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Bulletin d’information de votre commissaire scolaire

Volume 2 – Numéro 1 Le mardi 25 aout 2009

Des brèves électroniques vous informant sur des faits et des gestes qui font la fierté de la commissaire scolaire qui vous représente au sein de la plus importante institution

scolaire du Québec.

Tantôt des faits dignes de mention, tantôt des préoccupations qui méritent d’être partagées, ou encore

des décisions qui sont prises pour le bénéfice de l’ensemble des élèves, mais aussi de celles et ceux qui,

quotidiennement, font l’école. Dans une institution publique qui voit aussi loin que l’on puisse voir! Dominique Cousineau

Circonscription 5 La Petite-Patrie–Parc-Extension–Villeray

Vous pouvez me joindre par téléphone en composant le 514 596-7541. Vous pouvez également m’écrire à dominique.cousineau@memo.qc.ca. Si vous souhaitez me suggérer d’autres destinataires, cesser de recevoir ce bulletin, réagir au contenu ou encore me transmettre des renseignements pour que je les reprenne dans le prochain numéro, n’hésitez surtout pas à m’en faire part par retour de courriel. Si vous avez manqué des numéros,

vous pouvez les retrouver sur notre site Internet à http://memo.qc.ca/cousineau-infolettre.

NOTE : Si vous n’arrivez pas à accéder à un lien Internet du présent PDF en cliquant dessus,

vous n’avez qu’à sélectionner l’adresse avec votre curseur et à la copier dans la barre d’adresse de votre navigateur Internet pour atteindre la page désirée.     Nouvelles institutionnelles  

AAuussssii llooiinn qquuee ll''oonn ppuuiissssee vvooiirr...... LLeess vviissaaggeess ddee llaa rrééuussssiittee MMeessssaaggeess ooffffiicciieellss àà ll''ooccccaassiioonn ddee llaa rreennttrrééee ssccoollaaiirree 22000099--22001100  

À l’occasion de la rentrée scolaire 2009‐2010, la présidente de la CSDM, madame Diane de Courcy, et  le directeur général, monsieur Gilles Petitclerc,  recevaient quelque 600 directions et directions adjointes  de  nos  établissements  à  l’occasion  d’un  cinq  à  sept  qui  avait  lieu  jeudi  dernier,  le 20 aout 2009, au Marché Bonsecours, à côté de l’hôtel de ville de Montréal.  On peut prendre connaissance du discours de la rentrée scolaire 2009‐2010 de madame De Courcy au : www.memo.qc.ca/IMG/pdf_Discours_rentree_2009‐2010_‐_DDC.pdf  et de celui de monsieur Gilles Petitclerc, directeur général de  la Commission scolaire de Montréal, au : www.memo.qc.ca/IMG/pdf_Discours_rentree_2009‐2010_‐_DG.pdf  

 

UUnn bbuuddggeett 22000099--22001100 eenn «« ééqquuiilliibbrree »»  En Conseil des commissaires le 22 juin dernier, nous avons adopté le budget de la CSDM pour l’année financière 2009‐2010 qui a commencé le 1er juillet. Une fois que le déficit directement lié aux nouvelles normes comptables et « couvert » par le gouvernement du Québec est enlevé, ce budget est équilibré, tout comme l’était celui de 2008‐2009.  

Les revenus attendus s’élèvent à 834 M$.  Il s’agit d’une hausse de plus de 44 M$ par rapport à  l’année qui s’achève. Comme nos revenus tirés de la taxe scolaire sont quasi stationnaires (hausse de 1,4 %), ce sont l’augmentation des subventions du Ministère et de nos revenus généraux qui constituent l’essentiel de cet écart.  Les dépenses sont estimées à 845 M$. Le déficit de 10,5 M$ est  lié aux nouvelles normes comptables et assumé par  le Ministère. Évidemment,  la rémunération de notre personnel occupe  l’essentiel de nos dépenses, à savoir 654 M$. Cela représente 77 % des 

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dépenses, en légère hausse par rapport à l’année scolaire qui vient de prendre fin. L’augmentation des subventions ministérielles est ainsi directement liée à l’augmentation de la rémunération de notre personnel.  L’autre poste budgétaire en hausse significative est celui des  investissements « physiques » dans nos établissements. Nous avons d’ailleurs également adopté, le 22 juin dernier, le budget d’investissement et la liste des travaux prioritaires 2009‐2010.   

BBuuddggeett 22000099--22001100 ddee llaa CCSSDDMM :: qquueellqquueess ccllaarriiffiiccaattiioonnss  Le maintien des services aux élèves Le  budget  2009‐2010  de  la  Commission  scolaire,  élaboré  selon  les  nouvelles  normes  comptables,  n’a  pas  pour  conséquence d’amoindrir  le niveau de  services aux élèves pour  la prochaine année  scolaire.  Les budgets pro  forma des établissements et des services  ont  été  préparés  selon  les  mêmes  paramètres  et  avec  les  mêmes  sommes  que  l’an  dernier.  Par  conséquent,  les établissements peuvent reconduire les mêmes services.  Les mesures supplémentaires Outre  le budget de base pour  le bon fonctionnement des établissements,  le ministère de  l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) attribue certaines sommes comme mesures supplémentaires, par exemple,  l’École montréalaise,  l’Opération solidarité,  la Stratégie d’intervention agir autrement  (SIAA) et  l’aide aux devoirs. Pour 2009‐2010, toutes ces mesures bénéficient du même  financement qu’en 2008‐2009, indexation en sus. Toutefois, la ventilation des mesures École montréalaise, Opération solidarité et SIAA a été faite différemment en raison de  la nouvelle carte de  la défavorisation. Cependant, notre  institution s’est assurée de couvrir  le maintien des postes réguliers financés par ces mesures, et ce, dans l’ensemble des établissements. Donc, les services offerts par le personnel occupant ces postes ne seront pas affectés.  Les budgets  liés aux mesures supplémentaires ont été  transmis aux établissements au cours du mois d’aout.  Ils constituent, pour chacune des mesures,  la totalité des sommes consenties pour toute  l’année scolaire. Règle générale, bien qu’il s’agisse de mesures supplémentaires, celles‐ci sont reconduites année après année, ce qui assure la pérennité des actions menées.  Les situations particulières La Direction générale est consciente de  l’incertitude qu’entraîne  le nouveau cadre  financier, par exemple, pour  les projets à  long terme. En effet, des écoles nous ont fait part de certaines situations. Voici des clarifications touchant certaines de ces situations.   Embellissement  des  cours  d’école :  Les  écoles  qui  ont  pris  des  engagements  pour  la  réalisation  de  travaux  d’embellissement poursuivent leur projet. Chaque cas est considéré individuellement afin de trouver la meilleure solution possible. Les directions de ces écoles doivent communiquer avec madame Geneviève Gauthier, directrice adjointe au Bureau de  l’analyse financière et du contrôle budgétaire, au poste 6461. 

