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Cercle Indicateurs: Utilisation des indicateurs

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Cercle Indicateurs:Utilisation des indicateurs

Cercle Indicateurs: Utilisation des indicateurs

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Contexte et objectif

Le Cercle Indicateurs (CI) est un système d’indicateurs clés pour les can­tons et les villes, dont le but est de mesurer où ils se situent sur la voie du développement durable. Afin de renforcer la compréhension commune des éléments de base du Cercle Indicateurs, de favoriser l’utilisation des indicateurs et d’améliorer la communication, un atelier d’échange d’ex­périences entre les cantons et les villes a été organisé. La présente notice montre ce qu’il est possible de faire avec ces indicateurs. En introduction sont rappelés les principaux éléments du système d’indicateurs.

Du résultat statistique à l’indicateur

La signification d’un indicateur dépasse sa stricte définition statistique. Elle dépend du contexte dans lequel il est utilisé. Par exemple, l’évolution des données relatives à la consommation de matériaux sera évaluée différem­ment si l’on se place dans un contexte purement économique ou pure­ment écologique. Un indicateur doit être reconnu et légitimé, ce qui fait de la participation et de la transparence des aspects essentiels. L’indicateur doit créer des ponts entre des données complexes et des informations compréhensibles. Cela s’obtient par une simplification des informations, sans que les données ne deviennent pour autant trop vagues. Les indi­cateurs sont des moyens de communication pour exprimer des données statistiques spécifiques dans un contexte défini.

Les indicateurs reflètent les comportements, ils servent à mettre en évi­dence des tendances ou des états, ils jouent un rôle de détection précoce, ils constituent une base de décision et permettent de décrire un phéno­mène de manière systématique. Véritables «passeurs de frontières», les in­dicateurs font le lien entre les données et les informations, entre la science, la politique et la société, ainsi qu’entre différentes disciplines scientifiques. Ils forgent une compréhension commune d’un phénomène donné. Par contre leur vitesse de réaction peut être parfois un inconvénient.1

Les indicateurs peuvent être utilisés pour suivre des évolutions (monitorage), pour vérifier si certaines valeurs cibles sont atteintes (controlling) ou pour constater les effets de mesures (évaluation).2

Fig. 1: Classification des indicateurs (Source: inspiré de L. Braat «The predictive meaning of sustainability indicators», in: In Search of Indicators of Sustainable Development, ed.: Orno Kuik et al., Kluwer, Amsterdam 1991)

2 TA­SWISS 2010, p. 33–34

1 TA­SWISS 2010, p. 15–16

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Décideurs, décideuses Grand public

Expertes/experts

Index

Systèmes d’indicateurs

Indicateurs, données agrégées

Données de base

Cercle Indicateurs: Utilisation des indicateurs

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De l’indicateur au système d’indicateurs

Les systèmes d’indicateurs sont bien plus que de simples collections de données ou listes d’indicateurs. Ils possèdent une structure interne, dont les éléments illustrent le phénomène à observer, comme ici le développe­ment durable. Grâce aux liens que l’on peut établir entre les indicateurs, le système d’indicateurs dresse un tableau global. Les questions de base sont les suivantes: «Que mesurer?» et «Comment mesurer?». «Que mesurer?» est le référentiel (p. ex. un thème précis ou des objectifs de législature). «Comment mesurer?» est une typologie d’indicateurs.3

Chaque indicateur est attribué à un thème et se rapporte à un type d’indi­cateur. Idéalement, chaque thème est mesuré au moyen d’indicateurs de différents types. Ce procédé garantit, par exemple, que la mesure ne porte pas seulement sur le stock de capital existant, mais aussi sur la répartition de ce capital.

De plus, il est crucial de définir à l’avance les éléments suivants: — les processus, par exemple la participation à l’élaboration du système,

qui doit se dérouler selon des «règles du jeu» préétablies et acceptées, ou les principes de transparence de la méthode et des résultats;

— les critères de sélection pour les indicateurs;— les concepts et outils de diffusion.

Un système d’indicateurs est donc bien plus qu’une simple liste d’indica­teurs, c’est une boîte à outils. Ces outils sont les constituants du système et ils sont à disposition lors de l’utilisation des indicateurs; ce sont par exemple le référentiel défini, la typologie, les indicateurs, les métadonnées des indicateurs, les processus, les moyens de diffusion, etc.

Les points forts d’un système: un référentiel clairement défini donne le cadre pour interpréter les résultats et éviter de tirer des conclusions erro­nées. La modélisation (par la typologie et le référentiel) du phénomène observé permet d’en dresser un tableau complet. Les règles du jeu fa­cilitent les processus de sélection et conduisent à prendre des décisions compréhensibles. Les critères de sélection évitent d’avoir des indicateurs équivoques ou hors contexte.

