centre de vacances Landersen de vacances - UMC...

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de vacances ! centre de vacances Landersen 9 extrêmement dévoué et amical et nous avons tissé des relations riches et profondes. Nous avons essayé d’être un encouragement pour l’équipe du personnel de maison dans des contacts quoti- diens autour du repas de midi, et ils ont été en bénédiction pour nous. Programme varié A insi, au fil de ces séjours, les enfants ont pu pratiquer de nombreuses activités : poney, tir à l’arc, piscine sur le Centre ou à Munster, randonnées, bivouacs, repas trappeurs, visites de la sa- boterie, exposition à la maison du parc, cigognes… sans parler des nombreuses animations prévues sur le Centre. Avec bien sûr en « point culminant du mois de juillet en Alsace » une soirée fan- tastique, une soirée « tartes flam- bées » qui a réuni enfants, anima- teurs, personnel de maison, bénévoles, directeurs… dans une ambiance phénoménale ! Merci les Bauer (et votre four !) pour ce moment inoubliable ! T out bénéfice et bénédictions ! S ur le plan financier, des bud- gets prévisionnels ont été éta- blis pour chaque colo séparément et maintenus à l’équilibre. Nous avons porté tous nos efforts à éta- blir une compta extrêmement ri- goureuse. Les prévisions ayant été assez larges, le résultat des comptes est bénéficiaire sur toutes les colos. Mais cela ne signifie pas que nous nous soyons serré la ceinture, les en- fants ne se sont pas ennuyés et ont fait des activités intéressantes. Cependant nous avons bénéficié de certains contretemps par rap- port aux prévisions, qui nous ont été favorables. Finances et foi J e veux rajouter que je suis convaincue que les finances ne sont pas un obstacle pour Dieu, il nous demande d’avoir sa vision pour le Centre et d’entrer dans l’obéissance et dans des dé- marches de repentance à plu- sieurs niveaux. Ne passons pas à côté de cette chance, beaucoup d’organismes voudraient avoir un Centre comme celui-là. Je crois en l’avenir missionnaire du centre Landersen, que Dieu puisse m’utiliser à ce travail. Nous sommes plusieurs à avoir été convaincus par le centre de vacances Landersen, malgré la pluie, malgré les tensions et la fa- tigue, malgré les poneys qu’il faut renvoyer ou les pré-ados qui se scarifient, malgré les animatrices qui nous lâchent au début du sé- jour, ou les bras cassés… Encore un grand merci à vous tous pour tous vos encouragements et marques d’amitié, ainsi que les tourtes, tartes flambées, mira- belles, choucroute et autres spé- cialités, bières, visites touristiques alsaciennes, chocolats et glaces, et j’en oublie, bref, tout ce qui nous a réjouis le cœur et l’estomac du- rant ces quatre semaines ! Que Dieu vous conduise dans un che- min de restauration relationnelle et financière. Finale n° 36-Novembre-07 25/10/07 11:02 Page 9

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  • de vacances !

    centre de vacances Landersen 9

    extrêmement dévoué et amical etnous avons tissé des relationsriches et profondes. Nous avonsessayé d’être un encouragementpour l’équipe du personnel demaison dans des contacts quoti-diens autour du repas de midi, etils ont été en bénédiction pournous.

    Programme varié

    Ainsi, au fil de ces séjours, lesenfants ont pu pratiquer denombreuses activités : poney, tir àl’arc, piscine sur le Centre ou àMunster, randonnées, bivouacs,repas trappeurs, visites de la sa-boterie, exposition à la maison duparc, cigognes… sans parler desnombreuses animations prévuessur le Centre. Avec bien sûr en« point culminant du mois dejuillet en Alsace » une soirée fan-tastique, une soirée « tartes flam-bées » qui a réuni enfants, anima-teurs, personnel de maison,bénévoles, directeurs… dans uneambiance phénoménale ! Merciles Bauer (et votre four !) pour cemoment inoubliable !

    Tout bénéfice et bénédictions !