  Revenus reportés : Il s’agit de l’argent amassé à l’avance en 2008‐2009 pour des produits ou des services qui seront offerts durant l’année scolaire 2009‐2010. Pour savoir si ces sommes sont transférables d’une année à l’autre, il vous faut répondre à la question suivante  : est‐ce que  le  fait de ne pas  rendre  le service, ou de ne pas  livrer  le produit, obligerait  l’établissement à  rembourser l’élève ou  le parent?  Si  la  réponse est oui,  les  sommes  sont  alors  transférables d’une  année  à  l’autre. À  titre d’exemples  :  les sommes qui sont liées aux frais de services complémentaires en formation générale des adultes (FGA), perçus avant le 30 juin pour des cours débutant au mois de juillet, sont reportées à l’exercice financier 2009‐2010; les sommes recueillies au mois de juin pour des uniformes scolaires, qui sont livrés à la prochaine rentrée scolaire, sont reportées à l’exercice 2009‐2010. 

  Activités  autofinancées :  Il  s’agit  d’activités  parascolaires,  ou  encore  liées  au  programme  scolaire,  engageant  des  dépenses particulières qui sont remboursées par une vente de billets ou de produits. Présentement,  les activités de  l’année en cours sont généralement soutenues par  la vente de billets ou de produits des années antérieures. Dorénavant,  les activités de  l’année en cours devront être financées par les revenus de l’année en cours. À titre d’exemple, la réalisation annuelle d’une pièce de théâtre 

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entraîne des dépenses liées notamment à la fabrication des décors; ces dépenses devront se faire avec un compte à découvert qui sera remboursé vers la fin de l’année scolaire par la vente de produits quelconques. 

  Manuels  scolaires  au  secondaire  (fonds  6) :  Contrairement  aux  autres  mesures  supplémentaires,  cette  allocation  pour  les troisième, quatrième et cinquième années du secondaire est reportée pour l’exercice financier 2009‐2010. 

 Une boîte courriel spéciale Le Service des ressources financières a mis une boîte courriel à  la disposition des établissements afin de recueillir  les questions au sujet de situations particulières. En voici l’adresse : finances@csdm.qc.ca.   

UUnn nniivveeaauu dd’’iinnvveessttiisssseemmeenntt eenn ffoorrttee hhaauussssee  Le budget d’investissement est en nette hausse depuis  le  lancement, au printemps  2007,  de  notre  Plan  d’accélération  de  remise  en  état  des bâtiments de la CSDM, plan que nous appelons aussi « Grands chantiers ». À  ce  qui  a  déjà  été  fait  s’ajouteront,  en  2009‐2010,  des  projets  d’une 

valeur de plus de 105 M$ pour l’entretien, la remise en état, la transformation ou la construction de bâtiments. Ces investissements sont nettement plus élevés maintenant qu’avant le lancement de cet ambitieux plan.   Il est clair cependant que les besoins sont tellement grands que, même avec ce budget, tout ce qui est requis ne peut pas être fait immédiatement.  Il nous faudra maintenir la cadence encore quelques années tout en assurant un rigoureux suivi budgétaire de tous ces travaux, de façon que « nous en ayons vraiment pour notre argent ». Nous redoublons d’ailleurs de vigilance sur ce plan.    Dans les premiers mois d’application du plan, l’essentiel des énergies a été consacré aux enveloppes (toiture, maçonnerie, portes et fenêtres)  et  les  systèmes  électromécaniques  (chauffage,  ventilation,  conditionnement  de  l’air).  Notre  Service  des  ressources matérielles pourra maintenant amorcer des travaux plus significatifs touchant l’amélioration de l’efficacité énergétique, les systèmes électriques,  les  systèmes de plomberie  et  les  systèmes  sanitaires,  les  systèmes de  finition  intérieure,  etc. À  titre d’exemple, un budget de un million de dollars est réservé, au cours de la prochaine année scolaire, à la rénovation des installations sanitaires. Des rénovations qui, convenons‐en, sont attendues depuis longtemps à certains endroits.  Pour  toutes  les  catégories  de  travaux,  notre  Service  des  ressources matérielles  (SRM)  établit  un  classement  précis  des  travaux prioritaires à mener en fonction de critères objectifs tels que la vétusté, la dangerosité, etc. Des critères qui, il faut le souligner, sont imperméables aux interventions politiques qui voudraient faire « sauter » quelques rangs à telle ou telle école. Cela ne veut pas dire qu’un commissaire est complètement « inutile » en ce qui concerne les travaux. Notre rôle est de nous assurer qu’une rénovation à faire dans une école soit bien portée à  l’attention du SRM, que  l’évaluation de  la situation soit faite et que,  le cas échéant,  ladite rénovation soit inscrite dans l’ordre des priorités. Il serait inacceptable, cependant, au plan de l’éthique, que l’ordre de priorité des travaux soit établi selon les décibels politiques plutôt que selon l’épaisseur résiduelle de la membrane du toit.  La  liste établie des travaux prioritaires n’est toutefois pas complètement figée. Une souplesse doit exister afin de faire face à des urgences encore plus prioritaires, mais aussi afin de tenir compte des fluctuations du marché, du bien‐fondé de regrouper certains travaux, des conditions de chantier, etc. Notre site  Internet, à  l’onglet « Grands chantiers », vous donne  l’heure  juste quant à ces travaux : www.csdm.qc.ca/grandschantiers.   

