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96* Annè&, — M» 35 L8 KEM&RG ftBiWîS f« N T !l« || Dimanoh* 16 AoLt 1988 JOURNAL DE SENLIS, BETZ, CRÉPY & NANTEUIL Paraissant Je WmanoL# Un an.*.. Six moi». Oise et limitr. Autres dép. • fr. 10 ir. 5 fr. 6 fr. On s'abonne aux Bureaux du Journal et dans tous les bureaux de poste. — L’abonnement est payable d’avance et continue de plein droit jusqu’à réception d’avis contraire. Les Abonnements partent du 1- de chaque mois bureaux , rédaction & Administration SENLIS — 11, IPlnoo Henrl-IV, 11 — SENLIS TÉLÉPHONE 4 Directeur Commercial t E. YIGNON Ânnnnce. l^-galen ., ,Ç, Annonces volontaires. _fc->1». X 5C D JET, S i tr, la ligne. f fr: la ligne. Les manuscrits, insérés ou non, ne sont pas rendus J rx S K B T X O U S réclame » . 21 on 3‘ p a g e ............................. 1 fr. M la ligne. Les instituteurs à la G. G. T. Pour avoir perdu de sou actualité, le ralliement du Syn dicat National des Instituteurs et Institutrices à la C. G. T. n’en demeure pas moins un fait important. Par ce geste, instituteurs et insti tutrices n’ont pas seulement manifesté leur intention de défendre leurs inté rêts professionnels. En pactisant avec une organisation nettement révolu tionnaire ils se sont placés résolu ment sur le terrain de la lutte des classes. Ils ont fait de la « charte d'Amiens » qui prévoit,comme moyen d'action, la révolution par la grève, leur bréviaire. Le fait n’a rien qui puisse nous surprendre. Il est l’aboutissement logique de onze mois d’une politique démagogique, dont le moins qu’on en peut dire est qu'elle fut tendue tout entière à dresser les Français les uns contre les autres. Mais, considéré en lui-même, ce geste, dont l’importance est grande si l’on veut y voir un symptôme de la tendance qu’ont certaines catégo ries de fonctionnaires à chercher un appui sur le syndicalisme ouvrier et sur les organisations à tendance révolutionnaire, a-t-il la gravité qu’il plaît à beaucoup de lui donner ? Nous ne le croyons pas. Et pourtant ! C’est un instituteur du département de la Loire qui, le 14 juin dernier, déclarait publique ment : « Rien ne nous rebutera; nous emploierons tous les moyens qu’il faudra pour créer dans le pay£ une vague de défaitisme qui contraindra le gouvernement à mettre bas les armes. Nous dirons aux soldats : prenez le fusil que la bourgeoisie met entre vos mains, mais un jour peut- être vous aurez l’occasion de vous en servir contre vos exploiteurs ». Faisons néanmoins aux instituteurs l’honneur de croire qu'il n’y a pas dans ces paroles l’expression de leur volonté générale, et que la triste mentalité flétrie par M. Doumergue au cours de sa visite au plateau des Petites-Roches n’est pas la leur. Nous souffrons d’une éducation nationale comprise à rebours, d’une éducation nationale qui Consiste à faire croire k chaque travailleur que l’intérêt de sa vie est en dehors de son métier, qu’il améliorera son sort par la révolution plus que par une application sans défaillance à sa tâche quotidienne. Contre ce mal qu’exploitent les syndicats révolutionnaires des ins tructions répétées mettent en garde nos instituteurs. Ceux-ci, d’ailleurs, convaincus de la noblesse de leur rôle éducateur et fiers à juste titre de la considération dont souvent ils jouissent, ne tarderont pas k com prendre que la route est semée d’écueils sur laquelle ils se sont engagés derrière M. Glay. Ils ne tar deront pas à comprendre aussi que leur adhésion à des organisations révolutionnaires peut être le point de départ d’une opposition sans cesse grandissante entre eux et bien des parents. Or, s’isoler moralement des populations auxquelles il vit, n’est-ce pas pour un « maître d’école » rendre impossible le prétendu merveilleux édifice que doit être l’école unique de la cité future ? Echos et Nouvelles JEUX DE PHYSIONOMIE Dans son nouvel ouvrage, le docteur Ca banes note que l’art des comédiens consiste, poür une part, à bien connaître le mécanisme musculaire de leur physionomie, afin de le faire mouvoir à leur gré. Combien est-il de sujets, par exemple, qui, utilisant ou non une disposition, originelle, développent, perfectionnent certains de leurs murcles expressifs ! Au début, les acteurs ne jouent presque jamais de îa physionomie ; ils n’y arrivent qu’à la longr.s. en cherchant à acquérir la perfection, la maîtrise de leur art. Les comiques travaillen': surtout les mus cles de la lèvre supérieure et du nez. Un d’entre eux disait au docteur Charpy qu’il avait découvert quarante manières de remuer le nez. Les tragiques opèrent plutôt sur le front et la lèvre inférieure. Taima arrivait de la sorte à obtenir des effets surprenants. Un acteur anglais fameux, Garrick, jouait de ses muscles comme de touches de piano ; il exécutait une gamme du visage, en passant de toutes les nuances de la joie la plus vive à celles de la plus profonde douleur. 11 e-t des artistes qui peuvent présenter dix visages différents, à quelques secondes d’intervalle ; et ces transformations succes sives, ils les obtiennent par la seule contrac tion musculaire, Et le docteur Cabanès cite l’actaar italien Novell», le mime français Sév.rln. La* Çmfitsitis 4* I» Médecins POISSONS DE COMBAT Comme d’autres peuples prennent plaisir à voir s’affronter des coqs, des chiens, spécia lement dressés à ces jeux sanguinaires, les Siamois se délectent aux combats de poissons. Pour petits qu’ils soient, ces animaux n'en sont pas moins belliqueux, et leurs lutte» sont souvent mortelles. Ils ont ceci de remar quable que leur excitatipn guerrière modifie leurs couleurs. De jaune pâle, on les voit devenir dorés, rouges, revêtir d’éclatantes nuances pourpre. Et le spectacle est féerique, bien que cruel. L’aquarium du Jardin Zoologique de Londres a le bonheur de posséder quelques spécimens de ces féroces petits êtres. Et l’on a imaginé un ingénieux moyen de faire ad mirer aux visiteurs leur changeante splendeur, sans mettre en danger leur vie. On place deux de ces poissons dans le même bassin aux parois de verre, comportant une cloison médiane. Ils s’aperçoivent, tombent en arrêt, se provoquent et, pleins de fureur, le reflet de leurs émotions passant en ondes colorées sur leurs corps nacrés, se précipitent l’un sur l’autre. 0 stupeur I un obstacle invisible les sépare, un mur transparent dont ils ne peuvent imaginer la nature, les empêche de se déchirer, de lacérer à coups de dents leurs souples nageoires, longues et flottantes, leur queue arrondie en forme d’éventail exotique. Leur étonnement et leur rage impuissante se traduisent en couleurs merveilleuses, en tons d’arc-en-ciel qui se transforment, s’ef facent et renaissent pour le ravissement des spectateurs. Finalement, les petits énergu- mènes se lassent, s’éloignent avec dignité et s’ignorent dédaignesement, retombés à leur apparence modeste et toute leur beauté disparue. Daily Mail. PRÉSENTS SAHARIENS Un intéressant et anonyme journal de voyage nous révèle que les présents n’entraî nent pas à grande dépense dans le Sahara : « Dans l’après-midi du lendemain, j’en voyai au gouverneur deux livres de sucre français, une livre de clous de girofle et une livre de seunbeul (littéralement les tiges). C’est, d’après les botanistes français orien taux, le nard, spina celtica. Il s’en vend d’immenses quantités dans le désert. On ne doit faire aucun présent à un homme de quelque importance sans lui en offrir. Les dames du Sahara se servent d’une décoction de ses feuilles en guise d’eau de Cologne. Les clous de girofle, greunfel , sont très recherchés, surtout par les femmes, qui en assaisonnent leurs gâtaux, leurs couscouss et différents mets. ‘‘ Une vingtaine de femmes Touareg sont venues me voir, après être restées quelques instants devant moi avec tous les signes de l’étonnment, elles commencèrent à s’agiter dans tous les sens. Ne sachant qu'en faire, je pris un morceau de sucre et le cassai en mor ceaux, que je leur distribuai. La scène changea subitement, la joie brilla dans tous les yeux, chaque langue s’agita avec volubilité. Elles me demandèrent alors si j'etais marié, si les lemmes chrétiennes étaient ' jolies, si elles étaient plus jolies qu'elles, et si, n’étant pas marié, je verrais quelque objection à épouser l’une d’elles. Ceci ne doit pas étonner : les femmes Touareg ont une existence bien différente de celle des femmes maures musul manes ; elles jouissent de beaucoup plus de liberté, vont toujours sans voile, et prennent une part active à toutes les affaires, à toutes les transactions de leurs maris. La vivacité de ces femmes, les égards que les hommes ont pour elles, forment un contraste frappant avec les mœurs des autres Etats mahométans. “ On importe des aiguilles dans le désert, mais jamais d’épingles. Je remis à chacune de mes visiteuses, au moment où elles s’en allaient, quelques épingles ; et comme elles n'en connaisssaient pas l’usage, je leur donnai une leçon pratique en en fixant une ou deux sur leurs vêtements, ce qui excita leur joie d’une manière extraordinaire. " La Dépêche Commerciale. ■ PEINTURE ET FINANCE J’ai acheté à terme io Picasso, ç Derain, 50 Utrillo, disait un financier dans une scène de sketch, et j’ai donné l’ordre de vente... — Alors, vous n’avez nfême pas vu ces œuvres ? répliquait un ami. Vous ne regardez jamais les tableaux que vous achetez ? — Idiot ! demandes tu donc à voir le Canal quand tu achètes 50 Suez ? Le Bulletin de la Nie Artistique. A V IS à'- A toute demande de rensei gnements, il ne sera répondu que si la lettre est accompagnée d’un timbre pour la réponse. a> Dernier écho de l’Élection Cantonale L’EXPORTflTEUp FRANÇAIS > Qranfle Revue beMomailalre des Proflnctenrs et des Acheteurs PARIS, 1, rue Taitbout, PARIS L» N* 2 fr. (en vente dans tout les kiosques) r( Abonnement d’un an (52 numéros) : France, 7S fr. | «franger, IQO fr. donnant droit i / o lignez 4* publicité gratuite Une Lettre de M. Bernard Doumens M. Bernard Doumens, maire de Vi- neuil-Sairit-Firmin, fait appel à noire courtoisie pour nous prier d’Insérer la lettre qu’on va lire •" Monsieur le Directeur, La dernière élection cantonale serait, Dieu merci ! oubliée depuis longtemps à Senlis, si une ridicule controverse à re tardement n’avait surgi à laquelle je vous demande de bien vouloir m’aider à mettre fin, en publiant la mise au point que voici : Dans son journal, M. Warusfel déclare qu’au cours d’une conversation sur le quai de la gare de Chantilly, j’aurais pris, par lant à sa personne, l’engagement de me désister éventuellement en sa faveur. Il ajoute que j’aurais souscrit le même enga gement envers une « éminente personna lité de l’arrondissement » et que, d’autre part, je lui aurais envoyé à lui-même « quelqu’un » pour lui demander de s’en gager réciproquement à mon égard, etc. Voilà bien des engagements ! on se croi rait au Mont-de-Piété et M. Warusfel parle et tranche comme s’il était mon créancier ou comme si je lui devais quel que chose. Or, je ne lui dois rien du tout, je m’en flatte et je vais l’établir une fois pour toutes. Je commence par déclarer que j’ignore totalement quelle peut être cette « émi nente personnalité » dont la modestie est vraiment méritoire puisqu’on nous laisse ignorer son nom, sa naissance et jusqu’à son domicile. J’ajoute que je n’ai à aucun moment mandaté qui que ce soit pour aller solliciter de M. Warusfel un enga gement quelconque et je n’entends pas endosser la responsabilité des absurdités que des mouches du coche anonymes ont pu commettre, ce que j’ignore. Enfin, je vais préciser les termes de la fameuse conversation de Chantilly dont il fait si grand état. Elle eut lieu,.en effet, sur le quai de la gare — lieu désormais historique — en viron un mois avant l’élection et voici comme. J’attendais mon train, bien plus préoccupé de caser mes jeunes enfants sans bousculade que d’élections départe mentales, je vous assure, quand M. W a rusfel vint à moi. Il me dit savoir mon projet de candidature et me fit part de son intention de me convier à une réunion du Comité radical dans le but, me dit-il, de nous départager et de savoir lequel de nous deux aurait l’estampille du Cartel. Je lui répondis tout de suite et catégori quement qu’il n’eût pas à prendre la peine de me prier à une réunion où je n’avais que faire et qu’au surplus il ne m’était jamais venu à l’idée de briguer l’investiture du Cartel. Farouchement in dépendant et très chatouilleux sur ma liberté, j’avais cru voir dans la proposi tion de M. Warusfel comme une tentative d’encerclement. Nos propos en fussent sans doute restés là si mon interlocuteur n’avait montré une figure longue d’une aune devant l’affirmation de ma candida ture décidément indépendante. Je n’ai pas un cœur de pierre. Je savais comme tous les Senlisiens que M. W arus fel brigue un mandat politique depuis des années et avec une persévérance digne d’un meilleur sort. Je crus charitable de le remonter en lui faisant observer que ma candidature, telle que je l’affirmerai sur le terrain des intérêts cantonaux, ne pourrait en rien lui nuire puisqu’elle visait à grouper ces voix du centre qu’en aucun cas M. Warusfel ne pouvait espérer rallier à son programme. Je me souviens par faitement avoir ajouté que si quelques voix de gauche, celles de salariés oomme moi- même ou d’amis personnels désireux de me témoigner leur sympathie, se comp taient sur mon nom au premier tour, elles retourneraient spontanément au second tour à M. Warusfel, s’ipétait placé avant moi au ballottage. Et ce fut tout. C’était assez. Quelques jours plus tard, le bruit com mença à courir qu’il y avait accord entre nous. Je n’y attachai quant à moi qu'une médiocre importance. Il n’y a pas de cam pagne électorale sans ragots ni roman chez la portière. La stricte vérité est qu’après la conversation anodine de Chantilly, je fus sollicité plus de 20 fois et de manière parfois assez déplaisante par des amis de M. Warusfel, d’ailleurs plus dévoués qu’adroits, de prendre des engagements en vue d’un désistement mutuel. Visible ment, ma candidature gênait de plus en plus ces messieurs. Car c’est là qu’appa- raît le côté comique de l’affaire, on veut faire de moi je ne sais quel traître de mé lodrame comme si j’étais allé quémander on ne sait quoi, alors que, j’y insiste, c’est n oi qui fus littéralement harcelé par des officieux, du reste pas toujours polis et que Je dus remettre à leur place. Vous savez lo reste. Ne disposant personnellement d’au cun journal — peut-être mes amis et moi créerons quelque jour un hebdomadaire satirique pour faire plaisir à M. Warusfel — j’adressai ma profession de foi au Courrier et à la Gazette qui refusa de l’insérer, vraisemblablement sur les ins tances de son collaborateur. Entre temps, j’étais pris à partie dans les réunions pu bliques, parfois violemment comme à Sen lis, par les amis de M. Warusfel. Vous pouvez croire que je leur répondis verte ment et de mon plus beau creux. Mais, pour deux compères qu’on disait de mèche, les rapports manquaient un peu de cordialité, n’est-il pas vrai T^fl eût fallu que je fusse une poire exceptionnellement juteuse, après cela, pour m’agenouiller pieds nus, corde au cou et cierge en main, devant d’aussi parfaits camarades en leur demandant peut-être pardon du mal qu’ils m’avaient fait ! Et puis je veux dire toute ma pensée. En quoi et pourquoi avais-je à me dé siste. pour M. Warusfel ? Je suis son aîné. Il n’est pas d’autre part que je sache, de ces personnalités vigoureuses, de ces penseurs géniaux, de ces orateurs fou droyants qu’on hésite à affronter dans l’arène politique. M. Warusfel est, nul ne l’ignore, un « bon républicain ». Ce n’est pas suffisant pour que le maire d’un pays de 1.500 habitants s’incline et s’efface de vant quelqu’un qui ne représente après tout que lui-même. Alors, quand M. Warusfel, avec une gravité prud’hommesque parle de « dé dain » pour ce qu’il appelle ma cuisine électorale, je me contente de hausser les épaules, Du dédaiq? Allons donc ! En bon français cela s’appelle du dépit. Veuillez agréer, etc. Bernard DOUMENS, Maire de Vineuil-Saint-Firmin. Elections au Conseil fiénéral Canton de Senlis Chambre de Commerce | Championnat national de Beauvais et de l’Oise d’Athlétisme agricole Aux Commerçants & Industriels DE L’OISE Comité départemental de l’Oise Secrétariat Générai : 34, rue Taitbout, à Nous recevons la lettre suivante de la Municipalité d’Avilly-Saint-Léonard, que notre impartialité nous fait un devoir d’inséier en respectant son orthographe : Avilly, le 10 Août 1925. A M. le Rédacteur du Courrier de l’Oise, A propos de l’article « les vaincus du scrutin du 26 juillet » le conseil d’Avilly Saint Léonard fait la réponse suivante. M. Georges Picot à toujours été l’élu delà section électorale d’Avilly ; or il a été mis en minorité aux 2 e tours de scrutin à Avilly. Les 61 voix qu’il obtenait aux élections municipales sont devenues 54 quelques mois plus tard. Elu du Canton M. Georges Picot est battu dans sa section électorale. M. Georges Picot a émargé au budjet communal pour les fêtes patronales et nationale ; du monument il n’a payé que les frais d’inauguration avec l’unique désir de se mettre en vedette ; les chiffres du budjet supplémentaire sont fictifs, puisque les dépenses fait en 1924 sont ré glés par la nouvelle municipalité ; les ré parations aux bâtiments communaux n’ont pas été fait et vos lecteurs jugeront si avec le chiffre de dépense en 1924 soit 28 fr. 25 M. Georges Picot à fait tant de réparations ; actuellement cela coûtera par la négligence de l’ancien maire plu sieurs milliers de francs. Pour le conseil municipal : Le Maire : POULET Marcel. L’Adjoint : LECOINTE Sylvain. Note de la Rédaction : Nous publie rons dans notre prochain numéro la ré ponse de M. Georges Picot, conseiller général, à la lettre ci-dessus. ÉPflPJEfJEjff Emploi de Commis stagiaire Un concours pour l’emploi de commis stagiaire du Personnel des Trésoreries Générales et des Recettes des Finances aura lieu le lundi 26 octobre prochain. Les candidats doivent-être âgés de 18 ans au moins et de 30 ans au plus au 1er janvier 1925. Les demandes devront parvenir à la Trésorerie Générale de l’Oise avant le 26 courant. Le Prix du Pain dans l’Oise Conformément à la décision prise par la Commission départemental des blé, farine et pain, le prix limite du pain sera porté, à partir du mardi 11 août 1925, de 1 fr. 60 à 1 fr. 65 le kilogramme, pris en boulan gerie. Au Tribunal Civil de Beauvais Nous apprenons avec grand plaisir la nomination de notre excellent confrère : M. Aristide Gallot aux fonctions de commis greffier près le Tribunal civil de Beauvais, en remplacement de M. Leclerc qui, après 46 ans de services, fait valoir ses droits à la retraite. M. Gallot a prêté serment à l’audience du Tribunal du 31 juillet. • Nous lui présentons nos félicitations les plus cordiale». Chers Concitoyens, Le Gouvernement fait un appel au pa triotisme des Français : nous sommes aux premiers rangs de ceux qui, alors, répon dent « présents ». Il nous demande notre confiance et.notre crédit pour l’aider à re lever dans le monde le crédit de la France et à affermir la confiance que partout elle inspire. Pour atteindre ces buts indispen sables, le Gouvernement vient de lancer un grand Emprunt de consolidation, et nous sommes particulièrement conviés à contribuer à son succès par un effort sur l’efficacité duquel il compte doublement : au point de vue moral, parce que, com merçants et industriels, nous sommes d’a bord bons Français, mettant au dessus de tout l’intérêt de la Patrie ; au point de vue pratique, parce que, producteurs, agents essentiels, — avec les cultivateurs, — de la vitalité nationale, nous sommes sans doute aussi bien placés que d’autres pour affirmer au public les raisons et la valeur de l’opération dont il s’agit d’assurer la réussite. La raisons ? La Guerre, les dépenses de la guerre laissées entièrement à notre charge par le Traité de paix, la restaura tion de nos.immenses ruines à nos seuls frais, la carence de l’Allemagne... Notre pays dévasté, décimé, a dû toùt payer par ses propres ressources. D’où, les emprunts successifs ; d’où les intérêts déjà écra sants de ces emprunts ; d’où, maintenant, l’éventualité, toujours menaçante, de rem bourser le capital des bons et obligations à court terme déjà amoncelés. D’où, enfin, à l’heure présente, l’impérieuse, l’urgente nécessité d’un premier asainissement fi nancier, savoir : la conversion de cette dette flottante en une dette perpétuelle, dont les arrérages, pour être lourds à l’Etat, seront du moins pour lui sans im prévu, le gareront de toute surprise tragi que et lui permettront d’envisager dans la clarté la seconde phase du redressement des finances publiques. La valeur de cette conversion? Indiscu table. Il ne s’agit plus d’un emprunt ordinaire, mais d’un emprunt de consoli dation. A cette consolidation, l’Etat convie tous les porteurs de bons, bons de la Dé fense ou bons du Trésor venant à rembour sement, en échange desquels il leur offre des titres de rente perpétuelle 4 0/0 émis au pair. Intérêt suffisant, « raisonnable » (le Ministre a pu le dire dans l’occurence), qui allège aussi la charge de l’Etat, puis que les titres à convertir étaient du 5 et du 6 0/0. Mais si l’Etat consolide le capi tal de sa dette, le prêteur voit en même temps son revenu pareillement consolidé, par la garantie qui lui est donnée contre une dépréciation du franc. Quoi q u ’il arrive, en effet, le porteur de rente perpé tuelle 4 0/0 1925 touchera un revenu mo déré mais immuable par rapport à la livre anglaise (monnaie-type des transactions commerciales) prise pour base, à la valeur de 95francs. Donc, jamais il ne touchera moins de 4 francs (avec le cours actuel à 103 francs, l’intérêt effectif est de 4 fr. 33) et, de la sorte, ces 4 francs acquerront une plus grande capacité d’achat. Enfin, autre privilège appréciable : le nouveau 4 0/0 est non seulement exempt de l’impôt sur les valeurs mobilières comme le sont les autres rentes sur l’Etat, il est, en outre, exempté de l’impôt global sur le revenu , faveur insigne, logique aussi puisque le nouveau titre remplace les bons qui en bénéficiaient déjà mais exception nelle et que l’épargne doit saisir au pas sage, car par la suite il n’y aura sans doute plus de motif à la lui accorder. Pour toutes ces raisons, commerçants et industriels, nous ne pouvons manquer d’apprécier les pespectives de sécurité que, par conséquence directe, le placement nouveau offre à nos entreprises, qu’elle qu’en soit l’importance. Il est évident que, heureusement réalisée, la consolidation qui s’élabore ne peut que constituer le gage favorable à une stabilisation prochaine de la monnaie et des prix ; et celle-ci étant la condition inflexible de la stabilité des transactions, partant, de la prospérité éco- mique non plus apparente mais réelle et durable dont notre pays a besoin pour reprendre le cours normal de ses destinées, nous savons exactement ce qu’il nous ap partient de faire. Notre devoir nous dicte notre conduite; notre intérêt est en parfait accord avec notre devoir. Nous allons souscrire avec ensemble à YEmprunt de consolidation et, par notre exemple, par une propagande irrésistible auprès de nos pairs, auprès des particu liers aussi, assurer le sqccôs complet d’une fcconde opération de relèvement dont nous aurons la fierté de nous être faits les arti sans actifs et dévoués. Août 1925. Pour la Chambre de Commerce : Le Bureau : E NoëLprésidenthonoraire J. L oisel , président ; F. M oritz , vice-président L. de S éréville , secrétaire G. M aillard , trésorier. AVIS Un examen sera ouvert, au Ministère de l’Intérieur, le lunidi 10 mai 1926 et jours suivants pour l’établissement d’une liste d’aptitude à l’emploi d’agent-voyer darrondissament ou d’agent-voyer ins pecteur. Les conditions d’admission à cet exa men, ainsi que Jfe programme des matières sur lesquelles il portera, sont insérées au journal Officiel du 19 Juin 1995» Un Championnat national d’Athlétisme agricole est organisé dans toute la France, et nombre de départements ont déjà ré pondu à l’appel des organisateurs. Un Comité a été constitué pour l’Oise et j’ai accepté d’en être 1§ Président, dans la pensée que cette initiative pourrait avoir d’heureuses conséquences. Le Bureau de ce Comité est composé de la façon suivante : Président : M. Delaunay Pàul, prési dent de la Commission centrale d’Agri- culture de l’Oise ; Vice-présidents : MM. A. Goré, prési dent de la Société des Agriculteurs de l’Oise ; Marion, président de là Fédération des Syndicats agricoles de l’Oise, admi nistrateur du Syndicatpigricol.e de la Ré gion de Paris ; Henry Girard, agriculteur, membre de l’Académie d’Agriculture, président de la C. G. L. ; Demory, agri culteur, administrateur du Syndicat agri cole de la Région de Paris ; Secrétaire-Général : M. Fleurant-Agri- , cola, rédacteur en chef de « L’Action Agricole » ; Commissaire Départemental : M. L. Porge, ingénieur agronome, secrétaire de la Société des Agriculteurs de l’Oise, 7, rue du Palais-de-Justice, à Beauvais. Une réunion du Comité de l’Oise a eu lieu Mercredi 12 août, à 2 heures, au Central-Hôtel, 40 rue du Louvre, à Paris (près la Bourse du Commerce). Dispensaire de Prophylaxie et d’Hygiène Infantile Le dimanche 21 jute a e» KM ï’inaüfu- ration plar le Conseil {Ràiptefetnition d* la Ligue Nationale Frwtçàisé contre le péril vénérien, du premier dispensaire installé par la Ligue, 1, cour du Château, à Creil. En l’absence de son Président, le Doc teur Jeanselime, professeur à la Faculté de Médecine de Paris, la Ligue était repré sentée par un des Vive-Président*, le Doc teur Queyrat, président de la Commission des Dispensaires, médecin honoraire de l’hôpital Cochin, son directeur général, Docteur Sioard de Plauzolés, professeur au collège libre des Sciences Sociales; son secrétaire général, Docteur Huidelo, mé- doCin-chef de service de l’hôpital Saint- Louis, ainsi que par de nombreux mem bres du Conseil. Le Dispensaire a été installé grâce à la libéralité de généreux donateurs parmi lesquels il convient de citer M. le Baron et Mme la Baronne Robert de Rotchs- child, les Industriels de la région de Creil représentés par M. Paul Daydé, M. Chris tian Lazard, dans une partie encore inoc cupée des bâtiments où fonctionne déjà l’Office d’Hygiène Sociale et de Préserva tion antituberculeuse de l’Oise, loué à bail mur un prix infime à la Ligue par M. le îaron Robert de Rothschild. Son installation est ultra-moderne et il comporte tous les instruments nécessaires pour les soins à donner et les analyses à effectuer suivant les derniçns perfection nements de la science màjdieaile. Son fonctionnement médical est assuré par la Ligue ainsi que par ùhe large con tribution du Groupement des Industriels des régions de Creil, Montataire, Nogent- sur-Oise et environs. , L’Ouverture des consultations a eu lieu le 22 avril; le service en était assuré par le Docteur Queyrat, vice-président de la Ligue, en attendant la nomination sur concours, des médecins et sérologistes titulaires. A la suite de ce concours qui vient d’avoir lieu et qui a été dqa plus brillants, ces postes ont été attribués : Celui de Médecin-Chef : au D' Paul Chevallier, chef de Clinique & l’hôpital Saint-Louis; Celui de Médecin-Adjoint : au D” Geor ges Ba'sch, ancien interne, lauréat des hôpitaux de Paris; Celui de SérologisteChef : au D1 Pierre Girand, chef de laboratoire de la Faculté de Médecine de Paris; Celui de S écologiste-Adjoint : à Mlle Marguerite Tissier, docteur en médecine, chef de laboratoire à l’Hôtel Dieu de Paris. , U est rappelé que le Dispensaire de Prophylaxie et d’Itygiène Infantile est ou vert gratuitement aux indigents et néces siteux des deux sexâs ainsi qu’à leurs en fants, ainsi qu’aux malades adressés au Dispensaire par leur médecin. Les heures et jours de consultations, 1, cour du Château, stmt les suivantes : Mercredi, de 9 h. 80 à 11 h. 30. Samedi, de 15 heures à 17 heures. Affichage obligatoire du prix de vente Le Préfet de l’Oise a pris à la date du 18 juillet 1925 l’arrêté suivant ; Article 1er. — Tout vendeur d’essence qui n’affichera, pas le prix de vente au consommateur,soit en qualité poids lourds, soit en qualité tourisme, sera poursuivi devant le Tribuîial de simple police, conformément aux lois en vigueur. Le prix de l’essence livrée soit enbidôns, soit au moyen de distributeurs automa tiques doit être affiché, en prenant pour unité de mesure, le bidon de cinq litres. Article 2. — Les agents du service de la Répression des fraudes sont plus spé cialement chargés de la recherche et delà constatation des infractions ci - dessus visées. Article 3. — Le présent arrêté sera pu blié et affiché dans toutes les communes du département et inséré an Recueil des Acte» administratif.®.

