Chapitre 6 Implantation

8/17/2019 Chapitre 6 Implantation

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Chapitre 6: Implantation d’atelier.


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• Définition de l’implantation:

– Organisation physique d’un atelier de production. Cela comprend donc• La position des machines

• La position des zones de stockages

• L’emplacement des postes de travail

• Le tracé des voies de cheminement des pièces ou du personnel

• Les accès porte entrée! de sortie! quai de chargement"#

• 40 à 60 % du temps nécessaire pour fabriquer une pice sepasse en manutention! stoc"a#e et attente.

• $n atelier est quelque chose de iant: – Le type de pièce réalisés et leur gamme change $réquemment

– %es machines anciennes sont remplacées par des machines neuves

– %es nouvelles technologies apparaissent

Conte&te industriel


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• Implanter un atelier constitue en un problme d’optimisation

multicritres '$lu& de pièces! cout! choi& des pièces représentatives!moyen de manutention( soumis à des contraintes fortes'géographie des lieu&! nuisances! alimentation en énergie"#

• )’or#anisation d’un atelier a au fur et à mesure du temps ne

plus conenir à la production en cours.

• )a ré*implanation d’un atelier coute trs cher: – %éplacement délicat de machines lourdes et $ragiles

– 'odi$ication de l(alimentation en énergie

– )rr*t de la production pendant un temps non négligea+le.

• Il ne peut donc pas aoir lieu fréquemment! il doit donc+tre efficace.

Conte&te industriel


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• )’implantation d’un atelier est souent historique:elle était ,udicieuse avant! elle ne l’est plus maintenantcar +eaucoup de machines ont changés! mais commecela coute très cher de la changer! on la garde"

• )es raisons principales de la mise en place d’unenouelle implantation sont multiples: – )mélioration de la gestion des $lu& en limitant les points

d’engorgement! les retours en arrière – 'inimiser les stocks d’en cours et les manipulations – )méliorer les conditions de travail des opérateurs en adaptant

les postes de travails prise en compte des -'# – Optimiser l’occupation des sur$aces pour une meilleur prise

en compte des contraintes des +/timents.

,b-ectif d’un ré*implantation


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• oici les différents t/pes d’implantationqui peuent e&ister:

– 0mplantation historique – 0mplantation 1 position $i&e

– 0mplantation $onctionnelle – 0mplantation en ilots – 0mplantation en ligne de production

)es différents t/pes d’implantation


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• lle est le résultats d’une éolution au fil du tempsd’une implantation qui était or#anisée et qui necorrespond plus à la production actuelle – 2&emple3 l’atelier de l’04- ,usqu’1 l’an dernier il n’avait

,amais +ougé depuis plus de 56 ans"#

• )es postes de traail ne sont pas or#anisés.

• )es produits passent de poste en poste 'tra-etslon#s! beaucoup de croisement1(

• 2ertes de temps dues au& transferts désordonnésdes produits

Implantation historique


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• )e produit est stationnaire et les ressources sont

mobiles 'machines! homme1(. C’est le principedu chantier.

• Implantation -ustifiée lorsqu’il est trop difficileoir impossible de déplacer le produit.

Implantation à position fi&e


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• &emple: – )éronautique 3 l’avion est assem+lé entièrement en sur

place – Construction navale

– 7énie Civil

• Cette implantation n’est pas trs difficile à mettreen place. lle nécessite par contre d’aoir des

mo/ens de production qui peuent +tredépla3ables. 'on imagine mal déplacer une C8 pourtravailler sur un avion"(

Implantation à position fi&e


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• Dans ce modle! les procédés de fabricationidentiques sont re#roupés sur un m+me lieu:

– -ous les tours ensem+les – -outes les $raiseuses – -ous les $ours"

Implantation fonctionnelle


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• Installation facile à mettre en place! encoreutilisée de nos -ours lorsque les procédésnécessites des locau& specifiques:

– 2vacuation des $umées de soudage – 9clairage spéci$ique

– Climatisation pour instruments de métrologie"

• )e produit se déplace d’une section homo#ne à

une autre. )es déplacements sont doncnombreu& et non optimisés.