CCaarrttee OOppuuss –– RReennccoonnttrree aavveecc llaa SSoocciiééttéé ddee ttrraannssppoorrtt ddee MMoonnttrrééaall ((SSTTMM))  Nous sommes à planifier une rencontre avec le président de la Société de transport de Montréal (STM) dans le  cadre  de  la  nouvelle  politique  de  tarification  qui,  à  partir  du  1er  septembre  2009,  entrainera  le 

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remplacement des billets à tarif réduit pour le transport en commun par la carte Opus. L’usager occasionnel pourra, bien sûr, utiliser sa carte Opus ou encore, payer 2,75 $ en espèces pour un passage au prix courant.  Estimant que plus de 50 % de notre population  scolaire n’utilise pas  régulièrement  le  transport  en  commun  et ne  se procurera probablement pas la carte Opus, nous croyons que la hausse des frais pour les sorties éducatives ne fait plus de doute. Voulant éviter précisément cette situation et déplorant  la nouvelle politique de  la STM de ne se déplacer dorénavant pour  les photos de  la carte Opus que dans les établissements comptant plus de 100 élèves (la plupart des écoles spécialisées pour les élèves handicapés ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage n’atteindront pas le nombre minimal d’usagers requis), nous avons écrit à monsieur Michel Labrecque en  juin dernier pour  lui faire part de nos doléances. Le président de  la STM s’est rendu à nos arguments concernant  la possibilité pour nos établissements de continuer à acheter des liasses de billets à tarifs réduits pour les sorties de groupe et il accepte de nous rencontrer pour parler des autres problèmes liés à la carte Opus.  Notre intention est de rendre service à toutes les familles dont les enfants fréquentent la CSDM. Nous faisons aussi appel à tous les comités de parents de la Commission scolaire, notamment au Comité central, pour prendre une position commune.   

LLaa vveennttiillaattiioonn bbuuddggééttaaiirree ddee ll’’OOppéérraattiioonn SSoolliiddaarriittéé  L’Opération Solidarité (OS) est  l’un de nos plus  importants outils de redistribution budgétaire de soutien aux milieux défavorisés et aux élèves qui fréquentent ces écoles. Cette année, le budget total de l’OS est de  plus  de  12 M$,  plus  précisément  12 586 176  $.  Cette  somme  provient  de  trois  sources,  à  savoir  le Comité  de  gestion  de  la  taxe  scolaire  de  l’île  de Montréal  (CGTSIM),  le ministère  de  l’Éducation,  ainsi qu’une  réserve  prévue  par  la  CSDM. Notre  présidente, madame Diane De  Courcy,  a  d’ailleurs  fait  des représentations assidues afin de rassembler cette somme, qui est équivalente à celle de l’année dernière malgré les mauvais rendements des placements au CGTSIM.  

Le  comité  de  coordination  de  l’OS,  qui  est  formé  de  représentants  des  parents,  des  directeurs  d’école,  des  différents  groupes d’employés, du milieu communautaire et de commissaires, a ensuite  travaillé à une répartition de cette somme. C’est un comité présidé par mon collègue Daniel Duranleau qui a présenté une recommandation unanime que nous avons entérinée à une séance du Conseil des commissaires qui a eu lieu au mois de juin. Les sommes accordées varient en fonction de la tranche de défavorisation de l’école et du nombre d’élèves que celle‐ci accueille. Cette « inégalité budgétaire » qui permet à une école de s’offrir davantage de services est un choix conscient et voulu afin d’aider à « égaliser les chances » de réussite des élèves.    En  ce qui  concerne  les études dirigées  (aide aux devoirs),  le  financement accordé par  l’Opération  Solidarité  va aux écoles de  la tranche 0‐20 % et s’établit à un montant fixe de 71 $ par élève. Nous avons également choisi de bonifier la somme qui est versée aux groupes qui préparent les repas servis dans le cadre de la mesure alimentaire. La somme versée par repas passera ainsi de 3,15 $ à 3,50 $. Nous voulions ainsi concrètement reconnaître la forte augmentation du coût des aliments.  Finalement,  nous  verserons  près  de  400 000  $  afin  de  réduire  les  frais  de  surveillance  de  dîners  pour  les  parents  de  certaines catégories d’élèves transportés. Concrètement, si un élève est admissible à la mesure alimentaire (repas et surveillance contre une contribution parentale de 50 sous) à son école de quartier, mais qu’il doit fréquenter une autre école, car le service dont il a besoin n’est pas offert dans cette première école (exemple : il est dans une classe spéciale), l’élève « apporte » avec lui son admissibilité à de l’aide financière pour les frais de surveillance.  Cette répartition des sommes de l’OS préserve également le niveau de ressources humaines que les écoles payent avec ce budget, et ce, même si une école accueille, cette année, moins d’élèves ou qu’elle change de tranche de défavorisation.     

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«« GGeell »» ddeess pprriixx ddeess aalliimmeennttss ssuubbvveennttiioonnnnééss ddaannss nnooss ccaaffééttéérriiaass ppoouurr 22000099--22001100

 Pas  besoin  d’être  un  économiste  de  renommée  mondiale  pour  constater  la  forte  hausse  du  coût  de l’alimentation  au  cours  de  la  dernière  année.  Voici  quelques  chiffres  qui  « parlent »  éloquemment  à  ce propos : + 5,5 % pour les produits laitiers, + 6,1 % pour la viande, + 8,8 % pour la boulangerie, + 25,8 % pour les  légumes  frais  et  +  18,1 %  pour  les  fruits  frais.  Lorsque  l’on  ajoute  à  cela  les  hausses  salariales,  la réparation d’appareils de cuisine de plus en plus vieillissants, etc., la hausse moyenne des coûts d’opération de notre Secteur des services alimentaires est évaluée à 10 %. « Théoriquement », cela devrait se refléter sur le coût des repas servis dans nos cafétérias. 

 Or, vous le savez, afin de favoriser la consommation de repas et d’aliments équilibrés et nutritifs, nous subventionnons certains de ses aliments. Par exemple,  le prix de vente de  l’assiette principale est réduit de 1,45 $,  le fruit frais de 0,15 $, etc. Le programme ministériel d’aide alimentaire aux élèves jeunes permet de verser cette subvention. Ainsi, Québec accordera à la CSDM 1 825 624 $ pour  l’année  scolaire 2009‐2010. Or,  cette aide gouvernementale est  traditionnellement  insuffisante. Si on ajoute maintenant  la solide augmentation de 10 %, vous comprendrez que l’écart budgétaire se creuse.   Notre  Conseil  des  commissaires  a  cependant  fait  le  choix  de  geler  le  coût  des  aliments  subventionnés  servis  à  nos  jeunes. Concrètement, l’élève continuera de payer en 2009‐2010 le même prix pour sa pomme ou son plat principal, même si, dans les faits, cela  coûte plus  cher à préparer. Ce gel du  coût des aliments  subventionnés est un  choix politique. Dans un  contexte de grande incertitude économique, bien conscient que 42 % de nos élèves proviennent de familles à faibles revenus, nous avons fait le choix de ne pas « alourdir » indûment la charge financière de nos élèves et de leurs parents.   À titre d’information, le coût d’un repas‐type pour un jeune qui veut avoir un repas complet et nutritif (soupe, mets principal, jus et yogourt) sera pour  la prochaine année de 4,05 $. Nous puiserons 400 000 $ dans notre fonds consolidé pour compenser  le déficit que connaitra notre Service alimentaire par suite de ce gel des aliments subventionnés.  

