CHASSE - fdc06.fr · Crédits photos : Bernard Bonifassi, Olivier Bayard, F. Vilain et Fotolia 6 8...

bulletin d’ information interne de la fédération des chasseurs des alpes-maritimes

Comptage Chamois

Les turdidésdans les Alpes-Maritimes

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CHASSEe n pay s d ’ a z u r

n°59

Tous vos articles, recettes de cuisine ou autres, sont à envoyer à l’adresse suivante :

[email protected] prochain numéro de votre journal doit sortir fin août.

Nous recevrons les articles et photos jusqu’à fin juillet. Les articles arrivés après cette date ne

seront plus pris en compte.

Vous souhaitez faire paraître votre publicité dans la revue OFFICIELLEde la Fédération des Chasseurs des Alpes-Maritimes,Contactez la régie publicitaire :Michele Adriano - 07 89 01 18 45 - [email protected]

Sociétés de chasse, Amis chasseurs

N’oubliez pas de vous inscrire à la newslettersur notre Site internet :

ainsi vous pourrez être rapidement prévenu de tout changement

de réglementation survenu pendant la saison de chasse

www.fdc06.fr

Bonbons aux FleursFleursSelon les trésors sucrés

récoltés lors d’une cueillette

(lavande, fleurs de tilleul, reine

des près, violettes, acacias,

épicéa, rose, etc.), vous

pouvez réaliser de délicieux

petits bonbons tout mous.

ingrédients

• 4g d’agar-agar,

• Un demi litre d’eau (douce de

préférence.)• 2 cuillères à soupe de

miel,

préparation

• Mixez d’abord votre récolte de

façon à obtenir environ 1/4L de

purée-jus.

• Puis dans une casserole, dissolvez

4g d’agar-agar dans 1/2L d’eau.

Portez ensuite à ébullition pendant

3mn.

• Quand c’est prêt, faites fondre dans une

casserole bouillante 2 cuillères à soupe de miel

en remuant bien.

• Mélangez le contenu de votre casserole avec celui de votre

mixeur, étalez votre préparation dans un grand plat jusqu’à

obtenir env. 1 cm d’épaisseur de pâte.

• Mettez au frigo toute la nuit, le lendemain matin il ne vous

reste plus plus qu’à découper vos petits carrés de bonbons.

à savoir : Ces bonbons ont aussi des vertus médicinales grâce aux

pouvoirs des fleurs. Ceux au tilleul seront bon pour la gorge, à la lavande

seront bons pour se détendre, s’apaiser mais aussi pour les rhumes, la fièvre

ou encore les sinusites.

2

mes chers amis,C’est avec émotion que je prends la plume pour ce dernier éditorial mais toujours avec le même plaisir.

Dès mon élection en 1988, j’avais voulu créer cette revue qui était le seul lien entre la fédération et les chasseurs du Département. J’ai souhaité qu’elle soit gratuite afin que chacun d’entre vous la reçoive.

Si aujourd’hui, nous communiquons par internet, et les derniers chiffres montrent que notre site est très fréquenté, ce n’était pas le cas dans les années 80.

Néanmoins, le support papier reste important et permet à tous d’avoir des informations tant sur le plan national que départemental.

Chacun d’entre vous doit être informé de tout. L’administration de la chasse est devenue de plus en plus complexe. Notre activité est confrontée à de nouvelles menaces, la sensibilité animale, les notions de perturbation en l’état de conservations, des menaces sécuritaires avec la Directive armes, sanitaires et structurelles avec la loi biodiversité, la problématique loup très préoccupante.

Vous rendre compte de l’activité de notre service technique est indispensable pour la bonne compréhension des mesures que votre conseil d’administration prend.

Les facettes de votre fédération sont nombreuses. La fédération des chasseurs des Alpes-Maritimes n’est pas une nébuleuse administrative, une organisation de plus, une structure étrangère. Votre fédération c’est vous, tant elle vous ressemble avec vos modes de chasse, vos gibiers, vos particularismes, portés par un tronc commun. C’est vous qui la faites vivre et elle vit pour vous.

Ma longue expérience au plus haut niveau m’a bien montré que sans cette organisation fédérale structurée, reconnue par toutes les instances, nous n’aurions pas la même force de frappe face aux attaques incessantes de nos adversaires.

Aussi, défendez la, soyez critiques pour la faire encore avancer, mais soutenez-la dans l’unité de tous.

Tout au long de ce parcours, durant lequel vous m’avez confié les plus hautes responsabilités dans le domaine cynégétique, je n’ai eu de cesse de défendre notre chasse populaire à laquelle comme chacun de vous ; je suis viscéralement attaché.

A vos côtés, j’ai essayé de moderniser nos structures, de développer les offres de chasse avec notamment les chevreuils et les cerfs dans les années 90 et surtout de démontrer le rôle positif que vous jouez sur le plan économique comme sur celui de la biodiversité.

Si nous avons acquis une certaine reconnaissance sociétale c’est avant tout grâce à votre action sur les territoires et à votre engagement bénévole.

Encore une fois je tenais à vous en remercier du fond du cœur. Sans vous nous ne serions rien.

Je sais que mon successeur aura à cœur de poursuivre ce chemin.

Vous renouvelant mes remerciements pour votre engagement, je vous assure de toute mon amitié et mêmes plus de toute mon affection.

