Cancer Sortez de La Boite Ty Bollinger

8/15/2019 Cancer Sortez de La Boite Ty Bollinger

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CANCER

SORTEZ DE LA BO TE



Q e di en le lec e de Cance S e de la b e

''Je suis chirurgien depuis plus de 38 ans, et apr s avoir examin de nombreux articles sur le traitement ducancer, j'ai galement acquis l'exp rience de l' cole m dicale alliant la pratique actuelle de la m decine. Ce liv

de Ty M. Bollinger est clairement un pas en dehors de la bo te, il permet m me d en sortir... Je recommande

hautement le livre de Bollinger devenir une partie de votre lecture quotidienne afin galement de latransmettre vos proches''. D . R ben T. Ong, MD, Ne Je e , E a Uni d'Am i e

''J'ai t diagnostiqu avec un cancer du colon en phase terminale. Le livre de Ty m'a donn l'espoir, et il m'aencourag ce que le cancer ne doit pas tre une condamnation mort. Ce manuel est devenu si pr cieux J

remercie Dieu pour la sagesse contenue dans ce livre... Mon sang a t test et le jour suivant... l'oncologue adit: ''F licitations, vous n'avez plus de cancer.'' C b R d l h, Af i e d S d

''J'ai tudi le cancer depuis plus de 20 ans, et j'ai vu de nombreux amis, des membres de ma famille, souffrir emourir de la main m me du syst me m dical frauduleux.... ce livre est la source la plus compl te d'informatiocontenue en un seul endroit. Je le recommande quand je fais des s minaires sur le cancer et y d nonce la mafia

m dicale corrompue, pour les criminels qu'ils sont''. J hn Win ead, NC, E a Uni d'Am i e

"Ce livre se distingue parce qu'il est tr s stimulant et amusant lire". F ank C e , a e d ch lea ad e f an ai , A alie

''... Un excellent livre, bien crit et document , clair, et contenant des explications concises sur l'existenced'autres m thodes alternatives propos de divers rem des contre le cancer. Un nec plus ultra pour tous ceux

qui envisagent des rem des alternatifs, sont confus sur leur choix et le pourquoi''. D KA Hal ead, MD,L nd e , Angle e e

''En 1971, le pr sident Richard Nixon avait d clar la guerre au cancer. Il y a 36 ans ! Nous devons sortir de bo te'' . T dd L. P ell, Te a , E a Uni D'Am i e

"Ty Bollinger a crit ce livre apr s avoir perdu l'un et l'autre de ses parents, ainsi que plusieurs autres de sesproche, cause du cancer. Comme il est comptable, il a regard la ligne du bas. Comme il n'est pas m decin,

ne peut pas tre radi , bien que je soup onne qu'il y a d sormais un prix mis sur sa t te, apr s avoir dit toutcela, comme cela est. " M.F. Pea n, N ham n, R a me Uni

''Je suis ravi de d clarer que les informations contenues dans ce merveilleux livre bien crit ont sauv la vie dema femme ! L'information est pr sent e d'une mani re fascinante, bien organis e, qui est la fois compl te etfacile lire... J'ai trouv que ce livre est la plus percutante encore, source d'inspiration, et il constitue les plusimportants travaux 'sans fiction' que je n'ai jamais rencontr s.'' Jimm B n, en Penn l anie, E a U

d'Am i e

"Le plus grand livre, m dical et politique, que j'ai vu depuis les 20 derni res ann es." ~ Alena Val a, Albe a,Canada

"Apr s avoir eu subir le traitement standard pour un cancer la t te et au cou, j'ai d cid de commencer apprendre plus sur le cancer, sur sa pr vention alternative, et sur les rem des naturels. Ce livre couvre toutes les

bases, m' vitant des heures de recherche. " Sam Taliafe , B e e, Panama



'J'ai eu un cancer en phase terminale, ensuite, j'ai utilis les renseignements de Ty Bollinger sur les suppl mentnon toxiques, sur l'information nutritionnelle, ainsi que sur la m decine traditionnelle. Toute personne qui a uncancer ou qui conna t quelqu'un frapp par cette maladie, devrait se procurer ce livre et le lire de bout en boutJe suis en vie aujourd'hui parce que je l'ai fait.'' Elaine H llibe ge , A e e de Gagne la ba aille c n e

"Ce livre laisse litt ralement clater la v rit , et ne laisse rien en arri re plan, au sujet du cancer et sur lestraitements du cancer." Jane Ble e , Ca line d S d, E a Uni d'Am i e

''Je ne pourrai pas assez recommander ce livre, ni suffisamment. Cancer Sortez de la Bo te... est l'un des livrles plus importants que vous puissiez lire. Ce livre devrait tre dans CHAQUE maison, dans tous les coins du

monde. [Il] n'est pas seulement destin aux personnes luttant contre le cancer, ou celles qui veulent obtenir lapr vention du cancer. Ce livre porte sur la sant et le bien tre (pour y parvenir, et y rester) et tre indemne dela maladie (de TOUTES les maladies) et pas seulement le cancer. Je ne puis simplement pas recommander ce

livre suffisamment. Je crois qu'il est le meilleur livre contre le 'cancer' ici bas''. L. S ke , B n ille, On a i , Canada

''J'ai une collection d'environ 480 livres sur la sant et la m decine naturelle... Je vous cris simplement pourvous dire que de tous les livres que j'ai sur le cancer, le v tre est sans aucun doute le meilleur absolu''. Pa

Haa , Wa hing n, E a Uni d'Am i e

''Ce livre est excellent, bien document et tr s agr able lire''. And Tai , Fife Glen he , R a me U

''C'est une combinaison fascinante, bouleversante et spirituelle de techniques de la pens e, toutes tr spertinentes et tr s bien m lang es... que je lis, je m' merveille devant l'ampleur de la t che que vous avez

accomplie'' ~D . Da id G egg, Calif nie, E a Uni d'Am i e

"Merci Ty ! J'ai utilis la pommade noire Cansema que vous recommandez dans le livre, concernant une tachecanc reuse sur mon bras. Cela a trait le cancer en quelques jours peine." Kelli H ffman, Michigan, E ad'Am i e

"Renversant ! Cet ouvrage se d marque de tout autre livre que j'ai lu." Da e Pe ie, Af i e d S d

''... Ma femme... a t diagnostiqu e avec le stade 4 (terminal) d'un cancer de l'ovaire m tastas au syst melymphatique... Les oncologues ont offert leur sympathie, mais pas d'autre direction qu'un superficiel espoir...

j'ai trouv un livre Cancer Sortez de la Bo te... et avons choisi certains protocoles naturels. Apr s 1 moil'oncologue a eu du mal trouver la tumeur... Cette 'surprise' a t constat e et revenait avec plusieurs

oncologues, et ce, au cours d'une p riode de 6 mois... A ce moment l ma femme a t lib r e du cancer. Jn'ai rien dire, mais f licitations M. Bollinger." A. G aham Kei h, Vanc e , BC, Canada

"Ce livre va inspirer et redonner espoir aussi bien aux m decins qu'aux patients, qui sont dispos s regarder audel du statu quo, pour voir qu'il y a beaucoup de succ s dans d'autres traitements disponibles aujourd'hui pou

combattre vraiment dans la 'guerre contre le cancer' ... et la gagner !" K.L. Cald ell, Mi i, E a Ud Am i e

''Ce livre est absolument incroyable, et c'est le seul vrai bouclier que l'on puisse utiliser lors de la lutte contre lecancer''. De elina T d a, Edimb g, Ec e

"Permettez moi de vous remercier du fond de mon me pour la r daction de cet ouvrage si bien document ; ede faire passer ces informations au public d'une mani re tr s compr hensible." D e. All n B i el, MD, Fl

E a Uni d'Am i e



''J'ai ador ce livre, et n'ai pu le poser !'' ~ Liz Itter, Tempe, Arizona, Etats Unis d'Am rique

"Plus qu'un livre pour gu rir le cancer. C'est une bouff e d'air frais dans un monde m dical viss ''. ~Dean,Chicag , Illin i , E a Uni d'Am i e

"... Une lecture incontournable pour quiconque a un cancer... c'est sans aucun doute le livre le plus complet surle cancer jamais crit. Il faut savoir que c'est 'La Bible pour les personnes atteintes d'un cancer.'''

Je Be gman L., Fai h e, Alabama, E a Uni d'Am i e

''Ce livre est incroyable, vraiment facile lire, vous fait entrer de plain pied jusqu' vos marques, et vousrenseigne sur ce que vous voulez faire, propos de vos choix de m thode concernant les progr s sur la

gu rison de votre cancer.'' Ma ell Che n, A alie

"Il existe beaucoup de ces textes m dicaux sur le th me du cancer, mais il y a tr s peu de livres qui ont lecourage de prendre une nouvelle direction comme celle ci." ~William H cken mi h, Te a , E a Uni

d'Am i e

"Si vous n' tes pour lire qu'un seul livre propos du cancer il doit tre celui ci. C'est un brillant ouvrage, trinstructif et un must pour toute personne ayant, ou connaissant quelqu'un souffrant d'un cancer... Non

seulement j'ai trouv les rem des naturels int ressants, mais en plus, certains d'entre eux taient fascinants,j'en ai choisi quelques uns et je les ai utilis s moi m me pour me gu rir, comme j'ai la fois refus la

chimioth rapie et la radioth rapie. Le livre de Ty m'a donn l'espoir, ce quelque chose que l'oncologue ne peupas faire ! " H. Cla k n, Angle e e

"Je dois dire, en tant que ex RN dans une unit d'oncologie ....... Ceci fut une grande d couverte.Sortir de la bo te concernant le cancer est votre seul espoir. LISEZ CE LIVRE. " BC, en Penn l anie, E a U

d'Am i e

"Le livre de Ty Bollinger est la porte d'entr e pour tout le monde, afin de comprendre que le cancer n'est pasune condamnation mort. Nous avons tous t trahis par les mensonges des m decins et de 'Big Pharma'. Je

continue le partage de ce livre, et signale ceux que je connais qui ont un cancer, qu'il y a toujours un espoir. " G a d Ma ine , La Vega , Ne ada, E a Uni d'Am i e

"Le livre de Ty Bollinger est l'une des critiques les plus braves, et les plus comment es que j'ai lues, sur le fait dla d moralisation du monde des affaires relatives au traitement du cancer. Il est une voix de l'espoir. " D la

A k e , a e e de : Le Ja din de l' e, E a Uni d'Am i e

'Ma soeur a acquis un exemplaire papier de l'ouvrage... Nous ne pouvions litt ralement pas arr ter la lecture oufaire une pause pour dormir, parce que l'information tait trop importante... Ma soeur et moi, nous sommesengag es appliquer ce que nous avons appris sur la pr vention du cancer, et partager le message de Ty, quipermet de sauver des vies, avec notre famille et nos amis. S'il vous plait, achetez ce livre, m me si vous n'ave

pas de cancer''. Sa ah A., Ha aii, E a Uni d'Am i e

"On ne peut s'emp cher d' prouver le d sir sinc re que l'auteur doit fournir aux lecteurs, pour lesrenseignements pr cieux qui pourraient normalement tre indisponibles de nombreux lecteurs. Grand

ouvrage !" ~Richa d Belli ea , A in, Te a , E a Uni d Am i e

"C'est le meilleur livre que j'ai lu sur le cancer ; c'est une v ritable r v lation et qui pourrait vous sauver la vie F. Ib ahim, R a me Uni



"J'ai tudi les questions de sant et de nutrition durant pr s de 40 ans. Il y a plusieurs ann es, un certainnombre d'amis et moi m me, avons commenc une tude approfondie du cancer sur des questions connexes.

Cancer Sortez de la Bo te est le meilleur livre que nous ayons vu sur ce sujet. Ty Bollinger a rendu un granservice l'humanit ... " J. Sma , Ne Y k Ci , E a Uni d Am i e"

"Ma femme et moi avons tellement aim ce livre que nous en avons achet dix exemplaires de plus pour offriren cadeau pour le No l de cette ann e." B e Q an ille, Ba n R ge, L i iane, E a Uni d

"J'ai lu le livre de Ty au cours de l' t 2009, je pensais que ce serait un livre d crivant d autres moyens de gule cancer. Lorsque j'ai commenc , je ne pouvais plus arr ter de le lire. Il contenait, page apr s page, des faitsbien tudi s et document s. Comme herboristes et naturopathes, nous connaissons ces secrets, mais, en

raison des r gles de la FDA, nous ne pouvons pas publiquement en faire leur tat au grand public. S'il vous plalisez ce livre... Si quelqu'un que vous connaissez re oit un diagnostic de cancer, vous pouvez tre un h ros

aupr s de votre ami avec ces informations ! " Shel n R. Hend ie , na a he e he b i e, CincinnE a Uni d Am i e

"Ce livre est un v ritable manuel de r f rence pour une meilleure sant et une vie sans cancer. L'auteura fait un excellent travail pouvoir filtrer tous les pourriels d Internet, et en vous laissant avec les meilleures

informations." Sim n Jack n, In e ca gill, N elle Z lande

"J'ai lu environ 10 livres sur les rem des alternatifs concernant le cancer. Ce livre est sup rieur en plusieursfa ons... Personnellement un traitement alternatif du cancer a t fait sur moi. Ceci est un livre original, c'est u

livre que tout le monde devrait lire." Pa l Le eille, Calif nie, E a Uni d Am i e

"J'ai lu beaucoup de livres sur diverses maladies et sur leurs causes, mais celui ci les bat tous et de loin." ~Cla dine M. G egg, Ala ka, E a Uni d Am i e

"Je suis une infirmi re dipl m e (RN) depuis pr s de 28 ans et je travaille actuellement dans un tablissemenhospitalier. J'ai trouv le livre de Ty Bollinger, Cancer Sortez de la Bo te... J'ai beaucoup appris sur lestraitements du cancer et comment avoir une bonne alimentation... C'est l'un des meilleurs livres, facile lire,

avec tant de recherches effectu es sur de multiples traitements, disposant d informations faciles utiliser. Je nepeux pas dire assez de bien de ce livre " R. L e, Cle eland, Ohi , E a Uni d Am i e

"Chaque m decin devrait lire ce livre... C'est un livre formidable qui contient une mine de renseignements. Maiil est destin , seulement, ceux qui peuvent penser par eux m mes. Nous vous remercions, Ty, mais surveille

vos arri res d s maintenant." ~V. K a e , Penn l anie, E a Uni d Am i e

"Je l ai achet pour mon ex femme qui avait un cancer du pancr as, elle a trouv ce livre comme tant unesource constante d'informations utiles, et il est signaler son incroyable r cup ration ainsi que sa bonne santHautement Recommand ". ~Cha le W. Da , Je e , le Angl N mande

"... Il tait facile lire et je n'ai pas eu besoin d'un professeur ou d un scientifique pour me le traduire.Ty va droit au but dans sa description sur l' tat actuel des choses avec le corps m dical et Big Pharma, dans leu

d sir de conserver les patients tels des clients, plut t que de les gu rir." Je ica J dan, Neb a ka, E ad Am i e

"Ce livre est incroyable. Vous n'avez pas lire plus de 100 livres pratiques sur ce sujet pour obtenir les

informations contenues dans ce livre... L'auteur fait assez simple, suffisamment pour qu un enfant du primairecomprenne... Si vous tes comme moi, vous aurez du mal mettre le livre au repos." She , C e be gPenn l anie, E a Uni d Am i e



"Il est de loin le meilleur livre dans ma biblioth que." ~Danielle Ye a di, A i na, E a Uni d Am

"J'ai t diagnostiqu e avec le cancer de l'ovaire depuis plus de 3 ans et ai eu subir de multiples interventionChirurgicales, ainsi que plusieurs types de chimioth rapies. Quand mon cancer a fait sa r apparition,

imm diatement apr s l'arr t de ma derni re chimio, je savais que j'avais besoin d'une approche diff rente. J'aitrouv ce livre, l ai achet imm diatement, et il a chang ma vie... J'ai commenc lire le livre, et ne l ai p

repos pendant deux jours, jusqu' ce que j'aie fini de le lire. J'ai maintenant l'espoir de vivre et de gu rir. Quellgrande ressource !" Deni e L., Fl ide, E a Uni d Am i e

"Les recommandations contenues dans ce livre ont aid mon beau fr re, tr s loin ce jour dans son combatcontre le cancer du c lon. Il a t diagnostiqu au stade 4 ... et il lui tait donn entre 3 6 mois. Le protocole cancer du c lon ... a permis de r duire la taille de la tumeur de 50% dans les 3 premi res semaines, d s qu il

est servi. Tr s complet et bien document ." D. H l lande , Te a , E a Uni d Am i e

"Non seulement Ty Bollinger dit les choses telles qu elles sont, mais il les dit du c ur. Dans le monde modernd'aujourd'hui, une information fiable est tr s difficile trouver. Ty vous tes vraiment un pr cieux joyau ! Je

vous remercie. " Zelk Seg ic, Melb ne, A alie

"Depuis que j ai t diagnostiqu avec un cancer de la prostate il y a 18 mois, j'ai tudi des mesures alternaticontre ce cancer, intens ment. Ce superbe ouvrage de Bollinger est la meilleure source que j'aie pu trouver sur

ce sujet". ~ J hn Mem , Ca line d N d, E a Uni d Am i e

"Wow ! Ce livre est une v ritable r v lation ! Ce que j'en ai lu... a suffi pour convaincre mon mari, sceptique. trouv ce livre facile lire, m me si M. Bollinger utilise certains termes m dicaux / terminologie biologique

m me mes adolescents sont capables de comprendre son criture. " Jannie Bah , N ea Me i e, E ad Am i e

"Ce livre extraordinaire m'a beaucoup aid dans mon combat contre le cancer du poumon. Continuez faire ceque vous faites Ty." Sig h Aegi n, T k , Ja n

"En tant que professionnelle m dicale dipl m e, qui a assist et vu un nombre incalculable d'Am ricains,mourir d'affections qui sont tr s r versibles, avec nombre d interventions m dicales, il est rafra chissant de li

un livre d crivant les d versements des haricots et qui laisse le "chat hors de la valise", tels qu ils sontr ellement survenus dans la m decine conventionnelle, dirig e par Big Pharma... M. Bollinger a compil une

mine d'or d'informations pour vous dans ce livre." Pegg K i an, Gille e, W ming, E a Uni d A

"Ce livre est ph nom nal ! Superbement document , bien crit, c est le livre le plus instructif que j'ai eu entre mains... depuis que mon mari a t diagnostiqu avec une tumeur au cerveau ... J'avais atteint le d sespoircomplet apr s le diagnostic de mon mari ; ce livre m'a redonn l'espoir et l'inspiration, puis nous a rendu un

certain contr le sur notre situation. Le plus que j'ai lu, le plus que j'ai appris, je ne peux pas croire quel poin' tais na ve au sujet des options m dicales conventionnelles... Ce livre m'a donn la force, suivant le vieil ada

la connaissance est le pouvoir. " Diana Th ma , R a me Uni

"Je viens d'apprendre un possible probl me avec un cancer du sein et, au lieu de paniquer, j'ai r alis apr s lalecture de Cancer Sortez de la Bo te que je peux r ellement avoir un certain contr le sur cette maladie... [c

livre] est extr mement bien document et tr s p dagogique... lire absolument... Je ne pouvais pas reposer le

livre quand j'ai commenc le lire." Pa la De chene, Calif nie, E a Uni d Am i e



"Je ne suis pas un journaliste, c'est l emploi de Ty, aussi, je ne vais pas m incruster sur ce point... Je suis unsurvivant du cancer, et ce livre a t une norme contribution ma survie (c'est l'un des meilleurs livres sur lesujet). Ty est un rebelle... peut tre m me un peu excentrique, mais vous ne pouvez pas ignorer ce qu'il dit.

Lisez ce livre, si vous ou un proche souhaitez vous pr munir du cancer... 'j en ai assez dit ' " B ad Ma nick,Michigan, E a Uni d Am i e

"C'est un livre incroyable qui ouvre vos yeux sur le lavage de cerveau dont nous avons tous fait l'objet. Lisez livre, il peut pargner une vie." Mme S.L. C l ha d, N ich, R a me Uni

"Le temps va s rement prouver la contribution importante de M. Bollinger l'humanit , par l'interm diaire deson livre, Cancer Sortez de la Bo te". ~B. McC , N ea Me i e, E a Uni d Am i e



5 me EditionTy M. BollingerTy M. Bollinger

Infinity 5102 Partners

P fac a R. Web e Keh



Cance S e de la B e5 me Edi i n

Copyright 2006, 2007, 2009, 2010Ty M. BollingerInfinity 5102 Partners

Les illustrations situ es sur les faces avant et arri re de l ouvrage ont cr es par David Dees. Son site web est www.deesillustration.com.

Avis des droits

Tous droits r serv s. Aucune partie de ce livre ne peut tre reproduitestock e dans un syst me d'extraction ou transmise sous quelque formeou par tout autre moyen lectronique, m canique, par photocopie, ouautre moyen, sauf par l'inclusion de br ves citations dans un avis imprimer ou publi sur le web, sans autorisation de l'auteur et de l' diteur.

Bien que l'auteur et l' diteur aient fait tous les efforts possibles afin

d'assurer l'exhaustivit et l'exactitude des informations contenues dans celivre, nous n'assumons aucune responsabilit pour les erreurs, omissions,inexactitudes, ou toute incoh rence, pr sentes ici.

Imprim et reli aux Etats Unis d Am riqueISBN 0 9788065 0 6

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Pour commander d'autres exemplaires de ce livre, s'il vous plaît, visitez le site Web suivant :

www.CancerTruth.info

Avant de lire ce livre, je dois vous donner le conseil suivant, de la FDA, chargé d'alerte et d'avertissement :

Je ne suis pas médecin ; donc, je n'ai pas été officiellement "formé." Je ne suis pas certifié en médecine, par

conséquent, il n'y a pas de diplôme à me confisquer afin de déshonorer l'intérieur de ma maison ou mon bureau, ni même aucun autre endroit qui pourrait être relatif à la plus grande fraude perpétrée sur le genre humain.

Ce livre est destiné à des buts éducatifs seulement. Il n'est pas conçu comme un substitut pour le diagnostic, le traitement ou les conseils d'un professionnel de la médecine sous licence. Les faits présentés dans les pages suivantes sont proposés à titre d'information seulement, ce ne sont pas des conseils médicaux, et en aucune manière on ne devrait en déduire que je suis praticien de la médecine.

Un effort conscient a été fait pour que l'information actuelle soit à la fois précise et véridique. Cependant, je décline toute responsabilité pour les éventuelles inexactitudes issues de mes sources, je ne puis assumer la responsabilité dans la façon dont ce document est utilisé. Ce n'est pas un livre complet, donc, il ne contient pas

d'informations sur tous les traitements de substitution contre le cancer, mais il détaille plutôt des protocoles de traitement que j'ai jugés les plus importants et les plus efficaces.

Mes déclarations concernant les traitements alternatifs contre le cancer n'ont pas été évaluées par l'Administration Fédérale de la Mort («FDA»).



DEDICACE

Ce livre est d di ma merveilleuse pouse, Charlene, qui est ma "Princesse" et ma meilleure amie. Elle esfille de mes r ves et mon pouse depuis quatorze ans, la m re de nos quatre enfants Brianna, Bryce, Tabit

et Charity. Elle est vraiment ma source d inspiration. Elle est un don venant directement de Dieu, le plus brillaexemple de Sa gr ce dans ma vie, et mon encouragement le plus passionn . Elle est vraiment le "vent sous meailes." Comme le dit la Bible, elle est ma compagne .

Sans son soutien et sa foi en moi, je n'aurais jamais crit ce livre. Non seulement elle m'a soutenu et encouragmais elle a galement dit chaque chapitre du livre, et a t une fid le "conseill re" pour discuter des sujequi doivent ou ne doivent pas tre inclus dans le livre.Je e eme cie P ince e, ce e e

ce e fai , e n a e bea enfan !

Lors de notre mariage le 23 d cembre 1995

XX



CI DESSUS A notre mariage avec le p re de Charlene (Gary Kessler)

CI DESSOUS Charlene avec ma m re prises en 2000 sur notre terrasse Pittsburgh



REMERCIEMENTS

Je voudrais adresser un merci sp cial Webster Kehr, mon ami et camarade, dans la lutte pour la v rit dans laguerre contre le cancer. Webster a compil le site le plus complet sur le cancer, dans le monde,www.cancertutor.com. Sans son expertise, ses recherches, et son assistance, ce livre n'aurait t qu un r ve etne serait jamais venu terme.

Des remerciements sp ciaux vont aussi mon bon ami, le Dr. Darrell Wolfe, pour son travail de pionnier dans ldomaines du drainage et de la nutrition. Ses livres, G t s Pourris, Le Champignon est en Nous, et ReprenezVotre Terrain Int rieur, m ont t particuli rement utiles dans la r daction de ce livre. Consultez le site Web dDarrellwww.SourcetheSecret.com et son mission de t l vision/radio venir / en 2011.

Remerciements sp ciaux adress s galement mon ami, le Dr. Rashid Buttar, pour sa sagesse et saperspicacit concernant les faits sur la toxicit , la nutrition et la suppl mentation. Le Dr. Buttar a trait avecsucc s des milliers de patients atteints de cancer au cours de la derni re d cennie, et il est vraiment un franctireur m dical. Son site web estwww.drbuttar.com et le titre de son livre best seller est : Les 9 Etapes PourTenir le M decin Eloign .

Je tiens remercier mon ami, le Dr. Jim Howenstine, pour ses excellentes recherches dans les domaines ducancer et de la d toxification. Le Dr Jim , comme je l'appelle affectueusement, est un homme profond mechr tien qui dirige ses patients sur le protocole LifeOne, d taill es plus loin dans le livre. Son site web estwww.mynaturalhealthteam.com.

Merci au Dr. David Gregg, pour son travail et ses pr cisions sur les causes du cancer, en particulier avec lesprocessus biochimiques, sur lesquels il a mis des hypoth ses, sur ses th ories propos du DMSO, et sur le

chlorure de c sium. J'ai beaucoup appris avec le travail du Dr. Gregg. Gr ce une publication, le Dr. Greg agalement t la personne qui m a r veill propos de ce qui se passeellemen sur la sc ne et dans lescoulisses, propos des v nements mondiaux.

Merci Bill Henderson, auteur de plusieurs ouvrages sur les traitements du cancer, pour sa recherche, sonsoutien, son encouragement, pour sa sollicitude sinc re, et son soutien aux patients canc reux. Bill est unhomme tonnant, et vraiment, il aime aider les gens. Le site web de Bill est :www.beating cancer gently.com.

Merci Tanya Harter Pierce pour sa recherche sur le cancer, tonnante, surtout avec ProtocelTM, et pour sonlivre exceptionnel Surpasser Votre Cancer. Le site web de Tanya est :www.outsmartyourcancer.com.

Merci au Dr. Saul Pressman (alias "Dr. Ozone") pour sa contribution la section consacr e l'ozone dans celivre, ses id es sur la th orie de l'hypoxie, relatives aux origines du cancer. Le site web du Dr. Pressman est :www.plasmafire.com.

Xii



Merci mon ami, Mike Vrentas, d veloppeur du protocole Cellect Budwig, pour ses travaux de pionnier dansl'un des traitements les plus efficaces disponibles contre le cancer. Le site web de Mike est :www.cellectbudwig.com.

Merci Mike Adams, le Ranger de la sant . Avec sa permission, j'ai saupoudr de nombreuses "Countert(des images de caricatures), tout au long du livre. Le site de Mike estwww.naturalnews.com

Je tiens galement reconna tre la m decine non conformiste , qui ne maintient pas le statu quo dans lestraitements du cancer. Le courage, l'innovation, et le d vouement de ces m decins, des chercheurs et desauteurs, ont sauv la vie de milliers de patients atteints de cancer. Et c'est seulement gr ce leur travail, qu unlivre comme celui ci ( crit par un non m decin comme moi) est possible.

A mon fr re, Ron, et ma s ur Cherith, je tiens vous faire savoir, vous deux, que je vous aime. Je sais quecela a t dur de perdre Maman et Papa, mais je vous suis reconnaissant que nous ayons tous ces bonssouvenirs de chacun d'eux, inscrits dans notre m moire.

A mes quatre enfants ador s, Brianna, Bryce, Tabitha et Charity,"Pa a aime ! "

Bryce, Tabitha, & Brianna, avec notre nouveau b b Charity photo prise en juin 2010

Xiii



A LA MEMOIRE DECe livre est d di la m moire de ma m re, Jerry Jean Bollinger Taylor, et celle de mon p re, Charles GraBollinger. Maman et papa taient les meilleurs parents que j'aurais pu jamais demander, et ils m'ont tous deuxaim inconditionnellement. Ils ont toujours t l pour me soutenir, m'aimer, et m orienter vers le Seigneur.

Par des voies diff rentes, ils ont chacun t mes h ros. Quand r trospectivement, je repense ma vie, je peudire honn tement que je n'ai pas un seul mauvais souvenir unique de maman et papa. Leurs sourires taientcontagieux, et ainsi, c' tait leur zeste pour la vie. Maintenant qu'ils sont partis tous les deux, il y a deux videdans mon coeur qui ne seront jamais combl s. Mais je les reverrai de nouveau, un jour, au Ciel. C'est mon espoi

La derni re photo de maman et de papa prise en 1995

Xiv



Table des mati resDEDICACE REMERCIEMENTS iiA LA MEMOIRE DE i

AVANT PROPOS iINTRODUCTION iiMAMAN ET PAPA iiiCHARLES GRAHAM BOLLINGER xxxiiiJERRY JEAN BOLLINGER TAYLOR xxxix

P emi e a ie, Big m decine, Big ha ma, Big fi & le Big 3

CHAPITRE 1 L'ind ie d cance & La Mafia M dicale 1

Pr parez vous 1La Conspiration & L Industrie Du Cancer 2La Cr ation de la Mafia M dicale 4La Guerre du Cancer 9

CHAPITRE 2 Le Men nge , la P agande e la C idi 15

Fum e & Miroirs 15La Machine de Propagande du Cancer & Le Lavage de Cerveau 18L Argent & la Cupidit 24

Les M decins, les Revues, les Conflits d Int r ts & les Commissions Occultes 28Les M dicaments sur Ordonnance 35Une All gorie "Bienvenue dans la Ville D Allopathe" 38

CHAPITRE 3 Pe c i n e R e i n 4

C'est un Fait Av r 43Harry HOXSEY 45Royal Raymond RIFE 47L Histoire de Ralph MOSS (Selon ses propres paroles) 49Davantage de Pers cution & de R pression 52La FDA GESTAPO Redevient Folle Encore ! 60

CHAPITRE 4 ai emen i e 63

Le "BIG 3" 63Manipuler les Termes 72La Tumeur Panique 74Votre Maison est elle en Feu ? 75L Histoire de Katie WERNECKE 77

Xv



Partie II Biologie de Base, Traitements non Toxiques des Cancers les plus Courants & Cachex

CHAPITRE 5 BIOLOGIE 101 & Cance 81

Biologie Cellulaire 81Respiration AEROBIE contre Respiration ANAEROBIE 83L' quilibre du pH 87Quelques Statistiques 91Quelles sont les causes du cancer ? 92Pourquoi certains ont ils un cancer et pas d'autres 95Histoire 101 96

CHAPITRE 6 TRAITEMENTS NON TOXIQUES 9

L Alo Arborescens 102Les Th rapies Bio Oxydatives 104Le Protocole Bob Beck 110BRANDT/KEHR Rem de du Raisin 112La Di t tique Budwig 114Cellect Budwig 118DMSO / MSM / Chlorure de C sium ( DMCC ) 120ENZYME / THERAPIE m tabolique 125Le Th ESSIAC 129Les G n rateurs de Fr quence 133La Th rapie GERSON 137Le Chanvre 141L Hyperthermie 144La VITAMINE C en Intraveineuse 146I.P.T. (Insuline, Th rapie de POTENTIALISATION) 150Life One 154Le Laurier Rose 158PROTOCEL (ENTELEV / CANCELL ) 160Le Bicarbonate de Sodium (Dr. Tullio Simoncini) 165La Th rapie d irradiation du sang, par les ultraviolets ( UVBI ) 168La VITAMINE B17 171

CHAPITRE 7 Cin E a e & Se T ici

5 tapes dans le traitement du cancer 175Les 7 toxicit s 177

CHAPITRE 8 Le Cance le l C an & la Cache ie Le cancer du sein 185Le cancer de la peau 193Le cancer de la prostate 197Le cycle de la Cachexie 199

CHAPITRE 9 Q e i n de F ence 20

Les dangers de l lectricit sale 203PEMF 206Le MRS 2000+ 208

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Partie III D toxification, Di t tique, Nutrition, Les Suppl ments & Les OGM

CHAPITRE 10 G P i 211Quel est le Nettoyage/la D tox. ? 212La mort d bute dans le colon 212

L effet domino 214Il y a un ordre 215PREMI RE TAPE: LE NETTOYAGE DU COLON 215DEUXIEME ETAPE: LE NETTOYAGE DES PARASITES 21TROISI ME TAPE: LE NETTOYAGE DES REINS 220QUATRI ME TAPE: LE NETTOYAGE DU FOIE ET DE LA VESICULE CINQUI ME TAPE: LE NETTOYAGE DE VOTRE SANG 22

CHAPITRE 11 La N i i n e E en ielle 225Combattez le ou Nourrissez le 225Tout Juste Press 229Aliments d'origine v g tale et Phytonutriments 230

Les Enzymes Essentiels 232Les Min raux Perdus 234Le Magn sium 238Le Calcium 239Le Chrome 240Le Zinc 240Les Vitamines Essentielles 238Alimentation & Maladies 239

CHAPITRE 12 Alimen Fan a i e & S e S l men Les Algues (La Chlorella & La Spiruline) 242

L Alo V ra (Glyconutriments) 244Le Vinaigre de Cidre 246L Astragale 247Les Produits de la Ruche 248Le Pollen d Abeilles 248Le Miel Brut 249La Propolis 250La Gel e Royale 250Carnivora® 251La Griffe de Chat (U a de Gato) 252Le Piment de Cayenne 253

Les Barres de CocoChia™ & Th Chocolat CocoPure™ 255Le Co enzyme Q10 256L Argent Collo dal 257La Curcumine (Curcuma) 259L Echinac e 260L Acide Ellagique 261Les Huiles & Acides Gras Essentiels 262L Ail 265Le Gingembre 267Le Ginseng 268Le Glutathion 269L Hydraste du Canada 271Le Peroxyde d Hydrog ne (H O ) 272L Iode 273L IP6 / Inositol 274



Living Fuel Rx™ 275La M latonine 276Le MMS (Solution Min rale Miracle) 279Les Champignons M dicinaux 281Le Gui 283L huile d Origan 284Le Pau d Arco 286

Les Probiotiques/Organismes Hom ostatiques du Sol HSO ( OHS) 287Protandim® 289Les Enzymes prot olytiques 290Le Resv ratrol 292Le S l nium 294La Vitamine D 295L Eau 298Les Z olithes 299

CHAPITRE 13 La "Sale D aine" 301Les Aliments Frankenstein

1 Fausses graisses (graisses trans , et huiles hydrog n es) 3022 Le Sucre, Le Sirop & Les Sodas 3043 Les Excitotoxines (MSG & Aspartame) 3064 rBGH & Nitrate de Sodium 3075 Le Soja 310

Les pouvantables Toxines6 L Amiante 3117 Le Fluorure 3128 Le Mercure 3149 Les Mycotoxines (toxines fongiques) 315

10 Les Organochlor s (sous produits du chlore) 31611 Les Polluants issus du Plastique 31812 les "Cides" 321

CHAPITRE 14 Di e NON a OGM ! Un faux sentiment de s curit 325Ma s contamin 327St rilisation du soja 328

La Technologie Terminator 329Que pouvons nous faire ? 330

Pa ie IV Le Fai , Le Fic i n e le F a de

CHAPITRE 15 ~ L'Aspartame 333CHAPITRE 16 ~ Le Fluor 341CHAPITRE 17 ~ Les Vaccinations 351CHAPITRE 18 ~ Le Mercure & la Maladie d'Alzheimer 37

CHAPITRE 19 ~ Le Traitement des Canaux Radiculaires 387

CHAPITRE 20 ~ Le Soja : la F ve Magique ? 3

CHAPITRE 21 ~ Le Codex Alimentarius 399



CONCLUSION 405

Partie V Annexes

ANNEXE 1 ~ Cliniques Anticanc reuses Recommand es 409ANNEXE 2 ~ Cancer & Spiritualit 417ANNEXE 3 ~ Exercices Essentiels 423ANNEXE 4 ~ David contre Goliath : L Histoire de Jason Vale 429

GLOSSAIRE 437INDEX 447



AVANT PROPOS

V n jour, je rentrais du travail et ma femme se trouvait dans l'une des chambres. Je suis entr dans la chambre coucher ; elle me regardait et me dit: Je i all e che le m decin a j d'h i, e il m'a di e i a

diab e.Autant que je me souvienne, ce sont l les paroles exactes. Je lui ai r pondu :"E al ? Le em de le diab e de e 2 e m n i e, Il ffi d'alle m n i e."

J'ai alors quitt la pi ce sans avoir dit autre chose. Deux heures plus tard, j'en ai conclu que j'avais t un pefougueux, je suis all au magasin d'aliments naturels et ai achet des choses dont elle avait besoin, que jepouvais acheter localement, puis j'ai command le reste sur Internet. Dans les 2 mois, elle a t en mesure dquitter la surveillance de sa glyc mie. Le traitement se trouve sur :www.cancertutor.com/Diab te/Diabetes_Type_II.htm

Si mon pouse m avait signal que son m decin lui avait dit qu'elle avait un cancer du sein, du pancr as n'importe quel autre type de cancer, ma r ponse sa requ te aurait t identique, sauf pour quelques uns des

traitements de substitution du cancer , mais la r ponse est bonne pour n'importe quel type de cancer qu'elleaurait, et pour le terme diab te de type 2 . Mon site web est similaire Cancer Sortez de la Bo te, et con u pour orienter les gens dans la bonne direction, afin de leur pargner, durant des mois, de faire leurspropres recherches. Gu rir le cancer, nouvellement diagnostiqu , c'est facile. Toutefois, il existe quelques typesde cancers (comme le carcinome des cellules squameuses), pour lesquels vous devez choisir le traitementcorrect d s la premi re fois, car vous ne pourrez pas obtenir une seconde chance.

Une cellule canc reuse est d crite comme indiff renci e . Cela signifie que la cellule canc reuse n'a aucufonction utile. Par exemple, un groupe de cellules canc reuses ne peut pas se former dans le tissu musculaire, nun cancer de la cellule devenir un l ment fonctionnel du tissu musculaire. Une cellule canc reuse ne peut padevenir une partie fonctionnelle d'un muscle cardiaque. Elle ne peut pas effectuer une fonction sur une partiedu foie. Une cellule canc reuse ne peut rien faire qui soit constructif. Elle se trouve juste l . Une cellu

canc reuse est comme une goutte de p trole vous ne pouvez pas l'int grer dans le cadre d'une automobilealors qu'elle n est encore qu une goutte de p trole.

Xix



D'une mani re analogue, pour une cellule canc reuse, elle ne peut pas faire partie du tissu tumoral, qui doit trcompos enti rement de cellules saines. Les cellules canc reuses si gent juste l'int rieur des tissus tumoraune peuvent rien faire, sauf se multiplier et refuser de mourir. Les biopsies sont essentiellement la recherche descellules canc reuses qui si gent juste l . Parce que la majorit des cellules dans une tumeur, sont des cellule

saines (toutes les cellules sont fonctionnelles dans les cellules saines), il n'y a pas suffisamment de cellulecanc reuses l'int rieur d'une tumeur pour tuer une personne. En d'autres termes, nul n'a encore succomb la pr sence de cellules canc reuses l'int rieur d'une tumeur. C'est parce qu elles ne peuvent suffire, cecellules canc reuses dans une tumeur, tuer une personne. De m me, personne n est jamais mort, partir decellules canc reuses situ es l'int rieur de la prostate. Les tumeurs b nignes ont augment , des centaines dlivres, et n ont toujours pas tu le patient.

Ce qui tue les patients canc reux, c est la aga i nde leurs cellules canc reuses. Lorsque le cancer s estassez propag , il y a suffisamment de cellules canc reuses pour tuer une personne. Un grand nombre decellules canc reuses va litt ralement pomper, sucer la vie d'un patient atteint de cancer, en volant du glucose et

des nutriments provenant des cellules saines, en cr ant des toxines comme l'acide lactique. Mais dans le but detuer une personne, l' pandage doit aller bien au del de toute tumeur (il y a de rares exceptions cette r gle,par exemple quand une tumeur bloque l coulement des fluides vitaux). Pourtant, en d pit de ces faits, leoncologues continuent de discuter avec les patients au sujet de leurs tumeurs.

Cette derni re citation, du Dr. Philip Binzel, MD, explique ce dont je parle.

"Q and n a ien e e a i ne me , la e le ch e d n le m decin di c e a ec le ma'il en end fai e a je de la me . Si n a ien a ein d' ne me e i ne adi

chimi h a ie, la e le e i n i e e e : "C mmen la me e e elle ?"

demand c mmen le a ien , l i, e e. Dan me inf ma i n la m decine, je c n a e celbien, e de a ien i e i en la adi h a ie e / la chimi h a ie, la mel e i e, mai a ec ce e le a ien bi , il e de l en l malade. l'a ie, n en endaa me eille ! La me e a ie ! O i, elle e a ie, mai i elle a di a , le a ien , l iC

?

Dan la emi e ha e d cance , e lemen el e e ce i n , la me n'affec e ni la ie en dange . Je n h i e a e ce e d cla a i n.C ,

.Il n' a ien dan la chi gie i e me e d i e la aga iIl n' a ien dan la adi h a ie i e me a d' i e la aga i n de la maladie. Il n'chimi h a ie i e me a d' i e la aga i n de la maladie. C mmen le a n n ? Ille a i i e ! Il a ne a i i e a el e le em de ie. Le em de ie d

em en e le m men le diagn ic d cance e d'ab d end che n a ien d nn , e jce a ien me e de a maladie.

XxXx



Dan le cin an e de ni e ann e , de g n me n ali dan le diagn ic ce e i de de em , de g n me n ali dan la chi gie e a ca aci D' n me g n acc m li dan l' ili a i n de la adi h a ie e de la chimica aci le ac e d i e le me .M ,

' ' .Q 'e ce e cela ignifie ? Cela ignidemmen e n ai n la ma ai e ch e ! " D . Phili Bin el, M.D., Vi an e bien an

En un mot, le Dr. Binzel dit, que rien dans la m decine moderne n arr te la propagation du cancer. On pourrapenser que la chimioth rapie est con ue pour arr ter la propagation du cancer. La chimioth rapie ne cible pales cellules canc reuses. Elle tue en pleine croissance des cellules, qu'elles soient canc reuses ou noncanc reuses. Certaines cellules canc reuses ne sont pas en pleine croissance, d autres le sont ; la chimioth rapne peut donc pas les tuer, ni les diff rencier. Quelques cellules canc reuses d veloppent une r sistance auxm dicaments de synth se, de sorte que la chimioth rapie ne peut pas les tuer, etc.

L'essentiel, c'est que si une personne prend suffisamment de chimioth rapie pour tuer l'ensemble de sescellules canc reuses, le patient meurt de la toxicit de cette chimioth rapie, bien avant que les cellulescanc reuses soient toutes tu es.La chimi h a ie ne e e alen i le cance , elle ne e l'a

age e de e le a ien . La chimi h a ie e me a gen ne mi i n , mai dan le ca , le a ien a i de ce e mi i n e m i .De nombreux patients atteints de cancer ne vivent pasassez longtemps pour entrer en r mission, d'autres vont en r mission plusieurs reprises.

La chirurgie n'a certainement pas emp ch que le cancer se soit d j propag , parce que dans presque tous les

cas, le cancer s'est propag au del de ce que qu'un chirurgien peut d couper. La radioth rapie est semblable un fusil. Pouvez vous d clencher un feu de tapis ( savoir un cancer qui se r pand) avec un fusil ? La seule choque la m decine moderne peut faire, c'est r tr cir les tumeurs, ralentir le cancer et mettre temporairement lespatients en r mission ; la m decine moderne ne peut pas arr ter la propagation du cancer seulementLADUREE !

Cela signifie que la Food and Drug Administration (FDA) n a jamai approuv un m dicament de chimioth rapiequi peut cibler les cellules canc reuses ou stopper la propagation du cancer. Chaque m dicament dechimioth rapie qu'ils ont toujours approuv , est pratiquement sans valeur, ou il fait plus de mal que de bien. Enoutre, l'American Medical Association (AMA, qui n est rien d'autre qu'un syndicat) n'ajamai approuv une

proc dure qui peut stopper la propagation du cancer.

XxiXxi



Aucun m decin (qui utilise le "Big 3") n'a jamais g r un m dicament de synth se ou accompli un acte m dqui a arr t la propagation du cancer. Ce n'est pas ce qu'ils font. Ce qu'ils font, c est ralentir le cancer, dancertains cas. Vous pourriez vous demander : veulent ils arr ter la propagation du cancer et gu rir le patient Tandis que les m decins veulent gu rir leurs patients, dans la mesure o un secteur est concern , la preuve es

crasante que la r ponse cette question est NON ! Ce livre, Cancer Sortez de la Bo te, discutera, cas aprcas, des traitements naturels du cancer (c. d. les traitements alternatifs du cancer), et m me de certaintraitements modernes contre le cancer, qui ont t ferm s par les autorit s (en g n ral de l'AMA, la FDA FTC), a ce il taient trop efficaces pour gu rir le cancer !!

Il existe un usage, en m decine, qui fait que des traitements efficaces contre le cancer sont ferm s la vue dupublic, et sont plus hautement efficace que ne le sont les m dicaments de synth se (Ils sont non rentablespour Big pharma, car ils ne peuvent tre brevet s). Les m dicaments de synth se sont r guli rement approuvpar la FDA. Il s'agit d'une arnaque d une ampleur que le monde n a jamais vue auparavant. Les m decinsl avenir se pencheront sur cette g n ration actuelle de Docteurs avec un d go t total. Ils ont eu dnombreuses occasions de gu rir le cancer, mais plut t que de gu rir le cancer, ils enterrent le traitementb n fique, et il est ill gal de l utiliser.

La devise qu il est logique d'attribuer Big Pharma (l industrie pharmaceutique) et Big Medecine (l'AMA)la suivante : Il e bea c , bea c l en able de alen i e lemen la aga i n d canc

e a aga i n. T ce i em che la aga i n d cance d i e fe m .

L'objectif long terme de l union, du mariage Made In Hell (Enfer), entre la FDA, l'AMA et Big Pharma ( le nde l Industrie du cancer ), c est de faire du cancer, une maladie chronique comme le diab te, par laquellepatient devient un centre de profits long terme. Il suffit de regarder dans les journaux. Presque chaquesemaine, des nouveaux m dicaments sont approuv s par la FDA, qui prolongent la vie des patients atteints decancer, sans les gu rir, comparativement avant, ces m dicaments sont sans valeur. C'est exactement ce qu'ilsveulent faire. On ne verra jamais un rem de contre un cancer, moins que ce ne soit un type tr s rare de cancerTelles les relations publiques, la propagande (publicit ), engendrent plus de d penses financi res l'industridu cancer, que l'argent qui est utilis pour les gu risons. Vous ne verrezjamai un rem de contre le cancer dusein, par exemple.

L'enfant du mariage Made In Hell (infernal), est l'American Cancer Society, machine de propagande qui escharg e de donner ses traitements modernes, contre le cancer, sans chercher bien loin, on peut dire que c estde la poudre aux yeux. Ils sont les artistes de maquillage pour le monstre. Vous pensez sans doute que le tauxde gu rison v ritable de la m decine moderne est de 40% 50%, et en croissance rapidement. Non. Il a t dpour les 80 derni res ann es, et il ne va pas augmenter.

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Y a t il des traitements naturels contre le cancer (c. d. alternatifs), ce qui signifie l'utilisation de mol culM re Nature, qui ont t d montr s pour cibler les cellules canc reuses, stopper la propagation du cancer, eayant permis de parvenir la gu rison d'un patient ? Vous pensez sans doute que la r ponse est non . Ce serala mauvaise r ponse. Il y a des dizaines d'autres traitements contre le cancer qui peuvent arr ter la propagationdu cancer, et m me gu rir compl tement le cancer. Dans cet excellent livre, Ty Bollinger discute des plu

prouv s de ces traitements.

Cependant, comme vous vous en doutez, la FDA n'ajamai approuv un seul de ces traitements contre lecancer, parce que les compagnies pharmaceutiques n en n'ont jamais soumis aucun d entre eux la FDA. Cest explicable, car Big Pharma ne peut pas breveter les mol cules naturelles (et faire ainsi leur profits obsc nes)et c'est en partie pourquoi l'AMA ne veut pas les utiliser pour que le cancer soit gu ri. L'AMA ne permet pas aum decins d utiliser des traitements efficaces contre le cancer. tant donn que ces traitements n'ont pas tsoumis la FDA, par l'industrie pharmaceutique, la FDA, les tiquette comme non prouv s , peu importequantit de preuves scientifiques fournie, il n'y a rien pour promouvoir les traitements naturels.

C'est pourquoi des comptables, des femmes au foyer, des agriculteurs, des ing nieurs, etc, m nent la bataillecontre l'industrie du Cancer. Mais ces gens ne font absolument aucun poids face aux m dias. Par ailleurs, la FDle National Cancer Institute (NCI), le National Institutes of Health (NIH), ad nauseam, ne sonta des anges danscette quation. Eux aussi ont vendu leurs mes et savent exactement ce qui se passe.

Les mol cules de M re Nature, en r gle g n rale, ciblentTOUJOURSles cellules canc reuses ou ne nuisent pasaux cellules normales. Ainsi, les mol cules de Dame Nature peuvent tre utilis es dans une grande partie, dandes doses beaucoup plus lev es que les mol cules de Big Pharma. C'est pourquoi, M re Nature a un taux d

gu rison v ritablement haut, soit en e f i l le , e la m decine h d e, pour des cancersr cemment diagnostiqu s !!

M re Nature (c'est dire Dieu) en sait beaucoup plus sur le cancer que les chimistes de l'industrpharmaceutique. Plus important encore, M re Nature a l'int grit , beaucoup plus, que les dirigeants desentreprises pharmaceutiques. Le Jugement Dernier prendra grand soin d'eux, et de leurs fr res de l'industrie dutabac, du gouvernement f d ral, etc, pour toujours ; mais ce n'est probablement pas votre pr occupationimm diate. Votre pr occupation imm diate, est que M re Nature conna t la mani re de cibler les cellulcanc reuses et d'arr ter la propagation du cancer.

Xxiii



Alors, pourquoi n'avez vous pas t pr par s croire en la m decine alternative ? Pourquoi n'avez vous entendu parler de ces choses une fois sur mille la t l vision, la radio ou dans les grands magazines ?Pa ce

e il a aien di ce ch e l , l'ind ie ha mace i e a ai e d la ali dede la blici , e ce a gen de la blici a ai a ib n c nc en dan le m dmaga ine.

Aussi, dans une large mesure, les m mes personnes qui font des profits normes sur la fourniture et lacollaboration avec la m decine orthodoxe, sont galement propri taires des grands r seaux de t l vision et dradio. Par exemple, General Electric, qui fait d' normes b n fices sur l'approvisionnement des h pitaux avec dco teux mat riel, et en vendant des m dicaments sur ordonnance, est propri taire de la NBC et d au moins 3grandes soci t s, affili es la NBC. General Electric est un membre de l'industrie du cancer, et ils poss dentNBC !

Ce e a e le cance a igne emen c n e lanifi a le a i e l'ind ie ha mace i e de agande, main eni dan l'ign ance, l'immen e de M e Na e a ai emen d cance .

Malheureusement, certaines personnes qui ont un c t naturel (par exemple, les gens pratiquant la m decinealternative), n ont pas l int grit , moins en tous cas, que les compagnies de tabac et les compagniepharmaceutiques. Les bonnes nouvelles sont, que ce livre, Cancer Sortez de la Bo te, va r tablir les faitsmettre les choses au clair. Il vous renseignera sur les traitements alternatifs contre le cancer, ceux quifonctionnent vraiment ; et dans de nombreux cas les vendeurs ou les cliniques cit es vous aideront utiliser letraitements. Cependant, ce livre est tout aussi important pour les gens qui n'ont pas de cancer, que pour ceuxqui en ont un, car il leur est destin galement.

Consid rez ces statistiques factuelles :

Un taux de gu rison v ritable de 90% ou plus, peut facilement tre atteint par les patients victimes d ucancer, qui vitent la m decine orthodoxe, qui s orientent vers la m decine alternative en premier, et qui enfont un devoir.

Le taux de gu rison v ritable de la m decine orthodoxe est de 3% ou moins.

95% des patients atteints de cancer, qui ont agi avec des traitements alternatifs contre le cancer, mais ayantd j re u le traitement complet et orthodoxe, ont t renvoy s chez eux pour mourir ; c'est dire que lm decine alternative a remis sur pieds un grand nombre de patients atteints de cancer, pourtant dans un tat

critique.

Pour ceux qui attendent d'aller avec d'autres traitements contre le cancer, qu'apr s qu'ils aient t renvoy schez eux pour mourir, seule une poign e parmi plus des 300 autres traitements contre le cancer, est assez fortepour avoir une chance de survie.

Mais m me pour ces rares personnes, qui ne trouveront qu un de ces puissants traitements (par exemplecelles qui ont lu ce livre), au mieux, elles auront des chances de survie d'environ 50%.

Xxiv



En d'a e e me , i alle en emie , a ec la m decine al e na i e, chance de i l , i fai e ce i e indi .Si vous y allez avec la m decine orthodoxe d'abord, puis avec la

m decine alternative en second, vous subirez des ann es de souffrance, et si vous tes chanceux, vous aurezalors un 50% de chance de survie.

Comme vous pouvez le voir, des livres comme Cancer Sortez de la Bo te sont indispensables lire. Ce lvous fera conomiser des mois, de temps, de recherches, et vous orientera dans la direction exacte vers laquellevous devez aller.

~ R. Webster KehrLe Tuteur du cancer

www.cancertutor.com

www.new cancer treatments.org

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Graham Bollinger (m n e) Jerry Bollinger Taylor (ma m e)

Conal Bollinger (mon grand p re) Helen Cade (ma g and m e) ) D.E. McCoy (mon grand p re)

Glenn McCoy (m n c in) Joel Bollinger (m n ncle)

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xxvi



INTRODUCTIONN on nom est Ty Bollinger. Il y a cent ans, il tait estim que seule une personne sur quatre vingts Am ricaserait diagnostiqu e avec le cancer. Aujourd'hui, environ un Am ricain sur trois sera diagnostiqu avec le cancau cours de sa vie. On estime que d'ici l'an 2020, un Am ricain sur deux aura le m me diagnostic. Le d c s cancer, compte pour environ douze pour cent des d c s dans le monde chaque ann e.

Partout dans le monde, plus de dix millions de personnes sont diagnostiqu es atteintes de cancer chaqueann e, et pr s de sept millions de personnes meurent d'un cancer. Selon l'Organisation Mondiale de la Sant ,

les taux de cancer dans le monde pourraient augmenter de cinquante pour cent, dans les quinze prochainesann es. Les Etats Unis se classent dans les trois premiers pays ayant le plus haut taux de cancer dans les deusexes, les hommes et les femmes. Cela sonne comme une pid mie de cancer , n'est ce pas ?

La plupart des familles ont t touch es par le cancer. Ma famille ne fait pas exception.

En juillet 1996, mon p re, Graham Bollinger, est d c d d'un cancer. En novembre 1996, mon grand p re, Conal Bollinger, est d c d d'un cancer. En mai 1997, mon cousin, Glenn McCoy, est d c d d'un cancer. En juillet 1997, mon oncle, Joel Bollinger, est d c d d'un cancer.

En f vrier 1999, ma grand m re, Helen Cade, est d c d e d'un cancer. En ao t 1999, mon grand p re, D.E. McCoy, est d c d d'un cancer. En f vrier 2004, ma m re, Jerry Taylor Bollinger, est d c d e d'un cancer.

Comme vous pouvez facilement le voir, ma famille a t d vast e par le cancer.

La premi re section de ce livre est crite en l'honneur de ma m re et de mon p re, comme je tente de raconterle r cit de leurs derniers jours, leurs batailles distinctes contre le cancer, et la fa on dont ils ont la fois inspiet touch l'ensemble des gens qui les ont visit s. Au cours des semaines pr c dant le d c s de mon p re e1996, j'ai commenc mon "voyage contre le cancer." Ce que j'ai appris durant mon voyage m'a vraiment tonn

Non seulement j'ai beaucoup appris sur l incroyable efficacit des nombreux traitements alternatifs contre lecancer, et propos des taux remarquables de r cup ration, sur litt ralement des milliers de soi disant patientcanc reux en phase terminale ; mais j'ai galement beaucoup appris sur ce que le milieu de l Industrie m dicafait de ces traitements, en les occultant, et sur la pers cution des courageux et novateurs m decins nonconformistes qui ont intensifi , puis d velopp ces traitements"en deh de la b e".

Xxvii



J'ai appris sur la politique du cancer et sur l'avidit des entreprises de l'industrie pharmaceutique. J'ai appris surla guerre entre les partisans des traitements anticanc reux conventionnels, et alternatifs. Je suis attrist qu la

fois papa et maman seraient probablement encore en vie aujourd'hui, si la connaissance de ces traitementscontre le cancer, de substitution, avait t mise la disposition du public.

Une chose int ressante que j'ai apprise, c est que le traitement de remplacement du cancer n cessite beaucoup,beaucoup plus, que d effectuer simplement un voyage rapide au magasin d'aliments de sant , et d acheterquelques bouteilles de vitamines et de min raux. La science derri re les autres traitements contre le cancer estvraiment remarquable. Les m canismes pr cis par lesquels certains protocoles combattent le cancer sont

tonnants. En fait, plusieurs autres traitements contre le cancer ont t d velopp s par les laur ats du prixNobel.

Au moment de la r daction de la cinqui me dition de cet ouvrage (2010), si vous recherchez sur Googl"cance ",vous obtiendrez plus de 180.000.000 de pistes. C est dire s il y a beaucoup"d'inf ma i n , l ba,c'est comme si on disait que l'oc an est" n e h mide". Cette quantit d'informations peut facilementaccabler quelqu'un qui commence tout juste faire des recherches sur le cancer. C'est ce moment que lesgens peuvent rapidement se perdre dans la "Jungle" du cancer. Dans un tel moment critique de votre vie, quiseulement faites vous confiance ?

De nombreux sites vendent toutes sortes de pilules et de potions. Certains sites Web comme quackwatch.comne font rien de plus que de critiquer les traitements de remplacement du cancer, tout en les d nigrantvolontairement et hypocritement, avec une grande motivation de pr cision. C est une honte. D'autres sites sont

trop techniques et sont pratiquement impossibles comprendre. Comment pouvez vous vous y retrouver danstout cela ? Qui a raison ? Qui a tort ? Il est facile de devenir surcharg s, et de dire :O bli n c e im ibe el e ch e a n en a m me a la eine.

Lorsque Sam Houston luttait contre Santa Anna dans les ann es 1830, la l gende veut qu'il ait dit :Il e emde ace ne ligne dan le able. Ce quoi un vacher, qui servait sous ses ordres, lui dit :Eh bien Ca i aine, a e bea c de able ch i i . Avec tant d information facilement accessible sur le cancer et les traitementsdu cancer, choisir o tracer la ligne dans le sable est plus dur que jamais. C'est, j'esp re, Cancer Sortez de Bo te qui sera votre "ligne dans le sable", car il expose clairement et succinctement les faits, les d ceptions sule cancer, et les traitements du cancer.

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La plupart des gens n'ont ni l'argent ni le temps d'acheter et de lire les nombreux livres, qui ont t publi s sules sujets m dicaux, financiers et politiques, des aspects du cancer. Je suis optimiste sur ce que ce livre va servde concis mais de complet, il est une source d informations sur le complexe et la politique r pr hensible dcancer ; et il aidera les lecteurs prendre des d cisions clair es sur la bonne nutrition, la pr vention du cancet d'autres protocoles des traitements du cancer.

Je suis un CPA (Expert Comptable Qualifi et Certifi ). Quand je travaillais vers ma ma trise en Fiscal'Universit de Baylor, l'une des nombreuses comp tences pr cieuses d velopp e tait la capacit de recherchen profondeur sur un sujet tr s complexe, arriver une conclusion bas e sur des faits pr cis et decirconstances, puis r sumer mes conclusions dans un style concis, style m morandum. "D crypter" l'InternRevenue Code pour le profane n'est pas une t che facile, mais je crois que cette capacit l , m'a permis dr sumer et d'organiser de grandes quantit s de recherches sur le cancer et crire, en fin de compte ce livre.

Dans la profession de comptable, nous pr parons les tats financiers pour nos clients. Une sp cificit de l' tafinancier est consid r e comme une Compilation , ce qui n est fondamentalement rien de plus que compilation des chiffres fournis par nos clients. En d'autres termes, nous prenons leurs informations et lespr sentons dans un format qui est facilement reconnaissable et compr hensible. Dans un sens tr s r el, ce livrn'est rien de plus qu'une compilation de renseignements que j'ai appris, apr s la lecture des dizaines de livres etapr s avoir visit des milliers de sites web.

En aucun cas ce livre n est un ouvrage savant. J'ai d cid d' crire ce livre en des termes simples, avec minimum de jargon m dical, et sans mettre de longues listes de r f rences. Maintenant, ne vous m prenez pase ne citerai pas de nombreuses tudes, je ne dispose pas de nombreuses r f rences scientifiques, et je ne cite

pas de nombreux experts. Mais, j'ai essay de garder ces R f rences "illustr es" tout au long du livre, dans lesituations o elles sont importantes et pertinentes. Il y a un glossaire la fin du livre, pour vous aider, ainsi quindex.

Honn tement, il existe des dizaines d'ouvrages remarquables sur le sujet du cancer, la nutrition, et desprotocoles de traitement, mais beaucoup trop sont embourb s dans des quantit s volumineuses de jargonm dical et de d tails techniques, ainsi ils sont soit trop difficiles comprendre ou tout simplement troennuyeux lire. Beaucoup de ces livres vont vous laisser avec plus de questions que de r ponses. Voucommencez la lecture, confus et quand vous arrivez la fin, vous tes encore plus confus. D'autres crivendans un type de "Charabia nigmatique" qui ne peut tre d chiffr que par d'autres m decins, des scientifique

et des universitaires.

xxix



Contrairement Emeril Lagasse, qui aime d marrer d'un cran , mon but tait de faire descendre d'un cranpour ainsi vous permettre de comprendre r ellement la complexit de l'information m dicale concernant lecancer, la nutrition et la sant en g n ral. Cependant, ce livre ne contient pas beaucoup de terminologie ets'appuie plut t sur des d finitions. Donc je sugg re fortement que vous le lisiez du d but la fin, sans sautedes sections. J'esp re et je prie pour que cette information vous soit utile dans vos efforts pour pr venir,combattre, et / ou gu rir votre cancer. Puisse, le Seigneur, l'utiliser comme un tremplin pour que vous retrouviezl un ou l'autre ou maintenir votre sant . Si vous tes pr ts avoir cette ouverture d'esprit et sortir de Bo te , je crois que vous b n ficierez de ce livre.

Que Dieu vous B nisse !

Ty M. Bollinger

Auteur

[email protected]

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Maman & PapaMaman et Papa taient les meilleurs parents, qu on n ait pu jamais demander, et ils m'ont tous deux aim

inconditionnellement. Par des voies diff rentes, ils ont chacun, t mes h ros. Maintenant qu'ils s en sont allil y a 2 trous dans mon c ur qui ne seront jamais combl s. Mais je vais les revoir tous les deux nouveau, un

jour, au Ciel. C'est mon espoir.

C G B

B ux environ de 5 heures, le 1er juillet 1996, avec Charlene, nous nous sommes arr t s dans le m tro, et aprque nous nous soyons procur s quelques sandwiches, nous nous sommes dirig s vers maman et papa, leurmaison, au nord ouest de San Antonio. Mon p re, Graham, avait eu des douleurs abdominales pendanquelques semaines. Il tait all chez le m decin et ils ont pens qu'il pouvait s agir d un parasite dans le venpeut tre le Cyclospora, qui est provoqu par de mauvaises fraises. Nous ne savions pas que ce serait la dernifois que nous mangerions tous ensemble. Apr s le d ner, papa et moi avons parl de ce qui pourrait tre cause de ses douleurs l'estomac, quand, sorti de nulle part, il a d clar : " J' e e e e je n'ai a

cance ." Je lui ai r pondu : Oh, ne in i e a , Pa a, je i e ce n'e ien de g a e ... T aan .

Plus tard dans la soir e, nous tions tous l haut en visite. Charlene et moi, on se pr parait pour aller la gyTout coup, Papa fut frapp d une douleur, et il se mit saisir son abdomen. Aucun de nous, auparavann'avions jamais assist une telle douleur. Papa mesurait 6'2 (1,89m), pesait environ 220 livres (100Kg), et il robuste. Mais la douleur l'accablait et nous commencions nous inqui ter... A vraiment nous inqui ter. Lvisage de Maman tait rempli de crainte, car elle disait son mari depuis pr s de trente ans, qu'il aurait besoid'aller l'h pital. Il a dit qu'il allait bien et allait essayer d'aller en bas. J'ai eu le soutenir alors qu'il luttausqu' la salle de s jour. Une fois en bas, il tait vident que papa n' tait pas au mieux, et j'ai dit papa q

nous avions besoin d acc der l h pital ASAP. Papa tait d accord.

Xxxiii



Physiquement, Papa tait le portrait de la sant , nous n avons donc pas pens au pire. Il ne buvait pas d'alcoone fumait pas, et faisait de l'exercice r guli rement. Spirituellement, c tait un g ant. Il marchait avec J sus sles chemins rares des croyants, et ses priorit s taient bien d finies : 1) Dieu, 2) Sa femme, 3) Ses enfants et sparents, et 4) tout le reste. Papa ne s est jamais engag dans un comportement malsain, nous tions s rs qu'ilne devait s agir que d une chose b nigne. Nous nous sommes rendus confiants l'h pital.

Sur le chemin, il tait vident que papa subissait une douleur atroce, mais ses paroles n taient que des motd'excuses pour le d sagr ment qu'il causait au reste de la famille. Il a dit que les infirmi res improvis es taiepr venantes, qu'il avait, en tant que Charlene, qui lui caressait les cheveux et maman qui rafra chissait son fronavec un mouchoir humide. Ses pens es avaient, comme toujours, mis l'accent sur les autres plut t que sur luim me. Vers 7 h du soir, nous sommes arriv s l'h pital. Papa a t admis imm diatement et les m decins commenc ex cuter une s rie de tests afin de diagnostiquer le probl me. J'ai appel mon fr re Ron et lui ai de venir l'h pital. Nous avons d cid de ne pas appeler ma soeur, Cherith, qui tait au coll ge HardSimmons University Abilene, jusqu' ce qu'on en ait su davantage.

A 9 heures, les m decins avaient valu le probl me, des calculs biliaires. L op ration pour les enlever pr vue pour le lendemain matin. Comme tout semblait aller bien, Charlene et moi, n avions pr vu d allel'h pital... Que probablement aux alentours de minuit, retenus par le travail dans des bureaux pour notreservice de conciergerie.

Comme nous sommes arriv s l'h pital peu avant minuit, notre grande surprise, maman nous a dit qu'iavaient d j admis papa en chirurgie. Peut tre les calculs biliaires taient ils pires que pr vu. J ai appel Chet lui ai dit que papa tait en chirurgie pour des calculs biliaires, mais de ne pas s'inqui ter. Tout allait bien spasser.



Une heure, deux heures du matin... toujours pas de nouvelles des m decins. Apr s 3 heures de chirurgie, il tavident que le probl me tait un peu plus grave que per u l'origine. Trois heures du matin, et nous tion

vraiment inquiets. Enfin, environ 3:30 heures du matin, le chirurgien nous a rencontr s, nous tous, dans la salld'attente Ron, Charlene, maman et moi. Je n oublierai jamais le regard sur son visage, quand il sortit de la sad op ration. Ce fut l'un des deux chocs avec le d sespoir. En secouant la t te avec le d sespoir, les premi rparoles qu'il a dites sont C e aimen a anc ... e il e i je ne. C'e le cance . Maman s'est presqueeffondr e et a commenc pleurer de fa on incontr lable. Nous avons tous commenc pleurer. Commencela pouvait il se faire ? Il tait juste entr pour une op ration de calculs biliaires ! Ron a alors couru hors dchambre, en pleurant. Nous nous sommes tous r confort s mutuellement avec des accolades et des parolesd espoir. J'ai appel Cherith nouveau pour lui dire que les nouvelles taient mauvaises. Il tait 4 heures matin.

Les m decins ont d enlever environ un tiers du c lon de Papa, et une grande partie de son estomac aussi. Ilavaient coup une incision de huit pouces, traversant verticalement vers le bas ventre. Le cancer avaitm tastas , au niveau de ses ganglions lymphatiques, et un peu partout dans sa r gion abdominale. Noussommes all s chez lui, chercher un couple d'heures de sommeil, et sommes retourn s l'h pital vers 11 heuremardi matin.

Les m decins nous ont dit de ne pas encore mentionner le cancer, papa, donc, avec tous les espoirs que nouspourrions rassembler, nous sommes entr s dans sa chambre d'h pital. Il avait l'air fatigu et confus. Il ne savaipas ce qui lui tait arriv , ne se souvenant que de l arriv e l'h pital, la nuit pr c dente. Nous tol encouragions de croire que tout allait bien se passer et qu'il aurait juste besoin de se reposer.

L'un des infirmiers de Papa tait un homme profond ment Chr tien, nomm Jeff Ronk. Nous le connaissionsfr quentait l glise avec nous Il nous accompagn s l' glise, et nous a aid s calmer nos craintes. Il noassur que papa tait en de bonnes mains et qu'il serait personnellement ses c t s. Assurez vous qu'il a rele plus haut degr de diligence. N tait ce pas une b n diction de Dieu, d'avoir plac Jeff dans cette situation

Plusieurs membres de notre glise ont commenc arriver l'h pital. Papa et maman avaient assist Fellowship Believer, depuis, ils ont d m nag San Antonio, quelque huit ans auparavant, et les membres dl glise ont t comme une famille pour eux. A environ 1 h de l apr s midi, Charlene et moi quittions l hpour dormir pendant les heures d'apr s midi, quand nous avons vu Jim Bryant, un ancien de notre glise, alldans le parc. Comme nous avons commenc l'informer de l' tat de sant de papa, tout ce que je pouvais dire

tait : Pa a a n cance ... c'e aimen mal a i, apr s, nous avons tous commenc pleurer et nous noussommes embrass s.

Cet apr s midi l , nous avons essay de dormir un peu, mais cela fut difficile. Charlene et moi n'avions

d'enfants cette poque, et moi, ce que je pensais, c'est que papa ne serait pas l pour voir son avenir avec sespetits enfants. Charlene et moi, n tions mari s que depuis six mois. Tout ce que je pouvais faire, c' tait todoucement, de sangloter, comme je restais l .

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Lorsque nous sommes arriv s l'h pital, nous avons t tonn s du nombre de personnes qui taient l povoir Papa. Il tait un homme, avec qui les autres aimaient discuter, il a toujours t amical, parce qu'il voulprendre le temps de les couter. Il a v cu pour J sus et fit de son mieux pour traiter les autres de la mani rdont J sus les aurait trait s. La salle d'attente tait pleine de gens et d alimentation g teaux aux fruits et debiscuits, sodas et sandwiches, des pommes et des bananes. Quelques d courag s regardaient, alors qued'autres semblaient joyeux d' tre en mesure de servir la famille.

Papa ne savait pas encore qu'il avait un cancer, et nous ne voulions pas le lui dire. Mais je ne me sentais pas bie propos de mon p re, qui tait dans l'ignorance, alors j'ai demand au docteur si je pouvais dire la v rit

papa. Le m decin dit alors que c' tait une bonne id e. Je n'avais jamais t dans une situation semblablauparavant, et je ne savais pas quoi dire papa, mais je savais que les mots seraient l quand j'aurais besoind'eux. Je savais que j'aurais besoin d' tre fort pour ma famille et pour mon p re, donc je suis entr dans la

chambre de papa et lui ai pris la main. Pa a... ai ce i 'e a ? Demandai je. Papa secoua la t te d'unc t vers l'autre. Il n n cance de l'e mac la n i de ni e, e il l n .

Je m'attendais ce que papa ait l air choqu , mais il n'a pas eu l'air surpris. En fait, on aurait dit qu'il s'en doutet a t soulag de conna tre la v rit . C tait un homme intelligent, il ne pouvait sans doute que penser, qquelque chose devait tre louche, pour que la moiti de l' glise ait t l pour une visite durant toute la journ

Ca a e OK, a a. Il n le cance , a j e be in de e e e , e c e. Bien que lesm decins aient indiqu qu'ils n'ont certainement pas eu tout le cancer, j'ai pens que ce petit dialogue ne luiferait pas de mal, aiderait son esprit ainsi que son tat mental.

Papa est rest en r animation toute la journ e, durant laquelle la r alit a commenc se mettre en place avela famille. Il avait effectivement subi une chirurgie de quatre heures pour un cancer de l'estomac ! C' taipresque comme si nous nous tions assis devant la TV, sans r alit , d sorient s par la tournure des v nementordus, dans le pass des 24 derni res heures. Imaginez la transition, de penser que mon p re avait un simpleparasite, jusqu la sinistre v rit , qu'il tait en r alit , d vor par le cancer. C' tait comme si quelqu'un joune farce et que les choses allaient bient t redevenir normales...mai l , ce n' ai a ne lai an e ie.

Pourquoi en tions nous arriv s l ? Nous ne comprenions tout simplement pas. Papa tait un homme, seulement de 52 ans. Il faisait de l exercice r guli rement, regardait ce qu il mangeait, et n'avait pas de vicene fumait ni ne buvait, et il n'avait pris qu une aspirine dans toute sa vie, toute enti re. Cela ne semble pas just

Des gens comme papa ne devraient pas attraper le cancer. Le cancer, c est pour les gens qui ont t n gligents cause de ce qu'ils mettent de mal dans leur corps... pas pour quelqu'un comme mon p re.

Les m decins ont fait sortir Papa de l'h pital, le vendredi 12 Juillet. J avais commenc faire des recherchesles traitements du cancer de substitution, et ai t tr s int ress pour y faire participer et les faire partager Papa, au Bio Medical Center (anciennement le Hoxsey Clinic), Tijuana, au Mexique. J'ai galementpropos de la gu rison, les propri t s de la carotte fra che et du jus de betterave, donc je suis all cherchel'ensemble de ces aliments au magasin, pour y chercher des l gumes biologiques.

xxxvi



Bien que confin dans son lit la maison, papa a crit une lettre l glise, affirmant que, comme l'ap tre Paune savait pas s'il allait vivre ou mourir, mais qu il voulait faire confiance Dieu, et lui donner la gloire, quoi arrive. Les termes exacts de papa, ont t : C C , .Nous l'avons emmen l' glise le dimanche, et notre pasteur, Bruce Blakey. Il a lu la congr gatiobeaucoup d'entre eux taient en larmes.

Le mardi apr s midi a t pass ensemble la maison, avec Maman et Papa. Papa et moi avons coutsermon comme il tait rest se reposer. Charlene et Maman ont pris quelques instants elles, Charlene poules ongles, et Maman pour les cheveux. J' tais optimiste sur la possibilit de faire voyager Papa, Tijuana, aMexique pour visiter le Bio Medical Center. Leurs traitements alternatifs contre le cancer avaient obtenu desr sultats ph nom naux, et j' tais s r qu'ils pouvaient contribuer la gu rison de papa. J'ai fait plusieurs appeet ai parl aux m decins de la clinique. Les activit s pr vues pour la mi ao t ont t fix es, et j' tais dr flexion sur la possibilit d'une restauration compl te pour mon p re.

Si Papa pouvait tout fait se remettre de l'intervention chirurgicale, il pourrait commencer le traitement basede plantes, recours qui taient disponibles au Bio Medical Center . Mais c' tait un grandSI. Comme il faisait lasieste, j'ai commenc r aliser combien mon p re repr sentait pour moi. J'ai commenc pleurer doucemenet j'ai r alis qu'il s'agissait d'une tr s r elle possibilit qu'il pourrait effectivement ne pas r cup rer, mais jretenu mes larmes quand j'ai vu Maman et Charlene arriver dans l'all e.

Elles se regardaient radieuses, comme elles sont sorties de la voiture, comme elles riaient et bavardaient. C' taiagr able pour moi de les voir sourire, comme au cours des deux derni res semaines avant qu elles soienremplies de tant de tristesse. Tant que Papa dormait, nous avons discut des plans pour l'emmener au Mexiqueune fois qu'il en serait physiquement capable. Nous avons tous convenu que si Papa se remettait de la chirurgiebient t, il y avait une excellente chance que le Centre Bio M dical soit en mesure de gu rir le canc

naturellement. Il a t notre seul espoir... Cela tait notre pri re fervente...

Charlene et moi l avons laiss , environ 5 heures du soir, pour prendre soin de l'entreprise de conciergeriNous avons termin vers 11 heures du soir, et l'arriv e, de retour notre appartement, j ai vu qu'il y avdouze messages sur le r pondeur. J ai senti un noeud imm diat dans mon estomac, et j'ai r alis que quelquchose de mauvais avait d arriver Papa. Comme nous avons cout les messages, notre c ur se mit battrplus vite et fut plus rapide. Le premier message a t de mon fr re Ron, qui nous a dit qu 19 heures, notre pavait commenc saigner du nez et par le rectum, puis que Maman avait appel une ambulance. Il est de retoudans la salle d'urgence. Les sutures de la premi re intervention chirurgicale n'avaient pas tenu, et il avait uneh morragie interne.

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Le lendemain matin, mercredi, vers 8 heures, nous avons pu voir Papa pour la premi re fois, depuis qu'il avat r admis l'h pital. Son visage tait enfl , alors tr s s rieusement, cause des transfusions de sang, etait presque m connaissable. Je n'oublierai jamais Maman et Charlene, elles sortirent de sa chambre d'h pita

aussit t apr s l'avoir vu. Dans un premier temps, c tait le regard de quelqu'un qui ne reconnaissait pas so

Papa, il avait l'air en tr s mauvaise position. Il n tait pas beau voir, si vous voyez ce que je veux dire. M mvoix avait chang . Comme Charlene alla rendre visite, elle a dit qu'elle placerait sur lui des morceaux de glace.

Bien s r, Papa tait agr able et souriant avec un c ur reconnaissant pour la glace. Vient ensuite, Charlene, danson c ur, elle savait qu'elle voyait l'un des hommes les plus beaux du monde. Avant m me qu elle n ai pu lparler, maman dit : Il e bea , n'e ce a ? Charlene a nergiquement dit:"O i !" avec un grand sourire. Ilsont tous deux vu la beaut int rieure de papa. Comme j entrai dans sa chambre d'h pital, la premi re chosqu'il voulait dire tait sur sa police d'assurance vie. Il dit :T , end in de a m e. J'ai commenc pleurer.Je savais que mon p re tait au courant qu'il n'avait plus beaucoup de temps vivre.

Ce vendredi, j' tais dans la chambre d'h pital de Papa, avec John Gordon, un ancien de notre glise. Au courdes derniers jours, il avait re u une tonnante quantit de dix huit pintes de sang transfus . Ils ne pouvaietout simplement pas arr ter les saignements internes. Il est sous perfusion de morphine et est arrivinconscient. Lorsque quelqu'un est autant sous s dation, vous avez vraiment une v ritable image de leur c ur,comme ils n ont vraiment pas contr le sur ce qu'ils disent. Et il a t confirm que le c ur de papa appartenaau Seigneur.

Je me rappelle qu' un certain moment, Papa s'est r veill , a lev les yeux vers moi et dit lentement, comme avait un masque oxyg ne sur le visage et sous morphine,"Je aime T ." Puis, il regarda travers la pi ce, a vuJohn Gordon, et dit : B nj , m n f e Jean. Comme il n' tait pas capable d'avoir de l'eau ou m me desmorceaux de glace cet endroit, il dit: J ai if. V ie ili e n b n e e d'ea . Mai jc nfian e L R V. Puis, il l cha nos mains et aussit t, il tait de nouveau endormi.

Plus tard ce soir l , nous avons parl au m decin qui nous a inform s que les reins de Papa, fermaient leuportes , et que nous avions besoin de prendre une d cision quant l'opportunit ou non, de le placer sousassistance respiratoire. Sur la base, et la demande sp cifique de Papa, nous avons dit au m decin que nousn' tions pas int ress s par cette option. Je me souviens, d tre rest debout toute la nuit, confront la durer alit que mon p re allait bient t mourir. Le lendemain, ma grand m re et mon grand p re sont descendus Dallas afin de voir Papa une derni re fois. Dimanche matin, Charlene et moi, avons voyag avec Ron et l'oncde Tim, Ingram, au Texas pour l'achat d'une s pulture et d une pierre tombale. Nous avons pris la voiture dPapa, et pendant l'heure de route, jusqu' Ingram, nous avons cout une de ses cassettes. Je me souviensavoir cout une de ses chansons pr f r es et commenc pleurer. Comme j voquais Papa, la chanson a jo

plusieurs reprises.

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Ce soir l , Papa a rencontr toute la famille et s'est adress directement chaque personne, dit chacun dnous tous qu'il nous aimait et qu'il n'avait pas de regrets. La gr ce de Dieu tait mise par Papa, et il tait upilier de force. Apr s notre rencontre avec Papa, les m decins ont dit que son c ur avait acc l r environ 18battements par minute, et que ce n tait qu une question d heures avant qu il ne parte.

Lundi apr s midi, Papa entra dans le coma. Il n'en n est jamais sorti. Jeudi, 25 juillet 1996 7h10, ChaMaman et moi sommes rest s son chevet jusqu son dernier souffle.Pa a en e all e n SaJ Ch i .

Vous pouvez tre assur s que, dans ses derni res semaines et jours, mon Papa r fl chi sur sa vie, sur l'amoqu'il avait pour chacun, et pour tous les membres de sa famille. Et quand son temps est venu, les anges sontarriv s. Plac en cet endroit merveilleux o Dieu habite, et o il passera l'Eternit . Il est maintenant avec soSeigneur et Sauveur, J sus Christ, et l'adore. Il y a maintenant presque treize ans qu'il est mort, mais en "tempdu ciel" c'est comme si cela ne venait que d'arriver. Dans les mots de ce grand hymne, Gr ce Etonnante,"N

, , ' D , ".

Je Jean B llinge Ta l

A la mort de Papa, Maman fut d vast e. Ils taient mari s depuis trente ans, et elle tait seule, pour la premifois depuis trois d cennies. Elle a pleur constamment et semblait malheureuse avec la vie. Maman a toujour

t le genre de personne qui clairait la pi ce quand elle entrait, mais sans Papa, elle se sentait vide et sanespoir. Charlene et moi avons pass d'innombrables heures avec Maman, surtout pendant la premi re ann eapr s le d part de Papa, en tentant de la consoler et d'essayer de la distraire de sa profonde tristesse.

En Novembre 2001, Maman s'est fianc e Jack Taylor. Nous n'aurions jamais cru qu'elle allait se remarier. Mon sous estimait Dieu. Jack Taylor a t le pasteur qui avait mari Maman et Papa, une trentaine d annauparavant, et il avait r cemment perdu sa femme, morte d un cancer. Maman et Jack se sont vus et devaientse marier en Mai 2002. Nous avons t ravis que Maman ait une nouvelle raison de vivre et quelqu'un aimEn Janvier 2002, j'ai pris l'avion de Pittsburgh pour San Antonio, pour tre avec ma m re, pendant une chirurgiCar deux mois auparavant, en Octobre 2001, les m decins avaient d couvert une petite tumeur canc reuse danl estomac de Maman et elle devait la faire enlever.

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Il s'agissait d'une op ration courante et il n'y avait rien craindre. Nous avons donc pens ...

Trente minutes en chirurgie, le Dr. Caldarola est sorti du bloc op ratoire en pleurant. Maman a enseign la 5ann e au ch teau de premi res collines Baptist School San Antonio, et elle avait connu des gens, dont le DKiddos Caldarola. Son pouse tait l'infirmi re scolaire. Ils ont tous aim maman. Le Dr. Caldarola a dit que

estomac tout entier tait cribl par le cancer, et que les seules options taient de recoudre ou d op rercompl tement l'estomac (une gastrectomie totale). Je lui ai demand : S' ' , ? Il dit qu'il lui retirerait l estomac. J'ai alors dit :A , . Cela fut notre d cision.

Jack Taylor est un homme ph nom nal. Le lendemain matin, apr s la gastrectomie totale de Maman, et avec lem decins, sombres quant la possibilit de sa survie, de plus de quelques mois ; Maman a t cat goriquepropos du fait de ne pas se marier avec Jack, pour ne pas le mettre en travers de ce nouveau deuil, puisqu'ilavait r cemment perdu sa premi re femme, Barbara, d un cancer. Mais Jack lui dit qu il avait toujours enviel' pouser, et qu'il prendrait soin d'elle. Combien d'autres hommes auraient r agi ainsi ? Surtout apr s qu'ils aienperdu leur femme d un cancer ? Comme je l'ai dit, Jack Taylor est un homme ph nom nal, un homme de Dieu

Maman et Jack en 2003

Eh bien, ils esont mari s en mai 2002, tout comme Jack l avait promis Maman. Jack est un vang liste, etont parcouru le monde, r pandant l' vangile de J sus, ainsi que leur histoire de tomber amoureux nouveauMaman prouvait tellement de plaisir parcourir le monde avec Jack. Elle aurait aim rire de bonheur, alors qsouvent, elle nous avait dit qu'elle tait la "Vice Pr sidente" du minist re des Dimensions.

Ses derniers mois ont t difficiles, car elle tait dans une constante douleur ; le cancer a ravag son corps, eelle a finalement eu un accident vasculaire c r bral. Mais Jack Taylor, que Dieu b nisse son me, est resdebout, c t d'elle, tout le temps.Je ne ai jamai di e ffi ammen de b nne ch e l i. Maman etJack ont pass pr s de deux ann es merveilleuses ensemble, avant qu'elle ne rentre chez elle pour tre avec leSeigneur, le 15 f vrier, 2004.

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V ici n h mmage ma m e, c i a ma femme, Cha lene :

Jean Bollinger Jerry Taylor, 62 ans, a rencontr le Seigneur J sus, le 15 f vrier, 2004. Elle est n e le 5 juillet 1Artesia, Nouveau Mexique, d Helen et David Ernest McCoy. Elle a rejoint, aujourd'hui, son premier mari, ChGraham Bollinger, sa douce m re, Helen Cade, et son p re, D.E. McCoy, qui sont absents d ici, mais pr savec le Seigneur. Bien que nous sommes tous reconnaissants et heureux qu'elle soit avec J sus Christ notreSauveur, elle nous manquera norm ment. Elle a t un phare pour nous tous les mains et les pieds de J suElle nous a donn la sagesse et la bont , l'amour et l'acceptation, la pure bont et la beaut au del des simplemots. Elle servit chaque moment o elle a v cu, au service de J sus, sa famille, et de nombreux chers amis.

Son beau sourire radieux, clairait toujours la pi ce, partout o elle se trouvait. Tous ceux qui la connaissaieont t b nis et encourag s par elle. Elle voulait surtout apporter la gloire de la parole de Dieu, peu importe lco t pour elle m me. D fendant les plus faibles, le Seigneur lui donna sa joie et sa force. Un dernier passage la Bible, cher son c ur, tait N h mie 8:10:La j ie d Seigne e ma f ce.Sa gr ce, une nouvelle foisprouv e tait toute suffisante. Elle est morte comme elle a v cu, en louant notre Sauveur J sus.

Jerry Jean est devenue chr tienne l' ge de sept ans. Elle a assist Hardin Simmons University, o elle a lue princesse de Retrouvailles sur la Cour, par le pr sident des services Cowgirls, l'organisation de sa derni

ann e. Quelle beaut ! Elle a t responsable de la jeunesse la First Baptist Church de Dallas, o ellrencontr et a pous son Doux C ur, Charles Graham Bollinger. Ensemble, ils ont lev une famille, et appola gloire au Seigneur dans tout ce qu'ils ont fait. Elle a enseign diverses Mesdames d tudes bibliques traveles ann es, et les personnes aid es ont appris sur le salut par J sus Christ, et sur la foi chr tienne. Elle

galement enseign l'anglais, l'histoire, et la lecture, dans les diff rentes coles chr tiennes.

De 1987 2001, elle a enseign les classes de 5me et de 6 me au ch teau de Hills First Baptist School. Elle a perdu

son premier Doux mari d un cancer, en Juillet 1996. Ce fut un triste moment pour tous. Nous n'avons jamapens qu'elle pourrait jamais se remarier. Elle tait trop heureuse en m nage avec Graham. Mais nous avontous sous estim notre Seigneur. Le 4 mai 2002, elle pousa "Resurrection Man" Jack Taylor, et a v cu presqdeux ann es glorieuses, voyageant ensemble au pays, pour apprendre et dire tous, au sujet de J sus, leurpremier amour. Elle n' tait pas seulement fi re d' tre la femme de Jack, mais aussi fi re et rayonnante dedemeurer aupr s de lui dans son minist re pour le Seigneur en tant que Vice Pr sidente du minist re dDimensions . Son mari bien aim , Jack, en est le fondateur et pr sident. Le 19 janvier, Jerry a subi un AVC mlors d'une croisi re dans le Pacifique Sud. Elle a pass deux semaines l'h pital de Papeete, Tahiti, avad' tre transport e San Antonio, le 5 f vrier 2004.

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Elle laisse dans le deuil son mari, Jack Taylor, les enfants, Ty et Charlene Bollinger, Ron Bollinger, Cherith et Moore, Tim Taylor et Michelle, Tammy Snell et Bill ; les petits enfants, Brianna et Bryce Bollinger, Baby Mod en Juillet, Blake et Brice Taylor, Kimber Snell, Tim Snell, Chris Snell et Clayton Snell ; belle m re, NBollinger, les fr res, Tim McCoy et Susan, Ron McCoy et Cathy, John Cade et Patti ; soeur, Ernestine Clark

Lloyd, et de nombreuses ni ces, neveux, tantes, oncles, cousins et cousines.

Charlene et Maman notre mariage.

Si elle pouvait parler devant vous aujourd'hui, elle dirait :Rega de m i (J ), e e e a , le e mi de la e e (Esa e 45:22). Elle aurait voulu voir le monde se repentir, et croire, recevoir la v

ternelle avec le P re du Ciel, par J sus notre seul Sauveur et Dieu.V alle me che che , e me and me che che de e c. (J r mie 29:19)"Demande e il e a d nn ,

che che , e e e , f a e e il e a e ."(Matthieu 7:7). Elle serait dire, que J sus ne setrouve nulle part, mais partout. Recherchez dans les critures, avec go t, et voyez : le Seigneur est bon ! Ellveut vous voir l bas avec elle dans le ciel. tes vous pr t ?

S n e i e e ien de m in e J , le ang ac e la j ice. Elle a, n' e a fai el d ce ame, mai le fai fai le n m de J .

Alle d nc e fai e de di ci le de e le na i n , le ba i an a n m d P e e d Fille a enan b e e ce e je ai c mmand , e ici, je i a ec de i cle .(Matthieu 28:19 20).

Xlii



Partie 1

Big Médecine

Big Pharma

Big Profits

&

Le “Big 3”



xxxiv



Chapitre 1L’Industrie du Cancer &

La Mafia MédicaleTout m decin, aux tats Unis, qui gu rit le cancer, en utilisant des

m thodes alternatives sera bris . Vous ne pouvez pas trouver, (citez moi ) un m decin,faisant du bien ses patients, qui combat le cancer en utilisant des th rapies alternatives,

qui n'est pas sous attaque. Et je le sais, car ces gens, je les ai interview s . Dr. Gary Null.

Acc che

De que vous allez lire sera probablement contest . Tout ce que vous avez entendu depuis votre naissance.Depuis la cr che, il nous a t appris, croire aveugl ment, tout ce que nous lisons dans les journaux et sl'Internet ; sans compter ce que nous entendons la radio, et ce que nous regardons la t l vision. Encons quence, l'Am rique est pleine craquer d"agnea " ( savoir des personnes qui sont douces comme desmoutons, faciles convaincre, intellectuellement charge, et qui tendent suivre la foule).

Dans ce livre, je vais vous demander de sortir de la Bo te et effectivement, de penser par vous m mes. Je vvous demander de franchir le facteur na f pas d issue , qui est commun la plupart des Am ricains. Harter Pierce, auteure de surpasser vos Cancers , appelle cela le facteur d'incr dulit . Lorsque j'ai commencapprendre, propos du succ s des traitements de substitution contre le cancer, il y a pr s d'une d cennie, etpartag les connaissances avec les autres, ma r action a t"PAS D ISSUE !".

Vous voyez, le facteur "pas d issue", est bas sur la perception erron e, que si les traitements alternatifs contrele cancer taient r ellement travaill s, d velopp s, communiqu s, alors il n'y a "aucune raison" que loncologues partout pr sents, en soient encore aux traitement chimiques classiques. Ce que la plupart d'entrenous ne r alise pas, c est que la plupart des oncologues souffrent galement du facteur "Sans Issue", car ilconsid rent que si les traitements de substitution contre le cancer taient efficaces , alors c est tousimplement un "Non sens" qu'ils aient obtenu leur dipl me de l' cole de m decine sans entendre aucunelouange ce sujet

1



Malheureusement, les coles de m decine sont priv es, et sont financ es en grande partie, par de grandessoci t s pharmaceutiques, qui ont acquis un puissant int r t dans les traitements classiques, puisque le butprincipal de toutes les soci t s cot es en bourse (y compris les soci t s pharmaceutiques), c est l'augmentatiodes profits des actionnaires.