Cafétérias de la CSDM et tarifs : www.csdm.qc.ca/Csdm/parents/default.asp?parents=cafeteria.   

DDeess bbéénnéévvoolleess hhoorrss ddee ll’’oorrddiinnaaiirree  

Pour souligner la contribution exceptionnelle des bénévoles de la CSDM, nous avons organisé le 22 juin dernier un  cinq  à  sept à  l’entrée de  la  salle du Conseil des  commissaires, pendant  lequel nous  avons procédé  au  dévoilement  des  lauréats  des  prix Merci,  Gérardine‐Bissonnette  et  Implic‐Action.  Le  prix Merci est attribué à un bénévole s'étant illustré par son action, le prix Gérardine‐Bissonnette est décerné au  bénévole  cumulant  le  plus  d'années  de  bénévolat  tout  en  ayant  encore  un  enfant  dans  un établissement de la CSDM, le prix Implic‐Action est remis à une personne impliquée dans la structure du Comité central de parents de la commission scolaire en reconnaissance de son engagement.  

Les 18  finalistes du prix Merci étaient de  l’événement, accompagnés de  leurs proches et de  leur direction d'établissement,  tout comme les 5 bénévoles cumulant plus de 20 années de service au sein de la CSDM.  Voici les finalistes et la lauréate du prix Merci 2009 de la CSDM : 

o de l’école Ahuntsic, monsieur François‐Pierre Fournel o de l’école des Cinq‐Continents, madame Martine Labelle o de l’école Hélène‐Boullé, madame Sylvie Lagouarde o de l’école Sans‐Frontières, madame Anne Piechowiak o de l’école Saint‐André‐Apôtre, mesdames Louise cardinal, Julie Gauthier et Valérie Cadote o de l’école Félix‐Leclerc, madame Élisabeth Petit 

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o de l’école Félix‐Leclerc, madame Hayat Bouaou o de l’école FACE, madame Wendy Bonair‐Cyrus o de l’école Georges‐Vanier, monsieur Marc Prescott o de l’école Saint‐Jean‐Baptiste‐de‐la‐Salle, madame Linda Laflamme o de l’école Saint‐Anselme, madame Lorraine Ménard o de l’école Boucher‐de‐la‐Bruère, monsieur Raymond Moquin o de l’école Saint‐Nom‐de‐Jésus, madame Denise Vendette o de l’école Sainte‐Bibiane, madame Josée Guérin o de l’école Bedford, Mme Judith Bird o de l’école Saint‐Barthélemy, madame Isabelle Gendreau o de l’école Joseph‐François‐Perrault, monsieur Jean‐Marc Bisaillon o de l’école Garneau, madame Nicole Ouellet o de l’école Marie‐Favery, madame Thérèse Taillefer 

 La lauréate du prix Merci 2008‐2009 de la CSDM est madame Anne Piechowiak, de l’école Sans‐Frontières. Le jury a en outre choisi d’attribuer un deuxième prix Merci 2009, à Louise Cardinal, Julie Gauthier et Valérie Cadote celui‐là, pour le Pédibus de l’école Saint‐André‐Apôtre, une autre réalisation remarquable.  Cinq bénévoles ayant cumulé plus de 20 années de bénévolat à  la CSDM étaient en  lice pour  le prix Gérardine‐Bissonnette 2008‐2009 : 

o cumulant cette année 20 ans de bénévolat, la commissaire‐parent, madame Manon Ricard; o cumulant également 20 ans de bénévolat cette année, de l’école Louis‐Riel, monsieur Michel Melançon; o toujours de l’école Louis Riel, cumulant 21 années de bénévolat, madame Lyne Lefebvre; o et enfin, la dernière mais non la moindre, cumulant 27 années de bénévolat, la lauréate du prix, madame Rachel 

Boucher.  Finalement, le prix Implic‐Action a été décerné à madame Lynda Laurencelle, présidente du Comité central des parents de la CSDM.    Démocratie scolaire  

LLee pprreemmiieerr CCoonnsseeiill ddeess ccoommmmiissssaaiirreess ddee ll’’aannnnééee ssccoollaaiirree 22000088--22000099 aauurraa lliieeuu ddeemmaaiinn,, llee mmeerrccrreeddii 2266 aaooûûtt

 La première séance du Conseil des commissaires de  la CSDM de  l’année scolaire 2008‐2009 aura  lieu demain, le mercredi 26 août 2009, à 19 h, à la salle Laure‐Gaudreault du centre administratif, situé au 3737,  rue Sherbrooke Est. Toutes  les  séances du Conseil  sont publiques. En plus de voir aux affaires courantes  de  la  Commission  scolaire,  nous  en  profitons  pour  être  à  l'écoute  de  la  population, 

puisqu'une période réservée au public est prévue au début de la séance. Les personnes inscrites au préalable ont préséance, parce qu'elles ont communiqué avec le Secrétariat général de la CSDM en composant le 514 596‐6012. Les questions du public présent sur place sont également acceptées.  Les groupes et les individus peuvent par ailleurs, en tout temps, se faire entendre en audience. Pour ce faire, il faut présenter une demande écrite à la présidente de la CSDM au moins huit jours avant la rencontre; il faut y préciser la date de la séance où l'on veut intervenir et le sujet dont on souhaite traiter. Cette demande écrite peut être acheminée par télécopieur, au 514 596‐7451, ou par la poste, au Secrétariat général de la CSDM, au 3737, rue Sherbrooke Est, Montréal (Québec)  H1X 3B3.  À moins d’indication contraire pour  la tenue de conseils des commissaires extraordinaires,  les séances régulières ont  lieu une fois par mois d’août à  juin. Quatre  séances auront  lieu à  l’extérieur du  siège  social :  le 23  septembre 2009 à  l’école Lucille‐Teasdale 

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(3975,  rue Bouchette),  le  21 octobre  2009  à  l’école Honoré‐Mercier  (1935, boulevard Desmarchais),  le  21  avril  2010  au  centre Gabrielle‐Roy (8699, boulevard Saint‐Michel) et le 19 mai 2009 à l’école Gadbois (8305, rue Saint‐André).  

