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CAPTURE Revue de Presse

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Revue de Presse / Press Release

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Table des matières  

Revue de Presse Papier

Le Journal 24 Janvier 2014

Les Inrocks Hors-Série Décembre 2013

L’Est Républicain 09 Novembre 2013

L’Est Républicain 18 Mai 2013

Les Inrocks 6 Mars 2013

L’Est Républicain 19 Octobre 2012

Revue de Presse Web Novaplanet 23 Janvier 2014

My Band Market 13 Janvier 2014

Sound Drivin 14 Décembre 2013

Les Inrocks 13 Décembre 2013

Hipster Tribe 10 Décembre 2013

Paulette 6 Décembre 2013

Goute Mes Disques 18 Novembre 2013

La Boite à Musique Indée 12 Novembre 2013

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Efflorescence Culturelle 5 Novembre 2013

Froggy’s Delight 3 Novembre 2013

Luxuriant Novembre 2013

Les Inrocks 31 Octobre 2013

Le Sound Drivin 28 Octobre 2013

Amalgame Musical 27 Octobre 2013

Too Many Lambda 22 Octobre 2013

Uncle Sound 21 Octobre 2013

Electrophone Fajet Blog 21 Octobre 2013

Les Inrocks 11 Octobre 2013

Désimposture 10 Octobre 2013

Indie Music 10 Octobre 2013

Happy Horrors Octobre 2013

Happy Horrors Octobre 2013

Le Sound Drivin 14 Septembre 2013

Magazine Karma 9 Juillet 2013

Les Inrocks 27 Avril 2013

Brain 20 Avril 2013

Dum Dum 10 Avril 2013

Magazine Karma Avril 2013

Das Kuma 20 Mars 2013

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Too Many Lambda 12 Mars 2013

Zut 11 Mars 2013

Happy Horrors 11 Mars 2013

La Boite à Musique 9 Mars 2013

Magazine Karma 1er Mars 2013

Records Are Better Than People Février 2013

Froggy’s Delight Février 2013

Das Kuma 23 Janvier 2013

La Plume Culturelle 3 Décembre 2012

Désimposture 7 Novembre 2012

Indie Music 27 Octobre 2012

Exipop 22 Octobre 2012

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Revue de Presse Radio / TV

Le Mouv

29 Janvier 2014

Ouï Fm

17 Janvier 2014

France 3 Région Lorraine

19 Décembre 2013

Le Mouv

12 Novembre 2013

RCN

4 Novembre 2013

Radio Fajet

22 Octobre 2013

France 3 Région Lorraine

22 Octobre 2013

Mirabelle TV

21 Octobre 2013

Radio Campus Lille 29 Avril 2013

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LE JOURNAL 24 Janvier 2014

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Décembre 2013  

HORS  SÉRIE  

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                  9 Novembre 2013

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Avril 2013    

     

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18 Mai 2013

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6 Mars 2013

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19 Octobre 2012 http://www.estrepublicain.fr/loisirs/2012/10/19/alexandre

Quel Armstrong êtes-vous ? Alexandre. « Neil, l’astronaute, pour son côté pionnier, précurseur ! »  

Alexandre de « Capture »

Ils se connaissent depuis le lycée, sont aujourd’hui étudiants (anglais, culture et com’, sociologie, soins infirmiers) mais espèrent beaucoup de « Capture ». Dans la vie, comme dans la musique, Alexandre et ses trois amis sont un peu les frères siamois de The Aerial, autre groupe nancéien qui a bénéficié d’un joli coup de projecteur cette année. « Capture » a été finaliste du Tremplin musical en Lorraine de la Mutualité française, c’est à cette occasion-là, que « Tito » Antoine, le président du NJP et membre du jury ce jour-là, l’a repéré pour l’édition 2012.

Entre Neil Armstrong, Lance Armstrong et Louis Armstrong (dont le sourire a inspiré l’affiche de NJP), de qui vous sentez-vous le plus proche ?Je dirais Neil, pour son côté ‘’pionnier’’, précurseur. Le fait de toujours vouloir aller plus loin, de découvrir de nouvelles choses. C’est aussi ce qui nous éclate dans la musique : aller vers des choses qui n’ont pas encore été faites…

Préférez-vous l’ombre ou la lumière ? L’ombre. Car j’aime dans la musique beaucoup plus le côté froid… Le côté super-joyeux des Beatles – ils ont beau être considérés comme des génies – ne me touche pas, c’est trop gai ! Je préfère de loin Joy Division pour ce côté mélancolique, sombre. Au niveau de nos structures de chanson, on essaie d’osciller entre les deux, ombre et lumière.

Quel est votre dopant pour être performant sur scène ? Le public. Quand tu jettes un œil par la fenêtre en arrivant à un concert, et que tu voies déjà du monde… C’est un petit truc qui fait monter incontestablement ta motivation à monter sur scène.

Qu’est-ce qui vous donne le sourire (à la Louis Armstrong) tous les matins ? De me dire qu’il se passe pas mal de choses, musicalement, en ce moment pour nous. C’est mon ‘’soleil’’ à moi. De sentir que notre projet avance, sans vraiment savoir où l’on va aller ! Et de se lever pour un concert plutôt que d’aller à la fac…

Propos recueillis par Xavier FRERE

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Revue de Presse Web

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23 Janvier 2014

http://www.novaplanet.com/novamag/26189/esprit-musique-les-jeunes-talents-de-2014

Esprit Musique : Les jeunes talents de 2014 Faites votre choix parmi les jeunes pousses françaises!

La fin des votes pour le Concours Jeunes Talents 2014 de la Caisse d'Epargne : Esprit Musique approche! Et la cuvée 2014 est de fort bonne facture, vous pouvez faire votre choix parmi un nombre important d'artistes à travers toute la France.

Pour ceux qui viendraient seulement de monter à bord de cette épopée musicale, Concours Jeunes Talents 2014 de la Caisse d'Epargne : Esprit Musique, qui n'en est pas à sa première édition, réunit chaque année un large panel du paysage musical français en se donnant pour mission de leur donner un coup de pouce et de leur faire acceder à une série d'avantages, qui pour beaucoup de petites formations, ne relèvent que du fantasme.

Chacun de ces artistes ou groupe a été sélectionné et mis en avant par des scènes en régions, partenaires de la Caisse d'Epargne afin de représenter une région sur la carte de france des formations musicales prometteuses. Cette carte de france vous pouvez la retrouver ici, afin de naviguer aussi bien géographiquement que sur les rythmes des différents groupes retenus pour ce concours.

A l'issue de ces écoutes vous pouvez vous impliquer dans ce tremplin, puisque ce sont vos votes qui détermineront qui seront les shorlistés de ce concours, vos oreilles et vos clics ont donc de la valeur pour ces jeunes musiciens qui voient dans ce tremplin un moyen d'atteindre leur rêve.

Toutefois ne nous voilons pas la face, le choix est très large, aussi, tout en vous laissant un choix total conçernant votre vote, nous vous avons sélectionné sept de nos préférences dans ce concours, que nous vous présentons ci dessous.

Capture

Capture, vient de Nancy et se positionne résolument comme un groupe indie, à la Editors ou encore Interpol avec pourtant une vraie inspiration anglaise. Cette recette d'une voix grave mis en apensanteur par les percus et ces riffs presques coldwaves fonctionne à merveille.

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13 Janvier 2014

http://mybandmarket.com/blog/2014/01/les-100-artistes-groupes-emergents-a-suivre-pour-2014-en-france/ Les 100 artistes français émergents à suivre en 2014 Claire Adamski Le 13 janvier 2014

Tout au long de l’année, les rédacteurs de MyBandNews vous ont rabattu les oreilles avec les artistes à suivre. À la frontière du radotage, ils vous ont harcelé, épuisé mentalement… Malheureusement pour vous, une nouvelle année commence, et reprenant vaillamment le flambeau du harcèlement, nous voilà à vous retracer l’historique des artistes émergents de notre si belle France à ne pas rater cette année. Pas évident de retrouver tous les artistes français qui ont pointé le bout de leur nez en 2013 : entre ceux qui se sont vraiment fait connaître grâce à un festival ou ceux sur qui nous sommes tombés par hasard, le fossé est profond, ce qui explique les si grands écarts de notoriété entre les différents artistes. Ces nouvelles têtes de l’an dernier sont donc à suivre et à soutenir pour les années à venir ! On en a retenu 100. C’est beaucoup nous direz-vous, mais pour les mélomanes avertis, beaucoup de noms vous parleront dans ce classement. On espère tout de même vous faire découvrir de petites pépites, et il y en a ! Les critères de recherche correspondent à la trame musicale de MBN : les artistes mentionnés ci-dessous sont classés selon 3 genres musicaux, à savoir la pop (sous tous ses aspects : pop électronique, pop indie, pop-rock, pop alternative, pop hybride et synthpop), le rock (rock indie, rock électro, psych rock) et la folk. Une province de plus en plus présente L’intérêt est de situer les lieux de provenance de ces 100 nouvelles plumes, et de les retranscrire sur une carte (à consulter et à agrandir ci-dessous) : les différents marqueurs correspondent aux genres musicaux (les ronds jaunes pour la pop, les étoiles violettes pour le rock et les losanges bleus pour la folk). Cette carte permet de traduire différents éléments… Pour une meilleure répartition sur le territoire, nous avons tenu compte des lieux de provenance, et non pas des lieux où les artistes enregistrent. Malgré cette précaution, on peut d’abord constater le rayonnement de Paris dans l’émergence des nouvelles têtes musicales françaises. 35% des jeunes artistes proviennent de la capitale, et seulement 8% proviennent de la seconde ville la plus représentée, à savoir Bordeaux.

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C’est donc à un éclatement géographique que nous sommes confrontés dès lors qu’on sort des murs de la capitale. Cependant, proportionnellement à la population, on peut voir que certaines villes comme Bordeaux ou Lyon commencent à faire leur place. La province sort donc la tête de l’eau, là où Paris semblait inévitable pour réussir musicalement. La pop : grande gagnante de 2014 Un autre fait marquant au travers de cette carte est la large prédominance de la pop sur les autres genres musicaux, celle-ci s’octroyant 72% de la scène émergente, ne laissant que 21% de la scène au rock et 7% à la folk. Il ne faut bien entendu pas oublier que ces artistes émergents ont plus ou moins de succès : certains ont déjà enflammé les scènes de grands festivals tandis que d’autres sortent à peine la tête de l’eau. Toujours est-il que ces nouvelles recrues sont prometteuses, même si tout juste sorties du cocon. Les inRocks Lab, Ricard SA Live Music, Esprit Musique, ou encore l’EuroMusic Contest sont autant de tremplins qui permettent de les mettre en avant dans les médias. Voici ci-dessous une vision globale des « likes » facebookiens qui soutiennent nos jeunes poulains. Variant de 18 535 fans pour Juveniles à 184 fans pour Coco Grrrls, nos jeunes pousses font de la France un pays bien fertile. Fertile, certes, mais pas de piètre qualité ! Chaque artiste a su affirmer sa patte à sa manière, et c’est cette diversité d’influences et d’inspirations qui en font des artistes très prometteurs. Si vous n’en avez donc pas encore entendu parler, c’est le moment de vous y mettre et de découvrir ces nouveaux talents, qu’il vous faut suivre avec abnégation !

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14 Décembre 2013

http://lesoundrivin.com/2013/12/14/clip-capture-the-weight-of-the-skin/ Clip ] Capture – The Weight Of The Skin Publié le 14/12/2013 | Par Seb - TR-909 | Pop, Tous-les-articles, Video Clip Une nouvelle occasion de parler de ce quatuor nancéien qui poursuit son petit bonhomme de chemin depuis la sortie de son Ep “Communion” (en écoute ici). Découvrons cette vidéo dans laquelle nous retrouvons aux manettes le collectif Bichon & Bichon qui a collaboré avec Paulette Magazine et WAD entres autres. Un très beau clip qui colle bien au titre “The Weight Of The Skin”.

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13 Décembre 2013

http://www.lesinrocks.com/2013/12/10/musique/les-10-clips-semaine-154-11451499/#.UqgsHqOMBLQ.facebook Les 10 Clips de la Semaine Fauve est dans la neige, Lorde dans le futur et Daft Punk on ne sait pas trop. Et sinon, il y a un astronaute, Bruxelles, un catcheur et des motos dans les 10 clips de la semaine.

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10 Décembre 2013 http://www.hipster-tribe.com/2013/12/10/capture-devoile-son-nouveau-clip-the-weight-of-the-skin/ "The Weight Of The Skin", estampillé Capture a été réalisé par Adrien Le Cavil et ce, sous la direction artistique du collectif Bichon + Bichon. Un nouveau clip succédant ainsi à "Looking For God" pour un groupe nancéien qui vit le jour en deux-mille onze. Dinh Alexandre Phan, Ophélie Grosjean, Amin Raffed et Florent Villeval constituent donc ce jeune groupe de pop indé en devenir. Pour la faire courte, si la musique est bien le lubrifiant de ton esprit, imprègne toi de ces sonorités. 6 Décembre 2013

http://www.paulette-magazine.com/fr/buzzettes/article/le-clip-du-jour-the-weight-of-the-skin-de-capture/3881  

LE CLIP DU JOUR : THE WEIGHT OF THE SKIN, DE CAPTURE 6 décembre 2013

Suite à leur premier EP remarqué, une place en demie-finale des Inrocks Lab, et une série de concerts aux côtés notamment de BRNS, Juveniles, Sébastien Tellier, Breton, ou encore pour notre soirée Paulette For rêveurs au Raffut, à Strasbourg, CAPTURE revient avec "Communion". Le clip pour "The Weight Of The Skin" a été réalisé par Adrien Le Cavil sous la direction artistique du collectif Bichon + Bichon (qu'on adore tout particulièrement à la rédac' et qui ont déjà collaboré pour Paulette).

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18 Novembre 2013 http://www.goutemesdisques.com/dossiers/id/jeunes-pousses-vol-11/ Compilation Jeunes Pousses Vol.11 Pour établir ce onzième volume de nos compilations Jeunes Pousses, nous nous sommes naturellement lancés dans une série de débats et d’échanges : parmi les dizaines de pépites méconnues lancées sur la table, nous en avons retenu quinze qui nous semblent susceptibles d’illuminer les soirées d’un hiver qui s’annonce franchement pénible. Au final, ça nous confronte à des titres carrément antithétiques au climat ambiant et qui évoqueront plus volontiers la fraîcheur insouciante de l’été défunt — des hypnotiques Glass Figure aux brillants Kid Wise, en passant par les dansants Last Lynx —, mais aussi à une sélection “de saison”, mâtinée d’envolées délicates avec Barbarossa, du folk d’âtre de Lily & Madeleine, de la chaleur PJ Harvéenne de Nadine Shah et de guitares revigorantes d’I Is Another. Comme d’habitude, on a essayé d’être cosmopolites, en piochant du côté de nos terres franco-belges (avec Capture, Two Kids on Holiday et Paon, parmi d’autres), mais aussi d’aller voir un peu plus loin, y compris là où rien a priori ne semble se passer (comme au Pays de Galles, qui nous offre la belle surprise des Catfish and the Bottlemen). On espère que le tout vous plaira autant qu’à nous, et qu’il sera digne de bercer votre période d’hibernation.

