CHAM Dossier de-presse-2010

CHAM 45, rue des Saints-Pères 75006 Paris [email protected] - www.canalcham.fr

24 et 25 septembre 2010

CONVENTION ON HEALTH ANALYSIS AND MANAGEMENT

Sous le haut patronage de Monsieur Nicolas Sarkozy,Président de la République

SOIGNER :FORMER ET INFORMER !Medical care : from teaching to information !

Revue de presse CHAM 201020101sseee C

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Sommaire

I. Presse

A. Presse nationale

� Les français sont plutôt satisfaits de leur système de soins et Les consultationsInternet plébiscitées en Suède Le Figaro

� L Les Echos

� Vers le Nouveau Monde de la santé Les Echos

� Le Figaro

B. Presse spécialisée

� Explosion du renoncement aux soins Le Quotidien du Médecin

� Deuxième Edition de la CHAM Le conservatisme des facultés de médecine pointédu doigt Le Quotidien du Médecin

� Le modèle aéronautique garde la cote Le Quotidien du Médecin

C. Presse régionale

� Un « e.médecin » sur internet Le Dauphiné Libéré

� La santé sera-t- è siècle ? Le Dauphiné Libéré

II. Internet

A. Article s

� Santé/enquête : De plus en plus de Français renoncent à se faire soigner

� Prévention

� Le Groupe Europ Assistance lance Docticare,services dédié à la santé

� Les européens insatisfaits de la prise en charge des personnes âgées dépendantes

� Les CHU de Rennes et de Brest remportent le premier grand Prix Altran-Cercle SantéSociété

� Grand Prix Altran-Cercle Santé Société : les premiers lauréats sont les CHU deRennes et de Brest

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�

B. Blog

C. Présence sur Internet

CHAM 45, rue des Saints-Pères 75006 Paris - [email protected] - www.canalcham.fr

2ND CONVENTION ON HEALTH ANALYSIS AND MANAGEMENT


Presse Nationale

Le Figaromardi 28 septembre 2010

Les Français sont plutôt satisfaits de leur système de soinsMartine Perez (santé publique)

financement et pourles personnesâgées, ils préfèrentse faire soignerdans leur proprepays plutôt

Europe.

système de santé,les français ont lesens critique assezaiguisé, sont taxéssouvent de« râleurs », mais

s Européens.on du système de santé,

réalisé auprès de 3600 personnes dans sept pays européens (France, Allemagne, Italie, Grande-Bretagne, Suède, Pologne, Autriche) et aux Etats-Un du groupe Europ Assistance,dirigé par Martin Vial, et du Cercle Santé Société, présidé par le professeur Guy Vallancien. Ce baromètre annuel paneuropéen, le troisième du genre, présenté vendredi dernier à Chamonix lors dela réunion Cham (Convention on Health Analysis and Management),pour mesurer les attentes en matière de santé en Europe (et en particulier en France) et aider lesinstitutions et les professionnels à y répondre.

Les résultats généraux pour ce qui est de la France indiquent que nos concitoyens sont encore une

majorité à refuser une augmentation des cotisations sociales pour le financer, mais estiment

le paysélevé, devant la Grande-Bretagne et la France. Nos concitoyens se déclarent néanmoins satisfaits, et82 ins cher, contrairement à certains de leursvoisins, alors que ce taux est de 75 % pour les Allemands, les Autrichiens et les Américains. De même, 57 % des Polonais et 42 % des Suédois se disent prêts à franchir la frontière. Ainsi à la question de savoir, parmi le Français répondent« en France » à 67 %, alors que les Suédois ne sont que 50 % à citer leur pays à la première place,les Américains 46 %, les Allemands 38 % et les Britanniques 28 %. Int

Allemands citent leurs pays.

e leur système de soins. Le manque de financement public est partout une préoccupation majeure, à

américains (76 %) : on les comprend, le prix de la moindre visite chez un médecin libéral aux Etats-




Presse Nationale

soins sont aussi une préoccupation en Pologne, en Allemagne, en Suède et en France. Les délais

personnes interrogées), en Grande-Bretagne et en Italie, mais aussi en France, où une majorité cins (63 % en 2010, contre 51 % en 2006). Les erreurs médicales sont

redoutées par 84 % des Britanniques, 70 % des Américains, contre 35 % seulement des Français.

inancière des personnes âgées, les opinions sont plutôt négatives partout en Europe et aux Etats-Unis, mis à part en Autriche. Dans tous les pays, le maintienà domicile est plébiscité : la prise en charge des pers

anisation des soins auxpersonnes âgées reste à penser et à organiser. Et cela partout en Europe.

Les consultations sur Internet plébiscitées en Suède

« Par exemple, une grande majorité de Français est

sont plébiscités par les Suédois, relève le Pr Guy Vallancien. Cela montre que la situation

précédents. De même, en matière de dépendance, il existe une forte demande danspratiquement tous les pays européens pour le maintien à domicile des personnes âgées.

»Dans ce contexte-Chamonix vendredi le lancement officiel cette semaine de Docticare, un nouveau portail




Presse Nationale

Les Echosvendredi 29 octobre 2010

Les médecins confrontés à l'explosion des connaissancesAlain Perez (service Innovation)

Plus de 500.000 communications scientifiques sont publiées tous les ans dans les journaux médicaux dumonde entier. Vue sous une loupe plus puissante, cette production paraît invraisemblable. Toutes lesminutes, une information concernant le monde de lasanté sort des laboratoires publics ou privés de laplanète. Ces résultats ne sont pas tous de mêmeniveau, loin s'en faut. La quasi-totalité n'apporte rien de neuf. Ce sont des redites moulinées par desordinateurs sans génie reprenant des travaux connus. Un cran au-dessus, on trouve environ 10.000 donnéesoriginales, potentiellement porteuses de progrèsimportants. Le dessus du panier est riche d'environ unmillier de pépites en or massif, soit près de trois parjour. Ces percées majeures, ou « majorbreakthrough », sont des vedettes en puissance et

produisent deux effets principaux. Elles déclenchent instantanément l'appétit des industriels de lapharmacie et retiennent l'attention des associations de patients. Les premiers tablent sur leur profil de« blockbuster », alors que les seconds y voient une source de traitements plus efficaces. Au total, l'impact de ce torrent innovateur se résume par un raccourci choc : le savoir médical produit en une seule journée dans le monde dépasse la capacité d'absorption de toute une vie d'un honnête médecingénéraliste.

Cette explosion des connaissances débouche sur un étonnant paradoxe : le progrès va trop vite pourles professionnels de santé et pas assez pour les malades. Les premiers ont du mal à suivre le mouvement, alors les seconds demandent à bénéficier sans délai de toutes les techniques de pointe. Entre les prescripteurs et les bénéficiaires, les autorités de santé voient monter l'addition avecinquiétude. Résultat, elles imposent aux uns et aux autres une régulation basée sur la mesure del'efficacité des traitements et de leur service médical rendu. Au risque de mécontenter tout le monde. Certains médecins aux avant-postes de la recherche scientifique estiment que la régulation est uneforme de rationnement privant les malades de traitements expérimentaux dont l'efficacité a étédémontrée par des essais cliniques incontestables. Chez les associations de patients, on s'inquièted'une autre iniquité qui devient de plus de plus en flagrante : les citoyens sont de moins en moinségaux face au savoir médical.

