Caroline Nérot

61
Invertébrés benthiques et biomarqueurs, témoins du fonctionnement trophique des écosystèmes côtiers Caroline Nérot Encadrée par Yves-Marie Paulet, Anne Lorrain, Jacques Grall et Hervé Le Bris

description

Invertébrés benthiques et biomarqueurs, témoins du fonctionnement trophique des écosystèmes côtiers. Caroline Nérot. Encadrée par Yves-Marie Paulet, Anne Lorrain, Jacques Grall et Hervé Le Bris. Ecosystèmes côtiers ?. littoral. plateau continental. 0 m. 200 m. talus. plaine abyssale. - PowerPoint PPT Presentation

Transcript of Caroline Nérot

Page 1: Caroline Nérot

Invertébrés benthiques et biomarqueurs, témoins du fonctionnement trophique des

écosystèmes côtiers

Caroline Nérot

Encadrée par Yves-Marie Paulet, Anne Lorrain, Jacques Grall et Hervé Le Bris

Page 2: Caroline Nérot

2Caroline Nérot – 12/2011

Ecosystèmes côtiers ?

talus

plateau continental

plaine abyssale

littoral0 m

200 m

4000 m

Page 3: Caroline Nérot

3Caroline Nérot – 12/2011

Ecosystèmes côtiers ?

benthos

bivalves

phytoplancton

zooplancton

poissons

pelagos

Connaissance des organismes côtiers et de leurs interactions

Modifié d’après support www.sciencelearn.co.nz

Page 4: Caroline Nérot

4Caroline Nérot – 12/2011

Ecosystèmes côtiers ?

bivalves

phytoplanctonzooplancton

poissons

?

Disponibilité et variabilité spatiale des sources pour les consommateurs?

? ??

Page 5: Caroline Nérot

5Caroline Nérot – 12/2011

Ecosystèmes côtiers ?

~ 300 km

nombre d’études

?

Page 6: Caroline Nérot

6Caroline Nérot – 12/2011

Objectif de la thèse

Etudier le fonctionnement trophique d’un écosystème côtier à large échelle spatiale

Réseau trophique benthique : • origine de la matière organique incorporée • emprise spatiale de l’influence des apports continentaux

Focus sur les bivalves, consommateurs primaires

Page 7: Caroline Nérot

7Caroline Nérot – 12/2011

Bivalves benthiques : intégrateurs

filtration

• filtreurs • mobilité réduite• Aire de répartition dimension spatiale

mobilitéIntégrateurs des

sources présentes

Page 8: Caroline Nérot

8Caroline Nérot – 12/2011

Marqueurs trophiques

Identifier sources dans tissus des bivalvesIsotopes stables

Carbone 13C et Azote 15NAcides gras

Constituants des lipides

NourriturePhytoplanctonBactériesDébris terrestres…

BivalveGlande digestiveMuscle

Page 9: Caroline Nérot

9Caroline Nérot – 12/2011

Marqueurs trophiques

Identifier sources dans tissus des bivalvesAcides gras

Acide grasAcide grasAcide gras

NourriturePhytoplanctonBactériesDébris terrestres…

BivalveGlande digestiveMuscle

Page 10: Caroline Nérot

10Caroline Nérot – 12/2011

Marqueurs trophiques

Temps d’intégration des sources

Isotopes stables Acides gras

Glande digestive :heures – jours Muscles : mois - saisons

Glande digestive :heures – jours Muscles : Peu d’AG des sources

Page 11: Caroline Nérot

11Caroline Nérot – 12/2011

10 missions : 3 à 10 jours2008 2009 2010

Prélèvements : - bivalves : drague + chalut à

panneaux- eau : Niskin surface + fond- sédiment : benne + carottier

Site d’étude et stratégie d’échantillonnage

Transect NordRade de Brest

Transect SudLoire et Vilaine

Fonctionnement trophique de l’écosystème côtier

apports fluviaux activités

anthropiques ouverture à l’océan

Page 12: Caroline Nérot

12Caroline Nérot – 12/2011

Bivalves benthiques utilisés

Coquille Saint-JacquesPecten maximus

Amande de merGlycymeris glycymeris

Praire du largeVenus casina

Bucarde lisseLaevicardium crassum

Pétoncle blancAequipecten opercularis

Page 13: Caroline Nérot

13Caroline Nérot – 12/2011

Questions

Identification des sources trophiques par le 13C ? Impact des apports continentaux à l’échelle du plateau ? Influence du métabolisme des bivalves ?