Les informations contenues dans ce livre vont probablement vous choquer. certains moments, votre r actionnaturelle sera le scepticisme, le doute et l'incr dulit . Je peux compl tement comprendre ces r actions, carcomme vous, je les ai eues moi m me. Nous avons tous t endoctrin s r agir de cette fa on. Une r ce

tude de Johns Hopkins, a r v l que la t l vision entra ne des l sions c r brales et une incapacit expospens e critique. Ceux d'entre nous, qui ont grandi coll s la t l vision, doivent surmonter ce lavage de cerveaafin de lib rer leur esprit. Si vous tes capable de sortir de la Bo te pour quelques heures, pendant que volisez ce livre, je sais que vous serez content de ce que vous aurez fait. En tant que cela. En fait, cela doiseulement vous sauver la vie, ou la vie d'un tre cher !

L C & '

Comme dit le proverbe,"ce n e a a ce e e a an a e, e cela ne ignifie a il a a e ." La v rit est, que les th ories du complot abondent, et il y a autant de sites Web sur

l'Internet pour les d mystifier. Certaines de ces th ories du complot sont des b tises, certaines d'entre ellessont plausibles, puis certaines autres sont tr s probables, et quelques unes d entre elles sont m me la v ritD'apr s ce que je peux voir, la "conspiration du cancer" est vivante, et bien vivante.

Mais cela, il n'est rien de nouveau. Dans l'introduction de son livre La gu rison du cancer , Barry Lynes fodes preuves que cette conspiration existe depuis plus d'un demi si cle :En 1953, n a d'en e d SAm icain, indi e l'e i ence d' n c m l , ime de ai emen efficace c n e le cen cha ge de l'en e e c mm d men d c d . L en e a al in e m e. Ce n' aide nie ca , d' ne ie de m ange , im li an de e nne , en i i n de ca e dee l i an d g amme de m decine ind ielle d cance , de la na i n .

M. Lynes poursuit : Pendan de n mb e e ann e , l'Ame ican Medical A cia i n (AMA) e l'AmeS cie (ACS) n c d nn le li e de hi a ade de che che n a e c n e le

mi la e , afin d' e aci . Il cite, un journaliste d'investigation comme r f rences l'AMA et l'AEqui sont, un ea de j icie e je e n'im e i, fa i an ne h a ie c

a, l'enc n e b an ielle de le j g e de le fi .

2



J'avais l'habitude de croire que le "complot du cancer" est un r sultat non intentionnel de l'amour de l'argent etqu'il n'y avait pas vraiment d intentions malveillantes ses racines. Toutefois, en raison des histoires similairaux deux qui suivent, j ai d repenser ma position sur ce sujet.

En 1931, Cornelius Rhoads, un pathologiste de la Rockefeller Institute for Medical Research, a d lib r mcontamin , par des essais cobayes , des hommes Puerto Rico, avec des cellules canc reuses, et treize d'enteux sont morts. Malgr le fait que Rhoads a donn un t moignage crit, qui pr cise qu'il croyait que tous lPortoricains seraient tu s par contamination, il a oeuvr aux installations US Army Biological Warfare danMaryland, l'Utah, Panama, et a t nomm la Commission de l' nergie atomique des tats Unis, o commenc une s rie d'exp riences sur l'exposition de soldats am ricains aux radiations, ainsi que sur depatients de l'h pital civil.

Puis, en 1963, Chester M. Southam (qui a inject sur des d tenus d une prison de l tat de l Ohio, des celcanc reuses vivantes en 1952) a effectu les m mes proc dures sur vingt deux patients s niles, AfriAm ricains de sexe f minin. Cela a galement t fait la chronique juive de l h pital de Brooklyn, avemaladies diverses, afin d'observer leur r ponse immunologique. Il a dit aux patients qu'ils avaient re u

certaines cellules, mais a commod ment laiss de c t le fait qu'elles taient des cellules canc reuseIroniquement, Southam a fini par devenir pr sident de l'American Association for Cancer Research !

S'il vous pla t veuillez noter que les v nements ci dessus ne sont pas simplement isol s. Il y a des centaid'autres articles semblables, qui se sont d roul s au cours du si cle pass . Cela signifie t il n cessairement

e les personnes qui travaillent dans le domaine m dical et dans la recherche sur le cancer, participent l'exp rimentation sur l homme, et font cela en toute connaissance de cause, en toute conscience, totalementou en partie, participent un complot, en vue de retenir les rem des contre le cancer ?Bien e n n. Cettenotion est manifestement absurde. La plupart des m decins, infirmi res et professionnels de la sant sesoucient vraiment des gens, et font ce qu'ils croient tre bien, honn tement et le meilleur, pour leurs patients.

En fait, presque tout le monde (y compris les professionnels m dicaux) a t touch par le cancer.En 1975 dans sa cassette audio Les politiques du Cancer , G. Edward Griffin expliqueEn l aff n an , c

e nne me en d' n cance c mme le m nde d'a e ch e... il e iden e ce genc n ciemmen , e enan n c n le [ ne g i n] c n e le cance . Cela ignifie ef i[ ha mace i e e chimi e] c n le n ca el de m n le m dical, a c n clima de j

me d ca if, dan le el la i cien ifi e e en ac ifi e de in financemen iennen de c m agnie ha mace i e , indi ec emen , a le c m agnie hal'im l i n e dan l' ien a i n de la eche che de m dicamen . Cela ne ignifie a e el

iffle e di e : H , ne fai e a de eche che en n i i n ! Cela ignifie e lemen e e nne le financemen de la eche che n i i nnelle. C'e d nc ne a iali l e le cien ifi e

i e en b c cie a le in ac i .

3



Dans ce livre, Cancer Sortez de la Bo te, vous apprendrez que les "Empereurs" m dicaux paradent, se d criveux m mes comme des experts , concernant les traitements du cancer, alors qu ils n'ont pas de bases solidesJe vais d montrer, qu au si cle dernier, il y a eu une conspiration pour tablir ce qui suit :

• S les traitements alternatifs contre le cancer, r primer et pers cuter ceux qui pr nent de tels

traitements.• L du public, pour l amener croire que la chimioth rapie, les rayons, et la chirurgie (le Bi3 ) sont les seules options viables pour traiter le cancer.• S par la publicit , et le Big 3 , puisque l'objectif unique de l industrie du cancer esde faire de l'argent.

Tout d'abord, permettez moi de d finir certains termes de base, les surnoms, et l argot. Big Medicine compose de l'Institut National du Cancer (NCI), l'American Cancer Society (ACS), et l'American MedAssociation (AMA).

Les grandes multinationales pharmaceutiques sont d nomm es ci dessous Big Pharma . Le r seau dpollueurs industriels, Big m decine, la FDA, Big Pharma, les groupes phares de l'industrie et les groupes pression politiques comprennent l'industrie du cancer , dont le but est de conserver le statu quo et maintenirle public ign an des autres traitements contre le cancer, assurant ainsi les profits des actionnaires de BigPharma. mon avis, la tactique d plorable (de ces bureaucrates corrompus, et des hommes d'affaires)comporte une ressemblance avec le comportement brutal de "Cosa Nostra", alors j'ai souvent utilis le terme

Mafia M dicale comme un g n rique (et oui, p joratif) en argot, pour d signer ce groupe de vocriminels.

La c a i n de la Mafia M dicale

Afin de mettre les choses au clair, permettez moi de vous en dire un peu plus sur les racines de la m decine de Big Pharma. Plongeons nous dans l Histoire, et allons jusqu'aux alentours de 1910, afin d en savoir plus John D. Rockefeller, et sur le Rapport Flexner. Je parie que vous n'avez jamais entendu parler de ce rapport, estce le cas ? Vous voyez, l'objectif de Rockefeller tait de dominer les industries p troli res, chimiquepharmaceutiques, et les march s financiers, de sorte que son entreprise, (la Standard Oil of New Jersey) puisseacheter une participation majoritaire dans une compagnie pharmaceutique Allemande norme, la soci tchimique appel e I.G. Farben.

On a su, que I.G. Farben, tait le principal donateur de fonds financiers lors de la Campagne lectorale d'AdolpHitler. Un an avant, Hitler s'est empar du pouvoir, I.G. Farben donn 400 000 DM Hitler, son parti nazi son arm e priv e (les SS ). En cons quence, apr s la prise du pouvoir par Hitler, I.G. Farben tait le plus gprofiteur de la conqu te Allemande visant le monde, au cours de la Seconde Guerre mondiale. Alors que demillions de personnes ont t emprisonn es et assassin es, I.G. Farben profitait de ses sinistres investissements

4



I.G. Auschwitz, une filiale 100% d I.G. Farben, tait le plus grand complexe industriel du monde, pofabrication du caoutchouc de synth se, de l'essence, et pour la conqu te de l'Europe. Auschwitz a utilis leprisonniers des camps de concentration comme travailleurs esclaves dans leur usine. Mais il n'y avait pas dplan de retraite pour les prisonniers d'Auschwitz. Ceux qui taient trop fragiles ou trop malades pour travaillont t s lectionn s l'entr e principale de l'usine d'Auschwitz, et envoy s dans les chambres gaz. M megaz chimique Zyklon B utilis pour l'extermination de millions de personnes innocentes, r sultait des planchedessin d I.G. Farben et de ses usines.

Traitement

Les faits sont une r alit : la masse des humains t trait e aux produitschimiques de synth se, et cela a t orchestr dans l'Allemagne nazie.

M M A .N N .

5



En 1941, Otto Armbrust (IG Farben, membre du jury charg du projet d'Auschwitz), a d clar ses coll gN e n elle ami i a ec le SS e ne b n dic i n. N a n d e min e le me

de cam de c ncen a i n a fi de n e ci .I.G. Farben a utilis les victimes des camps deconcentration comme cobayes humains. Des dizaines de milliers d'entre eux sont morts au cours d exp riencestelles que les essais de nouveaux vaccins inconnus. En tout, plus de 300.000 prisonniers pass rent par le campd'Auschwitz et ses installations. Plus de 25.000 ont travaill jusqu la mort, alors que d'innombrables autres o

t assassin s dans les chambres gaz ou par l'exp rimentation humaine.

On aurait pu penser, qu'apr s la fin de la guerre, en raison de leur participation l'assassinat des millions depersonnes Auschwitz, les membres du conseil d I.G. Farben auraient t "condamn s" par les entreprispharmaceutiques US. Rien n aurait pu tre plus explicite. Avez vous d j entendu parler de Bayer CorporatioEn 1956, Bayer a nomm Fritz ter Meer, d I.G. Farben, (c iminel de g e e ec nn c able au proc s deNuremberg par les membres du jury p nal), comme pr sident de son conseil d'administration. (Joseph BorkinLe Crime et la R pression d'IG Farben).

Le fruit ne tombe jamais loin de l'arbre. Dans les ann es 1980, Bayer a commercialis un m dicament, appe

facteur VIII, pour les h mophiles. Cependant, on s'est vite aper us que le facteur VIII (qui a t confectionprincipalement avec des produits sanguins de l'homme) tait contamin par le virus du SIDA. Malgr le fait qles documents internes ont d montr que BayerSAVAIT que la substance tait entach e avec le SIDA, ils ontd cid de le vendre l' tranger (particuli rement en France, en Espagne et au Japon). En cons quence, demilliers d h mophiles innocents et leurs familles ont t infect s par le virus du SIDA. Il s'agit d'un assassinamasse. Je suis constern au del des mots

Mais je m' gare. Revenons en 1910 et notre le on d'histoire sur le Rapport Flexner. Afin de construire socartel de la drogue, Rockefeller a jug n cessaire, pour r duquer le corps m dical, dee c i e l d

d i ha mace i e, de sorte qu'il a embauch Abraham Flexner pour le voyage

dans le pays, afin d valuer le succ s des coles m dicales Am ricaines. En r alit , il n y avait que tr"d' valuation" qui passait par Flexner, les r sultats de son tude ont t pr d termin s.

Finalement, Flexner a pr sent un rapport la Fondation Carnegie, intitul l Education m dicale aux tatset au Canada . Sans surprise, l'essentiel du rapport, c est qu'il tait beaucoup trop facile d ouvrir une facult m decine, et que la plupart des facult s m dicales ne dispensaient pas la bonne m decine son go t. d'autres termes, les gens ne consommaient pas suffisamment de m dicaments.

6



Flexner a indiqu qu'il tait n cessaire d'installer un Portier qui d terminerait, dans les facult s de m decautoris es, par l'interm diaire de ce Portier m dical , ceux qui doivent rester dehors. Le rapport a t pr senau Congr s, et ils ont aval l'hame on, la ligne et le lest. Comme on le voit tr s souvent, les hommes politiqusont tout fait dispos s adopter des lois qui nous priveront de nos libert s constitutionnelles sous la banni raguichante de la Protection du public . Regardez ce qui s'est pass aux Etats Unis depuis les attentat"terroristes" du 11 septembre.

Ainsi, l'AMA est devenue le nouveau gardien, et tait habilit e d terminer dans les facult s de m decine, normes de la m decine conventionnelle admissibles et celles qui ne l' taient pas. Contrairement la croyancpopulaire, l'AMA n'est pas une entit gouvernementale. Elle est une organisation priv e qui a commenc en1847, et il s agit essentiellement d un Syndicat de m decins . La seule diff rence entre l'AMA et le Syndicam tallos, c est que les membres de l'AMA portent des cols blancs, tandis que les syndiqu s des M tallos portedes cols bleus. Et tout comme avec de nombreux syndicats, au sommet de cette organisation sont situ s les"chefs de la Mafia".

Vous voyez, l'objectif pr tabli du Rapport Flexner tait de labelliser comme charlatans , les m decins quiprescrivent pas les m dicaments industriels. Les facult s de m decine qui offraient des cours sur les th rapienaturelles et l'hom opathie ont t avis es de laisser tomber l un ou l'autre de ces cours de leurs programmed' tudes, ou bien alors, elles perdraient leur accr ditation. Faut il s' tonner que le total du nombre de facultde m decine accr dit es aux tats Unis, ait diminu de moiti entre 1910 et 1944 ? Le r sultat final du RapFlexner a t que toutes les facult s de m decine accr dit es, sont devenues particuli rement orient es verles m dicaments chimiques et vers la recherche pharmaceutique.

Le plan de Rockefeller eut un succ s retentissant, et les conflits d'int r t entre Big Pharma et Big m decincontinuent encore ce jour. Dans son livre, La Porte du Cancer : Comment Gagner La Fureur de PerdrGuerre du Cancer, le Dr. Samuel Epstein montre qu'au cours du si cle pass , l'AEC, la NCI, et l AMA sont

devenus corrod s avec les groupes institutionnels majeurs, et ont personnellement des conflits d'int r t avecBig Pharma. Comme cela a t admis avec candeur par un directeur r cent de la NCI, elle est devenue unci ha mace i e g e nemen ale.

Le Dr. Epstein relate aussi comment, pour des raisons mon taires, l'industrie du cancer en est venue lasuppression de montagnes d'informations propos des causes environnementales du cancer, plut t que derendre ces informations disponibles au grand public. Dans son livre Les Politiques du Cancer Revisit es, le DEpstein stipule que L' abli emen d cance a galemen mi de d nne a blic Af ic Am

a ic lie a g e e hni e d fa i , a ec a fa n di i nn e habi elle, ld'incidence d cance , ain i e de inf ma i n le e i i n i able a agen canc

ain i de le d i de c nna e la i , e le em chan efficacemen de end e de me e c'e n d ni flag an de j ice.

7



C'est une simple quation conomique. Garder le public ignorant sur les causes et les r sultats du cancer chetous ceux qui en sont atteints. Plus de patients atteints d un cancer, c est plus de ventes de m dicaments dechimioth rapie, plus de rayons, et plus de chirurgie. Vous voyez,l'a gen , plut t que l' thique morale, c est lefacteur d cisif pour l industrie du cancer et la Mafia M dicale. Pour tre honn te, leur but est de fournir soulagement temporaire, en traitant les m me du cancer, avec des m dicaments, tout en ne r pondantamais laca e du cancer. Ceci assure r guli rement des visites au cabinet du m decin, et exige que le patien

retourne r guli rement la pharmacie pour remplir ses ordonnances. C'est cela le jeu sur les gens, toutsimplement. Big Pharma n est rien de plus qu'un conglom rat d'entreprises, qui peut au mieux tre d cricomme des e ende glorifi s,de m dicamen . On ne peut que refuser cela ou traiter avec. Plongez votret te dans le sable si n cessaire. Pensez des id es heureuses. Ou continuez lire, et gardez un esprit ouvertC'est votre choix.

Merci David Dees et www.Deesillustration.cm pour l image ci dessus.

J'ai une demande formuler : s'il vous pla t ne n gligez pas les faits contenus dans le pr sent livre, juste parque votre m decin ne vous en a jamais parl , parce que certains d'entre eux sont difficiles croire, parce que letraitements contre le cancer de substitution ont t tiquet s comme charlatans ou insens s par l'industridu cancer, ou parce que beaucoup d'entre eux sont diam tralement oppos s la propagande que vousentendez sur les nouveaut s.

8



S'il vous pla t essayez de Sortir de la Bo te , et ouvrez votre esprit la possibilit que vous lui avez menti, qa beaucoup de traitements anticanc reux plus efficaces que les "Big 3" (chimio, rayons, et chirurgie)Derni rement le docteur Robert Atkins a prononc la meilleure phrase qui puisse tre r v l e :Il n a n n a

n, mai l ie ai emen c a if c n e le cance , de di nible . Mai il n

im a l'AEC, le NCI e le cen e maje d' nc l gie. Ce cen e n bea c d'.

La survie de la Mafia M dicale et de Big Pharma d pend de l' limination (par tout moyen) des traitemenefficaces et naturels de sant . En rendant plus difficile l'acc s des recours naturels de sant , ces gangstem dicaux prot gent leur monopole, tout en nourrissant leur propre m galomanie. A vrai dire, en particulconcernant les traitements contre le cancer, la Mafia M dicale et leurs copains Big Pharma sont en coursd'ex cution d'un r gime d'extorsion norme, et leurs tactiques font ressembler Pol Pot un enfant de ch ur !Peu importe si vous tes un m decin ou un patient, si vous croisez la Mafia M dicale, alors vous serprobablement visit par un de leurs briseurs de jambes , qui va tenter de vous intimider et de vous contraindr

la soumission, ainsi qu l'ob issance.Selon l avis du Dr. Henry Jones :"Pe de em a e le m n le m dical ai f m , il a cim e n d e d j , afin de d i e e c nc ence. Une ge bien gani e e bien na i nale de le n n MD (c. d. le n n fe e de m decine) a en e i e. Am i i d 20 me i cle, ce m n le m dical a i fe me l de 40 fac l de m decine. Lga de n n mb e e le de m decin , afin de mie fi e le a e . A la Sec nde G ec mmenc le m n le m dical ic emen c n l , eillan cha e ciali m dicale. Il a d el emen , e a galemen i in e di e, ma ginali e , l de 70 fe i n de ade in e de la an d c n mma e n , c mme j , le ai n de ce e

l' bje de la de c i n a le m n le m dical i , le h m a he , le age femme , le che c i e , In e ne , la ge e effec e de la m me mani e. A c ne e e cien ifieche che n e ffe e ni a anc e di c di e ce a icien . T e a che de ce

a a ina ..."www.thenhf.com/articles/articles_728/articles_728.htm

L G C

La Guerre contre le cancer a t officiellement d clar e par le gouvernement f d ral en 1971, et promulgcomme loi, avec enthousiasme, par le pr sident Richard Nixon. Depuis pr s de quatre d cennies ! Elle est er alit devenue un bourbier, une "m decine du Vietnam", une guerre sans fin, calcul e "sans victoire". La guercontre le cancer, depuis cela, ce sont d innombrables millions de Dollars qui sont vers s chaque ann e pour perp tuation. Depuis 1971, plus de2 TRILLIONS de D lla ont t d pens s pour la recherche sur le cancer etles traitements conventionnels allopathiques.

9



N anmoins, en d pit (ou peut tre cause) de ces co ts faramineux, l'industrie du cancer demeure largemenferm e aux id es novatrices dans le domaine des traitements de substitution du cancer. Selon le Dr. John Bailerqui a pass vingt ans aupr s du personnel du NCI et a t le r dacteur en chef de son journal, parlant r union annuelle de l American Association for the Advancement of Science en mai 1985,"M n al a i nd en emble, e e le g amme na i nal c n e le cance d i e c n id c mme n

."

En fait, l'industrie du cancer (conduite par leur Mafiosi ) a men une autre guerre une guerre contre ceux pr conisent l'utilisation de traitements de remplacement contre le cancer. A l'origine de cette nouvelle guerre,c est leD lla i an. Vous ne me croyez pas ? Quels sont les cinq autres traitements num ros un contrele cancer ? Pouvez vous nommern seul traitement de substitution du cancer ? La Mafia M dicale et Big Pharmont les m dias dans leurs poches, ce qui fait que les traitements contre le cancer qui sont seulement connus dela plupart d'entre nous, sont les Big 3 . Sauf si vous tes un coutumier d'Internet, il est probable que voun'avez pas t expos s beaucoup de bonnes informations sur les traitements de remplacement du cancer. Lav rit est que, puisque les traitements conventionnels a en le l d a gen, ils sont vendus comme lestraitements les plus efficaces. C est tout cela l' conomie du cancer, ne surtout pas trouver de rem de. Dans sonlivre Gangsters en M decine, Thomas Smith dit pr cis ment :[Le me m dical] n'e a gani

ai e e g i la maladie ; c'e ne en e i e c mme ciale gani e fai e de l'a genb n ficie e a icien .

Je suis un CPA (expert comptable), et j'ai tendance regarder les choses depuis une perspective conomiqueEt je dois vous dire que du point de vue conomique, l'industrie du cancer est le mod le d'affaires id al. BPharma et les autres entreprises chimiques font d' n me fi sur la vente de produits chimiquescanc rig nes, qui sont sous valu s en risques (souvent volontairement), dans nos aliments, l'eau, et l'aiEnsuite, ils r alisent desb n fice, davantage encore, par la fabrication et la vente, co teuse, inefficace, desm dicaments toxiques pour traiter les cancers et autres maladies caus es par leurs propres produits. Puis, dans

le jargon du baseball, ils compl tent le "triple play",en endan de m dicamen l men ai e ,afin deprovoquer des effets secondaires des m dicaments primaires plus supportables. Dans le jargon des affaires,l'industrie du cancer est assise sur une vache lait . Malheureusement, cette vache lait, c est une escroqueau d triment des patients atteints de cancer.

Ajoutant l'insulte l'injure, ils ont laiss les contribuables John et Jane (c'est dire vous et moi) financer recherches dans d'autres directions, afin dene a g i le cance , alors qu'ils en sont encore promouvoirleurs m dicaments pour r aliser des profits obsc nes. Pour s'assurer que le public reste parfaitement ignorantde la r alit des faits sur le cancer, ils ont mis en place un groupe d lite (comme l'AEC [ ACS ]) pour difd sinformation, au nom de l' ducation sur le cancer, tandis que le reste de la Mafia M dicale est occup

combattre dans une guerre de territoire hostile, pour s'assurer que les traitements alternatifs contre le cancerrestent supprim s ; et les m decins qui utilisent ces traitements sont pers cut s, puis chass s du comt .

10



L'un des moyens par lequel cette guerre de territoire est men e, c est travers la publicit . Non seulement legrandes soci t s pharmaceutiques font des milliards de Dollars de profits chaque ann e sur la vente desm dicaments chimiques, mais ils sp culent galement des milliards de Dollars dans la publicit et lm dicaments sur ordonnance chaque ann e. Et, puisque les gens, en Am rique, prennent g n ralement leursd cisions cl s, bas es uniquement sur ce qu'ils voient la t l vision et ce qu'ils entendent la radio, il n'est p

tonnant que nous ne sommes gu re au courant, concernant les traitements de substitution du cancer !L'industrie du cancer a fait tout ce qui tait en son pouvoir pour s assurer que vous ne connaissieza la v ritsur les traitements de remplacement du cancer. Les stations de t l vision et autres m dias n'osent pas diffusertout ce qui pourrait blesser l'un de leurs plus grands publicitaire Big Pharma.

Retour en 1996, si nous avions t au courant des traitements alternatifs disponibles, r ussis contre le cancermon p re ne serait peut tre pas mort. Je suis en col re et d go t , que la Mafia M dicale supprime ltraitements de remplacement naturels contre le cancer, pers cute les m decins qui les utilisent, et rendepresque impossible le fait d'avoir acc s ces traitements, causant ainsi la mort des millions et des millions dvictimes du cancer. Cette prochaine histoire vraie va vous briser le c ur.

C e l hi i e d Ale ande H in (dan le e m de a m e, Ra haele) : Le 10 a 1998, l gede an , n e fil Ale ande a diagn i de la me la l c mm ne d ce ea cm d ll bla me. A 'Ale ande ai bi de a i n d ce ea , m n ma i e m i

h a ie n n i e i 'e l e e n cc dan le ai emen d cance d ce ee emb e, 1998, FDA Ale ande , l'acc ce ai emen , an a e de ie . Le ncn di e an le echni e de l a e la chimi h a ie, le cance e ai bien a i n ien de l'hi i e l'efficaci le dange en iel de la chimi h a ie, mai in inc i ema ai e c' ai n ma ai ch i la h a ie. Ce endan , main enan e la FDA a ai in

e d ni a meille e chance de ie, ili e n d i n n i e, dan ne h a ie i aenfan , n n'a i n a d'a e ai emen en i n de di nible. A c n ec , n a

chimi h a ie le 7 c b e, 1998. Le c le in i l GCC 9921 c n i ai en l adminiin a eine e, de a e m dicamen de chimi : ci la ine, inc i ine, c cl h hamide (a ele le VP16 (a i a el ide). Ale ande e mina n i i me m i de chimi h a ie en d c da le 31 jan ie 1999. Il n'a ai e de an e demi. www.ouralexander.org

Oui, il y a bien une guerre entre la Mafia M dicale et les d fenseurs des traitements de remplacement du cancerSi vous croyez que la Mafia M dicale, agit dans le meilleur int r t du public, alors peut tre devriez vous llivre crit par le Dr. Harvey Wiley, le fondateur de la FDA (en 1906) et son premier directeur. Dans l HistoirCrime Contre le Droit Alimentaire, il d crit l absolue corruption qui s est produite, en quelques annseulement, l encontre de son fondateur.

11



Il a rapidement r alis que son objectif initial avait t subverti. Il a aussit t d missionn et crit le livre.

Les m mes probl mes ont persist la FDA pendant presque un si cle. La Mafia M dicale a derri re elle,histoire de corruption et des conflits d'int r ts avec Big Pharma. Selon l'ancien commissaire de la FDA, le DHerbert Ley, tel que cit dans le San Francisco Chronicle du 1

er janvier 1970 : la ch e i me d ange, c'e

le gen en en e la FDA e l le ge . Elle n'e a l cela. Ce e la FDA faen e, c e a i diff en e le j e la n i . En 1969, le Dr. Ley a t moign devant le comit s natoria

et d crit plusieurs cas de malhonn tet d lib r e dans le d pistage des m dicaments. Dans une affaire, uprofesseur avait test pr s de 100 m dicaments, pour 28 entreprises diff rentes, qui fabriquaient desm dicaments . Le Dr. Ley a t moign ,Le a ien i n d c d , i n i l'h i al,aband nn le e , n em lac a d'a e a ien le e ai , en l'ab ence de n

egi e . Q a an e e n a ien ignal c mme a ici an de de n m ld an le e . (S nat US, Des probl mes de concurrence dans l'industrie pharmaceutique, 1969).

Au d but des ann es 1970, des affaires internes , type tudes de la FDA, ont r v l qu'un m decin surqui effectuait des recherches, sur le terrain des nouveaux m dicaments, et avait fait des d couvertes , les envoy es aux compagnies pharmaceutiques, et ce sont ces derni res qui ont empoch les b n fices.End'a e e me , 20% de m decin enaien d' e and ! (Science, 1973, vol. 180, p. 1038). Selon la DreJudith Jones, ancienne directrice de la Division de l'Exp rience des M dicaments la FDA, si les donnobtenues par un clinicien ne sont pas satisfaisantes , envers le m dicament pour l' tude d'exploitation, il ed usage que la soci t pharmaceutique fasse poursuivre l'exp rimentation ailleurs, jusqu' ce qu elle obtiendes r sultats satisfaisants et les t moignages qu'elle d sire. Les r sultats d favorables ne sont presque jamaipubli s, et les cliniciens sont pouss s cacher la v rit . (Arabella Melville & Colin Johnson, Gu ri de la MEffets des M dicaments sur Ordonnance).

Les m decins sont les principaux chercheurs dans le domaine des m dicaments pour Big Pharma. Gardel'esprit que l'incitation, pour les cliniciens, afin de fabriquer artificiellement des donn es (MENTIR) est normEn change de la recherche favorable dans les r sultats, ces m decins sont r compens s par des subventionde recherche, des cadeaux, et autres avantages somptueux. Selon John Braithwaite, dans son livre LaCriminalit des Entreprises dans l'Industrie Pharmaceutique, Big Pharma paie jusqu' concurrence de 1000 $ psujet, permettant ainsi bon nombre de ces m decins de gagner plus d 1 milliard par an partir de la rechercsur les m dicaments seuls. Et ne soyez pas dupes ces m decins savent tr s bien que s ils ne produisent pas d

r sultats favorables pour Big Pharma, leur "bonne planque" sera prochainement et brutalement stopp e. Vouvoyez, beaucoup de m dicamentsDOIVENT tre vendus. Afin d'atteindre cet objectif, tout est permis : lemensonge, la fraude, et les commissions occultes. C est logique, les d s sont pip s dans cette guerre du cancertout cela s'est lourdement empil c n e les succ s des traitements de substitution.

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Le d lire des tyrans

Merci Mike Adams et www.NaturalNews.com pour la caricature ci dessus.

Lorsque nous d truisons des alli s, Lorsque nous d truisons les Lorsque nous d truisons lesc est pour nous permettre de mettre terroristes, cela nous permet compl ments alimentaires, c estde l'ordre envers chacun . d apporter la s curit tout pour rendre la sant chacun.

le monde.

Pour r ussir dans la guerre contre le cancer, nous devons avoir des gens qui ont le cran de parler, sans peur

d' tre tiquet s comme "Politiquement incorrect" ou aussi comme th oricien de la conspiration . Mike Adamle Ranger de la Sant , est un guerrier comme tel. Dans son ternel style de franc parler, il crit :La m decinecciden ale a man n de i en e n e e le. A j d'h i, al m me e le m

d nnance n l f emmen c n mm e jamai a a a an dan l'hi i e de la cina i n a fai m n e en fl che le a d' b i e le maladie ch ni e .

Il i : L . Il 'agi d' n me d m dm decine , d min a le in financie de c m agnie ha mace i e , le i

ambi ie de la FDA, e de ieille fac l de la m decine adi i nnelle, d n la i i n m e em che d e l e le ai chemin de la g i n. Le fac l de la m decine m de ne n'en eigla g i n la n i i n. A '

. www.naturelnews.com/adamshealthstats.htm

Mon ami Webster Kehr d crit la guerre contre le cancer, de la mani re suivante :"L e le gen en endene me de g e e , il en en de can n , de cha , de a i n de cha e, e de lda

an a an e d l e i , ec an le ing la l i i n. Mai la g e e en m decine ean , dan ce e g e e, cachen le i able in en i n . Il 'agi d' ne g e e

l'inf ma i n.B 21 , A , ." www.cancertutor.com/WarBetween/war_Believe.html

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Peu importe combien de personnes se rasent la t te ou courent dans la vie dans tous les sens, aussi longtempsque la Mafia M dicale aura le contr le, la guerre au cancer ne sera jamais gagn e. Selon le Dr. Linus Paul(deux fois laur at du prix Nobel),"La l a de eche che c n e le cance n en g ande a ie nle g ande gani a i n de eche che le cance n man le bliga i n en e le

iennen ."

Ce e g e e d cance , e l' ne de f a de le l c e e (en e me d'a gen e deh maine), i n a jamai e e c n e le e le Am icain. Un alemen de mme d'd en a i e, mai l'em e e "cance " e n .Selon C.S. Lewis, dans La Tactique du Diable :Lemal le l g and n'e a fai main enan dan ce dide e ai e d c ime e Dicken ain'e a fai , m me dan le cam de c ncen a i n e le cam de a ail. Dan ce n final. Mai il e c n e d nn ( , a , effec a n c e bal) dan

ec e de m e e, cha ff , e dan de b ea bien clai , a de h mme calme , blanc , a ec de ngle c , e a j e bien a e , i n' n a be in d' le e la na ellemen , m n mb le de l'enfe e el e ch e c mme le b ea d' ne en e i e c mm chan e .

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C 2

Le Men nge , La P agande, & l A idiTout le monde devrait savoir que la plupart des recherches sur le cancer,

est en grande partie une fraude, et que les grands organismesde recherche contre le cancer ont abandonn leurs devoirs

envers les gens qu ils disent soutenir . Dr. Linus Pauling

F m e & Mi i

K 'avais pris l'habitude de craindre d' tre un jour diagnostiqu avec le cancer, et tout r cemment, j'aicommenc comprendre pourquoi j'ai t si craintif. J ai, avec 99% des Am ricains, t abus et endoctricroire les mensonges propag s par la propagande de Big Pharma, qui insuffle la tromperie dans nos coles, danles livres, dans les revues professionnelles, dans les magazines, durant les missions de radio, au cours des Tshows, et bien s r, la grande majorit des m decins conventionnels, aux infirmi res et aux autreprofessionnels de sant .

La d f ma i n d lib e de fai, a toujours t la norme des proc dures d'exploitation des directeurs dem dias de masse. Ils ne peuvent pas permettre un journalisme objectif, afin d interpr ter les v nementcomme ils se produisent r ellement. Ce serait trop dangereux pour eux. Vous voyez, ils nous font ingurgiterleurs opinions depuis le jour o nous sommes n s. Les v nements quotidiens sont toujours "tiss s" de mani

favoriser la position d'un certain c t . Ceux qui sont en d saccord avec ce tissage et pensent effectivemede par eux m mes, sont souvent marqu s, catalogu s comme Extr mistes et Dingues . La r alit devfiction, et la fiction devient r alit . Tout cela fait partie des "fum es et des miroirs", qui figurent en si bonnplace dans notre g n ration de "l Idol trie Americaine T l R alit ". Selon le journaliste Am ricain, Baker Russel, Une e nne in i e e celle i a a i e l'inf ma i n, e e jmie , inc m l e e en fa e, m e e, fic i e, men ng e fai e n e.

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Mais ces fum es et ces miroirs, ce n est pas nouveau. Cela a commenc il y a presque cent ans, lorsqu en raide son trange capacit reformuler une question, Edwin L. Bernays a t surnomm le P re Tournoiement . Depuis 1928, et la chronique de la Propagande, nous apprenons comment Bernays a repris lesid es de son c l bre oncle (Sigmund Freud), et les a appliqu es la science mergente de la persuasiomassive. La seule diff rence est que plut t que d'utiliser ces principes, la fa on de la psychologie freudienne

d couvrir l'inconscient), Bernays a utilis les techniques de son oncle des fins de marketing, afin de cr er dillusions, de tromper, de masquer et d op rer un lavage de cerveau sur le grand public. Dans une citationcomme le disait, Bernays, il a un jour d crit le grand public comme un ea i de ai e c ndBernays n'a jamais d vi de son axiome fondamental dec n le le ma e le in .

Savez vous comment Bernays a appliqu cela ? Ses techniques sont simples : cr er l illusion, qu'il y a quelqrecherches favorables, en utilisant des expressions comme De n mb e e de n d m nou la

eche che a ou bien encore Le en e cien ifi e n Mais alors, sans vraiment neamais citer quoi que ce soit de concret. Si des doutes ou des questions se posent pour quiconque, il s attaque

leur caract re et / ou leur intelligence. Selon Adolf Hitler,Si di e n men nge d an a e l ng

fini a a e c , e e c e la i Pl g and e le men nge, l il e bable c i e. Ces techniques sont encore utilis es aujourd'hui par la plupart des annonceurs, y compris Big Pharma.

Par exemple, Big Pharma d veloppe r guli rement des m dicaments nouveaux, et change la prescription suordonnance. Leur objectif principal tant d'augmenter les profits des actionnaires, en d pit du fait quebeaucoup de ces m dicaments sont toxiques et mortels. Les m dicaments sont annonc s plusieurs reprises etde plus en plus, la t l vision, la radio, dans les magazines, les revues m dicales. Malgr l'absence de preuscientifiques pour appuyer l'utilisation de ces m dicaments, nous sommes conditionn s croire qu'ils sont lr ponse nos probl mes m dicaux. Si quelqu'un ose dire qu il n est pas d'accord, ce personnage est attaqu ,son intelligence est contest e.

Une tude r cente r alis e par l'Institute for Evidence Based, de la m decine en Allemagne, a r v l que 94l'information contenue dans le mat riel promotionnel, envoy aux m decins (Voir le lien ci apr s)(www.newstarget.com/000829.html) par Big Pharma, n'aab l men a c ne ba e cien ifi e. C'est tout fait

tonnant, si vraiment vous y pensez. Mike Adams, le "Ranger Sant ", y va coups de poings :Le c m agnieha mace i e e li en ne f a de cien ifi e ma i e dan le b de fa e le d

m dicamen a , c e de la cience. Ce i me end de ce e nl' end e de celle ci : 94% de demande de c mme ciali a i n n inf nd e e n n a e

cien ifi e . C'e n chiff e ala man 19 20 .

www.naturalnews.com/001895.html

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La naissance de Big Pharma

Merci à Mike Adams et à www.NaturalNews.com pour la caricature ci-dessus.

J , . J , , . J , .

Ce qui a trait aux traitements du cancer, le lavage de cerveau et la tromperie, sont essentiels, puisque le but del'industrie du cancer est de continuellement nous convaincre que les traitements du cancer de remplacement nefonctionnent a (malgr la preuve du contraire), tandis que simultan ment, ils nous disent que le lestraitements du cancer "Big 3",f nc i nnen (malgr les preuves du contraire aussi). Les fum es et les miroirsutilis s pour accomplir cette tromperie monumentale, consistent faire passer David Copperfield au rangd amateur! La plupart des probl mes de sagesse conventionnelle ayant trait au cancer, sont scientifiquemen

implant s dans la conscience du public, par un millier d'extraits sonores via des messages publicitaires chaquour. C'e ce ' n a elle le la age de ce ea .

Nous subissons un lavage de cerveau, en lui faisant croire que ces m dicaments sont la r ponse contre le cance(et contre tous les autres maux aussi). tes vous malades ?

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Regardez la t l vision pendant seulement une demi heure, notez le nom du dernier m dicament suordonnance, et appelez votre m decin. Je suis s r qu'il sera heureux de le prescrire pour vous. Vous voyezvotre m decin vous a probablement fait un lavage de cerveau, aussi. Big Pharma verse plus de 90% de publicit dans les revues m dicales. Je citerai quelque esprit statistique poustouflant relatif des revuesm dicales plus tard dans le livre.

Quelle est la derni re fois o vous avez vu une publicit sur la nutrition appropri e, de ce qui a trait notsant ? Que penser de tous ces "d g n r s" de la nutrition qui vous ont dit de manger crus les aliments, de vivnaturellement ? De nombreux m decins classiques diront de ne pas couter ces sornettes, qu'il n'y a aucunepreuve soutenir la corr lation entre l'alimentation et les maladies d g n ratives comme le cancer. Ils voudiront que les m decins qui croient que le cancer peut tre gu ri avec un changement de r gime alimentairesont juste un groupe de charlatans . S'il vous pla t soyez conscients, que ceci est une autre caract ristiqud'une campagne de propagande efficace :d h mani e l' i i n a l' i e age e le inj e.

Nous sommes conditionn s croire n'importe quoi, tant que les informations proviennent d'une source "dignede confiance." Dans son article intitul Les portes de la perception : Pourquoi les Am ricains croient presqu

n'importe quoi , le Dr. Tim O'Shea raconte l'histoire du plomb gazeux, comment le plomb a t introduit auEtats Unis : En 1922, Gene al M a d c e aj e d l mb l'e ence de i ede i ance. Q and il a ai ce aine cc a i n an la c i , GM a a le Bfai e el e fa " e ", e a bli le eche che fallacie e e e l'inhala idange . En e al Cha le Ke e ing. F nda e de la c l b e Mem ial Sl an Ke e ing In im dicale, Cha le Ke e ing e e e galemen n e c if de Gene al M . Pa ne cn a n a idemen la blica i n de a , indi an e le l mb e en na elleme e le c e n m en d' limine le faible ni ea d'e i i n. G ce n a cia i n a el'H gi ne Ind ielle e a ec le g an Hill & Kn l n, ce ci e Sl ane Ke e ing e n

eche che an i l mb d an de ann e . San i i n cien ifi e gani e l'e en

ann e i an e , e de en de l en l l mb , j ' ce e dan le ann e 1970, 90%e ence ai l mb e. Enfin, il e de en iden cache e le l mb ai n cand n il c nnai aien de i l ng em le effe , al l'e ence a l mb a limin e 1980. Mai a c de ce 60 ann e , n e ime e el e 30 milli n de nne de l mb a f me de a e , dan le e am icaine e le a e . 30 milli n de nne .C' ,

. www.thedoctorwithin.com

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La Machine de P agande d Cance& Le La age de Ce ea

La Mafia M dicale et Big Pharma ont essentiellement obtenu un contr le complet sur les politiciens et sur lem dias. Vous voyez, les gens ne peuvent tre endoctrin s sans une campagne massive de propagande. Et soyezassur s que la machine de propagande du cancer (par exemple TV, journaux, revues professionnelles, radio, etc)

est bien vivante. Les cadres des m dias et les diteurs prennent soin de ne rien publier qui offense leur plus groannonceur (Big Pharma), et de fa onner leur contenu de mani re le satisfaire, s'il vous pla t. En termes moipolis, on appelle cela Les m dias se prostituent .

Une enqu te r cente, portant sur des bulletins de nouvelles du r seau de t l vision, a r v l que pr s de 25%tous les spots, l ont t pour les m dicaments sur ordonnance : Viagra, Claritine, Celebrex, Allegra, LeviZoloft, Cialas, Nexium, et la liste continue ainsi de suite. Big Pharma d pense des centaines de millions de Dollchaque ann e la t l vision et dans la publicit imprim e, pour les m dicaments sur ordonnance.C'e de ce efa n d n n mme ic ime d n la age de ce ea. Ils n'arr tent pas de nous bombarder avec leurslitanies, que les m dicaments plus r cents et de meilleure qualit sont la seule r ponse la maladie pid miqu

ventuellement, la plupart d'entre nous pensent tout ce que nous voyons la t l vision, et ce que nous ditnotre m decin.

C'est la cl de la propagande : les gens ne doivent a apprendre penser par eux m mes. Ils doivent treconditionn s faire confiance ceux qui d tiennent la puissance, puis croire ce qu'ils entendent la t l visiet la radio. En cons quence, nous avons perdu la capacit de penser logiquement, par nous m mes. Nousommes devenus des Muets, et plus encore . Fait int ressant, quand on regarde la t l vision, l activit dans r gions c r brales sup rieures (comme le n o cortex) est diminu e, tandis que l'activit dans les r gions cerveau inf rieur (comme le syst me limbique) augmente. Cela signifie essentiellement que nous devenons des

Zombies quand nous regardons la t l vision, et nous sommes alors davantage ouverts la manipulation.

Merci David Dees et www.Deesillustration.com pour l image ci dessus.

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Avez vous d j remarqu que nous sommes constamment mis en garde, propos de l obtention deinformations sur la pr vention du cancer et des traitements, sur l'Internet ? Les d p ches lues sur les sites Webdu cancer constituent une alternative aux risques pour la sant ! Nous voyons r guli rement des citations dem decins (dont un grand nombre ont vendu leurs mes), semblables celle ci :Il n' a a de b nne e

e a e ai emen e eni le cance .Afin de donner une d claration comme celle l , un m decidoit tre capable, soit de mentir ouvertement ou ne doit absolument pas tre au courant depuis le si cledernier, de la recherche sur le cancer.

Ce qui est clair, c'est que l'industrie du cancer m ne une omnipr sente propagande lectorale, bas e sur la peuet l'ignorance, afin d emp cher les gens d'apprendre au sujet des traitements de substitution contre le cancer.Franchement, l'industrie du cancer oeuvre plut t pour que les gens restent ignorants. Ils ne veulenta que lesgens soient inform s, de rien d autre, que sur les traitements qu'ils promeuvent et qu ils contr lent. Id alemence que l'industrie du cancer veut, c'est une forme de censure. En fin de compte, ils veulent des sites Web pourmarquer, pour indiquer quels sont les sites "Officiels" sur le cancer. Bien entendu, seules les publications aucontenu de sites Web qui sont d'accord 100% avec l'industrie du Cancer seraient reconnues aptes recevoir utel embl me.

Ainsi, la lumi re des faits voqu s ci dessus, gardez toujours l'esprit que ce que vous entendrez au sujet dtraitements traditionnels contre le cancer chez votre m decin, dans des revues m dicales, la t l vision, radio, et dans les magazines, est un labyrinthe de mensonges et de fraudes, visant nous convaincre que lesrem des au cancer sont les nouveaux, les meilleurs m dicaments de chimioth rapie, et le financement de lrecherche. Et souvenez vous toujours que m me les r dacteurs des revues m dicales se sont prostitu s BPharma. Comme Albert Einstein a dit:La cla e di igean e a le c le e la e e a c e. Celd'infl ence le m i n de ma e .

En plus de la censure, un autre outil couramment utilis pour le lavage de cerveau et induire en erreur, estl' l ment du d guisement. Vous avez d j vu ces insectes, qui sont capables de se d guiser en brindilles ou e

feuilles, alors qu'en r alit ils ne sont rien de plus qu'un cam l on. Ceci est ce que l'industrie du cancer fait. font semblant d'agir au meilleur int r t des patients atteints de cancer, alors que ceux ci n agisseneffectivement que dans leur propre int r t. Ne soyez pas tromp s en croyant que l industrie du cancer escompos e de gens altruistes qui veulent d sesp r ment trouver un rem de au cancer. Ils sont pr occup s paune chose, et une unique chose :l ARGENT.

Sans aucun doute, mon site pr f r sur les traitements alternatifs contre le cancer, est le site de Webster Kehr :www.cancertutor.com, je le cite dans ce livre, cela est d en grande partie au fait qu'il s est saisi de cettequestion, et qu il a une meilleure id e que personne d autre que je n'ai jamais rencontr . C est un hombrillant.

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Voici son avis sur la presse et sur ses relations avec Big Pharma :Le m dia di en de bea cechni e diff en e , 'il ili en c ammen la e le ce ea d g and blic. Elle

me en de m : S lc e blanchi . Il men en , f n de la en i n d'inf ma i n, de demi i , e ain i de i e Le m dia ne n e de ain an ale . Il endene j la c i n, l'ind ie ha mace i e. T ce 'il di en e de in a i

l .

Dans son livre, La Guerre entre les Allopathes et la M decine Alternative, M. Kehr utilise un excellent exemppour illustrer ce lavage de cerveau. Il utilise la th orie de l' volution, qui est la seule th orie des origineenseign e dans nos coles publiques. Dans son livre, l'illustration est assez longue, donc je l'ai r sum e ici. Porendre cela simple, supposons qu'il n'y ait que 2 groupes de personnes : 1) ceux qui croient l' volution, et, 2ceux qui croient en la Cr ation. Les volutionnistes repr sentent lEstablishment alors que les cr ationnistesrepr sentent les "ren gats" qui sont en d saccord avec lEstablishment .

Vous avez le choix de vous diriger vers lEstablishment ou d aller vers les Ren gats. Dans certains cas, ce choipourrait affecter votre travail. Par exemple, si vous tes un enseignant de biologie, chr tien, d une grande cold importance publique, et si vous enseignez le cr ationnisme dans votre classe, alors vous pourriez perdre votremploi. Si vous tes la recherche d'une promotion, alors il n'y a pas besoin de se poser la question de savoiquelle th orie, vous enseignerez. Le c t volution a pratiquement tous les avantages. Mais contentons noude vous parler de ces rares personnes qui sont plus int ress s par la v rit que par les avantages.

Supposons que vous vouliez savoir la v rit sur quelle th orie est effectivement fond e sur les preuves. Vouallez interviewer d'abord les volutionnistes, puisque vous avez appris l' cole que l' volution a t prouvpour tre authentique. La personne qui vous renseigne sur le Big Bang, labore son discours, sur lamicro volution, la macro volution, explique pourquoi il n'y a pas de liens qui manquent, et ainsi de suitLorsque vous suivez de loin, ou arr tez, les volutionnistes commencent vous dire pourquoi la cr ation n'epas une position valide et continuent vous dire que les chr tiens ne sont que des idiots et des bouffons.

Apr s cette conversation, vous sentez que vous comprenez les deux c t s de la question des origines. Vousd cidez qu'il n'est pas n cessaire de parler un Cr ationniste, parce que vous pensez d j comprendre leupoint de vue et pourquoi leurs opinions sont erron es. Maintenant, si vous prenez une telle d cision, alors vousferez une erreur courante : vous auriez pu entendre les deux c t s de la question, mais vous ne les avezentendus que d'une personne, depuis un seul c t de la barri re.

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Mais vous n'avez pas entendu parler des arguments des cr ationnistes, partir d'un cr ationniste, ni ce quevous auriez pu entendre, pourquoi les cr ationnistes pensent que les volutionnistes ont tort.

Connaissez vous vraiment les deux c t s de la question ? Non, sans doute ! Jusqu' ce que vous en sachiez plsur les opinions pro cr ationnistes, partir d'un cr ationniste, et que vous entendiez les vues anti volutid'un cr ationniste, vous ne disposez pas d une base solide pour prendre une d cision objective. Maintenanttoute notre vie, nous avons appris que les cr ationnistes sont tous une bande de religieux la noix, n'avonsnous pas entendu cela ? Nous avons appris ne pas couter les Ren gats . Nous avons t conditionn s pocroire que nous avions d j toutes les r ponses et qu'il n'y a aucune question en suspens pour le d bat. Nousavons appris ne pas couter les gens sur les deux c t s de la ligne.

Cependant, un jour, juste pour le plaisir de celui ci, vous d cidez de parler un Cr ationniste. Alors qcommence parler, vous tes imm diatement surpris par le fait qu'il peut parler, puisque les volutionnisteont toujours dit que les cr ationnistes ont le QI d'un rongeur et sont coiff s de casquettes du style bonnetd ne. Non seulement il peut parler, mais il se montre loquent sur l'ADN, les membranes cellulaires, les chade nucl otides, et les cha nes de prot ines. Il affirme que la complexit de l'Univers est l oeuvre d un Cr acar il est absurde qu'une cha ne de 300.000 nucl otides puisse, par hasard tre formul e. Et m me si cela faisait, la probabilit statistique que l'ADN premi re ait une permutation de nucl otides, tels que 300 viableprot ines pourraient tre cr s par ce g nome de l'ADN, cela a une probabilit qui est norm ment inf rieur10 30,000.

Il prouve la n cessit d'un Cr ateur en raison de la complexit de l'un des nucl otidique de la cha ne, qui est ucomposante de l'ADN. Vous avez plus rapidement, un peu de math matiques dans votre t te. Vous voussouvenez de la classe de science, qu il y a1080 atomes de notre univers. Alors, imaginez que vous tes 1029,920

univers seulement du n tre, comme dans un cluster (c'est un, suivi par 29920 z ros). Tous ces univers combinauraient 1030,000 atomes. WOW ! Enfin, vous sortez de votre r verie et vous rendez compte qu'il parlait encorealors que vous faisiez les calculs dans votre t te.

Puis il vous renseigne sur la probabilit ridicule de la premi re cellule membrane, form e par accident.s'articule sur la fa on incroyablement complexe d'une cellule eucaryote qui est si complexe que m me lesexobiologistes admettent que l'on ne pouvait former par hasard un pool pr biotique. Puis, vous apprendrez quel'ADN, d'abord, et la membrane cellulaire, ne pouvaient pas s tre form s dans la piscine pr biotique, et donc vous dit qu'il a t pratiquement impossible que ces derniers puissent se retrouver. Il parle propos de la

complexit irr ductible, et puis il commence vous parler des probl mes avec les vues des volutionnistes.

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Vous apprenez conna tre les absurdit s math matiques qui doivent tre accept es, afin d'avoir la foi dans th orie de l' volution. Vous avez ensuite entendu comment l quilibre ponctu est vraiment une supirr ductible prot ine du syst me complexe, et combien il est absurde de pr tendre qu'il n tait pas n cessaipour les syst mes de prot ines, irr ductiblement complexe, pour avoir mut la fois, mais en m me temps, dcroire en l quilibre ponctu . Vous entendez pourquoi l'arbre phylog n tique est vraiment une couverturpour pallier les lacunes dans les esp ces transitoires. Vous apprendrez galement sur les normes hypoth ses

volutionnistes faites en ce qui concerne la datation au carbone os. Vous entendrez aussi les hypoth sestotalement non prouv es et tr s volutionnistes logiques, peu profondes faites l' gard de l'ADNmitochondrial et de l'ADN nucl aire. Et ainsi de suite ...

Dix heures passent et vous vous rendez compte que le cr ationniste parle toujours. Vous vous rendez compteaussi, qu'il l a fait pendant plusieurs heures, depuis que vous avez eu une id e de ce dont il parlait.Ce n'e ace i a endie. Certaines th ories sont sauvages et folles. Mais maintenant vous vous rendezcompte que les cr ationnistes ne sont pas stupides, ce ne sont pas des bouffons, et ils ont vraiment de tr ssolides arguments. Vous vous rendez compte aussi que les volutionnistes n ont aucune id e de ce que lecr ationnistes croyaient r ellement. Vous rentrez enfin la maison, tr s confus.

Selon M. Kehr, Ce e hi i e im le d m n e le i e a de affai e en Am i e, m nde. Ni le c le , ni le ci , ni le g e nemen ne hai en , e e nne n en endd je . Le c le agi en c mme i elle daien e le n e , e 'il n'd a end e a l e en e a e m me . Le l e n n la b nne fa n d n

fai , e n n la fa n d n il en en . Le dian a ennen e e lec de la ba i e, e 'il d i en a e le ie ama e le b n fice .

Il poursuit : Il e en eign a gen , d la nai ance, en e c mme lE abli hmen (c mme le c le , le

n elle adi diff i n e le j na ) : (Il le e inc l ) : 1) V n a e a d'ind'in . 2) V a e ne in elligence a fai e. 3) V a e le fai le de ce alemen ne e e im a ia . 5) V e a fai dan l'in g i . 6) V a e

l'e i , e 7) V e aimen e d'e i . E a de , il ne e jamai , e l a gen le i , ai en ellemen infl ence ce e lE abli hmen en eigne. Un e, c'

le m nde el d el n a l n .

Cette histoire est un exemple parfait de la propagande, dont nous avons constamment entendu parler, contreles traitements de remplacement du cancer.

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De nombreux patients atteints de cancer, qui ont t diagnostiqu s en phase terminale par leurs m decinconventionnels, continuent recourir aux th rapies alternatives, amorties en totalit , et sont en vie, et bien 10,15, 20 ans ou plus apr s leur diagnostic. Cependant, l'industrie du cancerign e dans ses statistiques, l'existencede ces malades, survivants du cancer, ou les rejette comme des preuves anecdotiques . J'ai r cemment faitune entrevue la radio, et l'un des animateurs a utilis cette expression exacte. Quand je lui ai dit que sur quatrepersonnes, j en connais personnellement qui ont gu ri d'un cancer en phase terminale, en utilisant destraitements naturels contre le cancer, il a dit Je ne e a en end e a le de l men de anecd i e .Quel bouffon.

Une tactique de l'industrie du cancer, est de pr tendre que les gens qui ont obtenu de bons r sultats traversles th rapies alternatives, ont comme par magie recouvr la sant , en raison d'une r action retard e du "Big 3"Quelle absurdit ! Un autre stratag me populaire, est de pr tendre que les patients atteints de cancer, qui ont

t gu ris gr ce des th rapies alternatives, ont simplement subi une r mission spontan e . C'est le jargm dical pour "valorisation inexpliqu e",c e la e e de l'ign ance de m decin , de ce i 'e el

a . La plus vaste tude jamais r alis e sur la r mission spontan e des cancers avanc s, ne repr sentent qu176 cas par exemple dans le monde, de 1900 1965. Statistiquement parlant, cela n'arrivejamai . Ainsi, lorsquevous entendez les m decins conventionnels, attribuer le miraculeux et soudain recouvrement d'un patientatteint de cancer ayant cette expression : r mission spontan e , ayez piti d'eux. Ils n ont simplement que dehallucinations dans un monde illusoire de matrice r ve, cr par l'industrie du cancer.

L A gen & L A idi Dans la Bible, 1 Timoth e 6:10 dit :"l'am de l'a gen e la acine de e le e de ma ". L'activit

conomique du traitement du cancer est tonnante ! Dans l'ann e 2004, plus de 72 milliards de Dollars ont td pens s pour les traitements du cancer, rien qu'aux USA ! Il est facile de voir pourquoi la Mafia M dicale ve

une telle cadence, d truire les charlatans . Ceux qui tirent profit de th rapies toxiques comme lchimioth rapie et la radioth rapie pourraient tre hors de l'entreprise et auraient pu trouver un autre moyend'envoyer leurs enfants Harvard ou Yale, si un traitement efficace, naturel, alternatif, non toxique n'avait pa

t mis disposition.

La commercialisation de m dicaments toxiques, est au c ur de Big Pharma. Les soci t s pharmaceutiques fonnon seulement des milliards de Dollars de b n fices provenant de drogues toxiques chimioth rapiques chaqueann e, mais ils ont galement fait des millions de Dollars de b n fices chaque ann e, pour le d veloppement m dicaments traiter les probl mesca par les effets secondaires des m dicaments de chimioth rapie !Iln a ien d'a e, dan le d maine de in de an , i e fai e ce e de b n m dicamen

e en fai e d c de l'a gen . Il 'agi d' ne en e i e en i e a New York Times, 28 juillet 1989.

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Dans son livre, L'histoire de la Conspiration M dicale contre l'Am rique, Eustace Mullins cite Patrick McGrSr., qui tait r dacteur scientifique de l'AEC, et ses principaux docteurs girouettes dans les m dias depuis pde deux d cennies. En 1978, McGrady a fait une d claration int ressante :Pe nne dan la cience e d a emen m dica ( l'AEC) n e ca able de fai e de la cience i able. Ce n

fe i nnel i a en c mmen fai e de l a gen . Il ne a en a c mmen eni le caa ien .

Ne vous tes vous jamais demand pourquoi, malgr les milliards de Dollars d pens s pour la recherche surcancer, depuis de nombreuses d cennies, et la promesse constante de trouver un rem de, qui est toujours

juste, adapt , le cancer continue sa progression ? Pensez vous que Big Pharma veuilleaimen envoyerquelqu'un qui viendra avec un moyen, un rem de peu co teux, naturel, non toxique et efficace contre lecancer? Ou pensez vous que Big Pharma fera tout ce qu'il faut pour conserver ses profits? Pensez vous vraimeque l'industrie du cancer est la recherche d'une "balle magique" pour effacer le cancer?

La d couverte d un rem de miracle se traduirait par la suppression des programmes de recherchel'obsolescence des comp tences, et qui mettra fin au mode de vie extravagant des dirigeants des grandessoci t s pharmaceutiques. Une balle magique rendrait obsol tes les "Big 3", des traitements qui sont essentielspour maintenir la vache lait, la mine d or. Malheureusement, en fait, c est que beaucoup, dans la communaudu domaine m dical, n'ont absolument aucun int r t la d couverte d'un rem de miracle pour gu rir le cancecar il en co terait Big Pharma de perdre des milliards de Dollars.

Il est int ressant de relever les crits, dans la Charte de l'AEC (ACS), la clause stipule, que si un rem de poucancer est trouv , en date de ce jour l ,la S ci e a di e. Alors, pensez ce sujet, est ce qu uneorganisation va vraiment tre motiv e pour trouver un rem de contre le cancer ? Qu en pensez vous ? C

revient de demander l'AEC (ACS) de trouver un traitement curatif au cancer et dire :Main enan , cela a c nn de cc , e i , ne f i e l bjec if e a a ein , dan n b ef d lai, il e e a le

Le fait est que l' radication du cancer est, par sa nature m me, en opposition avec les int r ts de Big Pharmacar cela d truirait leurs investissements. mon avis, l'objectif principal de Big Pharma est dee e lamaladie, et de ne pas l radiquer. Vous voyez, ils feront tout pour garder la vache lait, et bien vivante. Lesurvie d pend de l' limination, par tout moyen, des traitements de substitution du cancer, qui ont du succ s.Aucune entreprise ne sera jamais rentable si elle tente de se supprimer.C'e i n em de c ncance ne iend a jamai de l Ind ie d cance. C'est un acte colossal de l'opportunisme politique, et l'aviditqui a transform ce qui aurait d tre facile r soudre l' nigme m dicale dans la fraude que nous appelo

aujourd'hui l'industrie du cancer.

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Avez vous entendu parler de la deuxi me loi de Parkinson ? Les d penses augmentent pour y r pondamplifions les revenus . Chaque ann e, la collecte du cancer ponctionne l'industrie, des fondations et desparticuliers. La litanie D nne n e a gen , a ce e n fai n de g le

n a a e main enan . N mme d b ! Les revenus augmentent, ainsi donc, lesd penses doivent tre cr es pour justifier le chiffre d'affaires. Cela supprime la recherche des rem des contrle cancer qui sont naturels et peu co teux. C'est pourquoi tout l'appareil de l'industrie du cancer est mis enplace pour ime e cen etoute information qui ne soutient pas leur besoin g n ralis co teux, l'hommefait du cancer, un moyen, afin de prot ger les profits des grandes soci t s pharmaceutiques.

Ce i n a i e a jamai Ce i a i e a aimen

Merci Mike Adams et www.NaturalNews.com pour la caricature ci dessus

Une e c e, M n ie , je iende d c i le em de c n e

le cance ! B illan ! Sa e la V e en ,

c d e de b e e e d nne cela d a e ai n e cela le m nde g a i emen ! e i e d ac i i !

Afin de prot ger les profits de Big Pharma, tout succ s dans les traitements de substitution du cancer doit treni , d courag , et rejet tout prix. L'industrie du cancer est pr te faire tout ce qu'il faut pour r primer censurer les traitements de substitution contre le cancer. Cela inclut la corruption. Une raison importante,que le syst me de soins de sant est dans un tel g chis aujourd'hui, c'est que Big m decine a elle m me autori

tre achet e par Big Pharma.

Dans son livre La Dissidence en M decine Neuf Docteurs Parlent , le Dr. Alan Levin, crit :Le je ne m decinn b en i nn e le f ai de eche che n ffe a le c m agnie ha mace i

m decine d nnen d'im an e mme d'a gen le e ai clini e e ha mace i e dba e.

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De ci ha mace i e ff en g li emen de m e d ne d'acc eil e de c ckg e de m decin . Il f ni en le financemen de la c a i n de b imen h i alie , fac l de m decine, e ce de in i ind endan de eche che De m decin a icien e em le flag an e la chimi h a ie d cance .

Selon Mike Adams, Ce n'e a ne e ag a i n de alifie cela . Ce c m agnieha mace i e emblen d e min e e ag e la d e e la la i n, a ec le l

e c i i n im l an e e ible, a i l ng em 'elle g n en de fi L' hi e de affai e n e n lle a , e ne e a e e dan l ind ie ha mace

' , , . www.naturalnews.com/001298.html

Dans son livre, La Mafia M dicale , la Dre. Guylaine Lanct t, d clare :L'in i i n m dicale a aille en c llab a i n a ec le m l ina i nale de m dicamen , d n le inci al bjec if e le fi , ca chema e ai ne id mie de b nne an . Bea c de m dicamen d i en e end . Ace bjec if, e e mi : le men nge, la f a de, e le c mmi i n cc l e . Le m decin

ende de ce en e i e de la d g e. Il n c m en a de b e de eche che, dee dig de m l i le a an age . Le inci a ache e n le g and blic de ij a e nne g e i DOIVENT e igne emen m dicamen e accin nP i le a i in e di en elle la m decine al e na i e ? Pa ce 'elle n a el'ind ie ne e a gagne d'a gen a ec de lan e , de i amine , e l'h m a hie. Elle n

ec i en ma i e de b e e , ca ce b ance n na elle . C'e i elle Elle c n len la m decine, e c e i elle n ca able de di e a fac l de m

e en e ne e en a en eigne .

En juillet 2004, la Dre. Marcia Angell a crit un article intitulLa V i de c mha mace i e .Depuis plus de vingt ans, la Dre. Angell est r dactrice en chef du New England Journal o

Medicine, l'une des revues m dicale les plus estim e dans le monde. Dans l'article, elle d clare :A c dede de ni e d cennie , l'ind ie ha mace i e e d lac e l in de n b (d c i e d i e de n ea m dicamen . Main enan , c e e en iellemen ne machin

end e de m dicamen a a an age d e . Ce e ind ie ili e a iche e e le chac ne de in i i n i ai fai e b acle a mani e, c m i le c ng de cen e m dica ni e i ai e , e la fe i n m dicale elle m me. Le gen d i en a i f ein e de c n e id ce e ind ie, de e e a e de fi ne e c n id a i n mi e de c . Mai le gen d i en a i 'il a de c n le e de ilib e Le fai le l enan , e e e 2002, la c mbin e de fi le di c m agnie hale cla emen de F ne 500 (35,9 $ millia d ), n l im an e le b n fice

en e i e , fai an en emble (33,7 $ millia d ). www.nybooks.com/articles/17244

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Quel est le coeur de la m decine conventionnelle ? Selon Webster Kehr :T e ne b ance na ellg i , en e e ce fai , i la fab i e en m l c le de n h e, e m e la b ance na

i em che le b e e de la m a i n, e fai e de fi n me .Dans son livre, Un Monde sans Cancer,l'Histoire de la Vitamine B17 , G. Edward Griffin crit,A ec de millia d de D lla d en cha e ann e

eche che, a ec d'a e millia d i la en e li e a m dicamen , e a ec le e affamme an n an ce e m emen c i an de g amme g e nemen a , na j d'h i, il a l de e nne gagnan le ie le cance il n en me . Si l

l e a de im le i amine , ce e ind ie gigan e e c mme ciale e li i e aila n i . Le l a e e la cience de la h a ie d cance n'e e e a a i c m li e

ai emen d cance .

L'industrie du cancer survit et prosp re en recherchant perp tuellement, le traitement , mais jamais ne letrouve. Cette entreprise de plusieurs milliards de Dollars, v ritable camion remorque, n'est tout simplemenpas int ress e de trouver un rem de, moins que la gu rison se compose de m dicaments brevet s qupeuvent tre vendus avec une prime, et la n cessit de le prendre durant le reste de la vie du patient, cr antainsi un perp tuel "flux de recettes". Ainsi, dans toute l'actualit , l industrie du cancer, ne fait que perp tuer lmensonge et la fraude. Cette fraude est d'une indicible ampleur, elle s' tend depuis plus d'un si cle, et elle ainutilement entra n le d c s pr matur de dizaines de millions de personnes, dont mes deux parents.

Le Dr. Matthias Rath enfonce le clou quand il d clare, l'ind ie ha mace i e e ne indd'in e i emen , di ig e a le b n fice de e ac i nnai e . Am li e la an h maine n'e

ig e de ce e ind ie Jamai , dan l'hi i e de l'h mani , il n a e l g and c ime c mmd g n cide gani a le ca el de la d g e ha mace i e, dan l'in de m l i millia

n l'in e i emen de en e i e a ec la maladie. www.4.dr rath foundation.org

Le M decin , le Re e M dicale , le C nflid In & Le C mmi i n Occ l e Avant son d c s, Maman tait soign e par les plus excellents m decins d Am rique. Le Dr. Tim Shepherdl'un des meilleurs m decins que je connais. Lui et son pouse, Virginia Shepherd, sont deux des plus merveilleChr tiens que j'aie jamais rencontr s. Ils ont ouvert leur propre maison ma m re et l ont soign e, commeelle tait leur propre parent. Leurs 11 enfants l ont adopt e , et chacun d'entre eux occupe une placparticuli re dans le c ur de maman. Je suis ternellement reconnaissant toute famille Shepherd ils aurontoujours une place sp ciale dans mon c ur.

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Si j'avais un probl me de sant , je serais le plus confiant en eux, pour me donner les meilleurs soins possibles. ' tais impliqu dans un accident de voiture et avais besoin d'un branchement, d' tre reconnect , je me

dirigerais certainement vers leur h pital Quelques r alisations r centes dans le monde m dical sontstup fiantes. De nombreux tats pathologiques, qui auraient t une condamnation mort il y a cinquante anssont maintenant facilement gu ris par les avanc es tonnantes de la technologie m dicale.

Je suis constamment tonn de la complexit des proc dures m dicales qui sont faites r guli rement, et avesucc s aujourd'hui. Il y a un couple d'ann es, j'ai vu une mission sp ciale qui a montr une op ration, o m decins ont gu ri une petite fille du syndrome de Tourelle, gr ce une lectrode plac e dans son cerveaC' tait vraiment incroyable. J'en ai vu une autre, en particulier, o les chirurgiens reconstruisaient le visagd'une dame, dont la peau du visage avait t mang e par des parasites. J'ai t stup fait ! Ce ne sont quequelques uns des exemples des progr s consid rables effectu s dans les technologies et les proc duresm dicales, au cours des cinquante derni res ann es.

Toutefois, m me si des progr s incroyables ont t accomplis dans de nombreux domaines de la m decine, dl'avis de la plupart des m decins concernant les traitements du cancer, ceux ci ont t obscurcis par ld sinformation de la propagande de la machine industrielle . L'essentiel, est que la plupart des m decins foexactement ce que la Mafia M dicale leur dit de faire, car ils n'ont pas appris penser par eux m mes. Lplupart des m decins pensent encore Dans la Bo te , quand il s'agit d'un cancer. Le probl me est que Cancer de la Bo te est en grande partie la cr ation des grandes soci t s pharmaceutiques qui tentent dcolporter leurs poisons (comme la chimioth rapie), dans un effort visant accro tre les profits pour leuractionnaires, au d triment du patient canc reux.

L'industrie du cancer est b tie sur le fondement de traiter les m me du cancer, tout en ne faisant

pratiquement rien pour traiter les r ellesca e du cancer ouem che son d veloppement. Cela me rappelleun vieux proverbe Chinois : Le m decin ie em che la maladie, le m decin m di c e a i e imminen e, le m decin inf ie ai e la maladie en c. Toutefois, le probl me n'est pas les m decins C'ele me.

Je tiens pr ciser que je crois fermement que la plupart des m decins sont des champions altruistes pour leurspatients, et qu ils veulent sinc rement ce qu'il y a de mieux pour eux. Ne vous m prenez pas, j'ai tout mocoeur qui croit que la plupart des m decins prend des d cisions bas es sur ce qu'ilsen en tre le meilleurpour le patient. Pen e est le mot cl . Malheureusement, la plupart des canc rologues (m decins du cancer)ne sont m me pas envisager des traitements contre le cancer s ils ne sont pas enseign s la facult d

m decine. Comme je l'ai mentionn , les m decins souffrent aussi du facteur "Aucune Voie d Issue". Ils croique, si les traitements alternatifs fonctionnaient vraiment, ils auraient obtenu leur dipl me de la facult dem decine en ayant acquis ces protocoles.

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En d'autres termes, la plupart des m decins a tendance croire, qu il n y a que ce qu ils ont appris, quid i trevrai. Mais ils croient galement que ce qui ne leur aa t enseign , ned i a tre important ! Alors vouspouvez tre tranquillement assur que votre m decin a probablement t endoctrin croire que la seul

solution viable pour les traitements du cancer sont, la chimioth rapie, la chirurgie, et la radioth rapieEmpoisonner, couper, et br ler Le "Big 3". Il est aussi probable que votre m decin ne sache presque rien surla nutrition ou sur les traitements de substitution du cancer, et qu il croit fermement que d'autres praticiens nesont que des charlatans . Allez y, demandez votre m decin au sujet de la vitaminoth rapie, ou sur la th raenzymatique, ou encore sur la th rapie d'ozone. Soyez pr t tre ch ti et / ou ridiculis pour votre na vet .

O votre m decin a t il obtenu sa formation continue ? Une petite id e ? Ces "prestigieuses" revues m dicavous savez, celles qui sont bien visibles sur les armoires."Ce e ai bien de en e de e e m dicale

an de ba i n de i e de l mi e i n' n a de a i i , mai en fai , ce n lef n le a gen , dan de n mb e ca , a ec la blici de c m agnie ha mace i e , mai a

a ec de im e i n d'a icle de m dicamen fa able l'ind ie. E il e in e an dancien di ec e , e de e n able de inci ale e e m dicale , Richa d Smi h, de l'BMJ nal), Richa d H n de la e e The Lance , e a i d'a e ancien dac e en chefJ nal f Medicine n c i de li e , e n e im de a i n nc l'incidence c m agnie ha mace i e l' di i n m dicale. Il a de i an c nfli en e le ja icle fa able le ci ha mace i e , afin de fi e de ce cen mille D lla

en e la im e i n d'a icle fa able , e a i ga de le c m agnie ha macde e 'il c n in e fai e de la blici de c m agnie ha mace i e . " Dre. Beatrice Golomb (dansune interview avec le Dr. Joseph Mercola 12/06/2010)

Les revues m dicales sont selon toute probabilit , lese le sources dont dispose votre m decin pour se tenirau courant des nouveaux d veloppements dans le domaine m dical. Ces journaux pr tendent tre objectifsscientifiques et incorruptibles, mais la r alit est qu'ils ne veulent pas ali ner leur annonceur Big Pharma. Cannonces de m dicaments en pleine page dans le top des revues m dicales, co tant des millions de Dollars! E2004, le Dr. Richard Horton, r dacteur en chef de la revue The Lancet, a crit,Le e e n d g n e e

a i n d'inf ma i n de blanchimen l'ind ie ha mace i e . Je suis d'accord 100% avec le DrGolomb. Pensez y. Les diteurs de ces revues m dicales peuvent manquer de caract re, mais ils ne sont pstupides. Il a en i be e le ain. Selon les donn es du Dr. Golomb, Big Pharma d pense actuellement18,5 milliards de Dollars par an pour promouvoir leurs m dicaments aupr s des m decins. Cela revient 30.0Dollars par an pour chaque m decin aux Etats Unis!

Mais pourrait on dire, le e e m dicale ne n elle a al e a le ai ?Le fait est que la fraude et latromperie dans des revues m dicales sont en place commune.

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L' bliga i n inci ale de l'ind ie e de fai e de l'a gen e ac i nnai e . L' bliga i n de ai e le m decin e le a ien , i d enden de l'e ac i de de inf ma i n

blica i n . Le e e m dicale ne de aien a acce e la blici de c m agnie ha macefab ican de di i if m dica , d'a e ind ie li e la m decine .http://www.plosmedicine.org/article/info:doi/10.1371/journal.pmed.0030130

Un magnifique rapport publi en juin 2010 dans le British Medical Journal (BMJ), a r v l que des scientifide haut niveau ont persuad l Organisation Mondiale de la Sant (OMS), de d clarer leH1N1 (alias grippeporcine ) en pand mie mondiale, en raison de l existence de liens financiers avec les compagnies de BPharma, qui ont profit de la vente de ces vaccins. Ce rapport, r dig par Deborah Cohen ( diteur de BMJ) Philip Carter (journaliste au Bureau d enqu tes du journalisme de Londres LBIJ), a expos les liens cachont pouss l'OMS d clarer une pand mie, entra nant des milliards de Dollars de profits pour les granfabricants du vaccin de Big Pharma. Alors que tous les vaccinsH1N1 taient "lanc s grand renfort de publicit ",pendant que cela se passait, l'OMS refusait de divulguer tout conflit d'int r ts entre ses principaux conseillers eles soci t s de Big Pharma qui font des milliards sur ses d cisions. En d'autres termes, tous les pots de vin o

t trait s sous la table . Incroyablement, en r ponse au rapport du BMJ, la secr taire g n rale de l'OMS (DMargaret Chan) a eu l'audace de d fendre le secret, en disant que l'OMS a volontairement gard secrets lesliens financiers, afin de ... prot ger l'int grit et l'ind pendance des membres, tout en faisant ce travail critiqu.. [Et] aussi de garantir la transparence . Permettez moi d exprimer ceci avec franchise ils ont gard

secret et "assur la an a ence" ? N'est ce pas une contradiction dans les termes? Je crois que George Orwelaurait appel cela un double langage .

Vous rappelez vous l' tude que j'ai mentionn e plus t t, qui a conclu que les documents promotionnelsenvoy s aux m decins par les compagnies pharmaceutiques, n'ont absolument aucun fondement dans la r alitscientifique ? L' tude a montr que pratiquement toutes les donn es, dans les brochures promotionnelles deBig Pharma, sont impr cises ou ont t exag r es. En d'autres termes, tout ce que ces revues contiennent, nesont que MENSONGES. Voici maintenant une chose effrayante : la plupart des m decins se basent sur lesinformations contenues dans ces brochures, lorsqu'ils prennent une d cision au sujet des m dicamentschimiques prescrire aux patients. Ils sont aveugles, c est la foi sans le fondement que Big Pharma se soengag dans des tudes scientifiques rigoureuses, et des essais cliniques, ils lisent les brochures, croient lesmensonges, puis prescrivent les m dicaments leurs patients. Le Journal de l'American Medical Associatio(JAMA), a signal en f vrier 2002, que 87% des m decins impliqu s dans la mise en place de directives nationsur la maladie, ont des liens financiers avec Big Pharma. Vous parlez d'un conflit d'int r ts !

Saviez vous que les m decins sont la troisi me cause de d c s, aux Etats Unis? Dans le num ro du 26 j2000, de la JAMA, la Dre. Barbara Starfield a d montr que plus de 225.000 d c s chaque ann e, sont dus causes iatrog nes.

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Que signifie ia g ne? Ce terme est d fini comme ind i che n a ien , a l'ac i i d' n m decinmani e, a la h a ie .La v rit est qu en raison de la prescription de m dicaments toxiques et de lachirurgie, inutiles, les m decins sont l'origine de la mort de centaines de milliers de patients chaque ann e.

En 1966 dans les Annal f In e nal Medicine, les m decins Beaty et Petersdorf crivent que le bl meia g ni e n c m la if , e dan n eff e i de c m lica i n de diagnm decin e agg a e le bl me il em l ie de man e e i n en elle m me , iT ad c i n :Les m decins effectuent souvent des proc dures risqu es, ou prescrivent des m dicaments toxiques pourbrouiller les pistes, caus es par des probl mes venant autres m dicaments toxiques, pr c demment prescrits,ou cause des proc dures risqu es utilis es.

Rien qu'aux Etats Unis, par exemple, on estime que les erreurs m dicales dans les h pitaux ont tu 7,8 milliod'Am ricains dans la derni re d cennie. Cela est plus que les pertes combin es de toutes les guerrecombattues des Etats Unis dans toute son histoire. (Gary Null, La Mort par la M decine). Avec ce qui pr c dl'esprit, il n'est pas tonnant que, pendant un mois d une gr ve des m decins en Isra l en 1973, le taux dmortalit national a atteint le plus bas chiffre jamais r alis . Selon les statistiques de la Soci t d Inhumations

J rusalem (JBS), le nombre de fun railles a chut de pr s de 50%. (Hans Ruesch, L Imp ratrice Nue ou la GFraude M dicale).

Encore une fois, je le r p te, je ne disa que les m decins individuels constituent le probl me. La plupart desm decins que je connais sont des gens charitables qui veulent vraiment aider leurs patients. Le probl me, c ele me. La plupart des tudiants en m decine n ont aucune raison de contester les informations qui sonenseign es, et sont ridiculis s s ils ne posent que des questions inconfortables. Un jeune m decin qui souhaitr ussir sait qu'il doit rester aveugl ment fid le la v rit tablie . Un m decin qui remue le bateauretrouvera bient t pataugeant dans l'eau profonde, et aura probablement du mal survivre! Pour tre efficace,un m decin doit respecter les erreurs de ses a n s, tenir fermement au dogme de ses professeurs, etfe me n

e i des th ories qui sont "en dehors de la Bo te".Ironiquement, la m decine est un domaine qui exige la conformit , et il n y a que peu de tol rance pour leopinions oppos es au statu quo. Les m decins ne peuvent pas vous mettre en garde contre cela, parce qu'euxm mes, ils ne savent pas, et avec peu de temps pour poursuivre leurs tudes, une fois qu'ils commencent lapratique, ils sont, en un sens, pris en otage par un syst me qui les d courage l'acquisition d'une informationind pendante, et se former leurs propres opinions. Pour dire les choses cr ment, la plupart des m decins fonun lavage de cerveau en pensant dans la Bo te , et la pression de leurs pairs les y maintient.

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Contrairement beaucoup d'autres pays, les Etats Unis ne supportent qu'un seul type de m decine : lac n en i nnelle. De ce fait, de nombreux Am ricains, y compris la fois l un et l autre de mes parents, se svus refuser plusieurs choix de sant vitaux. Selon le Dr. Alan Levin, MD,V e m decin de famille n'e l de ch i i le ai emen 'il elle e en le mie , mai d i i e le cem decin , d n le m if e le alliance n elle , e le d ci i n ne d i en a in .

Ces rares m decins qui osent remettre en question le statu quo sont souvent ostracis s et blackboul s. Vousdevriez savoir que le m decin prend le risque d aller en prison et d avoir son dipl me r voqu , pour aveffectu des recommandations hors norme , ou avoir utilis d'autres traitements contre le cancer, malgr le faqu'il existe des preuves scientifiques accablantes pour soutenir leur efficacit . Les m decins qui osent offrir auxpatients un nouvel espoir et de nouveaux traitements sont m pris s, maltrait s, pers cut s, diffam s, forcd'aller dans la clandestinit , ou menac s d'emprisonnement.

Par exemple, le Dr. Stanislaw Burzynski de Houston, au Texas, utilise les antin oplastons, non toxiques, avesucc s pour traiter le cancer du cerveau, le Lymphome de Hodgkin, et de nombreux cancers communs. Leavocats de la FDA ont d pens des dizaines de millions de Dollars, et pass pr s de deux d cennies tenter mettre le Dr. Burzynski en prison. La FDA a une exp rience des descentes dans les bureaux des praticiens traitements alternatifs, dans la destruction de leurs dossiers m dicaux, et m me dans la mise en prison. Enoutre, de nombreux m decins ont peur, de co teuses, et longues poursuites. Leur conseil d'Administrationm dical et d'Etat peut les mettre l amende et r voquer leur licence. Et rappelez vous, les m decins sohumains. En raison du fait que les m decins risquent publiquement d tre ridiculis s s ils utilisent les traitemealternatifs, de nombreux m decins succombent la prescription du "Big 3", en raison de la pression effectupar les pairs.

Fait inqui tant, la v rit , c est qu un enchev trement bureaucratique d'hommes politiques, d avocats, de ched'entreprises, et d' normes soci t s internationales, a pris le contr le de notre syst me de soins de sant , et cesont eux qui dictent quels traitements contre le cancer sont autoris s, et quels sont ceux qui le sont pas. Lesm decins sont rest s pratiquement dans le noir quand il s'agit de l' laboration des d cisions politiquesconcernant les traitements du cancer. Malheureusement, le fait est que les m decins et les infirmi res, sinc resd vou s, qui se soucient r ellement de leurs patients, contribuent tr s peu aux th rapies qu ils sont autoris sprescrire.

R l a final : Ne vous attendez pas qu un m decin, qui travaille dans la Bo te , ne renverse le syst me. risques sont trop grands.

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M dicamen O d nnanceSaviez vous que les m dicaments sur ordonnance tuent plus de 100.000 Am ricains chaque ann e ? Saviez vque les m dicaments d'ordonnance blessent plus de deux millions d'Am ricains chaque ann e ? Ces chiffre

sont directement issus du J nal de l'A cia i n M dicale Am icaine. Cela est difiant ! Lorsque vous consultezvotre m decin, et ne prenez, m me, qu une seule ordonnance, vous jouez la roulette pharmaceutique emarchez vers le pi ge Big Pharma .


La seule mani re de gagner ce jeu de la roulette, et effectivement, de restaurer votre sant , est de renoncer toute prescription de m dicaments, de faire des changements essentiels dans votre r gime alimentaire, et dansvotre mode de vie. Mais les m dicaments de prescription ne font ils pas des miracles pour la sant des gensN'ont ils pas pour but, de nous rendre plus sains ? Eh bien, si vous regardez la t l vision durant trente minuteen heure de grande coute , vous aurez probablement l occasion de voir plusieurs spots publicitaires montrant les chantres des m dicaments sur ordonnance , en proclamant haut et fort qu ils peuvent faire demerveilles pour les gens, comme les aider vaincre la d pression, r duire le cholest rol, augmenter la libid

liminer les allergies, apaiser les enfants, et inverser l'ost oporose, pour n'en nommer que quelques uns.

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Mais si les m dicaments sur ordonnance sont si bons pour nous, alors laissez moi vous poser une question : Osont toutes les personnes en "bonne sant " gu ries par ces m dicaments ?


Il n'y en a vraiment pas, o sont ils ? Si les m dicaments sur ordonnance ont t si bons pour nous, alors devrait il pas y avoir l , des centaines de millions d'Am ricains, qui utilisent les m dicaments sur ordonnance,sont en aussi bonne forme physique, d bordant d' nergie et affectivement sains ? Eh bien, o sont ces gens ?G n ralement, lorsque vous rencontrez des gens qui prennent des m dicaments multiples, ils sontmentalement flous, d aspect maladif, fatigu s chroniques, motionnellement instables et d prim s. Si vouvous dirigez vers votre march des produits biologiques locaux, et approchez des gens sains, pourquoi ne vousdemandez vous pas si la prescription des m dicaments est responsable de leur sant ? Apr s vous avoir regardun peu tourdis et confus, ils iront sans doute vous dire qu'ils ne prennent pas de prescription sur ordonnance !L'essentiel est que les m dicaments sur ordonnance repr sentent les gens les plus malades.

Voici pourquoi. Au cours du d veloppement, les m dicaments sont con us pour cibler un unique marqueumesurable, comme le niveau de cholest rol. Examinons les statines par exemple. Maintenant, tandis que lesstatines r duisent le cholest rol LDL, leur m canisme utilis pour r gler cela, constitue le probl me. Ils inhibela capacit du foie cr er tous types de cholest rols, notamment le cholest rol HDL.

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Ainsi, alors que les statines peuvent influer positivement sur un marqueur, ils perturbent la physiologie du corpsde nombreuses autres fa ons.

Lorsque les patients commencent avoir des probl mes suppl mentaires qui sont caus s par les m dicamentsur ordonnance, que font ils ? Ils retourneront au cabinet du m decin ; alors leur m decin les diagnostiqueavec une autre maladie ou un autre trouble. Et puis, on leur donnera une autre ordonnance de m dicaments,pour aider "r gler" les probl mes caus s par le premier m dicament. J'avais l'habitude d attendre table, quand vous arrivez convaincre une personne de commander un dessert avec son repas, la demande estappel e vente incitative . C'est exactement ce qu aime Big Pharma les m decins qui traitent leurs patienavec des m dicaments de prescription plus chers ! C'est le pi ge Big Pharma . C est la roulpharmaceutique . Quel est le r sultat ? La progression du b n fice par action ! Bien s r ! Et le cycle continuune prescription apr s l'autre, comme avec les wagons d'un train. Finalement, le patient est cass , et survientalors la souffrance (ou la mort), relative la toxicit chimique r sultant des m dicaments sur ordonnance.

Lorsque vous prenez des m dicaments sur la base du long terme, il est certain que vous finirez en tant plus maque quand vous avez commenc . Maintenant, je ne dis pas que les m dicaments sur ordonnance sont

totalement inutiles. Il peut y avoir certaines situations o les m dicaments sur ordonnance sont utiles courtterme. Toutefois, ce n'est pas la fa on dont ils sont promus aujourd'hui. Merci la culture de la cupidit , BPharma et leur absence dominante de l' thique, les m dicaments sur ordonnance sont pouss s en tant quem dicaments vie.

Big Pharma est en mesure d'obtenir de la FDA une "b n diction" pour leur dernier m dicament miracle , deples essais cliniques, ils se concentrent uniquement sur l'un des rep res, pendant qu ils ignorent l'essentiel deseffets n fastes syst matiques du m dicament. Leur but est d'influencer positivement un marqueur particulier,ainsi il gagne l'approbation de la FDA aussi rapidement que possible. Il y a litt ralement des milliers dmarqueurs de la cible, et si un m dicament sur ordonnance peut modifier favorablement un seul de ces

marqueurs ( an e n g and n mb e e nne a c de e ai clini e ), la FDA, probablement,approuvera le m dicament, malgr l'absence de preuves sur l'effet syst mique du m dicament, sur les autresfonctions du corps. Ce n'est l qu'un des nombreux probl mes avec les m dicaments sur ordonnance, car ils ontous un effet mi e.

Les nombreux autres effets d l t res que le m dicament peut avoir sur le corps humain sont largementignor s. Et puisque les m dicaments sur ordonnance ont un effet syst mique, ils ont tous des effetssecondaires. Lors d'essais cliniques, les participants commenceront voir appara tre ces effets secondaires, isont habituellement excus s de l'essai, pour s'assurer que les r sultats des essais font tourner le plus r cenm dicament miracle dans une lumi re positive. Par exemple, lors des essais cliniques pour le Vioxx, les patien

qui ont subi des crises cardiaques cause du m dicament ont t omis de fa on s lective des r sultats dessais et de ce fait, ont t cach s au grand public.

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Ceci est la norme des proc dures d'exploitation pour la Mafia M dicale, et c est par ce seul moyen, que dm dicaments extr mement toxiques sont effectivement approuv s, autoris s, et consid r s comme tant

s rs .

Mike Adams, le Ranger Sant , a d clar que certains m dicaments sur ordonnance sont marqu s dstup fiant 500.000% du co t de leurs ingr dients bruts (non, ce n'est pas une faute de frappe), et une grandepartie de cet argent va directement dans la machine de propagande. Big Pharma pr tend qu'ils ont besoin deces prix exorbitants pour investir dans la R & D (la Recherche et le D veloppement), mais en r alit , d pensent davantage en publicit , que ce qu'ils d pensent en R & D. Dans une tude effectu e par deschercheurs de l'Universit de New York et publi e dans le num ro du 3 janvier 2008, de PLoS Medicine, il ar v l que Big Pharma d pense deux fois plus en publicit , qu elle ne le fait en R & D.

Selon Adams, N e me m de ne de m decine e ne elle im e. Il l gali e le m la c n mma i n e d min a Big Pha ma. La science est largement fauss e (et souvent

purement et simplement frauduleuse), l' thique a presque enti rement disparu, et le prix long terme de toutcela va tre norme. Nous avons un nombre sans pr c dent de probl mes sur les bras, tellement norme que

c'est coeurant. Toute une g n ration g n re des co ts long terme, stratosph riques, de soins de sant , pourles contribuables, qui auront la malchance de tomber sur tout cela .www.naturalnews.com/001352.html

Une All g ie Bien en e dan la ille d All a he

Il y avait autrefois, une ville appel e Allopathe. Beaucoup de gens et de voitures circulaient dans les rues, maien raison des restrictions budg taires, il n'y avait pas de panneaux d'arr t ou de feux de circulation, partout,dans Allopathe. Il n'est pas surprenant que les accidents de la circulation taient monnaie courante. Les voituress crasaient les unes sur les autres, presque toutes les intersections. Mais le secteur priv tait en plein essoconcernant les ateliers de r paration automobile, tout comme les h pitaux locaux, qui dominaient l' conomied Allopathe. Comme la population d Allopathe a augment , les accidents de la circulation se sont accentuusqu un niveau alarmant. En d sespoir de cause, le conseil municipal de la ville a engag le docteur West,

m decin de la Division des Moteurs (MD) pour trouver une solution.

Le Dr. West a pass plusieurs jours examiner les accidents de la circulation. Il portait un assortiment dmat riel technique microscopes, des kits d analyses chimiques, des quipements de laboratoire, dernier cri il les a tous mis en marche, dans le cadre de son enqu te. Les habitants d Allopathe regardaient surtout aveune grande curiosit , tandis que le Dr. West vaquait ses travaux, documentant m ticuleusement, et enanalysant chaque accident de la circulation, et ils attendirent son rapport final avec beaucoup d'int r t. Apr sdes semaines d'enqu te, le Dr. West a propos la population d'Allopathe, d assister une r union dans la vipour la publication de son rapport. L , devant le conseil municipal de la ville et la plupart des habitantd Allopathe, il a annonc ses conclusions : "Le acciden de la ci c la i n, n ca a le mad a age".

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Comme l a expliqu le Dr. West, il a trouv et document une corr lation de quasi 100%, entre les accidents circulation et les marques de d rapage. Pa n n ce i e en c lli i n, a

e a i ce ma e de a in. La ville avait "la maladie des traces de d rapage", a expliqu le m decin, ela r ponse l' pid mie de la ville, des accidents de la circulation serait... E ige ien de l e de aimaladie de ace de d a age, en endan , en fab i an de e i an e l' e e de d, s' criale Dr. West, sous les applaudissements des citadins.

