Charles Hall - « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

14
« les Grands Blancs », des aliens rencontrés par Charles Hall Charles HALL explique pourquoi il peut en parler sans risques … Voici un cas surprenant de contacts allégués entre une espèce particulière de visiteurs extraterrestres, surnommée « les Grands Blancs », et des militaires américains (de la Base Nellis de l’US Air Force). 1. L’interview de Charles Hall par Michael Salla : Alors qu’il occupait un poste d’observateur météo au Nevada sur la Base Nellis de l’ US Air Force, au milieu des années 1960, Charles James Hall aurait eu des contacts avec des extraterrestres « non-humains », nommés les « Grands Blancs », qui y auraient séjourné et effectué, avec les militaires, des transferts de technologie. Son expérience a été consignée dans les quatre tomes d’un ouvrage, « Millennial hospitality » (le quatrième tome étant paru en octobre 2007). Il a attendu que ses enfants aient grandi et soient devenus indépendants pour raconter son expérience avec ces humanoïdes de grande taille, à la peau blanche et crayeuse et aux grands yeux bleus en amande. Suite à la parution du livre en 2003, il a accordé une interview à Michael Salla (2004) et au journaliste « Karma One » (2005). L’interview de Michael Salla a été publiée dans le n° 38 de la revue « Nexus » (mai-juin 2005). Charles Hall est titulaire d’une licence en physique (1972) et d’une maîtrise en physique appliquée (1973) de l’Université d’Etat de San Diego (Californie), ainsi que d’une maîtrise de gestion de crise décisionnelle (1983) de la“Nova University” de Fort Lauderdale (Floride). Il a plus de dix-huit années d’expérience en conception de logiciels et plus de neuf années d’expérience en conception/création de sites Internet, incluant ceux destinés à usage militaire et gouvernemental. Il a aussi dix-huit années d’expérience en analyses scientifiques dans le domaine nucléaire. Il dispose d’une autorisation d’accès à un niveau secret du Département américain de la Défense. Il avait initialement qualifié son livre de fiction afin de se protéger, ainsi que ceux qui travaillaient avec lui. Il a changé les noms, plusieurs noms ayant été modifiés à la demande des intéressés. Il consignait l’essentiel dans un registre, et pour écrire son livre il s’est surtout fié à ses souvenirs.

Transcript of Charles Hall - « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

Page 1: Charles Hall  -  « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

« les Grands Blancs », des aliens rencontrés par Charles Hall

Charles HALL explique pourquoi il peut en parler sans risques …

Voici un cas surprenant de contacts allégués entre une espèce particulière de visiteursextraterrestres, surnommée « les Grands Blancs », et des militaires américains (de la Base Nellis del’US Air Force).

1. L’interview de Charles Hall par Michael Salla :

Alors qu’il occupait un poste d’observateur météo au Nevada sur la Base Nellis de l’US Air Force,au milieu des années 1960, Charles James Hall aurait eu des contacts avec des extraterrestres «non-humains », nommés les « Grands Blancs », qui y auraient séjourné et effectué, avec lesmilitaires, des transferts de technologie. Son expérience a été consignée dans les quatre tomes d’unouvrage, « Millennial hospitality » (le quatrième tome étant paru en octobre 2007).

Il a attendu que ses enfants aient grandi et soient devenus indépendants pour raconter sonexpérience avec ces humanoïdes de grande taille, à la peau blanche et crayeuse et aux grands yeuxbleus en amande.

Suite à la parution du livre en 2003, il a accordé une interview à Michael Salla (2004) et aujournaliste « Karma One » (2005). L’interview de Michael Salla a été publiée dans le n° 38 de larevue « Nexus » (mai-juin 2005).

Charles Hall est titulaire d’une licence en physique (1972) et d’une maîtrise en physique appliquée(1973) de l’Université d’Etat de San Diego (Californie), ainsi que d’une maîtrise de gestion de crisedécisionnelle (1983) de la“Nova University” de Fort Lauderdale (Floride). Il a plus de dix-huitannées d’expérience en conception de logiciels et plus de neuf années d’expérience enconception/création de sites Internet, incluant ceux destinés à usage militaire et gouvernemental. Il aaussi dix-huit années d’expérience en analyses scientifiques dans le domaine nucléaire. Il disposed’une autorisation d’accès à un niveau secret du Département américain de la Défense.

Il avait initialement qualifié son livre de fiction afin de se protéger, ainsi que ceux qui travaillaientavec lui. Il a changé les noms, plusieurs noms ayant été modifiés à la demande des intéressés. Ilconsignait l’essentiel dans un registre, et pour écrire son livre il s’est surtout fié à ses souvenirs.

Page 2: Charles Hall  -  « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

Les “Grands Blancs” parlaient très peu. Les individus masculins ne parlaient presque pas, alors queles femmes G. B. étaient plus bavardes. S’ils ne portaient pas leur équipement de transmission, lesG. B. ne communiquaient pas du tout.

Pendant la période 1965-1968 il tenta de raconter ses expériences. Lorsqu’il a disposé d’untraitement de texte, en 1985, il a commencé à taper ses textes et à les enregistrer sur disquettes.L’essentiel du livre a été en chantier de 1985 à 2002, et l’édition définitive a été réalisée entre fin2002 et fin 2003.

Il n’a jamais pris de photos des G. B. car il aurait été imprudent de le faire. Il se souvient cependantavoir vu des photos de G. B., qui lui avaient semblé authentiques, dans un livre de poche publié audébut des années 1990. Elles avaient été prises par une mère au foyer qui se rendait à Albuquerqueau Nouveau-Mexique. Alors qu’elle attendait au bord d’une grande route, elle vit passer un véhiculede reconnaissance et prit six photos de G. B. qui mesuraient deux mètres de haut. On suppose que,sous couvert de cette histoire, il s’agissait de l’expérience d’un militaire qui aurait pris les photos etles aurait envoyées à cette femme. Mais il ne se souvient pas du nom de l’auteur.

En tant qu’observateur météo Charles Hall n’a jamais été dans l’obligation de prêter serment desilence. Les ordres qu’il recevait étaient classifiés, mais pas ses activités. Cette décision avait étéprise, dit-il, par un comité qui incluait les G. B. et certaines personnes du Pentagone. Il étaitthéoriquement libre de communiquer avec les G. B. sans avoir à le rapporter systématiquement.

Les généraux américains étaient prêts à tout pour obtenir des transferts de technologie. SelonCharles Hall ils ont même autorisé les G. B. à tuer les militaires qui les insulteraient, lesmenaceraient ou leur feraient du tort.

« Dans son livre il décrit un incident au cours duquel un militaire, ayant bruyammentinvectivé un enfant de G. B., dût plaider pour sa vie. La seule raison pour laquelle les G. B. nele mirent pas à mort fut, selon Charlie, l’intervention d’un G. B. masculin auprès de la femmeG. B. qui argua que, puisque le militaire n’avait pas touché à l’enfant, les générauxaméricains ne comprendraient pas pourquoi elle aurait tué l’inculpé. Charlie affirmecependant que les généraux étaient prêts à sacrifier des subalternes à la vindicte des G. B.plutôt que de voir entravé l’échange de technologies. » (Michael Salla)

En septembre 1965 un incident s’est produit près de la montagne à Indian Springs où les G. B.avaient leur hangar principal. Les G. B. avaient été pris pour des moutons ‘‘bighorn’’ par deuxchasseurs qui avaient loué des chevaux avec l’intention de ramener un trophée du désert. Les deuxhommes s’étaient séparés et l’un d’eux a tiré sur un enfant de G. B. Les G. B. l’ont attrapé et remisaux gardes militaires humains. Ceux-ci l’ont exécuté et ont fait croire à un décès accidentel. Puis lesgardes ont retrouvé le deuxième chasseur, l’ont passé à tabac et l’ont mis au trou pendant environsix semaines.

