CHAPITRE LGÈBRE DE BOOLE - fsg.rnu.tn 1 - Algèbre de Boole.pdf · Une variable logique (ou encore...
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24/09/2016
Khaled Hassine 1
24/09/2016 1Khaled Hassine
Par :
Khaled Hassine
CCHAPITREHAPITRE II –– AALGÈBRELGÈBREDEDE BBOOLEOOLE
24/09/2016 2Khaled Hassine
Théorèmes fondamentaux
Du transistor aux portes logiques
Introduction
Récapitulatif
PLAN
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Variables et fonctions binaires
Khaled Hassine
Théorèmes fondamentaux
Du transistor aux portes logiques
Introduction
Récapitulatif
PLAN
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Variables et fonctions binaires
Khaled Hassine
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De Boole à Shannon
George Boole (1815-1864) défini vers 1850 une algèbre applicable aux
raisonnements sur des propositions logiques :une proposition peut être vraie, à la quelle onattribue la valeur 1, ou fausse, dont la valeur est0.
Shannon en 1938 a appliqué cette algèbre à l'analyse des circuits
de commutation : le courant passe ou ne passepas, ce que l'on note également par 1 ou 0.
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Objectifs
Présenter d'une manière simplifiée les conceptsfondamentaux de l’algèbre de Boole en vue deson application aux conceptions des circuits debase d'un ordinateur.
Conception de quelques circuits très utiles pour lefonctionnement d'un ordinateur : combinatoires (additionneur, multiplexeur, ...)
séquentiels (registres, compteur, ...)
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Théorèmes fondamentaux
Du transistor aux portes logiques
Introduction
Récapitulatif
PLAN
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Variables et fonctions binaires
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Variables logiques
Une variable logique (ou encore binaire oubooléenne) est une variable dont la valeurappartient à un ensemble de deux élémentsreprésentés en binaire par les symboles 0 et 1.
(A est une variable logique, A {0,1}). Par convention, une variable logique est :
vraie si sa valeur est 1, fausse dans le cas contraire.
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En électronique
Deux états associés à deux niveaux de tension: V(0) et V(1) pour les états 0 (inférieur à +0.8 V) et
1 (+2 V et +5 V ).
On distingue les logiques positive et négativeselon que V(1) > V(0) ou V(1) < V(0).
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En électronique …
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Fonctions logiques
Une fonction logique (ou booléenne) est unefonction à n variables logiques dont la valeurappartient à l'ensemble {0,1} : F(A1, A2, ..., An) à {0,1}.
Toute fonction logique peut être réalisée àl’aide d’un petit nombre de fonctions logiquesde base aussi appelées opérateurs logiques ouportes (gates)
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Table de vérité
La fonction F est parfaitement définie par ladonnée des ses valeurs pour les 2n
combinaisons possibles des n variables. Le tableau de correspondance entre les états d’entrée
et les états de sortie.
Le tableau représentant les 2n valeurs s'appellela table de vérité de la fonction.
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Fonctions logiques à une variable
A F1 : Coupure F2 : Identité F3 : Inverse F4 : Passage
0 0 0 1 1
1 0 1 0 1
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Opérateur complémentation
La fonction F3 : fonction de base très utile. C'est la fonction inverse appelée encore
complémentation ou négation de la variable A se lit : non A ou encore A barre.
À une fonction correspond toujours un opérateurréalisant cette fonction.
L'opérateur de complémentation, appelél’opérateur NON (NOT en anglais).