Pour certaines maladies infantiles, cette inégalité se transforme en errance thérapeutique, véritable cauchemar des parents cherchant pendant des années le bon spécialiste qui fera le bon diagnosticpour leur enfant. Bref, l'accès à une prise en charge juste et rapide devient un des critères de mesuredes systèmes de santé. Réunis récemment à Chamonix dans le cadre de la convention CHAM, lesprofessionnels de la santé se sont demandé comment accompagner cet hyperchoix lié à l'émergence de la « médecine personnalisée ». Un monde déroutant où les patients en savent plus que lesgénéralistes et parfois autant que les meilleurs spécialistes, grâce aux forums Internet. Aux Etats-Unis, l'Association of Cancer Online Resources (Acor) préfigure ces nouvelles relations « d'égal à égal » entre soignants et soignés. « 50.000 patients travaillant ensemble vont plus vite que dixexperts réunis », résume Gilles Frydman, fondateur de l'association. Ce Franco-Américain se présente comme l'avocat d'un concept au nom évocateur : « la médecine participative ».




Presse Nationale

Face à ces changements, la France est dans une situation singulière, essentiellement pour desraisons culturelles. « Il n'existe rien entre les infirmières à bac + 3 et les médecins à bac + 12 » résume le professeur Guy Vallancien, qui préside le CHAM. En d'autres termes, les médecinscontinuent de s'opposer à la délégation de responsabilité, courante dans le monde anglo-saxon, ainsiqu'à l'existence d'infirmières de première ligne de niveau bac + 6 à responsabilités étendues. Plusgrave encore, seulement un quart d'entre eux se déclarent prêts à accepter l'évaluation des savoirs etl'obligation d'accréditation, courantes dans d'autres pays. « Il y a un hiatus considérable entre ce quenous faisons et les besoins de la société », reconnaît Guy Vallancien.

L'arrivée massive de la biologie va accentuer ces déséquilibres. Malgré des risques de dériveévidents, l'analyse génétique va devenir un exercice banal et le complément naturel et bon marché dudiagnostic et du suivi médical. « Mais le médecin ne pourra pas prendre en compte tout le savoir de lagénomique qui va arriver », estime l'économiste de la santé Victor Rodwin, professeur à l'université de New York. En fait, alors que le génome délivre des informations transversales à tout l'organisme, la médecine continue de fonctionner en silos verticaux peuplés de spécialistes qui se disputent leurspatients. « Le génome va devenir une sorte de commodité. C'est la fin des spécialistes d'organe »,prédit Laurent Alexandre, spécialiste en génomique et fondateur du site Doctissimo.

Les médecins accepteront-ils cette évolution et les changements de comportement qu'elle induit ? Nombre d'entre eux continuent de regarder avec distance ces cyberpatients qui « en savent trop ».Pourtant, les enquêtes montrent que les malades qui « savent ou croient savoir » s'en sortent mieuxque les autres. Soit parce qu'ils connaissent les lieux où il ne faut pas se faire soigner, soit parce qu'ilsse prennent mieux en charge ou se sentent soutenus dans les forums de discussion. Pour GillesFrydman, très agacé par l'arrogance persistante du monde médical, les jeux sont presque faits . « AuxEtats-Unis, on compte 100.000 personnes qui meurent tous les ans dans les hôpitaux à cause d'unmauvais diagnostic ou faute de soins adéquats. A ma connaissance, on ne compte pas un seul mort dû à Internet. Cela va entraîner une transformation profonde du rôle du médecin. »




Presse Nationale

Les Echosmercredi 30 novembre 2010

Vers le Nouveau Monde de la santéMartin Vial et Guy Vallancien

L'accroissement exponentiel des connaissances scientifiques et de l'usage des nouvellestechnologies dans l'acte médical, la demande accrue de sécurité et de participation à leur propre destin médical de la part des malades obligent à revoir de fond en comble l'organisation de nossystèmes sanitaires et à faire émerger de nouveaux métiers dans le monde de la santé. Ces enjeux,discutés lors de la Convention on Health Analysis and Management (CHAM 2010) en septembre dernier, ont réapparu il y a quelques semaines lorsque la France a adopté par décret la consultationmédicale par Internet. Aujourd'hui, il est donc urgent d'offrir à l'ensemble des praticiens de la santé la formation initiale et continue pour optimiser leur intervention dans ce nouveau monde en intégrant lesprincipes d'une véritable médecine collaborative.

Nanotechnologies, biotechnologies, génomie, imagerie médicale deviennent des outils courants de la médecine et accompagnent, voire prennent le pas sur l'examen clinique, avec comme enjeu principalla sécurisation du diagnostic et de la thérapeutique préventive ou curative. Oublié la quasi-dévotionqui entourait le médecin de famille : fort d'un niveau de vie croissant et des informations puisées sur Internet, le malade, mieux informé et éduqué, consomme de plus en plus de soins comme un service tout en aspirant à participer à son propre destin médical. Porteur de l'aversion pour le risque de nossociétés modernes, il réclame une médecine plus sûre. Dans la dernière livraison du baromètre qu'Europ Assistance publie chaque année sur les perceptions des systèmes de santé par ceux qui enbénéficient, 70 % des Américains et des Suédois et 84 % des Britanniques perçoivent les erreursmédicales comme une des principales menaces pour l'avenir. Nos sociétés s'engagent donc naturellement dans la voie de l'e -santé, synonyme d'un renouvellement complet du rappor t patient -médecin. Pour s'en convaincre, il n'y a qu'à constater la « domestication » croissante de lamédecine grâce aux nouvelles technologies, à la téléassistance ou à la robotique concernant denombreux actes médicaux pour des patients atteints de maladies chroniques comme pour despersonnes âgées dépendantes.

Le partage des connaissances, associé à une responsabilité collective dans les prises de décision,s'impose comme les clefs de l'amélioration de la qualité en médecine. L'utilisation de simulateurspermettant de répéter les situations les plus dangereuses, notamment dans les cas d'urgence, lesscénarios médicaux divers qu'offrent les « serious games » éducatifs sont autant de progrès dans la formation des professionnels de santé qui peuvent ainsi revoir ensemble la place de chacun, répéterles bons gestes et affiner leurs choix diagnostiques et thérapeutiques. Il s'agit d'une véritablerévolution de la formation en ce qu'elle implique d'emblée les différents acteurs qui auront à exercer en équipe et non plus individuellement.