M. Bernard BAuDiNPrésident

CHASSEe n pay s d ’ a z u r n° 59

afaac Entretien et détention d’une meute

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sommaire

CH

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5 7

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1617

18

22comptage de chamois : Recensement dans la montagne du Thiey

éléctions & médaillesAssemblée Générale

bilan dgg

la maladied’aujeszky informations les turdidés

dans les alpes-maritimes

commission lièvre

ball trap

comptabilité Bilan des comptes

n°59

Conception, réalisation et régie publicitaire : SEA’COM - Impression IAPCA - www.riccobono.frCrédits photos : Bernard Bonifassi, Olivier Bayard, F. Vilain et Fotolia

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2022uducr06

& athos

bar sur loup & la trinité

4

Conformément aux statuts de la fédération lors de l’assemblée générale qui s’est tenue le 23 Avril 2016 à Menton la moitié du conseil d’administration a été renouvelé.

Vous avez voté ou votre Président vous a représenté pour élire les membres du conseil d’administration.

Voici la liste des candidats élus ou réélus :

• AuGiER Jean-Marie

• BARBiER Gilbert

• BERENGER Claude

• BONiFASSi Bernard

• CAuJOLLE Jean-Pierre

• GASTAuD Olivier

• GLANiS Sébastien

• LORENzi Philippe

Le mandat du Président Baudin prenant fin le 30 Juin 2016 et celui-ci ayant décidé ne plus se représenter, l’élection du nouveau président de votre fédération aura lieu courant Juillet 2016.

Avant son départ, c’est avec une grande émotion, que notre président Fédéral, M. Bernard BAuDiN, a médaillé les personnes suivantes, toutes passionnées par la chasse :

• AYMAR Henri, Administrateur Fédéral depuis 1988

• FABRON Elie, Chef de battue exemplaire, ancien garde particulier

• GIORDANO Ange, Président de l’Association de Chasse de TENDE depuis 40 ans

• EQUIPE CHASSEURS A L’ARC de l’Association de Chasse de ST CEZAIRE SUR SIAGNE

• LUNGAROTTI Jacqueline, Trésorière depuis des années au sein de l’Association de Chasse de PUGET-THENIERS

• MADINIER Jean-Pierre, Membre de l’Association de Chasse de SOSPEL, et responsable de battue depuis 48 ans

• MARINO Johanna, jeune permis, et membre de l’Association de Chasse de GREOLIERES

• MICHELIS Jean, Ancien Président de l’Association de Chasse de TOUET SUR VAR

• NOEL Roger, Membre de l’AFACCC depuis sa création

• PASTOR Daniel, Vice-Président de l’Association de Chasse de GORBIO depuis de très nombreuses années

• JARDINET Alain, Président de l’Association de Chasse de ST MARTIN VESUBIE

• TRIMARCHI Salvatore, Président de l’Association de Chasse de BAR/LOUP depuis 1995

• ROCCHIA Joseph, Garde Particulier dans les Alpes-Maritimes depuis la création de cette Association

• ROMAN Jean-Claude, Secrétaire de l’Association de Chasse d’ISOLA

• VENET Eugénie, Membre de l’Association de Chasse de GREOLIERES

deparT du presIdenT FederaL M. Bernard BaudIn :A la fin des travaux de notre Assemblée présidée pour la dernière fois par Bernard BAuDiN, c’est avec une grande émotion qu’une carabine lui a été offerte au nom de tous les chasseurs des Alpes-Maritimes. Désormais, il pourra assouvir pleinement sa passion, puisqu’il va avoir un peu plus de temps libre. De plus, ce présent lui permettra de ne pas oublier tous ses amis chasseurs.

éléctions & médailles Assemblée Générale à Menton - 23 AVRIL 2016

résultats des éléctions remise des médailles

5Actualités cynégétiques locales

L’article L426-1 du code de l’environnement précise qu’en cas de dégâts causés aux cultures, aux inter-bandes des cultures pérennes, aux filets de récoltes agricoles ou aux récoltes agricoles soit par les sangliers, soit par les autres espèces de grand gibier soumises à plan de chasse, l’exploitant qui a subi un dommage nécessitant une remise en état, une remise en place des filets de récolte ou entraînant un préjudice de perte de récolte peut réclamer une indemnisation sur la base de barèmes départementaux à la fédération départementale ou interdépartementale des chasseurs.

Lors d’une déclaration de dégâts effectuée par un agriculteur, un estimateur départemental procède à une expertise suivant une méthodologie adaptée à chaque culture afin d’estimer la perte de récolte, la surface à ressemer, ou le remise en état à effectuer. Chaque année un barème d’indemnisation par culture est défini par la commission nationale d’indemnisation. Il est ensuite validé dans chaque département par la commission départementale de la chasse et de la faune sauvage dans sa formation spécialisée indemnisation.

Cette commission présidée par le Préfet est composée des représentants de chasseurs et des agriculteurs.

Sur l’ensemble du département des Alpes-Maritimes le tableau de chasse pour la campagne de chasse 2015-2016 est sensiblement égal à la saison précédente soit 7285 sangliers, 1079 cerfs et biches, 1919 chevreuils, 224 mouflons et 1113 chamois. L’année 2015 a permis de poursuivre les échanges entre les chasseurs et les agriculteurs afin de rechercher l’équilibre le plus satisfaisant.

En 2014/2015 le montant des indemnisations versées aux réclamants s’élève à 112 129 €.

Prélèvements sangliers 1989/2014

Bilan DGG

DGG 1987 à 2015

6 Actualités cynégétiques locales

LA MALADie D’AUJeSZKYinformationUn foyer de maladie d’aujeszky s’est révélé début 2016 sur la commune de Sospel. Cette maladie a été découverte par le Docteur AUJESZKY vétérinaire Hongrois en 1902. La maladie d’Aujeszky est d’origine virale créant une encéphalomyélite amenant rapidement la mort chez le chien ; l’évolution est rapide, l’incubation dure moins d’une semaine.