Fig. 2 à gauche: Éléments de base d’un système d’indicateurs; à droite: Attribution des indicateurs

Indicateur 1Indicateur 2Indicateur 3Indicateur 4Indicateur 5

Thème 1Thème 2Thème 3Thème 4Thème 5

Que mesurer? Référentiel,

définition, thème

Type 1Type 2Type 3Type 4

Comment mesurer? Processus,

typologie

Fig. 3: Les éléments d’un système d’indicateurs (basés sur les présentations du monitorage du dévelop­pement durable MONET)

Indicateur 1Indicateur 2Indicateur 3Indicateur 4Indicateur 5…Indicateur n

Que mesurer? Référentiel,

définition, thème Structure du systèmeComment mesurer?

Processus, typologie

3 OFS 2012, p. 64

Critères de sélec­ tion et processus

Choix des indicateurs

Système d’indicateurs

Messages

Concept et outils de diffusion

Typologie (Com ­ ment mesurer?)

Référentiel Que mesurer?

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Les éléments du système Cercle Indicateurs (voir la figure ci­dessus): le référentiel du Cercle Indicateurs est constitué des 35 thématiques qui reposent sur la définition du développement durable4. La typologie fa­cilite l’interprétation des résultats et étaye le choix de données complé­mentaires. Les processus du Cercle Indicateurs englobent par exemple la collabora tion de l’Organe responsable du CI dans le cadre de réunions périodiques. Les indicateurs sont sélectionnés sur la base de critères de sélection.

Les indicateurs doivent5: — être représentatifs et pertinents pour la thématique; — s’appuyer sur des éléments quantifiables, si possible déjà relevés;— être facilement compréhensibles et aisément communicables; — jouir d’une adhésion maximale parmi les participants au processus; — pouvoir, en principe, être influencés par les actions des autorités

communales ou cantonales.

Les outils de diffusion sont par exemple Stat@las ainsi que des outils spé­cifiques des cantons et villes.

La boîte à outils du système Cercle Indicateurs

Les éléments du système «Cercle Indicateurs» permettent de remplir la boîte à outils. Les outils déjà disponibles sont les suivants:

Le Cercle Indicateurs

Fig. 5: Les outils du Cercle Indicateurs

Ces outils mettent à disposition des informations qui peuvent être uti­lisées lors de la communication relative aux indicateurs, notamment les thématiques, indicateurs, valeurs de référence, clusters, fiches d’indi­cateurs6, Stat@las.

Fig. 4: Les éléments du système Cercle Indicateurs

5 Cercle Indicateurs 2005, p. 9

6 Fiches d’indicateurs des cantons et villes

Processus Valeurs de référence

Fiches d’indicateurs

Critères de sélection Indicateurs

ClustersStat@las

TypologieThématiques

Cercle Indicateurs

4 CIDD 2012, p. 8–13

Critères de sélec­ tion et processus

Choix des indicateurs

Système d’indicateurs

Messages

Outils de diffusion: Stat@las,…

TypologieRéférentiel

Thématiques

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Exemple: utilisation des outils pour écrire une histoireIl est prévu d’écrire un texte sur le thème de l’égalité entre femmes et hommes dans un cadre de développement durable. A cet effet, on peut recourir aux éléments suivants de la boîte à outils du Cercle Indicateurs:

Dans cet exemple, les éléments ci­après de la boîte à outils du Cercle Indi­cateurs sont utilisés:— Thématique: fournit le lien entre le thème de l’égalité et le développe­

ment durable;— Indicateur: fournit les données actuelles sur l’état actuel et l’évolution

de la situation;— Fiche d’indicateur: fournit le lien entre l’indicateur et la thématique

(«justification du choix de l’indicateur»), l’évolution souhaitée, les défi­nitions, etc;

— Valeurs de référence, clusters: fournissent des informations complé­mentaires qui illustrent et élargissent ce qui ressort de l’indicateur;

— Stat@las: permet des comparaisons et le benchmarking;— Chaque histoire peut par ailleurs être complétée par des exemples ac­

tuels du canton ou de la ville.

Les outils de la boîte à outils du Cercle Indicateurs, prêts à l’emploi, permettent de raconter des histoires. Celles­ci doivent être clairement formulées et les indicateurs doivent être concrétisés par des contenus et des exemples. Il est possible d’utiliser des données complémentaires pour illustrer des évolutions ou des états. Les histoires en deviennent ainsi plus concrètes et offrent plus de substance pour le public cible. L’important est d’avoir un fil rouge tout au long de l’histoire.