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12 Novembre 2013

http://www.laboiteamusiqueinde.com/gagnez-le-nouvel-ep-de-capture/ Gagnez le nouvel EP de Capture Actualités / 12 novembre 2013 Dans le monde de l’indie pop, il faut maintenant compter sur Capture, jeune groupe Nancéen fondé il y a deux ans. Communion est leur deuxième EP, soufflant le froid de la coldwave british et le chaud d’une rythmique bondissante, voire même vrombissante accompagné de refrains chantés le cœur battant. Le groupe déploie une énergie juvénile et salvatrice pour porter des titres froids mais beaux, sombres mais enthousiastes. Capture fait preuve d’une belle et sincère maîtrise sur ce nouvel EP avec un juste dosage entre mélodies fédératrices et un sens de l’énergie impeccable voir même dansant, à l’écoute des rythme des chansons de ce nouvel EP. Rappelant à juste titre des groupes tels que les Foals, The XX, Vampire Weekend ou encore Bombay Bicycle Club. Un bel avenir s’offre au groupe. La Boîte à Musique Indé vous offre la possibilité de gagner l’un de ses EP ! Pour participer, rien de plus simple, il suffit simplement de suivre les étapes ci-dessous pour participer et peut-être devenir l’un des heureux gagnants : 1) Aimez la page Facebook du site 2) Envoyez-nous votre nom, prénom et adresse par mail

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5 Novembre 2013

http://efflorescenceculturelle.wordpress.com/2013/11/05/capture-un-chant-de-communion/

Capture : un chant de Communion

5 novembre 2013 par Charlotte

Dignes héritiers de la coldwave, aux sonorités enlevées rappelant Foals, les White Lies, ou même Bloc Party, Capture, avec son second EP qui fait suite au très bon Where We All Belong, est bien parti pour assurer la relève du rock-indé de notre bon pays. En mars dernier déjà, ils nous avaient présenté Looking For Gold, un titre entraînant qui annonçait leur excellent EP :

Capture confirme donc son talent avec Communion, sorti le 21 octobre dernier : ses morceaux variés en font une œuvre éclectique mais cependant muée d’une belle unité, son titre en étant la parfaite illustration.

A travers Communion, les Nancéiens imposent leur marque et créent un EP taillé pour le live et la réussite : dès les premières notes de Scala, mené par une basse au riff hypnotique, on se sent l’envie de s’enfuir en ballade sautillante dans la campagne automnale, et de danser de façon étrange dans un champ de blé dur. Avec Communion et ses airs mystiques, c’est davantage la profondeur et la spiritualité du titre qui nous touchent, relevé par son air aérien et sa batterie aux accents de cœur battant; c’est un morceau tout en harmonie qui s’offre à nous.

De même, le très convaincant The Weight Of The Skin, teinté d’une once de Two Door Cinema Club et agité de chœurs entraînants, participe dans une joyeuse douceur à la qualité de Communion.

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Le quatuor nancéien trace sa route sereinement, et participera notamment au festival les Inrocks le 9 novembre prochain. Un groupe à suivre de près, et à ne pas lâcher !

Vous voulez voir ce que leur nouvel album donne en live ? On vous offre 2 places pour assister à leur concert du 14 novembre à Poitiers au Confort Moderne (avec en première partie Juveniles). Pour cela, il suffit de laisser votre NOM+PRENOM "CAPTURE/CONFORT MODERNE 14/11″ à l’adresse mail suivante: [email protected]. Le tirage au sort tirage au sort sera organisé le mardi 12 novembre. Les résultats seront partagés sur la page Facebook du site, n’hésitez pas à la suivre pour connaitre les résultats.

3 Novembre 2013

www.froggydelight.com/article-14049-Capture.html Capture Communion EP (Autoproduit) octobre 2013 Dans le monde de l’indie pop, il y a ceux qui poursuivent une ligne claire (comme Aline, Pendentif, Marc Desse…) et ceux qui se nourrissent de lignes bombées (voire même Bombay). Capture, jeune groupe Nancéen fondé il y a deux ans, est de ceux-là. Communion, leur deuxième EP, souffle le froid de la colwave british, et le chaud d’une rythmique bondissante, voire même vrombissante, et de refrains chantés le cœur battant. Le groupe déploie une énergie juvénile et salvatrice pour porter des titres froids mais beaux, sombres mais enthousiastes. Si la valeur n’attend pas le nombre des années, on peut dire que les membres de Capture sont des âmes bien nées, tant le groupe fait preuve d’une belle et sincère maîtrise dans le juste dosage entre mélodies fédératrices et sens de l'énergie et du rythme dansant, améliorant encore l’équation présente dans Where We All Belong et rappelant des groupes comme Foals, Interpol, The XX ou donc Bombay Bicycle Club. Je ne vous parle même pas de cette façon (nouvelle) de jouer avec les émotions. Gageons un bel avenir à ces quatre là (3 garçons et une sorte de Moe Tucker).

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Novembre 2013

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31 Octobre 2013

http://www.lesinrocks.com/lesinrockslab/news/2013/10/selection-lab-concerts-pas-louper-en-novembre/

Les 15 concerts à ne pas louper en novembre 31/10/2013 | 18h26

Petit tour d’horizon des futures performances de nos chouchous du lab. De Clermont à Strabsourg en passant par la capitale, voilà ce qu’il faudra retenir du frileux mois de novembre.

01/11 : Wolves & Moons / Erevan Tusk / Clockwork Of The Moon @ Amiens

C’est tout en douceur que les Wolves & Moons partageront leur pop folk radieuse à La Lune des Pirates. La formation, qui vagabonde des deux côtés de la Manche depuis plusieurs années est à découvrir et surtout écouter.

02/11 : Cargo + Noir Cœur @ Bordeaux

Alors que Noir Cœur et Cargo se remixent mutuellement depuis plusieurs mois, il est on ne peut plus normal de les retrouver au sein d’une même date. Au Chicho qui plus est, la cave la plus chaleureuse de tout Bordeaux.

06/11 : Les iNOUïS en concert au FGO Barbara @ Paris

Tenteront cette année de gagner leur place pour le festival du Printemps de Bourges, Okay Monday, Darko et les Popopopops. Autant dire qu’il y aura du niveau au FGO Barbara le 6 novembre prochain.

08/11 : Les Curiosités Vol.16 w/ Skip&Die / Murkage / Le Vasco / Guachafita @ Toulouse

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Mélanger talents émergents et groupes confirmés dans une même soirée pour la modique somme de 5 euros : le bon fonctionnement des soirées Curiosités du Bikini n’est plus à prouver. Comme si ça ne suffisait pas, l’entrée est gratuite pour les adhérents, alors là…

08/11 : Dorian and The Dawn Riders @ Bordeaux

Le jeune loup solitaire n’en finit plus de nous surprendre. Multi instrumentaliste et également compositeur, Dorian délivre une musique aérienne et posée dans la mouvance des anglais de The XX. Enivrement prévu le 8 novembre dans la petite cave du Chicho.

08/11 : Orval Carlos Sibelius @ Strasbourg

Venez savourez les envolées psychédéliques des jeunes mais déjà brillants Orval Carlos Sibelius. Super Forma, premier album hautement approuvé par la critique sera à découvrir en live sur la scène du Club Laiterie.

09/11 : Beautés Soniques w/ Petite Noir / Moodoïd / Alaska Alaska @ Namur

Autre évènement à ne pas manquer au Grand Manège ce coup-ci, la pop futuriste du génial Petite Noir mêlée aux paillettes de Pablo Padovani AKA Moodoïd. Ne passez pas à côté des géniaux De Folie Pure ou encore Je Suis la Montagne.

15/11 : Jamaican Queens / Caandides @ Paris

Prônant une “weird pop”, les Caandides forts de leur notoriété croissante, partageront la scène avec les américain de Jamaican Queens. Autre information et pas des moindres : l’Espace B offre une compilation et c’est à télécharger ici.

15/11 : Capture / 4NAPSES @ Clermont-Ferrand

Les choses vont plutôt bien pour Capture : c’est qu’entre un nouvel EP fraichement paru plus une programmation au festival des inRocKs, la formation de Nancy risque de faire encore beaucoup de bruits, et c’est tant mieux. Concert au Baraka.

18/11 : Soirée Klaxon w/ Pethrol / Juniore / Nicolas Michaux @ Paris

De passage aux Trois Baudets, Juniore est dans le viseur du lab depuis la rentrée. Le lien peut paraitre facile mais comment penser autrement : les ballades seventies renvoies directement aux années phares de la carrière de la belle Françoise Hardy, chose qui n’est pas sans nous plaire.

20/11 : Pendentif / O Safari / Hexagone @ Lyon

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La Boîte à Musiques Indé réunit à La Marquise deux poids lourds de la scène émergente francophone. Entre les Bordelais de Pendentif et les Rennais de O Safari, les chants écrits dans la langue de Molière seront à l’honneur.

20/11 : Robi / Fiodor Dream Dog @ Paris

Quelle meilleure présentation que ce commentaire Youtube : “Robi c’est du délice pour les esgourdes, du son envoûtant, de la voix envoûtante et des mots tout autant envoûtants. Et sur scène c’est du bonheur foudroyant, ça prend aux tripes et ça ne vous lâche plus. On ne meurt plus. Merci Robi !“. Concert au Nouveau Casino.

22/11 : Griefjoy / Alpes @ Paris

Une date 100% inRocKs lab entre Griefjoy, anciens lauréats de l’édition printemps 2009 du CQFD et Alpes jeune poulain du laboratoire des découvertes. Les deux formations toutes deux Niçoises se recroiseront le 22 à La Maroquinerie.

28/11 : Festival Vie Sauvage (Collection Hiver) w/ Petit Fantôme / Apes And Horses / +Dj Sets @ Bordeaux

Le crew bordelais Petit Fantôme/François and the Atlas Mountain/Crâne Angels/Botibol n’arrête pas de faire parler de lui. Et plus dernièrement c’est le premier de la liste qui attire toutes les attentions, notamment avec la récente sortie du somptueux Teahupoo. Rendez-vous à l’I.BOAT.

29/11 : Divine Paiste / Future Dust / Awonk/Goldigger @ Cholet

Petit rappel, le quatuor de Tours – non content d’avoir pondu un premier album génial – a également réalisé un moyen métrage pour accompagner tous les titres de Crystal Waves on a Frozen Lake. Le résultat est saisissant. Concert à Le Bar Ouf.

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28 Octobre 2013

http://lesoundrivin.com/2013/10/28/stream-ep-capture-communion/ [ Stream Ep ] Capture – Communion Publié le 28/10/2013 | Par Seb - TR-909 | Pop

Nous vous parlions début septembre (remember) de ce quatuor Nancéien fondé en 2011 et son crowdfunding autour de leur projet d’Ep. Et bien, le voici tout fraichement sorti le 21 Octobre dernier.

‘Communion’ se compose de 4 titres et confirme tout le bien que nous pensions d’eux après l’écoute de ‘Looking for gold’. Une bien belle découverte et surtout un groupe à suivre.

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27 Octobre 2013

https://sites.google.com/site/amalgamemusical/interview-musicale

Interview Musicale

Deux opus, un clip et quelques dates, on peut déjà dire que Capture a fait un bon bout de chemin. Repéré par de nombreux médias tels que les blogs, magazines ou journaux, à l'échelle régionale ou nationale, ce jeune groupe tout droit venu de Nancy nous présentait le 21 octobre dernier son nouvel EP "Communion". Bien loin d'imaginer cette notoriété qui grandit jour après jour, Dinh Alexandre, Amin, Ophélie et Florent reviennent pour nous sur l'histoire et l'évolution de Capture, ce groupe monté " juste pour ne pas s’ennuyer le dimanche aprem" !

Bonjour, tout d’abord, c’est un rituel ici, pouvez-vous vous présenter pour ceux qui ne vous connaissent pas encore ? Hello, on est Capture ! Un groupe d’indie-pop de Nancy, on est trois garçons et une fille à la batterie. Mais vous pouvez en voir plus là : https://www.facebook.com/WeAreCapture Racontez-nous un peu le commencement de votre aventure musicale ! (Comment vous êtes-vous rencontrés ?, depuis quand jouez-vous ensemble ?, qu’est-ce qui vous a donné envie de monter ce projet musical ?, etc…) On a commencé au printemps 2011 avec Flo, Amin et Jeff notre batteur à l’époque. On a pris beaucoup de temps à composer et sortir nos premières démos. On a fait nos premiers concerts sur Nancy et puis Ophélie nous a rejoint en août 2012. On avait tous des petits groupe de lycée à l’époque (souvent pas très glorieux..), on a monté Capture sans prétention aucune, juste pour ne pas s’ennuyer le dimanche aprem. Vous souvenez-vous, les uns comme les autres, de vos premiers rapports avec la musique ? Pour ma part, on m’a offert un cd-single « Wasn’t me » de Shaggy quand j’étais en primaire. Et puis j’ai vraiment commencé à écouter de la musique avec des groupes de pop-punk comme Blink 182 ou Millencolin. Ça devait être dans mes premières années de collège, et puis j’ai supplié mes parents pour qu’ils m’achètent une guitare. Quelles sont vos influences et références musicales ? On est très éclectiques dans ce que l’on écoute. Bien sûr on a tous en commun l’indie pop/rock, des groupes comme Bombay Bicycle Club, Interpol, Post War Years. Mais à côté on écoute énormément de Hip-hop, de musiques électroniques et même de punk hardcore Pour vous que doit procurer la musique ?

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C’est très subjectif. La musique doit d’abord procurer des choses à celui qui la fait, ça doit être quelque chose de sincère. Qu’elle touche ou procure des choses à ceux qui l’écoutent c’est tant mieux. C’est ce que vous essayez de faire passer à travers la vôtre ? Chaque chanson fixe un moment précis de ta vie. Ça raconte un truc du moment, et donc forcément ça dépend de ton humeur, de ce que tu vis au moment ou tu l’écris. Quand on compose, on ne sait jamais vraiment ce que l’on va faire. On ne se dit pas « tiens il faudrait une chanson pour danser ou une chanson calme ». C’est important de se laisser emporter par le moment, ça donne quelque chose de spontané et de vrai. D’ailleurs, comment abordez-vous la composition dans votre groupe ? Accordez-vous plus d’importance à la mélodie plutôt qu’aux textes, ou les deux sont aussi importants pour vous ? On fonctionne toujours à quatre, après c’est moi qui écris les textes. On veut qu’à chaque fois que l’on joue une chanson, tout le monde s’y retrouve et ressente des choses. Si ça ne plaît pas à l’un, ça dessert le groupe, l’énergie commune. On compose d’abord la musique, mais les textes restent importants. En France la plupart des gens ne font pas attention aux textes en anglais, ils se focalisent seulement sur les mélodies de chant. Moi j’y porte beaucoup d’attention, il faut que les mots que tu mets sur ta musique aient un sens, racontent de belles choses. Nous avons l’impression que vous accordé également une certaine importance visuel à votre projet comme nous le montre votre clip « Looking for Gold » ou encore vos pochettes, pourquoi cela ?

On laisse tout l’aspect visuel (graphisme et clip) à un super ami à nous, Anton Gret. Il a toujours eu de belles idées pour mettre notre musique en image. On aime fonctionner par collaboration, on fait de la musique, on est pas graphistes ou cinéastes, on se verrait mal passer commande et diriger les personnes avec qui on travaille. On a un nouveau projet de clip avec le collectif Bichon+Bichon, et on fonctionne toujours de la même façon, on leur laisse carte blanche.

Vous avez sorti il y a un peu plus d’un an votre premier EP « Where we all belong ». Et, plus récemment, grâce aux internautes, le 21 octobre, votre nouvel EP « Communion» est arrivé sur la toile. Pouvez-vous nous en parler, nous le présenter ? (Comment s’est passé la production ? Qu’est-ce qui a changé/évolué ? Les objectifs que vous aviez fixés (si tel est le cas) sont-ils atteints ? Etc..) Communion pour nous est un EP plus mature en terme de composition et de production. Les chansons sont assez variées. Par exemple Scala est tribale, sauvage et colorée, tandis que Communion est religieuse et a beaucoup plus de profondeur. C’est la troisième fois que l’on va en studio, en on en apprend plus à chaque fois. L’été dernier quand on a commencé à y travailler, on avait déjà une idée plus précise de ce que l’on voulait, on était plus sûr de là où on allait. Pour la première fois, on a voulu travailler avec un producteur, Karim Aissaoui qui a déjà collaboré avec Chapelier Fou et The Aerial. C’était très intéressant d’avoir cette oreille extérieure, Karim a aussi ce savoir-faire et ses idées de prod. Il a fait un travail incroyable, on a beaucoup appris de lui. Vous faites partis des groupes incontournables de cette année 2013, une impression sur cette notoriété grandissante ? Bien sûr on mesure toute la chance d’avoir pu bénéficier de cette exposition nationale, avec tous les blogs, les Inrocks, les médias régionaux et nationaux qui nous ont soutenu. On ne court pas après cette notoriété, on fait ce qui nous plaît et c’est le plus important.