Habituellement, si on ne blessait personne, qu’on n’était pas armé et qu’on se comportait en simplerandonneur, les G. B. n’intervenaient pas. Ils ne tuaient que s’ils étaient menacés. Leur doctrineétait : ‘‘Œil pour œil, dent pour dent’’. Si on ne faisait rien pour les effrayer ou les agresser, « aupire ils effarouchaient pacifiquement les intrus pour les éloigner ».

Les généraux auraient fait n’importe quoi pour entretenir de bonnes relations avec les G. B., afind’obtenir leur technologie. Ceci fut corroboré par une conversation que le G. B. « instructeur » eutun jour avec Charles Hall. Les généraux américains ne s’opposaient pas à ce que les G. B. tuent desmilitaires qui auraient causé du tort à l’un de leurs enfants.

Les G. B. échangeaient des technologies tels que des systèmes de communication, mais rien de cequi concernait les vitesses « supraluminiques ».

« Ils aidaient au développement de véhicules à propulsion nucléaire, mais pas à celui desystèmes de propulsion pour le voyage spatial. Ils ne partageaient pas avec les généraux leurstechnologies ”antigravité” destinées à l’espace.

Page 3: Charles Hall  -  « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

Les généraux américains les accompagnaient parfois dans leurs véhicules de patrouille dont latechnologie était donc partagée, puisque ces véhicules étaient construits sur Terre avec nosmatériaux et l’aide des militaires US. Les G. B. assistaient parfois à des réunions secrètes etparticipaient à des recherches de technologie. » (Michael Salla)

Alors que Charles Hall était en train de lire l’histoire de la colonisation de l’Ouest, dans la région dela Vallée de la Mort et d’Indian Springs, il avait reçu des images mentales de G. B. dépeignant ce qui s’était réellement passé à l’époque dans cette région.

Les plus anciennes informations concernant la présence de G. B. dans la région de Nellis datent del’année 1954, mais ils étaient sans doute déjà là auparavant. On l’a informé que Pamela, une femmeG. B., était née dans la région d’Indian Springs à l’époque de James Madison, le quatrièmePrésident américain (1809-1817). Les G. B. apprécient ce lieu pour la chaleur de son climat.

- Les G. B. utilisent la Terre comme base pour leurs longs voyages spatiaux. Ils se servent de cettebase pour réapprovisionner et réparer leurs vaisseaux. Etant donné que des vaisseaux arrivaient etrepartaient avec régularité, Charles Hall en a déduit qu’il s’agissait de transports commerciaux.

- Les G. B. ont une longévité dix fois supérieure à la nôtre. Mais ils mettent dix fois plus de temps àguérir de leurs blessures et maladies. Ils ont observé attentivement Charles Hall lorsqu’il s’est remisd’une légère lésion en une journée, et ils ont été abasourdis de voir à quelle vitesse il pouvait guérir.

- Les G. B. possèdent une arme en forme de stylo qui peut provoquer une vive douleur, le sommeilou la mort.

Charles Hall raconte qu’un jour un garde de la CIA, qui aidait une femme G. B. à monter lesmarches du bâtiment du Congrès, l’a heurtée par inadvertance. Elle l’a menacé, « à tel point qu’ildût plaider pour sa vie ».

Cette « arme-stylo » peut être utilisée pour stimuler les fréquences des atomes de calcium présentsdans l’organisme, ce qui provoque de vives sensations de brûlure, tout en ne brûlant pas vraiment.Lorsque cette arme est réglée pour agir sur l’iode, elle peut causer des hémorragies mortelles. C’estcomparable, dit Charles Hall, à ce que fut la grande peste noire, lorsque les gens saignaient à mortparce que leurs artères affaiblies devenaient poreuses.

Lorsque l’arme est réglée pour stimuler les fréquences des atomes de sodium, elle provoque unedécharge nerveuse extrêmement douloureuse, et réglée à forte puissance elle entraîne la mort. Lastimulation des atomes de calcium donne le résultat inverse : calme, relaxation, sommeil, etc., parceque cela détend les nerfs. Quant à l’action sur les atomes d’iode, cela provoque la mort parhémorragie interne, par suite de modifications chimiques qui rendent poreuses les parois des artères,le sang se répandant dans les tissus environnants, puis dans l’organisme ainsi que dans la glandethyroïde.

- Les G. B. rencontrés par Charles Hall étaient d’humeur instable, passant sans transition de l’amitiéà l’hostilité.

« Suite à un malentendu décrit dans son livre, Charles fut atteint par l’arme-stylo réglée surl’iode. Il eut une hémorragie interne. Il se souvient qu’une femme G. B. amicale s’approchaalors de lui et se mit à exécuter une sorte de danse gracieuse autour de lui. » (Michael Salla)

Cette jeune femme G. B. était « probablement comparable » à une jeune fille humaine de 19 ans.Elle mesurait 1 mètre 78 – 1 mètre 80. Elle avait un compagnon masculin qui, pense Charles Hall,devait être son frère, car ils se comportaient comme des jumeaux.

« Entre elle et moi il n’y avait aucune crainte. Souvent, le soir, lorsque je préparais lesballons-sondes pour le lendemain, elle venait se placer près de moi, à côté ou légèrement enarrière. Elle s’approchait souvent à portée de mon bras sans montrer la moindre frayeur ; etcette confiance était réciproque. Par contre son frère était visiblement craintif et gardaittoujours ses distances (15 à 20 m). Manifestement je ne lui déplaisais pas, mais il restait

Page 4: Charles Hall  -  « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

méfiant. Par exemple il ne me tournait jamais le dos lorsqu’il se trouvait à moins de 30 m. »(C. Hall)

Les G. B. ont des tempéraments et des personnalités très différents des nôtres. Un général G. B. nesupportait pas la moindre contradiction « et pouvait devenir cruel dès qu’il ne se sentait pas obéi audoigt et à l’oeil ». Par contre le médecin G. B. était très amical et acceptait les contacts rapprochés.Le capitaine G. B. ne s’approchait des humains que lorsque c’était absolument nécessaire.

Après avoir été affecté au Vietnam en 1967, Charles Hall n’a plus eu de contact avec les G. B.

En 1965 des généraux américains firent visiter aux G. B. les quartiers où Charles Hall logeait. Il sesouvient que les généraux proposaient aux G. B. de les faire accompagner par des officiers à bordde leurs vaisseaux de reconnaissance. Les généraux américains envisageaient l’accompagnement,par deux jeunes officiers, de G. B. dans leur véhicule spatial « long courrier », un engin de couleurnoire, avec pour objectif de rejoindre une étoile proche. Charles Hall a vu des généraux américainsembarquer et débarquer, avec leurs homologues G. B., de leurs véhicules de patrouille qui étaient,eux, de couleur blanche.