Fig. 6: De la boîte à outils au texte

Éléments de la boîte à outils qui peuvent être utilisés

Attribution des éléments à un texte

Egalité entre femmes et hommes

L’égalité des chances est importante pour le DD, car, …

L’indicateur «Femmes occupant des positions de cadre» montre …

En ce qui concerne l’égalité des chances, cela signifie …

Il faut tenir compte de … (données sur le travail à temps partiel, modèles familiaux, salaire)

Par comparaison avec d’autres cantons ou villes

Et ... exemple régional actuel sur une branche ou sur l’actualité politique

Thématiques

Indicateurs

Fiches d’indicateurs

Clusters / Valeurs de référence

Stat@las

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Communication externe

Les cantons et les villes recourent à différents moyens pour communiquer sur les indicateurs du Cercle Indicateurs: — Internet— Rapport de gestion— Programme de législature— Annuaire statistique— Publications spécifiques— Présentations— Rapports sur le développement durable

Fig. 7: Exemples des cantons et des villes

Pour toute communication basée sur les indicateurs, il faut se poser les questions fondamentales suivantes: — Quel est le groupe cible? Public, établissements de formation, poli­

tique, administrations, médias, etc.?— Est­il possible d’emprunter des canaux de communication internes ou

externes aux administrations et existant déjà?— Peut­on utiliser des imprimés (magazines, dépliants, cahiers, rapports,

etc.) ou des produits en ligne (newsmails, plates­formes sur sites Inter­net, etc.) qui existent déjà?

— Les ressources disponibles permettraient­elles de créer de nouveaux produits de communication?

La boîte à outils du Cercle Indicateurs contient les outils nécessaires pour créer des produits de communication. Elle met à disposition les conte­nus et les informations permettant de raconter les histoires. Quelques exemples de produits sont présentés ci­après.

Ges

chäf

tsbe

rich

t 20

13 Geschäftsbericht2013

Indicateurs du développement durablepour le canton de Genève

Mar

s 20

09

2010

K A N T O N S C H A F F H A U S E N

N A C H H A LT I G K E I T S B E R I C H T

V O R L A G E D E S R E G I E R U N G S R AT E S V O M 1 1 . M A I 2 0 1 0

Regierungsrat

November 2012

Dritter BerichtNachhaltige Entwicklungim Kanton Aargau

Wirtschaft Gesellschaft

Umwelt

nachhaltigKeitsBericht 2013

regierungsrat des Kantons Basel-stadt

ww

w.b

aden

.ch

/sta

dto

eko

log

ie

Baden ist.Zukunft

BERICHT ZUR MESSUNG DER NACHHALTIGEN ENTWICKLUNG DER STADT BADEN

Nachhaltige Entwicklung im Kanton Bern Zahlen und Fakten 2014

Bau-, Verkehrs- und Energiedirektion des Kantons Bern BVE Amt für Umweltkoordination und Energie AUE

Umwelt- und GesundheitsschutzFachstelle Nachhaltige Entwicklung

Stadt Winterthur, Umwelt- und Gesundheitsschutz Obertor 32, Postfach, 8402 Winterthur

Telefon 052 267 57 42, Fax 052 267 63 22, www.ugs.winterthur.ch

Nachhaltige Entwicklung in WinterthurMonitoring und Handlungsfelder

Fassung vom 24.2.2014

UNSERE VISION

UNSER PROGRAMM

UNSERE PLANUNG

UNSER RÜCKBLICK

KANTON BASEL-LANDSCHAFT / REGIERUNGSRAT

Unsere Vision wird ProgrammREGIERUNGSPROGRAMM – Vorlage an den Landrat Nr. 2012 /058

2012 – 2015

J A L O N S 1 2

Mise à jour 2012

iNDiCATeurs De DÉVeLoPPeMeNT DurABLe Pour Le CANToN De VAuDUNITÉ DE DÉVELOPPEMENT DURABLEDÉPARTEMENT DES INFRASTRUCTURES, ÉTAT DE VAUD

Le CANToN De VAuD esT-iL sur LA Voie Du DÉVeLoPPeMeNT DurABLe ?

La présente mise à jour du système d’indicateurs de développement durable pour le canton fait suite à la première publication de 2006. Les indicateurs de développement durable répondent à l’Agenda 21 – plan d’action pour le XXie siècle – adopté par 173 pays lors de la Conférence de rio, en 1992 déjà. son chapitre 40 reconnaît l’importance de disposer d’instruments de monitoring permettant d’évaluer aux échelles locale, régionale, nationale et mondiale les progrès réalisés en matière de développement durable.reprenant la méthodologie développée dans le cadre du projet de la Confédération (MoNeT) pour mesurer le développement durable à l’échelle nationale, le système vaudois comprend 90 indicateurs touchant 23 domaines.Élément d’aide à la décision, moyen de sensibiliser la population et de susciter une réflexion au sein de l’administration sur le développement durable, ces indicateurs constituent un cadre de référence pour la mise en œuvre de l’Agenda 21 cantonal figurant dans le programme de législature du Conseil d’État.Au terme de la législature 2007– 2012, ce jalons propose un point de situation pour le canton de Vaud.

