Chavouot5770
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Transcript of Chavouot5770
Le magazine des fêtes juives
Hag Saméahבס״ד
CHAVOUOT 2010 - 5770
Gratuit
Découvrez dans ce magazine des recettes appétissantes de mets lactés sucrés et salés,des décors floraux faciles a réaliser, et notre rubrique pour les enfants…
Acheter vos diamants aux prix direct de la bourse de Ramat Gan
Un seul numéro:06-20-18-01-13
Édito
rial Après le magazine de Pessa’h, Hag Saméa’h est heureux de vous pré-
senter son magazine de Chavouot. Les réactions enthousiastes du public après la parution du premier numéro nous ont chauffé le cœur. Merci à tous ceux qui nous ont fait parvenir leurs félicitations et leurs encoura-gements !En l’honneur de Chavouot, vous trouverez ici un article sur la composi-tion florale qui vous permettra de décorer votre maison de fleurs comme c’est la coutume, en ajoutant une touche professionnelle. Pour varier vos menus, choisissez parmi les recettes proposées celles qui feront la joie de vos convives. Sucré ? Salé ? Le choix ne manque pas. Et nous n’avons pas oublié les enfants !Vous trouverez pour eux 2 recettes qu’ils se feront un plaisir de préparer avec vous, ainsi qu’une activité manuelle sur le thème des fleurs, et une histoire sur la fête qui nous l’espérons les fera rêver…Bonne lecture et…
Pour tout commentaire: [email protected]
Somm
aire
Hag SaméahLa décoration florale, pas si compliqué que cela8Les recettes de chavouot, place d’honneur au lait et au fromage10La rubrique des enfants: travaux manuels et lecture30
"Je suis Hachem, ton D- ieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Egypte, de la maison de l'esclavage" (Exode 20:2) Ce verset, d'apparence simple, de-mande toutefois quelques explica-tions. Dans ce verset, Hachem s'adresse à l'individu en particulier (2ème per-sonne du singulier) par opposition à la nation dans son ensemble (vous- 2ème personne du pluriel). Pourquoi Hachem s'adresse-t-il à l'individu au lieu de parler à la nation toute en-tière ? De plus, pourquoi Hachem précise-t-il qu'il nous a fait sortir de la mai-son de l'esclavage et non tout sim-plement de l'esclavage ? Il existe deux types d'esclavage chez les êtres humains. Le premier est l'esclave qui est de fait soumis physiquement à un autre individu et n'a aucun droit quel qu'il soit sur sa
propre personne. Tout le produit de son travail et ses biens appartien-nent à son maître qui peut le forcer à trimer jour et nuit.
Le second type d'esclave n'ap-partient en fait à personne bien qu'étant constructivement l'es-
clave des autres. Alors que cet in-dividu puisse très bien assurer sa subsistance par seulement quelques heures de travail par semaine, il se sent obligé de s'asservir de longues heures, sacrifiant sa liberté person-nelle dans le seul but d'impression-ner les autres par son succès et sa richesse. Cette forme d'esclavage peut être bien pire que la première, dérobant à l'individu un temps pré-cieux qu'il aurait pu passer avec sa famille. Cela provoque également l'envie et la dépression et conduit à toutes sortes de mauvais penchants. Les deux sortes d'esclavage étaient présents dans l' Egypte ancienne. Tandis que les Juifs étaient physi-quement asservis aux Egyptiens, ces derniers étaient eux-mêmes, aussi ironique que cela puisse paraître, de plus grands esclaves. Quand ils dirent :"Agissons contre eux avec
Un message de l’Admour
de Kalov Chlita
Le cadeau de la To-rah et la délivrance
personnelle.
ruse" (Exode 1:10), ils conspirèrent afin d'assujettir les Juifs, démon-trant ainsi leur asservissement à l'avarice, l'envie et le besoin déses-péré de controller leur prochain. En effet, les Egyptiens étaient connus comme une nation d'un niveau les plus bas aux dispositions des plus licencieuses. Ainsi, quand Hachem introduit la Torah au peuple Juif au Mont Si-naï, Il leur explique qu'en plus de les délivrer physiquement de l'es-clavage d'Egypte, Il leur donne le cadeau le plus précieux qui les li-bèrera pour toujours de l'esclavage de leur propre égo car " il n'y a pas de personne plus libre que celui qui s'adonne à l'étude de la Torah".La Torah transforme l'individu, lui permettant de complètement maî-triser ses talents et ses ressources personnelles et lui apprend à les uti-liser au mieux pour son propre in-térêt. Ainsi que Rabbi Méïr expose dans les Maximes des Pères "qui-conque étudie la Torah d'une ma-nière désintéréssée (lichma)", c'est-à-dire dans le but d'apprendre quoi faire et dans quel but, "il parvien-dra à aimer D-ieu et tout le monde; il apportera de la joie à D-ieu et à tout le monde. (de part le style de vie de haut niveau qu'il enseigne et engendre) " Cela l'habille d'humilité, l'élève et lui permet d'avoir de la maîtrise sur tout". La Torah permet à la personne d'atteindre son plus haut potentiel et le libère de ses bas désirs qui entraveraient sa crois-sance spirituelle en tant qu'individu. Voilà ce que siginifie que d'être li-béré de la "maison de l'esclavage". Comme nous l'avons expliqué plus
haut, en Egypte, tous les types d'esclavage avaient cours. La To-rah fournit les outils adéquates pour un comportement personnel pro-ductif tant sur le plan de l'individu qu'au plan collectif, elle libère des ravages de l'impulsion au crime, à l'adultère, au vol, de jurer en vain et de convoiter les biens de ses voi-sins. Elle inculque également l'im-portance d'honorer ses parents afin de renforcer les leçons transmises de générations en générations. Par ailleurs, elle ordonne aussi d'obser-ver le Chabbat, jour donnant l'op-portunité à l'homme de se réjuvéner physiquement et spirituellement et d'expérimenter ainsi une vraie joie. Le Zohar affirme que le Chabbat est le jour que D-ieu a donné aux Juifs pour délaisser les tâches matérielles et s'élever à la vie spirituelle éter-nelle. C'est pourquoi D-ieu s'est adressé à chaque Juif en particulier. Son mes-sage est que chaque Juif en particu-lier est capable d'étudier la Torah et d'observer les mitsvoth. D-ieu nous dit qu'il a créé chacun d'entre nous avec la capacité d'at-teindre les plus hauts niveaux de la perfection humaine et de la proxi-mité à D-ieu à travers l'étude de Sa Sainte Torah et l'observance des commandements. Durant la fête de Chavouoth qui cé-lèbre le don de la Torah, sachons apprécier le grand cadeau que D-ieu a offert à chacun d'entre nous et re-connaître que la Torah est vraiment la clé de notre délivrance person-nelle.