Il a passé un accord avec les G. B. Il avait été convenu que jamais ils ne s’approcheraient de luisubrepticement, afin de ne pas l’effrayer, et il leur avait promis la réciproque.

Michael Salla, qui a interviewé Charles Hall le 2 décembre 2004, a trouvé ce dernier crédible etconvaincant. Le témoin s’est montré sincère. Michael Salla précise que les G. B. firent clairemententendre que seules certaines catégories de technologies seraient échangées, et que celles quiconcernaient les voyages spatiaux seraient exclues de cet échange. Selon Charles Hall ces échangesconcernaient la construction des véhicules patrouilleurs utilisés par les G. B. (1)

2. La contribution de « Karma One » :

« Karma One » (un pseudonyme, bien sûr) précise que les « Tall Whites » sont des humanoïdes degrande taille (minimum 1 mètre 80 à 2 mètres pour les plus jeunes individus, bien plus grands pourles plus âgés) à la peau très blanche et crayeuse.

« Ils ont une longévité étonnante par rapport à nous puisqu’ils atteignent les 800 ans. SelonCharles Hall c’est justement dans la seconde phase de leur existence, lorsqu’ils deviennentplus âgés, qu’ils se mettent à véritablement grandir, atteignant des tailles assez exceptionnellesselon nos critères. Par contre un observateur aurait du mal à distinguer un enfant “TallWhite” d’un enfant humain. Ils ont un visage qui pourrait ressembler aux nôtres, si ce n’estque les “Tall Whites” sont dotés de grands yeux bleus, bien plus larges que les nôtres puisqueleurs limites dépassent la frontière temporale, les orbites se poursuivant un peu en dessous deslobes temporaux. Ils sont minces, portent des cheveux courts, blonds, un corps apparemmentbien proportionné. La principale différence entre eux et nous réside dans leurs mains quin’ont pas de pouces opposables d’une part. D’autre part ils ont 4 doigts qui, au lieu de seterminer par des ongles, se terminent par des pinces. Les femmes ont des traits fémininsdistinctifs semblables aux femmes humaines. Elles ont des cheveux courts. Ils sontgénéralement vêtus de combinaisons très moulées, argentées, et qui émettent une lumièrevariable qui peut être parfois très éblouissante. Ils ont des capacités de lévitation, sans doutegénérée par un équipement logé dans leur combinaison, ainsi que le pouvoir de créer autourd’eux une sorte de champ magnétique ”isolant” qui les protège d’éventuels projectiles commedes balles de fusil ou des pierres qui leur seraient lancées. Ils peuvent courir et dépasser les 60km/h, ils sont physiquement très forts. Lorsqu’ils communiquent entre eux ils émettent dessortes d’aboiements et de sifflements. Ils ont des capacités télépathiques grâce à un dispositiftechnologique et sont capables de parler notre langage et de nous comprendre, sans douteégalement par le biais d’une technologie. » (Karma One)

Comment Charles Hall les a-t-il rencontrés ? Entre 1965 et 1967 ce spécialiste en météorologie, quiest ensuite devenu ingénieur nucléaire pour une firme à Albuquerque au Nouveau-Mexique, avait

Page 5: Charles Hall  -  « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

été assigné comme observateur météo par l’US Air Force sur l’immense base de Nellis dans leNevada.

La base de Nellis est vaste comme un petit pays, « sans doute comme la Suisse, et regroupe en sonsein plusieurs ‘‘sous bases’’, à savoir différentes zones d’essais pour l’artillerie, les simulations decombats aériens et de bombardements, ainsi que pour les essais des fameux ‘‘black projects’’, cesarmements ultrasecrets, principalement des avions et autres appareils furtifs aux performances trèsconfidentielles ». C’est sur la base de Nellis, principalement au nord-est, que se situe lafameuse Area 51, la Zone 51 de Groom Lake.

Gerry Zeitlin (www.openseti.org) a envisagé de publier sur CD Rom, puis dans un livre, des rendusen trois dimensions des vaisseaux spatiaux des “Tall Whites” ainsi que de leurs installations.

« Charles Hall succédait, nous raconte-t-il, à une longue liste de ses prédécesseurs quis’étaient soit enfuis, soit avaient craqué nerveusement, ou étaient tout simplement décédéssuite à leurs interactions avec cette étrange race d’extraterrestres dont le moins que l’onpuisse dire est qu’ils peuvent se montrer très agressifs et assez radicaux dans leurs moyens dedéfense, n’hésitant pas à tuer un être humain s’ils se sentaient en danger. Hall était contraintde séjourner de très longues périodes seul dans ce magnifique et inhospitalier désert, installédans un bunker niché entre les rochers arides, ocres, jaunes et blancs, les couleurs principalesque l’on retrouve dans cette région. Etant donné que la tâche principale de Hall est deprendre des séries de mesures météo et d’observer les formations nuageuses pour le comptedes exercices d’artillerie de l’Air Force, l’intéressé passait beaucoup de temps à se baladerdans la zone avoisinant son baraquement “bunker” et à regarder le ciel. Il ne pouvait pasmanquer de voir les nombreuses activités, souvent nocturnes, parfois diurnes, de ces êtresétranges qui se déplaçaient dans des appareils ne ressemblant en rien aux modèles militaires.Souvent, les soirs de pleine lune, il pouvait apercevoir clairement les allers et venues devaisseaux spatiaux de petite et moyenne taille emportant des Tall Whites parfois accompagnésde hauts gradés (des généraux) de l’Air Force. Il était également témoin de regroupements deces vaisseaux, parfois plusieurs dizaines (jusqu’à 75), sur une zone d’atterrissage bordant lesportes d’un hangar bunker installé à flanc de montagne. » (Karma One)

- Les vaisseaux des « Tall Whites » :

Charles Hall a noté que les “Tall Whites” disposaient de trois types de vaisseaux :

• Un petit vaisseau “éclaireur” (“scout craft”) de portée moyenne.

• Un vaisseau de taille moyenne.

• Un vaisseau “mère” de grande taille, conçu pour voyager sur de très longues distances.

Selon Charles Hall ces derniers vaisseaux (« deep space craft ») auraient 150 mètres de long, 90mètres de large et 21 mètres de haut. Il affirme que ces vaisseaux sont dotés de moyens depropulsion basés sur l’anti-gravité et qu’ils peuvent se déplacer plus vite que la vitesse de lalumière.

Les vaisseaux des “Tall Whites” ne présentent pas les caractéristiques classiques des disquesvolants ou des triangles noirs.

Le « scout craft » est une sorte de quadrilatère ayant une forme générale “elliptique” sans angles niarrêtes, puisque tous les “bords” du vaisseau seraient “arrondis”.

Dans un texte de Michael Salla on évoque, sur la base des propos de Charles Hall, une forme quis’apparente à un bus volant avec des fenêtres dans le poste de pilotage, ainsi que des hublots.

- Les « Tall Whites » sont-ils violents ?

De temps à autre ces curieux individus, surtout leurs enfants, s’intéressaient à Charles Hall, etl’approchaient de très près. Il raconte avoir éprouvé des états de terreur sans nom et sans limite.