La ville a pay le Dr. West pour ses honoraires de consultation, puis a demand ce bon m decin, de proposune m thode, pour traiter cette Maladie des Traces de d rapage. Comme le hasard a voulu que, le Dr. West air cemment fait un voyage Hawa , pay par une soci t de produits chimiques qui fabrique des produchimiques sp ciaux, utilis s pour traiter les routes, pour des situations comme celle ci. Il a recommand Conseil municipal de la ville, un rev tement chimique particulier : le T flon."N ne n ai e cmaladie de ma e de d a age , d e emen de e , e a d T fl n", a expliqu le Dr. West. Le

e e n en i e an id a an e , e le acciden de la ci c la i n ce e n !Il a poursuivi en d crivant lespropri t s physiques du T flon, et comment son rev tement quasi anti friction, dissuaderait presque tous ld rapages de v hicules.

Le conseil municipal a accept de bon c ur avec le Dr. West, et ils ont mis de nouvelles obligations publique r unir les fonds n cessaires pour acheter suffisamment de T flon, afin d enrober toutes les rues de la ville.

quelques semaines, les rues ont t compl tement enduites, et les marques de d rapages ont alors quasimentdisparu. Le conseil municipal a vers au Dr. West, de nouveau, les frais de consultation et l'ont remerci pouson expertise. Le probl me des accidents de la circulation dans Allopathe a t r solu, ont ils pens . Bien quetraitement f t co teux, ils taient convaincus qu'il en valait la peine.

Mais les choses n' taient pas vraiment r solues dans Allopathe. Les accidents de la circulation ont alor

quadrupl . Les lits d'h pitaux taient d bord s avec tous les r sidents bless s. Les entreprises de carrosserautomobiles taient en plein essor, tant et si bien que la majorit des membres du conseil municipal a d cidd'ouvrir leurs propres ateliers de r paration de voiture ou d investir leur argent dans ceux qui existaient.

Semaine apr s semaine, de plus en plus de r sidents d Allopathe ont t bless s et leur voiture a endommag e plusieurs reprises. L argent s entassait dans les caisses des ateliers de r paration de voiture, dh pitaux, des camions de compagnies de remorquage et des d taillants pour pi ces de voiture. Le conseiller

conomique de la ville, a observ cette forte augmentation de l'activit conomique, et a annonc qu Allopathse trouvait en plein essor. Son conomie tait en meilleure sant que jamais, et il se pourrait qu Allopathe, s attende, avec impatience, une grande ann e de prosp rit conomique !

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Il y aurait des emplois qui seraient cr s dans les ateliers de r paration automobile. Il y aurait plus d infirmin cessaires l'h pital. Des signes de"Demande d Em l i" apparaissaient d'autant plus, chaque coin de laville, l h pital, dans les ateliers automobile, pour les d panneuses, et dans les entreprises de verreries. Lch mage est tomb pr s de z ro. Mais les accidents de circulation ont continu augmenter. Et pourtant, n'y avait pas de marques de d rapage.

Le conseil municipal a t d rout . Ils pensaient pourtant avoir r solu ce probl me. La maladie des tracesd rapage avait t radiqu e par le traitement au T flon. Pourquoi y a t il toujours des accidents dcirculation, qu est ce qui se passe encore ? Ils ont r uni une assembl e publique pour discuter du probl me,apr s une courte discussion sur le sujet, un vieil ermite qui vivait dans la for t juste l'ext rieur d Allopats'est adress aux habitants de la ville. Il n' a a de elle ch e , c mme la maladie de ace de d, at il expliqu . Ce e maladie a in en e a l'en e i e R adace ical end e T fl n.Les habitants ont t horrifi s d'entendre une telle d claration. Ils savaient que la maladie des tracede d rapage existait. Le m decin le leur avait dit. Comment cela pouvait il se faire qu un ermite, qui n'avaitde formation sur la division des moteurs (MD), puisse oser leur dire qu il en est autrement? Comment pouvaitremettre en question la sagesse collective d une telle fa on ?

Il 'agi d' n bl me im le ,dit l'ermite, avant de continuer."T ce e n de n fai e, c e imde annea d'a e de fe de ci c la i n. P i le acciden de la e n ce e ". Sans pause, un membredu conseil municipal de la ville a fait remarquer :Mai c mmen n n n e me e de financde annea d'a ? N a n d en n e a gen dan le ai emen a T fl n !Les habitants furentd'accord. Ils n'avaient pas d'argent pour acheter des panneaux d'arr t.

Un autre membre du Conseil a ajout : E c mmen n n a e le hic le , de e fn e e e de T fl n. Si n c n i n de annea d'a , n all n e d

n a n in e i dan le T fl n ! Les habitants en ont convenu, nouveau ; quelle serait l utilisation despanneaux d'arr t, s'ils ne pouvaient pas arr ter leur voiture ?

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L'ermite r pondit : Mai le annea d'a e me n d' limine la n ce i d T fl n. Leme e d'a e le i e , e le acciden ce e n . La l i n e im le. Mais qu'est ce qui pourraitarriver si les travaux de l implantation des panneaux d'arr t sont r ellement effectu s, et que les citadins ldemandent. Cela pourrait s rement affecter l' conomie en plein essor d Allopathe ? Conscient decons quences, un vieil homme corpulent qui tait propri taire d'une boutique de r paration de voiture, sautasur ses pieds et lui dit : Si n c n i n ce annea d'a , le acciden de la ci c la i n

ai a i me ie i n a n l de a ail ! .

C'est ce moment que la plupart des citadins s est rendue compte, que leurs propres emplois taient remis encause. Si les panneaux d'arr t taient construits, presque tout le monde serait sans emploi. Ils avaient tous desemplois dans les services d interventions d'urgence, les ateliers de r paration automobile, les h pitaux el'entretien du rev tement en T flon. Certains taient d sormais des repr sentants de vente de l'entreprisechimique Roadaceuticals Teflon. D'autres taient importateurs de verre, de pneus, d'acier et d'autres pi cesd tach es pour voitures. Quelques personnes habiles faisaient fortune de la vente de fauteuils roulants et deb quilles, aux victimes d'accidents.

Un jeune homme initiateur a lanc une revue scientifique qui a publi des documents de recherche, d crivanl'ensemble des diff rent types de maladies des traces de d rapage qui avaient t observ es et document eUne autre personne, un passionn de la condition physique, organisait une course annuelle pour recueillir desfonds, afin de trouver le rem de pour la maladie des traces de d rapages. C tait un v nement populaire, tous les habitants y ont particip du mieux qu'ils pouvaient : le jogging, la marche, ou tout simplement sepoussaient dans leurs fauteuils roulants. D'une fa on ou d'une autre, tout le monde peu pr s, dans Allopathe,

tait conomiquement li cette maladie. Par peur de perdre cette prosp rit conomique, les habitants ontvot pour cr er une nouvelle agence publique de la s curit : Frequent Drivers Association (FDA). Ce serFDA qui serait charg e d'approuver ou de rejeter toute la signalisation, la technologie et les rev tements

chimiques li s aux routes de la ville.

Les membres du conseil de la FDA ont t choisis parmi les entreprises dirigeantes de la communaut : propri taire du magasin de voitures, le propri taire de l entreprise des services ambulanciers, et bien s r, le DWest. Peu de temps apr s sa cr ation, la FDA a annonc que la maladie des traces de d rapage, tait, en effetr s r elle, comme cela avait t soigneusement document par un m decin et comme cela avait tr cemment publi dans un journal de la ville. Comme il n'y avait pas eu d' tudes montrant que les panneaud'arr t pouvaient tre efficaces pour r duire les accidents de la circulation, la FDA a annonc que les panneaud'arr t devaient tre mis hors la loi, et que toute personne qui tenterait de vente des panneaux d'arr t, seraitinculp e de fraude, et enferm e dans la prison de la ville. Les habitants d Allopathe taient heureux. Avec

FDA, ils savaient que leur emploi tait en s curit . Ils pouvaient continuer vivre leurs vies sur l' conomieprosp rit , avec des emplois stables, sachant que la FDA rendrait ill gale toute tentative visant leur enleveleur gagne pain. Ils avaient encore beaucoup d accidents de la circulation, mais au moins leurs emplois avaie

t s curis s.

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C 3Pe c i n & S e i n

"C est la suppression g n ralis e des ressources naturelles qui fait office de th rapiescontre le cancer, et la pers cution des th rapeutes succ s. L indiscutable chef de

file dans ce domaine sont les USA" Walter Last

Un Fai Familial

Dette r pression et cette pers cution g n ralis e i e i e, e d e depuis plus d'un si cle, est un fait. Toutepersonne qui conteste ces faits, n y pr te pas attention ou nie cela intentionnellement. L'histoire regorged'exemples de penseurs originaux qui ont t bafou s, on s est moqu d eux, ils ont t ruin s et emprisonnpour avoir os faire preuve de cr ativit , d originalit et, (c est le crime le plus odieux de tous) pour avoi

l'audace, de menacer le statut et l'autorit de la Mafia M dicale.Daniel Haley a crit un livre magnifique intitul La Politique dans la Gu rison : La R pression et la Manipude la M decine Am ricaine , dans lequel il d montre clairement que les organismes gouvernementaux, dont FDA, le NCI, et la FTC ont ma i emen im de em de c n e le cance , i aien efficc n in en ce e e i n j ' ce j. Un ancien membre de l assembl e de l tat de New York, quipass sa vie tudier la sant et la gu rison en Am rique, M. Haley est un homme particuli rement bien plapour raconter l'histoire de l'avidit , des dommages caus s, et de l'influence politique qui a forg sur les soinalternatifs de sant de notre nation. M. Haley a document des cas d crits qui ne sont pas uniques. Cependant,ce qui rend cela sp cial, c'est que les dossiers publics existent, qui montrent la fois l'efficacit des traitementalternatifs contre le cancer et leur suppression active. Ce qui rend la t che difficile, pour les patients atteints decancer pour les trouver et utiliser ces options.

Au cours du si cle pass , des centaines de m decins alternatifs et d'herboristes ayant prescrit des soins, ont ttrait s comme de vulgaires assassins pour le "crime" de gu rir les gens malades, d'une mani re non approuv epar la main lourde du gouvernement.

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Des agents de r pression qui s'abattent sur les cliniques avec des mitraillettes et des armures sur le corps.Pendant tout ce temps, ces m mes organismes, prennent eux m mes la posture devant les cam ras det l vision et le public, sous le pr texte ridicule d' tre les serviteurs du peuple et les protecteurs du biencommun.

Selon la derni re interview du Dr. Robert Atkins,"Il a e bea c de em de c n e le cance , im i ablemen e ma i emen im a ec ne ig e emblable la Ge a , a lLe cance e mi en lace dan l mb e de l a cia i n de l'Ame ican Cance S cie , le incicance , l'In i Na i nal d Cance , e la FDA. La a d' mb e e le fai e ce in i i nla gemen d min e a le memb e , e ami de memb e de l'ind ie ha mace i e, lab n fice inc able . N e fe i n ce e chelle, engage ne aie b e i n a ec la chimi h a ie".

Un livre dont j ai d j parl , et que je recommande fortement, est un livre du c l bre historien de la m deciHans Ruesch, intitul l Imp ratrice Nue, ou la Grande Fraude M dicale. Dans ce livre, Ruesch fait un exmassif contre la corruption et la fraude en m decine, dans les m dias, les sciences, le gouvernement etl'industrie. Ruesch cite J.W. Hodge, M.D., la page 75,Le m n le m dical la fid cie m dicale, (pareuph misme, il nomme ainsi l'American Medical Association,)ce n'e a e lemen le de nie m n

j gani , mai c e la l a gan e, dange e e e de i e gani a i n i n ae le lib e, cel i ci n'im e le el d n a e ge.T

, , ' AMA , .

Il poursuit : T a icien de l'a de la g i n i n'e a alli l i m me a ec le mc mme n dange e cha la an e n im e , a le m decin de c nfiance de ce da

a icien de in i en e de e a e le malade e n a de an a de m en nac ea a b ance i e , an an me e de maladie a le m , le

accin , e a la f i je ce an e ce fana i e , am emen d n nc , ili end e eme e. Le f anc i e , a ec le id e Inn an e le cance , n cal mni , cha la an , and e n e c , al e le c le de ai emen e ab a

Mai i ? Big M decine nous dit qu'ils sont l pour nous prot ger des traitements de remplacementcontre le cancer, car ils n'ont pas t scientifiquement av r s, prouv s comme efficaces, et ils peuvent retardedavantage le plus efficace traitement traditionnel contre le cancer de faire son travail. Les traitementsconventionnels du cancer sont ils plus efficaces ?

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Vous devez rigoler ! Pourquoi reconnaissent ils un taux de i cen de gu rison avec la chimioth rapie ?Cet argument serait risible si ce n' tait pas si navrant pour des millions de victimes du cancer. Ils ne sont pas lpour nous prot ger, ils sont l pour prot ger leur propre vache lait ! Et que signifie exactement, que cela soi

cien ifi emen e efficace, par la FDA de toute fa on ? Snickers, Twinkies, Cupcakes, CocCola, et beaucoup d'autres produits de la malbouffe sont approuv s par la FDA, mais si vous offrez utraitement de substitution du cancer, alors vous tes susceptible de finir en prison. Pensez vous que j imagincela ?Li e la i e

Ha H e

Harry Hoxsey est n en 1901. Vers 1840, le grand p re d Harry, John Hoxsey, un leveur de chevaux, avatalon qui d veloppa un cancer. Lorsque le cheval tait en p turage, John remarqua que le cheval broutait

principalement sur un arbuste particulier, et certaines plantes fleurs. Au cours de quelques mois, terme, lecheval s tait retrouv sans cancer. John, par la suite d veloppa une potion tonique, base d herbes, issue dces plantes merveilleuses , et a commenc soigner les chevaux malades. John a transmis la formule sfils. Le p re d Harry a discr tement commenc utiliser la potion tonique pour aider les humains atteints cancer. Quand Harry a eu seulement 10 ans, il a commenc aider son p re administrer la potion tonique dvictimes du cancer. Ils ont eu un norme succ s de gu rison, et finalement, la mort de son p re, Harry taitdevenu le responsable pour continuer la tradition de gu risseur

En 1924, l' ge de vingt trois ans, Harry a ouvert la Clinique Hoxsey du cancer, Dallas. Pendant plus de trans, il a trait (et gu ri) de nombreux patients canc reux en utilisant la potion tonique Hoxsey. Dans les ann e1950, le Hoxsey Cancer Clinic Dallas tait le plus important centre de cancer priv , au monde, avec succursales dans dix sept Etats. A cette poque, le chef de l'AMA tait Morris Fishbein, qui tait galemen

r dacteur en chef du Journal de l'Association M dicale Am ricaine (JAMA). Fishbein a essay d acheterdroits de la potion tonique de Hoxsey, mais quand il a refus , Fishbein a men une vendetta personnelle contrelui, en utilisant le JAMA comme son principal outil et moyen pour le discr diter.

Au cours de plusieurs ann es suivantes, Fishbein publi de nombreux articles dans le JAMA, en affirmant qla potion tonique de Hoxsey n tait rien de plus qu'une bouteille"d ea c l e an ale "remplie de

Ma ai e he be de ba e c. Et en raison du fait qu'il avait donn ces mauvaises herbes des patientsatteints de cancer, Hoxsey, qui n' tait pas m decin, a t arr t l de 200 f i, pour pratiquer la m decinesans licence ! Peut tre son plus grand adversaire tait le procureur du district, Al Templeton, qui l avait, seul, arr t plus de cent fois. Le fr re d Al, Mike, a, par la suite, d velopp un cancer en phase terminale, e

travers les traitements "Big 3" classiques.

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Apr s que les m decins l aient renvoy chez lui pour mourir, Mike a visit la Hoxsey Clinique du cancfinalement t gu ri. Quand Al a appris la gu rison miraculeuse de son fr re, d'un cancer en phase terminale, iquitt son emploi et est devenu avocat de la d fense des int r ts de Hoxsey.

Harry Hoxsey

Malheureusement, ce fut pendant la p riode de d veloppement intensif des traitements anticanc reuxconventionnels "Big 3", en raison principalement de leur rentabilit , o l'ensemble de l'industrie du cancer taien train de s'implanter avec les m thodes de th rapies traditionnelles du cancer. La potion tonique peuco teuse d Hoxsey posait une menace r elle pour les profits qui taient r alis s gr ce au "Big 3", donc ce npas difficile de deviner ce qui s'est pass ensuite :ne cam agne de d nig emen n me est intervenue. Gr ce

leur r seau subversif de copains, et travers une s rie d articles calomnieux, l'industrie du cancer, , de faefficace, marqu l encre rouge , Hoxsey :Le i e de de ai emen c n e le cance , Le ch

i cle. Toutefois, si Hoxsey tait un charlatan, alors il n' tait pas s r qu il en soit un tr s bon, car les charlatasont avides d'argent, et les cliniques du cancer Hoxsey traitaient 100% des patients qui venaient se faire soignerm me s'ils ne pouvaient pas se permettre de payer le traitement. Mais la Mafia M dicale ne s'arr te pasuniquement la calomnie. Les fonctionnaires de la FDA ont effectivement p n tr dans les maisons de spatients, les ont intimid s, leur ont dit qu'ils taient dup s par un charlatan, et leur ont vol leurs m dicaments

Toutefois, en 1954, une quipe ind pendante de dix m decins, autour des Etats Unis, a fait une inspection deux jours la Clinique Hoxsey Dallas, en examinant des histoires de cas, et des t moignages de patients. ont ensuite publi une d claration remarquable. Ils ont d clar que le but et les r sultats atteints de cetteclinique taient de , ,

, , . Bien s r, les r sultats de cette enqu te ont t ignor s parl'industrie du cancer. Puis, en 1953, le rapport Fitzgerald, qui a t command par un comit du S nat des taUnis, a conclu que la m decine organis e avait c n i ime les th rapies Hoxsey.

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En raison d'un article diffamatoire publi par Fishbein, Hoxsey l'a poursuivi pour diffamation et calomniHoxsey a gagn . Fishbein a t contraint de d missionner de l'AMA.Mai c' ai e , e a d. Le nomd Hoxsey, ainsi que sa potion tonique, avaient d j t saccag s, et ne s'en sont jamais remis. Toutes lcliniques Hoxsey sont pr sent finalement arr t es. La clinique de Dallas a ferm en 1960, et trois ans plus tapour chapper leurs montages pression, Mildred Nelson R.N. (infirmier chef depuis longtemps dans ceclinique, dont la m re avait t gu rie d'un cancer en phase terminale, par la potion tonique Hoxsey) a d placl'activit , Tijuana, au Mexique. Harry Hoxsey mourut en 1974, mais la clinique du Bio Medical Centeaujourd'hui tr s demand e, et continue traiter tous les types de cancer. Avant sa mort, Nelson a nomm sas ur cadette, Liz Jonas, en tant qu'administratrice du Bio Medical Center.

Comme je l'ai mentionn plus haut dans le livre, nous avions pr vu de faire aller papa dans cette clinique, mamalheureusement il ne se remit jamais de la chirurgie. Leurs dossiers m dicaux indiquent que de nombreuxpatients (certains, arrivant un stade avanc du cancer) ont t aid s, et m me compl tement gu ris du cancepar la potion tonique Hoxsey. Personnellement, je connais le cas de plusieurs personnes qui ont t gu ries enutilisant ce traitement, lequel est encore un autre exemple de la r ussite d un traitement de remplacementcontre le cancer, qui a t rejet comme charlatanisme , par l'industrie du cancer.

R al Ra m nd Rife Royal Raymond Rife, tait un brillant scientifique, n en 1888. Rife avait d velopp une technologie qui encore couramment utilis e aujourd'hui dans le domaine de l'optique, de l' lectronique, de la radiochimie, et dela biochimie. En 1920, Rife a invent le premier microscope viral du monde.

Le 3 novembre 1929, le San Diego Union journal mit en vedette un article en premi re page sur son microscopet beaucoup d'autres ont suivi. En 1931, il a annonc ses r sultats aux m decins et aux facult s de m decinUn grand nombre d' minents m decins et de chercheurs vinrent vivement approuver son travail. Parmi eux se

trouvait le Dr. Milbank Johnson, pr sident de la Southern California, branche de l'AMA, et membre du consd'administration de l'H pital de Pasadena.

En 1933, il avait mis au point cette technologie, et avait construit le Rife Universal Microscope , qui acapable de magnifier les objets 60,000 fois leur taille normale. Contrairement aux microscopes lectroniquequi ne pouvaient que constater les sp cimens morts, en raison des taches de produits chimiques l taux qui

taient appliqu es, le microscope de Rife lui a permis de visualiser les organismes vivants, par un processus quavait appel les taches de lumi re .

Comme tant d'autres d couvertes de premier plan dans la science, les principes, derri re le super microscope de

Rife, taient simples mais ing nieux. Par exemple, les microscopes n avaient jamais travers de faiscealumineux, selon Rife, la diffraction de la lumi re est responsable des r solutions inf rieures constat es dans lmicroscopes de recherche standard. Gr ce ses avanc es sur les microscopes, Rife a pu voir l"polymorphisme", ce qui signifie que la croissance d'un organisme dans un autre type de culture peut donnerquelque chose d enti rement diff rent.

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Rife a pu observer de minuscules micro organismes vivants qui habitent dans le corps humain, des organismesdont il se doutait qu ils pouvaient causer un cancer. Il a fait observer les r actions de divers microbes, commeles bombarda avec une infinit de combinaisons de fr quences radio et audio. Il ne tarda pas d couvrir qucertaines fr quences, qu'il appelait les fr quences mortelles d'oscillation , seraient capables de d truire lemicrobes polymorphiques, qui sont actifs dans les cancers.

Au d but de 1934, le Dr. Milbank Johnson, qui tait devenu l'ami et supporter de Rife, disposa formellement dessais cliniques de l'appareil faisceau de rayons de Rife. L' quipe m dicale comprenait un Qui est quim decins et de pathologistes. Seize patients atteints de cancer en phase "terminale" , du Pasadena CountyHospital, se sont port s volontaires pour tre trait s avec la machine de Rife, qui a t capable de tuer lemicrobes pl omorphes, l'int rieur des cellules canc reuses. Apr s trois mois, tous les seize patients taieencore en vie. Les m decins ont t tonn s que quatorze d'entre eux ne montraient virtuellement plusa c n signe de cancer, et furent alors d clar s cliniquement gu ris . Un mois plus tard, les deux autres patients on

galement t d clar s "sans cancer." Le taux de gu rison de ces seize patients en phase terminale, gr ceRife, fut de 100%.Ce f ne a anc e maje e!Ci dessous un article de l' dition du 6 mai 1938, de la Tribune d

San Diego soir.

Les germes de cette terrible maladie sont d truits par les rayons, revendiquent les scientifiques

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Survient alors la Mafia M dicale. Le chef de l'AMA au cours de cette poque tait Vous l'aurez devinL inf me Morris Fishbein. Tout comme il avait proc d avec Harry Hoxsey, Fishbein voulait une part de l'acde la vente de ces appareils, donc il a propos un arrangement par lequel, lui, (et l'AMA) donneraient Rife, leb n diction officielle et puis, il obtiendrait de ses copains la FDA, d acc l rer leur approbation du dispositRife. En change, Fishbein recevrait une grande partie des b n fices provenant de la vente.Rife ef .

Ce qui suivit, fut comparable ce qu'il avait fait Harry Hoxsey, Fishbein et ses acolytes entreprirent de d truRife. Le laboratoire de Rife fut vandalis et des photographies, des films et des documents furent vol s. Sonmicroscope a t d rob , son laboratoire br l , et certains de ses partisans sont morts dans des circonstancessuspectes. En 1940, deux m decins qui avaient soutenu Rife ont t perquisitionn s par des agents f d raux qont confisqu leur mat riel et leurs notes. Ils ont tous deux t retrouv s morts, soi disant se seraientsuicid s avec du poison.

Avance rapide jusqu'en 1944 ... Le Dr. Milbank Johnson a organis une conf rence de presse pour annoncer urem de contre le cancer, en utilisant la machine de Rife. Il y avait des rumeurs disant que le Dr. Johnson ava

t approch par des repr sentants de Big Pharma, faisant des offres d'argent pour supprimer les informations

sur les travaux de Rife. Myst rieusement, la veille de la conf rence de presse, le Dr. Johnson est d c dsubitement, et toutes ses notes ont t annonc es "perdues" par ses ex cuteurs testamentaires. Bien que lesenqu teurs aient d'abord cru une mort accidentelle, plusieurs ann es plus tard quand fut exhum le corps deJohnson, il y fut d tect du poison.

Puis vint le coup de gr ce la police a ill galement confisqu le reste de ses cinquante ans de recherche. Pourfinir le travail, les revues m dicales, appuy es presque enti rement par les revenus de l'entreprisepharmaceutique, et contr l es par l'AMA, ont refus de publier quoi que ce soit sur le traitement de Rife. E1971, l' ge de quatre vingt trois ans, Rife est d c d d'une overdose de valium et d'alcool. Pour pd'informations sur Royal Raymond Rife, je vous recommande de lire Le Traitement du Cancer qui a Fonction

par Barry Lynes.

L hi i e de Ral h M(Sel n e e c i ) Extrait dewww.cancerdecisions.com

"En 1974, j'ai c mmenc a aille a Mem ial Sl an Ke e ing Cance Cen e , le leade m ndan le ai emen d cance . J' ai n je ne c i ain cien ifi e id ali e e a ide de cience, infai e a ie d Sl an Ke e ing, e Ni n enai de d cla e la "G e e a cance ".

enfan , me inci a h aien de cien ifi e (a ec de di igean c mme D dge de Ba ai de l a eni !) Le a ail Sl an Ke e ing emblai ann nce c mme n e de enan lai fai e a ie de l' i e gagnan e i ba ai enfin le cance .

Dan le i an i i i en , j'a ai d c ch le e de di ec e adj in de Affai e bl' e, j'a ai 34 an , j ai ma i m n amie de l c e, i n a i n e ne fille e n fill e.

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N a i n je d'ache e ne mai n e d' a gne l d ca i n de n enfan ,imagine c mbien n a n a i and je f m , a ec ne a gmen a i n n me, e de

a n . On m'a al di e le a an age de l'em l i incl aien e me, de e me e e fade enfan , la Ne Y k Uni e i . In ile de di e e n c m i n aimen a Mem ial Sl an Ke e ing. Mai el e ch e a i a bien i changea le c de ma ie

Une g ande a ie de m n a ail c mme di ec e adj in de affai e bli e , ai d' c i e dde e e le m dia , de n elle inf ma i n d cance , e d c i e le bde l h i al. J'ai a i i en cha ge le a el de la e e e d blic, de e i n lij effec ai j e ne j n e de a ail n male ( al je le en ai ) and j'ai c mmenc

cien ifi e e im l H i al, n a icle d b lle in le el je a aillai . Il 'e aD . Kanema S gi a, a ai l ie e i e b en de l a i if la dimin

i , a ec l de d' ne b ance na elle a el e am gdaline (V en a e en end a ide lae ile ). E ci (e na f !) J'ai ann nc ma "d c e e" le a ail de S gi a, a di ec

bli e , e a e ie hi a chi e , i en me lan d a icle le jema ie.

Il n in i e je ce e de a aille ce e hi i e imm dia emen , e e jamce je . P i ? Il n di e le a a de M. S gi a aien in alide e alemen dj'a ai le l a de me e e ! E je a ai e le D . S gi a ai n i able

e nne de ha e m ali . P i m n a n m'a d nn ce d e e je n' blie ai jamai : Il m'aA lie de a aille l'hi i e e j'a ai e l'in en i n d' c i e, il m' n d nn d c ic mm ni le inci a in e , de n elle affi man a ec f ce, e l am gdaline aien n ga i e , e e la b ance ai an ale le ai emen d cance a de ai nne a ec e , mai cela ai mb dan le eille d' n d.

Je n' blie ai jamai ce e j'ai e en i, d an le aje de la mai n, en m , ce e j n e lnai , a ec n m lange de en imen f , de c nf i n, de ch c, de d ce i n, la e

m en d'e i ence, e l'a eni de ma famille, e de i e cela, n in en e be in de acam flage ai a . A de l ng e c n e a i n a ec ma femme e me a en ( i c mme e l'imagine ), j'ai d cid de eme e l a d me c mm ni de el am gdaline, an e je ai al ega de di c emen d an m n em e nnel. b ea , emblai he e . Il ffi ai de d e le , e n n mme cc a ec d'ac n e .

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Ain i, d an le chain m i , j'ai fai e ma e en e nd e la g ande ai a l che : Q i aien ce gen i je a aillai , e i d ai n

i if dan la eche che le cance ? Me fichie n a gmen , n de en ai , ce de enai de l en l fa cinan e in i an ce fai . Je n'a ai jamai fl chi la a an . Main enan e j a ai a embl le i ce , j'ai a i e :

Le C n eil d'admini a i n de Sl an Ke e ing' ai n "Q i e Q i" d'in e i e , dan dechimi e ll an e , e a e . A emen di , l'h i al ai di ig a de gen i n

in e i an dan le l ma ai e ch e canc ig ne i ien la lan e.

Le PDG de lab a i e ha mace i e ie i n d i de m dicamen chimia i d min le C n eil. Il a aien n d i ac i iden dan la m i n de la chimi h a iede a e de h a ie na elle .

Le Di ec e e le P iden de B i l M e S ibb, le d c e leade m ndial de la chimide ha e i i n le C n eil e c if de MSKCC'S.

S le ne f memb e d i an C mi de P li i e In i i nnel de l'H i al, e a aien dl'ind ie ha mace i e.

L'H i al l i m me a ai in e i dan le ck (le ac i n ) de ce e m me ind ie ha mace

Le di ec e de l g ande ci de abac a E a Uni , Philli M i e RJR Nabid'h nne a C n eil d admini a i n.

Si Di ec e de C n eil n a i e i dan le C n eil d admini a i n de "Ne Y k Tim

C mm nica i n , la e e, e d'a e g an m dia i e .Il n' ai a enan , e le fi de m dicamen de chimi h a ie aien m n en m dia , a ec en h ia me, aien m , le n ea m dicamen , c mme an ne Pd maine d cance . J'ai ga d e me n e dan m n cla e d a ail. Je n'a ai a c ne id e

ai jamai fai e a ec elle . Je a ai e je de ai alle f nd, ma c n cience.

Pendan ce em , l'in d blic la lae ile a ef de 'en alle . Un g and n mb e dea e la f n i e me icaine j a clini e , b eni la b ance. E le l h ne

ce de nne , a ec de gen lan a i ce e le Sl an Ke e ing en ai de a ale . J'ai

de n ea , l i di e de d nne le n elle e le de a aien e n ga i e .

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la mai n, j'ai a el ma famille ne ni n. A ec le ien, j'ai d cid e je ne ain m de l'H i al. En N emb e 1977, je me i le l d' ne c nf ence de e e, e ai d n nc

e i n, a le Mem ial Sl an Ke e ing Cance Cen e , de l a i if a ec l am gdac mme ne en ie de a e d l ha l nge i , mai je ne d ai a e je fai ai le b nc ng di le lendemain, a ec l in e dic i n de ne l e e ce de e n abili , m me le l lle d maine H i alie , a il e li a Ne Y k Time . En d'a e e me , ne a aam icain.

Q and j'ai e a de end e me affai e dan m n b ea , j'ai d c e e me fichie a aiene de ga de a m de l h i al m' n e c h de l ca .

He e emen n , j'ai ne femme in elligen e, i a l ng d a c , ade me n e de eche che , e a ai mi n d ble c m le l men ai e de fichie , dan n n e di e dan m n emie li e, L ind ie d Cance , e enc e en e i n im im e (d

j ) e di nible dan le lib ai ie . Ce e j n e f d ama i e, and je me i le , facela c nf ence, e ai di la i , ce f le d b d' n age e je n a ai jamai i . Cd' ne mi i n, la elle je i enc e a j d'h i d'aide le a ien canc e e lameille ai emen c n e le cance .

Eh bien, n n' i n l en me e d'ache e ne mai n, m me bien de ann e l a d, le enc ll ge de b e e de , e ma femme a i n c n aignan em l i lein em

'en i . Mai ec i emen , ce e je i , en an ini i , dan "l'ind ie d cien e ma ie. Me ale n mi e l' e e, e je de ai aimen e amine ce i

ma ie. C'e ca e de ce e difficile e ience a Sl an Ke e ing, e j'ai ne diignifica i e ma ie fe i nnelle, l e de e lemen g a i le chel n de ca i e

e de e d e m n me dan le ce .

Pl de Pe c i n & de S e i nLe Dr. Jonathan Wright, tait un sp cialiste hautement consid r de la nutrition, mais son p ch cardinal taitpromotion des traitements naturels qui n'ont pas re u la b n diction de la FDA. Durant l' t de 1992, la CAbolitionniste a publi un article intitul "FDA : La Gestapo Am ricaine, Procureur ou Pers cuteur ?"raconte l'histoire, de ce 6 mai 1992, de ce qui doit ressembler une invasion militaire, de la clinique du DWright, qui a t prise d assaut par une vingtaine d'hommes arm s, qui ont ouvert des portes coups de piedont fait feu avec des fusils, la fois sur les patients, puis sur le personnel, et ont confisqu des documentd'affaires, les dossiers des patients, les fournitures et l' quipement. Les agents de la FDA "Gestapo" ont passquatorze heures dans la clinique, fait des recherches travers tout. Pour cela, ils n ont m me pas t accus s quoi que ce soit !

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Jason a imm diatement commenc se sentir mieux en mangeant des p pins de pommes dans le cadre de sonalimentation quotidienne. En un court laps de temps, le cancer de Jason a litt ralement disparu. Lorsquel histoire de "l Extraordinaire gu rison" de Jason fut diffus e la t l vision nationale, une audience maxima

t annonc e pour ce programme ce jour l , si bien qu'ils aient choisi de rediffuser ce m me pisode la semaisuivante. La r ponse du t l spectateur a t si grande que Jason a t envahi par des milliers d appt l phoniques de gens, partout dans le pays.

Depuis, Jason a inspir et aid des milliers de personnes traiter naturellement leur propre cancer. Par unr gime appropri , la nutrition et l'introduction de semences de pommes et d'abricots dans leur alimentationquotidienne, ils ont, un par un, r dig leurs propres histoires succ s, qu heureusement, ils vivront pour raconter. En Novembre 2001, Jason a t contraint par la FDA de signer un d cret de consentement qul'emp che de partager son histoire. Malgr le fait qu'il n'avait enfreinta c ne loi, la FDA a port plainte contreJason pour le fait qu il ait distribu des semences d'abricot.

Jason a t condamn le 18 juin, 2004 soixante trois mois de prison, et trois ans de libert surveill e par Cour du district des Etats Unis, dans le district Est de New York. Apr s avoir purg pr s de quatre ansd tention, Jason a t lib r de prison au d but de 2008. Dieu merci ! Voir l'annexe 4 pour plus d'informatio

sur Jason, et en apprendre un peu plus sur son histoire fascinante.

Le Dr. Max Gerson avait mis au point un protocole efficace pour traiter le cancer, les patients utilisant un r gimstrict de nutrition, de jus frais, et d enzymes pancr atiques. La communaut m dicale avait eu l occasid'examiner de mani re appropri e, d'autres traitements contre le cancer, quand une commission du S natAm ricain en est venue accorder de vastes fonds pour la recherche dans son traitement, et less nateurs furent tr s impressionn s par ses r sultats.

Toutefois, l'AMA a fait pression, si fortement, contre la recherche en ces traitements subsidiaires contre lecancer, que la d cision a t battue de justesse au S nat. Ensuite, la Mafia M dicale a utilis son influence p

supprimer le succ s de Gerson et l a marqu comme un "charlatan". En utilisant les techniques d'EdBernays et d Adolphe Hitler,il l' n di a e f e a e l ng em, pour qu'il soit r v l "la connaissancecommune", que Gerson tait un charlatan, malgr le fait que son protocole de traitement gu rissait les patientsdu cancer en phase terminale.

La proc dure d'exploitation standard pour la Mafia M dicale et l'industrie du cancer, est de rapidementsupprimer toute d couverte d'un traitement du cancer, et de cr er dans la perception du public que le m decinqui d couvre un autre traitement est incomp tent ou est "un charlatan." Et ils sont assez efficaces Ils ontm me des sites Web (comme Quackwatch) mis en place pour ce but. La v rit est que le traitement du DrGerson tait tr s efficace. Le Dr. Albert Schweitzer a crit : Je le vois (le Dr. Gerson) comme un g nie m

qui a march parmi nous .

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Neal Deoul a financ la recherche des traitements alternatifs du cancer dans les ann es 1990. En 1998, Procureur G n ral du Maryland, Joseph Curran, l'a charg de distribuer une litt rature promotionnelltrompeuse. Deoul avait financ T UP, Inc qui a distribu le c sium et T UP (un concentr d'Alo v rcombattre le cancer et le SIDA. Malgr cela ce n' tait pas cause de la plainte d'un consommateur unique, cary avait des centaines de t moignages de consommateurs qui r clamaient les r sultats. Paradoxalement, alorsque l'affaire contre Deoul se d roulait devant un tribunal, lui m me, Deoul a t diagnostiqu avec une formagressive de cancer de la prostate.

Bien s r, les m decins de la Mafia M dicale ont protest bruyamment, et ont pr dit le pire s il continuait refuser l'irradiation et la chimioth rapie, mais son tat s'est am lior la suite de l absorption de ses proprm dicaments ...A c ne a e h a ie n a ili e. Malheureusement, son traitement avec du succ s dansle monde r el n'a pas t refl t dans la salle d'audience. Un juge du Maryland trouva Deoul et T UP, coupables d'avoir viol les lois du Maryland sur la protection des consommateurs. La question cruciale de savosi les produits ont effectivement permis de lutter contre le cancer n'a jamais t abord e dans les conclusionsdu juge.

Jimmy Keller a exploit un centre anticanc reux alternatif B ton Rouge, mais a t contraint de quitter le papour rejoindre Tijuana, au Mexique. Keller avait fond la clinique apr s l'utilisation de m thodes naturelles pogu rir des canc reux en phase terminale. Son propre cancer avait t trait sans succ s, plus de deux d cenniplus t t par les sp cialistes Big3 du cancer, qui l avaient amput de son oreille, et avaient mutil son visComme c'est g n ralement le cas dans les traitements par Big 3 , le cancer de Keller fut de retour avevengeance. Il a alors tudi les m thodes de la gu rison naturelle, s est gu rit lui m me, et puis a commenaider les autres le faire. Il se croyait l'abri de la Mafia M dicale depuis qu'il tait au Mexique. Il avait

En mars 1991, Keller a t enlev , sous la menace d un pistolet, par quatre chasseurs de prime, travaillant pou

d partement Am ricain de la Justice, la demande de la FDA, et forc traverser la fronti re Am ricaine.Keller a t arr t par le FBI sur douze chefs d'accusation de fraude lectronique. Quel tait son crime ? Keavait fait des appels t l phoniques dans l'ensemble des lignes inter tats pour attirer des gens dans sa cliniqueMexicaine. la suite de l'enl vement ill gal de Keller partir du sol Mexicain, sans l'extradition, il a emprisonn au Texas. tonnamment, sa caution a t fix e 5 millions de Dollars. Il a ensuite t condamnenvoy en prison pour deux ans. L affaire Keller faisait partie d une tendance d'enl vements l' tranger, pargouvernement des Etats Unis, dans l int gral m pris du droit international.

Le Dr. Joe Di Stefano (un nutritionniste dipl m ) et le Dr. Daniel Mayer (un ost opathe), taient propri taires deux cliniques en Floride o ils administraient un produit appel Albarin, un extrait d'alo v ra, des patien

atteints de cancer.

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Albarin a t d velopp par le Dr. Ivan Danhof, un professeur de m decine retrait , connu comme le e del'al a .Le Dr. Di Stefano et le Dr. Mayer avaient utilis Albarin sur 100 victimes du cancer assignl'h pital tonnamment, 94 d'entre eux ont surv cu sans effets secondaires dus aux traitements.Globalement, le taux de r cup ration des cliniques tait de 80%. Au d but octobre 2001, le Dr. Di Stefano sorti de sa clinique m dicale minuit apr s une longue journ e de travail, et a t surpris d'entendre des brui

tranges venant de la benne dans l'arri re cour. Une corbeille avait t parpill e sur le sol. Il regarda au dessde la benne et aper u deux trangers cherchant dans la poubelle. Il s'av re que les "sondeurs de poubelle"

taient en fait des agents de la FDA.

Puis une semaine plus tard, exactement un mois apr s la pr tendue attaque "terroriste" du 11/9 , une autreattaque terroriste a eu lieu. Et elle ressemblait au 11/9, mais cette fois avec des v ritables terroristes dancette attaque, qui ont t ceux de notre propre gouvernement. Le 11 octobre 2001, cent vingt (120) agents de laFDA, DEA, les douanes am ricaines, les diff rents tats et organismes locaux d'application du droit d'assaut, o

saisi l' quipement des cliniques Tampa et St. Petersburg. Pendant les raids, les agents des servicer pressifs ont demand aux patients s'ils voulaient tre d croch s de leur IV (intra veineuses), mais pas un sn a dit i .L'un des patients s est plaint, N mme de ad l e ici, e en de n e P i ne a i d'ici e de n lai e e l ?Un agent de la FDA a r pondu: Ce e a e de n

ai emen !Des raids simultan s sont survenus contre le Dr. Danhoff Grand Prairie, Texas et Jerry W. Jacksod' Allied Services de pharmacie Arlington, au Texas. Jackson est le pharmacien qui a pr par l extrait d'v ra. Dans cette atrocit de la Mafia M dicale, la FDA a t satisfaite de la fermeture des cliniques et rejl'extrait d'alo v ra lors de l'utilisation. Personne n'est all en prison. Mais il y a eu les dommages collat rauxdes patients n ont pu recevoir plusieurs traitements, et au moins huit, sont d c d s dans l'ann e.

Pourquoi l'attaque du gouvernement envers des m decins a t elle eu lieu contre l'utilisation de l'extrait d'alov ra ?Ce e a a e ndai de lain e d nc l g e l ca i e daien d chiff e d affa Sachantque ces m decins font partie de la monolithique "Mafia M dicale", la FDA a agi la vitesse de l' clair, dan

raid semblable ceux de la Gestapo pour liminer cette menace concurrentielle. Apr s tout, si les effets positifde cet extrait d'alo v ra devenaient largement connus, cela pourrait influencer n gativement les ventes dem dicaments de chimioth rapie hautement rentables. Pourrait il tre plus clair que la guerre contre le cancerest en r alit une guerrec n e d efficaces rem des naturels contre le cancer ?www.lef.org/magazine/mag2002/apr2002_report_clinic_01.html

Dans son livre intitul La Politique dans la Gu rison : l'Elimination et la Manipulation de la M deAm ricaine , Daniel Haley a document onze tudes de cas de r pression syst matique de traitements dcancer, ayant fait leurs preuves, avec des substances comme le sulfate d'hydrazine, le DMSO, le chlorure dec sium et l'alo v ra.

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La conclusion d Haley est la suivante :Dan n ma ch lib e, le h a ie n n i e e emen en e en c nc ence a ec le h a ie i e , e i le inf ma i n ne n

c n mma e n fai e de ch i clai . C'e e ac emen cela d n le c m agnie ne e len a .D , FDA '

, , , . A ca e d main ien de ce h a ie l' c

d ma ch , la FDA ne ge a le blic c n e j dice. Elle i e ge ha mace i e an bi ne c nc ence effec i e .

Le fait est que beaucoup de traitements alternatifs du cancer ayant du succ s, ont t cr s au cours dusi cle pass , puis ont t perdus de vue de nouveau en raison de la r pression et de la pers cution. Labarri re du ec a i me cien ifi e qui s pare la recherche conventionnelle du cancer de la r alit demeureintacte. Il existe d'innombrables histoires de la vraie vie de pers cution et de la r pression. Si je voulais toutesles num rer, il faudrait dix autres livres. Mais je vais vous laisser faire la recherche vous m me.

Il suffit de taper ces noms dans un moteur de recherche : Dr. Sam Chachoua, Dre. Hulda Clark, le Dr. A. KeithBrewer, Dr. William Kelley, M. Gaston Naessens, le Dr. Patrick Flanagan, le Dr. Hans Nieper, JH Tilden, Dr. KuDonsbach, M. Stanislaw Burzynski, le Dr. William Koch, Dr. FM Eugene Blass, Dr. Otto Warburg, Dre. VirginLivingston, le Dr. G nther Enderlein, le Dr. Ernest Krebs, Dr. Philip E. Binzel, Jr., et la liste continue, encore eencore. Beaucoup de noms ont t perdus... d'autres ont t cras s hors de l'existence pour toujours.

Que signifient tous ces docteurs honorables, qu ont ils tous en commun ?Il n d el dem h de de b i i n a ec cc ai e le cance de millie de a ien . Et ils ont tous tpers cut s par l'industrie du cancer, car ils ont utilis des traitements "non homologu s". Ces exemples nesont que la pointe merg e d'un iceberg norme. La Mafia M dicale compte d sormais cent ans d'histoired une vaste corruption, d'incomp tence, de pers cution et de r pression organis e des th rapies du cancer,qui fonctionnent effectivement. Des millions de personnes ont souffert terriblement et sont m me mortes,

parce que ceux qui les avaient prises en charge avaient touch des pots de vin, ferm leur esprit surl innovation, et avaient refus de faire ce qui est moralement juste.

Mais qu'est ce qui se passe dans la m decine aujourd'hui ? Ne devrait on pas tre surpris quand on jette uncoup d'oeil sur le pass . Saviez vous que beaucoup des plus grandes d couvertes mondiales ont d'abord trejet es par la communaut scientifique ? Ceux qui furent les pionniers de ces d couvertes ont souvent tridiculis s et condamn s comme des charlatans ou des imposteurs.

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Selon Arthur Shopenaur, philosophe du 19 me si cle,T e i a e a i a e a an 'elleacce e. Dan la emi e, elle e idic li e, en ec nd, elle e mi e en i i n, dan la ic n id e c mme allan de i.

Voici juste quelques exemples :

• Ignaz Semmelwies a t expuls de la soci t m dicale de Vienne, pour avoir demand aux chirurgiens dse laver les mains avant les op rations.

• Galil e a t d daign pour sa croyance que le Soleil est situ au centre de l'univers.• Wilbur et Orville Wright ont t renvoy s, cart s comme mystificateurs par l'Am rican Scientific , l'A

de Terre des tats Unis et la plupart des scientifiques am ricains.• William Harvey a t ridiculis pour sa croyance que le sang est pomp par le coeur et se d place dans le

corps, l'organisme, par les art res.• Jacques Cartier a d couvert le rem de contre le scorbut : corce et aiguilles de pin blanc (les deux sont

riches en Vitamine C), remu es dans une boisson. Il l'a annonc aux docteurs quand il est retourn en Europe,mais ils ont ri de lui. Il s est pass 200 ans avant que les experts m dicaux "n'aient d couvert" que le scorbut ecaus par un manque de vitamine C.

• Les inventeurs de la turbine de puissance, du t l graphe lectrique, de la lumi re lectrique, de la t l visiet de la navigation spatiale, ont t tous ridiculis s ou ignor s par l' tablissement scientifique.

L'ironie de la science (qui est i di an une recherche de nouvelles v rit s) est que la plupart des membres den'importe quel tablissement scientifique semblent consacr s l' i i n au progr s r el et la suppressionde la pens e originale. Ironiquement, la plupart des tablissements scientifiques semblent d di s s'opposer de r els progr s de la d couverte, et vou s la suppression de la vraie science, qui est cens e tre la recherchde nouvelles v rit s.

Cela inclut le domaine m dical. On peut attaquer les th ories politiques ou conomiques avec une certainlibert , bien que la libert ait t grandement diminu e avec l'av nement de la "Patriot Act", et les loult rieures inconstitutionnelles du gouvernement Am ricain faisant "mainmise sur le pouvoir". Toutefois llibert , est encore moins pr sente dans les domaines de la cience e de la m decine. Un scientifique ou unm decin avec une id e nouvelle et originale est susceptible d' tre trait comme un dangereux auteur decanular ou d tre un charlatan , plut t que d tre consid r tel un innovateur dont les id es valent la peined tre valu es.

La plus r pressive, la plus pr judiciable, et la plus obsc ne direction g n rale des intol rants de Big m decest sans doute la part de celle ci qui pr tend traiter le cancer. En fait, l'industrie du cancer a dit une liste d

charlatans du cancer qu'elle publie sur de nombreux sites Web.

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Qu'est ce que ces soi disant charlatans du cancer ont en commun ? Ils utilisent des m thodes non prouv epour traiter le cancer. Regardons cela, o allons nous ? M thodes non prouv es? Que cela signifie t il ? S'agvraiment de m thodes non e, ou est ce la preuve de leur succ s qui est im e ?

Vous devez tre conscient que l'industrie du cancer d ploie des efforts consid rables afin d'enterrer et der primer les traitements alternatifs du cancer, qui fonctionnent avec grand succ s. Ils suppriment galement

les traitements alternatifs du cancer quine fonctionnent a , donc il semblerait qu'ils soient tout juste l "fai e le a ail n ge ." Toutefois, le fait est que des centaines de traitements alternatifs contre lecancer f nc i nnen, mais ne sont pas valid s ; et il est regrettable que les vendeurs d'huile de serpent, les vraischarlatans, cette fois, fassent les pires d g ts, en donnant l'industrie du cancer, des munitions dont ils ontbesoin pour faire que les traitements de substitution contre le cancer (y compris les traitements efficaces),ressemblent du charlatanisme.

A vrai dire, la plupart des pratiques quotidiennes de la m decine classique ne sont pas prouv es si nous passonpar les normes du gouvernement lui m me. En 1978, l'Office of Technology Assessment (un bras du Congr spubli un rapport de recherche majeur qui a conclu que "seulement 10 20 pour cent de toutes les proc duresactuellement utilis es dans les pratiques m dicales ont d montr leur efficacit par des essais contr l s". Cesignifie qu entre 80% et 90% de ce que les m decins ne vous disent pas, estcien ifi emenn n a la c njec e. Par d finition m me du gouvernement,la maj i de la m decinec n en i nnelle e a imil e a cha la ani me ( Evaluer l Efficacit et la s curit des technologiesm dicales , US Congress, OTA, PB 286 929, 1978).

Selon Webster Kehr, le e e cien ifi e de ai emen de b i i n e en e c mde la aille d Q een Ma II. Le e e cien ifi e le ai emen h d e , a cc m a able n na i e i ai 'in g e dan ne baign i e. Je ne i a l e aga di de la chimi h a ie e de la m decine h d e, elle de de e e cien ifi

a c ne e e cien ifi e le ai emen al e na if . Ce n'e ien e de la c i n

e de men nge . Al , c mmen le FDA, NIH, NCI, AMA, ACS, e c, imen il a i le ai emen de b i i n c n e le cance ? En le ign an (c e di eli e n i e ), e a ec le babillage de le n i n de mi i n n an e , i a ec ce e j'a

ch l gi e .

Fait int ressant, tous les traitements de substitution sur le cancer o Big M decine a dress une liste pou"charlatanisme", cette liste a les d nominateurs communs suivants : ils sont tous naturels, ce sont desm dicaments non toxiques et non patentables ni brevetables. Plus important encore, ils ont tous r ussi gu rile cancer ! M me si la chimio et la radioth rapie sont totalement des th rapies non prouv es et qui souven

en un patient atteint de cancer, ils ne sont pas sur la liste. Pourquoi ? Parce qu'ils sont tous deux tr s chers et

sont brevetables. Laissez moi vous expliquer.

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Supposons simplement que j'aie d couvert une vitamine qui gu rit le cancer. Appelons la simplement laVitamine Z. Pour moi, pour tre capable de dire ce que vous pourrez faire avec la Vitamine Z et vous la vendre,devrai la faire approuver comme m dicament par la FDA. Cela me co terait entre 200 $ et 500 millions de $ etdevrai patienter plusieurs ann es pour la faire approuver. Cependant, puisque la Vitamine Z est naturelle et seretrouve dans la plupart des l gumes, je ne puis la faire breveter. Ainsi, m me apr s avoir d pens un demmilliard de Dollars faire classer la Vitamine Z comme un "m dicament", elle serait encore un m dicament nbrevetable, et n'importe qui pourrait la vendre sans mon autorisation. Je viens de perdre un demi milliard deDollars et plusieurs ann es. En tant que CPA (expert comptable), je puis di e que cela ne repr sente aucunsens des affaires, de chercher la faire approuver par la FDA, afin de la vendre en tant que m dicament.

Donc, m me si Vitamine Z est une vitamine naturelle, gu rit le cancer, et est exempte d'effets secondairesnocifs, je ne peux pas di e(je n en ai pas le droit), qu'elle gu rit le cancer parce qu'elle n'a pas passl'examen de la FDA. Mais pourquoi Big M decine retient elle des informations sur quelque chose d auimportant que le rem de contre le cancer ? Ne sont ils pas concern s, soucieux par notre bien tre ? Ne veuleils pas ce qui est bon pour nous ? Malheureusement, la r ponse chacune de ces questions, est toutsimplement, n n . De i e Big m decine e ede able Big Pha ma, le ai emen c m end n j le m dicamen en able le l che , ind endammen n n, de e dan le meille in d a ien .

La FDA Ge a Rede ien F lle ... Enc e !Juste dans l hypoth se o vous auriez r ellement pens que la FDA soutient la libert d'expressiond trompez vous. Dans un autre exemple absurde de tactique d intimidation de la Gestapo, se d roulanactuellement, au d but de 2010, la FDA a envoy une lettre d'avertissement au directeur g n ral de DiamonFoods, pour l'informer que les emballages de sa soci t de noix, sont utilis sen i la i n de la L i f d ale l'alimen a i n, le m dicamen e le c m i e .

"C mmen e ac emen Diam nd F d e e il en i la i n de la L i ?"Vous demanderez vous. Eh bien, ilsont eu l'audace de dire la v rit sur certains bienfaits des noix, pour la sant , sur leur site web, comme paexemple le fait que les noix prot gent contre les maladies cardiovasculaires, et soulagent des douleursarticulaires.C mmen en il !Maintenant, pour ceux d'entre vous qui ne croient pas aux miracles, s'il vouspla t lisez ce qui suit. Selon la FDA, au moment m me o les aliments Diamond ont num r les avantagesnoix pour la sant , sur leur site web, les noix (dont nous avons tous si sottement cru qu elles constituaient unaliment) ont t mi ac le ementransform es en "m dicament" ; les Aliments Diamond se sont renduscoupables de vendre des m dicaments non homologu s !

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Cette affaire absurde me ram ne une dizaine d'ann es en arri re, quand la FDA Gestapo et la Mafia M dicaavaient jet de plus en plus leur d volu sur les producteurs cultivant les "dangereuses" cerises. Vous voyez, leproducteurs de cerises ont des liens sur leurs sites Web pour d excellentes recherches scientifiques ( partir desites comme Harvard), indiquant que les cerises permettent de r duire l'inflammation et la douleur. La FDA rapidement envoy les lettres d'injonction contenant les menaces habituelles (y compris les menaces de laprison), s'ils ne retiraient pas imm diatement la v rit sur les cerises depuis leurs sites Web. Qu en ont pens producteurs de cerises? Ne savaient ils pas que vous n' tes pas cens mettre des liens sur votre site Web pouappuyer vos all gations de bien tre de sant ?

Si vous n' tesPAS une entreprise pharmaceutique, vous ne pouvezPAS faire des all gations de sant relatives votre produit, m me si ces revendications sont soutenues par des milliers d' tudes confirm es. Toutefois, svous TES une soci t pharmaceutique, il vousSUFFIT de payer vos chercheurs, de fabriquer des donn es,comme nous l'avons vu dans le dernier chapitre, avec le cas d go tant du Dr. Scott Reuben. Allez y directemenLa FDA n est rien de plus que des briseurs de jambes pour la Mafia M dicale, elle n estPAS concern e par lav rit , et elle ne s'occupePAS de notre sant . Ce commando moderne n agit uniquement que pour laprotection des b n fices des compagnies pharmaceutiques.

Imaginons qu'il existerait une plante qui contribuerait all ger les douleurs chroniques, associ e un cancer ephase terminale. Nous allons simplement l'appeler Marie Jeanne . la suite de la prise de cette plante miraclles patients atteints de cancer, partout dans le monde, n auraient plus de douleurs, plus de vomissements,auraient effectivement retrouv l app tit, et ne souffriraient pas de cachexie (atrophie musculaire). Vous auriezpens que Marie Jeanne se serait accord e avec tous les patients, non ? Eh bien, vous vous seriez beaucoutromp s. Tr s probablement, puisque Marie Jeanne ne peut pas tre brevet e, elle serait hors la loi comme um dicament ill gal , et ceux qui auraient utilis Marie Jeanne pour traiter leur cancer, puis soulager ledouleurs seraient criminalis s. Vous voyez, seuls les "m dicaments l gaux" sont autoris s, malgr le fait qbon nombre des m dicaments l gaux sontm el, tandis que bon nombre de m dicaments illicites ( savoi

les plantes et les herbes naturelles) sont absolument an dange, et ont en fait, l ie a an age an .

La Mafia M dicale pers cute sans rel che les m decins qui offrent de nouvelles th rapies efficaces, ntoxiques, contre le cancer (en ignorant la volont des patients qui souhaitent essayer ces th rapies), tout entol rant, soutenant, et en prot geant par la loi, les "Big 3" qui se sonta e inefficace e i e. Laquestion d cisive n'est pas de savoir si les traitements de rechange du cancer fonctionnent mieux que les Big 3Ce fai e iden. La question d cisive est, malheureusement, quel protocole r sultera des plus gros b n ficespour l industrie m dicamenteuse (Big Pharma).

Et les gagnants sont ...la Mafia M dicale e Big Pha ma.

Et les perdants sont ...le a ien a ein d n cance !

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*

C 4Le T ai emen T i e

"Le cc de la l a de chimi h a ie e an able... Il n' a a c ne e e cien ifca aci l nge , de n'im e elle fa n a ciable, le ie de a ien ff an bi l gi e le l c mm n . La chimi h a ie e ne e e d l e cien ifi e." D . Ul ic

Le Big 3

T i vous avez un cancer, alors il est tr s probable que votre m decin vous a d j , ou va bient t vous informque les seuls traitements viables sont la chirurgie, la chimioth rapie et/ou la radioth rapie. Si vous avez untumeur, le m decin essaiera de la ou de l e par la chirurgie. Apr s l avoir coup e, ensuite, ilrecommandent g n ralement la chimio pour essayer de tuer toutes les cellules canc reuses restantes, avec des

toxiques. Et ils vont finir, avec les rayons, de toutes les cellules canc reuses qui demeurent.C'est pourquoi, beaucoup de personnes et moi m me, se r f rent au protocole "Big 3" "C , E& B ".Il s'agit du protocole toxique, avec lequel nous avons tous t tromp s croire que cela est lemeilleur moyen pour traiter le cancer.

Maintenant, avec les progr s de la m decine moderne, on pourrait penser que le "Big 3" a am lior le pronostdu cancer, non ? Cela gu rit il un plus grand pourcentage de personnes atteintes du cancer aujourd'hui, parrapport 1950 ? La r ponse est un retentissant NON ! . C'est une question de fait, le bilan du "Big 3" est sipath tique que l'industrie du cancer le consid re comme un "succ s" si le taux de survie des patients qui prend

le "Big 3" correspond en fait au taux de survie des patients qui ne font rien du tout ! Chacun de ces traitementsest envahissant, a des effets secondaires d vastateurs, traite uniquement les m me , et n n les ca e ducancer.

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Le fait est que les Big 3 peuvent entra ner la propagation ou la r apparition du cancer. Selon le New EnglaJournal of Medicine, du 21 septembre 1989, Le cance ec ndai e n de c m lica i n c n

ai emen a la chimi h a ie e a l i adia i n, ili e ai e le l m h meh dgkinien , ain i e d'a e cance imai e .Le Dr. Lucian Isra l, un oncologue bien connu, a not dans sonlivre Vaincre le Cancer , que plusieurs tudes ont montr que les patients atteints de cancer qui subissent radioth rapie, sont plus susceptibles de voir leur cancer envoyer des m tastases vers d'autres sites dans leurcorps. La radioactivit utilis e pour tuer les cellules canc reuses, d clenche galement le processus de mutatiode l'ADN, qui cr e de nouvelles cellules canc reuses de tout autres types.

Dans son livre L'industrie du Cancer , le Dr. Ralph Moss rapporte :En 1902, n m decin Allemand a en egiemie ca de cance che l'h mme, ca a le a nnemen : la me ai a a e

lc a i n ch ni e, ca e a l e i i n a a n X. De de e imen ale gg e la le c mie (cance d ang), ai e ca e a l'e i i n a adi m, n l m

1911, 94 ca de cance adi ind i n a , e l de la m i i d'en e e (54) chde echnicien . En 1922, l de 100 adi l g e n m a i de l ind c i n d cance al cca i n de m en e eni a ec n ciali e d cance d ce ea , dan ma alle de j , e

'il a ai ne me c b ale. E je l i ai demand : Mai , en e le a n ? E il a di , bien . Je e ai jec de l'h i al i je ne le fai ai a .

Le c m lica i n i i en la adi h a ie d e le e le cance d ein n le ein de ch , de f ac e de c e , a ein e le ale , e / l i n cica icielle d m

l i n ne e e , de cica ice a ni ea d c ... la e i n de cell le ang ineimm ni ai e. Selon le Dr. F. Robert Jones, dans le Seattle Times, le 27 juillet, 1980. Il poursuit :... bea c dec m lica i n ca e a ce a n ne e n d i e a l ie ann e i and nne a h a e e e a a ien n en imen de fa e c i endan n an de , j

i an . La m elle e e, dan la elle le cell le ang ine n fab i e , e la gemen

d maine de l i adia i n ... c'e n effe i e ible .Dans son livre Comprendre le Cancer , Le Dr. John Laszun ancien vice pr sident de la recherche pour l'AEC (ACS), indique que lorsque la chimioth rapie etradioth rapie sont administr es ensemble, les tumeurs secondaires sont25 f i plus susceptibles de se produireque dans des circonstances normales.

Selon une tude publi e dans Archives of Internal Medicine (2009), le scanner de tomodensitom trie (TDMcause au moins 29.000 cas de cancer et 14.500 d c s aux Etats Unis chaque ann e. Dans l' tude, les chercheuont constat que les gens peuvent tre expos s quatre fois plus de rayonnement, selon les estimations des

tudes ant rieures. Sur la base de ces hautes mesures, un patient peut recevoir plus de rayonnement provenantd un de ces scanners TDM, que par 74 mammographies ou 442 radiographies de la poitrine !

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Je ne suis pas m decin, mais cette sorte de constat me semble tre une fa on bien trange de gu rirquelqu'un.

Un des probl mes est que nous sommes dup s par la Mafia M dicale et l'industrie du cancer, avec de faussestatistiques, une mauvaise science, et des tudes frauduleuses. Selon Webster Kehr,L'in ili de la chide la chimi h a ie e de la adi h a ie e cach e de i e n lab in he de fa e

hi i e , de d fini i n m e e , de c nce d n de en , e de n mb e e awww.cancertutor.com

Une fois qu ils vous auront "d bit " les fausses statistiques de l'industrie du cancer, vous apprendrez que ltaux de gu rison v ritable (c. d. une survie de 5 ans) pour la chimioth rapie est peine sup rieure 2%effet, selon une tude men e par le D partement de Radio Oncologie au Centre de Canc rologie du Nord dSydney, et publi e en d cembre 2004, venant de Clinical Oncology, l'impact r el de la chimioth rapie sur usurvie de 5 ans chez les adultes Am ricains, est d un bien maigre 2,1%.www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15630849.Voir le tableau ci dessous.

Malheureusement, le fait est que les patients canc reux meurent souvent des m dicaments eux m mes, enraison de la toxicit . Beaucoup de gens qui meurent du cancer meurent vraiment des traitements classiquesbien avant qu'ils aient effectivement succomb au cancer lui m me. En clair,le ai emen le e a an ecance ne le fa e l i m me. Comme une question de fait, le m dicament de chimioth rapie 5FU est parfois

voqu par les m decins comme "5 pieds sous terre", (5FU = 5 feet under), en raison de ses effets secondairemortels.

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Pour la plupart des cancers de l'adulte, le sc nario typique, dans lemeille de ca , c'est que le "Big 3" ach teun peu de temps, accorde un sursis temporaire minime. Dans le i e de ca , vous serez emport s dans la mortpar le traitement plut t que par la maladie.

Ho, d tendez vous sur la chimio, Infirmi re, nous l utilisons de nombreuses reprises, pour euthanasier les chevaux.

C e n fai : le d i chimi e de chimi h a ie ca ende d g e manen , a f ie, a c e e a ein .


Mais ne le prenez pas de moi, voici ce que le Dr. Allen Levin dit propos de ce sujet :L , , . La chimi h a ie ne fai a di a a

cance d ein, d c l n, d m n, d a e cance . Ce fai a d c men de i lmai le m decin c n in en d' ili e la chimi h a ie c n e le me .C est cela, il a effectivement td montr que le "Big 3" acc ci la ie, dans de nombreux cas. Dans son livre, Le Th me du Cancer : Lorsqul'Abattage Doit Cesser , Dick Richards, cite un certain nombre d' tudes sur l'autopsie, qui ont montr que lepatients atteints de cancer, re oivent des traitements classiques mortels, avant que la tumeur n ait eu unechance de les tuer. Il suffit de penser ce sujet. La chimioth rapie a toujours t d velopp e partir produits chimiques toxiques et divers poisons, non ? Donc, il y a toujours eu une ligne restreinte entreadministrer une dose th rapeutique et tuer un patient canc reux. De nombreux m decins franchissent cetteligne. Dans son livre, lorsque la gu rison devient un crime , Kenny Ausubel note que, dans une tude sur chimioth rapie, d un m dicament test pour la leuc mie, un norme 42% de patients sont d c d s directemet uniquement cause de la toxicit de la chimioth rapie !

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Il est int ressant de noter que les m dicaments de chimioth rapie ont d coul initialement d'essais de gazmoutarde et de gaz azote, au cours de la Premi re et Seconde Guerre mondiale. Il a t remarqu quel'exposition au gaz moutarde a provoqu la destruction des tissus croissance rapide, donc il a t supposque, puisque le cancer a progress rapidement, ces poisons peuvent tuer le cancer tissulaire. Eh bien, ils avaientraison... l'exposition ces gaz a tu des tissus canc reux. Ne vous y trompez pas, la chimioth rapie et lradiations ci en bienla taille des tumeurs, et tuent les cellules canc reuses. Mais la diminution d'unetumeur quivaut elle gu rir le cancer? Y a t il une corr lation directe ? La r ponse estn n .Selon le Dr. RalphMoss, Si e d i e la me de 50% l endan 28 j a e d fini

agi d n m dicamen ac if. C'e ce ' n a elle n a de n e, i a e ne nega de i 'il a ne l nga i n de la ie, end e ce ai emen , e ce e

e de H P , la chan n e la dan e, la ie an la maladie, e ain i de i e... En finn' a a c ne e e e la chimi h a ie, dan la g ande maj i de ca , ende effec i emen laGRAND MENSONGE a je de la chimi h a ie, el n la elle il a ne c la i n en e la

me e l'e en i n de la d e de ie d a ien .

Voici les faits. En 1942, le Centre Memorial Sloan Kettering du Cancer tranquillement commenc traitcancer du sein avec des d riv s du gaz moutarde.Pe nne n'a g i. Les essais de chimioth rapie ont

galement t men s Yale vers 1943, o 160 patients ont t trait s. Encore une fois,e nne n'a g .Mais, tant donn que la chimioth rapie faisait vraimentec le le me, les chercheurs taient si excit squ'ils ont quand m me proclam que les essais de chimioth rapie taient un succ s . Je suppose que noavons besoin de d finir exactement ce que succ s , signifie n'est ce pas ? Dans une lettre courageuse au DFrank Rauscher (son patron au NCI), le Dr. Dean Burk a condamn la politique de l'Institut qui continuaitapprouver les m dicaments de chimioth rapie, lorsque tout le monde savait qu'ils causaient le cancer. Il a faivaloir: I ni emen , la a i ali de agen chimi h a e i e ili d mai c

n a a la F d and D g Admini a i n l' ili a i n l'e ai che lecanc e n , (1) di e emen ha emen i e a d e a li e ; (2) en ib

e e , c'e di e de c e de la i ance na i e d a ien ne g ande c m i le cance , e (3) en g n al ha emen canc ig ne ... Ce fai main enan bien abli dan de n mb e e blica i n , a l'In i Na i nal d Cance l i m me, ain i e dan effec i emen , dan le m nde .(20/4/73 Lettre Frank Rauscher, Griffin, Documents Priv s )

Dans son livre, Interrogatoire de la Chimioth rapie , le Dr. Ralph Moss, crit.La an i de d i chimii e ffi an e e e le de ni e cell le canc e e e , a le ma

'elle n ai limin la me Je me i a el l'hi i e d c l b e Sl an Ke e ing, chimiand il d c e 'il a ai n cance a anc , a d cla e c ll g e , fai e ce e

. C' ai n ec e de lichinelle n bal e ne de Sl an Ke e ing a en

Allemagne de l i n de ai emen al e na if

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Pe e, la ch e la l ange de la chimi h a ie, c e e . Cela e a a e nnan le lec e m en e dan la l e c n

m dicamen ili c mba e le cance , en ien e m me ca e le cance . Pfai ind niable .

Selon le Dr. John Diamond, Une de an l de 10.000 a ien , m n an clai emeendan d eni n ec d de lide l a de a ein e de la maladie de H dgkin (

fai n men nge. Le a ien i n bi ne chimi n e 14 f i l de i e de d elf i l de i e de d el e de cance de , de a ic la i n , e de i m ,

bi de chimi h a ie . (NCI J nal 87:10).Le 21 mars 1996, le num ro du Ne England J nal fMedicine,a rapport que le enfan i n ai a ec cc c n e la maladie de H dgkin

ce ible , l a d, de d el e ec ndai emen de me maligne . Le fille f n face d el e n cance d ein a m men elle a i en 40 an , ce i e 75 f i ie

i e de le c mie e acc de fa n ma e a e an a la fin d n ai emen mme a 14 an , mai le i e de d el e de me lide e e le e a che

Pensez vous que votre oncologue voudrait se soumettre lui m me la chimio s'il tait diagnostiqu avec cancer? Le Centre de Canc rologie McGill Montr al, un des centres du traitement du cancer, le plus grand etplus estim dans le monde, a examin 64 des canc rologues, pour voir comment ils r pondraient udiagnostic de cancer. Les r sultats souffleront dans votre esprit. tes vous assis ?Cin an e h i(58) ontd clar quela chimioth rapie tait inacceptable pour eux et les membres de leur famille, en raison du fait queles m dicaments ne sont pas efficaces, et sont toxiques pour l organisme (Philip Day, Cancer : Pourquoi esommes nous encore mourir pour conna tre la v rit ). Cela signifie que 91% des oncologues ne prendrontPAS de chimio pour eux m mes ! Pensez vous qu'ils savent quelque chose qu'ils ne disent pas au grand public ?

Dans l'additif la 2 me dition de son livre, la pers cution et le Proc s de Gaston Naessens , Christopher

d crit son record personnel de rencontres avec plusieurs m decins, qui taientbien c n cien qu'ils avaientprodigu aux patients, des traitements incluant des protocoles quine f nc i nnen a . T ei e de m decini m' n a el aien im a ien de a i c mmen il aien b eni n acc de

ce mi a in a Ga n Nae en , e m me , le e le a en , de cance , a ec le el il aien de en afflig . Dan cha e ca , je le ai ma

D c e , c mmen ne a i e a , ( che ), de end e la e de la e a e endan i l ng em ec mmand e a ien ? La chimi h a ie, la adi h

ch e de imilai e cela ? E cha e f i , m me i le e i n aien f m l e de fa n l gla m me n e e in : P !. Q and j'ai en end ce e n

a f i e im e a d dan la n i , je me i demand i je ne i ai a dan n m nde de en

f . www.hbci.com/~wenonah/new/naessens.htm

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Le cancer est une maladie qui r sulte toujours d'un syst me immunitaire affaibli. La chimioth rapie est connupour d vaster le syst me immunitaire. C'est l o r side l' nigme:c mmen e n g i ne maladie

l e d' ne d ficience d me imm ni ai e, a ec n m dicamen i c m me enc e dame imm ni ai e?Pensez y. Cela n'a absolument aucun sens!

Braquage de la Chimio

Haut les mains, votre syst me immunitaire, ou je vous tue ! Merci Mike Adams et www.NaturalNews.com pour la caricature ci dessus.

Dans les ann es 1980, le Dr. Ulrich Abel, un pid miologiste Allemand, a fait une analyse compl te de chatude de grande envergure, et le jugement clinique des chimioth rapies n'a jamais t fait. Pour s assurer qu

n'a oubli personne, il a contact plus de 350 centres m dicaux dans le monde en leur demandant de lui fournitout ce qu'ils avaient publi au sujet du cancer. Au moment o il a publi son rapport, il est probable'il en

a ai l la chimi h a ie e e a e e nne dan le m nde. Les r sultats furent tonnants !

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Dans son rapport, publi dans The Lance , en ao t 1991, le docteur Abel a expos ,"le cc de la l a dchimi h a ie e an able... Il n' a dan a ca aci l nge , de n'im

elle fa n a ciable, la ie de a ien ff an d cance le l c mm n... La chimi he c i ance maligne a anc e , /e la chi gie, i e ela i e 80% de le can

." Bien s r, la Mafia M dicale a imm diatement attaqu le docteur Abel, puisqu elle pouvait pas attaquer sa science. C'est la proc dure standard d'exploitation. Sans surprise, aucun d bouchm diatique n'a jamais mentionn l' tude compl te d'Abel :elle a alemen en e e.

Le Dr. Glenn Warner, qui est d c d en 2000, fut l'un des plus grands sp cialistes qualifi du cancer, aux taUnis. Il a utilis d'autres traitements sur ses patients atteints de cancer, avec grand succ s. Sur le traitement ducancer dans ce pays, il a d clar :"N a n ne ind ie de l ie millia d de D lla i d i e e ga che, j e de gain financie . Le id e de eche che e j e de ifie i

i n ci n meille e e i d e de ce i n l ".

Le Dr. Alan C. Nixon, ancien pr sident de l'American Chemical Society, crit :En an e chimi e f m in e e de d nn e , il e inc m hen ible m i, e le m decin i en ign e l

e la chimi h a ie fai bea c , bea c l de mal e de bien. Et selon le Dr. Charles Math ,canc rologue Fran ais, ... i j ai f a a n cance ( .healingdail .c m/c ndi i n /de ifica i nfigh cance .h m ), je ne me end ai jamai dan n cen e de canc l gie. Se le le ic ime d cancl in de el cen e n ne chance .

Pourtant, jour apr s jour, ann e apr s ann e, l'Industrie du Cancer continue mettre ces produits chimiquetoxiques dans les organismes des canc reux. Et les patients leur laissent faire cela, se portant m me volontairespour tre de nouveaux "cobayes" des tests, simplement parce que quelqu'un avec un dipl me d'une cole de

maladie (aussi connue comme la facult de m decine), leur a dit que ce n tait "qu une simple option". leur co te norm ment d argent, eux, pour empoisonner le corps des canc reux, et les patients les payen

volontiers. Tristement, quelques personnes d penseront six chiffres par an, pour empoisonner leurs corps,parce que leur "d c e le a di de le fai e".

Je n'ai pas t surpris d'apprendre que des recherches r centes indiquent que les pharmaciens qui dispensent lachimioth rapie sont en danger avec la chimio de la seconde main . L' dition du 10 juillet 2010, du Seattle Tia rapport : "Le id mi l gi e Dan i n ili le d nn e d Regi e d cance , de 1940 jann e 1980, d'ab d ignale ne a gmen a i n ignifica i e d i e de le c mie cheen nc l gie, e l a d, le m decin . L'ann e de ni e, ne a e de Dan i e de infi mi e a n i e le de cance d ein, de la h de, d me ne e ,ce ea Une de ien d' e c m l e a le US Cen e f Di ea e C n l (CDC) 10 an

e la l im an e ce j c nfi me e la chimi c n in e de c n amine le e ace de ili e, e dan ce ain ca elle e j e dan l' ine de ce i la mani le".Les gens qui viventdans des maisons de verre ne doivent jamais jeter des pierres dessus, disent ils. Et vous, pourriez vous dire dem me fa on, que les pharmaciens qui vendent des produits chimiques toxiques ne devraient pas tre surpris ded couvrir un jour qu ils se tuent eux m mes avec cela.

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Selon les termes de Mike Adams, T ai e le cance en ili an la chimi h a ie, c e c mme en ee nne alc li e a ec de la dka. C'e c mme ai e le maladie ca dia e a ec d f m

ai e le diab e a ec d i de ma , iche en f c e. Le cance ne e e g i a la e. Ne lai e a ce ain m decin , ai an le cance , a le de la chimi h a

ac i e de e . Il ne n b n a. Al , la chaine f i , il in i e n leend e ce ain ai emen de chimi h a ie, . Si e nc l g e n'e

a b i e la chimi h a ie en face de afin e 'elle e aine, i e ied'acc d la fai e injec e dan e c ?www.naturalnews.com/029191_secondhand_chemotherapy_cancer.html

Mani la i n de Te meLes m dias mentent ils quand ils disent que nous gagnons la guerre contre le cancer ? En un mot, i , maisseulement parce que l'industrie du cancer a menti aux m dias. L'industrie du cancer nous dit qu'en raison des

progr s de la chimioth rapie, les gens vivent plus longtemps.Il 'agi d' n men nge. Ils ont t en mesure deperp tuer ce mythe, en manipulant les donn es et les termes.

Le Dr. John Bailer, qui a pass vingt ans diriger le personnel de la NCI, et a t le r dacteur en chef de ournal, projette une certaine lumi re sur ce sujet : Le a i i e la ie de cin an , i e d

Cance S cie , n m e e . Elle c m en main enan de ch e i n n a c n e en ai n d fai e n mme en me e de diagn i e n ade l c ce de la ma

emblen i e fa emen l l ng em . L en emble de n eche che le cance , de iann e a n chec al. Pl de e nne de l de 30 an me en d cance , l e jfemme a ec de maladie l g e b nigne n incl e dan le a i i e , e ignal

g ie . L e le e en an d g e nemen en en le chiff e de la ie, illa g e e c n e le cance , il ili en ce l a le a de ie, de mawww.globalhealingcenter.com/chemotherapy quotes.html

Voici comment G. Edward Griffin d clare cela dans son livre Un Monde Sans Cancer :"il e clai e la S ciAm icaine d Cance a m in el ' n de le en ce d maine e a e de d nne ab n d m d . La i en la ma i e e e n n b an le a i i e de l A

h d e ne di e a d em de a c n e le cance , e ce d n elle di e c n id a i n i ablemen inad a e d e ige d n elle j i de l'a gen , 'elle encai e, e

'elle en a e ce i ne e len a c i e e ai emen ".

L'Industrie du Cancer utilise le snobisme, la bigoterie, l'intimidation, et la manipulation, pour garder des patientcanc reux compl tement ignorants sur la v rit concernant le poison des traitements "du Big 3", et sur letraitements non toxiques alternatifs du cancer. Comme le dit le proverbe,"C

' ".

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Voici comment l'Industrie de Cancer a manipul les donn es, et red fini les termes (c'est dire nous a trompsur les effets "du Big 3" :

• L'Industrie du Cancer a d fini le terme "le rem de" pour s'appliquer un canc reux qui vit plus de cinq ansdel de la date du diagnostic. Cela ne signifie pas "gu ri", il ne signifie pas non plus "lib r du cancer." En raides am liorations du diagnostic du cancer, nous sommes maintenant en mesure de voir une tumeur quelquesmois, voire des ann es plus t t qu'on ne le pouvait auparavant, par des tests sanguins sophistiqu s et des

quipements d'imagerie. En cons quence, les patients vivent maintenant plus longtemps, gr ce ce point devue du diagnostic, depuis que le diagnostic intervient plus t t. Cependant, si un patient d veloppe le m mecancer, de nouveau, apr s que la p riode soit atteinte, ou s'il est d figur par la maladie, ou le traitement, oubien encore s'il meurt, deux jours apr s que la p riode soit atteinte, on le consid re toujours comme tant"gu ri".

L'Industrie du Cancer omet syst matiquement, certains groupes de personnes de leurs statistiques, et inclutcertains groupes, bas s sur ce qui fera leur apparence de statistique plus favorable pour "le Big 3". C'est comme

a. Ils choisissent un chantillon. Par exemple, les patients atteints d un cancer du poumon sont typiquemenexclus de leurs statistiques, malgr le fait que le cancer du poumon est la cause principale de mortalit par lecancer. Et certains cancers comme les cancers de la peau, les cancers de la peau non m lanomes sont j inclus dans leurs chantillons, avec 99% de canc reux de la peau non m lanomes,j en vie apr s plus decinq ans, ainsi ils augmentent le pourcentage "de gu rison". Plut t louche, hein ?

• L'Industrie du Cancer enl vera syst matiquement de l chantillon de la population, un patient qui meurd an un protocole de traitement avec le "Big 3". Que cela signifie t il ? Cela signifie que s'il y a dix patientsun protocole de chimioth rapie qui doit durer soixante jours, et que neuf d'entre eux meurent avant lesoixanti me jour, puis que seulement, un patient d c de la fin du traitement, alors les neuf sont omi

galement, et on dit que le traitement a un taux de gu rison de 100 %!

Une autre duperie qu utilise l'Industrie du Cancer dans ses statistiques, est celle d ignorer du compte, les genqui meurent des effets secondaires "du Big 3." Autrement dit, consid rons que si vous avez choisi lachimioth rapie, et qu la suite de cela, votre syst me immunitaire soit nouvellement malade, vous contractiela pneumonie et en d c diez. Eh bien, saviez vous que votre d c s ne sera probablementa compt commeune mort due au cancer ? C'est exactement ce qui est arriv ma maman. Le "traitement" du cancer a caus enelle une attaque massive, et son acte de d c s indique "la mort, par accident vasculaire c r bral." Ainsi, dans perspective d form e de l'Industrie du Cancer, malgr le fait qu'elle est maintenant d c d e, les traitements ducancer que ma maman subis, ont t un succ s. Cela est vraiment tordu, n est ce pas ?

Aussi, l'Industrie du Cancer nous dit que si un m dicament de chimioth rapie r duit la taille d'une tumeur, odoit donc le consid rer comme efficace. Mais qu est ce qu efficace veut dire ? Cela signifie t il que le pvivra plus longtemps ?N n. Rien de cela n a t document , que le r tr cissement d'une tumeur a tr s peu dpoints communs avec un taux de survie plus long.

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T me Pani e

L'Industrie du Cancer est dans tous ses tats, comme dans le cas d une "tumeur Panique." La plupart deoncologues sont si obs d s par la r duction de la taille d'une tumeur, qu'ils manquent la cible compl tementVous voyez, la chimioth rapie fait rapetisser les tumeurs, c'est vrai. Toutefois, malgr le fait que les oncologue

r ussissent r duire la taille des tumeurs, souvent le patient atteint de cancer meurt. Mais pourquoi ?La ai n,c e e la aille de la me n'a ien i a ec le fai de g i d cance. Une tumeur est comme un moteur "v rifier", le voyant qui s allume dans votre voiture. Il appara t seulementa qu un probl me se soit

d velopp , mais la lumi re elle m me n'est pas le probl me. D truiriez vous la lumi re, ou auriez vous essr soudre le probl me sous jacent ? Une tumeur est simplement un signal, que quelque chose a terriblement matourn dans le corps... Elle n'est que la pointe de l'iceberg.

Selon Webster Kehr:"la m decine cla i e, a ec n accen le me en able , a faice ea , e le blic end en e e la me e le cance . J'ai effec i emen de i e edi en e le me n e cl i emen c n i e de cell le canc e e .T . Une

me ne e a e c m e e cl i emen de cell le canc e e , a l ' ne mai ne cl i emen de le b . Le cell le canc e eNE PEUVENT PASf me le i . Il n' a AUCUNE POSSIBILITE ' ne me i e e c n i e e cl i emen de cell le canc e e . Le cel

iden dan le i de la me . C'e i il f n de bi ie . Ain i, i e ledan la me , celle ci ne e a l ien d a e ' n m cea de i in ffen if ! A ec de ad cance , e , 'il en e , l'a en i n e e la aille de la me . Si la me de ien

bea c de e de cance cela n'e a ne g e affai e. Ce n le cell le canc ela me i n im an e , a le i l i m me. Mai ce ne n a le

' i menacen la ie de a ien c'e laDIFFUSION , la aga i n d cance i e de acanc e . Rien, dan la m decine adi i nnelle ne ai e la aga i n d cance ".

Dans son livre Vivant et Bien Portant , le docteur Binzel d taille que dans le cas d un cancer principal (seulement quelques exceptions), la tumeur ne met pas la sant en danger, et n est pas mortelle. Ce qui met lasant en danger et est mortel, c est la diffusion du cancer dans le reste de l'organisme.Il n' a ien dan lachi gie aujourd'hui qui emp chera la diffusion du cancer.Il n' a ien dan la chimi h a ie, dan

adi h a ie, qui emp chera la diffusion du cancer. Comment le savons nous ? Regardez simplement lestatistiques. Le temps de survie d'un canc reux n'est aujourd'hui aucunement diff rent de ce qu il tait il y a udemi si cle. La seule avanc e depuis les cinquante derni res ann es, a t l'acroissement des moyens de tules tumeurs via la chimio et les rayons. Qu'est ce que tout cela veut dire ? Cela signifie quen ai n lma ai e ch e ! En se concentrant seulement sur la tumeur et pas sur la cause r elle du cancer, ( savoir, unsyst me immunitaire affaibli), les traitements traditionnels contre le cancer ont laiss le renard dans lpoulailler ... et il reviendra certainement frapper nouveau !

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Selon le docteur Philip Binzel :"le bl me a ec n g and n mb e ( a ) de D c e e de Cancdan la ci d'a j d'h i c e 'il n f m ' ien e e la me '... P

a ien e diagn i a ec ne me , la e le ch e d n le d c e di c e a ec ce a ien ,l'in en i n de fai e de la me ... e nne ne demande jamai ce e le a ien a fai e, l i. Dan m dicale, je me a elle bien a i de a ien i ece aien la adi h a ie e / la chim

me de enai l e i e e enc e l e i e, mai le a ien de enai l malade, e encl'a ie n en endi n , 'n'e ce a e me eille ! La me e a ie !' O i, elle ai

a ien a i, a ec n d c . C mbien de milli n de f i n e n n de an le bec na i , a an e n ne n endi n c m e e n ai n la ?"

V e mai n e elle en fe ?

Supposons que vous poss diez une maison agr able, confortable, d une valeur de 300,000 $ dans le pays, mapr s d'une petite ville. Tandis que vous tes partis au supermarch , votre maison prend feu. Comme vous te

de retour, vous voyez que deux des chambres sont en flammes, et le feu s' tend. Vous appelez imm diatementles pompiers. Vingt minutes plus tard trois camions d'incendie se pr sentent. Les hommes et les femmes dupremier camion de pompiers sortent du mat riel lourd et travaillent sur la maison en commen ant abattre lesparties de la maison qui ont d j br l . Ils d coupent furieusement et re d coupent de nouveau. Quand ils osupprim environ l quivalent de 10 % de la maison, qui a d j br l , ils renoncent et retournent leur camio

Vous notez qu'ils n'ont absolument rien fait pour arr ter la propagation du feu. Ce qu'ils ont coup ne br laitm me pas et n avait certainement aucun rapport pour propager ou arr ter le feu, faisant rage. Vous observezles hommes et les femmes dans le deuxi me camion de pompiers, retirant une lance d'incendie, et unepulv risation commence alors, avec l aide d une poudre vaporis e sur le feu. La quantit de poudre qu'ils

utilis e ne vous a pas sembl tre suffisante pour arr ter le feu. Mais vous remarquez que tandis que la poudreralentit la diffusion du feu, elle endommage aussi s v rement les parties de la maison qui n ont pas encorbr l .

Rendu perplexe, vous demandez aux pompiers quelle est la nature de la poudre. Ils r pondent que c'est unacide tr s toxique, qui est capable de stopper le feu, mais ils ne peuvent pas en vaporiser davantage sur le feuparce que s'ils le faisaient, la maison enti re serait r duite en une pile de d combres, cause de cet acide. Ainstout ce qu'ils peuvent faire, c est ralentir la diffusion du feu, mais ils ne peuvent pas en arr ter sa propagationRendu plus perplexe, vous leur demandez pourquoi ils n'ont pas apport d'eau dans leur camion d'incendie. Ilsvous disent que l'utilisation de l'eau sur l incendie d une maison, est une vieille m thode "un ancien conte d

bonnes femmes", et que l'eau n'est pas efficace. Ils ont expos ces faits l'Agence R glementaire R gulatricGouvernementale, et l'Administration de D veloppement de Feu ADF (la FDA), qui ont fait des recherchesl'eau, et ont d clar que l'eau est une m thode "non prouv e" pour teindre les incendies des maisons.

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Vous vous marmonnez silencieusement vous m me, qu'il doit y avoir un rapport, un lien norme entre le FDet les entreprises fabriquant le produit chimique. Bien que vous ayez parl des hommes et des femmes dansle deuxi me camion, cinq hommes ont saut hors du troisi me camion d'incendie. Ils vous demandent o est lcanap dans le salon. Vous les dirigez vers la salle de s jour, et vous constatez qu pr sent, elle est en feu, elaussi. Chacun d'eux tire imm diatement la carabine d un calibre 30 06, et commencent atteindre le canapd'o ils sont, debout, c t de leur camion de pompier. Vous criez vers eux, et leur demandez ce qu'ils font. Ilr pondent qu'ils ont appris que les meubles de repos sont tr s mauvais, pour la propagation du feu, dans unemaison, lors d'un incendie, alors ils essaient de tirer sur le divan, pour le mettre en pi ces. Ils commentent

N en n e n fai n el e ch e d efficace. Vous dites que m me si le canap contribue lapropagation des incendies, pourquoi percent ils des trous l avant et l'arri re de la maison pour essayer mettre le canap en pi ces, afin de l'extraire de la maison.

Bien que la propagation de l'incendie dans la maison ne ralentisse pas, m me en raison des acides toxiques,dans les deux heures, vous n'avez plus de maison. Les hommes et les femmes pompiers taient tr s fiers d'avoiralenti le feu. Ils vous disent que gr ce leur travail, votre maison a dur et tenu une heure suppl mentaireApr s de grandes congratulations entre les uns et les autres, ils remontent dans leurs camions et retournent lacaserne des pompiers. Entre le feu, l'acide et les balles, votre maison a t r duite n ant. La coupe du bois qavait d j br l , par le premier camion des pompiers, d'abord, n avait eu absolument aucun effet sur l'arr t l'incendie. En fait, rien du tout, de ce qu ils ont effectu , n'a fait cesser la propagation de l'incendie, ils ne l'onm me pas ralentie.V e nn de ce e a e . Vous vous demandez pourquoi les journalistesd'investigation n'ont pas saut sur cette situation. Puis vous vous rendez compte quel point les entreprisesde produits chimiques d pendent de la publicit la t l vision, et vous comprenez pourquoi les journalistd'investigation ont gard la bouche ferm e. Une semaine plus tard, pendant que vous passez proximit de lcaserne des pompiers, vous remarquez que toutes les voitures gar es sur le parking sont des voitures quico tent tr s cher. Un mois plus tard, vous savez pourquoi ils conduisent des voitures tr s ch res. Ils vous on

envoy une facture pour leurs services : 100,000 $. Mais ils notent sur la facture, que la compagnie d'assurancpaiera l essentiel des frais. Vous tes intrigu quand vous regardez votre police d'assurance de la maison, cavous r alisez que la compagnie d'assurance ne paiera pas la facture, si le service d'incendie utilise de l'eau

"V e mai n e elle en fe ?"A t crit par Webster Kehr, et cela illustre brillamment l'insuffisance m me de"Big 3". Bien s r, le premier camion des pompiers repr sente la chirurgie, le second camion est associ chimioth rapie, et le troisi me correspond la radioth rapie.C e , Em i nne e B le.

Malgr le fait que les traitements conventionnels du cancer "Big 3" sont toxiques, immunosuppresseurs, etcanc rig nes, les oncologues continuent prescrire ce protocole de traitement. Mais pourquoi ?S i e le

ace de l'a gen .

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Les traitements du "Big 3" sont le fondement d'une activit lucrative, rapportant des multimillia d de Dollars.Malheureusement, si vous avez un cancer et si vous choisissez le "Big 3", tout porte croire que vous allemourir des complications li es votre traitement, avant d'avoir le temps de mourir de votre cancer.Ironiquement et d une fa on d mentielle, je crois qu'on peut dire que les traitements "Big 3" contre le cancerem chen de nombreux patients canc reux de mourir d'uncance ... ils meurent cause des" ai emen " laplace, et avant que le cancer lui m me ne les ait tu s.