Nous inaugurons une médecine collaborative dans laquelle les moyens de télétransmission et lesnouveaux métiers de la santé (assistant médical, coordonnateur de soins) bouleversent les pratiques : il devient possible de suivre un malade à distance, de connaître de plus en plus précisément sesfonctions physiologiques et leurs dérives. Il est possible de télétransmettre les images de l'échographe ou du scanner sans perte d'information. Par effet domino, cette transformation de la pratique médicale entraînera une nouvelle répartition des rôles entre les fonctions de santé, avec l'émergence denouveaux acteurs et d'outils inédits pour gérer l'information des malades. Le traitement du dossier médical personnalisé va relever de l'industrie du « datamining », géré aux Etats-Unis par des acteurstels que Google ou Microsoft. De même, la gestion de besoins courants ou de maladies chroniquespeut être assurée durablement via des plates-formes médicales à distance d'information et de triage,désengorgeant les hôpitaux d'interventions médicales qu'ils n'ont pas vocation à assurer.




Presse Nationale

Le foisonnement de l'information médicale sur Internet, par le biais de portails agréés ou de sitescommunautaires permettant de mutualiser les expériences de patients atteints de la même pathologie, bouleverse le rapport entre soignants et soignés. Les demandes d'information et de soins courantsdes malades seront déléguées aux nouveaux métiers de la santé (assistant médical, coordonnateursde soins, etc.), et ces personnels de santé formés au niveau du mastère agiront avec uneresponsabilité accrue, partagée avec les médecins.

Cette évolution du rapport médecin -malade oblige à redéfinir la place et le rôle du médecin dans lessystèmes de santé. Du médecin à tout faire, nous passons à l'expert rare, capable de se mettre auservice du malade, en dehors des normes, pour lui apporter les soins personnalisés adéquats encollaboration avec ces nouveaux professionnels de la santé. Nous entrons ainsi dans un NouveauMonde, celui de la médecine collaborative à la responsabilité systémique.

Martin Vial est directeur général du groupe Europ Assistance et Guy Vallancien est professeur de médecine




Presse Nationale

Le Figaromercredi 12 janvier 2011

Martine Perez (santé publique)

participation à un colloque médical, face à des journali

des générations de jeunes gens qui y voient non seulement une manière de gagner leur vie, mais

seront sélectionnés sur des critères très scientifiques ne les découragent pas plus que cela. Et

hospitalière, des remplacements

encore font totalement autre chose. Cette évolution qui vide un peu plus nos campagnes, nosbanlie

menaces judiciaires, et les exigences de plus en plus affirmées des malades. Selon une enquêterécente du Conseil na

-être tout simplement que ce modeit en

adéquation ni avec les besoins ni avec les possibilités de la société. «La qualité, le nombre, la formation, la répartition, les types de pratiques, les modes et niveaux de rémunération des hommes

ents scientifiques et sociétaux que nous vivons,-Descartes,

colloque annuel de réflexion sur la médecine (Cham). Le schéma traditionneldu médecin à tout faire, isolé dans son cabinet, corvéable nuit et jour, effectuant souvent des actesréalisables par des infirmiers, sans perspective de collégialité et de partage des tâches a vécu. Tout

judiciaire.

Une large part du débat devrait porter sur la délégation de tâches. Certains actes médicaux codifiés, certificats, consultations notamment de prévention peuvent être dédiés à des assistants médicauxformés à cet effet. En Grande-Bretagne, le médecin se concentre sur la médecine décisionnelle, des

discipline désormais en ébullition permanente incitera les médecins à se regrouper dans des maisons

passionnant. Humain, trop humain.




Presse Spécialisée

le Quotidien du Médecinjeudi 23 s eptembre 2010

Explosion du renoncement aux soinsKarine Piganeau

Le « Baromètre Cercle Santé-Europ Assistance » met en évidence un boom du renoncement auxfois

abandonné ou remis à plus tard la possibilité de se soigner. Pour des motifs économiques.

seconde « Convention on Health Analysis ans Management » (CHAM 2010), réunie le week-end prochain à Chamonix, le Cercle Santé et Société, que préside le Pr Guy

Baromètre ». Les pratiqueset les attentes en matière de santé des ressortissants des États-Unis et de sept pays européens(Allemagne, France, Italie, Royaume-Uni, Suède, Pologne et Autriche) y sont décortiquées au total,

juin et le 9 juillet.

nationales et, à la seule échelle française,

diagramme). À la question de savoir si la crise économique les a conduits à renoncer ou à reporter

% des Français ont répondu « oui ». Sur ce point,%) et les Américains (24 %) font « mieux ». Surtout,

la tendance du renoncement aux soins est en très forte hausse en France, où elle a pris 12 points enun an (11 % des Français admettaient avoir abandonné ou reporté des soins en 2009). Dans un registre proche, 49 % des Français p

% affirment le contraire) voir diagramme.

les indices sont quasiment stables sur les 4dernières années ne bonne appréciation chez ses concitoyens : 3 % jugent« excellente % la disent « très bonne » et 46 % « bonne » (32 moyenne » et 6 % « mauvaise »). Dans le détail, le regard sur la qualité des soins

ans

La pénurie de généralistes : menace n° 1.

Invités à classer les « menaces » qui pourraient peser au cours des prochaines années sur leursystème de soins, les Français citent comme « très importantes » la « pénurie de médecinsgénéralistes » (63 % des personnes interrogées citent cet écueil), devant le « manque de financementpublic » et les « » (58 augmentation dufinancement personnel » (53 %), les « » (52 %) et

augmentation des prix des actes médicaux » (48 %).

Pour écarter ces menaces et financer une dépense de santé en hausse constante, les Français sont très partagés : 32 % sont favorables à une hausse des impôts ou des cotisations obligatoires, 23 % penchent pour le recours aux assurances privées et aux mutuelles, 28 % préfèrent franchises pour chaque acte médical (17





le Quotidien du MédecinMercredi 13 octobre 2010

Deuxième édition de la CHAMLe conservatisme des facultés de médecine pointé du doigtDelphine Chardon

Comment ens eigner la médecine en 2010 ? A è siècle, ont

santé -société que préside Guy Vallancien. Aux Etats -Unis, les « serious -games », des jeuxvidéo mettant en situation les étudiants, font un tabac.

CHAQUE PAYS a sa méthode pour sélectionner les futurs médecins. Les Pays-Bas organisent une ines testent

« Nous recherchons des personnes qui combinent lesconnaissances et la compassion, expose Jules Dienstag, doyen de la Harvard Medical School àBoston. Des gens brillants peuvent être dénués sement. »

La formation initiale comme la sélection serious game » remportent un franc succès sur les campus américains. A la manière des apprentis pilotes qui

s un vrai cockpit, les futurs médecins testentleurs réflexes grâce à un jeu vidéo 3D (« Pulse »). Tuer son patient virtuel trois ou quatre fois de suite

« Les étudiants sont acteurs de leur formation et non plus dans», raconte Jérôme Leleu, président

Le risque nement tout numérique ? Un fantasme que balaie Bernard

des simulateurs de vol. Ou en stage à Saint-Cyr, «méthode que pour construire un », dit-il.

