encore décidé d’éliminer cette menace, c’est parce qu’il n’avait pas encore la certitude que menace il y avait… un outil comme Murkreg aux mains d’un « stratège » comme le grand Krushkull Wysiwyg Mangaka Lurk’habo était d’une précieuse efficacité, s’en priver était toujours une déception ! Mais là, cette fois, le Maître de guerre ne pouvait plus se faire d’illusions quant aux intentions du plus efficace de ses gardes du corps… l’évidence lui était apparue lorsque le jeune arriviste avait désobéi à ses ordres en refusant de couvrir les arrières de la waaagh et avait ordonné à ses « fidèles » d’en faire autant. Ces crétins, massés derrière leur champion et semblant attendre son avènement par la force dans la plus pure tradition ork, se rangèrent à ses côtés… ils s’attendaient à tout sauf à ce qui suivit. La logique aurait voulu que les deux colosses se battent en duel (surtout maintenant qu’un long trait de salive

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traîtresse coulait sur la face impassible de Krushkull…) et que le vainqueur entérine ainsi son autorité sur tous. Cramponnés à cette idée, les partisans de Murkreg l’encourageaient déjà par de hauts cris et d’énergiques martèlements de pieds. Ils rugissaient déjà tous d’excitation et des cris rauques portant aux cieux le nom de guerre de l’albinork s’élevèrent sporadiquement de ce sauvage magma sonore. Pourtant, contre toute attente, le vénérable Big Boss ne releva pas le défi, ni n’ordonna aux siens de charger ceux qui furent leurs frères… il se contenta de hausser les épaules, d’afficher sa déception et tourna le dos à ces ingrats, s’éloignant d’eux d’un pas lourd, traînant derrière lui son lourd kikoup’ à deux mains, symbole de son statut. Insulté par cette attitude méprisante, le fougueux ork pâle avait exigé un duel en hurlant : « A mort ! Kombat à mort ! T’es kun lach’, Krush’. La waaagh, elle a bozwin d’un vré chef a’c des tripes, pas d’un froussar’ ! ». Ce faisant, en réclamant le duel, et selon la tradition du klan, il venait de donner à son adversaire le choix des armes. Il ne comprit cette erreur qu’après avoir gueulé sans réfléchir… en s’en mordit la lippe inférieure jusqu’au sang. Le vieil ork s’était retourné lentement, avait offert à son (ex-)garde du corps un sourire de dément, écarté les bras dans un grand geste théâtral et, en lâchant son arme géante sur le sol poussiéreux, avait annoncé calmement d’une terrible voix rauque: « Mains nues ! ».

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Le silence s’était fait et aucun boy n’osait plus maintenant émettre le moindre son. C’est bête, un ork, mais pas assez bête pour laisser une chance au vainqueur d’un tel kombat de savoir que l’on tenait avec son ennemi… Une arène naturelle constituée de membres du klan se coagule autour des pugilistes. Cà et là, certains jouent des coudes pour mieux profiter du spectacle. On débarrasse les combattants de leurs armes. Krushkull jauge son adversaire : une monstruosité quasi blanche à la musculature énorme et vigoureuse, aux épaules démesurées et au regard haineux… et dire qu’il en avait lui-même fait cette machine à tuer ! S’il était capable d’intégrer cette notion, il trouverait vraisemblablement cela d’une irrésistible ironie. Mais, de façon plus orkoïde, il formule simplement mentalement un « C’est khon, kand même ! » de circonstance. Krushkull en est à se poser une question toute bête : « Kesk’on aurait fait si j’avais eu une pince énergétik, pour un kombat à mains nues ? » lorsqu’un agglomérat de phalanges surdimensionnées s’abat telle une météorite sur sa pommette gauche et lui descelle une molaire, le rappelant à une actualité plus terre à terre. Le vieil ork titube sous la violence du choc mais se redresse… juste à temps pour intercepter avec le menton un uppercut à arracher la tête d’un taureau. La douleur étreint le cerveau du Big Boss qui ne trouve le salut qu’en s’effondrant au sol face contre terre.

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Timidement, puis avec plus d’ampleur, des vivas commencent à éclore parmi le public. Lorsque, la vue brouillée par le choc, le vétéran rouvre les yeux, il voit son ennemi se pavaner, bras levés, à s’abreuver des encouragements de ses idiots de partisans. Douloureusement, Krushkull s’étire en grognant, comme un chat qui se réveillerait d’un sommeil proche du coma. Murkreg revient vers lui, en conquérant bien prêt à broyer une bonne fois pour toutes l’insecte honni. Une main droite se referme. Contact de l’acier. Un dos se déploie. Une épaule pivote. Le corps entier de Kruskull effectue une rotation foudroyante, brandissant un éclair à bout de bras droit. En fin de rotation, profitant de la vitesse, le manche de métal coulisse dans sa main depuis la lame jusqu’au pommeau et lui offre une allonge de plus de deux mètres. Le temps se fige. Hagards, les yeux emplis d’incompréhension de l’albinork s’embrument petit à petit puis son corps tout entier s’effondre à genoux, une lame de kikoup’ géant s’étant frayé un chemin depuis son poumon droit jusqu’à l’hémisphère gauche de son cerveau. Un râle d’agonie, quelques cris de stupéfaction, un murmure grandissant puis une révolte du public : « Hey ! On avé di mains nues ! - Ouais, mon gars… et koi ? Tu préfèr’s un Boss qui respek’ les règ’ mais ki krèv’ ou un salopard de tricheur ki survit à tout koi k’on lui fait ? » Un court silence suivi de débats animés remua le klan

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puis, d’un commun accord quasi spontané, tous éclatèrent de rire et beuglèrent leur joie d’avoir un Big Boss « si tant kool ke ça! »… Acclamé par ses boyz, Krushkull garde une mine sombre… dans la liesse ambiante, il ne peut s’empêcher de remarquer sa mâchoire douloureuse et ses tempes grondant d’une douleur sourde. Merde alors, c’était ça, avoir mal ? De bien sombres heures s’annonçaient si les années commençaient à marquer leur passage aussi nettement… Bon sang, il devenait fragile. Lui, Krushkull Wysiwyg Mangaka Lurk’Habo, l’ork ultime, le bouffeur de galaxies… quelle déchéance ! D’un geste las, il retire son arme du corps inerte dans un bruit de succion, la brandit sans conviction pour stimuler encore plus l’admiration de ses fidèles et, comme cent fois auparavant, pousse son « Waugh ! » sonore, cri de ralliement venu du fond des âges à la face de l’univers. Un cri qui, pour la première fois, semble teinté de doute… et si c’était le dernier ?

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• duel trop court… • Je sais ne pas avoir fait de fautes d'orthographe… s'il y

en avait une, elle ne serait qu'une faute de frappe, une coquille…

• Je sais également que ma construction narrative est généralement assez équilibrée.

• Je pense y avoir glissé un peu d'humour et j'ai essayé d'éviter trop d'allusion à 40K pour éviter les erreurs de fluff… quoique, niveau Ork, je connais!

• Texte un peu trop vite écrit… 'peux faire bien mieux! • J'ai beaucoup apprécié cette plongée dans la psyché

ork… Par contre les orks ne sont pas bêtes hein, ils se posent moins de questions ;)

• Arf… Original, style nickel, fin drolesque… Superbe !!! • l'Albinork…j'y avais encore jamais pensé à celui-là !!! • Style très plaisant, mise en mots de la 'pensée' orks qui

m'a beaucoup amusée. Très bon texte. • J'ai pas trop accroché avec cette pensée ork elle est

pourtant bien amené et le texte est excellent.