L’Admour sera BH en France du 13 au 24 Juin. Pour plus de renseignements:www.sites.google.com/site/kalovfrance
IMPORTANT: L’Admour n’accepte pas d’argent!
Pain au lait moelleuxinGRÉDientS
500 gr farine blanche tamisée
250 ml de lait
30 gr de levure de boulanger
40 gr de beurre
20 gr de sucre
10 gr de sel
2 jaunes d’œuf
100 gr de fromage râpé
RealiSation1. Faire tiédir le lait, ajouter la levure émiettée.
2. Verser le beurre ramolli, et les autres ingrédients sauf le fromage.
3. Bien pétrir le tout pour obtenir une pâte lisse et souple.
4. Placer dans une bassine, recouvrir d’un linge humide, laisser lever 1h30. La pâte doit doubler de volume.
5. A l’aide de la paume de la main aplatir, sur un plan fariné, votre pâton, incorporer 70 gr de fromage râpé. Travailler à nouveau votre pâte, pour bien faire pénétrer le fromage.
6. Partager la pâte en 2. Façonner 2 pâtons allongés. Placer dans un moule à cake de 30 cm de long. Laisser lever de nouveau pendant 1h.
7. Badigeonner de lait. Parsemer du restant de fromage râpé
8. enfourner et laisser cuire 15 min dans un four préchauffé à 180°C puis 15 min à 150°C.
VaRiante: Partager la pâte en 18 boules, façonner des pains individuels ronds ou allongés, disposer dans des petits moules ou sur une plaque couverte de papier sulfurisé.
- Remplacer le fromage de la décoration par du sésame ou des épices au choix.
1
500 gr farine blanche tamisée
250 ml de lait
30 gr de levure de boulanger
40 gr de beurre
20 gr de sucre
10 gr de sel
2 jaunes d’œuf
100 gr de fromage râpé
BeuRRe au PeStoinGRÉDientS
1 botte de basilic
2 gousses d’ail
4 c à soupe d’huile d’olive
Le jus d’un citron
100 gr de beurre ramolli
Sel, poivre selon le goût
2
RealiSation1. Émincer l’ail et le basilic.
2. Mélanger avec l’huile d’olive, le citron et les épices.
3. Battre le tout avec le beurre.
4. Verser dans un verre ou dans un film étirable afin de pouvoir le modeler à la forme souhaitée.
5. Réfrigérer jusqu›à ce que ce soit ferme.
taRte au fRomaGe lÉGeRexcellent avec ou sans garniture, la crème pâtissière et les fraises lui donneront un air de fête
inGRÉDientS
Gâteau
6 œufs
150 gr de sucre
750 gr de fromage blanc
1 pot de yaourt nature(200 ml)
2 c à café d’extrait de vanille
Le zeste d’un citron
50 gr de farine tamisée
3
Garniture
½ litre de lait
60 gr de sucre
2jaunes d’œuf
30 gr de maïzena
250 gr de fraises
Quelques cerneaux de noix
RÉaliSation 1. Préchauffer le four à 180°C
2. Séparer les blancs des jaunes.
3. Mélanger les jaunes avec le fromage blanc, le yaourt, le zeste et l’extrait de vanille. Incorporer la farine.
4. Battre les blancs en neige ferme avec le sucre.
5. Incorporer délicatement à la préparation de fromage.
6. Beurrer un moule de 26 cm de diamètre. Verser la préparation.
7. Enfourner et laisser cuire 1h. Éteindre le four et laisser le gâteau à l’intérieure encore 15 min.
8. Préparer la crème pâtissière. Faire bouillir le lait. Battre les jaunes d’œuf, le sucre et la maïzena. Ajouter le lait bouillant sur le mé-lange en continuant de battre. Faire épaissir sur le feu sans cesser de remuer jusqu›à ébullition. Laisser refroidir.
