Cassy Romano

French 3002 avec Dr. Cottille-Foley

Octobre 2004

Clés du mensonge, copies de la vérité dans Copies Conformes de

Monique LaRue

Véra Lucia dos Reis

Voix et Images: Littérature Québécoise

I. Copies Conformes, écrit par Monique LaRue, n’est pas seulement un roman policier.

II. En observant le monde, Claire Dubé commence à remettre en question « les implications de la reproduction » dans cette nouvelle époque d’information.

L’introduction

Monique LaRue

I. Claire Dubé : son prénom souligne son volonté fort de comprendre.

II. Le roman suit Claire pendant qu’elle est seule a San Francisco en cherchant une disquette de son mari.

III. Claire fait la critique des Californiens. Et elle sent l’oppression de sa vie comme une femme au foyer.

IV. Le dépaysement approfondit la crise interne de Claire.

V. Le fils de Clarie, Phil, est une source de stabilité pour elle.

VI. Les perspectives différentes: selon Ron, Zarian travaille pour l’armée et domine Brigid. Quant a Zarian, Ron est un « grand pirate informatique ».

Les fils du réseau

I. Claire peut être, en même temps, « victime, coupable et détective ».

II. La dimension policière du roman vient après une interrogation sur l’amour et une quête pour la vérité.

III. Claire essaie d’accepter ses responsabilités envers sa famille, mais elle veut aussi se libérer comme des héroïnes littéraires.

IV. L’amour: dans le Faucon maltais, Brigid O’Shaughnessy demande à Sam Spade si il l’aime et à la fin, il n’y a que le doute qui reste. Mais, en outre, dans Copies conformes, Claire conclut son voyage en Californie avec l’affirmation de son amour pour son mari.

Une enquête dans le miroir

« Ce qui fuit, c’est le sens. Il faut au moins savoir que le sens fuit. Il faut au moins le dire. On ne l’attrape jamais, le sens. C’est pour ça

qu’il faut toujours parler, qu’il faut

toujours écrire. »

-Monique LaRue

I. Quand Brigid O’Doorsey entre dans la chambre 1219, Claire est étonnée par le déclin de sa beauté.

II. Brigid O’Doorsey est un « double tragique » de Brigid O’Shaughnessy dans Le faucon maltais.

III. Claire serait devenue un autre double de Brigid, en s’habillant dans les vêtements de Brigid, mais, heureusement, Zarian ne lui a pas permis de le faire.

IV. On doit être prudent et ne pas simplement accepter la surface d’une situation qui, en fait, est plus complexe. Par exemple, Claire pensait que San Francisco était entièrement fausse jusqu’à la découverte d’Oakland où Hawaiian Rainbow habitait.

V. D’abord, la ville de San Francisco semble être une « parfaite homogénéisation sociale », mais ce n’est qu’une illusion.

L’illusion du double

I. La mort: « Partir, c’est mourir un peu. »

II. Phil, le fils de Claire, doit apprendre la mort figurative avec le départ (et le rompre avec Hawaiian Rainbow) et la mort vraie avec sa grand-mère au Québec.

III. Selon Brigid O’Doorsey, le vieillissement est comme une mort vraie.

V. Un question finale: avec la nouvelle technologie informatique, la copie serait-elle la mort de l’original?

La mort « parlée »

Monique LaRue

Merci de votre attention!-Cassy Romano

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