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A
L’opérateur NON ou inverseur
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A A
Fonctions à deux variables
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00 01 10 11 ab Remarque
0 0 0 0 F0=0 Constante 0
0 0 0 1 F1=ab Fonction Intersection ET / AND
0 0 1 0 F2
0 0 1 1 F3=a
0 1 0 0 F4
0 1 0 1 F5=b
0 1 1 0 F6=ab Fonction Ou Exclusif / XOR
0 1 1 1 F7=a+b Fonction OU / OR
16 fonctions possibles
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Fonctions à deux variables …
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00 01 10 11 ab Remarque
1 0 0 0 F8 Fonction NAND
1 0 0 1 F9=ab Fonction égalité
1 0 1 0 F10
1 0 1 1 F11
1 1 0 0 F12=a
1 1 0 1 F13
1 1 1 0 F14=a+b Fonction NOR
1 1 1 1 F15=1 Constante 1
16 fonctions possibles
Intersection et réunion
Deux fonctions très importantes qui portentsur deux variables : La fonction intersection (ou produit logique) :
noté A x B (ou ALB)
la fonction réunion (ou somme logique) : noté A+ B (ou encore AnB).
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A
BA+B
A
BAB
Fonctions de base
Toute fonction logique peut s'exprimer sous laforme d'une expression faisant intervenir lestrois fonctions : complémentation, produit logique somme logique,
d'où l'appellation «fonctions de base» ou«fonctions fondamentales».
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Ou Exclusif
Une autre fonction intéressante à 2 variablesest très utilisée dans la pratique : c'est lafonction OU Exclusif.
L'opérateur de la fonction OU EXCLUSIF(notée et appelé en anglais XOR)
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Principale propriétés de lafonction Ou Exclusif
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Porte à Trois Etats
La porte "3 états", ou "tri-state", n'est pas une portelogique au sens strict. Elle est principalement utiliséepour connecter une sortie sur une ligne commune àplusieurs circuits (un bus par exemple).
Elle remplace généralement une porte ET. En effet, lamise en parallèle sur une même ligne de plusieursportes ET introduit des capacités parasites. Ceciaugmente les constantes de temps et a pour effet dedétériorer les fronts de montée et de descente dessignaux. Cela peut perturber le fonctionnement d'unsystème.
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Porte à Trois Etats …
Lorsque la commande C est à 0, l'impédance desortie est très grande : pratiquement déconnectée.
Les portes "3 états" fournissent une amplification depuissance.
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C A Y Sortie1 0 0 faible impédance1 1 1 faible impédance0 X 0 haute impédance
Théorèmes fondamentaux
Du transistor aux portes logiques
Introduction
Récapitulatif
PLAN
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Variables et fonctions binaires
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Le transistor
Un circuit logique est caractérisé par uncomportement binaire (deux états logiques).
Ceci est facilement obtenu avec des signauxélectriques ayant différentes tensions ouintensités de courant.
En pratique, l'état 0 est associé à une tension qui voisine le 0 L’état 1 pour une tension qui voisine les 5 volts.
Le composant de base d'un circuit logique estle transistor.
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Collecteur
Emetteur
Base
Le transistor
Un transistor peut être perçu comme uninterrupteur électronique très rapide construit àbase d'un semi-conducteur (par exemple, lesilicium).
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Porte NOT à base de transistor
Son fonctionnement est le suivant : Si Ve (la tension en entrée) voisine
le 0 ( 1 V), le transistor est en étatbloqué. On récupère VCC (égale à5 volts) comme tension en sortie(Vs).
Si Ve (la tension en entrée) voisineles 5 volts ( 2 V), le transistor esten état passant et la terre absorbetoute la tension VCC. La tension desortie (Vs) est alors nulle.
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VCC
Ve
Vs
Porte NAND à base de transistor
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VCC
Ve1
Ve2
Vs
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Porte NOR à base de transistor
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VCC
Vs
Ve1 Ve2
Les circuits intégrés logiques
Les circuits intégrés logiques (CI, CIL, puce ouencore Chip) sont des composantes à base de semi-conducteur (le silicium), de taille 5 x 5 mm, quicontient des composants électroniques tels que lestransistors, les diodes, les résistances et les capacités..
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Circuit intégré Broches
Circuits intégrés
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Les circuits intégrés logiques
Les diverses composantes sont interconnectées dans la puce defaçon à former le circuit électronique.