Les signes sont des démangeaisons violentes, du prurit, quelques fois même des automutilations ; à ce stade la mort intervient sous deux à trois jours. La maladie est toutefois rare chez le chien, mais toujours mortelle.

Les signes cliniques sont ceux d’une encéphalomyélite infec-tieuse, ils font penser à la rage, d’où son nom de pseudo rage.

A ce jour, il n’existe pas de vaccin pour les chiens. La princi-pale mesure à prendre est d’éviter à tout prix de laisser les chiens manger des viscères ou autres restes de carcasses de sanglier.

Le porc et le sanglier sont les hôtes naturels du virus, cette ma-ladie a une incidence souvent mortelle sur les porcelets et les marcassins. Les adultes contaminés sont porteurs sain du virus.

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les turdidésdans les Alpes-Maritimessaison 2015/2016


Les vedettes de cette dernière saison de chasse n’ont pas été «les grives» mais les dispositions prises par votre Fédération, la FRC PACA, la FNC et le «Collectif glue» pour que l’amendement visant à inter-dire les captures de turdidés à l’aide de gluaux, passé en première lecture à l’Assemblée Nationale, soit dans un premier temps rejeté par le Sénat et, dans un deuxième temps, rejeté en deuxième lecture par l’Assemblée Nationale.

Cette ultime étape a vu la mobilisation de l’ensemble des chasseurs faire pression sur la classe politique pour éviter que ne disparaisse cette pratique ancestrale ancrée dans la culture provençale. Le 18 mars dernier l’amendement était rejeté en 2e lecture. Le combat, grâce à l’union dont sait parfois faire preuve le monde de la chasse, est gagné ! Vous pourrez, la saison prochaine, continuer à poser des vergettes...

Comment s’est passé cette première saison où, grâce à l’action de votre Fédération, vous avez pu avoir des attributions sur la base du quota légal de 1000 oiseaux attribués aux Alpes-Maritimes.

Les 41% de réalisation représentent 406 oiseaux soit presque 2 fois plus qu’en 2014/2015 où l’attribution portait sur 561 oiseaux !

Le suivi des espèces prélevées à partir de la saison, où la capture du «merle noir» a été ré autorisée, montre que cette dernière saison a vu un rééqui-librage des prélèvements par espèce avec un seul léger bémol sur la présence de la «mauvis».

évolution des attributions

suivi des réalisations


Dans l’ensemble, mais d’une façon très disparate, octobre est assez bon en par-ticulier dans sa 3ème décade. On voit que ponctuellement il y a eu un passage autour du 1er janvier avec un hivernage qui localement s’est poursuivi durant ce mois. La 2ème décade de février est sans doute la plus homogène de la saison.

Le suivi décadaire des prélèvements permet de comprendre que ce sont les zones où la «litorne» était présente qui ont fait la qualité de certaines décades (3ème de novembre, 3ème de dé-cembre). Le «merle» contribue par une présence importante à la bonne qualité de la 2ème décade de février.Concernant la «mauvis», on la trouve précocement (mais en petit nombre) dès le début de la migration en raison d’un froid précoce en Scandinavie. Hélas le redoux va sévir et la cote Balte, soumise à une douceur climatique pratiquement tout l’hiver, va retenir la majorité des ef-fectifs de cette espèce nordique.

bilan de la saison de chasse

icp décadaire et mensuel dans les am

évolution décadaire

Les prélèvements à la chasse confirment les captures aux gluaux, seule en effet la «mauvis» est légèrement en retrait dans les tableaux de chasse.


prélèvement annuel moyen par chasseur

Malgré un début de saison qui semblait prometteur et des ressources alimentaires bien présentes le chasseur de turdidés des Alpes-Maritimes connaît encore une saison qui si elle n’a pas été médiocre pour tous l’a été pour beaucoup !

Gérard AUROUSSeAUPt du Pôle Relais MigrateurPS – Fin Juin un bilan détaillé complet vous sera proposé sur le site de la Fédération.

Gérard AUROUSSeAU

Pt du "Pôle relais migrateurs"

Le 24 février dernier s'est tenu à Paris, sous l'égide de la FNC, un colloque sur le bilan de 5 saisons de "PMA Bécasse" en France. En préambule il a été confirmé que le PMA bécasse et le CPB n'étaient en aucun cas remis en cause.

Au préalable, un questionnaire portant sur 17 points avait été adressé à toutes les FDC qui avaient droit, pour la réunion du 24/02, à 2 représentants, les Associations spécialisées CNB et BDF étant représentées elles aussi.

Le colloque a réuni 130 participants qui ont été répatis en 5 ate-liers afin de répondre aux questions dont nous avons dégagé les 6 principales avec leur réponse :1. L'estimation nationale des prélèvements par saison vous pa-

rait-elle indispensable ? OUi2. La connaissance du département où s'effectue le prélève-

ment vous parait-elle indispensable ? OUi, mais en restant facultative.

3. La connaissance de la chronologie des prélèvements vous parait-elle indispensable ? OUi

4. Doit-on rechercher une récolte de données la plus importante possible (viser au moins 80%) afin de permettre une extrapo-lation fiable pour les carnets manquants ? OUi

5. Doit-on procéder au traitement des carnets reçus par un échantillonnage et compléter l'information par une enquête téléphonique ou via internet pour les carnets manquants ? NON (mais l'idée n'est pas abandonnée)

6. Le modèle de CPB doit-il être le même pour tous les chas-seurs de France ? OUi

Les réponses apportées vont servir de base de travail au "Pôle migrateurs terrestres" de la FNC présidé par Jean-Roland BAR-RERE. Les résultats de ce colloque vont bien dans le sens suivi par la FDCAM.