    Sur le plan financier, des bud-gets prévisionnels ont été éta-blis pour chaque colo séparémentet maintenus à l’équilibre. Nousavons porté tous nos efforts à éta-blir une compta extrêmement ri-goureuse. Les prévisions ayantété assez larges, le résultat descomptes est bénéficiaire surtoutes les colos. Mais cela nesignifie pas que nous nous

    soyons serré la ceinture, les en-fants ne se sont pas ennuyés etont fait des activités intéressantes.Cependant nous avons bénéficiéde certains contretemps par rap-port aux prévisions, qui nous ontété favorables.

    Finances et foi

    Je veux rajouter que je suisconvaincue que les finances nesont pas un obstacle pour Dieu, ilnous demande d’avoir sa visionpour le Centre et d’entrer dansl’obéissance et dans des dé-marches de repentance à plu-sieurs niveaux. Ne passons pas àcôté de cette chance, beaucoupd’organismes voudraient avoirun Centre comme celui-là. Jecrois en l’avenir missionnaire ducentre Landersen, que Dieupuisse m’utiliser à ce travail.

    Nous sommes plusieurs àavoir été convaincus par le centrede vacances Landersen, malgré lapluie, malgré les tensions et la fa-tigue, malgré les poneys qu’il fautrenvoyer ou les pré-ados qui sescarifient, malgré les animatricesqui nous lâchent au début du sé-jour, ou les bras cassés… Encoreun grand merci à vous tous pourtous vos encouragements etmarques d’amitié, ainsi que lestourtes, tartes flambées, mira-belles, choucroute et autres spé-cialités, bières, visites touristiquesalsaciennes, chocolats et glaces, etj’en oublie, bref, tout ce qui nousa réjouis le cœur et l’estomac du-rant ces quatre semaines ! QueDieu vous conduise dans un che-min de restauration relationnelleet financière.

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  • Réunis enassemblée générale extraordinaire

    le samedi 8 septembre à Colmar,les membres de l’association

    du Centre de vacances Landersenont pris la décision de poursuivre

    les activités dans le Centreet de procéder à cet effet à la

    nomination d’un nouveau directeurmalgré les difficultés présentes.

    Explications de la partde son secrétaire Pierre Pfeiffer.

    AGE : communiqué du Conseil d’Administration

    As-tu vu le vent ?

    centre de vacances Landersen10

    As-tu vu le vent ? En entendantparler de vent, j’avais l’impres-sion que Landersen était en traind’essuyer une terrible tempête. Le di-recteur incarcéré, son épouse effon-drée, des familles en souffrance, lesfinances au plus bas depuis le débutde l’année, la cuve à mazout vide, lasecousse était forte. Le malin avaitfrappé fort. L’année précédente j’as-surai encore à ma belle-sœur, qu’ellepouvait avoir confiance en mettantses enfants en vacances à Landersen.Mais lorsque le scandale a éclaté,j’étais consterné, mais également encolère. Quelle honte pour notre té-moignage ! Le personnel du Centre avécu un cauchemar épouvantable. Leconseil d’administration, déjà accablépar le poids du déficit financier abys-sal qui se creusait, était conscient dela lourde tâche qui l’attendait. Plus dedirecteur de colo, et, fin avril, il fallaitque le dossier pédagogique soit dé-posé ; faute de quoi, les colos seraientannulées et le Centre serait en cessa-tion de paiement.

    As-tu vu le vent ? La tempête nes’arrêtait pas là. La foudre a tapédans la ligne de téléphone et l’auto-commutateur était mort : 4 000 Euros

    le prix d’un nouvel autocommuta-teur, mais où trouver l’argent ? Unemini-tornade s’est abattue dans lamontagne et deux des marabouts(tentes) ont littéralement été pliés.