9. Verser la crème sur le gâteau. Décorer de fraises et de cerneaux de noix
Gateau au fRomaGe SanS cuiSSon.Idéal pour celles qui n’ont pas de four ‘halavi.
Pâte130 gr de margarine
5 c à soupe de sucre
1 œuf
200gr de farine
½ sachet de levure
Farce
750 gr de fromage blanc
100 gr de sucre
3 c à soupe de pudding vanille ou autre au choix
250 ml de crème chantilly + 20 ml
RÉaliSation1. Préchauffer le four à 180°C.
2. Mélanger les ingrédients de la pâte, obtenir une belle boule.
3. Étaler le ¾ sur un fond beurré (moule de 26 cm de diamètre).
4. Dans un plus petit moule, étaler la pâte restante.
5. Cuire 15 à 20 minutes ou jusqu›à ce que la pâte dore.
6. Émietter la petite partie de pâte et réserver.
7. Battre le fromage, le sucre et le pudding. Ajouter la chantilly battue séparément.
8. Verser sur le fond de tarte refroidi.
9. Parsemer de biscuit émietté et décorer de rosaces de chantilly bat-tue. garder au frais
4
inGRÉDientS
4
cRêPeS faRcieS au fRomaGe et à la Pêche
Pâte1 ¼ de verre de lait froid
120 gr de farine
2 œufs
250 gr de sucre
50 gr de beurre
Farce
250 gr de fromage blanc
50 gr de sucre
1 c à c d’extrait de vanille
1 boite de pêche au sirop
RÉaliSation1. Dans une terrine, battre le lait, la farine, les œufs et le sucre.
2. préchauffer une crêpière antiadhésive ou une grande poêle graissée avec le beurre.
3. Verser un peu du mélange. Étaler de façon homogène.
4. Laisser cuire 1min de chaque coté. Ainsi de suite avec le reste de la pâte.
5. Mélanger, le fromage le sucre et l’extrait vanille.
6. Couper les pêches en petits dés.
7. Étaler la crème fromage, parsemer de cubes de pêches, rouler ou plier en quatre.
8. Saupoudrer de sucre glace ou d’amandes effilées grillée (au choix).
inGRÉDientS
5
Gateau maRBRÉ au fRomaGeinGRÉDientS
6
200 gr de beurre
300 gr de sucre
5 œufs
250 gr de crème fraîche
400 gr de farine
1 sachet de levure chimique
½ verre de lait
3 c à café de liqueur au choix
100 gr de chocolat noir
¼ de verre de lait
Nappage (au choix)
100gr de chocolat noir
70 ml de crème
RÉaliSation1. Préchauffer le four à 180°C
2. Battre le beurre et le sucre pendant 2min. Ajouter les œufs un à un,
la crème fraîche. Obtenir un mélange homogène.
3. Tamiser la farine et la levure dans une terrine à part.
4. Mélanger le lait et la liqueur.
5. Verser en alternant la farine et le lait sur la préparation de fromage.
6. faire fondre au bain marie ou au micro-ondes le chocolat avec le lait.
7. Ajouter 5 cuillères à soupe du mélange de fromage. Mélanger éner-
giquement.
8. Verser la crème fromage dans un moule beurré de 26 cm de dia-
mètre ou dans 2 moules à cake de 30cm
9. Verser le mélange de chocolat au centre.
10. A l’aide d’une cuillère dessiner des zigzags.
11. Enfourner et laisser cuire 50 min. Laisser refroidir.
12. Faire chauffer le chocolat et la crème. Napper le gâteau.
BouleS De chocolat au lait
100 gr de chocolat noir
100 gr de chocolat blanc
100 gr de beurre ramolli
250 gr de petits beurre
2 flans vanille
RÉaliSation1. Faire fondre les 2 chocolats avec le beurre au bain marie ou au mi-
cro-ondes.
2. Émietter les petits beurres à l’aide d’un mixeur ou d’un rouleau à pâ-tisserie dans un sachet en plastique.
3. Mélanger les biscuits avec le mélange de chocolat. Ajouter les flans. Tenir au frais 2h jusqu’à que le mélange soit ferme.
4. Former des boules en prélevant la quantité d’une cuillère à café bombée. Rouler dans une des garnitures. Garder au frais
4
inGRÉDientS (PouR 30 BouleS)
GarnitureVermicelle de couleurs, coco, ou cacao
7
milk Shake au maRShmallow
2 flans de 125ml au chocolat
1 verre de lait
4 à 6 glaçons
8 marshmallows
RÉaliSation1. Mixez le lait froid avec le flan et les glaçons pendant quelques se-
condes, pour obtenir un mélange homogène et mousseux.
2. Versez le milk-shake dans un grand verre et décorer de brochette de marshmallows.
3. Placez la paille dans le verre et servez sans attendre.
VarianTe :Remplacer 1 flan chocolat par un flan vanille. Partager le verre de lait. Et procé-der de la même façon mais en 2 étapes. Verser le mélange vanille puis le mé-lange chocolat ou inversement afin d’obtenir un duo.
inGRÉDientS (PouR 2 VeRReS)
8
La prière du tsadik s’élève, les portes du ciel sont largement
ouvertes… Cette année encore, les Guedolim d’Israël uniront
leur voix en faveur des bienfaiteurs de Koupat Ha’ir, afin que
vous et vos enfants soyez gratifiés de grandes bénédictions.