Cercle Indicateurs: Utilisation des indicateurs

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Exemples de produits en ligne

L’indicateur du moisChaque mois, un indicateur différent est présenté. À cette fin, il est né­cessaire de rechercher dans la boîte à outils les indicateurs et éventuels graphiques de Stat@las. Si l’indicateur doit être décrit ou commenté de manière plus détaillée (p. ex. dans un PDF joint), la fiche d’indicateur (pré­cisant la thématique, la justification du choix de l’indicateur, etc.) peut être utilisée, tout comme des données complémentaires pour des exemples locaux actuels (voir plus haut «Exemple: utilisation des outils pour écrire une histoire»). L’illustration ci­après montre un exemple fictif dans lequel un graphique de Stat@las et un texte de la thématique ont été utilisés.

Fig. 9: Statistik Baselland, n° 07/2014

Des fiches d’informationDes fiches en PDF à publier sur les sites Internet ou à annexer aux news­mails sont très faciles à créer. Elles peuvent contenir un récapitulatif de tous les indicateurs du Cercle Indicateurs, ou une sélection d’indicateurs sur un thème précis (p. ex. formation dans le contexte du développement durable). Pour créer une fiche, on peut également utiliser les outils de la boîte à outils (voir exemple ci­avant). Les résumés commentés publiés par de nombreux cantons ou villes sont également très attrayants, par exemple:— Ville de Genève: Volet Environnement

Exemples d’imprimés

Le quatre-pagesCe format léger peut être distribué en version papier ou diffusé en PDF. Composée de quatre pages A4 (soit une page A3 pliée), cette publication est claire et concise. Ce format offre malgré tout suffisamment de place pour approfondir un thème spécifique du développement durable ou pour donner une vue d’ensemble d’indicateurs sélectionnés. Les contenus (élé­ments de la boîte à outils) sont utilisés comme dans l’exemple précédent. Exemples:— OFS, La Suisse dans un monde globalisé— Statistik Baselland, plusieurs fois par an sur divers thèmes

Fig. 8: Exemple fictif basé sur le site Internet de l’Office fédéral du développement territorial

La superficie des espaces naturels de valeur augmente. Au sens du développement durable, la sauvegarde, qualitative et quan­titative, de la nature et des paysages de valeur est importante pour le bien­être des générations d’aujourd’hui et de demain.

L’indicateur du mois

Ein Quadratmeter Wohnbauland kostet im Baselbiet durchschnittlich 922 Franken.

Nr. 07/2014

922

Baselbieter WirtschaftNachdem das Bauvolumen zwischen 2006 und 2012 mehr oder weni-ger stagnierte, ist es 2013 deutlich angestiegen auf 2,2 Mrd. Franken. Die Lage auf dem Arbeitsmarkt bleibt mit einer Arbeits losenquote von 2,7% weiter stabil. Der zweite Wirtschaftssektor ver zeichnete zwischen 2008 und 2011 einen Beschäftigungsrückgang, während die Beschäftigtenzahlen im dritten Sektor weiter zunahmen.

Der vom Bundesamt für Statistik (BFS) berechnete Landesindex der Konsumenten-preise verzeichnete in den Jahren 2012 und 2013 negative Jahresteuerungsraten, wo-bei die Jahresteuerung 2013 mit -0,2% weniger tief ausfiel als noch im Jahr 2012 (-0,7%). Die Preise der Inlandgüter stiegen 2013 im Durchschnitt um 0,4%, während diejenigen der Importgüter um 1,9% zurückgingen. Zugenommen haben die Prei-se 2013 insbesondere in den Hauptgruppen Nahrungsmittel/alkoholfreie Getränke, alkoholische Getränke/Tabak, Wohnen/Energie sowie Erziehung/Unterricht und Re-staurant/Hotels. Rückläufig waren die Preise hingegen in den Hauptgruppen Beklei-dung/Schuhe, Hausrat, Gesundheitspflege, Verkehr, Nachrichtenübermittlung sowie sonstige Waren/Dienstleistungen. Der grösste Preiszerfall war innerhalb der letzten Jahre im Bereich Bekleidung/Schuhe festzustellen mit einem Minus von rund 20% ge-genüber 2010. Im aktuellen Jahr war die Jahresteuerungsrate in den Monaten Februar und September leicht negativ, insgesamt zeichnet sich aber eine positive Jahresteue-rung für das Jahr 2014 ab. Das BFS erwartet für 2014 eine Teuerung von +0,1%, 2015 dürfte die Teuerung gemäss den Schätzungen des BFS auf +0,4% ansteigen.

Editorial

Das Statistische Amt widmet die vorliegende Ausgabe der Reihe Statistik Baselland der Baselbieter Wirtschaft und stützt sich dabei auf Daten aus der öffentlichen Statistik. Nebst der Jahresteuerung werden der Arbeitsmarkt, die Unternehmensdemografie sowie der Bau­markt kurz beleuchtet.