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Avez-vous des projets pour l’avenir (albums, tournée, etc..) ? On a pas mal de dates prévues pour Octobre – Novembre. Des petites tournées, les premières pour nous. On va faire un bout de chemin à travers la France, à Strasbourg, Poitiers, Brest ou encore Lyon et je sens qu’on va bien s’amuser ! Le clip de The Weight of the Skin est aussi en cours de tournage avec Bichon + Bichon, ça devrait arriver le mois prochain. Que peut-on vous souhaiter pour la suite ? Des belles dates, des minibus qui ne tombent pas en panne, des cordes de guitare qui ne cassent pas, et SURTOUT des super caterings partout en France ! Un dernier mot ? Merci Amalgame pour votre soutient. J’espère que Communion vous plaira. On espère voir vos petites têtes sur les concerts !

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22 Octobre 2013

http://www.toomanylambda.fr/BLOG/2013/capture-communion-ep/

CAPTURE – COMMUNION EP

Posted by Mina oct - 22 - 2013

Ils ont attendu sagement la fin de l’été indien pour sortir leur nouvel EP. Les nancéens de Capture ont dévoilé hier Communion, mini album composé de 4 titres, dont le déjà connu ‘Looking For Gold’. Contente de les retrouver et de constater que leur indie pop a évolué, devenue beaucoup plus étoffée. Bref, Capture a su s’imposer, traversant les frontières de leur petite Lorraine natale.

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21 Octobre 2013

http://unclesound.fr/capture-communion-ep/

Capture – Communion EP 21/10/2013 by unclesound

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21 Octobre 2013

http://electrophone-fajet.blogspot.fr/2013/10/capture-communion-ep.html

Chronique : Capture - Communion EP

Capture - Communion S'il y a bien une chose que possède Capture c'est une certaine facilité à apprendre. A peine deux EP pour le jeune quatuor Nancéen et déjà le groupe semble avoir trouvé la recette pour proposer une musique efficace aux mélodies fortement attractives. Bénéficiant d'un véritable travail de production, "Communion" c'est 4 titres appliqués et subtils montrant une facette plus posée du groupe. On aime le coté froid porté par des nappes de synthés enivrantes sur "Communion". "The weight of the skin" et "Looking for gold" n'ont pas à rougir face à la coldwave anglo saxonne chère à Foals. "Scala", titre de clôture aux guitares aiguisées et à la rythmique légèrement tribale, démontre une vraie maîtrise dans l'art du songwriting. Une nouvelle fois, Capture confirme tout le bien qu'on pouvait attendre d'eux. Le groupe a grandi et s'est bonifié. Une chose est sûre, désormais, il va falloir compter sur eux. O.

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20 Octobre 2013

http://desimposture.com/2013/10/20/capture-interview-communion-ep/

Capture : « une nouvelle étape dans l’évolution du groupe »

Les fidèles de Désimposture commence à connaître Capture, débarqué sur le site à l’automne de l’année dernière pour Where we all Belong. Aujourd’hui, le quatuor nancéiens a bien grandi et sort demain son deuxième Ep, Communion. La rédaction a posé trois questions à Capture pour tout comprendre.

Capture. Vous sortez Communion, votre deuxième EP. Après l’opération séduction du premier EP, pour vous faire découvrir du public, place à la confirmation de votre talent ? Communion est une nouvelle étape dans l’évolution du groupe. C’est un souffle d’air frais parce qu’on a passé toute une année à défendre Where We all Belong, notre premier EP, et à jouer toujours les mêmes morceaux : alors ça fait du bien de toucher du neuf. Mais on ne cherche pas pour autant à montrer ou à confirmer quoi que ce soit. On essaye simplement de faire ce qui nous plaît en ce moment. Quand on compose, on ne cherche pas à faire des tubes : on veut juste que ça sonne et qu’on ressente un truc quand on les joue. Après si le public adhère, tant mieux pour nous. On a eu la chance d’avoir jusqu’ici une belle exposition dans les médias, les festivals, de belles premières parties : on ne va pas s’en plaindre. Alors on verra si les gens nous suivront autant avec Communion, mais le plus important, c’est que cet EP nous touche et nous ressemble.

Côté artistique, Looking for Gold avait donné le ton de Communion. Vous avez l’impression d’avoir grandi musicalement depuis Where We All Belong ? L’EP est très varié et les morceaux sont très différents les uns des autres. D’un côté, tu as Scala, coloré, tribal et très rythmé, et de l’autre Communion, avec beaucoup de profondeur et une ambiance de cathédrale. Ce deuxième Ep est plus coloré, plus contrasté, plus vivant que Where We All Belong. A l’époque, on était à notre tout premier disque, on était dans l’expérimentation. Depuis, on s’est intéressé à la production des morceaux que l’on écoutait : cette fois-ci, on était beaucoup plus sûr de notre coup et on savait ce que l’on souhaitait une fois en studio. On voulait quelque chose de moins froid qu’avant, de plus direct. Les prises sont moins droites mais on voulait avoir ce flottement pour pas que ça ne sonne trop mécanique.

En home-page du site web des Inrockuptibles mi-octobre. Vous avez eu une belle exposition médiatique suite aux Inrocks labs. Vous avez été soutenus par les internautes pour la sortie de ce nouvel EP. Cela ne vous donne pas envie de plaquer votre boulot et vos études pour la musique ?

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Les Inrocks Lab ont été une superbe opportunité pour nous, c’est vrai. On a pu passer le cap du national et ça nous a permis d’aller jouer à Reims et à Lille, des villes dans lesquelles on n’a pas forcément pied depuis Nancy. Depuis, on a réussi à avoir des dates loin de notre région, à Brest, Poitiers, Lyon, Paris … Et puis avoir notre nom sur l’affiche du Festival des Inrocks pour la date à Nancy début novembre, c’est top pour nous ! Mais on est un groupe très terre-à-terre, on fait tous des études et on travaille à côté. On ne court pas après la professionnalisation, on fait notre truc. Si l’opportunité de se professionnaliser se présente, évidemment, on y réfléchira. Sinon, ce ne sera pas un drame et on continuera à s’amuser. En tout cas, pour l’instant, on est concentré à préparer notre nouveau live et à défendre Communion : chaque chose dans son temps.

Capture est sur Facebook Photo de Une : Laura Sifi

Propos recueillis par Romain Le Berrig

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11 Octobre 2013

http://festival2013.lesinrocks.com/2013/10/11/groupe-a-suivre-capture/

Groupe à suivre : Capture

crédit  photo  Laura  Sifi    

Capture a en effet su impressionner de par la richesse de Where We All Belong et ses titres foudroyants. Comment ne pas se laisser porter sur ce We rise, We Sink ou plus dernièrement ne pas vibrer sur Looking For Gold ? Pendant plus d’une année, le groupe aura profité avec brio de l’engouement (mérité) autour de leur maturité précoce. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que la formation a partagé la scène aux côtés de Juvéniles, Sébastien Tellier, Breton, BRNS, ou encore Archive.

Il y a quelques mois de ça, ils arrivaient même jusqu’en demi-finale du concours Sosh aime les Inrocks Lab. Ne laissant rien au hasard tant musicalement que visuellement (visuels signés Antoine Gret du collectif Les Animals), les Capture semble suivre à la perfection la voie pour devenir un véritable groupe de pop indé à part entière.

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Place à la suite avec un seconde EP prévu pour le 21 octobre prochain. Reprenant la recette du précédent opus à savoir l’autoproduction (prises réalisées à l’aide du talentueux Pierre Schaffner), le groupe prend néanmoins la peine de s’entourer cette fois-ci d’un certain Karim Aissaoui à la réalisation (ayant travaillé avec Le Chapelier Fou ou encore The Aerial). La formation lorraine est heureuse d’affirmer qu’avec Communion, de nouvelles facettes de Capture jusqu’ici inconnues seront révélées. Facettes apparues naturellement après un été entier passé à rechercher de nouvelles sonorités.

Le rendez-vous est pris le 9 novembre prochain sur la scène de l’Autre Canal à Nancy. Date à laquelle le groupe défendra fièrement son nouveau bébé et nous fera danser au gré des guitares planantes et autres rythmiques déstructurées. On ne pouvait espérer mieux en matière de mise en bouche, juste avant les performances de Sivu et Troumaca. Pensez malgré tout à garder un peu de place pour Sir Sly, dessert à base de pop mélancolique.

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10 Octobre 2013

 http://www.indiemusic.fr/2013/10/10/capture-communion/

Capture – Communion Par Julien Catala le 10 octobre 2013 dans Chroniques

L’éclectique « Communion » renverse la balance en plaçant Capture dans la cour des grands. Belle maturité.

Il suffit parfois de quelques notes pour attirer l’attention. L’action que peut mener un slogan publicitaire peut avoir la même fonction dans l’attraction sonore. L’accroche est universelle. Si bien que la pop transie de Capture est l’exception qui confirme la règle.

Non loin des sentiers battus par la coldwave anglaise, le quatuor nancéien distille bien plus avec l’EP « Communion ». Une fierté qui réside dans sa capacité à mélanger dans un seul titre le climat enivrant de The Boxer Rebellion avec des tendances post-punk, amenées par des refrains de chœurs arty (« The Weight of the Skin », « Looking for Gold »), le tout enrobé d’une délicieuse pop qui démantèle l’identité du groupe. Leur précédent EP, « Where We All Belong », avait déjà marqué cette mécanique au fer rouge. Mais ce nouvel opus en fixe une autre, plus mature.

La différence est faite dans l’évolution vocale de Dinh Alexandre Phan et Amin Raffed ; leurs voix se veulent plus détendues et moins crispées sur l’ensemble des titres. Mais aussi dans leurs arrangements où l’orchestration converge vers quelque chose de plus fluide et plus ambiant, où s’animeraient bien The Big Pink et The Temper Trap. Exemple avec le titre « Communion » qui laisse l’orgue s’occuper des vocalises presque léthargiques des deux êtres, déversements post-rock mélancoliques. Une sérénité contrée par la tribale « Scala », rythmique rock et liaison synthétique connus des Friendly Fires.

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crédit : Laura Sifi

Limpides et cassantes, les distorsions de Communion sont délectables. À chaque note, la surprise est balancée dans un ascenseur émotionnel où tout sentiment est passé en revue. Aussi légitime qu’il soit, le « wow! » final est remplacé par un hochement de tête suivi d’un sourire sur le coin des lèvres. Une action contenue qui réveille l’irrésistible envie d’un replay.

« Communion » de Capture, sortie le 21 octobre 2013.

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Octobre 2013

http://happy-horrors.org/capture-ton-coeur

Capture ton cœur

AMOUR_ Avec son deuxième EP Communion, Capture chope tous tes sens pour mieux voler ton cœur.

Hey, bien joué

La déontologie journalistique qui est la nôtre nous pousse à avouer qu’on est avant tout plutôt copains avec les membres de Capture. Mais Communion, leur deuxième EP, parle de lui-même, sans collusion. Ce groupe a de l’or entre les mains, et les Nancéiens le confirment.

Quand Dinh Alexandre, le chanteur, avoue avoir cherché « l’éclectisme », nous, on y trouve une ambition visuelle, sonore, émotionnelle, qu’on a du mal à ressentir chez d’autres groupes aussi jeunes.

Quand ils disent avoir voulu bâtir « une cathédrale » dans le morceau « Communion », à base « d’orgues, de profondeur, de reverbs », on constate surtout qu’ils prennent un malin plaisir à balader TOUS les sens de l’auditeur avec quelques rythmes bien posés. Un voyage sur la froide plaine lorraine de « Looking For Gold », avec la batucada brésilienne de « Scala » pour réchauffer le cœur.

Le centre de gravité de la pop française s’est incroyablement rapproché de Vandœuvre-lès-Nancy, il faudrait être sourd pour ne pas le voir, et inversement.

(Crédit photo de une Laura Sifi – avec la courtoisie de Capture)

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Octobre 2013

http://happy-horrors.org/la-communion-de-capture

La Communion de Capture

Le dernier espoir de la scène nancéienne, Capture, rayonne encore sur les coeurs grippés de la Lorraine, en atteste ce clip embrumé-doré bien fagoté.

Pour continuer d’exploiter le filon, la ruée vers l’or du groupe se poursuit ici-même.

l’EP « Communion » sortira le 21 Octobre

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14 Septembre 2013

http://lesoundrivin.com/2013/09/14/clip-capture-looking-for-gold/  Clip : Capture “Looking For Gold Publié le 14/09/2013 | Par Seb - TR-909 | Pop

Voici une belle découverte, et qui plus est, française. ‘Capture’, quatuor nancéien fondé en 2011, nous livre ici avec ‘Looking for gold’ un titre très rythmé à la basse envoutante et une vidéo aux petits oignons (que l’on doit au collectif Les Animals).

Demi-finalistes des Inrocks Labs, ils ont déjà fait une dizaine de dates en France aux côtés de quelques noms prestigieux (Juveniles, Sébastien Tellier, Breton, BRNS…) et sortent le 21 Octobre prochain un Ep intitulé ‘Communion’ où nous retrouverons ‘Looking for Gold’ ainsi que 3 autres titres. Si vous souhaitez soutenir leur projet musical, ils ont lancé un crowdfunding pour financer l’élaboration de ce prochain Ep (avec bien sur des cadeaux à la clé des participants). Ca se passe ici.

On garde un œil sur Capture en tout cas !

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9 Juillet 2013

Live Report : Festival Hors Format – Sebastien Tellier + Capture + Cold Gravity

Samedi 29 juin, de retour sur la place de la République à Metz pour le 8ème jour du festival Hors Format et je suis accueilli par le soleil. Tout ce qu’il faut pour oublier la fatigue qui s’accumule et appréhender au mieux la riche soirée musicale qui m’attend. Au programme aujourd’hui Cold Gravity, Capture et Sebastien Tellier. Pour ouvrir le bal, ce sont les Messins de Cold Gravity qui montent sur scène. Le public est moins nombreux que la veille à la même heure et on sent que le jeune groupe accuse la pression de jouer face à une place majoritairement vide. Une pression qui se justifie rapidement, puisqu’un synthétiseur refuse d’émettre le moindre son. Les membres du groupes se retrouvent donc bloqués sur scène, dans le silence en attendant une dizaine de minutes que le problème soit réglé. Rien de tel pour refroidir une équipe…

Lorsque le premier titre se fait finalement entendre, on ne peut que remarquer les visages fermés, concentrés sur scène. Ils diffusent cependant une musique electro rock parsemée de bonnes idées et j’ai la nette impression de les voir dans un mauvais jour. Le groupe parvient à redresser la barre et nous gratifie de quelques morceaux efficaces, malheureusement le set tire à sa fin et le groupe s’en va avec un bilan mitigé, ce qui ne m’empêchera pas de retourner le voir pour me faire une seconde opinion, je l’espère dans de meilleures conditions.

Suivent les nancéiens de Capture. Rodés à la tache, puisqu’ils ont déjà ouvert pour Sebastien Tellier au Nancy Jazz Pulsations 2012. Les jeunes visages sont souriants alors qu’ils montent sur les planches.

L’electro rock distillé par le groupe ne tarde pas à conquérir les oreilles des spectateurs et envahir les planches de la scène. La présence est indéniable, Amin jongle entre percussions et claviers le tout en assurant des backings vocals. Au centre de la scène Alexandre donne de la voix et de la guitare sans oublier de gigoter de part et d’autres. De son côté, Florent en fait de même, armé de sa basse tout en se donnant à fond sur les gangs vocals. Ophélie la touche féminine du groupe, martèle ses fûts comme un bûcheron

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C’est dans cette belle dynamique que le groupe déroule les titres de son premier EP, mais aussi quelques inédits à venir sur leur prochain opus qui verra le jour à l’automne. Une setlist déjà alléchante, mais le groupe ne s’arrête pas en si bon chemin puisqu’ils annoncent un titre « dédicacé à l’age d’or du hit machine », une reprise de Rhythm of the night.