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Atorgael “A toi dans 5 minutes mon gars, Kassbrick finit son dernier client et ce sera ton tour ! C'est quoi ton nom? C'est pour l'annonce.” L'homme ainsi apostrophé par l'intermédiaire du petit haut parleur accroché au mur ne se donna pas la peine de lever les yeux pour répondre à l'Equarisseur le taulier. “Garner.”, lâcha-t-il retournant à sa tache du moment. Seul, assis sur un tabouret branlant dans une pièce qui aurait eu plus d'utilité comme placard, Garner finissait de serrer les lacets de cuir autour de ces gants rudimentaires. Récupérés sur la patère de la pièce, il s'agissait en fait des gantelets rescapés d'une armure carapace qui avait dû voir des jours meilleurs. Plus que de simples protections pour ses phalanges, ils serviraient tout de même à amplifier ses coups et à le protéger un minimum. Garner ne se souciait pas de savoir combien d'hommes avaient fait ces mêmes gestes avant lui, non, concentré sur son prochain combat il s'appliquait méticuleusement à sa préparation en commençant une série de traction et de pompes. Vétéran des dernières invasions tyanides de Torep, il avait eu sa part des combats ces dernières années, ils avaient fait de lui un dur, un homme qu'on n'aimerait pas croiser au fond d'une ruelle sombre, il le savait et aimait en jouer parfois. Mais ce soir ça ne servirait sûrement pas à grand-chose

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face à Kassbrick, une brute épaisse, un tueur à main nue. Il avait accepté de participer à ce combat clandestin non pas pour le prime promise à celui qui étendrait le champion local, mais juste pour le plaisir de se battre. En cela il espérait se différencier des précédents adversaires de Kassbrick. Garner aimait se battre, se retrouver face à face avec son adversaire, quel qu'il soit, quelle que soit sa force ou sa taille, juste pour se mesurer à lui. Cela lui avait valu une belle réputation de coriace au sein de sa compagnie de combat. En sueur il se relève face à la porte qui va s'ouvrir dans un instant, les vérins sont en train de descendre la plateforme de combat. “Et maintenant, cher public, voici un dur, un coriace !…” Frappant ces poings au creux de ces paumes, Garner se leva attendant que la porte s'ouvre face à lui. ”… Il vient défier votre champion Kassbrick, le vainqueur des cent vingt huit derniers combats! …” Elle s'ouvre laissant entrer un flot de lumières de sons et d'odeurs. Garner s'avance dans l'arène. Par une autre parte on évacue le dernier candidat à la gloire, il est traîné sur le dos par des serveurs reconvertis en brancardiers pour l'occasion. Kassbrick est là aussi, il est assis sur un tabouret et deux serveuses s'en occupent en brassant l'air devant lui, en lui proposant à boire.

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”… puisse l'Empereur l'avoir en sa pitié, voici GAAAARNEEEER ! ” C'est un colosse qui doit dépasser Garner de deux têtes, il sourit à son public qui hurle sa joie par des sortes de hululement que n'aurait pas désapprouvé un Space Wolf, la coutume du coin quand le sacrifié entre dans l'arène. Un petit groupe tente tout de même d'apporter son soutien à Garner comme il peut, Garner ne voit pas ses compagnons de batailles, il est déjà dans son combat. Kassbrick se lève, il est vraiment immense. L'Equarisseur entre au milieu de l'arène, les deux adversaires s'avancent, le silence se fait dans le public “Vous connaissez les règles, il n'y en a pas, que le meilleur gagne ! - J'vais te casser en deux petit, lance Kassbrick d'une voie hargneuse. - Essaye de me toucher déjà”, réplique Garner. Le public explose de joie, de mémoire de buveur, personne n'avait répondu ainsi à Kassbrick, on allait voir du sport ce soir. L'Equarriseur ressort de l'arène laissant prudemment le champ libre aux combattants. La scène se met alors en mouvement et les puissants vérins la hissent sans effort jusqu'au niveau des grilles au centre de la salle, permettant au public de voir enfin l'insolent qui a eu l'audace de défier Kassbrick, c'est aussi le signal de l'engagement des hostilités.

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Kassbrick et Garner s'avancent l'un vers l'autre, prudemment, les mains tendues face à eux prêtes à saisir toute opportunité. Soudain Kassbrick s'élance vers Garner qui fait un pas à droite en baissant la tête. Dés que son adversaire entraîné dans son élan est à portée, Garner décoche un violent coup sur le coté gauche de la mâchoire de Kassbrick, ce dernier est projeté au sol, déséquilibré par l'impact. La foule laisse échapper l'air de ses poumons trop longtemps retenu et les cris de joie tournent à l'hystérie. Kassbrick se remet immédiatement debout cherchant son adversaire du regard. Garner ayant profité de son avantage a pris son élan et se précipite dans le dos de Kassbrick dont le front vient bruyamment heurter le sol, Garner lui saute dessus et commence une série dans les cotes et la colonne vertébrale. Kassbrick parvient à rouler sur lui-même sans pouvoir éviter les coups de pieds de son adversaire dont l'un parvient à lui faire sauter une dent. La bouche en sang il se remet sur ses pieds et bloque un dernier uppercut visant son arête nasale. Les deux adversaires s'écartent l'un de l'autre pour reprendre leur souffle. Quelques spectateurs dans un état second se précipitent sur le grillage clôturant le champs de bataille, les potes de Garner se sont fait plein de nouveaux amis qui ne cessent de vanter les mérites du nouveau champion, les paris on changés de sens, on en vient à parier sur le temps qu'il

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reste à Kassbrick avant de se faire étaler pour de bon. Kassbrick essuie le sang qui lui coule de la bouche, il regarde Garner d'un œil nouveau, un adversaire pas comme les autres décidemment. Avec prudence il se remet en position, Garner fait de même mais au moment où tout le monde s'attend à voir partir Kassbrick comme il en a l'habitude, c'est le garde impérial qui lui fonce dessus, tête en avant il va lui écraser le foie. Kassbrick tient bon, la douleur est terrible mais il parvient à saisir l'avorton à bras le corps, il n'a plus qu'à serrer pour lui briser l'échine. Un silence s'installe dans la salle pendant … au moins 5 secondes avant que les paris ne repartent de plus belle. Kassbrick commence à serrer doucement, ses bras énormes ne peuvent plus laisser échapper Garner. Ce dernier grimace sous la douleur, il sait qu'il vient de gagner son combat. Il regarde alors Kassbrick droit dans les yeux et esquisse un demi sourire. Kassbrick surpris cesse de serrer sa prise et Garner écarte alors ses bras libres de toute emprise et vient écraser ses mains sur les oreilles de son adversaire. Le claquement sec des paumes sur les oreilles couvre un instant le brouhaha, Kassbrick relâche totalement son étreinte et tombe à genoux devant Garner qui se prépare à lui asséner le coup de grâce lorsque la porte d'entrée explose et qu'une escouade armée de matraques pénètre en force.

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” Adeptus Arbites ! Cet établissement est fermé sur ordre du premier sous consul, vous êtes tous en état d'arrestation, veuillez ne pas résister ! ” Le public jusqu'alors bien discipliné s'éparpille en tout sens cherchant une porte de sortie, les Arbites vont s'en donner à cœur joie, ce soir va vraiment y avoir du sport. L'Equarisseur en bon commerçant pragmatique a activé la descente de la plateforme de combat juste avant de s'y réfugier avec une poignée de ses serveurs et de quelques consommateurs plus prompts à réagir. Garner aide Kassbrick à se relever, le combat est terminé. Ensembles ils partent de cet endroit bien décidé à ne pas se faire attraper par les patrouilles. Au petit matin les deux hommes se séparent pour rejoindre son régiment ou l'établissement de l'Equarisseur. ” On se retrouvera un de ces jours petit ! - A ton service mon gros. ”

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• texte très sympa à lire… • 18 fautes d'orthographe. • Problèmes mineurs de concordance de temps. • Confusion entre possessifs et démonstratifs. • Le public a une très bonne ouïe pour entendre les défis

que se lancent les combattants… y'a un micro? • Frapper DES poings au creux DES paumes suppose que

Garner a 4 bras. • Un type survivant de !!!!!128!!!!! combats n'est pas

décontenancé par un sourire. • Par contre, j'ai aimé l'ambiance glauque… on sent la

sueur dans l'air, c'est bien! • pit powa, le texte comportant sûrement la plus grande

proportion du combat en lui même… un peu déçu par la fin en demi teinte.

• Rha, j'adore ce mec !!! Nouvelle jouissive bien que je ne sois pas certain que des GI iraient se fourvoyer dans un endroit pareil… Néanmoins du très très bon !!!

• Dommage pour le défaut de relecture (tu y penseras la prochaine fois ;) ).