Un grand projet Devenir parents n’est pas une simple
expérience, laquelle se bornerait
à nous faire passer d’un état à un
autre. Quand on devient parents,
il naît soudain en nous, non seu-
lement un sentiment d’amour in-
commensurable pour l’enfant que
D. nous a confié mais aussi la certi-
tude de participer à un grand pro-
jet auquel nos pères et nos aïeux
ont collaboré avant nous. D’un coup,
nous comprenons le sens du mot
‘avenir’ et la nécessité de la trans-
mission. Depuis l’aube des temps, le
peuple juif dans son ensemble, exilé
ou non, s’est toujours conformé à ce
précepte. Tous désirent guider leur
enfant sur la voie du bien, faciliter
son chemin, l’accompagner dans les
épreuves, se tenir près de lui dans
La tefilatHachla
L’ Admour de Nadvorna שליט״א L’ Admour de Tchernobil שליט״א
les moments heureux La mansué-tude dont les parents font preuve pour leurs enfants n’a nulle égale, et quand, D. nous préserve, le sort vient frapper ou menacer la chair de sa chair, le Juif quel qu’il soit, se tourne naturellement vers son Créateur en lui adressant ses suppliques.
Tout moment est adéquat pour im-plorer D., et toute prière est toujours écoutée de Lui. Mais il en est une pour-tant, magnifique, qui figure dans le livre Chnéï Lou׳hote Habrit et qu’on a l’habitude de réciter chaque année la veille de Rosh Hodesh sivan, moment propice dit-on, parce que c’est le jour où D. fit don de la Thora aux Bnei Is-
raël, et qu’on les nomma pour la pre-
mière fois : ‘les enfants de D.’.
Le « Chla Hakadoch »Composée il y a plus de 400 ans par le
grand Rav Yechaya ben Avraham ha-
Lévi Horowitz, dit le « Chla Hakadoch
», d’après les initiales de son œuvre
majeure, cette prière destinée aux
parents pour leurs enfants, exprime
le désir de chacun de voir ses en-
fants évoluer dans le droit chemin.
Elle traduit à l’aide de mots forts et
justes tout l’amour qu’on éprouve
pour eux, l’espoir que l’Eternel satis-
fasse à tous leurs besoins matériels
comme à ceux du cœur et de l’esprit,
La tefilatHachla
Le Gaon Rav N. Karelits שליט‘‘א Le Gaon Rav A.I.L. Steinman שליט‘‘א
qu’Il les garde des viles tentations et des dangers, qu’ils aient le mérite de fonder un foyer et qu’Il nous gratifie enfin d’une digne descendance.
Comme l’année dernière, la veille de Chavouot, appelée également yom kippour katan, parce que dit-on, les livres célestes s’ouvrent à nouveau, caressés par le souffle d’expiation et de grâce qui enveloppe le monde, un minyan composé de prestigieux tal-midei hahamim et de quelques-uns des plus grands rabbanim d’Israël se réunira à nouveau pour adresser cette prière à D., au nom de tous les donateurs de Koupat Ha’ir.
En ce jour de recueillement et d’élé-vation spirituelle, les grands de notre génération prieront donc pour ce que nous avons de plus cher au monde : nos enfants. Leur voix s’élèvera jusqu’au Trône divin, intercédant en notre faveur pour le bien de nos fils et nos filles, pour leur santé, leur réussite, et leur bon-heur … Oserons-nous manquer ce rendez-vous essentiel avec le Créa-teur, cette audience particulière
qui nous concerne par-dessus tout, menée par des « avocats » émérites? N’en doutons pas, leur prière sera entendue et certainement exaucée. De nombreux parents nous ont déjà témoigné de leurs expériences per-sonnelles. Une femme qui soudain tombe enceinte quand six mois au-paravant, les médecins déclaraient au jeune couple qu’il n’y avait aucune chance que cela n’arrive jamais, un adolescent qui retrouve brusque-ment l’usage de la parole après qu’un accident l’en ait privé depuis près de deux semaines, un père de famille qui parvient enfin à trouver les mots adéquats pour ramener son fils égaré à la raison et un autre qui nous envoie le faire part du mariage de sa fille unique, un mariage qu’il n’espérait plus depuis longtemps…Les cas sont nombreux et toujours émouvants.
La veille de roch Hodech sivan, D. attend ses enfants. Le moment est rare, le chemin vers la miséricorde, proche et dégagé ; les portes du ciel sont largement ouvertes…
L’ Admour de Lelov זצ״ל Le Gaon Rav M.I. Lefkovitch שליט‘‘א
Une magnifique prière Par leurs mérites, nos grands maitres sont pour le peuple juif des garants de sa pérennité sur terre. Erev Chavouot, plusieurs d’entre eux prieront pour nous et réciteront ain-si qu’ils le font chaque année pour tous les donateurs de Koupat Hair, la tefilat hachla, la magnifique prière des parents pour leurs enfants.