Un set bien orchestré pour un groupe en devenir…

Avec de la bonne musique, le temps passe vite et le soleil est à présent couché. Sur scène, les techniciens s’affairent à installer décor et instruments. Le public s’impatiente et des « Vive l’alliance bleue ! » se font entendre et ce jusqu’à ce que les spots deviennent bleus pour accueillir le gourou, Sebastien Tellier, accompagné d’un claviériste et d’un batteur.

Perché sur une estrade bleue, le chanteur bleu gratifie la foule de l’hymne Pépito Bleu, avant de s’approcher de l’avant scène et attraper sa guitare bleue pour Against the law. Suit My Poséidon. On comprend assez vite qu’une grande partie de My God is Blue va être interprété ce soir.

L’ambiance change de couleur et tire vers l’orange avant d’entamer la débaucharde Cochon ville.

Loin cependant de se laisser abattre, il enchaîne avec Russian attractions avant d’aller faire un tour sur l’album Sexuality avec Kilometer, Roche, Sexual Sportswear et surtout Divine qu’il avait interprétée à l’Eurovision 2008.

C’est la Ritournelle qui clôt un set haut en couleurs, mais le gourou ne se fait pas prier avant de revenir vêtu d’une toge et d’un bling bling de haut vol pour baptiser un disciple de l’Alliance Bleue, qui n’est autre qu’Alexandre de Capture. Une cérémonie très solennelle, et bien évidement bleue, avant de revenir en avant scène pour L’amour et la violence et Yes it’s possible et clore la soirée la plus bleue qu’ait connu la place de la République dans une accolade avec les musiciens et des remerciements au public.

Article : Matthieu Henkinet

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18 Juin 2013 Rencontre avec Capture  Par Fréd Lombard le 18 juin 2013 dans Interviews

Groupe montant de la scène indé nancéienne, sur les traces de The Aerial, Capture s’impose désormais sur la scène nationale. Histoire d’en savoir un peu plus sur les ambitions des quatre musiciens, nous leur avons posé quelques questions et obtenu de bien jolies réponses en retour. Tout ça, c’est dans la rencontre qui suit !

• Bonjour Capture, une petite présentation des membres du groupe s’impose histoire de faire connaissance…

Hello indiemusic ! Eh bien, on est Capture, trois mecs et une meuf qui jouent dans un groupe d’indie-pop On existe depuis 2 ans déjà, et depuis la création on a pu faire notre tout premier EP « Where We All Belong » que l’on défend toujours aujourd’hui.

• D’après ce qu’on m’a dit, vous êtes le groupe montant nancéien. Vous confirmez ?

Haha, ça fait un peu prétentieux de l’affirmer. On va dire que les choses sont allées vite l’année dernière : premier EP, les sélections régionales de Bourges, premier clip, Les Inrockuptibles, les concerts avec Tellier, Juveniles, Breton… On a fait une belle saison.

• Quand cela a-t-il pris véritablement avec le public nancéien ? Et l’expliquez-vous ?

À la rentrée dernière, je pense. Comme tout le monde, on a commencé à faire des concerts dans des bars devant des potes. Mais aux alentours de septembre 2012, on a sorti notre premier disque et puis ça a été les grosses scènes dans la foulée. Là, on a pu jouer devant des têtes que l’on ne connaissait pas. On ne saurait pas comment expliquer cet engouement dans la ville. Peut-être par le fait qu’il y a très peu de pop dans le coin, que du coup les projets dans cette esthétique fédèrent plus rapidement.

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crédit : Hadrien Wissler

Avec un nom répandu comme le vôtre, ça peut être un peu difficile de vous retrouver sur internet. Comment le choix de Capture pour nommer votre projet est-il venu ?

On partait sur le concept de « motion capture », l’idée de capturer un mouvement. Pour nous, nos morceaux sont encrés dans des périodes précises. Il y a toujours des chansons qui vous rappellent certaines personnes, des endroits particuliers, certaines vacances… C’est ça Capture. Et puis ça sonne plutôt bien non ?

• Ça sonne même très bien ! Vous sortiez il y a quelques mois « Looking for Gold ». Avez-vous trouvé cet or ou le cherchez-vous toujours ?

Pas vraiment, parce que la chanson parle de l’éternelle insatisfaction, de l’ennui perpétuel. On ne le trouvera jamais au final.

• Votre projet mélange clairement la culture indie rock à des tendances plus underground, je pense au punk hardcore. Rester relativement tout public tout en ajoutant un esprit un peu plus violenté et fougueux à votre projet, c’est un peu ça l’image de Capture que vous souhaitez défendre ?

Carrément ! On a toujours été très éclectique dans ce que l’on écoute : de l’indie bien sûr, du hip-hop, de la chanson française vieillotte et kitch, mais aussi du punk hardcore. Toutes ces influences jouent sur notre façon d’imaginer, de composer nos morceaux et de diversifier ce que l’on fait. Ce qui est sûr, c’est qu’on ne voulait pas faire de la pop « mignonne », on voulait quelque chose plus sombre, plus pesant et frénétique.

• Question un peu tendancieuse, y a-t-il un leader dans Capture ou vous partagez-vous ce rôle entre vous quatre ?

On a toujours fonctionné à quatre dans la composition, mais aussi dans les choix de développement du groupe. La seule chose qui est plus personnelle, c’est la composition des textes. Sinon tout ce que l’on fait, on le fait ensemble, et c’est important pour la vie du groupe.

• Lors de la composition d’un nouveau titre, qui a été le dernier à utiliser son droit de veto et pour quelle raison ?

Haha, je ne saurai pas vraiment m’en souvenir. Au final, on se connaît depuis un moment déjà donc quand on fait fausse route, on s’en rend compte tous les quatre et inversement.

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• En septembre dernier, vous sortiez un premier EP trois titres « Where We All Belong ». Trois titres, ça ne suffit assurément pas à constituer un set pour un concert à moins de faire dans le post-rock. Doit-on s’attendre à un nouvel EP prochainement pour découvrir une suite à ce « WWAB » ?

On est actuellement en période de composition. On enregistre cet été et on a hâte de sortir des nouveaux titres. On est très content de ce que l’on a fait avec WWAB, mais au bout d’un an on a envie d’autre chose, on a besoin de fraîcheur. Le prochain EP devrait sortir à l’automne.

• Vous êtes de Nancy, je suis d’Angers et je n’ai jamais eu l’occasion de vous voir en live. Si vous deviez me vendre vos prestations scéniques, par quoi commenceriez-vous ?

Pas facile comme question ! C’est assez difficile d’y répondre, car quand tu es sur scène, tu n’as pas forcément le recul sur ce que tu produis. Je dirais que le live est plus brut et plus intense que nos enregistrements. On essaye d’avoir un esprit plus rock sur scène, moins réfléchi et plus frénétique.

• Vous fonctionnez sans label et en autoproduction, l’indépendance c’est quelque chose auquel vous tenez ?

Jusqu’à l’heure d’aujourd’hui on a toujours été indépendant, oui. Mais tout le travail que l’on a fait, on le doit aussi à des amis proches qui nous entourent et avec qui on travaille en collaboration (communication, graphisme, production, management, photo-vidéo). L’indépendance c’est bien quand tu commences parce que tu apprends un peu les métiers de la musique sur le tas, tu touches à tout. Après, forcément ça a ses limites et il y a forcément des propositions que tu ne peux pas refuser. Mais pour le moment on est très heureux comme ça.

crédit : Kombini

• Où pourra-t-on vous voir cet été en concert ?

Il ne nous reste que peu de concerts avant le studio. On rejoue avec Sébastien Tellier le 29 juin à Metz. On fait notre première date parisienne le 2 juillet à l’International, et puis on ira au festival le Chien à Plumes le 9 août.

• Merci Capture et à bientôt !

Merci à vous. Bisous bisous.

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27 Avril 2013 http://www.lesinrocks.com/lesinrockslab/news/2013/04/decouvrez-le-nom-du-finaliste-inrocks-lab-pour-le-nord-est/

Découvrez le nom du finaliste inRocKs lab pour le nord-est

Retour sur la demi-finale lilloise qui opposait Judy, Selenian et Capture. On vous révèle le nom de l’artiste qui rejoindra la soirée de clôture parisienne.

A l’occasion de la demi-finale de la région nord-est du concours « Sosh aime les inRocKs lab », la salle de l’Aéronef à Lille recevait hier les Valenciennois Selenian, les Nancéiens Capture et les Rémois Judy.

Ces trois demi-finalistes, choisis par les internautes après un mois de vote acharné – parmi les 15 artistes sélectionnés pour la région téléphonique du Nord-Est – ont été mis à la redoutable épreuve du live. Très impressionnés par la salle de l’Aéronef, chacun a sa technique pour oublier le stress et pour se concentrer, la respiration inversée est pratiquée (voire enseignée) dans les loges. L’enjeu est de taille, ils doivent représenter leur région. A l’issue de cette soirée, il ne devait en rester qu’un seul : un jury réuni spécialement pour l’occasion ayant pour mission de désigner le finaliste régional.

Rencontrés lors de nos open-mics à Lille, le groupe Selenian inaugure la soirée en douceur. On pourrait les qualifier de Pink Floyd des temps modernes. Les nappes psychédéliques et voluptueuses enveloppent le public pour mieux le faire planer. La timidité des Valenciennois est loin d’être handicapante, et leur donne même un côté attachant. Original, le chanteur, sosie de Giorgio Moroder période Munich Machine, se fait discret derrière son synthé sur le côté de la scène. Le set, qui monte crescendo, est bourré d’émotions, appuyé par des synthés aériens qui laissent un public séduit, voire hypnotisé. A contre courant de la tendance indie pop qui pullule en France, le groupe est une véritable surprise, un envoutement divin.

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Capture @Aéronef – demi-finale inRocKs lab – crédit photo Konbini

Après un court intermède de Kim, notre animateur de choc, les prometteurs Capture font leur arrivée sur scène. Changement d’ambiance, le nuage crée par Selenian disparait. Les pieds revenus sur terre, le public en profite pour danser. Impossible de résister face à l’énergie qui se dégage des chœurs, de la batterie et des refrains déjà cultes – notamment de la chanson We Rise We Sink. Le chanteur fait de l’humour alors qu’il rencontre quelques problèmes techniques, distrayant un public déjà sous le charme, impatient d’entendre la suite. Les Nancéeins sont maîtres dans l’art de la scène. Ils s’imposent comme de véritable prodiges de l’électro-rock hexagonale, comme une machine à tube en devenir.

Judy clôture notre soirée de demi-finale avec brio. L’univers est encore différent. Leur synth-pop est déclamée dans la langue de Shakespeare, atteignant toujours des sommets de perfection. La voix est juvénile et puissante, la maturité de leur musique elle, est exceptionnelle. Les morceaux, sublimés par des percussions, sont imbibés de soleil, de chaleur, et on s’imagine presque danser pied nus dans le sable. Ce n’est pas une coïncidence si l’on en croit leurs chemises tropicales. Bref, c’est un shoot de bonheur, la soirée se termine en beauté.

Le jury, composé des membres de la rédaction des inRocKs lab, des représentants de l’IRMA, de journalistes de la Radio Campus et de la Voix du Nord, a choisi de récompenser SELENIAN comme grand finaliste de la région nord-est. Cet artiste rejoint donc la soirée de clôture en septembre prochain à Paris.

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20 Avril 2013

http://www.brain-magazine.fr/article/interviews/13947-Questions-pour-un-Rockeur-du-Nord-Est-de-la-France Questions pour un Rockeur du Nord-Est de la France

Quand on voit débarquer des gars du ch'Nord qui se disent rockeurs, inévitablement, un certain nombre d'images mentales s'imposent à nous. Des images qu'on peut globalement résumer par une simple formule : (working class heroes + Renaud) x Picon Bière. Et s'ils viennent de l'Est, et bien on pense choucroute, Lorraine et bassins miniers... C'est donc peut-être pour mettre un terme à ces clichés que chaque année depuis dix ans, le lab' du magazine les Inrockuptibles sillonne les routes de l'Hexagone à la découverte de nouveaux talents musicaux. Du coup, Brain en a profité pour poser quelques questions aux trois finalistes de la région Nord-Est : Capture, Selenian et Judy. Et à notre grande déception, ils n'ont l'air que modérément chômeurs et consanguins (mais pour alcooliques, ça va, ils sont sur la bonne voie).

QUESTIONS POUR UN ROCKEUR AVEC CAPTURE

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La chanson du premier roulage de pelle ?

Capture : Ca devait être sur les classiques boums de l'époque : With or Without You de U2 ou My Heart Will Go On de Céline Dion.

La 1ère rockstar dont vous avez été amoureux ?

Ian Curtis au collège.

Quelles MST transmettez-vous à vos groupies ?

L'amour du burger double-cheese.

Si vous deviez vous mettre dans la peau de votre rockstar préférée pour 24h, qui serait-elle ?

GG Allin.

Etes-vous alcooliques et drogués comme tous les rockeurs (votre maman ne lira pas ce questionnaire, promis) ?

On est plutôt posé comme groupe, mais on aime faire la fête et profiter de l'alcool gratos en concert, hein.

Page 53: Capture RP

Vous lavez-vous ? Si oui, combien de fois par semaine ?

Sur nous 4, ça varie de 0 à 7. Après, je ne suis pas une balance.

Votre premier disque acheté ?

Shaggy - It Wasn't Me

Votre premier disque volé ?

Blink 182 - Enema of the State

Téléchargez vous de la musique illégalement (répondez par oui ou oui) ?

Ca nous arrive en fin de mois...

Votre idole de la musique ? Pourquoi ?

Christophe Hondelatte. Ecoutez Dr. House et la messe sera dite.

Le groupe rock le plus surestimé de l'histoire ? Pourquoi ?

Saez. Si ce mec avait tant d'importance, la tranche 18-25 ans aurait déjà été décimée.

L'album que vous avez le plus écouté dans votre vie ?

I Had The Blues But I Shook Them Loose de Bombay Bicycle Club.

La première chanson que vous avez connue par coeur ?

Un Lapin de Chantal Goya. Ca devait être en maternelle.

La chanson qui vous donne envie de casser la guitare de celui qui la chante ?

Un Lapin de Chantal Goya.

Page 54: Capture RP

La chanson qui fait de vous un rockeur de diamants ?

On doit relancer sur Catherine Lara, c'est ça ?

La chanson qui fait fendre votre coeur de rockeur ?

En ce moment, Heavy Feet de Local Natives.

Souhaitez-vous mourir quand vous aurez 27 ans, comme Janis Joplin et le RPR (si vous avez plus de 27 ans, merci d'arrêter le rock) ?

J'ai rangé mes CD's de Saez pour éviter ça.

Votre chanson rock préférée ne contenant PAS de guitare ?

Cold War - Everyday de Birds in Row, la violence.

La pire chanson électro-rock de tous les temps ?

Stick Stickly de Attack Attack, une perle !

Pouvez-vous ne pas répondre à la question "qu'est-ce qu'être rock en 2013" ? Merci.

J'réponds si j'veux !

La chanson que vous avez aimée et dont vous n'avouerez jamais l'existence à vos camarades de groupe ?

Senorita de Justin Timberlake. Trop de classe, trop de chaleur.

Votre fringue fétiche ?

Ma casquette Marty McFly.

Votre objet fétiche ?

Mon cerveau.

Page 55: Capture RP

Pouvez-vous me raconter qui (nom/prénom/âge/mensurations) vous avez séduit grâce à votre statut de rockeur et comment ? Détails réclamés. Merci.

Règle n°1 : ce qui se passe dans Capture reste dans Capture. Merci.

Est-ce que les femmes aiment les rockeurs ?

Footballeurs > Rockeurs. Je crois que j'ai choisi la mauvaise école.

Est-ce que les hommes aiment les femmes rockeuses ?

Va voir un concert de Blood Red Shoes et tu me diras ce que ça t'a fait.