• Sinon histoire assez originale, j'aime beaucoup l'absence de haine dans ton récit

• contrairement à tous les autres. On a presque envie de parier sur le match …

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Rendar ‘ La croix de sang ’ Le vacarme du combat était retombé comme le silence après l’orage. Le souffle court et les membres endoloris, Adlar ne pu que contempler les conséquences de l’affrontement entre son escouade et les marines renégats. Ils étaient tous morts. Au milieu de cette cité anonyme comme il en avait vu des centaines d’autres, ennemis et alliés s’étaient entraînés dans une danse funeste dont il avait été le seul survivant et les corps de ceux qui avaient étés les pires ennemis de la galaxie de leurs vivant reposaient côte à côte dans la mort. Adlar le savait, bientôt c’en serait fini de sa vie également. Les forces chaotiques avaient enfoncés leurs lignes et saccageaient la ville. Les effectifs Blood Crusader étaient dispersés, les renforts déviés vers la capitale et il ne faudra que très peu de temps avant qu’il ne croise un autre groupe d’hérétiques. A la vue des armures ensanglantées gisant à terre, sa douleur se dissipa pour laisser la place à une haine irrépressible qui couvait depuis le début de cette campagne et qui consumait petit à petit son cœur. Les informations qu’ils avaient, il y a de cela quelques mois, si chèrement acquises s’étaient révélées exactes : Certains de leurs anciens frères d’arme étaient engagés dans la guerre de Beliosa. C’était l’unique raison qui les avait poussés à venir soutenir les défenses planétaires. Ils devaient tout faire pour les exterminer jusqu’au dernier.

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Le fracas d’une explosion le sortit de sa torpeur. Silencieusement, il se glissa dans les ombres dessinées par les hauts bâtiments. Il n’avait plus aucune échappatoire. Il pouvait toujours tenter de sortir de la ville mais ses chances étaient infimes. Qu’importe, s’il devait mourir, il le ferait l’arme à la main et l’âme pure. Le bruit caractéristique du métal martelant un sol de pierre se fit soudain entendre. Un groupe approchait de sa position. Tournant la tête, Adlar aperçu une dizaine de silhouettes massive marchant au pas dans la rue perpendiculaire à celle qu’il venait de quitter. Le vacarme cessa soudainement. Ils s’étaient arrêtés. Sans doutes avaient ils vu les corps pensa-t-il. ‘Restez ici et sécurisez un périmètre. Je vais examiner ça de plus près’ La voix était autoritaire, déterminée, brutale et terriblement familière. Un frisson parcouru l’échine d’Adlar. Non, c’était impossible… Pourtant, plus aucune hésitation ne fut permise lorsque se dessina dans son champ de vision le profil d’un space marine du chaos dont le visage dénudé, bien qu’ayant horriblement muté, ne pouvait être que celui de… ‘Echtélion’ Les mots étaient sortis d’eux même de sa bouche desséchée par ses récents efforts. Le renégat s’arrêta

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brusquement comme touché par un bolt invisible et, doucement, tourna la tête vers l’endroit ou il s’était caché. ‘Cela fait bien longtemps que personne ne m’a appelé ainsi’ Entama le traître d’une voix presque chantonnante ‘Sors donc de ta cachette que je puisse contempler le visage de celui qui se souvient de mon nom de baptême’ Sans hésitations, Adlar s’avança dans la lumière. Instantanément, il fut mis en joue par l’escouade de marines restée en arrière mais, d’un subtil geste de la main, le colosse toujours immobile leur intima de ne pas bouger. Il se remit à parler ‘Quelle surprise… Tu fais donc toujours partie du monde des vivants… Impressionnant…’ Doucement, Echtélion fit un demi tour pour faire face au soldat Blood Crusader. Le côté droit de son armure semblait avoir fusionné avec sa chair et, de son bras droit partait trois énormes griffes organiques où, normalement, aurait du se trouver sa main. ‘Que deviens tu… Mon frère ?’ ‘Je t’interdit de m’appeler comme ça’ Explosa alors Adlar. ‘Tu n’es pas mon frère, mon frère est mort il y a cent cinquante ans en même temps que tout ceux qui ont suivis le mille fois maudit’ Echtélion se mit à ricaner. ‘Tu vis toujours à l’époque où

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nous étions tout deux des templiers noirs ? Tu es vraiment pathétique… Tu étais l’un des premiers à nous pourchasser et tu sais tout comme moi qu’aujourd’hui, il reste bien plus des miens que de ceux qui, comme toi, sont resté loyaux à ce que nous croyions’ Bouillonnant de colère, Adlar dégaina son épée. Le glissement familier du métal sortant de son fourreau ne parvint pas à l’apaiser comme cela arrivait parfois. Aujourd’hui il en faudrait bien plus pour étancher sa soif de vengeance. Pointant sa lame vers celui qui, autrefois, s’était battu à ses côtés, il lui répondit d’une voix claire. ‘Peut être sommes nous moins nombreux qu’auparavant mais, je le jure sur la croix de sang, ce soir, les vôtres auront un allié de moins dans leurs sinistres rangs’ Echtélion s’était lui aussi saisi de son arme. Un sabre à la courbe effilée et tortueuse. ‘Puisque tu tiens tant à mourir dans la souffrance’ se contenta-t-il de répondre tout en se mettant en garde. Le choc des deux armes fut si violent qu’il fit jaillir une pluie d’étincelles. Attaquant le renégat par une frappe ascendante, Adlar, tenta de surprendre son adversaire. Sans difficultés, Echtélion para le coup et, de son membre horriblement muté essaya de lui sectionner le tronc. Son geste ne vint frapper que le vent, Adlar s’étant rapidement déplacé vers la gauche. Resserrant sa prise sur la garde de sa lourde épée, le loyaliste enchaîna une série de frappes puissantes, forçant l’hérétique à céder du terrain.

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‘Je vois que ta maîtrise de l’épée ne s’est pas détériorée avec le temps’ Le nargua Echtélion en reculant hors de sa portée. ‘Moi aussi j’ai appris quelques petites choses utiles’ Lança-t-il en se jetant en avant. D’un geste ample mais incroyablement rapide, le fils de la ruine emmena ses deux armes dans un arc de cercle mortel qui manqua de se refermer sur Adlar si ce dernier ne s’était pas, de justesse, jeté en arrière. Loin de vouloir s’arrêter la, Echtélion entraîna Adlar dans une série de passes d’arme où le space marine Blood Crusader ne pu que subir ses attaques et parer, du mieux qu’il pouvait, le flot déferlant de coups que son adversaire lui assénait. Bientôt acculé à une pile de gravats, le space marine n’avait plus aucune issue. La force et la maîtrise de son adversaire dépassaient ce qu’il avait pu imaginer et, d’un moment à l’autre, l’un de ses assauts allait certainement transpercer sa garde. A moins que… D’un geste incroyablement souple malgré sa lourde armure, Adlar se laissa tomber à terre. Un nuage de poussière grise se souleva masquant un instant les détails du combat. Il en profita pour, d’un revers de son épée, tenter de faucher les jambes de son opposant mais celui-ci s’était déjà reculé. Qu’importe, cette manœuvre lui avait laissé le temps de se redresser et de sortir de l’étau dans lequel il s’était laissé enfermer. Sans attendre, il fit fouetter sa lame vers le bras gauche d’Echtélion. Ce dernier n’eut d’autre choix que de parer en croisant sa garde, exposant ainsi son flanc droit a une

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attaque. Dans un mouvement rotatif parfaitement exécuté, l’épée d’Adlar vint mordre l’armure rouillée de sa némesis au niveau du torse, entaillant profondément la chair d’Echtélion. Si ce dernier avait ressentit une quelconque douleur, il n’en laissa rien transparaître sur son visage squelettique. Esquissant un léger sourire, le mignon du chaos regarda un instant le sang qui coulait doucement sur le fil de l’épée du marine Blood Crusader. Quelque chose changea alors dans son regard et son bras droit fut soudainement agité de spasmes et, dans un craquement écoeurant, les trois griffes qui formaient la suite de son poignet doublèrent de longueur. Sous l’effet de la surprise, Adlar ne pu éviter la frappe d’Echtélion qui lui sectionna le bras armé au niveau du coude. Tentant de faire abstraction de la douleur qui lui parcouru instantanément le corps, il dégaina, de sa main gauche, un poignard fixé a sa cheville et se rua sur le renégat qui avait rengainé son sabre comme pour le provoquer encore plus. D’un geste assuré, Adlar tenta d’atteindre la gorge de son adversaire mais Echtélion parvint à lui attraper le poignet et le força à lâcher son arme. Tombant à genoux sur le sol, Adlar était condamné. Il le savait dès l’instant ou il s’était lancé dans ce combat inégal mais peut lui importait, il avait rempli son devoir et attendait le coup fatal avec résignation et sans aucune peur.