L hi i e de Ka ie We necke

Katie Wernecke a t diagnostiqu e avec un lymphome de Hodgkin (cancer des ganglions lymphatiques), eanvier 2005, quand elle n'avait que douze ans. Ses parents l'ont conduite la salle des urgences, avec ce qu'il

croyaient tre une pneumonie, mais cela s'est av r tre bien pire. Les m decins taient persuad s que Katavait besoin de chimioth rapie, et ils ont acquiesc . Toutefois, les m decins ont recommand que les rayonferaient aussi bien, mais les Wernecke ont refus . Katie a t cit e comme disant,Je n'ai a be in de

ai emen de adi h a ie. E e nne ne m'a demand ce e je lai . C'e m n c .

Dans un effort pour forcer les Wernecke pr senter Katie aux traitements classiques contre le cancer, laGestapo des temps modernes la CPS (Services de Protection de l Enfant) a pris Katie, pour la placer loin de

parents en 2005, apr s avoir re u une information, selon laquelle Katie et sa m re se cachaient dans un ranchafin d' viter la radioth rapie que les m decins avaient demand e pour elle, en pr textant le besoin pour sasurvie. Katie a imm diatement t mise en garde vue par les autorit s, et sa m re a t arr t e sur les motd'interf rer avec la garde des enfants. C'est a, le gouvernement du Texas aenle une enfant sa famille dansle but de lui administrer des i n, puis, ils ont arr t sa m re, qui essayait de prot ger son enfant, afind viter qu elle ne soit empoisonn e.

Sa m re a d payer une caution de 50.000 Dollars pour sortir de prison. Imaginez cela... 50.000 Dollars pour protection de votre propre enfant ! C'est ridicule ! J ai entendu parler des assassins qui ont t tax s sur biemoins que $ 50,000 ! En outre l'enl vement de sa fille, la CPS a plac ses trois fils dans un foyer d'accueil. procureurs du Minist re de la Famille, et les Services de Protection du Texas, ont d clar au tribunal que lWernecke sont M dicalement n gligents pour refuser la radioth rapie. Apparemment, ces avocats sonparfaitement inconscients de l'ironie de cette d claration. la fin de 2005, un juge du Texas a statu que leWernecke seraient Autoris s venir prendre Katie, hors d' tat de consulter les autres canc rologues, mapas avant qu elle n ait subi au moins cinq jours de plus de chimioi n. Finalement, Katie a t lib r e et aretrouv sa famille. Heureusement, la chimioth rapie n'a pas tu Katie, et elle a surv cu en d pit de cet horribtraitement contre le cancer. Cette histoire est un exemple flagrant de la fa on dont la Mafia M dicale est horsde contr le.

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Si vous pensez que nous vivons dans une soci t libre , d trompez vous. En ce moment, sous la supervisdirecte de sp cialistes du cancer mal avis s, un juge peut ordonner la CPS de kidnapper vos e enfantsdans votre e maison, les transporter jusque dans les h pitaux, et perfuser les toxines chimiques jusquedans leurs veines ! Selon Mike Adams :ce n'e a n me de in de an , bien C'

. C mmen fai e c n le ne la i n ? M dicamen e le , d bembe. Lai e le dan n men al de b me. D e le a ec le image de la l i i n. Me e

de fac e m dicale . E i elle ne e ec en a cela, a e le la in e d f il, e en fai e n e em le. J a elle cela le e i me m dical, en a l' a . Dan ce ca , l

Pe nnellemen , je en e e dan ne ci j e, le e nnel de la CPS d Te a e ai d enle e le canc l g e i n a ici ce e c n i a i n d cance , e il e ai adin e na i nale c ime c n e l'h mani . Ce n'e a n c ime d injec e n enfan , de m el c n e a l n , e c n e la l n de e a en ? Si j'a ai cha g ne e ing e m me d i chimi e ili ce e je ne fille, e le ai injec dan e b a an

e ai acc (a ec ai n) de en a i e de me e .www.naturalnews.com/016387.html

Libert de parole Libert de religion

Libe de la an S me i la chimi h a ie !

Merci Mike Adams et www.NaturalNews pour la caricature ci dessus.

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PartPart ieie 22 BiologBiolog ie deie de BasBas ee

LesLes TraTra iteite mentsments NonNon --ToxiquesToxiques

LesLes CancersCancers les Plus Courantsles Plus Courants

&&

La ‘Cachexie’La ‘Cachexie’



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Les fibres des cellules s' tendent du noyau vers la membrane cellulaire (la peau cellulaire), ce sonessentiellement des chafaudages de la cellule. Ces fibres cellulaires servent aussi comme muscles decellules, permettant la cellule de se contracter et de se d velopper dans des formes diff rentes. Cette capacit

changer de formes est appel e polymorphisme. Dans ces fibres cellulaires sont embarqu s des organites, qusont comme des petits organes , puisque chacun d'eux a une fonction sp cifique. Comme je l'ai mentionn , lcellule peau est appel e membrane, qui est compos e de mol cules de prot ines. Certaines de ces prot ineagissent comme "une tiquette nominative" pour identifier le type de cellule, tandis que d'autres prot inesagissent comme une "porte" de la cellule.

Les cellules saines sont a robies, ce qui signifie qu'elles fonctionnent correctement dans la pr sence suffisanted'oxyg ne. Les cellules saines m tabolisent, (br lent), l'oxyg ne et le glucose (sucre sanguin) pour produirl'ad nosine triphosphate (ATP), qui est l' nergie, la monnaie des cellules. Ce processus est appel respiration a robie (ou m tabolisme a robie). Ce cycle de cr ation d' nergie, appel cycle de Krebs, a lieu dales mitochondries, qui sont des organites compos s d une membrane externe, et une membrane interne. Lesenzymes utilis es pour produire de l' nergie se situent au dessus de la membrane interne.

L'ATP est compos e de trois phosphates. La rupture du lien entre les phosphates des deuxi mes et troisi mesniveaux, lib re l' nergie du pouvoir, de pratiquement tous les processus cellulaires. tonnamment, nouspouvons tous g n rer assez d' nergie m tabolique pour produire notre propre poids d ATP, chaque jour poufonctionner ! Chaque seconde, chacune de nos quelques soixante milliards de cellules, r g n re, et consommedouze millions de mol cules d'ATP.

La production d'ATP est la fonction de base essentielle de toute cellule humaine. Sans elle, les activit s de basecomme la r paration cellulaire, les prot ines, enzymes, hormones, et la synth se des neurotransmetteursn'auraient pas lieu. La r paration de l'ADN et la reproduction cellulaire cesserait. De nombreux facteurs tels qu

le vieillissement, une mauvaise alimentation, une mauvaise nutrition, et des toxines ext rieures, peuvententraver cette g n ration d' nergie critique. Les lectrons de charge n gative d'hydrog ne sont la source del' nergie n cessaire pour produire cette stup fiante quantit d'ATP.

Une fois que l'ATP est produite, elle est stock e dans les organes de Golgi des mitochondries, jusqu' ce qu'ellsoit n cessaire l activit des cellules. Le sous produit du processus de prise de cette nergie est le dioxydecarbone. Le dioxyde de carbone, son tour, est responsable de la lib ration de l'oxyg ne partir del h moglobine des globules rouges. L'oxyg ne est ensuite br l pour produire plus d'ATP avec plus de souproduit du dioxyde de carbone, qui est ensuite utilis pour extraire l'oxyg ne de l'h moglobine. C'est unmiraculeux tat de continuelle perp tuit .

Le syst me immunitaire est un ensemble de cellules messag res de la chimie et des prot ines, qui agissenensemble pour prot ger l'organisme, d l ments potentiellement dangereux, infectieux, que sont les microbes,tout comme les bact ries, les virus et les champignons, ainsi le syst me immunitaire joue un r le dans lcontr le du cancer et d autres maladies.

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Notre remarquable syst me immunitaire est compos de leucocytes (globules blancs), des anticorps (prot inesdans le sang), du thymus, de la rate et du foie. Il a m me son propre r seau de vaisseaux (le syst mlymphatique) qui draine les d chets des tissus, et les transporte partir des ganglions lymphatiques, o lesmacrophages filtrent les d bris.

Les leucocytes sont "la premi re ligne de d fense" du corps. Lorsque "l envahisseur" tranger p n tre danl'organisme, notre syst me immunitaire vient la rescousse de deux mani res :

1. Les leucocytes attaquent directement l'envahisseur.2. Les anticorps, soit endommagent les envahisseurs directement, ou ils alertent les leucocytes afin de lancer

une attaque.

Il y a 2 sous groupes principaux de leucocytes. Le premier sous groupe est appel leucocytes polynucl ai( galement appel s granulocytes). Ces leucocytes sont remplis de granules, de substances chimiques toxiquesqui permettent de dig rer les microbes par un processus appel phagocytose (litt ralement "Mangeur de

cellules"). Il existe trois types de granulocytes, les neutrophiles (ce sont ceux qui tuent les bact ries), lesosinophiles (qui tuent les parasites), et les basophiles.

Le deuxi me sous groupe de leucocytes est appel mononucl aires, ce sont des leucocytes qui incluent la foles monocytes et les lymphocytes. Les monocytes ing rent les cellules mortes ou endommag es (par laphagocytose), et fournissent des d fenses immunitaires contre de nombreux organismes infectieux. Lesmonocytes migrent dans les tissus et se d veloppent en macrophages (lien en Anglais :http://129.195.254.33/Library/Theme/Allergy/Glossary/macrophage.html). Les macrophages contiennent desgranules ou des paquets de produits chimiques, et des enzymes qui ont pour but d'englober et de d truire lesmicrobes, les antig nes (lien en Anglais :http://129.195.254.33/Library/Theme/Allergy/Glossary/antigen.html), et

autres substances trang res.Les lymphocytes trouv s dans le syst me lymphatique, sont les leucocytes mononucl aires qui servent identifier les substances trang res, ainsi que les germes (bact ries ou virus) dans le corps, et produisent desantcorps (lien en Anglais :http://129.195.254.33/Library/Theme/Allergy/Glossary/ig.html), sans oublier des cellulessp cifiquement charg es de cibler les intrus. Cela prend de quelques jours plusieurs semaines pour lelymphocytes, afin de reconna tre et d attaquer une substance trang re. Les sous types de lymphocyteprincipaux sont les cellules B, les cellules T, et les cellules NK (les Tueuses Naturelles).

Re i a i n A bie c n e Re i a i n Ana bieLe cycle de la cr ation d nergie est appel le cycle de Krebs, et se situe dans les mitochondries. Ces cellutypiques cr ent l nergie via un processus connu sous le nom de respiration a robie ( savoir avec l'oxyg ne ).

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Or, diff rentes cellules ont des dur es de vie diff rentes. Dieu a cr nos neurones (cellules nerveuses) poudurer toute notre vie, mais Il a fait que nos leucocytes ne durent que quelques jours. Lorsque les cellules sontendommag es, elles peuvent mourir pr matur ment, ces cellules mortes sont constamment remplac es afind'assurer la fonction appropri e des tissus. Le remplacement de ce type de cellule se produit sans cesse travers un processus appel mitose, qui est essentiellement la division des cellules, o une cellule se divise edeux petites cellules filles . Les nouvelles cellules sont structurellement et fonctionnellement similaires leunes aux autres. Je dis bien, semblables, parce que les deux cellules filles re oivent environ la moiti , plut t quexactement la moiti de leurs organites cellulaires des parents. Beaucoup plus important, cependant, c est quechaque cellule fille h rite d'une r plique exacte de l'ADN (informations de l'h r dit ), de la cellule m re.

Cependant, m me s il y a toujours une quantit consid rable de mitose de produite, il n'y a pas de v ritabchangement dans le nombre total de cellules dans notre corps. Pourquoi cela ? Eh bien, dans le jargoncomptable, votre organisme a ainsi quilibr ses livres . Autrement dit, dans l'ordre, pour que le corps reste e

quilibre, pour chaque nouvelle cellule qui est g n r e par l'interm diaire de la mitose, une autre cellule domourir. La mort cellulaire programm e est un processus vis comme l'apoptose. tonnamment, chaque ann ela moyenne de l'homme perd la moiti de son poids corporel par l apoptose de ses cellules !

La d r gulation de l apoptose est associ e plusieurs maladies et syndromes, y compris le cancer, ainsi queSIDA. Dans le cas du cancer, l'inhibition du processus normal d'apoptose peut conduire au d veloppement destumeurs, puisque les cellules qui normalement sont mortes vivent ind finiment. Toutefois, le cancer n'est pasn cessairement le r sultat d'un probl me avec le g ne p53 (qui r gule l'apoptose). Les centres des tumeurscanc reuses solides sont des cellules mortes pas de p nurie de l'apoptose dans ces tumeurs. Il est de plus enplus de tumeurs qui sont vivantes, o elles peuvent obtenir un bon approvisionnement en sucre, et ne pas senoyer dans leur propre acide lactique.

Une cellule canc reuse est d crite comme tant indiff renci e. Ce que cela signifie, c est que la cellcanc reuse n'a aucune fonction utile. En cons quence, une cellule canc reuse ne peut pas faire partie du tissude la tumeur elle m me, puisque les tissus tumoraux doivent tre compos s enti rement de cellules saines. Lcancer, repose juste l'int rieur des cellules des tissus tumoraux, il ne peut rien faire, sauf se multiplier erefuser de mourir. Cependant, ce qui tue les malades du cancer, c est la aga i n de cell le canc e.C'est exactement la raison pour laquelle les biopsies sont si dangereuses ! Couper le tissu peut lib rer les cellulecanc reuses dans la circulation sanguine, leur permettant ainsi de voyager travers le corps ! Lorsque le cancerse propage dans tout le corps, terme, les cellules canc reuses ont r ussi tuer une personne.

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Seeger a montr que dans les cellules canc reuses, la cha ne respiratoire a t bloqu e par la destruction denzymes importants, ainsi la cellule peut seulement produire de l' nergie en ana robiose, en convertissant leglucose en acide lactique. En 1957, Seeger r ussit changer des cellules normales en cellules canc reuses, quelques jours, par l'introduction de produits chimiques qui ont bloqu la cha ne respiratoire. Peut tre d couverte la plus importante, est elle celle ci : certains nutriments ont la possibilit de restaurer la respiraticellulaire dans les cellules canc reuses, ce qui les transforme en cellules normales. En d'autres termes, Seeger adepuis lors commenc croire que le cancer pouvait tre r versible. Un de ces l ments nutritifs est la vitamiB, inositol, qui a t utilis e (en collaboration avec l IP 6), par le professeur de pathologie de l'UniversitMaryland, le Dr. AbulKalam M. Shamsuddin, Dr. en recherche m dicale, qui a fait revenir avec succ s, descellules canc reuses en cellules normales.

Le Dr. Otto Warburg, biochimiste Allemand, du cancer, n en 1931, Laur at du prix Nobel de M decine, a d'abd couvert que les cellules canc reuses ont une respiration fondamentalement diff rente en nergie que lescellules saines. Il a d couvert que les cellules canc reuses sont ana robies, c'est ce qui cause cette respirationana robie pour la produire, et c est la cause de tous les cancers. Il a cru que le cancer se produit chaque fois quest refus une cellule, au moins 60% de ses besoins en oxyg ne, et a montr que les cellules canc reuspr sentent la respiration ana robie. Sa th se tait que le cancer est une maladie, caus e par la fermentation descellules, qui ont subi des mutations de la respiration a robie, vers la respiration ana robie, ce qui entra ne fermentation du glucose, et la croissance cellulaire incontr l e. Il a mis la th orie que les tumeurs ne sont riede plus que des d charges de d chets toxiques emmur s dans le corps, et soutenues par la fermentation dusucre. Selon Warburg, la plupart, sinon toutes les maladies d g n ratives, sont le r sultat d'un manqued'oxyg ne au niveau cellulaire.

Certains chercheurs ont fait valoir que la th orie de Warburg n' tait pas valable apr s qu ils aient mesur cancer croissance particuli rement lente, dans lequel, ils n avaient pas trouv de fermentation du tout. Dea

Burn et Mark Woods, deux chercheurs l'Institut National du Cancer, ont v rifi ces r sultats. Avec l'utilisatid quipements, des plus sophistiqu s, ils ont d termin que l' quipement utilis pour mesurer les niveaux fermentation n tait pas suffisamment pr cis pour d tecter la fermentation de faibles niveaux. Avel utilisation de nouveaux quipements plus pr cis, Burn et Woods ont montr que m me dans ces cellulcanc reuses, au d veloppement tr s lent, la fermentation avait encore lieu, quoique des niveaux tr s bas.

L ilib e, la Balance H

"En effe , l'en emble d ce m ab li e e e n H ilib ."(Dr. Robert Young, Malade & Fatigu ,page 59.)

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Apr s des ann es et des ann es de recherches, j'ai appris que la plupart des succ s dans les traitements nontoxiques contre le cancer ont deux d nominateurs communs :

1. Le maintien de l' quilibre acide/alcalin de notre corps.2. Augmenter la quantit d'oxyg ne au niveau cellulaire.

Jetons donc un coup d'oeil sur ces deux concepts. Revenons la chimie de l cole secondaire, sur ce que nouavons appris au sujet de notre quilibre acide/alcalin, galement appel leH de l'organisme, ( potentielHydrog ne ou pouvoirs de l'Hydrog ne ). Notre pH est mesur sur une chelle gradu e de 0 14, avec cindication, qu autour de 7.35, ce chiffre est neutre (normal). Les chiffes du pH inf rieurs 7,35 sont acides

tant le plus acide) et les chiffres situ s au dessus de 7.35 sont alcalins (avec 14, qui est le plus alcalin).

pH neutre

Plus acide Plus alcalin

L'hydrog ne est la fois un proton et un lectron. Si l' lectron est enlev , l'ion positif qui en r sulte est uproton. Sans entrer dans tous les d tails sur les protons (Charge "+") et les lectrons (Charge " "), il estimportant de noter que les substances alcalines ( galement appel es bases ) sont des "accepteurs" (oureceveurs) de protons, tandis que les acides sont des donneurs de protons. Qu'est ce que cela signifie pourquelqu'un qui n'est pas m decin ? Permettez moi de le simplifier pour vous. tant donn que les bases ont upH plus lev , elles ont un plus grand potentiel pour absorber les ions hydrog ne. Et vice versa pour les acid

Pourquoi l'hydrog ne est elle si importante ? Notre univers est b ti sur des millions de compos s, tous issus plus de 106 atomes. Parmi ces l ments, l'hydrog ne est le premier et le plus fondamental. L'hydrog ne es

galement l l ment le plus abondant, comprenant 90% de tous les atomes dans le cosmos. Dans notre Soleil dans les toiles, des noyaux hydrog nes fusionnent pour produire l'h lium, le deuxi me l ment. Cela g nl' nergie norme permettant les possibilit s de la vie sur Terre. Et tout comme les combustibles hydrog ne dSoleil, dans le corps humain, il est le facteur crucial dans le processus lectrochimique qui produit l'ATP, donous venons de parler.

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En chimie, on sait que l eau (H O) se d compose en ions d hydrog ne (H +) et en ions d'hydroxyle (OH ). Qune solution contient plus d ions hydrog ne que d ions hydroxyles, alors elle est dite acide . Quand elle conplus d'ions hydroxyles que d ions d'hydrog ne, alors elle est dite alcaline . Comme vous l'avez peut tre deun pH de 7,35 est neutre, car il contient une quantit gale d'ions d'hydrog ne et d'ions hydroxyles

Plus de 70% de notre corps est compos d'eau. Lorsque les cellules cr ent de l' nergie par l'interm diaire de respiration a robie, on br le de l'oxyg ne et du glucose. Je ne veux pas me montrer trop scientifique ici, mais lfait est que, dans le but de cr er de l' nergie, l'organisme exige aussi d' normes quantit s d'hydrog ne. Decette fa on, chaque jour, votre organisme utilise livre d'hydrog ne pur. M me notre ADN est maintenu pades liaisons hydrog ne, car le pH des bases est plus lev , il a un potentiel sup rieur pour absorber l'hydrog nece qui entra ne davantage d'oxyg ne d livr aux cellules.

La concentration d'ions hydrog ne a t trouv e pour varier de plus de quatorze puissance 10, ainsi uchangement d'une unit pH change la concentration d'ion hydrog ne par un facteur de 10. L' chelle pH est une

chelle logarithmique commune. Pour ceux d entre vous qui n'avez jamais aim les maths, cela signifie, qu'usubstance qui a un pH de 5.2 est 10 fois plus acide qu'une substance avec un pH de 6.2, tandis qu'elle est 100(10 ) fois plus acide qu'une substance ayant un pH de 7.2 et elle est 1,000 (103) fois plus acide qu'une substanceayant un pH de 8.2, etc

Notre sang doit toujours maintenir et entretenir un pH d'environ 7.35 pour qu'il puisse continuer transporterl'oxyg ne. Ainsi, Dieu a fait nos organismes r sistants, avec la capacit d'auto corriger en cas de d s quilibreniveau de pH est situ travers un m canisme appel le me de m m i e am n. En chimie, une zonetampon est une substance qui neutralise les acides, ce qui maintient le pH d'une solution relativement constantmalgr l'adjonction des quantit s consid rables d'acides ou de bases. Toutefois, en raison de notre mauvaisealimentation, de la malbouffe, des fast foods, des aliments transform s, et des sodas, la plupart d'entre nousmettons notre corps en alerte, afin de maintenir le pH ad quat dans notre sang. Bien que notre corps, en

g n ral, maintient des r serves alcalines qui sont utilis es pour amortir les acides dans ces types de situations, est certain de dire que beaucoup d'entre nous ont appauvri leurs r serves.

Lorsque notre syst me tampon atteint la surcharge, et si nous avons puis les r serves, les acidesexc dentaires sont d vers s dans les tissus. Comme plus, et encore plus d'acide est accumul , nos tissucommencent se d t riorer. Les d chets acides commencent oxyder ("rouiller") les veines, les art res ed truisent les parois cellulaires, voire m me des organes entiers. Selon le Dr. Robert Young,Un H d cch ni emen acide, nge le i de l' gani me, nge len emen , dan le 60,000 mile a e , c mme l'acide nge le ma b e. Si ien n e fai , il in e m a e le ac i i ede i le ba emen de e c , j la de c i n ne l gi e de e ce ea . La

in e f e a ec la ie, ca elle c nd i e maladie e d d e .(Malade et Fatigu , page 59.)

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Comme nous l'avons appris pr c demment, les cellules normales cr ent de l' nergie via la respiration a rob(avec oxyg ne). Les cellules alcalines sont capables d'absorber suffisamment de quantit s d'oxyg ne poursoutenir la respiration a robie. Cependant, lorsque les cellules deviennent plus acides, moins d'oxyg ne esabsorb , et les cellules commencent fermenter le glucose dans le but de survivre. Ce concept est essentiel comprendre, car les cellules canc reuses se d veloppent dans un environnement acide, en ana robie, et ne vontpas tr s bien dans un environnement alcalin, en a robie. Avoir un pH acide, c'est comme conduire votre voitureavec le voyant moteur allum . C'est un signe que quelque chose ne va pas dans le moteur, et si nousn'obtenons pas une extinction du voyant, finalement la voiture tombera en panne.

Selon Keiichi Morishita, dans son livre, La V rit Cach e du Cancer, d s que le sang commence devenir acicorps d pose des substances acides dans les cellules pour les faire sortir du sang. Cela permet au sang de resterl g rement alcalin. Toutefois, cela entra ne les cellules devenir acides et toxiques. Au fil du temps, il th orbeaucoup de ces cellules, cela provoque une augmentation de l'acidit et certaines meurent. Toutefois,certaines de ces cellules acidifi es peuvent s'adapter cet environnement. En d'autres termes, au lieu de mourir(comme les cellules normales, dans un environnement acide), certaines cellules survivent en devenant descellules anormales. Ces cellules anormales sont appel es cellules malignes, et elles ne correspondent pas avec l

fonction c r brale ou avec celle de notre propre code ADN contenu en m moire. Par cons quent, les cellulesmalignes croissent ind finiment et sans ordre.Il 'agi l d' n cance.

Mettre trop d'acide dans votre corps, c'est comme mettre du poison dans l aquarium poissons. Il y a plusieurann es, nous avons achet un aquarium et un couple de poissons rouges pour nos enfants. Apr s la mort desdeux poissons rouges, nous avons rapidement appris que le facteur cl dans le maintien en vie des poissons estl' tat de l'eau. Si la qualit de l'eau n'est pas correcte, ils meurent rapidement. Nous avons galement apprisque ce qui peut tuer un poisson assez rapidement, c est de lui donner de mauvais aliments! Maintenant,comparez cela la condition de notre Aquarium int rieur. Nous sommes nombreux remplir nos r servoirpoisson avec des produits chimiques, toxines, et de mauvais aliments qui abaissent notre quilibre en pH et un

pH acide entra ne une privation d'oxyg ne au niveau cellulaire. Comme je l'ai d j mentionn ,c'e le d b dela maladie d g n a i e.

Puisque nous commen ons comprendre comment les conditions internes des cellules canc reuses sed veloppent (un pH acide et l'hypoxie), il va de soi que les conditions oppos es (un pH alcalin et la pr sencd'oxyg ne) devraient faire revenir les cellules canc reuses dans un tat inerte ou les rendre inoffensives. Doncune fa on de rendre notre pH plus alcalin est d'arr ter de consommer des choses qui rendent notre corps plusacide. Un soda a un pH d'environ 2, il est donc 100.000 (10 puissance 5) fois plus acide que l'eau, qui , elle,pH d'environ 7. Les gens qui consomment d' normes quantit s de boissons gazeuses (ainsi que le caf etl alcool) sont g n ralement tr s acides, et sont des aimants cancer . Aussi, une canette de boisson gazeu

ou un soda r duit la r ponse immunitaire de 50% pour une p riode de six heures !

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Donc, en d'autres termes, que peut on faire pour garder nos pH des tissus dans la bonne gamme ? Le plussimple est de manger principalement des aliments alcalins. Un de nos livres de cuisine pr f r s est appelRetour la Maison de la Sant par Shelly et Robert Young. La r gle g n rale est de manger 20% d alimacides, et 80% d aliments alcalins. Les jus de fruits frais fournissent votre corps, une multitude de substancalcalines. Vous pouvez galement prendre des suppl ments, comme le potassium, le c sium, le magn sium, lcalcium et le rubidium, qui sont tous fortement alcalins.

Quelques excellents produitsalimen ai e alcalin sont les suivants : la plupart des crudit s et des fruits, lesfigues, les haricots de Lima, l'huile d'olive, le miel, la m lasse, le vinaigre de cidre de pomme, le miso, le temple lait cru (non pasteuris ), le fromage au lait cru (non pasteuris ), la st via, le th vert, la plupart des plantedes herbes, des graines qui ont germ , des pousses d herbe de bl et d'herbe d'orge Les produits alimentairescomme le yaourt, le k fir et le beurre sont essentiellement neutres. Plusieurs produits alimentairesf men deacide et ce sont les suivants : les sodas, le caf , l alcool, le chocolat, le tabac, l aspartame, les viandes, hu tres, le poisson, les oeufs, le poulet, le lait pasteuris , les graines trait es, le sucre, le beurre d'arachide, leharicots et les p tes

Q el e S a i i e

Chaque minute, un Am ricain meurt du cancer ! C'est plus de 1,400 personnes par jour assez pour rempenti rement quatre avions r action. C'est plus d'un demi million d'Am ricains chaque ann e. Dans son livNe Ra age a V e Vie, John Piper cite Ralph Winter aux pages 115 116."Sa an a h iblemen cclibe ebelle dan le d el emen de ge me e de i de c e a ni ea mic bien, a j d'h i 1/3 de le d c la lan e (Pa c n e, le je ) financ af d al d Na i nal Cance In i e n cen la chimi h a ie e la adi h a

en i n. C e c mme e i dan 150 g e e d Vi Nam en m me em d a ance e ba aille n c nce n a le cance . E an n agi n c mme i a c ne g e e nC 'A 1/3

?"

Avez vous perdu une personne ch re, cause du cancer ? Chacun, je le sais a connu au moins une personnaim e ayant eu un cancer. D couvrir que vous ou un tre cher a le cancer peut tre absolument terrifiantQuand mon p re est mort en 1996, a m'a inspir pour aller au fond de ce qui provoque le cancer, et pou

tudier quels sont les traitements qui fonctionnent r ellement afin d arr ter cette pouvantable maladie.

Consid rez ces faits :

• Chaque ann e, nous vaporisons plus d'un milliard de livres de pesticides sur nos cultures.• Nous alimentons nos animaux de ferme, avec des millions de livres d'antibiotiques.• Nous injectons notre b tail, cycle apr s cycle, des hormones de croissance.

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• Nous mangeons des graines contamin es avec des mycotoxines (des toxines fongiques).• Nous d versons des milliards de tonnes de d chets toxiques dans nos sites d entreposage et nos rivi res.• Nous empoisonnons nos enfants notre insu, avec les vaccinations.• Nous buvons de l'eau qui a t empoisonn e par le chlore, les fluorures et d'autres produits chimiques.• Nous buvons des sodas de r gime contamin s avec l aspartame.• Nous avons des bouches pleines de dents aux remplissages de mercure et des canaux radiculaires (dents

d vitalis es).• Nous respirons l'air qui a t pollu par des "chemtrails".• Nous laissons des docteurs d truire nos organismes avec les rayons X des radiographies.• Nous fumons des cigarettes et buvons beaucoup d alcool.• Nous mangeons de la malbouffe principalement, de la restauration rapide, et des aliments transform s.

Faut il s' tonner que nous soyons malades tout le temps ?

Q elle n le Ca e d Cance ?

Dieu a miraculeusement construit nos corps, avec des milliards de cellules vivantes. Chaque cellule est unique,sa propre identit , et ex cute une t che sp cifique. Dans l'organisme, ces milliards de cellules ont d couvrirfa on d'interagir et de travailler ensemble afin de pr server la sant et la vigueur. Des cellules canc reuses sonconstamment cr es dans le corps, mais Dieu a miraculeusement cr notre syst me immunitaire avec lcapacit de rechercher et de d truire ces cellules. Cependant, les tumeurs commencent lorsque davantage decellules canc reuses ont t cr es, elles surm nent, puisent le syst me immunitaire qui ne peut les d truirD couper la tumeur ne fait pas habituellement r soudre le probl me. Rappelez vous, une tumeur se trouve trune croissance incontr l e de cellules, et est simplement un m me du cancer, et non pas la cause.

Cependant, les tumeurs n la possibilit de migrer vers diff rentes parties du corps, et alors de se d velopperhors de contr le l aussi, donc je ne dis pas que les tumeurs ne sont pas sans rapport avec le sujet. Elles peuvencompresser les structures environnantes, et leurs d chets peuvent tre toxiques pour le reste du corps. Cela

tant, elles interf rent souvent avec la fonction des organes tels que le cerveau, le foie, les reins, et lespoumons, ce qui se traduit par la mort. Vaincre le cancer est un processus d'inversion des conditions quiadmettent que le cancer s est d velopp . Il est essentiel de noter que le cancer est un d s quilibre syst miqueEn d'autres termes, il y a un probl me avec l'ensemble du syst me des l ments interd pendants du corps. Cel

tant, un traitement appropri doit tre entrepris pour l'environnement total et global de l organisme.

Il existe de nombreuses th ories sur les causes qui provoquent le cancer :

1.La Th ie de T ine E ie e Cette th orie soutient que la prolif ration des cellules canc reuses estcaus e par des toxines externes, telles que les produits chimiques et autres mati res cr es en grande partiepar l industrie et l insouciance.

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Ces produits chimiques ont satur notre eau, notre nourriture, et l'air que nous respirons. Vous ne pouvez pasles voir, les sentir, ou respirer ces nombreuses toxines du moins pas tout de suite. Nous ne r alisons pas leuinfluence, jusqu' ce qu'on arrive une maladie chronique (comme le cancer), apr s des ann es d'expositionPlus de quatre milliards de livres de produits chimiques toxiques sont rejet s par l'industrie dansl'environnement de la nation chaque ann e, dont 72 millions de livres de substances canc rig nes reconnues. Llien entre les toxines ext rieures et les cellules canc reuses sont irr futables.

2. La Th ie de Mic be Cette th orie soutient que le cancer est caus par le polymorphisme ( lchangement de forme ) des microbes, tels que les champignons, les levures, les bact ries, et les parasites. Il esirr futable que ces microbes pathog nes soient li s au cancer. Il est bien connu, et cela a t bien documentque certaines de ces infections fongiques ont t effectivement diagnostiqu es tort comme tant la leuc mieDe nombreux pro minents chercheurs, au cours du si cle dernier, ont observ le polymorphisme avec l aide microscopes champ sombre. Le polymorphisme est bas sur la conviction que les champignons, lemoisissures, les levures et les bact ries sont tout simplement diff rentes tapes du cycle de la vie des microbes

3. La Th ie d S me Imm ni ai e Cette th orie, maintient que le cancer est fondamentalement unemaladie du syst me immunitaire, et il prend racine quand votre exposition aux polluants devient tropimportante, ou que la force de votre syst me immunitaire baisse tout fait trop bas. Tout simplement, dansvotre organisme, comme la partie du processus m tabolique normal, vous produisez n importe o , de quelquescentaines, au moins 10,000 cellules malignes canc reuses, chaque jour de votre vie. Si votre syst mimmunitaire fonctionne correctement, il a la capacit de reconna tre chacune de ces cellules aberrantes, et lessupprimera de votre corps. La raison pour laquelle tout le monde ne d veloppe pas le cancer, c'est parce queleur syst me immunitaire est con u pour l'emp cher. Selon Jon Barron,"C e j emen ce e le meimm ni ai e fai ."

4. La Th ie de l H ie Cette th orie, essentiellement bas e sur les recherches du Dr. Otto Warburg,

soutient que le cancer est caus par une mauvaise alimentation et un mauvais mode de vie, qui conduit l'accumulation toxique, donc la surcharge du m canisme de l'organisme d'auto purification. Le cancer essuppos tre une manifestation du long terme nutritionnel et de l irritation de l'environnement, ainsi qu'unelacune dans le syst me immunitaire, ce qui entra ne la privation d'oxyg ne cellulaire (hypoxie), conduisant r plication cellulaire incontr l e. Puisque l'oxyg ne est notre force de vie principale, il est compr hensible penser que l'absence de celui ci causerait des dommages notre corps et nos organes. Ce fait est, bien

videmment vrai.

5. La Th ie de la R belli n In e ne C'est la th orie pr dominante de Big M decine . Cette th orie soutique la prolif ration sauvage des cellules canc reuses est une sorte de r bellion g n tique au sein de

l'organisme, o ses propres rebelles d truisent les cellules de l'organisme qui les a produites lui m mLogiquement, si cette th orie est correcte, alors j ai le sentiment qu il faut faire tout ce qu'il faut pour craser r bellion. C'est pourquoi les m decins s'efforcent de couper et de br ler le cancer hors du corps, ouempoisonnent le cancer avec des m dicaments toxiques, ou bien encore, envoient des rayonnements traversle corps pour tuer ces rebelles internes. Avec l'adh sion de la m decine orthodoxe la th orie des rebelleinternes , les protocoles de traitement standards sont c e , em i nne , e b le.

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De r centes recherches men es par le Dr. Gregg L. Semenza, du Johns Hopkins University de Baltimore, omontr que la raison pour laquelle les cellules se r pliquent, ce n'est pas n cessairement parce qu'il y a dedommages au g ne p53, mais plut t parce que l'exposition des cellules canc reuses l'IGF am ne les causesl'auto stimulation, et induit aussi l'expression du facteur hypoxia inducible 1 (HIF 1), le facteur de transcripqui contr le l'apport d'oxyg ne (via l'angiogen se) et m tabolique d'adaptation l'hypoxie (par fermentation).Certaines causes de l'hypoxie sont dues une accumulation de toxines l'int rieur et autour des cellules, ce quendommage les blocs, puis le m canisme de la respiration cellulaire d'oxyg ne. L agglom ration des globurouges du sang ralentit la circulation sanguine et limite l' coulement dans les capillaires, ce qui entra n

galement l'hypoxie. M me l'absence de blocs de construction ad quates pour les parois des cellules (acidesgras essentiels) limite l' change d'oxyg ne et conduit l'hypoxie.

Des chercheurs du Royaume Uni, du Gray Cancer Trust laboratoire de recherches ont conclu,"Le cell lebi en ne a i de n e bi l gi e l 'elle n lac e dan de c ndi i n h

l'ac i a i n de igna i g len la lif a i n, l'angi gen e e la m . Le cell le cancce ie , ce i e me a me de i e, e m me de e d el e dan de c ndi i(Int'l Journal of Radiation, Oncololgy, Biologie, Physique, ao t 1986, p. 1279 1282). Lorsque la tumeur solidsuffisamment grande et que la maladie progresse, le cancer commence envahir d'autres tissus. Ce processusest appel m tastases. Cela influence t il une mauvaise oxyg nation ? Selon M. Kunz et S.M. Ibrahim, L'hytissulaire a t consid r e comme un facteur central de l'agressivit tumorale et des m tastases. (MoleculaCancer 2003, p. 23 31)

P i Ce aine Pe nne d el en elle n Cance e d A e P

Permettez moi de vous poser cette question : i n'a n n a n fe de f , cha e fel ' n je e ne ciga e e all m e a ne fen e de i e ? Il y a plusieurs raisons pour lesquelles une

cigarette allum e ne peut pas d clencher un incendie de for t.

• 1. Peut tre la cigarette tombe t elle sur le trottoir plut t que directement sur l'herbe.• 2. Peut tre y a t il eu une pluie r cente et que l'herbe est humide, donc, elle ne peut pas s'enflammer.• 3. Peut tre que l'herbe est s che, mais la cigarette s est teinte avant de pouvoir provoquer un incendie.• 4. Peut tre qu'elle a fait d buter un incendie, mais l'herbe est entour e d'eau et emp che ainsi le feu de sepropager dans la for t.

• 5. Ou peut tre qu un feu commence, mais ensuite le vent souffle si fort qu'il a teint le feu.

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Dans l'exemple ci dessus, de la cigarette allum e (utilis avec la permission de Tanya Harter Pierce, dans slivre D jouez Votre Cancer), la cigarette repr sente une des nombreuses causes possibles de cancer, telles queles toxines, tandis que les incendies de for t repr sentent le cancer. Le trottoir, l'herbe mouill e et le ventrepr sentent l'ensemble des m canismes de contr les internes qui emp chent le cancer d appara tre, paexemple un syst me immunitaire sain, un pH quilibr , et des cellules oxyg n es.

Si on tient compte de la m me exposition des toxines, sur une m me p riode de temps, une personne ayantun syst me immunitaire sain peut ne pas subir aucun effet ind sirable, alors que quelqu'un avec un syst meimmunitaire affaibli peut d velopper l'hypoxie et ventuellement un cancer.S i e m n ai nnemen Nous voyons les preuves de cette v rit constamment autour de nous. Une personne dans un bureau re oit uncourant d air froid tr s mauvais, et n est pas affect e. Celui qui est assis c t de lui ne cesse pas de reniCertes, les deux ont t expos s aux m mes micro organismes. Mais quelle est la diff rence ? L'un d'eux a syst me immunitaire en bonne sant tandis que l'autre en a un qui ne fonctionne pas bien.

Peut tre que certaines personnes sont capables de mieux r sister aux mutations cellulaires et aux dommagescaus s par les toxines ext rieures et canc rig nes, que d autres. Peut tre que leurs syst mes acide de mise m moire tampon sont mieux adapt s au maintien de l'hom ostasie dans le syst me de pH de l'organisme. Ainsmalgr des ann es d'exposition des toxines ext rieures, des produits chimiques, au tabac et unealimentation pauvre, ils seront capables de ne pas d velopper un cancer, alors que d'autres, expos s auxm mes toxines, d velopperont un cancer. Les causes humaines du cancer sont inci alemen attribuables des polluants chimiques, d horribles habitudes alimentaires, des modes de vie malsains, et non g n tique, selon des recherches r centes de Paul Lichtenstein du Karolinska, institut de Stockholm, Su de, quimen une tude g ante sur 89,576 jumeaux, et a annonc les r sultats, en 2000, au New England Journal oMedicine. Les chercheurs ont constat que m me un jumeau identique, a seulement 10% de risque, ddiagnostiqu avec le m me cancer que son jumeau, d j afflig du cancer.

Ainsi, peu importe votre pr disposition g n tique, il y a une multitude d' tapes que vous pouvez suivre pouminimiser votre risque de cancer, si vous n'avez pas de cancer ; et il y a un grand nombre de protocoles detraitements r ussis que vous pouvez utiliser si vous avez vraiment le cancer. Ou bien, vous pouvez aussi choisd enterrer votre t te dans le sable, pour permettre votre confiance irrationnelle, dans Big M decine , de voaveugler de la v rit afin d avoir des pens es heureuses (comme beaucoup de nos amis ont fait).

Hi i e 101

Pour mieux comprendre la base scientifique derri re ma th orie du cancer, voyageons en arri re dans le tempsaux alentours des ann es 1850, et apprenons en plus sur le "duel" scientifique de deux Fran ais Louis Pasteet Antoine B champ. Les deux hommes avaient des th ories bact riologiques sur les maladies, mais ils n'ont pa

t d'accord sur l'origine et le caract re des bact ries. Ils savaient que le gagnant de ce duel, influencerait lcours de la m decine pour toujours.

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Pasteur revendiquait, ce qui est mentionn comme "la th orie des germes" des maladies. Il a formul unehypoth se, que la maladie r sulte des microbes l'ext rieur du corps (les germes). Il croyait que chaqumicrobe avait une forme constante, ainsi qu une couleur (c'est dire monomorphique). Il croyait galement qchaque maladie ou trouble, tait caus par un microbe unique qui entrait dans le corps, et que la maladiepouvait seulement tre caus e par des microbes ou des bact ries qui envahissent le corps depuis l'ext rieur.Donc, la seule fa on de gu rir les maladies tait de tuer l'envahisseur.

B champ soutenait ce qui est d sign dans la th orie cellulaire de la maladie. Il avait mis l'hypoth se quemaladies taient caus es par des microbes dans les cellules du corps. Il avait aussi mis l hypoth se que microbes pouvaient passer par diverses tapes de la croissance, et qu ils pouvaient muter en des formes decroissance diff rentes au sein de leur cycle de vie. En d'autres termes, il croyait que les microbes taienpolymorphes, cela veut dire plusieurs formes . Sa th orie tait que, lorsque l'organisme h te (c est direindividu) devient d s quilibr , et incapable de maintenir l'hom ostasie, alors ces microbes mutent edeviennent pathog nes. En d'autres termes, c est cette condition de l organisme h te qui est la principale causde la maladie. B champ avait appel ces organismes, microzymes , ce qui signifie petits ferments . B chaestimait que les bact ries, les microbes, les virus, et les champignons, qui ont t bl m s comme tant laca e

de la maladie, ont t en fait envoy s par Dieu, en tant qu quipe de nettoyage , pour faire tomber les tissmalades et participer de fa on ultime la d composition d'un corps qui n'est plus occup .

Claude Bernard, un autre scientifique fran ais, est entr dans le d bat, avec la th orie selon laquelle c eeffectivement l'environnement qui est le facteur d terminant dans la maladie. Il tait d'accord avec B champdans sa conviction que les microbes mutent, mais Bernard affirmait que ces mutations taient toutes dues l'environnement dans lequel ils taient expos s. Par cons quent, la th orie de Bernard tait que la maladipr sente dans le corps d pendait de l' tat du terrain biologique interne. Pasteur s tait donn beaucoup pourr futer les th ories de B champ et de Bernard. En grande partie gr ce sa richesse et ses relations politiqueil a r ussi convaincre la communaut scientifique que sa th orie tait correcte, en d pit du fait qu'il n'av

amais re u de formation scientifique ! Cependant, sur son lit de mort, Pasteur avait avou que sa th orie degermes avait des failles et que celle de Bernard tait correcte. Il a d clar : C'est Bernard qui a raison, le terraest tout . Je pense que son orgueil lui a interdit d'admettre que la th orie de B champ tait galement exacte,du fait qu il avait t l ennemi de Pasteur depuis tellement longtemps. Toutefois, c tait de trop peu, trop tardLes principaux chercheurs avaient d j embrass sa th orie des germes monomorphes.

Au cours des 150 derni res ann es, depuis la naissance de la th orie des germes, erron e, de Pasteur, elle esdevenue si largement accept e, qu'elle est rarement discut e, m me dans les cercles m dicaux conventionnelsd aujourd'hui. Sa th orie tait la gen se de la m decine moderne allopathique (conventionnelle), qui pr tenque les microbes, depuis une source externe, envahissent l'organisme et sont la premi re cause des maladies

infectieuses.

97



C 6

Traitements Non-ToxiquesT e me c nnai ance n a i e

en me enan deb , le a le de g nie .D . Albe Sch ei e

M a raison pour laquelle je commence ce chapitre par cette citation, est que je veux clairement pr ciser que ces

traitements ne sont pas "mes" traitements, en soi. Ils ont t formul s et valu s par des dissidents m dicauxet se sont montr s tre efficaces envers le traitement du cancer. Je les ai simplement r capitul s pour vous, afinde rendre toutes ces informations ais ment disponibles et compr hensibles, puisqu'il est presque impossibleavec succ s, de naviguer sur les millions de sites Web relatifs au cancer, et d avancer, cause des mensongpropag s par la Mafia M dicale, puis d arriver la v rit sur des traitements alternatifs du cancer.

Ce chapitre entier est consacr aux traitements alternatifs, non toxiques du cancer, qui ont t d montr s poutre les plus efficaces, pour traiter lecance a anc , (c'est dire aux Stades III et IV). Le titre de ce chapitre m

en vidence et en avant, la diff rence entre les traitements conventionnels du cancer, et les traitementsalternatifs du cancer. Sans exception, les traitements conventionnels du cancer sont tous toxiques, tandis quetous les traitements alternatifs r ussis sontn n toxiques.

Retour en 2006, la presse contr l e grand public semblait franchement tourdie, quand Coretta Scott King, (lveuve du Pasteur Martin Luther King junior) est morte d un cancer, apr s son admission dans une clinique traitement alternatif du cancer, au Mexique. Ce que la presse n'a pas rapport , c est que la m decineconventionnelle avait d j renonc elle, et l a laiss e mourir. C'est sans surprise, qu elle voulait v rifiem decines alternatives. Malheureusement, elle y est arriv e trop tard.

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La v rit , c est que de nombreux patients ne recherchent la protection alternative de remplacement, qu apravoir t coup s, empoisonn s, et br l s par le "Big 3". Bl mer une clinique de traitement alternatifcancer, pour la mort d'un patient qui tait consid r comme se trouvant en phase terminale, quand il marchaitvers la porte de sortie, c'est comme accuser un garagiste d avoir endommag la voiture qu il vous avaremorqu e, apr s qu il se soit produit un accident pr alable lors d'une collision haute vitesse. Mamalheureusement, c'est ce moment pr cis que la plupart des patients canc reux d cident finalementd'essayer d'autres traitements contre le cancer.

Si vous avez un cancer, les bonnes nouvelles sont que l'espoir existe avec les traitements de remplacementcontre le cancer. R el e i. Pas de fausse, malhonn te esp rance trompeuse que les m decins vous donnentquand ils essaient de vous convaincre que les "Big 3" sont la r ponse. Rappelez vous, c'est cela qui leur a enseign la facult de m decine, c est tout ce qu'ils savent. Mais, vous aussi, avez besoin de vous rappeler

i e la ace de l'a gen. Lorsque votre m decin est sceptique au sujet d'un nouveau traitement naturel, vouspouvez parier qu'il ne r gurgite que les mensonges qu'il a lus dans les derniers journaux m dicaux, parrain s etsponsoris s par Big Pharma.

Il est malheureusement vident que la Mafia M dicale n a absolument aucun int r t sauver des vies ou dla v rit . Selon Walter Last,"Il a la e i n g n ali e de h a ie na elle c n e le

e c i n de h a e e cc . Le leade inc n e de ceci e a e a E a Unid'a e g e nemen , ain i a ec d a e a i m dicale , i n ain i i i l'e ej ifica i n de ce e e i n e l'affi ma i n el n la elle le h a ie na elle c n'

, e n el ai emen , m me il e in ffen if, ene a de le ai emen l efficace an icanc e c n en i nnel. Ce a g men e ai idic le

agi e de milli n de malade ".

Pourquoi est il dit A c ne e e cien ifi e pour les traitements alternatifs ? Ceci est essentiel

comprendre. Selon Webster Kehr, La ai n la elle il n'e i e a de e e cien ifi e le ai emen al e na if c n e le cance , c'e 'il ne n a ha emen en able im ible, a la l i, ' ne b ance i c n id e c mme di an de e e cien ifiPha ma ne d nne n acc d, 'il me la FDA, e

. D nc, le millie d' de le b ance na elle i n ai gn a de e e cien ifi e e elle n ign e a n e g e nemen , a ce 'e

fai e le c n le de Big Pha ma .

Toutefois, en d pit des efforts de la Mafia M dicale r primer compl tement, et touffer la v rit sur traitements alternatifs du cancer, parfois, cette v rit devient encore plus forte propos d un traitement

efficace, en grande partie gr ce Internet. Mais la Mafia est pr par e, elle a pr vu une telle ventualit , dispose d'une proc dure d'exploitation standard pour ces fuites . En g n ral, ils manipulent cela de l'une defa ons suivantes :

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• Les t moignages sont expliqu s comme peu fiables ou anecdotiques .• Les traitements alternatifs du cancer, sont ignor s et supprim s.• Les malades auraient b n fici de gu risons spontan es , sans rapport avec le traitement alternatif dcancer.• Les patients auraient effectivement t gu ris, mais par les effets retardement du traitementconventionnel du cancer, qui a t administr avant le traitement alternatif du cancer.• Les m decins charg s d'administrer le traitement alternatif du cancer sont pers cut s.

Ne croyez a les men nge de la Mafia M dicale ! Il y a plusieurs traitements alternatifs non toxiques contrle cancer, qui fonctionnent chez des patients ayant un cancer avanc . Toutefois, en raison du fait que BigPharma injecte des milliards de Dollars dans la publicit chaque ann e, vous n aurez probablement connaissan

ni emen que des traitements du cancer Big 3 . Et puisque la plupart des traitements alternatifs contre lecancer sont tr s peu co teux et non brevetables, ils ne fournissent pas, l'industrie du cancer un seul sou derevenus, ils sont donc assez obscurcis.

Rappelez vous que le succ s des traitements alternatifs, c est qu ilsciblen le cell le canc e e, et qu ilsn end mmagen a le cell le aine. C'est l une diff rence essentielle par rapport aux autres protocoles dutraitement conventionnel du cancer, qui ne sont pas s lectivement toxiques (c'est dire qu'ils tuent toutes lescellules, y compris les cellules saines). Grosse diff rence, n'est ce pas ? Les traitements alternatifs du cancesont ax s sur la purification du corps, en stimulant le syst me immunitaire naturel avec des di tes sp ciales, lecompl ments alimentaires, la d toxification et l'oxyg nation.

Les m decins pratiquant la m decine alternative, consid rent le cancer comme une maladie syst mique (cellqui implique le corps entier), et se concentrent sur la correction de l igine profonde de la maladie, et non pasde la tumeur, qui est simplement un m me. Alors pourquoi tous les m decins ne se joignent ils pas au trainen marche, et ne commencent ils pas traiter le cancer avec des traitements qui fonctionnent vraiment? Ehbien, nous vivons dans le monde r el, n'est ce pas ?

Il y a bien plus de 300 traitements alternatifs non toxiques contre le cancer, que j'ai tudi s. Ce chapitre seconcentre sur les plus efficaces, de ces 300 traitements. Si vous tes un stade avanc du cancer, alors vou

tes consid r comme tant en phase terminale . Vous n'aveza de temps perdre, ni votre argent gaspiller, avec les traitements du cancer non prouv s.L'h l ge ne ! Apr s un examen attentif et devolumineuses recherches, j'ai d taill les plus efficaces des traitements non toxiques contre le cancer, dans cchapitre.

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La recherche scientifique et la litt rature ont t tr s m diatis es sur les avantages synergiques des effetbiochimiques de300 c n i an h h a e i e e l men n i ifde l'Alo v ra, visant aider lesd fenses de l'organisme afin d'am liorer le syst me immunitaire, et prot ger contre les maladies. Toutefois, clivre est le premier r v ler la puissance peu connue se trouvant dans les composants de la plante cousine dl Alo arborescens, qui contient 200% de plus de substances m dicinales que l Alo v ra, et pr s de 100% dde propri t s anti cancer.

Zago a galement crit un autre livre (pour d'autres maladies que le cancer), intitul L Alo n'est Pas uM decine, et Pourtant ... Elle Gu rit. Pour acheter le livre de Zago, visitezwww.truthpublishing.com. Si vous nevoulez pas fabriquer le produit la maison, mais souhaitez plut t acheter l'Alo arborescens, s'il vous plavisitez le site web :www.aloeproductscenter.com.

Th a ie Bi O da i e

L'organisme peut survivre plusieurs semaines sans nourriture, des jours sans eau, mais seulement quelquesminutes sans oxyg ne. Notre corps est compos principalement d'eau, qui est plus de 90% d'oxyg ne. Chaqucellule du corps n cessite un apport incessant d'oxyg ne pour alimenter les r actions chimiques qui produisende l' nergie, d toxifier les d chets produits, et soutenir la production des composants structurels des cellules.Vous souvenez vous du prix Nobel Otto Warburg ? Il a bas ses recherches sur les cytochromes dans respiration cellulaire. Il croyait fermement que toutes les maladies d g n ratives taient le r sultat d'unman e d' g neau niveau cellulaire. Il est souvent cit comme disant,Le cance a .La inci ale ca e d cance e e la e i a i n n male en g ne de cell le d c e

e i a i n cell lai e ana bie .

Le Dr. Warburg a soulign que toute substance qui a priv une cellule, d'oxyg ne, est un agent canc rig ne. E1966, il a d clar qu'il tait inutile de chercher de nouvelles substances canc rig nes, parce que le r sultat finde chacune tait le m me, la privation d'oxyg ne cellulaire. Il a ajout que la recherche incessante de nouvellesubstances canc rig nes a t un facteur contre productif, car il obscurci la principale cause, le manqud'oxyg ne, et donc de pr venir un traitement appropri . Une fois que le niveau d'oxyg ne n cessaire uncellule descend en dessous de 40% de la normale, la cellule est forc e de passer une m thode de productiond' nergie inf rieure, appel e fermentation. La cellule perd alors son avantage sur la r plication, car il y a autstimulation des facteurs de croissance (tels que l'IGF), en r ponse l'h ie.

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En termes simples, l'oxydation , c'est l'interaction entre l'oxyg ne et toute substance qui entre en contactavec. Respirer l'oxyg ne est un processus "oxydatif". Il n'y a pas de vie si l'oxydation ne se produit pas. Le corputilise l'oxydation comme la premi re ligne de d fense contre les bact ries, les virus, les levures et les parasiteLorsque nous utilisons les principes de l'oxydation afin d'apporter des am liorations dans le corps, cela estappel la "th rapie oxydative".

La plupart des r actions biochimiques dans le corps sont " quilibr es" travers des m canismes "redoxRedox signifie duction d dation. Chaque fois qu'une substance est "r duite" (c. d. gagne deslectrons), autre chose doit tre oxyd (c. d. perd des lectrons) pour permettre aux r actions de rester quilibre . A titre d'exemple, l'oxydation est le processus qui am ne la rouille sur les m taux (oxydation lent

ou un incendie (oxydation rapide).

Il y a deux substances naturelles simples dont l'utilisation clinique a t document e dans la litt rature m dicadepuis les ann es 1920, et qui se sont av r es efficaces dans le traitement de certaines de nos plus communemaladies graves, y compris les maladies cardiaques, le cancer et le sida. Il s agit due de d'h d g ne(H O )et de l' ne (O3), utilis s dans une approche th rapeutique connue collectivement comme th rapies de biooxydation. Le chercheur principal des th rapies de bio oxydation est le Dr. Charles H. Farr, qui a t nompour le Prix Nobel de M decine en 1993, pour son travail.

La hil hie i e de i e le h a ie de bi da i n e im le. Si le syst me d'oxyg nation del'organisme est faible ou insuffisant (en raison du manque d'exercice, d une mauvaise alimentation, de lapollution de l'environnement, du fait de fumer, ou d une respiration irr guli re), alors le corps est incapable dbien liminer les toxines. Les th rapies de bio oxydation sont utilis es pour fournir au corps, des formes activd'oxyg ne (par voie orale, intraveineuse, ou par la peau), afin d' liminer les toxines et de lutter contre lamaladie.

Une fois dans le corps, le peroxyde d'hydrog ne ou l'ozone d composent l oxyg ne l int rieur, en cont

avec diff rentes sous esp ces, dont les virus et les microbesana robies (par exemple, les virus et les microbesqui ont la capacit de vivre sans air), ainsi que des cellules malades ou des tissus d ficients ; il oxyde ces cellutout en laissant intactes les cellules saines. Quand le corps devient satur de ces formes particuli res d'oxyg neil atteint un tat de puret dans lesquels les micro organismes qui ont amen la maladie sont tu s, tandis que ltoxicit sous jacente est oxyd e et limin e. Le r sultat est un syst me immunitaire plus fort et l'am lioratde la r ponse immunitaire.

L' ne a t d couverte par Fridereich Schonbein en 1840. C est de l'oxyg ne dans un un m nage troune forme activ e d'oxyg ne, avec trois atomes. (L'oxyg ne est O , alors que l'ozone est O3). L ozone a initialement utilis e pour d sinfecter les plaies au cours de la Premi re Guerre mondiale.

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Ces enzymes n cessitent l utilisation de beaucoup d' nergie, mais la cellule canc reuse faible n'a pas cettnergie pour les fabriquer. L s tablit cette vuln rabilit l'oxyg ne singulet.

Ainsi, l ozone ne porte pas atteinte aux cellules saines, mais a"de i n nc e dan le bac icide, f ngicide, i i a i e, e e d nc la gemen ili e la d infec i n dedan le maladie bac ienne e d igine i ale." (R. Viebahn Haensler, L'utilisation de l'ozone en m decine 3 me dition Anglaise, page 132) L'ozone est s lectivement toxique, donc le r sultat final est que la th rapd'ozone tue les bact ries nocives, les virus, les champignons, et les levures, mais laisse les cellules saines seules

Dans l dition de SCIENCE du 22 ao t 1980, il y eut un rapport r dig par plusieurs m decins (Sweet, Kao, et Lee), intitul : "L ozone s lective inhibe la croissance des cellules canc reuses humaines." Il y fut d clar Lac i ance de cell le canc e e h maine d m n, d ein, e de l' a lec imani e d d endan e a l' ne de 0,3 0,8 a ie a milli n d' ne dan l'ai ambian ende c l e. Dan le di l de fib bla e d m n h main i n e i, n c n lcanc e e . La ence d' ne de 0,3 0,5 a ie a milli n inhibe la c i ance de cell le cae 60% e ec i emen . Le cell le d m n n n canc e e n' n a affec e ce niL'

' 0,8 50%. idemmen , le m cani me de d fen e c n e le d mmage de l

al dan le cell le canc e e h maine. Les preuves de la recherche de ces m decins est irr futable.

L'EPA et la FDA reconnaissent la capacit de l'ozone oxyder plus de 99,99% de tous les pathog nes d'origihydrique. L'ozone a t utilis e pour la sant humaine depuis 1860, et est actuellement employ e dans plus d16 pays. Son utilisation la plus large est faite en Allemagne, o plus de 7.000 m decins ont trait plus de millions de personnes depuis la Seconde Guerre mondiale. Toutefois, comme on pouvait s'y attendre, la FDA n'pas permis de tester l'ozone, et a activement poursuivi les m decins qui l'utilisent.

Selon le Dr. Hans Nieper, qui a utilis l'ozone Hanovre, en Allemagne,"V ne a ie c i e c mbien f nc i nnai e de la FDA , de a en , de c nnai ance de la FDA, iennen me i en an Han e. V ne d ie a le c i e, m me de di igean de l'AMA, de l ACA, de in i adi i nnel d cance . C'e n fai ."Aussi, de nombreuses personnalit s bien connues se sontrendues en Allemagne pour y tre trait s par le Dr. Nieper, y compris le pr sident Ronald Reagan, Sir AnthoQuinn, William Holden, John Wayne, Yul Brynner, et la Princesse Caroline de Monaco.

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Le e de d'h d g neest impliqu dans tous les processus vitaux de la vie, et doit tre pr sent pour que le

syst me immunitaire fonctionne correctement. Le colostrum (qui se trouve dans le lait maternel) contient desconcentrations extr mement lev es de H O . Les cellules de l'organisme qui combattent les infectionproduisent le H O naturellement comme une premi re ligne de d fense contre les organismes envahisseurs (

dire, parasites, virus, bact ries et levures). Le Dr. Charles Farr a montr que le H O stimule l'oxydationsyst mes enzymatiques dans l'organisme, ce qui d clenche une augmentation du taux m tabolique, celaentra ne les petites art res se dilater et augmenter le flux sanguin, efface les toxines, augmente latemp rature du corps, puis enfin, am liore la distribution et la consommation d'oxyg ne dans l'organisme.(Actes de la Conf rence Internationale sur la M decine Bio Oxydative, 1989 1991). L H O stimule galproduction de globules blancs, qui sont n cessaires pour combattre l'infection.

Dans les ann es 1950, le Dr. Reginald Holman a men des exp riences impliquant l'utilisation d'H O ajoul'eau potable des rats qui avaient des tumeurs canc reuses. Les tumeurs ont compl tement disparu dans lesquinze soixante jours. Dans les ann es 1960, des m decins europ ens ont commenc prescrire de l Hleurs patients. Avant longtemps, l'utilisation de l H O est devenue une composante accept e de la santconventionnelle en Allemagne et en Russie, ainsi qu Cuba. Dans un article pour une publication intitul

Alternatives , le Dr. Kurt Donsbach a crit:"Une nce de 35% de e de d'h d g ne ( a gall n d'ea ), dn a i a e , cha e n i , dan la chamb e d n malade de l em h me, e il e i e a l

'il n a e i de i de ann e ! Je le fai me a ien a ein d n cance d m n

Vous tes vous d j demand pourquoi l H O mousse t il, quand vous le mettez sur une plaie ? La raisolaquelle il cume, c est parce que le sang et les cellules contiennent une enzyme appel e "catalase." Comme uncoupure ou une gratignure contient la fois du sang et des cellules endommag es, il y a beaucoup de catalaseflottant autour. Lorsque la catalase entre en contact avec du peroxyde d'hydrog ne, elle transforme leperoxyde d'hydrog ne (H O ) en eau et en oxyg ne gazeux, (H O) et (O ). La catalase fait cela de manextr mement efficace jusqu' 200.000 r actions par seconde ! Les bulles que vous voyez dans la mousse sodes bulles d'oxyg ne pur cr es par la catalase.

Une excellente m thode pour administrer l H O est la suivante : Diluez l H O tr s pur (0,0375% ou mconcentration) et ajoutez un sucre, ou dans une solution d'eau sal e, la m me que celle utilis e pour lesinjections par voie intraveineuse dans les h pitaux. Il s'agit d'injecter des doses de 50 500 ml dans une grossveine dans le bras, lentement, sur une p riode de une trois heures, en fonction du r sultat souhait et de l' tatdu patient. Cela est indolore, l'exclusion de la tr s petite piq re d aiguille. Les traitements sont g n ralemedonn s environ une fois par semaine dans le cas d une maladie chronique, mais peuvent tre administrquotidiennement chez des patients atteints de maladies comme le VIH et le cancer.

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Votre m decin d terminera le nombre total de traitements n cessaires pour traiter votre condition sp cifique.Au cours des cinquante derni res ann es, des dizaines de milliers de patients ont re u un traitement H O saeffets secondaires graves.

Je tiens souligner fermement que pour des raisons internes, vous ne devriez pas utiliser n'importe quel typede peroxyde d'hydrog ne, moins qu'il ne soit de "35% en qualit alimentaire." Le peroxyde d'hydrog ne quvous achetez l' picerie est seulement de 3%, et contient des produits chimiques toxiques. Il est destin uUSAGE EXTERNE UNIQUEMENT. Les patients canc reux devraient rester l' cart de cette forme de H O . Eoutre, les patients canc reux qui utilisent l H O interne devraient galement utiliser une enzyme prot olytiqde qualit (telle que Vit lzym) qui coupe et traverse la couche de prot ines des cellules canc reuses, epermettra l'H O de p n trer la paroi cellulaire. Si vous utilisez la Budwig Diet, vous devriez viter d'inl H O de qualit alimentaire, cause de l'interaction des graisses avec l H O qui peut endommager l'estom

Oxycyclene™ est un liquide compos de substances naturelles, qui fonctionne comme un moteur et qui force laproduction d H O au niveau des globules blancs dans l'organisme, ce qui entra ne la destruction la fois maladie et de la cellule h te, dans les globules blancs. Oxycyclene™ fait utiliser au corps ses propres d fensesnaturelles, afin de reconna tre et de d truire les cellules malades. Contrairement aux vaccins et la vaccinatioil est essentiellement exempt d'effets secondaires, et les premiers r sultats ont t extr mement prometteurs.

Il y a pr s de 200 ans, durant le r gne de la reine Victoria, des gens en Inde (alors l poque une coloBritannique) avaient constat que l H O ajout en petites quantit s l'eau potable, gu rissait une granvari t de maladies, notamment le rhume, la grippe, le chol ra, et le paludisme. Cette connaissance mena ait leventes de m dicaments "du Big Pharma Britannique", aussi, la Grande Bretagne a envoy un agen"d infiltration" d guis en qualit de m decin, et qui a alors affirm que l H O occasionnait des dommviraux au cerveau. Il avait m me compos une histoire propos d un enfant (inexistant) qui tait soi disant mde dommages au cerveau apr s avoir pris du H O . Venant d'un "m decin", l'histoire mont e de toutes pi ces

t accept e comme tant une v rit , et les Indiens commenc rent alors acheter les m dicamenBritanniques.

Cela vous semble familier, n'est ce pas ? La m me technique est encore utilis e aujourd'hui par la MaM dicale. Malgr la quantit importante de donn es scientifiques qui valident les effets chimiques ebiologiques tonnants de l'ozone, et du peroxyde d'hydrog ne, une grande partie de la communaut m dicalecontinue de n gliger ou d ignorer volontairement ces traitements incroyablement simples et peu co teux.

Une clinique qui utilise les th rapies bio oxydatives, est celle du Dr. Frank Shallenberger Nevada CenterAlternative Medicine Anti age , situ e Carson City, Nevada. Selon le Dr. Shallenberger, la fois l'ozone

peroxyde d'hydrog ne accroissent effectivement l'efficacit du syst me enzymatique antioxydant, qui nettoieles exc s de radicaux libres dans l'organisme. Cela am liore donc galement l'immunit cellulaire.

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Leur site Web est www.antiagingmedicine.com. Une autre excellente clinique est Caring Medical &Rehabilitation , dirig e par le Dr. Ross Hauser, situ e dans l'Illinois. Leur site Web estwww.caringmedical.com.

Enfin, si vous d cidez d'utiliser la th rapie d'ozone, vous devez communiquer avec le Dr. Saul Pressman, qu'appelle "le g de l' ne."Il mod re le groupe e mail suivant :[email protected],

Rejoignez seulement le groupe, et envoyez un e mail au Dr. Pressman avec vos questions. Il est incroyablemensensible et toujours pr t aider. Il m'a galement aid avec les informations contenues dans cette section dulivre.

Le P c le B b Beck

Le protocole Bob Beck a commenc par un traitement d lectro m decine pour le SIDA/VIH, cependant, il potentiel incroyable pour tre un superbe traitement contre un cancer avanc .

Revenons en 1990, deux m decins, le Dr. William D. Lyman et le Dr. Steven Kaali, ont d couvert qu'un facourant lectrique pouvait d sactiver les microbes qui taient capables de se multiplier, les rendant inertes ouinoffensifs. Ce fut l'une des plus grandes d couvertes de l'histoire de la m decine, car pratiquement toutes lesmaladies sont caus es par, ou engendr es par un microbe. La d couverte a t un rem de pour presque toutesles maladies connues chez l homme.

Cependant, m me si leur technologie est tr s bien document e, la m decine orthodoxe n'est pas int ress e parleur d couverte. La m decine traditionnelle s'int resse des traitements etn n des rem des , parce que

traiter une personne est beaucoup plus rentable que la gu rir .

Le Dr. Beck, qui est d c d en 2002, a obtenu un doctorat en physique et avait trente ann es de recherches enlectro m decine derri re lui. Il a appris de Lyman, et de la d couverte de Kaali, et a trouv une fa on

invasive pour l'utiliser.

Selon le Dr. Beck,"j'ai l n a icle dan Science N elle i a bli le 30 ma 1991. la agele ai emen "de ch c", c n e le ida, a le C llege f Medicine Albe Ein ein, acciden ellemen d c e n m en de g i l en emble de e nne malade d SIDA. Alceci, e j ai c n a n d c men n ai emen c n e le ida a ai en nle Th a ie C mbin e Wa hing n, DC, le 14 ma 1991, a emie m i m in e na i nc mbin e .

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L e j'ai en de e ne c ie de ce d c men i ce 'il di ai , j'ai , a aien d c dan ne c d e d e c a i n. N a n al emba ch

i a i b eni ne c ie e nnelle ab ai e de l' n de a ici an a c nf ence . ne eche che inf ma i e, e ai c n a e la e le a e men i n de ce e echn l gie "H

bli e dan le Maga ine L ng i , a en d cemb e 1992. Elle indi ai e S e en Kaali, Ein ein C llege f Medicine, a ai n m en d'inhibe le SIDA dan le ang, mai e de

e aien n ce ai e a an e l a a eil, lec c e le i , ne i e d'a e e me , il a fai ne d c e e, e il a en i e e a de e a a e imm dia emen

Mai ne ch e c ie e 'e d i e. De an l a d, n b e e gi . Le g ed c i l'Office de b e e , l'en emble d ce . V e l b eni (Pa en # 51887m me D . Kaali d c i n ce i e me a de em e e le bac ie le iVIH), le a a i e , e le cham ign n c n en dan le ang, le endan in ffen if ih maine n malemen en b nne an . Ceci ai dan n d c men d g e nemen ! C' ai en 1n' n il ien di a blic ce je ? J'ai d cid e 'il a ai n em de infaillible c n e le ida,

a i l l i.

Q and j'ai ega d dan le a a d D . Kaali, j'ai d cid d'alle de l'a an e de finance l enN .D an de an e demi, n a n d nn c di c m le ,

in en i n M. Kaali, d n le n m e le b e e . P i j'ai d c e 'il a ai ne l ng e echn l gie. N a n i i n en ie de ce e de b e e 107 ann e !N

4665898, , 19 1987.

P i cela a il im ? P i cela n a il a di e m decin, fa n ab l men e, ablie, il ai ible de g i le cance ? La n e e e l

e fai e 375,000 $ a a ien , a ec la chi gie, la chimi h a ie, le a n X, le j

de m decin e de ane h i e . Il 'agi de la a i i e fficielle de E a Uni , De aMalhe e emen , ".

Les premi res recherches du Dr. Beck ont d tre effectu es en dehors des Etats Unis. Sa premi re machid lectro m decine est appel e le Purificateur de sang, ou Electrifieur de sang. L Electrifieur du sang, crtr s petit courant lectrique alternatif qui d truit un enzyme cl essentiel la surface d'un microbe, et emp chle microbe de se multiplier. L'organisme excr te en toute s curit les microbes d sactiv s.

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Toutefois, le Dr. Beck a constat que dans certains cas, les virus du SIDA/HIV reviennent. Il en a conclu qcertains virus se cachent dans le corps, puis se mettent en sommeil , puisqu ils ne se trouvaient donc pas dala circulation du sang. Il a ensuite d velopp sa seconde machine d lectro m decine (le Magnetic Pulser) pd sactiver ces microbes qui ne circulent pas dans le sang.

Dans le Protocole du Dr. Beck, taient galement compris, l'argent collo dal et l eau ozon e. tant donn queprotocole pourrait d truire les bact ries amies dans le tractus digestif, vous devriez envisager d'ajoutecertains probiotiques puissants votre alimentation, afin de les aider se r implanter.

Au moins une personne a t jet e en prison, pour avoir vendu l quipement du protocole Bob Beck, et deuautres sont myst rieusement d c d es. Bob Beck croyait que son traitement, qui limine clairement chaqutype de microbe dans le corps d'une personne, est un moyen efficace pour restaurer le syst me immunitaire del individu. Il sentait que c' tait l une raison importante, et que son traitement aurait un r el succ s sur lespersonnes malades du cancer.

IMPORTANT : Aucun autre traitement alternatif ou orthodoxe du cancer ne peut tre utilis avec le protocoleBob Beck. Tous les autres traitements contre le cancer doivent treARRETES, au moins deux jours avant, et partir du commencement du protocole de Bob Beck. Le protocole Bob Beck doit tre utilis de par lui m mc'est dire seul. Pas de m dicaments sur ordonnance, pas de plantes m dicinales, etc, ne doivent tre utilis s

Si vous d cidez d'utiliser le protocole Bob Beck, s'il vous pla t consulter la page suivante de ce site Webwww.cancertutor.com/Cancer02/BobBeck.html. Assurez vous d' tudier sa liste des "substances interdites",ainsi que de bienli e n a icle en en ie.

La C e de Rai in B and /Keh

Dans les ann es 1920, Johanna Brandt, d'Afrique du Sud, a d clar qu'elle avait t gu rie d un cancerl'estomac, avec ce qu'elle appelle la cure de raisin. Quelques ann es plus tard, elle a crit un livre fascinant qr v le ces d tails, comment elle s est d barrass e d'un cancer. Fondamentalement, Brandt mangeait des raisin

Beaucoup de raisins... y compris leurs peaux et les p pins. Il s'av re que les raisins ont montr qu'ilscontiennent une substance appel e e a l.

Selon un chercheur bien connu, le Dr. John Pezzuto de l Universit de l'Illinois Chicago, ce ph nol naturela de

m l i le m de d'ac i n, inhiban la c i ance d cance en n g and n mb e de diff en e ainhabi el.

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On croit aussi que le Resv ratrol active le g ne p53 qui induit l'apoptose (mort cellulaire normale). En outre, Resv ratrol, celui des raisins (raisins noirs Concord, en particulier), contient plusieurs autres l ments nutritqui sont connus pour tuer les cellules canc reuses, tels que l'acide ellagique, le lycop ne, l OPCS, le s l niumcat chine, la querc tine, l'acide gallique, et la vitamine B17.Q el nnan ARSENAL l e c n e lecance !

Depuis, beaucoup de choses ont chang depuis que Brandt a publi sa cure de raisins dans les ann es 1920 ; j'adapt ce r gime, bas sur les recommandations de Webster Kehr, donc je l'ai appel "la Cure de raisin BrandKehr". Par exemple, les oligo l ments pr sents dans le sol ont t largement puis s au cours des cinquanderni res ann es, et le chlore, ainsi que le fluor, sont maintenant ajout s l'approvisionnement en eau, pourn en nommer que quelques uns. Je mentionne ces l ments, car tous les jus de raisin, y compris biologiqupeuvent avoir t m lang s avec de l'eau contenant du chlore. Aussi, tous les jus de raisins ont t pasteurisselon la loi, ce qui d truit les enzymes qui sont essentiels la bonne digestion du jus de raisin. Cela tant, la Cu

de Raisin Brandt/Kehr n cessite une certaine quantit de raisins entiers.

Une journ e typique avec le r gime alimentaire Brandt/Kehr, comprend douze heures de je ne, suivies padouze heures de consommation de raisin. Au cours de la p riode de consommation, vous tes cens neconsommer absolument rien d autre que du raisin, pur e de raisin et raisin fra chement press , jus de fruit, qdoivent tre consomm s lentement, au cours de la p riode de douze heures, non seulement au moment desrepas. Durant cette p riode, vous devriez consommer entre gallon (1,90L) et un gallon (3,79L) de pure"bouillie de raisin", obtenue avec un robot culinaire. Pour viter les naus es et maximiser l'efficacit de bouillie de raisin, la diviser en huit portions gales destin es tre mang es lentement toutes les 1 heures, sula p riode de consommation des douze heures.

Assurez vous de boire au moins un gallon (3,79L) par jour, d'eau de source pure ou de l'eau issue de puitart siens, r partie sur deux p riodes de douze heures, et prise avec la bouillie de raisin au cours de la p riode dconsommation. Assurez vous que votre eau n'a a t trait e avec du chlore ou du fluor. La pur e de jus deraisin, devrait inclure les graines broy es et les peaux, puis les raisins devraient tre les raisins noirs Concord. pas acheter de raisins sans p pins ou des raisins verts, car ils n'ont pas tous les "bons nutriments" comme ceuxdu Raisin noir Concord, c est lui le meilleur. Et faites l'achat de raisinsbi l gi e, si possible, puisque les raisinssont fortement asperg s de pesticides. Si vous ne parvenez pas obtenir des raisins biologiques, veillez laverles raisins dans une eau temp r e ou ti de, pendant au moins quinze minutes, et rincez.

Au cours de la maladie, surtout si elle volue rapidement, les cellules canc reuses deviennent tr s affam ePuis, quand enfin, elles re oivent la nourriture, quand arrivent les raisins, elles les engloutissent sur placesurtout que les raisins contiennent de fortes concentrations de sucre naturel.

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Et les cellules canc reuses adorent le sucre ! Toutefois, ces m mes raisins contiennent galement plusieurgrands l ments nutritifs, r duisant les cancers la mort, comme ceux num r s ci dessus. Aiessentiellement, nous trompons les cellules canc reuses, dans l'ingestion de toute une myriade de nutrimentsdestructeurs de cancers. C'est comme mettre du poison dans les bonbons, et ensuite s empresser de les donner

un enfant qui meurt de faim. Et puisque les cellules canc reuses sont tr s inefficaces produire de l' nergielles requi rent beaucoup plus de sucre que d'ordinaire avec les cellules saines, de sorte qu'elles engloutissentles raisins encore plus ! Et comme nous l avons appris pr c demment, les cellules canc reuses consomment dhuit fois plus de sucre (et c est dix huit fois plus de puissance de lutte pour les l ments qui iront combattre cancer, gr ce aux l ments trouv s dans les raisins) que les cellules normales et saines. Ainsi, le r gimalimentaire de la Cure de raisin est l'un des moyens ultimes : e le cell le canc e e !

Quels suppl ments doivent tre pris avec la cure du raisin Brandt/Kehr ?

1. Extrait de p pins de raisin v rifier les ingr dients pour obtenir le plus d OPC.2. Extrait de peau de raisin v rifier les ingr dients pour obtenir le plus de Resv ratrol.3. Querc tine disponible comme suppl ment en vente libre.4. La vitamine C 12 15 grammes r partis pendant la journ e (construisez de fa on atteindre cette quantitusqu deux semaines, ne commencezPAS 12 15 grammes).

5. Poivre de Cayenne aussi fort et le plus proche du brut.6. Acide nicotinique (Niacine) un gramme par jour.

Tant le poivre de Cayenne que l'acide nicotinique augmentent le flux sanguin, que les aides obtenues par le jusde raisin, l encontre des cellules canc reuses. Les cellules canc reuses prosp rent fr quemment dans dsecteurs o la circulation est pauvre ou faible. Quels traitements pouvez vous utiliser avec le Rem de de RaisiN'utilisez a le chlorure de c sium, puisque le c sium bloque le glucose pour entrer aux cellules canc reuses, ele Rem de de Raisin Brandt/Kehr utilise le glucose comme un agent de transport pour les substances nutritivesse battant contre le cancer.

Il y a un cycle de six semaines sur ce traitement. Les cinq premi res semaines sont le traitement du Rem de dRaisin Brandt/Kehr pur. Ne mangez pas ou ne buvez quoi que ce soit d'autre que des raisins, durant cette

i de. Pendant la sixi me semaine, mangez seulement des fruitsc et des l gumes. La sixi me semainepermettra certainement d'autres produits alimentaires d' tre mang s. R p tez le cycle de six semainescomme cela, plusieurs fois au besoin, afin de gu rir de votre cancer.

B d ig Die

Un remarquable traitement alternatif contre le cancer a t con u par une Biochimiste Allemande, la DreJohanna Budwig, galement laur ate du Prix Nobel sept reprises. Ses plus importantes contributionsm dicales l ont amen e participer la recherche sur le r le des acides gras essentiels. Afin de produiredistribuer les aliments riches en huiles, les fabricants de produits alimentaires ont volontairement alt r lacomposition chimique des huiles, ce qui donne leur d lai de conservation une dur e plus longue.

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Les l ments tranges, verd tres dans le sang ont t remplac s par des globules rouges sains, et lelipoprot ines, ainsi que les phosphatides ont tonnamment r apparu. Elle a ensuite d couvert que laconsommation d'une combinaison de deux aliments devrait remplacer les lipoprot ines et les phosphatides,pour arranger la sant du sang de nouveau.

Les deux acides gras essentiels (AGE) sont l'acide linol ique (LA), une graisse om ga 6 et l'acide alplinol nique (ALA), une graisse om ga 3. Une bonne sant exige le bon ratio d'acides gras om ga 6 et om gle rapport id al est d'environ 2:1. Les l gumes et fruits coque (ma s, carthame, coton, les arachides et le sosont les plus lev s en om ga 6. Le LA est le principal om ga 6 en mati res grasses, dont un tre humainbonne sant vous permet de convertir en acide gamma linol nique (GLA). D autres acides gras om ga 6 sl'acide linol ique conjugu (CLA), dihomo gamma linol nique (DGLA), et l'acide arachidonique (AApoissons de l'oc an (comme le saumon, le thon et le maquereau), certains fruits coque et les graines (commele lin/les graines de lin et les noix) sont les plus lev s en acides gras om ga 3. Le ALA est la principale grom ga 3, qu un tre humain en bonne sant vous permet de convertir en acide eicosapenta no que (EPA) ptard en acide docosahexa no que (DHA), et en docosapenta no que (DPA).

Budwig croyait que les maladies chroniques sont le r sultat d'un corps manquant d AGE, qui est pled' lectrons qui s attachent l'oxyg ne et aux prot ines. Quand ils sont absorb s dans la paroi cellulaire, tirent l'oxyg ne dans la cellule. Et quand ils sont li s aux prot ines base de soufre, ils deviennent solubles dal'eau. C'e la h ie la ba e d ai emen B d ig : l' ili a i n de l' g ne dan l' gani m

im l e a le li ine (le ine ba e de f e e l'acide lin l i e). A la page 85 de son livre,Les Th rapies de l'Oxyg ne, Ed McCabe discute de son point de vue sur les acides gras essentiels :Le gl b le

ge d ang, dan le m n , d nnen le di de de ca b ne e ennen de l' g ne. Ilan a i e de la cell le ia le ai ea ang in , il n lib e le g ne

g ne lib e 'a i ' e le cell le a la nance de ... acide g a . Sin n, l' g n

n chemin dan la cell le. Riche en lec n , le acide g a j en n le d ci if dan le eni n la ba e de l' da i n cell lai e. Les acides gras essentiels combin s avec les prot ines base de soufre(comme celles qu'on trouve dans le fromage blanc et le yogourt) augmentent l'oxyg nation de l'organisme,puisque les lectrons sont naturellement prot g s jusqu' l'organisme qui a besoin de l' nergie.

Bien s r, comme on peut s'y attendre, la Dre. Budwig a t pers cut e pour son travail. Il suffit de penserl'argent g n r chaque ann e, par la graisse et par l'huile industrielles. Le proc d d'hydrog nation est au c ude ces deux industries, et la th se de la Dre. Budwig tait fond e sur la base, que les graisses hydrog n econtribuent la formation des cellules canc reuses ! Finalement, elle a t emp ch e de faire d'autrerecherches, et emp ch e galement de publier ses conclusions. Selon ses propres mots, elle a d clar :"j'ai la

n e a cance , mai le m decin Am icain ne e len a l c e . Il iennen ici, b ee n im e i nn . En i e, il e len fai e ne ff e ciale 'il i en le gagne bea c d'a gen . Je ne e a acce e cela, al je i e cl e de a ".

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Plusieurs excellentes sources de prot ines riches en soufre sont, les noix, les oignons, la ciboulette, l'ail, esurtout le fromage blanc ainsi que le yogourt. L huile de lin devrait tre optimale vierge, press e frobiologique, liquide, fra che, et non raffin e. L'une des meilleures marques est Barlean's High Lignan huile deLe m lange d'h ile de lin e de f mage blanc d i fai e a ie de l'alimen a i n de le a ien acance . Vous m langez simplement une tasse de fromage blanc biologique avec deux trois cuiller es soupd'huile de lin. N'oubliez pas de les m langer, et laissez les reposer pendant quelques minutes. Cela permettra dconvertir l'huile om ga 3 soluble dans l'eau. Il est important de noter que ni les aliments riches en AGE, ni prot ines riches en soufre eux e l, n accomplissent ces t ches. C'est parce que les huiles doivent d'abord lieraux prot ines avant que l'oxyg ne puisse tre li e, et avant que le corps ne puisse assimiler la combinaison.

Merci l'action inlassable de la Dre. Budwig ; nous savons maintenant que les electron graisses richinteragissent avec des prot ines riches en soufre, lient l'oxyg ne et stimulent le m tabolisme a robie qurestaure la sant . Selon le Dr. C. Dan Roehm, (oncologue et ancien cardiologue),"Ce 'elle (la D e. J hannaB d ig) a d m n m n inc d li ini iale, mai de ni emen m n en i e a i fac i n dc e l l men i an : leCANCER EST FACILEMENT GUERISSABLE , le ai emen e la di i e/le le d

n e e imm dia e : la cell le canc e e e faible e ln able, le in ci de la en ila iden ifi a elle, en 1951, e e cifi emen c igeable, in i ( be e ai ), ain i C

, , )". (Townsend Letter forDoctors, juillet 1990).

Bill Henderson a travaill avec plus d'un millier de patients se trouvant avec un cancer en phase "terminale". Lcl de vo te de son protocole de traitement est la Di te Budwig. Son livre, Vaincre le Cancer Doucement ,excellent, tout comme son nouveau livre, Sans Cancer . Bill est un homme merveilleux, et il vous guideracours des conversations t l phoniques.S n c le c m e de a ib a anc i en f

ai emen d cance , le l i an di nible. Il se concentre vraiment sur un r gime alimentaire strict,anti cancer, qui est l'une des raisons pour laquelle tant de gens ont t gu ris en utilisant son traitement. Ecomme le nom l'indique, il est aussi l'un des traitements les plus doux . Quiconque choisit le protocole Budwdevrait utiliser aussi le Protocole de Henderson. Son livre peut tre achet :www.beating cancer gently.com.S'il vous pla t soyez conscient que si vous tes en cours d utilisation de la Di te Budwig, vous ne deveza prendre Protocel™ , car il travaille dans le sens inverse. Aussi, ne preneza un produit contenant de la papayeou Graviola, puisque ces v g taux inf riorisent l ATP et peuvent faire contrepoids avec la Di te Budwig.

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Le Cellec B d ig

Cette section du livre se concentre surcin ai emen d cance ( utiliser ensemble) qui constituent leprotocole Cellect Budwig. Ceci est l'un des traitements les plus puissants, non toxique, et constitue unealternative hautement efficace dans les traitements contre le cancer.

Le coeur et l' me de ce traitement est Cellect , multi min ral, multi acides amin s, multi supplvitaminique, avec quelques produits anti cancer qui sont ajout s. Cellect a t con u par un biochimistnom de Fred Eichhorn qui avait un cancer du pancr as en phase "terminale", en 1976. Il est toujours vivanaujourd'hui, et est l'actuel pr sident du National Cancer Research Foundation : (www.ncrf.org).

En soi, Cellect a montr d'excellents r sultats dans le traitement des cancers avanc s. Mike Vrentas, membdu conseil ind pendant du cancer Research Foundation, Inc , a ajout la Di te Budwig, la Vitamine(graines d abricots), et du jus, Cellect, en faisant ainsi, un tr s puissant traitement.

# 1 La P d e Cellec

Comme je l'ai mentionn , le produit phare de ce protocole est une poudre appel e Cellect , qui a montd'excellents r sultats avec toutes les formes de cancer. Les patients canc reux devraient commencer parconstruire rapidement un maximum de quatre boules ou cuillers par jour. Les enfants, bien s r, doivent prendredes doses plus petites. En stade avanc , les patients doivent construire jusqu' six huit portions par jour

Cellect provoque parfois la constipation, donc soyez s r de prendre trois capsules d'huile de foie de moru(incluses avec le Cellect) avec chaque portion servie. La cosse de psyllium et du jus de l gumes frais contribue

galement soulager la constipation.Cellect peut tre achet www.cellect.org. Cliquez sur "produits" puis choisissez une poudre maxi m lange

Je vous recommande de le m langer avec du jus de raisin noir. Ils vendent aussi le produit en g lules.

# 2 Le B d ig Die

La section pr c dente du livre a d taill la Di te Budwig, donc je ne passerai pas beaucoup de temps ici pour it rer. Toutefois, je dirai avec force que vous ne devriezPAS prendre l alimentation Cellect et la Budwig

moins de 1,5 heures, l une de l'autre. En outre, veillez prendre l huile de foie de morue avec le Cellect et de lin avec la Di te Budwig.

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# 3 La Vi amine B17

Je passerai, quelques pages plus loin dans ce chapitre, d crire la vitamine B17, je ne vais donc pas y passbeaucoup de temps ici. Le fait est que cette vitamine est s lectivement toxique pour les cellules canc reuses,elle s'int gre donc, tout fait parfaitement, avec ce protocole. Il est recommand de manger des grainesd'abricots, plut t que de prendre la pilule de la vitamine. Selon le Dr. Krebs, les patients atteints du cancer

doivent commencer par prendre un petit nombre de graines d'abricots par jour, et construire jusqu' unetrentaine de noyaux d'abricots par jour, de pr f rence dans un estomac vide, jeun, tendre dans la journ eentre les repas, en prenant une dizaine de graines entre le petit d jeuner et le d jeuner, puis dix de plus entre led jeuner et le d ner, puis dix autres au coucher.

# 4 J de l g me bi l gi e

Comme avec la Di te Budwig et la vitamine B17, j'explique la fabrication de jus frais, dans une autre sectionlivre, donc je ne vais pas entrer dans beaucoup trop de d tails ici. N'oubliez pas que la fabrication de jus dl gumes biologiques est cruciale pour deux raisons principales. Tout d'abord, les l gumes sont g n ralemen

tr s efficaces dans la lutte contre le cancer, gr ce aux nutriments et aux compos s phyto chimiques. De plus, efaisant le plein de jus frais, de jus de l gumes bio, vous n'aurez ainsi pas de place pour la "malbouffe" toxiquque la plupart des gens aiment manger, comme les sodas, les beignets, et les frites. Il n'estPAS n cessaire defaire un jus, vite, mais les patients canc reux devraient en boire (quotidiennement) environ une once (2,96 cl)de jus de l gumes frais, pour chaque quatre livres (2 kg) de poids corporel. Ainsi, une personne de 200 livre(100 kg) devrait avoir cinquante onces (1,48 L) par jour, une personne de 160 livres (80 kg) devrait avoquarante onces (1,19 L), etc. On recommande que vous buviez le jus dans une diffusion de plusieurs petitequantit s, au cours d une journ e enti re ; ne buvez pas le jus tout entier en une seule s ance.

# 5 L en leillemen ( i amine D)

Voir les chapitres suivants pour avoir de plus amples informations sur la vitamine D. Il est recommand ds exposer trente minutes d'ensoleillement par jour, si possible. NePAS utiliser un cran solaire, car il filtre lalumi re utilement, mais cca i nne galement lecance .

Ne age d F ie

Je peux dire avec 99% de certitude, qu'un patient canc reux en stade avanc , suivant le protocole CellecBudwig , devra stimuler son foie, afin de nettoyer les toxines captur es dans les autres parties de l'organisme

Ainsi, apr s la Th rapie Gerson et le traitement du docteur Kelley, on recommande des lavements au cafpuisque le caf ouvrira les conduits de bile et stimulera la production de bile dans le foie. Combien de lavemenpar jour ? Eh bien, certaines personnes en ont besoin de quelques uns et d autres, n en ont besoin que dseulement un par jour.

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Cel i ci f nc i nne n e l in ,la cha ne e i a i e ( la memb ane in e ne de mi ch nd iewww.krysalis.net

Au cours des quatre derni res d cennies, plus de 10.000 articles sur l implication biologique du DMSO sapparus dans les ouvrages crits du domaine scientifique, et 30.000 articles sur la chimie du DMSO on

galement t publi s. Les r sultats de ces tudes appuient fermement les estimations que le DMSO est unouveau principe th rapeutique remarquable. Dans son livre, Cancer & M decine Naturelle , John Boik citecertain nombre de publications, dans lesquelles les solutions du DMSO, dans de nombreuses formes de cancerscaus es in vitro (en dehors de l'organisme vivant), se sont diff renci es, retournant ainsi dans des cellulesnormales par le r tablissement du m tabolisme a robie.

Une fois le m tabolisme a robie r tabli, les cellules d j canc reuses seront ventuellement limin es apoptose. Se souvenir, que l apoptose est la mort cellulaire programm e qui arrive la plus normale decellules, dans une affaire de quelques semaines. R tablir l a robie du m tabolisme avec le DMSO n'a pas corrles dommages g n tiques, mais maintenant les cellules canc reuses sont dans un tat normal assez longtemps,cela donne le processus naturel, associ aux cellules saines (c'est l'apoptose) le temps de tuer les cellulescanc reuses. C'est un peu un paradoxe, mais d une certaine mani re, le DMSO tue les cellules canc reuses

les rendant saines.