Racontez nous une blague de rockeur s'il vous plaît. Merci.

Quelle est la différence entre Johnny et Mozart ? Mozart jouait du piano à queue, pendant que Johnny, ah que il joue du piano ! (copyright blagues.net)

Page 56: Capture RP

Avril 2013

http ://magazine-karma.fr/live/interview-capture/#more-7795

Interview – Capture

En arrivant à Pagney-Derrière-Barine, un village des plus pittoresque de la �unction� Meurthe et Mosellane, j’avoue m’être demandé ou je mettais les pieds (ou plutôt les �unct d’ailleurs). Heureusement, c’est assez rapidement que je trouvais l’enseigne de Chez Paulette, un bar / �unc de concert que l’on n’attend pas le mois du monde dans ce village isolé. En franchissant la porte je me retrouve face aux 4 membres de Capture accoudés au bar, en pleine interview �unct. Il n’y a pas à dire, les jeunes Nancéiens sont plutôt demandés ces temps-ci. J’attends alors patiemment mon tour, qui ne tarda pas, les musiciens (et la musicienne) m’accueillent souriants. C’est mon sourire qui vacilla pour ma part lorsque lors des �unction�s�ns ils évoquèrent leur souvenir mitigé de leur dernière apparition sur notre site internet. Prenant mon courage à deux mains, je me fis la promesse de réchauffer nos relations avec le groupe et lançais la première question…

On a déjà parlé de vous dans un live report quand vous avez fait la première partie de Tellier aux NJP, qu’est ce qui s’est passé pour vous depuis ?

Alors on a eu l’occasion de faire des dates en �uncti. On a �unction�s aux �unction�s �unction� des Inouis du Printemps de Bourges. Cette année, c’est Laura Cahen qui a gagné et elle le mérite vraiment, du coup on va essayer de tenter notre chance l’année prochaine. On a aussi �unction�s au tremplin du Jardin Du Michel, qu’on a gagné d’ailleurs. Il n’y a pas longtemps on est allé à Reims pour les Inrocks Labs, on a été sélectionnés pour le Nord Est. Sinon, plus récemment on a travaillé sur l’enregistrement d’un nouveau titre et un clip qui sort le 11 mars. D’ailleurs on est en studio en ce moment.

Aujourd’hui vous jouez chez Paulette, il parait qu’en mai vous allez �unction le jardin du Michel, vous refusez les salles non nominatives ? Ça se �unct comment ? (Et plus sérieusement ça fait quoi d’être sélectionné pour représenter la �uncti)

(rires) On est en �unction quoi. On attend le festival du pâté lorrain pour �unction� la collection. Mais oui, c’est assez fou en fait. Le JDM c’est un festival où on va depuis depuis le lycée, ça fait plaisir de pouvoir y jouer. Et puis on se retrouve sur la �unc programmation qu’IAM, c’est quelque chose…

Page 57: Capture RP

Capture – Photo : Matthieu Henkinet

Justement, en 2012 on vous a bien vu dans la �uncti, vous avez déjà des projets pour en sortir ? Une tournée ?

On n’a pas pas encore de tournée dans nos plans, mais on essaie de s’exporter. Jusqu’à maintenant on a été �unct, c’est facile de remplir des salles en �uncti avec des potes et être soutenus, convaincre à l’extérieur c’est autre chose. Il y a eu quelques sorties, comme à Reims pour les Inrocks Labs où on a eu un bel accueil et pas mal de public, c’était assez surprenant, on avait jamais mis les pieds là bas. On a une date �uncti à Paris en juillet, on prend ça comme un nouveau challenge. J’imagine que ça va venir petit à petit.

En �unction� ce que j’ai lu sur le groupe, on vous qualifie d’indie rock wave pop minimaliste, personnellement j’ai relevé un côté post rock, on peut dire que vous faites du post indie rock wave pop minimaliste ? Au delà des �unction�s fantaisistes, quelles sont vos réelles influences ?

Oui on peut dire ça. En fait on essaie d’avoir un panel. Avec Guillaume ,on écoute pas mal de hardcore par exemple alors on essaie un peu de salir l’image pop wave qu’on nous a collé. Plus généralement, on écoute un peu de tout, d’ailleurs on nous compare souvent à Foals, mais on ne les écoute pas H24, quand l’album sort on l’écoute mais ce n’est pas non plus notre base. On écoute aussi bien de la chanson française de la pop ou du rap. C’est dommage de rentrer dans des cases, on fait de la pop core en fait.

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Vous êtes relativement jeunes, ça on peut le lire partout, mais on s’en fout un peu au fond. C’est surtout le groupe qui est assez �uncti. Pourtant vous avez déjà vécu pas mal de choses, un EP auto produit, de gros tremplins, une reconnaissance régionale, de belles premières parties… Votre meilleur souvenir ?

Je pense que c’est au moment où on a passé le niveau du concert en bar pour aller vers les gros lives. Avant on faisait de la musique pour délirer entre nous le dimanche après midi et d’un coup on s’est retrouvé aux NJP devant 1200 personnes… Ça fait son effet. Il y’a eu tout le côté « professionnalisation », les �unction�s… On a �unction à penser aux grosses �uncti. On s’est un peu retrouvé là par surprise, et on ne va pas s’en plaindre. Mais on a pas fait un groupe pour être dans le grand journal, contrairement à ce qui a pu être écrit. (sur le sujet, voir le live report NJP : ICI)

En préparant l’interview j’ai pu voir que vous êtes partout sur la toile: Twitter, Tumblr, Facebook, Bandcamp… mais pourtant vous restez simples dans vos interventions. Le contact avec le public est bon, vous avez vos fidèles ?

On a toujours voulu avoir un ton proche, on n’est pas Radiohead. On ne veut pas sembler prétentieux. Avec Facebook on a la possibilité d’être en contact, alors on profite de la proximité. Et puis on ne veut pas faire de la com’ d’entreprise comme de nombreux �uncti, on est pas là pour être formels.

En parlant de ça, j’ai beaucoup aimé un message que vous avez retweeté le mois dernier. Je cite: « Le �unctio de votre EP 3 titres, c’est que personne ne peut baiser dessus, �unc les mauvais coups durent plus longtemps que ça « , d’où la question suivante: a quand un vrai album / un nouvel EP ?

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C’est pas en projet pour le moment, on veut rester sur du format trois titres. Un album c’est un gros investissement aussi bien au niveau financier qu’au niveau du travail. Il faut bouffer du studio, c’est au moins un an de travail pour �unction les morceaux. Au moins, avec les EP on peut essayer de nouvelles choses régulièrement, ça nous laisse la liberté de changer d’orientation quand on en a envie et en �unction des influences. Et puis ça permet d’être plus réguliers, on reste dans les esprits. On préfère bosser comme ça. L’album ça attendra. En fait pour répondre à la question, on préfère le format pipe.

Pour finir, chez Karma on a une question rituelle, vous êtes plutôt Beatles ou plutôt Rolling Stones ?

Aucun des deux. On est plutôt Julien Clerc ou Cheb Khalled.

Propos recueillis par : Matthieu Henkinet

A lire, notre live report sur la prestation de Capture à l’Antipop sur Folk

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10 Avril 2013

http://dumdum.fr/magazine/listomania/10-autres-groupes-fran%C3%A7ais-%C3%A0-ne-pas-louper-en-2013

10 (autres) groupes français à ne pas louper en 2013

Ils sont les Granville, les Aline, les Concrete Knives ou les Lescop de 2013 : ces dix groupes ou projets solo, dans leur petit coin de France à eux, sont ceux sur qui on misera un peu plus d'un demi-kopek pour l'année à venir. Deuxième fournée.

Pour (re)voir la liste précédente, parue en janvier, c'est par ici.

#10 The Pirouettes The Pirouettes, c’est Léo, membre de Coming Soon, et sa copine Vicky. C’est aussi une certaine idée de la pop romantique à deux, comme Lee et Nancy, comme Michel et France. Ce sont des mélodies naïves, des textes qui le sont au moins autant, et un chant parfois mal assuré, mais ô combien sensuel. Reste à voir comment le duo évoluera et si cette naïveté passera l'épreuve du temps. En attendant, l’été n’a jamais semblé aussi proche. #9 Disco Anti Napoleon Jeune quatuor nantais, Disco Anti Napoleon (DAN pour les intimes) a d’entrée de jeu tout bon en mettant le visage de David Hasselhoff sur ses flyers. Concernant ce qui est vraiment important (la musique), DAN évoque aussi bien la froide grandeur de The Horrors (le clip de Blue Lawn évoque d’ailleurs la pochette de « Sea Within a Sea ») que la pop mélodieuse et pas conne de Pegase (producteur du groupe et grand frère de l’un des membres). Leur label s’appelle Futur. Le leur s’annonce pour le moins palpitant. #8 Samba de la Muerte Cinq potes de Caen (dont un membre des Concrete Knives) décident de jouer ensemble et de voir ce que ça donne. Le résultat inspire une douce mélancolie. Comme un Arcade Fire light, les notes s’entremêlent, la réverb’ s’impose naturellement, quelques boucles soutiennent le tout, des violons sont là pour la classe. Même pas besoin de chanter, Samba de la Muerte, c’est la bande originale d’une soirée au coin du feu, seul avec soi-même. La peau de bête n’est pas incluse. #7 Fragments Pop. Electronica. Ambient. Voilà pour les qualificatifs que s’attribuent eux-mêmes les rennais de Fragments. Quant à leur bio, voici ce qu'elle raconte « les deux musiciens, aux horizons différents (folk pour l'un, musiques électroniques et expérimentales pour l'autre), puisent principalement leurs influences dans la musique nordique, glaciale et onirique, et composent, autour de sons organiques et d'un piano cotonneux, des morceaux instrumentaux éthérés propices à l'évasion ». Pas mieux.

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#6 Clockwork of the Moon Aperçus aux Transmusicales et aux Vieilles Charrues, ces normands savent ce qu’écrire une chanson signifie. Loin de se contenter d’une gentille rengaine et de quelques accords (certes bien sentis), ces caennais maîtrisent les harmonies, ce qui nous amène parfois à les imaginer en cousins des Fleet Foxes. Leurs deux EP témoignent en tout cas d’une réelle maturité, chose rare, et donc à chérir. #5 Capture Un EP seulement à leur actif, mais déjà, nous sommes tentés de fonder tous nos espoirs ou presque en ce jeune groupe made in Nancy. Certes, tout cela sonne encore jeune. Mais, tant visuellement que musicalement, c’est un univers déjà bien à part qui nous est offert. On pense à Interpol, un peu. Mais au petit jeu des influences, on préfère attendre la suite. #4 Freek Du côté de Clermont, il se passe toujours quelque chose. Ce n’est pas un proverbe local, non, mais bien notre sentiment, tant chaque semaine nous apporte notre lot de belles découvertes. Dernière en date, Freek, un amoureux des machines, un bidouilleur, mais pas que. Freek est un compositeur, qui, à l’instar de son camarade Mr. Nô, sait tisser à travers ses sons venus d’ailleurs des mélodies salement entêtantes. #3 Kids of Maths La pop arty de ce trio breton au nom qui laisse un peu dubitatif quant au contenu (du math-rock ? Au secours) n'a été documentée que sur un seul EP pour le moment, « Lewis and Clark », qui contient deux excellents morceaux : « Erotomania » et « Fisherman ». Comme ils disent, « it's a bit strong ». #2 Minh May En provenance de Cherbourg, laissez nous vous présenter l’un de nos plus gros coups de cœur de ces derniers mois. Ils sont trois, aiment autant les machines que leurs guitares, et ont donc décidé de ne pas choisir. Ajoutez y cette voix hargneuse, et le résultat sonne comme un ovni, quelque part entre les Buzzcocks et New Order. Assez Manchester donc, mais pas que. Bref, écoutez. #1 Be Quiet Quelque part du côté de Bordeaux, une poignée de kids d’à peine quinze ans ont semble-t-il bouffé l’intégralité du catalogue Creation en un temps record. Le résultat, quelques années plus tard, sonne comme la somme parfaite de leurs influences : Primal Scream pour la gouaille, MBV pour la saleté, Oasis pour les mélodies, et Jesus & Mary Chain pour tout le reste. Dix-huit ans à peine et tant de maîtrise, ça laisse sur le cul, pardon de le dire ainsi.

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20 Mars 2013

http://daskuma.com/report-showcase-europop/

On était au ShowCase des Talents Europop Posted by Ireelle on mar 20, 2013 in Reports

Samedi soir, au numéro 19 de la rue Bazin, on se presse pour entrer dans la galerie d’art colorée. Seule touche de couleur au milieu de la rue grisâtre sur laquelle tombe doucement la nuit, Le Boucl’Art se métamorphose le temps d’une soirée. Au rez-de-chaussée, pas vraiment de changement, les spectateurs déambulent au milieu des créations artisanales, un verre de cocktail à la main. Ce sont les paliers inférieurs et supérieurs qui, eux, se sont transformés. Seuls les murs ont gardé leur parures de peinture. Le reste a fait place aux instruments pour devenir une sorte de plateau scénique éphémère. Car c’est bien ce « café-galerie d’art » qu’a choisi Europop pour organiser son show case « Talents Europop ».

Page 63: Capture RP

Europop, c’est d’abord cette notion de… découverte, de voir autre chose !

Au programme, quatre groupes, tous originaires de Nancy. Duo ou quatuor, la différence se ressent, tant au niveau de la formation qu’au niveau de leur « étiquette musicale » ou encore de leur actualité. Pour l’association Europop, c’est avant tout une envie de mettre en avant des groupes musicaux qui ne sont pas encore très médiatisés voir pas du tout. Les « Talents Europop » de cette soirée sont, pour eux, ceux qui vont faire parler d’eux cette année. Pour Sofiane Mekhides, organisateur Europop, « C’est une sorte de… de pari sur l’avenir musical des groupes ! On a envie de faire découvrir de nouvelles choses. »… des choses qui s’annoncent plutôt bonnes.

A l’instar des plus grands festivals de musique, cette soirée au Boucl’Art bénéficie de deux « scènes ». On est loin des « Stage A », « Stage B » et autres plateaux où il faut courir de l’un à l’autre mais l’idée est là. On descend d’abord à l’étage inférieur pour écouter le groupe Lullabies. Tous les membres ont quelques centaines de concerts à leur actif mais c’est leur premier avec cette toute nouvelle formation. Dans cette petite salle à la composition assez inhabituelle, le public semble presque perdu, réfugié au fond de la galerie. Mais, après un premier titre et quelques tentatives du chanteur pour créer le contact, les auditeurs embarquent vite dans cette « pop-rock ambiant » aux accents folk. Derniers applaudissements pour Lullabies et tout le monde se dirige vers l’étage supérieur de la galerie. On se presse dans les escaliers.

Quelques téméraires tentent de prendre un dernier verre Mais le Boucl’Art semble bien petit pour le nombre de personnes qui se sont laissés tenter par l’expérience Europop et les places ne sont pas garanties pour tous. Pour les plus chanceux, c’est donc Capture qui prend le relais. Plus vraiment besoin de présentation tant les jeunes nancéiens surfent sur une dynamique qui les pousse en avant. Ils prennent donc place dans ce nouvel espace pour le moins…

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peu conventionnel. Rideaux façon napperon et lapins pastels aux murs côtoient le pull burgers-frites d’Amin. Joli mélange des genres. C’est un set très court avec seulement deux chansons, dont une très appréciable acoustique de Looking for Gold.

En bas, on retrouve Luna Gritt. Et ce qui saute immédiatement aux yeux c’est cette évidence. Le lieu semble avoir été choisi pour eux. Chapeau-bretelles pour SEdd, robe feu, collants bleus et talons hauts délirants pour Claire, les deux artistes nous plongent dans une pop-rock vintage. Sous les ondes des pédales d’effet, le vent des sixties britanniques souffle dans le Boucl’Art. Des compositions énergiques, une voix profonde et sensuelle et une complicité évidente, le duo remporte tous les suffrages. Il suffit d’écouter les chuchotements et les encouragements du public. Petit faille temporelle de la soirée qui nous offre même une chanson supplémentaire, très bonne reprise de Bowie.