Conseils des commissaires de la CSDM : www.csdm.qc.ca/Csdm/Administration/default.asp?csdm=conseil_commissaires. Ordres du jour et procès-verbaux au : www.csdm.qc.ca/Csdm/Administration/default.asp?csdm=ordre_jour.

  

LLee mmaaggaazziinnee SSaavvooiirr ddee jjuuiinn 22000099 eenn lliiggnnee  

La Fédération des commissions scolaires du Québec (FCSQ) a mis en ligne son magazine Savoir du mois de juin 2009 où l’on donne une large place à la nouvelle présidente, madame Josée Bouchard. Voici les sujets traités dans ce numéro : Contribuer à faire grandir le Québec – Un défi exaltant!; Le plan stratégique de la FCSQ 2009‐2014 – Notre principale source d'inspiration : l'élève; Assises régionales sur la persévérance et la  réussite  scolaires –  Leadership  incontestable  des  commissions  scolaires;  Congrès  d'orientation  de  la FCSQ –  Place  aux  élèves;  Extrait  de  la  conférence :  Commissaires...  leaders  sur  la  place  publique; Abus physiques, responsabilité civile et prescription : qu'en est‐il ?; Cinq ans plus tard – L'expérience bénéfique du modèle École éloignée en réseau; Une nouvelle présidente à la FCSQ – Entrevue avec Josée Bouchard; Nouvelles des commissions scolaires; Le rôle des commissions scolaires en cas de pandémie d'influenza; Redécouvrir le chemin de l'école; Un nouveau projet de conseil d'élèves – Parlements au primaire.    

Il est possible de télécharger les articles séparément en se rendant au www.fcsq.qc.ca/Publications/Savoir/062009.html Le document complet : www.fcsq.qc.ca/Publications/Savoir/Juin-2009/Savoir-Juin-2009.pdf

   Actualités  

NNoouurrrriirr uunn eennffaanntt :: 1100 aannss ddee ffrraatteerrnniittéé,, ddee ssoolliiddaarriittéé eett dd''eennttrraaiiddee  

Jusqu’au  6  septembre,  Nourrir  un  enfant  mène  sa  campagne  2010  qui  couronnera  dix  ans  d’efforts concertés sous  le sceau de  la solidarité. Et dix ans d’expertise en matière d’appui au développement des enfants démunis du Québec.   Pour  l’occasion, de nombreux artistes et célébrités ont choisi d’ajouter  leur  témoignage à celui de notre présidente, madame Diane De  Courcy,  également  présidente  de Nourrir  un  enfant  de  L’œuvre  Léger : Isabelle  Cyr,  Boom Desjardins,  Boucar Diouf, Marc Hervieux,  Josée  Lavigueur, Marie Nicole  Lemieux, Pénélope McQuade, Bruno Pelletier et Francis Reddy.   

« Je vois les enfants à l’école, souligne madame De Courcy. Je vois les différences entre ceux qui ont de la chance et les autres. Je vois aussi  que Nourrir  un  enfant  réussit  vraiment  à  changer  les  choses pour  ceux  qui  sont  dans  le besoin :  leurs  regards  s’allument. D’avance,  je  veux  remercier  toute  personne  qui  fera  un  don  à  la  campagne Nourrir  un  enfant;  elle  contribue  à  notre  richesse collective, l’avenir de nos enfants. »  Objectif :  300 000  $  pour  remplir  les  demandes  des  organismes  communautaires  de  toutes  les  régions  du Québec.  La  pauvreté n’épargne aucune région en ces temps où  les crises se succèdent et s’additionnent : financière, économique, environnementale et alimentaire. Le nombre de familles ayant recours aux banques alimentaires s’accroît (on estime à 30 % la hausse des demandes cette année); les ressources de soutien alimentaire ne suffisent plus; à Montréal seulement, 40 écoles primaires et 18 écoles secondaires sont considérées parmi les écoles les plus pauvres de la Belle province.  

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Les conséquences de la pauvreté atteignent grandement les enfants qui en sont victimes. Outre la faim qui tenaille les petits ventres vides, on relève  les difficultés d’apprentissage,  l’insécurité et  le stress psychologique,  la mauvaise santé attribuable à des carences alimentaires et l’exclusion sociale. Et les chances d’avenir des enfants pauvres s’amenuisent avec leur isolement.  C’est pourquoi Nourrir un enfant examine et évalue toutes les demandes des organismes communautaires selon leur capacité à offrir – aux enfants comme à leurs parents – des services multiples pour combler tous les besoins de l’enfant. Parmi les services offerts aux enfants,  soulignons  des  ateliers  de  devoirs  et  de  leçons,  l’école  culinaire  du  samedi,  des  activités  récréatives  favorisant  la socialisation, du soutien psychologique aux victimes de négligence parentale. Le respect de la dignité de l’enfant est la préoccupation première dans  tous  les  services offerts. À  l’école, par exemple, des mesures  sont prises  afin que  l’enfant bénéficiaire d’un  repas gratuit ne puisse jamais être distingué des autres.  Parmi  les  services  offerts  aux  parents,  soulignons  des  cuisines  collectives,  des  jardins  communautaires,  des  consultations  et  des ateliers  favorisant  le  développement  des  habiletés  parentales.  Organismes  communautaires,  CLSC,  écoles  et  institutions  en santé travaillent de  concert avec  les parents  afin que  les enfants démunis puissent manger  sainement,  s’épanouir pleinement et croire en demain, comme les autres enfants.   Depuis sa création, Nourrir un enfant a distribué près de 1 800 000 $ à plus de 220 organismes du Québec pour venir en aide à 200 000 enfants de partout au Québec. Nourrir un enfant  compte  sur  la  solidarité et  l’humanité de  chacun pour poursuivre  son action.   On peut faire un don par la poste (chèque à l’ordre de Nourrir un enfant) au 130, avenue de l’Épée, Montréal (Québec) H2V 3T2; par téléphone au 1 87 PAUVRETÉ (1 877 288‐7383) et sur  le site Web sécurisé www.leger.org. La totalité des dons reçus est distribuée aux organismes, puisque Nourrir un enfant est une initiative de L'ŒUVRE LÉGER, qui en assume tous les coûts.  Soulignons  que  RBC  renouvelle  son  engagement  dans  la  campagne  Nourrir  un  enfant,  de  même  que  le  magazine  Web PetitMonde.com et  les tous  les Metro et  les Super C du Québec qui accepteront  les dons à  la caisse pendant toute  la durée de  la campagne.   