Page 6: Charles Hall  -  « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

C’est sans doute, écrit Karma One, ces réactions de panique et de fuite des collègues de CharlesHall qui ont poussé des “Tall Whites” à interpréter ces comportements comme une agression. D’oùles “accidents”. Vous auriez beau vous y préparer, l’angoisse est bien plus forte, explique CharlesHall.

Il y a les rumeurs selon lesquelles plusieurs membres de l’Air Force, dont des observateurs météo,ont été tués par ces créatures plutôt effrayantes. Charles Hall explique en détail dans un de ses livresqu’il a été aussi victime de brutalités de la part des “Tall Whites” et que c’est par miracle qu’il afinalement survécu.

« Ce serait justement sa volonté de survie, le strict respect des distances (surtout à l’égard desenfants Tall Whites) et des procédures de prudence, ainsi que son acharnement à rester à sonposte, qui finirent par le faire respecter par les Tall Whites. Selon Hall ces créaturesextraterrestres sont très sensibles à la hiérarchie et se montrent d’autant plus courtoises avecles généraux et hauts gradés de l’Air Force qu’elles se montrent dédaigneuses et méprisantes àl’égard des subalternes. Hall affirme avoir été en quelque sorte “adopté” par ces créaturesparce qu’un de leurs “hauts gradés”, surnommé le professeur, apparemment la responsabledes programmes de recherches et d’enseignement de la communauté, s’intéressait à lui. Pourquelle raison Hall faisait l’objet de cet intérêt, l’intéressé est incapable de répondre à cettequestion. » (Karma One)

- Autres éléments d’information :

Charles Hall a pu observer de très près certaines activités des « Tall Whites », comme la réparationde certains vaisseaux, et certaines procédures d’atterrissages que même les hauts gradés de l’AirForce n’étaient pas autorisés à observer.

« Hall finit par établir une certaine forme d’amitié avec la “professeur”. Il a pu observercertains de leurs comportements, de leurs coutumes, de leurs habitudes alimentaires ouvestimentaires. Ils ne mangent pas de viande, mais des sortes de végétaux semblables à deschampignons. La ‘‘professeur’’ avait ainsi vivement déconseillé à Hall de manger l’une de leurportions de nourriture, car son corps le supporterait mal. Il s’en suivrait également un fortétat de désorientation psychologique comparable à l’ingestion d’alcool. L’Air Forcefournissait aux enfants Tall Whites des vêtements achetés dans des grandes surfaces de LasVegas. Quant à la présence d’enfants Tall Whites sur ces bases et donc dans une région aussiinhospitalière que la Terre à leur yeux, elle s’explique difficilement selon nos critères. Selon lescritères Tall Whites les enfants ont une énorme importance dans leur système social, et les“adultes” ne s’en séparent jamais. Hall souligne en outre que les Tall Whites étaient trèschoqués par notre manière désinvolte et protectrice de traiter nos enfants.

Il a pu vérifier qu’ils disposaient d’une écriture comparable au système des hiéroglypheségyptiens et qu’ils communiquaient entre eux par des sons dont nous ne percevons pas toutesles fréquences. Il s’est rendu compte que ces extraterrestres pratiquaient sans doute lecommerce puisqu’ils emportaient avec eux certaines quantités de nos biens manufacturés,surtout nos vêtements. Il a pu déduire que le sentiment religieux ne leur était pas inconnu,puisqu’au cours d’une conversation les Tall Whites ne semblaient pas surpris ou mêmeperplexes lorsqu’il était question de religion. Quant à savoir s’ils croient en un systèmemétaphysique ou s’ils “pratiquent” une idée de Dieu, Hall n’a pas été en mesured’approfondir le sujet. Charles Hall est d’ailleurs bien incapable de répondre à toutes lesquestions que l’on est en droit de se poser sur leur existence, tout simplement parce qu’il n’apas toutes les réponses et aussi parce qu’il n’a pas pu poser toutes les questions qu’il auraitvoulu leur poser. Il semble clair, dans la relation qu’il entretenait avec ces créatures, qu’il étaitdans une position de soumission dans laquelle il subissait les événements et où il était bienincapable de mener la relation là où il l’aurait voulu. Tout comme il n’a jamais osé prendredes photos, de peur que cet acte soit interprété comme un acte d’agression ou soit sanctionnépar l’Air Force. » (Karma One)

Page 7: Charles Hall  -  « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

Charles Hall a-t-il fait l’objet de pressions et de menaces de la part de l’Air Force pour tenir secretcet épisode de sa vie ?

Au début il lui a été vivement conseillé de ne rien dire.

« Malgré tout le poste d’observateur météo qu’il occupait ne le liait pas au respect d’uneobligation de conserver le secret, dans la mesure où il ne travaillait pas dans un secteursensible comme le renseignement, la sécurité ou l’armement. Dans cette mesure seulement lefait qu’il révèle aujourd’hui son histoire ne le met pas hors la loi vis à vis de l’Air Force, sonex-employeur. Néanmoins, par acquis de conscience, il a attendu que ses enfants aient quitté legiron familial et soient professionnellement “installés” pour livrer au grand public son étrangeconfession. Aujourd’hui il affirme que ni l’Air Force, ni le gouvernement ne l’ont menacéd’une quelconque manière. Pour quelle raison ? On ne peut se livrer qu’à des spéculations. Lemenacer aurait donné du crédit à son histoire. Néanmoins vous découvrirez que Sweeps Fox(voir interview) a une autre interprétation sur la raison pour laquelle Hall jouit d’une paixrelative. » (Karma One)

- L’interview de Charles Hall par Karma One :

Karma One a interviewé Charles Hall en avril 2005.

Charles Hall n’a jamais vu de G. B. enlever des gens d’une manière malveillante.

Une fois l’enseignante extraterrestre (l’intermédiaire principale entre Charles Hall et les “GrandsBlancs”, et sa protectrice) amena sa petite fille afin qu’elle puisse jouer avec une petite fillehumaine, mais ni cette dernière ni sa mère ne furent enlevées. Dans un cas connu sous le nom d’«Incident à Happy Camp », qui a fait l’objet d’une enquête par un ufologue, Charles Hall précise quela description des extraterrestres et de leur vaisseau correspond parfaitement aux « Tall Whites». Dans ce cas des êtres humains ont été enlevés, mais après que ceux-ci eurent attaqué desenfants « Tall Whites ».

Charles Hall a pu observer régulièrement, dit-il, des vaisseaux G. B. qui voyageaient de façonroutinière plus vite que la vitesse de la lumière.

L’enseignante affirmait que Pamela (le prénom terrestre d’une fille « Tall White ») était née dans lavallée d’Indian Springs à l’époque où James Madison était président des Etats-Unis, vers 1812. Laconstruction du hangar principal des “Tall Whites” correspond à la fin des années 1940 et au débutdes années 1950…

« Je note que le président américain Harry Truman affirmait qu’il croyait avoir rencontré lefantôme d’Abraham Lincoln dans la Maison Blanche, une nuit, alors qu’il était président à lafin des années 40. Cependant j’observe que sa description du soit disant ‘‘fantôme’’correspond tout à fait à un certain nombre de gardes Tall Whites que j’ai personnellementvus, la nuit, sur les terres d’Indian Springs. Pour cette raison je suppose que la premièreinteraction formelle entre les Tall Whites et le gouvernement US a eu lieu au cours des années40 ou au tout début des années 50. » (C. Hall)

Il évoque aussi les légendes des anciens Grecs qui se référent, selon lui, à un groupe de « Dieux» “Tall Whites”que l’on disait provenir d’Arcturus… (Dans le texte il y a : « d’un groupe d’étoilesd’Acturus », ce qui est doublement incorrect : Arcturus – et non « Acturus » – est à elle seul uneétoile !)