Seit dem Sommer 2014 liegen die Daten 2011 aus der neuen Statistik der Unternehmens­struktur (STATENT) vor, welche die bisherigen Betriebszählungen ablöst. Das Ziel der STATENT ist die vollständige und jährliche Erfassung aller Produktionseinheiten des primären, sekundären und tertiären Sektors unter ökonomischen und räumlichen Gesichtspunkten. Aufgrund tief­greifender methodischer Änderungen sind die Daten der neuen STATENT nicht mit jenen aus den bisherigen Betriebszählungen vergleich­bar. Die Daten der STATENT basieren beispiels­weise mehrheitlich auf Registern. Zudem werden mehr Beschäftigte erfasst als bisher. Um dennoch einen minimalen Vergleich mit den früheren Betriebszählungen zu ermöglichen, wurde mit Hilfe eines Schätzmodells auf der Basis der neuen Abgrenzungen und Definitionen für die Jahre 2005 und 2008 eine Rückrechnung vorgenommen.

In die Analysen zum Baumarkt fliessen unter anderem Daten aus der kantonalen Boden preis­statistik ein. Das Baselbiet ist einer der wenigen Kantone der Schweiz mit einer Boden­preisstatistik. Die Datenreihe reicht dabei zurück bis ins Jahr 1979. Sowohl die Zugriffe auf das Baselbieter Zahlenfenster im Internet als auch die zahlreichen Anfragen an das Statistische Amt zeigen, dass der Bodenpreis­statistik eine besondere Bedeutung zukommt: Sie dient der Markttransparenz und gibt Interessierten Einblick in die im Kanton gehan­delten Bodenpreise.

Johann Christoffel, Kantonsstatistiker

Landesindex der Konsumentenpreise: Schweizer Jahresteuerung nach Monat seit 2008

2008 2010 2011 2012 2013 2014 (bis Sept.)

2009-1,5%

-1,0%

0,0%

0,5%

-0,5%

1,0%

3,0%

1,5%

2,0%

2,5%

3,5%

Arbeitslosenzahlen stabilSeit 2011 liegt die durchschnittliche Arbeitslosenzahl bei rund 4000 Personen. Im September 2014 waren im Kan-ton 3743 Personen als arbeitslos gemeldet. Jeweils zum Jahresende und zu Jahresbeginn stiegen die Arbeitslosen-zahlen auf über 4000 Personen an, in den Wintermona-ten 2009/2010 letztmals sogar auf über 5000. Die Arbeits-losenquote liegt seit 2011 durchschnittlich bei 2,7% und somit deutlich unter den Quoten von 2009 und 2010. Das Baselbiet weist über alle Vergleichsjahre eine tiefere Ar-beitslosenquote aus als die Gesamtschweiz. Im Jahr 2013 betrug die durchschnittliche Arbeitslosenquote auf Ebe-ne Schweiz 3,2% und damit einen halben Prozentpunkt mehr als in BL. Die Zahl der Langzeitarbeitslosen ist seit 2011 rückläufig und lag im September 2014 bei 595 Per-sonen oder rund 16% der registrierten Arbeitslosen. Im Jahr 2010 erlangte der Anteil der Langzeitarbeitslosen an allen Arbeitslosen mit 23% einen Höchstwert. Per 1. April 2011 trat das revidierte Arbeitslosenversicherungsgesetz (AVIG) in Kraft, was teilweise einen kürzeren Leistungs-anspruch und eine frühere Aussteuerung zur Folge hat.

Anstieg der Neugründungen und KonkurseIm Baselbiet werden jährlich zwischen knapp 300 und gut 400 neue Unternehmen gegründet. Im Jahr 2012 lag die Zahl der Neugründungen bei 341, was 54 mehr sind als im Vorjahr. Insgesamt wurden durch diese Neugrün-dungen Arbeitsplätze für 612 Beschäftigte geschaffen. Allerdings wurde gleichzeitig bei 319 Unternehmen der Konkurs eröffnet. Die Zahl der Konkurseröffnungen ist im Jahr 2013 auf über 400 angestiegen. Wie viele Stel-len dadurch verloren gingen, lässt sich anhand der Be-treibungs- und Konkursstatistik jedoch nicht sagen. Die neu gegründeten Unternehmen generieren im Schnitt ein bis zwei Vollzeitstellen. Rund ein Drittel der im Jahr 2012 gegründeten Unternehmen starten mit weniger als einer Vollzeitstelle und knapp zwei Drittel mit einer bis fünf Vollzeitstellen. Nur in seltenen Fällen starten Neu-gründungen mit fünf oder mehr vollen Arbeitspensen.

142 600 Beschäftigte im KantonGemäss der neuen Statistik der Unternehmensstruktur (STATENT), die alle sozialversicherungspflichtigen Ange-stellten und Selbstständigerwerbenden mit einem jähr-lichen Mindesteinkommen von 2300 Fr. zählt, waren im Kanton im Jahr 2011 unter Berücksichtigung aller Wirtschaftssektoren insgesamt 142 600 Personen ver-teilt auf 18 220 Arbeitsstätten beschäftigt. Im Vergleich zu 2005 ist die Zahl der Beschäftigten damit um 8560 oder 6,4% angestiegen. Gegenüber 2008 ergab sich aller-dings ein leichter Rückgang der Beschäftigtenzahlen von -0,4%. Die Zahl der Vollzeitäquivalente, d.h. der Beschäf-tigten auf Vollzeitstellen umgerechnet, lag 2011 bei rund 115 000. Diese haben sowohl gegenüber 2005 (+9,4%) als auch gegenüber 2008 (+2,0%) zugenommen.