Il nous reste à être, comme la loi le prévoit, un peu plus rigou-reux avec les chasseurs qui ne font pas retour de leur CPB.Lorsqu'un chasseur "coche" la demande d'un CPB il s'engage à le restituer dès la fin de la saison, utilisé ou pas. C'est un acte "donnant/donnant". Les déclarations sur l'honneur de perte de CPB ne seront progressivement plus retenues qu'à titre excep-tionnel et par écrit.

à propos de la bécasse


Cette opération a été organisée par la Fédération Départementale des chasseurs des Alpes-Maritimes, en collaboration avec les sociétés de chasse d’Escragnolles et de Saint Vallier de Thiey. Les observations, le jour du comptage, ont été réalisées par les chasseurs locaux, les agents du Service Départemental de Garderie de l’ONCFS et le personnel technique de la FDC 06.La méthode de comptage repose sur des observateurs en poste fixe. La plage horaire de réalisation du recensement est réduite à 2h00 d’observation et centrée sur les premières heures du jour. Cette méthode permet de dénombrer correctement les animaux sans qu’ils soient dérangés par des personnes en déplacement.Le périmètre de la zone comptée reprend le même contour que le précédent dénombrement de 2013 auquel trois secteurs supplémentaires ont été ajoutés pour prendre en compte l’extension possible du chamois sur de nouvelles zones. Les 12 personnes présentent se sont réparties sur les 7 postes d’observations définis.L’aire comptée concerne essentiellement les communes de St Vallier de Thiey et d’Escragnolles, ainsi qu’un petit secteur de la commune d’Andon sur Canaux.Le résultat de ce dénombrement est de 35 chamois. Il était de 40 en 2013. La différence n’est pas assez significative pour attester d’une baisse réelle de l’effectif mais, avec trois années d’intervalle, on espérait mesurer une augmentation du nombre d’individus. Cette opération a révélé, au mieux que l’effectif est stable, au pire, qu’il diminue. Douze chevreuils ont été observés dans le périmètre du comptage contre 15 en 2013. Leur répartition entre les deux opérations est très différente. Si le périmètre dénombré en 2013 n’avait pas été agrandit en 2016, aucun chevreuil n’aurait été contacté.Il faut également noter la présence d’une cinquantaine de chèvres marronnes sur un secteur, ce qui ne représente qu’une fraction de la population établie depuis de nombreuses années dans le grand système des gorges de la Siagne.

Le 19 janvier 2016 se déroulait le second recensement des chamois de la montagne du Thiey, sur les communes d’Escragnolles et St Vallier de Thiey. Le premier avait eu lieu 3 ans plus tôt, en janvier 2013 et avait révélé la présence de 40 chamois sur le site. Le dénombrement de ce petit noyau chamois s’inscrit dans un suivi plus large des populations de chamois sur l’ensemble des préalpes du Cheiron. Le résultat final de ce comptage est de 35 chamois, soit un peu moins que le précédent.

COMPTAGe CHAMOiS

2e recensement des chamois de la montagne du thiey Communes d’Escragnolles et de St Vallier de Thiey

Comparaison des comptages de 2016 et 2013


Cette opération a été pilotée par la Fédération des chasseurs des Alpes-Maritimes en collaboration avec les sociétés de chasse de Daluis, Guillaumes et La Croix sur Roudoule. Les observations de terrain ont pu être réalisées grâce aux sociétés de chasse déjà citées, mais aussi à la mobilisation forte des agents du Parc National du Mercantour, de l’Office National des Forêts, du Service Départemental de garderie de l’ONCFS et de la Réserve Naturelle des Gorges de Daluis.

Méthode :Le comptage a été réalisé depuis des postes fixes entre 7H00 et 9h00 le matin, au moment où les animaux s’alimentent. Cette manière de procéder, qui limite le déplacement des observateurs, limite aussi celui des chamois susceptibles de fuir à l’approche des observateurs mobiles. De plus, l’observation depuis un poste fixe permet de suivre l’évolution spatiale des différents individus ou groupes d’individus et de les discriminer. Les risques de compter deux fois les mêmes animaux en sont fortement réduits.

Quelques chiffres :Ce recensement a mobilisé plus de 60 participants répartis sur 38 postes d’observation et 3 communes. Le dispositif a permis de couvrir 3500 hectares, de contacter 6 chevreuils, 45 cerfs et biches, et de dénombrer 383 chamois.

Le 02 avril 2016 se déroulait le dénombrement des chamois situés entre les gorges de Daluis et le Dôme de Barrot, en rive gauche de la vallée du Haut Var. Cette opération, qui devait initialement être menée au cours de l’automne 2015, avait dû être repoussée au printemps suivant. Le périmètre inventorié concerne une partie des territoires de Daluis, Guillaumes, et La Croix sur Roudoule. Le résultat final de ce comptage est de 383 chamois observés.

dénombrement des chamois de la rive gauche des gorges de daluis Communes de Daluis, Guillaumes, La Croix-sur-Roudoule

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Répartition des observations de chamois


La grande majorité des chasseurs participe au moins occasionnellement à des battues au grand gibier. Ces battues sont réalisées à 95% à l’aide chiens courants ou de petit pied, qui sont des auxiliaires indispensables à la chasse du grand gibier. Sans eux, le résultat serait bien moindre et la chasse bien triste. En effet, le fait d’abattre un animal n’est que la conclusion de l’acte de chasse, et chacun n’a que quelques occasions de tir au cours d’une saison. L’utilisation des chiens permet aux postés d’entendre la chasse et d’y participer même s’ils ne tirent pas. Lorsqu’on entend les chiens, l’adrénaline monte. On interprète leurs récris : ils sont sur le pied, ils ont lancé, ils sont au ferme… Les chiens sont l’âme de la chasse en battue au grand gibier.Avec l’augmentation des populations de cervidés et surtout de sangliers, il est devenu indispensable d’avoir des meutes plus nombreuses, mieux créancées, mieux entretenues, avec des chenils respectant les normes édictées par l’administration. Les chasseurs réalisent-ils tous quel est l’investissement financier et humain qu’engendre la détention d’une meute ? Je n’en suis pas sûr. Je vais donc essayer, en m’appuyant sur les conseils édités par la FACCC, d’expliquer ici quelles sont les contraintes et les coûts que supportent, parfois tout seuls, ceux qui possèdent les chiens qui vous permettent de chasser tout au long de la saison.