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Les instituteurs à la G. G. T.

Pour avoir perdu de sou actualité, le ralliement du Syn­dicat National des Instituteurs et Institutrices à la C. G. T.

n ’en demeure pas moins un fait important.

Par ce geste, instituteurs et insti­tutrices n ’ont pas seulement manifesté leur intention de défendre leurs inté­rêts professionnels. En pactisant avec une organisation nettement révolu­tionnaire ils se sont placés résolu­ment sur le terrain de la lutte des classes. Ils ont fait de la « charte d'Amiens » qui prévoit,comme moyen d'action, la révolution par la grève, le u r b ré v ia ire .

Le fait n’a rien qui puisse nous surprendre. Il est l’aboutissement logique de onze mois d ’une politique démagogique, dont le moins qu’on en peut dire est qu'elle fut tendue tout entière à dresser les Français les uns contre les autres.

Mais, considéré en lui-même, ce geste, dont l’importance est grande si l’on veut y voir un symptôme de la tendance qu’ont certaines catégo­ries de fonctionnaires à chercher un appui sur le syndicalisme ouvrier et sur les organisations à tendance révolutionnaire, a-t-il la gravité qu’il plaît à beaucoup de lui donner ?

Nous ne le croyons pas.Et pourtant ! C’est un instituteur

du département de la Loire qui, le 14 juin dernier, déclarait publique­ment : « Rien ne nous rebutera; nous emploierons tous les moyens qu’il faudra pour créer dans le pay£ une vague de défaitisme qui contraindra le gouvernement à mettre bas les armes. Nous dirons aux soldats : prenez le fusil que la bourgeoisie met entre vos mains, mais un jour peut- être vous aurez l’occasion de vous en servir contre vos exploiteurs ».

Faisons néanmoins aux instituteurs l’honneur de croire qu'il n’y a pas dans ces paroles l’expression de leur volonté générale, et que la triste mentalité flétrie par M. Doumergue au cours de sa visite au plateau des Petites-Roches n ’est pas la leur.

Nous souffrons d’une éducation nationale comprise à rebours, d ’une éducation nationale qui Consiste à faire croire k chaque travailleur que l’intérêt de sa vie est en dehors de son métier, qu’il améliorera son sort par la révolution plus que par une application sans défaillance à sa tâche quotidienne.

Contre ce mal qu’exploitent les syndicats révolutionnaires des ins­tructions répétées mettent en garde nos instituteurs. Ceux-ci, d’ailleurs, convaincus de la noblesse de leur rôle éducateur et fiers à juste titre de la considération dont souvent ils jouissent, ne tarderont pas k com­prendre que la route est semée d’écueils sur laquelle ils se sont engagés derrière M. Glay. Ils ne tar­deront pas à comprendre aussi que leur adhésion à des organisations révolutionnaires peut être le point de départ d’une opposition sans cesse grandissante entre eux et bien des parents. Or, s’isoler moralement des populations auxquelles il vit, n’est-ce pas pour un « maître d’école » rendre impossible le prétendu merveilleux édifice que doit être l’école unique de la cité future ?

Echos et NouvellesJEU X DE PHYSIONOM IE

Dans son nouvel ouvrage, le docteur Ca­banes note que l’art des comédiens consiste, poür une part, à bien connaître le mécanisme musculaire de leur physionomie, afin de le faire mouvoir à leur gré.

Combien est-il de sujets, par exemple, qui, utilisant ou non une disposition, originelle, développent, perfectionnent certains de leurs murcles expressifs ! Au début, les acteurs ne jouent presque jamais de îa physionomie ; ils n’y arrivent qu’à la longr.s. en cherchant à acquérir la perfection, la maîtrise de leur art.