    As-tu vu le vent ? Dans la se-maine qui suivait l’arrestation du di-recteur, Michèle et Gérard Waytetsont venus bénévolement assurer ladirection du Centre durant deuxmois. Quel soulagement ! Lydie etClaude Boussemart se sont portés vo-lontaires pour les mois d’été. Un donnous a permis de remplir la cuve àmazout. Le 31 mars, lors de l’AG denotre Union, l’annonce fut faitecomme quoi Landersen n’avait pasde directeur pour les colos de cet été.À 600 km de là, Françoise Paquetcherchait en vain une maison pourorganiser une colonie de vacances,car le lieu où elle allait chaque étén’était pas disponible. Quand sonmari, qui a assisté à l’AG de l’Union,lui annonça qu’un poste de directeurétait vacant, elle sauta dans la brècheaccompagnée de Johan Schaefer,futur pasteur, qui a toujours fonc-tionné en tandem avec elle. NicolasAubert, qui a déjà œuvré les annéesprécédentes à Landersen, a passé sonBAFD pour voler à notre aide. Puis ily eut ce temps de jeûne et prière avecla volonté de reconsacrer ce Centreau Seigneur. Didier Chastagnier, del’Armée du Salut, nous a annoncéqu’il allait organiser une colonie aumois d’août. L’autocommutateur aété réparé gratuitement, les mara-bouts ont été redressés juste à temps.Le parc à poneys a été monté la veillede leur arrivée, et pour la piscine, unepompe et un filtre nous ont été of-ferts. Au conseil, nous venions devivre quelques miracles. Et de sur-croît, chaque fois qu’il y avait un

    groupe à Landersen, il faisait beau, laconsommation de fuel a été réduiteau minimum. « Merci Seigneur, nouspouvons compter sur toi dans la dif-ficulté, tu seras toujours ce rocher surlequel nous pouvons nous appuyer ».

    L’AG extraordinaire du mois deseptembre approchait, la décision devendre, de se mettre en autogestionou de continuer avec un directeur seprofilait. Les différentes solutions fu-rent longuement discutées auconseil, avec leurs difficultés et leursconséquences. Mais au fil des jours,de nouveaux horizons s’ouvraient.Les colos de l’été furent un momentfort pour tous. Avec l’économie dusalaire de direction, la gestion rigou-reuse et professionnelle, les écono-mies de fuel, la montagne de dettescommençait à diminuer. Mais ilmanque encore des nuitées pour at-teindre l’équilibre d’ici la fin del’année. Les témoignages encoura-geants des colos et la volonté réaffir-mée d’annoncer le Christ ressuscitéredonnèrent confiance à l’assemblée.Sans oublier toutes les aides béné-voles, le soutien espéré de connexio, etl’engagement de l’Armée du Salutpour organiser divers séjours et biensûr, tous les groupes pour lesquelsLandersen est un lieu de vie, de par-tage, de rencontre et d’édificationdans la foi. Beaucoup étaient venus àcette AG avec la conviction que lavente serait la seule issue, d’autres re-doutaient de devoir prendre une telledécision. L’assemblée générale extra-ordinaire a fait ce pas de foi pourcontinuer à œuvrer, afin queLandersen soit un lieu de bénédic-tion pour tous dans les jours facilescomme dans les jours difficiles.

    Avec l’amour de Christ notreSauveur et Seigneur, ■

    ✎Pierre Pfeiffersecrétaire de

    l’Association Landersen

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  • À la découvertede sa patrie d’origine

    connexio 11

    Un Cambodgienexpatriérencontrele Cambodged’aujourd’huiet fait partde ses impressions.

    Portrait

    Mathias (Song) Duby estCambodgien d’origine, vit àStrasbourg et fait partie de lacommunauté méthodiste cam-bodgienne de cette ville. À l’âgede 13 ans, il a dû fuir avec sesparents, frères et sœurs, vers laThaïlande, au moment de lachute du régime de Pol Pot.

    Après 4 années passéesdans des camps de réfugiés, ilobtint le droit d’asile en France.Aujourd’hui, il est marié et pèrede 3 enfants. Il est l’un des19 participants au voyage de dé-couverte et rencontre organisépar connexio, du 5 au 18 sep-tembre au Cambodge.

    Mathias Duby (MD) : Monépouse Estelle m’a offert, à l’occa-sion de mon 40e anniversaire unvoyage de rencontre connexio,pour me permettre de redécou-vrir mon pays après 28 annéesd’absence. J’ai ainsi pu utiliser aumieux mes connaissances linguis-tiques lors de cultes et de ren-contres avec des membresd’Églises.