Le chenil, Jusqu’à 9 chiens, des règles strictes et clairement établies : La réglementation relative à l’élevage, la garde et la détention des animaux est issue de l’arrêté du 25 octobre 1982, modifié par les arrêtés des 17 juin 1996 et 30 mars 2000. Il faut en retenir l’exigence générale d’un bon état de santé et d’entretien. L’élevage, la garde ou la détention d’un animal ne doit entraîner, en fonction de ses caractéristiques génotypiques ou phénotypiques, ni souffrance évitable, ni aucun effet néfaste sur sa santé (article 2 de l’arrêté du 25 octobre 1982). Cette exigence figure également à l’article L. 214-1 du Code rural, aux termes duquel tout animal doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce. D’une manière générale et indépendamment du nombre de chiens détenus, les règles ci-dessous doivent être respectées.• La mise à disposition d’eau et de nourriture : Le propriétaire,

gardien ou détenteur d’un animal de compagnie ou assimilé doit mettre à la disposition de celui-ci une nourriture suffisamment équilibrée et abondante pour le maintenir en bon état de santé. De même, une bonne réserve d’eau fraîche fréquemment renouvelée et protégée du gel en hiver doit être constamment tenue à la disposition de l’animal dans un récipient maintenu propre.

• L’exigence d’un abri conforme aux besoins de l’animal : Il est interdit d’enfermer un animal de compagnie ou assimilé dans des conditions incompatibles avec ses nécessités physiologiques et notamment dans un local sans aération, sans lumière ou insuffisamment chauffé. L’animal domestique ou assimilé doit disposer d’un espace suffisant et d’un abri contre les intempéries.

• Les caractéristiques de garde et de détention des chiens de chenils : Quelle que soit la taille du chenil, le chien doit disposer d’un enclos approprié à sa taille. Cet enclos ne peut en aucun cas avoir une surface inférieure à 5 m² par

chien. La clôture de l’enclos ne doit pas avoir une hauteur inférieure à 2 mètres. L’enclos doit comporter une zone ombragée. Les niches, enclos et surfaces d’ébats doivent toujours être maintenus en bon état de propreté. Le sol doit être en matériau dur et, s’il est imperméable, muni de pentes appropriées pour l’écoulement des liquides. Les murs et cloisons seront recouverts de matériaux imperméables, durs, résistants aux chocs et à surface lisse sur une hauteur minimale d’un mètre ; l’aire de couchage doit être saine, sèche et sous abri pour les chiens vivant en plein air ; la niche doit être étanche, protégée des vents, de la chaleur et du froid par des matériaux isolants, surélevée du sol et orientée vers le sud ; l’entrée de la niche doit être constituée d’une surface imperméable d’au moins 2 m² ou d’un caillebotis. L’évacuation des excréments doit être effectuée quotidiennement et les locaux doivent être désinfectés et désinsectisés. Dans le cadre de tout projet d’implantation et avant de débuter vos travaux, vous devez impérativement vous mettre en conformité avec les règlements en vigueur.

Vous n’êtes pas soumis à devoir déclarer votre chenil et le respect de ce qui précède vous met à l’abri des tracas les plus essentiels (hors problèmes de voisinage, traités plus bas). Vous pouvez également vous rapprocher de votre mairie et de la Direction Départementale de la Protection des Populations (DDPP) afin de disposer d’informations complémentaires.

De 10 à 49 chiens, les règles sont plus draconiennes : Vous trouverez toutes les informations nécessaires sur le site de la FACCC (Fédération des Associations de Chasseurs aux Chiens Courants).

• Le coût : Il est évident que selon la nature du terrain, les matériaux utilisés, l’implantation en « ville » ou à la campagne, le coût de la création d’un chenil est variable, mais il se monte toujours à plusieurs milliers d’euros.

Pour ce qui est de l’entretien normal d’une meute, les frais sont également importants : Assurance, nourriture, identification, vaccination, anti parasitisme interne et externe, désinfection, frais exceptionnels de vétérinaire pour maladie ou accident, colliers de repérage et de dressage, gilets de protection, la liste est longue et non exhaustive !