En comparaison, les études médicales françaises paraissent bien poussiéreuses. Pour ne pas dire(1) diffusée lors

de la table ronde, confessent leurs attentes déçues : « Personne, dans notre cursus, ne nous explique

aucune idée de ce que coûte notre pratique. Est-ce le ministère qui nous emploie, ou pas ? Un-il normal, ou pas ? »

cursus pourtant très long.

« Un médecin ne sait pasgérer son équipe ni son propre stress », déplore Christian Le Dorze, le patron du groupe de cliniquesVitalia. Qui regrette la « résistance »

« Il existe 1 800

observe Charles Boelen, consultant international en systèmes et personnels de santé. Fabriquer des

[Les facs doivent] accepter des normes publiques. »





Les écoles de médecine françaises se sont-conservatisme ancien ? Daniel Rougé, doyen de la faculté de médecine de Toulouse, ne pouvait êtrede cet avis : « Nos étudiants subissent une sélection très dure, mais ils sont quand même bienformés. Et ceux qui échouent au concoursmises en place. » Francis Brunelle, ancien conseiller au ministère de la Santé en charge notammentdes études médicales, reconnaît tout de même des limites au dispositif actuel : « Il est important de

(leconcours de P1) ne sont numerus claususpour limiter le nombre de prescripteurs. Pour aggraver notre cas, on a filiarisé les études. On a

Une erreur à ses yeux.

via le grand emprunt. De son côté, la HauteAutorité de santé (HAS) a récemment réuni six doyens « pour voir comment enseigner la gestion de

», a précisé le Pr Jean-Michel Chabot, de la HAS.

(1) Toutes les vidéos de CHAM 2010 sont en ligne sur www.canalcham.fr

CHAM (pour « Convention on Health Analysis and Management ») a réuni à Chamonixles 24 et 25 septembre quelque 200 décideurs du monde de la santé : des

le Davos de la santéinternason homologue chinois.





le Quotidien du Médeci nmardi 19 octobre 2010

Le modèle aéronautique garde la coteDelphine Chardon

AIR FRANCE met les moyens pour maintenir ses pilotes au top niveau : son simulateur de vol A380 a-

sécurité aérienne est à ce prix. « Chacun de nos pilotes reçoit deux séances, a-t-il déclaré dans le cadre de la dernière Convention on Health Analysis

and Management (CHAM 2010, voir « le Quotidienau développement professionnel continu (DPC). Nos évaluateurs ont la capacité de retirer une licence

nos pilotes. » Aucune part variable dans les revenus de ceux-ci : « Trois critères seulementconditionnent la rémunération de nos pilotes »

Et en médecine ? « Des simulateurs se vendent à partir de 80 000 euros. Il existe des mannequins quibougent, respirent, transpirent », décrit le Pr Guy Vallancien, président du Cercle santé société et de

de à se mettre en place. « J

commencer externe et finir chef de service au même endroi »

Se remettre en question. En Grande-Bretagne, par exemple, pas de renouvellement du contrat detravail sans DPC. «est remis en question en cas de doute sur sa compétence », note Freddie Hamdy, professeur dechirurgie à Oxford. Un de ses collègues en a fait les frais. Mis à pied pour compétences douteuses etmauvaises relations avec le staff, ce chirurgien a suivi une formation de 18 mois avant de retourner aubloc. « », raconte Freddie Hamdy.

-HP (Assistance publique-règne en France sur les résultats médicaux. « Nos », a faitvaloir Rose-Marie Van Lerberghe, citant le classement du « Point » «précipité ». « - encore pour savoir où aller.

c », a-t-elle conclu.




Presse Régionale

Le Dauphiné Libérémardi 21 septembre 2010

Philippe Cortay

hôpitaux. Photo DR

diabétique de suivre les préconisations du texto qu

Nous ne sommes plus dans la science-fiction, cette application est pour demain.

Cham (Convention on health analysis and management

dédié à la santé.

is en France etdans les 121 autres pays où nous seront présents. Ce ne sera pas un outil de diagnostic, mais un outil

aura son dossier médical traduit en 11

États-Unis) réalisée par CSA cet été. On y apprend que si les Français ne sont encore que 45 % àconsulter internet en cas de problème de santé, les Américains sont déjà 66 % à le faire et lesSuédois 67plus nombreux à espérer le développement de moyens de surveillance continue à domicile,notamment pour les personnes âgées ou dépendantes, et que 63

pour effet de décongestionner les

assure Martin Vial.

-elle la panacée attendue par tous les acteurs de la santé ?




Presse Régionale

Le Dauphiné Libérémercredi 22 septembre 2010

La santé sera -t- siècle ? La rédaction du D auphiné Libéré

Archives le DL

e Cham (Convention on health analysis and management) 2010

sesde santé baisseront dans les prochaines années, assainissant ainsi les comptes de la sécurité sociale.

- une enquête menée par CSA pour le compteassistance et Cercle santé -, les Français dépensent actuellement moins pour leur santé, criseéconomique oblige (ils sont un quart cette année à renoncer à certains soins soit 14 % de plus que

x à mettre la santé dans leurs priorités derésidence (80 %), même pour le choix de leurs lieux de vacances (62 %) !

Dans ce contexte, Cham 2010 -

Les intervenants

-au Développement numérique), Jean-Michel Chabot (haute autorité de la Santé), Martin Vial(directeur général Europ-assistance), François Dupuy (sociologue), Claude Évin (ancien ministre), le général Desportes (directeur du collège interarmées de défense), etc.




Article sur Internet

http://www.news -assurances.com jeudi 23 septembre 2010

Santé/Enquête : De plus en plus de Français renoncent à se faire soignerFlorian Delambily

Selon une enquête* menée par le Cercle Santé et Société, ainsi que Europ Assistance, prèsen 2010 à se faire soigner, pour des

raisons économiques.

Convention on health analysis and management (CHAM), le Cercle Santé etSociété et Europ Assistance ont dévoilé leur baromètre santé paneuropéen. Il en ressort que 23% desFrançais en 2010 « ont renoncé ou reporté des soins de santé tels que consultations médicales,examens, interventions chirurgicales, soins dentaires ou achats de médicaments en raison de la criseéconomique ». La France se classe avant dernière sur les sepjuste devant la Pologne et (25%) et loin derrière la Suède (6%) sur la première marche.

Ce chiffre est en forte augmentation par rapport au même baromètre publié en septembre 2009. Ilgrimpe de 109% au regard des 11% de la précédente enquête. Malgré cela, une majorité de Français« » bonne (42%), très bonne (12%), voir excellente (3%). Un

pour62% des sondés et un manque de financement public pour 58% des personnes interrogées.

Pour améliorer la prise en charge des frais de santé, la première piste avancée par les Françaisconsiste à augmenter les impôts ou les cotisations sociales (32%), payer davantage de franchises

alors que 48% pensent le contraire.