Les comiques travaillen': surtout les mus­cles de la lèvre supérieure et du nez. Un d’entre eux disait au docteur Charpy qu’il avait découvert quarante manières de remuer le nez.

Les tragiques opèrent plutôt sur le front et la lèvre inférieure. Taima arrivait de la sorte à obtenir des effets surprenants.

Un acteur anglais fameux, Garrick, jouait de ses muscles comme de touches de piano ; il exécutait une gamme du visage, en passant de toutes les nuances de la joie la plus vive à celles de la plus profonde douleur.

11 e-t des artistes qui peuvent présenter dix visages différents, à quelques secondes d’intervalle ; et ces transformations succes­sives, ils les obtiennent par la seule contrac­tion musculaire, Et le docteur Cabanès cite l’actaar italien Novell», le mime français Sév.rln.

La* Çmfitsitis 4* I» Médecins •

P O ISSO NS DE COM BATComme d’autres peuples prennent plaisir

à voir s’affronter des coqs, des chiens, spécia­lement dressés à ces jeux sanguinaires, les Siamois se délectent aux combats de poissons. Pour petits qu’ils soient, ces animaux n'en sont pas moins belliqueux, et leurs lutte» sont souvent mortelles. Ils ont ceci de remar­quable que leur excitatipn guerrière modifie leurs couleurs. De jaune pâle, on les voit devenir dorés, rouges, revêtir d’éclatantes nuances pourpre. Et le spectacle est féerique, bien que cruel.

L’aquarium du Jardin Zoologique de Londres a le bonheur de posséder quelques spécimens de ces féroces petits êtres. Et l’on a imaginé un ingénieux moyen de faire ad­mirer aux visiteurs leur changeante splendeur, sans mettre en danger leur vie. On place deux de ces poissons dans le même bassin aux parois de verre, comportant une cloison médiane. Ils s’aperçoivent, tombent en arrêt, se provoquent et, pleins de fureur, le reflet de leurs émotions passant en ondes colorées sur leurs corps nacrés, se précipitent l’un sur l’autre. 0 stupeur I un obstacle invisible les sépare, un mur transparent dont ils ne peuvent imaginer la nature, les empêche de se déchirer, de lacérer à coups de dents leurs souples nageoires, longues et flottantes, leur queue arrondie en forme d’éventail exotique.

Leur étonnement et leur rage impuissante se traduisent en couleurs merveilleuses, en tons d’arc-en-ciel qui se transforment, s’ef­facent et renaissent pour le ravissement des spectateurs. Finalement, les petits énergu- mènes se lassent, s’éloignent avec dignité et s’ignorent dédaignesement, retombés à leur apparence modeste et toute leur beauté disparue.

Daily Mail.

P R É SE N T S SA H A R IE N SUn intéressant et anonyme journal de

voyage nous révèle que les présents n’entraî­nent pas à grande dépense dans le Sahara :

« Dans l’après-midi du lendemain, j’en­voyai au gouverneur deux livres de sucre français, une livre de clous de girofle et une livre de seunbeul (littéralement les tiges). C’est, d’après les botanistes français orien­taux, le nard, spina celtica. Il s’en vend d’immenses quantités dans le désert. On ne doit faire aucun présent à un homme de quelque importance sans lui en offrir. Les dames du Sahara se servent d’une décoction de ses feuilles en guise d’eau de Cologne. Les clous de girofle, greunfel, sont très recherchés, surtout par les femmes, qui en assaisonnent leurs gâtaux, leurs couscouss et différents mets.

‘‘ Une vingtaine de femmes Touareg sont venues me voir, après être restées quelques instants devant moi avec tous les signes de l’étonnment, elles commencèrent à s’agiter dans tous les sens. Ne sachant qu'en faire, je pris un morceau de sucre et le cassai en mor­ceaux, que je leur distribuai. La scène changea subitement, la joie brilla dans tous les yeux, chaque langue s’agita avec volubilité. Elles me demandèrent alors si j'etais marié, si les lemmes chrétiennes étaient ' jolies, si elles étaient plus jolies qu'elles, et si, n’étant pas marié, je verrais quelque objection à épouser l’une d’elles. Ceci ne doit pas étonner : les femmes Touareg ont une existence bien différente de celle des femmes maures musul­manes ; elles jouissent de beaucoup plus de liberté, vont toujours sans voile, et prennent une part active à toutes les affaires, à toutes les transactions de leurs maris. La vivacité de ces femmes, les égards que les hommes ont pour elles, forment un contraste frappant avec les mœurs des autres Etats mahométans.

“ On importe des aiguilles dans le désert, mais jamais d’épingles. Je remis à chacune de mes visiteuses, au moment où elles s’en allaient, quelques épingles ; et comme elles n'en connaisssaient pas l’usage, je leur donnai une leçon pratique en en fixant une ou deux sur leurs vêtements, ce qui excita leur joie d’une manière extraordinaire. "

La Dépêche Commerciale. ■

PEINTU RE E T FINANCE

J ’ai acheté à terme io Picasso, ç Derain, 50 Utrillo, disait un financier dans une scène de sketch, et j ’ai donné l’ordre de vente...

— Alors, vous n’avez nfême pas vu ces œuvres ? répliquait un ami. Vous ne regardez jamais les tableaux que vous achetez ?

— Idiot ! demandes tu donc à voir le Canal quand tu achètes 50 Suez ?

Le Bulletin de la Nie Artistique.

A V I S

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A toute demande de rensei­gnements, il ne sera répondu que si la lettre est accompagnée d’un timbre pour la réponse.

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Dernier écho de l’Élection Cantonale

L ’ E X P O R T f l T E U pFRANÇAIS >

Qranfle Revue beM omailalre des Proflnctenrs et des Acheteurs PARIS, 1 , ru e T aitbou t, PARIS

L» N* 2 fr . (en vente d a n s t o u t les k iosques)

r(A bonnem en t d ’un an (5 2 n u m é ro s ) :

F ra n c e , 7 S f r . | « f r a n g e r , IQO fr. donnant droit i / o lignez 4* publicité gratuite

Une Lettre de M. Bernard Doumens

M . B ernard D oum ens, m aire de Vi- neuil-Sairit-F irm in, fa it appel à noire courtoisie pour nous p rier d’Insérer la lettre qu’on va lire •"

M onsieur le Directeur,La dernière élection cantonale serait,

Dieu merci ! oubliée depuis longtemps à Senlis, si une ridicule controverse à re­tardem ent n ’avait surgi à laquelle je vous dem ande de bien vouloir m ’aider à mettre fin, en publiant la mise au point que voici :

Dans son journal, M. W arusfel déclare qu’au cours d ’une conversation sur le quai de la gare de C hantilly, j ’aurais pris, par­lant à sa personne, l’engagement de me désister éventuellem ent en sa faveur. Il ajoute que j’aurais souscrit le même enga­gement envers une « ém inente personna­lité de l’arrondissem ent » et que, d ’autre part, je lui aurais envoyé à lui-même « quelqu’un » pour lui dem ander de s’en­gager réciproquem ent à mon égard, etc. Voilà bien des engagements ! on se croi­rait au M ont-de-Piété et M. W arusfel parle et tranche comme s’il était mon créancier ou comme si je lui devais quel­que chose. Or, je ne lui dois rien du tout, je m’en flatte et je vais l ’établir une fois pour toutes.

Je commence par déclarer que j’ignore totalement quelle peut être cette « ém i­nente personnalité » dont la modestie est vraim ent m éritoire puisqu’on nous laisse ignorer son nom, sa naissance et jusqu’à son domicile. J ’ajoute que je n ’ai à aucun moment m andaté qui que ce soit pour aller solliciter de M. W arusfel un enga­gement quelconque et je n ’entends pas endosser la responsabilité des absurdités que des mouches du coche anonymes ont pu commettre, ce que j’ignore. Enfin, je vais préciser les termes de la fameuse conversation de C hantilly dont il fait si grand état.

Elle eut lieu,.en effet, sur le quai de la gare — lieu désormais historique — en­viron un mois avant l’élection et voici comme. J ’attendais mon train , bien plus préoccupé de caser mes jeunes enfants sans bousculade que d’élections départe­m entales, je vous assure, quand M. W a ­rusfel vint à moi. Il me dit savoir mon projet de candidature et me fit part de son intention de me convier à une réunion du Comité radical dans le but, me dit-il, de nous départager et de savoir lequel de nous deux aurait l’estam pille du Cartel.Je lui répondis tout de suite et catégori­quem ent qu’il n ’eût pas à prendre la peine de me prier à une réunion où je n ’avais que faire et qu’au surplus il ne m ’était jam ais venu à l’idée de briguer l’investiture du Cartel. Farouchem ent in ­dépendant et très chatouilleux sur ma liberté, j ’avais cru voir dans la proposi­tion de M. W arusfel comme une tentative d ’encerclem ent. Nos propos en fussent sans doute restés là si m on interlocuteur n’avait montré une figure longue d’une aune devant l’affirmation de ma candida­ture décidém ent indépendante.

Je n’ai pas un cœur de pierre. Je savais comme tous les Senlisiens que M. W aru s­fel brigue un m andat politique depuis des années et avec une persévérance digne d’un m eilleur sort. Je crus charitable de le rem onter en lui faisant observer que m a candidature, telle que je l’affirmerai sur le terrain des intérêts cantonaux, ne pourrait en rien lui nuire puisqu’elle visait à grouper ces voix du centre qu’en aucun cas M. W arusfel ne pouvait espérer rallier à son program m e. Je me souviens p ar­faitement avoir ajouté que si quelques voix de gauche, celles de salariés oomme moi- même ou d’amis personnels désireux de me témoigner leur sym pathie, se comp­taient sur mon nom au prem ier tour, elles retourneraient spontanément au second tour à M. W arusfel, s’ipétait placé avant moi au ballottage. E t ce fut tout. C’était assez.

Quelques jours plus tard, le bruit com ­mença à courir qu’il y avait accord entre nous. Je n ’y attachai quant à moi qu 'une médiocre importance. Il n ’y a pas de cam ­pagne électorale sans ragots ni roman chez la portière. La stricte vérité est qu’après la conversation anodine de C hantilly, je fus sollicité plus de 2 0 fois et de manière parfois assez déplaisante par des am is de M. W arusfel, d ’ailleurs plus dévoués qu’adroits, de prendre des engagements en vue d ’un désistement m utuel. Visible­ment, ma candidature gênait de plus en plus ces messieurs. Car c’est là qu’appa- raît le côté comique de l’affaire, on veut faire de moi je ne sais quel traître de mé lodrame comme si j’étais allé quém ander on ne sait quoi, alors que, j’y insiste, c’est n oi qui fus littéralem ent harcelé par des officieux, du reste pas toujours polis et que Je dus remettre à leur place. Vous savez lo reste. Ne disposant personnellement d ’au

cun journal — peut-être mes amis et moi créerons quelque jour un hebdom adaire satirique pour faire plaisir à M. W arusfel — j’adressai ma profession de foi au Courrier et à la Gazette qui refusa de l ’insérer, vraisem blablem ent sur les ins­tances de son collaborateur. Entre temps, j ’étais pris à partie dans les réunions pu­bliques, parfois violemment comme à S en­lis, par les amis de M. W arusfel. Vous pouvez croire que je leur répondis verte­ment et de mon plus beau creux. Mais, pour deux compères qu’on disait de mèche, les rapports m anquaient un peu de cordialité, n ’est-il pas vrai T^fl eût fallu que je fusse une poire exceptionnellem ent juteuse, après cela, pour m ’agenouiller pieds nus, corde au cou et cierge en main, devant d ’aussi parfaits cam arades en leur demandant peut-être pardon du mal qu’ils m ’avaient fait ! E t puis je veux dire toute ma pensée.

En quoi et pourquoi avais-je à me dé­siste. pour M. W arusfel ? Je suis son aîné. Il n’est pas d’autre part que je sache, de ces personnalités vigoureuses, de ces penseurs géniaux, de ces orateurs fou­droyants qu’on hésite à affronter dans l ’arène politique. M. W arusfel est, nul ne l’ignore, un « bon républicain ». Ce n ’est pas suffisant pour que le m aire d ’un pays de 1.500 habitants s’incline et s’efface de­vant quelqu’un qui ne représente après tout que lui-même.

Alors, quand M. W arusfel, avec une gravité prud’hommesque parle de « dé­dain » pour ce qu’il appelle ma cuisine électorale, je me contente de hausser les épaules, Du dédaiq? Allons donc ! En bon français cela s’appelle du dépit.

Veuillez agréer, etc.Bernard DO U M EN S,

M aire de V ineuil-Sa in t-F irm in .

Elections au Conseil fiénéralCanton de Senlis

Chambre de Com m erce | Championnat nationalde B eauvais et de l ’Oise d’Athlétisme agricole

Aux Commerçants & IndustrielsDE L ’O I S E

Comité départemental de l’Oise Secrétariat Générai : 34, rue Taitbout, à

Nous recevons la lettre suivante de la M u n ic ip a l i t é d ’A v i l l y -S a in t -L é o n a rd , q u e notre im partialité nous fait un devoir d ’inséier en respectant son orthographe :

Avilly, le 10 Août 1925.A M. le Rédacteur

du Courrier de l ’Oise,A propos de l’article « les vaincus du

scrutin du 26 juillet » le conseil d’Avilly Saint Léonard fait la réponse suivante. M. Georges Picot à toujours été l’élu d e là section électorale d ’Avilly ; or il a été mis en minorité aux 2 e tours de scrutin à Avilly. Les 61 voix qu’il obtenait aux élections m unicipales sont devenues 54 quelques mois plus tard. E lu du Canton M. Georges Picot est battu dans sa section électorale. M. Georges Picot a émargé au budjet communal pour les fêtes patronales et nationale ; du monument il n ’a payé que les frais d ’inauguration avec l ’unique désir de se mettre en vedette ; les chiffres du budjet supplém entaire sont fictifs, puisque les dépenses fait en 1924 sont ré­glés par la nouvelle m unicipalité ; les ré­parations aux bâtim ents communaux n ’ont pas été fait et vos lecteurs jugeront si avec le chiffre de dépense en 1924 soit 28 fr. 25 M. Georges Picot à fait tant de réparations ; actuellem ent cela coûtera par la négligence de l’ancien m aire plu­sieurs m illiers de francs.

Pour le conseil m unicipal :Le M aire : PO U L E T M arcel.

L ’A d jo in t : L E C O IN T E Sylvain.

Note de la Rédaction : Nous publie­rons dans notre prochain numéro la ré­ponse de M. Georges Picot, conseiller général, à la lettre ci-dessus.

É P f l P J E f J E j f fEmploi de Commis stagiaire

Un concours pour l’emploi de commis stagiaire du Personnel des Trésoreries Générales et des Recettes des Finances aura lieu le lundi 26 octobre prochain.

Les candidats doivent-être âgés de 18 ans au moins et de 30 ans au plus au 1er janvier 1925.

Les demandes devront parvenir à la Trésorerie Générale de l’Oise avant le 26 courant.

Le Prix du Pain dans l’OiseConformément à la décision prise par la

Commission départem ental des blé, farine et pain, le prix lim ite du pain sera porté, à partir du m ardi 11 août 1925, de 1 fr. 60 à 1 fr. 65 le kilogram m e, p r is en boulan­gerie.

Au Tribunal Civil de BeauvaisNous apprenons avec grand plaisir la

nomination de notre excellent confrère : M. Aristide Gallot aux fonctions de commis

greffier près le T ribunal civil de Beauvais, en remplacement de M. Leclerc qui, après 4 6 ans de services, fait valoir ses droits à la retraite.

M. Gallot a prêté serm ent à l’audience du Tribunal du 31 juillet.• Nous lui présentons nos félicitations les plus cordiale».

Chers Concitoyens,Le Gouvernement fait un appel au pa­

triotism e des Français : nous sommes aux prem iers rangs de ceux qui, alors, répon­dent « présents ». Il nous dem ande notre confiance et.notre crédit pour l’aider à re­lever dans le monde le crédit de la France et à affermir la confiance que partout elle inspire. Pour atteindre ces buts indispen­sables, le Gouvernement vient de lancer un grand E m p ru n t de consolidation, et nous sommes particulièrem ent conviés à contribuer à son succès par un effort sur l ’efficacité duquel il compte doublement : au point de vue moral, parce que, com­merçants et industriels, nous sommes d ’a­bord bons Français, m ettant au dessus de tout l ’intérêt de la Patrie ; au point de vue pratique, parce que, producteurs, agents essentiels, — avec les cultivateurs, — de la vitalité nationale, nous sommes sans doute aussi bien placés que d’autres pour affirmer au public les raisons et la valeur de l’opération dont il s’agit d ’assurer la réussite.