RRéésseeaauu rrééuussssiittee MMoonnttrrééaall  

Un nouvel organisme voué à la promotion de la persévérance scolaire en milieu montréalais a vu le  jour  à  la  fin  de  la  dernière  année  scolaire.  Il  résulte  de  l’union  du  Carrefour  de  lutte  au décrochage  scolaire  et  de  la  Table  des  partenaires  pour  la  persévérance  scolaire  de Montréal, marquant  ainsi  la  volonté  des  partenaires  de  faire  converger  toutes  les  actions  de  lutte  au 

décrochage scolaire sous une seule et même instance montréalaise.  Réseau  réussite Montréal,  présidé  par monsieur  Gilles  Petitclerc,  directeur  général  de  notre  institution  scolaire, regroupe  une trentaine d’acteurs  issus de  l’éducation, du monde des affaires, du monde municipal et para municipal ainsi que des organismes communautaires. Son plan stratégique vise quatre orientations  : documenter  la réalité montréalaise, diffuser un message sociétal, renforcer la prévention pour les 0‐12 ans et favoriser le maintien ou le retour en formation des 13‐17 ans.  L’organisme  est  d’abord  et  avant  tout  vingt‐sept  partenaires  qui,  rassemblés  autour  des  cinq  commissions  scolaires  de  l’île  de Montréal, désirent contribuer à la persévérance scolaire des jeunes. Réseau réussite Montréal c’est aussi l’expression du leadership des commissions scolaires de l’île de Montréal par la mobilisation autour de la persévérance scolaire : un leadership de mobilisation et d’inclusion des acteurs de la société, un leadership d’impact, c’est‐à‐dire, une action partenariale forte et ayant un effet significatif sur la persévérance scolaire de nos jeunes.  

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Sa mission : mobiliser  l’ensemble des partenaires de  l’île de Montréal  afin d’être un  lieu de  convergence des  actions  ayant une influence positive sur les jeunes, les parents et les intervenants dans le but d’accroître, la persévérance, la réussite et le raccrochage scolaire.  

Pour en savoir plus sur le Réseau réussite Montréal : www.reseaureussitemontreal.ca    Dans nos établissements  

FFeessttiivvaall ddee cciirrqquuee ssccoollaaiirree àà LLuucciieenn--PPaaggéé  

Des ateliers de cirque au secondaire? Oui. En mai dernier, à l’auditorium de l’école secondaire Lucien‐Pagé, avait lieu le lancement des activités de la quatrième édition du Festival de cirque scolaire. Ce concept unique au Québec  a  été  pensé  et  organisé  par Martin  Talbot,  un  enseignant  en  éducation  physique  de  l’école secondaire Lucien‐Pagé, appuyé par des membres du personnel de l’école, dont la directrice Lyne St‐Pierre.  Réunissant plus d’une  centaine d’élèves  et d’enseignants de plusieurs  écoles primaires  et  secondaires de différentes  régions,  l’événement  s’est  déroulé  du  jeudi  14 mai  au  samedi  16 mai.  Ce  grand  rendez‐vous annuel est  rendu possible grâce à  la contribution de partenaires  renommés en ce domaine : Le Cirque du Soleil, L’École nationale de cirque, Barry et Goudurix.  

Durant  trois  jours,  des  groupes  scolaires  de  quinze  jeunes  et  d’un  accompagnateur  par  école  pouvaient  suivre  des  ateliers  de formation technique donnés par des professionnels. (…)  Les  écoles  participantes  cette  année  étaient  :  Horizon  Soleil  (Saint‐Eustache),  Jean‐Moreau  (Sainte‐Sophie)  ainsi  que  quatre établissements de la CSDM, École du Petit‐Chapiteau, Sophie‐Barat, De la Lançée et Joseph‐François‐Perrault.  

Plusieurs photos et l’article au complet au : www.csdm.qc.ca/Csdm/nouvelles/2009/N_2009_06_22_2.asp.   

SSeemmaaiinnee ddeess aarrttss :: UUnn rreennddeezz--vvoouuss ddee llaa ccrrééaattiivviittéé  

Débordant  du  cadre  limité  d’une  seule  semaine  de célébrations,  la  Semaine  des  arts  s’est  déroulée  dans plusieurs écoles de  la Commission scolaire de Montréal (CSDM),  du  11  au  22 mai  dernier.  Un  rendez‐vous  de l’imagination  et  de  la  créativité  sur  le  thème  «  Nous sommes tous des voyageurs ».  Cette année,  la semaine thématique s’est prolongée de quelques  jours  pour  le  plus  grand  bonheur  des participants.  Du  11  au  22 mai  dernier,  l’événement  a donné  l’occasion,  autant  au  personnel  enseignant qu’aux élèves, de réaliser plusieurs projets dans les trois volets  offerts.  La  Semaine  des  arts  a  ainsi  voulu 

développer chez les jeunes le goût de s’exprimer à travers le langage artistique tout en leur permettant d’acquérir les habiletés pour y arriver.  

La suite et photos au : www.csdm.qc.ca/Csdm/nouvelles/2009/N_2009_06_22_1.asp.

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 Sur la scène montréalaise et nationale  

EEdduuccaallooii –– PPrroojjeett LLeess CCoouulleeuurrss ddee llaa jjuussttiiccee  

Educaloi,  en  partenariat  avec  le  Regroupement  des  maisons  de  jeunes  du  Québec  et  Café Graffiti,  invitait  le 21  juin dernier  les représentants des médias et  la population à assister à  la création,  en  direct,  par  des  jeunes  de  l'arrondissement  de  Rosemont‐La  Petite‐Patrie,  d'une murale exprimant  leur vision de  la  justice. La conception et  la réalisation de  l'œuvre ainsi que l'organisation de  la  journée ont été  rendues possibles grâce à  l'implication des habitués de  la maison de jeunes L'Hôte Maison.  Cette activité est réalisée dans le cadre du projet Les couleurs de la justice, un projet d'art urbain qui a pour but de prévenir la criminalité chez les jeunes, notamment en refrénant leur adhésion 

aux gangs de rue. Pour  l’occasion, Educaloi a procédé au  lancement du site www.couleursdelajustice.qc.ca. En visitant ce site,  les adolescents découvriront une trousse de réalisation de projets leur permettant d'organiser eux‐mêmes, avec l'aide d'un professeur ou d'un animateur, un projet de murale. Ce projet est financé dans le cadre de la Stratégie nationale pour la prévention du crime du gouvernement du Canada, en collaboration avec le ministère de la Sécurité publique du Québec.  