    Mario Dall’Oglio (AO) : Qu’est cequi t’a particulièrement touché etimpressionné au Cambodge ?MD : Je me suis beaucoup réjouide voir comment les gens peu-vent se déplacer librement et par-ler librement dans leur pays. J’aiconstaté de grandes différencesentre riches et pauvres. En par-lant avec des Cambodgiens, j’aisenti leur désir d’émigrer, mêmes’ils occupent des situations bienrémunérées. J’ai été aussi trèstriste lorsque j’ai vu et entendujouer un groupe de musiciensamputés des jambes (suite à desexplosions de mines) au marché.Je ressens cela comme un sym-bole d’un Cambodge handicapé.Ainsi, je n’avais pas le courage demarchander quand mon vis-à-visme parlait de sa faim. Malgré cela,j’ai vu des signes de développe-ment en voyant des antennes detélévision se dressant au-dessusdes plus simples huttes en bois.

    MO : Quel souhait as-tu pour leCambodge ?MD : Je voudrais aider les Cam-bodgiens qui croient en Bouddhaà retrouver le chemin de la sourcede la paix. Qu’ils reviennent versJésus-Christ pour trouver la vraie

    paix dans leur cœur. Je vois com-ment agit la puissance du Saint-Esprit, par exemple dans les com-munautés que nous avonsvisitées. ■

    D’autres informations concernantconnexio et les voyages de rencontrepeuvent être obtenues auprès duSecrétariat : Tel. 0041 44 299 30 70ou www.connexio.ch

    ✎ Mathias Dubyinterviewé parMario Dall’Oglio

    à gauche : Mathias Duby, près de PeterSiegfried, en train de traduireen khmer à Phum Sre.

    ci-dessous :• Culte près de Phum Sre,

    une petite paroisse.• Musiciens mutilés à cause des mines.• Maison de campagne

    vis-à-vis de la paroisse de Phum Sre.

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  • Saint-Imier : du changement

    vie de nos Églises12

    La parole à Jürg Schorro

    Nous sommes arrivés il y abien longtemps, en 1995,durant un été plutôt froid, maisnous avons été accueillis chaleu-reusement, contrairement autemps, par des gens qui ont par-tagé dès le premier moment leuramitié avec nous. Un grandMERCI pour votre partage dansla foi et dans la vie de tous lesjours !

    Et lors de notre fête d’adieu,encore une fois, nous avons beau-coup reçu de votre part… c’est legeste et l’acte qui nous ont tou-chés. Et maintenant, nos cheminsse séparent, pas définitivement,parce que rien ni personne nepeut nous arracher ce que nousavons vécu ensemble. Ainsi nousrestons liés à vous : en pensée,dans nos prières et au travers del’amour de notre Dieu céleste.

    Qu’il vous bénisse et que voussoyez une bénédiction pourSaint-Imier et toute la région.

    Jürg, Christine,Danielle, Michal et Raphael ■

    La parole à Hocine Koci Amer

    Les bontés de l’Éternel ne sont pas épuisées,ses compassions ne sont pas à leur terme ;elles se renouvellent chaque matin. Oh ! Que tafidélité est grande ! (Lm 3.22-23).

    C’est dans les montagnes de Kabylie, enAlgérie, que le Seigneur m’a appelé à sonservice, et c’est dans les montagnes suisses,quinze ans après, que je commence monministère. Entre-temps, le Seigneur m’a faitrencontrer mon épouse Djamila, et nous adonné deux magnifiques petits garçons et ilnous a aussi fait la grâce de suivre desétudes en théologie évangélique en France.

    Durant toutes ces années, nous ne pou-vons que constater la présence de notreSeigneur à nos côtés et nous ne pouvonsque ressentir son soutien et sa bénédiction,mais surtout sa fidélité.

    Nous voici avec vous, donc, àSaint-Imier pour une année ou jene sais… Mais j’ai la certitude quele Seigneur ne va pas manquer aurendez-vous et qu’il va encorenous surprendre par sa grandeur,nous garder et nous bénir tous,nous et tous les frères, toutes lessœurs et tous les amis de notreEglise Évangélique MéthodisteBéthania.

    Et si nous faisions de ce temps,sur tous les plans, une occasion desensibiliser notre cœur, notre re-gard, notre vie à la Parole de Dieu,à la communion fraternelle et deles approfondir ? !

    Hocine pour nous quatre,Kilyan, Rayan et Djamila ■

    Saint-Imier a pris congé de son pasteur Jurg Schorro appelé à la direction d’une maison de retraiteet accueilli dans la personne d’Hocine Kaci Amer son nouveau pasteur. Présentations et expli-cations de l’un et de l’autre.