L’atterrissage dans la Lorraine du 21ème siècle est brutal. Qu’importe, la course continue. Le dernier groupe à se produire est Crocodile & The Zookeepers. Et dire qu’il faut jouer des coudes pour les apercevoir est un euphémisme. L’étage est bondé. Difficile de croire que le groupe est né il n’y a même pas deux mois. Crocodile c’est Clémentine, jeune chanteuse et guitariste au timbre de voix particulier, doux et entêtant. Ses gardiens, ce sont Loan (guitariste), Blanche (percussions) et Nicolas (basse). Ils enchaînent quelques compositions originales avec une timidité touchante. Le public est sous le charme. Pas un bruit dans la salle. Pas de doute, Crocodile & The Zookeepers est un groupe prometteur. En témoigne leur date en première partie de Balthazar à L’Autre Canal le 22 mars.

Nous avons envie d’une couleur Europop, une couleur qui va surprendre les spectateurs !

Quelques personnes traînent encore lorsque les concerts sont finis, admirant les œuvres qui recouvrent la galerie du sol au plafond. Ce ne sera certainement pas la dernière soirée qu’organisera Europop ici. Car c’est une autre des volontés de l’association, toujours à la recherche de lieux atypiques pour ses concerts. « Nous avons envie de faire quelque chose de différent, musicalement parlant mais aussi à d’autres niveaux, l’architecture, les sens sollicités… ». En effet, les membres d’Europop veulent surprendre, étonner, faire bouger et faire participer les spectateurs physiquement mais aussi psychologiquement. La soirée au Boucl’Art est un premier exemple, une adresse inhabituelle avec une composition spatiale non conventionnelle, où le spectateur était obligé d’agir de lui-même pour écouter les groupes.

D’autres soirées du genre sont donc à prévoir avec une idée, sur le long terme, créer une sorte de « labellisation » Europop. Une sorte de couleur artistique identifiable, reconnue, pour les auditeurs viennent les yeux fermés, « qu’ils viennent sans vraiment savoir ce qu’ils viennent voir et écouter » tout en sachant qu’ils ne seront pas déçus. Ambitieux programme, on attend alors, avec impatience, d’être surpris !

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12 Mars 2013 http ://www.toomanylambda.fr/BLOG/2013/capture-looking-for-gold/

La cyber interview

Posted by Mina

Chez TML, on est pas �harge�, mais Capture a sorti son tout premier clip hier, le prolongement naturel de Where We All Belong, leur EP sorti en Septembre 2012. Du son indie qui accroche l’oreille à la première écoute, j’ai tout de suite compris que ce jeune groupe avait le �harge�r� d’un grand.

Capture, c’est un groupe de chez nous, de notre ville, qui plait et qui fait pas mal parler de lui en ce moment. Et, comment te dire, c’est super rare en Lorraine. Pour l’occasion, je te propose une cyber-interview avec Alex, le chanteur. Ouais, j’ai eu la flemme de sortir de chez moi aujourd’hui. Alors chacun face à son écran avec un thé à la main, Alex a joué le jeu de l’entrevue virtuelle, merci à lui ❤

Λ : Hé ! �harge de la fac ? tu as pris ton goûter ?

Alex : Je viens de me faire un thé, c’est un bon début non?

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Λ : Ouais impec, parfait pour se relaxer! �harg prêt à avoir les doigts crispés ? car tu vas pas mal écrire maintenant ..

Alex : Dis moi tout !

Λ : Pour être honnête, je connais très peu de chose, sur toi et les musiciens du groupe, alors j’aimerais que tu me parles un peu des débuts, comment Capture s’est formé ? – Je vais me faire un thé aussi le temps que tu m’écrives.

Alex : On s’est formé en 2011. C’est frais. Mais on se connaissait tous parce qu’on était amis d’enfance ou que l’on avait des petits �harge au lycée. On a joué ensemble pendant 8 mois dans une cave, à essayer de trouver un son, une ligne directrice. Notre première �har est sorti en Novembre 2011, Release. Le mois d’après, on faisait des concerts dans des bars devant des potes. Il y a eu un virage en septembre: notre premier EP, l’arrivée d’Ophélie à la batterie, les premiers gros concerts (Breton, BRNS, Tellier) et depuis, tout s’enchaîne très vite.

Λ : Ca tombe bien que tu me parles d’Ophélie, j’ai remarqué son �harge dans le groupe, ça fait quoi d’avoir une �harge �harge�r ? Votre musique a-t-elle-évolué depuis son �harge ?

Alex : On a tout de suite accroché avec Ophélie, alors qu’on ne l’avait �har pas encore entendu faire de la batterie ! Elle était cool, elle écoutait les �harg trucs que nous.

Λ : on est des charmeuses, nous les filles …

Alex : Elle a plutôt bien réussi son coup ! Je pense que ça intrigue les gens, de voir une fille à la batterie, qui est perçue comme un instrument très �harge�r�. Ophé c’est une personne très introvertie, mais dès qu’elle est sur scène, elle change complètement ! Derrière une batterie, elle est à la fois élégante et percutante ! Elle a un style plus épuré, plus �harge�r dans un sens, les chansons respirent, il y a moins de breaks.

Λ : L’aventure se poursuit avec un nouvel EP sorti en septembre 2012, where we all belong, un changement dans la vie du groupe ?

Alex : Ca a été une étape importante pour nous, rien que pour le travail en amont. On est en auto-management, donc ça allait de la composition à la promotion. Ca a aussi été un tournant parce que c’était le premier disque que l’on produisait. C’est toujours un moment �harge� quand tu vois le livreur débarquer chez toi.

Λ : on doit être fière ouais ! Le packaging est super, l’ayant moi-même reçu …

Alex : Après on a eu la chance de collaborer avec des personnes tops qui étaient avant tout des amis. Laura Sifi pour les photos, et Anton Gret pour l’artwork et le clip. Pour revenir à l’EP, ça nous a permis d’avoir plus de visibilité autant sur le public qu’avec les professionnels.

Λ : C’est vrai, parce que vous faîtes partis de la �harge�r� des inrockslab ! ça s’est fait comment tout ça ?

Page 67: Capture RP

Alex : Un ami nous a envoyé le lien des Open Mics, genre une semaine avant. On s’est inscrit tout juste avant la date limite. Et on a été retenu pour aller jouer à Reims, puis là on se retrouve dans les finalistes de la Région, on a �har eu un article dans le dernier numéro … Dingue.

Λ : Oui, je vous ai vu en une du site ce matin ! d’ailleurs on peut toujours �har pour vous ?

Alex : Jusqu’à la fin du mois !

Λ : Alors, chers lecteurs du blog, tu peux continuer à voter pour eux ! et puis hier, encore une grande étape pour vous, le PREMIER clip ! pas trop timide devant la �harge ? qu’est ce que vous vouliez comme ambiance, comme fil conducteur ?

Alex : Et ouais, le tout premier. On voulait �harge�r� l’aspect �harge du projet. C’est Anton, notre graphiste qui s’est �harge� de le �harge�r. On lui a fait entièrement confiance, et vu que l’on travaille en collaboration et non en « commande », on lui a laissé carte blanche. La chanson parle de l’éphémère, du �harge constant et de l’éternelle �har contre l’ennui, de croire que l’herbe est toujours plus verte ailleurs. Le clip traduit la quête de quelque chose d’intangible, c’est un peu mystique: la nuit/la lumière, la �har, la forêt, l’autel.

Λ : C’est réussi en tout cas pour un premier clip, beau travail du graphiste ! C’est une année 2013 bien �harge pour Capture, d’autres projets à l’horizon ?

Alex : Composer encore et encore. Des festivals qui s’annoncent pour cet été aussi, don’t le JDM. Ensuite, retour en studio pour la succession de « where we all belong ». Tenter de s’exporter hors de la Lorraine, réussir à faire ses preuves ailleurs.

Et voilà, on a chacun fini nos thés et éteins nos écrans. Comme le disait Alex, le concours des inrockslab est toujours ouvert, tu peux continuer à voter pour eux ICI ! Et va faire un tour aussi sur leur Bandcamp. Et enfin, je te laisse avec le clip. Allez, bisous!

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11 Mars 2013 http://zut-magazine.com/attrapez-les-tous/

Attrapez-les tous !

La Lorraine est une terre fertile aux jeunes groupes à forts potentiels. Capture, dernière sensation nancéienne, en est la preuve avec un son indie pop froid et plein d’énergie. Les quatre loustics viennent de sortir un nouveau single.

Si elle ne peut compter sur une météo clémente, la Lorraine a pourtant toujours pu compter sur un climat des plus torrides. Les rivalités entre la cité messine et la cité des ducs font l’objet d’un éternel derby, en sport comme en musique. Heureusement, des groupes semblent ne pas être dans cette compétition. Capture, groupe composé de trois mecs et d’une nana à la batterie, met tout le monde d’accord depuis la sortie de son premier EP Where We All Belong en septembre dernier.

Un chant froid et profond, une rythmique solide, de jolies mélodies et un sens certain de la mixité, voilà comment l’on pourrait raconter le groupe qui ne cesse de progresser. Première partie de Sébastien Tellier lors du Nancy Jazz Pulsations, lancement du festival Zikametz, et des scènes partagées avec des groupes comme BRNS ou Breton.

Les membres de Capture confient puiser leurs influences dans l’indie pop et la new wave, et s’ils ont sans doute probablement déjà beaucoup appris de leurs ainés nancéiens, ils sont influencés majoritairement par des groupes de la scène indie internationale : « On aime et écoute beaucoup de groupes comme Bombay Bicycle Club, Everything Everything. Surtout Bombay’ en fait, ils arrivent à créer quelque chose plein de mélancolie qui me transporte à chaque fois », ajoute Amin aux percussions et au clavier.

Dans ce nouveau titre, Alex au chant, explique que le groupe montre aussi des influences différentes de la tendance générale : « On fait de l’indie pop mais on a toujours été dans des choses assez mélancolique et sombre. Avec Florent, le bassiste, on écoute beaucoup de choses punk hardcore alors pour ce single, on a voulu mélanger quelque chose de lourd et massif avec des sonorités dance, dans le sens rythmé du terme. ». Le groupe qui ne souhaite pas brûler les étapes, préfère faire les choses petit à petit : « On ne veut vraiment pas sortir d’album pour le moment, ce serait trop risqué. On essaie de s’exporter un peu avec le live et on part sur la préparation d’un deuxième EP à sortir à l’automne.»

Récemment remarqués en finale des repérages Lorraine du Printemps de Bourges et sur un repérage des Inrocks à Reims, Capture continue son bonhomme de chemin, de briller et de nous convaincre qu’il faudra garder un œil sur eux en 2013.

Page 69: Capture RP

Un nouveau single, doublé de leur tout premier clip, pour la scène, il ne vous suffira plus qu’à ressortir vos lunettes de soleil, votre combi de festivalier et vous déplacer samedi 1er juin à Bulligny pour le Jardin du Michel !

Le Bandcamp de Capture

Par Anthony Gaborit

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11 Mars 2013

http://happy-horrors.org/capture-looking-for-gold/capture

Capture a trouvé son or Par HH

BEAU_ Capture livre son premier clip, Looking for Gold, dans le prolongement de son EP. Beau mais sombre, froid mais chaleureux.

Looking for chaude

Pour ceux qui le connaissent, le plateau de Brabois -sur les hauteurs de Nancy, 5-4 t’entends ?- n’a rien de très romantique. Pourtant, Capture, qui avait l’habitude d’y jouer au ballon lorsque ses membres étaient gamins, a su y trouver l’ambiance qui colle parfaitement à leur titre Looking for Gold.

«On était très déjà très attaché à la nature et au romantisme sur le premier EP, on a suivi la logique sur ce clip», explique à HH Dinh Alexandre, le chanteur du combo nancéien. Ce que confirme Anton Gret, le réalisateur du clip, et accessoirement membre du collectif Animals : «Nous voulions rester dans des ambiances organiques, nature, avec quelque chose de sombre mais pas de triste. Une vidéo qui fait référence à la mélancolie de la pochette mais dont le montage est joyeux».

Page 71: Capture RP

«L’éphémère, la bataille perpétuelle contre l’ennui, l’idée que l’ailleurs serait mieux», selon Dinh Alexandre, sont symbolisés dans Lucie, la jolie blonde du clip. Anton complète : «On avait besoin d’une fille naturelle et charmante. Quelqu’un de beau et sans artifice».

Un peu comme la musique de Capture.

Page 72: Capture RP

9 mars 2013

http://www.laboiteamusiqueinde.com/rencontre-avec-capture/

Interview : Capture by Thomas · in Interviews

Nous vous avions fait découvrir Capture il y a quelques jours à peine, les voici aujourd’hui en interview avec nous. Pour la petite histoire, le jeune groupe nancéien nous emmène avec leur premier EP dans un monde indie-rock comme on l’aime, mélange des Foals et des Vampire Weekend. Voici leur rencontre tout en rigolade et sympathie.

• Bonjour Capture, vous pouvez vous présenter pour ceux qui ne vous connaissent (malheureusement) pas encore ?

Salut La Boîte à Musique Indé ! Et bien on s’appelle Capture, on vient de Nancy et on fait de l’indie-pop-wave-hardcore.

• Parlez-nous de vous, de votre musique, de l’histoire du groupe…

Capture c’est la rencontre de 3 mecs et une nana. On a commencé le groupe il y a deux ans parce qu’on s’emmerdait un peu à rien faire les dimanches après-midi. On s’est retrouvé naturellement parce qu’on était potes et on avait tous des petits groupes à droite à gauche. Au début, on ne savait pas vraiment ce que l’on voulait faire. On a mis une petite année à composer, enregistrer nos premières démos et faire nos premiers concerts. Musicalement on se retrouve à mi-chemin entre l’indie, la wave, la pop.

• Où est-ce que vous puisez vos influences dans la composition de vos chansons ?

On a jamais vraiment été enfermé dans l’indie. C’est vrai qu’on écoute beaucoup de trucs comme Bombay Bicycle Club, BRNS ou Local Natives, mais à côté on est très branché hip hop, électro et même chanson française de mauvais goût aha. L’indie pop est très aseptisé, il faut savoir regarder ailleurs et chercher des trucs singuliers. Nous on aime beaucoup les plans rythmiques hardcore. Ecoute les premiers Gallows ou La Dispute par exemple, c’est mecs là vont te chercher des plans incroyables.

• Vous êtes dans les sélections des inRocks Lab, ça vous fait quoi ?

On ne va pas dire que ça nous déplaît. On a même eu un article dans le magazine en découverte du Lab, c’est plutôt flatteur et encourageant. A la base du projet, on faisait de la musique pour s’amuser entre nous. Petit à petit les gens commençaient à s’intéresser à ce qu’on l’on faisait. Les Inrocks Lab c’est d’abord la chance d’une exposition nationale donc une très belle opportunité.

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• Votre EP est autoproduit, c’était important pour vous de le faire vous même ?

Ca a été très formateur pour nous. On a pu découvrir toutes les facettes de la production d’un disque, de l’écriture au pressage en passant par la communication et le studio. C’est important pour une première production et ça a été une super expérience malgré l’investissement que cela demande.

• On ressent un mélange de Sébastien Tellier et Revolver sur cet EP, d’ailleurs vous les avez épaulés sur scène, c’était comment ?

Je crois que c’est la première fois que l’on cite ces noms en comparaison ahaha. On a pu jouer avec eux en octobre dernier à l’Autre Canal pour les Nancy Jazz Pulsations. C’était une super soirée, on a pu les rencontrer et on a joué devant 1200 personnes, la folie !

• Pourquoi « Capture » ?

On aimait bien le concept de « motion capture », capturer un instant, un mouvement. Après ça nous arrangeait aussi parce qu’il se prononce bien en anglais et en français. On a mis plusieurs mois avant de tomber dessus, dès qu’il est sorti on a dit « on prend celui là ! »

• Petit quizz maintenant, le premier album que chacun a acheté ?