-





http://www.news -assurances.com lundi 27 septembre 2010

santéFlorence Karel

Lors de la Convention Health Analysis and Management à Chamonix, Martin Vial, DirecteurGénéral du Groupe Europ Assistance, a annoncé la semaine dernière le lancement de

Assistance dédié à la santé.

Sa mission : donne

Disponible en version italienne via www.docticare.it, ce portail a vocation à être décliné sur lesprincipaux marchés internationaux du groupe dans les langues locales dans les prochains mois.

--vidéos et de dossiers de fond. Le portail permet également

de consulter des contenus, validés par les autorités médicales et certifiés HON (Health On Net)dédiés aux urgences, à la prévention santé des hommes, femmes, enfants, adolescents et seniors.

Les rubriques contiennent aussi des outils de prévention qui apportent des réponses rapides etsimples à des questions pratiques concernant la santé. Le dictionnaire médical, comme les mini-applications interactives, apportent des réponses aux questions que se posent les visiteurs, sanstoutefois se substituer à aucun moment au diagnostic du médecin traitant.

pace personnel, participationaux sondages dont les contenus sont régulés par Europ Assistance, possibilité de commenter et de

cinq langues européenneimportant.

interrogations concernant la santé, dans le respect de la relation patient-médecin, sur des sujetsvariés (orthopédiques, neurologiques, gériatriques, psychologiques, gynécologiques, cardiaques,





www.publi -news.frvendredi 1 er octobre 2010

Le Groupe Europ Assistance lance Docticare, son nouveau portaild'informations et de services dédié à la santéPas de signature

Martin Vial, Directeur Général du Groupe Europ Assistance, a annoncé ce jour dans le cadre de laConvention Health Analysis and Management à Chamonix, le lancement officiel cette semaine deDocticare, le nouveau portail d'informations et de services sur internet du Groupe Europ Assistancedédié à la santé.

Sa mission : donner accès à un large bouquet d'informations et offrir des services personnalisés auxclients d'Europ Assistance dans le domaine de la prévention et de l'information santé.

Disponible dès maintenant en version italienne via www.docticare.it, ce portail a vocation à être décliné sur les principaux marchés internationaux du Groupe Europ Assistance dans les langueslocales dans les tout prochains mois.

Docticare.it propose une série d'articles thématiques régulièrement mis à jour sur la santé et le bien-être, enrichis d'animations, d'aides audio-vidéos et de dossiers de fond. Le portail permet égalementde consulter des contenus, validés par les autorités médicales et certifiés HON (Health On Net)dédiés aux urgences, à la prévention santé des hommes, femmes, enfants, adolescents et seniors.

Les rubriques contiennent aussi des outils de prévention qui apportent des réponses rapides etsimples à des questions pratiques concernant la santé. Le dictionnaire médical, comme les mini-applications interactives, apportent des réponses aux questions que se posent les visiteurs, sanstoutefois se substituer à aucun moment au diagnostic du médecin traitant. Pour apprendre ens'amusant, des tests et quizz ludiques sont également proposés !

Des services spécifiques sont réservés aux visiteurs qui s'identifient. Espace personnel, participationaux sondages dont les contenus sont régulés par Europ Assistance, possibilité de commenter et denoter les articles publiés, et consultation d'un glossaire médical multilingues (russe, arabe, chinois et cinq langues européennes) : quel que soit son profil, l'internaute a accès à un fonds d'informationssans équivalent.

Une session du service " Demander à l'expert " lui apporte les réponses de spécialistes à sesinterrogations concernant la santé, dans le respect de la relation patient-médecin, sur des sujetsvariés (orthopédiques, neurologiques, gériatriques, psychologiques, gynécologiques, cardiaques, pédiatriques, dentaires...).

En Italie, les services complémentaires suivants sont par ailleurs offerts par Docticare.it pendant un anaux personnes qui feront l'acquisition d'une couverture santé ou voyage Europ Assistance :

- Le dossier santé en ligne : une section à accès restreint du portail, où l'on peut créer et mettre à jourson dossier santé avec l'ensemble de ses données personnelles, consultables par la suite de n'importe quel point du globe, à tout moment, par le client ou les médecins d'Europ Assistance, surautorisation expresse et exclusive de l'assuré, si besoin.

- Le passeport clinique : la traduction en 11 langues du dossier santé, disponible en versionsimprimables, ou à sauvegarder en versions électroniques, consultables sur autorisation dubénéficiaire en cas de besoin par les médecins durant le voyage, pour éviter tout malentendu linguistique.




Article s ur Internet

- Demander à l'expert : les avis d'experts ou les discussions en ligne avec l'équipe d'experts d'EuropAssistance, sans se substituer à une consultation.

- Glossaire et phraséologie multilingues : les informations sur les problèmes les plus fréquentsrencontrés à domicile ou en voyage, disponibles en format mp3 (disponibles aussi en versions russe,chinoise et arabe).

Après www.netglobers.com dans l'univers du voyage, le Groupe Europ Assistance, fidèle à son espritpionnier, prend ainsi une longueur d'avance dans l'univers de la santé et innove une nouvelle fois poursimplifier la vie de ses clients et répondre aux nouveaux besoins de santé des personnes à travers lemonde.





www.hopital.frjeudi 23 septembre 2010

Les européens insatisfaits de la prise en charge des personnes âgéesdépendantesAPM

[APM] Les Européens ont porté une appréciation assez positive de leursystème de santé mais se sont montrés insatisfaits de la prise en chargedes personnes âgées, dans le baromètre 2010 "Cercle santé-Europassistance" rendu public mardi.

Réalisé par l'institut de sondage CSA à la demande du groupe Europassistance et en association avec le Cercle santé société, le baromètre étudie les pratiques et lespréoccupations en matière de santé des citoyens de sept pays européens (Allemagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Suède, Pologne et Autriche) et des Etats-Unis. Ce baromètre a été réalisé sur un échantillon de 3.600 personnes réparties sur les huit pays, entre le 1er juin et le 9 juillet.

La prise en charge des personnes âgées dépendantes est majoritairement mal perçue dansl'ensemble des pays, avec un taux d'insatisfaction particulièrement élevé en Pologne (82%), en Italie (67%) et en France (64%).

L'attente majoritaire pour l'ensemble des pays est une prise en charge mixte de la dépendance avecun financement public et une contribution personnelle, surtout pour l'Allemagne (79%), suivie par l'Autriche (72%) (60% pour les Français).

Les personnes interrogées portent une appréciation assez positive sur l'organisation des systèmes desanté et la qualité des soins. Moins d'un Américain sur deux (44%) juge favorablement l'organisationdu système de santé aux Etats-Unis, loin derrière des pays comme la France ou l'Autriche quitotalisent respectivement 61% et 86% d'opinions positives sur leurs propres systèmes de santé.

Par rapport aux données des baromètres des quatre années précédentes, il semble que "les effets dela crise se font sentir sur le comportement même des citoyens", en particulier en France et en Pologne, qui ont connu chacune une progression de 12 points du nombre de personnes déclarant êtreou avoir été amenées à "différer des dépenses de santé en raison des conséquences de la situation économique".