L a raisons ? La Guerre, les dépenses de la guerre laissées entièrem ent à notre charge par le T raité de paix, la restaura­tion de nos.im m enses ruines à nos seuls frais, la carence de l ’A llem agne... Notre pays dévasté, décimé, a dû toùt payer par ses propres ressources. D ’où, les em prunts successifs ; d ’où les intérêts déjà écra sants de ces em prunts ; d ’où, m aintenant, l ’éventualité, toujours m enaçante, de rem ­bourser le capital des bons et obligations à court terme déjà amoncelés. D’où, enfin, à l’heure présente, l ’im périeuse, l’urgente nécessité d ’un prem ier asainissem ent fi­nancier, savoir : la conversion de cette dette flo ttan te en une dette perpétuelle, dont les arrérages, pour être lourds à l ’Etat, seront du moins pour lui sans im ­prévu, le gareront de toute surprise trag i­que et lui perm ettront d’envisager dans la clarté la seconde phase du redressement des finances publiques.

La valeur de cette conversion? Indiscu­table. Il ne s’agit plus d’un em prunt ordinaire, mais d ’un em prunt de consoli­dation. A cette consolidation, l ’E tat convie tous les porteurs de bons, bons de la Dé­fense ou bons du Trésor venant à rem bour­sement, en échange desquels il leur offre des titres de rente perpétuelle 4 0/0 émis au pair. Intérêt suffisant, « raisonnable »(le M inistre a pu le dire dans l’occurence), qui allège aussi la charge de l’E tat, puis­que les titres à convertir étaient du 5 et du 6 0/0. Mais si l ’E tat consolide le capi­tal de sa dette, le prêteur voit en même temps son revenu pareillem ent consolidé, par la garantie qui lui est donnée contre une dépréciation du fra n c . Quoi qu’il arrive, en effet, le porteur de rente perpé­tuelle 4 0/0 1925 touchera un revenu mo­déré mais immuable par rapport à la livre anglaise (monnaie-type des transactions commerciales) prise pour base, à la valeur de 95francs. Donc, jam ais il ne touchera moins de 4 francs (avec le cours actuel à 103 francs, l’intérêt effectif est de 4 fr. 33) et, de la sorte, ces 4 francs acquerront une plus grande capacité d ’achat.

Enfin, autre privilège appréciable : le nouveau 4 0 /0 est non seulement exempt de l ’impôt sur les valeurs mobilières comme le sont les autres rentes sur l’Etat, il est, en outre, exempté de l’impôt global sur le revenu , faveur insigne, logique aussi puisque le nouveau titre rem place les bons qui en bénéficiaient déjà mais exception­nelle et que l’épargne doit saisir au pas­sage, car par la suite il n ’y aura sans doute plus de motif à la lui accorder.

P our toutes ces raisons, commerçants et industriels, nous ne pouvons m anquer d’apprécier les pespectives de sécurité que, par conséquence directe, le placement nouveau offre à nos entreprises, qu’elle qu’en soit l’im portance. Il est évident que, heureusem ent réalisée, la consolidation qui s’élabore ne peut que constituer le gage favorable à une stabilisation prochaine de la monnaie et des prix ; et celle-ci étant la condition inflexible de la stabilité des transactions, partant, de la prospérité éco- mique non plus apparente mais réelle et durable dont notre pays a besoin pour reprendre le cours norm al de ses destinées, nous savons exactement ce qu’il nous ap ­partient de faire.

Notre devoir nous dicte notre conduite; notre intérêt est en parfait accord avec notre devoir.

Nous allons souscrire avec ensemble à Y E m p ru n t de consolidation et, par notre exemple, par une propagande irrésistible auprès de nos pairs, auprès des particu­liers aussi, assurer le sqccôs complet d ’une fcconde opération de relèvement dont nous aurons la fierté de nous être faits les arti sans actifs et dévoués.

Août 1925.P o u r la Chambre de Commerce :

L e B ureau :E N oëLprésidenthonoraire J. L o i s e l , président ;F. M o r i t z , vice-président L. de S é r é v i l l e , secrétaireG . M a i l l a r d , t r é s o r i e r .

A V I SUn examen sera ouvert, au M inistère de l’In térieur, le lunidi 10 m ai 1926 et jours suivants pour l’établissem ent d ’une liste d ’aptitude à l’emploi d ’agent-voyer darrondissam ent ou d ’agent-voyer ins­pecteur.

Les conditions d’adm ission à cet exa­men, ainsi que Jfe program m e des m atières su r lesquelles il portera, sont insérées au journal Officiel du 19 Juin 1995»

Un C ham pionnat national d ’A thlétism e agricole est organisé dans toute la France, et nombre de départem ents ont déjà ré­pondu à l’appel des organisateurs.

Un Comité a été constitué pour l’Oise et j ’ai accepté d’en être 1§ Président, dans la pensée que cette initiative pourrait avoir d’heureuses conséquences.

Le B ureau de ce Comité est composé de la façon suivante :

P résiden t : M. D elaunay P àu l, p rési­dent de la Commission centrale d’Agri- culture de l’Oise ;

Vice-présidents : MM. A. Goré, prési­dent de la Société des Agriculteurs de l ’Oise ; M arion, président de là Fédération des Syndicats agricoles de l’Oise, adm i­n istrateur du Syndicatpigricol.e de la R é­gion de Paris ; H enry G irard, agriculteur, membre de l’Académie d’A griculture, président de la C. G. L. ; Demory, agri culteur, adm inistrateur du Syndicat agri­cole de la Région de Paris ;

Secrétaire-G énéral : M. Fleurant-A gri- , cola, rédacteur en chef de « L ’Action Agricole » ;

Commissaire D épartem ental : M. L. Porge, ingénieur agronome, secrétaire de la Société des A griculteurs de l’Oise, 7, rue du Palais-de-Justice, à Beauvais.

Une réunion du Comité de l’Oise a eu lieu M ercredi 12 août, à 2 heures, au Central-H ôtel, 40 rue du Louvre, à P a ris (près la Bourse du Commerce).

Dispensaire de Prophylaxie et d’Hygiène Infantile

Le dim anche 21 ju te a e» KM ï’inaüfu- ra tion plar le Conseil {R àip te fe tn itio n d* la Ligue Nationale Frw tçàisé contre le péril vénérien, du prem ier d ispensaire installé p a r la Ligue, 1, cour du Château, à Creil.

En l’absence de son P résident, le Doc­teu r Jeanselime, professeur à la Faculté de Médecine de Paris, la Ligue était rep ré­sentée p a r un des Vive-Président*, le Doc­teur Queyrat, président de la Commission des Dispensaires, m édecin honoraire de l’hôpital Cochin, son d irec teur général, D octeur Sioard de Plauzolés, professeur au collège lib re des Sciences Sociales; son secrétaire général, Docteur Huidelo, mé- doCin-chef de service de l’hôp ita l Saint- Louis, ainsi que p a r de nom breux mem­bres du Conseil.

Le D ispensaire a été installé grâce à la libéralité de généreux donateurs parm i lesquels il convient de c iter M. le Baron et Mme la Baronne Robert de Rotchs- child, les Industriels de la région de Creil représentés p a r M. Paul Daydé, M. Chris­tian Lazard, dans une partie encore inoc­cupée des bâtim ents où fonctionne déjà l’Office d’Hygiène Sociale et de Préserva­tion antituberculeuse de l’Oise, loué à bail m ur un p rix infime à la Ligue p a r M. le îa ron Robert de Rothschild.

Son installation est ultra-m oderne et il com porte tous les instrum ents nécessaires pour les soins à donner et les analyses à effectuer suivant les derniçns perfection­nements de la science màjdieaile.

Son fonctionnem ent m édical est assuré p a r la Ligue ainsi que p a r ùhe large con­tribu tion du Groupement des Industriels des régions de Creil, M ontataire, Nogent- sur-Oise et environs. ,

L’Ouverture des consultations a eu lieu le 22 avril; le service en était assuré p a r le D octeur Queyrat, vice-président de la Ligue, en attendant la nom ination sur concours, des m édecins et sérologistes titu laires.

A la suite de ce concours qui vient d ’avoir lieu et qui a été dqa plus brillan ts, ces postes ont été attribués :

Celui de M édecin-Chef : au D ' Paul Chevallier, chef de Clinique & l’hôpital Saint-Louis;

Celui de M édecin-Adjoint : au D” Geor­ges Ba'sch, ancien in terne, lauréat des hôpitaux de P aris;

Celui de SérologisteC hef : au D1 P ierre Girand, chef de laborato ire de la Faculté de Médecine de P aris ;

Celui de S écologiste-Ad jo in t : à Mlle M arguerite Tissier, docteur en m édecine, chef de laborato ire à l’Hôtel Dieu de Paris. ,

U est rappelé que le D ispensaire de Prophylaxie et d’Itygiène Infantile est ou­vert gratuitement aux indigents e t néces­siteux des deux sexâs ainsi qu’à leurs en­fants, ainsi qu’aux m alades adressés au Dispensaire par leu r m édecin.

Les heures et jours de consultations, 1, cou r du Château, stm t les suivantes :

Mercredi, de 9 h. 80 à 11 h. 30.Samedi, de 15 heures à 17 heures.

Affichage obligatoiredu prix de vente

Le Préfet de l’Oise a pris à la date du 18 juillet 1925 l’arrêté suivant ;

A rtic le 1er. — Tout vendeur d’essence qui n ’affichera, pas le prix de vente au consom m ateur,soit en qualité poids lourds, soit en qualité tourisme, sera poursuivi devant le Tribuîial de sim ple police, conformément aux lois en vigueur.

Le prix de l’essence livrée soit enbidôns, soit au moyen de distributeurs autom a­tiques doit être affiché, en prenant pour unité de mesure, le bidon de cinq litres.

A rtic le 2 . — Les agents du service de la Répression des fraudes sont plus spé­cialement chargés de la recherche et d e là constatation des infractions ci - dessus visées.

A rtic le 3. — Le présent arrêté sera pu­blié et affiché dans toutes les communes du départem ent et inséré an Recueil des Acte» administratif.®.

Page 2: chaque Les instituteurs à la G. G. T. Une Lettre de M ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1925-1926/bms_js_1925_08_16_MRC.pdf · de toutes les nuances de la joie la plus vive à celles de

LE COURRIER D E L/OISE

Un Chauffeur CondamnéNous avons relaté en son temps l’acci-

tïent m ortel causé à Versailles p a r un a chauffard » nommé Allègre, à une vî­te s » folle cet ènergnrnène tua un cycliste, m enaça de revûlVer la îou'le indignée et p r i t lé fuite.

L ’A. G. de lTle-de-Fran.ee qui s’était portée partie civile au nom des automo­bilistes, de la veuve et d ’un orphelin a obtenu gain de cause devant le T ribunal correctionnel de Versailles, qui reg re t­tan t de ne pouvoir infliger que le m axi­m um de la peine au chauffard assassin, a condam né celui-ci à 3 ans 2 mois de p ri- tson, 205 francs d'am ende, 75.000 francs Ide dommages-intérêts et alloué 1 franc à l ’A. C. de l’Ile-de-France p artie civile.

Fièvre aphteuseC ir c u la t io n d a n s le d é p a r te m e n t d e l'O ise

dès anim aux en provenance du M archéde la V illetle.Un arrêté préfectoral en date du 31

Octc/bfè 1923, stipule que les anim aux provenant du M arché de la Villette doivent être amenés patr voie d e fer jusqu 'à fa gare la plus rapprochée de l’abattoir public o’ü de la tuerie particulière où doit s’effectuer l’abatage.

Lors du débarquem ent, le vétérinaire- inspecteur de l’abattoir ou de la tuerie délivré, âûx frais des ihtrôflùctèurs, un certificat de santé valable seulement pour la journée ; si les anim aux sont reconnus indem nes de fièvre aphteuse, ils peuvent sè rendre à pied à destination ; dans le cas contraire, ou lorsque le vétérinaire- inspecteur n ’est pas présent au moment du débarquem ent, les anim aux doivent être transportés en yoiturp.

En aucun cas, ils ne peuvent être réexpédiés.

Messieurs les Bouchers et Charcutiers domiciliés dans le départem ent de l’Oise sont informés que cet arrêté est toujours en vigueur ët qu’en ne se conformant pas aux prescriptions qu’il contient ils s’expo­seraient à des poursuites devant les T ri­bunaux judiciaires.

La médaille d’honneuràux Musiciens

La médaille d 'honneur des sociétés m usicales et chorales est attribuée àüx musiciens de l’arrondissem ent de Seuils dont lés noms suivent :

MM.Aubin (Alfred), à Cham bly.Bouchinet (H enri), à Saint-M axim in. Boulanger (M arius), à Creil.Boulet (Auguste), à Senlis.Boutilioa (Léon), à C reil.Breton (Joseph), à Saiut-Vaast-les-M ello. Brieogne (Augustin), à Nogent-sur-Ôise. Cavillon (Rigobert) à Orry-la-Ville. Delgorgue (Alexis), à Çreil.Depret (Vital), à Cires-les-Mello.Dubus (Jules), à Cires-les-M ello.Duchâtel (Albert), à Cires-les-M ello. Falck (Georges), à Mello).Fallet (Léon), à Cham bly.Félix (Désiré), à Baron.F leury (Léon), à Cham bly.Fourm er (Albert), à Cires-les-M ello. Fournier (Albert), à Neuilly-en-V helle. Gérin (Alexandre), à Oires-les-MelLo. Uériu (Nicolas), à Cires-les-M ello.Geudet (Henri), à Cires-les-M ello.H allot (Pierre), 4 Cires-les-M ello.Jam bé (M artin), à Cires les-M èilo. Ju lliard (Charles-), à Saint-M axim in. Lengellô (A déodatfà Creil,M oureaux (Charles), à N ogent-sur Oise. Pacques (Julien), à B alagny-sur-Thérain. Parm entier (Alfred), à Cires-les-Mello, Parm entier (Désiré), à Cires-les-M ello. Petitroux (H enri), à C ham bly .Portem er (Anicet), à Creil Poupart (Prosper), à Cires-les-M ello. Réllot (Arthur), à B alagny-sur-Thérain. Rouilette (Justin) à Cires-les Mello.Taisne (Ferdinand), à Cires-les-Mello.

j Valet (H enri), à Saint-M axim in. •» .- -

lûtes Nombreuses FrançaisesArrondissement de Senîts

M édaille d ’QrMmes :

G ilant A rthur, née Gode A délaïde, à . A utheuil-en-Valois, 1 0 en fan ta

Laverdure Em ile, née Vestiel Léonie, à N éry, 1 0 enfants.

Lefebvre Em ile, née Poulm aire Elisabeth, à M onta taire, 10 enfants.

Vantelon Jean, née Bayer M arguerite, à M ontataire, 10 enfants.

M édaille d ’A rg e n t ■Mmes :

Bouchard Em ile, née. M artin C laire / à V ineuil-Saint-Fi-rm in, 9 enfants.

Gourlot Ernest, née Créquy Irm a, à Duvy, 8 enfants.

Verdet Clovis; née Neveu Valentine, à No- gent-sur Oise, 8 enfants.

M édaille de B ronze ,M i n e s :

Boulvat Alphonse., née Susest Véronique, à Aufhéuîl-en-Valois, 5 enfants.

Chaux Désiré, née lio y e r Jeanne, à Pies sis Believille, 6 enfants,

Dely Achille, née Momont Julie, à Béthi- sy-Saint-Pierre, 6 enfants

Fâche A rthur, née G ilant Cloiilde, à A i- theuil en Val ois, £1 enfeuts.

From ent Edm ond, née Qféquy Marie, à Duvy, 7 enfants.

Gilant Théodore, née Tfauillier Célestine, à Autheuil-en-Valois, 5 enfants.

Hamoniez M arin, née Voidet C laire, à Autheuil-en-Valois, 5 enfants.

Lacroix Adolphe, née D am bry M athilde, à Autheuil-en-Valois, 5 enfants.

Leirens Charles, née Bontemps Adèle, à Duvy, 6 enfants,

Lheuillier Paul, née Jaunet Louise, à D u­vy, 7 ..enfants.

Rebreget Jean, née Bâton Louise, à Duvy,7 en fan ts .

Ruffin Léopold, (veuve) née Milol Célina, à Aumont, 7 enfants.

Tessier Fernand, née Delorme Em ilienne, à Autheuil-en-Valois, 5 enfants.

Suppléments temporaires de pensionA ttr ib u tio n aux pensionnéa de la loi du

31 mars 1919 de suppléments spéciaux temporaires de pension , allocation ou m ajoration, accordés p a r la loi de Finances du 13 ju ille t 1925.L attention des pensionnés, bénéficiaires

de la loi du 31 mars 1919, invalides, veuves ou ascendants, est attirée tout spécialement sur 1ns points suivants j

1° Les déclarations concernant l’a ttri­bution de Suppléments afférents à un titre Re pefiMou egtte&tev; *"**•»« M p fa ty « m u 1

léeou suspendue depuis le 1er ja n v ier 19 2 5 , doivent être remises aux comptables- payeurs.