Page 14: Caroline Nérot

14Caroline Nérot – 12/2011

Identification des sources trophiques par le 13C ?

Praire Amande

Pétoncle blanc

Coquille St-Jacques

Rade de Brest

Mer d’Iroise

Large

Page 15: Caroline Nérot

15Caroline Nérot – 12/2011

Identification des sources trophiques par le 13C ?

Résultats

Rade Mer d’Iroise LargeMOP eaufond

Quelle source en milieu côtier est responsable des 13Cbivalves élevés ?

C. St-JacquesPétoncle blancPraireAmande

Page 16: Caroline Nérot

16Caroline Nérot – 12/2011

Identification des sources trophiques par le 13C ?

13Cbivalve élevé = consommation microphytobenthos

Le 13C indique-t-il la consommation de microphytobenthos ?

-20 ‰

-16 ‰

13C

MPB

PhytoplanctonGrall et al. 2006

MPB

Phytoplancton

13C

Page 17: Caroline Nérot

17Caroline Nérot – 12/2011

Identification des sources trophiques par le 13C ?

Consommation de MPB ?

13Cbivalves élevés mais pas cohérents avec accès MPB

Bretagne-environnement.org

30 m

Longphuirt et al. 2007

Rade

C. St-Jacques

Amande

Praire

Pétoncle blanc

Page 18: Caroline Nérot

18Caroline Nérot – 12/2011

Identification des sources trophiques par le 13C ?

Profil AG diatomées benthiques(Kharlamenko 2008)

Profil AG : glandes digestives des Coquilles Saint-Jacques

AG dominants = marqueurs de diatoméesmais pas de spécification benthique / pélagique

RadeLarge

Page 19: Caroline Nérot

19Caroline Nérot – 12/2011

Identification des sources trophiques par le 13C ?

Gradient profondeur = disparition du MPB

Rade Mer d’Iroise

Evolution des13Cbivalves ≠ consommation de MPB en rade

-16 ‰ 13Cbivalve -20 ‰

PhytoplanctonMPBC. St-Jacques

AmandePraire

Pétoncle blanc

Page 20: Caroline Nérot

20Caroline Nérot – 12/2011

Identification des sources trophiques par le 13C ?

Quelle source est responsable des 13Cbivalves élevés ?

Rade Mer d’Iroise Large

C. St-JacquesPétoncle blancPraireAmande

Bretagne-environnement.org

30 mFront

d’Ouessant

Page 21: Caroline Nérot

21Caroline Nérot – 12/2011

Identification des sources trophiques par le 13C ?

Présence d’autres sources au 13C élevé

Kristian Peters

Débris macroalgues = vaste gamme de 13C élevées source potentielle

Bretagne-environnement.org

Front d’Ouessant

-20

-18

-16

-14

-12

-10

13C

(‰)

Laminaria digitata

Ulva sp.

Schaal et al. 2009Hill et al. 2009

Page 22: Caroline Nérot

22Caroline Nérot – 12/2011

Identification des sources trophiques par le 13C ?

Résumé

Position substrat

Diminution pour 2 sps / 4

chem.leeds.ac.uk

• 13C élevé ne trace pas uniquement le microphytobenthos

• Autres sources doivent être prises en compte en milieu côtier

Page 23: Caroline Nérot

23Caroline Nérot – 12/2011

Questions

Identification des sources trophiques par le 13C ? Impact des apports continentaux à l’échelle du plateau ? Influence du métabolisme des bivalves ?

Page 24: Caroline Nérot

24Caroline Nérot – 12/2011

Pourquoi ?