Interrogés sur "les menaces" qui pèsent sur leur système de santé, les Allemands expriment une inquiétude plutôt sur tout ce qui touche aux aspects financiers de leur système, les Britanniques surles aspects qualitatifs (erreurs médicales ou infections nosocomiales) et les Français sur la pénurie demédecins. Tous s'inquiètent du manque de financement public.

Les sondés jugent satisfaisantes les compétences relationnelles de leur médecin, leur formationgénérale et continue mais estiment qu'une marge de progrès existe en matière de transmissiond'informations et de coordination des soins entre généralistes et spécialistes.

Cette étude sera présentée vendredi lors de la seconde Convention on Health Analysis andManagement (Cham 2010) qui se tiendra à Chamonix (Haute-Savoie).





ITRNEWS.COM www.itrnews.comlundi 04 octobre 2010

Les CHU de Rennes et de Brest remportent le premier grand Prix Altran -CercleSanté SociétéPas de signature

Convention on Health Analysis and Management 2010septembre 2010 à Chamonix a été désigné le vainqueur du grand Prix Altran-Cercle Santé Société «Innovation et qualité des soins ».

s

médical en France.

Le lauréat 2010 du grand Prix Altran-Cercle Santé Société est le CREBEN, Centre Régional Breton-Yves Gauvrit et Michel Nonent des

CHU de Rennes et de Brest, cette organisation, la première organisation commune créée en France

compétences radiologiques régionales et les outils technologiques modernes de transmission deadiologiques des maladies du cerveau et de la

-expertise mis au point par le CREBEN permet aux radiologues de

pour les urgences et dans les 6 heures pour les examens non urgents. 7 téléneuroradiologuesexperts, issus des CHU de Rennes et de Brest, sont actuellement disponibles. Le CREBEN prévoitune couverture 24h sur 24 pour 2012.

« Altran-CSS. Cette reconnaissance nous apporte le

(accident vascu -»,

déclarent Jean-Yves Gauvrit et Michel Nonent.

Le Prix Altranson cercle aux neuroradiologues libéraux et à créer des ponts entre leur secteur et les industriels.





www.entreprise -citoyenne.commardi 28 septembre 2010

Grand Prix Altran -Cercle Santé Société : les premiers lauréats sont les CHU de Rennes et de BrestSource : Altran

de la Convention on Health Analysis and Management 2010 (CHAM 2010)présidée par le Professeur Guy Vallancien, en présence de Jean-Jack

Queyranne, Président du Conseil Régional de Rhône-Alpes et de Yves de Chaisemartin, Président-

santé est un défi majeur, Altran et le Cercle Santé Société (CSS) ont eprix "Innovation et qualité des soins". Cette initiative résulte du partenariat scellé entre les deux entités

dans le secteur médical.

-

radiologiques régionales et les outils technolog

techno

-expert dans les 15 minutes suivant sa demande pour les urgences et dans les 6 heures pour lesexamens non urgents.

une couverture 24/24.

Pour Jean-Yves Gauvrit et Michel Nonent initiateurs du projet et experts radiologues au CHU de Rennes et de Brest :

-CSS. Cette reconnaissance nous apporte le

changement qui essaye

Le Prix Altran Cercle Santé Société les aidera à partager leur savoir-faire avec des projetssimilaires, à élargir leur cercle aux neuroradiologues libéraux, et à nouer des liens avec les industriels.





http://www.relais.se/component/content/article/50 -le-saviez -vous -/89-medecins -confrontes?e67d3d85b8b8f720a1276dc4671cf1e7=28cd2501e7cf3b5ec7bbe9a4dcfbf7bclundi 1 er novembre 2010

Les médecins confrontés à l'explosion des connaissancesPublié : anonyme

« Plus de 500.000 communications scientifiques sont publiées tous les ans dans les journaux

sort des laboratoires ».

« Ces résultats ne sont pas tous de même niveau. La quasi-trouve environ 10.000 données originales, potentiellement porteuses de progrès importants. Le dessus du panier est riche d'environ un millier de pépites en or massif, soit près de trois par jour ».

« Ces percées majeures sont des vedettes en puissance et produisent deux effets principaux. Ellesdéclenchent instantanément l'appétit des industriels de la pharmacie et retiennent l'attention desassociations de patients ».

« Le savoir médical produit en une seule journée dans le monde dépasse la capacité d'absorption detoute une vie d'un honnête médecin généraliste ».

« Le progrès va trop vite pour les professionnels de santé et pas assez pour les malades ».

De plus, « les autorités de santé voient monter l'addition avec inquiétude. Résultat, elles imposent auxuns et aux autres une régulation basée sur la mesure de l'efficacité des traitements et de leur service médical rendu. Au risque de mécontenter tout le monde ».

roulée dans le cadre de la convention CHAM (Convention on Health Analysis and Management) : « les professionnels de la santé se sont demandé comment accompagner cet hyperchoix lié à l'émergence de la «médecine personnalisée». Un monde déroutant où les patients en savent plus que les généralistes et parfois autant que les meilleurs spécialistes, grâce aux forums Internet ».

médecins continuent de s'opposer à la délégation de responsabilité, courante dans le monde anglo-saxon, ainsi qu'à l'existence d'infirmières de première ligne de niveau bac + 6 à responsabilitésétendues ».« Plus grave encore, seulement un quart d'entre eux se déclarent prêts à accepter l'évaluation dessavoirs et l'obligation d'accréditation, courantes dans d'autres pays ...».

Guy Vallancien, président de la CHAM, affirme: « il y a un hiatus considérable entre ce que nousfaisons et les besoins de la société ».

« L 'arrivée massive de la biologie va accentuer ces déséquilibres. Malgré des risques de dériveévidents, l'analyse génétique va devenir un exercice banal et le complément naturel et bon marché dudiagnostic et du suivi médical ».