2° Les déclarations concernant l’attribu­tion de suppléments afférents à un titre d ’allocation provisoire d 'attente doivent, au contraire, dans tous les cas être adres­sées au Sous-Intendant Milita-ire accom­pagnées du titre provisoire.

Les intéressés qui, depuis le l or Ja n ­vier 1925, auront bénéficié d’abord d ’un litre de peu *iuu, puis d ’un titre d ’alloca­tion, devront souscrire deux déclara fions, l’une relative au 1 er titre à rem ettre aux com ptables-payeurs, l’autre concernant le 2" titre à adresser au Sous-Intendant M ilitaire.

3° Les m arins ou ayants-droit de m arins bénéficiaires de l’allocation d’attente, de­vront adresser leur déclaration au Com­missaire ch a rg é du Service de la Solde et des pensions, au port d ’attache du m arin ayant droit ou ayant-cause.

4° Les demandes d ’attribution d ’une in­dem nité co-m pertsatrioe formulée par les anciens prisonniers de guerre, titulaires d'une pensipn d ’invalidité, devront, être adressées, qu’il s’agisse de m ilitaires ou de m arias; au Sous-Intendant M ilitaire chargé du Service des pensions dans leur départem ent de domicile.

Là Sous-Intendance départem entale des pensions de Beauvais, 7, rue Feutrier, fournira aux pensionnés titu la ires , d’un titre provisoire, et aux anciens prison­niers de guerre, titulaires d ’une pension d ’invalidité, les formules de déclarations ou de dem andes visées, ci-dessus.

Conseil ^Arrondissement

L'instruction publiqueau Canada français

L ’enseignement prim aire dans la province de Québec

Les questions d’enseignem ent publie ont île triste privilège en France de deve­n ir comme toutes choses de!s questions politiques. Il est bon de m ontrer ta fa ç o n dont le problèm e a été résolu dans un pays qui a gardé les bonnes trad itions de la m ère pa trie tout en sachant s’adapter aux conceptions les plus m odernes de la civilisation. Aussi avons-nous profité de la visite en France d ’un délégué du Gou­vernem ent de la Province de Québec pour ob ten ir les renseignem ents qui sui vent

Le Canada français, à vrai dire la P ro ­vince de Québec, est cette région du Canada que les F rançais ont colonisée et cultivée depuis plus tro is siècles.

Cette Province a conservé des caracté­ristiques bien m arquées : la langue, la i'oi,_ Iles 'lois françaises, -des institutions nationales, un gouvernem ent autonome.

Québec, la plus vaste province du Do­m inion canadien, a une superficie qui dépasse un peu, en étendue, celle de la F rance; elle renferm e une population de2.-361,199 âmes, réparties dans 65 comtés ou districts (recensem ent de 1921),

■Les Français de la Province d e Québec ont créé un système d’éducation qui se caractérise p a r la liberté de l ’enseigne­m ent et lie respect de l ’autorité pa ter­nelle. Les écoles prim aires, régies p a r la loi de l’Instruction Publique, sont catho­liques ou protestantes*; le français et l’an- gllais y sont enseignés. L’organisation scolaire, isous le c o n trô le du d é p a r te m e n t de l'Instruction Publique, relève du secré­ta ria t d e la Province, Un haut fonction­naire perm anent, appelé su rin tendan t de l'Instruction Publique, d irige le départe­m ent ainsi que tous les inspecteurs d ’écoles; il est 'assisté p a r deux secrétai­res, l’un de langue française et l’autre de langue anglaise. Ce «surintendant veille à l’exécution de lia loi ainsi qu’à l ’applica­tion des règlem ents que les Comités catholiques et protestants de l’instruction publique ont établis, avec l ’approbation du Gouvernem ent de la Province.

Le Surintendant de l’Instruction Publi­que, dans l’exercice de ses attributions, doit se conform er aux instructions que ilui donne le Conseil de l’Instruction Pu­blique (1). De plus, relativem ent à l 'a d ­m inistration des écoles prim aires et des program m es scolaires, deux fonctionnai­res spéciaux dirigent renseignem ent p ri m aire et l ’inspection des écoles; l ’inspec­teur général des Ecoles catholiques et l ’inspecteur général des Ecoles protes­tantes.

Il y a 'deux catégories d ’écoles prim ai nés dans la Province de Québec ; l’Ecole prim aire élém entaire (six années) et l’Ecolle p rim aire com plém entaire (deux années); ceci pour les Catholiques. Les protestants ont à leu r usage des écoles élémentaires, interm édiaires, e t les « high schools ».

Quant aux Ecoles Normales de filles et de garçons, les inspecteurs généraux en ont la d irection technique, et un p rin c i­pal, nommé p a r l ’autorité ecclésiastique, la direction m orale.

E n 1921, on com ptait 6.200 écoles p r i­m aires et com plém entaires, d on t la p lupart des titulaires ont suivi un cours de deux ou trois ans aux Ecoles Norma­les. P lusieurs de ces titu la ires obtiennent aussi leu r diplôme d ’une Commission d ’Examens appelée « Bureau Central des Exam inateurs Catholiques ou Protes­tants. »

'Le nouveau program m e des études de 1 Ecole Com plém entaire com prend m ain­tenant tro is sections : agricole, com m er­ciale, industrielle (selon les milieux) pour les -garçons, et une section m énagère po u r les filles. Dams les 'écoles rurales l'agriculture est en grand honneur et fait partie intégrante du program m e scolaire. Le Gouvernement de la Province d istri­bue 'gratuitem ent des graines de semence, chaque année, aux êlèveis-jardiniers r u ­raux, ainsi que des subventions à ce rta i­nes Commissions Scolaires qui organisent des expositions ou concours scolaires agricoles. Ces organisations on t à leur tête les agronomes de l’E tat ainsi que les Inspecteurs d’EcoIes qui travaillen t con­jointem ent au succès de ces concours.

L e Gouvernement de Québec a octroyé en 1921-1922, sous form e de subvention à Tenlseiigneimcnt p rim aire , 2.184.532 dol­lars; les Commissions Scolaires ont payé pour Tentrètien de leurs écoles et de leur -personnel enseignant 21.367.788 dollars. Relativem ent au coût moyen -de l’instruc­tion p a r -élève, on 'le chiffre à 41 dollars 28 -cents.

La Province de Québec donne justice égale aux paren ts dès deux dénom ina­tions religieuses qui se partagent les écoles. Chacun dirige ses affaires et adm i­nistre les subventions publiques ou p r i­vées. Elus par les parents, les Commissai­res d’Ecoles constituent lia Commission -Scolaire qui veille au bon fonctionnem ent des écoles des villages. Avec ce système peu -de division ou de conflit existe; et, ceci perm et aux deux races de la P ro ­vince de se développer da-nis une concur­rence de bon aJoi, de v ivre en pa ix et en liberté dans un -des -pays les plus heureux du m onde ; le Canada français.

(1) Ce conseil, composé des .-évêques et de laïques, représente l’autorité des familles et des. commissaires d’écoiles»

Extrait du procès-verbal ’Los membres du Conseil d ’arrondisse­

m ent de Senlis se sont réunis à la Sous- Préfecture, le 3 août 1925, à 11 heures sous la présidence de M. Franco!in doven d ’âge. Présents : MM. Delozanne, maire d ’Acy-en-MUltien ; Génie, maire de’Monta- ta ire ; liait Lier, délégué cantonal à Chan­tilly; Dereure, m aire d’Auger-Saint-Vin- -e-en-t ; Baicqnet, conseiller m unicipal à Nanteui'l-le-Hau-dou-in ; Delisle, m aire de 'Balagny-sur-Thérain ; DelaUnay, conseil­le r m unicipal de 'Pont-Sainte-Maxencc- T roncin, conseiller m unicipal à Chaînant’

M. P ierre Aneel, sou-s-prêfet, assiste à la séance.

Nomination du bureauM. Fra-nlc-oli-n a été élu président.-M. Delozanne a été élu vice-président.'M. Delaunay a été élu secrétaire.Au nom du Bureau, M. Frahcolin expri­

me ses rem erciem ents à tous ses collè­gues, et s’adressant à M. le Sous-Préfet, il lui dit :

« Bien qu’il se soit écoulé près d’un an déjà depuis que la confiance de l ’adm inis­tration vous a m is à la tête de notre arrondissem ent, c’est la prem ière fois qu’offieielLeiment, nous nous rencontrons avec vous. Permettez-moi de rappeler de* paroles que je prononçais, il y a un ins­tan t et de vous présen ter nos meilleurs souhaits de bienvenue.

« Nous.avons eu, depuis 6 ans avec vos distingués et regrettés prédécesseurs des rapports em prunts de la plus grande cor­dialité. Nous -espérons qu’il en sera ainsi avec vous. Nous sommes d’ailleurs com­plètem ent rassurés -à ce sujet, parce que votre réputation vous ayant précédé dans -notre arrondissem ent, nous savons tous lés regrets que vous avez laissés à la P ré­fecture de l’Oise et com bien était appré­ciée la collaboration que vous avez ap­portée à l’adm inistration de notre dépar­tement.

« Il ne vous échappera pas, M, le Sous- Préfet, que si notre arrondissem ent est le iplus modeste p ar son étendue territoriale, il se place au prem ier rang p ar ses cen­tres industriels en pleine activité, ses exploitations agricoles de prem ier ordre et qui sont l’honneur de n o tre région. Désignés pour défendre ses intérêts, nous espérons qu’avec nous, comme vos prédé­cesseurs, vous m archerez la main dans la main, et que chaque fois que nous ferons appel soit à votre concours éclairé, soit à votre dévouement, ils ne nous feront pas défaut. »

Rem erciem ents de M. le Soiis-PréfetM. Àneel, sous-préfet, déclare que dans

cette réunion toute amicale il ne fera pas un long discours. Il veut seulement r e ­m ercier de -ses paroles trop élogieuses M. le Président F rancolin qu’il respecte pro­fondément et dont toute la vie a été con­sacrée à la République et à l ’école laïque. M. Aneel ajoute que le Conseil peut comp­ter entièrem ent sur lui et qu’il lui appor­tera comme l’ont fait ses prédécesseurs tout son concours et tout son dévouement. Il a déjà réuni dans des conférences les Maires de plusieurs cantons pouf s’entre­tenir sur place avec eux des questions qui les intéressent et notam m ent le Conseiller d’arrondissem ent comme le Conseiller général du canton, à la prem ière place de ces réunions dans lesquelles il leur de­m ande d’apporter le concours de leu r ex­périence. Ces réunions ont été interrom ­pues p a r les diverses élections, mais M. Aneel les reprendra prochainemeint. 11 estime, en effet, que ces conférences sont très utiles et perm ettent aux Municipalités de se ten ir en contact avec leurs repré­sentants et l'adm inistration . « Je m ’effor­cerai, dit-il en term inant, de me m ontrer digne de la confiance que vous voudrez bien me témoigner. »

Suite donnée aux vœ ux précédem m ent émis

I. Médailles d ’honneur du commerce. — Transmissions plus rapide aux ayant- droit. — P ar lettre du 18 février 1925, M. le Préfet fa it connaître que M. le Mi­nistre du Commerce a pris une note spé­ciale de la dem ande formulée en signalant toutefois qu’en raison de l’insuffisance des crédits, elle ne peut quant à présent être mise en application.

H. Juridiction du Commissaire de po­lice étendue à plusieurs cantons. — M. le Ministre de l’In térieu r a inform é M. le Préfet qu’il ne m anquerait pas d ’examiner ce voeu dès que des modifications d’en­semble à l’organisation générale des ser­vices de police seront envisagées.

III. Mise en m arche d ’un train partant de Crépy-en-Valois vers 21 heures ou 21 heures 30 pour Chantilly. — m le Ministre des T ravaux Publics a fait con­naître que les dépenses qu’entraînerait la mise en circulation du tra in demandé ne seraient pas couvertes p a r le nombre très faible des voyageurs susceptibles de l’uti­liser. Le voeu auquel s’était associé le Conseil 'général n ’a pu être accueilli.

IV. Rétablissem ent de l’horaire dés trains 243 et 235, de la ligne de Paris à Crépy-en-Valois, comme avant le 12 octo­bre dernier, ou à défaut, report d ’Ormoy- Villers à Crépy-en-Valois ou à Villers- Cotterêts, du garage du train 235. — Le Conseil général s’est a»s«cié à ce vœu. M. le M inistre des Travaux Publics a fait, à la date du 27 février 1925, la réponse sui­vante :

« D’après i’i instruction à laquelle j ’ai fait procéder, la situation actuelle a été nécessitée p ar l'augm entation du nombre des tra ins de banlieue, qui est la consé­quence de la création de nom breux lotis­sements dans la région d’Aulnay, de Vil- leparisis et du Vert-Galànt.

« Le changement de garage du train 225 ne iserait possible qu’en m odifiant l ’bb- ra ire de ce tra in et du tra in 243; cette m esure serait difficilement réalisable, à raison de la circulatii'ii intense aux abords de Paris, à cette période de la journée. D’autre part, le tra in 235, qui fait le service G. V. à Ormoy-Villers, a besoin d’un stationnem ent assez grand à cette gare. *

« Il convient-, d ’ailleurs, de rem arquer que les voyageurs de 1 ’» et de 2e classe, qui trouvent le stationnem ent à Onnoy trop long, ont la possibilité de prendre à Paris le tra in 243, qui s’arrête à Crépy- en-Valois et les voyageurs de 3“ classe ont le tra in 241, qui précède le tra in 235. »

V. Goudronnage et rechargement desc h a u s sé e s e n d e m i- la r g e u r d e s ro u te s . —

Ce vœu auquel s’est associé le Conseil gé­néral est en partie adopté p ar les services com pétents. Il a donne lieu a un rapport de M. l’Ingénieur en chef du département don t M. le P résident a donné lecture.

VI. Création de pistes cyc la b les , Cevœu n’a pu recevoir de suite favorable

M. le Président donne à ce sujet lecture, du rapport qu’a fourn i M. l’Ingénieur en chef du Département.

Avis de l’Ingénieur en chef. — Le Mi- nistredes Travaux Publics n’admet l’en­tretien des pistes cyclables que le long des chaussées pavées où la circulation des cycles peut être particulièrem ent diffi­cile, surtout lorsqu'elles sont anciennes et déformées. Mais il n ’est pas possible d ’étab lir des pistes le long des em pierre­m ents qui seront désormais goudronnés et p a r conséquent très praticables aux cyclistes.

Aux terni,çç de i’nrtlc!r 9 fin Four de i lrtntte* v vidante qui s*i rFultsé pfur ne

cycliste doit lui laisser2 mètres au moins sur sa gauche. Il serait abusif de vouloir réserver les chaussées aux seuls véhicules automobiles ou aux voitures attelées et de cauMiser les cyclistes su r des pistes (spéciales.

Les crédits d ’entretien qui représentent à peine la moitié de ce qui est s tric te­m ent indispensable au m aintien des 'chaussées des routes nationales ou dûs chemins de grande com m unication ne perm ettraient d ’ailleurs en aucune façon la création et l’entretien de pareilles pistes.

iSi, sur certains points, elles apparais­sent indispensables au tourisme, il y aurait lieu, pour la Ville de Senlis, de s ’adresser au Touring-Club de France qui apprécierait s’il y a lieu à 'subvention de sa part.

VII. Interdiction de la circulation des cavaliers su r p is te s cyclables. — Le Con­seil général s’est associé à ce vœu. Or, cette in terdiction résulte de l’article 1 2 d u Code ide la route. Il appartien t donc aux services de police de faire respecter !li loi.

VIII. Réduction de tarifs sur les c h e ­mins de fer pour les sapeurs-pompiers. — M. le M inistre des Travaux Publics a fait parvenir la réponse suivante :

« D’après le ta r if G. V. 8/108 (billets collectifs d ’aller et retour) 'les membres ■alctiifs des Sociétés de sapeurs-pom piers en uniforme on t d ro it à une réduction de 50 0/0 lorsqu’ils.se déplacent p a r groupes de 10 au minimum, pour p rendre p a rt à des concours ou fêtes officielles. En.outre, depuis le 1" m ai 1923, une réduction de 40 0/0 est prévue poür les membres actifs

des Sociétés de sapeurs-pom piers en uni­forme, lorsqu’ils se rendent, par groupes ide 20 au moins, à d ’autres réunions ré* pondant à l ’objet de leur Société. »

IX. Billets d ’aller et retour dans toutes les gares. — M. le M inistre des Travaux Publics a fait la réponse suivante :

« Les grands réseaux ont présenté, le 1 2 août couran t, des propositions tendant à la création d’un nouveau ta rif G. V. 2 / 1 0 2 (voyageurs) destiné à rem placer leurs ta rifs spéciaux actuels portan t les mêmes numéros.