Implantation fonctionnelle


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• ,n constitue un #roupe de ressourcesdifférentes nécessaires à la réalisation d’unesuite d’opération pour un t/pe de produit.

Implantation en ilot


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• )a disposition des machines suit un ordre lo#ique

permettant de minimiser les déplacements despices.

• )e produit peut passer dans plusieurs ilots au cours

de sa fabrication.

• Chaque ilot peut conenir à plusieurs produitsrelatiement similaires.

• Cette solution n’est pas trs pérenne. i les produitschan#ent! les ilots doient chan#er.

Implantation en ilot


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• Dans ce modle! on dédie les ressources deproduction à un produit3 il s’agit de la $ameuseligne de production.

• )e produit se déplace sur toutes les machinesmises bout à bout dans l’ordre de la #amme.

Implantation en li#ne

&emple:

0ndustrie automo+ile!

papeterie!agroalimentaire!pharmaceutique"


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• )e flu& de la pice est trs simple et trs optimisé.

• Cette implantation permet une cadence rapide'utilisation de composants standards(.

• Chaque li#ne est adaptée au produit! donc toutemodification du produit entraine une modification dela li#ne.

• 5rs lon# à mettre en place et peu fle&ible doncadaptée uniquement à la #rande série.

• ,n parle souent de flu& continu 'flo shop(

Implantation en li#ne


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• 5out dépend du t/pe d’entreprise et du t/pe de

produit. – 0l n’y a pas d’implantation type – 0l est m*me possi+le de com+iner plusieurs types

d’implantations.

• Il e&iste des outils mathématiques pour aider àla mise en place d’une nouelle implantation.

• Ces outils ont donner une implantationthéorique optimale qu’il faudra ensuite adapterà l’entreprise 'prise en compte de la taille desmachines! de l’atelier(.

7uelle implantation choisir8


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• )a démarche sera la suiante: – tape 9: %étermination de la sur$ace nécessaire – tape 3 0denti$ication de l’implantation théorique – tape ;: )daptation pour o+tenir l’implantation pratique!

• ,n erra qu’il est parfois impossible de respecterl’implantation théorique optimale!

Démarche d’implantation


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• Il est possible d’estimer la taille nécessaireminimal d’un atelier en fonction des machinesque le compose.

• 2our chaque machine la surface totalenécessaire 5 se décompose :

5 = 0

tape 9: le calcul des surfaces


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• urface totale : 5 = 0 – 4: surface au sol de la machine exemple tour CN: 2m*3m#

– >: surface de #raitation! sur$ace utilisée autour du postede travail par l’ouvrier et par les matières 5er approvisionnéesexemple: N=1 pour un tour CN #.

SG= N . SS avec N le nombre de face accessibles

: 0: surface d’éolution! sur$ace qu’il est nécessaire deréserver entre les postes de travail pour les déplacements etles manutentions

SE= k. (SS+SG)

tape 9: le calcul des surfaces


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• Il s?a#it d?outils mathématiques 'souent #rapiques(permettant de modéliser l?implantation de l?atelier.• Certaines méthodes sont utilisables pour des

implantations de t/pe @ Ilot A

– 'éthode des Chainons – 'éthode de ;uziack – 'éthode de ;ing

• Certaines méthodes sont utilisables pour desimplantations de t/pe @ )i#ne de production A:

– 'éthode des antériorités – 'éthode des rangs moyens

tape : choi& de la méthoded’implantation


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• ,b-ectif: rechercher la position relative des machines

permettant de limiter le chemin parcouru par les pièces.

• termes spécifiques: – %3 distance entre les deu& postes – 0t3 indice de tra$ic! nom+re de trans$ert de pièces entre les

deu& postes pour assurer la production

Béthode des chainons

POSTE

1

POSTE

2

Liaison

Chaînon


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Produis Gammes ! "ar c#a$non

% (1&')Unité manutention: 20 2 *

, (')Unité manutention: 10

1 *

- (&')Unité manutention: 20

1 * 2

(12')Unité manutention: 20

1 & * /

0e "rodui % devra "asser dans les "oses de ravail 2 e *.