« Les médecins accepteront-ils cette évolution et les changements de comportement qu'elle induit ? ». « Les enquêtes montrent que les malades qui «savent ou croient savoir» s'en sortent mieux que lesautres ».





http://www.amgpa.orgmercredi 29 octobre 2010

Les médecins confrontés à l'explosion des connaissancesPublié par Amgpa

Alain Perez constate dans Les Echos que « plus de 500.000 communications scientifiques sontToutes les minutes, une

information concernant le monde de la santé sort des laboratoires ».Le journaliste précise que « ces résultats ne sont pas tous de même niveau. La quasi-totalité

es, potentiellement porteusesde progrès importants. Le dessus du panier est riche d'environ un millier de pépites en or massif, soit près de trois par jour ».Alain Perez remarque que « ces percées majeures sont des vedettes en puissance et produisent deux effets principaux. Elles déclenchent instantanément l'appétit des industriels de la pharmacie et retiennent l'attention des associations de patients ».« Le savoir médical produit en une seule journée dans le monde dépasse la capacité d'absorption detoute une vie d'un honnête médecin généraliste », observe cependant le journaliste.Alain Perez note ainsi que « le progrès va trop vite pour les professionnels de santé et pas assez pour les malades ».Le journaliste relève par ailleurs que « les autorités de santé voient monter l'addition avec inquiétude. Résultat, elles imposent aux uns et aux autres une régulation basée sur la mesure de l'efficacité destraitements et de leur service médical rendu. Au risque de mécontenter tout le monde ».Alain Perez rendconvention CHAM (Convention on Health Analysis and Management), au cours de laquelle « lesprofessionnels de la santé se sont demandé comment accompagner cet hyperchoix lié à l'émergence de la «médecine personnalisée». Un monde déroutant où les patients en savent plus que lesgénéralistes et parfois autant que les meilleurs spécialistes, grâce aux forums Internet ».Le journaliste souligne que « la France est dans une situation singulière, essentiellement pour des

courante dans le monde anglo-saxon, ainsi qu'à l'existence d'infirmières de première ligne de niveaubac + 6 à responsabilités étendues ».« Plus grave encore, seulement un quart d'entre eux se déclarent prêts à accepter l'évaluation dessavoirs et l'obligation d'accréditation, courantes dans d'autres pays », continue Alain Perez.Guy Vallancien, président de la CHAM, a ainous faisons et les besoins de la société ».Alain Perez indique en outre que « l'arrivée massive de la biologie va accentuer ces déséquilibres. Malgré des risques de dérive évidents, l'analyse génétique va devenir un exercice banal et le complément naturel et bon marché du diagnostic et du suivi médical ».« Les médecins accepteront-ils cette évolution et les changements de comportement qu'elle induit ? »,

que « les enquêtes montrent que les malades qui «savent oucroient savoir» s'en sortent mieux que les autres ».




Présence sur Internet Blog

http://www.jaimebienmacliniqueprivee.commardi 14 septembre 2010

Cham 2010 : « Soigner et Informer »Publié par Christian le Dorze

Le Cham 2009 avait été un véritable succès. Comme chaque année, the Convention on Health Ananlysis and Management réunit les plus grandes pointures du monde de la santé à Chamonix.Cette année, la thématique est « Soigner et Informer ». On notera que cet événement est sous le haut





http://www.jaimebienmacliniqueprivee.comvendredi 24 septembre 2010

Live CHAM 2010 : Former et InformerPublié par admin

CHAM 2010 (Convention on Health Analysis And Management). Retrouvez toutes lesconférences de cet évènement international en direct.

Le cham 2010 en 7 mots par JH Lorenzi

résume le #cham2010 en 7 mots : ouverture (du monde médical,

traitement du domaine de la santé), la crise (pas seulement de la santé, mais despays industriels occidentaux), incertitude (ex: impossibilité de prévoir quels seront

entreprises par les Ministres de la santé qui changent tous les 3 mois), fin derepas (to be continued)

Cham : club humaniste des amoureux de la médecine

Jean-Hervé Lorenzi, grand témoin du #cham2010

cham2010

Principe de précaution et petits hôpitaux-il pas fermer les petits hôpitaux si on suivait le principe





http://www.denisesilber.com/vendredi 24 septembre 2010

cham2010 dite "le Davos de la Santé".Publié par Denise Silber

Nous voici à #CHAM2010, sous le thème de "soigner : former et informer." et vous voici avec nous par la photode la scène. Nous venons d'entendre la présentation dubaromètre 2010 réalisé par CSA et Europ Assistance, qui a confirmé, si besoin est, que les citoyens européenset américains ont un avis sur leur système de soins. Il estmajoritairement positif mais pas seulement. Cliquez ...

Table ronde : Comment améliorer la formation initiale ?

https://blogfmc.fr/cham-2010-la-formation-medicale-initiale

Deux outils : La sélection :

Harvard Medical School : de multiples critères : 4 ans de notes, examen de connaissances intégrées,qui ressemble à la population et qui montrent qu'ils ont la capacité à diriger -- ayant fait quelque choseen dehors des études -- d'associatif, culturel, sportif, bénévole...Des gens qui associent connaissanceet compassion, humilité, humanisme. HEC : raisonnement et capacité organisationnelle.

et le Serious Game : outil pour apprendre la médecine, la chirurgie en pratique...Possibilité de setromper pour mieux apprendre. Possibilité de se déplacer dans l'espace est essentielle à l'apprentissage.

Enfin, je pense que c'est l'ouverture et l'innovation...La médecine évolue et la formation doit intensifiersa capacité d'intégrer sa propre innivation.

http://www.denisesilber.com/mercredi 29 septembre 2010

Réflexion post # CHAM2010 Félicitations au Cercle Santé SociétéPublié par Denise Silber

"When all is said and done" Lorsque tout est dit et fait, que retenir de CHAM 2010 ? Félicitons le Prof Guy Vallancien, puisque cette deuxièmeédition a été tout aussi appréciée, si ce n'est plus que la première. C'est un boulot et une responsabilité considérables et qu'il porte avecconviction et dynamisme.

Quant au fond, si je devais citer 3 points forts :

1) la crise persiste et la présentation du nouveau baromètre EuropAssistance, réalisé par CSA, sur l'opinion public concernant le système





de soins en Europe et aux Etats-Unis la met en exergue. Une diapositive vaut mille mots : LesFrançais renoncent tout autant que les Américains à des soins à cause de la crise économique !

Le sondage montre aussi le degré d'intérêt que porte la population à la Santé...ce qui est porteur d'espoir, car les politiques s'y pencheront aussi.

2) Le principe de précaution mérite d'être ré-examiné. Ses vrais coûts et conséquences sont sous-estimés.

3) Formation initiale, formation continue : il y des idées intéressantes à prendre dans d'autres pays etquelques belles incohérences qui méritent d'être revues à la baisse chez nous.

Vous trouverez ici 3 films projetés à la conférence et très appréciés:

https://blogfmc.fr/cham-2010-la-sante-quels-nouveaux-metiers-et-quelshttps://blogfmc.fr/cham-2010-la-formation-medicale-initialehttps://blogfmc.fr/cham-2010-le-developpement-professionnel-continu

J'espère pouvoir diffuser également l'interview de NKM prochainement. Je vous tiendrai au courant.





http://www.denisesilber.com/jeudi 07 octobre 2010

#Cham2010 Interview de la Ministre Nathalie Kosciusko -Morizet #health20frPublié par Denise Silber





http://actuagencebiomed.blogspot.commercredi 29 septembre 2010

Les CHU de Rennes et de Brest lauréats du premier grand Prix Altran -CercleSanté SociétéPublié par Catherine source : altran http://www.altran.com/l-actualite-du-groupe/actualites-focus/?actufocus_id=396

a Convention on Health Analysis and Management 2010 (CHAM 2010) présidée par le Professeur Guy Vallancien, en présencede Jean-Jack Queyranne, Président du Conseil Régional de Rhône-Alpes et de Yves de Chaisemartin, Président-

Ppatients et les professionnels de santé est un défi majeur, Altran et le Cercle Santé Société (CSS) ont

nitiative résulte dupartenariat scellé entre les deux entités et a pour vocation la recherche et le déploiement au niveau

fondé par les Professeurs Jean-

faciliter le diagnostic et

-expertise peexpert dans les 15 minutes suivant sa demande pour les urgences et dans les 6 heures pour lesexamens non urgents.

t constitué parmi les spécialistes des

une couverture 24/24.