« Ce nouveau ta rif prévoit, notamment, la délivrance de billets d ’aller et retour ondinairesde toute gare ou station à toute gare ou station des grands réseaux.

« La proposition dont il s’agit est ac­tuellem ent î ’objet de l’instruction régle­m entaire de la p a rt de m*es services. »

Rapports des Chefs de serviceM. le Sous-Piréfet dépose ensuite les

rapports de MM. les Chefs de service :1° De M. l’Ingénieur des Ponts et

Chaussées, com prenant les routes natio­nales, les chem ins de fer, le service hy­draulique, le service vicinal;

2° De M. l ’Ingénieur de la Navigation;3° De M. le Sous-Directeur des Contri-

bu tioas Indirectes;4° De M. le Receveur des F inances;5° De M. le V érificateur des Poids et

Mesures ;6 ° De M. l’Inspecteur des Eaux et

Forets ;- 7° De la Caisse d ’Epargne de Senlis.Le Conseil donne acte à M. le Sous-Pré-

fet de sa communication.(A suivre).

V IL L E D E S E N L IS

A travers SentisP h a rm ac ie o u v erte :

Sam edi 75 A o û t : M- B ardou, rue de l’A p p o rt-àû -P a in .

Dimanche 16 A o û t : M. M orcrette, place de la H alle.

Syndicat d 'in itia tiv e , 1 , a v e n u e d u M a ré - chal-F och . — T ous rense gnem ents pour le tourism e.

Chaâlis - E rm enonv ille . - E xcursion je u ­d is , d im anches e t jours d ; fête. D épart de la gare, 14 heures. R eten ir ses .places.

A V I SA l’occasion de la fête de l’Assomption,

M. te Préfet de l’Ôiisc autorise les débits de boissons et autres lie«x publics à res­ter ouverts dans la nuit du 15 au 16 août jusqu’à 2 heures du m atin.

Bibliothèque et Musée municipauxIM. le Maire de Senlis nous prie de por

te r à la connaissance de la population que te Bibliothèque m unicipale sera dé­sorm ais ouverte comme p a r le passé les jeudis, de 13 h . 30 à 15 h. 30 et les d im an­ches de 9 h, 30 à 10 h. 30 et ce à p a rtir du jeudi 2 0 août.

E t que le Musée m unicipal sera rëgu fièrement ouvert les jeudis et dim anches de 14 heures à 16 heures à p a rtir de di­manche prochain 16 août.

GRAINiD CONCOURS DE TIR Stand du l U a u t a u h a n

D IS T R IB U T IO N D E S PRIX Arm e d e G u e r r e

(D istante : 125 m. — Maximum : 60 p.) Nombre de tireurs : 92

ADULTES1. 1 0 0 fr. offerts p a r la Ville de Senlis un diplôme et 25 fr. offerts p a r M. Hen inequin, conseiller m unicipal au pre rn ier tireu r classé appartenant à une des Sociétés organisatrices du Con­cours : M. Caron Lucien, de l’Amicale dos Anciens Elèves de l’Ecole publique des garçons de Senlis : 53 points ap . 24,

2. 80 fr. offerts p a r la Ville de Senlis et un vase offert p a r Mme Troncin ; M. Devil'lers, du Réveil de Senlis, 53 points

_ ap. 23.3. 60 fr., M. Gentffini, 50 points.4. 40 fr., M. Damour, 49 point*.5. 20 fr. offerts p a r M. Langlois e t un

album : M. Lancelin, 48 points.6 . 20 fr. offerts p a r M. Chevaux et bre loque « In tran » ; M. Cotteroussè,47 points.

7. Un vase offert p ar la Musique m uni­cipale : M. M artin, 46 points.

8 . Une m ontre offerte p a r l’Amicale : M. Stülmuler, 46 points.

9. 10 fr. offerts p a r M. Miiiery et un ailibum d é l’U. S. T. F. : M, Chevallier, 42 points.

10. Un bronze offert p a r le « Réveil » : M. P rince, 42 points.

11. Un bronze offert p a r M. Cigogne : M Griimbert, 42 points.

12. Un service fum eur offert p a r M. Fli- pon ; M. Lucas, 42 points.

13. Une blaigue m aroquin offerte p a r M. B ernard : M. Pi-erdon, 41 points.

14. Une m édaille verm eil offerte p a r L’Amicale ; M. Roussel, 40 points.

15. Une m édaille bronze offerte p ar l’Amicale : M. Delayen : 40 points.

16. Une m édaille bronze argenté offerte p a r le Petit Journal : M. Claux, 39 p.

17. Un lot offert p ar M. Leclercq-Eneaus- se : M. Champellant M., 38 points.

18. Un porte-plum e offert p a r M. Brille et une breloque Petit Journal : M. Ga- gneux, 37 points.

19. 5 fr. offerts p a r M. Levasseur et une breloque Petit Journal : M, Maille R., 37 points.

20. 5 fr. offerts p ar M. Levasseür et une breloque Petit Journal : M. Dépaux, 36 points.

21. Un c#ndrier offert p a r le « Réveil » : M. Cojmipiègne, 3'5 points.

JUNIORS1 . Une ménagère et 10 fr. offerts p a r M.

Domoinet, 25 fr. offert p a r M. Lucien Levasseur, au prem ier tireu r classé ap­p artenan t à u n i des Sociétés organisa­trices du Concours : Doublet Marcel, de l’Amicale des Anciens Elèves de l’Ecole publique des garçons de Sentis, 50 p.

2. Un étui à cigarettes et 5 fr. offerts p ar M. Demoinet : Hury E., 42 points.

3. Une timbale offert p a r M. Lepape et 5 fr. offerts p a r M. Demoinet : LefèvreG., 42 pointe.

4. Deux vases ; Battefort, 39 points.5. Un fume-cigarettes : Bontemps, 28 p.

C a r a b in e

(Distance : 12 m. — Maximum : 100 p.) DAMES

25 concurrentes1 . Un bronze offert p a r le « Réveil » et

un Diplôme : Mme Marcel Martin, 83 points,

2. Une coupe : Mme Lucas-Vignon, 82 p.3. Un seau à biscuits : Mme Devillers,

82 points.4. Un vase : Mlle Renée Boullet, 80 p.5. Un p ichet : Mlle Duibon, 77 points..

HOMMES (108 tireurs)ADULTES

I. 70 fr, nfltert» |>al* là VUJUj SwiR# et *Mt 'Rplémss I M; »J7U*ren»Jw; (fit pidat*.

Sport Vélocipédique SenlisienLa proposition de prom enade de ULtre

dévoué Conseiller d ’arrondissem ent pour le dim anche 23 août prochain à Verberie, a été acceptée à l’unanim ité p a r les mem­bres présents de la Société à la réunion mensuelle du samedi 8 août dernier,

'Cette prom enade sera suivie d ’un ban­quet. Jusqu’à ce jour, 22 sociétaires ont donné leu r adhésion.

Les adhésions pour le banquet sont re­çues au siège de la Société : Café du Com­mence, p lace de la Halle, à Senlis.

Le départ de la prom enade aura lieu à 9 heures au Siège.

La prochaine réunion au Vélodrome aura lieu le dim anche 27 septem bre p ro ­chain , avec un program m e com portant de belles courses, avec les coureurs des m eiffeurs Clubs du départem ent de l’Oise.

N ous'rev iendrons en temps utile sur cette journée qui, d ’après les échos qui :ftOU* tu tti [pHrvciUT?!, ASimibte devoir phtgîjR fias fyè* firréd çu&ate;

2. 50 fr. offerts p a r M. Escavy, m aire de Senlis ; Chevallier, 97 points.

3. 40 fr., : M. Gentilini, 96 points.4. 39 fr. et 25 fr. offerts p a r M. Jlenne- quin, conseiller m unicipal de Senlis, au p rem ier tireu r classé appartenan t à une deis Sociétés organisatrices du Con­cours : M, Devillers, du Réveil de Sen­tis, 95 points.

5. Une m ontre offerte p ar l’Amicale ; Milîet André,' 95 points.

6 . Une lampe dynam o poche offerte p ar M. Ghéry : M. Gagneux, 95 points.

7. Une breloque verm eil offerte p a r M. Diisich'gand : M. Claux Edgard, 94 p.

8 . Un bronze offert p a r M. Cigogne ; M. T riboulet, 94 points.

9. Un volume offert p ar M. Labouret et une breloque A uto ; M, Stulmuler, 94 p.

10. Un service fum eur offert p a r M. Moi­gnon ; M. Warusifel, 94 points.

11, Une coupe et une breloque Petit Jour­nal : M. B riard, 94 points.

1*2. Un encrier bronze offert p ar M, BriHe : M. Seorieis, 93 points.

13. Une m édaille bronze offerte p ar M. Griimlbert : M. G randperrin , 93 pointe.

14. Une médaille bronze offerte p a r le Petit Parisien : M. Dépaux, 92 points.

15. Un encrier offert p ar M. Louât : M. P rince, 92 points.

18. Un lot offert p a r M. Leciercq-Encaus- se ; M. Martin Marcel, 91 points.

17. Un portefeuille offert p a r M. Brille : M. Lucas, 91 points.

18. Une médaille ogerte p a r l’In transi­geant ; M. Lancelin, 99 points,

19. Deux vases ; M. L uzurier Charles,90 points.

29. Un p ichet : M, Leroy Marcel, 90 p.21. Un coupe-papier offert p a r M. Brille

et une 'breloque U. S. T. F. ; Compiègne Gabriel, 99 points.

2 2 . Un déjeuner : M. Ctaux Gaston, 89 p,23. 5 francs offerts p a r M. Levasseur : M.

Dugardin, 87 points.24. 5 francs offerts p a r M. Demoinet : M.

Vassel, 87 pointe.JUNIORS

1. Un étui à cigarettes et 10 fr. offerts par le Syndicat d ’in itia tive de Senlis et 25 fr. offerts p a r M. Lucien Levasseur au prem ier tireu r classé appartenant à une des Sociétés organisatrices du Con­cours : Bonnaventure René, de TAnii- ■cale des Anciens Elèves de l ’Ecole pu­blique des garçons de Senlis, 92 points 44 appui.

2. Un filtre et 10 fr. offerts p a r le Syn­d ica t d’in itia tive de Senlis : Battefort 92 points.

3. Deux vases et 5 fr, offerts p a r le Syn­d ica t d ’in itiative de Senlis : Halattre,91 pointe.

4. Un cac'he-ipot cuivre et 5 fr, offerts p a r le Syndicat d 'in itia tive ; Dewime, ‘90 points.

5. Un porte-m onnaie : Doublet M., 8 8 p.6 . Un fume-cigarettes : Céry Jean, 88 p.7. Un déjeuner : Berge André, 88 p.8 . Une breloque offerte p a r l’In transi­

geant : 'Carpentier, 8 8 points.9. Une médaille offerte p a r M. T riboa- let : Ouary Raymond, 8 8 points.

10. Violet Robert, 87 points.11. Neveu Jacques, 87 pointe.

'La distribution des p r ix a eu lieu au Stand d'u M ontauban en présence de MM. Demoinet et Louât, adjjoints, des P rési­dents des Sociétés organisatrices du Con­cours. Avant d e rem ettre les p rix aux lauréate, M. Brille adressa quelques paro ­les de rem erciem ents : « Après les magni­fiques résultats qu’enregistre le palm a­rès du Concours de tir de 1925, le Comité des S. A. G. de Senlis félicite les tireuses e t tireu rs récompensés, renouvelle ses sincères rem erciem ents à la M unicipalité, au Conseil m unicipal et à toutes les p er­sonnes qui ont offert des p rix en espèces ou en objets, sans oublier celles qui ont 'désiré garder l’anonymat.

« Nous ne citerons aucun nom car ils m éritera ien t tous d’être cités, ceux qui ont contribué au succès du Concours par leu r abnégation ét leur en tier dévouement comme m arqueurs, employés au service 'des ciblas, trésorier et trésorière, contrô­leurs et surtout l ’infatigalble secrétaire; en un mlot toute une phalange de dévoués auxiliaires à la -cause du tir. Aussi le Co­m ité, fier de son succès, rem ercie encore une fois tous ceux qui l’ont si bien se­condé et espère l’année prochaine faire encore mieux.

E n avant/tou jours en avant.Le Comité des S. A. G. de Senlis.

GRANDE FÊTESportive et Athlétique

ORGANISÉE PAR LE CLUB SPORTIF SENLISIENsous la Présidence

de M. G EO R G ES P IC O T ,P r é s id e n t d e la L ig ue d ’A th lé tism e d e l ’I l e - d e -F ra n c e

Sous les auspices du Syndicat d’in itia tive de Senlis

AU VÉLODROMELe Dimanche 16 Août 1925

à 13 heures 30Avec le concours des -Sociétés sportives

affiliées 'à la F. F. A. et du gracieux 'concours ides (Sociétés fém inines Fetni- na Club Beauvaisi-en, Union Sportive de M'ouy, Golfers-Qlub de F rance (Paris), de la Société de gymnastique « Le RéveR », du -Sport Vélocipédique de Senlis et de la Fanfare d'u 5* régi nient ide chasseurs.Exhibitions de Géo ANDRE, le meÜleuf

athlète com plet de F rance dans les con­cours e t isur les haies.

Défilé des Equipes, -— Epreuves mascu­lines : 190 mètres, 400 m ètres, 1.500 m. Relais, poids, idismies,'sauts en longueur, hauteur, à la perche. Relais 400, 300, 2 0 0 e t 1O0 mètres»

Cross su r rouie de 9 kilom ètres 706.Epreuves fém inines. — 60 m ètres, 200

m étras, sauts en longueur, hau teur avec et sans élan. Ballets e t danses rythm iques,

Course cycliste de 10 kilom ètres su r piste réservée aux coureurs du S. V. .S.

D istribution des Prix. P endan t les Epreuves, Concert p a r la

Fanfare du 5* régim ent ide chasseurs.P r ix d e s places : Tribunes, 5 fr.; P re ­

m ières, 3 fr.; Secondes, 1 fr. 50; M ilitai­res e t enfants, 1 fr.

<Â>Parm i les Sociétés engagées :A. S. O rrouy; A. S. Creil-Nogent; G. S.

L iancourt; C. A. S. G.; R. C. Uompié- gnois; U. S. C hantilly; V. C. Beauvais; A.S. P .C . M ontataire; S. Ootmipiégnoîs; U. A. Baiagny-Saint-Epin; C. S, Eneais; Luzar* ehes; A, A, G. M ontataire.

Sociétés fém inines de Beauvais, lîoriy» Golfers-Club de France.

Le C. S. S. s’est en outre assuré la p ré ­sen te de Géo André, le m eilleur athlète com plet Ide la France. International d’athlétisane ayan t représenté de nom­breuses fois la F rance dans les rencon­tres classiques avec l’Angleterre, la F in ­lande, la Suède, la Suisse, la Belgique, etc. Sélectionné p o u r les Jeux Olym piques de Londres en 1908, iStoclcokn en 1912, A n­vers en 1920, et P aris en 1924.

Si le beau temps continue, il y aura foule dim anche au Vélodrome et la fête organisée p a r le G. S. S. obtiendra le suc­cès qu’elle m érite à tous égards.

Le Mérite agricoleSont nommés dans l ’arrondissem ent de

Senlis :Officier du Mérite agricole

M. Marjollet, agriculteur à Ormoy-Vî!- lers. *

Chevaliers du Mérite agricoleM, Baupuis, cultivateur à Béthancourt-

en-Valois.M. Jules Caron, chef de culture à Baroa.M. Bourdon, cultivateur à Fresooyda-

fiivière.M. Jules Cadet, cultivateur à Vez,M. Ghabeau, agriculteur à Versigny.M. Charpentier, cultivateur à Morien-

val.M. Chevallier, cu ltivateur à Ormoy-

Villers.M. Ingrain, cu ltivateur à Acy-en-Muî-

tien.M. Geoffroy, publleiste agricole à

Crépy.M. Legrand, cu ltivateur à Béthancourt-

en-Valois.M. ViidaL à EmeviEe.Mme Radziwill, p rap rié ta lre à Erme-

nouvEle, *— ,—

Recette des Finances de Senlis

Émission au pair de Renies 4 % perpétuelles

Les souscriptions sont réservées àux porteurs de Bons de la Défense Nationale.

On peut acheter des B ons pour souscrire à l ’E m prun t.

Les souscriptions seront reçues à la Recette d e s Finances et dans les Percep­tions jusqu’au 5 Septem bre 1925. 7915

Dans le Personnel enseignantLos m utations suivantes sont faites

pour le p rem ier octobre p rochain :Mlle E rnestine Gal'and, de l’école m ater-

aelle dé-la rue de Me aux est nommée d i­rectrice de l’école m aternelle de la rue de Verneuii, à Creîl.