Depuis qu’est née Koupat Ha’ir, les grands rabanim suivent ses pas, comme un père le ferait pour ses en-fants. Ils soutiennent sa démarche, la guide et l’accompagne. S’ils accor-dent à cette caisse de tsedaka toute leur confiance et leur fidélité, c’est parce qu’ils connaissent de l’inté-rieur tout le travail effectué par elle, et le sérieux avec lequel les tâches sont exécutées. Et comment pour-rait-il en être autrement, eux qui en
sont les membres légaux et dirigent l’association dans toutes ses actions? Cette caisse est la leur. Koupat Ha’ir est leur moyen d’entrer en relation avec tout le peuple juif : connaitre ceux qui souffrent et ont besoin d’as-sistance, faire appel aux autres pour aider les premiers et prier pour ces donateurs’.
Koupat Ha’ir est ce pont qui nous re-lie les uns aux autres, ces autres qui nous sont plus proches désormais. Et c’est parce que vous les donateurs vous inquiétez du sort de vos frères, sauvant chaque mois des milliers de familles juives de la misère et du malheur, que les rabanim à leur tour, ont à cœur de prier pour vous et vos enfants. En cette veille de Chavouot, où nous avons accepté la Thora, rappelez-vous, D. Lui-meme nous a nommés ‘Ses enfants’…
Le Gaon Rav Y. Hillel שליט‘‘א Le Gaon Rav H. Kanievski שליט‘‘א
Pour plus de renseignements ou pour transmettre vos dons directement par CB composez le:
Koupat Ha’ir, la ligne directe pour la Tsédaka en Israël
0-800-525-523
En cette veille de Chavouot, vos invités arrivent avec un ma-gnifique bouquet, vraiment splendide. Au début, vous êtes très contente d’avoir de si belles fleurs à poser sur votre table de fête. Mais soudain, vos expériences d’autrefois avec des bouquets vous reviennent en mémoire. Vous êtes tentée de laisser la cellophane sur le bouquet tant vous êtes nerveuse à l’idée de gâcher cette œuvre d’art. Quel vase utiliser ? Com-bien couper la tige ? Défaire le bouquet ou le serrer ? Au se-cours !
Vous pensez peut-être qu’arranger des fleurs est quelque chose pour laquelle certains sont doués, tout simplement.
Décoration florale
Cela semble si facile lorsque vous voyez une fleuriste assem-bler un bouquet dans un magasin ou quand vous voyez faire une amie qui a un don pour cela. Mais arranger des fleurs est un art et les arrangements floraux les plus splendides sont généralement l’œuvre de professionnels.
Pourtant, les personnes ordinaires comme vous et moi peu-vent aussi composer de très jolis bouquets sans l’aide d’un fleuriste. Gardez des photos de bouquets et de compositions florales, prenez des notes ou des photos de fleurs magnifiques qui vous ont plu à un mariage, et suivez les leçons énoncées dans cet article.
Cela demandera peut-être un peu de patience et quelques essais et erreurs, mais lorsqu’un invité se présentera à votre porte avec un bouquet, vous serez heureuse de réaliser une composition réussie en l’arrangeant de façon créative.
23 bd magenta 75010 paris TEL: 0664365345
1€*
VOIR CONDITION AU MAGASIN*
PRIX IMBATTABLE
Leçon 1:Restez sur une seule variété de fleurLa façon la plus facile d’obte-nir un très beau bouquet est de composer un bouquet avec une seule sorte de fleur. Vous pouvez choisir plusieurs teintes, toutes de la même fleur (photo 1)
La clé du succès ici, si vous uti-lisez des roses, tulipes, hya-cinthes, lis ou jonquilles, est de serrer les fleurs. En règle générale, vous obtiendrez les meilleurs résultats si vous cou-pez la longueur des tiges de fa-çon à ce que les fleurs semblent à peine dépasser le bord du vase et qu’on ne voie pas trop de tige. Le bouquet peut certes sem-bler petit, mais la qualité n’est pas toujours affaire de quantité ! Après avoir déposé les fleurs dans le vase, taillez celles du de-vant afin qu’elles soient progres-sivement plus courtes que celles du milieu. (photo 2)
Pour des bouquets plus impo-sants, qui conviennent comme centre de table pour une grande table de Chabbat ou de fête, ou bien pour un buffet, utilisez des fleurs à la longue tige et aux fleurs multiples comme des lis ou des glaïeuls (photo 3 et 4).
Pour les lis, cinq tiges environ suffisent mais les glaïeuls doi-vent être serrés à la base (il fau-dra environ dix hautes tiges, sui-vant la taille de votre vase) pour présenter au mieux.
Des grilles posées au bas du vase sont très utiles pour garder les tiges en place. Vous pouvez aussi attacher une ficelle autour du bouquet après l’avoir dispo-sé, pour garder sa forme.
Note : bien que les vases en verre soient parfois très beaux, les vases opaques évitent le désagrément de voir l’eau mal-propre et les tiges inesthétiques.
21 3 4
Leçon 2:
5 6 7
L’essentiel : la couleurLa beauté des fleurs, c’est leur variété stupéfiante de couleurs. Choisissez des couleurs qui re-flèteront l’occasion ou qui don-neront un splendide éclat de couleur à votre pièce. Les fleurs blanches et pastel sont élégantes et donnent un ton calme ; on les utilise particulièrement pour les mariages (photo 5 et 6).