Un circuit intégré est encapsulé dans un boîtier (Package enanglais) rectangulaire en plastique ou en céramique de 5 à 15 mmde long. Sur les deux long cotés de ce boîtier sont disposés, demanière symétrique, des broches (ou pattes) permettant d'assurerdes connexions électriques (entrés, sorties, alimentations, ...), d'oùl'appellation de ces circuits DIP (Dual Inline Package : Boîtiers àdeux rangées de connexions symétriques).
On n'accède au circuit interne qu'à partir des broches (externes)dont le nombre est normalisé. Les boîtiers les plus usuels disposentde 14, 16, 18, 20, 22, 24, 28, 40, 64 et 68 broches.
Il existe aussi d'autres présentations carrées disposant desconnexions reparties sur les 4 côtés ou en dessous du boîtier.
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Echèle d’intégration
Nom Signification Année de sortieNombre
de transistorsNombre de portes
logiques par boîtier3
SSIsmall-scale
integration1964 1 à 10 1 à 12
MSImedium-scale
integration1968 10 à 500 13 à 99
LSI large-scale integration 1971 500 à 20 000 100 à 9 999
VLSIvery large-scale
integration1980 20 000 à 1 000 000 10 000 à 99 999
ULSI ultra-scale integration 19844 1 000 000 et plus 100 000 et plus
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Circuits intégrés logiques
Les circuits intégrés logiques sont classés en 5 famillesselon leur densité d'intégration (nombre de portes/mm2)
Ces distinctions ont peu à peu perdu de leur utilité avec lacroissance exponentielle du nombre de portes.
Aujourd'hui plusieurs centaines de millions de transistors(plusieurs dizaines de millions de portes) représentent unchiffre normal (pour un microprocesseur ou un circuitintégré graphique haut de gamme).
Afin de parvenir à de tels niveaux d'intégrations, un flot deconception complexe est utilisé.
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Les différentes familles de circuitsintégrés
Les circuits intégrés sont classés par famille. Chaque famille ason propre circuit électronique de base qui est en général laporte NAND ou la porte NOR.
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Abréviation Nom complet Circuit de base
TTL Tansistor Transistor Logic NAND
ECL Emitter Coupled Logic (logique à émetteur couplé) NOR ou OR
MOS Metal Oxyde Semi-conducteur
CMOS Complementary MOS NAND, NOR
I2L Integrated Injection Logic (logique à injectionintégrée)
NOR
Paramètres de comparaison descircuits intégrés
Fan out : le nombre d'utilisations du signal de sortie(d'une porte) comme signal d'entrée à d'autres portes
Puissance dissipée : puissance consommée par uneporte et qui doit être disponible à l'alimentation.
Délai de propagation : intervalle de temps que met unsignal pour se propager de l'entrée d'un circuit à sasortie. La vitesse d'exécution est inversementproportionnelle au délai de propagation.
Immunité au bruit ou marge de bruit minimum quiaffecte la valeur de sortie d'un signal.
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Fan out
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AB
CD
Fan out de A = 2 - Fan out de B = 1- Fan out de C =1
Emitter Coupled Logic : ECL
Développé dés 1963 par Motorola, le circuitde base de la technologie ECL est la porteNOR (ou OR)
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Délai depropagation
Puissancedissipée
Immunité aubruit
Fan out
ECL environ 1.5 ns 250 mW 0.3 V > 7
(A + B)A + B
A
B
NORDeux portes sont disponibles.
OR
Tansistor Tansistor Logic : TTL
Le circuit de base pour la famille logique TTLest la porte NAND. Le Fan out pour la familleTTL = 10.
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Série Nom de la version Abrégé Délai depropagation (ns)
Puissance dissipéepar porte (mW)
Immunitéau bruit
74 Standard serie 74 TTL 10 10 0.4 V à 1 V74L Low Power 47L
puissance basse)LTTL 33 1 0.4 V
74H High Speed (grandevitesse)
HTTL 6 22 0.4 V
74S Schottky 74S STTL 3 19 0.4 V74LS Low Power Schottky LSTTL 9.5 2
Exemples de circuits intégrés TTL(de Texas Instruments)
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12 11 101314 9 8
2 3 41 5 6 7Ground (masse)
Fonction : Y = A
SN 7404
6A 6Y 5A 4A5Y 4Y
1A 1Y 2A 3A2Y 3Y
12 11 101314 9 8
2 3 41 5 6 7Ground (masse)
VCC
Fonction : Y = A. B
SN 7403
4A 4B 4Y 3B3A 3Y
1A 1B 1Y 2B2A 2Y
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Metal Oxyde Semi-conducteurMOS
Le principal inconvénient de la famille MOSpar rapport à TTL et ECL est le grand délai depropagation. Par contre, ils offrent une grandedensité d'intégration / puce.