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En relevant les yeux, il croisa le regard de son ancien frère d’arme devenu la pire abomination qu’il n’ait jamais vu. Ce dernier le regardait fixement et, tout en portant sa main gantée de métal à sa blessure, il y contempla le sang qui s’y écoulait avec une lueur malsaine dans ses yeux noirs. ‘Il y a des années que personne n’avait réussi à faire couler de mon corps ce précieux fluide’ dit il alors. ‘Je suis assez impressionné mais tu va devoir payer cet affront de ta vie… Pire encore… Je vais me repaître avec énormément de plaisir de ton âme’ A ces mots, Echtélion lui transperça l’abdomen. L’armure d’adamantium aux couleurs noir et os des Blood Crusaders n’opposa presque aucunes résistance aux griffes démoniaques et la douleur qui envahi son corps fut vite remplacée par l’insensibilité encore plus terrible de la majorité de ses sens. Doucement, Adlar se sentit glisser vers l’inconscience mais une dernière chose le raccrochait encore à la vie. Toussant pour chercher de l’oxygène, Adlar trouva la force de se redresser pour plonger ses yeux bleus acier dans le gouffre de folie qui avait remplacé les pupilles d’Echtélion le jour ou celui-ci avait trahi l’Impérium. Ce dernier semblait se délecter de son agonie mais un mince sourire naquit pourtant sur le visage ensanglanté d’Adlar. ‘Nous allons mourir ensemble… Mon frère’ Murmura-t-il avant de s’éteindre. Alors que les muscles du corps sans vie qui pendait à ses

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griffes se relâchaient, une série de petits reflets métalliques tombant au sol attirèrent l’attention d’Echtélion. Quelque chose venait de glisser de la main ouverte d’Adlar. Des goupilles de grenades…

• très bien raconté, histoire très sympa. • Une autre fin à la Luc Besson • 28 fautes d'orthographe. • Texte trop long. • Erreurs de ponctuation interne. • Gros problème de rédaction des discours directs. • Même fin que Galdrick! • Assez classique, j'ai eu du mal a resituer le rapport

loyaliste/traître au début… • Rythme bien maîtrisé… regrette juste le coup de la

grenade… un peu trop classique :p • Personnellement je trouve qu'il manque un peu de

dialogue 'plus légers' mais sinon rien à redire, l'envie de lire la suite est présente de suite. Ambiance parfaite où tu sais parfaitement nous ménager la meilleur place d'observateur

• Encore un bon texte

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MFT « Bravo-6 Alpha de Macassar contrôle, vous avez de la visite secteur 12, cadran 34. Confirmez-vous contact Radar ou visuel ? » « De Bravo-6 Alpha. Négatif Macassar contrôle, je n’ai rien ici. Demande vecteur d’approches pour confirmation contact. » « De Macassar contrôle. Vecteur 1-9-5, objectif à 35Km de vous, vitesse estimée à 2000Km/h environ. Prévenez quand vous aurez du nouveau. Terminé » « De Bravo-6 Alpha. Bien reçu, terminé pour moi. » « Tiens, tiens, pensa le Flight-Lieutnant Hummel, enfin un peu d’action. Je commençais à en avoir marre de toutes ses patrouilles sans apercevoir l’ennemi » Obliquant légèrement vers la droite, l’aile de son jet s’affaissant au fur et à mesure qu’il virait, il prit le chemin que lui avait indiqué le Radar de Surveillance au Sol. Corrigeant au gré des nouveaux caps d’interceptions que lui donnait le Radar, il pilota son engin machinalement tout en se remémorant les faits de ces dernières semaines. Tout avait commencé lorsqu’une révolte avait éclaté sur Denvis 41. Un soulèvement populaire orchestré par une secte qui agissait sous le couvert d’une agence matrimoniale et dirigée par un certain Lopak avait sensiblement remuée la planète, de nombreuses villes faisant carrément sécession. L’armée Impériale avait bien vite repris le dessus, et commença à réprimer de plus en plus férocement au fur et à mesure qu’elle découvrait la

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réelle nature de l’insurrection. D’abord de simples lieux de luxures furent fermés et brûlés, mais on trouva bientôt de cachots dont les occupants semblaient pris de penchants clairement sado-masochiste. Cela n’avait pas grandement inquiété l’Administration en place, assez conservatrice et puritaine. Pour elle, ce n’était que le signe d’une révolte contre l’ordre établi un peu plus musclée. Mais lorsque des lieux de cultes à Slaanesh avaient étés mis au jour, et lorsque l’on trouva les premiers suppliciés au nom du dieu des plaisirs, le doute ne fut guère plus permis. Cependant la balance penchait clairement en faveur des Impériaux dans le rapport de force qui les opposait aux cultistes, et la situation s’annonçait de mieux en mieux. Jusqu’à ce damné jour de Sanktul. L’apparition d’un terrible Defiler suffit à plonger dans l’effroi les forces au sol. Même s’il il fût promptement détruit par un tir de canon laser, tous savaient qu’il signifiait que les Emperor’s Children étaient arrivés. Le front s’était stabilisé, puis un percée subite des Space Marines du Chaos provoqua un trou de 15 Km de profondeurs, qui ne fût colmaté et sécurisé que grâce à l’intervention des Dark Angels. Maintenant, depuis une semaine et demie, les intercepteurs des forces de Défenses planétaires dont il faisait parti le survolaient nuit et jours à la recherche de la maîtrise complète du ciel. Bien que certaines bases de Chasseurs et de Maraudeurs se soient détournées de la Sainte Lumière de L’Empereur, leur nombre n’était guère suffisant pour rivaliser avec la domination qu’exerçaient les loyalistes dans les cieux. Ainsi, les rencontres étaient rares ces

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derniers temps, le Chaos ayant été chassés de ce secteur aérien. C’était une sacrée aubaine pour Hummel. Soudain un spot rouge s’alluma sur l’écran vert et phosphorescent de son radar Air/Air. « Macassar contrôle de Bravo-6 Alpha. J’ai un hostile dans mon 45, l’IFF ne le reconnaît pas. Demandes les ordres. » « De Macassar contrôle : Roger, Bravo-6 Alpha, confirmez visuellement, le système IFF n’est pas bien sûr ces derniers temps malgré le changement des codes d’identification. Autorisation d’ouvrir le feu accordée, tirez à vue. Terminé. » « De Bravo-6 Alpha. Roger. Terminé pour moi. » Cela s’annonçait bien. Hummel allait sans doute avoir une victoire de plus à son actif ce soir. Il n’était pas trop mal placé au palmarès de son escadrille, et celle-ci était en compétition pour la tête du classement avec la 817ème « Rusher Boys » de Spanfield. Son Lightning filait plein pots, Hummel retira la sécurité de ses multi-lasers, ainsi que de son auto-canon. Il bascula son radar Air/Air en mode radar de poursuite, et guetta le moindre signe de l’avion ennemi. Il préférait de loin son lightning au Thunderbolt, car, malgré son armement plus lourd, et son autonomie bien plus grande, il était beaucoup plus lourd et ses qualités manœuvrières étaient moindres. Hummel était pilote de Chasse, pas de fer à repasser. « Merde, un nuage. Pas bon, ça, j’aime pas bien…. » Au même moment, le Spot radar s’éteignit. « Ho ! Non ! Un système de brouillage ! Il n’a pas pût se