Si vous aimez le rouge, pre-nez des roses ou des tulipes rouges pour obtenir une tache de couleur classique. Le jaune
et l’orange vif sont très gais, et donnent un accent décontracté qui convient à un déjeuner ou à un repas en plein air. Les fleurs bleues et les violettes sont ra-vissantes pour ceux qui aiment les couleurs froides ; elles ont l’air particulièrement nettes et fraîches lorsqu’on les combine à des fleurs blanches pour at-ténuer leur densité de couleur (photo 7).
Choisissez des tons qui rehaus-sent le décor de votre apparte-ment, et vous en aurez encore plus de plaisir !
Suivez les règles de proportionLa plupart d’entre nous connais-sent instinctivement les règles des proportions. Nous ne met-trions pas une toute petite fleur dans un vase immense ni une fleur haute dans un vase mi-nuscule. Cela paraitrait bizarre. Il faut donc prendre en compte la relation entre le bouquet et le vase. Il faut créer un équilibre entre leur taille respective. Très souvent, on laisse les tiges trop longues, ce qui cause un manque d’harmonie. D’autre part, des tiges coupées trop court peuvent choquer. L’espace visuel occupé par les fleurs doit être à peine plus large que la taille du vase (photo 8).
La taille et la forme des fleurs doit aussi dicter le genre de vase que vous utilisez. Des fleurs lon-gues sont plus jolies dans des récipients hauts (photo 9);des
fleurs courtes paraissent plus belles dans des récipients ven-trus. Des petites fleurs, sont mises en valeur dans un petit ré-cipient. Déposez de très grosses fleurs comme des chrysanthèmes dans un grand vase pour mettre en équilibre leur poids visuel.
Il n’existe pas de règles strictes; aussi, si le bouquet ne vous pa-raît pas harmonieux, changez le récipient. Vous pouvez utili-ser n’importe quoi comme vase: une théière, un pot (photo 10 et 11),
et même une boîte de conserve enveloppée de papier décoratif. Si les fleurs sont plongées dans une boite de conserve ou un pot, ceux-ci peuvent être introduits dans n’importe quel récipient non-imperméable tel qu’un pa-nier (photo 12),
une écorce de noix de coco ou même une jolie boite.
Leçon 3:
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POUR VOS MEZOUZOTS, TEFILINES, MEGUILAT ESTHER DE TRES HAUTE QUALITE,
UNE SEULE ADRESSE:
CHIMONHASSOFER:
SOFER DIPLOME DE L׳INSTITUT.DE BNE BRAQ ״MISHMERET STAM״
Ecriture Sepharad et Ashkenaze avec tous les hidourim.
Contactez – moi au: 00972 527627556
Leçon 4:Une touche finale im-portanteSi vous regardez un bouquet pré arrangé, vous remarquerez qu’il
y a presque tou-jours une grande quantité de gar-niture, c’est-à-dire des feuilles et des groupes de fleurs mi-nuscules. Ces
plantes remplissent l’espace
entre les fleurs, les séparent et
en même temps, créent une co-
hésion entre elles.
Comme les matières de garniture
sont bon marché, on peut former
de belles compositions avec seu-
lement quelques fleurs aux cou-
leurs vives plus des feuilles inté-
ressantes (photo 13).
13
Leçon 5:Rajuster les bouquets pré-arrangésCes magnifiques bouquets pré-arrangés ont l’air très beaux parce qu’ils n’ont pas été compo-sés en fonction d’un certain vase (photo 14).
Ils ont été prévus pour être jolis au sol, dans les seaux du fleu-riste ! La transition entre le seau floral et la table de Chavouot de-mande un certain peaufinage.
Commencez par choisir un ré-cipient aux proportions qui
conviennent et dont l’ouver-ture correspond au diamètre des tiges. Coupez les tiges, en biseau et sous l’eau courante, à une hauteur telle que seuls quelques centimètres de tige dépasseront du bord du vase. Ôtez toutes les feuilles sur les parties de la tige qui seront plongées dans l’eau. Attachez une ficelle lâche autour du bouquet. Ensuite, coupez la ficelle du fleuriste et déposez le bouquet dans le vase.
Enfoncez délicatement les fleurs se trouvant à l’extérieur du bou-quet de façon à ce qu’elles soient plus basses que celles du milieu, pour créer une forme légèrement arrondie. Ajustez les autres fleurs et nouez une nouvelle fi-celle serrée autour des tiges. Si vous utilisez un vase en verre, coupez le bas du bouquet afin que toutes les tiges aient une longueur égale.
14
Leçon 6:
Leçon 7:
Restez fidèle à vous-mêmeLes fleurs sont surtout une affaire de goût personnel. Aussi, choisissez les fleurs qui vous font plaisir! Si vous avez toujours aimé les bouquets qui semblent avoir à l’instant été coupés dans le jardin (photo 15 et 16), suivez votre goût et essayez de les reproduire. Des fleurs peuvent créer une ambiance de palais, d’hôtel ou de maison de campagne. Choisissez votre destination!