STATISTIK BASELLAND I NR. 07/2014 I STATISTISCHES AMT KANTON BASEL-LANDSCHAFT I

2

Arbeitslose und Arbeitslosenquote seit 2004

Arbeits-lose

5000

4000

3000

2000

1000

0

Arbeits-losen-quote

5%

4%

* Januar bis September.

3%

2%

1%

0%

Arbeitslose (höchstens 1 Jahr arbeitslos)

Langzeitarbeitslose (mehr als 1 Jahr arbeitslos)

2014*2013201220112010200920082007200620052004

Neugründungen und Konkurse seit 2004

2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013

Untern./Konkurse

400

300

200

100

0

KonkurseröffnungenNeue Unternehmen

Beschäftigte und Vollzeitäquivalente seit 2005

Beschäftigte/VZÄ

160 000

120 000

80 000

40 000

0201120082005

Vollzeitäquivalente (VZÄ)Beschäftigte

Beschäftigtenrückgang im Sektor IIVon den 142 600 Beschäftigten in BL waren im Jahr 2011 noch knapp 3400 Beschäftigte im Landwirtschaftssektor (Sektor I) tätig. Dies sind rund 13% weniger als noch im Jahr 2008. Die Zahl der Beschäftigten im Gewerbe- und Industriesektor (Sektor II) betrug 2011 gut 39 200, während im dritten Sektor, dem so genannten Dienstlei-stungssektor, gegen 100 000 Personen beschäftigt waren. Im Vergleich zur Schweiz fällt der starke zweite Sektor auf. Dieser umfasst im Baselbiet 28% aller Beschäftigten, während im Schweizer Durchschnitt rund 22% im zwei-ten Sektor tätig sind. Das Baselbiet zählt beispielsweise rund 4300 Beschäftigte im Bereich der Herstellung von Metallerzeugnissen, 4000 im Maschinenbau und gegen 3200 Beschäftigte in der Herstellung von pharmazeu-tischen Erzeugnissen. Daneben sind die Bereiche For-schung und Entwicklung mit 2600 Beschäftigten und der Grosshandel mit gegen 11 200 Beschäftigten aus dem dritten Sektor überdurchschnittlich stark vertreten. Die Zahl der Beschäftigten hat im zweiten Sektor zwischen 2005 und 2008 zugenommen, ist zwischen 2008 und 2011 jedoch um 4,2% zurückgegangen. Im dritten Sek-tor sind die Beschäftigtenzahlen kontinuierlich gestie-gen, zuletzt um 1,7% zwischen 2008 und 2011.

Durchschnittlicher Beschäftigungsgrad variiert nach Geschlecht und SektorAuf Vollzeitpensen umgerechnet entsprechen die rund 142 600 Beschäftigten 114 800 Vollzeitäquivalenten. Der daraus resultierende durchschnittliche Beschäfti-gungsgrad beträgt 81%. Der durchschnittliche Beschäf-tigungsgrad von Männern beträgt 91%, Frauen sind zu durchschnittlich 67% beschäftigt. Ebenso bestehen zwi-schen den Sektoren deutliche Unterschiede. Im Sektor I sind Teilzeitpensen am stärksten verbreitet, gefolgt vom dritten Sektor. Im zweiten Sektor sind kleine Pensen eher selten. Sowohl bei den Männern als auch bei den Frauen sind die Pensen im zweiten Sektor am höchsten. Wäh-rend in den Sektoren I und II die beschäftigten Männer in der Mehrheit sind, haben die Frauen im dritten Sektor z.T. klare Mehrheiten, so zum Beispiel in den Bereichen Gesundheits- und Sozialwesen wie auch im Bereich Er-ziehung und Unterricht.

Steigende Preise beim WohnbaulandInsgesamt wurden 2013 im Baselbiet rund 40 Hektaren unüberbautes Bauland verkauft. Es handelte sich dabei um 429 Parzellen mit einem Gesamtwert von 267 Mio. Franken. Ein Quadratmeter Wohnbauland kostete im letzten Jahr im Durchschnitt 922 Franken und damit 5% mehr als im Vorjahr. Als Wohnbauland werden Grund-stücke in der Wohn- und der Wohn- und Geschäftszone mit einem Quadratmeterpreis von mehr als 30 Franken und einer Fläche zwischen 100 und 2500 m2 bezeich-net. Die Preise des Wohnbaulandes sind in fast allen Be-