Mlle M arguerite Galand, de la mêane ecole, rue de Meaux, est nommée adjointe à l’école materneflle de la rue de Verneuii, à Creil.

(Mlle Janoueix, de Liancourt, est nom­mée d irec trice de Tri-oie m aternelle do la rue de Meaux, à Senlis.

M. FoIRot, institu teur à l’école commu­nales des garçons à Senlis, et Mme Fol- liot, institu trice à l’école m ixte d ’Aumont, sont nommés institu teur e t institu trice à Barberv.

(Mlle Tirilet, institu trice à l’école re la rue de Meaux est nommée à Aumont.

M. Profilais, à VerneuH, est nommé di­recteur de l ’école des garçons à Nogent- sur-Oise.

M. Guliard, de la Rue-Saint-Pierre, est nommé d irecteur de l’école des garçons à Verneuii, et Mme Guiard, adjointe.

M. Loir, d’Autheuil-en-Valois est nom­mé à l’école des garçons d ’Orry-la-Ville.

M. Minet, de Vemeuiil, est nommé à l ’école m ixte d’Autheuil-en-Valois.

Mme Toussaint, de Crépy-en-Valois est nommé directrice de l’école des filles de Mouy.

'Mme Boillet, de Chantilly, passe d irec­trice de l’école des filles à Coye.

M. Fauqueux, de Précy, passe à Tarti- gny.

Mme Sauret, de Bouillancy, est nom­mée à l’école m ixte des filles de Borest.

Mme Legrand est nommée à l’école des filles de Gouvieux.

M. et Mme Thibault, à Morienvai.M. Kayser, de Barbery, à Précy-sur-

Oise.Mme Déplanque, de Cires-les-Mello, à

Espaulbourg.Mlle Doublet, de M ontataire, à Rou-

v rov -1 es -Merl es.M. P errin , de Margny, à Crépy-en-

Valois.M. et Mme Dumont, de Fresnoy-la-Ri-

vière, à Margny-les-Compiègne.

Dans la M agistratureM. Colonna, juge de Paix à Ghainbéry,

nom m é juge suppléant à la Cour d ’appel d ’Amiens, a été désigné p a r M. le P rocu­reu r général, pour rem plir 1.«» fon«ttefiX

Page 3: chaque Les instituteurs à la G. G. T. Une Lettre de M ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1925-1926/bms_js_1925_08_16_MRC.pdf · de toutes les nuances de la joie la plus vive à celles de

L E C O U R R IE R D E L ’O ISE

MariagesNouis avons app ris le prochain m ariage

de Mlle Simonne Decugnière, fille de M. et Mime D©cugnière-BcnoLst d ’iîrm enon- vilie avec M. Fernamd Thomas, notaire à Dammartin-en-üoèle, décoré de la Croix de guerre, fils de Mme Veuve François Thomas.

iLa (bénédiction nuptiale leur sera don­née dans 'la plus striiote intim ité en la ■cathédrale de SenOiis, le m ard i 18 août courant, à 11 (heures d u m atin.

Nous adressons nos m eilleurs vœux de bouh-cur aux fu turs tpoux et présentons nos com plim ents à leurs très bonô'raihles familles.

ANous- apprenons avec p la is ir le p ro ­

chain m ariage de M. Marcel Leroy, che­valier de la Légion d’honneur, fils de M. Sjéou Lei'oy.j négociant, imetmhre du Conseil (d'adm inistration des Im prim eries Réunifes de Sentis, et de Mme Léon Leroy, avec Mlle Simonne R ichard, fille de M. R ichard , ancien notaire à Pont-Sainte SSaxertce.

Nous adressons nos plus sincères com­pliment.s aux fiancés et à leurs honorables familles.

Syndicat d’initiativeLe Syndicat d’in itiative organise une

excursion à la plage d’eau douce de l’Islc- Adaan, p a r auto-car, pour le dkiKwrehc 23 août.

D épart le m atin à 9 heures du Syndicat.Retour Vers 18 heures. P rix : 18 francs.R etenir dès à présent ses pilaces. Au

Courrier de l ’Oise, à l ’Octroi de la Porte 'Cainjpiègne et au Syndicat dTnïtiative.

'Minimum d’inscrip tion pour assurer le départ : 25.

A'L’abondance des m atières nous oblige

à reporter à notre prochain numéro, le com pte ren d u de la réunion du Comité du Syndicat d ’Tnitiative rpri a eu i f eu eeth» 'semaine.

NécrologieNous avons appris, trop ta rd pour l’an-

nonoer dans notre d e rn ie r numéro, la m ort rde Mime Veuve Soaamarre, née Einé- î ie Martel, décédée, e n so n dom icile, rue «le la Treille, à l’âge de 87 ans.

Les obsèques de la vénérée défunte, qui était la m ère et la belle-mère de M. et Mme Emile Sommaire et de M, et Mme Léon Ghevillard, ont eu lieu, en présence d ’une affluence considérable, lundi der- ! n ier, en- la ca théd ra le de Senlis.

E n cette douloureuse circonstance, nous p rions M. et Mme Em ile Sommaire, M. et Mme Léon Ghevillard et tous ceux atteints p a r , ce deuil, de bien vouloir agréer nos respectueux sentim ents de condoléances.

La chasse aux lapinsE tan t de service au Vélodrome, les

Jendarm es Gille et Couvreur aperçurent ans un cham p voisin, une demi-douzai ne

d ’indivlduis armés de fourches et d e bâ­tons qui poursuivaient des lapins aussitôt après le passage d’une moissonneuse lieuse dont le b ru it de m arche effrayait facilem ent les d its lapins.

Ils se rend iren t dans le cham p en ques­tion, m ais m algré l’arrivée des rep résen ­tants de la loi, le groupe continuait, ce n’est que su r l'in jonction d es gendarmes qu’ils cessèrent.

E n conséquence, po u r défaut de perm is de chasse, procès-verbal a été dressé à chacun des ci-après : Valère Heugebaert, 33 ans, cultivateur, Polydore De Go-ck, 26 ans, U rbain De Cork, 20 ans, Achille De ily c k , 24 ans-, H ector D e Rv-ek, 27 ans, et R ichard De Clercq, 18 ans, tous ou­v riers agricoles.

Petites nouvellesProcès-verbal a été dressé p a r la police

locale contre le m anouvrier lllaim David, âgé de 41 ans, dom icilié rue de la Monta- gae-Saint-Aignan, pour chasse en temps et avec engins prohibés.

ETAT CIVIL DE SENitSdu 7 au 1 4 A oût iqzs

Naissances8 . Georges Hallo, .rue Saint-Yves-à-F Ar­

gent th.7 . Monique Marie-Thérèse Vatin-Pérignon,

rue de Bon-Secours, 4 .9 . Guy-Jacqnes-Lticien-Erilest Stein, Fau-

bourg-Saint-M artin, 1 .Décès

6 . Emélie Martel veuve Sommaire, 87 ans, rue de la Treille, 8 .

8 . Gilette Odette Huber, 4 ans, avenue de Compiégne, ».

''Publications de [Mariages8 . M. An^té-Victor Ghèry, funrste et Mlle

Louise-Claire Vérité, blanchisseuse, à Senlis, rue de Paria, \ 6 .

11 . M. René Templeux, menuisier, demeu­rant à Amiens, 13 rue des Teinturiers, actu­ellement au 5* Régiment de chasseurs à che­val et Mlle Marie-Louise Garesse, emballeuse, demeurant à Amiens, rue de là Voirie, 9 9 .

3*1. F \ O F l A-TNTIKURCHIRURGIEN - DENTISTE

reçoit dans son CabiWêt,6 8 , ru e de la R épublique, à Senlis,

les L und i, Mardi, Jeud i ei Vendredi, de 9 h. k 18 h.

P R I X M O D É R É S 258

CHANTILLYM U SÉ E. — O uvert : i° les D im anches et

Jeudis (entrée g ra tu ite ) ; 2° les Sam edis, 2 fr. l’entrée ; de 1 h. à 5 h ., sortie à 5 h. 12 du parc.

PH A R M A C IE S ouvertes tous les D i­m anches ju squ ’à m idi.

S E R V IC E A U TO M O B ILE C H A N TILLY - G O U V IEU X . — D épart de C hantilly , place de la G are : 6 h . 55, 8 h ., io h . 40, u h. 30, 17 h. 30, 18 h. 30. D épart de G ouvieux, place de lit R épublique : 7 h . 20, 8 h . 15, 11. h .. 11 h. 45, i- h . 50, 18 h. 50.

Le prem ier-service (6 h. 35) dessert le h a ­meau de C haum ont, il en est de même au to u r de 17 h. 30.

Les D im anches et Fêtes, le dernier départ de G ouvieux est reculé à 19 h. 45.

Aux pacifistes ! — Nous confondons tou jo u rs les affaires avec lion, sentim ents.

A.'l’«nrn-istie'e: nous avons fa it du .sentiment avec les boch es,'p leu ran t de joie k la pensée q u ’ils a lla ien t devenir républicains... et ils nous on t ram ené Hindenburg, en a ttendant m ieux p eu t-ê tre , sans nouis payer 1

Nous avons fait dans la R uhr de l'occupa­tion invisible, à nos frais, et puis nous l’avons évacuée quitnd elle comm ençait à rappo rte r I

Né us avons com pté su r la reconnaissance de nos alliés e t Voici .que les Anglais profitent de notre gène pou r nous réclam er notre de tte i- ' .

A ujourd’hui, nous offrons la paix à Abd el Krim qui en .p rofite pour re ta rd e r notre offensive ju sq u ’à, là Saison des pfuies 1

M algré H erriot le pacifiste, le vieil adage « si vis pacem para hélium : e t toujours, vrai d'e par le momie.

Nos so ldats se dévouent au Maroc, où p e n ­dan t ,3 mais, sans relève, ils on t lu tté , a tte n ­dan t des ren fo rts .

Nos concitoyens se privent, subissen t des im pôts do p lus -en,'pilus tournis e t souscrivent à l'em prunt pour su'.iVt r fie franc. Qù’a tten - donsdio*s,pûU ï flahquvr la pile à Abd e l Krim puisqu’il nous y force l

Après quoi plus de poigne, m oins de sen ti- mesats,. p lus d ’économies e t m oins de gaspil­lage.

La Chambre e s t en vacances. M. Painlevé. p rofitez-en I w .

-— Un inconnu a so u s tra it à la jeune Yvon­ne Couvez, âgée de 10 ans, un porte-m onnaie contenant notam m ent un billet de banque, dé 50 francs. La gendarm erie .enquête .

Golf de Chantilly. — Résultat de la mé- dalle mensuelle de juillet 1Ô2S t

25 concurren ts, M essieurs, l r0 série : MM.J>. W einbaah, hand, 18 net 70 ; Dr Gcr, hand.12 net 72 ; F. Lacroix, hand. 12 n e t 7Y.

.2 ° série ç, MM., Cudiiarù, hand. 22 net 82; ft, GlsjKleibaoh:, hatati- 24. m-t..&L

Dames : Mmes R. Bechm ana, hand. 3.2 net 72 ; Monier, hand. 13 net 73 ; Mlle C. Oppén- heim, hand. 16 n e t .81.,

Le Prix du Premier Pas a été offert par Mme la baronne E douard de R othschild. Ga gnante : Mlle J . de R othschild ; M. M. Mira- bawd, puis MM. N. M irabaud et G. de R otchs- chiild son t arrivés ex-æquo.

C R É P YP ète sportive de la Jeunesse de Crépy. —

Le dim anche 16 août le Comité des Sports la Jeunesse de E répy , organise sur le te r ­

ra in de M ermont, à l'occasion de ses cham ­pionnats anameiBs, u se grande Fête sportive.

Au Program m e : Courses, sauts, lancers, m ouvem ents de gym nastique par les Sections pupilles et adultes, pyram ides, épreuves sp o r­tives comiques, etc.

F ê te du Q uartier Mal T racé, — Samedi 13 et dim anche 16 août.

Samedi 15 : A 3 heures, grande" course cycliste avec de nom breux prix.

M anège de chevaux de bois, balançoires, confiserie, pâfifserie , etc.

A 9 heuresr-grand Bal g ra tu it avec orches­tre choisi,

Dimanche 16 : Continuation de la fête. Course cycliste et course à pied.

On trouvera chez M. Poulain, déb itan t, de la pâtisserie e t des rafraîch issem ents de prem ier choix.

L egs Veuve Normand-Nlagnan. — Le Maire de lia vill'le de Crépy invite .lès jéühês filles qui voudraient postu ler pour l ’a ttribu tion du legs W e Nonmand-M agnan,.à en faire la demàfids écrite à la Mairie.

Lès postu lan tes doivent, aux term es de la donation, être néèfe Françaises, âgéès d ’un m oins 20 ans, e t hab iter la commune depuis au. moins 10 ans.

E ta t civil du 30 Juillet au 6 août 1925. — Naisances. — 30 ju ille t. Lwuteépin M arcel- Gaston-Abeï, 2, ru e du Lion.

6 août. Dûm arçay Jean-Louis-A rm and, 40, rue Nationale.

Décès. — 31 ju ille t. L auren t Hènri-Em ile, 58 ans, 3,1, rue T'hieùs.

3. août. Ç ourle t Artihur-Ildefonse, 66 ans, ru e Sairit-Làurent.

APREMONT

Samedi l ,r a été Célébré le m ariage de Mille DusaUtotc G eorgette avêo M. Loth Emile,

A 15oocasion de ce tte cérém onie une quête a été faite au profit de la caisse des écoles.■ M. le Maire rem ercie les généreux dona­teu rs et renouvelle ses m eilleurs vœ ux aux jeunes époüx ainsi que sés com plim ents aux heu reux paren ts.

■— Samedi 8 aoû t a été célébré le mariage de Mile Dupré R enée-M arie-O dette avec M.

. M athon Pierre-A'leXahdre.A l'occasion de ce tte cérém onie une quête

a été faite au profit de la caisse des écoles,M. le Maire rem ercié les généreux dona-

th û ts et renouvelle ses meiliteux vœux au-î. jèuncs^pQ ux ainsi que scs oomplim ents aux heureux -parents.

AUTHEUIL-EN-VALOISM. 'le S o u s-P ré fe t de Senlis a agréé MM.

Chartes Bote e t D ésiré Dote comm e gardes particu liers de M. Edouard Ruelle, industrielà Vîiilers-Co'tterêts.

BARGIMYiM. -If&n-otin, in s titu teu r, est nommé offi­

cier. d ’Académie.

BETHISY-SAINT-MARTINM. BaJlny, in s titu teu r public, est nommé

officier d’Académiiede

conseil-1er municipal, lieutenant-com m andant la Compagnie de sapeurs-pom piers, m em bre de lu commission de secours de l-a. Section de l ’U. N. G., avec Mlle G ratianne Chinot, fille de M. et Mme Chinot, domiciliois à Vérincs-IWr*.

N ous présen tons, en ce tte circons-tancei t aux paren ts, no-s bien -respectueux sentim ents

aux fu tu rs époux, nos m eilleurs vœ ux de bonheur,

— Nous apprenons la m ort, après une Joft- gue e t douloureuse m aladie, de M. Fouquoire père, fabricant de vannerie, à l ’âge de 62 ans,

Nou-s, p résentons nos bien sincères condo­léances à Mme Veuve Fouquoif-e, à M-. e t Mme M auriee Fouquoire, tréso rie r de -la Section, de l ’U. N. C., SBcré-tâire de l ’U. C. et M. Emile Fouquoire, -sois, effilants, ainsi qu ’à toute la famiiliB,

- Nous apprenons -le prochain m ariage di M. Edouard T irtet, fils de M. Tir-let, conseil

BORANP o u r une. discussion 'survende au su je t

d ’un tas d ’ord-uira, e t d 'une voiture d’enfant, la dame Gossolin, née Aubriot, sourde e t muette^ a été quelque peu malm enée par son voisin, Louis Detlv.i'lie, m anouvrier. En tom­bant, c e tte dame s ’est b lessée heureusem ent pas gravem ent.

La g^idaranerie enquête poUr déterm iner le responsable de celle affaire.

b o i s s y - f r e s n o y

M. Framcart, in s titu teu r, est nommée offi­cier d ’AseadéSnie.

BOUILLANCY-M. Fayard, in s titu teu r, e,st nommé officier

d" Académie.

CHAMBLYLe noimm-é Léon Vei-dez, 47 ans, de P ersan -

Bnnuimont, éta it venu l’au-tre jo u r à la ker - mesise de Ghamhly avec des ballons rouges et de diverses -couleurs pou r la joie des en ­fan ts quand soudain u n panier de ceux-ci fit explosion à l ’entrée du parc.