Prenez votre envolLa leçon n°7 consiste à oser dépasser les limites du quotidien. Cela vient naturellement à certains d’entre nous et demande aux autres un peu d’entrainement ! Explorez vos armoires et choisissez divers
récipients que vous emplirez de mousse florale. Combinez des fleurs avec des feuilles et créez des œuvres d’art originales pour embellir votre maison. Parfois, des compositions de petite taille seront encore plus appréciées que des grandes, et vous pouvez
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déposer de petits récipients contenant juste quelques fleurs presque partout ! (photo 17, 18 et 19)
Des bols à dessert en verre constituent de très bonnes bases pour de petites compositions, si on y met de la mousse florale. Un tout petit bouquet dans un verre (photo 20) ou dans un bol posé à côté de chaque couvert (photo 21) est charmant. Si vous avez une longue table, vous pouvez aussi poser une
série de verres tout le long de la table. Un ensemble de petites compositions dans des récipients intéressants peut faire un très beau centre de table.
Après cette promenade rafraichissante, nous vous souhaitons beaucoup de réussite pour la décoration florale de vos tables de fête et de Chabbat. Suivez nos conseils et laissez vous guider par votre bon gout et votre intuition !
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M. Amar tient déjà la poignée de la porte lorsque Danny tire le pan de sa veste.
« Papa ! Je veux venir avec toi à la synagogue pour étudier la Torah cette nuit. S’il te plait, papa ! Je ne te dérangerai pas ! »
M. Amar regarde Danny et lui de-mande, un peu sceptique : « Tu es sûr, Danny ? La nuit est longue et la synagogue est loin de chez nous. Tu n’auras pas d’amis pour étudier avec toi… »
Danny hoche la tête avec enthou-siasme et son père accepte.
Il fait nuit noire. Papa fredonne un chant à voix basse et Danny se plait à imaginer l’admiration de ses amis lorsqu’il leur racontera qu’il a étudié toute la nuit de Chavouot. Lui seul, de toute sa classe, étu-diera toute la nuit ! Son père lui ca-resse la joue et se met à rire. « A quoi penses-tu donc, Danny ? Tu commences à étudier en chemin ? Attends, nous arrivons bientôt ! »
Ils entrent rapidement dans la sy-nagogue bondée. M. Amar prend un livre dans la bibliothèque et se plonge dans l’étude tandis que Danny regarde autour de lui, sa-
tisfait. « Quelle chance ! pense-t-il avec fierté. Il n’y a aucun enfant ici ! Aucun de mes amis ne pourra dire qu’il est resté réveillé toute la nuit ! » Son père pose un Hou-mache devant lui et Danny est heu-reux de se mettre à étudier.
Danny commence depuis le début, depuis Béréchit. Il lit chaque verset à voix haute et le traduit comme il l’a appris à l’école. Au bout d’une heure, ses yeux sont à demi-fer-més. Lorsqu’il arrive à la dernière page de la paracha, son père le voit paisiblement endormi…
Danny est là, dans le désert, face aux hautes montagnes.
« C’est moi ! » s’écrie une grande montagne. « C’est certain que c’est sur mon sommet que la Torah va être donnée ! Je suis la plus haute de toutes ! »
« Pourquoi donc ? intervient une autre montagne ornée de fleurs de toutes les couleurs. Tu es peut-être la plus haute mais tu es toute ro-cheuse et tu n’as pas la moindre plante. Regarde-moi ! Je suis en-tièrement recouverte de fleurs et d’arbres. Ne faut-il pas que la To-rah soit donnée sur une montagne aussi belle ? »
Une nuit de rêve…
Brakha Rivka
Danny écoute attentivement les arguments de chaque montagne lorsqu’il remarque une montagne basse, dépouillée de toute végé-tation, attendre de côté sans rien dire. Le désert est en proie à une vive agitation, chaque mont se dis-putant pour le privilège de recevoir la Torah sur son sommet, et seule cette montagne basse se tait.
Soudain, le désert est plongé dans un silence complet. Les hautes montagnes reculent et disparais-sent. Seule la montagne basse qui n’a pas pris part à la discussion se met à grandir et à s’élever tout en se couvrant de fleurs splendides. Une foule se rassemble autour d’elle et voilà que résonne le son de la corne de bélier… Sur la petite montagne, le peuple juif va rece-voir la Torah !…« Danny ! » murmure M. Amar à l’oreille de son fils. « Tu t’es en-dormi ! Réveille-toi ! On va com-mencer la prière du matin ! Va te laver les mains pour pouvoir prier avec nous ». Danny lève la tête et se voit au milieu de la synagogue éclairée. « C’était un rêve ? se demande-t-il, déçu. Dommage ! J’aurais tant voulu voir et entendre le don de la To-rah. J’aurais voulu voir tous les gens réunis au pied de la montagne en train de recevoir la Torah ! »
Sur le chemin du retour, Dan-ny décrit son rêve à son père. « Papa, pourquoi la Torah a été donnée sur le mont Sinaï, la
montagne la plus basse de toutes ? Il y en avait de plus hautes et de plus belles qu’elle ! » Son père lui répond : « C’est parce qu’elle était modeste, Danny, parce qu’elle ne cherchait pas à se vanter. C’est pour cela qu’elle a eu le privilège d’être choisie pour le don de la To-rah ».
En approchant de la maison, Dan-ny se dit que les enfants modestes méritent sûrement aussi de rece-voir la Torah. « Cette nuit, quand tout le monde dormira, je resterai réveillé pour étudier encore. Et je ne raconterai rien… Je ne vais pas me vanter devant mes copains d’avoir étudié les deux nuits de Chavouot. C’est comme ça qu’on mérite de connaître la Torah ! »
Le soleil lui fait un clin d’œil de ses rayons qui brillent devant lui.
ingrédients:- 40g de pâte d’amande rouge
- 10g de pâte d’amande blanche
-10g de pâte d’amande verte pour la feuille
Vous pouvez remplacer la pâte d’amande par de la pâte à modeler.