STATISTIK BASELLAND I NR. 07/2014 I STATISTISCHES AMT KANTON BASEL-LANDSCHAFT I

3

Verteilung der Beschäftigten nach Wirtschaftssektor und Abschnitt BL und CH 2011

0%

80%

70%

60%

50%

30%

20%

10%

40%

90%

100% Sektor III

Rest

Gesundheits- und Sozialwesen

Erziehung und Unterricht

Sonstige wirtschaftliche Dienstleistungen

Wissensch. und techn. Dienstleistungen

Verkehr, Lagerei

Gross-/Detailhandel

Sektor II

Rest

Baugewerbe/Bau

Verarbeitendes Gewerbe/Herst. von Waren

Sektor I

Landwirtschaft, Forstwirtschaft, Fischerei

CHBL

2,4%

18,8%

7,6%

15,3%

6,2%

8,5%

4,9%6,2%

13,5%

15,5%

3,5%

14,4%

6,9%

13,1%

4,8%

7,8%

5,8%

6,6%

12,3%

23,6%

Ø Beschäftigungsgrad nach Geschlecht und Sektor 2011

Beschäfti-gungsgrad

60%

80%

40%

20%

0%

FrauenMännerTotal

Sektor IIISektor IISektor ITotal

Bereinigter kantonaler Bodenpreis für Wohnbauland und für Land ausserhalb des Baugebietes seit 1979

2001

2000

1997

1995

1993

1991

1989

1987

1985

1983

1981

1979

2003

2005

2007

2009

2011

2013

200

0

600

400

800

Fr./m2

Wohn-bauland

0

8

4

12

16

Fr./m2

Land ausserhalbBaugebiet

Rufsteinweg 4, CH­4410 Liestal T 061 552 56 32, F 061 552 69 87 [email protected], www.statistik.bl.ch

Redaktion: Tamara Bobst Gestaltung: Howald Fosco, Basel Druck: Schul­ und Büromaterialverwaltung BL

Datum: November 2014 Auflage: 550 Expl.

STATISTIK BASELLAND I NR. 07/2014 I STATISTISCHES AMT KANTON BASEL-LANDSCHAFT I

4

Bautätigkeit seit 2004 und Bauvorhaben (BV) 2014 in Millionen Franken

0

500

2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 BV2014

1000

1500

Mio. Fr.

2000

Öffentlicher Bau Privatbau

Fertigerstellte Wohnungen und Einfamilienhäuser seit 2004 und Bauvorhaben (BV) 2014

Wohnungen Einfamilienhäuser (EFH)

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400

2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 BV2014

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EFH/Wohnungen

Daten im Internet unter www.statistik.bl.ch

Die vorliegende Publikation sowie detaillierte Daten zum Kanton Basel­Landschaft finden Sie unter www.statistik.bl.ch. Zudem in­formiert das Statistische Amt regelmässig in einem elektronischen Newsletter über Publikationen und aktualisierte statistische Daten zur Region. Die Anmeldung ist möglich unter www.statistik.bl.ch Newsletter.

zirken angestiegen; die einzige Ausnahme bildete 2013 der Bezirk Laufen. Am höchsten war das Preisniveau im Bezirk Arlesheim mit einem Durchschnittspreis von 1352 Fr./ m2, gefolgt von 770 Fr./m2 im Bezirk Liestal. Am tiefsten lag der Durchschnittspreis für Wohnbau-land mit 370 Fr./m2 im Bezirk Waldenburg. Der Qua-dratmeterpreis für Land ausserhalb des Baugebietes lag 2013 bei 3 Fr./m2. Es wurden 119 Hektaren Land ausser-halb der Bauzone in einem Gesamtwert von 3,7 Mio. Fr. gehandelt.

Deutlicher Anstieg des BauvolumensNachdem das Bauvolumen zwischen 2006 und 2012 mehr oder weniger stagnierte, ist es 2013 deutlich ange-stiegen auf 2,2 Mrd. Franken. Mit 585 Mio. Fr. lagen die Ausgaben im öffentlichen Bau deutlich über den Vorjah-reswerten. Auch im Privatbau wurde mehr denn je inve-stiert. Die 1,6 Mrd. Fr. Grenze wurde erstmals überschrit-ten. Insgesamt sind 293 neue Einfamilienhäuser (EFH) und 779 Wohnungen in Mehrfamilien- oder Wohn- und Geschäftshäusern entstanden. Dabei handelt es sich um 363 Einheiten mit bis zu drei Zimmern, um 428 Ein-heiten mit vier Zimmern und um 281 Einheiten mit fünf und mehr Zimmern. Für 2014 sind 285 weitere Ein-familienhäuser und 968 Wohnungen in Mehrfamilien- oder Wohn- und Geschäftshäusern geplant.