AfAAC entretien et détention d’une meute


Pour un chien, on peut estimer à minima la dépense annuelle à : - 300 € de nourriture- 90 € d’assurance- 40 € d’identification (une seule fois dans sa vie)- 40 € de vaccination- 100 € de produits anti parasites (contre vers, puces, tiques,

phlébotomes…)- 30 € de produits désinfectants pour le chenil- 50 € de visite de contrôle vétérinaire- 100 € d’amortissement des colliers de repérage ou de

dressage- 50 € d’amortissement pour un gilet de protectionOn arrive donc, lorsque tout va bien, à 800 € par chien et par an. A cela il faut bien sûr rajouter les frais de vétérinaire lorsque le chien est malade ou accidenté, et en cours de chasse c’est fréquent et parfois très cher. Quant au renouvellement de la meute, un chiot coûte entre 300 et 800 €, et un chien adulte souvent plusieurs milliers d’euros.Je ne peux passer sous silence l’investissement humain, et ce sont des centaines d’heures que demandent toute l’année les soins à nos compagnons.Les propriétaires de meutes sont des passionnés qui ne regardent pas à la dépense, et qui demandent souvent une participation financière minime aux autres chasseurs. Il faut bien être conscient du coût de l’entretien d’une meute. Sans les chiens que serait la chasse au grand gibier ? J’espère que ces éléments provoqueront une réflexion chez chacun d’entre vous. Vous qui renouvelez vos armes, vos optiques, vos

véhicules, pour pratiquer la chasse que vous aimez, sachez que nous, les « traqueurs », nos investissements sont en priorité tournés vers nos chiens, et que toute l’équipe en profite. Chaque « battue » a sa méthode pour aider à l’entretien des chiens : participation journalière, annuelle, ponctuelle lors d’accident... Je ne sais quelle est la meilleure solution. Ce qui est certain, c’est que pour continuer à pratiquer cette chasse collective du grand gibier que nous aimons, qui est inscrite dans nos gènes, il ne faut pas rechigner à mettre la main au portefeuille : les chiens le méritent bien.Je terminerai mon propos en rappelant que la plupart des détenteurs de petites meutes ne sont pas des professionnels. La nouvelle législation sur la vente d’animaux de compagnie ne les aide pas : depuis le 1er janvier 2016, pour vendre un chiot il faut être déclaré. Jusqu’à présent nous pouvions une fois par an rentrer un peu dans nos frais en vendant quelques chiots. Nous n’avons plus le droit. La FACCC mettra un point d’honneur à défendre les particuliers et revenir à une législation plus souple, mais ça n’est pas gagné. En adhérant à l’AFACCC des Alpes du Sud, vous bénéficierez de divers avantages et conseils, vous recevrez une revue spécialisée de grande qualité, et surtout vous participerez à la défense du chien courant : n’hésitez pas à nous rejoindre.

Merci à tous ceux qui nous apportent leur soutien.

iNfOS AfACCC DeS A.S.La FACCC développe les aides qu’elle peut apporter aux chasseurs aux chiens courants, autant dans l’exercice de leur activité favorite que dans les soins aux chiens, leur protection, leur nourriture, leur suivi, leur récupération, la lutte contre le vol, etc …

La dernière innovation concerne une application, sur portable ou pc, qui permet la gestion de la meute, de chaque chien individuellement, de mémoriser des chasses, d’avoir sous les yeux rapidement les principaux textes qui régissent la détention et l’utilisation de chiens courants. D’autres développements sont envisagés…

Pour vous faire une idée, n’hésitez pas à aller sur le site de la FACCC où vous trouverez de nombreux renseignements très utiles, et la possibilité d’adhérer en ligne si vous le souhaitez.

Vous pouvez également me contacter par Mail ou par téléphone pour des renseignements complémentaires.

Guy Maunier, Président de l’AFACCC des Alpes du Sud [email protected] 06 32 27 43 66

Guy Maunier, Président de l’AFACCC

des Alpes du Sud

Possibilité chasse aux sangliers

134, rue Louis Bréa - 06260 LIEUCHE

Pa

rc d’entrainement de chien courant

tél : 04 93 05 00 51 ou 06 18 91 17 86

Parc d'entrainement de chien Lieuche.indd 1 15/05/2015 15:30


PRiNCiPALeS CHARGeS :

• Frais Généraux ................................................................................................................................ 349 004 €

• Charges de personnel .................................................................................................................. 404 118 €

• Cotisations + Subventions ........................................................................................................... 72 321 €

• Travaux aménagements territoire ......................................................................................... 168 800 €

• Indemnisations dégâts ............................................................................................................... 112 126 €

• Clôtures de protection ................................................................................................................. 29 636 €

PRiNCiPAUX PRODUiTS :

• Cotisations (départ. + nation. + Assur + Frais dossier, etc ..................................... 684 802 €

• Cotis. Grand Gibier (départ. + nation + temp + Fonds cynég. national) ....... 279 197 €

• Plan de Chasse ............................................................................................................................... 164 790 €

• Conseil Général (Alcotra inclus) ............................................................................................... 61 064 €

• Divers produits ................................................................................................................................ 148 846 €

Notre principale recette, est la vente de timbres cynégétiques pour un montant de 591 551 €. Cette cotisation représente 67,60 % des recettes du Service Général. Il ressort un excédent global de 202 694 € pour l’exercice 2014/2015 sur nos deux entités « Service Général + Service Dégâts de Grand Gibier »

Cette année encore, notre Fédération a décidé de ne pas augmenter les cotisations fédérales ( Timbre Petit et Grand Gibier ). Les prix restent inchangés, soit :• 76 € pour le timbre cynégétique• 36 € pour le timbre grand gibier

Les deux budgets sont présentés équilibrés, malgré une baisse prévue de 3 % des chasseurs, pour un montant de :• 766 840 € pour le Service Général• 515 347 € pour le Service Grand Gibier

Notre Fédération continue de favoriser une aide aux Associations de Chasse pour des travaux d’aménagements sur leur territoire de chasse. Un montant de 148 500€ est alloué à ce poste.

COMPTABiLiTéBilan des comptes du service« Général et Service dégats de grand gibier »

exercice 2014/2015

budget previsionnel 2016/2017 pour le service général et dégats de grand gibier


Un bémol sur les sociétés de Duranus et de Daluis, où une légère baisse a été constatée.