Bien s r, avec un traitement alternatif efficace, vous pouvez vous attendre ce que les copains de l'Industrie duCancer aillent travailler. Selon Webster Kehr,La FDA a i n e de l'efficaci d DMSO ai e la de de en ill gal de fin m dicale , afin de ge le b n fice de ci de l'a i ine

e, a ili e ai e le a h i e ). Ain i, il d i e end a j d'h i c mme e en ai i le c nce , e le gani me g e nemen a n ac if dan le b d'

g ande ci c m e . Ache e le me de h mme li i e e a i facile e de dn b b .www.cancertutor.com/Cancer/DMSO.html

Alors que le DMSO a t appel la l c n e e de h a e i e a anc e de em m, lapol mique semble tre bas e sur la politique et l'argent, plut t que sur la science. Honn tement, je voudraique nous vivions dans un monde o les m decins en seraient traiter les patients canc reux avec leb n traitement, plut t que les patients ne se traitent eux m mes la maison. Malheureusement, en raison del'influence de Big Pharma, les m decins en sont utiliser des traitements qui ont t choisis sur la seule base dla (leur) rentabilit , plut t que sur leur efficacit . Quand vous consid rez le fait que le DMSO n'est pas um dicament brevetable, qu il est bon march , s r, et efficace, et en sachant ce que vous devriez savoir sul'industrie du cancer, n'est il pas tonnant qu'il y ait une campagne de diffamation contre le DMSO ?

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Un des plus importants attributs du DMSO et du MSM est que cela fonctionne en synergie avec d'autrestraitements, comme le chl e de c i m, la substance min rale la plus alcaline dans le monde. C'est un fait,que de nombreuses parties du monde, qui ont des niveaux lev s de min raux alcalins forts dans leur eau, onune tr s faible incidence de cancer. Le Hunzakuts du nord du Pakistan, ont de l'eau teneur lev e en c siumet n ontjamai d velopp de cancer, moins qu'ils ne s' loignent de leur patrie. Le Hunzakuts mangent aussdes noyaux d'abricot (qui contiennent de la vitamine B17) sur une base r guli re. Je discuterai de la th rapie B1plus tard dans le livre.

Quand le c sium est transport dans la cellule, il est capable d augmenter radicalement le pH intracellulaire cette cellule. Une fois l'int rieur de la cellule, le c sium commence tirer le potassium du sang, ainsi il blofinalement la consommation de la cellule en glucose, de cette fa on, il arr te le processus de fermentation, etde ce fait, il affame la cellule. Le c sium neutralise aussi l'acide lactique qui est produit avec la respirationana robie, ainsi la cellule arr te de prolif rer et arr te le cycle de cachexie au niveau cellulaire.

Peut tre, le plus connu des m decins utiliser le c sium pour traiter le cancer, est le Dr. H. E. Sartori. commenc son programme de traitement du cancer, par le c sium, en avril 1981, la Clinique M dicale Sciences Universelles de la Vie , Rockville, dans le Maryland, o cinquante patients atteints de cancersphase "terminale", ont t trait s. En d'autres termes, leur cancer avait m tastas sur d'autres organes, et ilsont t renvoy s chez eux pour mourir. L'Industrie du Cancer a tiquet leurs conditions comme "cad sesp r " et "phase terminale". Sur les cinquante patients, trois taient dans le coma, et quarante sept avaientd j compl t les doses maximales des Big 3 , avant que le c sium ne soit essay .

Le chlorure de c sium a t donn aux patients avec de la vitamine A, de la vitamine C, de la vitamine B17zinc, et du s l nium. Le r gime alimentaire se composait essentiellement de graines enti res, de l gumes d aliments riches en graisses om ga 6. Pour accro tre l'efficacit du traitement, puis am liorer la circulatiol'oxyg nation, les patients ont re u l'agent ch lateur EDTA et le DMSO. L' tude a inclus dix patients atteints

cancer du sein, neuf avec le cancer du c lon, six avec le cancer de la prostate, quatre avaient un cancer dupancr as, six en avaient un des poumons, trois avaient un cancer du foie, trois avaient un lymphome, l un d euavait un cancer pelvien, et huit avaient un cancer d'origine inconnue.

Les r sultats ont t tonnants. Environ50% des patients atteints d un cancer du sein, du c lon, de la prostate,du pancr as et un cancer du poumon, ont c endan a m in i an, malgr le fait que les m decinsclassiques ne leur donnaient que quelques semaines vivre ! Treize patients sont d c d s dans les deupremi res semaines de traitement. L autopsie des r sultats, dans chacun de ces treize communiqu s, en conclu que la taille des tumeurs, gr ce la th rapie du c sium, avaient diminu . tonnamment, les douleurs odisparu chez tous les patients, de un trois jours apr s le d but de la th rapie au c sium.

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Les r cits de ces tudes peuvent tre trouv s dans l'ouvrage du Dr. Sartori, Cancer Orwellien ou Utopique

Compte tenu du fait que le chlorure de c sium est g n ralement utilis uniquement sur les patients atteints decancers avanc s. Le taux de gu rison de cinquante pour cent, du traitement du Dr. Sartori est tonnant.V ici

i : Tous les patients avaient d j t pr venus de leur condamnation mort par les m deciconventionnels. Ils ont t tiquet s comme tant "en phase terminale" et renvoy s chez eux pour mourir. ont probablement subi des dommages caus s leurs principaux organes, occasionn s par les traitements dechimio toxique et/ou par la radioth rapie. Pourtant, encore la moiti d'entre eux a t sauv e ! Ceci est vraimeremarquable. Rappelez vous, le taux de gu rison par la m decine orthodoxe, pour les patients atteints decancer similaire avanc , est proche de cen .

Le Dr. Keith Brewer (un physicien) est devenu tr s int ress par le sujet du cancer dans les ann es 1930. Id couvert que lescell le canc e e n ne affini le c i m. Ce fait est la raison pour laquelle unisotope radioactif du c sium est couramment utilis comme un marqueur pour retracer les mouvements dem dicaments de chimioth rapie conventionnelle dans une tumeur. Introduire d importantes quantit s dec sium dans l'organisme, cela pourrait expliquer la possibilit d une cellule canc reuse en absorbsuffisamment, afin de changer son pH et perturber de cette fa on le m tabolisme ana robie, ainsi que leprocessus de fermentation dont elle a besoin pour rester en vie.

Apr s de nombreux essais, Brewer a d termin que le c sium ou le rubidium pourraient lever le pH des cellucanc reuses. En fin de compte il s'est concentr sur le c sium parce qu'il tait le plus alcalin des deux. question, cependant, tait de savoir comment obtenir suffisamment de c sium dans la cellule canc reuse pourchanger son pH. Brewer a d termin qu'il y avait un certain nombre de vitamines et de min raux (y compris vitamine B17), qui ont grandement am lior la capacit d'absorption de ces l ments par les cellulcanc reuses. Par l'administration de ces substances, en liaison avec le c sium, le niveau de l'absorption duc sium a t suffisant pour tuer les cellules canc reuses.

Voici comment. Le c sium a proc d alcaliniser les cellules canc reuses, ce qui leur occasionne de r tablm tabolisme a robie, cause l arr t de la r plication des cellules, et provoque galement l'apoptose normale, sproduisant en quelques jours. En 1981, des tests ont t effectu s sur trente patients atteints de cancer, et danstous les cas de ces trente patients, les tumeurs canc reuses ont disparu et la douleur a cess en quelques jours.Ce protocole est devenu la base pour ce qui est d sormais appel La th rapie du pH lev www.mwt.net/~drbrewer/highpH.htm

Vous rappelez vous l'histoire de Neal Deoul ? Il a financ des recherches sur le c sium et l'alo v ra pour lucontre le cancer et le SIDA. Il a t poursuivi, et son nom a t tra n dans la boue dans une longue bata

udiciaire lanc e par l'industrie du cancer. Au cours de la bataille judiciaire, Deoul fut diagnostiqu avec cancer, et se tourna vers une forme de th rapie pH lev , qui l a finalement gu ri du cancer.

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3. Il en r sulte une accumulation d'ions n gatifs l'int rieur du cancer cellulaire, qui annule le gradient potentiel travers la membrane cellulaire, ce qui est n cessaire pour dynamiser le co transport dusyst me sodium glucose, affamant ainsi la cellule.4. Il en r sulte une rupture du d guisement du cancer, qui trompait le syst me immunitaire, donc lacellule canc reuse devient en fait visible, et est attaqu e ou d truite par le syst me immunitaire.

Je suppose qu'il est possible que les quatre m canismes d crits par le Dr. Gregg jouent un r le dans la mort decellules canc reuses. En tout tat de cause, quel que soit le m canisme tueur du cancer, le fait est que leprotocole DMCC tue les cellules canc reuses (soit directement ou indirectement), arr te le cancer (lpropagation des m tastases, les tumeurs se r tr cissent au fil des semaines, et soulage la douleur en quelquesours, selon ce qui est l'origine de la douleur. Toutefois, s'il vous pla t, comprenez que n'importe quel nivea

d enflure, d'inflammation, et/ou de congestion peut tre tr s dangereux. Le protocole DMCC n'est parecommand pour tout le monde.

La Th a ie d En me/M ab li e d D . Kelle

La base premi re de la th rapie m tabolique de l'enzyme, pour le cancer, mane de la reconnaissance du faique les cellules canc reuses sont pratiquement impossibles distinguer dans les cellules placentaires setrouvant dans la grossesse. Cette th orie, appel e "la th orie trophoblaste", a t propos e par l embryologistEcossais, le Dr. John Beard, autour de 1900. D'abord, il a observ que dans l'invasion du placenta (trophoblaste), les cellules concern es sont tonnamment similaires aux cellules canc reuses, et d autreobservations ont amen croire qu'il y avait une corr lation intime entre ces trophoblastes, et les cellules

canc reuses.Dans le d veloppement pr coce du f tus, le trophoblaste placentaire produit une protection d une grandepartie de son environnement (le placenta), et de sa source d'alimentation (le cordon ombilical), de la m memani re que les cellules canc reuses forment un environnement protecteur (la tumeur), et une sourced'alimentation (le nouvel approvisionnement en sang). Une autre observation est que la barri re placentairetrophoblaste semble prendre un ralentissement de l'activit autour de la 8e semaine de grossesse. Il est devenuclair la barbe, que ce ralentissement a co ncid avec l'ach vement du syst me digestif chez le foetus, etl'activation du pancr as foetal.

La recherche m dicale moderne a aussi montr que ces cellules trophoblastes s cr tent une hormone appel eg nad hine ch i ni e h maine (hCG), et les quantit s de cette hormone augmentent jusqu'auxalentours de la 8 me semaine, puis ensuite commencent diminuer progressivement. C'est cette hormone, dem me que les enveloppes des cellules du trophoblaste, qui rendent les cellules canc reuses imperm ables notre syst me immunitaire.

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Il a t prouv que l'hCG est pr sente dans tous types de cancers. Autres que les cellules trophoblastiques et lcancer, aucune autre cellule humaine ne produit l'hCG. Donc, si vous faites un test d'urine d hCG, et obtenez ur sultat positif, alors vous tes soit une femme enceinte, ou vous avez un cancer. Le Navarro test urine , est test le plus pr cis, d'apr s mes recherches.

Les trophoblastes sont aussi entour s par une couche de glycoprot ines, notamment d une mol cule qui leudonne une charge n gative. Ce m me type de rev tement se trouve autour de la cellule canc reuse. Et en fait, iest l'une des raisons principales pour classer toutes les cellules canc reuses comme trophoblastiques.

galement charg s n gativement, ce sont les leucocytes (globules blancs), du syst me immunitaire. Et commenous le savons tous, les charges identiques se repoussent, tandis que les contraires s'attirent. Cela tant, lesdeux trophoblastes et les cellules canc reuses sont imperm ables la d fense naturelle du m canisme dusyst me immunitaire.

N'oubliez pas que le trophoblaste du placenta produit l'hCG jusqu' la 8 me semaine de grossesse, apr s elles'interrompe. Ceci e le l a di ec e le fai e le anc a d f e c mmence d i e d Et lorsque certaines enzymes, savoir la trypsine, la chymotrypsine et l amylase, rencontrent une cellutrophoblaste, elles sont capables de d composer les prot ines de surface, charg es n gativement. C'estpourquoi la maladie du matin commence habituellement autour de la 8 me semaine de grossesse lpancr as foetal n'est pas encore pleinement d velopp , preuve qu il n'a pas encore produit l amylase, qui eresponsable de la digestion du glycog ne (la "glyco", une partie du rev tement glycoprot ine). Encons quence, les glycoprot ines ne sont pas d compos es en ses plus petites unit s, les reins et le pancr as dela m re sont la fois oblig s de compenser, et de devenir surcharg s. Le r sultat est la naus e, des douleudans le bas du dos, et un affaiblissement de l' nergie. Ainsi, la m re enceinte peut compl ter son r gimealimentaire avec l amylase pour minimiser les naus es matinales.

Fait int ressant, l'un des cancers les plus rares est le cancer du duod num, qui est la zone maximale de l'intestin

pour les enzymes pancr atiques. La raison pour laquellen e fr quemment des cas de cancer du pancr as,est que les enzymes ne sont pas encore "activ s" dans le petit intestin. C'est aussi la raison pour laquelle, lecancer du pancr as a un tel taux de mortalit lev le pancr as perd sa capacit produire des enzymes, il na donc pas de m canisme de contr le pour le cancer !

En 1911, le Dr. Beard a publi un document intitul La th rapie enzymatique du cancer , qui a r sum sa thet les l ments de preuve l'appui. Apr s sa mort en 1923, la th rapie enzymatique a t largement oublinotamment avec l'av nement de Marie Curie, et cause de son travail sur les rayons. Le pionnier dans ld veloppement du traitement m tabolique des enzymes, fut le Dr. William Donald Kelley (un orthodontiste dTexas). Autour de 1960, l' ge de 35 ans, sa sant commen a se d t riorer.

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En 1964, une s rie de rayons X ont montr des signes d avancement d un cancer du pancr as, y comprisl sions dans les poumons, de la hanche et du foie. Le chirurgien dit Kelley, qu il tait trop malade pour pouv

tre op r , et a annonc Mme Kelley (son pouse et la m re de ses quatre enfants), qu'il en avait encore pouquatre huit semaines vivre. Kelley fut pr t abandonner, mais son pouse, elle, ne l' tait pas ! Elle jeta daliments ind sirables, dont la viande, et lui demanda de ne manger que des fruits frais et crus, des l gumes, denoix, des c r ales, et des graines. Apr s plusieurs mois, Kelley a commenc se sentir mieux, et ila m me r ussi retourner au travail.

Toutefois, apr s 6 ou 7 mois, son tat g n ral a cess de s'am liorer, et il a d velopp de graves probl mdigestifs, probablement dus au cancer qui progressait. Il a donc commenc la prise d'enzymes pancr atiquespour faciliter sa digestion, et a finalement augment la dose de 50 capsules d'enzymes par jour. Il a t , cett

poque, heureux de d couvrir le travail du Dr. John Beard concernant la relation des enzymes pancr atiquecontre le cancer. Il rencontra aussi les crits du Dr. Edward Howell, un des premiers avocats soutenl'alimentation v g tale.A ec le em , Kelle e en i emen d ba a de n cance. Consid rant le faitque le Medical Big Medicine , part toujours du principe que le cancer du pancr as est incurable, c' tait timpressionnant !

Kelley a th oris que la formation du cancer est attribuable l exc s d'hormones f minines qui ont responsables de la modification des cellules souches dans une cellule de trophoblaste. En termes simples, celasignifie que le cancer est la croissance du tissu normal, mais au mauvais endroit et au mauvais moment. Il croyaque le cancer progresse en raison d'un manque d enzymes du pancr as qui dig rent les cellules canc reusesFinalement, Kelley a poursuivi, en traitant plus de 33.000 patients ayant un cancer. Le Dr. Kelley avait obtenu utaux de gu rison de93% chez les patients qui vivaient au moins 18 mois apr s le d but de son traitement. End'autres termes, chez ceux qui n' taient pas "en phase terminale". Un immense succ s pour son protocole detraitement, puisque ce n'est pas n cessairement un traitement d'action rapide.

Bien s r, les blocs de construction de son protocole de traitement ont t lesen me anc a i e. Il agalement demand aux patients, l' limination du lait pasteuris , de l'arachide, de la farine blanche, du sucrede l'eau chlor e, et de tous les aliments transform s. Le Dr. Kelley a d velopp une gamme de plus de 5formulations nutritionnelles pour les diff rents types de cancers, et il a toujours des plans individualis s pour lepatients, en fonction de leurs propres types m taboliques. Le r gime alimentaire typique de Kelley, restreint enprot ines, est de 70% 80% de cru, et met l'accent sur les grains entiers, les fruits, les l gumes, les jus crus, choux de Bruxelles, et les enzymes pancr atiques. Des lavements au caf sont pris, pour aider d toxifil'organisme, et liminer les toxines s cr t es par des tumeurs, cause du fait qu elles se dissolve

La Mafia M dicale, dans son ignorance pompeuse et sa cupidit diabolique, n'a pas, comme le Dr. Kelley, vou

gu rir le cancer avec des enzymes peu co teux !

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Ainsi, ils ont envoy un jeune Interne en m decine, le Dr. Nicholas Gonzalez, pour enqu ter sur les travaux Kelley et le d mystifier. Gonzalez s'est rendu Dallas en 1981 pour interroger et enqu ter sur le Dr. Kelley.

t tonn de trouver, cas apr s cas, correctement diagnostiqu s, des patients atteints de cancer avanc s quitaient sains et actifs, de dix quinze ans apr s leur diagnostic. Kelley a rendu tous ses dossiers disponible

(plus de 10.000 patients) et Gonzales a t encourag communiquer avec chacun d'eux. Finalemenl' chantillon de l' tude a t r duit une cinquantaine de cas qui repr sentaient vingt cinq diff rents types cancer. Tous les cinquante patients avaient t initialement diagnostiqu s en phase terminale.La d e de

ie m enne de ce g e f de di an !

Aussi incroyables que ces r sultats puissent sembler, le Dr. Gonzalez a d cid d'aller encore plus loin. Il a vomettre l'accent sur le cancer du pancr as, puisque les cinq taux de survie d un an avec les traitementsorthodoxes, est pratiquement de cen. Il a cherch et trouv vingt deux patients ayant un cancer dupancr as qui avaient t trait s par le Dr. Kelley entre 1974 et 1982.

Les vingt deux patients se r partissent en trois cat gories :

1. Dix patients n ont consult Kelley qu'une seule fois et ne sont jamais all s sur le protocole Tous sont mor

2. Sept patients n ont suivi le protocole que partiellement et sporadiquement (tel que d termin par desentretiens avec des membres de la famille, des m decins, et des archives) Tous sont morts.

3. Cependant, cinq patients ont suivi le protocole compl tement Tous ont obtenu une r mission long term(bien que l'un soit mort de la maladie d'Alzheimer, apr s 11,5 ann es de survie).Le a m en de ie de cecin a ien a ein d n cance d anc a a de 9 an !

Bien s r, comme avec d'autres m decins non conformistes, le Dr. Kelley a eu sa part d' tre pers cut par

Mafia M dicale et ses briseurs de jambes. Il lui a t mis une ordonnance d'interdiction qui lui a proscrit traiter autre chose que les maladies dentaires. Quand il a viol cet ordre, il a t jet en prison. Un tribunal texalui a aussi interdit de distribuer son livre, auto dit , intitul : Une R ponse au Cancer . Cela dit, le Dr. Kell

t le premier (et le seul) m decin tre interdit de publication par un d cret judiciaire !

Bien qu'il ait fait appel de cette d cision aupr s de la Cour Supr me des tats Unis, cette derni re lui a fait vaque l amendement des droits tait viol de fa on flagrante, la d cision a t confirm e. Il a finalementd placer sa clinique au Mexique. Il n'est pas surprenant, que son protocole de th rapie d enzyme/m taboliqueait t class , par l'American Cancer Society's , en M thodes non prouv es, sur une liste noire, en 1971, odemeure encore aujourd'hui.

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Cependant, Une R ponse au Cancer peut tre trouv sur ce site web :www.drkelley.com/CANLIVER55.html

Le Dr. Kelley est mort en 2005, mais avant de mourir, il a crit un livre intitul Cancer : Gu rir l'incurable SChirurgie, la Chimioth rapie, ou les Rayons . Ce dernier livre est encore mieux que son premier, et il estdisponible sur Amazon.com. Son travail est actuellement poursuivi par le Dr. Nicholas Gonzalez, qui dirige uclinique de New York. Son site web est :www.dr gonzalez.com

Le Th E iac

Ma grand m re, Helen Cade, Mama Helen , comme nous l'appelions tous affectueusement, a t paroissienne de l glise Ch teau Hills, Premi re Eglise Baptiste, San Antonio pendant plus de 40 ans. ma m re avaient t 2 des 18 membres de la Charte pour le retour de l' glise en 1952. (L' glise possmaintenant plus de 10.000 membres.) Comme les visiteurs de l' glise, Mama Helen tait de p riple visiter h pitaux et les personnes malades les personnes mourantes les personnes bless es. Je me souviens d avoirvoyag avec elle, et partout o elle allait, tous ceux qu'elle rencontrait, elle savait leur dire,"Che ami ,c nnai e J ?"Et puis, elle proc dait leur donner ses rochers de compagnie , sur lesquels taienpeints J sus vous aime , puis elle leur parlait de la mort de J sus et de sa r surrection. Quelle femme elle taJe peux seulement imaginer qu'il existe desmillie d' me au ciel comme d une cons quence directe de MamaHelen. Sur le t moignage d'Helen pour J sus.

Mama Helen a re u un diagnostic de cancer en phase terminale en 1988. Je ne suis pas s r d o elle l a appmais presque aussit t, elle s est mise brasser son propre th Essiac. Je me souviens tre all sa maison San Antonio, et l avoir aid e faire le th , remplir ces bouteilles d'ambre et les placer dans le r frig rateur.le but fid lement, presque aussi fid lement qu elle a partag l' vangile avec tous ceux qu'elle rencontrait. Je d

e e aussi fid lement, parce que je ne sais pas, honn tement, des deux, ce qu'elle faisait le plus fid lementplut t partager l' vangile. Quoi qu'il en soit, Maman Helen v cu encore dix ans avec son cancer en phasterminale, en grande partie pour avoir pris le Th Essiac, mon avis. Je ne sais pas pourquoi, mais elle avaitcess de boire le th , environ deux ans avant sa mort.

Retour en 1922, une infirmi re canadienne nomm e Rene Caisse avait remarqu quelques tissus cicatriciels surpoitrine d'une femme g e. La femme lui dit que les m decins lui avaient diagnostiqu un cancer du sein, biedes ann es auparavant. Toutefois, la femme ne voulut pas risquer une intervention chirurgicale, et en plus, ellen'avait pas l'argent pour cela. Providentiellement, elle avait rencontr un ancien homme m decine Indien, lui a dit qu'il pouvait gu rir son cancer avec une tisane. La femme a proc d de la fa on d crite Caissepropos des ingr dients mettre dans le th .

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Caisse a d constamment jouer au chat et la souris avec les fonctionnaires de la Sant F d rale Canadienne. ont exig des tests cliniques, mais elle a refus obstin ment de divulguer sa formule, sauf si elle avait obtenl'assurance officielle que le traitement Essiac ne serait pas perdu pour les personnes qui en ont besoin ; depuisle d but, la fid lit tait pour les gens qui taient venus compter sur elle. Les autorit s ne pouvaient pas luidonner l'assurance dont elle avait besoin, donc elle n a jamais divulgu la formule.

M me les plus grands du monde de la recherche, le Cancer Center, Memorial Sloan Kettering Cancer CenteNew York, n'a pas pu convaincre Caisse, de divulguer sa formule. Un flux r gulier de m decins lui rendit visiteCanada, en observant les cas des fichiers et parler aux patients, faisant ainsi pression pour leur vendre laformule. On lui a offert d' normes sommes d'argent pour commercialiser Essiac, mais elle a tout refus , sauune quantit minimale pour le paiement de ses services. Il n'est pas surprenant que Caisse ait t fortementpers cut e et constamment menac e d'arrestation. Enfin, dans la crainte de poursuites, elle a ferm la cliniqueen 1942, et entra dans l'isolement.

Rene Caisse est morte en 1978, l' ge de quatre vingt dix ans. Avant de mourir, elle a sign pour que les drode la formule Essiac reviennent deux parties : Resperin Corporation de Toronto, afin de tester, fabriquer, puidistribuer, et un ami de longue date et de grande confiance, le Dr. Charles Brusch de CambridgeMassachusetts, directeur de la prestigieuse clinique Brusch, et m decin personnel de l'ancien pr sident John FKennedy. Le Dr. Brusch avait lui m me eu un cancer du gros intestin, qui a compl tement disparu apr s avpris les traitements Essiac. Brusch a dit un jour :Je ai e le ai emen E iac a n i ena n e l' a g a e de l indi id , le c n le , e il e a i le g i .

Rene Caisse n a jamais publi sa formule. La seule personne en qui elle avait confiance pour l'aider faire Estait sa meilleure amie, Mary McPherson, qui connaissait la formule par c ur. Toute personne ayant acc s

Internet peut v rifier la bonne formule Essiac, que Caisse avait confi e Mary McPherson. Il suffit de visiterLeRene M. Cai e Mem ial R m www.octagonalhouse.com et cliquez sur le lien Essiac .

L , vous y verrez cette formule :

6 tasses 1/2 de racine de Bardane coup e (coup e en morceaux de la grosseur d un poiso Pendant des si cles, la racine de bardane a t consid r e comme un purificateur efficace du sang, qu

neutralise et limine les poisons de l'organisme. Des tudes ont montr une activit anti tumeur avec bardane. Des scientifiques Japonais ont isol une propri t anti mutation dans la bardane, qu'ils appellent l

facteur B . Une note de service de l'OMS a r v l que la bardane est efficace contre le VIH.

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• 1 livre de poudre Petite Oseille (y compris les racines)o Caisse a isol la petite oseille part, comme herbe principale dans l Essiac, qui dissout les tumeurs

canc reuses. La petite oseille contient de l modine d'alo s, une substance naturelle qui montre une importanteactivit anti leuc mique. La petite oseille contient des antioxydants, est diur tique, et a t utilis e pour soignles h morragies. N'oubliez pas d'inclure aussi les racines de la petite oseille, car elles sont essentielles.

• 1/4 de tasse de Poudre d'Ecorce d'Orme Rougeo L'orme rouge est bien connue pour ses propri t s apaisantes. Elle r duit les inflammations, comme

les plaies de la gorge, la diarrh e, et les probl mes urinaires. Elle contient du b ta sitost rol, qui a montr uneactivit anti cancer.

• 1 once de poudre de Racine de Rhubarbe Turqueo La rhubarbe turque a d montr qu'elle poss de une activit anti tumorale. Elle est diur tique, an

inflammatoire, et antibact rienne.

La pr paration du th Essiac est aussi importante que la formule elle m me. Essiac est une d coction, pas uinfusion. Une infusion est ce que les gens prennent quand ils ont mis un sachet de th dans une tasse d'eauchaude. De mani re g n rale, une infusion tend extraire les vitamines et les huiles volatiles. Une d coction eutilis e pour extraire les min raux, etc, partir de racines, d' corces, ou de graines, en faisant bouillir pendanplusieurs minutes, et laisser ensuite les herbes infuser pendant plusieurs heures. Les entrepreneurs vendentsouvent des imitations Essiac, sous forme de teinture (herbes dans de l'alcool) ou en capsules de g latine,celan e a la f m le E iac, parce qu Essiac est une d coction.

1. Utiliser un contenant en acier inoxydable et un couvercle, faire bouillir tasse du m lange d'herbes dansun gallon d'eau pure, non chlor e, pendant dix minutes.2. teindre le feu et laisser infuser les herbes pendant douze heures.3. R chauffer le th jusqu d gagement de vapeur, mais ne pas le faire bouillir. Pour permettre aux herbede s installer quelques minutes.4. Mettre le liquide chaud dans des bocaux st rilis s. La pulpe restante peut tre utilis e pour faire descataplasmes de gu rison.5. R frig rer le th . Pour le stockage long terme, l'utilisation de l'eau bouillante est une m thode de miseen conserve, et stocker dans un endroit frais, sombre, et sec.

Dans des buts pr ventifs, les gens prennent une deux onces par jour dilu es avec de tasse d'eau chaude.Assurez vous de boire beaucoup d'eau (au moins la moiti d'un gallon) chaque jour, pour aider nettoyer letoxines de votre syst me. Si vous avez un cancer, vous devriez prendre Essiac trois fois par jour. Ne mangez pa

ou ne buvez quoi que ce soit (sauf l'eau) de une heure auparavant, une heure apr s la prise d Essiac. Le thEssiac est compatible avec d'autres traitements alternatifs du cancer, l exception de Cancell,Ne ene aP cel™ a ec le h E iac, car ils ont tendance se neutraliser mutuellement.

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Certaines des meilleures informations sur Internet concernant le th Essiac peuvent tre trouv es sur :www.healthfreedom.info/Cancer%20Essiac.htm. Je recommande fortement que vous visitiez leur page sur lesquestions fr quemment pos es. Peut tre s agit il du meilleur livre jamais crit sur ce sujet, il s appelle LeEssiac, et peut tre trouv surwww.essiacUS.com. Si vous tes pour utiliser ce traitement, vous devriezvraiment acheter le livre.

Le G n a e de F ence

Une grande partie de cet article est extraite (avec sa permission) du site de Webster Kehrwww.cancertutor.com : Ainsi, une grande partie du verbiage et des hypoth ses sont li s la th oriemicrobienne du cancer. Le terme lectro m decine a un sens tr s pr cis dans le monde des techniquealternatives du cancer. Cela signifie des courants de faible am age lectrique, ou des ondes

lectromagn tiques qui voyagent travers le corps. Il existe plusieurs sortes de dispositifs d lectm decine . Les G n rateurs de fr quence sont des dispositifs d lectro m decine qui peuvent g n regrand nombre de diff rents courants lectriques dans le corps, et qui sont en mesure de faire revenir descellules canc reuses en cellules normales. Permettez moi de discuter de la th orie selon laquelle comment leg n rateurs de fr quence peuvent gu rir le cancer.

Le cancer est caus par un d s quilibre entre le syst me immunitaire et le nombre de cellules canc reuses qse forment. Nous avons tous des cellules canc reuses, mais lorsque le syst me immunitaire est affaibli, lecellules canc reuses peuvent submerger le syst me immunitaire, et la personne concern e est dite "d'avoir lecancer". Cependant, alors que l' quilibre entre le syst me immunitaire et le nombre de cellules canc reuses quse forment peut causer le cancer , ce d s quilibre n'est pas ce qui provoque une cellule normale devencanc reuse! Une cellule normale devient canc reuse quand une bact rie hautement polymorphe parocellulaire d ficiente est capable de p n trer l'int rieur d'une cellule normale.

Une fois dans la cellule, cette bact rie bloque la formation de mol cules d'ATP dans la cellule. La cellule revie la fermentation pour cr er des mol cules d'ATP, et la cellule est alors d finie comme canc reuse . Notez q

les dommages de l'ADN n'entra nent a une cellule devenir canc reuse, les dommages l'ADN sont lr sultat des bact ries en interaction avec l'ADN de la cellule. Cela signifie que si vous pouveze le mic be

l'int rieur de la cellule canc reuse, la cellule sera en mesure de restaurer son m tabolisme normal et pourraredevenir une cellule normale. En fait, c'est le moyen id al pour gu rir le cancer, car il n'y a pas de cellulcanc reuses mortes, et en fait, pas de cellules canc reuses du tout (parce que les cellules canc reuses sontredevenues des cellules normales).

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Le Dr. Royal Raymond Rife, un microbiologiste qui a fait beaucoup de recherches dans les ann es 1930, a bicompris toutes ces choses. Gr ce cette compr hension, il a con u un g n rateur de fr quence (c. d"Machine Rife") pour faire vibrer les microbes ( l'int rieur des cellules canc reuses) jusqu la mort. Depuisles g n rateurs de fr quences ont t con us autour des ann es 1930, une nouvelle race de g n rateurs dfr quences ont t d velopp s, qui ont gal et m me d pass l' uvre originale du Dr. Rife.

Le ai emen d cance e ne c e. Il s'agit d'une course entre la destruction de vos cellules canc reuses etla protection des cellules non canc reuses, dans le but de vous d barrasser de vos cellules canc reusesrapidement, afin de prot ger vos cellules non canc reuses. Plus vite vous r ussirez vous d barrasser de vocellules canc reuses, plus vos chances de survie seront meilleures. Pour comprendre l'importance de l lectrm decine, supposons que vous soyez sur un champ de bataille et que ce soit lors d une fusillade (tirs de combaavec des coups de feu) avec l'ennemi. Bien que vos armes principales soient des fusils, des mitrailleuses, dechars, etc, je puis vous assurer que vous seriez tr s content d'entendre le rugissement des Jets alli s amicaux audessus de vos t tes. C est exactement de la m me fa on, lorsque les g n rateurs de fr quence sont utiliscomme traitement secondaire contre le cancer, que le traitement primaire du cancer peut tre assimil vosfusils et vos chars. Le rugissement des r acteurs est le fonctionnement tranquille de g n rateurs de fr quence.

Malheureusement, vous ne trouverez pas n'importe quel fabricant ou vendeur d un g n rateur de fr quencequi fait de la publicit que leur produit sert traiter les maladies (y compris le cancer), ni ne risquerait d utilile terme lectro m decine dans leur litt rature, ou r pond vos questions sur l'utilisation de leur apparepour le traitement de tout tat de sant ! Cela est d la pers cution potentielle de la FDA et de la MafM dicale.

Cette section contient les informations que vous n'obtiendrez PAS de votre fournisseur, en raison d unepossible (probable) pers cution. Le fait que les fabricants et les fournisseurs ne soient pas autoris s faire despublicit s m dicales concernant leur quipement (m me s'ils sont exacts et bien document s) est la preuve que

la FDA et la FTC ont atteint leur objectif de s parer les informations v ridiques sur les produits. En d'autrtermes, une information honn te sur un produit et le produit lui m me, ne sont pas autoris s combiner sur m me site ou dans la litt rature marketing, ou m me dans des arguments de vente! C'est totalement absurde, mon avis. Mais c'est pourquoi vous ne verrez jamais aucune information comme celle ci s'afficher sur le siWeb du fabricant, ou sur le site Web d'un fournisseur.

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Si vous avez besoin de soutien pour l'utilisation d'un protocole g n rateur de fr quences, je vous recommandede visiter le site Web de la Fondation Ind pendante de Recherche sur le Cancerwww.new cancertreatments.org . Les membres de l ICRF (FIRC nomm e ci dessus) sont exp riment s sur les machinefr quences, et ce sera un atout important si vous poursuivez dans cette voie de traitement. Ils approuvent lamachine de fr quence GB 4000 pour deux raisons. Tout d'abord, elle a t con ue sp cifiquement por pondre aux sp cifications de la machine originale de Rife, et m me les d passer. Deuxi mement, un protocoexact, bouton par bouton, a t rendu public pour l'utilisation de la GB 4000, afin de traiter le cancer. Pour plusd'informations sur la machine GB 4000 et sur son protocole, s'il vous pla t visitez :http://cancertutor.com/Cancer03/Spec01_GB4000.pdf

La Th a ie Ge n

La th rapie Gerson est une th rapie m tabolique qui fait usage d un r gime alimentaire sp cial, ainsi que dsuppl ments alimentaires et des lavements au caf . Les deux premi res ditions de ce livre ne contenaient pade d tails sur ce traitement du cancer, mais gr ce des recherches suppl mentaires au cours des deuxderni res ann es, je crois maintenant que la th rapie de Gerson est un des meilleurs traitements disponiblescontre le cancer. Il est sans doute le plus fondamental, reconnu le meilleur, le plus complet et le plus longtraitement du cancer, efficace, existant et disponible aujourd'hui. Il est galement tr s rigoureux, et exige queles patients adh rent un protocole tr s strict, afin de r ussir.

Le Dr. Max Gerson est un m decin r fugi Allemand, qui est venu New York et pr che un vangilel agriculture et la nourriture biologiques pures. Avant d'immigrer aux Etats Unis d Am rique, alors qu'il taim decin r sidant en Allemagne, Gerson tait capable de gu rir ses propres maux de t te, ou migraines, emodifiant son alimentation. Les aliments auxquels Gerson tait sensible, et qui taient pingl s aupr s eunes tudiants en m decine Allemands, taient : (les plats de poisson la cr me, les saucisses pic

l'alcool, le sel, et les viandes grasses). Plus tard, quand il entra dans un cabinet priv , il a commenc prescrison r gime alimentaire anti migraine pour ses propres patients, et il a remport un grand succ s.

Un patient migraineux a signal que son lupus vulgaire (tuberculose de la peau) a galement t radiqu , sur base du r gime alimentaire anti migraine Gerson. Gerson a commenc utiliser son approche di t tique posoigner d'autres personnes souffrant de lupus. Il a m me commenc avoir du succ s avec le traitement contrela tuberculose. Un minent chirurgien pulmonaire, le Dr. Ferdinand Sauerbruch, a entendu parler du succ s dGerson, et l'a invit mener un essai clinique de sa th rapie, au pavillon tuberculose Sauerbruch s de Mun

Le r gime alimentaire de Gerson a t appliqu 450 patients tuberculeux. A cette poque, la tuberculose taconsid r e comme tant incurable .

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Apr s le test, il a t signal que 446 patients avaient compl tement r cup r . Pour ceux d'entre vous quaiment les pourcentages, c'est un taux de gu rison de 99,1% sur les patients en phase terminale !

Le traitement di t tique de Gerson est rapidement devenu bien connu en Europe, et il a t adopt parbeaucoup comme tant le traitement standard pour les troubles du syst me immunitaire de toutes sortes, ycompris la tuberculose. Les partisans de la m thode ont r clam ce traitement, et beaucoup de sanatoriums quitraitaient la tuberculose dans les montagnes Suisses, ont t mis en faillite par les d couvertes de Gerson, etsont maintenant devenus des stations de ski, y compris Davos, Gstaad et d autres.

En 1928, Gerson a re u un appel d'une femme qui avait, disait elle, un mal incurable, le cancer des canabiliaires. Selon Gerson, elle le pria de la soigner avec son traitement de la migraine et de la tuberculoseacceptant qu il ne savait rien sur le cancer et ne pouvait donc pas pr dire l'issue de son traitement. Gersonrevendiqua qu'elle avait gu ri enti rement gr ce sa th rapie, de m me que deux de ses amies qui avaienaussi un cancer. Bien s r, avec tout ces succ s sur les traitements du cancer, des "tueurs" de la Mafia M dicalont tent de le calomnier, de critiquer le prestataire, et Gerson ne fit pas exception.

Il s'embarqua sur un essai clinique de sa th rapie qui tenterait de faire taire ses d tracteurs une fois pour toutes.Il d cida de traiter seulement les patients qui avaient t d clar s par crit "en phase terminale", par au moindeux sp cialistes, il n'y aurait donc aucun doute quant la maladie ou sur son pronostic. Le 1er avril 1933, semaines seulement avant qu'il n ait pr sent les r sultats de son tude, Adolf Hitler commen a arr ter Juifs pour les envoyer en camps de concentration. Gerson a litt ralement chapp l'arrestation par accident,et a quitt l'Allemagne pour de bon, laissant derri re lui les r sultats de son tude.

Comme Juif Allemand, Gerson a t contraint de fuir l'Allemagne avec sa famille en 1933, d'abord Vienne pdans la ville d'Avray (pr s de Paris), et Londres. Il s'installa ensuite dans la ville de New York en 1936. Uneaux USA, Gerson a commenc appliquer sa th rapie alimentaire aux patients atteints de cancers avanc s. E

1946, avec cinq de ses patients atteints de cancer gu ris, il a t moign devant le tribunal, qu'il avait d couveun rem de au cancer. Dans la soir e du 3 juillet 1946, il a t annonc publiquement la radio, que Gerson ad couvert un rem de au cancer. Sans surprise, cette d claration publique a t condamn e par ses coll gues

plus saint que toi , de la New York State Medical Society.

Apr s plusieurs ann es de succ s dans la pratique m dicale, mais sous surveillance accrue, le Dr. Max Gersond c d subitement le 8 mars 1959, dans des circonstances myst rieuses. Charlotte Gerson, sa plus jeune fille, fondatrice de l'Institut Gerson, d clara : M n e, g de 78 an ai en a fai e an , and d' n jil e en i bi a e.

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Il n e n ang e n c n a n ni ea le d'a enic. L ' n l i a demand i elice, elle a nd : N n, n a n e de n , mai il a ai a e ience e la j

fai e .

Selon le Dr. Gerson, le cancer est le r sultat de deux choses : laca ence e la ici. Notre corps n'a toutsimplement pas assez de nutrition sur la base de l'alimentation moderne, est expos trop de produitschimiques, et en cons quence, les toxines font se d velopper le cancer. Gerson croyait que le cancer pouvait

tre invers si le patient arrivait nettoyer le corps de ses toxines, et parvenait r tablir le syst meimmunitaire avec une nutrition adapt e. En raison de cette croyance, les fondements de la th rapie Gersonsont la d toxification et le rajeunissement de l'organisme, reposant sur le principe de l'envahissement del'organisme par les micronutriments, sans le sel, sans les graisses, par le biologique, la nourriture v g tarienne,dont 13 jus de fruits et l gumes fra chement press s par jour. Ce traitement est utilis dans "l organismentier", la diff rence des traitements conventionnels toxiques, puisque Gerson ne croyait pas que traiterseulement le secteur localis , et des cellules canc reuses concentr es tait une bonne id e.

Les enzymes pancr atiques sont d une importance vitale dans la th rapie de Gerson. Voici pourquoi : Avant qule corps ne se d t riore par le cancer, tous les syst mes de d fense de l'organisme doivent tre d prim s ethors d' quilibre. Si votre pancr as fonctionne correctement, et si vous avez les enzymes pancr atiquesad quats, vous ne pouvez pas d velopper un cancer. Comme je l'ai mentionn dans le chapitre surl'alimentation, les enzymes pancr atiques (en particulier la trypsine et la chymotrypsine) dissolvent la couchede prot ines de protection qui couvre les tissus malins, et qui rend impossible pour le syst me immunitairenaturel de l organisme, de reconna tre les cellules canc reuses comme tant trang res. Ainsi, dans un corpsfrapp par un cancer, les enzymes pancr atiques doivent tre compl t s.

Corr l e son adh sion sur les enzymes pancr atiques, la th rapie Gerson r pond aussi troitement l'axioselon lequel un exc s de prot ines dans l'alimentation est canc rig ne. En tant qu ancien bodybuildeconcurrentiel, j'avais l'habitude de suivre les conseils des m decins et des nutritionnistes, et de consommermassivement des quantit s de prot ines animales sur une base quotidienne. Par exemple, je prenaistypiquement, huit petits repas d'au moins trente grammes de prot ines, principalement compos s de poulet,de poisson, et d ufs. J'ai cru tort que la viande, le poisson, les ufs, et les produits laitiers, contenaient desprot ines compl tes (contenant les huit acides amin s essentiels non produits dans le corps), tandis que toutesles prot ines v g tales taient des prot ines incompl tes.

Toutefois, des recherches l'Institut Karolinska en Su de, et au Max Plank Institute en Allemagne, ont montr

que la plupart des l gumes, fruits, graines, noix, et c r ales, sont d'excellentes sources de prot ines compl tesEn effet, leurs prot ines sont plus faciles assimiler que celles de la viande, et elles sont non toxiques.

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Consid rant que les chercheurs de Karolinska ont galement d couvert, que lorsque la viande tait chauff e 212 F (100 C), (ind pendamment du fait qu elle soit bouillie, grill e, frite, ou cuite au four), les protcontenues dans cette viande sont transform es en amides toxiques, canc rig nes. Les recherches effectu es l'Universit de Californie Irvine, ont montr que les enfants qui mangent aussi peu que trois hot dogs en unsemaine, avaient une incidence de 10 12 fois plus grande de d velopper des leuc mies et des tumeurs aucerveau. Dans une vaste tude men e en Chine par T. Colin Campbell, Dr. en recherche m dicale, Il a constat que les groupes de personnes qui mangent la plupart des prot ines animales ont, de loin, la plupartdes maladies cardiaques et des cancers.

L'une des raisons pour viter les exc s de prot ines, est que le corps ne peut en emmagasiner que tr s peu.Nos reins et notre foie sont charg s de faire avancer l limination, de se d barrasser des prot ines, de sorteque plus nous consommons de prot ines, plus les reins et le foie doivent travailler pour les liminer. Gerson

tait aussi tr s int ress par le traitement du foie, car il croyait que le foie tait en fait l'organe le pluimportant dans l'organisme, d au fait qu'il est le syst me de filtration pour la d toxification. En fait, il vit unparall le entre la d gradation du foie et la croissance, puis la progression du cancer !

En raison de sa pr occupation pour les probl mes de foie, il tait oppos au je ne, et au lieu de cela, sor gime tait appuy au jus frais chaque heure veill e du jour. En buvant le jus, les patients re oivent u

norme flux de substances nutritives, des min raux, des enzymes, et des vitamines qui commencent nettoyerles reins. Les substances nutritives entrent dans les tissus, dans les cellules, et font excr ter les poisons parforce ; et tous ces poisons sont vacu s dans la circulation sanguine. Le foie les filtre. Vous devez aider le foie se d barrasser d'eux, et il n y a seulement qu une fa on de le faire en ouvrant les conduits de la bile. Gersoaccompli cette t che, et a beaucoup t d cri , diffam , et ridiculis avec ses lavements de caf . M maujourd'hui, un demi si cle apr s sa mort, il reste "un bouc missaire" favori de l'Industrie du Cancer.

Jusqu' tout r cemment, je n'avais pas conscience du fait que le sodium stimule la croissance tumorale. Enoutre, c'est un fait que tous les aliments transform s contiennent une teneur r duite en potassium, mais par

contre, augment e en sodium. Ainsi, avec la th rapie Gerson, l'accent est mis sur la teneur lev e en potassiumet faible en sodium (dans le m me ratio qui peut tre trouv e dans les aliments frais et vivants), il n'est donc patonnant que tous les aliments transform s soient interdits. Avec la th rapie de Gerson, la plupart des graisses

sont strictement interdites car elles stimulent la croissance tumorale. Cependant, Gerson tait au courant queles patients canc reux ont besoin de certains acides gras essentiels. Il s'est rendu compte des travaux de la Dre.Johanna Budwig en Allemagne, qui ont d montr que l'huile de lin, qui aide stimuler le syst me immunitaiest bien tol r e par les patients canc reux. En r gle g n rale, l'exception de l'huile de coco, vous ne devriamais cuisiner avec les huiles, ces changements caloriques atteignent leur nature chimique (les d t riore), de

acrylamides sont form s, et ils causent des probl mes de sant . Donc, l'huile de lin ne doit tre utilis e que cruet froid.

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L'huile de chanvre contient jusqu' 5% de GLA pure, une concentration beaucoup plus lev e que dans touautre plante. Pendant des mill naires, le chanvre a t utilis dans les infusions m dicinales et toniques eraison de ses propri t s curatives. Le chanvre ne soulage pas seulement la douleur, mais apporte aussi l'app tiaux malades du cancer, il a galement t d montr poss der des propri t s curatives. Le c t chimique danschanvre (c. d. le cannabis), qui est responsable de nombre de prestations m dicales, est le deltat trahydrocannabinol (THC). Dans les ann es 1930 aux Etats Unis, les teintures m dicinales de chanvre aveTHC taient disponibles dans la plupart des pharmacies.

la m me poque (la fin des ann es 1930), William Randolph Hearst et la Hearst Paper Manufacturing Divide Kimberly Clark avaient en propri t des millions d acres de terrains forestiers exploitables. La soci t Heaqui a fourni la plupart des produits du papier aux Etats Unis, et appartenait aussi la plupart des journauxrisquait de perdre des milliards cause de l'industrie du chanvre. En 1937, Dupont a brevet le processus poufabriquer des plastiques partir du p trole et du charbon. Le Rapport Annuel de Dupont a exhort lesactionnaires investir dans sa division p trochimique. Les synth tiques comme le plastique, le nylon, la rayonnpouvant maintenant tre faite partir de p trole. l'industrialisation du chanvre naturel aurait ruin plus de 80%des affaires commerciales de Dupont.

Andrew Mellon est devenu Secr taire au Tr sor du pr sident Hoover, et principal investisseur de Dupont. Ilnomm son futur neveu (Harry J. Anslinger) la t te du bureau f d ral des narcotiques et des droguedangereuses. Les r unions ont t tenues secr tes par ces magnats de la finance. Le chanvre a t d clar

dangereux , et il constituait une menace pour leurs entreprises de plusieurs milliards de Dollars. Pour que leurdynasties restent intactes, le chanvre avait v cu. Ils ont pris un obscur mot d'argot Mexicain ( marijuana ), el'ont pouss dans la conscience de l'Am rique. Une campagne m diatique de journalisme jaune a fait ragdans les ann es 1920 et 1930, les journaux de Hearst ont publi des articles mettant l'accent sur les horreurs dla marijuana . Les lecteurs ont t amen s croire qu'elle tait responsable des accidents de voiture, de perte de la moralit , d'innombrables actes de violence, de la folie incurable, et de meurtres vicieux. Des film

comme "Reefer Madness" (La Folie du Joint) et "Marihuana : les Mauvaises Herbes du Diable" ont t conpar la propagande de ces industriels, afin de cr er un ennemi. Leur but tait de gagner le soutien du public pouque les lois anti marijuana puissent tre adopt es.www.tpuc.org/content/marijuana conspiracy

Dans les ann es 1930, les gens taient tr s na fs, au point m me de se situer dans l'ignorance. Les masstaient des "moutons" en attente d' tre dirig s par le peu de pouvoir. Ils n'ont pas d fi l'autorit . Tout comme

le mouton d aujourd'hui, si les nouvelles taient imprim es sur papier ou cout es la radio, ils croyaiqu'elles taient vraies. Ainsi, malgr le fait que la campagne de lavage de cerveau ait t b tie sur dmensonges complets, le chanvre fut interdit la fin des ann es 1930. Le chanvre constituait une trop grandemenace pour l'industrie papeti re et l'industrie p troli re. De plus, Big Pharma n'aimait pas les applications non

toxiques et peu co teuses des vertus m dicinales !

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Le chanvre tait abondant, conomique, et faisait pire encore pour la Mafia M dicale, il ne causait pas d effesecondaires qui leur aurait permis de requ rir des prescriptions afin de d livrer leurs inf mes poisons.

La preuve m dicale de l'efficacit du THC dans le traitement du cancer, et le fait galement qu il r duisedouleur, est immense. Nous avons connu cela depuis 1974, ann e o la premi re exp rience de documenter leeffets de la marijuana anti tumorale a eu lieu au Coll ge M dical de Virginie, la demande du gouvernemAm ricain et du National Institute of Health (NIH). Le but de l' tude tait de montrer que la marijuanendommage le syst me immunitaire et provoque le cancer. Toutefois, l' tude a r v l que le THC ralentit croissance de trois types de cancers chez la souris (cancer du poumon, du sein, et d une leuc mie induite par uvirus).OUPS!Cette information n a jamais pu tre rendue publique, nous n avons pas pu l obtenir! Ainsi, la Da rapidement arr t l' tude de la Virginie, et toutes les autres recherches sur les effets anti cancer du chanvrem me si la recherche a prouv quele THC e n em de c n e le cance !!

En 2000, des chercheurs Madrid ont appris que le THC du chanvre inhibe la propagation du cancer du cerveagr ce l induction s lective de la mort cellulaire programm e (apoptose), dans les cellules tumorales cerveau, sans impact n gatif sur les cellules saines environnantes. Ils ont t capables de d truire les tumeurs a

cerveau, inc able chez les rats, en leur injectant du THC. Mais malheureusement, la plupart des Am ricains nsavent rien sur la d couverte de Madrid, car pratiquement aucun des grands journaux Am ricains n ont publl'histoire. En 2007 l Harvard Medical School, une tude a montr que le THC du chanvre diminue les tumcanc reuses du poumon de 50%, et r duit de mani re significative la capacit du cancer m tastaser (propager). D'autres chercheurs ont galement montr que le THC est un traitement efficace dans la maladie deHodgkin et le sarcome de Kaposi. Une tude r cente venant de Tha lande a d montr que le THC peut aulutter contre le cancer des voies biliaires, ce qui est rare et mortel. En fait, l'International Medical VeritiAssociation comprend l'huile de chanvre dans son protocole contre le cancer.

Rick Simpson a trait avec succ s son cancer en phase terminale, avec de l'huile de chanvre, et depuis lors, il

t le premier promouvoir l'huile de chanvre en tant que traitement viable du cancer. Ironie du sort, le 2novembre 2009, un jour avant qu il ne soit couronn "Combattant de la Libert de l'Ann e 2009" la CannaCup d Amsterdam, Simpson apprenait qu'il avait t attaqu de nouveau par la GRC (Gendarmerie RoyaleCanada, ou autrement dit, la RCMP). Simpson a t fortement pers cut pour sa position sur la marijuanm dicale et dans ses efforts pour aider les gens gu rir de leur cancer avec de l'huile de chanvre.

Simplement, je crois vraiment que nous vivons dans la matrice! Presque toutes les substances naturelles queDieu a cr es (comme le chanvre, les graines d'abricot, la lumi re du Soleil) sont consid r es comm"dangereuses", alors que les m dicaments toxiques sont pouss s par Big Pharma tre consid r s comme s rIl est l gal pour les m decins, d attaquer les gens avec leurs poisons, mais vous pouvez aller en prison pour av

tent de vous sauver vous m me ou un proche, d'un cancer, avec de l'huile d'une simple plante de jardin ou lgraine d'un simple fruit.

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Deux drogues qui sont l gales dans ce pays (alcool et tabac) sont connues comme tueurs. Chaque ann eaux Etats Unis, le tabac provoque 435.000 morts et l'alcool cause 85.000 d c s.www.drugwarfacts.org/cms/node/30

La m me tude ne r v lea c n d c attribu l'usage de la marijuana. N anmoins, le gouvernementAm ricain continue son simulacre de guerre aux m dicaments , qui est tout autant un chec que frauduleuse guerre contre le cancer , et l imposture qu est la "guerre contre le terrorisme". Il a t prouque chaque fois que le gouvernement corrompu d clare une guerre contre quoi que ce soit, le probl me nedevient que bien pire. Qui se moque de qui ?

Le tr s propre juge en droit administratif de la DEA , Francis Young a d clar :"En e me ic emen m dicla ma ij ana e bien l e e de n mb e alimen e n c n mm n c ammenmange 10 mme de e e c e e e ne ac i n i e. La ma ij ana dan a fl' ne de b ance ac i e h a e i e le l e c nn e de l'h mme. En e

a i nnelle, la ma ij ana e e ili e an dange dan la ine e i e de in m di

La science pour l'utilisation m dicinale du chanvre est crasante. Il devrait tre produit et distribu chaque, tout patient atteint de cancer qui en a besoin. Mais la r alit est que nous vivons dans un monde corrompu

dirig par la Mafia M dicale qui pr f re plut t gagner de l'argent, tandis que les patients frapp s par le cancmeurent de mort cruelle, que de leur donner acc s un traitement non toxique, efficace, naturel, comme lechanvre.

Certaines des informations contenues dans cette section ont t prises, avec l'autorisation, dans un articleintitul La Conspiration de la Marijuana , crit par Doug Yurchey et publi en mars avril 2009 dans le mag

The Dot Connector , et pouvant tre retrouv surwww.thedotconnector.org/mag .

L H e he mie

L'hyperthermie est une fi vre induite artificiellement. Hippocrate avait not quela maladie i ne g i a la chale e inc able .En 1893, le Dr. William B. Coley avait observ la r gression du cancer aupr s depatients, chez lesquels il avait inject des toxines bact riennes (c. d. des toxines de Coley) directement dan

tumeur, et cela leur avait occasionn une forte fi vre . Le nom moderne des toxines de Coley est Mixed BacteriVaccine (MBV) ou vaccin bact rien m lang . Dans une tude Allemande, portant sur des patients atteints estade avanc de lymphomes non hodgkiniens, ayant re u le MBV, ces patients avaient atteint un taux der mission de 93%, comparativement avec un taux de 29% pour les t moins ayant re u une chimioth rapie. (Ralph W. Moss, l'industrie du Cancer, page 160).

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En 1927, Julius Wagner Jauregg a re u le Prix Nobel de M decine pour des travaux comportant l'applicatith rapeutique de l'hyperthermie.

La fi vre est depuis longtemps un sympt me incompris et maltrait . La plupart des m decins orthodoxe

essayent de combattre et de r primer la fi vre, d'o la n cessit d'Advil et de Tylenol. Toutefois, le fait est qula fi vre est un esprit constructif, un sympt me de promotion de la sant , initi et cr par l'organisme dans seefforts propres combattre les infections, les autres conditions de la maladie, et pour restaurer la sant . Vousvoyez, la fi vre fait activer le m tabolisme, inhibe la croissance d'invasion des virus ou des bact ries, et acc lle processus de gu rison.

L'hyperthermie est un proc d th rapeutique utilis pour lever la temp rature de la tumeur canc reuse amoins 108 F (42,2 C) pendant une heure. Il est bas sur un fait scientifique simple et facilement v rifiable, qutemp rature de 108 F (42,2 C)e le cell le canc e e ,mais pas les cellules normales des tissus humains.Dans les tissus normaux, les vaisseaux sanguins s ouvrent (se dilatent) lorsque la chaleur est appliqu

dissipant la chaleur et refroidissant l'environnement cellulaire. Contrairement aux cellules saines, une tumeurest un groupe de cellules serr es, de ce fait, la circulation est restreinte et lente. Lorsque la chaleur estappliqu e la tumeur, les nutriments essentiels et l'oxyg ne sont coup s aux cellules tumorales. Il en r sulte ueffondrement du syst me vasculaire de la tumeur, et la destruction des cellules canc reuses.

Nous avons tous besoin d'une certaine fa on, d' lever la temp rature du corps, et nous cr ons unenvironnement s lectivement n gatif pour les cellules canc reuses ren gates, qui peuvent tre pong es par lesyst me immunitaire. L nergie des micro ondes est tr s efficace pour le chauffage des tumeurs canc reuseparce que les tumeurs contiennent g n ralement une forte teneur en eau. En 1990, le Dr. Alan J. Fenn (unIng nieur Electricien au Massachusetts Institute of Technology) a d velopp un concept pour le chauffage de

tumeurs profondes par des moyens d'adaptation des micro ondes. Cela s'ajuste aux propri t s des tissus d'unpatient concentrer l' nergie micro ondes la tumeur.

Il existe plusieurs autres m thodes utilis es pour induire une hyperthermie, comme l immersion de tout le corpdans l'eau chaude, l' chographie, et les saunas, pour n'en nommer que quelques uns. Personnellement, jepr f re les saunas, car la peau est notre plus grand organe liminateur, et est parfois appel e le rein "tiers". Enr gle g n rale, la peau devrait liminer 30% des d chets toxiques de l'organisme par le biais de la transpiratioToutefois, en raison du manque de travail physique et d une vie trop s dentaire, la peau de la plupart des gensaujourd'hui, a d g n r en tant qu'organe liminateur (puisque la plupart des gens n'ont jamais de sueur). Si lasant est restaurer, il est d'une importance vitale que l'activit liminatrice de la peau soit revitalis e. Eprenant un sauna ou un hammam r guli rement, cela contribuera restaurer et revitaliser l'activit denettoyage de la peau. L'hyperthermie combin e avec des radiations faible dose est un traitement tr s efficacecontre de nombreuses formes de cancer. Il y a peu d'effets secondaires et le corps est capable de r cup rer durayonnement faible dose dans la plupart des cas.

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Le Dr. A. Lwoff, un c l bre bact riologiste Fran ais, a d montr dans des exp riences scientifiques r p tque la fi vre est en effet un grand m dicament , et qu'elle peut aider gu rir de nombreuses maladie"incurables". Un oncologue de renom, le Dr. Josef Issels, a d clar :A ificiellemen ind i e, la fi e a leg and en iel dan le ai emen de n mb e e maladie , . Gardez l'esprit que cetteremarque a t faite par l'un des sp cialistes du cancer, de premier plan dans le monde!

L'hyperthermie donne au cancer un"c i le":

1. Elle enl ve les accumulations de produits chimiques toxiques qui causent le cancer.

2. Elle am liore la circulation alors que les tissus sont la fois nourris avec de l'oxyg ne, et rince les d chetsacides.

3. Elle affaiblit, ou m me tue les cellules canc reuses qui ont une faible tol rance la chaleur contrairement au

cellules saines.En mai 2009, le BSD Medical Corporation (bas Salt Lake City) a utilis un syst me P riph rique pour UHumain (HUD), d signation pour la soci t BSD 2000. Syst me d Hyperthermie utiliser en combinaison aradioth rapie pour le traitement de certains patients pr sentant un carcinome du col ut rin. Mais si vousessayez d'obtenir un traitement par hyperthermie dans un h pital Am ricain, vous prouverez la plupart dutemps une exp rience de frustration. Si vous voulez avoir une chance raisonnable d'ajouter une hyperthermie votre programme propre de traitement du cancer, vous devrez toujours aller en Allemagne, en Chine ou dans unautre pays qui accueille l'innovation.

S'il vous pla t, notez que parce que l'hyperthermie se concentre ni emen sur la destruction des cellulescanc reuses dans les tumeurs et non pas sur la reconstruction du syst me immunitaire avec la nutrition, lepatient atteint d un cancer doit toujours utiliser une hyperthermie en liaison avec un protocole bas sur lanutrition. Il y a plus de 2.000 ans, le c l bre m decin grec, Parm nides, d clara : Donnez moi une chanccr er de la fi vre, et je vais gu rir n'importe quelle maladie . Cette sagesse traditionnelle a certes r sistl' preuve du temps.

La Vi amine C en In a eine e

La vitamine C est essentielle la formation du collag ne, la prot ine Ciment qui maintient ensemble cellules de notre corps. Pensez des cellules qui seraient comme des briques dans un mur. La force d'un mur debriques ne vient pas vraiment des briques, mais elle est pr sente, r side, dans le ciment situ entre les briquesLe collag ne est donc ce ciment qui maintient ensemble les cellules de votre corps.

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Si le collag ne est abondant et fort, vos cellules tiennent bien. Si les cellules s'agglutinent, les tumeurs passentun moment difficile pour se propager travers elles. La force du collag ne peut ainsi arr ter la propagation dcancer.

Les cellules canc reuses s cr tent une enzyme appel e "hyaluronidase", qui les aide ronger le collag ne etsortir, se propager dans le reste du corps. Cette op ration est d crite en d tail dans le livre : Hyaluronidase Cancer , crit par le Dr. Ewan Cameron. Afin d'emp cher les enzymes hyaluronidases de dissoudre le collagle Dr. Matthias Rath demande le renforcement de la consommation des acides amin s L Lysine, LProline EGCG (un polyph nol cat chine trouv dans le Th Vert), en tant que nutriments accompagnant la vitamine Des essais en laboratoire ont d montr l'efficacit de la combinaison de ces quatre substances, bloquer lesenzymes hyaluronidases.

La vitamine C est n cessaire notre syst me immunitaire, pour produire et mobiliser les leucocytes qcombattent le cancer. Cette fonction immunitaire maximale est vitale si nous voulons que l'organisme puisserepousser le cancer. Comme je l'ai mentionn , les traitements orthodoxes comme la chimioth rapie et lesrayons, d truisent le syst me immunitaire. Dans une publication de 1995, plusieurs m decins ont pr sent d

preuves que l'acide ascorbique (et ses sels) est f en iellemen i epour les cellules canc reuses. End'autres termes, la i amine C e le cell le canc e e , en a gnan le cell le n male , le c .

Ainsi, il semble que la vitamine C renforce non seulement le syst me immunitaire, mais elle tue auspr f rentiellement les cellules canc reuses. C'est fascinant. Cette toxicit pr f rentielle a eu lieu in vitro, splusieurs types de tumeurs des cellules. Des donn es ont galement t pr sent es, sugg rant que laconcentration plasmatique de l ascorbate, requise pour tuer les cellules tumorales, est r alisable chez l'homme.(Riordan, Meng, Li, Jackson. L ascorbate en intraveineuse, pour une tumeur d agent chimioth rapeutique descytotoxiques, Medical Hypotheses, 1995).

Et comme raison, si cela ne suffit pas, prenez de la vitamine C, puis v rifiez : la vitamine C aide transporl'oxyg ne, et est un puissant antioxydant. Selon le Dr. David Gregg,F ndamen alemen , la i amine C

an e dan le ang a m n elle e d e. Elle e al an e e le e le mi ch nd ie , e li e n en iel d' da i n, l'alimen a i n de la cha ne e i a

e .

Le Dr. Gregg met l'hypoth se que le principal effet des fortes doses de vitamine C, est de se servir demol cules d'oxyg ne pour le transport dans le sang, en remplacement de l'h moglobine (qui ne peut fournir del'oxyg ne des cellules canc reuses). Il recommande une combinaison de vitamine C et de vitamine E, sacha

que la vitamine C transporte l'oxyg ne dans le cytoplasme, et la vitamine E transporte l'oxyg ne travers leparois cellulaires.

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La th orie du Dr. K.N. Prasad est que les cellules normales n'ont besoin que d'une minute, contr l e avepr cision, pour mettre en action les antioxydants afin de fonctionner. Elles rejettent tout exc s. Mais parmi lesautres d fauts, les cellules malignes ont perdu la capacit de r guler leur consommation d'antioxydants commela vitamine C et E. Les antioxydants peuvent donc s'accumuler dans les tissus canc reux, dans des niveaux qupeuvent conduire la destruction et la mort des cellules malignes. (Prasad KN. Les antioxydants dans traitement du cancer : quand et comment les utiliser en tant que norme adjointe, et th rapies exp rimentales .E e Re An icance The a , 12/2003, 903 15).

Les docteurs A. Goth et I. Littmann, dans un document intitul Teneur en acide ascorbique dans les tissucanc reux de l'homme , (Cancer Research, Vol. 8, 1948), d crivent comment le cancer prend le plus souvent soorigine dans les organes, dans lesquels les niveaux d acide ascorbique (vitamine C) se situent en dessous de 4,mg%, et cro t rarement dans des organes contenant des niveaux sup rieurs. Ne voyez vous pas la connexionVous souvenez vous quelle quantit de peroxyde d'hydrog ne doit tre vers e sur les plaies pour tuer lemicrobes ? Une recherche publi e en septembre 2005 par le Dr. Mark Levine a montr que les hautes doses dvitamine C par voie intraveineuse peuvent augmenter les niveaux de peroxyde d'hydrog ne(H O ), au sein dcellules canc reuses, et les radiquer.www.pnas.org/content/102/38/13604.abstract

La prise de conscience que la vitamine C est utile dans le traitement du cancer est principalement attribuable autravail du Dr. Linus Pauling en 1976, lui et un chirurgien Ecossais, le Dr. Ewan Cameron, ont rapport que patients trait s avec des doses lev es de vitamine C avaient surv cu trois ou quatre fois plus de patientsemblables qui n'avaient pas re u de suppl ments de vitamine C. L' tude a t men e au d but des ann e1970, Vale of Leven Hospital Loch Lomonside, en cosse. Le Dr. Cameron a trait cent patients atteintscancer avanc , avec dix mille milligrammes de vitamine C par jour.

Les progr s de ces patients ont ensuite t compar s avec ceux de 1.000 patients (trait s avec d'autresm decins), qui n'avaient PAS re u de vitamine C. Les r sultats ont t publi s en 1976, avec Pauling en tant co auteur, de Le Ac e de l'Acad mie Na i nale de Science. Le rapport de 1976 a soulign les patients qui

avaient re u ant rieurement le traitement conventionnel ( savoir le "Big 3") ; compar s aux patients traitavec la Vitamine C, eh bien ces derniers, ayant re u la Vitamine C, avaient une dur e de survie moyenne de trocents jours de plus que les autres patients, avec une meilleure qualit de vie. Leurs exp riences ont prouv demani re concluante que la vitamine C est un traitement sup rieur pour les patients en phase terminale, parrapport la chimioth rapie.

L'Industrie du Cancer tait furieuse envers Pauling et Cameron. Elle n acceptait pas le fait que ces deu"charlatans" et leur th rapie de vitamine C, allaient couper le filon, dans lamine d' de la chimioth rapie ! Il yavait trop d argent en jeu pour l'Industrie du Cancer. Les actionnaires avaient besoin de profits normes ! LeConseils d'administration avaient besoin de salaires 7 chiffres et de parachutes dor s ! Leurs enfants avaien

besoin d'enseignement Ivy League (Universit s prestigieuses de la c te Est des tats Unis) !

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Ainsi, apr s la proc dure normale d'exploitation, il y eut une campagne "de diffamation" pour discr diter ldocteur Pauling. La v rit sur ce que Cameron et Pauling avaient d couvert devait tre cras e.Mai l'Industriedu Cancera ai n g bl me : les r sultats de ces tests avaient d j t publi s dans le livre de Cameron ede Pauling, Le Cancer et la Vitamine C .

Ainsi, l'Industrie du Cancer et ses copains se sont rapidement mis au travail. Ils ont men trois tudes bidon ave"pr d termination" des r sultats, toutes contredisaient les constatations de Cameron et de Pauling. Voici leursale petit secret : dans les trois tudes, ils ont omis de suivre les protocoles de s lection, n'ont pas suivi leprotocoles de traitement, ils ont aussi effectu quelques tours de fantaisie linguistique, et des tours de passepasse dans les statistiques.

Faut il s' tonner qu la fin, la fiert de l'Industrie du Cancer ait proclam que Cameron et Pauling taientcharlatans, et qu il ne fallait pas faire confiance en leurs recherches ? Toutefois, quatre tudes totalementind pendantes ont utilis le m me protocole de traitement, et ont obtenu les m mes r sultats, tout commePauling et Cameron. Les trois tudes bidon n'ont a utilis le m me protocole de traitement, et n'ont a , nonplus, obtenu les m mes r sultats.

Selon Webster Kehr, Le de n ali e Ma Clinic, cifi emen di c dide f i la a d i N bel, Lin Pa ling. Lin Pa ling a amen le gen c i e l idencela P e e cien ifi e dan la i amine C, e il a d e . C'e alemen inacce able Big Pha ma) n g e nemen c m , de e me e la di lga i n de e e cien ific nce nan l'al e na i e de ai emen d cance . Pa ce 'il de e e cien ifi e la i ame a ce 'il ne aien a le fai e ai e, il a de f i la a d P i N bel, i

im lac e d' de i an d ne de gen de l'a en i n de de alable . Une f i leache e , le m dia aien al end e en cha ge la e i n de la i , e c mmencla mi e l'inde de de alide .www.cancertutor.com

Le Dr. Abram Hoffer est commun ment reconnu comme le principal fondateur du mouvement pour la sant eles soins alternatifs, utilisant des m thodes de traitement nutritionnels (orthomol culaire). Au cours de sapratique s' tendant sur plus de 40 ans, il a trait des milliers de patients, principalement contre le cancer et laschizophr nie, il a particip la cr ation de nombreuses revues, d articles, et de livres. Dans le cadre de effort, il a collabor avec le Dr. Linus Pauling dans sa volont de l'utilisation de la vitamine C (avec d autresnutriments) pour le traitement du cancer.

Q elle an i de i amine C de ie end e ? Des tudes ont montr que pour pomper des niveauxad quats de vitamine C dans les cellules canc reuses, la vitamine C par voiein a eine e (IVC) est le meilleur

protocole. Bien s r, vous devez tre plac s sous la supervision d'un m decin vous ne devriez pas essayer vous faire une IV de vitamine C !

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Avec l IPT, l'insuline agit comme "potentialisateur", incitant les cellules canc reuses leur faire croire qu'elvont tre nourries de sucre (car elles prosp rent gr ce cela), alors qu en fait, elles vont tre d truites par chimioth rapie. Alors, l'insuline agit comme potentialisateur et augmente l'efficacit de la chimio, cette chimiest beaucoup moins dangereuse que la chimioth rapie traditionnelle. Cela signifie un c t avec beaucoup moind'effets ind sirables, ainsi qu un traitementbien l efficace.

Le lien int ressant entre les cellules canc reuses et l'insuline, est que le rapport scientifique de la litt raturem dicale dans lequel des r cents r sultats sont publi s, dit que les cellules canc reuses fabriquent et s cr teneffectivement leur propre insuline.

Selon le Dr. Stephen Ayre, l'un des experts en IPT, Le cell le canc e e b iennen le ne gie en le e in line, e im len elle m me le c i ance a la c i n de le fac (IGF) (fac e de c i ance). Ce n l , le m cani me de me maligne. L'in line

a l a achemen de ce e memb anai e de cell le ciale , e ce ce e lc ncen le memb ane cell lai e d cance , e le cell le n male . Ce ce eEn ca d ili a i n de l'in line en IPT, le l a final e e la chimi h a ie faible

cifi emen dan le cell le d cance , le en l efficacemen , e an le effe ec ndade la chimi h a ie. L IPT e ing nie e : elle e le cell le canc e e en ili an le m mele cell le canc e e ili en e de gen . www.contemporarymedicine.net/ipt_main.htm

La citation ci dessus est tr s importante dans la compr hension du m canisme du traitement IPT.L IPT e lecell le canc e e ... e e lemen le cell le canc e e. Tout comme les cellules canc reuses ont leurs cr tion ind pendante d'insuline, elles ont aussi leur s cr tion ind pendante d'IGF fournir avec un stimuillimit pour la croissance. Et les cellules canc reuses ont 16 fois plus de r cepteurs d'insuline ainsi que d'IGFleurs membranes cellulaires. Non seulement l'insuline peut rejoindre avec ses propres r cepteurs sp cifiques

les membranes des cellules, mais elle est aussi capable de jonction avec les r cepteurs des IGF, et decommuniquer des messages concernant la croissance de la cellule. Tandis que cela peut sembler fortementind sirable pour une th rapie de cancer, mais peut en r alit promouvoir l arr t de la croissance des cellulescanc reuses, c'est en fait, un effet utile de l insuline, ici.

Vous pouvez toujours savoir quand quelqu'un est soumis un traitement de chimioth rapie, car il perdg n ralement ses cheveux et est souvent tr s malade, avec la naus e. Ne vous tes vous jamais demandpourquoi ? La raison en est simple. Les cellules des follicules pileux du patient, les cellules qui tapissel'estomac, et les intestins, ont un d nominateur commun : ce sont descell le di i i n a ide. Il en va dem me pour les cellules canc reuses. La chimioth rapie aime attaquer le cell le di i i n a idesans

discrimination.

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Les DMSO/IPT repr sentent un puissant "c d ble" dans la combinaison des traitements, en particulier pourle cancer du cerveau. Tout en combinant le DMSO avec l IPT, cela ne peut se faire la maison, il est possibletrouver une clinique de l IPT et les convaincre de combiner le DMSO avec l'IPT. Dans le livre de M. Haus

num re les types de m dicaments de chimioth rapie qui se lient au DMSO. Ce traitement est extr memenpuissant et n'a aucun effet secondaire, puisque la quasi totalit de la chimio sera d pos e l'int rieur decellules canc reuses.

L IPT n a a i emen a c n effe ec ndai e. Il n'y a certainement pas de perte de cheveux, pas d aller lamaison frissonner au lit pendant quelques jours, et pas de graves vomissements. Occasionnellement,certaines naus es sont rencontr es pendant quelques heures apr s les deux premiers traitements, mais celaest aussi facile g rer. L IPT est elle vraiment efficace ?Ab l men. L IPT est dure contre les tumeurs tout en

tant tr s douce pour le patient, qui continue vivre une vie normale, un mode de vie vital pendant letraitement. Ces traitements durent un peu plus d'une heure, donc la plupart des patients sont en mesure decontinuer travailler leurs coutumi res vacations, tout en subissant ces traitements hebdomadaires. Maispourquoi votre m decin ne sait il rien propos de cette th rapie efficace, moins co teuse, et au protocolemoins nuisible ? La r ponse est simple : la FDA ne l'a pas approuv e, sauf en tant que proc durexp rimentale .

Pourquoi votre oncologue ne sait il rien ce sujet, de ce qui s est pass , et ce autour de ces soixante ans ? Cn'est pas parce qu'il n'a pas t document par Big M decine et Big Pharma il existe de nombreuses tudepubli es dans des revues professionnelles. Mais rappelez vous, si jamais vous tes dans le doute,i e j e la

i e de l'a gen . Mettons notre casquette maths ici, et d terminons quel traitement est le plus lucratif lachimio traditionnelle ou l IPT. Eh bien, puisque l IPT utilise uniquement 1/10 de cette co teuse chimio, je peque nous avons trouv notre r ponse, n'est ce pas ?

Un patient canc reux classique avec une chimioth rapie classique, produit des centaines de milliers de Dollar

de recettes pour l'industrie du cancer. Un tel traitement aussi simple que l'IPT couperait s v rement dans leursb n fices, non ? Malheureusement, comme nous l'avons vu plusieurs reprises, lesb n fice l'emportent surles inci e. En cons quence, l IPT est encore ignor e, quoique bien plus efficace que le traitement du cancede la chimioth rapie traditionnelle.

Beaucoup de gens dans l'industrie IPT appellent maintenant ce traitement IPTLD (Potentialisation cibl e faible dose d insuline), car cela d crit plus pr cis ment la th rapie. Ce nom a t recherch , r serv , et attrien 2007 par Annie Brandt, et le conseil d'administration de la Meilleure R ponse pour la Fondation du CanceLeurs sites regorgent d'informations importantes sur ce traitement. S'il vous pla t visitezwww.iptforcancer.com et www.elkabest.org.

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Un excellent m decin pratiquant la th rapie IPT (que je recommande et qui est un peu un pionnier dans cedomaine) est le Dr. Steven Ayre. Sa Clinique Contemporaine de M decine est situ e Burr Ridge, Illinois, et ssite web est www.contemporarymedicine.net. Le Dr. Ayre a tudi puis fait des recherches sur l IPT depuis plude 30 ans, et il a effectivement invent le nom"In lin P en iali a i n The a "en 1986. Il a publi denombreux articles dans des revues de litt rature m dicale sur l'IPT, et a soign des centaines de patientsatteints de cancer avec l IPT. Il utilise galement la th rapie IVC.

Un autre m decin de haut niveau qui utilise l'IPT, est le Dr. Richard Linchitz qui dirige la Linchitz MedWellness Long Island, New York. Son site web estwww.linchitzwellness.com. Le Dr. Frank Shallenberger,utilise galement la th rapie bio oxydative et l IPT, dans sa clinique au N vada. Sa technologie IPT est auniveau, et son site web estwww.antiagingmedicine.com. Si vous envisagez l'IPT, alors la premi re tapeconsiste acheter le livre Traitement du Cancer avec la Th rapie de Potentialisation par l Insuline de RoHauser, MD, et Marion A. Hauser, MS, RD. Il est disponible sur Amazon.com.

Life One

Le Dr. James Howenstine est un m decin Am ricain, form avec plus de 30 ans d'exp rience, qui utilise traitement appel "LifeOne."Sel n le D . H en ine, "T e le maladie d'imm n d ficience n a

ne a gmen a i n d a de maladie maligne , c m i le l m h me, la le c mie, e la maladie dea ien i n imm n d im a le m dicamen de chimi h a ie e la adi h a ie

la maladie de Ka i, le l m h me n n h dgkinien, le cance ce ical (d c l de l ), e la maladiLe a ien ff an de maladie a imm ne n ne incidence acc e a cance en ai n dem dicamen imm n d e e . Le me imm ni ai e e im li dan la ec nnaide c i n de cell le canc e e ."www.newswithviews.com/Howenstine/james62.htm

LifeOne est une combinaison tr s sp cialis e d ingr dients naturels base de plantes sous forme liquide, daune base liposomale sp cifiquement con ue. Cette base liposomale permet de tirer pleinement parti desingr dients actifs base de plantes, pour rester intacts, sans qu'ils soient ventil s dans le tube digestif. Cetransporteur liposomal permet aux constituants actifs base de plantes d exercer son plein effet sur le syst meimmunitaire, les cancers, et les virus. Les ingr dients actifs de LifeOne comprennent les plantes et leingr dients naturels suivants :

• Chrysine un flavono de d riv des fleurs de la Passion qui a des capacit s anti oxydantes et augmentFacteur de N crose Tumorale.• Coriolus versicolor un champignon anti viral chinois qui combat les effets du cancer, qui stimule le syst

immunitaire, et inhibe l'invasion des cellules canc reuses.

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• Diindolymethane une substance phytochimique se trouvant dans les l gumes crucif res, qui a un effet antistrog ne sur les cellules canc reuses.

• Le Resv ratrol un antioxydant contenu dans les raisins, qui emp che l'agglutination des plaquettes, etbloque la r sistance l'insuline, inhibe l'action anomale des oestrog nes, et bloque la croissance virale ainsi qusa r plication.• L extrait de Curcuma (curcumine) un antioxydant qui bloque fortement l inflammation, inhibe la r sistancl'insuline, inhibe les m tastases dans le corps, et a des effets b n fiques sur la reproduction virale du VIH.• La Querc tine un flavono de qui apporte la mort programm e aux cellules canc reuses (apoptose).• Extrait de Th Vert contient de l Epigallocat chine qui est un agent antioxydant fondamental dans le combcontre le cancer.• S l nium M thionine une forme organique de s l nium, un antioxydant dans la lutte contre le cancer, et qua des effets dans le corps, stimule le syst me immunitaire et aide restaurer les valeurs du s l nium qui sontfaibles chez les patients souffrant du cancer et du VIH.

LifeOne fournit les munitions n cessaires pour le corps, lui permettant de r cup rer d'un cancer, du VIH, et demaladies d'immunod ficience. Dans le premier mois de traitement avec LifeOne, il est courant que le poidbaisse et que la pression art rielle descende. La perte de poids s'explique par l am lioration de la fonctioendocrine et avec une baisse des niveaux dans la production d'oestrog nes (l inversion des exc s d oestrog neest courante chez la plupart des gens). Avec des oestrog nes moins disponibles, la sensibilit l'insuline esr tablie et le corps commence consommer du glucose normalement.

Les m canismes d action de LifeOne impliquent la mobilisation des lymphocytes tueurs attaquer les cellumalignes, ainsi qu tuer de nombreux virus nocifs, et r parer les l sions du syst me immunitaire (qui toujours atteint chez les patients canc reux). Il accomplit cette mission en stimulant la production delymphocytes tueurs et d autres lymphocytes, puis la production d'anticorps augmente. LifeOne a deux brevetsAm ricains en tant que produit de gu rison immunitaire. Les essais cliniques de LifeOne chez les patienatteints de cancer et du VIH ont t men s au Venezuela ainsi qu au Mexique, respectivement.

La dose standard recommand e de LifeOne est de deux cuill res soupe (une once) trois fois par jour pendan25 30 jours. La dose est ensuite r duite une cuill re soupe (une demi once) pendant 11 mois. Les patiecanc reux quin' n a re u de chimioth rapie ni de radioth rapie peuvent ressentir un sentiment de bien treet d' nergie retrouv es dans les quatre ou cinq jours apr s le d but de la prise de LifeOne.

Le Dr. Howenstine affirme,"LifeOne a ca able de g i ne g ande a i de ecanc e e . De e in i n m n 'il ai efficace 7 de 7 e de cell le cc m i le de e de cance d ein, le cance d c l n, le cance de la a e, le cance d

cance de ai e , e la le c mie aig m l c ai e."www.newswithviews.com/Howenstine/james62.htm

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Les patients qui ont re u la chimioth rapie ou la radioth rapie avant de commencer LifeOne ont souvent unr ponse plus lente que les autres, mais la r ponse lente peut tre acc l r e en utilisant De Aromatase, en liaisoavec LifeOne. De Aromatase est galement tr s b n fique pour l'utilisation d'oestrog nes sensibles dans llign e des cellules canc reuses. C'est un produit naturel utilis pour quilibrer le syst me hormonal dhommes et des femmes, ce qui am liore la fonction du syst me endocrinien (hypophyse, hypothalamus,glandes surr nales et thyro de).

Les facteurs qui entravent la r ponse rapide LifeOne sont les suivants : glyc mie lev e, infectiobact riennes et fongiques non diagnostiqu es puis non trait es, des l sions organiques dues lachimioth rapie et la radioth rapie, une mauvaise observance du r gime alimentaire faible indice glyc miqinsuffisance surr nale non reconnue et fonction hormonale anormale le plus souvent Hyperoestrog n mie avec absence de testost rone et de progest rone ad quates.

La phase initiale du traitement LifeOne provoque toujours une r action inflammatoire, l o les cellulecanc reuses sont pr sentes, car il stimule les lymphocytes tueurs pour attaquer les cellules canc reuses. Chezenviron 80% des patients, cela ne provoque aucun sympt me. Chez les personnes atteintes de tumeursc r brales, avec le tissu tumoral appuyant sur les nerfs, et dans des situations o une masse tumorale estl occlusion de la d glutition ou de la respiration, cette r ponse inflammatoire doit tre mouss e. C'est facilr aliser avec des doses physiologiques d'hydrocortisone ou de Cortef. Cette r action peut g n ralementcommencer d s le troisi me ou quatri me jour d'utilisation de LifeOne.

Chez les personnes qui ont un syst me immunitaire sain cela peut durer de 14 18 jours. Les personnes qui ole syst me immunitaire plus s v rement endommag ne commenceront faire cette r action que jusqu que 10 ou 14 jours de traitement LifeOne n aient t accomplis. Des apparitions tardives de la r actiinflammatoire peuvent tre un indice pour qu'une enqu te plus intensive des probl mes immunitaires

dommageables soit n cessaire. Des probl mes immunitaires comprennent souvent des sources fongiques,mycosiques, et bact riennes insoup onn es ou mal diagnostiqu es. cause des interf rences possibles avec lbon fonctionnement de LifeOne, son d veloppeur estime qu'il est g n ralement conseill de reporter uned toxification jusqu' ce que le cours de 12 mois de LifeOne ait t achev .

Un praticien de la sant connaissant les soins est n cessaire pour surveiller cette th rapie. Le Dr. Howenstine vau Costa Rica depuis plus d'une d cennie, mais voyager au Costa Rica pour lui rendre visite n'est pas n cessaircomme il travaille r guli rement avec les patients, via e mail et par t l phone.

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Il peut tre joint par courriel [email protected] et peut tre contact par t l phone au 011 506 2262 75(Note: Le 011 est le code utilis en Am rique pour faire des appels internationaux). Vous pouvez en savoir plsur le Dr. Howenstine www.mynaturalhealthteam.com. Le Dr. Howenstine est galement l'auteur d'unexcellent ouvrage intitul Guide du M decin des Produits de Sant Naturels qui Gu rissent.

Aux Etats Unis et au Canada, vous pouvez vous procurer LifeOne chezwww.lifeonesales.com. Pour le Mexique,le site web est www.lifeone mexico.com. En Am rique du Sud, le site web estwww.healthpro.com.dm. Pourcommander par t l phone aux tats Unis, le num ro est 1 800 416 2806. Si vous tes au Canada ou daautre pays, le num ro de t l phone est 1 985 237 9161.

Le La ie R e

Au d but des ann es 1960, un m decin Turc nomm H. Zima Ozel a d couvert un groupe de villageois Turcs

taient tonnamment sains et sans maladie, comparativement d'autres villageois similaires. Quand il fit unenqu te plus approfondie, il constata que les villageois taient tous en bonne sant , gr ce la prise d urem de traditionnel qui tait utilis au Moyen Orient depuis plus de deux mill naires. Ce traitement tait fonsur une plante commune d sign e dans la Bible comme le "D sert Rose", ou nomm e plus commun ment pala plupart d entre nous, la plante de laurier rose. Cette plante est d une nature hautement toxique lorsqu'elleest ing r e brute ou crue, mais elle se trouve tre la source d'un rem de merveilleux lorsqu'elle estcorrectement pr par e.

Le terme Laurier Rose renvoie deux vari t s de plantes, Nerium oleander (Laurier Rose commun) Thevetia peruviana (laurier rose jaune). Les deux esp ces contiennent des substances chimiques appel e

glycosides cardiaques , qui ont des effets similaires au m dicament pour le c ur Digoxine , qui peut toxique. Toutefois, la substance que presque toutes les personnes mettent dans leur bouche est toxique si elleest prise des doses suffisamment lev es. Le sucre est toxique si vous en mangez beaucoup trop. Ainsi que lsel.

Revenons notre le on d'histoire de lauriers roses. Apr s sa d couverte, le Dr. Ozel fit une demande de breveDans sa demande de brevet, il mentionna plusieurs tudes de cas, ainsi qu'une tude qui comprenait 494patients. Voici une citation de la demande de brevet :"En e jan ie 1981 e d cemb e 1985, 494 ain able , a ein de maladie maligne a anc e n e a ec NOI (injec i n de la ie

me maligne a aien d j diagn i e dan di e abli emen m dica ci

T ie ' l' ange . Le me maligne de ce a ien a aien g e e n aaien l b n ficie de l efficaci de ai emen c n e le me . Ce 494 ca incl aiee e e le a i de me maligne , e a aien e dan di e gane

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Ces 494 patients ont pr sent une am lioration de la qualit de vie ainsi que la r gression du cancer, tandis qules rapports taient nuls sur des effets secondaires notables. Les meilleurs r sultats ont t , dit on dans lprostate, le poumon et les cancers du cerveau. M me les sarcomes ont constat une stabilisation. Est ce que lplante de laurier rose, si elle tait pr par e de fa on correcte, pourrait, et si elle tait g r e correctement, t

f en iellemen i e pour les cellules canc reuses ? Si vous vous souvenez, il est largement admis qu'iexiste de nombreuses substances naturelles qui sont toxiques pour les cellules canc reuses, mais sans dangerpour les cellules normales. En fait, il existe de nombreuses substances naturelles qui s'int grent dans cettecat gorie. Par exemple, le raisin noir Concord d tient plus d'une douzaine de ces substances. L'un des objectifsdes chercheurs sur les traitements de remplacement du cancer, est de trouver des substances qui sont toxiquespour tuer les cellules du cancer, mais pas tellement, ni assez toxiques pour qu'elles tuent les cellules normales.

C'est l que viennent les lauriers roses dans l' quation. Comme je l'ai mentionn , le laurier rose est toxiqueIld i j e mani l a ec de gan. Il y a beaucoup d autres avertissements de s curit lorsqu'il s'agitde plantes de lauriers roses. Rassurez vous,il e i e aussi et surtout c n e le cancer et pour lescellules normales. Mais quand nous sommes en mesure de le diluer dans des proportions appropri es, c'est lqu'il est toujours toxique pour les cellules canc reuses, mais inoffensif pour les cellules normales ! Ce niveau dedilution et la toxicit sont maintenant bien connus.

Tony Isaacs a crit ce qui est, de loin, lemeille livre lectronique sur le laurier rose, intitul L Ennemi Natudu Cancer . Si vous pr voyez d'utiliser ce protocole, s'il vous pla t visitezwww.rose laurel.com et achetez celivre lectronique. Il est tr s bon march et tr s instructif.

Dans un courriel de M. Isaacs Webster Kehr, il critJe n ai en end ien d a e e de b n a c n a ce i n ili de e de la ie e l e ai de la

main enan Take n d B a il. Le cance n di a , n en g e i n, dimin i nde a enan d'Af i e d S d, le g e nemen a ad le m lange de la ie

bla ei M ill, Pa d A c , g iffe de cha , e e ai c mb (80% de la ie e) ; il e ablie bien. Le VIH SIDA e e abili , i e a a emmen in e . E a n e l an effe ind i able g a e effe ind i able im le d l e ai de la ie e. On e

d' e en me e d'aide el ' n.

Il y a un chapitre dans le livre lectronique intitul L'anti cancer et le Protocole de la maladie , qui d taillprogramme extr mement efficace pour tous ceux qui veulent avoir le maximum de chances de battre le canceret la maladie. Ce chapitre comprend les renseignements sur le nettoyage et la d toxification, l'alimentation, lanutrition, la construction d'un syst me immunitaire fort, et comment combattre le cancer avec les compl mentsalimentaires.

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La i , im le e h nn e e e le la ie e a aille inc ablemen bien. Le rem de peut tre utilisseul, avec d'autres suppl ments immuno stimulants, et m me avec des m dicaments sur ordonnance ou destraitements conventionnels tels que le Big 3 . D apr s des t moignages que j'ai lus, j'ai appris que le laurirose se combine avec la chimioth rapie ou la radioth rapie. Cela permet soit d' liminer ou de r duiregrandement la quasi totalit des effets secondaires n fastes, y compris la perte des cheveux !

Il y a deux fa ons de prendre le traitement du laurier rose contre le cancer. La mani re tr s privil gi e consistle prendre comme une capsule ou comme un extrait, car il a d j t m lang pour tre mis un niveau s r ples humains, mais est encore situ un niveau toxique pour les cellules canc reuses. Vous pouvez galemenacheter du laurier rose en capsules et en extraits, chez :www.sutherlandiaopc.com. Charlene et moi prenons uncouple de ces capsules chaque jour titre pr ventif .

La deuxi me fa on de prendre ce produit est de faire de la soupe de "Laurier Rose" vous m me.PRENEZGARDE : Si vous choisissez de faire votre propre soupe, m me si le facteur de dilution est maintenant bien

tabli, vous devriez lire et relire le livre Ennemi Naturel du Cancer plusieurs foisa an de commencer le

traitement par les plantes de laurier rose r elles, puisque le laurier rose est toxique. M me une petite quantitde mati re premi re brute ou crue, si elle est ing r e,e e la m .