Selon lui les « Tall Whites » sont les seuls extraterrestres présents sur les terres de Nellis. Il est «plutôt certain » que les “Tall Whites” et les “Short Greys” (“Petits Gris”) se détestentmutuellement.

« Je suis à peu près certain que les Tall Whites n’auraient jamais permis aux Short Greys devenir dans une zone voisine de leurs propres bases et de leurs propres habitations, ou dansquelque endroit où leurs enfants pourraient jouer, etc. Pour cette raison je ne crois pas qu’il y

Page 8: Charles Hall  -  « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

ait des Short Greys sur l’Aire 51, sur l’Aire 52 ou dans les autres zones de Nellis. Au cours desdeux années que j’ai passées sur ces territoires, personnellement je n’ai jamais vu de preuvesqui démontrent que les Short Greys se trouvaient dans ces régions ou dans celle de l’Aire 51. »(C. Hall)

Il a demandé à la G. B. qui se faisait appeler « l’enseignante » s’il existait d’autres planètescomparables à la Terre. Elle a répondu qu’il y en a un certain nombre, mais que, parmi les êtresobservés, les humains sont les seuls êtres « évolués » qui continuent à vivre proches de leursanimaux. Sur la plupart des planètes, dit-elle, les êtres « intelligents » n’ont pas de rapports avec lesanimaux, et ils les tuent. Sur les autres mondes les êtres intelligents ne mangent que des plantes,comme c’est le cas des G. B. (Question : s’ils ne mangent que des plantes pourquoi tuent-ils lesanimaux ?)

Les G. B. ne vivent pas sur l’Aire 51 (Groom Lake), ni sur l’Aire 52 (Papoose Lake). Ils vivent dansdes souterrains de l’Aire 53. Leur base principale se trouverait dans une montagne à l’est de l’Aire53, qui se trouve être l’Aire 54.Les G. B. sont les seules créatures que Charles Hall apersonnellement vues dans les déserts, les vallées et les montagnes au nord d’Indian Springs, dansle Nevada.

Il ne croit pas que les « Petits Gris » soient (ou aient été) sur l’Aire 51. Ils peuvent, selon lui, setrouver ailleurs, comme au nord et à l’ouest du Nouveau-Mexique. Il est à peu près certain quel’incident de Roswell de 1947 impliquait le crash d’un vaisseau de « Petits Gris ».

Charles Hall a personnellement rencontré (et parlé avec) un second type d’extraterrestre faisantpartie de ceux qu’il appelle « les Norvégiens aux 24 dents ».

Il croit qu’une partie substantielle de l’information relative à l’Aire 51 est de la désinformation.

« Par exemple les installations de l’Aire 51 sont dans un périmètre rectangulaire clôturé quine s’étend que de 6 miles sur 10 miles. Ce périmètre n’est nulle part assez vaste pour abriterune base extraterrestre. C’est également trop petit pour faire venir de façon sécuriséen’importe quel vaisseau extraterrestre fonctionnant à l’anti-gravité. Les différents terrainsqui entourent le seul petit vaisseau de reconnaissance Tall White s’étendent sur au moins unmile un quart. Des terrains de ce type qui accueilleraient un vaisseau intersidéral (Deep SpaceCraft) s’étendent sur une surface beaucoup plus étendue. Ni les généraux extraterrestres, niles généraux de l’Air Force ne seraient d’accord pour amener un vaisseau d’une tellepuissance à proximité des installations de l’Aire 51. » (C. Hall)

Les réactions émotionnelles des “Tall Whites” différaient selon les individus.

La première fois qu’il vit les “Tall Whites” Charles Hall avait son abri dans les grandsbaraquements vides de la base d’Indian Springs, et il était seul dans ces baraques.

Il n’a jamais fait l’objet de menaces, de pressions ou de manipulations de la part de l’Air Force (sonex-employeur) ou du gouvernement américain. La décision de l’envoyer dans ces territoires a étéprise par un comité d’individus incluant des “Tall Whites” et des généraux de haut rang de l’US AirForce, ainsi que des personnes haut placées dans le gouvernement américain. C’était un observateurmétéo, un conscrit. On ne lui a jamais montré de documents « classifiés » et on ne l’a jamais conviéà des briefings secrets. Il n’a jamais fait partie d’un quelconque programme classifié (comme laconstruction d’un avion secret), il n’a jamais pris de photos et il n’a jamais dérobé du matérielappartenant au gouvernement, « ni aucun agenda ni livre de bord » lorsqu’il a quitté les terres deNellis. Il n’est sorti de Nellis qu’avec ses souvenirs.

Au début des années 1970 il a parlé des extraterrestres à son épouse, alors qu’ils n’étaient mariésque depuis trois mois.

« Elle n’était pas très intéressée par le fait de savoir si les extraterrestres existaient ou non.Ella a à peine affirmé : ‘‘Tout ce que je sais c’est que si j’en rencontre un, j’espère me comporter

Page 9: Charles Hall  -  « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

d’une manière digne qui apporterait du crédit aux humains.’’ La réponse de ma femme aprèsavoir lu le manuscrit a donné naissance au titre ‘‘Millennial Hospitality’’. » (C. Hall)

Au cours des années il a raconté son histoire à des amis, à ses enfants et à des collègues.

Un « supporter enthousiaste » est Gerry Zeitlin d’Open Seti, sur le site openseti.org, et le récit deCharles Hall a fait l’objet d’une enquête de Paola Harris (paolaharris.it) et de David Coote.

De nombreuses personnes qui ont travaillé pour l’Air Force, et qui ont servi avec Charles Hall àIndian Springs, ont vu des “Tall Whites” dans le désert. Et au cours des années qui ont passé depuiscette histoire, Charles Hall a rencontré des personnes ayant vu des “Tall Whites”.

Il a vu un vaisseau noir triangulaire. Ce type d’engin fait beaucoup de bruit, et il précise que toutvaisseau qui fait beaucoup de bruit, en volant, a été construit par l’Air Force. Le vaisseau “TallWhite” utilise un système de propulsion à anti-gravité et il est parfaitement silencieux. Il note que levaisseau qui s’est écrasé à Roswell en 1947 avait la forme d’un disque et pouvait aussi se déplacerdans un parfait silence…

La société des G. B. est dotée d’une organisation assez proche du système américain ou européen.Lorsque « l’enseignante » était en train de parler avec d’autres G. B., elle leur a dit qu’il croyait enDieu et ils ont tous compris ce qu’elle voulait dire.

Les G. B. ne semblent être capables de se concentrer que sur une seule chose à la fois. Ils sontphysiquement plus fragiles que nous ne le sommes et par conséquent ils nous craignent un peucomme nous, humains, craignons naturellement les gorilles dans la jungle. Ils ont également peurparce que nous sommes entièrement chez nous, sur la planète Terre. Ils considèrent la Terre commeune « étendue sauvage, froide et désolée ».