Sur St Antonin, les chasseurs nous ont fait part de leurs difficultés pour trouver des zones à débroussailler car beaucoup d’entre elles sont privées et ils essuient souvent un refus des propriétaires.

Il est à rappeler qu’outre l’effet bénéfique du débroussaillage sur le petit et grand gibier, les ouvertures des milieux permettent le maintien d’une biodiversité en fleurs et insectes indispensables à l’équilibre des espaces naturels.

Sur la même zone, des cas d’empoisonnement du gibier dus à certaines cultures sont à déplorer.

Il serait utile dans des cas similaires, de recueillir les animaux afin d’établir un diagnostic fiable. Les renseignements peuvent être demandés à la fédération.

Sur Blausasc, il est à noter la volonté d’interdire la chasse du lièvre au chien d’arrêt.La question de cette interdiction nous ramène à l’éthique cynégétique et aux diverses pratiques de chasse sur petit et grand gibier.

Le chien courant est l’essence même de cette chasse. Sans lui, point de longue recherche, de levée ni de menée si sonore et captivante. Ce gibier prestigieux mérite mieux que d’être tiré à quelques foulées de son gîte, sans lui offrir une chance par ses ruses de déjouer nos chiens.Pourquoi tirer une perdrix ou un tétras, s’il n’est pas trouvé par un chien d’arrêt qu’une sélection séculaire à spécialisé ?Se priver dans les deux cas de ce travail remarquable est regrettable.

Vers 20h00, notre président Jean Pierre Squiri a clôturé la séance.

Le lièvreCOMMiSiON LièvRe

Le Jeudi 11 février s’est tenue une réunion de la commission lièvre afin de dresser le bilan de la saison de chasse 2015-2016.

Etaient présents des représentants des associations de chasse du haut et du moyen pays : Beuil, Blausasc, Vence, Belvedère, St Antonin, Duranus, Daluis, Levens, Les Ferres, Roubion et Tende.Cette représentation de la diversité des lieux et des altitudes, nous permet d’avoir un aperçu de la dynamique des populations de lièvre sur le département et de connaitre le ressenti des chasseurs sur chaque territoire.

D’une manière générale, la saison écoulée fut satisfaisante avec du lièvre en nombre suffisant.Le tableau de prélèvement est le suivant : 802 lièvres communs et 28 lièvres variables.

Prélèvements lièvres communs de 2002 à 2015Prélèvements lièvres variables de 2002 à 2015


BALL TRAPun chasseur des alpes maritimes sélectionné en eQuipe de franceQuand on est tireur de ball-trap de fosse universelle et chasseur, Il y a une compétition à ne pas manquer : c’est la Sélection Nationale. Elle permet l’obtention du fanion club France et l’accès à l’équipe de France de ball-trap.Pour participer à la Sélection Nationale, les tireurs doivent au préalable effectuer les pré-sélections. La France est divisée en 4 zones, un quota de tireurs par zone est retenu. Il est composé généralement de 24 séniors, 8 vétérans, 6 supers vétérans, 4 dames et 4 juniors.Le week-end du 14 au 15 mai, 4 chasseurs des Alpes-Maritimes qui avaient leurs billets pour la sélection, se sont retrouvés à Lezoux en Auvergne pour en découdre avec les autres tireurs Français.Pascal Zauri et moi-même en catégorie séniors et Walter Raso et Gérard Fougereit en catégorie vétéran. Après 3 jours de compétition avec des conditions climatiques catastrophiques, pluie, froid, humidité, notre ami chasseur d’Auribeau sur Siagne, Walter RASO décroche non seulement une 3ème place en vétéran, mais avec un score de 187/200. Il décroche également une place en équipe de France pour les championnats d’Europe en Hongrie.Pouvoir représenter son pays ainsi que le département des Alpes-Maritimes dans une compétition internationale est une consécration et l’aboutissement d’une vie de tireur et de chasseur.Je te félicite pour cet exploit sportif, et j’invite tous les chasseurs à s’entrainer régulièrement pour apprendre à maitriser leurs armes en toute sécurité.

Jean-Louis TOfANeLLi


06 08 07 89 78 - 06 73 97 47 73

LA CROIX SUR ROUDOULE

25 & 262016A partir de 9 heures

Organisé par la société de chasse

é

JUIN

INSCRIPTION & LICENCE SUR PLACE

RESTAURATION &

BUVETTE

BALL-TRAP

Organisé par la Société de chasse de PEILLE De 9 h à 20 h - Tir loisirs 6 € - Concours 30 €

Vente cartouches « Trap » Licence à prendre sur place

Renseignements et inscriptions au 06.27.35.49.49 Buvette et snack sur place

6 et 7 aout 2016


Nous sommes volontiers intervenus en recherche sur votre commune pour la saison 2015-2016 qui vient de s’écouler. Notre but étant toujours d’aller jusqu’au bout et d’en donner les moyens à nos conducteurs, vous trouverez ci-contre un bulletin d’adhésion pour vous permettre d’adhérer à notre cause. Nous comptons pour la saison à venir sur votre soutien !

En attendant vos appels pour effectuer vos prochaines recherches, voici un petit bilan de la saison écoulée.

• 16230 Kilomètres parcourus sur 259 interventions.

• Sur 259 interventions 16 contrôles, 208 interventions sur animaux blessés à l’arme à feu et 35 interventions sur animaux blessés à l’arc.

• 126 réussites et 117 échecs

• Nous devons noter également 5 recherches sur loup avec 2 réussites.