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faire shooter, je l’aurai vu d’ici. Hmmm ça sent le piège à plein nez, pourvu que… » Tirant sur le manche de toutes ses forces, il cabra on appareil et fonça vers le soleil alors qu’il eut le temps de voir un chapelet de traceuses et de lasers zébrer le ciel à l’endroit où il était l’instant d’avant. « Par l’Empereur ! J’ai eu du bol ! » Forçant sur le manche à droite, il retourna l’avion et piqua sur son adversaire qui avait continué sur sa lancée, visiblement surpris par l’Immelmann d’Hummel. Se remettant par un brusque tonneau en position de tir, Hummel eu le réflexe de ne pas ouvrir le feu tout de suite en anticipant le dégagement sur la gauche du pilote rebelle. Réduisant les gaz, il se plaça dans l’intérieur de son virage et cette fois-ci ouvrit le feu, mais trop tard. L’ennemi avait déjà basculé à gauche et plongeais à présent dans le vide. « Tu n’es pas né de la dernière pluie, toi visiblement ! » lâcha Hummel, alors qu’il le suivait dans son vertigineux piqué. « Attend mon bonhomme, attend un peu, je vais te pousser à la faute » Et il lança une rapide rafale au raz de moustaches de sa proie. Passant légèrement sous la jointure de l’aile droite, elle fit visiblement paniqué le pilote adverse. « Lààààà ! C’est bien mon joli » pensa Hummel Réduisant une nouvelle fois les gaz, et redressant légèrement l’assiette, il devança de quelques secondes la réaction de sa cible qui eu le réflexe fatal de tirer sur le manche, et de s’aveugler momentanément par le voile

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noir du à une décélération trop forte et à une fuite du sang de la tête. Hummel, qui y était habitué et qui en avait moins souffert par l’expertise et la maîtrise de sa manœuvre, déchaîna la sainte colère de l’Empereur via son autocanon ventral et ses multi-lasers d’ailerons. La puissance de feu de son avion le secoua même dans son habitacle, ses doigts crispés sur la gâchette de tir. Au centre de son collimateur, l’avion ennemi fut durement touché, des plaques de tôles s’envolant sous la violence des coups, et des flammes vinrent rapidement lécher le pourtour du cockpit. Il fit une terrible embardée, qui le souscrivit quelques instants aux tirs du chasseur, mais pas pour longtemps. Les traçantes ne leur lâchèrent pas plus que les lasers, et, alors que le feu se propageait au ventre du jet, un obus perça un réservoir de kérosène qui fit s’enflammer l’aile gauche. Désemparé, l’avion piqua, son pilote semblant désespérément sortir de l’avion pour sauter en parachute. Hummel ne lui en laissa pas le temps. Un second obus chanceux vint frapper les bouteilles d’oxygène pur derrière le siège du pilote, les faisant exploser et transformant le malheureux appareil en chaleur et en lumière. « Macassar contrôle de Bravo-6 Alpha. Hostile abattu, demandes nouveau cap de patrouille. » Fit le chasseur en regardant s’éloigner les grumeaux incandescents qui tombaient vers le sol à une vitesse prodigieuse, tel un feu d’artifice célébrant sa victoire. « Bravo-6 Alpha de Macassar contrôle. Vecteur 2-5-9, écho non identifié dans le cadrant 7. »

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« Vecteur 2-5-9. Bien reçu Macassar contrôle. Terminé pour moi. » « De Macassar contrôle. Terminé pour moi ». « Décidément, je suis en veine aujourd’hui, pensa Hummel, alors qu’il prenait déjà le nouveau trajet que venait de lui indiquer le radar, le match avec les Rusher Boys s’annonce serré ! »

• duel original. Dommage que le combat aérien soit si vite bouclé.

• Pas mal l'idée du combat aérien • Original, cette idée de combat aérien, mais cela aurait

été mieux si on n'avait pas senti la passion de l'auteur qui rendit ce choix évident et que l'on avait donc pas dû se taper ce prétentieux jargon aérien qui ne parvient pas à secourir les erreurs de français flagrantes (emplois d'expressions approximatives, phrases à rallonges illisibles, verbes transitifs sans compléments…).

• J'ajouterais à cela la peu probable arrivée de ce Defiler qui sert de révélateur de la présence démoniaque… discret, le révélateur! Et qu'est ce que ça peut être lourd, par moments!

• 25 fautes d'orthographe. • original de parler de l'imperial navy • vocabulaire inhérent a l'aviation bien maîtrisé • Une idée de duel rudement originale et un texte très bien

écris pour une nouvelle très agréable à lire. Merci. • J'ai bien aimé l'ambiance 'dogfight' même si le

vocabulaire de l'aviation est parfois trop présent. • Belle ambiance, original, bravo.

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Akira Le module se posa à quelques encablures de la base construite dans les marécages d’Arandra 5. Le pilote identifié sous le matricule C.128 sauta prestement du cockpit, s’engagea dans la jungle vers des feux qui brûlaient au loin dans le camp du XXIV Catachan. Arrivé aux abords des baraquements après avoir évité une bonne centaine de pièges, C.128 observa les allées et venues des gars de la compagnie qui se trouvaient là. Une dispute attira son attention, et justement son objectif se tenait devant lui. Le sergent Packert reprochait à son lieutenant, la prise très risquée de la Gorge du Diable, qui fut sans nul doute un succès mais coûta la vie à plus du tiers de la Compagnie. « Vous êtes un inconscient lieutenant, incapable de continuer à commander les hommes » vociféra le sergent Packert. « Demandes ta mutation si tu n’es pas content, espèce de poltron ! » riposta le lieutenant Allbright. « Un jour je prendrai le commandement » rétorqua Packert en lançant son poignard entre les jambes d’Allbright. « Arrêtes de rêver » ricana Allbright, se détournant pour rentrer dans le baraquement derrière lui, d’où provenait une ambiance de fête. Laissé seul au dehors, Packert énervé, ne vit pas l’ombre furtive de C.128 arriver derrière lui. La piqûre qu’il sentit dans le cou le mit hors d’état. Il fût traîné à quelques mètres derrière une barricade, attaché et bâillonné. Toujours conscient mais dans l’impossibilité de bouger,

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comme étant vivant dans un corps mort. Regardant son agresseur, le choc survint. Celui qui le regardait, après avoir tressailli, se métamorphosa en ……lui. Cette créature masquée avait pris son apparence et il ne pouvait rien faire. C.128 après un clin d’œil au sergent Packert, se leva et se dirigea vers la cabane d’où montaient des chants de guerre. Il entra au beau milieu de ce qui semblait être une fête pour le succès d’une bataille. « Tiens voilà Packert, le peureux de service ! » beugla le lieutenant Allbright qui l’avait vu entrer (ou du moins le croyait il). « Le peureux c’est toi espèce de débile ! Tu envoie nos hommes au casse-pipe sans réfléchir », « Battons nous pour voir qui de nous prendra le commandement du peloton « demanda Packert « J’accepte » dit alors le lieutenant Allbright. Les tables furent alors écartées et les tabourets empilés dans un coin de manière à aménager un espace suffisamment vaste. Le silence se fit. Les deux adversaires se mirent torse nu et, plaquant les mains dans la graisse qui baignait au fond des plats débarrassés des mets qu’ils contenaient par la voracité de la tablée, ils entreprirent de s’en enduire le corps jusqu’à rendre toute prise directe pratiquement impossible. Enfin, après le bref rituel de présentation de respect mutuel, les opposants se mirent en position, se campant sur les jambes pour pencher le torse en avant, les mains ouvertes comme les serres d’un oiseau de proie. Allbright et Packert se tournèrent autour, dans la position

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d’attente classique d’un lutteur trop expérimenté pour sous-estimer la valeur de son adversaire. C’est Allbright qui finalement lança la première attaque. Il bondit en avant, feintant de vouloir immobiliser les bras de Packert pour finalement se baisser sous la défense que ce dernier préparait. Il passa le bras gauche entre les deux jambes de Packert, et de l’autre ceintura ses hanches. Saisissant de sa main gauche son avant-bras droit, il s’assura une bonne prise au niveau du bassin et poussa sur ses jambes, tirant fort dans la préparation de sa manœuvre sur les braies en cuir de son prisonnier avec l’idée de le renverser. C’était du moins son intention, mais Packert lança le tranchant de ses mains sur le cou d’Allbright, juste à la naissance des épaules. La douleur fit lâcher prise au jeune lieutenant, qui parvint toutefois à esquiver la riposte de son sergent. Les attaques et contre-attaques se succédèrent sans jamais baisser d’intensité. Packert étonnait par son art et Allbright par sa résistance. Le public ne s’y trompait pas, le combat bien qu’initié pour des raisons douteuses, constituait l’apogée d’une soirée qui restera dans les annales des fêtes de la garde de Catachan. Mais tout le monde sentait que l’affrontement touchait à sa fin : les corps des deux adversaires luisaient de sueur et leur souffle se faisait de plus en plus court. Allbright et Packert le comprenaient très bien eux aussi et, par accord tacite, ils tendirent les paumes face à leur opposant, pour provoquer le duel de mise à mort. Les deux combattants furent encouragés par l’assistance qui frappaient les tables de leurs gobelets sur un rythme de plus en plus rapide. Le duel resta incertain jusqu’au dernier moment ,