Le fait qu’il y a des guerres sur notre planète et que nous n’hésitons pas à nous entretuer les amèneà percevoir les humains comme des créatures rudes, primitives et désordonnées qui ont découvertun peu par hasard comment fabriquer des armes nucléaires.

Les G. B. ne peuvent lire les pensées humaines que s’ils emploient leur technologie. Ils doiventporter un dispositif de communication électronique, la plus longue distance sur laquelle ce typed’appareil fonctionne étant « d’un quart de mille ». Il arrivait fréquemment, particulièrement le jour,que de nombreux “Tall Whites” viennent, sans le dispositif électronique, à l’endroit où Charles Hallse trouvait. A ces occasions, si aucun d’eux n’avait appris à parler l’anglais, la seule manière decommuniquer avec eux était gestuelle.

Ils pouvaient, en utilisant un appareil à micro-ondes, hypnotiser électroniquement un être humain.

Les G. B. ont une capacité d’audition au moins aussi bonne que celle d’un chien. Il semble qu’ilssoient capables d’entendre des sons dont la fréquence est bien trop élevée pour une oreille humaine.Charles Hall croit que leurs cordes vocales peuvent, comme les rhinocéros, produire des sons bientrop élevés pour être entendus par un humain. Lorsque certains d’entre eux venaient à proximité del’endroit où il se trouvait, ils pouvaient parler entre eux en employant des sons qu’il n’entendait pas.Si un être humain ne réalisait pas ce qui se passait alors, il aurait pu croire qu’ils communiquaiententre eux par télépathie.

Les G. B. étaient uniquement disposés à échanger de la technologie avec les militaires américainss’ils y voyaient un avantage. Charles Hall est certain que la technologie relative à la construction demeilleurs dispositifs de radiocommunication et d’électronique en général a été un secteur sur lequelles G. B. et les militaires US ont pratiqué un échange technologique. Un autre secteur est constituéde la création de meilleurs matériaux de constructions pouvant être employés pour réparer leurs «vaisseaux d’exploration de l’espace profond » (“Deep Space Craft”).

Les G. B. étaient d’accord pour échanger de l’information à propos de la médecine, de la nourriture,des vêtements, de l’électronique, des réacteurs nucléaires, ainsi que des détails scientifiquesconcernant notre système solaire et les systèmes solaires voisins, la création de meilleurs métaux, de

Page 10: Charles Hall  -  « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

céramiques et de matières plastiques. Ils ont toujours refusé d’échanger des secrets technologiquesrelatifs à la propulsion, à l’anti-gravité, aux voyages dépassant la vitesse de la lumière et aux formesvariées d’armements avancés. Ils préfèrent de loin constituer des équipes mixtes avec les militairesUS, au sein desquelles ils fournissent et pilotent eux-mêmes un vaisseau d’exploration de l’espaceprofond, mènent l’ensemble des réparations, entretiens et constructions de leurs moteurs àanti-gravité, de leurs systèmes de propulsion et de leurs armements évolués.

Charles Hall est à peu près certain que les G. B. ont passé plusieurs accords avec les plus hautsniveaux du gouvernement américain, ce qui inclut le Président des Etats-Unis, le Congrès, l’US AirForce, les militaires en général et la CIA. Il est également à peu près certain que les chefs G. B. ontrencontré les plus hauts responsables du gouvernement, ce qui inclut le Président, plusieurssénateurs de haut rang, les généraux les plus hauts gradés de l’US Air Force, ainsi que les plus hautsresponsables de la CIA. Il est à peu près certain, ajoute-t-il, que ces leaders sont tout à fait aucourant qu’il y a eu des rencontres avec les G. B. (2)

Charles Hall est donc un « whistleblower », un « témoin privilégié » qui, en tant qu’observateurmétéo pour l’US Air Force, a vécu, entre 1965 et 1967, sur l’immense base de Nellis, dans leNevada (proche de l’Aire 51), avec ces humanoïdes à la peau crayeuse et aux grands yeux bleusqu’on appelle les « Tall Whites » ou “Grands Blancs”.

Une partie de l’interview de Charles Hall par Karma One a été publiée dans le numéro 54 de «Nexus ». (3)

-Interview de Sweeps Fox :

Karma One a interviewé “Sweeps Fox” (un surnom), l’animateur américano-irlandais d’une émission radio populaire en Irlande (retransmise aussi sur le Web) consacrée aux OVNIs, aux extraterrestres, au “paranormal” et aux “anomalies” en général. Sweeps Fox est également le fondateur et le patron de l’“l’Irishufology Forum Outreach and Paranormal Studies”, une association ufologique irlandaise très dynamique comptant plus de 6.900 membres de par le monde.Sweeps Fox est le premier animateur radio – ou l’un des premiers animateurs – à avoir invité Charles Hall. Il a en outre, au cours de ses recherches, accumulé bon nombre d’informations sur Nellis, l’Aire 51 et le phénomène extraterrestre en général.

Sweeps Fox est un ressortissant américain qui s’est installé en Irlande parce que sa compagne estirlandaise et qu’il désirait fonder une famille dans ce pays. Il dispose de ce fait de la doublenationalité, irlandaise et américaine.

« Nous avons pu vérifier que toutes les accréditations du personnage étaient exactes. Caravant d’être l’animateur d’un show radio populaire en Irlande et d’un site Internet, tous deuxconsacrés aux Ovnis, aux extraterrestres, aux “anomalies” et “théories” de la conspiration,Sweeps était au départ un infirmier diplômé spécialisé en interventions dans des zones decombat, zones d’accidents et de catastrophes. Il a participé comme infirmier à la guerre duGolfe 1, soit l’opération Desert Storm auprès de l’armée américaine, mais il a également étéformateur logisticien pour des infirmiers militaires en Arabie et aux Emirats. Il a collaboré àun projet d’entraînement militaire des forces aériennes saoudiennes, et dans ce cadre il a pumener à bien un programme de suivi et d’observation sur radar de phénomènes Ovnis. Il aégalement travaillé dans le domaine de la sécurité et du renseignement pour des firmesprivées américaines. » (Karma One)

Il a organisé aussi la sécurité de musées et de lieux publics en Irlande, à Dublin.

« Il est enfin le créateur, fondateur et éditeur d’une association ufologique irlandaise,la “Irishufology Forum Outreach and Paranormal Studies”, regroupant 6.900 membres de parle monde et 15.000 membres associés. Il a écrit des ouvrages sur les “anomalies”, l’universholographique, et a réalisé des reportages et des documentaires sur les phénomènes Ovnis. Unparcours donc plutôt atypique et “chargé”. » (Karma One)

Page 11: Charles Hall  -  « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

Sweeps Fox a été le premier à organiser une émission radio sur Charles Hall. Il a également édité une interview vidéo. Le “Sweeps Fox Show” était le premier programme exclusif à passer sur les ondes l’interview de Charles Hall et à parler du phénomène des “Tall Whites”, à la fois localement pour l’Irlande et globalement pour l’audience Internet.

Paola Harris, une journaliste photographe d’investigation, était déjà sur cette affaire un anauparavant. Sweeps Fox l’a appelée à Rome et il lui a dit qu’on allait faire une émission surl’histoire de Charles Hall. Duncan Rodes, l’éditeur de “Nexus Magazine”, était également undéfenseur de Charles Hall et de sa trilogie de livres “Millenial”relative à ses expériences avec lesextraterrestres “Tall Whites” alors qu’il était soldat pour l’Air Force dans le Nevada.