Tableau de gammesFabrication de 4 produits utilisant 5 machines


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Gra"#iue des 3ammes

1 2 & * Toal ! "ar "rodui

%

,

-

P r o d u i s 1&

Poses

/

2

/ /

/

14

2

uestion: comment positionner les 5 postes de tra!ail pour

minimiser le "lu# de pi$ces%



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Poses 1 2 & *

1

2

&

* 0 e " o s e 5 . e n v o i e

0e "ose 5. re6oi

On va re"r7sener la 3amme de fabricaion sous forme d8unableau mariciel d7crivan le flu9 de "i:ces enre les "oses.



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Poses 1 2 & *

1

2

&

* 0 e " o s e 5 . e n v o i e

0e "ose 5. re6oi

& Pour le "rodui % ; le "ose 2 envoie au "ose fois

& '

&& Pour le rodui % ; le ose envoie au ose * fois

&& '



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Poses 1 2 & *

1

2

&

* 0 e " o s e

5 . e n v o i e

0e "ose 5. re6oi

Pour le "rodui , ; le "ose 1 envoie au "ose fois

'

Pour le "rodui , ; le "ose envoie au "ose * fois

'



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Poses 1 2 & *

1

2

&

* 0 e " o s e 5

. e n v o i e

0e "ose 5. re6oi

Pour le "rodui - ; le "ose 1 envoie au "ose * 2 fois

'

'

2



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Poses 1 2 & *

1

2

&* 0

e " o

s e 5 . e n v o i e

0e "ose 5. re6oi

Pour le "rodui ; le "ose 1 envoie au "ose & / fois

'

'

2

Pour le "rodui ; le "ose & envoie au "ose / foisPour le rodui ; le ose envoie au ose * / fois

/

/

/



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Poses 1 2 & *

1

2

&

*

'

'

2/

/

/

Pour c#aue "ose on calcul le nombre de case rem"li (li3ne e colonne).


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Poses 1 2 & *

1

2

&

* 0 e "

o s e 5 . e n v o

i e

0e "ose 5. re6oi

'

'

2/

/

/

1 case "our le "ose 2

1



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Poses 1 2 & *

1

2

&

* 0 e " o s e 5 . e n v o i e

0e "ose 5. re6oi

'

'

2/

/

/

1

&

& cases "our le "ose



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Poses 1 2 & *

1

2

&

* 0 e " o s e 5 . e n v

o i e

0e "ose 5. re6oi

'

'

2/

/

/

1

&

2

2 cases "our le "ose &


é


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Poses 1 2 & *

1

2

&

* 0 e " o s e 5 . e n v

o i e

0e "ose 5. re6oi

'

'

2/

/

/

1

&

2

2

2 cases "our le "ose *


Bé h d d h i


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Poses 1 2 & *1

2

&

* 0 e " o s e 5

. e n v o i e

0e "ose 5. re6oi

'

'

2/

/

/

On calcule le rafic oal "ar "ose (li3ne e colonne). -ela7uivau la uani7 de convo>a3e effecu7e

1

&

2

2

11


Béth d d h i


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+n arri!e , ce résultat sui!ant:

? le "ose es le "remier on l8a""elle "ose direceur

on le "lacera en "remier

? On "lacera les aures "oses ensuie

-lassemen ;

Poses 1 2 & *

1

2

&

* 0

e " o s e 5 . e

n v o i e

0e "ose 5. re6oi

'

'

2/

/

/

1

&

2

2

11

'(2

12

1-

1

2

&

*


Béth d d h i


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5# On "lace sur un noeud au cenre du canevas le "ose "r7senan le plusgrand nombre de liaisons e si "lusieurs "oses on le m@me nombre de

liaisons le "ose "r7senan le "lus 3rand indice de rafic.

2) %ussiA a"r:s on "lace auour de lui les "oses avec lesuels il forme

une liaison dans l.ordre décroissant du tra"ic total par liaison. On indiue

le sens du flu9 "ar une fl:c#e.