Impact des apports continentaux

Costanzo et al. 2001 macroalgues

15N = traceur signal continental même signal dans bivalves ? Quelle échelle spatiale?

Matière organique particulaireEvans et al. 2006

Page 25: Caroline Nérot

25Caroline Nérot – 12/2011

Comment ?

Impact des apports continentaux

130 000 t.an-1

35 055 t.an-1

Moyennes Flux azote

2004, DIREN Bretagne + Guillaud et al. 2008

Comparaison des 15Nbivalve en profondeur et entre les deux transects

Transect sud : Valeurs plus fortes? Emprise plus lointaine?

Page 26: Caroline Nérot

26Caroline Nérot – 12/2011

Impact des apports continentaux

Résultats• 15N : transect Sud

15N bivalves = dilution du signal continental ?

Amande

Pétoncle blanc

C.St-Jacques

Bucarde

Page 27: Caroline Nérot

27Caroline Nérot – 12/2011

Impact des apports continentaux

Résultats• 15N : comparaison transects

15Nbivalves indépendant des apports fluviaux

130 000 t.an-1

35 055 t.an-1

Page 28: Caroline Nérot

28Caroline Nérot – 12/2011

Impact des apports continentaux

Différences entre les espèces

Amande

Pétoncle blanc

C.St-Jacques

Amande

Pétoncle blanc

C.St-Jacques

Ordre des espèces indépendant des apports fluviaux

Page 29: Caroline Nérot

29Caroline Nérot – 12/2011

Impact des apports continentaux

Pas d’impact des apports continentaux sur 15Nbivalves ?• Dilution de l’azote provenant de la Loire - Previmer

Influence Loire au fond = emprise

très côtière

Influence Loire en surface =

emprise sur le plateau

Page 30: Caroline Nérot

30Caroline Nérot – 12/2011

Impact des apports continentaux

Impact des apports continentaux sur 15Nbivalves ?

Apportsnutriments

Phytoplancton côtier

Phytoplancton marinX

Influence limitée à la proximité des estuairesDifférence apports continentaux = échelle plus fine

Page 31: Caroline Nérot

31Caroline Nérot – 12/2011

Questions

Identification des sources trophiques par le 13C ? Impact des apports continentaux à l’échelle du plateau ? Influence du métabolisme des bivalves ?

Page 32: Caroline Nérot

32Caroline Nérot – 12/2011

MOPfond

Influence du métabolisme des bivalves ?

Que montre le 15N ?

Sources

Bivalves

15N

?

- Source particulière ?- Intégration du signal trophique ?

Page 33: Caroline Nérot

33Caroline Nérot – 12/2011

MOPfond

Influence du métabolisme des bivalves ?

Source particulière ?• 13Cbivalves

13Cprofond ≈ consommation de MOP ≈ phytoplancton marin …

Page 34: Caroline Nérot

34Caroline Nérot – 12/2011

Influence du métabolisme des bivalves ?

Source particulière ?• Acides gras Coquille Saint-Jacques

… consommation de phytoplancton marin confirmée par AG

± 60 % AG

RadeLarge

Page 35: Caroline Nérot

35Caroline Nérot – 12/2011

MOPfond

Influence du métabolisme des bivalves ?

Que montre le 15N ?

Sources

Bivalves

15N

?

- Source particulière ?- Intégration du signal trophique ?

X

Page 36: Caroline Nérot

36Caroline Nérot – 12/2011

Influence du métabolisme des bivalves ?

Hypothèse : Métabolisme différent• AG muscles

AGPI (% AG totaux)

0

10

20

30

40

50

60

24 140 190Profondeur (m)

AG majoritaires = polyinsaturés

Profils d’AGmuscle en ACP

Page 37: Caroline Nérot

37Caroline Nérot – 12/2011

Influence du métabolisme des bivalves ?

AG Polyinsaturés = signal physiologique (Cossins et Lee 1985. Bell et al. 1986 )

périodicité

↓Conditions optimales

températurepression lumière sources MO

diversité + quantité

Réponse des coquilles profondes aux conditions environnementales

périodicité

↓Conditions extrêmes

X

Page 38: Caroline Nérot

38Caroline Nérot – 12/2011

Influence du métabolisme des bivalves ?