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Dinh Alexandre : Shaggy – I wasn’t me

Florent : Manau – Panique celtique

Ophélie : Tragédie – Tragédie

Amin : Cheb Khaled – 1 2 3 Soleils

• La chanson que vous écoutez en boucle ?

Dinh Alexandre : Hold On de SBTRKT

Florent : Wide Eyes de Local Natives

Ophélie : Dark Allies de Light Asylum

Amin : It should be fine de Arch Woodman

• L’objet indispensable au quotidien ?

Dinh Alexandre : un slip propre c’est important

Florent : mon ipod pour écouter Manau

Ophélie : mes lunettes sinon j’vois rien

Amin : Un cerveau

• Plutôt noir ou plutôt blanc ?

Dinh Alexandre : Le noir c’est intriguant

Forent : Plutôt bleu

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Ophélie : Entre deux. Gris, comme mon chat.

Amin : Noir, comme mon chat

• Plutôt jour ou plutôt nuit ?

Dinh Alexandre : La journée, le soleil et les jupes

Florent : La nuit, mais seulement la pleine lune

Ophélie : Plutôt frite

Amin : C’est quoi ça le jour ?

• Le dernier album que vous ayez acheté ?

Dinh Alexandre : Holy Fire de Foals

Florent : Arc de Everything Everything

Ophélie : Tragédie de Tragédie

Amin : Unapologetic de Rihanna

• Un livre de chevet ?

Dinh Alexandre : 1984 de Murakami, sisi la famille

Florent : Harry Potter

Ophélie : Les étapes de la pensée sociologique par Raymond Aron

Amin : La pêche et les poissons magazines

• Plutôt studio ou plutôt scène ?

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Je crois que l’on est tous d’accord sur la scène ! C’est un moment spécial, un peu intense, un peu drôle, un peu intime, un peu violent, un peu aléatoire. Tout ce qu’on aime !

• L’artiste avec qui vous rêvez de jouer ?

Dinh Alexandre : Slayer

Florent : Little Comets

Ophélie : Tragédie

Amin : Julien Clerc

• Un dernier message pour la fin ?

Dinh Alexandre : « Force et honneur pour LBMI !»

Florent : « tobogan »

Ophélie « la vie est Tragédie »

Amin : « pépito »

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1er Mars 2013

http://magazine-karma.fr/live/live-report-antipop-sur-folk-chez-paulette-1er-mars-2013/

Live Report : Antipop sur Folk – Chez Paulette

Pour sa première édition, l’Antipop sur Folk, évènement musical mettant en avant la folk bien sûr, mais également le rock, s’est offert le luxe de poser ses valises Chez Paulette, la salle mythique. L’équipe du Magazine Karma y était pour vous faire revivre les émotions de cette soirée.

La route fut longue pour arriver à Pagney-derrière-Barine, village situé juste à côté de Toul, et si mon sens de l’orientation est loin d’être mauvais, je dois l’admettre, je n’y serais jamais arrivé sans un GPS. Mais après ces kilomètres, il est temps de se mettre au travail. Car ce soir ce ne sont pas deux, trois, mais bien quatre prestations auxquelles nous allons assister.

Si la prometteuse affiche de cette soirée s’est vue amputée d’un groupe à quelques jours de l’évènement (The Yokel ayant été contraint d’annuler leur participation pour cause de blessure du chanteur-guitariste), l’équipe de Le Phare Prod ne s’est pas laissée abattre. Chez Le Phare, quand on promet quelque chose, on tient parole. C’est finalement à Florian Schall qu’est incombé la lourde tache de sauver la situation. Déjà chanteur et guitariste de Twin Pricks, le Messin s’est vu offrir la première danse de la soirée, en solo.

Une guitare électrique et un Florian Schall, il n’en faut pas plus pour former The Holy Mundane. Pendant une trentaine de minutes, il nous emmène dans son univers. Un univers qu’il nous fait visiter au rythme de ses sombres compositions et de quelques reprises. Si la mélancolie fait partie intégrante de sa musique, celle-ci n’en reste pas moins agréable à écouter. On se prend à suivre cet étrange personnage dans son voyage intérieur et on laisse un sourire se dessiner sur nos visages aux commentaires timides de l’artiste entre les morceaux. L’ambiance est intime et, même si le public est épars, l’émotion est bien là. Une très belle mise en bouche qui nous a été offert par un artiste qui n’a pas fini de nous surprendre ce soir.

Mais pour l’heure, il est temps d’accueillir sur scène Craig Bjerring, alias Oldseed. Mais qui est Oldseed me demanderez-vous ? Et bien à vrai dire, alors qu’il monte sur scène dans sa chemise à carreaux (oui, celle-là même que l’on imagine à l’évocation du Canada), je n’en sais pas plus que vous (on ne peut pas tout savoir n’est-ce pas ?). C’est donc avec un plaisir non dissimulé que je découvre la country-folk de ce Canadien émigré en Allemagne. Dans un style assez proche de ce que peuvent faire Eddie Vedder ou Aaron Lewis, Oldseed nous raconte sa vie, ses ressentis, dans des textes à la fois simples et beaux. Uniquement accompagnée de sa guitare acoustique, sa voix, tantôt puissante, tantôt douce, nous transporte et nous donne des frissons qui ne disparaîtront que bien après sa descente de scène.

Ne se laissant pas intimider par la barrière de la langue, Craig nous offre quelques anecdotes et commentaires assez drôles sur ses morceaux et invitera Florian (Schall, encore et toujours !) à se joindre à lui pour un verre de vin.

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Hélas, le malheureux devra décliner l’invitation car c’est à présent au tour de Twin Pricks, dont il est chanteur et guitariste, de prendre d’assaut les planches de Chez Paulette. Contrairement à ce qu’indique leur nom, les Twin Pricks (littéralement « Jumeaux Cons ») sont en réalité quatre. Le duo d’origine a en effet été rejoint par un bassiste et un batteur, amenant à l’ensemble du set une couleur bien plus rock qu’à l’origine. Si dès les premières frappes on sent les influences métal/hardcore du batteur, on se rend vite compte du talent présent sur scène. Proposer des schémas de batterie tirés métal ralentis pour s’adapter à des morceaux pop-rock, il fallait y penser. Résultat : un rock progressif aux élans pop suffisamment bien disséminés pour ne pas gêner l’auditeur lambda.

Une musique énergisante et électrisante dont on n’est jamais rassasié. Une chose est certaine, on attend avec impatience l’album, dont la date de sortie n’est, malheureusement, pas encore fixée.

Capture - Photo : Matthieu Henkinet

Si les émotions de ce soir sont, jusqu’ici, fortes, l’heure tardive ne nous empêche pas d’attendre avec un intérêt particulier la prestation de Capture. Les jeunes Lorrains, dont le set n’avait pas vraiment convaincu l’un de mes confrères, s’installent rapidement sur scène et démarrent leur show. Premier constat : c’est fort. La basse résonne jusqu’au centre de ma cage thoracique et chaque frappe de batterie semble pouvoir ébranler un mur. Passée la première vague, on discerne pourtant un ensemble agréable et harmonieux. Un rock électro comme, certes, on en entend beaucoup, mais néanmoins parfaitement exécuté. La prestation est carrée et dynamique et l’on passe un très bon moment à écouter le groupe et à se laisser porter par les notes de leurs compositions. Une clôture de soirée à la hauteur, donc, de tout le reste.

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Seul point noir de la soirée : le public. Une très bonne affiche, des prestations de qualité et un lieu mythique n’auront, malheureusement, pas suffit à faire déplacer les foules pour ce premier Antipop sur Folk. La faute, probablement, aux vacances scolaires ainsi qu’à la localisation du lieu (venir à Pagney-derrière-Barine sans voiture doit être un véritable parcours du combattant… surtout un vendredi soir !). Espérons que ce manque d’affluence ne découragera pas les organisateurs qui ont tout de même proposé aux présents une très belle soirée et une organisation impeccable pour ce coup d’essai !

Article : Dom Panetta

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Février 2013 http://www.froggydelight.com/article-12977-Capture_Summer_Cult_Of_Luna.html

Capture Where We All Belong EP (Autoproduit, septembre 2012)

Tout jeune groupe d’à peine vingt ans en provenance de Nancy, Capture est en train de se faire un nom en Lorraine, et espérons-le pour eux en France, grâce à des concerts convaincants (en première partie de Breton, Sébastien Tellier ou BRNS notamment) et à un EP qui rappelle aussi bien Bloc Party, Arcade Fire que Foals ou Klaxons.

Trois jeunes garçons et une sorte de Moe Tucker juvénile, qui ont une courte carrière et donc sont en plein apprentissage du métier (premier passage studio, première scènes importantes, premières résidences) mais qui ont compris beaucoup de chose à l’efficacité indie-rock. Pour s’en rendre compte, il suffira d’écouter ce Where We All Belong où se cache en autre "We rise, we sink" petite bombe du genre.

Records Are Better Than People Février 2013 http://recordsarebetterthanpeople.tumblr.com/post/40827793040/living-la-vida-local-pt-34

LIVING LA VIDA LOCAL (pt 34)

Premier maxi pour ce jeune quatuor nancéien. Ophélie, la batteuse, a dix-huit ans. Et une rigueur rythmique à te dégoûter de la vie. Je te laisse imaginer l’immense marge de progression. Il en va de même pour Florent (basse, solide et inspiré), Amin (percus et synthés, trublion arrangeur) et Alex (guitare/chant, d’une puissante fragilité). Vingt-trois ans de moyenne d’âge. Ces quatre-là n’en sont qu’au début d’une “carrière” musicale que je leur souhaite aussi riche et prometteuse que les trois premiers titres présents sur ce Where We All Belong inaugural. En un peu moins de douze minutes, le quatuor pose le décor. Les guitares cristallines répondent aux nappes de synthé aquatique. La basse et la batterie jouent au chat et à la souris. Le chant évoque une rencontre entre un David Sylvian tourmenté et un Julian Casablancas timide. Profond mais pas encore totalement assuré, il me régale lorsqu’il lâche la bride.

Ces jeunes gens n’ont fort heureusement pas subi les années 80. Cette décennie malheureuse pour la musique populaire ne sera donc pas fantasmée ici. L’écueil habituel est évité. CAPTURE a en revanche l’honnêteté d’assumer les influences de ces revivalistes des années 2000 que sont les STROKES (référence incontournable pour tout groupe de rock qui se respecte), VAMPIRE WEEKEND (l’inspiration post-TALKING HEADS) et FOALS (j’ai beau haïr ce groupe, j’avoue que leur vulgarisation du mathrock des années 90 tient à peu près la route). Leurs véritables inspirations. Quid du live, dans tout ça ? Ce n’est pas encore terrassant mais ça a déjà compris pas mal de choses. Ca joue sans bavardage superflu. Des concerts efficaces pliés en trente petites minutes. Sans esbroufe, droit à l’essentiel et avec ce poil d’humour douteux qui fait rire après coup (le pull d’Amin).

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M’est avis que 2013 risque d’être une année bien riche pour CAPTURE et que l’on n’a pas fini d’en entendre parler.

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23 Janvier 2013 http://daskuma.com/capture-2013-et-where-were-all-belong/

Capture, 2013 et « Where Were All Belong »

Les nancéiens peuvent être fiers de voir évoluer depuis peu le très jeune groupe Capture. Ce quatuor très prometteur dont les membres semblent avoir à peine vingt ans, n’en est qu’à son premier Ep, Where Were All Belong, autoproduit (faisant suite à une démo) et sorti en septembre dernier. Mais ils nous ont déjà largement convaincu avec ces premiers titres, et ce n’est pas leur dizaine de premières dates qui nous fera penser le contraire. Pour les avoir vus assurer en première partie de Sébastien Tellier ou encore BRNS, nous sommes persuadés que ce jeune groupe va vite faire des émules.

Pas encore prêts à produire un album entier, ils continuent tout meme de travailler leur projet avec sérieux. Alexandre, le chanteur, nous confiait il y a peu :

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On prévoit un passage studio très prochainement pour sortir un morceau courant Mars. D’ailleurs, on compte faire notre premier clip maintenant qu’on a l’occasion de développer l’aspect visuel du groupe.

Effectivement, en très peu de temps le groupe a grandi et s’est affirmé comme groupe de pop indé en devenir. Finaliste des présélections régionales pour les Découvertes du Printemps de Bourges, et accompagné par d’autres dispositifs de repérages régionaux, Capture n’en est qu’aux prémices de la professionnalisation, mais leur musique sonne déjà avec une intensité très mature. Ils reconnaissent d’ailleurs le soutient dont ils ont bénéficié et précisent qu’ils ne grillent pas les étapes :

Le projet était en rodage toute l’année 2012, c’était l’année des premières fois : le premier passage en studio, le premier EP, les premières résidences, les premières grosses scènes. Notre objectif est d’abord de confirmer tout ce qui nous a été transmis, notamment sur scène, mais aussi de proposer des choses … On a eu la chance d’avoir un gros support local cette année, après il faut savoir s’exporter et faire ses preuves en dehors de sa région.

Les trois jeunes garçons et la jeune demoiselle à la batterie qui balance le tempo, (trop rare pour ne pas être souligné), maîtrisent la pop anglo-saxonne avec naturel et efficacité. Comme s’ils étaient nés dedans, et imprégnés par cette culture musicale influencée par Bloc Party, Bombay Bicycle Club, ou Vampire Weekend. Et Foals inévitablement. En attendant les nouveautés à venir pour 2013, revenons sur les trois titres de Where Were All Belong qui reflètent déjà presque trois tubes.

We Rise We Sink tout d’abord qui reste dans la tête, avec une guitare quasi tribale surplombée par la voix grave et profonde du jeune chanteur. Un titre fort complété par un clavier presque new wave qui rend l’ensemble assez majestueux et prend aux tripes. Le titre est clôturé par quelques mesures de percussions qui tombent à pic. Un final en beauté qui ouvre la voie à To Make Light, un titre tout aussi percutant. La rythmique pop rock bien calée sur un refrain tout en répétition nous enivre. Et c’est là que l’on se dit qu’ils sont déjà très forts. Car ici on aimerait que ça décolle, et c’est ce qu’il se passe, après les

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deux premières minutes. Alors à ce moment là, on a envie de dire à Capture à la fois bravo et merci. The Architects, enfin, se veut tout aussi radical que les deux premiers tellement sa composition est bien foutue. Un couplet abyssal chanté-parlé, coupé par un petit pont crescendo du groupe en chœur, un clavier bien posé, une mélodie simple sur une instrumentation technique plus complexe et des arrangements bien pensés…Un bijou de pop rock en somme, vu le jeune âge du groupe, presque racoleur tant il nous laisse présager un délice à venir.

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3 Décembre 2012 http://www.laplumeculturelle.com/Capture-bien-decide-a-nous-attraper-a-Metz_a3056.html

"Capture" bien décidé à nous attraper à Metz

Le groupe sera sur la scène des Trinitaires de Metz pour les 5 ans de La Plume Culturelle.

Where we all belong

Jeudi 13 décembre, les Nancéens de « Capture » seront en outre sur la scène de l'Autre Canal à Nancy afin de défendre cet E.P, « Where we all belong ». Composé de trois titres, c'est le premier du groupe depuis « Release » en novembre 2011. Alors, pourquoi un E.P et non un album ? « Rester sur un format trois titres, c'est pouvoir présenter au public des nouveautés à intervalles plus réguliers, nous explique Dinh Alexandre. » Une façon de procéder qui laisse entrevoir l'esprit perfectionniste qui anime « Capture ». « Nous souhaitons que tout Capture relève de l'autoproduction, nous confie le chanteur, cela nous permet d'être cohérents dans notre démarche en proposant au public un univers qui l'est lui aussi. » Pour respecter ce souci de cohérence, les membres se retrouvent impliqués dans tous les rouages, de la conception jusqu'au visuel. Ce dernier, réalisé d'après une photographie de Laura Sifin et avec l'aide d'Antoine Gret, a pour but de nous interroger sur la place de l'Homme face à la nature et sur notre raison d'être dans ce monde. Un programme chargé en somme au sein duquel « Capture » parvient à nous retenir sans difficulté.