) Buand oues les liaisons son re"or7es "our le "remier "ose consid7rerle deu9i:me "ose ;

=C S8il es d7D "lac7 re"orer les aures liaisons le concernan

ouDours dans l8ordre d7croissan du rafic oal "ar liaison

=CSinon le "lacer cA7 d8un "ose d7D im"lan7 avec leuel il a uneliaison e com"l7er avec les aures liaisons...

%insi de suie Dusu8 7"uisemen des "oses e des liaisons.


Béth d d h i


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08im"lanaion #7oriue va se faire sur un caneva rian3ulaire..

0e "ose class7 1 (c8es dire le "ose le "lus c#ar37 ici le ) sera le "oin de

d7"ar de la consrucion

<

6

5=

>


Béth d d h i


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On voi ue le "ose 1 es aussi en relaion avec & e *.-e "ose es donc sans doue mal "lac7 ici

<

6

5=

>


Béth d d h i


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En modifian le "osiionnemen des "oses on arrive une soluion saisfaisane

("as de croisemen)

< 6

5

=

>

!l fau ensuie "asser l8im"lanaion "raiue (voir les T e

TP)


t h i d l éth d d’i l t ti


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• Certaines méthodes sont utilisables pourdes implantations de t/pe @ Ilot A

– 'éthode des Chainons

– Béthodes de uiac"

– Béthodes de in#

•

• Ces méthodes permettent d’identifier les

ilots de production optimum.

tape : choi& de la méthode d’implantation

Béth d d i " i


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Béthode de uiac" ou in#

?our plus d’in$ormations surces méthodes! se reporter aulivre @ 7estion de

production A de '. ?illet.

4n e&trait sur ces méthodesest disponi+le sur Chamilo.

t h i d l éth d d’i l t ti


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• Certaines méthodes sont utilisables pour desimplantations de t/pe @ Ilot A

– 'éthode des Chainons

– 'éthodes de ;uziack

– 'éthodes de ;ing

• Certaines méthodes sont utilisables pour desimplantations de t/pe @ )i#ne de production A:

– Béthodes des antériorités

– 'éthodes des rangs moyens

tape : choi& de la méthode d’implantation

Béth d d té i ité


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• Béthode des antériorités: – ?ermet de déterminer l’ordre des machines lors

d’une production en ligne aussi applica+le au seind’un ilot#

– Cette méthode se +ase sur les antériorités dechaque poste de travail.

– &emple:

Béthode des antériorités



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• tablir pour chaque machine un tableaud’antériorité:




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• ,n place et on ra/e les machines qui n’ontpas d’antériorité. lles se positionnent endebut de li#ne




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• ,n re#arde les machines n’a/ant alors

plus d’antériotés 'ici E(! on la place et onla ra/e!




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• t ainsi de suite pour toutes les machines!• n présence de boucle! on ra/e les

machines et on les place en parallle:




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• t ainsi de suite pour obtenir le placementsuiant:

'B


tape : choi& de la méthode


48/50

• Certaines méthodes sont utilisables pour desimplantations de t/pe @ Ilot A – 'éthode des Chainons – 'éthodes de ;uziack

– 'éthodes de ;ing• Certaines méthodes sont utilisables pour des

implantations de t/pe @ )i#ne de production A:

– 'éthodes des antériorités

– Béthodes des ran#s mo/ens 'oir Chamilo(

tape : choi& de la méthoded’implantation

Démarche d’implantation


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• )a démarche sera la suiante: – 2tape 53 %étermination de la sur$ace nécessaire – 2tape =3 0denti$ication de l’implantation théorique – tape ;: Fdaptation pour obtenir l’implantation pratique!

• ,n erra qu’il est parfois impossible de respecterl’implantation théorique optimale.

Démarche d implantation

tape ;: adaptation de l’implantation


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• )’implantation théorique ne prend pas en compte lescontraintes ph/siques d’un atelier 'taille! positiondes mur! des allées1(

• Il faut! au cas par cas! modifier la solution théoriquespour la rendre compatible aec les locau&.

• Ces modifications peuent +tres importantes.

)’implantation théorique donne -uste une idée dedépart 'on traaillera cela en 52(

tape ;: adaptation de l implantationthéorique

Chapitre 6 Implantation

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