On suppose que c ’e s t un pé ta rd lancé m ala­d ro item en t qui en a été la oause. P ré jud ice : 230 francs.

CREILComité creillois des Colonies scolaires de

vacances,- — Le tirage de la tom bola en fa ­veur des œ uvres, de va®ahôeg scolaires aura lieu le dim anche 23 aoû t à 9 h. 3û, dans une -saillie de ta M anie de Creiil.

N-ous rappelons que Ile p tem ler lot de ce tte tom bola e s t uffe vo-iturette autom obile m ar­que » Mat-hls ».

En -raison du nom bre des lo ts la liste des num éros g-aghanls ne pourra ê tre publiée que quelques jo u rs après le tirage,

CUVERGNONM. Moulin, in s titu teu r re tra ité , est nommé

officier d ’Académie.

FRES NO Y-LA-RIVIEREN-ous apprenons avec plaisir que. M. Clé­

m ent, .pereep.teur de Fresnoy-ilà-Rivière, est nommé à Melun.

•G’e-at avec reg re t que nous le voyons par­tir. Il la isse ra parm i nous le m eilleur sou­venir.

n,w,'.-„?l0me,n t sera rem placé par M. Ilé-lie, ru1'- Savi'Fhy (C her).

\ r ri^n- en t’ nos sin-cère-s félicitations, elvenue Q° S 'm eincurs souhait-s de bien-

FONTAINE-CHAALIS

adsnei'ces°üU u !nt de Mme Andpé- — Sous les Anirh>(S m Académie, le m onum ent de Mmeten r n T™ du lAaîlre Denys P ueM», d irec- aninihn'v ■ Vllîa M édicis> se ra e x p o s é d è s des tm 'i et j'dsqu’à. la ferm eture au Salon u e .s l u i i e r i e s .

d.-vnt, don,at5 tee y e s t rep résen tée allongée,hre a(ttjtu "Ie q«i rappelle celle du -céiè-ii j 0,6 MlIle B écam ier; elle tie n t des n e sa Pale tte d & peintre, e t de la gauche son pinceau.rn-n s’ta lue> 611 bronze d ’une patine délicate, y p-ose sur un soubassem ent de p ierre, que décoren t deux jeunes génies p leuran ts, age-«Oüjjjll'éa.

Ces deux figures com plètent un ensem ble ; sculptural d’une rare beauté .

Une plaque p o rtan t une inscription latine, rédigée par M. René Gagnat, secrétaire per­pétuel de l ’académie des inscriptions, occu­pe, entre les p leuran ts, le -centre du soubas­sem ent; une gu irlande de fleUr-s la souligne.

Ce m onum ent -sera inauguré à C’haâlis en octobre.

MAROLLESLa méd-ailto d ’honneur des -chemins de fer ,

a été" décernée à M. Marie Goignet. chef de \ canton P, N. n° 4, réseau de l ’Est, à M arolle3 . i

MESNIL-EN-THELLELa médaille d’honneur des chem ihs de fer

a été décernée à M. Gustave Bou'ti-llier, con­tre-m aître adjoint au réseau du Nord, 3-2 ans- de services.

— M. Gantrel, in s titu teu r re tra ité , est nomm é officier d'Académie.

mONTATAIREM. Debraine, d i r e 'C t e u r d ’école publique,

e s t nommé officier d’Académie.

IM ANÏEUIL-LE-H AU DO UINRoute de M aübeuge, 1-e m anouvrier Joseph.-

Rilanjot-, 50 ans, sans domicile', a été- a rrê té comme vagabon-d et dirigé vers Senlis.

PEROY-LES-GOIHBRIESLes jeûnes Lucien P aris, ouvrier, agricole,

et Raymond Vandercken, âgé de 18 ans, char-, l'on, tous deux de Nanteuill-ile-Haudouin, se sont am usés à b riser des carreaux au b â ti- rn^n-t basc-ule de Péroy, appartenan t à M. de Gornois, d’où préjuldice de 450 fr-,

PDMT-SAINTE-MA.XEIMGEM. Sueur, in s titu teu r re tra ité , est no-mniê

officier d’Académie-.

SILLY-LE-LONGLes élec teurs de la commune sont convo­

qués pour le dim anche 16 aoû t à l’effet d ’élire trois conseillers -municipaux en rem place­m ent de MM. Julien Mépuis, Léon Normand et Henri Deiligny, dém issionnaires.

VERBE RIEOn a a rrê té dans la rue de Saintines, le

m anouvrier C harles Laridan, âgé de 59 ans. natif du Nord, qui vagabondait. Il a été dirigé sur Senlis.

VILLERS-SAINT-PAULDans un hangar, au li-euidit la MoulinièrA,

on a vote une courroie de machine apparte­nant à 1-a m achine à b a ttre de M. M arceau Valet, de Creil. P ré jud ice : 500 franc-s. On enquête.

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Aux Propriétaires — Communes — É tab lissem en t» publicsPour renseignements s’adresser à M. GEFFRIER, Directeur départemental

à Beau vais, 3, rue Jean-Vast (de préférence les mercredis ou samedis)i f î

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son mélassé, 25 à 30 0 /0 de sucre, 30 0 /0 son de blé, 20 0./0 . sfiee-édanés-, 62 fr, ; avoine mélassée, 3 0 0 /0 d'avoine, 15 0 /0 de sucre, 82 fr. ; arachide rusffsque mélassé, 50 0-/0 . de tourteau, 15 o,/o de sucre, 86 fr.; gluten de maïs mélassé, 50 o/b de tourteau, 15 0 /0 de sucre, 83 fr.; cossettes de pommes mélassées, 30 à 33 0 /0 de suere, 52 fr.

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A N N O N C EE JU D IC IA IR E SA kt. I*r.

Etude dé M* Lucien CHASTA1NG,avoué à Senlis

V E N T ESUÉ SAI SI E I MMOBI LI ÈRE

au p lus Offrant et dernier enchérisseur

en 1 audience dés criées du Tribunal civil de Sentis

Séaut plaee Notre-DameEN DN SEUL LOT

Une Maison d'Habitationsituee àN auteu il-le-H andoiiin

- r,u0 Saint-Laurent 2*

C O U R P A R T I C U L I È R Esépat-éo de la maison ci-dessus

J)«r la propriété de M. Ram artA J A R D I N A LA S U I T E

L'adjudication aura lieu le M ardi 2 2 S ep tem b re 1 9 2 5

à n e u f heures du m alin

OU fait savoir à tous ceux qu'il appartîén'dfa :,_ Q u ’au*_ re q u é te , _ p o u rs u ite , « i diligence de :

M, O N erlM -L nu is H«rb«»»j mer*«sîff*nd devins, épicier et

delet, son épouse de lui assistéeet autorisée, dem eurant ensemble à Nanteuii-le-llaudjouin.

Avant pour avoué M' Lucien Chastaing, exerçant en cette qua­lité près le Tribunal civil de Senlis. demeurant à Senlis, rue Sainte-Gene iève.

Ët suivant procès - verbal de saisie du mifiistère de Cozette, huissier à Nanteuil-le-Haudouin, en date du 22 mal 1925, enregistré et transcrit au Bureau des Ilypo- Ihèqués Vie Sehlis, le 8 juin -1925, volume 103, n» 6 0 , il a été ptticédé à la saisie réelle des immeubles ci-après désignés surM . Auguste- Frauçois D upré, marchand de poissons et manouvrier, et Ma­dame Julie Duvlvier, Sôb épouse dé lui assistée et autorisée, de­m eurant ensemble à Nanteuil-le- Haudouin. Débiteurs conjoints et solidaires.

Que les formalités de publics tion du cahier des charges ayant été remplies.à l’audience descriées du 28 juillet 1936, le Tribunal par jugement en date dudit jour," a fixé l’adjudication des immeubles saisis au mardi 22«eptembre 1925, à neuf heures du matin.

Qu’en ConséquehCe, sur les poursuites des époux Herbain, sus-nommés, il sera procédé lé mardi 22 septem bre 1925, à neuf heures du matin, en l’audience des criées du .Tribunal oiyil de prem ière instance de Senlis, séant au. PalaisMe Ju s tice , place Notre- Dame, à la vente aux enchères publiques, su plus offrant et dur™ ni»r »|T!«}‘érl9«eM!', des iuîsstodfetos gsg^ SflH i

DÉ SIGN ATIONDES BIENS A VENDUE

toile qu'elle résulte du procès-verbal dq saisie immobilière

sus-énoncé).I '"1. Une Maison d 'h ab ita tio n ,

située à Nanteuil-le-Haudouin, rue Saint-Laurent, arrondissement de Senlis, départem ent de l ’Oise;' élevée sur te rre plein d’un rez- de - chaussée com prenant trois pièces e t un petit cellier, d’un premier étage consistant en deux pièces, avec autre pièce servant de débarraS à la su ite; grenier au- dessus couvert" en tuiles Droit à la ebur commune avec plusieurs par laquelle la maison en ques­tion a son entrée,* tenant du nord à M. Ram att, du sud la rué Saint Laurent, de l’ouest à la cour com­mune ci-dessus et de l’est à une autre ctlur commune et figurant au cadastro sous la section A, n 77i p. pour une contenance de 50 centiares.

2’“*. Cour particulière séparée de la maison Ci-dessus par la pro­priété dè M. Ramart, et jardin à la suite, traversé par une sente dite ruélle Chaland, Sous partie duquel se trouve une eave, le tout contenant environ 3 ares, tenant 'du nord au larris, du sud à M. Ramart, de l’ouest aux héritiers Desjardins, et à l’ést M. Ramard

inscription avant la transcription du jugem ent d’adjudication.

M I S E A P R I XOütre lés chargés, clauses et

conditions insérées au cahier des charges dressé par M' Chastaing, avoüe à Senlis, et déposé au Greffe du Tribunal civil de Senlis, où toute personne peut en prendre connaissance, les enchères seront reçues Sur ta mise à prix de deux mille francs fixée par les pour-

2 . 0 0 0 î r .

P u r g e X_,éçja.leIl est ici déclaré, conformément

â l’article_696du code de procédure civile, que tous ceux du chef des­quels il pourrait êtrrç prié Insçrip tlon pour j raison tThvpiAitoritji}1***5* Î dwvroHl ç ^ i -

Fait et rédigé par l ’avoué pour­suivant soussigné.

Senlis, le 13 août 1925.Signé : L. CHASTAING,

Èt eriVegistré.

S ’adresser pour les renseigne­ments ;

1“ A M« L C hastaing , avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

2° A M* Boileau, notaire à Nan- teuîi-le-llaudouin ;

3° A M® Cozette, huissier audit Nântéuil ;

4<> Et au Greffe du Tribunal civil de Senlis, Où le cahier dés charges est déposé. 7911

GOÜESBET, ouvrier maréchal ferrant à Rully, a cédé à M. Cons­tant- Louts-Marie-Joseph GOUjËS-l.l.KT, maréchal ferrant à Rully, tous ses droits suecesMifs dans la succession de Mme Zélie-José- phine RIVET, sa mère, décédée le 42 juin îffîé, épouse du ceasion- naire, et notamment dans le fonds de m aréchal fe r ra n t exploité à Rully.

Les oppositions devront être faites à Senlis, en l’Etude dudit M* Gazeau, notaire, dans les dix jours de la seconde insertion.

Pour prem ier avis : 7904 GAZEAU.

Défenderesse au principal, de­manderesse feeofivpïitionhelie, ayant Me Epqqvy pour avoué.

, „ Il apRert :Qüê lé divorce a été prononcé

de piano d 'entre .les époux Thé- roifie-Carpentier, à la requêtè 'é t aux torts de chacun d’eux.

Pour extrait :Signé : CHASTAING.

Ét ènfiegistr<|v 7908

A r t . 2 .Etude de Me GAZEAU, notaire

'- à Senlis

Aux term es cl’un acte reçu par M» Gazeau, notaire à Senlis, le 21 juillet 1925, enregistré à Senlis

• V.), ,1b éisofit « j» , vei, 9SI Hl?,3Ç*( PL i rnèr-i»

A r t . 3 .

Etude de M* L . C H A S T A IN G avoué à Senlis.

Extrait ds Jugement de Divorce

D’un jugement contradictoire­ment rendu par le Tribunal civil de Senlis, le vingt-cinq mai-s 1925 enregistré.

* u t ? ! M o n s i e u r Raymond THEROiNE, ouvrier de culture, demeurant à Tlüefs.

Demandeur au principal, défen­deur reconventionnel, ayant M Chastaing pour avoué.

Et : Madame Eugénie CAR- PENTIER, épouse de Monsieur THERO iN E , sus-nom m é, avec lequel elle demeure de droit, mhls résidant de fait à La Chapeüe-en-(S efV B l, ti l lu y l l ' r o t M . M

été prononcé d’entre les époux i Rascart-Uoyèrp.

Polir extrait :Signé : MORAND.

Et enregistré. 7916

A r t . 4 .

üEtade de M" G tooraee MORAND avoué à

D IV O R C E

Assistanoe JudiciaireDécision du 9 'Avril 1921.

D’ün jugem ent contradictoire­ment rendu par le Tribunal civil de première instance de gbnlis, le vingt-qUatfe mars 1925, enre­gistré. Entre Madame ROYERE Julie-Luqienne Victai'ine. YffWIe en prem ières noces de M. GRE- BERT Lucien-Jules, et épouse en deuxièmes noces deM. UA8 ÇART Ju lieh-F lfm ui, ouvrier d Usine, avec lequel elle demeure de d r o it , mais autorisée à résider et résidant d e fait 3 Rjeux-Angi- court, rue d e -l'Eglise, n* 26 . Et M. RASCART Jul'ièü-FlPmm, ou­vrier d'usine, dem eurant à Creil ci-devant et actuellement à No tfr,Ut,»i«»5r«Oi»e, rue l'Aubier

ti appert i lu sî4v«r«« *

A r t . 5.

TRIBUNAL DE COMMERCE - DE SENLIS

Report Cessation des PaiementsD-’un jugem ent rendu sur re­

quête le 10 juillet’ 1925 par le Tribunal.ile Commerce de Senlis, il appert que l'époque de la ces­sation tîès paiements du sieur DOMART, banquier à Béthisÿ- Saint-Pierro, a été fixée et re­portée au P>’ octobre 1924, au lieu du 8 mai 1925, date qui avait été fixée provisoirem ent le jour .de Sa déclaration de faillite.

LETTE, son épouse, domeuranl ci-devant à Vio-.sur-Aisne qt ac­tuellem ent à Ohambly, le fonda dè com m erce de m arch an d bouchep-chapeutiep qu'ils Pïpjoi» raient à Chambly, rue de l’iios-. pi.ceK n° 9,

Les oppositions s’il y a lieu* devront être faites dans les <jix jours de la seconde insertion et seront' reçues à Cham bly, en l ’Etude de M* Quentier, notaire.

Pour première publication-î 7919 QUENTIER.

7909

Art* 6 . ..Etude de Me QUENflER, notaire

à Ohamblyi

PREMIÈRE PUBLICATION

Buiv«nt anto imen par M' Queq- tibr, itotaifé a Chàmblÿ. le 6 aoftt 1925, enregistré à Neuilly-eilt- Tbelle, le 7 du même mois d’aofft, folio 8 , case 26, M Jules-îmcieff-' Gervais-Epgène PAR13NT, map^ (■liand boucher, et Mme Marie F LEUR y . «ou épousfivd-emeuj-aut à Chambly, ont vendu à M. Za- charie-Ernest VINCENT , bou

....... 1 s—mmmm.A r t . 7 .

Etude do Me VIDY, notaireà Chantilly.

Aux term es de l’inventaire dressé par M» Vidy, notaire, à Chantilly, le 8 juillet 1925, en re­gistré à Dréil (À. C.), le 23 juillet 1925, volume 323 bis, folio 149, n» 8 8 6 , après lç décès de M. Henri DUBOIS, crémier, Mme veuve DUBOIS, née Ërnestine-Eméran- tine-Aürore PINEAU, son épouse survivante, a opté pour lu conser­vation du fonds de eommeneft de m arch an d de b e u rre , œ ufs e t fro m ag es, exploité à Chantilly, i'Ue du Connétable, n° 91, et dont elle est devenue seule proprié­taire.

Les oppositions, s’il y a lieu, devront etre faites dans les dix jours de la présente insertion, h Chantilly, en l’Etude de Me Vidy, notaire.

j ••haï-; s t M;Pour deuxième insertion t

«ig-m ; V tp y i

Page 4: chaque Les instituteurs à la G. G. T. Une Lettre de M ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1925-1926/bms_js_1925_08_16_MRC.pdf · de toutes les nuances de la joie la plus vive à celles de

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