Les couleurs de la justice – Création d’une murale de graffitis! : www.jeunepourjeunes.com/couleurs_justice. La trousse de réalisation de projets : www.jeunepourjeunes.com/couleurs_justice/trousse.

L’espace « Jeunes pour jeunes » d’Éducaloi : www.jeunepourjeunes.com.   

MMaarriiee--FFrraannccee BBaazzzzoo ppoorrttee--ppaarroollee ddee llaa FFoonnddaattiioonn ppoouurr ll''aallpphhaabbééttiissaattiioonn   La Fondation pour l'alphabétisation vient d'annoncer que Marie‐France Bazzo sera la porte‐parole de son 20e anniversaire. Déjà interpellée par le problème de l'analphabétisme, c'est sans hésiter et avec beaucoup d'enthousiasme  que  la  sociologue  de  formation  et  grande  communicatrice  a  accepté  de prêter sa voix à  la cause. Le coup d'envoi de cette alliance se fera  le 8 septembre prochain, Journée 

internationale de l'alphabétisation, au lancement du 20e anniversaire de la Fondation.  Le  Québec  compte  encore  des milliers  de  personnes  analphabètes.  Au  total,  ils  sont  800  000  pour  qui  la  lecture  et  l'écriture demeurent un obstacle  insurmontable. Pour cet anniversaire,  la Fondation et madame Bazzo souhaitent mettre un terme au  lourd silence entourant ce problème qui touche un Québécois sur six. Pour la nouvelle porte‐parole, cette réalité est intolérable : « La soif du savoir reste, pour moi, la plus inspirante des valeurs à transmettre. C'est ce pourquoi je travaille et ce en quoi je crois. La lecture et  l'écriture sont de  loin  les meilleurs moyens pour y accéder.  Il est  impensable que notre société du savoir  laisse  le problème de l'analphabétisme freiner son développement. Il est grand temps d'agir. »  Fondée en 1989, la Fondation pour l'alphabétisation est un organisme sans but lucratif qui vise à faire en sorte que tous, adultes et enfants, aient accès à la lecture et à l'écriture. Pour faire un don : www.fondationalphabetisation.org.   

PPeerrffoorrmmaannccee eexxcceeppttiioonnnneellllee ddeess ééllèèvveess qquuéébbééccooiiss aauuxx 1155eess OOllyymmppiiaaddeess ccaannaaddiieennnnee ddeess mmééttiieerrss

 Depuis 1994, le Québec cumule des performances exceptionnelles aux Olympiades canadiennes des métiers. Dans  le  cadre des 15es Olympiades canadiennes des métiers de  la  formation professionnelle et  technique tenues à la fin mai à Charlottetown, 17 des 29 élèves québécois en compétition ont gagné une médaille. Pas 

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moins de six médailles d’or, quatre d’argent et trois de bronze ont été accrochées au cou d’élèves de la formation professionnelle.   Les  extraordinaires  succès  remportés  chaque  année par nos  élèves  aux Olympiades  canadiennes des métiers  et  au Mondial des métiers, de même que la qualité des prestations de ces élèves et le travail réalisé par le personnel de nos établissements scolaires, témoignent de  l’expertise de nos élèves, de  la qualité des programmes de formation professionnelle offerts dans nos commissions scolaires et de  l’excellence de  l’école publique, a déclaré à  l’issue des Olympiades  la présidente de  la Fédération des commissions scolaires du Québec (FCSQ), madame Josée Bouchard.   La compétition nationale met en relief les métiers spécialisés et marque le compte à rebours vers le 40e Mondial des métiers qui se tiendra  à Calgary, du 1er  au 7  septembre 2009.  Près de  900  concurrents  en provenance de 50 pays membres de WorldSkills  s’y donneront rendez‐vous.  Lancées en 1994,  les Olympiades canadiennes de  la formation professionnelle et technique demeure un événement unique en son genre au Canada. C’est  la seule compétition de style olympique qui met à  l’épreuve de  jeunes élèves et apprentis de nombreuses disciplines professionnelles et techniques. Chaque année, elle rassemble près de 500 jeunes, de toutes les régions du Canada, qui se livrent une  chaude  lutte dans 40 domaines professionnels  et  techniques. Pour  les  jeunes Canadiens  inscrits  à un programme de formation professionnelle ou  technique, cette compétition est  l’occasion de  faire valoir  leurs compétences en  fonction de critères élevés et de se mesurer à leurs pairs venus de partout au pays. Les participants rivaliseront entre eux pour mériter l’honneur d’être couronnés les meilleurs de leur discipline respective.  

Voici le lien la liste des médaillés québécois aux 15es Olympiades canadiennes : www.competencesquebec.com/olympiades/cayenne/communiques/resultatsCharlottetown2009.pdf

Des photos seront disponibles sur le site Web de Compétences Québec : www.competencesquebec.com/olympiades/photos/oc2009/competitions2009/index0.html

Remise des médailles : www.competencesquebec.com/olympiades/photos/oc2009/remise_medailles2009/index0.html    Pour les parents  

CCaarrrreeffoouurr ddeess ppaarreennttss ddee LL''AAQQEETTAA  L'Association québécoise des troubles d'apprentissage (AQETA) tiendra son Carrefour des parents  le samedi  26  septembre  2009  à  Montréal.  Cette  journée  de  rencontres,  d'échanges  et  de ressourcement  proposera  des  conférences  qui  tenteront  de  dresser  le  portrait  des  questions soulevées par  le défi d'être parents d'un  enfant  aux prises  avec un  trouble d'apprentissage.  Pour 

obtenir davantage de précisions concernant cet événement, veuillez composer le 514 847‐1324, poste 27.   