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  • Fleurance : À contre-courant

    vie de nos Églises 13

    Après l’arrivée du nouveaupasteur Byeong Koan Lee,

    l’Église entendaller de l’avant.

    Explications par unde ses membres,

    André Cazorla.

    ✎André Cazorla

    Après le départ de RobertGillet, pasteur, et de sa fa-mille, notre Église a eu à releverun défi comme le précisait unfrère : s’assumer en attendant lanomination éventuelle et l’arrivéed’un nouveau pasteur décidéepar l’UEEMF. Comme Josué de-vant les murailles de Jéricho quileva les yeux et regarda : voici unhomme se tenait debout devantlui, son épée nue à la main : « Jesuis le chef de l’armée de l’Éter-nel et j’arrive maintenant ».

    Je ne doute pas que Josué étaitcourageux mais il devait se sentirbien petit. Il fit face sans crainte.Il n’a préparé aucun plan maiscelui qui est avec lui et en lui estle plus grand. Josué avait vu etvécu tant de miracles depuis ledépart de l’Égypte qu’il étaitconfiant.

    Nous devions garder notreconfiance en Jésus, car nous aussiavons vécu tant de miracles par lepassé ; même si les difficultés pa-raissaient infranchissables, notreDieu est le même hier, aujour-d’hui et le sera éternellement.Non seulement nous avons la joied’avoir un couple pastoral depuisle 1er août mais nous avons aussiréussi à remettre en état l’appar-tement qui lui était réservé dansun délai paraissant impossible àtenir.

    Voila, à notre tour nousn’étions pas seuls. Nous remer-cions Dieu pour avoir tout pré-paré. Nous remercions égale-ment : l’Église d’Agen et deMont-de-Marsan pour leur enga-

    gement et soutien. L’Église deFleurance pour sa participation.Merci aussi à tous les sœurs etfrères pour l’enseignement dis-pensé, en particulier ÉtienneRudolph qui n’a pas compté sontemps ainsi qu’Étienne Koning.Mes chers frères et sœurs nousavons gagné une partie de ce queDieu nous demande mais il nousreste à gagner encore davantageavec notre nouveau pasteur. Dieunous propose d’aller encore plusloin et plus fort.

    J’en reviens au titre choisi « Acontre-courant ». Noé pour sescontemporains travaillait àcontre-courant mais il ne baissaitpas les bras pour autant, il pour-suivait coûte que coûte l’ouvrageque Dieu lui avait confié. Lemaître mot aujourd’hui c’est« d’économiser l’énergie » bonpour la planète et pour les res-sources énergétiques mais moi jevous dis, parce que le Seigneurnous le recommande, n’économi-sons pas nos forces. Bien aucontraire, dépensons-nous sanscompter car nous travaillons pourla bonne cause. Comme Josué, neperdons pas courage et deman-dons à notre Père de nous aider àagir avec détermination. Conti-nuons à porter la bonne parole,aimons-nous les uns les autres etsupportons-nous comme nous l’aenseigné notre Divin Maître.

    La récompense nous attend etce n’est pas un vain mot.

    Bon courage à tous,■

    Byeong Koan Lee

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  • Micheline Leclercqde l’Église de Metz

    dit dans le courrier ci-jointtout le bien qu’elle a retiré

    du week-end interÉgliseset de l’enseignement biblique

    du pasteur Kurt Maedersur le lien entre salut,

    sanctification et guérison.

    Week-end interÉglises à Landersenles 22 et 23 septembre 2007avec le pasteur Kurt Maeder (EPAL)

    Mes impressions

    vie de l’Église14

    Chers frères et sœurs méthodistes,

    Je vous écris cette petite lettrepour vous dire que je viens depasser un bon week-end, au coursduquel à plusieurs reprises vousm’avez manqué ! Il faut dire queDieu dans sa grâce avait « mis lepaquet » si vous m’autorisez l’ex-pression. D’abord il faisait beau etmême chaud, premier cadeaud’amour (qui est important), etpuis nous sommes « montés » àLandersen, au milieu de ce magni-fique paysage que j’espère vousavez tous vu une fois au moins ! Enarrivant là-haut, je me sentais vrai-ment comme « mise à part » pources deux jours ; je savais que je de-vais être là. Vous connaissez sûre-ment cette impression difficile-ment explicable que vous êtes aubon endroit au bon moment ! Alorsque, toutes les autres années, lesobstacles étaient nombreux pourque nous ne puissions pas venir,tout s’est mis en place simplementpour que nous puissions être pré-sents. Merci Seigneur, j’ai su tout

    de suite que nous étions à l’endroitqu’il nous fallait pour ce temps.