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Délai depropagation
Puissancedissipée
Immunité aubruit
Fan out
CMOS 25 ns 15 µW 2.4 V >50
Integrated Injection Logic I2L
Délai depropagation
Puissancedissipée
Densitéd'intégration
Tensiond'alimentation
I2L 25 ns à 250ns
6 nW à 70µW
200portes/mm2
1 à 15 V
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Théorèmes fondamentaux
Du transistor aux portes logiques
Introduction
Récapitulatif
PLAN
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Variables et fonctions binaires
Khaled Hassine
Liste des théorèmes
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Remarques
La loi d'inversion est aussi dite loi decomplémentarité.
Les lois d'absorption et de De Morgan sont utilespour la simplification des expressions logiques. Leslois de "De Morgan" permettent, en particulier, detrouver le complément d'un élément d'expressionbooléenne. Il faut pour cela : Changer les opérations ET en opérations OU et vice versa. Complémenter chaque terme de l'expression.
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Exemple
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CBA
CBAE
)CB(AE
la forme oude la loi de"De Morgan"
la forme etde la loi de"De Morgan"
Autres relations intéressantes
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AA
BAAABABAA ))((
ABABA ))((
La loi de De Morgan peut facilement être généralisée à Nvariables binaires
nn AAAAAA 2121nn AAAAAA 2121
Démonstration de la loi dedistributivité
(A+B)(A+C)
= AA + AC + AB + BC
= A + AC + AB + BC
= A (1+B+C)+BC
= A + BC
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Démonstration du théorème deConsensus
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CAABCABCAB Forme ET :
( ) ( )
( )
( )
( )
( ) ( )
AB AC AB C C AC B B
ABC ABC ACB ACB
BC A A ABC ACB
BC ABC ACB B C AC ACB
B C A ACB BC AB ACB
AB C B AB AB C B A
AB CB C A
Démonstration du théorème deConsensus
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Forme OU : ( )( )( ) ( )( )A B B C A C A B A C
( )( )( ) ( )( )
( )( ) ( )( )
A B B C A C AB BB AC BC A C
AB B AC BC A C B AC A C
AB AAC CB ACC AB CB AC
( )( )A B A C AB CB AC
Exemple d'utilisation du théorèmede consensus
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( ) ( )
( ) ( )
BC BCD ABD ABC ABCD ACD
BC ABD ABC ABCD ACD
B C AC ABD CD AB A
B C A ABD CD B A
BC BA ABD CDB CDA
BC BA ABD CDAB
BC ABD AB CDAB
BC ABD AB CD
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Khaled Hassine 14
Un algorithme est une suite finie et non ambiguë d’opérations oud'instructions permettant de résoudre un problème. Le motalgorithme vient du nom latinisé du mathématicien Al-Khawarizmi, surnommé « le père de l'algèbre ». ...
Un algorithme est une méthode générale pour résoudre unensemble de problèmes. Il est dit correct lorsque, pourchaque instance du problème, il se termine en produisant la bonnesortie, c'est-à-dire qu'il résout le problème posé. Onmesure l'efficacité d'un algorithme notamment par sa durée decalcul, par sa consommation de mémoire RAM (en partant duprincipe que chaque instruction a un temps d'exécution constant),par la précision des résultats obtenus , etc.
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Généralité sur les algorithmesConcept de complexitéVecteurs et matricesReprésentation interneCalculs numériques approchés
Définition d’un algorithmeStructure d’un algorithmeTypes des donnéesTypes d’instructions