« Au moment précis où nous avons diffusé l’émission sur le Web, notre site a été attaqué. Leserveur qui hébergeait notre site a été débranché par Yahoo. Nous étions avec Yahoo depuisplus de 5 ans, et puis ils nous ont tournés en bourrique. Soudainement ils n’avaient jamaisentendu parler de nous. Nous avions cessé d’exister et n’étions plus membre depuis des mois.Intéressant, non ? Il nous a fallu créer un nouveau site Web avec une meilleure politique derelation avec notre fournisseur. Ensuite c’est le serveur de notre site miroir qui a été attaqué,mais notre chef technicien a été capable de localiser la source de la zone d’interférence et il arapidement réussi à la bloquer. L’interférence provenait d’un lieu situé dans l’Etat deWashington, aux Etats-Unis, juste à côté de l’installation nucléaire de Handford. Pas mal, non? Nous avons également diffusé un avertissement que si cela se reproduisait encore, nousallions démolir l’ensemble du réseau… et nous l’aurions fait, croyez-moi ! Notre cheftechnicien en a la capacité et les connaissances. » (Sweeps Fox)

Au cours de son service de météorologiste pour la base Charles Hall était stationné dans une régionde la base de l’Air Force de Nellis qui le maintenait assez isolé. Il était plutôt livré à lui-même, seulpour remplir sa mission, et son premier contact avec les “Tall Whites” fut plutôt traumatisant. Il amis six mois pour s’en remettre et accepter que ces êtres ne provenaient pas de notre planète.

« Il est passé par une peur abjecte et un profond déni pour ensuite en arriver à uneacceptation graduelle du rôle et de la relation qu’il a développés plus tard avec eux. Suite auxconversations que j’ai eues avec Charlie et sa femme, je ne crois pas qu’il ait eu le moindrecontact ni la moindre connaissance de l’existence des Gris. » (Sweeps)

Charles Hall n’a pas admis avoir vu d’autres races extraterrestres sur la base 51. Il a cependantévoqué avoir aperçu et identifié un extraterrestre de type nordique, avant qu’il ne soit stationné surla base.

Sweeps Fox note que les “Tall Whites” disposent d’un assez grand nombre de “vaisseauxéclaireurs” (« scout ships ») qui sont basés à Nellis. Il existe des cavernes dans l’Etat de l’Illinois,où ils seraient également stationnés« depuis sans doute pas mal de temps ».

L’intérêt de Sweeps Fox pour l’expérience vécue par Charles Hall a son origine dans le fait qu’il alui-même rencontré, en Irlande, un “Tall White”. Sa femme était au courant. Il a raconté cettehistoire à Charles Hall, lequel ne s’est absolument pas montré surpris. Charles Hall a même donnéune raison pour laquelle ce “Tall White”s’est montré si vivement intéressé dans la fouille de sespoubelles. C’est là, près des poubelles, que Sweeps Fox l’a rencontré.

Sweeps Fox ne pense pas que l’on puisse dire que les “Tall Whites” étaient les premiers à s’êtreinstallés sur la base de l’Air Force de Nellis. Nous savons, d’après les dires de Charles Hall, qu’ilsétaient là depuis des siècles.

De nombreux témoins honnêtes, ainsi que des témoins du genre de ceux que l’on trouve dans leProjet « Disclosure » (projet « Révélation » du docteur Steven Greer, ce dernier ayant réuni autourde lui des militaires et des scientifiques américains qui ont été témoins de faits étranges relatifs auxextraterrestres et aux projets occultes en matière d’armements et d’aéronautique), affirment quetoute la région, ce qui inclut la zone de Groom Lake et de Papoose Lake, ainsi que d’énormes

Page 12: Charles Hall  -  « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

installations souterraines, « sert en réalité de “centre de réception consulaire”, une sorted’ambassade pour de nombreuses espèces extraterrestres, aussi bien que pour des échangestechnologiques ». Sweeps Fox est persuadé que les bâtiments de l’Aire 51 et les installationsadjacentes s’avèreront avoir été “conçus” en collaboration avec des « comités » extraterrestres, « etque leur construction s’est décidée après qu’il y eut une prise de contact avec le gouvernement USet d’autres dirigeants des “black projects” ».

Dans le cas de Charles Hall « des témoins se sont mis en avant après avoir été recherchés pendantlongtemps, bien des années après les faits ».

« Ce sont en fait des gens qui ont travaillé à Nellis ou dans les environs avec Charlie à la mêmeépoque. En fait on a découvert de nombreux témoins qui semblent disposés à créditer lesaffirmations de Charlie… et bien entendu ils sont disposés à parler pour leur propre comptedepuis que toute cette affaire a plus ou moins été révélée au grand public aujourd’hui. Cesgens feront l’objet, à l’avenir, de futurs “Sweeps Fox Shows” sur le sujet. Par conséquent, etpour l’instant, leur identité et leur provenance seront très sérieusement gardées secrètes. Maisrestez attentif ! Ces témoins présentent de nouveaux aspects intéressants à propos desquels ilsveulent bien s’exprimer et donc partager leur expérience. » (Sweeps Fox)

Sweeps Fox précise que les “Tall Whites” « ont des valeurs familiales et s’aiment les uns lesautres, ils font preuve d’un sens de la division du travail comme nous le faisons, et ont uneapparence très “humanoïde”, se déguisant assez facilement afin de nous ressembler ». Ils ontinteragi et se sont promenés parmi nous depuis des siècles « sans avoir ému ou ennuyé qui que cesoit parmi le “genre humain” ».

Charles Hall n’a pas été “grièvement” blessé, mais les “grands généraux américains” avaientautorisé les “Tall Whites” à expérimenter, avec lui, ce qu’ils voulaient. D’autres membres de l’AirForce, employés au même poste que Charles Hall, ont été blessés et ont fait l’objet de mauvaistraitements très graves.

Charles Hall n’a pas été inquiété pour ses révélations. Sweeps Fox attribue ce fait à ce qui constituepeut-être un “galop d’essai” destiné à vérifier comment les gens acceptent cette histoire. Cela,ajoute Sweeps Fox, peut faire partie d’un plan coordonné à long terme pour acclimater lespopulations mondiales à l’existence des OVNIs et des extraterrestres.

Charles Hall a livré son récit sur le ton d’une personne “normale”, « allant droit au but comme unepersonne normale le ferait, et il apparaît très crédible par la manière dont il raconte le typed’histoire qui narre ses aventures » avec les “Tall Whites”.

Sweeps Fox ajoute que ses sources, auxquelles il a confiance, lui disent que les “TallWhites” contrôlent totalement la situation. Les militaires de l’US Air Force n’ont jamais pu obtenirquoi que ce soit d’utile de ces extraterrestres, dans le cadre d’un échange technologique, et ils n’ontpas obtenu de vraies informations relatives aux technologies spatiales. Les officiels dugouvernement, les gens des « Black Ops » (« opérations occultes »), ainsi que certains militaires, «ont fait de brefs voyages » dans les vaisseaux éclaireurs des “Tall Whites”, mais on ne leur a pasdonné l’accès aux vaisseaux spatiaux interstellaires ou intersidéraux… (4)

3. Eve Marchal et les “Grands Blancs” :

Eve Marchal (qui a été la compagne du controversé « contacté » Eric Julien) prétend qu’un jour,alors qu’elle méditait, sa conscience a été projetée vers un ”Grand Blanc”. Que vaut réellement cetype de « projection de conscience », par ailleurs distinct de ce que l’on appelle le « voyage astral» ? Impossible de le dire. Voici, en tout cas, le contenu des « dialogues » que cette femme dit avoireus avec des G. B.