    Nous avons profité de l’expé-rience de Kurt Maeder pasteur del’Église Saint-Nicolas de Strasbourgqui organise dans son Église, régu-lièrement des cultes de prièrespour la guérison. Son expériencequ’il partage volontiers lui a per-mis de prendre conscience de toutce que Dieu entend par guérison,bien souvent plus importante surle plan spirituel que physique, surla dimension d’amour qu’il veutmettre dans cette guérison, et par-fois sur la non-guérison. Kurt, trèssimplement, d’une façon trèsfranche nous a parlé de la manièredont Dieu conduit le déroulementde ces temps de prière et sur toutce que cela implique pour chacunde ceux qui entrent dans ce plande guérison. Un témoignage nousa tous particulièrement touchés,celui de cette maman qui, après unde ces cultes, demandait où étaitl’amour de Dieu ; en invitant Kurtà venir la voir chez elle, elle lui afait partager sa profonde douleurd’avoir une enfant très handica-pée, toute petite encore, et Kurt,bouleversé, n’a su que pleurer aveccette maman, à genoux devant leberceau. Ces larmes ont suffi pourque cette maman sache ce qu’estl’amour de Dieu et décide deprendre son temps pour s’occupersereinement de son enfant.

    Oui pendant ces partages, nousavons pu prendre conscience de cequ’est cet amour que Dieu veut

    nous manifester à chacun. Et puismes bien-aimés, nous avons pupartager entre nous, apprendre quiest qui, car quand parfois nous li-sons En route, nous voyons les si-gnatures des uns et des autres etpour certains c’était chouette de lesvoir de visu et de pouvoir échan-ger avec eux, et d’autres frères etsœurs de nos Églises, de revoiraussi d’anciens de Metz, et qued’autres retrouvent aussi des amisque l’on ne voit que durant cesjours là !

    Alors pour finir, je voudraisvous encourager à venir participerà ces temps d’enseignement maisaussi de partage, de promenades,de jeux pour les plus jeunes, cestemps où tout en respirant l’air purembaumé par les sapins qui entou-rent le Centre, vous pouvez com-munier avec la nature terrestre etla nature de Dieu. Certains pleu-rent en quittant le Centre, d’autresse promettent de ne pas laisser au-tant de temps sans y revenir, j’enfais partie, et, Dieu voulant, je se-rais volontiers à Landersen pour leprochain week-end interÉglises enespérant, même s’il faut pousserles murs de la salle à manger oufaire deux services, que nous se-rons bien plus nombreux encoreque cette année à en profiter !

    Je termine ce petit mot en vousdisant toute mon affection fra-ternelle ! ■

    ✎Micheline Leclercq

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  • mots croisés 15

    HORIZONTAL

    1. Odeurs infectes, miasmes pu-trides - 7. Dans la Bible, le mot estun organe essentiel, considérécomme le siège de la colère : larespiration se précipite et elles sedilatent (Pr 14.17 ; 22.24 ; 25.15) -8. Style de musique disco dont lesparoles, hachées, sont récitées surun fond musical très rythmé -9. Département français, l’un descinq départements issus du dé-coupage de l’ancienne provincede Normandie. Il tire son nom dela rivière qui le traverse avant derejoindre la Seine - 11. Dans laBible, ce verbe s’applique audésaveu de Dieu par l’homme,parfois à celui de l’homme parDieu (Mt 10.33 ; Ac 3.14 ; 2Tm2.12 ; 2P 2.1) - 13. Regret que l’ontémoigne à quelqu’un de l’avoiroffensé, contrarié, gêné. (pardon,regret) - 14. Plaqueminier duJapon, cultivé dans le Midi, arbre

    ou arbrisseau dont les fruits d’unjaune orangé ont la forme de to-mates - 16. Poisson « Diplodussargus sargus » qui se joint sou-vent à des Daurades ou autresSparidés de taille égale, ou bienreste solitaire. Il est surtout pré-sent dans la roche et les fondsmixtes, mais fréquente aussi lesfonds sablonneux et les construc-tions portuaires - 17. Personne quia une sincérité innocente etnaïve - 19. Bureaux, services diri-gés par un secrétaire, un secré-taire général (dans une adminis-tration, une assemblée, unecompagnie, une société).