P cel (En ele /Cancell )

L Entelev a t initialement con u et d velopp par Jim Sheridan, du Michigan, qui tait chimiste, avocaChr tien fid le. Il a commenc travailler sur sa formule dans les ann es 1930, et s'est poursuivi perfectionner jusque dans les ann es 1990. Initialement, Sheridan a appel son produit par le nom scientifiqu

KC49. Toutefois, tant donn qu'il croyait que l id e de base de sa formule, tait un don de Dieu, Sheridan par rebaptiser sa formule "Entelev", qui est tir du mot grec "ent l chie" au sens : "Cette partie de l hommque Dieu seul conna t". Elle a finalement t rebaptis e Cancell et est actuellement revendue commProtocel .

Dans ce chapitre, je vais utiliser le terme Protocel pour repr senter la ligne de produits qui comprend la foiEntelev et Cancell . M me en tant que jeune homme, Jim tait un fervent Chr tien et il priait Dieconstamment, afin de diriger ses pas et lui donner la capacit d'utiliser son intelligence pour le bien del'humanit toute enti re ; et il a m me eu des aspirations, tr s t t pour trouver une formule qui gu rirait lcancer. Il ne savait pas que ses pri res seraient exauc es, et que son r ve se r aliserait.

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En Chr tien fid le, Sheridan cr ditait sa formule, en partie ses tudes avanc es en chimie et galement r ve qu'il croyait venir de Dieu. Il a refus toute compensation financi re, revendiquant qu Entelev a t" ncadea de Die e enfan ." M. Sheridan a pass toute sa vie, la recherche, l'am lioration de lformule, et en essayant de l'amener la souffrance des gens du monde. Quand il se rendit compte del impossibilit d'obtenir l approbation de sa formule, il a r v l et donn le produitg a i emen. Un telaltruisme s est rarement vu.

Q 'e ce e c'e e c mmen a ma che ? Protocel est, au monde, le plus efficace capteur de radicaux libres(antioxydant). Il est con u pour cibler sp cifiquement les cellules ana robies dans le corps en interf rant avec production d' nergie ATP dans e le cell le de votre corps, le tout, en abaissant la tension de chaquecellule entre 10% et 20%. La raison pour laquelle je dis que Protocel cible les cellules ana robies (c.cancer) est simple. Toutes les cellules de notre corps ont une tension sp cifique, ou charge lectrique.

Les cellules saines ont une tension tr s lev e, tandis que les cellules malsaines (ana robies), ont un voltagtr s faible en raison du fait qu'elles produisent l' nergie par la fermentation. La l g re r duction de la tensioprovoque des cellules canc reuses ana robies avec tendance la baisse jusqu' un point situ en dessous duminimum dont elles ont besoin pour rester intactes, donc essentiellement les cellules s auto d truisent et sbrisent, ou "Lysent" en prot ines inoffensives. Les cellules saines du corps en g n ral, ont une telle hauttension normale que la l g re diminution de la tension provoqu e par Protocel™ ne peut leur nuire.

Retournons un peu en arri re, voulez vous ? Le processus par lequel nos cellules produisent et distribuenl' nergie cellulaire est appel e respiration ou m tabolisme . La plupart des gens pensent cela de respiration, mais chaque cellule vivante dans le corps est techniquement impliqu e dans la respiration, parceque le terme respiration renvoie aussi une r action chimique dans une cellule qui comprend l'oxyg ne et qfournit l' nergie la cellule. Ceci est crucial pour le syst me respiratoire de chaque cellule de notre corps et cun processus appel oxydo r duction (du terme anglais reduction oxidation), galement d nomm comme

syst me "redox".

Selon Jim Sheridan,"Ce me e e c n id c mme ne chelle, a ec ne ac i n chimi ed lan cha e a e... le de ni e ma che de l' chelle im li en de ac i n de

ela i emen im le imi i e . Le ac i n imi i e a ba de l' chelle n lie an en . Le ac i n de ie e i a i e ie e e igen la ence d' g ne. En

d c i n, c e le d lacemen e le ba de l chelle. P l' da i n le d lacemen a liel' chelle."

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La base scientifique pour Protocel est de placer un drain l ng e me de puissance sur les cellulescanc reuses. Maintenant, les cellules subissent ce qui est pr vu court terme, de toute la puissance du tempsRetour dans les ann es 1990, j' tais un bodybuilder comp titif. Je travaillais avec des poids, sur du court termpour faire travailler les cellules, puis les cellules r cup raient gentiment. Mais quand une cellule subit une fuid nergie long terme, malgr le fait que la cellule soit surcharg e, la respiration se poursuivra, mais l' quilidu syst me de respiration sera ventuellement affect . Par exemple, dans le tabagisme, les cigarettesprovoquent une fuite long terme de l' nergie des cellules dans les poumons. Ce type d'affection est appelune affection chronique dans laquelle les cellules travaillent en permanence et ne se reposent jamais.

Un drain de puissance long terme fait que la cellule se d place lentement sur les barreaux de l' chelle devoies respiratoires. Tant qu'il y est plac un drain de puissance, le mouvement de la cellule va vers le bas dl' chelle et se poursuit lentement. Cependant, quand il atteint un point, qui est d'environ 85% de la descentedepuis le haut de l' chelle, les cellules ne tombent pas toutes en aval de l chelle et elles restent en quilibreC'est le plus bas de la cellule o vous pouvez aller sur l' chelle des voies respiratoires, cela a toujourd'importantes analogies avec une cellule normale, c est galement le point le plus lev sur l' chelle, et celades similitudes avec une cellule primitive. Sheridan a appel ce point, le "Point critique" de l' chelle des voi

respiratoires.

Le point critique est la ligne de d marcation entre les cellules diff renci es (normales) et les cellules primitiveet est le point o une cellule devient canc reuse. Une fois enfonc e au point critique, la cellule veut rester dance nouvel tat d' quilibre au point de 15% sur l' chelle. Le probl me d'avoir une cellule dans l' tat d' quilibrepoint critique est que l'organisme ne reconna t pas vraiment la cellule, donc il ne conna t pas la fa on de traitavec elle. Si la cellule est encore en bonne sant , elle saura se recharger. Si la cellule est au plus bas danl' chelle, le corps saura comment se d barrasser d'elle par des processus naturels. Mais la cellule canc reuse esen marche sur la ligne, cheval sur la barri re entre les cellules normales et les cellules primitives.

Une des substances chimiques qui r duit la respiration est le cat chol. Les cat chols naturels ont de nombreuxpotentiels diff rents d'oxydo r duction. Protocel a t con u pour tirer parti du fait que la cellule canc reuest che al la cl e, en agissant comme un cat chol, inhibant la respiration au point critique, et decontraindre efficacement les cellules aller plus loin dans l' chelle de la respiration : ce qui est compl temenfait dans le stade primitif. Une fois que la cellule est enti rement au stade primitif, le corps la reconna t et venfin attaquer puis s'en d barrasser naturellement. Dans certains endroits (comme le cerveau) l'organisme vaformer une cro te, comme la membrane autour des cellules primitives. Il y aura la tumeur mais elle sera morteet enclose. Dans d'autres endroits (cancer de la peau), l'organisme peut effectivement la dig rer dans unprocessus appel L e (auto digestion).

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Mais cela diminue t il l effet dans la respiration cellulaire et cela peut il galement causer des d g ts aux cenormales ? C est clair et simple, la r ponse est n n . N'oubliez pas que les cellules normales fonctionnent bienau sein de leur potentiel produire de l' nergie comme elles sont pr s du sommet de l' chelle de la respirationComme le travail des cellules normales un tel niveau d'oxydo r duction (redox) du syst me, si leur potentielde respiration est quelque peu r duit, ce n'est pas un vrai probl me pour elles.

Selon James Sheridan, A c n gime alimen ai e n e n ce ai e... T ef i , ne ene a de mi amine C e E en enan En ele /Cancell. La c m i i n chimi e de ce de i amine

l' a d' d d c i n de l chelle En ele /Cancell e. De i , En ele /Cancell a c nf a in c i i e , d lacemen d i a l'efficaci d En ele /Cancell .http://alternativecancer.us/how.htm#diet

Se fondant sur le fait que les charni res de la r ussite de ce protocole poussent les cellules canc reuses plus basur l' chelle de la respiration, il est clair que vous ne devriez pas utiliser ce protocole, en liaison avec deproduits qui sont destin s augmenter la production d' nergie cellulaire. Les d i i e comprennent laco enzyme Q10, le s l nium, l acide alpha lipo que, la cr atine, l'IGF, la spiruline, la chlorella, et les super

RAPPELEZ VOUS : Si vous choisissez ce traitement, vousDEVEZ suivre les lignes directrices des suppl ments, lesaliments, et d'autres traitements alternatifs avec lesquels vous pouvez combiner Protocel . Beaucoup depersonnes rapportent des r sultats notables dans un d lai de trois cinq semaines. Dans un d lai d envirodeux mois, la plupart des gens voient les r sultats. J'ai entendu dire que Protocel ne peut effectivement eles cellules canc reuses en soi, mais permet plut t au corps de se d barrasser des cellules canc reuses par demoyens normaux, tels que la lyse. Cependant, apr s une longue conversation avec Tanya Harter Pierce, je croique Protocel e les cellules canc reuses. Quel que soit l'exact m canisme qui gu rira le cancer, soyez patiencar cela peut prendre du temps.

Selon Webster Kehr,"Si le ai emen P cel™

de ien m in efficace dan le em , il a de ai n P emi emen , c e il a el e ch e e mange ( c m i le c m l men alimenb e i in e f e a ec P cel™ ? C n id e cela , igne emen ... De i memen , il a

bl me l c m le e. La ai n, P cel™ e de eni m in efficace a ce e P cel™ ne e a ca able de e le M l i le D g Re i an (MDR) de cell le canc e e ( i le chimi h a ie). Si en e e c'e la ai n, de e imm dia emen de la a a e

ai emen . La a a e ne e a e lemen le cell le MDR, elle enf ce a a i l efficaci™ ad'a e m en ".

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Je ne puis dire assez de bonnes choses propos de son livre D jouez votre Cancer . Ce fut une excellensource d'information sur le protocole de traitement Protocel . Si vous choisissez d'utiliser Protocel , vousdevez alors acheter son livre. Il est d une "lec e bliga i e", et est disponible sur le site web suivant :www.outsmartyourcancer.com

Le Bica b na e de S di m (D . T lli Sim ncini)

Malgr le fait que je ne sois pas d'accord avec la pr misse sous jacente de ce traitement ( savoir que le cancest un champignon), je dois l'inclure dans ce chapitre, puisqu'il y a eu une multitude de patients atteints decancers qui ont t compl tement gu ris apr s avoir utilis ce protocole. Certaines de ces informationproviennent de Vicente Estoque, et je le remercie pour ses recherches.

LeD . T lli Sim ncini est un m decin Romain qui a d velopp une approche pour traiter le cancer : il utilise lbicarbonate de sodium, un compos chimique, avec la formule NaHCO3. Bien s r, vous me direz peut tre qvous avez oubli depuis longtemps la chimie du secondaire, et vous n tes peut tre pas familiaris avec lebicarbonate de sodium. . . mais je parie que vous avez entendu parler du bicarbonate de soude !

Le bicarbonate de soude est couramment utilis comme antiacide pour les secours court terme des troublesde l'estomac, afin de corriger l'acidose dans les troubles des reins, pour Alcaliniser l'urine au cours deinfections de la vessie, et pour r duire le plus possible la cristallisation de l'acide urique au cours du traitemende la goutte. Mais, selon Simoncini, le bicarbonate de sodium est irr sistiblement efficace quand il s'agit detissus canc reux. Le traitement au bicarbonate de soude de Simoncini est fond sur la th orie que "le cancer esun champignon", ce qui est aussi le titre de son livre. Alors que je suis en d saccord avec sa pr misse, savoirque le cancer est un champignon, il a certainement eu un excellent succ s avec ce protocole.

Peut tre le succ s est il d au fait que le bicarbonate de soude inonde les cellules canc reuses avec une ondde choc d'alcalinit et d'oxyg ne, donc inverse l'hypoxie qui est toujours associ e un tissu canc reux. Ou peu

tre cela fonctionne t il parce que la comparaison des tissus atteints du cancer avec des tissus sains, montre qule tissu canc reux a toujours un potentiel beaucoup plus lev de concentration en substances chimiquestoxiques et en pesticides que les tissus normaux ; et le bicarbonate de sodium poss de la propri t d absorbeles m taux lourds, les dioxines, et les furannes. Peut tre que c'est une combinaison des deux.O e

'il e i e n lien f ngi e a cance. En tout tat de cause, quel que soit le m canisme d'arr t du cancer, il n'ya pas de doute que des milliers de patients atteints de cancer, ont int r t utiliser la m thode de traitement deSimoncini et du bicarbonate de sodium afin de sauver leurs vies.

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Le manuel d oncologie clinique de l American Cancer Society sp cifie,"Le m c ine n de bcanc ig ne g n i e , l'e i i n c mmence dan l e dan le lai ma e nel, c n inla ie ; ce c ndi i n fa i en l'a a i i n de la maladie".

Le Dr. Doug Kaufman a not de nombreuses similitudes entre le cancer et les champignons. Ayons un regard sucertains faits fascinants avec les quelques points suivants :• L un et l autre, les cellules canc reuses et les champignons peuvent m taboliser les nutriments par voieana robie (sans oxyg ne).• L un et l autre, les cellules canc reuses et les champignons doivent avoir du sucre afin de survivre et meurenen l'absence de sucre.• L un et l autre, les cellules canc reuses et les champignons produisent de l'acide lactique.• L un et l autre, les cellules canc reuses et les champignons peuvent tre touch s par les m dicamentsantifongiques.

Dans son livre, Le microbe qui provoque le cancer , en accord total avec le Dr. Simoncini, Kaufman l'hypoth se que le cancer est un profond enracinement d une infection fongique que notre syst meimmunitaire ne reconna t pas. Kaufman estime galement que les antibiotiques, dont beaucoup commencentcomme des champignons, peuvent contribuer au d veloppement du cancer. Il met l'hypoth se que peut trede nombreux cas de cancer sont effectivement des erreurs de diagnostic, et sont en r alit des infectionsfongiques/surcroissances. Les infections fongiques peuvent non seulement tre extr mement contagieuses,mais elles peuvent aussi aller de pair avec la leuc mie ( oncologue sait cela). Par exemple, en 1999, M.Meinolf Karthaus a regard trois diff rents enfants "leuc miques" arrivant soudainement en r mission lors de lr ception d un triple cocktail de m dicaments antifongiques pour leurs infections fongiques secondaires

Selon le Dr. Simoncini,"Me m h de n g i de e nne endan 20 an . Bea c de me aabli c m l emen d' n cance , m me dan de ca l' nc l gie fficielle a ai en nc ".Alors, quel est sona de g i n ? Le Dr. Simoncini donne les statistiques suivantes :" i le cham ign n n en ible

l i n de bica b na e de di m, e i la aille de la me e inf ie e 3 cm, le cende 90% ; dan le ha e e minale le a ien admini e en a e b nne c ndi i n,

Le Dr. Simoncini a un c ur qui aime vraiment les gens et son d sir est de gu rir tout le monde, d'un cancer. Seintentions sont tout fait nobles il est un homme d'honneur et d'int grit . Je crois qu'il est juste de conclurcette section avec une citation du Dr. Simoncini : M n d i f nd e de end e ce e h a ie ac

e l'h mani . C'e m n fe me e i , e bien , le le f ndamen al de cham ign

d el emen de la maladie n la i e i ec nn , de e 'il i ible de e le f ce e i an e , de abli emen de an , le m dicamen an im c i e ,h a ie i e en a idemen ainc e, an d mmage ni ff ance , ne maladie i

de a age l'h mani .

Le Dr. Simoncini peut tre joint [email protected] et son site web est www.cancerfungus.com.

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Th a ie d I adia i n d Sang a Ul a i le ( UVBI )

Des recherches consid rables dans l'utilisation de la lumi re ultraviolette (UV) pour le traitement des maladieont t lanc es dans les ann es 1870. L'un des premiers chercheurs avoir exp riment la lumi re UV a t Ryberg Finsen, qui a remport le Prix Nobel pour "physiologie de m decine" en 1903, propos de straitements UV pratiqu s sur 300 personnes souffrant de Lupus au Danemark.

Un autre franc tireur avoir exp riment la lumino th rapie a t Kurt Naswitis, qui a directement irradisang par la lumi re UV travers une aiguille, en 1922. Puis dans le d but des ann es 1920, et tout au long ann es 1930, un savant de Seattle, le Dr. Emmett Knott a cherch exploiter les propri t s bact ricide connudes rayons UV pour traiter les maladies infectieuses du sang. Le th rapie par irradiation UV du sang ("UVBI") un nom scientifique pr cis, donn ce qui a d j t appel th rapie Photo Biologique, Photophor se,Photoluminescence (et ce, parmi d'autres noms).

Les UVBI ont t utilis s pendant de nombreuses ann es pour d sactiver les bact ries, virus, champignontoxines, et autres organismes envahisseurs. Ce traitement est effectu en irradiant (avec la lumi re UV) unepartie calcul e (100 125 ml) de sang du patient, et ce, dans un laps de temps situ entre 10 et 30 minutes, puissang est ensuite r introduit dans le corps. Ce sang irradi met de l' nergie photonique au reste du sang, quistimule une s rie de r actions favorables et g n re un environnement oxydatif riche. Cela, son tour d sactivles toxines, la disponibilit en oxyg ne augmente, stimule le syst me immunitaire, diminue la viscosit du sanemp che la formation de caillots dans la circulation principale, et am liore la circulation sanguine par le biais la vasodilatation (c. d. l' largissement des vaisseaux sanguins). L UVBI diminue galement l'agr gplaquettaire et stimule l oxyg ne singulet, ce qui cr e un environnement oxydatif qui va promouvol'autodestruction des cellules anormales (cancer) par apoptose.

Au centre de la compr hension de l'action des UVBI a t la d couverte de 1922 par Alexander Gurvich toutes les cellules vivantes mettent r guli rement desbi h n. Un photon est une particule de lumi re.Les bio photons sont les plus petites unit s physiques de la lumi re qui sont stock es et utilis es par tous leorganismes biologiques (y compris vous).

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L' nergie solaire vitale trouve son chemin dans vos cellules via la nourriture que vous mangez, sous la forme dces bio photons. Pour les raisons expos es ci dessous, les globules rouges ( rythrocytes) sont particuli remensensibles la lumi re et r pondent en mettant des bio photons qui stimulent leur tour d'autres globules

rouges faire de m me. Les bact ries et les virus sont plus vuln rables aux missions bio photoniques que nesont les cellules normales.

Tr s t t, les chercheurs ont not que les UVBI ont un double effet sur le syst me immunitaire : des dosnormales stimulent les leucocytes, tandis que des doses excessives d truisent les diff rents leucocytes. Lepremier effet est la base de l'explication de la r ponse immunitaire des effets b n fiques des UVBI. Le seconsugg re la raison pour laquelle les UVBI semblent si efficaces contre les maladies auto immunes. Dans troubles occasionn s par les maladies auto immunes, il appara t que les lymphocytes T et autres celluimmunitaires m taboliquement actives absorbent un nombre beaucoup plus lev de bio photons, que lescellules ordinaires du corps, ce qui les d truit, ralentissant ou stoppant la maladie. Ainsi, les UVBI peuvent do

tre la fois immunostimulants et immunosuppresseurs en fonction de quels ensembles de cellules sont econversation. De m me, une dose initiale d UVBI peut stimuler une cellule, mais des doses r p t es peuvventuellement l'inhiber ou la d truire.

Aussi, les UVBI oxyg nent et am liorent les caract ristiques du sang. Cela arrive rapidement la suite dtransfusion de sang trait , et peut transformer tout un ensemble de globules rouges dans le sang coulantlibrement en quelques minutes. L'oxyg nation du sang pourrait tre li au fait que les UVBI cr ent unee i e

an i d'ozone dan le ang. Certaines caract ristiques particuli res des globules rouges, ainsi que leurnombre (25.000 milliards l ge adulte) les rend particuli rement efficaces en tant qu'agents des UVBI, ce est consid r principalement comme une immunoth rapie des globules rouges. La stimulation des globule

rouges les transforme en un troisi me bras du syst me immunitaire. Il est galement possible que lefragments de bact ries, les virus, et les cellules qui sont d truites par les UVBI, agissent comme une sorte dvaccin dans le plasma, l'am lioration de la r ponse immunitaire. Les UVBI inversent galemen

suppression de la fonction de d toxification du foie.

Le Dr. Emmett Knott, un pionnier dans cette th rapie, avec ses associ s, a cherch expliquer exactemencomment le traitement UVBI obtient son effet th rapeutique. Eux et les chercheurs qui ont suivi, ont identifideux modes possibles :

1. le traitement du sang par les ultraviolets, d truit ou modifie les virus et les bact ries pr sentes dans le sanextrait, de mani re provoquer une r action du syst me immunitaire lors de son retour dans l'organisme, qui son tour d truit la plupart ou la totalit des autres bact ries ou des virus dans le corps.

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2. le traitement d'une petite fraction (5%) du sang se r pand alors dans tout le volume du sang lors de sonretour dans le corps, et les missions secondaires induites d truisent les virus, les bact ries, puis activent leglobules blancs (leucocytes).

Dans le num ro de Science Daily du 2 novembre 2007, il est paru un article int ressant qui met en lumi re scientifiques de l'Universit de Newcastle (Colin Self et Stephen Thompson), lesquels ont d velopp untechnique de lutte contre le cancer en utilisant la technologie de la lumi re UV pour activer des anticorps quattaquent sp cifiquement les tumeurs.

Selon le Professeur Colin Self,"N a n le m en d' e en me e d'ill mine ne ne me imm ni ai e, e le cance dan ce e face. Je d c i ai ce d el eme

l' i alen de l a cifi e balle magi e . Cela ai ignifie e la a ien e ai emen d cance de la e ie ece ai ne injec i n d'an ic ma . Elle 'a i ai da

endan ne he e e i e iend ai le ai emen a la l mi e. Se lemen el e mia la l mi e di ig e e la gi n de la me ac i e aien le l m h c e T an

imm ni ai e d c ne ac i n i a a e ai la me ." www.sciencedaily.com/releases/2007/10/071030080626.htm

Au Centre anticanc reux de Yale, le Dr. Richard L. Edelson a mis au point une m thode tr s efficace pour lutcontre le Lymphome Cutan Cellules T (LCT) en utilisant une variante des UVBI. Il appelle sa versi" h a ie de an imm ni a i n". Dans sa variante, l'approvisionnement en sang est enti rement trait , plut tque juste un petit chantillon de sang. Le traitement du Dr. Edelson (qui est d ailleurs un grand succ s) est austr s co teux, et il ne traite que le CTUC avec cela. Les bonnes nouvelles, cependant, c'est qu il y a tout lieu croire que de petits chantillons de sang trait s par la lumi re UV peuvent tre tout aussi efficaces que ltraitement de la r serve de sang toute enti re.

En r sum , les UVBI fonctionnent d'une mani re quelque peu complexe, mais souvent avec une sp cificitonnamment simple, et en cons quence, en quasi absence d'effets secondaires. Dans les maladies

infectieuses, les effets immunostimulants et les bio photons induction secondaire travaillent en tandem. Dansles affections auto immunes, les bio photons concentration secondaire semblent tre le principal mode palequel les UVBI obtiennent leurs effets, ce qui sugg re que m me dans les maladies infectieuses, ils jouent ur le beaucoup plus important que les effets immunostimulants. En outre, les UVBI sont beaucoup plus s rs qules traitements du "Big 3".

Un merci particulier Eugene Barnett et Advanced Light Devices pour l'information contenue dans cett

section du livre. M. Barnett est l'inventeur d'un dispositif de purification de l'eau appel Le Uvenator qpourrait ventuellement tre utilis d'une mani re sublinguale, de fa on non invasive induisant les m meffets que ceux des appareils traditionnels d UVBI. Son courriel [email protected] et son site web estwww.uvenator.com.

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La Vi amine B17

Quand Papa est d c d en 1996, j'ai commenc mon parcours contre le cancer. Le premier traitement alternati

du cancer que j'ai d couvert tait la Vitamine B17, aussi connue sous le nom de Laetrile. J'ai vu une vid o dchampion de bras de fer , nomm Jason Vale, qui avait t gu ri d'un cancer en mangeant des p pins pommes et des graines d abricots (qui contiennent de la vitamine B17), et lu beaucoup de bonnes informationsur son site web. La logique et la science permettant de savoir comment et pourquoi la vitamine B17 tue lescellules canc reuses ont t fascinantes pour moi. La Th rapie Laetrile est bas e sur la th orie que le canceest le r sultat d'une carence nutritionnelle, et est galement bas e sur la th orie trophoblaste du cancer.

Dans les ann es 1940, le Dr. Ernst T. Krebs Sr., son fils (le Dr. E.T. Krebs, Jr.), et d'autres m decins, ont effecdes recherches sur la th se de Beard, (th orie trophoblaste du cancer), et ils ont affirm qu'elle tait correcte.En 1949, l'a n Krebs a crit un article sur la grossesse toxemias, d crivant le r le du pancr as et du trophobla

dans ces troubles. L'ann e suivante, le Dr. Krebs et son fils ont publi un document La Th se Unitarienne ouTrophoblastique du Cancer , dans le Medical Record de New York.

Durant les ann es suivantes, le p re et le fils ont fait une enqu te sur des co enzymes, et sur la possibilit quecancer puisse r sulter d'une maladie due la carence en vitamines. Au d but des ann es 1950, ils ont ml'hypoth se que le cancer est caus par l'absence d'un compos alimentaire essentiel dans l alimentationmoderne, identifi comme faisant partie de la famille des nitrilosides, qui se trouve dans plus de 1200 plantecomestibles. MM. Krebs ont galement appris qu au royaume de Hunza dans les montagnes Himalayennessitu es au Nord du Pakistan, il tait dit qu on y vivait Sans cancer .

Les Docteurs Krebs savaient qu'ils mangeaient de grandes quantit s d'abricots, mais ils ne croyaient pas que lefruit contenait les substances actives qui combattaient le cancer. Jusqu' ce qu'ils apprennent que lesHunzakuts mangent aussi les amandes des graines d'abricots, qui sont une des sources les plus riches denitrilosides !

Les nitrilosides sont particuli rement r pandues dans les graines d'abricots, les p ches, les pommes, le milleles germes de haricot, le sarrasin, et dans d'autres fruits et noix, y compris les amandes am res. Le Dr. Krebs

t en mesure d'extraire certains glycosides partir de plantes qui contenaient des nitrolosides, et finalement, ia d pos une demande de brevet pour le processus de production d'une forme de m tabolite de ces glycosidespour l utilisation clinique. Il l'a nomm "Laetrile". (LAE vo MandeloniTRILEb ta glucuronoside).

Il a fallu plusieurs ann es et des essais cliniques r els partout dans le monde, avant qu un mod le n ait propos , de rationaliser l'utilit de la Laetrile dans la pr vention, ainsi que le dans le traitement du cancerlorsqu'il a re u le nom de Vitamine B17 .

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Maintenant, il est important de se rappeler qu'une vitamine est unc en me, ce qui signifie en fait qu'elle doittre associ e une enzyme pour que l'enzyme puisse fonctionner de fa on optimale. Nous savons que les

enzymes pancr atiques et d'autres enzymes sont d pendantes sur plusieurs co facteurs essentiels et coenzymes. Souvenons nous, de l'information sur cette co enzyme, et apprenons en un peu plus sur leHunzakuts.

Les Hunzakuts consomment entre 100 200 fois plus de B17 dans leur r gime alimentaire, que l'Am ricain moprincipalement en raison du fait qu ils mangent les graines des abricots et aussi beaucoup de millet. Faiint ressant, l'argent n existe pas au Hunza. La richesse d'un homme se mesure par le nombre des abricotiersqu'il d tient. Et l'aliment le plus convoit est au creux des semences d abricot, l'une des sources les plus levde B17 sur Terre. Apr s une visite, des quipes de m decins ont trouv que les Hunzacuts vivaient sans cancL'une des premi res quipes m dicales charg e d' tudier les Hunza tait dirig e par un Chirurgien Britanniqde renomm e mondiale, le Dr. Robert McCarrison. Il a crit dans le journal de l AMA, le 7 janvier 1922, cerelate : Le H n a n' n a c nn l incidence d cance . Il n ne ab ndan e c l e d'ab ic . C

chen a leil, e le ili en en g ande a ie dan le n i e .

Mais pourquoi n avons nous pas entendu parler de la vitamine B17 ? Cela semble si simple ! Eh bien, la raisocela est que l'Industrie du Cancer a supprim cette information, et a m me rendu cela ill gal de vendre lvitamine B17. Big Medecine a mont avec grand succ s des campagnes de "peur", bas es sur le fait que vitamine B17 contient des quantit s mortelles de cyanure. Ceci est manifestement faux. Des tudes montrentque la vitamine B17 est inoffensive pour la sant tissulaire.

V ici i : chaque mol cule de B17 contient une unit de cyanure d'hydrog ne, une unit dbenzald hyde, et deux de glucose( c e) troitement serr es ensemble. Pour que le cyanure d'hydrog nedevienne dangereux, il faut d'abord d verrouiller la mol cule au point de la rel cher, un truc qui ne peut tr

effectu que par une enzyme appel e beta glucosidase, qui n est pr sente partout dans le corps humain quedans des quantit s infimes, mais en quantit s normes dans un seul endroit : lescell le canc e e.

Ainsi, le cyanure d'hydrog ne est d verrouill uniquement sur l endroit du cancer avec des r sultats drastiquequi deviennent tout fait d vastateurs envers les cellules canc reuses, car l'unit de benzald hyde led verrouille en m me temps. Les cellules canc reuses obtiennent un double coup de cyanure et debenzaldehyde ! Le benzald hyde est un poison mortel, de son propre chef, mais quand il fait quipe avec ducyanure, le r sultat est un poison 100 fois plus meurtrier que lorsqu il est isol .Le cell le canc e e li alemen bli e !

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Mais tout ceci n'est il pas sans danger pour le reste des cellules du corps ? Un autre enzyme, le rhodanesetoujours pr sent en quantit s beaucoup plus importantes que l enzyme de d verrouillage beta glucosidasdans les tissus sains, a la capacit de d grader enti rement, la fois le cyanure et le benzald hyde ethiocyanate (une substance inoffensive) et en salicylate (qui est un tueur de douleur semblable l'aspirine). Fait

int ressant, les cellules canc reuses malignes ne contiennent pas de rhodanese du tout, ce qui les laissecompl tement la merci des deux poisons mortels. Tout ce processus est connu sous le nom de toxicits lective, puisque seules les cellules canc reuses sont sp cifiquement cibl es et d truites. Ph nom nal, hein ?

Maintenant, vous rappelez vous ce que j ai d j mentionn sur la vitamine B17 en tant que co enzyme, et ditcette th rapie est bas e, en partie, sur la th orie trophoblaste du cancer ? La th orie trophoblaste se concentresur l'importance des enzymes pancr atiques (trypsine, chymotrypsine, et amylase) pour dig rer le rev tementde protection situ autour des cellules canc reuses.V ici le lien en e ce e h ie e la i amine B1: Enpr sence de certains inhibiteurs dans notre sang, la trypsine est inactiv e et doit tre sollicit e par le cyanurd'hydrog ne afin de devenir active de nouveau. Sur cette base, la vitamine B17 agit comme un co enzyme de

trypsine, car elle fournit du cyanure d'hydrog ne, une mol cule inoffensive qui r active la trypsine, qui en cessaire pour dig rer le rev tement de protection des cellules canc reuses. Fascinant, n'est ce pas ?

Les centaines d' tudes cliniques men es par de nombreux m decins comp tents du monde entier, y comprisceux dirig s par le Dr. Emesto Contreras l'Oasis of Hope Hospital, au Mexique, nous donnent complconfiance que la th rapie B17 ne pr sente aucune menace pour les cellules normales. Ceci est unema ai e nouvelle pour l'Industrie du Cancer. Les graines d'abricots sont bon march ... v ritablement tr s conomiques.pas aussi ch res que leur dernier cocktail de chimioth rapie m dicamenteuse.

Les essais les plus longs et les plus c l bres ayant t ex cut s sur la laetrile, le furent pendant pr s de cinq a

au plus prestigieux Centre des Etats Unis, le Cancer Research Center, Memorial Sloan Kettering Cancer CenteNew York. Le Dr. Kanematsu Suguira, minent chercheur sur le cancer en Am rique, a dirig l' quipe chercheurs. l'issue des essais, le 15 juin 1977, ils ont dit un communiqu de presse. Ce communiqupresse d clare :"Il a e la Lae ile ne de a de ali en i e, n a a d efle me , ni effe an i m a a i e, ni ac i i an icanc e e c a i e".

De sorte que ce communqu est alors vrai ?Fa ! Quand un journaliste a demand au Dr. Sugiura :Ne en ene a e c n ic i n e la lae ile a e la aga i n d cance ?Il r pondit : J ' . Ila ensuite t demand pourquoi Sloan Kettering a t contre l'utilisation de la laetrile dans le combat contre cancer. Sugiura a alors r pondu Je ne i le a i . Pe e e la fe i n m dicale ne l'aime le c mme ce a e d a gen .

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C 7

Cin E a e & SeT ici

"Il n'y a point d'entreprise plus difficile, plus douteuse, ni plusdangereuse que celle de vouloir introduire de nouvelles

lois. Parce que l'auteur a pour ennemis tous ceux qui se trouventbien des anciennes, & pour ti des d fendeurs ceux m me qui les

nouvelles tourneraient profit." Prince de Machiavel

De chapitre est un r sum de la m thodologie de traitement du cancer, du Dr. Rashid Buttar, et la plupart desinformations ont t fournies directement par le Dr. Buttar lui m me. Le Dr. Buttar comprend ce qui se pasavec la Mafia M dicale, et comprend donc les points fondamentaux cr ant la maladie, tels que les m taulourds et autres toxicit s. Plus important encore, il comprend ce qu'il faut faire pour amener une personne recouvrer la sant .

5 E a e T ai e le Cance

E a e 1 Le Ne ageD toxifier le syst me biologique (long terme)

Cette tape est le moyen initial et primaire pour nettoyer le syst me biologique des m taux lourds, ainsi que dePolluants Organiques Persistants (POP) qui sont en augmentation dans nos corps.

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la suite d'un manque chronique d'une bonne nutrition et d une surabondance de la toxicit mentionn e cidessus, des changements commencent prendre place dans le syst me physiologique, tels que d crits, avecl analogie d'un volcan en ruption de toxicit s diverses, et faisant peser des charges massives sur le syst mimmunitaire.

Finalement, ce processus conduit une augmentation des mutations cellulaires et souvent le cancer en est ler sultat, car les voies de protection antioxydantes sont incapables de suivre le rythme croissant des mutationscellulaires. L'apoptose (mort cellulaire programm e) qui est responsable de l'auto destruction des cellulesanormales et insalubres, active sa suppression, permettant aux cellules canc reuses de cro tre sans contr leC'est ce qui commence se produire dans l'image d'un cancer.

E a e 2 O imi eReconfigurer (r tablir) l environnement physiologique

Cette tape est la plus longue et plus difficile des cinq tapes. Elle comprend l'ensemble des th rapies visant

rendre le syst me biologique interne du patient, "hostile" au cancer, telles que la nutrition ad quate, lasuppl mentation (vitamines, min raux, plantes et antioxydants), l autoh moth rapie, le peroxyde d'hydrog nel'hyperthermie et l'oxyg ne hyperbare ou d'autres traitements qui augmentent l oxyg nation. Elle comprend

galement le soutien du syst me des surr nales, l'optimisation du syst me gastro intestinal, et le soutien deaspects mentaux (spiritualit motionnelle et psychologique), qui sont essentiels dans le traitement du cancer.

galement primordial ce stade, c est deec n i l'e i.

E a e 3 R a a i nReconstruire et stimuler le syst me immunitaire (modulation immunitaire)

Cette tape se concentre sur la reconstruction et la r paration du syst me immunitaire compromis du patient.Le Dr. Buttar a un r gime tr s pr cis, qui utilise la modulation immunitaire hautement sp cifique analogue popeptide pour atteindre cet objectif. Il est important de se rappeler que si le cancer existe dans le corps, pard finition, le syst me immunitaire est endommag . Par cons quent, il devient essentiel de r parer le syst mimmunitaire et de "le r guler positivement" jusqu au point o il pourra commencer s'attaquer naturellemenau probl me du cancer lui m me.

E a e 4 Iden ifieAcquisition des cibles du cancer (AARSOV)

Cette tape est utilis e comme une m thode sp cifique d'acquisition de la cible du cancer par le syst mimmunitaire, d sormais r par et r tabli, qui avait t auparavant endommag , et ne fonctionnait pacorrectement.

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Le Dr. Buttar se r f re cette technique en utilisant l acronyme AARSOTA , qui signifiece e cifil'a g ne an ig ne d ac i i i n de cible nc g ne . Essentiellement, c'est une m thode par laquelle il estpermis au corps d'identifier le cancer comme lui tant tranger, et qui permet au syst me immunitaire de seretourner contre le cancer.

A titre d'exemple, la gonadotrophine chorionique humaine (HCG) et la prot ine foeto alpha (AFP) sont demarqueurs non sp cifiques du cancer, mais ils sont aussi des marqueurs de la grossesse. Le f tus se d veloppedans le corps d'une femme, mais est tranger. Pourquoi le syst me immunitaire ne combat il pas contre lef tus ? Parce que ces marqueurs (HCG et AFP) autorisent le corps savoir que cet organisme naissant ne doipas tre attaqu . Cependant, les cellules canc reuses sont capables de mimer un f tus en lib rant les m mesmarqueurs. Le Dr. Buttar a d velopp l AARSOTA comme un moyen permettant de surmonter ce dispos"voilant", que le cancer utilise pour tromper le syst me immunitaire en le laissant seul. L AARSOTA permetsyst me immunitaire de l'organisme d identifier la "signature" du cancer et de commencer le combattre.

E a e 5 Main eniSoutenir les changements r alis s avec les quatre premi res tapes

Souvent, les patients atteints de cancer en reviennent leurs vieilles habitudes et ne donnent pas suite auxaspects importants de leur protocole contre le cancer ; ainsi, le cancer r appara t. Les changements entreprisdans les quatre premi res tapes doivent tre soutenus, sinon le cancer va revenir. La cinqui me tape du DButtar se concentre sur le maintien du progr s qui a t accompli dans les quatre premi res tapes, et enmaintenant le cancer la trappe... de fa on permanente.

Les 7 Toxicités

Selon le Dr. Buttar, M n e ience d'a i a aill a ec l ie millie de a ien de am'a a i e la g ande maj i de ine iennen de e inci ale ce . Je e ience e nnelle e en c nnai ance de ca e, and je di e, i ce e ici

ai e e e i e a ec efficacemen c mme an le m cl d di i if ici la g andeda if e limin . L e cela e d i , le maladie ch ni e , a d fini i n, ne e en

a e i e . Il de ien im ible le maladie ch ni e de in alle e de ide dan da i e e ine i an e m me minime, a ce e la ca e (le ici ) n e l enl'al di emen d fa dea d e da if c nd i an de maladie ch ni e .

Passons en revue et examinons bri vement ces sept toxicit s.

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T ici 1 Le M a L d

Les m taux lourds sont le mercure, le plomb, l'antimoine, le nickel, le cadmium, l' tain, l'arsenic, l'uranium, ainqu'une foule d'autres. En plus de causer d'importants dommages oxydatifs, les m taux lourds sont

doublement dangereux car ils ont la capacit de d placer de nombreux min raux essentiels dont votre corp

a besoin pour fonctionner correctement. Ces min raux comprennent, entre autres, par exemple, le magn sium,le cuivre, le mangan se, le zinc, et le s l nium. Ajoutant l'injure l'insulte, les m taux lourds (et le mercureparticulier) donnent un coup dur suppl mentaire aux ravages faits sur le syst me endocrinien, qui r gule leniveaux hormonaux. Et comme si cela ne pouvait pas tre pire, certaines personnes peuvent m me avoir unprobl me suppl mentaire en raison de l allerginicit (une r action allergique) au m tal en question.

Le Dr. Buttar est le Pr sident de l'American Board of Clinical Metal Toxicology (Commission Am ricaine sToxicit Clinique des M taux), donc c'est sa responsabilit (avec le reste du Conseil d'Administration) d aide

tablir des directives ducatives pour les m decins sur les dangers des m taux lourds, sur la fa on d'identifier pr sence des m taux lourds, comment les supprimer en toute s curit et efficacement de leurs malades. C'est

aussi sa responsabilit de maintenir jour les derni res recherches concernant les m taux lourds et les maladiechroniques. Une grande partie de cette recherche est publi e sur Toxline, un moteur de recherche qui estassoci avec le site web de la Biblioth que Nationale de M decine. Toxline est sous l' gide de l'Agence dSubstances Toxiques et du Disease Registry [(Bureau d Enregistrement des Maladies) (ATSDR)], qui estsubdivision de Centers for Disease Control (CDC) (Centres pour le Contr le des Maladies).

Une simple recherche Toxline sur le mercure r v le 358 tudes reliant le mercure une maladie cardiaq643 reliant le mercure avec le cancer, et 1.445 liens reliant le mercure dans les maladies neuro d g n rativ(comme l'autisme, la maladie d'Alzheimer, etc ). Gardez l'esprit, le mercure est juste un des nombreuxm taux lourds connus pour g n rer de graves probl mes de sant . L'exemple utilis dans ces crit res drecherche tait seulement adress au mercure . Les crit res de recherche ne cherchaient pas tous les m tauxqui contribuent ces diverses maladies. Ceux qui s'opposent la pr occupation valable en m decine cliniquel argument sur la toxicit chronique des m taux lourds, ont compromis leur propre int grit , et leurs motisont devenus tr s suspects. Les simples faits de crier la v rit que n'importe qui peut facilement confirmerdevrait tout simplement leur faire ouvrir les yeux et les inciter mettre de c t leurs pr jug s !

J'ai choisi le mercure pour cet exemple parce qu'il cause certains des pires d g ts dans le corps humain et estconsid r comme le deuxi me l ment le plus toxique connu de l'homme, selon l'Environmental ProtectioAgency (EPA). Seul l'uranium est consid r comme tant plus toxique. Par exemple, chaque fois que nouentendons parler d'un d versement de mercure dans une cole secondaire, les tudiants sont vacu s, les

quipes luttant contre les mati res dangereuses se pr cipitent pour intervenir, et la zone imm diate esttiquet e comme tant une zone de d versements de produits dangereux .

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Personne n'est autoris revenir jusqu' ce que la S curit et la M decine de Sant du Travail [OccupatioSafety and Health Administration (OSHA)] n ait rendu l immeuble sain. Cela dit en passant, c'est du mercinorganique qui a t renvers , et c est en r alit la version la moins toxique du m tal.

T ici 2 Le P ll an O gani e Pe i an

La deuxi me cat gorie des toxines est connue sous le nom de Polluants Organiques Persistants (POP), car ilont tendance "persister" dans le corps et sont extr mement difficiles liminer. Certains de ces POP peuvencontinuer pendant des g n rations, tre transmis de m re en fille et affecter les deux sexes, in utero.Beaucoup de ces derniers incluent les insecticides utilis s dans les ann es 1950 et 1960. M me s ils ne sont padmis ou utilis s, leurs effets continuent toujours de causer des malformations cong nitales chez les enfants,deux g n rations plus tard.

En 2000, le Congr s de l'Organisation Mondiale de la Sant s'est r uni en Afrique du Sud pour discuter dimplications des 12 plus meurtriers compos s organiques et polluants, affectueusement appel s la SalDouzaine . Il y avait un effort concert par les pays industrialis s pour parvenir un accord pour commencl'enl vement des ces l ments dangereux de l'environnement, parce que la Sale Douzaine a maintenantclairement t mise en cause par l' tiologie, dans le processus de nombreuses maladies. Ces composorganiques et polluants mortels incluent le DDT, les PCB, les dioxines, le chlordane, les furanes, et un certanombre d'autres insecticides.

M me si tous les pays industrialis s arr taient imm diatement l'utilisation de ces substances, ces POP ont dpris une avance monumentale. Par exemple, le "plus r cent" des produits chimiques toxiques faisant partie dela Sale Douzaine a t introduit en 1957, il y a plus de 50 ans, et le plus ancien a t en usage depuis 1913, deppr s de 100 ans. Ces POP sont contenus dans les pesticides, les insecticides, les vernis, les produits dnettoyage, et dans pratiquement chaque produit conditionn en a rosol, dans une bouteille sous votre vier decuisine ou dans votre garage en ce moment. Soyez prudent lorsque vous utilisez un produit chimique, peuimporte quel que soit le degr de s curit pr tendu par le fabricant.

En 2005, l'Environmental Working Group a publi un rapport de Jane Houlihan et de Timothy Kropp, Ph.Dintitul "Les Corps charg s : la pollution des nouveaux n s." Le sang du cordon placentaire des nouveaux n

t test , et il contient 413 produits chimiques industriels diff rents, avec un r sultat positif pour 287 de csubstances, qui comprennent les PCB, le mercure, le DDT, les dioxines, les hydrocarbures fluor s, lorganophosphor s, et de nombreuses autres cat gories de POP. Ce sang a t obtenu le tout premier jour oces b b s sont arriv s sur la plan te ! Quelles sont les implications de ces toxicit s similaires qui sont transmide la m re l'enfant ?

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T ici 3 Le O ni e

La troisi me toxicit repr sente les infections opportunistes, qui comprennent les bact ries, les virus, leparasites, les levures, et une foule d'autres l ments. Je les appelle les "opportunistes" parce que cesorganismes doivent avoir une opportunit avant de pouvoir s installer dans le corps. L'environnement propicdoit tre cr pour eux dans le but qu ils puissent survivre et prosp rer. Cette troisi me classe de toxicit est

r alit fortement d pendante de la premi re et de la deuxi me toxicit , parce que les m taux lourds et les POaffaiblissent le syst me immunitaire et rendent le corps vuln rable aux infections pathog nes. Lesopportunistes sont la seule classe des sept toxicit s sur laquelle la m decine moderne a fait un travailraisonnablement juste en la traitant avec des antibiotiques, des antiviraux, des antifongiques et ainsi de suite.Cependant, les professionnels m dicaux ont lamentablement chou dans leurs actions, c est pourquoi il y tant d'agents pathog nes infectieux de plus aujourd'hui que par le pass . Personne n'a examin la premi re etla deuxi me toxicit comme tant la cause de l'augmentation galopante des infections opportunistes ; ont

galement contribu la r sistance aux m dicaments, l utilisation exag r e des antibiotiques et autresm dicaments.

En outre, le probl me de savoir pourquoi une personne d veloppe une infection particuli re et pourquoi uneautre n en a pas, n'a jamais t abord e. La r ponse est cause de la variance dans les syst mes immunitaides personnes, en raison des diff rences dans les types et dans la quantit de charges toxiques que tout lemonde porte, c est cela qui cause le d clin du syst me immunitaire. Le probl me, m me si ces m dicamefonctionnent, c'est que si vous ne vous attaquez pas aux causes sous jacentes de l'immuno suppression, leprobl me (l infection) se reproduira. Les premi re et deuxi me toxicit s qui sont responsables de la baisse dl'immunit , sont ignor es par la m decine traditionnelle. Vous pouvez repousser ces infections avec dem dicaments pendant un certain temps, mais une fois que le traitement par ces m dicaments est arr t , leprobl me revient toujours. Sauf si la cause immunosuppressive est radiqu e, ces questions continuent de sereproduire comme un mauvais r ve. C'est pourquoi des conditions telles que les infections par des levures chez

les femmes, les d mangeaisons de l'aine et le pied d'athl te chez les hommes, si elles sont persistantes, sontune indication pour regarder beaucoup plus loin.

T ici 4 La T ici ne g i e

Les trois premi res toxicit s examin es sont objectivement mesurables, mais les quatre autres sont un peu plussot riques. La toxicit nerg tique comprend toutes les vagues d' nergies haute tension qui passent dessus

sous, et travers notre corps chaque jour. Dans la soci t moderne, nos corps sont bombard s par la toxicitnerg tique, par des choses que nous ne pouvons pas voir, y compris les rayonnements lectromagn tiques

(les lignes lectriques et les micro ondes) ainsi que le rayonnement ambiant ( partir des t l phones cellulairles syst mes de radars militaires, les TV et les crans d'ordinateurs). Et cette quatri me toxicit est augment eun rythme tonnamment rapide, exponentiel.

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Le niveau de rayonnement des t l phones cellulaires ambiants auxquels nous sommes expos s, est juste unexemple de toxicit s nerg tiques. Quelles possibles implications les t l phones cellulaires pourraient avoir sla toxicit ? Le Dr. George Carlo, un procureur et chercheur de la Science and Public Policy Institute, a men u

tude sur le rayonnement des t l phones cellulaires et le cancer, dans les ann es 1980, longtemps avantl'explosion de l'utilisation des cellulaires. L' tude a effectivement t parrain e conjointement par lGouvernement F d ral et par un fabricant de t l phones cellulaires. Le but tait de prouver que le rayonnemendes t l phones cellulaires ne causait pas le cancer, mais malheureusement, ses donn es ont prouv exactementle contraire.

Le Dr. Carlo a expliqu au Dr. Buttar (en personne) qu' partir de 1984 jusqu en 2004, le premier milliardt l phones cellulaires est entr sur le march mondial. Il n aura fallu attendre que les 18 prochains mois (pasans) pour que le deuxi me milliard apparaisse. Moins d'un an plus tard, le troisi me milliard de t l phoncellulaires a envahi nos ondes. En cons quence, les radiations ambiantes dues aux t l phones cellulaires onaugment de 500.000% dans les derni res d cennies, et dans le domaine urbain moyen. Dans son livT l phones Cellulaires: Risques Invisibles l'Ere du Sans Fil, le Dr. Carlo a signal que le taux de d c s par du cerveau tait plus lev chez les utilisateurs de t l phones portables. Comme la compagnie des t l phone

cellulaires avait parrain la recherche, elle a revendiqu la propri t des donn es et en emp cha sa sortie. Male Dr. Carlo a crit plusieurs livres sur le sujet qui a r v l l'impact sanitaire et environnemental de cette toxicparticuli re.

Certains lecteurs pourront se familiariser avec les nouvelles histoires de plus en plus fr quentes sur la r ductiodrastique de la population des abeilles au cours de ces derni res ann es. En fait, les populations d'abeillesdisparaissent rapidement sur quatre des cinq continents. Les raisons ont t attribu es des parasites, lapeste, et aux insecticides. Mais en r alit , cela est d une substance min rale naturelle appel e magn tite, eselon la fa on dont le rayonnement ambiant du t l phone cellulaire affecte ce min ral. Les abeilles ont de magn tite dans leur tractus intestinal. Les humains en ont dans leur cerveau. Les oiseaux en ont dans leur bec

La magn tite nous aide nous orienter par l'alignement sur la grille magn tique de la Terre et permet detrouver la direction. Elle repr sente la capacit des animaux et surtout notamment des oiseaux, trouver leurchemin du retour sur des milliers de miles, et contribue expliquer comment certaines esp ces trouvent leurchemin du retour vers leur lieu de nidification, puis enfin, comment sont respect es certaines habitudesmigratoires.

La magn tite pr sente dans le tractus intestinal des abeilles, lorsqu'elle est align e avec les grilles magn tiquede la Terre, permet aux abeilles de trouver leur chemin de retour jusqu leurs ruches. Toutefois, l'augmentationincroyable du rayonnement des t l phones cellulaires ambiants emp che la magn tite de s alignecorrectement avec la grille magn tique de la Terre, alors, les abeilles sont d sorient es et ne peuvent jamais

revenir la ruche. Le r sultat est que les populations d'abeilles diminuent rapidement.

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Le Dr. Ryke Geerd Hamer, un oncologue allemand dont le fils est mort tragiquement dans un accident de chasseen 1978, a fait un travail remarquable dans ce domaine. Lui et son pouse ont t intens ment en deuil avec perte de leur fils. Finalement, le Dr. Hamer lui m me a d velopp un cancer des testicules et sa femmed velopp un cancer du sein, partir duquel elle est d c d e. Il a finalement d couvert qu'il y avait un lpsychologique/ motionnel avec l'ensemble des cancers, et finalement, il s est gu ri lui m me. Des dizainesmilliers de personnes ont lu ses livres et ont t cr dit es de r mission gr ce son travail.

L motion n gative est une des formes les plus toxiques et dangereuses du stress oxydatif, parce que c'estinsidieux et souvent touff . Ces motions enveniment comme un abc s, corrompent le bien et pourrissentl'amour. Elles se cachent de nous m me quand on pense que nous avons affaire avec elles, et elles se cachentdans notre subconscient cr ent plus de discours et de douleur. Soyez courageux et allez dans ces endroitseffrayants ! C est peut tre le cha non manquant dans le traitement de votre maladie.

T ici 6 La T ici de Alimen

La sixi me toxicit ne concerne pas les produits chimiques ou les additifs dans nos aliments. Ceux ci seraiinclus dans les deux premi res toxicit s. La sixi me toxicit implique la modification g n tique des alimentmanipulation et l'irradiation de ce que nous en faisons pour les substances que nous consommons, et lesprobl mes immunologiques qui entourent la production alimentaire moderne. La pr occupation est que cesformes de manipulation des aliments sont tr s nouvelles et inexplor es, ainsi, nous n'avons tout simplementpas la moindre id e de leurs implications pour la physiologie humaine. Les ramifications pourraient trd sastreuses.

Qui veut prendre le risque de consommer ces aliments, puis attendre de voir ce que seront les effets de toutcela dans 20 ans ? La modification g n tique des aliments manipule l'essence m me de ces substancealimentaires en alt rant l'ADN. Lorsqu'il est ing r et incorpor dans notre corps, cet ADN modifi fd sormais partie de notre propre fond essentiel. L'ADN modifi a le potentiel d'endommager, ou pire encore,de devenir int gr dans notre propre code g n tique.

L'ADN du ma s, du soja, et d autres produits ont d j t g n tiquement modifi s, mais la question est, qusera la r action de votre propre ADN, situ en vous, lorsque vous en consommerez ?

En outre, votre corps ne peut pas reconna tre cette substance g n tiquement modifi e comme alimentation,car elle a t modifi e depuis son tat d'origine g n tique. Toute ce qui est tranger l'organisme est uantig ne, contre lequel le corps fabrique des anticorps, ce qui pourrait donner lieu une foule de nouvellesmaladies auto immunes.

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Il y a juste trop de questions sans r ponse. La r gle de base la plus simple est d' viter compl tement les produ organismes g n tiquement modifi s (OGM) et les produits irradi s. Rappelez vous, s'il a t modifi dans

aspect original et dans sa forme donn s par Dieu, il ne fait pas partie de votre corps. Nous en revenons au m mconseil :Ce e Die a d nn = c e B n... Ce e l h mme a fai = c e ne F lie.

T ici 7 T ici S i i elle

La septi me toxicit du Dr. Buttar est appel e la toxicit spirituelle . Sa conviction est qu une personne a toxicit spirituelle chaque fois qu elle s imagine que quelqu un n'a pas le droit de croire en quelque chose contredit sa propre doctrine personnelle. Les convictions personnelles rigides occasionnent cette toxicit , selonle Dr. Buttar.

Quoique je sois d'accord avec le Dr. Buttar, que toutes les personnes ont le droit de croire ce qu'elles veulent,cela ne signifiePAS que toutes les croyances soient aussi pr cises. l'affirmation du Dr. Buttar est que toutes les

routes religieuses finissent par se retrouver au m me endroit (le Ciel) aussi longtemps que les adeptes d'unereligion sont sinc res. Je vais devoir tre respectueusement en d saccord avec mon ami sur ce sujet, puisque jsuis un Chr tien et crois qu'il n'y a qu'n seul chemin vers le Ciel, et ce n'est que par la repentance et la foi enJ sus Christ comme Seigneur et Sauveur. Ceux qui placent leur foi dans un autre sauveur peuvent compl tement sinc res, mais ont sinc rement tort. J sus dit lui m me dans Jean 14:6 : "Je suisle Chemin,la V rit etla Vie. Nul homme ne vient au P re que par moi. "

Je tiens remercier le Dr. Buttar pour son assistance dans ce chapitre. Pour en savoir plus au sujet du Dr. Buttaet sur ses approches novatrices dans le traitement du cancer, de l'autisme, et d'autres maladies, visitez s'il vouspla twww.drbuttar.com

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C 83 Cance C mm n

& La Cache ie

"Le mamm g a hie a gmen en le i e de d el e n cance d ein& a gmen en le i e de l end e de m a a e ne c i ance e i an e"

D . Cha le B. Sim ne.

J l existe une multitude de diff rents types de cancers, et le but de cet ouvrage n est pas forc ment d abordercertains cancers, en soi, mais bien plut t d'instruire le lecteur sur les traitements alternatifs non toxiquesparticuliers, qui fonctionnent sur la majorit des cancers avanc s. Cela tant dit, je vais aborder dans cettsection du livre, trois cancers courants : lecance d ein, le cance de la ea , e le cance de la a e.Cechapitre se terminera par une section sur le cycle de cachexie .

Le Cance d Sein

Chaque ann e, plus de 225,000 femmes seront diagnostiqu es avec un cancer du sein, et presque 25% de cefemmes mourront de la maladie. Les Etats Unis d Am rique ont un des taux de cancer du sein les plus ledans le monde. Il y a cinquante ans, seulement une femme sur vingt tait diagnostiqu e avec un cancer du seinMaintenant, ce nombre est d une sur sept. Comme il est tellement fr quent chez les femmes, j'ai consacr touteune section de l'ouvrage au cancer du sein.

Chaque Octobre d bute le tapage m diatique connu sous le nom de Mois de la Campagne Nationale sur Sensibilisation propos du Cancer du Sein . Rubans roses abondent, et ce message vous tient en audience

Alle a e e mamm g a hie !

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Avez vous saisi l'image ? Pouvez vous imaginer ce que deviendra quelqu'un utilisant la fois du lait rBGH eTamoxif ne ? Dans un article publi en 1994, Betty Martini critLe Tam if ne a e e e e

l de 15 an . Le e e n admi la f a de, de n mb e e c n e indica i n n ign e , le l a de e n l n ai emen limi dan le em e le elmai de femme mb en malade e ce aine d en e elle m en ca e de cela. Le e

a le e , afin 'ain i, il e fa en l enc e de b n fice a ec e a gen . Il n j ' ce 'il i en e n m en de e le l a en fa e de femme

an a an l'acha d i n, ne maladie elle n n a , mai e le m dicamen a

En avril 1996, l'Organisation Mondiale de la Sant a d clar que le Tamoxif ne est un agent canc rig ne, mAstraZeneca continue commercialiser ce m dicament toxique. Le 16 mai 2000, le New York Times a rappoque L Institut National des Sciences de la Sant Environnementale a proc d l num ration des substancessont des agents canc rig nes connus. Le Tamoxif ne a t inclus dans cette liste ! Prendre une substanccanc rig ne pour arr ter la propagation du cancer, c est comme jouer " la roulette russe" avec une mitraillettenti rement charg e ! La revue Science a publi une tude du Centre Universitaire M dical Duke en montrant qu'au bout de deux cinq ans, le Tamoxif ne effectivementini i la croissance du cancer du sein !

Il est un fait moins connu qu'AstraZeneca fait galement des herbicides et des fongicides. Un de leurs produitsle pesticide organochlor Ac tochlore, est consid r comme un facteur causal dans le cancer du sein. Demillions de tonnes de substances toxiques sont maintenant lib r es dans l'environnement chaque ann e.Pourtant, seulement trois pour cent des produits chimiques sur les 80.000 en service, ont t test s pour las curit . (Sharon Batt, Cancer, Inc ,Sie a Maga ine, septembre octobre 1999, p. 36). Ces bombes retardement toxiques se retrouvent dans notre eau, l'air, et le sol.

Pourquoi r gne t il un tel silence assourdissant quand il s'agit de toxicit environnementale, des substance

canc rig nes se trouvent dans les herbicides, les pesticides, les plastiques et autres produits chimiques toxiquesqui sont connus pour provoquer des cancers... en particulier le cancer du sein ? Saviez vous que l'Am ricaCancer Society a t fond e avec le soutien de la famille Rockefeller en 1913 ? Les membres des industchimique et pharmaceutique ont longtemps occup des postes importants au sein du Conseil desAdministrateurs de l'ACS. Cela pourrait il n avoir aucune incidence sur lec ie ilence concernant les causesenvironnementales du cancer ? C est juste une opinion....

Malheureusement, le cancer du sein est devenu le chouchou des soci t s Am ricaines. Les entreprises utilisenle ruban rose afin de vendre leurs produits et accro tre leur image aupr s des consommateurs, car ellesaccroissent leur rentabilit .

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Entre temps, les taux de cancer du sein continuent d'augmenter chaque ann e. Il ne peut y avoir que plusieursfacteurs qui contribuent au cancer du sein, et ce chapitre n'est pas exhaustif, mais je me suis concentr sur lestrois principales causes du cancer du sein :1) Le mamm g a hie , 2) Le an i d ifi e, et 3) Le ieng ge. Vous pouvez trouver cette liste tout fait saisissante, mais vous commencerez comprendre que jepr sente le r le que chacun de ces l ments joue dans le d veloppement du cancer du sein.

Ca e #1: Le Mamm g a hie

Le cancer du sein est la principale cause de d c s chez les femmes Am ricaines entre 44 et 55 ans. Dcampagnes massives existent pour encourager les femmes subir des mammographies annuelles pour

pr venir le cancer du sein par d tection pr coce . Mais, si plut t que de pr venir le cancer du seinmammographie provoquait effectivement le cancer du sein ? Le Dr. Charles Simone, (formateur associ au NCd clare :"Le mamm g a hie a gmen en le i e de d el e n cance d ein, e a gmen

i e de aga i n de m a a e d ne c i ance e i an e". www.mercola.com/2000/oct/29/breast_cancer_awareness.htm

Vous voyez, une mammographie n'est rien de plus qu'une radiographie du sein qui peut r v ler des croissancestumorales autrement ind tectables dans un examen physique. Comme avec tous les rayons X, lesmammographies utilisent des doses de rayonnements ionisants pour cr er cette image, donc davantage detissu mammaire est expos au cancer caus par les radiations chaque ann e. Les radiologues ensuite analysenl'image pour d celer toute excroissance anormale.

La mammographie est elle un outil efficace pour d tecter des tumeurs ? Beaucoup de m decins disent n n .Dans une tude su doise portant sur 60.000 femmes, 70% des tumeurs d tect es par les mammographiess' taient av r es tre des faux positifs. Ces faux positifs exercent des pressions, non seulemen

motionnelles et financi res sur les victimes, mais elles conduisent aussi de nombreuses biopsies inutiles eenvahissantes. (Lidbrink, E., et al.B i i h Medical J nal, 3 f vrier 1996, pp. 273 276).

Selon le docteur Russell L. Blaylock, il est estim que des examens radiologiques annuels du sein, augmentent risque de ce cancer de 2% par an. Ainsi dans plus de dix ans, le risque aura augment de 20 %. Dans son livrePolitique du Cancer, le Dr. Samuel Epstein, relate :"La mamm g a hie dinai e de femme l jea gmen e le i e de cance . De anal e d'e ai c n l a c de la de ni e d cennie ac h en e, e cela a gmen e la m ali a cance d ein dan le el e ann e i id i age. Cela c nfi me la e e de la f e en ibili d ein a an la m n a e, e lecanc ig ne de a n X".(The Politics of Cancer, p. 539.)

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En 1995, la revue m dicale Britannique The Lancet a signal que depuis que le d pistage par mammographt introduit en 1983, l'incidence du Carcinome canalaire in situ (CCIS), qui repr sente 12% de tous les ca

cancer du sein, a augment de 328% & de200%, et cette augmentation est due l'utilisation de lamammographie. Pourquoi alors, la m decine conventionnelle recommande t elle toujours les mammographiesC est math matique : une mammographie de 150 $ sur plus de soixante dix millions de femmes Am ricaineplus de quarante ans, c est un norme gain de10 MILLIARDS de $ par ann e, pour l'industrie. Selon le Dr. JamesHowenstine,"Ce e ind ie engl be le adi l gi e , le echnicien de a n X, le chi gienle fab ican de l' i emen adi g a hi e, le h i a , e c E il ne e n a a ig i n e a la en i n d cance d ein."

Dans un article de juillet 2006 dans la revue Journal of Clinical Oncology, des chercheurs ont montr que rayonnements des mammographies cause effectivement le cancer du sein. Dans une tude portant sur 1600femmes Europ ennes, les chercheurs ont constat que les femmes qui avaient subi au moins unemammographie, ont t 54% plus susceptibles de d velopper un cancer du sein que celles qui n'ont jamapratiqu cet examen.

Selon les paroles de Mike Adams :"Si ie n ma ai g nie i d ai c nce i e fab i e , il e ai difficile de ba e la machine fai an de mamm g a hie d'a j d'h i. Elle

i h main de a nnemen de ha e i ance, le el 'il n a e a i emen e le cance fini a a e d el e . En n en , c'e ne e de machine end de ann e ( i e de d cennie ) a an d ache e e a a e c . Mai a a

a e d en e a gne de e e ie le " ai emen " i lai e a en failli lai e m . C'e le in d en emble de l'ind ie d cance , a : Afin de ma imi

cance . La mamm g a hie e ne i ce ma e e d le ci men dan ce acc m li emm me em , c'e ne a me a fai e g n e ne ac i i c mme ciale l c a i e e c n i

nc l g e, le meille m en de a e e a e n a ien a ein d n cance de c mmence l e e de adia i n 40 an (a l a d). C'e n e c mme ne clin

ff an de b nb n g a i a enfan : n ce ain in , a en a i mang ffi ammenan f m en e c de c e, il e iend n c mme de clien g lie i ff enmamm g a hie e a ne al a i n h nn e, d cha la ani me. Ce n'e a l ci

me i n be in d' n ai emen aig ' n im le ge e de la main fai a el ' n, ee i e ne me i n ce i e n ai emen . En effe , l e amen a ec e main elm in n cif, e c e d nc effec i emen mie ". www.naturalnews.com/027537_mammograms_cancer_industry.html

mon avis, les mammographies ne sont rien de plus qu'un outil intelligent visant recruter de nouveauxpatients (par l'interm diaire de l'effarouchement et de la peur) dans le monde tr s rentable des "traitements

contre le cancer." M fiez vous : chaque fois que vous menacez de soustraire des "clients r guliers" l'industrdu cancer (en particulier dans le domaine du pain et du beurre de la mammographie), vous entrez dans unebataille enrag e.

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S el b n d i je a e ? D habi de, n a n le de .

Merci Mike Adams etwww.naturalnews.com pour la caricature ci dessus.

Il existe une alternative sup rieure :la The m g a hie a anc e. Cette proc dure n utilise pas de pressionm canique ou de radiations ionisantes, et peut d tecter plus t t des signes de cancer du sein, plusieurs ann esavant que ne puisse le faire la mammographie ou un examen physique. La thermographie est capable ded tecter l ventualit d'un cancer du sein bien avant, car elle peut cr er une image des premi res tapes dl'angiogen se. L'angiogen se est la formation d'un apport direct du sang vers les cellules canc reuses, ce quiest une tape n cessaire avant qu'elles ne se transforment en tumeurs.

L tude thermographique de d pistage du cancer du sein est brillamment simple. La Thermographie mesure lrayonnement de la chaleur infrarouge du corps d'une femme et traduit ces informations dans des imagesanatomiques.

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La circulation sanguine normale est sous le contr le du syst me nerveux autonome qui r git les fonctions ducorps inconscient. Pour le d pistage du cancer du sein, un thermographe souffle de l'air frais sur les seins d'unefemme. En r ponse, le syst me nerveux autonome r duit la quantit de sang allant au sein, comme mesure der gulation de la temp rature. Finalement, la zone de sang et les vaisseaux sanguins primitifs que les cellulecanc reuses ont cr s ne sont pas sous contr le autonome et ne sont pas affect s par l'air frais. Ils ressortirontdonc nettement sur l'image thermographique comme tant un in cha d.

Ca e #2: Le Ra age & le An i d ifi e

La recherche montre que l'une des principales causes du cancer du sein pourrait tre l'utilisation d'antitranspirants. Le corps humain poss de un certain nombre de zones qu'il utilise pour purger les toxines du corps,ce sont, derri re les genoux, derri re les oreilles, la r gion de l'aine, et les aisselles. Les toxines sont limin esl'organisme sous forme de sueur (transpiration). Les principaux probl mes avec les anti sudorifiques, c est qucomme leur nom l'indique clairement, ils vous emp chent de suer, inhibant ainsi l'organisme contre la purgedes toxines, notamment dans la zone des aisselles.

O peuvent donc bien aller les toxines ? Eh bien, c'est a le probl me. Ces toxines ne vont tout simplement padispara tre par magie. Au lieu de cela, les d p ts se font dans le corps, au niveau des ganglions, sous les bracar ils ne peuvent plus suer. Cela provoque une forte concentration de toxines et conduit au cancer. Denombreuses tudes cliniques effectu es depuis des d cennies, ont montr que presque tous les cancers du seinsurviennent dans le quadrant sup ro externe du sein. Ce constat de base est maintenant devenu une r alitdans les manuels. Devinez quoi... c'est pr cis ment l o les ganglions lymphatiques sont situ s !

En 2004, le Dr. Kris McGrath, un allergologue de Chicago, a r alis une tude publi e dans l European JournCancer Prevention, dans laquelle il dit tre le premier avoir trouv un lien entre les anti transpirants, aisselles ras es, et le cancer. Il a tudi , dans la r gion de Chicago, 400 survivantes du cancer, et a constat qules femmes i n de habi de l ag e i e a ai elle, avaient re u un diagnostic de cancer du sein, 22ans plus t t que les non utilisatrices, et il a th oris que les substances trouv es dans les d odorants, telles quele chlorhydrate d'aluminium, entraient dans le syst me lymphatique par des entailles dans la peau, caus es parle rasage. www.nbc5.com/health/2747353/detail.html

Il y a plusieurs excellentes marques de d odorants sans aluminium disponibles maintenant. Cependant, soyezs r(e) que le d odorant que vous choisirez ne contient pas de parab nes. Les parab nes sont utilis s commeconservateurs, et sur l' tiquette, ils peuvent tre r pertori s comme Paraben m thyl, thyl paraben, propylparaben, butyl paraben, isobutyl paraben ou E216. Voici pourquoi : les chercheurs ont aussi trouv des traces dparab nes dans tous les chantillons de tissu pr lev sur vingt tumeurs du sein diff rentes.

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Les tudes sugg rent que les parab nes (pr sents dans les d odorants, sous les aisselles, et dans les autrescosm tiques) peuvent s'infiltrer dans le tissu apr s avoir t appliqu s sur la peau. Ce constat concerne lechercheurs, depuis que les parab nes ont montr qu ils sont en mesure d'imiter l'action des strog nes, unehormone f minine qui peut stimuler la croissance des tumeurs mammaires humaines.

Les hommes sont beaucoup moins susceptibles de d velopper un cancer du sein, invit par l utilisation d'atranspirants, parce que l'anti sudorifique est plus susceptible d tre pris dans les poils des aisselles, plut t qudirectement appliqu la peau. Toutefois, les femmes qui se rasent les aisselles augmentent le risque de canceren faisant des entailles peine visibles dans la peau, qui permettent aux produits chimiques d'entrer facilementdans le corps par les aisselles.

Ca e #3: P e n ien g geLa connexion entre les soutien gorges et le d veloppement du cancer du sein a t renforc e dans le cadrd'une tude men e aux les Fidji. En 1997, l anthropologue m dicale Sidney Singer a compar l'incidenccancer du sein chez deux groupes de femmes Fidji. La moiti des femmes portait des soutien gorges et l'autrmoiti allait s en passer. Le r gime alimentaire, l'environnement, et le mode de vie des deux groupes taient lem mes. Singer a d couvert que celles qui portaient les soutien gorges avaient le m me taux de cancer du seique les femmes Am ricaines. Celles qui n en portaient pas n avaient pas d velopp de cancer du sein.

Dans leur livre intitul : Habill e l gamment : Le Lien entre le Cancer du Sein et les Soutien Gorges , Singer et Soma Grismaijer ont pr sent quelques statistiques tonnantes.

• Les femmes portant un soutien gorge vingt quatre heures par jour ont3 risques 4 de d velopper uncancer du sein.• Les femmes v tues de leurs soutien gorges plus de douze heures par jour, mais pas au lit, ont1risque 7 ded velopper un cancer du sein.• Les femmes portant des soutien gorges moins de douze heures par jour ont1risque 152 de d velopper uncancer du sein.• Les femmes qui n ont que rarement, ou jamais port de soutien gorge, ont1risque 168 de d velopper uncancer du sein.

Pourquoi ? Selon le Dr. David Williams,P e n ien g ge a m in 14 he e a j end l'h m ne lac ine i dimin e la ci c la i n dan le i mammai e. Ce e dimin i n de la g ne e limina i n na elle d c , de fl ide canc ig ne i n i a i ge dan

(gangli n l m ha i e ) en f me de ac.

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Plus de 1,5 million de cancers cutan s sont diagnostiqu s chaque ann e aux seuls tats Unis. Selon la Fondatdu Cancer de la Peau, en 2006, environ un Am ricain sur cinq et un Caucasien sur trois aura d velopp un cande la peau dans sa vie. Le cancer de la peau estle l c mm n de le cance, il repr sente un cas pourtrois nouveaux cancers.

Il existe deux principaux types de cancers de la peau :

1. Cancer de la peau dans les grains de beaut (m lanome malin).2. Cancer de la peau non m lanome (carcinome baso cellulaire et carcinome spinocellulaire).

Le m lanome est la forme la l g a e de cancer de la peau. Le m lanome est une tumeur maligne qui prendnaissance dans les m lanocytes, qui sont des cellules produisant la m lanine, pigment qui colore la peau, lecheveux, les yeux, et qui est fortement concentr e dans la plupart des grains de beaut . Si vous avez unm lanome qui est m tastas dans d'autres parties du corps, alors vous avez besoin d envisager s rieusementun traitement fort pour lutter contre un cancer avanc .

Une fois qu il s'est produit des m tastases du m lanome, il est alors consid r tr s grave et diagnostiqu

mortel, en particulier s'il est trait avec le Big 3 . Les traitements mentionn s dans le pr sent chapitre ns'appliquent pas aux m lanomes malins qui se sont m tastas s. Permettez moi de me r p ter. Les traitementsmentionn s dans le pr sent chapitre ne s'appliquent a aux m lanomes malins qui se sontm a a !

Il y a deux cancers de la peau non m laniques : Leca cin me ba cell lai e (BCC), et leca cin me incell lai e (SCC). Le BCC est un cancer qui commence dans la couche profonde des cellules basales de l' piderm(la couche externe de la peau). C'est le type le plus fr quent des cancers de la peau et est six huit fois plufr quent que le m lanome malin. Le BCC est un cancer d veloppement lent et il ne se propage pas d'autrparties du corps. Le SCC commence dans les cellules squameuses de l' piderme et n'est pas aussi fr quent quele BCC, toutefois il cro tbea c l i e que le BCC, surtout quand il est situ pr s des yeux, des oreilles, de

la bouche ou de la r gion pubienne. La surexposition chronique au rayonnement solaire est la cause de presquetous les BCC, et les SCC surviennent le plus fr quemment sur les parties expos es du corps (le visage, loreilles, le cou, le cuir chevelu, les paules et le dos). Parfois, ils se d veloppent dans des zones non expos

Le traitement externe des cancers de la peau avec des p tes et des pommades e ca i e, viseeffectivement et d truit les cellules canc reuses. Les p tes escarrotiques et onguents sont des compos scaustiques qui sont appliqu s m me l'ext rieur de la peau, sur le cancer de la peau. Elles r ussissent rodle tissu, peuvent ventuellement d truire et enlever la tumeur sous jacente.

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Les deux praticiens les plus respect s des autorit s bien connues dans l'utilisation de l'approche escarrotique,taient les m decins Am ricains J. Weldon Fell et Frederic E. Mohs. Le Dr. Fell tait un membre du co

professoral l Universit de New York, et plus tard, a t l'un des fondateurs de l Acad mie de M decinNew York. Au d but des ann es 1850, il s'installe Londres et met en place une pratique tr s efficace dtraitement du cancer, bas sur la th rapie escarrotique, utilisant la sanguinaire (Sanguinaria canadensis) et lechlorure de zinc en tant que fondement. La Sanguinaire du Canada (plante bois e) se trouve dans l'une des plusbelles parties orientales de l Am rique du Nord, et a t fr quemment utilis e par les Am rindiens pour traile cancer.

Le Dr. Frederic Mohs appelait son approche chimiochirurgie , et utilisait une p te adh sive. C' tait davantaune approche globale qui combinait l'utilisation de la p te escarrotique, avant un enl vement de la tumeur parle moyen chirurgical. Sa contribution a t norme, car il a mis sur pied une proc dure tr s solide, une assiscientifique avec une quantit norme de recherches. Il a crit un texte m dical intitul Chimiochirurgiechirurgie contre le cancer de la peau, contr l e microscopiquement, dont la derni re publication date de 1978La "solidit " m dicale de son approche a t soulign e dans un rapport de 1990, exposant qu elle tait v rifiaet signalant un taux de r ussites de 99% dans son traitement des cancers de la peau !

Les concoctions tueuses de cancer, base de chlorure de zinc, de sanguinaire, et d'autres substances, ont trecr es au vingti me si cle et nomm es Can ema Black T ical Sal e. Cansema est une pommade topique,laquelle, lorsqu elle est appliqu e sur le cancer de la peau, tue les cellules canc reuses et cr e une "Escarr(une formation de pus). Le corps expulse alors la tavelure et laisse un trou dans la peau. Au cours des semainessuivantes, la fosse gu rit et laisse g n ralement une zone un peu d color e o la l sion a t enlevTypiquement, cette zone sera cicatris e dans un d lai de plusieurs mois, ce qui rend difficile dire si un cancer

t limin depuis le site o il se trouvait.

Au cours de l' t 2008, j'ai eu, sur quelques endroits de mon visage (un sur mon nez, et l'autre entre mon il etl'oreille) ce que je suspectais tre des BCC. Peu importe ce que je faisais, ils ne disparaissaient pas. J'ai aloutilis Cansema, sur eux, pendant environ une semaine, et tous deux tomb rent. Cansema est un produitvraiment tonnant ! Nous achetons notre Cansema chez Alpha Omega Labs. Leur site Web estwww.altcancer.com. A en i n : Ne prenez a Cansema par voie interne.

Un a e ai emen c n e le cance de la ea e a el "PDQ! He bal Skin C eam", i est tout aussi naturelet compos d'un m lange exclusif d'herbes, ainsi que d'autres mati res organiques ( corce, feuilles et racines)J'ai personnellement parl un couple de gens qui ont utilis cela pour gu rir compl tement leur cancer de l

peau.

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Un composant pr sent dans l'aubergine commune a t d montr pour gu rir le cancer de la peau. L'extrait esappel "glycoside solasodine" (ou bien BEC5), il se lie aux cellules canc reuses et provoque leur rupture. Le DBill Cham a t le premier d couvrir le BEC5 dans une mauvaise herbe en Australie (Devil's Apple, ou Podu Diable), puis il a d couvert que le BEC5 tait aussi pr sent dans l'aubergine. Il a d montr que plus de 70.Australiens ont gu ri leur cancer de la peau avec le BEC5.

Dans une tude en double aveugle contr l e par placebo, et effectu e l'H pital Royal de Londres, m decins ont constat qu'environ 78% des patients utilisant une pr paration topique de BEC5 ont vu gu rir lecancer de la peau. Et la recherche de suivi a montr qu'une fois que le cancer avait disparu, il ne revenait pas ! Csucc s fulgurant a t d pass seulement par le fait que, contrairement la chimioth rapie, le BEC5 ne tue ples cellules saines. Il cible et limine les cellules canc reuses seulement, ce qui signifie qu'au lieu de d truvotre syst me immunitaire, le BEC5 aide effectivement le renforcer.

La vitamine C est un autre traitement viable contre le cancer de la peau. Lorsque la vitamine C entre en contact

avec le cancer de la peau, elle durcit la tumeur et forme une cro te, de telle fa on que la cro te tombe enquelques semaines, selon la taille, ou selon que la tumeur soit agressive, vous obtenez des r sultats avec lavitamine C. La solution est faite en ajoutant 1/8 de cuill re th de vitamine C pure en cristaux, pour une cuill

th d'eau (soit un ratio de 1:8). Si vous ajoutez cela plus de vitamine C, elle ne se dissoudra pas. Cela devrrendre la quantit de solution suffisante pour durer toute la journ e. Si plus en est fait qu'il n'est besoin, vousdevez la ranger dans un contenant ferm , et au r frig rateur.

Le traitement consiste appliquer le m lange (en utilisant un coton tige ou Q Tip) sur la tumeur. Cela devrtre fait deux ou trois fois par jour. Il est pr f rable de mettre un bandage ou un autre coton qui couvre plus de

la tumeur apr s chaque traitement, si possible. tant donn que la vitamine C (acide ascorbique) est galemen

un anti infectieux, est utilis e par voie topique (voie locale) et IV pour les patients br l s, cela va gu rir le canet va lutter contre l'infection dans le m me temps. La forme recommand e de vitamine C est conditionn e encristaux, vous pouvez la trouver chez Life Extension Foundation, et leur site web est :www.lef.org/VitaminsSupplements/Item00084/Buffered Vitamin C.html

Une autre alternative dans le traitement du cancer de la peau est l argent collo dal. Il peut tre achet aupr s dnombreux fournisseurs. J'ai l'habitude d'avoir un g n rateur d'argent collo dal avec moi, et produis mon proprargent collo dal, donc je suis tr s familier avec ce produit. Voir la section sur l'argent collo dal pour fournisseurs recommand s.

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Le Dr. Thomas Stamey de l'Universit de Stanford a t l'un des d crieurs du test PSA. Lors d'une conf rence2004, il a d clar :Le PSA n'a l de ela i n a ec le cance de la a e. Le e d PSA n'e V ie a i bien fai e la bi ie n h mme a ce 'il a le e ble . En fait, le test PSA a t un tel

chec lamentable pour d tecter le cancer de la prostate, que son inventeur (Richard J. Ablin) s'est exprimcontre sa propre d couverte depuis plus d'une d cennie ! Plus r cemment, dans une dition de mars 2010 dNew York Times, Ablin a crit :Le e [PSA] e eine l efficace n i age a . C mme jfai e c m end e de i l ie ann e main enan , le e d PSA ne e a d ec e le cancLa la i d e a c nd i n d a e de an bli e e memen c e .

Les oncologues conventionnels sont prompts cr diter le taux de survie d'hommes diagnostiqu s avec lecancer de la prostate la suite du test PSA et avec la d tection pr coce , mais ils n'ont pas pris la peine mentionner que presque tous ces hommes auraient surv cu de toute fa on sans subir l'incontinence etl'impuissance caus es par les traitements. Selon le Dr. David Williams dans le num ro de juin 2009, du bulled'information Alternatives,"Le fai e e e e le h mme i l n fai 50 an n m ncance de la a e, mai e , me en de l i."

En 2009, leNe England J nal f Medicinea publi les r sultats des deux tudes les plus importantes dud pistage du PSA (une en Europe et une aux Etats Unis). Les r sultats de l' tude Am ricaine montrent que sune p riode de sept dix ans,le d i age n'a a d i le a de m alichez les hommes de 55 ans etplus. L' tude Europ enne a montr une l g re baisse des taux de mortalit , mais a aussi constat que 4hommes doivent tre trait s pour sauver leur vie. Cela signifie que 47 hommes seront alors incapables dfonctionner sexuellement ou de rester en dehors de la salle de bain pendant plus d'une demi heure.http://content.nejm.org/cgi/content/full/NEJMoa0810696

Que pouvez vous faire pour pr venir de mani re proactive le cancer de la prostate ? Principalement, voudevriez essayer d' tre physiquement actifs et marcher ou rebondir le plus souvent possible car le mouvementdes muscles et des organes pelviens augmente la circulation de la glande de la prostate. Un autre excellentexercice est la bicyclette de l'air en position couch e sur le dos. Du point de vue di t tique, vous avez besode mettre pied terre avec les viandes, les produits laitiers, et l'alcool, mais manger beaucoup de fruits et del gumes. Le palmier nain et le curcuma sont d excellents v g taux pour la prostate, ainsi que le lycop ne partir de tomates cuites ou de melon d'eau), cela est indispensable. Aussi, essayez de manger une poign e denoix et de graines de citrouille chaque jour, ainsi que beaucoup de piments forts (qui contiennent de lacapsicine). Enfin, n'oubliez pas de boire beaucoup d'eau.

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Un excellent compl ment alimentaire pour la prostate est appel Super Beta Prostate et est disponible www.newvitality.com. Il contient de nombreux min raux essentiels (y compris le zinc, le cuivre, l'iode, lchrome et le s l nium) qui am liorent les capacit s fonctionnelles de la prostate, et il contient aussi du b tasitost rol, qui a d montr son action positive dans le maintient en bonne sant du d bit urinaire, de la fonctiourinaire saine, et dans le bon fonctionnement de la prostate.

Un autre excellent suppl ment pour la prostate est appel Pros Food et est disponible www.healthresources.net. Il contient dix l ments nutritifs optimaux pour la sant de la prostate, y compris : lezinc, le cuivre, le s l nium, le palmier nain, l'ortie, des graines de citrouille, le pygeum, le b ta sitost rol, le trrouge, et le lycop ne.

Certaines de ces informations sur la prostate ont t publi es dans le num ro de juin 2009 du bulletid'information Alternatives par le Dr. David Williams. mon avis, le test PSA est l' quivalent chez les homde la mammographie pour les femmes, car il se traduit par autant de faux positifs et g n re, en faitdavantage de cancers qu'il n en pr vient. Selon le Dr. Williams, les traitements classiques du cancer de

prostate sont une arnaque repr sentant "des milliards de Dollars."

Le C cle de la Cache ie

Le principal effet d vastateur du cancer dans le corps est la cachexie, qui est essentiellement le gaspillage ducorps qui "d p rit". Cela est caract ris par la perte de poids et un affaiblissement ventuel. Selon le NationCancer Institute, On e ime e e ad i an

a la e e a ide d' ne g ande an i de id , ain i e la fa ig e, la faible e, e ne e e d'a

cache ie e n bl me g a e a mi le n mb e a ien i n n cance a anc .Le Dr. Harold Dvorak, ancien formateur en chef de pathologie l'h pital Beth Israel Boston, dit :En n en ,

e nne ne me d cance . Il me en d a e ch e la ne m nie, la d faillance de l' n gane . La Cache ie acc l e ce ce d'infec i n e la c n i i n m ab li e de iE

, i ce n' ai a la cache ie .

La cachexie est caus e par l incapacit de la combustion du glucose r sultant de la respirationana robie. Lacellule canc reuse fermente le glucose et produit de l'acide lactique, puis le foie transforme l'acide lactique,retour au glucose (par un processus appel la n oglucogen se) qui consomme aussi d' normes quantit s

d' nergie. Ainsi, les cellules canc reuses convertissent le glucose en acide lactique, l'acide lactique se rend danle foie, le foie transforme l'acide lactique en glucose, qui se d place de nouveau vers les cellules canc reuses, eainsi de suite.

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Ce cycle de la cachexie consomme une norme quantit d' nergie et peut amener l'organisme commencer "manger" ses propres muscles et os pour nourrir les cellules du cancer. Le Dr. Joseph Gold tait un chercheuscientifique pour la NASA, officier l United States Air Force, et docteur en m decine. Quand il a termincarri re militaire distingu e, il s'est lanc dans une mission avec un objectif, de r pondre la question suivant

E i e il n m en chimi e inhibe la n gl c gen e afin d'a e la cache ie ? En 1969, le Dr. Gold aentendu le biochimiste Paul Ray livrer un document expliquant que le sulfate d'hydrazine pourrait fermerl'enzyme n cessaire pour la production de glucose partir de l'acide lactique. Beaucoup diraient que c' taitdela e chance ou ne c ncidence, mais je dirais que c' tait "laDi ine P idence!" Le sulfate d'hydrazine aimm diatement t test sur des souris et il a t constat que, comme suspect , il inhibe la n oglucogen sinversant ainsi le cycle de la cachexie. Voil ! Gold avait d couvert un moyen id al pour priver les cellucanc reuses.

Au d but des ann es 1970, le Dr. Gold s'est entretenu avec le National Cancer Institute dans un effort poucommencer les essais cliniques sur le sulfate d'hydrazine. Au cours de cette r union, il leur donna ses dossierde recherche, a examin la posologie recommand e, et une liste d taill e de ces choses qui ne doiventa treutilis es pendant le traitement, comme l'alcool, les somnif res, et les tranquillisants. Le Dr. Gold a explicitememis en garde le NCI que les patients pourraientm i s ils prenaient des tranquillisants. Alors, qu'est il arrivLe NCI l'a test , n a pas suivi le protocole, a volontairement sabot l tude, tu tous les patients, et a publidocument d clarant que tout cela tait"in ile".

Alors, quelle est la fin de l'histoire ? Au lieu de suivre le protocole de soixante milligrammes de sulfad'hydrazine par simple dose, l'h pital a r alis l' tude en s engageant dans un sous dosage et dans usurdosage des patients. Dans certains cas, il tait donn aux patients, seulement entre un et cinq milligrammespar jour. Les personnes qui ont commenc sur le dosage correct ont montr des am liorations, et ils ontbrusquement pass , des doses situ es entre 90 et 100 milligrammes par simple dose, effa ant leurs bonner ponses. Aussi, il s'av re qu'aucun des patients du NCI n a t mis en garde contre le fait que les tranquillisa

sont interdits. Sous la pression des General Accounting Office (GAO), les enqu teurs, les m decins quimen l'une des tudes du NCI, ont admis dans une lettre au Journal of Clinical Oncology, que la quasi total(94%) des sujets avaient pris des tranquillisants tout en recevant le sulfate d'hydrazine. En d pit de ceadmissions, le GAO a quand m me r ussi, dans son rapport, d clarer que les essais du NCIne n ae n .C'e ab de. C'est un peu comme si une voiture qui a br l son moteur, avec quatre pneus plat, qun a pas de freins, soit n anmoins d clar e pr te tre utilis e sur l autoroute.

Selon le Dr. Gold, les"ac i n d NCI l' ga d d lfa e d'h d a ine n ca ac i e a lc e ci i n, l' i i n fe me, e a de e ai clini e . T ceci e aimen l' ne

candale e en e i e m dicale de l'hi i e de ce a , i an n n mb e c n id able de

an , de le b nhe e de le ie".

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Chaque contr le bien men , tout essai clinique r alis conform ment aux normes internationalemenreconnues de la recherche scientifique, conduits an e ce i n, ont indiqu l'efficacit et la s curit du sulfated'hydrazine. La plus vaste tude sur le sulfate d'hydrazine, men e sur 740 patients atteints de cancer, en UnionSovi tique, a constat qu'elle produit la stabilisation ou la r gression de la tumeur chez 50,8% des patienthttp://alternativecancer.us/hydrazinesulfate.htm

En raison du fait que le sulfate d'hydrazine inhibe la n oglucogen se, il provoque l'arr t de la croissance, stoppla propagation, et souvent r tr cit / ou fait dispara tre la tumeur. Webster Kehr cite avec pr cision que le poind'action du sulfate d'hydrazine est d'arr ter le cycle de cachexie dans le foie, tandis que le chlorure de c siumprovoque l'arr t du cycle de la cachexie au niveau cellulaire.

Voici le protocole de sulfate d'hydrazine du Dr. Gold :

• Une g lule de 60 milligrammes par jour pendant les trois premiers jours (au moment ou avant le petitd jeuner)• Une g lule de 60 milligramme deux fois par jour pendant les trois jours suivants (pendant ou avant le petitd jeuner et avant le d ner)• Une g lule de 60 milligramme trois fois par jour par la suite (environ toutes les huit heures, en commen antavec le petit d jeuner)

Ce protocole est bas sur un poids du patient de 120 livres (60 kg) et plus ; pour un patient se situant en dessousde 120 livres, la moiti des dosages ont t rapport s efficaces. G n ralement, il est rapport que le sulfad'hydrazine est plus efficace lorsqu'il est administr seul (aucun autre m dicament n est donn pendant trenteminutes avant ou apr s l'administration du sulfate d'hydrazine) avant les repas. Si la r ponse ad quate se faitsur deux capsules par jour, les patients seront maintenus sur ce sch ma posologique, et sans augmentation.

La meilleure efficacit avec le sulfate d'hydrazine a t rapport e par le fait de maintenir un traitemenquotidien pendant 45 jours, suivi par une interruption pendant une deux semaines, puis la r introduction dutraitement. En outre, il a t signal qu'il existe une incompatibilit du sulfate d'hydrazine avec l' thanol, lebarbituriques et les tranquillisants. Les patients recevant du sulfate d'hydrazine doivent donc viter les boissonsalcoolis es, les tranquillisants et les barbituriques.

En outre, le patient doit maintenir une alimentation faible en glucides (c. d. ne pas manger de sucreRappelez vous, vous essayez de priver les cellules canc reuses et non de leur offrir un d ner buffet ! Rappelvous galement,le c e n i le cance.