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les deux combattants puisant dans leurs ultimes ressources. Leurs visages n’étaient plus qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. Desserrant les mâchoires, Packert articula quelques mots à l’intention d’Allbright mais ils se perdirent dans le tumulte. L’air étonné puis apeuré, ce fut alors qu’Allbright posa un genou à terre et …ses muscles commencèrent à se déchirer Deux lames empoisonnées sortirent à une vitesse terrifiante de mains de Packert et s’enfoncèrent dans le cou d’Allbright, plus que surpris. Tout le monde se tut, et chaque membre de l’assemblée empoigna son arme. Lance-flammes, fusils laser, poignards et bolters lourds étaient pointés sur Packert et le menaçaient tandis que le corps d’Allbright en pleine mutation gisait parterre dans une marre de sang. « Qui es tu intrus ? Tu viens de tuer notre lieutenant « interrogea l’un des gardes. Sous les yeux ébahis des gardes qui n’avaient jamais eu cette expérience, C.128 repris son apparence après avoir sécrété sa polymorphine « Je suis l’agent C.128, du temple de Callidus, l’Officio Assassinorum m’a envoyé pour éliminer votre lieutenant, possédé par un démon. Quant au sergent Packert, il est de l’autre côté du camp, endormi. Il s’en remettra. Voilà les papiers qui font de lui votre nouveau commandant. » Alors que tous se précipitaient au dehors pour aller chercher Packert, furtivement C .128 s’éclipsa. Quelques minutes plus tard une lumière disparaissait dans le ciel, C.128 s’envolait pour une autre mission…

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• j'adore beaucoup…. • 9 fautes d'orthographe, c'est mieux! • Dialogues souvent vides d'intérêt. • Problèmes de concordance des temps. • Situations ou phrases frisant le ridicule (la fameuse

“bonne centaine de pièges”… hahahahahaha!) • Je suis une bille en fluff mais je vois mal un Callidus

aussi peu discret. • Globalement, pas inintéressant mais le côté Catachan

bourru avec assassinat discret en public m'a gêné, ici… • Si j'ai bien aimé le cadre, j'ai un peu tiqué sur la fin… un

callidus qui révèle sa vraie identité… bof bof.. et puis je suis étonné que l'Inq ait arrêté ses investigations au seul Lt concernant la possession démoniaque

• Aie aie aie… Autant le style est correct et l'orthographe aussi, autant niveau fluff, un assassin qui galère face à un humain (même possédé hein) et qui fais sa petite besogne devant tout le monde en disant a la fin 'ha ben voila le papier et ciao' c'est très bof !!!

• Très bon début mais la fin est d'un banal assez affligeant.

• Mais c'est une bonne fin pour un blockbuster d'Hollywood ;)

• Gros souci de fluff et texte assez moyen.

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Galdrick Bragahar avance lentement. L’air suffoquent de l’usine aurait affaiblit n’importe quel être vivant, à l’exception de rats peut être. Mais il s’en moquait, comme tous les membres de la Maison Goliath. Une seule chose occupe son esprit, venger les siens et éliminer le Delaque. De son coté, Mercus est le dernier du groupe. Il se repasse les derniers évènements. Leur mission était simple ; s’infiltrer, récupérer une fiole et rejoindre la zone d’extraction. Tout c’était bien passé jusqu’au moment où le groupe tomba dans une embuscade au cœur même de l’usine et Mercus vis s’effondrer un à un ses coéquipiers. Il eu juste le temps de ramasser la flacon et d’échapper à la fusillade meurtrière à son clan. A présent, Le jeune Kid doit rejoindre la zone, seul. Bragahar jette un coup d’oeil sur son arme. Plus de munition. Il la jette, sort une grande chaîne parsemée de pointes. Puis d’une voix rauque, il crie : - « Petit homme, je sais que tu n’es pas loin. Allez ! Ne sois pas stupide, tu es trop jeune pour te faire briser les os. Rend moi le précieux liquide.» La voix résonne dans les immenses couloirs de l’usine. Les cuves remplies de métal en fusion dégagent une chaleur intenable. Son respirateur hors service, Mecus s’arrête pour reprendre son souffle. Des gouttes perlent de son front. Il sait son adversaire proche et qu’il n’a que peut de chance de s’en sortir indemne face au colosse. Il est jeune et ne possède que trop peu d’expérience. Sa

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route croisera forcément la sienne, il ne fuira pas. Il rassemble ses esprits ; la moitié d’un chargeur d’un pistolet, un couteau et une grenade, plus une autre ramassée sur un membre de l’équipe tombé pendant la fusillade. Bragahar arrive. Sardonique, le géant lâche en ricanant : -« Te cache pas, soit un homme, un vrai, pas un de ses sournois de Delaque. Vient tâter de mes pointes. » L’immense chaîne tournoie dans l’air, créant des tourbillons dans les vapeurs toxiques. Un léger sifflement parvient à Mercus. Main droite, grenade. Main gauche, pistolet. Le couteau entre les dents. Alors que Bragahar avance, Mercus lance la grenade. Surpris de voir le jeune homme, le géant ne voit que trop tard le petit objet cylindrique photonique à ses pieds. Alors que l’un se jette à terre, l’autre n’a le temps de se protéger. Le flash se libère dans un fracas assourdissant. Bragahar, hurle de douleur, de rage et de haine. Le kid se relève tant bien que mal. Aveuglé, son rival envois au hasard sa chaîne. Pistolet au poing, le jeune Delaque décharge le reste de munitions qu’il détient. Les balles percutent le torse, le bras, une frôle le visage. Puis rien, plus de projectiles. Bragahar, essuyant le filant de sang de son visage, se réjouit et cyniquement il lâche : -« J'adore ce bruit de cliquetis. Ton chargeur est vide ? Alors ça va se régler comme j'aime. » - « Soit ! Qu’il en soit ainsi ! », S’empresse de rajouter Mercus

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A peine la phrase finit, que Bragahar lance l’immense fléau mortel en direction de Mercus. Confondu, il n’esquive que de peu, interposant son bras. La chaîne s’enroule dessus, enfonçant les clous dans la chair. De douleur, il hurle. Puis se sentant tirer vers l’immense masse musculaire, il s’arme de son couteau. Toujours occis par le flash, se remettant lentement, Bragahar devine le Kid Delaque qu’il ramène à lui, mais manque le poignard. Il sent la lame glisser profondément sur son poignet droit. La chaîne se dégage de ses doigts. Entre temps, avec l’autre bras, il attrape le jeune homme et l’envoie au sol, finir contre les tuyaux métalliques. Un flot important coule le long de sa main. Il ne la sent plus. Elle est immobile, molle. De son coté, Mercus, au sol, gémit de douleur. L’air irrespirable du bâtiment l’épuise en plus du combat. Son poignard, aux pieds de la brute. Bragahar s’en empare. Le Kid se relève difficilement, puis se crispe. Ses mains se rejoignent sur son ventre, il retire le couteau que le Goliath vient de décocher. Le sang, sombre, coule à travers ses doigts. Il tombe à genoux, puis face contre terre. Il sent sa vie lui échapper. Bragahar s’avance, puis le retournant brusquement sur le dos, il lui dit : - « Ton erreur ? D’avoir osé me parler. J’ai pu te trouver. Même presque aveugle, j’ai fait mouche. Quelle chance insolente, non ? Puis il enchaîne :

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- « J’allais oublier, la fiole ? Tu ne m’en voudras pas si je te la prends ? Tu ne dis plus rien ? » Bragahar fouille impatiemment les poches de la veste. Puis trouvant le flacon, se relève et commence à partir. C’est alors que Mercus se mis à marmonner. Ne comprenant pas les mots du Kid, l’immense Goliath fait demi-tour, s’agenouille et approche son oreille de la bouche. Alignant difficilement ses mots, le Kid lui dit : - « Ton erreur ? D’avoir osé m’écouté. » A ces mots, Mercus ramène sa main sur son torse. Bragahar, ne compris que trop tard. Un rictus d’effroi s’empare de son visage lorsqu’il voit la grenade à fusion. A peine comprend il la situation, que tous les deux sont vaporisés dans une explosion assourdissante. Sous la déflagration, une partie du bâtiment se disloque, un trou béant apparaît, les cuves se renversent, effaçant toutes traces de combat. Les deux clans concernés démentiront une quelconque implication. La haine entre les deux Maisons, n’en sera que plus grande, aucun n’ayant eut la fiole.