UDUCR 06Union Départementale pour l’Utilisation de Chiens de Rouge Des Alpes-Maritimes(Association déclarée, à but non lucratif)

statistiQues à l’arc : saison 2015/2016

statistiQues armes à feu : saison 2015/2016

athosLe samedi 28 novembre 2015 Athos est parti victime de la charge d’un sanglier. Durant sa courte vie il avait effectué 203 recherches pour 89 réussites, 92 échecs et 22 contrôles de tir. Merci à tous les chasseurs qui lui ont fait confiance pour leurs recherches. Athos repose maintenant dans mon jardin à l’endroit même où il aimait dormir au soleil.

En souvenir d’Athos,

Thierry DELOOSE


UDUCR 06Union Départementale pour l’Utilisation du Chiens de Rouge Des Alpes Maritimes(Association déclarée, à but non lucratif)

Vous voulez nous soutenir : Adhérez à : l’Union Départementale pour l’Utilisation de Chiens de Rouge des Alpes-Maritimes

REMPLIR L’IMPRIME CI-DESSOUS----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- UDUCR 06

BULLETIN D’ADHESION

Association ou Nom :

Adresse :

Code Postale : Ville :Adresse mail :Tél :

MONTANT DES COTISATIONSAssociation communale de chasse : 50 Euros sans revue 75 Euros avec revueAssociation spécialisée : 50 Euros sans revue 75 Euros avec revueMembre individuel : 35 Euros Conducteur agréé : 25 EurosMembre bienfaiteur : (à discrétion)

Chèque libellé à l’ordre de : UDUCR 06A adresser à : Mr Jean-Claude MANGIN 724, route du Bertrand 06500 CASTELLAR

MERCI POUR VOTRE AIDE ET VOTRE SOUTIENPOUR UNE CHASSE PLUS RESPONSABLE !

COOPÉRATIVE Agricole DE NICE

1726, Route de la Grave 06510 CARROS (face aux pompiers)Tél. : 04 92 08 66 40 - Fax. : 04 92 08 66 49

199, Route de GrenobleBox M.I.N Fleurs - 06200 Nice

Tél. : 04 93 83 24 65 - Fax. : 04 93 21 96 93

*Prix

pou

r l’a

chat

d’u

ne p

alet

te m

inim

um

Maïsles 25 kg

Protection Électrique • Grillage de protectionOffre Spéciale cHaSSe

25/10 Everydayles 20 kg

30/14 Performanceles 20 kg

centre Méditerranéen d’agriculture

14,75e TTC* 9,00

e TTC* 17,95e TTC*


L’association de chasse de BAR SUR LOUP au travers de son équipe de battue fête et met à l’honneur les anciens du village en leurs offrants une daube de chevreuil, la municipalité s’est associée au projet en offrant l’apéritif et le vin. 70 anciens sont venus avec la présence de Monsieur le Maire Richard RIBERO.

Pendant et après le repas un animateur du village a raconté des histoires, fait chanter nos anciens et cette manifestation s’est terminée par quelques pas de danse.

ASSOCiATiON De CHASSede Bar sur Loup

Dans le cadre de travaux consistant à regrouper les eaux issues des exutoires situés à l’aval de l’autoroute A8 et à les acheminer jusqu’au vallon de Laghet par un canal à ciel ouvert 5 passages à faune ont été également réalisés pour permettre à la faune sauvage de franchir cet immense chenal.

Situé sur l’A8, entre les diffuseurs de Nice Est et de La Turbie, sur la commune de La Trinité, sur le secteur de La Borne Romaine ces passages à faune ont été réalisés en étroite collaboration avec l’association de chasse de la Trinité/Eze, la fédération des chasseurs des Alpes-Maritimes et de la société Escota.

ASSOCiATiON De CHASSe De LA TRiNiTé/èZe

22 Du côté des associations

Merci à la classe de CM1/CM2 de l’école de Clans !

Il y quelques temps notre équipe avait été sollicitée par la directrice de l’école primaire de Clans qui nous demandait s’il nous était possible de fournir quelques parties d’un animal prélevé à la chasse dans le but d’illustrer un cours de science.

La directrice de cette école n’est autre que notre sympathique et charmante collègue, Amélie Golias, qui nous fait parfois l’honneur et le plaisir de partager avec nous un moment de convivialité en participant à une battue au sanglier, soit en suivant le rabatteur soit en restant sagement au poste avec un chasseur. La partie de chasse terminée elle déjeune avec nous et nous régale d’une de ses préparations sucrées et chocolatées.

Notre équipe avait promis d’accéder à sa demande, et sur les premiers animaux tirés nous avons récupéré les cœurs, poumons et autres parties que leur maitresse leur a fait disséquer pour illustrer d’une manière pratique un cours de biologie.

Ces sympathiques classes de CM1/CM2 nous ont fait le plaisir de nous envoyer une photo de leur groupe en y ajoutant un petit mot de remerciement. Sachez, jeunes garçons et jeunes filles que c’est nous qui vous remercions de votre charmante attention et que nous n’oublierons jamais ce geste qui est assez rare chez des enfants de votre âge.

Jean-Louis Brémond

23Du côté des associations

L’assureur des chasseurs GAN Assurances Pascal MOYSE Agent Général N° ORIAS 07015169 BP13 25800 VALDAHON 03 81 25 01 10 03 81 47 23 28 mail : [email protected]

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- Votre chien assuré à partir de 35 €* - Votre abri de chasse à partir de 125 €

- Responsabilité Organisateur de chasse (ACCA, société de chasse, chasse privée, etc…)

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* Tarif pour un chien sans pédigrée ne chassant pas le grand gibier

CHASSE - fdc06.fr · Crédits photos : Bernard Bonifassi, Olivier Bayard, F. Vilain et Fotolia 6 8...

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