Un avant-goût de ce qui nous attend avec Capture ©LPC | Cédric Mathias

Il y a des anniversaires plus importants que les autres et l'on peut dire que celui qui célèbre cinq années d'activités fait partie de ceux-là ! Pour l'aider à souffler ses cinq bougies,« La Plume Culturelle » a fait appel à « Capture », chargé de donner le coup d'envoi des festivités le 14 décembre prochain. Aux sources du projet, on retrouve quatre amis qui partagent le plaisir de se réunir pour « vivre et créer des choses ensemble », comme nous l'apprend Dinh Alexandre, guitariste et chanteur du groupe. Par ses textes et sa musique aux sonorités cold-wave rappelant parfois « The Cure », « Capture » se démarque en proposant un univers où se mêlent ombres et lumières, feu et glace, jour et nuit, pour un résultat qui joue sur les contraires. Cette ambivalence, aidée par des guitares efficaces et des claviers hypnotiques, permet à « Capture » d'accrocher dès les premières notes l'oreille de l'auditeur, lequel prend un plaisir immédiat à venir se perdre dans le jeu de ce groupe qui a déjà su faire parler de lui. Avec la sortie de son E.P « Where we all belong », le groupe compte bien offrir au public une nouvelle démonstration de son savoir-faire. Pari gagné ?

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Plus Joy Divison que The Beatles Mais qu'on ne s'y trompe pas : « Capture », sous ses airs parfois aériens, reste une formation profondément rock. « Nous avons toujours été plus Joy Division que The Beatles », ajoute Dinh Alexandre dans un sourire. Cet état de fait s'explique par la culture très anglophone dans laquelle baignent les membres du groupe, et de laquelle ils tirent leur principale source d'inspiration. Il y a fort à parier qu'on entendra encore le son « Capture » à l'avenir tant le projet des quatre amis détient quelque chose de parfaitement envoûtant. Après s'être plongé dans cet univers froid qui est le leur, on ne peut qu'avoir hâte de découvrir comment l'univers du quatuor prend corps sur scène ! À noter quer L'E.P « Where we all belong » se retrouve en écoute gratuite sur le site Internet du groupe ainsi qu'en téléchargement légal sur le web. En clair, aucune excuse donc pour ne pas connaître par cœur les titres de « Capture » lors de leur passage aux Trinitaires de Metz le 14 décembre prochain pour les 5 ans de « La Plume Culturelle !

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7 Novembre 2012 http://desimposture.com/2012/11/07/capturenouvelep/

Capture : « Le premier EP, c’est quelque chose »

Plus d’un an après sa formation, Capture dévoile un premier Ep plein de promesses.

« Le dimanche, t’as le choix entre dormir ou faire des matches de foot. Nous, on a choisi de faire de la musique ». A milles lieues des stades et loin de l’oreiller parfumé à la bière du samedi soir, ces quatre potes de lycée ont préféré s’enfermer dans une cave pour composer, pendant 8 mois. Les dimanches ont vite empiété sur les semaines et l’aventure de Capture a pris une tournure à faire pâlir les aînés. Des petits bars de ruelles aux gros festivals lorrains, le groupe a commencé à se faire un nom et c’est un grand ciel bleu qui les accueille désormais quand ils partagent la scène avec Breton, Brns ou Sébastien Tellier. Un horizon éblouit par le beau temps. Bref, l’inverse de leur musique. Car un ciel gris désarticulé, presque noir à ses heures perdues, dégage beaucoup plus de sentiments et d’émotions que n’importe quel soleil sur la Meurthe. Beaucoup plus de romance. Beaucoup plus de tout en sorte. « J’ai toujours aimé les groupes aux univers sombres comme les White Lies ou The National, confie Alexandre, guitariste et chanteur. C’est sans doute pour ça qu’on essaie de s’approcher au maximum de la frontière entre l’ombre et la lumière, le chaud et le froid. On cherche à installer une ambiance particulière ». Comme celle de la vie. De ce que l’on voit chaque jour au pied de sa porte. Des choses que la rue nous témoigne. D’un film, d’une fille, d’un souvenir. De la joie et du reste. Tout est bon pour composer, tant que l’ivresse est là. Et à force de photographier ce quotidien, Capture vient de signer son premier EP. Une pépite musicale, parfaitement maîtrisée, colorée à douces mesures de guitares planantes et de rythmiques cassantes. La voix sublime l’ensemble. « C’est toujours un moment spécial pour un jeune groupe, comme le résultat d’un long processus. Ton travail se retrouve pour la première fois entre tes mains, sur un disque. Tu poses vraiment les racines de ta musique à plat en fait, c’est quelque chose ». Mais ce n’est pas ce qui va arrêter pour autant ces quatre nancéiens, les yeux déjà braqués sur l’avenir. Ils sont prêts à bondir pour la suite. « Dans ce milieu, il faut savoir garder une certaine dynamique, ne pas se reposer sur ses lauriers. On a d’ailleurs des morceaux inédits de prévus pour le printemps ». A peine remis de la claque prise à l’écoute de l’Ep, on a déjà envie de tendre l’autre joue pour recevoir la prochaine.

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Crédit: Laura Sifi

Je suis contente d’avoir maîtrisé mes pulsions humoristiques à deux balles et d’avoir exprimé mon ravissement à l’écoute de Where We All Belong qui est un joli jeu de lumières musicales entre côté obscur et côté lumineux de la Force. Tout est dit. Bravo.

J’oubliais la petite étoile d’il y a 9 lignes : *hélas on ne le fait pas faute d’écouteurs waterproof. [crowd applause + laugh]

A vite, par exemple le 9 novembre au Totem de Maxéville avec Capture, Yeti Lane et BRNS !

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27 Octobre 2012 http://www.indiemusic.fr/2012/10/27/capture-where-we-all-belong/

Capture – Where We All Belong ou la Force Unifiée Par Léa Jiqqir

[Avertissement: J'ai décrété que j'arrêtais les jeux de mots foireux et faciles, les calembours et autres boutades à l'humour douteux, mais c'est fichu d'avance, j'en ai des tonnes en stock. À toi de les retrouver, il n'y a pas d'indices. Pardon d'avance.]

Bref, tandis que certains s’obstinent encore à aller voir les Stones qui eux-mêmes s’obstinent encore à forcer sur les prothèses et monter sur scène pour pécho de la jeune fille, l’équipe d’indiemusic se préoccupe des nouveaux arrivants qui préparent leur putsch musical en douce. Fourbes.

Jusque-là inconnu sur indiemusic, le groupe Capture mérite tout de même sa place au sein de nos protégés indés. Après quelques chouettes démos mises en ligne l’an dernier, les quatre Nancéiens de Capture nous ont dévoilé leur premier EP « Where We All Belong » en septembre dernier (inutile de préciser que ma ponctualité laisse à désirer).

Capture, c’est un peu les petits demi-frères des White Lies, les cousins de The National, les enfants adoptifs d’Interpol, et les petits enfants par alliance des précepteurs de la vague froide, ou côld ouayve anh (famille de rêve). Capture libère une douce brise de fraîcheur (désolée si ça sonne comme une pub pour désodorisant pour les WC) qui remonte le temps en passant par l’indie-rock des Bombay Bicycle Club, la new wave des vieux habitués de l’Haçienda et j’en passe. Une première structure alors solide autour de laquelle gravitent et fusent dans tous les sens d’autres influences plus pop gaie/gay et des mélodies tantôt plus frivoles, tantôt plus mélancoliques.

Where We All Belong est une habile fusion entre sombre cold-wave et pop colorée dont les synthés qui simulent une symphonie et la guitare rutilante se battent en duel, arbitrés par la voix suave de Dinh Alexandre. Et en plus il y a des jam blocks « poucpouc », et c’est bien les jam blocks, ça ajoute une touche

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d’exotisme qui complète le métissage du groupe. Les trois titres « We Rise, we sink« , « To make light » et « The Architects » s’enchaînent passant de la lumière à l’ombre, côtoyant l’océan et l’air, un peu comme si l’EP gagnait en obscurité au fil des morceaux.

L’EP de Capture donne l’envie d’un plongeon* jusqu’au fin fond du Pacifique, il nous emmène en terre inconnue, dans un univers à la fois glacial et onirique (notez que j’aime beaucoup trop ce mot), où l’on se balade en sous-marin ou l’on franchit le mur du son en chute libre avec Félix Baumgartner. Tout ça pour vous dire que pour un premier EP, les quatre conquérants se sont drôlement bien débrouillés pour atteindre un résultat qui est pour nous une belle surprise. Et on attend la suite.

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22 Octobre 2012

http://exypop.wordpress.com/2012/10/22/live-report-capture-revolver-tellier-une-partie-de-bras-en-lair/

Live Report : Capture + Revolver + Tellier. Une partie de bras en l’air.

C’était vendredi dernier, à l’Autre Canal. Là où tout le Nancy hipster semblait s’être donné rendez-vous. Car oui, nous sommes en Octobre, et comme chacun sait, Octobre à Nancy rime avec NJP. 20h30, je rentre donc, aussi stoïque que Lana del Rey sur scène : minuit et quelques, je suis sortie aussi charmée que de la chocolaterie de Willy Wonka. Ou plutôt, aussi repue qu’une jeune fille longtemps mal baisée qui vient de connaître son premier orgasme.

Vous trouverez peut être mes mots trop crus, mais pour comprendre, il faut l’avoir vécu. Je ne parle pas de sexe, je parle bien de cette soirée carrément impromptue qui m’a prise, oui, par surprise.

• Capture, musique paradoxale.

Pour ceux qui n’en auraient entendu parler, Capture est un jeune groupe Nancéen lancé l’année dernière. Quatuor aux accents de Foals, touches d’electro, rythmique parfaite. Un rendu extra professionnel étonnant, un succès régional : un groupe que l’on pourrait qualifier de « frais », dans le jargon branché, l’on s’entend.

Mais sur scène et dans la salle, le rendu est encore plus fort et entraînant, le public charmé par la parfaite harmonie des sons mais aussi par cette fête délicieuse des oreilles. L’alchimie musicale de Capture fait effet. Je les ai trouvés droits et décalés, froids mais chaleureux, tantôt calmes tantôt détonants, perdue dans mon interprétation. Applaudissements généraux, spontanés, mérités. Un mélange de basse, guitare légère, percussions et boîte à rythmes plus ou moins exotique, voix grave se fondant dans l’instru. Ils sont là mais ailleurs, murmurants puis chantant à gorge déployée, enivrants. A la toute dernière chanson, les quatre membres de Capture finissent tous baguettes à la main, frappant à l’unisson sur des percussions résonnant, m’atteignant, me touchant jusqu’à la moelle épinière. Un entremets délicieux pour la sortie de leur dernier EP, Were We All Belong.

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• Revolver, une impeccabilité à étincelles.

Léger moment de répit pour me remettre du concert précédent, je n’ai pas l’honneur d’assister à toute la prestation des trois Parisiens. Surprise ! Ils sont cinq sur scène, dont un qui fait généralement du tambourin en guignolant sur scène, ou du violoncelle (et non de la contrebasse, en effet) à ses moments perdus. Mais je suis directement prise de regret en entrant dans la salle : alors que Revolver joue de sa petite chanson triste (The Letter. C’était très joli d’ailleurs), je me maudis de ne pas avoir vu le début de la prestation. Car oui, c’est du son de plutôt bonne qualité.

Certes, je m’y attendais : mais sur scène, eh bien ça en jette plutôt. Il y a ce contrôle, cette balance des instrus et des voix, des décalages très contrôlés, cette envie de contribuer à leur musique. Et puis soudain, le groupe nous octroie une fraîche parenthèse rock’n'roll, aussi explosive qu’un feu d’artifice devant la Tour Eiffel un 14 Juillet. Les corps se déchaînent, sur scène comme dans le public, et se laissent alors entraîner dans des riffs maîtrisés et une rythmique typique 70′s. Revolver, c’est donc une musique impeccable, (deezer) un rock alternatif lisse comme une peau liftée. Peut être un peut trop lisse d’ailleurs. Leur présence scénique atténuait quelque peu cet effet j’imagine. Comme ma tête se balançait et mes jambes bougeaient malgré elles, j’en conclus que leur musique m’a beaucoup affectée quoi qu’il en soit. Je suis sortie, et j’ai dit à une de mes amies : « A un moment, je te promets, c’était le bonheur. »

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• Sébastien Tellier : j’ai fait dans ma culotte.

C’est pas comme si je ne m’y attendais pas : en fait si. Rien à voir avec la version studio, rien à voir avec l’idée que je m’en faisais. Pauvre de moi, je ne comprenais pas encore cette fièvre ambiante qui se dégageait de mes congénères, tassés tout devant, avant même que le concert final ne commence. Puis tout à coup, une (prévisible) lumière bleue, révélant au fond de la scène l’imposant symbole rond de Sébastien Tellier : un pépito. Bleu. Et tel un « Dieu Bleu » (cf l’ »Alliance Bleue« ), l’homme, barbe et cheveux longs, affublé de lunettes de soleil, apparaît bras ouverts sur fond de sa septentinelle chanson « de ralliement » (Pepito Bleu), acclamé par ses « fidèles » : une foule en délire. Sa présence est décalée, presque politiquement dérangeante, ses mots maladroits : tout un personnage. Et soudain une première chanson qui fait immédiatement bouger la foule.

Sébastien Tellier est à la guitare, au clavier ou au micro, accompagné de musiciens, et dirige cet orchestre de sons d’un autre espace-temps. Les néons sur la scène s’illuminent de bleu et le public ne pense plus qu’à faire un avec la musique. Traduction : tout le monde danse. Moi y compris. Ambiance électronique pondérée et sensuelle devant laquelle je ne pouvais rester stoïque, envoûtement à chaque chanson. Des chansons entre lesquelles nous écoutons sans perdre miette les interventions de Tellier, tantôt mystique, tantôt drôle : puis la suivante reprend, vite, car la foule en veut encore plus, car elle a soif de plus de mouvement. Les corps sont en chaleur, moites, rapidement en sueur, l’on s’éponge le front entre deux autres gestes. L’on lève un bras, l’autre, on tend les mains vers la scène : les applaudissements sont furieux. Et Sébastien Tellier reste toujours aussi simple dans son délire, terminant par un brillant et délicat « L’amour et la Violence » au piano, que tous chantent en chœur. Lorsqu’il quitte la scène, on se sent repus. Comblés. Heureux.

Et l’on se dit : « putain, quel concert, putain, quelle soirée. »

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CAPTURE Revue de Presse Radios et TV

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LE MOUV

Émisison “Le 16-18”

Découverte du jour avec un titre.

http://www.lemouv.fr/player/reecouter?play=122134

Diffusion le 29 Janvier 2014

OUÏ FM

Émission “Le Bureau de Productions Indépendantes”

Itw phoner + 1 titre

Diffusion le 17 Janvier 2014

FRANCE 3 RÉGION LORRAINE

Émission du JT Régional du 12-13

Itw en direct

Diffusion le 19 Décembre 2013

LE MOUV

Émisison “La Matinale”

Présentée par Cyril Sauvageot

Passage d’un titre comme “coup de Coeur du jour”

Diffusion le 12 Novembre 2013

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RCN

Émission “British Base”

Itw

Diffusion le 4 Novembre 2013

RADIO FAJET

Émission “What The Fuzz”

Itw + Titres acoustiques

Diffusion le 22 Octobre 2013

FRANCE 3 RÉGION LORRAINE

Émission du JT Régional de 19h

Itw différée

Diffusion le 22 Octobre 2013

MIRABELLE TV

Émission “Le Grand Rendez-Vous”

Itw + Titre acoustique.

Diffusion le 21 Octobre 2013

RADIO CAMPUS LILLE

Emission “Starting Block”

Diffusion le 29 Avril 2013

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Itw + Titres

http://plus.franceculture.fr/partenaires/radio-campus-france/starting-block-speciale-demi-finale-inrocks-lab-lille

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