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• Une fin à la Luc Besson • 19 fautes d'orthographe. • Coordination de termes de natures différentes. • Vocabulaire imprécis, voire faux (“occis par le flash”!

Hah! J'étais mort de rire!) et texte sans surprise. • Toutefois, le contexte à la Necromunda m'a bien plu! • Même fin que Rendar! • J'ai aimé l'originalité d'un combat dans necro… texte

maîtrisé dans l'ensemble • Une idée originale mais texte assez lourd, de

nombreuses fautes d'orthographe et une certaine confusion dans les persos fais qu'on ne s'y sent pas très bien intégré…

• Texte intéressant et assez léger, une petite touche de 'folie' aurait été intéressante.

• L'originalité tient dans l'utilisation de Nécro, sinon c'est moyen et largement perfectible.

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Shas o night PURGE DE LA CITE RUCHE MIG RAYNE +++M41-647+++ +++SECTEUR CLASSE SECRET+++ A bord de la barge de bataille l’Effet Ralgan. - Êtes-vous sûr votre éminence que cette Cité Ruche s’est bien rebellé contre l’Empereur ? - Le Tarot de l’Empereur ne saurait mentir Amiral Keffren, dit le Frère Capitaine Di Antalvic. Je tiens à vous rappeler que nous sommes ici, suite à l’appel de l’inquisiteur Waylander, nous signalant que toute la Cité Ruche était sous la coupe d’un démon de Slannesh. C’est pourquoi, vous et vos hommes avez été dépêchés ici ; afin de nous donner tout l’appui nécessaire. - Je comprends très bien. - Comme prévu, je tiens à ce que vous bombardiez la position que je vous indiquerais au moment voulu. En attendant, commencez le bombardement et le déploiement des troupes. - Oui Monseigneur ! Quelques heures plus tard au cœur de la cité ruche Les combats font rage de part et d’autres de la ville. Malgré le bombardement préliminaire, les défenses de la cité ont bien tenus et maintenant tout les adeptes de Slannesh ont pris les armes contre ceux qui affectionnaient, il n’y a pas si longtemps que cela.

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Tandis que chaque section de la 11e compagnie de Mordian affronte les adeptes dans les abris renforcés dans une lutte sans merci. Le centre de cité est pris d’assaut par Le Frère Capitaine Di Antalvic accompagné par ses frères en armure terminator - A couvert ! - Armes lourdes à 2 heures et cultistes en nombre à 9 heures ! - Par l’Empereur ! S’ils pensent pouvoir nous retenir ici, ils se trompent, dit le Frère Capitaine Di Antalvic, nous allons leur montrer que l’Empereur nous regarde. Que deux hommes s’occupent des armes lourdes, que les autres me suivent ! - Pour l’Empereur ! crièrent à l’unisson les dits chevaliers gris en armure Terminator, tandis qu’ils sortaient de leur couvert. Le Frère Capitaine chargea droit dans les cultistes en lâchant une salve de son fulgurant, tandis que ses frères faisaient de même, hormis les Frères Cassian et Angel qui passèrent à l’intérieur des bâtiments afin de contourner les armes lourdes qui risquaient de faire payer un lourd tribut au Frère Capitaine et sa suite. Le premier cultiste tomba sans se rendre compte que la vie l’avait déjà quitté, que le Frère Capitaine se traçait un chemin grâce à son épée dans les rangs adverses. Il entendit le déclic familier d’un plasma que l’on charge, qu’il se retourna du côté du son afin de faire face à son ennemi. A ce moment, un pan de mur entier tomba sur ce qui fut peu de temps avant la position des armes lourdes et il remerciât les Frères Cassian et Angel de leur promptitude. Ils n’étaient plus très loin de l’Administratum, où se terrait selon les informations

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envoyées par l’inquisiteur Waylander, le démon nommé No Kyoso qu’il a déjà eu l’occasion d’affronter au cours de ces trois derniers siècles. Au cœur de l’Administratum, deux heures plus tard Après avoir passé non sans mal les défenses externes de ce bâtiment. Le Frère Capitaine trouva l’inquisiteur Waylander dans un piteux état. Il semblerait qu’il ait réussi à échapper à ses tortionnaires au début de l’attaque de la Cité Ruche. Au vu de son faible état de santé, il préféra le garder sous la protection du Frère Angel, afin que ce dernier l’emmène loin de ce qui allait être la plus terrible bataille au cœur de la Cité Ruche. Il poussa ce qui étaient les portes du jardin se trouvant sur le toit de l’Administratum ; et fut stupéfait de trouver en plein de ce qui avait pu être un jardin magnifique à la gloire de l’Empereur, maintenant perverti par le Chaos, le démon No Kyoso entouré par deux femmes d’une beauté alterné par Slannesh.Un de ses quatre bras était terminé d’une pince, tandis que les trois autres avaient la forme grotesque de main à trois doigts et dans l’un deux se trouvait un fouet dont on pouvait sentir l’énergie malsaine au loin. - Te voilà enfin, dit No Kyoso en levant les yeux sur ceux qui venaient d’arriver - Il semblerait que nous soyons amenés à nouveau à nous combattre No Kyoso, dit Di Antalvic - C’est bien ce qu’il me semble. M’excuseras-tu, si j’occupe tes amis avec ces deux charmantes créatures ? dit No Kyoso tout en transformant les deux jeunes femmes par deux enfants du chaos en passant l’un de

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quatre bras au dessus d’elles. S’armant de courage face à l’horrible changement s’opérant sous ses yeux, tout en ayant foi en l’Empereur, le Frère Capitaine commença à réciter les litanies de purification et d’abjuration, et activant en même temps son épée afin qu’elle puisse bannir de nouveau ce démon. Tandis que ses frères chargent les deux enfants du chaos, il se dirige d’un pas ferme vers son ennemi. - Voyons voir si tu t’es amélioré depuis la dernière fois que nous nous sommes rencontrés. Railla le démon - Chaque jour, je m’améliore et je prie l’Empereur pour qu’il guide chacun de mes pas et gestes. Furent les paroles du Frère Capitaine, tandis qu’il activa un communicateur relié à la barge de bataille. Les deux adversaires se font face, l’un crachant sa haine envers celui qui l’a déjà banni de par deux fois au cours des trois derniers siècles, tout en faisant claquer sa pince et son fouet non loin de la tête de son adversaire ; l’autre esquivant les coups vicieux et grêlant de tirs le corps imposant du démon. La distance les séparant se réduit et la tension entre eux augmente. Le démon saute à la gorge de son adversaire, sa pince en avant, tandis que le Frère Capitaine attend de pied ferme son adversaire. Au moment où la pince allait se refermer sur le cou du Frère, ce dernier pare d’un coup d’épée et contre attaque d’un coup d’estoc. Le démon esquive avec quelque peu de difficulté et tance son adversaire. - Il semblerait en effet que tu te sois amélioré, mais cela ne suffira pas pour me vaincre pauvre sot ! - Si tu crois que tes paroles m’offusquent, tu te trompes et je te renverrais d’où tu viens encore une fois ! Le Frère se rua vers son adversaire, esquivant coup après

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coup. Le démon recule devant l’assaut brutal dont fait preuve son adversaire, mais se reprenant il attaque de part et d’autres grâce à ses nombreux bras. Le Frère Capitaine tranche le fouet qui se dirigeait vers lui, ainsi que le bras qui le tenait. Le démon fou de rage tente de couper l’une des jambes de son adversaire, mais ce dernier saute au dessus de cette attaque et en profite de nouveau pour frapper d’estoc. Le démon évite avec grand mal cette attaque et sent la douleur de perdre de nouveau l’un de ses bras. Fou de rage, ce dernier arrive à prendre le Frère Capitaine par son fulgurant et lui broie avec sa force phénoménal son avant bras. - Je t’ai eu petit homme, maintenant tu ne peux plus m’échapper ! railla le démon. - Non, c’est plutôt toi qui ne peut plus m’échapper ! Que l’Empereur guide ma main ! Stupéfait, No Kyoso vit l’épée traverser son flanc, déchirant la chair et les os. Pris de douleur, il relâchât le Frère Capitaine qui tomba lourdement sur le sol. Dans le même temps, il vit que ses enfants avaient réussi à tuer plusieurs terminators avant de succomber sous les lances adverses. Le Frère Capitaine se releva non sans mal et activa sa balise de téléportation, afin que ses Frères et lui soient loin de la zone de tir. Tandis qu’il ressentait l’air changé, il regarda le démon à ses pieds et dit : - Comme par le passé, tes plans n’ont guère aboutis, j’y ai perdu mon bras mais toi tu retournes dans le Warp. - Qu’importe le nombre de fois où je devrais t’affronter, ton âme est mienne et je me délecterais de ta souffrance ! Sur ces mots, le Frère Capitaine apparut au bord de la barge de bataille l’Effet Ralgan avec trois de ses frères,