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Alors, quand le m decin indique au patient atteint de cancer (qui est en train de d p rir partir de la cachexiequ il peut manger tout ce qu'il veut pour gagner du poids, qu'il s'agisse de cr mes glac es ou de bonbons, lm decin, ainsi, il lui donne un fusil une seule balle. La pire chose qu'un patient atteint d un cancer en phase"terminale" puisse faire, c'est manger ce qu'il veut.

A en i n ! Le Sulfate d'hydrazine est un IMAO (monoamine oxydase Inhibiteur), qui inhibe une enzymd gradant les monoamines (s rotonine, noradr naline et dopamine) qui contr lent notre humeur. Toutefois,les IMAO m tabolisent aussi la tyramine, un acide amin . Lors de la prise d'un IMAO, la tyramine n'est d compos e, et manger des aliments avec de la tyramine peut augmenter votre tension art rielle et lesbattements du c ur, ce qui peut occasionner un mal de t te terrible. Donc, quand vous prenez le sulfated'hydrazine, ne mangez pas des aliments contenant la tyramine, comme les nourritures anciennes, les alimentsferment s ou marin s (c est dire la plupart des fromages, les viandes, les hot dogs, les yaourts, les vins ebi res).

galement hors limites sont les haricots de Lima, gourganes, lentilles, pois mange tout, le soja, les haricots, leextraits de levure/la levure fraiche, la choucroute, les bananes, les avocats, les conserves de figues, les raisinsles prunes, les framboises, l ananas, le chocolat, la caf ine, les arachides, les amandes, et les graines dcitrouille. (Ceci n est pas une liste exhaustive.) En g n ral, tout aliment riche en prot ines qui a subi vieillissement doit tre vit . De m me, tout repas r frig r ou m dicament anti allergique devrait galem

tre vit . L'utilisation de la vitamine C devrait tre limit e 250 mg/jour, et la vitamine B6 doit tre vit e t fait.

Im an : le sulfate d'hydrazine est fr quemment utilis avec d'autres traitements de substitution contre lecancer, dont nous parlerons plus tard dans le livre, qui peut ou ne peut pas avoir de restrictions sur la nourriture/suppl ment/m dicament. Gardez l'esprit que le sulfate d'hydrazine comporte galement une longue liste

d'aliments interdits. Si vous commencez ressentir des maux de t te, les risques sont que vous ayez mang dealiments contenant de la tyramine. Comme toujours, vous v rifierez aupr s de votre m decin ou d unnutritionniste si vous avez une question.

Pour acheter le sulfate d'hydrazine, s'il vous pla t, allez sur le site suivant :www.essense of life.com. Je suisconscient qu'il est annonc pour tre destin des animaux de compagnie, mais il est de la plus haute qualitEt s'il vous pla t rappelez vous que le sulfate d'hydrazine devrait tre pris desd e e ac e , parce qu'il s agitd un m dicament. Un surdosage peut faire plus de mal que de bien.

202



Cha i e 9 Q e i n de F ence

" La cellule vivante est essentiellement un appareil lectrique." Dr. Albert Szent Gyorgyi (Laur at du Prix Nobel)

M es champs lectromagn tiques (" EMF" ) ["CEM" Champs Electro Magn tiques en Fran ais] sont un terg n ral qui comprend les champs lectriques g n r s par les particules charg es, les champs magn tiqug n r s par les particules charg es en mouvement, et le champ rayonn comme la t l vision, la radio, les micondes et autres appareils lectrom nagers. De nombreux experts sont convaincus qu'il existe un lien directentre l'exposition aux CEM et le cancer.

Le revers de la m daille, des Champs Electro Magn tiques Puls s ("PEMF") sont une condition n cessaire pla sant cellulaire optimale, et il y a des preuves convaincantes que les PEMF sont une option th rapeutiqu

valable pour un large ventail de maladies humaines. Le m decin ne devrait plus dire :P ene de a i inea ele m i dan la ma in e. Afin d tre mise au point et exacte, la phrase devrait tre maintenant :"R d i ee e i i n a CEM, e e a PEMF a i , i a ele m i dan la ma in

Le Dange de l Elec ici Sale

C est un facteur relativement peu connu qui a rapidement t reconnu pour son impact profond et insidieux sunotre sant g n rale. Elle a de nombreuses formes et des noms diff rents. C'est ce qu'on appelle l' lectricitsale (c. d. "EMF" [CEM en Fran ais]). En fait, c'est que vous mettez consciemment ou inconsciemment v

nergie, celle de votre propre vie, face des fr quences alt rantes qui peuvent finalement cr erl'environnement de la maladie. Les CEM sont reconnues comme tant un cha non manquant crucial pour nousaider comprendre les niveaux dans l'escalade de tant de maladies d'aujourd'hui.

Tout le monde dans notre soci t moderne est expos aux CEM qui entourent tous les appareils lectriques.Chacune de vos millions de milliards de cellules a sa propre fr quence optimale pour la sant ; les CEM ont lacapacit de perturber ce bilan crucial.

203



Les informations actuelles sur les CEM sont flagrantes et ne peuvent plus tre ignor es. D' minents expertdans le domaine des champs lectromagn tiques en sont d j les d crire comme une"c i e cach e del'en i nnemen ." Je les d cris comme"l' l han in i ible dan la i ce."

Mais la sensibilisation du public est de plus en plus li e l'augmentation de la couverture m diatique sur ldangers des champs lectromagn tiques. Le Dr. David Carpenter, doyen de la School of Public HealtUniversit de l' tat de New York, estime qu'il est probable que jusqu' 30% de tous les cancers de l'enfanproviennent de l'exposition aux CEM. Martin Halper, directeur d'analyses et d'appui l'EPA, d clare :Je n'aijamai ne ie d' de id mi l gi e di ance, a che le id de la e e a ec cea ec le CEM. Il e clai 'il a el e ch e ici .

Le Dr. George Carlo a dirig l' quipe industrielle de recherche du sans fil dans le d but des ann es 1990 ed finitivement d couvert que les CEM dus l'usage du t l phone cellulaireca en une perturbation

lectronique submol culaire qui cr e un environnement propice pour les maladies, dont le cancer. L'industrides t l phones cellulaires a investi 28 millions de Dollars dans cette recherche et, lorsque le Dr. Carlo a vendum che sa carri re de chercheur fut compromise, les industries des t l phones cellulaires le fuyaient et onattaqu le caract re de ses recherches. Le Dr. Carlo a ensuite compil toutes ses recherches dans un livre intitulLes Dangers Invisibles des T l phones Portables, l re du Sans Fil.

On estime que nous sommes maintenant expos s un illi n de fois plus aux CEM que nos grands parentsl taient. Ces champs d' nergies non naturelles, en particulier ceux produits par des courants alternatifsfonctionnant 60 cycles par seconde (dont Tesla nous avait avertis), sont soup onn s de causer des troubles dusommeil, des douleurs chroniques, le syndrome de la fatigue chronique, la d pression, l anxi t , la perte dm moire, des acouph nes, des probl mes respiratoires, et une foule d'autres probl mes de sant .

Les CEM ont t scientifiquement li s la suppression de la m latonine, au cancer du sein, au cancer deprostate, au cancer du cerveau, aux dommages caus s la barri re h mato enc phalique, la malad

d'Alzheimer, des fausses couches, la SLA (la Scl rose Lat rale Amyotrophique, maladie de Charcotmaladie de Lou Gehrig), la scl rose en plaques, l'hypertension, au diab te, des probl mes de thyro de, el'asthme. En fait, les tudes pid miologiques effectu es en Su de par Maria Feychting ont montr que leindividus expos s des niveaux lev s aux CEM la maison et au travail avaient 3,7 fois plus de risqued velopper des leuc mies par rapport ceux non expos s.http://en.scientificcommons.org/maria_feychting

S la age i an e, fig e n ablea i affiche le ale de cham magn i e (mG) a a eil m nage c an . Ce e me e e i e de l'e i i n a CEM. Ga de l'ed'e i i n ec mmand e e de 1 ( n) mG.

Salle de S j 15 cm de di ance A 30 cm A 60 cm A 1,20 m

T l viseur Couleur 20 8 4

Climatiseurs de fen tres 20 6 4Ventilateurs de plafond 50 6 1

Salle de Bain A 15 cm A 30 cm A 60 cm A 1,20 m

S choirs air 700 70 10 1

Rasoirs lectriques 700 100 10 1



Page 205

Chamb e c che A 15 cm A 30 cm A 60 cm A 1,20

Horloge num rique 8 2 1Horloge Analogique 30 5 3

Moniteur pour b b 15 2

La e ie/U ili ai e A 15 cm A 30 cm A 60 cm A 1,20 m

S cheuse Electrique de linge 10 3

Machine laver 100 30 Fer repasser 20 3

Appareil de chauffage portatif 150 40 8 1

Aspirateur 700 200 50 10Machine coudre 12 niveau

poitrine5 niveau

t te

B ea d micile A 15 cm A 30 cm A 60 cm A 1,20 m

Ecran PC 20 6 3

Appareils pour Fax 9 2

Aiguisoirs crayons 300 90 30 30

C i ine A 15 cm A 30 cm A 60 cm A 1,20 m

M langeurs 100 20 3 Ouvre bo tes 1500 300 30 4

Cafeti res 10 1 Lave vaisselle 100 30 7 1

Robot 130 20 3 Vide ordures 100 20 3

Four micro ondes 300 200 30 20Mixer 600 100 10 1

Four Electrique 20 5 1 Cuisini re lectrique 200 30 9 6

R frig rateur 40 20 10 10

Grille pain 20 7



Q elle me e c nc e fa d ai il end e c e n en i nnemen l ain ?La crise environnementale cach e n'est plus invisible. Nous n'allons pas revenir vivre dans des logementsimples ou vivre sans le confort moderne. Mais nous devrions certainement nous rendre beaucoup plusconscients de la menace tr s r elle pour notre sant que constituent pour chacun d entre nous les CEM chaquour. Le but est simplement de reconna tre le probl me, identifier les sources du probl me, rechercher le

solutions au probl me, ensuite de mieux g rer la situation afin d viter de vivre dans le danger.

Le CEMP

Bien que les CEM peuvent tre dangereux, les champs lectromagn tiques puls s ("PEMF" en Anglais et CEen Fran ais) sont connus et prouv s scientifiquement non invasifs et comme tant une n cessit pour un modede vie sain. Les effets positifs des applications des CEMP sont connus depuis des d cennies et font l'objet dnombreux ouvrages scientifiques. Les CEMP fonctionnent comme un chargeur de "batterie cellulaire."Fondamentalement, en termes simples, les impulsions basse fr quence cr ent un bref voltage intense autourde chaque cellule. Les mitochondries (dans la cellule), prennent ensuite un peu de cette nergie. Ceci, sontour, rend la cellule plus efficace la production d'ATP et d'oxyg ne pouvant tre d livr s dans tout le corps. Ed'autres termes, les CEMP fonctionnent comme une "bougie" pour la production d' nergie dans la cellule.

Les CEMP sont absolument essentiels notre sant et notre bien tre. Il suffit de demander l'AgenSpatiale Russe. En avril 1961, le cosmonaute Sovi tique Youri Gagarine a marqu l'histoire quand il a orbautour de la Terre avec 1 heure et 48 minutes de vol. Gagarine fut le premier prouver l'exp rience du mal dl'espace et de l'exposition aux champs magn tiques Z ro en raison de l'absence des champs magn tiqueterrestres. Youri avait de l'air, de l eau, de la nourriture, de la lumi re, le mouvement tait limit ce quemeilleur de la technologie Russe de l' poque pouvait fournir. Cette concurrence tait au plus haut niveau et il avait toujours en consid ration l esprit d atteindre le plus haut niveau de r ussite. Cette exp rience a tpremi re d monstration de l'importance cruciale d'une inconnue essentielle pour la vie : les CEMP. Depuis cvol, les appareils CEMP ont t utilis s dans chaque combinaison spatiale et l int rieur de la station spatia

Pourquoi le corps a t il besoin du champ magn tique de la Terre ? Car il est une source vitale d' nergie pour tles tres vivants sur cette plan te. Valerie Hunt, Ph.D, (qui a fait des recherches sur les domaines de l' nergie l'UCLA) a troitement reproduit en double le sc nario de l absence de champ magn tique que Youri Gagarineconnu lors de son vol historique. Elle avait une cage m tallique en "Mu M tal" (le Mu M tal est un alliagnickel et de fer), construite pour qu'elle puisse mettre des sujets en observation. Le Mu M tal dispose d uncapacit unique pour bloquer les champs magn tiques de l'ampleur du champ magn tique de la Terre et la

pollution lectromagn tique qui nous entoure. Deux individus ont t plac s dans la salle, mis en rapport aveles EEG, les EMG, les ECG, et avec des appareils pour mesurer les effets sur le corps en absence des chammagn tiques dans l environnement. sa grande surprise, en seulement quelques minutes, ils se mirent sangloter et ils lui dirent qu'ils se sentaient comme s'ils taient effondr s motionnellement.

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En quelques minutes, ils commen aient perdre la coordination, le contr le musculaire, et elle a d les retirde l pour viter d'affecter leur muscle cardiaque. Tout cela s'est produit en seulement quelques minutes !

Les recherches ont indiqu un faible rendement dans la membrane cellulaire, et c est en soi, une cause ou uncofacteur dominant dans la plupart des maladies chroniques et auto immunes. Selon le laur at du Prix NobeOtto Warburg, les cellules saines existent avec un potentiel trans membranaire (TMP) situ entre 70 et 90millivolts. En raison de la constante de stress de la vie moderne et d un environnement toxique, la tension de lcellule a tendance diminuer avec l' ge ou lors d une maladie. Lors des chutes de tension, la cellule eincapable de maintenir un environnement sain. Si la charge lectrique d'une cellule est descendue 50 millivoltune personne peut ressentir de la fatigue chronique. Si la tension baisse encore et se situe entre 15 et 30millivolts, la cellule peut souvent devenir canc reuse.

Les CEMP permettent d' lever le niveau dangereusement bas du TMP des cellules canc reuses et donc dr duire l'un des facteurs essentiels de la croissance tumorale. Les effets qui sont visibles lorsque le TMP esmajor , comprennent : le renforcement de la production de l' nergie cellulaire (ATP), l'augmentation de laconsommation d'oxyg ne, des changements dans l'entr e du calcium, le mouvement du sodium hors la cellule,le mouvement du potassium dans la cellule, des changements dans l'activit enzymatique et biochimique, et leschangements dans le pH cellulaire.

Selon Marcel Wolfe, un ducateur de la recherche du style de vie holistique,"La eche che dan le CEMT le effe habi el ne l gi e , h i l gi e e ch l gi e de a a i n. L e

lace, il n a ab l men RIEN c m a e , a d'inf a ge l in ain , a de la e , a d l adan le CEMT a main e e i e le MEILLEUR a h i l gi e ac i en bea c

a e e de in , en indi an ab l men a c n effe ind i able. Il e im ance e ne gie e e il, ce i ignifie e le ili a e , en g n al, ne e en en a l'af ence e la d e de l'e i i n n ad a e le l a e en e nnan ."

Il y a plus de 1.000 tudes cliniques et plus de 7.000 documents de recherche validant les avantageth rapeutiques des CEMT. Dans un article du 6 ao t 2007, de Science Daily, intitulLe Cham Elec i e n P en iel en an e T ai emen d Cance, il a t signal que des champs lectriques de faible intensit

peuvent perturber la division des cellules canc reuses et ainsi ralentir la croissance des tumeurs du cerveauVoici donc la question 64,000 Dollars. La fr quence a t elle de l'importance ? Selon Marcel Wolfe,Laf ence de l'im ance. La f ence n'e a e lemen ne i ce d le de la an , elle e

ien l en emble e le inci a m en n ce ai e la c mm nica i n end e D'o les citations d'Albert Einstein :La f ence e , et La f ence l'em e la chimie.

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Le MRS 2000+

Compte tenu de notre mode de vie actuel, notre corps est constamment en manque d' nergie qui ne peut trefournie que seulement par l'exposition de b n fiques CEMT. Et le besoin de sources d' nergies saines ne ferque cro tre au fil du temps. Une importante pi ce d quipement, mon avis, est un dispositif de CEMT. Le "2000 +" (MRS signifie Magnetic Resonance Stimulation , savoir, Stimulation par R sonance Magn tique) esl'un des dispositifs les plus efficaces. J'ai fait des recherches dans le domaine des CEMT. C est le syst me CEMT le plus vendu dans le monde entier, utilis par des milliers d athl tes professionnels et amateurs de clasmondiale, par presque un demi million d'utilisateurs particuliers, puis par des millions d'utilisateurs cliniques. MRS 2000 + a t depuis le milieu des ann es 1990, l objet de centaines d' tudes cliniques et d tudes de caont t document es.

Plus important encore, c est l metteur CEMT dont l exp rience est la plus proche de celle de la natAutrement dit, le champ magn tique de la Terre est 40 UT (microtesla), et le MRS utilise des intensit s trproches de cette force. Sans entrer dans trop de d tails, le champ naturel puls survenant de la Terre est la

R sonance de Schumann , et les deux premiers harmoniques principaux sont 7,83 et 14,2 Hz. Le MRS 200utilise ces harmoniques et des millions de fr quences dans cette gamme, de plus il contient une horlogebiorythme , de sorte que vous ex cutez le programme appropri au bon moment de la journ e. Cela tantvous obtenez des fr quences nergisantes dans la premi re partie de la journ e et plusieurs fr quences ded tente dans la soir e. De plus, le clavier du corps complet est beaucoup plus pais, plus doux et pluconfortable que d'autres mod les. Bien que cela n'affecte pas la qualit des op rations, il donne une exp rienceplus agr able.

Je tiens remercier Marcel Wolfe pour ses contributions l'information contenue dans ce chapitre. M. Wolfeest un ducateur de recherche de style de vie qui a travaill dans le domaine de la sant globale pendant plus d20 ans. Depuis le milieu des ann es 1980, il a tudi toute la gamme des technologies de fr quences telles queth rapie par la couleur et par la lumi re, les aimants statiques, le tachyon, la g n ration d'ions n gatifs, leoscillateurs Multiondes, et les g n rateurs de Rife. M. Wolfe est un sp cialiste dans le domaine des CEMT, econtinue donner des conf rences pour les entreprises, les organisations et les Expos de sant dans le mondeentier. Si vous d cidez d'acheter un MRS 2000 + ou si vous souhaitez plus d'informations sur les CEMT, je vorecommande fortement de prendre contact avec lui. Son num ro de t l phone (au Canada) est le 416 256 798

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210



Q el e le Ne age/la D . ?

La d toxification est le processus de d douanement des toxines de l'organisme o elles sont neutralis es outransform es, elle nettoie l exc s de mucus ainsi que la congestion.

Une mauvaise alimentation, une mauvaise digestion, une atonie du c lon, r duisent les fonction dans le foie etentra nent une lamentable limination par les reins, tout cela conduit l augmentation de la toxicit et unmanque d'oxyg ne au niveau cellulaire.

Comme je l'ai dit plusieurs fois travers ce livre, le manque d'oxyg ne au niveau cellulaire cr e environnement id al pour l ana robie des microbes comme les bact ries, les parasites, les virus et lechampignons, qui peuvent se propager rapidement. Ces microbes peuvent tre nombreux, beaucoup de foisplus petits que les cellules de notre corps, afin que nos cellules deviennent litt ralement infect es par cesmicrobes, et ils peuvent ventuellement entra ner nos cellules vers la mort, ou faire qu elles "deviennent" descellules canc reuses.

Une fois cela fait, les organes sp cifiques (qui sont le foie, la v sicule biliaire, les reins et les intestins) perdeleur capacit traiter toutes les toxines et les polluants dont nous sommes bombard s tous les jours, celadiminue l'approvisionnement de l'organisme en oxyg ne, le syst me immunitaire commence s'effondrer, lepH du corps devient de plus en plus acide (c. d. acidose), et nous avons le parfait espace de reproduction dmicrobes mortels et des parasites. Ces microbes sont le r sultat final lorsque le syst me immunitaire de notrecorps a perdu la capacit prot ger les cellules contre les substances canc rig nes.

Ces virus, bact ries, parasites, champignons, agissent en tant que r el catalyseur pour lecance et peu pr spour toutes les autres maladies. Par un "d tournement" cellulaire de sant a robie, ces bact ries et virusenvahisseurs commencent puiser l'oxyg ne de la cellule et l'approvisionnement en nergie, jusqu' ce que lcellule, soit d c de, ou subisse une mutation dans une cellule ana robie. Cette cellule ana robie (enl'occurrence le cancer cellulaire) s'appuie d sormais sur la fermentation du sucre pour produire de l' nergieEncore une fois, la bataille avec le cancer est vraiment combattue l' chelle cellulaire. Si vous pouvez nettoyele corps de ces envahisseurs microscopiques, tout change radicalement, le terrain interne du corps est de retourdans une saine p riode de temps relativement court. C'est pourquoi le nettoyage est si vital et important pournous tous.

La M D b e dan le C l n

Selon le Dr. Darrell Wolfe,V e c e n em le e e i , e m i n elan h i e, mai il d i e en b n a de an afin d'acc m li ce ilib e. Ce a de

li le l ng d' ne nnan e ligne d'a emblage, c nn e c mme anL T D . Il d ma e de i lb che e de cend a l' e hage j l'e mac, i e a e l'in e in g le, cin e

al, n n en e en e de ied d in e in . C'e n l ng chemin e e n

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T d i e dig en n em Le ce i c n i e mange e dig e e ne efficace .

Il i: Une ma ai e alimen a i n je e le en e le gle de la di ci line a la fenchag in, e en ellemen le d a e e c . La l a de gen ne n c n cien cen im e d ce , il ne c nnai en e le g e la e e de alimen , de i lag ge. D nc ce e n a n e c n i de d e cen im e de j ie, i i d n m

A l heure de la r daction de cette cinqui me dition, mes enfants ont neuf, huit, trois ans, et trois mois. Metrois grands enfants courent durant toute la journ e, et ils ne se lassentjamai . Pourquoi pensez vous qu'ilsont autant d' nergie ? Oui, ils sont jeunes, mais le plus important, c est qu ils ne sonta in i . Ils n ontpas eu 40 ans et + d absorption de d chets toxiques, avec des d bris f caux stagnants, migrant de leur grosintestin, polluant leur sang, la lymphe, les organes, les tissus et les cellules.

Avez vous vraiment mauvaise haleine ? Si c est le cas, elle n'esta due uniquement ce que vous avez mangau petit d jeuner ! Elle pourrait galement tre le r sultat de ce que vous avez mang le mois dernier... ol'ann e derni re ! Rappelez vous que l'air chaud monte, il monte partir de votre abdomen et vous expirez pala bouche.Q el n a il ne men he ? Ne soyez pas dupe... Les bonbons la menthe, le dentifrice et les bainsde bouche ne sont tout simplement que des mesures provisoires qui viennent masquer les sympt mes, etn interviennent jamais dans la cause, la racine r elle, qui est votre "Tas de fumier interne" des d chetstoxiques empil s.

Pourquoi les gens utilisent ils des d odorants et des parfums ?P ma e la i. La v rit est qu'ilsempestent. Pourquoi l'odeur corporelle augmente t elle mesure que nous prenons de l' ge ? La r ponse estnous sommes g i. Nous pourrissons de l'int rieur. Vous devriez savoir que presque tous les

d sodorisants ou les parfums sont toxiques et nocifs pour votre corps, m me certains des soi disant produitsnaturels. Comme je l'explique plus loin dans le livre, un grand nombre de d odorants appliquer sous lesaisselles peuvent tre un facteur contribuant aux probl mes de la lymphe et du cancer du sein.

Pourquoi tant de gens vitent ils d'aller dans la salle de bain en public ? En raison de la nuisance olfactive qulaissent derri re eux. Imaginez, vous marchez dans votre propre maison, vous tes confront une odeur evous ne savez pas d'o elle vient. Vous ne seriez pas tranquille jusqu' ce que vous en ayez trouv l origine. suis s r que vous ne seriez pas insensible l utilisation de d sodorisants en a rosol, pulv ris s travermaison pour masquer l'odeur. Toutefois, m me si vous modifiez votre alimentation et commencez vousalimenter correctement, vous n'aurez jamais de sant dynamique si vous ne nettoyez pas votre "tuyau d' gout"

personnel. Peut tre la d claration la plus importante de tout ce chapitre est elle la suivante : ne e e ai g i c m ene l'a de la ifica i n.

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Cependant, la plupart des gens ne veulent pas parler de leur putr faction par les mati res f cales. Ils enfoncenleur t te dans le sable en esp rant qu'elles s'en iront. Un colon toxique est le terreau d un d sastre.

Selon le Dr. Darrell Wolfe,il a ne ca e maje e dan la maladie, e c'e l'acid e ( H ba ). Sa eca e inci ale en e la fac i n de d che f ca ab b dan e me

mie, ce i ignifie le ang ale. Pe me e m i de e ne e i n. Pen e a i la candid e mi e, la fa ig e ch ni e, le ma de e, le ma de g ge, le maladie ca dia e , la g e, l'a h i e, le bl me de in , e m me le cance an e

ale e in i ? La li e de maladie e an fin. La e le fa n e e ang de iennela ab i n de e d che f ca i e enan d g in e in.

Faut il s' tonner que nous entendions souvent cette phrase : La M C mmence dan le C l n ?

L Effe D min

Permettez moi vous parler de l'effet domino . Quelle est la cause majeure de la tox mie (sang intoxiquL'ab i n de d che f ca i e enan d g in e in (c l n). Donc si vous pouvez obtenir quele gros intestin fonctionne correctement, vous n absorberez pas les d chets toxiques issus des mati res f calesCe qui n est pas le cas de 99% de la population. Lorsque le sang devient surcharg par ces toxines mortelles ces poisons, le foie doit ramasser les surcharges. Votre foie effectue d j plus de 500 diff rentes fonctions poule corps, et il doit maintenant prendre la rel ve, puis g rer les d chets toxiques provenant du gros intestin. Lefoie travaille des heures suppl mentaires jusqu' ce qu'il devienne fatigu de fa on chronique, puis le corpcommence son tour, prouver un tableau de multiples effets secondaires n gatifs. Ainsi, le cas est horcomp tence du m decin, il vous dit que vous tes OK et que cela est justen mal e g

En r alit , cela n'est pas normal. Ce qui s'est pass c est que le foie a d faire beaucoup plus que sa part raison de la situation du sang intoxiqu dont la cause en incombe aux d chets f caux incrust s dans le grointestin. Maintenant, le foie doit transmettre ce fardeau de d chets toxiques caus s par la stagnation dans legros intestin (c lon), aux reins. Mais les reins ne sont pas si heureux d'assumer cette charge suppl mentaire. Ilsont d j ressenti l ajout de la pression au cours des derni res ann es en raison du fait que le c lon tadysfonctionnel avant le sort du foie. N anmoins, les reins font de leur mieux, mais comme le temps passe, deslombalgies chroniques s installent, et elles sont imputables ces d chets toxiques ind sirables, v ritablpoisons. D'autres sympt mes apparaissent cause de la surcharge de travail des reins, comme les mains moites

les poches sous les yeux, des mictions fr quentes, et les infections de la vessie. Les reins en sont maintenantarriv s prendre le poids de ces d chets toxiques. O les d chets vont ils se rendre partir d'ici ? Dansr servoir appel la vessie.

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C'est cela que le Dr. Wolfe appelle l'effet domino . En premier lieu, le c lon est intoxiqu , ensuite le sang,foie, les reins, la vessie et c est maintenant au tour du syst me lymphatique de devenir intoxiqu . Donc, question un million de Dollars est la suivante : comment pouvons nous obtenir l assainissement du r seau notre station d' puration interne, et le remettre en ordre ? La r ponse est Le NETTOYAGE e la DETOX !

Il a n O d e

Si vous d toxifiez le sang avec un foie bouch , d'o viennent les toxines ? Ainsi, vous devez d toxifier le fa an de d toxifier le sang. Ensuite, si vous d toxifiez le foie, mais oubliez votre c lon toxique, il sesimplement m me de s'obstruer de nouveau. En raison de notre alimentation fast food Am ricaine, noc lons sont, pour la plupart, bourr s de toxines qui p sent sur notre syst me immunitaire. Par cons quent, toud'abord vous devriez nettoyer le c lon, puis d barrasser votre corps des parasites, nettoyer les reins, puis le foieainsi que la v sicule biliaire, et ensuite le reste du corps, sans oublier le sang. Ceci est l ordre le plus intelligentsuivre.

Cette s quence est fortement recommand e par de nombreux praticiens de sant naturelle, et de la m mefa on par des docteurs en m decine.

1) Nettoyage du C lon2) Nettoyage des Parasites3) Nettoyage des Reins

4) Nettoyage du Foie/V sicule Biliaire5) Nettoyage du Sang La P emi e E a e : Le Ne age d C l n

Pour reprendre les mots de Henry Wheeler Shaw :"U ' ".Je suis enti rement d'accord avec M. Shaw ! La Royal Society o

Medicine a r alis une tude majeure et constat qu'un gros intestin dysfonctionnel (alias c lon, intestins) est lcontributeur majeur de 85% de toutes les maladies et affections. Un dysfonctionnement du c lon est le principacombustible de l'incendie relatif toutes les maladies et affections, y compris le cancer. Et jusqu' ce que ce

organe re oive toute votre attention et toute la coop ration, non seulement vous ne pourrez pas pr venir ouinverser la maladie, mais vous resterez malade et fatigu , d' tre malade et fatigu .

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Le Dr. John Harvey Kellogg, c l bre chirurgien et p re des Kellogg's Corn Flakes, a estim que le colon el'origine de la plupart des probl mes de sant , d'o sa cr ation, d'une c r ale base de son, pour aider lfonctionnement du c lon. Il a soutenu qu un taux effectif de 90% des maladies est d au mauvafonctionnement du c lon.

Saviez vous que votre gros intestin est souvent d nomm M re de tous les organes ? . Il est le premier orgad velopp dans le f tus. Pourquoi ?Pa ce 'il e le l im an. Sans une purge ad quate des d chets ;(le syst me d' puration interne), la vie cesserait d'exister avant m me qu'elle ne se soit mise en marche.Imaginez un peu les catastrophes auxquelles nous serions confront s si dans nos villes, nos rues, et nosmaisons, les r seaux d' gout n taient pas entretenus. Mais n'est ce pas exactement ce qui se passe avec le

syst me d' puration interne de beaucoup de gens aujourd'hui ? Ne sommes nous pas devenus la respiratiodes fosses d'aisances des bact ries toxiques, des gaz, des virus, des champignons et des vers, vivant enstagnation o les d chets pourrissent ? Nous sommesg i.

Les Am ricains ont la plus forte incidence de cancer colon rectal de toutes les nations dans le monde. Il tumaintenant plus d'Am ricains que jamais auparavant dans l'histoire. Beaucoup de gens pensent que c'est un

sujet sale et certains pensent que c'est g nant, mais le cancer et la mort sont bien pires. Parlons propos de sapr vention. Selon le Service de Sant U. S, plus de 90% des Am ricains se prom nent avec des c lons bouchL adage "Vous tes ce que vous mangez" est cat goriquement correct et donne d'autant plus raison denettoyer et de d toxifier le corps. Lorsque l'intestin, le c lon est touch , les probl mes surgissent comme parexemple, la constipation, les h morro des, la diverticulite, la colite ulc reuse, le cancer du c lon et unepl thore d'autres maux.

Selon le Dr. Richard Schulze,La emi e a e d n g amme de an de chac n de ai e la ne age e la nifica i n de l'en emble de gane d' limina i n ; e l'in e in e le meillec mmence . Le Dr. Schulze dit que le nettoyage du c lon (gros intestin) se d roule en trois tapes. En premie

lieu, il faut obtenir de l'intestin un travail r gulier (une selle par repas). Ensuite, nettoyer les toxiques, led chets putrides situ s dans les poches, les plis et les replis du c lon. Enfin, gardez le c lon propre gr cel entretien quotidien.www.risingstarlc.com/schulze.htm

Le Dr. Schulze admet volontiers qu apr s vingt ans d exp rience clinique, il a trouv que 80% de toutesmaladies, que ce soit l'arthrite, l'acn , la sensibilit chimique multiple, ou le cancer, ont t r solus dans un dde deux semaines par le nettoyage de l'intestin. L'un des meilleurs traitements de nettoyage du c lon, sur lemarch aujourd'hui, a t cr par le Dr. Schulze et est appel : Formule Intestinale Corrective (# 1 et # 2) .pouvez la trouver chez :www.herbdoc.com. Une autre excellente formule de nettoyage du c lon (que j'aipersonnellement utilis e) est appel e Aloe Ease et peut tre trouv e chezwww.newvitality.com.

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Beaucoup de gens croient tort que deux quatre semaines sont suffisantes pour nettoyer et r tablir leursant . Il n . L entretien quotidien de l'appareil digestif est imp ratif et n cessaire afin de r tablir epr server votre bien tre. L'objectif devrait tre la g n a i n e l en e ien d c l n. Si vous avez d j fait unnettoyage du c lon, vous vous tes sans doute senti tr s bien pendant environ un mois, mais alors vous tesretourn au niveau de l ancienne situation. Que s est il pass ?V e me d' a i n in e ne 'e bde n ea , n'e ce a ? La cl du probl me est de garder le c lon propre et qu il ne se bouche pas dnouveau.

Non seulement nous devons le nettoyer, mais nous devons aussi r tablir un fort syst me immunitaire dans letractus digestif avec de bonnes bact ries (flore intestinale). Sans cette flore amicale pr sente, la vie commenous la connaissons n existerait pas. La plupart des gens ont eu de bonnes bact ries pr sentes dans leur tubedigestif, mais elles ont t d truites cause des produits chimiques, de l'eau du robinet, d une mauvaisalimentation, des antibiotiques et autres toxines. Les Organismes Hom ostatiques du Sol (lesHSO OHS) ontla plus haute int grit de toutes les bonnes bact ries pour le bon r tablissement d'un tube digestif sain.

Et n'oubliez pas, la r gle d'or pour une digestion efficace (c est dire un c lon propre), c est de nejamai

m lange ne ine e n amid n. La viande exige des enzymes de prot ines pour la digestion, et lespommes de terre exigent des enzymes d'amidon. Quand ces enzymes sont mis ensemble, ils se neutralisentmutuellement et cela putr fie (alt re) votre nourriture.

La De i me E a e : Le Ne age de Pa a i e

La plupart des gens croient que les parasites sont seulement un probl me grave dans les pays du tiers monde,mais rien d autre que cela ne peut tre plus loign de la v rit .

Les scientifiques ont identifi plus de300 types de parasites prosp rant aux Etats Unis aujourd hui, incluantmais n tant pour autant pas limit s aux suivants : les oxyures, les t nias, les ankylostomes, les mycoses, ltrichures, les ascaris et les filaires. L'USDA nous dit qu une moyenne de quelques centim tres cubes de boecontient jusqu' 1.200 larves. Il est estim que plus de a e ing di cen des Am ricains souffrent desparasites et ne le savent m me pas. Lorsque les sympt mes apparaissent, les vers/parasites ont probablement

t pr sents dans votre organisme depuis plus d'une d cennie !

Selon la Dre. Hazel Parcells,Ne m e a , le e n le agen le l i e c h main. Il n l' ne de e n la ca e incic m me an le me imm ni ai e .www.frequencyrising.com

Les parasites sont des organismes charognards vivant en nous, aidant la participation et au d veloppement denombreuses affections ou maladies graves pour la sant , notamment le cancer. Les parasites prosp rent, sed veloppent dans le tractus intestinal, le foie, le pancr as, et le cerveau, o ils deviennent ob ses ; ils utilisel'alimentation et ce dont ils raffolent, ce sont les sucres transform s, la malbouffe, les toxines, et laconsommation excessive de glucides.

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Le danger de ces visiteurs ind sirables r side dans le fait qu ils deviennent extr mement toxiques et m mmortels. Comme les d chets sont expuls s l int rieur du corps d'accueil, leurs ufs closent et les larves d veloppent dans les tissus de tout le corps.

Les parasites ont trois principaux objectifs/effets chez l'h te humain :

• Ils cultivent les graisses de votre nutrition• Ils boivent votre sang• Ils vous surchargent avec leurs d chets, qui sont ensuite r absorb s dans votre sang, ce qui affaiblitl ensemble des fonctions du syst me immunitaire.

La Dre. Hulda Clark est d c d e en 2009, mais avant sa mort, elle a t l'une des personnes les mieux informdans le monde sur les parasites. Clark a obtenu un doctorat en biophysique, en physiologie cellulaire, et elle a

crit trois livres best sellers : La Cure de Tous les Cancers, La Cure de Toutes les Maladies, et La Cure du VIHSIDA.

La Dre. Clark a d couvert qu'il semblait y avoir deux facteurs de pr disposition impliqu s dans tous les cas cancer, elle a rencontr :

1. La pr sence d'un parasite (la douve intestinale humaine) aussi appel "Fasciolopsis buski", et

2. La pr sence de diff rents solvants et toxines dans le corps (y compris l'alcool isopropylique) qui, combinavec les parasites, mettent en place les conditions requises l'apparition du cancer.

La Dre. Clark est surtout bien connue pour avoir mis au point un dispositif qu'elle a appel le Zapper , qui tles agents pathog nes pr sents dans le corps. (disponible ici :http://vivrenaturellement.com).

Une similitude int ressante se pr sente entre les th ories de la Dre. Clark et d'autres th ories sur le cancerconcernant notamment les mycotoxines (toxines fongiques). Au d but de ce livre, j ai mentionn le Dr. DouKaufman et le Dr. Tullio Simoncini, qui ont tous deux mis l'hypoth se que le cancer est une infection fongiquprofonde que notre syst me immunitaire ne reconna t pas. Dans certaines r gions d'Afrique, l'aflatoxine (lmycotoxine # 1) est consid r e comme la premi re cause de cancer du foie, ceci est d l'ingestion d'alimenmoisis. Le foie semble plus sensible aux dommages caus s par l'aflatoxine lorsque l'alcool isopropylique esconsomm dans les produits alimentaires ordinaires, et la douve intestinale p n tre sur le terrain, ouvrant lavoie un cancer.

La Dre. Clark recommande de laver tous les aliments avec de l'eau ozon e, car l'ozone peut rendre toute toxinemoins toxiques, tuer toutes les formes de moisissures, et liminer les ufs de parasites trouv s sur des l gumesdu jardin.

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Vous n'avez qu' remplir l' vier de la cuisine avec l'eau du robinet, faire goutter l aide d une pierre aira rateur en c ramique l'extr mit d'un tube en plastique qui est attach un ozoniseur), et laisser travailleles bulles d'ozone dans l'eau pendant 10 minutes, tandis que les l gumes, les c r ales ou les haricots trempentElle a test et v rifi que cette m thode nettoie bien, ce qui rend la nourriture convenable et s re pour laconsommation.

C mmen e d ba a e de a a i e ? Clark affirme que trois plantes peuvent vousd barrasser de plus d'une centaine de types de parasites, sans m me un mal de t te et sans naus es. Ces herbes

miracle sont:

• C e (B ) de N i N i e(du noyer noir)• Ab in he (de l arbuste Artemisia)• Cl de Gi fle c mm n(de l arbre clous de girofle)

Ces trois plantes doivent tre utilis esen emble. Le brou de noix noires et l'absinthe tuent au stade adulte et en

d veloppement au moins 100 parasites. Les clous de girofle tuent les ufs. Ce n'est que si vous les utilisezensemble que vous vous d barrasserez des parasites. Si vous ne tuez que les adultes, les oeufs minuscules et end veloppement vont bient t devenir de nouveaux adultes. Si vous ne tuez seulement que les ufs, les millionsd j pr sents en vrac et en d veloppement dans votre corps vont bient t devenir des adultes et produire plusd'oeufs. Elle d i en e ili e en emble c mme an n e l ai emen .

Selon la Dre. Clark, la mise mort de tous les parasites et de leurs larves simultan ment, avec limination l'alcool isopropylique canc rig ne partir d un patient canc reux, donne des r sultats remarquables dans style de vie avec un redressement spectaculaire, g n ralement perceptible en moins d'une semaine.

Apr s une analyse minutieuse du protocole de la Dre. Clark, peut tre certains de ses succ s d coulent ilsl'inclusion de l'absinthe. L'art misinine est un extrait de l arbuste Artemisia (c. d. armoise), et elle a reconnue pour inhiber l'angiogen se (la formation de nouveaux vaisseaux sanguins)

(www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10780880?dopt=Abstract). Dans le milieu des ann es 1990, deux chercheursde l'Universit de Washington Seattle (les professeurs Henry Lai et Narendra Singh) ont commenc tudil'utilisation de l'art misinine chez des patients humains. Ils ont trouv que l'art misinine cible s lectivement lecellules canc reuses, tout en laissant indemnes les cellules normales du sein et les globules blancs.

Les cellules canc reuses recueillent et stockent le fer, parce qu'elles ont besoin de fer suppl mentaire pourr pliquer l'ADN quand elles se divisent. Par cons quent, les cellules canc reuses ont une concentration plu

lev e en fer que les cellules normales. Selon le professeur Lai, on croit en ce travail parce que lorsqul art misinine entre en contact avec le fer, une cascade pr judiciable de radicaux libres s'ensuit. Lorsque Lai Singh ont test la combinaison de l'art misinine avec l agent de transfert (une mol cule de fer am lior e), lr sultats ont t tonnants.

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Il y a eu une r duction de 98% dans les cellules canc reuses du sein dans les 16 heures ! ( Toxicit s lective dihydroart misinine et de l holotransferrine vers des cellules humaines de cancer du sein , Sciences de la Vie 2001.)

Les cellules leuc miques se sont r v l es tre d truites 100% avec cette combinaison en seulement hheures, probablement en raison du fait qu'elles se divisent plus rapidement, ont une plus forte concentration enfer, et ont des pourcentages plus lev s de r cepteurs de la transferrine (qui transporte le fer). Apparemment,plus le cancer est agressif, mieux il peut r agir ce traitement !

En plus de la cure de nettoyage des parasites de la Dre. Clark (qui est disponible chezhttp://www.drclarkfrance.com et galement pour la France, chez :www.vivrenaturellement.com/achat/categorie 30.html), (et quelque soit le pays, vous pouvez vous procurer les produits de la Dre. Clark, ici :http://drclark.com), un autreexcellent traitement de nettoyage des parasites est, disponible en Am rique du Nord, celui du Dr. Schulze chezwww.herbdoc.com. Vous pouvez prendre le nettoyage des parasites avec votre nettoyage du c lon ou apr scelui ci, aussi longtemps afin qu il soit termin , avant de commencer nettoyer votre foie.A e

im lemen de ne a a e le ne age de a a i e . Selon le Dr. Ross Andersen,"Le a e minen

m decin n d'acc d a ec m i, e dan l'hi i e h maine, . Pa ce 'il ne e en a e e en en a

m me imm dia , il e en in i ible c mme an ne ca e n fac e c n ib if ble g a e."

La T i i me E a e : Le Ne age de Rein

Pourquoi est il important d effectuer un nettoyage des reins ? Chaque jour, le processus de vos reins via le sanest d aider passer au crible les d chets (tels que le mercure, le plomb, l'arsenic, le cuivre, et d'autres toxineset l'eau suppl mentaire. Les d chets et l'eau suppl mentaire deviennent l'urine. L'urine s' coule alors jusquvotre vessie travers les uret res. Votre vessie stocke l'urine jusqu' ce que vous alliez dans la salle de bainLorsque vos reins deviennent surcharg s avec des toxines, des maladies des reins et de la vessie peuvent arriverau point que vous ne parveniez pas vacuer les d chets et l'urine de votre corps. Des cristaux se forment danl'urine, diff rents sels s'accumulent au niveau des surfaces internes des reins. Finalement, ces cristauxdeviennent suffisamment gros pour former des calculs r naux. Un nettoyage des reins est une proc dure quiest utilis e pour dissoudre les d p ts situ s l'int rieur du rein, lesquels peuvent mener des calculs r nau

Nous savons maintenant que les min raux durs (principalement l'eau du robinet) ne peuvent tre assimil s parnotre corps, donc ils commencent s'accumuler dans nos reins et dans d autres organes, contribuant denombreuses maladies, y compris le cancer. Selon le Dr. Charles Mayo (de la Clinique Mayo),La d e de l eae la ca e jacen e de bea c , in n de la ali , de maladie l an de i n

ac in e inal. Ce ci (le min a d ) a en de i la a i in e inale e a ienl m ha i e, ce i li e ain i e d i dan le ang, i n , le di ib e c . Ceci e la ca e d' ne g ande a ie de maladie de l'h mme .

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Il y a des centaines de recettes base de plantes, et beaucoup de diff rents rem des hom opathiques utilis spour le nettoyage des calculs r naux. Une m thode populaire pour nettoyer les reins, se fait avec la past queAchetez simplement quelques normes past ques et mangez en tout au long de la journ e. Un autre rem depopulaire pour nettoyer les reins, c est le th de graines de c leri. Versez juste de l'eau de source bouillante suune pleine cuiller e soupe de graines de c leri fra chement moulues et laissez les infuser. Le th de grainesc leri est tr s puissant en cas de calculs r naux et de maladies chroniques des reins. Les graines de c leri onune action directe sur les reins, augmentant l' limination de l'eau et acc l rant le d gagement des toxinesaccumul es dans les zones pr cises. Le th de graines de c leri est souvent combin avec la racine de pissenpour augmenter l'efficacit de l' limination tant par les reins que par le foie. Cependant, si vous tes enceintene buvez pas le th de graine de c leri puisque c'est un stimulant ut rin !

La cure de nettoyage des reins, probablement la plus populaire, est celle de la Dre. Clark, elle est disponible ici (Pour les Etats Unis d Am rique :http://curezone.com/clark/kidney.asp.)

(Ou pour la France :www.vivrenaturellement.com/achat/categorie 30.html). Il existe aussi, pour les Etats Unis,

le traitement de nettoyage des reins du Dr. Schulze qui est disponible chez :www.herbdoc.com.

Q a i me E a e : Le Ne age d F ie & de la V ic le Biliai e

J'ai entendu dire : Ne di e a e e i e amie e l aime de e c . Di e lde e f ie .Cela semble bizarre, n'est ce pas ? Mais si l'on consid re que le foie jouemille t chesquotidiennes et qu il filtre chaque goutte de sang qui coule travers lui, je suppose que vous pouvez envisagerque ce soit logique.

Le foie fabrique des produits chimiques pour combattre les virus et les bact ries, soutient la phagocytose(mangeur de cellules), et produit des antihistaminiques qui vont neutraliser les substances qui favorisent lacroissance du cancer. Il est une telle centrale de production, que les scientifiques estiment que jusqu' 80% dufoie peut tre endommag sans m me produire de sympt mes !De l , le f ie e g n e l i m me le i emaine ! Dans son article de 1994, intitul Le foie, Laboratoire de la vie , le Dr. L on Roy, d cl

A c ne maladie, n ammen le maladie d g n a i e c mme le cance e le SIDA, ne ai l ng em e el e emaine face la ence d' n f ie ain.(Immune Perspectives, t 1994).

Dans son livre, Le Foie et le Cancer, le Dr. Kasper Blond de Vienne, Autriche, d crit le foie comme tant la" ede la maladie".Dans le livre, il d clare:A c n a e im l n e n ce ai e ( le d el emen

' ne ine m ab li e i n'e a a e a le fil e d f ie n'a a ne ali

l'in ffi ance h a i e.

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Plus tard, il ajoute : Le cance d m n n'e a ca a la nic ine, mai a le ine alimei c n ne le fil e d f ie. Vous rappelez vous de la star de Baseball Mickey Mantle ? Il a

diagnostiqu avec un cancer du poumon dans l'attente d'une transplantation du foie. Voyez vous le lien ?

Il y a beaucoup de m thodes pour nettoyer et entretenir votre foie, mais le meilleur nettoyeur actif du foie que'ai vu est le Foie en cinq jour et le Nettoyeur actif de la v sicule biliaire de Jon Barron. Vous pouvez le tr

chez : www.jonbarron.org. Un autre bon d puratif du foie, est celui du Dr. Schulze chez :www.herbdoc.com.Buvez un litre de jus de pomme biologique non trait , chaque jour pendant trois jours. Vous n'avez pas fairevite pendant cette p riode, mais on le recommande. En soir e du troisi me jour, buvez huit onces (23,66 cld'huile d'olive extra vierge biologique de premi re pression froid. Remuez l ensemble (avec le jus d'un citroet buvez le en vous abaissant rapidement. Saisissez alors une petite cuvette et mettez vous dans une positionfoetale, recroquevillez vous sur le c t droit pendant heure. Gardez la cuvette vers votre visage, tout hasarsi vous vomissez. Le matin suivant, vous devriez trouver quelques petits objets verts ou noirs dans vos selles. Csont des calculs biliaires.

Il y a la science derri re le foie et la v sicule biliaire nettoie. Le jus de pomme poss de une teneur lev e acide malique, qui agit comme un solvant pour affaiblir des adh rences entre les globules solides. L'huile d'olivbiologique stimule la v sicule biliaire qui est conduite se contracter pour expulser son contenu, la bile. Le DSchulze d clare que notre alimentation est trop sucr e, et que nous devrions consommer quelques herbesam res et vertes pour stimuler le flux de bile. Il recommande de manger une certaine dose de persil ou du choufris (ou n'importe quel type d'herbe verte ou am re), juste avant un repas pour obtenir l coulement de bileLe jus de betterave, le jus de luzerne, les jus d'herbe de bl sont un r gal pour le foie. Et comme je l'ai dmentionn , les lavements au caf stimulent aussi le flux de bile.

Cin i me E a e : Ne e e Sang

La circulation sanguine est notre"Fle e de Vie". Nous ne portons attention que tr s rarement, n accordonsm me qu une seconde pens e, au sang qui parcourt notre corps, jusqu' ce que nous ayons eu une blessure etce fluide pr cieux passe devant nos yeux.

Une des premi res choses que nous pouvons faire pour am liorer le syst me circulatoire, ce doit tre dnettoyer les canaux par lesquels se font les flux sanguins. En raison de digestions d fectueuses et de l utilisatiod eaux dures, les parois des art res, des veines, et des capillaires deviendront recouvertes de d chetsinorganiques. Ces d chets forment un alignement qui ne permet pas la structure cellulaire des veines et desart res d' tre aliment es correctement, de ce fait, celles ci qui l'origine sont compos es de tissus doux esouples deviennent dures et perdent leur lasticit . Puis, comme un "vieux" tuyau en caoutchouc, elles ne

peuvent se d velopper ou se contracter avec facilit , elles deviennent, comme les varicosit s, faiblessurgonfl es, ou fragiles et puis elles cassent. L'utilisation massive de pain, de p tisseries, et de sucres raffinengendrent un lessivage du calcium depuis les veines et les art res ; et quand il y a une carence en calcium, nou

prouvons de la faiblesse, ce qui entra ne un dysfonctionnement.

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Lorsque le c lon, les reins et le foie se sont d t rior s dans leur capacit garder le sang propre, exempt dd chets, le sang ne peut donc plus exercer ses nombreuses fonctions de mani re ad quate. La distributiond'oxyg ne aux cellules du corps est diminu e, le syst me immunitaire est occup traiter les contaminants eexc s dans le sang, et la survenue de maladies d g n ratives est le r sultat final. Donc, encore une fois, nous esommes revenus l o nous avions commenc le cance e j a ci n man e d' g ne ani ea cell lai e.

Il y a en fait plusieurs fa ons de purifier votre sang. L'une des plus efficaces est de prendre des enzymedigestives entre les repas ou avant le coucher. En quelques minutes, les enzymes entrent dans la circulationsanguine, commencent nettoyer les d bris hors du sang et stimulent les cellules immunitaires. Mais jerecommande galement que vous utilisiez un nettoyant du sang base de plantes pour enlever les r sidustoxiques contenus dans le sang, de sorte qu'il soit hostile l' gard du cancer et des tumeurs. Les herbes denettoyage du sang sont les suivantes : le tr fle rouge, la racine de bardane, l herbe de chaparral, Poke root(Raisin d'Am rique ou raisin des Teinturiers), et la petite oseille. Ce sont les plantes que vous trouverez dans lec l bres formules de nettoyage du sang, telles que le th Hoxsey, le th Essiac, et la formule du Dr. Schulze.Ellesc nd i en li alemen le me h d c.

Jon Barron a une excellente m thode pour nettoyer le sang, disponible sur son site web :www.jonbarron.org.Selon lui, la meilleure fa on de profiter de ce type de formule c est aussi d utiliser une teinture base de plantqui r ussit concentrer ces herbes jusqu' trente fois. Prendre entre quatre et douze gouttes dans la journ e(en fonction de vos besoins) dans une boisson. Vous pouvez faire des pauses de quelques jours si vous lesouhaitez, mais finissez de boire enti rement la bouteille. R p tez autant de fois que n cessaire.

REMARQUE : Une grande partie de ce chapitre a t extraite (avec sa permission) de l'article du Dr. DarrelWolfe, intitul G t s Pourris .

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C'est l'alimentation (et non le traitement) qui offrira une gu rison long terme propos du cancer, puisquel'alimentation construit le syst me immunitaire et quilibre le terrain int rieur. Ces deux choses sont essentiellepour avoir un succ s long terme dans la lutte contre le cancer. Beaucoup trop souvent, les gens pensent qu'ilssont gu ris d'un cancer lorsque la tumeur a disparu, ou lorsque les cellules canc reuses sont mortes. Ilsretournent ensuite leur ancien mode de vie, leur ancienne alimentation, leurs anciens d fauts, et le cancerevient. Ce que nous devons retenir, c'est que certaines conditions internes ont permis au cancer de sed velopper initialement, et que si ces conditions internes sont de retour cause d une mauvaise alimentationalors le cancer reviendra lui aussi.

Le corps humain est compos des l ments les plus communs trouv s sur Terre. Dans la Gen se, nous pouvolire l'histoire de la cr ation du monde et du Jardin d'Eden. Nous lisons dans Gen se 2:7 que Dieuf ma l h mmea ec l a gile de la Te e e il ffla dan e na ine n ffle de ie .Qu'est ce que Dieu a utilis pour cr erAdam ? Dieu l'a fait partir des sols sup rieurs les plus riches de la Terre. Je suis 100% convaincu que cha

l ment tait pr sent dans le sol dont Dieu s'est servi pour faire Adam, et que les fruits, les noix, les c r ales les l gumes ont pouss sur ces m mes sols. Mais ensuite Adam est tomb , et ainsi s est fait notrenvironnement.

Avec de bons sols en Am rique, ayant t puis s 90% de leur valeur min rale ; des produits chimiques inuet des hormones sont ajout s nos sols et aux aliments, ainsi que des traitements qui ont d truit les vitamineset les enzymes digestifs, les rendant plus acides, il n'est pas tonnant que nous ayons une pid mie de maladied g n ratives. En effectuant des recherche pour son livre, Nutrition Under Siege , Alex Jack a examindonn es publi es par l ARS USDA Nutrient Data Laboratory, et a conclu qu'une comparaison des donn"m n e ne f e bai e en min a , i amine e a e n imen , dan de n mb e alde ni e en e g n ale bli e il a l de ing an ",qu'il attribue ne d i a i n de l ilib e dede l'ai e de la ali de l'ea .Ces l ments, qui manquent aujourd'hui dans l'alimentation Am ricaine

moyenne, sont cruciaux pour le maintien en bonne sant et la vie elle m me.

Il y a cent ans, le cancer tait encore presque inconnu, mais aujourd'hui, il semble que tout le monde connaissequelqu'un dans sa famille qui soit mort de cette terrible maladie. Qu est ce qui a chang ? Nos corps ont changNos g nes ont chang ? Ou avons nous puis nos sols de leurs nutriments essentiels ? Avons nous changque nous mettons dans nos corps ? Et ces aliments que nous ing rons, ont ils leur tour, modifi notre terraiint rieur de telle mani re nous rendre plus sensibles la maladie ?

Dans son livre intitul Vainc e le Cance A ec la N i i n, le Dr. Patrick Quillin nous fournit une analogienorme : "Un cham ign n e d el e l' c ce d' n a b e en ai n de c ndi i n fa abl

chale , l'h midi e l' b c i .

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V e c e , b le e em i nne n cham ign n, fai e ce e le , mc ndi i n fa able e i e n , il e a de e . De m me, le cance e d el e dan n hc ndi i n n nie . En m n le fac e i fa i en la f ma i n de me , il c

i e, la bai e imm ni ai e, la maln i i n, la d e i n men ale, e l e c de gl c e dan e n ne c igi n ce ind c e de cance , le h a ie c i e n e l'Ce que le Dr.

Quillin dit, c'est que nous avons besoin de nous concentrer sur lesca e du cancer plut t que sur lesm me.

Le manque de min raux et de vitamines dans le sol, les substances chimiques dans nos aliments, le fait de boirdes sodas, les aliments chauff s au micro ondes, la consommation d'aliments de mauvaise qualit , les alimentransform s, les aliments contamin s par les pesticides, et les fast foods, sont quelques uns des nombreufacteurs alimentaires qui ont entach notre terrain int rieur, en modifiant principalement notre quilibre du pHet cela fourni un terreau fertile qui a permis au cancer de se d velopper. Nos aliments acides, la nourriture dmauvaise qualit , les fast foods, les produits all g s ou light sont quelques uns des m chants l mprimaires contribuant la mont e du cancer.

Comme je l'ai mentionn , il n'existe pas de juste milieu. Ou bien les aliments que nous mangeons luttent contrele cancer, ou bien ils alimentent le cancer. Ainsi, les aliments que nous mangeons peuvent tre regroup s en 2cat gories :

1. Aliments quin i en le cancer : Soit par l'alimentation des cellules canc reuses ou qui emp chent notresyst me immunitaire de tuer les cellules canc reuses. Ces aliments sont les suivants : les mycotoxine(champignons toxiques), les aliments acides, les boissons gazeuses, le sucre, les graisses transform es (huilesraffin es, graisses hydrog n es entre autres), le caf , le glutamate de sodium, le nitrite de sodium, l'aspartameles aliments transform s, les aliments contenant des pesticides, le lait et les fromages pasteuris s, les farinesraffin es (blanches), le fluor, le chlore, etc.

2. Nourriture quic mba le cancer : Soit en tuant les cellules canc reuses, ou qui quilibre notre pH, ou encorequi pr vient la propagation du cancer gr ce aux l ments nutritifs pr sents, tels que les enzymes, les vitamineet les min raux. Ces aliments sont les suivants : l eau de source, les pommes et leurs graines, les abricots et leugraines, le raisin noir avec ses semences, les framboises, les myrtilles, les fraises, les melons, les carottes, lbrocolis, les poivrons, les tomates, les avocats, l'ail, le citron, la lime, l'huile de coco, les graines de lin, l'huile lin, les noix brutes, la chlorella, la spiruline, les herbes, les plantes, etc

La cl du succ s dans "l alimentation contre le cancer", c est de manger des aliments qui combattent le cancet d' viter de manger des aliments qui nourrissent le cancer.C e im le, a ai ? Eh bien pas au 21 me si cle

en Am rique ! Il y a un si cle, nous n'avions pas beaucoup d aliments transform s. Les familles mangeaient fruits et des l gumes frais, du pain frais, des noix fra ches, de l'herbe d orge fra che, des ufs frais, buvaientlavaient les aliments avec de l'eau des puits riche en min raux, et buvaient du lait cru de vache. Maiaujourd'hui, la maman est tout simplement trop occup e pour cuisiner.

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Donc, pour le petit d jeuner, chacun va manger quelques beignets ou des muffins. Maman et Papa se lavent enbas en prenant du caf , pendant que les enfants boivent un grand verre de chocolat au lait pasteuris . Pour led jeuner, c'est un voyage vers le restaurant fast food, pour y consommer un cheeseburger et des fritesFran aises avec un soda et une cr me glac e pour le dessert. Et puis le d ner se compose de pizza, de chips avde la bi re ou du soda, ainsi qu une barre sucr e avant le coucher.

Les affaires sont florissantes Merci Mike Adams et www.NaturalNews.com pour la caricature ci dessus.

Ne voyez vous pas un probl me ? Malheureusement, l alimentation typiquement Am ricaine est compos eenviron 95% de comestibles qui nourrissent le cancer. Ces aliments sont tr s acides, et ils causent ainsi ud s quilibre dans notre niveau de pH. Jetons un coup d oeil sur les frites Fran aises : nous pelons les pommde terre, puis les coupons en tranches minces pour bien exposer leur surface, alors nous les congelons, puis lesfaisons frire dans de l'huile grasse raffin e, et enfin nous les saupoudrons de sel. En fin de compte, il n'y a pas dfibres, pas de nutrition, et aucun min raux.Il ne e e ien, a f ne lia e indige e de d che haacide . Est il surprenant que certains d'entre nous fassent cela jour apr s jour ? Notre terrain int rieur est danune forme horrible !

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Non seulement ces aliments sont acides, mais ils sont aussi d ficients en enzymes. Comme les enzymes font qules aliments se g tent rapidement, la meilleure fa on d emp cher que les aliments ne s ab ment, et ainsi ldonner une plus longue "dur e de vie", c est de supprimer ou de d truire les enzymes. Mais"le en me ne

n il a im an ?"Vous demandez vous.Il le n ab l men. Le r le important que les enzymes jouentdans le corps humain se situe dans la digestion des aliments. Mais aujourd'hui nos aliments transform s ontperdu ces enzymes vitaux.

T J e P e !

Une excellente fa on d'obtenir des enzymes est de boire des jus de fruits frais et des jus de l gumesfra chement press s. Comme les fruits et les l gumes sont press s crus, les enzymes restent en vie. La plupades gens ont des intestins peu sains cause du fait d avoir subi la malbouffe pendant des ann es et des ann esainsi, ils ont du mal absorber les nutriments. Faire des jus avec nos aliments d'origine v g tale c est quival

les pr dig rer, nous sommes donc en mesure d'absorber davantage de nutriments.

Les jus frais peuvent tre la r ponse pour ceux d entre vous qui n'aimez tout simplement pas manger del gumes crus. Je sais que si vous avez l'habitude de consommer des hamburgers et des frites, que la pens e demanger une salade fra che avec du brocoli, des carottes, des concombres, des betteraves, et du c leri ne doitpas tre une perspective des plus app tissantes, aussi, les jus frais sont une excellente alternative l'alimentation. Il est recommand de manger trois quatre livres (1,5 2 Kg) de l gumes frais et crus par joLes jus sont simplement le moyen le plus pratique pour r pondre vos besoins quotidiens en fruits et enl gumes frais.

Nous faisons des jus fr quemment. Notre jus biologique comprend g n ralement des carottes, des betteraves,des pommes, du c leri et des concombres. Les enfants l'adorent. J'ai l'habitude de boire environ la moiti demon jus, puis j ajoute la pulpe avec l'autre moiti restante. L'avantage de ceci est que cela ajoute des fibres auus, ce qui sert de fertilisant aux bact ries saines situ es dans le c lon. Buvez le jusimm dia emen apr s son

extraction, car les nutriments et les enzymes commencent se d t riorer d s l exposition l'oxyg ne et lumi re.

Un prodigieux combattant du cancer est l herbe de bl (ou jus d agropyre). Selon Webster Kehr,"Si nega d n l' g ne c mme ne balle e le cell le canc e e , al n de i n e

c mme an n c de f il en an e ai emen d cance . Le n mb e de m en 'il ilicance e inc able. T d'ab d il c n ien de la chl h lle, i a e e la m me cl'h m gl bine. La chl h lle a gmen e la d c i n d'h m gl bine, ce i ignifie e l d'cance . Le l ni m e la lae ile n galemen en dan l ag e, le de n chl h lle e le l ni m aiden galemen enf ce le me imm ni ai e. En e, l'agalimen le l alcalin c nn de l'h mani . E la li e c n in e".Les effets du jus d herbe de bl ont td montr s et reconnus dans le nettoyage du syst me lymphatique, et dans le r tablissement de l quilibre dpH bien reconstruire le sang et liminer les m taux toxiques partir des cellules.

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Il contient aussi de la chlorophylle, qui a une structure chimique semblable l'h moglobine qui aide transporter l'oxyg ne dans le sang.

Alimen d O igine V g ale & Ph n imen

Quand il s'agit d aliments qui offrent la meilleure "m decine" contre le cancer, rien ne vaut les aliments d origv g tale, en raison du fait qu'ils contiennent des dizaines de milliers d'enzymes et de compos sphytochimiques. Phyto signifie plante, par cons quent, les substances phytochimiques sont des substanceschimiques naturelles des plantes, incluant les vitamines et les min raux. Cependant, il y a des milliers dcompos s phytochimiques autres que les vitamines et les min raux qui sont contenus dans les plantes.

Un phytochimique bien connu est le b ta carot ne, qui donne aux carottes et aux patates douces leur couleurorange vif. Le b ta carot ne est en fait le membre d'une famille de compos s phytochimiques appelcarot no des, qui donnent aux fruits et l gumes leurs couleurs vives. La recherche indique que les substancephytochimiques r duisent notre risque de cancer. Il est important de garder l'esprit que seules les plantes(fruits, l gumes, noix, graines, c r ales, et l gumineuses) contiennent des compos s phytochimiques.

Les aliments d'origine v g tale, notamment les l gumes feuilles vertes, contiennent des enzymes qupermettent au corps de d toxifier (nettoyer) lui m me de mani re plus efficace et d' liminer les substances qucausent le cancer. Les l gumes verts contiennent de la chlorophylle, qui a une structure chimique semblable l'h moglobine qui aide transporter l'oxyg ne dans le sang. Les aliments d'origine v g tale sont galemencharg s d antioxydants, qui aident prot ger le corps contre l'oxydation. Comme nous l'avons mentionnpr c demment, nos cellules utilisent de l'oxyg ne et du glucose pour produire l'ATP, qui constitue notreapprovisionnement en nergie. Toutefois, les radicaux libres sont un sous produit de cette r action chimiqueLes radicaux libres, galement appel s oxydants, g n rent l'oxydation qui endommage les parois cellulaireL'oxydation est quivalente la rouille sur votre voiture.

Les graines germ es sont riches en vitamines, min raux, prot ines, enzymes, et se pr sentent sous une formequi est facilement assimil e et dig r e. Fait int ressant, car les graines germ es sont des alimentsi an quicontinueront se d velopper lentement, et leur teneur en vitamine va augmenter apr s leur r colte. Comparezcela avec les aliments d origine v g tale d un magasin, avec des fruits et l gumes qui commencent perdre lteneur en vitamines d s qu'ils sont cueillis et doivent souvent tre exp di s des milliers de kilom tres.

La ge mina i n e n m en efficace d'aj e de alimen c e alimen a i n. Si d' n a ec n c an n aba de c m en a i n, ince le ge me de f i a j ,

c l i e de d licie e g aine ge m e bi l gi e en m in d' ne emaine. C l i e ge m e d nne le m en d'a i e e a i i nnemen i en l g me bicha e j a i de de ied ca d'e ace de c m i .

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E le g aine e en c e j ' in e f i le id d' igine. Un e cellen ch i de ge mla l e ne (alfalfa), le amande , le b c li, le ch , le fen g ec, le i chiche , le len ille , lem ng , le i , le adi , le fle ge e le g aine de ne l. A e de f igge m e a la c l e e min e. Id alemen , d e le mange de i e j e ache che . Ce ge me n enc e en c i ance dan e a ie e!Maintenant, c'est frais!

H nn emen , le a an age la an de mange g li emen de alimen g a f aien ien d mi acle.Sur la base des derni res recherches de sant , il ne fait aucun doute que les alimentsv g taux peuvent r duire le risque de cancer, et m me si vous avez d j le cancer, les aliments d'origiv g tale vous aideront r cup rer et rester en bonne sant . Il existe litt ralement desmillie d' tudes quinous disent que les aliments v g taux r duisent le risque de d velopper un cancer et pr viennent aussi lar currence du cancer.

Nous adorons les framboises, les fraises, les m res, et les myrtilles. Toutes ces baies contiennent une vari t dcompos s phytochimiques et des antioxydants. Les baies sont galement riches en multiples vitamines etmin raux, notamment du zinc, du calcium et du magn sium min raux dont la plupart des Am ricains sod pourvus. Tous ces fruits contiennent aussi de l'acide ellagique, un compos qui emp che les mutationscellulaires et qui s av re tre un anti canc rig ne. Les essais cliniques montrent galement que l'acide ellagipr vient les cellules canc reuses par l'inhibition du g ne p53, en provoquant l'apoptose des cellules. Lemyrtilles contiennent de "l picat chine," c est pourquoi elles sont si puissantes am liorer la foncth patique ; et elles contiennent galement des "pt rostilb nes , qui prot gent contre le cancer du c lon.

Les enfants sont vraiment ravis de manger des cerises. Fait int ressant, les cerises contiennent de l'alcoolPerillyl, ce qui peut induire la mort des cellules tumorales. En 1999, des scientifiques de l'Universit de l' tat Michigan ont d couvert que les composants de la coloration sombre des cerises sont une remarquable sourced'antioxydants appel s an h c ane .En fait, l'activit antioxydante des cerises noires au go t pre est

sup rieure celle de la vitamine E, qui est la r f rence en "antioxydants". Les cerises contiennent galemedes compos s anti douleur (inhibiteurs de Cox), qui sont si efficaces, que la FDA est all e de l avant de faessayer de museler les producteurs de cerises, en les emp chant de prendre pour r f rences les tudesscientifiques portant sur les cerises ! Enfin, les cerises contiennent tonnamment de hauts niveaux enm latonine, une hormone que l'on ne croyait produite que par la glande pin ale situ e dans le cerveau. Lam latonine est produite naturellement par l'organisme et sert la r gulation du sommeil, elle a galement despropri t s anti cancer.

Mes enfants aiment les pommes, et ils ont appris manger galement les graines. Les graines contiennent desnitrilosides (vitamine B17) qui sont si efficaces pour tuer les cellules canc reuses. Nous adorons galement l

graines fra chement germ es Tout ceci constitue une alimentation compl te.

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Une gle d' e de mange c :fruits crus, l gumes crus, et lait cru. La cuisson d truit les enzymes, ainsque l action de la pasteurisation.

Vous voyez, la pasteurisation prend ses racines dans la fausse th orie des germes de Louis Pasteur. Dieu nous adonn du lait cru pur l' tat naturel, charg de substances galement naturelles qui stimulent notre syst meimmunitaire, qui nous donnent ainsi de nombreux enzymes essentiels, des vitamines et min raux quipermettent nos syst mes digestifs et organismes d oeuvrer au niveau de sant le plus optimal. Mais l'homma tout alt r , le lait pasteuris que nous achetons au magasin est d vitalis , les enzymes sont absents, c edevenu un aliment "sans int r t nutritionnel". Contrairement la propagande que nous entendons lat l vision, le lait pasteuris est incapable de reconstruire ou de maintenir des os ou des dents, car il n'esta une bonne source de calcium (depuis que l'enzyme phosphatase qui est n cessaire pour absorber le calcium estd truite pendant le processus de pasteurisation).

Des tudes ont galement montr que la lipase (une enzyme pr sente dans le lait qui aide la digestion demati res grasses) est totalement d truite par la pasteurisation, ce qui diminue galement la teneur en

vitamines. La pasteurisation d truit aussi les vitamines B12 et B6, tue les bact ries b n fiques, et est assocides allergies, l'augmentation de la carie dentaire, aux coliques des nourrissons, des probl mes de croissancechez les enfants, l'ost oporose, l'arthrite, aux maladies cardiaques, et au cancer. Pour reprendre les mots duDr. Timothy O'Shea, le lait pasteuris est quivalent du"f mica li ide".

L'Am rique est une nation d ob ses. La CDC a d clar qu un Am ricain sur trois est consid r comme obd. qu il p se 30% de plus que son poids normal). Vous vous demandez pourquoi ? Eh bien c est parce

partiellement, nous sommes une nation de gloutons et de fain ants. La ma trise de soi est consid r e commed mod e. Toutefois, une partie de la raison pour laquelle l Am rique est compos e d ob ses r side dans le que notre alimentation est g n ralement compos e 90% d aliments cuits. Les leveurs de porcs ont app

depuis longtemps que leurs animaux grossissent deux fois plus vite lorsqu ils sont nourris avec des alimentcuits. La cuisson d truit quoi ? Vous l'avez devin ...Le en me.

Le Min a Man an

Il y a six groupes de nutriments l eau, les vitamines, les min raux, les graisses, les prot ines, et les hydratescarbone les six groupes sont n cessaires pour une sant optimale. vrai dire, quand on consid re quelle est di t tique la plus populaire, les min raux peuvent tre lecha n n man an. Beaucoup de gens pensent queles min raux et les vitamines repr sentent la m me chose, mais cela n est pas le cas. La principale diff rence

que les vitamines sont des substances organiques (ce qui signifie qu'elles contiennent l' l ment carbone), etque les min raux sont des substancesinorganiques.

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Quatre l ments composent 96% de la composition du corps : le carbone, l hydrog ne, l oxyg ne, et l azote4% restants de la composition du corps, est min rale. Il y a plusieurs avis sur la fa on dont de nombreumin raux sont essentiels. Certains disent 14, d autres disent 16, le d bat est en cours. Cependant, tout le mondest d'accord sur le fait que nous avons tous besoin de petites quantit s, d environ 25 30 min raux (dont 14qui sont consid r s comme e en iel) pour maintenir la fonction normale du corps et aussi une bonne sant ;mais en raison de leurs habitudes alimentaires malsaines et galement des conditions de pauvret des sols, laplupart d'entre nous sont d ficients en min raux.

Il y a deux groupes de min raux : Les macro min raux et les micro min raux. Les macro min raux (c."min raux majeurs") sont n cessaires dans l'alimentation partir de 100 milligrammes ou plus chaque jour. incluent le potassium, le chlore, le phosphore, le calcium, le magn sium, le soufre, et le sodium. Les macrmin raux sont pr sents dans pratiquement toutes les cellules de l'organisme, ils permettent le maintien del'hom ostasie g n rale et sont n cessaires au fonctionnement normal.

Les micro min raux (c. d. les "oligo l ments") sont des micronutriments qui sont aussi des l m

chimiques. Ils comprennent le fer, le molybd ne, le chrome, le cuivre, le mangan se, le fluor, l iode, le zinc, es l nium. Ils constituent des min raux alimentaires n cessaires en tr s petites quantit s pour le corps humainen opposition avec les macro min raux qui sont, eux, n cessaires en plus grandes quantit s.

Rappelez vous, avec les min raux, le davantage n'est pas n cessairement le meilleur. La consommatexcessive d'un min ral alimentaire peut conduire une, ou des maladies directement ou indirectement li es ces exc s, en raison de la nature concurrentielle situ e entre les niveaux des min raux dans le corps, alorassurez vous de suivre les doses quotidiennes recommand es.

Dans cette section, je vais bri vement d crire le magn sium, le calcium, le chrome, et le zinc. Je sais que l'io

est un min ral tout comme le s l nium, mais je donne le descriptif de ces deux min raux dans leur section (pluloin dans le livre), et je ne vais donc pas en discuter ici.

Le Magn i m

Le magn sium poss de un incroyable effet de gu rison sur un large ventail de maladies, ainsi que dans capacit rajeunir le corps vieillissant. Le magn sium est essentiel dans plus de 300 r actions enzymatiques (particulier pour celle qui concerne la production d' nergie cellulaire), dans la sant du syst me nerveux ainque dans celle du cerveau, et aussi pour la sant des os et des dents. Le chlorure de magn sium (compos demagn sium/chlore) utilis par voie transdermique a t indiqu pour stimuler le syst me immunitaire. Pexemple, les globules blancs d truisent jusqu' trois fois plus de microbes apr s la prise de chlorure dmagn sium, qu avant l absorption. Le chlorure de magn sium a galement t indiqu pour tre efficace cola bronchite, l'asthme, l'emphys me, et la pneumonie.

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Les habitants des r gions qui poss dent des sols riches en magn sium ont moins de cancers que ceux r sidandans des endroits o les niveaux en magn sium sont faibles, selon des tudes pid miologiques. Dechercheurs Indiens ont d montr comment l'incidence des tumeurs du sein chez les rats peuvent tre r duits de88% par une seule application de chlorure de magn sium, de vitamine C, de vitamine A, et de s l nium.

Le magn sium est galement essentiel dans le domaine de la d toxification, en particulier l gard des m talourds. Par exemple, le glutathion n cessite du magn sium pour effectuer sa synth se. Selon le Dr. RusseBlaylock, un faible taux de magn sium est associ une augmentation spectaculaire de la production dradicaux libres, ainsi que dans l'appauvrissement en glutathion. Le magn sium est essentiel tant donn que leglutathion est l'une des quelques mol cules anti oxydantes connues pour neutraliser le mercure. Sans le travaide nettoyage et de ch lation du glutathion (magn sium), les cellules commencent se d labrer en tant qued chets cellulaires, et les m taux lourds s'accumulent : devenant ainsi d'excellents milieux pour attirel infection mortelle et le cancer.www.naturalnews.com/023279.html

Le Calci m

Le 13 octobre 1998, fut publi dans leNe Y k Time un article intitul Le calcium prend sa place en tant quesuperstar des l ments nutritifs , depuis une tude parue dans le Journal of American Medical Associatioindiquant que le a de calci m c i an c nd i le d el emen n mal de cell le i h liaa i eni le cance dan le gane c mme le ein, la a e, e le anc a .

Une fois que le calcium a t ing r , son absorption dans l'organisme est totalement d pendante de la pr sencde vitamine D dans l'intestin, alors assurez vous de recevoir beaucoup de lumi re naturelle du soleil. Aucun

autre substance min rale n est capable d'effectuer autant de fonctions biologiques que le calcium. Ceremarquable min ral fournit l' nergie lectrique qui permet au c ur de battre, ainsi que pour tous lesmouvements musculaires. C est galement l'ion calcium qui est responsable de l'alimentation de chaque cellulun exploit accompli par le verrouillage de sept mol cules de nutriments et d une mol cule d'eau, les tirant par voie des l ments nutritifs, en d tachant la charge, le processus se r p te. Un d nominateur commun relie toules gens qui vivent au del de 100 ans, c est que tous re oivent des quantit s massives (plus de 5 grammes) calcium par jour.

Une autre importante fonction biologique pour le calcium est la r plication de l'ADN, qui est la base de touteles r parations du corps et est cruciale pour maintenir la sant ainsi que la pr vention des maladie

d g n ratives. Aussi importantes que sont toutes ces centaines d'autres fonctions biologiques du calcium, pourla sant humaine aucune n'est plus importante que la fonction de contr le du pH. Il a t dit quele calci m e l'acide, ce e l'ea e n incendie. Le calcium d truit rapidement l'oxyg ne volant l'acide dans les

liquides corporels.

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Le Ch me

Des recherches l'USDA ont r v l que le chrome joue un r le tr s important dans l'amplification de la r poinsulinique chez les diab tiques. En 1977, le premier cas publi d'un lien chrome diab te a montr que sympt mes graves du diab te qui s' tait d velopp chez une femme ont t att nu s par le chromsuppl mentaire introduit dans l'alimentation IV long terme. Selon le Dr. Walter Metz, le chercheur de l USDqui a identifi le chrome comme tant un composant fondamental du Facteur de Tol rance au Glucose (GTF

S en , l de di e e de , 50% l de je ien le a am li e a ch me . Le corps a besoin de GTF pour m taboliser le sucre. Les scientifiques ont constat que lconsommation d'aliments riches en sucres simples stimulent la perte de chrome dans l'urine. En outre, leshydrates de carbone raffin s sont d pourvus de chrome et d'autres oligo l ments indispensables.

Alors que le transport du glucose est le r le primaire de l'insuline, la fonction principale du chrome esd'accro trel'efficaci de l'insuline dans la r gulation de la glyc mie. La recherche indique que le chrome perme

d'ouvrir la porte la membrane cellulaire, ce qui permet au glucose d'entrer. Cela se produit lorsque le chromeest converti en GTF, qui prend en charge les fonctions de l'insuline dans le corps.

Selon le Dr. Scott Whitaker, auteur du best seller MediSin,"San a c n d e, a ec ne alimen a i n de incl an d ch me (GTF fac e de l ance a gl c e), cela e me a d' limine le diab e daa ec de l'h ile de f ie de m e e n gime i a limin e le c ale an f m e e leToute personne souffrant de diab te qui utilise l'insuline devrait consulter un sp cialiste de la sant sur lesuppl ments de chrome, ensuite, la dose d'insuline pourra tre ajust e.

Le Zinc

Le r le du zinc se situe dans un large ventail de processus cellulaires (y compris la division et la prolif raticellulaire, la fonction immunitaire, et la d fense contre les radicaux libres), et a t bien tabli. Le zinc el' l ment trace le plus abondant situ dans les cellules, et l accent est mis sur le r le de plus en plus importadu zinc dans ces deux domaines, la fonction et la stabilit g n tique.

Le zinc est pr sent dans plus de 300 enzymes, y compris le cuivre/zinc superoxyde dismutase, qui est un enzymantioxydant important, et dans plusieurs prot ines impliqu es dans la r paration de l'ADN. Le zinc aid

galement prot ger les composants cellulaires de l'oxydation et des dommages.

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La carence en zinc peut entra ner un dysfonctionnement immunitaire et des troubles de la croissance, dans lafonction cognitive, et la fonction hormonale. La vitamine B17 (Laetrile) accompagn e du zinc, de magn sium, s l nium, ainsi que des vitamines A et B, mettent en place le m canisme de d fense du corps contre le cancedissuadant ainsi la croissance du cancer dans l'organisme. En outre, le zinc est le syst me de transport pour led caissement de la laetrile dans le corps, forgeant ainsi le syst me immunitaire contre le cancer.

Il existe un lien de r ciprocit entre le zinc et le cuivre. Si les niveaux de zinc du sang sont trop lev s, le nivede cuivre sera trop faible. Par exemple, les personnes qui vivent dans des zones o l eau potable est de l'eadouce ont tendance tre d ficientes en zinc, puisque leurs niveaux en cuivre sont g n ralement lev s eraison de la lixiviation de la plomberie en cuivre.

Le Vi amine E en ielle

Toutes les vitamines sont n cessaires pour la plupart des processus naturels du corps humain, et sont en effetessentielle la vie. Parce que le corps ne peut lui seul synth tiser des vitamines, elles doivent tre fournies pl'alimentation ou en prenant des compl ments alimentaires. Les vitamines sont soit hydrosolubles (l'eau estn cessaire pour leur absorption et elles sont excr t es dans les urines), ou bien "liposolubles" (les mati regrasses sont n cessaires leur absorption, et elles sont stock es dans le tissu adipeux).

Il y a neuf diff rentes vitamines"h d l ble " : la vitamine C et huit vitamines du groupe B la thiamine (B1),riboflavine (B2), la niacine (B3), l acide pantoth nique (B5), la pyroxidine (B6), la biotine (B7), l acide fo(B9), et la cyanocobalamine (B12).

Il existe quatre diff rentes vitamines"li l ble ": la vitamine A (b ta carot ne), la D, la E, et la K. Chacune

ces vitamines a un r le et une fonction uniques dans nos corps. Par exemple, la vitamine A favorise la vue enous aide voir dans l'obscurit , tandis que la vitamine K aide le sang coaguler. Les vitamines sont sensiblela chaleur, la lumi re, et aux agents chimiques ; afin de pr parer les aliments la cuisson, la transformatiet au stockage, les diff rentes m thodes doivent tre appropri es afin de pr server les vitamines dans lesaliments.

Id alement, nous devrions tre en mesure d'obtenir des niveaux ad quats de vitamines essentielles dans notrealimentation. Toutefois, en raison des techniques agricoles modernes, des m thodes de transformation desaliments, et des effets de la cuisson, nos aliments sont souvent d pouill s des vitamines au moment o ilsatteignent nos assiettes. Les compl ments alimentaires peuvent offrir une solution raisonnable ce probl me.

Il e im an de n e ef i e la l a de i amine e igen la ence d'a e nd e ili e c ec emen a l' gani me.

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P ce e ai n, il e e f able d' b eni le i amine a i d n en emble c m l men alimen ai e, bien de i ne f m le c m an l ie i amine e min ade end e le c m l men la f me de diff en n imen indi id el .

Alimen a i n & Maladie

L'un des probl mes majeurs que j'ai pu rencontrer avec la plupart des m decins, c'est qu'ils n ont pratiquemenaucune connaissance propos de la nutrition. Certaines facult s de m decine enseignent la nutrition durantenviron deux semaines, mais la plupart des m decins n'ont jamais vraiment re u de cours sur la nutrition. Selole Dr. Phillip E. Binzel,M n l g and bl me (a d b ) a la c m hen i n de la n i iann e de fac l de m decine, n an de age en ali d In e ne, e n an de... idence d deje n'a ai a m me e n c la n i i n .

Il suffit de jeter un regard sur la plupart des m decins et vous r aliserez que ce sont g n ralement despersonnes tr s malsaines. Le Dr. Neal Pinckney, a d clar :J ai d c e e le m decin n n g na e bea c de f ma i n en n i i n, e e ce ain i di an e e en n i i

alifi dan ce d maine. Il a demand n a e chan ill n de m decin el ni ea de f mae la n i i n dan le fac l de m decine. La m enne ai de m in de i he

n mb e i n a ai e e lemen ne he e m in . C e ce i le e he e d'en eignemen m dical. La i e e le m decin ne e en b eni le inf ma in i i n e a le m me j na e g amme TV e n , e m in d'a i i i ne dan l'alimen a i n, ' .

Le Dr. Patrick Quillin est un expert sur la relation entre l'alimentation et la maladie. Il se penche sur des donn eexactes quand il dit que nous devons mettre l'accent sur lesca e f nde des maladies, plut t que traiterles sympt mes : Mme J ne ai ff i d n cance m a a i e d ein, a ce e dan enc e mal emi e d' n di ce haine d il a 2 an , i la e a ca ch lamine dan n mde d e i n d me imm ni ai e, elle e c che cha e i a a i mang ne bc n enan de d e le e de c e, elle acc e n d fici d'h ile de i n, de inc, de i amind ilib e d g ne ain i e de ge ne dan n c . S n nc l g e e c

ein , l i e c i e d am if ne an e l g ne, l i admini e la chimi h a ie, emai . E ce mal e iend a, m in ef ce m ice de la maladie ne ien in e e .www.patrickquillin.com

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Nos corps sont comme des voitures. Si nous mettons du combustible de haute qualit dans notre voiture, lemoteur fonctionnera sans heurts et sans bruit, il sera plus performant, et il durera plus longtemps. Toutefois, sinous commen ons remplir le r servoir avec du carburant diesel, du carbur acteur, du k ros ne, de l alcoofriction, ou du combustible pour les lampes, nous serons tenus ensuite d'avoir de s rieux probl mes avec lemoteur de la voiture. Finalement, notre voiture va commencer faire des bruits bizarres, surchauffera, et lafin, elle ne d marrera m me plus lorsque nous nous tournerons la cl . Un bon m canicien auto sera m me ddiagnostiquer rapidement le probl me : les carburants de mauvaise qualit sont l'origine des probl mes dumoteur. Un mauvais m canicien auto vous dira qu'il n'y a pas de corr lation quelconque entre les carburantsque vous mettez dans la voiture et les performances issues de la voiture.

Malheureusement, quand il s'agit du diagnostic de probl mes moteur dans notre corps, de nombreux (pastous) m decins sont comme les mauvais m caniciens auto. Ils ne voient pas le lien entre le carburant propre (lnutrition) et des performances optimales (la bonne sant ). Mais n esp rez pas qu ils admettent leur ignorancsur ce sujet d'importance vitale. En plus d'une bonne dose de lavage de cerveau la facult de m decine, denombreux m decins ont galement assimil une haute dose d go . Bien s r, ce n'est pas une g n ralisatidonc s'il vous pla t ne pensez pas que j en sois venu "boxer" tous les m decins . Beaucoup de mes bons amsont des m decins, et je crois que la plupart des m decins ont bon c ur, puis qu ils sont anim s par de nobleintentions. J nonce simplement une vidence que la plupart des m decins qui n ont qu une connaissaminimale sur la nutrition, ne sont pas susceptibles de l'admettre. Cela tant, il est important d'apprendre autantque possible sur ce sujet, puisque vous n obtiendrez probablement pas beaucoup d'informations nutritionnellessolides de la part de votre m decin.


Ce n est pas parce que vous tes un m decin que cela signifie que vouspouvez utiliser par vous m me une voie r serv e au covoiturage.

Mais officier, mon ego est si grand qu'il compte autant qu un secondpassager.

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C 12

Alimen Fan a i e& S e S l men Que ton aliment soit ta m decine, et la m decine ton seul aliment .

Hippocrate

B vez vous d j entendu quelqu'un dire que la prise de vitamines, de min raux, et autres suppl ments soninutiles et ne vous donnent que de l ine ch e ?Si seulement j'avais re u une pi ce de cinq cents chaquefois que j'ai entendu cela ! Cela me tue quand j'entends quelqu'un dire quelque chose d'aussi na f. Un point devue comme celui ci r v le une profonde ignorance sur la valeur des compl ments alimentaires cit s dans la

litt rature m dicale.La v rit est qu un pourcentage de la plupart des compl mentse excr t dans l'urine. Mais cela ne signifie pasqu'ils ne soient pas utiles. Le facteur important n'est a le fait que vous liminiez quelques uns des nutrimentsdivers, mais plut t ce que ces nutriments font durant leur chemin dans votre corps. Penchons nous sur l'eau.Bien s r, vous en excr tez beaucoup, sur la quantit d'eau que vous consommez. Si vous ne le faisiez pas, vouressembleriez Pillsbury Dough Boy ! Vous en liminez une partie dans les urines, une autre par la sueur, et ausous forme de vapeur dans votre souffle. Le fait que vous en excr tiez ne signifie pas pour autant que vousn'ayez pas besoin de boire d'eau ! Avez vous d j entendu quelqu'un dire que vous n'avez pas besoin de boired'eau parce que vous allez juste l' liminer de toute fa on ? Ce serait tre ridicule que de dire cela, non ?

En fait, c est que l'urine la plus ch re du monde est cr e en prenant plusieursm dicamen d nnanch de i, et non des vitamines ou des compl ments alimentaires. Avec d sormais plus de 40% de lpopulation des Etats Unis qui consomme des m dicaments sur ordonnance, la teneur de l urine de l homme m dicaments est maintenant si lev e, que des traces importantes d'antid presseurs et de m dicaments contrele cholest rol (comme le Prozac et le Lipitor) peuvent tre d cel es dans l'approvisionnement en eau publiquePar rapport aux m dicaments sur ordonnance, les compl ments alimentaires repr sentent une pr vention bonmarch , et la v rit est que les compl ments alimentaires sont essentiels un bon quilibre, puis qucombattent le cancer par une nutrition di t tique optimale.

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Urine Ch re


Thomas Edison est souvent cit comme ayant dit,"Le m decin de l'a eni ne ai e a l le c h made m dicamen , mai l , il le g i a e iend a le maladie a ec la n i i n." S'il avait remplac les troismots ne ai e a lpar ne de ai l ,cela aurait t correct. Les m decinsde aien gu rir et pr venirles maladies avec la nutrition. Malheureusement, la plupart des m decins croient encore que les m dicamentssont la r ponse, et n gligent compl tement une bonne nutrition ainsi que les compl ments alimentaires.

Le Alg e(La Chlorella & La Spiruline)

LaChl ella est un "alimen c m le mi ac le " qui doit son nom la quantit de chlorophylle qu'elle poss deen elle. Il s'agit d'algues unicellulaires qui contiennent en fait plus de chlorophylle par gramme que n'importequelle autre plante connue. La chlorophylle est une des substances les plus importantes contenues dans lesdenr es alimentaires pour nettoyer les intestins et participer la d toxification des autres syst mes, tels que lefoie et le sang, et elle est aussi un moyen de transporter davantage d'oxyg ne pour le corps et le cerveau. Enoutre, la myst rieuse Chlorella Growth Factor (CGF) acc l re le taux de gu rison de tous les tisendommag s, y compris les tissus canc reux.

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En plus d'amplifier la r ponse du syst me immunitaire aux cellules canc reuses, la chlorella agit comme umesure pr ventive contre le cancer en levant les niveaux sanguins de la prot ine albumine. Selon Earl MindelSupplement Bible,"De n mb e e de n d c men ' n faible a d'alb mine e n mamaladie g a e c mme le cance e la maladie ca dia e. Il f n fai e de de de lab a i e cd a gmen e le a d'alb mine e la f i eni de changemen canc e e l nge lde cell le h maine ".

Dans une tude Japonaise, des scientifiques ont plac des souris de laboratoire sur une alimentation en chlorellapendant dix jours, et ensuite ils ont inject aux souris trois types de cancer. tonnamment, plus de 70% desouris inject es avec la chlorella n onta d velopp de cancer, alors que 100% des souris non trait es,n d velopp le cancer et sont mortes dans les vingt jours. Dans son livre Soigner le Cancer avec les Plantes , leMichael Tierra crit : Je ec mmande la chl ella le a ien canc e ind endammen de b i n e e il aien ili e ... Elle e a i emen n alimen c m le en i. Elle

n i an alimen n i if e d ifian .

La Chlorella aide aussi quilibrer le pH de votre corps, aide supprimer les m taux lourds toxiques, et conti

une vaste gamme de vitamines, de min raux, et d enzymes. Elle stimule galement la production des globulerouges et limine m me la mauvaise haleine. De plus, elle est s curitaire pour les enfants. Dans une tudmen e sur des jumeaux identiques, la chlorella prescrite a augment beaucoup plus rapidement les gu risons, arendu le corps plus sain, et les maladies ont r gress plus vite que sur le jumeau auquel la chlorella n avait pas

t donn e.