Quel impact sur incorporation de la nourriture? Temps d’intégration différentsGlande digestive : heures – jours Muscles : mois - saisons

Coquilles profondes : intégration directe de la nourriture dans le muscle

15N influencé par l’état physiologique de l’individu !

Page 39: Caroline Nérot

39Caroline Nérot – 12/2011

Conclusions

Page 40: Caroline Nérot

40Caroline Nérot – 12/2011

Conclusions

Influence des fleuves limitée sur bivalves côtiers13Cbivalves ≠ signal MPBContribution potentielle des macroalgues

Sources phytoplanctoniquesMétabolisme lié aux conditions environnementalesInfluence sur l’assimilation de la matière organique

Bilan des questions abordées

Page 41: Caroline Nérot

41Caroline Nérot – 12/2011

Conclusions

Fonctionnement trophique des écosystèmes côtiers : Bilan issu de la thèse

Page 42: Caroline Nérot

42Caroline Nérot – 12/2011

Conclusions

Invertébrés benthiques et marqueurs trophiques

Glandes digestives : Acides gras / Isotopes stablesVariabilité temporelle

Valeurs / composition des sources

Muscles : Isotopes stablesFractionnement spécifique

Valeurs des sources

Muscles : Isotopes stables+ influence du métabolisme sur

fractionnement

Muscles : Acides grasPeu d’information trophique

État physiologique de l’organisme

Couplage des marqueurs et des tissus nécessaire et pertinentInfluence physiologie Limite spatiale à l’utilisation de ces

outils

Page 43: Caroline Nérot

43Caroline Nérot – 12/2011

Perspectives

Page 44: Caroline Nérot

44Caroline Nérot – 12/2011

Perspectives

Déterminer le fractionnement isotopique• pour chaque espèce• en fonction de la bathymétrie

Ecologie des bivalves • Différences de 13C et 15N entre les espèces

Position substrat + Tri particules+ Fractionnement spécifique

Page 45: Caroline Nérot

45Caroline Nérot – 12/2011

Perspectives

Ecologie des bivalves • Consommation de débris de macroalgues

• Processus d’assimilation

• Influence des macroalguesen dehors des champs ?sur l’écosystème Mer d’Iroise ?

chem.leeds.ac.uk

Page 46: Caroline Nérot

46Caroline Nérot – 12/2011

Perspectives

Physiologie des bivalves • Effets de la profondeur

AG muscles / IS muscles

AG et IS : Marqueurs trophiques marqueurs physiologiquesPlasticité des bivalves dans leur aire de répartition

Bibliographie : Ø

?

•Effets de la pression ?

Page 47: Caroline Nérot

47Caroline Nérot – 12/2011

Perspectives

Fonctionnement trophique des écosystèmes côtiers

• Comparaison de systèmes Schéma global• Approche visuelle• Niveaux trophiques supérieurs• Matière organique : Disponibilité, Qualité trappes

Page 48: Caroline Nérot

Merci à

Yves-Marie • Jacques • Anne • Hervé • Tarik • Doudou K • Nico • Jean-Marie • Martine • Gene • Manon • Stan • Louis • Fred • Laurent C • Hélène • Anne D • Raoul • Alain • Equipages du Côtes de la Manche et du Gwenn Drez • Violette • Nono • Céline • Jo • Carlito • Yann • Flo • Mélou • Fanny • Marie • Rihanna • Oliv • Nath • Jonah • DoudouMatth • Emi • et tous les autres ...