Rose massepainenDélicieuse confiserie composée d’amandes, de sucre et de blanc d’œuf, le massepain se présente généralement sous la forme de figurines ou sert de base à de nombreuses autres friandises. Malléable en effet, et étonnamment souple, l’idée nous est venue de partir à la découverte de cette incroyable « pâte à modeler » qui prend la forme et la couleur qu’on veut bien lui donner. Confiez du massepain à vos enfants, ils seront ravis de décorer les gâteaux que vous aurez préparés ensemble, et ils réaliseront facilement toutes sortes de per-sonnages, d’animaux, de fruits et de fleurs.
Ci-dessous quelques indications en images pour fabri-quer de belles roses… « Hag saméah » sou-haite à nos chères petites têtes blondes, brunes et rousses beaucoup de plaisir, celui de la création et de l’imagination…
Ustensiles: - rouleau à pâtisserie
- serviette éponge humide
- cylindre de 2.5 cm de diamètre
- cure-dents en bois
- ciseaux
réalisation:1. Ramollir la pâte d’amandes en la roulant et en la
malaxant entre les doigts2. On pétrit légèrement les pâtes rouges et blanches
ensemble jusqu’à obtenir un effet marbré3. Faire rouler la pâte entre les paumes pour former
une boule4. Essuyer le rouleau avec la serviette humide puis
étaler la pâte sur une épaisseur de 3-4 mm5. Utilisez le cylindre comme un emporte pièce, et
former des ronds dans la pâte (les pétales).6. Enrouler un de ces ronds sur le cure-dents bien
serré 7. Bien refermer l’extrémité du pétale sur le cure-
dents8. Essuyer à nouveau le rouleau avec la serviette
humide et étaler plus finement encore tous les ronds précédemment formés.
9. Aplatir encore avec les doigts10. Pincer les extrémités des pétales avec les doigts11. Coller une pétale à la pâte déjà enroulée autour du
cure-dents. Bien serrer dans la partie inférieure et laisser lâche dans la partie supérieure.
12. Faire tourner le cure-dents et rajouter un pétale presqu’ en face du premier. Serrer dans la partie inférieure (pincée) et rabattre légèrement vers l’extérieur à l’extrémité de la partie supérieure
13. On rajoute ainsi 2 à 4 pétales selon la grandeur de la rose désirée
14. Retirer le cure-dents. et parfaire à l’aide des ciseaux.
15. Pour la feuille, pétrir légèrement la pâte verte puis l’étaler à l’aide du rouleau. Lui donner la forme d’une feuille en serrant sur les extrémités, puis, à l’aide d’un cure dents, creuser un léger sillon d’un bout à l’autre de la feuille Ensuite, après avoir essuyé le cure dents, sillonner symétriquement de part et d’autre comme sur la photo.
16. Rattacher la rose à la base de la feuille.
La ségoula de Rabbi Haïm Falaggi
pour les couples sans enfant, à accomplir la veille de Chavouot.
ביו של רבי חיים פאלאג'י זיע"א א
Les paroles succinctes du cab-baliste Rabbi Haïm Falaggi sont gravées dans les cœurs :
« La veille deChavouot,
on pensera prendre quatre-vingt onze pièces puis on complètera la somme pour parvenir à la double valeur numérique du mot « bène » (52 X 2 = 104).On remettra cet argent à un érudit pauvre et humble. Ce don ef-fectue le tikoun d’Adam Harichone, de la faute du veau d’or et du pgam habrit.
C’est une ségoula pour ceux qui n’ont pas d’enfant et cela rap-proche la délivrance…»Ces dernières années, lorsque cette ségoula s’est fait
connaître dans le monde entier, des centaines de familles ont eu un enfant après des années d’attente.
Nos grands maitres eux-mêmes ont choisi Koupat Ha’ir
pour réaliser la ségoula du Rav Haim Falaggi.
104Pour plus de renseignements ou pour
transmettre vos dons directement par CB composez le:
Koupat Ha’ir, la ligne directe pour la Tsédaka en Israël
0-800-525-523
Acheter vos diamants aux prix direct de la bourse de Ramat Gan
Un seul numero:06-20-18-01-13
Chavouot 5770évènements à ne pas manquer:
Erev Roch Hodech Sivan: La Tefilat Hachla:
La prière des parents pour leurs enfants Cette année encore, les Guedolim d’Israël uniront
leur voix en faveur des bienfaiteurs de Koupat Ha’ir et leurs enfants.
Erev Chavouot:
La ségoula du célèbre cabaliste Rav Haim Falaggi:
Pour tous ceux qui n’ont pas d’enfants et pour rapprocher la guéoula.
2 Chavouot 5769 Rav Kanievsky
récitant avec ferveur la Tefilat au nom de
tous les donateurs de Koupat Ha’ir.
Rabbi David Abouhatseira, passe
par Koupat Ha’ir, pour réaliser la
ségoula du Rav Haïm Falaggi.
1. 2.
www.koupathair.com
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Koupat Ha’ir, la ligne directe pour la Tsédaka en Israël 0-800-525-523
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