Mehr Handel mit EigentumswohnungenDer Handel mit Wohnungen ist gegenüber den Vorjah-ren 2011 und 2012 gestiegen. 2013 haben 748 Eigen-tumswohnungen den Besitzer gewechselt. Rund 60% der gehandelten Wohnungen haben vier und mehr Zim-mer. Die meisten Handänderungen von Wohnungen im Stockwerkeigentum zählte der Bezirk Arlesheim mit 435 Fällen gefolgt vom Bezirk Liestal mit 162 Fällen. Der kan-tonale Durchschnittspreis für Eigentumswohnungen lag 2013 bei 705 000 Franken, wobei regional beträchtliche Unterschiede bestehen. Am teuersten waren Eigentums-wohnungen im Bezirk Arlesheim mit 806 000 Fr. gefolgt vom Bezirk Sissach mit 716 000 Franken. Am tiefsten lag der Durchschnittspreis von Eigentumswohnungen im Bezirk Waldenburg mit 475 000 Franken.

QuellenangabenS. 1 u: Landesindex der Konsumentenpreise, Bundesamt für StatistikS. 2 o: Arbeitsmarktstatistik, Staatssekretariat für Wirtschaft SECOS. 2 m: Unternehmensdemografie, Bundesamt für Statistik;

Betreibungs­ und Konkursstatistik, Bundesamt für StatistikS. 2 u: Statistik der Unternehmensstruktur (STATENT),

Bundesamt für StatistikS. 3 o/m: Statistik der Unternehmensstruktur (STATENT),

Bundesamt für StatistikS. 3 u: Bodenpreisstatistik, Statistisches Amt Basel­LandschaftS. 4. o/u: Baustatistik, Statistisches Amt Basel­Landschaft

Cercle Indicateurs: Utilisation des indicateurs

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Publications imprimées plus volumineuses — Statistiques de poche, p. ex.: OFS, Développement durable – Statistique

de poche 2014— Rapports sur le développement durable: les rapports des villes et des

cantons qui s’appuient sur le Cercle Indicateurs montrent comment ses éléments peuvent être utilisés, p. ex.: ville de Winterthur, Nachhaltige Entwicklung in Winterthur – Monitoring und Handlungsfelder, 2014. Autres exemples à l’adresse: www.are.admin.ch/cercleindicateurs

Produit imprimé ou en ligne

«Voyage dans le canton / la ville»Un voyage dans le canton ou la ville peut être décrit sur la base des conte­nus du Cercle Indicateurs. Comme matériel de base: photos d’endroits, de personnes ou d’événements du canton/de la ville visibles d’une fenêtre de train, de tram ou de bus. Chaque photo est accompagnée d’un indicateur du Cercle Indicateurs. Les outils sont nécessaires pour raconter l’histoire relative aux photos et aux indicateurs, dans la perspective des spectateurs. Ce panorama du canton/de la ville peut, au choix, être conçu comme une publication imprimée (p. ex. quatre­pages, statistiques de poche, cartes postales) ou pour un site Internet.

Fig. 10: «Vue de la fenêtre du train»: Glacier du Lötschen

Fig. 11: «Vue de la fenêtre du train»: Graphique des émissions de CO

2 par

habitant/an, canton de Berne (Source: canton de Berne, Nachhaltige Entwicklung im Kanton Bern – Zahlen und Fakten 2014)

Exemple 2 (canton de Bâle-Ville):

Exemple 1 (canton de Berne):

Fig. 12: «Vue de la fenêtre du tram»: L’industrie pharmaceutique bâloise

Fig. 13: «Vue de la fenêtre du tram»: Graphique des branches à forte productivité, Bâle­Ville, Stat@las

Cercle Indicateurs: Utilisation des indicateurs

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Bibliographie

CIDD 2012: La Suisse sur la voie du développement durable – Points de repères, Comité interdépartemental pour le développement durable CIDD, Berne, 2012 www.are.admin.ch/dokumentation/ publikationen/00014/00221/index.html?lang=fr&download=NHzLpZeg7t, lnp6I0NTU042l2Z6ln1ae2IZn4Z2qZpnO2Yuq2Z6gpJCDe359gmym162ep Ybg2c_JjKbNoKSn6A

OFS 2012: Rapport sur le développement durable, Office fédéral de la statistique, Neuchâtel, 2012 www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/ themen/21/22/publ.html?publicationID=4064

TA­SWISS 2010: Au bout des chiffres – Quantifier, mesurer, piloter dans la société du savoir, Centre d’évaluation des choix technologiques, Berne 2010, www.ta­swiss.ch/?redirect=getfile.php&cmd[getfile][uid]=1416 (résumé en français) www.ta­swiss.ch/?redirect=getfile.php&cmd[getfile][uid]=1476 (rapport complet en allemand)

Cercle Indicateurs 2005: Indicateurs centraux pour le développement durable des villes et cantons, Rapport du Cercle Indicateurs, Berne, 2005

Impressum EditeurOffice fédéral du développement territorial ARE

RédactionJana Wachtl, IND+ Indikatoren | Monitoring | Kommunikation

GraphismeHahn+Zimmermann

Téléchargeable souswww.are.admin.ch/cercleindicateursMars 2015