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tandis que le bâtiment de l’Administratum disparaissait sous l’artillerie navale. L’amiral s’avança vers ce grand homme et lui dit : - Nous avons toutes les poches de résistances et il ne reste plus aucun séide des dieux sombres au sein de la cité ruche. - Bien, faites brûler tous les lieux où ils ont pu se rendre et faites évacuer vos hommes. Ainsi, se déroula la purge de la cité ruche Mig Raine.

• belle histoire et bien racontée. • Mots manquants. • Ponctuation interne fantaisiste. • Pronominalisation outrancière. • Concordance de temps foireuse. • Gérondif suivi de passé simple… beuh… • On ne tranche pas un bras par un coup d'estoc, on

l'embroche. On tranche en taille, par contre! • Mig Raine ou Mig Rayne? Jeu de mot subtil à

l'orthographe variable. Quand on invente un mot, au moins, celui-là, on essaye de le connaître!

• 18 fautes d'orthographe. • J'ai bien ri avec l'allégorie de la migraine et du diantalvic

(mais ou était l'ins Ibu prophen?) par contre grosse déception sur l'écriture en particulier la concordance des temps (passage du passé simple au présent dans la même phrase)

• Une bonne idée de base mais beaucoup trop de fautes d'orthographe, un manque d'espace et un style assez décousu… Dommage

• L'effet Ralgan a l'assaut de la Mi Graine…j'en rigole encore

• Ca aurait pu être drôle mais les fautes de français sont trop présentes et gachent un peu le tout

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Galahad La bataille faisait rage dans toute la forteresse monastère de Caerléon, là ou les traîtres Lightning Swords s’étaient barricadés. Galahad enfonça la porte de la salle du trône, les Lightning Swords loyalistes se chargeaient des dernières poches de résistance des renégats. Lui était venu avec son escorte au cœur même du Palais, là, au milieu des quatre colonnes qui se joignaient en une immense arche, devant le trône du Dragon l’attendait Mordred le traître. Son armure d’artificier était sillonnée de coup d’épée où d’impacts de bolts, Galahad avait été dans la première vague d’assaut sur la forteresse monastère tenue par les trois compagnies renégates et le Maître parjure. Le traître était là, un sourire narquois aux lèvres, ses longs cheveux argentés tombaient sur ses épaulières noires et rouges. Il avait poussé le sacrilège jusqu’à renier la livrée qu’il avait toujours porté. C’en était trop pour le chevalier d’Armorica. Il regarda longuement celui qu’il avait considéré comme son ami et maître. Ses mains se crispèrent sur le manche de son épée énergétique qu’il sorti lentement et sur son bouclier. Mordred montra alors ses griffes éclairs auréolées de noirceur et son sourire devint un rictus abominable. Les deux adversaires se firent face, dans quelques secondes le silence pesant allait retentir du fracas des combats, une lutte à mort était engagée. Galahad s’avança, son escorte savait que ce qu’il désirait était un combat singulier et du se résoudre à ne pas intervenir. Son adversaire approcha aussi d’un pas assuré, puis il attaqua. Galahad ne fut point surpris par cet assaut, il avait longtemps vu Mordred combattre, ce combat serait donc très serré. Il

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parvint à parer le coup, mais il avait mal jugé la force de son adversaire. Il comprit alors que le chaos l’assistait. La colère monta de plus en plus dans le cœur du loyaliste, une telle trahison ne pourrait être tolérée plus longtemps. Galahad frappa à son tour de son épée ornementée ointe par les chapelains, le coup fut rapidement dévié et rendu. La griffe éclair rencontra le bouclier tempête et se brisa sous l’impact. -Alors traître, vois comme tes dieux t’abandonnent alors que l’Empereur me protège. Dit Galahad satisfait de voir une des armes de l’ennemi détruite. Il reçut pour toute réponse un rire moqueur. Ce blasphème était de trop grand pour le marine qui chargea rageusement. L’épée énergétique rencontra l’autre griffe éclair. Mordred profita de l’attaque pour en lancer une autre simultanément, en envoyant son poing dans la figure de son ancien frère. Le coup déstabilisa Galahad, qui laissa tomber son bouclier pour rester debout. -Tu es bien prétentieux pour penser me vaincre! Déclara Mordred en s’avançant vers le marine. Galahad feint d’être encore étourdit, mais dès que le traître leva sa griffe éclair baissant ainsi sa garde, le Chevalier du Lion d’Or frappa rapidement et trancha le bras levé. Mordred chancela un instant. Puis il ressaisit et essaya de trouver des armes. Sur le trône étaient posés l’épée Royale et la Griffe du Dragon. Le félon se précipita pour prendre une de ces armes, mais à peine l’eut il touchée qu’il hurla de douleur. -Comment es tu pu penser que les saints attributs du Haut Roi voudraient d’un traître comme toi Mordred ? Dit Galahad en allant à son tour vers le trône. Mordred regarda haineusement son adversaire. Le marine avança

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vers le félon l’épée à la main, il regardait avec dégoût cet être déchu qui avait tant commis de sacrilèges, qui avait renié son serment envers l’Empereur et l’humanité. Lentement il leva la lame pour achever son ennemi qui restait là tétanisé. -Meurs pourriture ! Hurla Galahad avant de presser le pas et de frapper. Mais son coup n’atteint point le traître, au moment où la lame mettrait fin à ses jours impies, le félon disparu tout d’un coup. Galahad regarda de tout les cotés mais ne le vit point. Dans son communicateur, il recevait des messages disant que tous les renégats avaient disparus sans laisser de traces. Le chevalier fut frustré de ne pas avoir tué son ennemi, de rage il frappa le sol, son épée se brisa en plusieurs morceaux sous l’impact. Sa colère passée, il appuya sur le bouton du communicateur. -Galahad à l’Inquisiteur Achilléus, mission accomplie, les traîtres de notre chapitre ont été battus, mais pas éliminés. Je promets en pénitence pour cette trahison, que les félons seront traqués et livrés à votre justice. -Bien Maître Galahad, à présent c’est vous qui dirigerez le chapitre, ainsi soit il. Terminé ! A ces derniers mots, le Lightning Sword regarda les attributs royaux qui eut seuls décideraient s’il devait devenir le nouveau Haut Roi. Il s’approcha donc du trône où les deux armes se trouvaient. Respectueusement il les saisit et attendit, rien ne se passait. Il reposa doucement les deux artefacts là où ils se trouvaient et sortit silencieusement de la pièce. Ce serait à lui de conduire le chapitre sur le chemin de la rédemption.

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• texte sympa, mais pas de rebondissement. dommage. • 12 fautes d'orthographe pour un texte très court, erreurs

de concordance de temps, histoire sans réel intérêt, erreurs de construction au sein des coordonnées, erreurs de ponctuation…

• Enchaînement de compléments à s'en perdre… “qui” et “qui” et “qui”…

• texte classique, bien maîtrisé dans l'ensemble… • j'ai du mal avec l'inquisiteur pas assez intransigeant

envers un demi chapitre renégat… Si les DA cache leur secret depuis des millénaires il doit bien y avoir une raison

• Malgré une bonne idée intégrant l'historique d'un chapitre perso, un manque cruel d'espace, des tournures un peu lourdes et un manque de clarté ternissent ce texte.

• Je n'ai pas accroché, style très lourd, trop de titre à mon goût. J'ai été très vite perdu.

• Texte un peu lourd à lire, la mise en forme aurait mérité plus de soin.