L’horaire de la journée est disponible au : www.aqeta.qc.ca/francais/evenemen/sept09/carrefour-sept09.pdf

   Dans les médias  

LL’’ééccoollee BBaarrccllaayy iinnaauugguurree llaa ssaaiissoonn eessttiivvaallee aavveecc ssaa ffêêttee mmuullttiiccuullttuurreellllee  

C’est par une  journée ensoleillée que s’est déroulée  la grande fête multiculturelle de  l’école Barclay ce samedi 13 juin de 11 h à 16 h à Parc‐Extension.  Plus d’une centaine de résidants du quartier se sont rendus avec leurs enfants dans le parc situé au coin 

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des  rues  Jarry et Wiseman. Au programme  : musique,  chansons et danses multiculturelles,  jeux pour  les enfants, nourriture aux couleurs et saveurs des différentes ethnies du district.  Cette grande  fête aura permis de rassembler des responsables et représentants de  l’école Barclay,  les résidants du quartier, sans oublier les élus locaux ‐ le maire de l’arrondissement Anie Samson et la conseillère du district de Parc‐Extension, Mary Deros – ainsi que le député provincial du comté de Laurier Dorion, Gerry Sklavounos.  Une belle initiative visant à célébrer la diversité et le multiculturalisme de notre district.  

La suite de cet article (avec photos) de Fabienne Mercier sur le site du journal les Nouvelles Parc-Extension au : www.px-news.com/articles/PXN1712/barclay171205.html.

   Des liens utiles sur Internet  

GGuuiiddee aannnnuueell ddee LL’’ÉÉccoollee bbrraanncchhééee 22000099--22001100 Le 8e Guide annuel de L’École branchée – édition 2009‐2010 sera publié en septembre, juste à temps pour le début de  la nouvelle année  scolaire. Ce guide annuel des meilleurs  sites  Internet pour  réussir à  l’école comprendra  le traditionnel  répertoire de 500  sites validés par  l’équipe. Que vous  soyez enseignants, parents ou élèves, vous  y trouverez des sites qui s’adressent à vous. En plus, vous pourrez y  lire des dossiers  thématiques sur  les  logiciels éducatifs,  les  tableaux  blancs  interactifs  et  les  troubles  d’apprentissage.  En  prime  :  découvrez  comment  la technologie  change  l’école  et  un  credo  pour  une  école  branchée.  Vous  êtes  inscrit  sur  le  site www.ecolebranchee.com? Vous recevrez un avis dès que le bon de commande sera disponible.    

BBaabbaarr,, HHaarrrryy PPootttteerr eett ccoommppaaggnniiee :: lliivvrreess dd’’eennffaannttss dd’’hhiieerr eett dd’’aauujjoouurrdd’’hhuuii L’exposition virtuelle de  la Bibliothèque nationale de France nous  fait  redécouvrir  les  livres d'images,  romans d'aventures et contes de  fées. L'exposition et  ses dossiers proposent des livres à feuilleter ainsi que des livres pour chanter. http://expositions.bnf.fr/livres‐enfants/index.htm  

LLeess ccéérrééaalleess eenn ÉÉggyyppttee aanncciieennnnee L'Égypte  pharaonique  est  l'une  des  premières  civilisations  où  l'on  voit  clairement  apparaître  des  techniques  de fabrication de pains. Produit par l’Agropolis Museum, ce site explique la relation qu’avaient les Égyptiens avec le pain et avec les céréales qu’ils utilisaient pour le produire. www.museum.agropolis.fr/pages/expos/egypte/fr/index.htm  

IInnffoojjeeuunneessssee Le réseau Infojeunesse offre un aperçu des politiques et des programmes jeunesse dans le monde entier. Ce réseau de  réseaux  est  un  outil  fort  utile  pour  trouver,  choisir  et  diffuser  de  l’information  pertinente  sur  la  réalité internationale, nationale et locale. www.infoyouth.org/index_fr.php  

LLeess aarrbbrreess iinnddiiggèènneess dduu QQuuéébbeecc Produit par L’arboretum du Québec en ligne, ce site permet de reconnaître les arbres qui poussent en sol québécois. www.arboquebecium.com/les_arbres_indigenes_du_quebec.html    

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HHeerrbbiieerr vviirrttuueell L’Herbier virtuel est un projet d'édition électronique du MAPAQ visant à rendre accessible par Internet une partie des collections de spécimens  de  référence  conservées  à  l'Herbier  du  Québec.  Il  présente  les  photographies  numériques  des  spécimens  les  plus représentatifs des collections. www.mapaq.gouv.qc.ca/dgpar/arico/herbierv/index2.htm  CCuullttiivveerr ddeess ppllaanntteess ccaarrnniivvoorreess Cette  animation développée par  la Cité des  sciences et de  l’industrie  illustre d’une  façon humoristique  comment cultiver des plantes carnivores. Une fiche thématique peut également être imprimée par l’éducateur. Le site : www.cite‐sciences.fr/francais/web_cite/experime/bricocite/framesets_labo/fs_carnivores.htm. La fiche thématique : www.cite‐sciences.fr/francais/web_cite/experime/bricoflash/brico_carnivores1.htm.  

FFiicchhee tthhéémmaattiiqquuee ssuurr lleess ppllaanntteess ccaarrnniivvoorreess Le  site du  Jardin botanique de Montréal propose une  fiche  thématique  sur  les plantes carnivores :  les  espèces,  la  nutrition,  la  façon  qu’utilisent  ces  plantes  pour  piéger  et capturer leur proie. http://www2.ville.montreal.qc.ca/jardin/info_verte/plantes_carnivores/carnivores.htm  

LLeess ppllaanntteess ccaarrnniivvoorreess Réalisée  par  des  étudiants  en  didactique  de  l’Université  de Montréal,  cette  présentation  PowerPoint,  destinée  aux  jeunes  du primaire, décrit les plantes carnivores.  http://sorciereorange.ca/sciences‐primaire/did1111/ (Note : aucun nom d’usager ou de mot de passe n’est nécessaire. Lorsque demandé, cliquez simplement sur « OK » pour afficher le document sur votre ordinateur.)   

**************   Voilà, c’est tout pour aujourd’hui!  Bon retour de vacances… et bonne rentrée scolaire!  Dominique Cousineau Commissaire scolaire Parc‐Extension–Villeray–La Petite‐Patrie  Commission scolaire de Montréal www.memo.qc.ca/cousineau