Pour Jean-Yves Gauvrit et Michel Nonent initiateurs du projet et experts radiologues au CHU de Rennes et de Brest :

-CSS. Cette reconnaissance nous apporte le

Le Prix Altran Cercle Santé Société les aidera à partager leur savoir-faire avec des projetssimilaires, à élargir leur cercle aux neuroradiologues libéraux, et à nouer des liens avec lesindustriels."

www.altran.com/prixqualitesante





médicaments et deconsultants dédiés se mobilisent aux côtés des professionnels de santé au niveau international. Legroupe accompagne les établissements de santé dans leurs projets de transformation en mettant àlprojet et gestion des flux.

des sociologues et des économistes, dont le but est de nourrir et favoriser le débat public sur

Photo, de gauche à droite :Arnaud Coursin (CHU de Rennes)Professeur Jean-Yves Gauvrit (CHU de Rennes)Jean-Michel Lacroix (CHU de Rennes)Professeur Michel Nonent (CHU de Brest)





http://ethictransplantation.blogspot.commardi 28 septembre 2010

Convention on Health Analysis and Management: CHAM 2010Publié par Catherine

Everything you always wanted to know about Public Health management in France but were afraid to ask!

Crisis in health management in France! Publichospitals are loosing loads of money.

H1N1-related costs in France: 2.2 billion euros!The French touch ...Just another Convention, stating this crisis and crying over spilled milk ? Not quite! Thisconvention, of the unusual kind, just took place in Chamonix (France). Can we change things? Themotto, the watchword is:

yes we CHAM! (in 5 videos)

Initial medical education Opinion, medias, doctors, industrials and politicsContinuous medical education Patients lobbyingNew jobs in health care





http://robotchirurgie -news.blogspot.commardi 06 juillet 2010

Convention on Health Analysis and Management : canal CHAMPublié par Catherine

Professeur Guy Vallancien, Ecole Européenne de Chirurgie :

"Si vous voulez comprendre les enjeux de l'organisation des soins dans les pays economiquement avancés, en particulier la France, allez sur le site : canalcham.fr.

Les discussions sur les thèmes de la production de soins, son financement, son évaluation, la communication, l'ethique et l'innovation y sont tres ouvertes et offrent des perspectives d'avenir."





http://komodosante.blogspot.com/mercredi 22 septembre 2010

Convention on Health Analysis and ManagementPublié par Santé

Suivez CHAM 2010 en direct sur canalcham.frCHAM 201024 et 25 Septembre à Chamonixwww.canalcham.frLes 24 et 25 septembre, se rassemblent à Chamonix plus de 250 décideurs et experts de premier plan pour la 2e Convention on Health Analysis and Management, déjà surnommée "davos de lasanté". Pour le cru 2010, médecins, universitaires, institutionnels, assureurs, industriels et politiquesconfrontent leurs points de vue ...




Présence sur Internet

www.cancerbiosante.fr/scannée le vendredi 08 octobre 2010





http://www.actukine.com/vendredi 24 septembre 2010

Et comment ils vont bien ?Publié par JL E





http://www.learning -healthcare.fr/filesopen/Breve_179.pdfseptembre 2010 scannée le vendredi 26 novembre 2010





http://www.interaction -healthcare.com/septembre 2010





http://www.eec -fr.comseptembre 2010





http://www.gime.fr/septembre 2010





http://asp.bdsp.ehesp.fr/septembre 2010





http://www.cadureso.com/Interview de Pierre Teillac pour Cadureso par Didier POLI29 octobre 2010

Cham 2010 : Pierre Teillac et l'évolution du développement médicalÉcrit par M.G.

Monsieur Pierre Teillac (profil LinkedIn), président de l'institut de recherche Pierre Fabre et de l'ARIIS

Cham 2010 (Convention on Health Analysis and Management) la meilleure façon de faire évoluer le développement médical. Trois points sont soulevés lors de cette table ronde de Chamonix :

l'évaluation de l'acquisition des nouvelles technologies médicales et chirurgicalesl'évaluation des différents métiers de la santécomment les faire progresser à l'avenir aussi bien dans la médecine que dans l'industrie

Une solution serait de mettre en place, grâce à une totale transparence et l'instauration d'unecollaboration, un partenariat entre le public et le privé, en éliminant les conflits d'intérêts.

Depuis peu président de ARIIS, Monsieur Teillac connait ces enjeux mieux que quiconque. Cetteassociation loi 1901 fait suite à celle du LEEM Recherche qui concernait uniquement le monde dumédicament. Le but de ce nouveau groupement est de faire rentrer en jeu de nouveaux acteurs, à savoir par exemple, ceux du diagnostic et des produits vétérinaires. Il souligne que ARIIS travailleavec le monde de l'industrie et collabore avec Avisan qui représente l'ensemble des institutionnels dela santé.

L'avenir idéal pour les soins en France, selon Pierre Teillac, est qu'ils continuent à s'améliorer etsoient accessibles à tous.




Présence sur Internet Agenda des orateurs

www.communication -sensible.com/portail/





www.conseil -economique -et-social.fr/fr/actualite/presidence/agenda.asp





http://www.rhonealpes.fr/

Agenda du présidentDéplacement - Haute-Savoie - 24/09

Vendredi 24 septembre, Jean-Jack QUEYRANNE, se rendra en Haute-Savoie.

A partir de 16 heures, à Sallanches (avenue de Genève) :

oniteurs des écoles de ski et aux sportifs dehaut niveau, véritable vitrine technologique du Groupe.En présence de Georges MORAND, Maire de Sallanches, et de Bruno CERCLEY, PDG du Groupe Rossignol.

A 18h, à Chamonix (Hôtel Le Prieuré 149, allée du Recteur Payot) : Remise du Prix « Innovation et qualité des soins » Altran - Cercle Santé Société dans le cadre de la convention CHAM 2010.En présence d'Yves DE CHAISEMARTIN, Président Directeur Général d'Altran, et de Jean-ClaudePRAGER, Directeur de l'Agence de Diffusion de l'Innovation Technologique ADIT.

Le Prix Altran - Cercle Santé Société est l'occasion de mettre en lumière des projets innovants ayant pour ambition d'améliorer la qualité des soins apportés au patient et de faire connaître et récompenser les meilleures réalisations du secteur.




Présence sur Internet Agenda des participants

www.fhp.fr/index.php?ID=&InfoID=1557




CHAM Dossier de-presse-2010

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