Page 49: Caroline Nérot
Page 50: Caroline Nérot

50Caroline Nérot – 12/2011

Stratégie d’échantillonnage

2008 2009 2010

10 missions : 3 à 10 jours

Prélèvements : bivalves : drague + chalut à panneauxeau : Niskin surface + fondsédiment : benne Van Veen + carottier

1

1

2

2

3

JFMAMJJtASOND

123

Page 51: Caroline Nérot

51Caroline Nérot – 12/2011

Questions

Courbes de régressions d13C d15N

Transect Nord

d13C moyen (o/oo)

-20 -19 -18 -17 -16 -15

d15

N (

o/o

o)

2

4

6

8

10

12

AOd13Cm vs AOd15Nm CSJd13Cm vs CSJd15Nm GLYd13Cm vs GLYd15Nm

Transect Sud

d13C moyen (o/oo)

-19 -18 -17 -16 -15 -14

d15

N (

o/o

o)

2

4

6

8

10

12

AOd13Cm vs AOd15Nm

CSJd13Cm vs CSJd15Nm

GLYd13Cm vs GLYd15Nm

Page 52: Caroline Nérot

52Caroline Nérot – 12/2011

Transect Sud

d13C moyen (o/oo)

-30 -28 -26 -24 -22 -20 -18 -16 -14

d15

N (

o/o

o)

2

4

6

8

10

12

POMd13Cm vs POMd15Nm

SOMd13Cm vs SOMd15Nm

AOd13Cm vs AOd15Nm

CSJd13Cm vs CSJd15Nm

GLYd13Cm vs GLYd15Nm

Questions

diagramme d13C d15N Sources consommateurs

Transect Nord

d13C moyen (o/oo)

-30 -28 -26 -24 -22 -20 -18 -16 -14

d15

N (

o/o

o)

2

4

6

8

10

12

POMd13Cm vs POMd15Nm SOMd13Cm vs SOMd15Nm AOd13Cm vs AOd15Nm CSJd13Cm vs CSJd15Nm GLYd13Cm vs GLYd15Nm

Page 53: Caroline Nérot

53Caroline Nérot – 12/2011

Page 54: Caroline Nérot

54Caroline Nérot – 12/2011

Questions

C/N POM et SOM

Page 55: Caroline Nérot

55Caroline Nérot – 12/2011

Questions

Lehmann et al 2002 : expériences incubations MO Chen et al 2008

Bactérie riche en 13C dans sédiment, mais bactéries fabrique matièr13C riche et 13C pauvre. Biodegradation décompose composés 13C riche d13C de la MO restante ~ d13C sédimentSédiment valeurs plus faibles que MOPsédiment

d13C (-1.5‰) d15N (-1.2‰)

Page 56: Caroline Nérot

56Caroline Nérot – 12/2011

Questions

Fractionnement moyen = approximation• Mill et al 2007 : modèle qui détermine d15N en fonction

de ‘feeding rates’, ‘excretion rates’ et ‘diet quality’. Trois poissons coraux herbivores. Fractionnement mesurés : 4.47 ‰ à 5.25 ‰. fractionnements modélisés : 4.30‰ à 5.68 ‰.

• Perga et Grey 2010 : commentaires sur papier qui calcule fractionnement nourriture – rats très élevés : artefact des valeurs de nourriture utilisée

Page 57: Caroline Nérot

57Caroline Nérot – 12/2011

Questions

Comparaison résultats analyses isotopiques / acides gras

Comparaison des espèces sur 2 radiales

Page 58: Caroline Nérot

58Caroline Nérot – 12/2011

Questions

Comparaison fonctionnement trophique zones côtières atlantiques par mêmes approches

Page 59: Caroline Nérot

59Caroline Nérot – 12/2011

Questions

Descriptif des différents comportements alimentaires et physiologique

• À la base, on cherche à montrer que bivalves filteurs sont outils intégrateurs côtier + large.

• Les différences entre espèces ont montré qu’il est important de connaître leur comportement et leur physiologie AVANT de pouvoir les utiliser comme outils = calibration

• Or, tout n’est pas disponible sur les bivalves qu’on a utilisé

Page 60: Caroline Nérot

60Caroline Nérot – 12/2011

Questions

Dans présentation transect : manque éléments sur sources de matière organique et end-members

Page 61: Caroline Nérot

61Caroline Nérot – 12/2011

Questions

Relation entre disponibilité d’un nutriment et le fractionnement isotopique associée : lié à mécanismes physiologiques mais sans lien avec conditions environnementales