- C’est un G. B. assez âgé qu’elle dit avoir vu la première fois. Il lui a expliqué que les membres deson espèce n’avaient eu jusqu’alors des contacts qu’avec les militaires américains. Ces derniers,dit-il, sont sans foi ni loi et sont capables de tuer au nom de leur hiérarchie. Etant donné que les G.

Page 13: Charles Hall  -  « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

B. sont télépathes, contrairement à ce que pense Charles Hall, ils devancent les pensées du Terrienet se montrent donc parfois subitement froids et menaçants. Ils savent que celui-ci a des pensées quisont susceptibles d’évoluer rapidement vers la violence. Ils devancent, par obligation, la menace.

Cet être a dit à Eve Marchal qu’il déplorait de n’avoir à faire qu’à la partie « animale » de notrehumanité et qu’il était donc heureux de rencontrer sa « correspondante ». Notre comportement,dit-il, leur est totalement incompréhensible. A un moment donné il lui a dit : « Comment êtes-vouscapables de vous entretuer, d’assassiner les vôtres ? Comment êtes-vous capables de voussuicider ? Pourquoi, vous qui vous entourez de présences animales, êtes-vous capables d’enmanger ? » Il a proposé un pacte de “non-méfiance”.

- L’autre G. B. « rencontré » s’appelle Eyden. Celui-ci est « doux et charmant », ses cheveuxblancs « volètent comme un duvet d’autruche », et son regard n’a pas la dureté de l’« Ancien », leprécédent G. B. Il a confirmé la présence de longue date des G. B. sur notre planète. Eyden est nésur Terre mais ses parents l’ont ramené sur sa planète. Il n’était revenu sur Terre en voyage d’étudeque très récemment. Il est âgé de 300 ans, un âge qui correspond, chez nous, à une vingtained’années. Le travail est conçu par eux comme une collaboration au groupe en fonction des capacitéspersonnelles.

L’« Ancien » a dit qu’ils sont des « découvreurs de planètes », la Terre étant considérée comme unebase bien adaptée à la maintenance de leurs vaisseaux.

Eve Marchal fit la connaissance de Michael Salla, président de l’Exopolitics Institute auxEtats-Unis, et qui s’était auparavant entretenu avec Charles Hall. Elle lui a proposé de faire le relaisentre lui et Eyden. Elle avait auparavant demandé au G. B. s’il pouvait être intéressé par cetentretien, la réponse ayant été positive.

Lors de cet « entretien » Eyden précisa que sa race évitait le plus possible la nôtre, les échangesétant réduits au strict nécessaire. La méfiance est de mise car, dit le G. B., ses collègues n’ont derelations qu’avec des militaires. Les G. B. ont besoin du relais terrestre pour pouvoir aller plus loindans la découverte de la galaxie. Lorsque l’armée américaine a réalisé la présence des G. B. sur sonterritoire, elle a pensé que les aider pourrait lui rendre service. Elle fournit donc, aux G. B., desminerais, de la nourriture et des vêtements, surtout des vêtements d’enfants. Avec ces choses les G.B. font du troc. En échange du droit d’installer leurs bases, ils font des cadeaux à ceux qui acceptentleurs installations.

L’armée fournit aux G. B. des humains, principalement des condamnés à mort n’ayant pas defamille. Les Américains ont des accords avec certains pays d’Amérique du sud, ces derniersfournissant, dans des camions bâchés, ces condamnés à mort. Ces derniers sont parqués sur laplanète des G. B. Plusieurs planètes sont équipées de parcs qui ressemblent à ce que nous pourrionsappeler des zoos. Des humains, comme d’autres races, y sont installés. Leur cadre d’origine estreproduit, le nécessaire étant fait pour qu’ils s’y sentent bien. Ils s’y reproduisent naturellement, etc’est la raison pour laquelle les G. B. demandent des vêtements pour enfants. Ayant demandé si celane leur posait pas de problème d’éthique, Eyden répondit ce qui suit :

« C’est votre race qui devrait être mal à l’aise avec cela. Des membres de votre humanité sepermettent de livrer les leurs, et ils se permettent de le faire alors que la majorité des vôtresest dans l’ignorance la plus complète de ce qui se passe. De notre point de vue nous donnonsune chance à ces humains de vivre dans des conditions inespérées puisqu’ils étaientcondamnés à une mort inévitable sur la Terre. Bien qu’ils n’aient aucun espoir de retour ilssont tous heureux de leurs nouvelles conditions de vie. Ils sont nourris, ont parfois une famille,un cadre de vie agréable. Si problème de conscience il y a, je le répète, c’est à vous qu’ildevrait se poser. »

Pourquoi l’armée leur fournit-elle des humains ? Eyden précise que les militaires américains ontbesoin de savoir sur quelles planètes l’être humain peut s’acclimater.

Page 14: Charles Hall  -  « les Grands Blancs », des aliens bien identifiés.pdf

« Ils savent qu’ils vont devoir trouver d’autres lieux d’accueil, et ils en sont actuellement àcartographier différents lieux possibles d’implantation de colonies. Cependant tout cela estsecret car ils n’envisagent pas de faire partir l’ensemble de l’humanité si le besoin seprésentait. »

Au moment de l’« entretien » Eyden se trouvait dans une base sous-marine au large d’Honolulu.C’est une base entièrement occupée par des contingents de races extraterrestres. Ils observent lesmouvements tectoniques et surveillent les volcans. Ils viennent aussi « pour préparer les temps àvenir ».

Le représentant des G. B. initialement « rencontré » par Eve Marchal fut satisfait d’apprendre quecet « entretien » serait diffusé en langue française. Il s’appelle Aluxanryl. Le champ télépathiquedes humains affecte les G. B., surtout leurs enfants. C’est pourquoi ces derniers ne restent paslongtemps sur la planète. Les G. B. sont obligés d’avoir une grande rotation des membres de leurcommunauté sur Terre, car ce champ télépathique est difficilement supportable.

Il a interrogé Eve Marchal sur ce qu’elle faisait… Il déclara qu’il allait voir comment sescompagnons pouvaient aider. (5)

Charles Hall - The Tall Whites - ET Experiences in the Nevada Desert

http://youtu.be/31KKZvWvS8I

Source :

http://www.mondenouveau.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=120

http://resistanceauthentique.com/insolites-du-dimanche-lhistoire-complete-de-charles-hall-avec-les-grands-blancs-vo-toute-lhistoire-en-francais/

Voir aussi :LE LIVRE DES GRANDS BLANCS.d'après la trilogie de Charles Hall : "Millenial Hospitality".L'auteur vient de révéler toute l'histoire de ses rapports avec ce groupe d'extraterrestre installéau Névada. Les White Talls ont collaboré avec les militaires du Pentagone et les scientifiques choisis par eux.192 pages

Pour acheter ce livre, une seule et unique adresse : http://www.infotbs.com/vanquelef/catalogue.htm