    VERTICAL

    1. Bal, surprise-partie, réceptionoù les invités se tiennent mal -2. Idem N° 16 horizontal -10. Sans plan et par le fait d’unheureux hasard - 3. Ville d’Alle-magne, du Land de Thuringe qui

    compte 99 300 habitants. Siège dela cour d’appel (Oberlandes-gericht) de Thuringe, elle est si-tuée dans la vallée de la Saale -12. Sentiment favorable né de labonne opinion qu’on a du mérite,de la valeur de quelqu’un - consi-dération, déférence, respect -4. Le Koninklijke Patro XXXXMaasmechelen est un club belgede football basé à Maasmechelenqui évolue en 2006-2007 enPromotion C - 15. Akbar en fit lacapitale sous l’ère mogoleen 1566 ; aujourd’hui l’une desprincipales villes (1 million d’ha-bitants) de l’état d’Uttar Pradeshsitué à 200 km de Delhi -5. Course de taureaux se dérou-lant dans les arènes - 18. Qui a faitdu tort à quelqu’un - 6. Cimentartificiel à haute résistance ini-tiale, à durcissement rapide. ■

    Solution d’octobre 2007

    La grille du mois✎J.-P. Waechter

    rédacteur

    Voilà de quoi vous occuper le soirau coin d’une cheminée :

    une grille de mots croisés,rien de tel pour se creuser les méninges !

    Avanti !

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  • ✎Didier Chastagniermajor de l’Armée du Salut

    Les enfants du Boss !!*Merci au Major Didier Chastagnier pour son coup d’œil rétrospectif sur la colo qu’il a encadréeà Landersen. Chapeau à l’équipe et aux enfants qui ont réalisé un CD l’espace de ce séjour etavant tout gloire au Grand Boss* !

    colo Landersen16

    37enfants encadrés par uneéquipe de 10 personnes ontparticipé à la colo « ActionQuartiers » organisée à Landersen.

    Enregistrement d’un CD

    Le défi durant ces douze joursdu mois d’août était d’apprendre12 chants et les enregistrer pour leCD qui sortira en novembre.David et Bettina du groupe« Antydot » qui ont fait les arran-gements de ces chants sont venussur place pour l’enregistrement.Tout est dans la boîte et ce CD tantattendu « Les enfants du Boss »sera vraiment un événement. Pouravoir un aperçu des paroles duCD, vous pourrez bientôt les trou-ver sur le site d’Action Quartiers :www.actionquartiers.com

    Un temps de détente

    La colo, c’est avant tout un lieude vacances pour s’amuser et dé-couvrir les joies de la montagne.Nous avions 37 enfants venant deStrasbourg, Mulhouse, Nancy etCréteil. Certains quittaient leurquartier pour la première fois cet

    été. Pour de nombreux enfants, lesvacances se résument trop sou-vent à jouer dans les squares aubas des tours. Découvrir Lander-sen et les Vosges c’était déjà uneaventure ! Même si une bonnepartie du programme était consa-crée aux répétitions et à l’enregis-trement du CD, il restait encorebeaucoup de temps pour faire duQuad, du Tir à l’arc, du cheval, desgrands jeux, des travaux manuels,des promenades etc. Malgré unemétéo capricieuse cet été, nousavons pu faire toutes les activitésprévues.

    Temps « spi »

    Un des temps forts de la coloétait le « Time out » (Temps à part)le matin où nous nous réunissionspour réfléchir à travers des his-toires de la Bible, sur la valeur dechacun, les dons que nous avionstous et l’amour de Dieu pour cha-cun quelle que soit son histoire,son passé ou son origine. Bref unesuper-colo, sans incidents. Noussommes tous revenus plus enri-chis et fortifiés. ■

    * Dans les quartiers, le Boss des Boss c’estune manière de désigner Dieu.

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