La i line est une algue bleu vert que l on trouve dans les milieux alcalins, les lacs d'eau chaude. Elle contiedes concentrations de nutriments qui ne ressemblent aucune autre simple graine, herbe, ou plante. Laspiruline est compos e environ 70% de prot ines compl tes, avec tous les acides amin s essentiels, qui sont parfait quilibre, et fournit galement de hautes concentrations en nutriments, min raux ch lat s, oligo

l ments, et enzymes. La spiruline contient des acides gras essentiels (linol ique et alpha linol nique), l'acigamma linol nique, et l'acide arachidonique. La spiruline est pratiquement la seule source v g tarienne dvitamine B12, qui est n cessaire pour avoir des globules rouges sains. Elle contient aussi des quantitsubstantielles de chlorophylle, mais pas aussi concentr es que dans la chlorella, et elle a t d montr e poustimuler le syst me immunitaire. Peut tre plus important encore, des tudes de laboratoire ont montr que lepolysaccharides de la spiruline peuvent travailler pour r parer le mat riel g n tique : ainsi, la spiruline possd'importants attributs antin oplasiques (anticanc reux).

Certains scientifiques pensent que la "manne" de l'errance des Isra lites, que Dieu a pr vue pour eux chaquematin, et qui a t d crite comme la d gustation"de ga f e e ba e de miel"a t sous forme de graines

s ch es, de la spiruline en dormance. Bien s r, ce n'est que pure sp culation, mais c'est une th oriint ressante quand m me.

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La capacit de la spiruline pouvoir cro tre dans des environnements chauds et alcalins assure sa situatiosanitaire, comme aucun autre organisme ne peut survivre la pollution des eaux dans lesquelles la spiruline sed veloppe. Contrairement au st r otype association de micro organismes racaille et germes , la spirulineen fait un des aliments les plus propres, les plus naturellement st riles trouv s dans la nature. Son adaptation la chaleur assure aussi que la spiruline conserve sa valeur nutritive lorsqu'elle est soumise des temp rature

lev es durant son traitement et le stockage de sa conservation, la diff rence de nombreux aliments d'originev g tale qui vont rapidement se d grader haute temp rature.

Si vous souhaitez plus d'informations sur la chlorella et la spiruline, je vous recommande fortement le livre eligne intitul Super Nourriture pour une Sant Optimale : Chlorella et Spiruline , crit par Mike Adam

Ranger Sant . Il est disponible gratuitement ici, sur :www.chlorellafactor.com. Nous achetons notre chlorellaet notre spiruline chez :www.iherb.com.

L Al V a (Gl c n imen )

Nous savons tous ce que l'alo v ra est une plante, n est ce pas ? C'est cette dr le de plante qui ressemble unpeu un cactus sans pines. En grandissant, autour de ma maison, nous avons j eu une norme plantealo v ra. D s que quelqu'un avait un coup de soleil, Maman coupait l'une des paisses feuilles et l'appliquasur la br lure. D s le lendemain, la br lure s en trouvait grandement am lior e, puisque l alo s apaise la peahydrate, nourrit, et acc l re la r g n ration des tissus de la peau.

L'alo v ra est non seulement b n fique pour apaiser les coups de soleil, mais en revanche elle est galemenutilis e dans le traitement des engelures et des diff rents types de br lures, y compris les br lures r sultant deproduits chimiques, et l'exposition aux rayonnements. Elle a t utilis e durant des milliers d'ann es aussi bie

pour soigner les blessures que pour leur nettoyage, et galement comme analg sique (antidouleur) car seseffets sont d s sa teneur en magn sium et en acide salicylique. Aussi riche en vitamine C et en s l nium, l'av ra est consid r e comme un antioxydant.

Avant de poursuivre avec les avantages de gu rison de l'alo v ra, permettez moi de revoir certains termes dbase qui vous aideront mieux comprendre les renseignements suivants:

Un saccharide est un sucre. Un glycane est une cha ne de saccharides. Un monosaccharide est une mol cule de sucre simple (comme le glucose).

Un disaccharide est une cha ne de deux mol cules de sucre (comme le lactose, qui est compos de glucose etde galactose).

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Un oligosaccharide est une cha ne de sucres qui est longue de trois 20 mol cules. Un polysaccharide est une cha ne de sucres qui peuvent aller de 10 plusieurs milliers de mol cules de sucre

de longueur et de largeur. Les polysaccharides, les oligosaccharides et les disaccharides doivent avoir leur eau ot e (hydrolyse) pour

former leurs composantes monosaccharides avant d' tre absorb s. Les glyconutriments sont des nutriments compos de sucre (le mot grec "glyco" signifie "doux").

Les chercheurs ont identifi un petit groupe de huit glyconutriments essentiels qui sont cruciaux pour lastructure et le fonctionnement de nos 600 milliards de cellules. Ces glyconutriments combinent avec desprot ines et des graisses pour cr er des glycoprot ines qui recouvrent la surface de pratiquement toutes lescellules dans le corps, formant ainsi un syst me complexe de messagerie pour la communication "de cellule cellule". Si les cellules n'ont pas assez des huit glyconutriments essentiels, elles ne peuvent pas faire lesglycoprot ines correctement, et les messages de cellule cellule deviennent perturb s. Par la suite, le syst meimmunitaire ne peut pas efficacement mener une offensive contre les bact ries et les virus pathog nes ou lescellules canc reuses division rapide. Le r sultat est l'apparition de la maladie.

Malheureusement, notre alimentation moderne ne fournit souvent que deux des huit glyconutrimentsessentiels (glucose et galactose). Ainsi, il est important de compl ter votre alimentation avec un produit quicontient l'ensemble des huit (glucose, galactose, mannose, fructose, xylose, N ac tylglucosamine, Nacetylgalactosamine, et l'acide N ac tyl neuraminique). Vous l'avez devin !L al a c n ien le hgl c n imen. Sans les glyconutriments essentiels, le syst me immunitaire fonctionne de mani re aveugle etest tr s inefficace. Un peu comme le jeu de la queue de l ne, si vous tes familier avec ce jeu. D pouill esleur capacit reconna tre des bact ries pathog nes, les virus et les moisissures, vos propres cellulepermettront ces envahisseurs trangers de prendre en charge votre corps.

Il est g n ralement admis que l'alo v ra a t pr sent e comme un laxatif par un m decin grec autour de

avant JC. L alo v ra a galement t utilis e durant l' poque Biblique. Apr s que J sus fut crucifi , Jod'Arimathie et Nicod me ont pris son corps et l ont pr par pour l'inhumation avec 75 livres de myrrhe d'alo s (Jean 19:39).

L'utilisation clinique de l'alo v ra a commenc dans les ann es 1930 avec des rapports de succ s apr s dbr lures dues aux traitements par les rayons X et au radium. En 1976, des chercheurs ont isol l modd'alo s, un compos qui a d montr une importante activit anti leuc mique. Une tude publi e dans l' ditiode 1995 de In e na i nal imm n ha mac l g a montr que les polysaccharides de l alo v ra (appel"polymannanes") ont d clanch un puissant pouvoir d'activation dans le travail des macrophages. Rappelezvous, les macrophages sont les leucocytes (globules blancs) qui ing rent les envahisseurs trangers, et ils sont

une composante essentielle de notre syst me immunitaire. Les mannanes sont comme le mortier , ilsd tiennent les l ments constitutifs du syst me immunitaire, et de cette mani re, aident les macrophages ainsque les autres composantes de la r ponse immunitaire reconna tre les envahisseurs trangers.

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Aloe Immune est un excellent produit de l alo , avec les huit glyconutriments essentiels contenus dans unpoudre d shydrat e plut t qu'un gel ou un spray en poudre, ou que sous forme de jus dilu . Aloe Immune es

galement moins cher que de nombreux autres produits disponibles sur le march aujourd'hui. J'ai corresponduquelques fois avec Scott Siegel, dont le p re (Le Dr. Robert Siegel) a d velopp Aloe Immune. Fait int ressale Dr. Siegel s est lui m me gu ri de trois cancers diff rents (de la prostate, du colon, et des reins) en utilisanproduit. Vous pouvez acheter Aloe Immune chez :www.Aloeimmune.com.

En r sum , l'alo v ra est antibact rien, antiviral et antifongique. Ce fait est bien connu par les herboristes dmonde entier. L alo v ra d truit galement les tumeurs canc reuses, stimule le syst me immunitaire, et gules ulc res, l IBS (le syndrome du colon irritable ou colite spasmodique), la maladie de Crohn, et la malacoeliaque. C'est mon avis la meilleure plante la plus simple avoir autour de votre maison.

Le Vinaig e de Cid e

Je suis s r que vous avez d j entendu le vieux dicton :Une mme a j ien le d c e l ign. Celapourrait tr s bien avoir beaucoup de m rite. Les pommes sont parmi les meilleurs fruits sains notrdisposition, et ce sont les ingr dients centraux du vinaigre de cidre (ACV). Hippocrate a dit que l ACV est utcomme tonique de sant , et les soldats Am ricains ont dit qu ils l'ont utilis pour lutter contre l'indigestion, pneumonie, et le scorbut. L ACV est un type de vinaigre obtenu par la fermentation du cidre de pomme. Acours de ce processus, le sucre pr sent dans le cidre de pomme est d compos par des bact ries, et les levuresle sont dans l'alcool, puis il en r sulte du vinaigre. L ACV est un puissant agent d toxifiant et purifiant. L'acamin pr sent dans l ACV est un antiseptique et antibiotique efficace, alors que l'acide ac tique peut aider autraitement de diverses infections fongiques et bact riennes.

L ACV d compose le gras, le mucus, la flegme, et les d p ts dans le corps. En abattant ces substances, lam liore la sant et les fonctions des organes vitaux du corps (comme les reins, la vessie et le foie) enpr venant l'urine trop alcaline. Il oxyg ne et fluidifie galement le sang, ce qui est important dans la pr ventiode l hypertension art rielle.

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Il y a quelques ann es, Charlene avait des engourdissements et des picotements dans le pied, entra nant desdouleurs insupportables et qui rendaient la marche difficile. Pour rem dier cela, nous avons combin l Aavec de la m lasse noire, qui contient beaucoup de vitamines et de min raux. Elle a bu ce breuvage trois fois cour l , et le lendemain matin, la douleur avait disparu ainsi que l'engourdissement presque galement. El

pouvait de nouveau marcher et courir avec les enfants dans les deux jours qui ont suivi, sans douleur etheureuse. Elle est sans aucun doute une ade ede la dose quotidienne d'ACV accompagn e de m lasse noire.Nous sommes heureux de dire que cela fonctionne vraiment !

De grands m decins ont r v l que la combinaison d'ail, d ACV, et de miel est une" i n mi acle".Dans unetude portant sur des victimes de l'arthrite, le Dr. Angus Peters de l'Universit d'Edinburgh's Arthritis Research

Institute a d montr qu'une dose quotidienne d'ACV et de miel r duit les douleurs de 90%. De plus, une doquotidienne d'ail et d'ACV a t d montr e comme tant un puissant destructeur de graisse ainsi qu ur ducteur de poids, selon le Dr. Raymond Fish de la c l bre London's Obesity Research Center. Le Dr. Hen LTsno crit dans le respect J nal f Na al Medicine Chin i , "... Le a ien a an e ce e ba an le e i d je ne n m n ne dimin i n ema able de la e i n a ielle e d chd' ne emaine".

M fie ... le inaig e de cid e ne n ga ! De nombreux vinaigres de cidre du commerce ont tpasteuris s, filtr s, raffin s, ou distill s afin de rendre le produit apparemment bon. Malheureusement, ctraitement suppl mentaire d truit une grande partie de l efficacit , notamment celle qui rend en bonne sant etdonc galement beaucoup des vertus de la pomme qui taient dans le produit avant traitement. Le meilleurtype d'ACV utiliser est celui obtenu par pression froid, avec des pommes cultiv es enti rement de fabiologique, dans lequel aucun produit chimique ou agents conservateurs n ont t ajout s. Nous achetons lBragg ACV, qui est pur et biologique.

L A agale

Vous avez probablement entendu parler de rem des naturels froid comme l' chinac e, l'ail, et l'hydraste. Maivoici un rem de qui peut tre encore meilleur !

Ainsi, en quoi consiste donc ce rem de miracle ? Il s'agit d'une tr s ancienne plante Chinoise appel eh ang i ,qui signifie chef de file ja ne, mais vous la connaissez probablement par son nom plus commun,A agalL astragale est une plante originaire d'Asie, et la partie de la plante utilis e en m decine est la racine, qui esemblable un bulbe d'ail.

Une multitude d' tudes montrent que l'astragale est un puissant stimulant immunitaire. Il circule une fausseid e commune, qui fait valoir que la simple stimulation du syst me immunitaire sera suffisante pour " liminercancer." Peut tre, cette seule m thode fonctionnera t elle, dans quelques cas isol s.

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Toutefois, le probl me majeur avec le cancer n'est pas seulement que le syst me immunitaire a t compromi(bien qu il le soit), maisAUSSI que la r ponse immunitaire ne fonctionne pas. En d'autres termes, le cancer est

invisible pour le syst me immunitaire et ne figure m me pas sur le "radar". Par cons quent, lors dtraitement du cancer, il est important d'avoir un traitement qui est la fois imm n m d la e (c. d. quirenforce le syst me immunitaire) et ada g ne(c. d. qui corrige la r ponse immunitaire et qui fa"s'allumer le radar du cancer").

L a agale emble e en me e d e e ce le de em l i .Tout d'abord, elle a un ph nom nal effetimmunomodulateur sur le syst me immunitaire. Dans des essais la facult de m decine d Hiroshima au Japelle a t d montr e pour accro tre directement le nombre des cellules B, les niveaux des cellulesl'interleukine, et la production d'anticorps. Mais l astragale n augmente pas seulement le nombre desleucocytes, en particulier les cellules T appel esle cha e , elle permet galement d'identifier les virus, lesbact ries, et les autres cellules sc l rates. L'Universit du Texas a d montr que l astragale est une planadaptog ne qui permet ce que les virus, les bact ries, et m me les cellules canc reuses soient"bala "par leradar du syst me immunitaire. Dans une tude, l'astragale a t en mesure de restaurer la fonction immunitairechez 90% des patients tudi s qui taient atteints de cancer !

Dans une tude Italienne r alis e en 1994 (Morazzoni, Bombardelli), les patients atteints d un cancer du sein ore u une combinaison de Ligustrum (tro ne) et d'astragale. Les patients recevant cette combinaison ontmontr une baisse de la mortalit de 50% 10%. Et dans deux autres tudes, les patients canc reux recevl astragale avaient par deux fois le taux de survie de ceux qui avaient re u les traitements "Big 3". Il y a dpreuves scientifiques solides qu'elle fait b n ficier d am liorations dans la fonction h patique (souvent r duichez les patients canc reux). En Chine, l'astragale est largement utilis e dans le traitement de l'h patite. Ellesemble r duire les teneurs en toxines de mani re significative et augmenter les niveaux d'interf ron, tout enayant peu ou pas d'effet sur l'ADN normal. (Zhang 1995, Fan 1996)

En r sum , ce remarquable rem de renforce votre syst me immunitaire contre le rhume et la grippe, les

bact ries, les virus, les champignons, l'h patite, et m me le cancer. Contrairement d'autres herbesimmunitaires similaires (comme l' chinac e et l'hydraste), vous pouvez prendre l astragale tous les jours, saneffets secondaires ind sirables.

Le P d i de la R che

Le P llen d abeille

Le pollen d'abeille contient des traces de min raux et de vitamines, est tr s riche en prot ines, hydrates decarbone, et contient tous les ingr dients n cessaires pour une alimentation quilibr e.

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Vingt deux nutriments requis par le corps humain sont trouv s dans ce a fai aliment, y compris toutes lesvitamines du complexe B, les vitamines C, D, E, K, et du b ta carot ne (vitamine A), ainsi que de nombrmin raux, enzymes et coenzymes, acides gras d'origine v g tale, glucides, prot ines, et 22 acides amin s compris les huit acides amin s e en ielque le corps ne peut fabriquer lui m me). Inutile de dire que le pollend'abeille est l'un des aliments les plus complets disponibles.

Selon des chercheurs de l'Institut de l'Apiculture, Taranov, en Russie,"le llen de abeille e la ci amine la l iche n e e dan la na e, en n e l alimen . M me i le lle

a c n de e a e ing dien i a , a ene en ine j ifie ai l i e l d en end e acaf a j , ne e ai ce e a c ne a e ai n e le enf cemen de ca illaie memen iche en ine e e e en c n ien il l e n'im e elle a e ce

ene le e en acide n cl i e ARN e ADN". www.shirleys wellness cafe.com/bee.htm

Des m decins en Europe le prescrivent souvent comme compl ment alimentaire pour augmenter l' nergie et lavitalit . Un autre fait int ressant au sujet du pollen d'abeille, c'est qu'il ne peut pas tre synth tis enlaboratoire. Lorsque les chercheurs installent une abeille dans un peigne pollen rempli de pollen"fab i al'h mme",et tentent de l alimenter, l'abeille meurt, m me si tous les nutriments connus sont pr sents dans lelaboratoire des aliments de produits de n h e .

Des milliers d'analyses chimiques sur le pollen d'abeille ont t effectu es, avec l' quipement de diagnostic lplus r cent, mais il y a encore des l ments pr sents dans le pollen d'abeille que l'homme, avec sa sagesslimit e, ne peut pas identifier. Evidemment, les abeilles ajoutent un myst rieux extra issu de leur propr

savoir faire . Ces l ments non identifiables peuvent tr s bien tre le soin avec lequel le pollen d'abeille emerveilleusement confectionn et qui agit contre tant de probl mes de sant aussi vari s.

REMARQUE : Ne pas donner de pollen d'abeille aux nourrissons de moins de 18 mois.

Le Miel BNon seulement ce liquide dor , merveilleusement riche, a beaucoup de go t, mais il contient aussi tous lemin raux essentiels n cessaires au maintien de la vie. Le miel brut est pratiquement exempt de bact ries, c'estpourquoi il est rarement ab m ; il est galement antiviral et antifongique. Le miel brut fournit de l nergiedeux tapes. Le glucose pr sent dans le miel est absorb rapidement par le corps et donne un regain d' nergieimm diat, ensuite, le fructose est absorb plus lentement fournissant de l' nergie durable. Le miel brut contienttoutes les substances n cessaires la vie (y compris les enzymes, les vitamines, les min raux, et l'eau), et c'esle seul aliment qui contient la" in cemb ine"(un antioxydant associ l'am lioration du fonctionnement ducerveau).

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Il est pr f rable que vous achetiez du miel brut bio produit localement lorsque vous le pouvez, car il esconfectionn par les abeilles qui vivent proximit de l'environnement dans lequel vous habitez. Il est toujourpr f rable de produire ou de consommer des aliments provenant de la zone dans laquelle vous vivez, car ilcontiennent les propri t s immunitaires stimulantes n cessaires pour que votre corps s'adapte sonenvironnement.

REMARQUE : Etant donn que le miel brut contient naturellement des endospores botulinum, n en donnez pasaux enfants de moins d'un an, car leur tractus intestinal n'est pas suffisamment mature pour inhiber lacroissance du clostridium botulinum.

La P li

Bien que la propolis ait fait l objet tout r cemment d'une agr able red couverte, l'utilit de la propolis remont l' poque d'Hippocrate, l homme s'en servait pour gu rir les plaies et les ulc res. C est l'un des antibiotiques

plus puissants pr sents dans la nature. La propolis est un m lange tr s complexe de cires, de r sines, debaumes, d huiles, et d une petite quantit de pollen. Les abeilles utilisent cette substance pour sceller leur

ruches, afin de les prot ger des contaminants ext rieurs.Dieu a cr les abeilles comme tant quelques unes des cr atures les plus st riles sur Terre, avec la ruccomme tant l'endroit le plus st rile pr sent dans la nature. La propolis est la substance responsable de laneutralisation des bact ries, des champignons, ou des virus qui entrent dans la ruche. Fait int ressant, durant laSeconde Guerre mondiale, elle a t utilis e par l'Union Sovi tique pour traiter les blessures de guerre, car elest un puissant antibiotique (sans effets secondaires) et renforce le syst me immunitaire. La propolis est parfoisappel e la p nicilline de la nature et a galement t d montr e pour lutter contre les souches bact riennqui sont devenues r sistantes aux antibiotiques de synth se.

A l exception de la vitamine K, la propolis contient toutes les vitamines connues. Parmi les min raux n cessai l'organisme, la propolis les contient tous, l'exception du soufre. Aujourd'hui, la propolis est utilis e dans fabrication de gomme m cher, de cosm tiques, de cr mes, de pastilles, et d onguents.

La Gel e R ale

La gel e royale est un liquide cr meux, pais, tr s nutritif, d'un blanc laiteux, s cr t par les glandes hypharyngiennes des abeilles nourrici res. Elle transforme une abeille femelle ordinaire en"Abeille Reine",augmente sa dur e de vie de trois mois plus de cinq ans, et lui permet de produire deux fois son propre poidsd oeufs chaque jour (plus de 3.000 ufs).

Bien que certains l ments trouv s dans la gel e royale soient en quantit s ne se situant qu en microgrammeils peuvent toujours agir souverainement avec les co enzymes comme catalyseurs, ou peuvent agir en synergieT ad c i n : l'action combin e des l ments est sup rieure la somme de leurs actions prises s par ment.

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La gel e royale est riche en prot ines, vitamines du complexe B, vitamine C, vitamine E, et inositol. C'est compl ment id al utiliser pour la r duction du stress. En fait, elle contient 17 fois plus d acide pantoth ni(vitamine B5) que le pollen sec, ce qui r duit le stress. La gel e royale contient des gammaglobulines, connuepour stimuler le syst me immunitaire et combattre les infections. Elle fournit galement des min raux, tels qucalcium, cuivre, fer, phosphore, potassium, silicium, et soufre.

Des chercheurs de Valhalla, New York, ont constat que la gel e royale contient un compos complexe qstimule les glandes, normalise le syst me reproducteur des hommes et des femmes, puis agit comme unehormone naturelle. La gel e royale est galement riche en acides nucl iques (ARN et ADN). La g latine, uautre composante importante de la gel e royale, est l'un des pr curseurs du collag ne. Le collag ne est un

l ment anti ge qui maintient la peau lisse et conserve sa jeunesse.

Selon Albert Einstein :"Si l'abeille di a a de la face de la Te e, l'h mme n'a a l e ai e". la lumi re de cette citation d'Albert Einstein, le fait que la population d'abeilles diminue rapidement es

assez troublant , n'est ce pas ?

Ca ni a

Carnivora est un extrait pur 100% de la plante Attrape Mouches de V nus, et a t d velopp par leHelmut G. Keller, un oncologue Allemand. En tant que jeune m decin, Keller a t d u par le lamentamanque de succ s des traitements "Big 3", et il envisagea l'abandon de l'oncologie. Par un trange coup dusort, il d couvrit l Attrape Mouches de V nus par l achat d'un bouquet de fleurs pour sa femme. Comme Kel

observ les Attrape Mouches de V nus (une plante carnivore), il en a d duit qu'elles devaient poss der usyst me immunitaire avanc capable de distinguer les intrus nuisibles par rapport ses propres cellules ; et ilt intrigu par leur capacit reconna tre, puis dig rer les prot ines animales des insectes et des araign

Le Dr. Keller avait un pressentiment que cette plante insectivore pourrait devenir une perc e m dicale. Il s'esav r qu'il a eu raison !

En 1988, le composant actif de carnivora , la l mbagine ,a t isol . Il s'est av r tre, in vivo et in vitro (sudes sujets vivants et en laboratoire), un puissant immuno stimulant, stimulant les cytokines et inhibant lesprot ines kinases, stoppant ainsi la croissance des cellules anormales et la prolif ration des cellules canc reuse

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Carnivora est pr sent e comme action th rapeutique pour r duire les tumeurs canc reuses solides, et pouruvrer contre n'importe quel type de cancer l'exception des anomalies sanguines (telles que la leuc mie).

Plusieurs c l brit s ont utilis avec succ s Carnivora pour le traitement du cancer, y compris l'ancien pr sidRonald Reagan, qui sont all es en Allemagne pour la th rapie. Selon le Dr. Morton Walker,"Il (Kelle ) dimain enan de l de i d cennie d'anal e en lab a i e, de eche che clini e, e a ai

a ien a ein de cance , ce i le ien . Ce e lan e e c m e de 17 b ancenf cen e me imm ni ai e."www.naturalcancerremedies.net

Carnivora a eu un effet redoutable sur les patients infect s par le virus VIH, car elle augmente le nombre el'activit des cellules T et d'autres composants du syst me immunitaire. Dans un article intitul ,"Le cance , leSIDA, e d'a e a h l gie g ie a Ca ni a, le Dr. Morton Walker a d clar que Carnivora"E efficace l' limina i n ale in i d i d VIH dan le ang h main, e e e c n

em de la maladie a imm ne d nd me d SIDA".(Immunoglobuline Perspectives, t 1994).

En plus du cancer et du VIH, Carnivora a t couronn e de succ s dans le traitement de l'arthrite, la maladie Lyme, l'h patite C, la maladie de Crohn, le lupus, le syndrome de fatigue chronique, la colite ulc reuse, et

scl rose en plaques. Selon le Dr. Dan Kenner,Si e lemen je ai ch i i c mme m dicamen nlan e ili e , la l i n e ai im le : l A a e M che de V n . P i l A a e Mm , n e ai e la b ance la l l alen e ba e de lan e le ai emen de ine de maladie d g n a i e e je n'aie jamai . www.dankennerresearch.com

Attention : Ne prenez pas Carnivora si vous tes enceinte. Pour plus d'informations sur Carnivora , s'il voupla t visitezwww.carnivora.com.

La G iffe de Cha (U a de Ga )

La griffe de chat est une plante de la for t Amazonienne qui comprend deux principales esp ces ( l uncartomentosa et l unaria guianensis ). Aux Etats Unis, vous voyez principalement l uncaria tomentosa eEurope, vous verrez surtout l uncaria guianensis . Commun ment appel e"U a de Ga "en espagnol et Cacla en anglais, le nom lui a t attribu en raison des pines pr sentes sur les feuilles de la plante, qressemblent aux griffes d'un chat. Cette plante prodigieuse, selon la l gende indienne, a t utilis e pour traiteles probl mes digestifs, l'arthrite, les inflammations, les ulc res, et m me pour gu rir le cancer. La partie utilisen m decine est l' corce des racines.

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Bien que pratiquement inconnus aux Etats Unis jusqu' une p riode r cente, les effets b n fiques de la griffe chat ont t tudi s dans des installations de recherche au P rou, en Autriche, en Allemagne, en Angleterre, eHongrie, et en Italie, depuis les ann es 1970. Ces tudes ont montr qu'elle est une herbe immuno modulatricqui augmente le taux de globules blancs et stimule la production des cellules NK ( Natural Killer tueunaturelles ), des cellules T et des macrophages. Quatre alcalo des renforcent tout particuli rement phagocytose (litt ralement les cellules d voreuses ) o les globules blancs attaquent les cellules, leenveloppent, et enl vent les cellules sc l rates pr sentes dans le corps.

La griffe de chat poss de des capacit s de gu rison tonnantes et de nombreux avantages pour le syst meimmunitaire, avec une pl thore d'applications th rapeutiques. Les rapports du Dr. Julian Whitaker indiquenqu il utilise la griffe de chat pour ses effets immuno stimulants contre le cancer, afin d aider pr venir les Ales crises cardiaques, de r duire les caillots de sang, contre la diverticulite et le syndrome du c lon irritable (IBGr ce ses propri t s anti inflammatoires, la griffe de chat a t utilis e pour traiter l'arthrite rhumato del'arthrose. Les compos s actifs de la griffe de chat sont contenus dans l corce et les racines (appel"glycosides acides quinovique") bloquent la production de substances appel es "prostaglandines" et "facteurde n crose tumorale (TNF)" qui provoquent une inflammation dans l organisme.

La griffe de chat semble galement avoir la capacit r gler de graves troubles intestinaux qu aucun autproduit disponible ne peut r soudre. Le Dr. Brent Davis se r f re la griffe de chat comme tant "l ouvreurroute" par sa capacit nettoyer l'ensemble du tractus intestinal, et par son efficacit dans le traitement del'estomac et des troubles intestinaux tels que la maladie de Crohn, le syndrome de l'intestin qui fuit, les ulc resla gastrite, la diverticulite, et d'autres pathologies inflammatoires de l'intestin, de l'estomac, et des intestins.Selon la Dre. Marie D. Eades, dans son livre Le Guide Complet du M decin, des Vitamines, et des Min r

Bea c de c n i an chimi e im le c n en dan ce e lan e i an e n ili a i n dan le ai emen d SIDA, d cance , de l'a h i e, e d'a e maladie . Ce endan

lan e en i e, cela e l ac if a ec ing dien i l .

Le Pimen de Ca enne

Les fruits chaleureux de la plante du piment de Cayenne ( Capsicum annuum ) ont t utilis s comme supepice culinaire depuis des si cles. Cependant, saviez vous qu en plus de chatouiller votre langue, le piment

Cayenne est peut tre la plante la plus pr cieuse pr sente dans le royaume des plantes m dicinales, paseulement pour l'ensemble du syst me digestif, mais aussi pour le c ur et le syst me circulatoire ? Le piment dCayenne agit comme un catalyseur et augmente l'efficacit d'autres plantes ; l'ingr dient actif du piment de

Cayenne est appel la capsa cine .

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En 2004, le Dr. Sanjay K. Srivastava et ses coll gues (Universit de Pittsburgh School of Medicine) ont trait cellules pancr atiques avec la capsa cine et ont constat qu'elle a perturb la fonction mitochondriale, puiinduit l'apoptose (mort cellulaire programm e) des cellules canc reuses, sans affecter les cellules normales dupancr as. Les r sultats de l' tude ont t publi s dans le num rod'Inn a i n Re du 20 avril 2005, danslequel le Dr. Srivastava a d clar :N l a d m n en e la ca a cine e n ian icanc e , ind i an l'a e dan le cell le canc e e e ne d i an a c n d mmagcell le n male d anc a , indi an n ili a i n en ielle en an e n el agen chim

ai e le cance d anc a .www.innovations report.com/html/reports/studies/report 43316.html

Dans un article publi dans Reuters du 16 mars 2006, intitulDan l' de, il e a a e le imen cell le d cance de la a e., le Dr. Soren Lehmann du Centre M dical Cedars Sinai et de l'UCLA SchooMedicine a affirm : La ca a cine a e n f nd effe an i lif an de cell le h mainecance de la a e. Elle a ca n icide de 80% de cell le canc e e de la a e che

ce c nn c mme a e. Des chercheurs Japonais ont aussi d montr que le piment de Cayenne peutralentir consid rablement le d veloppement des tumeurs de la prostate.

Et comme si les capacit s de lutte du piment de Cayenne contre le cancer ne suffisaient pas, ses effets sur lastructure veineuse et le c ur ne tiennent en rien du miracle. Le piment de Cayenne est incroyablementnourrissant pour le c ur et il a t reconnu pour pr venir les crises cardiaques dans les 30 secondes. Si vouvoulez mettre quelque chose dans votre trousse de premiers secours pour pr venir une crise cardiaque, placezy une teinture de piment de Cayenne. M me une bouteille de sauce Tabasco pourrait tre assez bonne. Selonle Dr. John R. Christopher, En 35 an de f ma i n e de a i e a mi le a ien , l de i i en'ai jamai e d n e l a ien ca dia e e la ai n en e cha e f i ( 'il e i en en

ne a e de h a imen de Ca enne ( ne c ill e caf de imen de Ca enne dan ne a e dain i, a b de el e min e , il n deb e n mie .www.herballegacy.com/Cayenne.html

Le piment de Cayenne est traditionnellement utilis pour surmonter la fatigue et la restauration de l' nergie. Ilest un stimulant naturel, sans effets secondaires dangereux (palpitations, hyper activit ou hausse de lapression art rielle) qu occasionnent la plupart des autres agents stimulants. Frott sur la peau, le piment deCayenne est un puissant rem de pour les douleurs rhumatismales et l'arthrite, en raison de ce qu'on appelle un

effet r vulsif . Un effet r vulsif est d quelque chose qui provoque l irritation d'un tissu sur lequel il appliqu , ce qui distrait l'irritation d'origine (comme par exemple des douleurs articulaires dans le cas del'arthrite).

Mai ce n'e a . Le piment de Cayenne peut galement reconstruire, le tissu situ dans l'estomac, etl'action p ristaltique de l'intestin. Il facilite l' limination, l'assimilation, et aide le corps cr er l'aci

hydrochlorique, qui est si n cessaire une bonne digestion et assimilation, en particulier des prot ines.

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Il y a aussi des preuves qui sugg rent que le piment de Cayenne peut tre utile dans le traitement de l'ob sitLes r sultats d'un essai ont montr que la consommation de 10 grammes de piment de Cayenne avec les repas acontribu r duire l'app tit, tandis que les r sultats d'un autre test ont r v l que le piment de Cayennaugmente le m tabolisme des graisses alimentaires. Enfin, les herboristes des si cles pass s versaient le pimende Cayenne directement sur les plaies r centes afin de les st riliser et d arr ter le saignement.

vrai dire, les incroyables pouvoirs curatifs du piment de Cayenne sont presque ahurissants. De toute videnceil devrait tre consid r ni plus ni moins comme une plante miracle qui a fait ses preuves scientifiquemenSelon le Dr. Richard Schulze,"Si de e ch i i ne e le lan e dan e ie, ch i i e lCa enne. Elle e l i an e e n'im e elle a e".

Ba e C c Chia ™ & C c P e ™ Th a Ch c la

Je pense qu'il est tout fait appropri de continuer ce chapitre avec deux d licieuses "collations" en chocolatPour tre honn te, le chocolat est un des aliments les plus mal compris. Trop souvent, il est consid r commmalsain, l'indulgence son sujet reste donc faire ses preuves, mais c est juste titre qu il est d cri si vparlez des barres de chocolat au lait, des bonbons au chocolat, de la cr me glac e au chocolat, ou du sirop auchocolat. Cependant, cet aliment est excellent lorsqu il s agit d un extrait de cacao pur. Croyez le ou non, lescomposants de la mousse de cacao pur pr viennent de nombreux cancers.

Savez vous que bon nombre des plus populaires barres nerg tiques "di t tiques" pr sentes sur le march sonselon toute probabilit , toutes aussi mauvaises pour votre sant que les barres sucr es ordinaires ? Beaucoupde barres nerg tiques contiennent du lait pasteuris et des prot ines de soja, deux aliments qui peuventcauser d importants dommages vos tissus, simplement chaque fois que vous les mangez. Cependant, existe une barre pour collation qui est aussi bonne pour vous qu elle est d licieuse : c est la barreC c Chia .

Ces barres d livrent quatre puissants "super aliments" (le cacao brut, la noix de coco, les graines de chia, et lesamandes). Leur go t est excellent et le conditionnement est pratique. De plus, les ingr dients sontbi l gi e

100%. Le chia enti rement non transform , sous forme de graines enti res, fournit une source stable d nergi combustion lente, tandis que la noix de coco biologique donne des acides gras essentiels dont l'organisme a

besoin. Du beurre cru d amandes biologiques, des probiotiques non OGM en micro capsules, des prot inesriz brun, Therasweet , toute cette liste d ingr dients sains au c ur du cacao biologique, fournissent uneexcellente nutrition accompagn e d une grande saveur sans sucre ou alcool ajout s.

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Les barres CocoChia sont sans gluten et riches en fibres, repr sentant un bon choix pour de nombreusespersonnes qui souffrent de troubles digestifs. Elles sont galement pauvres en calories et ont une faible coteglyc mique, elles constituent un bon choix pour ceux qui cherchent atteindre et maintenir leur poids id aainsi que pour ceux qui ont du mal r guler leur glucose et l'insuline de leur sang. Ma famille adore absolumegrignoter CocoChia Raw Food Bars. Vous pouvez acheter CocoChia bars chezwww.livingfuel.com

Il y a quelques ann es, j'ai d couvert une boisson saine au chocolat chaud que ma femme adore absolument C c P e Ch c la Th. Chaque tasse de CocoPure a 4.000 mg de concentr de cacao, mais ce n'est pastout. En outre, les bienfaits du cacao ont encore t enrichis par l'ajout de resv ratrol, de th vert, et de fibressolubles. Cette combinaison unique de nutriments favorise la sant cardio vasculaire, la sant art rielll augmentation du flux sanguin, la sant digestive, et le syst me immunitaire. Ceci est une grande boisson dontnous profitons au "coucher".

Les tudes sur les nutriments contenus dans CocoPure ont t publi es dans le J nal f he Ame ican MediA cia i n, Ame ican J nal f Ph i l g , Hea and Ci c la Ph i l g , n'en n m

n . CocoPure est disponible chezwww.newvitality.com

C en me Q10

Commun ment connue sous l appellation de coenzyme Q10 (CoQ10),l bi in neest une substance assimil e une vitamine, que l'on trouve dans chaque cellule du corps, qui se transforme en un puissant antioxydant

("l ubiquinol"), et qui est essentielle la production d' nergie. Il ne fait aucun doute que si vous tes g de p

de 30 ans, vous devriez prendre un bon "compl ment d ubiquinol CoQ10" chaque jour, puisque la production CoQ10 dans le corps diminue avec l' ge, tout comme la capacit de conversion en ubiquinol.

Lorsque vous commencez prendre le suppl ment de CoQ10 sous la bonne forme "d ubiquinol" et avec udosage correct de CoQ10, vous sentirez tout de suite la diff rence dans votre nergie et votre endurance. Unbon suppl ment de CoQ10 produit le carburant qui donne l' nergie dans chaque cellule de votre corps enfacilitant la production de l'ad nosine triphosphate (ATP) dans les mitochondries. Cette production d' nergieam lior e par la th rapie CoQ10 s'est r v l e tre tr s utile dans le traitement de troubles neurologiqucomme la maladie de Parkinson, la scl rose en plaques, la scl rose lat rale amyotrophique (maladie de LoGehrig), la maladie d'Alzheimer, la maladie de Huntington, et les accidents vasculaires c r braux.

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Si vous prenez des statines, un bon suppl ment de CoQ10 est encore plus important parce que les statinespuisent les stocks de CoQ10 pr sents dans votre corps. Et sans un approvisionnement suffisant en CoQ10

votre c ur ne pourra pas fonctionner correctement. Le Dr. Karl Folkers de l Universit du Texas, et professeude biochimie, a encourag un cardiologue, le Dr. Peter H. Langsjoen, utiliser la CoQ10 pour traiter l'insuffisacardiaque congestive, et ce avec beaucoup de succ s. Selon le Dr. Langsjoen,L'e ience clini e a ec C Q10 e im lemen ec ac lai e. Il e ai nnable de c i e e la ali d chamde ai e de l en l al la l mi e de ce e c nnai ance. N n a n fai efa lica i n bi m dicale e clini e de la c en me Q10, ain i e le d maine c nne e de la bide la chimie de adica lib e .http://faculty.washington.edu/ely/coenzq10.html

Dans les ann es 1970, le Dr. Folkers a suivi le parcours de six patients canc reux qui prenaient de la CoQ10 pune insuffisance cardiaque congestive. Quatre d'entre eux avaient un cancer du poumon et deux avaient uncancer du sein. Les six cas ont connu la r mission de leur cancer gr ce au traitement la CoQ10. Folkers avpersuad l'un de ses bailleurs de fonds qui avait d velopp un carcinome "terminal" petites cellules, avem tastases g n ralis es au niveau du poumon, d essayer la CoQ10. Son oncologue ne lui avait donn que mod'un an vivre. Apr s un an d'utilisation de CoQ10, il n avait plus aucun signe de m tastases, et il tait encorvie 15 ans plus tard ! Le seul traitement qu'il avait re u tait la CoQ10. Le Dr. Folkers, qui est d c d en 19recommand l'utilisation de 500 milligrammes par jour de CoQ10 chez les patients atteints de tumeurs malignes

Dans une tude effectu e l'Universit de Scranton en Pennsylvanie, les scientifiques ont constat que ltraitement quotidien local avec une lotion de CoQ10 a fourni une protection anti oxydante de la peau chez deseunes et des sujets d' ge moyen. Fait int ressant, la phase terminale du SIDA a t associ e une lacun

importante en CoQ10.

Le D . Me c la e n e cellen l men de C Q10 en en e n i e In e ne www.mercola.com,e a i a ec LifeE en i n(www.lef.org). Un excellent moyen d'am liorer l'absorption de la CoQ10 est demettre les capsules dans une tasse de th chaud. Et comme la graisse am liore galement l'absorption, ajouter

une cuill re caf d'huile de coco (non hydrog n e) au th .

Merci au Dr. Jim Howenstine (www.mynaturalhealthteam.com) pour ses r v lations sur une grande partie deces informations propos de la CoQ10.

L A gen C ll dal

L'argent collo dal est une solution de particules d'argent pur, extr mement fines (sub microscopiques), en

suspension dans l'eau gr ce une charge lectrique positive pr sente sur chaque particule. Ces derni rerestent en suspension dans la solution parce qu elles sont charg es positivement et se repoussent avec uneforce sup rieure celle de la pesanteur.

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L argent est un puissant germicide, c est un m tal exceptionnel, il est non toxique pour l'organisme humainmais mortel pour plus de 650 bact ries pathog nes, virus, champignons, parasites, et pour les moisissures.L ingestion quotidienne d'argent collo dal quivaut poss der un second syst me immunitaire .

Je me souviens de mon grand p re me disant que par la pass , ils utilisaient une m thode, qui consistait placdes Dollars en argent dans du lait pour le garder frais plus longtemps, avant qu'ils n eussent des r frig rateurs. est bien connu que les anciens Grecs savaient estimer la valeur m dicale de l'argent. Ils avaient r alis que lfamilles qui utilisaient des ustensiles en argent n taient que rarement malades et ne pr sentaient des infectionsque rarement. Ce savoir faire tait transmis aux rois, aux empereurs, aux sultans, leurs familles, et aumembres de leurs cours royales. Ils mangeaient dans des assiettes en argent, buvaient dans des coupes enargent, et utilisaient des couverts en argent ; en outre, leur nourriture tait stock e dans des r cipients enargent.

Gr ce ces techniques, l'argent se d tachait puis tait m lang leurs aliments et leurs boissons. En r gg n rale, ils taient en bien meilleure sant que les paysans qui mangeaient dans des plats en terre cuite et avecdes ustensiles en fer. C'est pourquoi la royaut devint connue sous l appellation de ang ble ,tant donnque leur peau avait pris une teinte bleu gris due l'accumulation des traces infimes d'argent pur. C'est

galement de l que vient l'expression n a ec ne c ill e en a gen dan la b checette phrase est apparueainsi.

Tout en tudiant la r g n ration des membres, de la moelle pini re, et des organes, la fin des ann es 1970Dr. Robert O. Becker, auteur du livre Le Corps Electrique, a d couvert que les ions d'argent stimulent croissance osseuse et tuent les bact ries environnantes. Le num ro de Science Digest de mars 1978, pr sentaiun article,"N e Pl P i an C mba an de Mic be ", qui r v lait : Me ci la eche che i a e lel'a gen e en ain de de eni ne me eille de la m decine m de ne. Un an ibi i e e ed aine d gani me a h g ne diff en , mai l'a gen en e el e 650. Le che

a iennen a e d el e . De l , l'a gen e a i emen n n i e. L'article se terminait par une

citation du Dr. Harry Margraf, un biochimiste et pionnier chercheur en argent :L a gen e le meillec mba an de ge me en n e a , e n a n.

Comment a marche ? La pr sence d'argent collo dal pr s d'un virus, un champignon, une bact rie, ou de toautre agent pathog ne unicellulaire d sactive l enzyme qui m tabolise son l'oxyg ne. Autrement dit, l argemet hors de service "le poumon chimique" du pathog ne, afin que cet intrus ne puisse plus respirer. Enquelques minutes, l'agent pathog ne touffe puis meurt, ensuite il est d blay du corps par les syst mesimmunitaire et lymphatique, et la fin par les syst mes d' limination. Contrairement aux antibiotiquepharmaceutiques (qui d truisent les bact ries b n fiques ainsi que les enzymes), l'argent collo dal cibs lectivement les agents pathog nes et laisse les tissus sains intacts.

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Pris par voie orale, l'argent collo dal est absorb par la bouche, va dans la circulation sanguine puis etransport rapidement aux cellules du corps. Faire circuler la solution sous la langue bri vement avant dl avaler ensuite fait aboutir une absorption plus rapide. En trois quatre jours, l'argent s'accumule dans letissus, et c est suffisant pour que la th rapie d bute. L'argent collo dal est limin par les reins, le systlymphatique et les intestins. Avant 1938, l'argent collo dal tait utilis par les m decins comme traitemeantibiotique courant, et tait consid r comme traitement "de pointe" pour une vari t de maladies. Il n est pa

tonnant, cependant, que Big Pharma ait d plac puis remis en cause les recherches sur l argent collo dal, faveur des m dicaments financi rement plus lucratifs.

Pour les Etats Unis d Am rique, un des meilleurs (et aussi le plus accessible) des argents collo daux peut achet chez Kurt Wilson, dans ses Entreprises de Survie. Son site Web estwww.se1.us. Un autre excellentproduit d'argent collo dal (mais qui est beaucoup plus cher) contenant des nanoparticules est MesoSilver .www.purestcolloids.com/mesosilver.htm. Pour la France, vous pouvez vous adresser :http://vivrenaturellement.com/ qui commercialise un g n rateur, et le l argent collo dal tout pr t.

La C c mine (C c ma)

Le Curcuma (ingr dient du curry) est connu comme tant l' pice d'or de la vie et est utilis dans la cuisindienne depuis des mill naires. En fait, il est impossible de penser la cuisine indienne sans le curcuma.Lac c mine, une substance active contenue dans le curcuma, poss de plusieurs propri t s qui combattent lecancer. Une r cente tude a d montr que la curcumine peut effectivement r parer l'ADN qui a tendommag par l irradiation. Il s'agit l de tr s bonnes nouvelles, car on ne peut viter toutes les sources drayonnements. Selon les scientifiques de l'Universit de Chicago, la curcumine inhibe une bact rie qui provoqu

le cancer de l'estomac et le cancer du c lon. (Magad GB,Reche che c n e le cance , nov d c 2002).Il existe aussi une autre propri t anti cancer de la curcumine, c'est le fait qu'elle soit un puissant antioxydanElle peut donc prot ger le corps contre les radicaux libres qui endommagent l'ADN. C'est aussi pourquoi lcurcuma (qui contient la curcumine) peut tre utilis pour la conservation des aliments. Des essais enAllemagne, ont t rapport s dans le J nal de Pha macie e de Pha mac l gie en juillet 2003, lesquels ontestim que T e le a a i n de f ac i n c n enan de l'e ai de c c ma i n e e n l ne ac i i an i dan e n nc e .L extrait de curcuma test s est montr plus puissantque l'ail, la griffe du diable, et l'huile de saumon.

Dans un article du J nal f Clinical Imm n l gdu 27 janvier 2007, les scientifiques du M.D. Anderson CanceCenter Houston ont d clar :La c c mine e ime le d clenchemen de la me , n a anle m a a e . Pha mac l gi emen , la c c mine a j g e e. De e ai clini e n'

ici limi an le d e l 'elle n admini e dan de i n allan j ' 1

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T e ce de gg en e la c c mine de n n me en iel dan la en i ncance . (Agga al, BB e al, An icance Re ea ch, jan ie f ie 2003).Et dans un article deM decine M l c lai e,de juin 1998, les chercheurs de la Harvard Medical School ont publi leurs r sultats d montrant que curcumine inhibe l'angiogen se (la formation de nouveaux vaisseaux sanguins) des tumeurs, que ces derni resutilisent pour se nourrir afin de se propager.

La curcumine peut galement prot ger les cellules contre les x noestrog nes, car il peuvent s'adapter auxm mes r cepteurs que les strog nes ou imiter des oestrog nes chimiques. Dans une tude sur les celluleshumaines du cancer du sein, la curcumine a invers la croissance caus e par une certaine forme d' strog nes,de 98%, et la croissance caus e par le DDT, de 75%. Le curcuma a t consid r comme la nourriture de la pen Inde et aussi dans d'autres cultures, pendant des milliers d'ann es, en raison du fait qu'il nettoie la peau, ilcontribue maintenir l' lasticit , nourrit la peau, et quilibre les effets de la flore cutan e. Plusieurs tudanimales ont d montr que le curcuma inhibe la croissance d'une vari t de bact ries, de parasites, et dchampignons pathog nes.

A pr sent que nous savons que la curcumine se trouve dans l' pice curcuma, et que le curcuma est le principaingr dient du curry, vous pouvez profiter des avantages et des effets protecteurs de la curcumine en ajoutantsimplement de l pice curry vos aliments. Si vous combinez la curcumine avec du poivre noir, l'efficacit dcurcumine est multipli e1.000 f i. Cela en fait la plus puissante "chimioth rapie naturelle", vous pouveztoujours en faire l'exp rience. Selon l avis de Mike Adams,"Mange d c e d i e, aj e nb c li, e dan le chaine 48 he e , e c d i a le me canc e e mie chimi h a ie c nn e de la cience m de ne !"

L Echinac e

L' chinac e est une des plantes qui d livre les effets les plus b n fiques sur la sant humaine. Aussi appelEchinac e Am icaine, elle a t utilis e depuis l'antiquit par les Am rindiens afin de pr venir ou de traiter d

fr quents probl mes de sant (tels que le rhume ou la grippe) et aussi comme antidote contre les morsures deserpents et les piq res toxiques.

Dans les ann es 1930, le Dr. Gerhard Madaus (un scientifique Allemand) a effectu des tudes approfondies scette lan e mi acle ,et a d couvert que sa puissance est li e son impressionnante liste d'ingr dients,comprenant les vitamines A, C, et E ainsi qu un grand nombre de min raux nutritifs (cuivre, fer, potassiumiode). Elle est galement riche en antioxydants et autres l ments b n fiques (huiles, alkylamidepolysaccharides, ph nols, et flavono des).

L' chinac e stimule et renforce notre syst me immunitaire en activant les globules blancs, particuli rement lemacrophages, les lymphocytes, et les cellules T.

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Elle ralentit galement (et emp che m me) la formation d'une enzyme appel e"h al nida e",qui se trouvedans le venin des reptiles et agit en dissolvant la substance ressemblant du gel de protection situ e autour descellules humaines. L Hyaluronidase est galement utilis par d'autres bact ries dangereuses pour dissoudre tissu conjonctif dans notre corps afin de p n trer plus facilement et plus profond ment dans nos organismes,mais l' chinac e emp che sa formation.

L' chinac e est un puissant antibiotique naturel ; elle combat les infections, emp che l'inflammation, et peutgalement augmenter la production de l'interf ron (une partie importante de la r ponse du corps aux infections

virales). En 2007, le Dr. Craig Coleman (Universit du Connecticut, School of Pharmacy) a signal qucombinaison d' chinac e et de vitamine C r duit la fr quence des rhumes de 86%, tandis que l' chinac e seur duit les rhumes de 65%.http://news.bbc.co.uk/2/hi/6231190.stm

L Acide Ellagi e

L'acide llagique est une substance naturellement pr sente dans pr s de 50 diff rents fruits et noix (comme lesframboises rouges, les fraises, les myrtilles, le raisin, les grenades, et les noix). Il appartient la famille dphytonutriments appel s " anin "et est consid r comme tant responsable d'une bonne partie de l'activitantioxydante de ces fruits et de ces noix. Les"Ellagi anin "sont des produits qui contiennent de l'acide

llagique dans sa forme naturelle. Pour cette section, je vais utiliser les termes de fa on interchangeable.

Le Hollings Cancer Institute de l'Universit de Caroline du Sud a r alis une tude de neuf ans (en doubaveugle) sur 500 patients atteints de cancer du col ut rin. L' tude publi e en 1999 a montr que l'acide

llagique arr te la mitose (division cellulaire) dans les 48 heures et induit l'apoptose (mort cellulaire normaledans les 72 heures, dans les cas des cancers du sein, du pancr as, de la peau, du colon, de l'oesophage, et descellules canc reuses de la prostate.http://hcc.musc.edu/

En plus de pr venir la mitose et d induire l'apoptose, l'acide llagique emp che galement la liaison des agencanc rig nes l'ADN et renforce le tissu conjonctif. L'acide llagique est galement consid r comme antibact rien et antifongique puissant, et il prot ge le foie. Des tudes m dicales Europ ennes d montren

galement que l'acide llagique baisse l'incidence des malformations cong nitales, favorise la cicatrisation deplaies, et r duit les maladies cardiaques.www.hopeforcancer.com/Ellagic.htm

Le Dr. Daniel Nixon de l'Universit M dicale de Caroline du Sud a tudi les llagitanins ( partir des frambode 1993 1996, et a publi les r sultats ainsi que les observations suivantes :

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Les cellules du cancer du col de l ut rus (HPV) expos es des llagitanins de framboises rouges ont d monl apoptose. Les llagitanins conduisent l arr t des cellules canc reuses G1 , inhibant et stoppant ainsi la mitose (divi

des cellules canc reuses). Les llagitanins emp chent la destruction du g ne p53 par les cellules canc reuses. Les tests r v lent des r sultats similaires pour le sein, le pancr as, l' sophage, la peau, le colon, et les cellule

canc reuses de la prostate.

Selon des chercheurs scientifiques Britanniques, les framboises rouges pr viennent aussi les maladiescardiaques car elles contiennent une forme naturelle d'aspirine appel e" alic la e". Les herboristes croientaussi que les llagitanins sont efficaces pour traiter la diarrh e et les naus es.

Le H ile & Acide G a E en iel

Les deux acides gras essentiels (AGE) sont l'acide linol ique (AL), un acide gras om ga 6, et l'acide alplinol nique (ALA), un acide gras om ga 3. Les l gumes et les ol agineux (ma s, carthame, coton, arachidsoja) poss dent les teneurs les plus lev es en acides gras om ga 6. L acide linoleique est le principal acide gom ga 6 qu un tre humain en bonne sant peut convertir en acide gamma linol nique (AGL). D autres agras om ga 6 sont l'acide linol ique conjugu (ALC), l acide dihomo gamma linol nique (ADGL), etarachidonique (AA). Les poissons de l'oc an (tels que le saumon, le thon, et le maquereau) ainsi que certainfruits coques et graines (comme le lin/graines de lin et les noix) sont les sources les plus lev es en acides grom ga 3. L ALA est le principal acide gras om ga 3 qu un tre humain en bonne sant peut convertir en acieicosapenta no que (EPA), et plus tard en acide docosahexa no que (DHA), puis enfin en acidedocosapenta no que (DPA).

Une bonne sant exige le bon ratio d'acides gras om ga 6 et om ga 3 ; le rapport id al est d'environ 2:1. Ldeux acides gras essentiels sont abondants dans les plantes feuilles consomm es par les animaux sauvages,qui fournissent des rapports peu pr s gaux dans ces AGE. Par exemple, l'huile de chanvre a un quiliboptimal entre acides gras om ga 3 et om ga 6. Avant l'introduction des c r ales r colt es comme fourrageb tail a prosp r sur les herbes vertes luxuriantes qui fournissent une alimentation compl te et quilibr e efont la promotion d une croissance saine, sans production de graisse excessive. la lumi re de ce fait, il eimportant de s'assurer que vous ne mangez que de la viande provenant d'animaux qui se nourrissent d'herbe,car leur viande comporte le ratio id al d'acides gras om ga 6 & om ga 3, et elle est riche en ALC. De nombreuses tudes ont d montr que l'ALC lutte contre le cancer chez les animaux de laboratoire. Les animau

qui broutent naturellement poss dent de 3 5 fois plus d ALC que les animaux engraiss s avec les c r ales. premi re vue, l ALC ressemble l acide linol ique, mais il semble qu ils aient des effets oppos s. Consi

que la surabondance de l'acide linol ique favorise la croissance tumorale, l ALC la bloque. En fait, l ALC peul'un de nos plus puissants combattants contre le cancer.

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Dans une tude r cente, de petites quantit s d ALC ont t ajout es l'alimentation des rats et les tumeumammaires ont diminu de 45%. Les scientifiques ont ajout de tr s petites quantit s d ALC dans des cellulecancer du sein voluant dans une culture. Au bout du 8me jour, l ALC a tu 93% de ces cellules. Un groupe chercheurs Finlandais a constat que les femmes qui consommaient le plus d ALC ont 60% moins de risquesd velopper un cancer du sein que les autres femmes. (www.drstallone.com/cancer_article19.htm). L ALCstimule galement le syst me immunitaire, am liore la sensibilit l'insuline, am liore les niveaux de lipdans le sang, am liore le ratio masse maigre et masse grasse, et ne poss de pas de niveaux pratiques de toxicitconnue.

Les pratiques modernes de l'agriculture ont conduit une baisse constante de la quantit d'ALC contenue dansl'alimentation au cours des cinquante derni res ann es. Aujourd'hui, les produits laitiers ne pr sentent environseulement que 25% de teneur en ALC, par rapport ce qu ils poss daient aux environs de 1960. On pourrait tbien consid rer que le cancer, les maladies cardiaques, le diab te, l'ob sit , et les pid mies que nouconnaissons aujourd'hui sont en grande partie dues la baisse de la pr sence d'ALC dans l'alimentationMalheureusement, si vous allez au supermarch pour acheter du b uf, vous n obtiendrez que de la viandebovine d animaux qui ont t nourris aug ain. En cons quence, le ratio om ga 6/om ga 3 sera compl temen

d traqu et vous n'obtiendrez pas la m me teneur en ALC que vous souhaiteriez par rapport du boeuf nourr l'herbe.

mon avis, l'huile de coco est la plus saine des huiles ; l'une des caract ristiques les plus impressionnantes dl'huile de coco, c'est qu'elle est extr mement riche en acide laurique (environ 50% du volume). La seule autrsource abondante d'acide laurique pr sente dans la nature est dans le lait maternel. Une grande partie de larecherche a tabli le fait que l'acide laurique est utilis par les humains pour d truire les virus, diverses bact ripathog nes, et les microbes tels que les levures, les champignons, les bact ries, les parasites et les moisissures.

Selon Mary Enig, expert de premier plan sur les graisses, aux Etats Unis :"L'h ile de n i de c c a n le ni

dan l'alimen a i n c mme n alimen f nc i nnel h i l gi emen im an . La an e n i i nnel i e en d c le de la c n mma i n d'h ile de c c n ec nn dangi n d m nde de i de i cle ... L'h ile de c c f ni ne ce de li ide an imic bien

d n le me imm ni ai e e al , e e ne ma i e g a e n n m i nnelle l' gachimi e".www.westonaprice.org/know your fats/541 new look at coconut oil.html

L huile de coco ne contient pas de graisse trans [hydrog n e] (lien en Anglais :http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2003/07/19/trans fat part three.aspx), et environ 2/3 de lagraisse satur e contenue dans l huile de coco est compos e d'acides gras cha ne moyenne (AGCM). revanche, les huiles v g tales ou de graines les plus courantes sont constitu es d'acides gras longue cha n

(AGLC), qui mettent rude preuve le pancr as et le foie, sont principalement stock es dans le corps souforme de graisse, et durcissent les art res par le cholest rol. Les AGCM pr sents dans l'huile de coco ont depropri t s antimicrobiennes, sont b n fiques au syst me immunitaire, sont faciles dig rer pour l' nergrapide, et activent la perte de poids. C'est vrai... manger de l'huile de coco vous aidera e d e d id !

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Plus de 50% des Am ricains sont en surpoids. Un des principaux avantages de l'huile de coco r side dans capacit stimuler votre m tabolisme. Retour dans les ann es 1930, le Dr. Weston Price (un dentiste) a voyag

travers le Pacifique Sud en examinant les r gimes traditionnels et leurs effets sur la sant g n rale et dentairIl a constat que les r gimes alimentaires riches en produits de noix de coco maintenaient en bonne sant et

taient quilibr s, en d pit de la forte concentration de lipides dans leur alimentation. Puis dans les ann e1940, les fermiers ont d couvert (par hasard) que quand ils essayaient d'utiliser l'huile de coco peu co teusepour engraisser leur b tail, a ne marchait pas ! Au lieu de cela, l'huile de coco produisait des animaux maigreDepuis lors, de nombreuses tudes portant sur les animaux et sur les hommes ont d montr que leremplacement des AGLC par des AGCM entra nent deux r sultats, le poids corporel diminue et le corps r duipourcentage de graisse. Ainsi, en changeant les mati res grasses dans votre alimentation (en permutant lesAGLC insatur s que l'on trouve dans les huiles v g tales ou les graines, avec les AGCM contenus dans l'huilcoco), vous perdrez du poids!

Nous avons tous entendu la rh torique sur les graisses satur es qui sont malsaines, mais c'est compl tement

absurde. Les mati res grasses satur es contenues dans l'huile de coco font en fait la promotion de la sant .Comment cette rumeur a t elle commenc ? Eh bien, elle tait fond e sur des tudes vici es r alis es ipresque 50 ans. Les tudes ont utilis l'huile de coco hydrog n e, et le mythe se perp tue par l'industrie dl'huile v g tale (aid e par la FDA) depuis les ann es 1980. Le fait est que toutes les huiles hydrog n es somauvaises, car elles ont t modifi es et alt r es chimiquement. Mais l'huile de coco vierge est merveilleupour le corps humain. C'est la seule huile de coco que nous consommons. En fait, nous utilisons tellement l'huilde coco que nous en achetons un gallon (3,8L) la fois ! Selon le Dr. Bruce Fife,"l'h ile de n i de c c e l hla l aine en e Te e."

L huile d'olive est la seule huile v g tale qui peut tre consomm e fra chement press e, et elle est la source

plus importante de graisses om ga 9, galement connues comme acide ol ique. Les effets b n fiques de l'huid'olive pour la sant sont dus la fois gr ce sa teneur lev e en acides gras mono insatur s et sa tenelev e en antioxydants. Des tudes ont montr que l'huile d'olive offre une protection contre les maladies

cardiaques en contr lant le niveau de cholest rol LDL ( le mauvais ) tout en augmentant le niveau dcholest rol HDL ( le bon ). Aucune autre huile produite naturellement ne poss de une aussi grande quantitd'acides gras mono insatur s que l'huile d'olive. Nous utilisons l'huile d'olive tout le temps dans les saladescompos es et dans les m langes de l gumes.

Lorsque de l achat de l'huile d'olive vous souhaiterez obtenir une haute qualit d'huile d'olive ie ge e a.L'huile qui est issue de la premi re "pression" de l'olive est press e froid (extraite sans l utilisation de

chaleur ou de produits chimiques) ; le statut qui lui est d cern est vierge extra . Il s'agit de la meilleure huicar elle est moins manipul e, donc elle est plus proche de son tat naturel, puis contient des niveaux plus leven antioxydants, vitamine E, et ph nols (www.healingdaily.com/detoxification diet/vitamin e.htm).

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Toutefois, si vous devez inclure l'huile d'olive comme partie saine de votre alimentation, vous ne devrieza lafaire cuire, car la chaleur peut endommager les acides gras et ainsi cr er des toxines appel es acrylamides. Svous d sirez faire cuire de l'huile, utilisez l'huile de coco, car elle ne subit pas de modifications chimiqutoxiques lorsqu'elle est chauff e. Nous aimons faire des frites Fran aises avec de l'huile de noix de coco, eCharlene r alise galement de tr s int ressantes tomates vertes frites avec cette huile.

Les avocats sont une excellente source de bonnes graisses, en particulier les om ga 3 et om ga 9. Selon le DRobert Atkins, Le a ca ne n a e lemen ne n i e, il n a c de f ib n fice e de a an age in gal la an c n e le cance .Non seulement les avocats constituent uneriche source d'acide ol ique om ga 9, qui a t d montr pour offrir une protection significative contre cancer du sein, mais ces fruits contiennent aussi les taux les plus lev s de carot no des, dont la lut ine, de toles fruits couramment consomm s, ainsi que des quantit s mesurables de carot no des connexes (z axanthinealpha carot ne, et le b ta carot ne), et de plus importantes quantit s de tocoph rols (vitamine E).

Dans une tude en laboratoire publi e en janvier 2005 par le Journal de Biochimie Nutritionnelle, un extrad'avocat contenant des carot no des et des tocoph rols inhibe la croissance de deux cellules canc reuses(androg no d pendantes et androg no ind pendantes) de la prostate. Toutefois, lorsque les chercheurs ontessay d'exposer les cellules canc reuses de la prostate la lut ine uniquement, le carot no de seul n'a paemp ch la croissance des cellules canc reuses, et la r plication.

Non seulement l'ensemble de la matrice des carot no des et des tocoph rols contenus dans l avocat sontn cessaires pour pouvoir tuer les cellules canc reuses de la prostate, mais les chercheurs ont galement notque la quantit importante de graisses mono insatur es pr sente dans l'avocat joue un r le important. Lescarot no des sont des lipides (mati res grasses) solubles, ce qui signifie que des mati res grasses doivent tpr sentes pour veiller ce que ces carot no des bioactifs soient absorb s dans la circulation sanguine.

L Ail

Il a plus t crit sur les merveilleux avantages del'ail que sur n'importe quelle autre source alimentaire connue.Son histoire remonte 3.500 ans. Hippocrate, le p re de la m decine, fut le premier crire que l'ail est excellent m dicament pour liminer les tumeurs. De r centes tudes sur l'ail ont d montr qu'il tue les insecteles parasites, les mauvaises bact ries, et les champignons. Il limine galement diverses tumeurs, abaisse le taude sucre dans le sang, r duit les mauvaises graisses dans le sang, et emp che l engorgement des art res. Lechercheurs ont galement d montr que l'allicine (le compos organique qui donne l'ail son ar me et s

saveur) agit comme un tr s puissant antioxydant.

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Il a t d couvert que le disulfure de diallyle pr sent dans l'ail r duit la formation de substances canc rig ndans le foie (Cancer Research, 1988; 48:23). Le Dr. Sujatha Sundaram, chercheur l'Universit de l EtatPennsylvanie, a trouv que le disulfure de diallyle provoquait le r tr cissement et la mort des cellules tumoraledu cancer du c lon quand elles sont transplant es des souris.

Il est int ressant de noter la similitude entre le disulfure de diallyle et le sulfure de dim thyle (DMSO). SelonDr. David Gregg, Il n de c m de f e, a ec de m l c le gani e j in e

lf e de dime h le, de g e de m h le (CH3) n j in , dan le ca d di lf e de dialall le (C3H5) n j in ... Il a n ilib e abli en e le lf e de dim h le ( an g nea me d' g ne j in a f e) e le MSM (de a me d g ne a ach a f e). En aice e ie de m l c le e agi c mme n an e efficace d' g ne dan l gani mdiall le e ne m l c le imilai e e le m me i e de liai n n di nible a ec le

'elle d i e c m e d' ne mani e imilai e, e il emble en ... On ggc n ib i n maje e d di lf e de diall le (e d nc de l'ail) e d e an icanc e , ca e

de l' g ne l e c n e le cell le canc e e .www.krysalis.net/cancer2.htm Le premier rapport scientifique sur l' tude de l'ail et du cancer a t r alis dans les ann es 1950. Lscientifiques ont inject "l allicine" (un ingr dient actif de l'ail) des souris souffrant d'un cancer. Les souayant re u l'injection ont surv cu trois fois plus longtemps que les autres souris. De nombreuses tudes onmontr que le "sulfure d allyle" (un autre ingr dient actif de l'ail) est efficace pour pr venir le cancer et d veloppement des tumeurs. En outre, l ajo ne, un autre compos majeur de l'ail, a t d montr indul'apoptose des cellules leuc miques humaines. (Dirsch VM et al, la pharmacologie mol culaire, mars 1998).

L'ail contient galement du germanium, quie npuissant antioxydant contenant du soufre. Le germanium

non seulement stimule l'oxyg nation, mais consacre l'oxyg ne ch later les m taux toxiques comme lmercure, le plomb, et le cadmium pr sents dans votre corps. (Le germanium est disponible chez VivreNaturellement :http://www.vivrenaturellement.com/achat/produit details 254 33.html, ethttp://www.vivrenaturellement.com/achat/produit_details.php?id=250.)Il a t d montr pour restaurer la fonction normale des lymphocytes (cellules T, cellules B, et les cellules Nstimuler la production d'anticorps. Nous mangeons de l'ail dans presque tout trempettes, vinaigrettes, sauces,soupes, wraps (Les wraps sont des sandwichs roul s dans une tortilla mexicaine souple agr ment e d'unegarniture au choix). Mais rappelez vous...la c i n de l'ail e e i an icanc e e. Il a t relevdes cas o le cancer a t vaincu avec un bon programme de d toxification accompagn d'ail seul. Voici upuissante pr paration anti cancer : m langer une part de gingembre, des oignons, du brocoli cru, et du jus d'aiSi vous pouvez supporter le go t, sachez que c'est l'une des plus puissantes concoctions disponibles contre lecancer.

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Le Gingemb e

Aromatique, cre, et pic , le gingembre ajoute une saveur particuli re et le zeste n cessaire aux saut s ainqu de nombreux plats comportant des fruits et l gumes. Les avantages du gingembre comme aliment degu rison sont bien connus en Asie o il est souvent appel la m decine universelle . Le gingembre econsid r comme un excellent"ca mina if"(une substance qui favorise l' limination des gaz intestinaux) etcomme " a m l i e in e inal"(une substance qui d tend et apaise le tractus intestinal).

L action anti vomissements du gingembre a t d montr e et se montre tr s utile pour r duire les naus es aique les vomissements de la grossesse. l'efficacit du gingembre comme aide digestive est due en grande partie

ses principes actifs, tels les phytonutriments :"ging l "et " h ga l ".Ces substances aident neutraliserles acides de l'estomac, am liorent la s cr tion des sucs digestifs (stimulent l'app tit), puis tonifient les muscledu tube digestif et des voies digestives. Mais ce n'est pas tout. Les deux principes actifs gingerols et shogaolsont t galement d montr s pour combattre le cancer.

Les ging rols sont des phytonutriments responsables de la saveur particuli re du gingembre. La recherchescientifique a d montr que les ging rols ont des propri t s antibact riennes pour inhiber la croissance de"Helicobacter pylori", impliqu s dans le d veloppement du cancer de l'estomac et du cancer du c lon. Leging rols suppriment aussi la croissance des carcinomes colorectaux humains. Des exp riences en laboratoirpr sent es par la Dre. Rebecca Lui (et ses coll gues de l'Universit du Michigan) la 97 me r union annuelll'American Association for Cancer ont d montr que les ging rols tuent les cellules canc reuses des ovaires induisant l'apoptose (mort cellulaire programm e) et la phagocytose (auto digestion) .

Dans une tude de 2007 publi e dans le J nal f Ag ic l al and F d Chemi, le Dr. Chung Yi Chen (et sescoll gues de l'American Chemical Society) ont pr sent des preuves convaincantes que les shogaols dgingembre induisent effectivement l'apoptose dans les cellules canc reuses. Une tude de l'Universit Rutgerseffectu e plus tard cette m me ann e l , a appuy les propri t s anti canc rig nes des deux shogaolsgingerols.http://pubs.acs.org/doi/abs/10.1021/jf0624594

Le gingembre a t d montr pour r duire la viscosit des plaquettes sanguines, et peut r duire ainsi le risqude l'ath roscl rose. Il est une source exceptionnelle de mangan se, de magn sium, de potassium, de cuivre, ede vitamine B6. Le gingembre est l'un des aliments les plus sains du monde qui peut tre consomm frais, r p

s ch au sol, ou comme un th . N'oubliez pas que les phytonutriments du gingembre sont sensibles la chaleudonc pour une efficacit maximale, vous devriez manger la racine de gingembre frais et/ou prendre unsuppl ment de gingembre (comme la poudre de racine de gingembre ou extrait de gingembre).

L'ann e derni re, j'ai chang une correspondance avec un homme nomm Bill, un ancien patient canc reux stade IV qui a gu ri son cancer avec du gingembre.

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Pour une personne de 150 livres (68 kilos), Bill recommande de prendre entre quatre et six grammes de poudrede racine de gingembre par jour. La racine de gingembre doit tre prise pendant un laps de temps compris entreun et trois jours. Ses mots exacts sont : J'a ai d j i a a a an de la d e de acine de gingemca le de 500 mg le ma d'e mac. Mai al j ai e a a ec cc , ne l gie lin c i e l' i e e, a e e a lie d'an ibi i e . L e le cance de la a e em n c l n, j'ai ain i e imen le gingemb e. J'ai i i ca le , a e f i a j . J'ai C

!

Le Gin eng

Le ginseng est peut tre la plante Chinoise la plus connue et la plante la plus largement reconnue utilis e em decine traditionnelle. Les propri t s connues du ginseng pour prolonger la vie ont d'abord t d crites auenvirons de l an 500 apr s JC, dans un manuel m dical Chinois, par Shennong, et diverses formes de ginseng o

t utilis es en m decine depuis des milliers d'ann es. Les deux types les plus courants de ginseng sont"legin eng Pana "(c. d. le ginseng d'Asie, le Cor en ou le Chinois) et le"Pana in ef li "(c. d. le ginsengAm ricain, Canadien, ou Nord Am ricain). Le motana est d riv du mot Grec anac e signifiant ig i ,et les avantages du ginseng sont reconnus comme tels.

Le ginseng est utilis couramment comme un adaptog ne, ce qui signifie qu'il normalise le fonctionnemenphysique en fonction des besoins individuels. Par exemple, il va baisser l hypertension art rielle, mais il feaugmenter l hypotension art rielle. Le ginseng est galement efficace dans la lutte contre le cancer, le diab tele stress, et la fatigue. Ces effets du ginseng sont principalement imputables un groupe de compos s appel s"gin n ide ".

Dans une tude men e par le Dr. Taik Koo Yun (et ses coll gues), publi e dans le J nal In e na i nd' id mi l gie de juin 1998 , la consommation de ginseng a entra n une diminution de 67% de risques cancer de l'estomac et de 70% de risques de cancer du poumon. Les tudes animales ont montr que le ginsengstimule la production d'interf ron et augmente l'activit des cellules NK( na al killeou en Fran ais e ena elle ).Selon un rapport publi dans le J nal de M decine Chin i e, les gins nosides pr sents dans leginseng luttent contre le cancer en emp chant l'angiog n se (cr ation de nouveaux vaisseaux sanguins),induisant l'apoptose (mort cellulaire normale), et pr viennent ainsi les m tastases (la propagation) et laprolif ration du cancer.www.cmjournal.org/content/2/1/6

D'autres tudes Chinoises ont indiqu que les gins nosides augmentent galement la synth se des prot ines el'activit des neurotransmetteurs dans le cerveau, ainsi, le ginseng est utilis pour restaurer la m moire,am liorer la concentration et les capacit s cognitives. D'autres recherches ont montr des effets sp cifiques quprennent en charge le syst me nerveux central, la fonction h patique, la fonction pulmonaire, et le syst mecirculatoire.

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Le Gl a hi n

Selon le Dr. Mark Hyman, [Le gl a hi n] e la l im an e m l c le d n a e be in b nne an e eni la maladie mai n'en a e bablemen jamai en end a le . C'eem che le ieilli emen , le cance , le maladie ca dia e , la d mence, e a i en l , i e

ai e ce i c nce ne l'a i me e la maladie d'Al heime . Il a l de 89.000 a icle m dmai e m decin ne ai a c mmen ab de le bl me de l' id mie de la ca ence en cee en ielle i d nne la ie... De i agi il ? Je a le de la m e de le an i dan , led ifian , e le mae d me imm ni ai e : .http://twitter.com/markhymanmd

Techniquement parlant, le me f nc i nnel d gl a hi nse compose du glutathion, de la glutathionperoxydase (G.P.O.) et de la glutathion r ductase (G.R.). A des fins pratiques dans la pr sente section du livre, vais utiliser le terme glutathion comme un terme g n ral faisant r f rence l'un ou l'autre des syst mfonctionnels du glutathion, propos de ses parties constitutives, en fonction du contexte. Le glutathion estproduit naturellement dans votre corps, en particulier par le foie, et est compos de trois acides amin s : lacyst ine, l acide glutamique, et la glycine. La N ac tylcyst ine (NAC) est un pr curseur biologiquement pour l'acide amin cyst ine, qui son tour est un pr curseur pour le glutathion.

Selon les propres mots du Dr. Hyman, Le gl a hi n e e en iel ne ai n im le : . V e , ai e a ec le adica lib e , c'e c mme an me e ne a a e c

main. Il n an mi a de la i amine C, la i amine E, l'acide li e, e enfin a gl ale adica lib e e ec cle le a e an i dan . A e cela e i d i , le c

g n e ne a e m l c le ec ice de gl a hi n e le m emen ec mmence . Le glutathion est

galement essentiel pour la synth se et la r paration de l ADN, la synth se des prot ines et des graisses, r gulation des enzymes, et le transport des acides amin s.

Lesb nne n ellesont que notre corps produit du glutathion. Lesma ai e n elle sont que le stress, levieillissement, les traumatismes, les infections, les irradiations, la pollution, les toxines, les m dicaments, et unmauvaise alimentation, r duisent tous, consid rablement votre r serve de glutathion. Des tudes ont montrque l approvisionnement en glutathion par notre corps commence diminuer de 10% 15% par d cennie pde l' ge de vingt ans. Les personnes qui ont de faibles niveaux en glutathion sont sensibles la maladiechronique. Comme nous le savons maintenant, un syst me immunitaire affaibli peut entra ner la souffrance et lmaladie. Si vous avez besoin de glutathion pour obtenir un syst me immunitaire productif, sachez qu u

syst me immunitaire affaibli entrave la production de glutathion.Il 'agi d' n c cle f ce.Le secret de la puissance du glutathion r side dans les groupes chimiques du soufre qu'il contient. Le soufre estune mol cule adh rente, odorante, qui agit comme a ie a a e m che .

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Par cons quent, tous les m chan agen pr sents dans votre corps (comme les m taux lourds et les radicauxlibres), collent au glutathion qui les entra ne ensuite dans la bile et les selles, puis hors de votre corps. lealiments riches en soufre (comme l'ail, les oignons et les l gumes crucif res tels que les bettes carde, lbrocoli, les choux, le chou de Bruxelles, le chou fleur, le cresson, les pinards, le navet (rutabaga), les radissoutiennent la production de glutathion.

Quand il est natif ( savoir, ac if )le glutathion est galement connu sous le nom de G.S.H., lorsqu il estoxyd (c. d.inac if )le glutathion est connu ainsi :"G.S.S.G.". Des tudes ont d montr que lorsque le G.S.H.tombe en dessous de 70%, votre corps est en grande difficult . Cela tant, il est logique de nourrir le corps avedes pr curseurs de G.S.H, n est il pas vrai ?La c ineest l'un des trois acides amin s qui g n rent le G.S.H.dans le foie, et est consid r e comme fondamentale pour ce processus, alors que la cyst ine n'est pas aussiabondante que la glycine & l'acide glutamique, c est donc la disponibilit de la cyst ine qui contr le production de G.S.H.

Le lac m ( e i lai , n d i d f mage de la an f ma i n de g

ce de c ine e de bl c de c n c i n d'acide amin la n h e d G.S.H. S'il e la ine d lac mDOIT e bi ac i e e d i e a i de ine n n d nana elle e n n m difi e chimi emen he mi emen ), el e le lai c i ne c n i

e icide , d'h m ne , d'an ibi i e . "Imm n cal " e ne ine bi ac i e de lacd na e, i e n e cellen d i im le la d c i n de G.S.H.L' i emen de ce e em l c le e ne c n ence c mm ne d' ne f ma i n acc e de cifici ac i e de l'l'acc i emen de ac i i cell lai e . Le ine bi ac i e c ncen e de lac mefficace e an dange en ali de f ni e de c ine, la ec n i i n d G.S.H. de ce de nie dan le cad e d n a de ca ence imm ni ai e . (Recherches Anticancer 20:4785 4792,2000).

Comme vous l'aurez peut tre suppos , toutes les viandes sont riches en cyst ine, mais pas si l'animal a inject avec l hormone rBGH et nourri avec des grains et de l herbe charg s en pesticides. Les hormones et toxines neutralisent pratiquement le G.S.H. Toutefois, les asperges, l avocat, le brocoli, la past que, les noix, les l gumes feuilles de couleur vert fonc sont de bons choix dans le renforcement en G.S.H. En plus dprot ines de lactos rum bioactives et des aliments riches en soufre, l'exercice aide aussi augmenter le niveaude G.S.H. D'autres substances qui aident la production de G.S.H. sont l'acide alpha lipo que ( ALAvitamines B (acide folique sp cifiquement,B6 et B12), le s l nium et le chardon Marie. Comme je l'ai mentionnImmunocal est un super compl ment de G.S.H. Max International vend aussi un excellent suppl ment dglutathion ("Max GXL ") qui est disponible chezwww.maxforlife.net. Il existe galement Life Wave, qui vendun patch transdermique de glutathion chezwww.lifewave.com.

La plupart des informations contenues dans cet article ont t recueillies partir d'un document du Dr. MarkHyman, intitul Le gl a hi n : La m e de e le b ance an i dan e, publi ici :www.huffingtonpost.com/dr mark hyman/glutathione the mother of_b_530494.html.

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L H d a e d Canada

L hydraste du Canada (nomm e aussi"H d a i canaden i ", framboise de terre, racine la jaunisse, goldenseal,ou orangeroot) est une plante originaire de l'Est de l Am rique du Nord. L'utilisation de l'hydraste du Canada,

t enseign e au d but aux colons Am ricains, par des hommes et des femmes rudits en m decine CherokeEn 1798, Benjamin Smith Barton l a incluse dans sesE a T a d a Ma e ia Medica f he Uni ed S a, ennotant que des groupes d Indiens d Am rique l'utilisaient pour traiter un large ventail de cas comprenant leinfections oculaires, la diarrh e, les maladies du foie, la coqueluche, et la pneumonie. Elle a m me t utilisdans de nombreux traitements contre le cancer, par exemple par des m decins de talent tels que John Pattison,qui a commenc sa carri re en utilisant la sanguinaire, et puis qui a chang d avis et s est orient ensuite vl'hydraste du Canada parce qu'il consid rait cette derni re comme cliniquement sup rieure.

L hydraste du Canada est un puissant antimicrobien, antiparasitaire, antiseptique, et antibiotique. Beaucoup degens ne jurent que par l'hydraste du Canada pour les affections courantes (telles que les rhumes et lesblessures) ainsi qu long terme (chronique). La conjonctivite (alias il rose ) peut tre trait e efficacement utilisant l hydraste du Canada. En plus de ce qui pr c de, l'hydraste du Canada est un traitement tr s populaicontre l'infection des gencives ou contre la gingivite. Se gargariser avec de la teinture d hydraste du Canadas'av re extr mement utile dans la gu rison de probl mes d angine streptococcique. En usage externel'hydraste du Canada est tr s efficace dans le traitement des coupures, des blessures, ainsi que dans d'autresinfections bact riennes de la peau, et les infections fongiques.

Des tudes ont montr que la combinaison de ses trois principaux alcalo des (berb rine, hydrastine, ecanadine) cr e une synergie qui est plus puissante que lorsque chacun est utilis isol ment. Ces alcalo des soconnus pour augmenter la circulation du sang vers le foie et la rate, et aussi stimuler la s cr tion de la bileToutes ces propri t s de l'hydraste aident au fonctionnement harmonieux et efficace du pancr as, de lathyro de, et du syst me lymphatique.

La plante hydraste du Canada contient de nombreuses vitamines importantes et utiles, comprenant la vitamineA, diverses vitamines du groupe B, la vitamine C, et la vitamine E. Elle contient aussi du zinc, du potassium,calcium, du fer, du mangan se, du phosphore, et du s l nium. En g n ral, les avantages pour la sant dl'hydraste du Canada se trouvent renforc s lorsque l' chinac e et l'hydraste du Canada sont combin es.Sachant que l'hydraste du Canada a des propri t s stimulantes de l'ut rus, elle ne doit pas tre utilis e pendantla grossesse.

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Le Pe de d H d g ne (H2O2)

Bien que le peroxyde d'hydrog ne ait d j t mentionn dans la section sur les th rapies de bio oxydation

est assez important de le mentionner de nouveau. Saviez vous que vous avez probablement re u votrepremi re gorg e de peroxyde d'hydrog ne (H O ) peu de temps apr s que vous ayez respir pour la premifois ? C'est vrai ! Le lait maternel, et tout particuli rement le colostrum, contient des concentrationsextr mement lev es en H O . Compte tenu du fait que nous savons que l'une des principales fonctions du lmaternel est d'activer et de stimuler le syst me immunitaire chez le nourrisson, le fait qu'il contienne desquantit s extraordinairement lev es en H O est logique.

Lorsque l'ozone se m lange l'humidit de l'air, cela forme le H O qui descend dans la pluie et la neige. Le se forme naturellement dans les fruits et les l gumes frais, dont certaines parties viennent de la pluie etcertaines autres sont fabriqu es pendant la photosynth se. La plupart des gens sont familiers avec la vari t

commune de 3% de peroxyde d'hydrog ne issue de la pharmacie, utilis e pour la st rilisation et le nettoyage detables de cuisine. La puissance de st rilisation vient de son atome d'oxyg ne suppl mentaire. Le H O a pouvoir nettoyant similaire dans le corps. Mais s'il vous pla t rappelez vous que la vari t de H O issuepharmacie ne doit jamai tre utilis e par voie interne, en raison des produits chimiques servant de stabilisantsqu'elle contient. Pour la consommation par voie interne, vous aurez besoin de H O deali alimen ai e.

Le Dr. Charles Farr a d montr que le H O stimule le syst me enzymatique oxydatif de l'organisme, d clenche une augmentation du taux m tabolique, cela entra ne les petites art res se dilater, et augmente leflux sanguin, efface les toxines, augmente la temp rature du corps, am liore la distribution et la consommationde l'oxyg ne de l'organisme. Le H O stimule les cellules NK ( Natural Killer Tueuses Naturelles ), qui attles cellules canc reuses tentant de se propager dans tout le corps. En r ponse immunitaire dans l'organisme, leH O est lib r par les cellules T pour d truire les bact ries, les virus, et les champignons envahissantsplaquettes sanguines lib rent du H O lorsqu elles rencontrent des particules dans le sang. Dans le gros intestle lactobacillus acidophilus (bact rie amie) produit du H O qui maintient la levure candida (pathogg n ralement omnipr sente, en dehors de la multiplication non contr l e. Lorsque la candida s' tend danl'intestin, elle chappe au syst me de contr le naturel et peut prendre pied dans les organes du corps,provoquant ce que l'on appelle le syndrome de fatigue chronique.

Tout patient atteint de cancer qui utilise le peroxyde d'hydrog ne par voie interne devrait galement utiliser uneenzyme prot olytique de qualit (telle que Vit lzym) qui traversera la couche de prot ines sur les cellulcanc reuses et permettra au H O de p n trer la paroi cellulaire. Si vous utilisez la Di t tique Budwig, devriez viter d'ing rer du H O de qualit alimentaire, car l'interaction des graisses avec le H O endommager l'estomac. La pratique de bains de peroxyde d'hydrog ne est la meilleure fa on de le fairep n trer dans l'organisme, et c est un traitement bon march . La dose recommand e est de 8 onces (25centilitres) de peroxyde d'hydrog ne de qualit alimentaire 35% de concentration, dans une cuve d'eau nonchlor e, le bain durera 30 minutes. Pour d couvrir un excellent livre lectronique gratuit propos du H Oqualit alimentaire, s'il vous pla t visitezwww.foodgrade hydrogenperoxide.com.

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Si vous sentez que vous allez tomber malade, essayez de laisser tomber quelques gouttes de H O dans chaquoreille. Le H O commence travailler en quelques minutes et il tue le rhume ou la grippe. Il fera probablemdes bulles, ce qui est un signe que cela tue les ennemis de l organisme. Attendez jusqu' ce que l effbouillonnant disparaisse, vidangez le conduit auditif, et r p tez l op ration avec l autre oreille. Le peroxyd'hydrog ne est l'une des quelques "substances miracle" qui restent disponibles pour le grand public. Et lemeilleur de tout, il est aussi s r d utilisation qu il est tr s bon march !

L I de

L'iode est responsable de la production de toutes les hormones dans votre corps. Il est antibact rien,antiparasitaire, antiviral, et est aussi un puissant combattant du cancer. La plupart des Am ricains (plus de 95%sont carenc s en iode. Pourquoi sommes nous tous d ficients en iode ? Pendant de nombreuses ann es l'iode a

t ajout au pain en g n reuse quantit , ce qui a emp ch la carence en iode. Chaque tranche de pain contie

150 microgrammes d'iode, qui est l'apport journalier recommand . Il y a cinquante ans, l'Am ricain moyeconsommait environ un milligramme d'iode par jour avec les produits de la boulangerie qui repr sentaientenviron 75% de la totalit de l apport.

Toutefois, dans les ann es 1970, l'industrie alimentaire d cida de retirer l'iode des produits de la boulangerie, ede le remplacer par le brome. Selon le Dr. Jim Howenstine,"L'i de e le b me a a ai en imilai e la

h de, e le b me e lie facilemen a ce e de la glande h de l e l'i de. Le e an ale la glande h de, la diff ence de l i de, e il inhibe l'ac i i de l'i d

h de. Le b me e galemen e de ble de la en e e de la m m i e, de lae ige , e de l i i abili . Ce e b i i n d b me a d imen de l'i de a d nn lie

ni e elle de l'i de dan la la i n Am icaine".www.newswithviews.com/Howenstine/james37.htm L'iode aide le corps liminer les m taux lourds et des toxines (comme le plomb, l'arsenic, l'aluminium, mercure, et le fluor). Fait int ressant savoir, l'eau potable fluor e puise effectivement l absorption de l'iodLa carence en iode entra ne des cancers du sein, de la prostate, des ovaires, de l ut rus, et de la thyro de. carence en iode peut aussi conduire un retard mental et l'infertilit . Alors, comment pouvons nous corrigune carence en iode ? Vouloir corriger une carence en iode en prenant du sel iod n'est pas possible, car vousauriez alors besoin de 20 cuill res caf de sel iod par jour pour obtenir des quantit s suffisantes d'iode.

Le Dr. Jay Abrahams a d velopp une pr paration d'iode (nomm e "Iodoral ") pour traiter la carence en iod

Ma femme et moi prenons ce suppl ment presque tous les jours. Le Dr. Abrahams estime que la bonne quantitd'iode n cessaire pour en maintenir un niveau suffisant dans l'organisme est de 13 milligrammes par jour (comprim de Iodoral ). tonnamment, c'est 100 fois plus que l'USRDA recommande pour l'iode.

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Les femmes Japonaises (qui consomment beaucoup d'algues) ont la plus forte moyenne des apports en iode(13,8 milligrammes par jour) des femmes partout dans le monde. Elles ont galement la plus faible incidence dcancer du sein dans le monde. En plus, le Japon poss de l'une des plus faibles incidences de la carence en iodede goitres (hypertrophie de la thyro de), et d'hypothyro die. L Islande, un autre pays qui a un apport lev iode, a un faible taux de goitres et de cancer du sein.

Le poisson contient de l'iode, mais vous voudrez peut tre limiter votre consommation en raison des niveaulev s en mercure. Toutefois, les sardines ont une dur e de vie tellement courte qu elles ne sont pa

contamin es par le mercure. Ma suggestion serait d'acheter des bo tes de sardines accommod es avec unesauce tomate afin que vous puissiez viter les graisses trans dans l'huile, utilis es pour assaisonner lsardines. En outre, les algues contiennent le plus fort taux d'iode des l gumes de la mer. Et rappelez vous que ls l nium, la vitamine C, et le magn sium renforcent l'efficacit de l'iode. En fin de compte, vous pouvtoujours avoir besoin d'un suppl ment d'iode comme Iodoral . Si oui, alors v rifiezwww.iodoral.org

L IP6 / In i l

L IP6, galement connu sous le nomd in i l he h ha eou d acide h i e ,est compos d'inositol(une des vitamines du groupe B), li e avec six mol cules de phosphore et se trouve naturellement dans lesgraines, le son, les grains entiers, et de l gumineuses. L IP6 est l'un des plus efficaces combattant naturels ducancer. L IP6 limine s lectivement le fer des cellules canc reuses, ce qui les prive efficacement de leur factede croissance primaire. Toutefois, L IP6 ne supprime pas le fer des globules rouges qui est troitement lil'h moglobine. Contrairement aux m dicaments contre le cancer, les cellules saines ne sont pas affect es parl IP6 ; de sorte que l IP6 a une toxicit tr s faible. (Deliliers GL, British Journal Haematology, 117:577 87, 2

Pourquoi la ch lation du fer est elle si importante ? Parce que le fer est n cessaire aux cellules canc reuses poproduire un nouvel ADN. En outre, l'exc s de fer stock dans les tissus favorise la r sistance l'insuliconduisant des niveaux lev s, la fois, de glucose et d'insuline, ce qui n est pas b n fique pour le contr lecancer. L IP6 supprime galement l exc s de cuivre n cessaire pour produire l'approvisionnement en sang neuutile au cancer.

L IP6 supprime aussi les m taux lourds comme le mercure, le cadmium, et le plomb, tout en ne retirant pas lmin raux b n fiques comme le potassium et le magn sium. Il active les cellules NK, favorise la diff renciacellulaire (en transformant les cellules canc reuses en cellules plus normales), r duit la taille des tumeurs, eaide le g ne p53 suppresseur de tumeur qui est souvent d ficient lors de la pr sence de cancers. De

nombreuses tudes ont t r alis es, qui ont prouv de fa on concluante que l IP6 est une mol cule efficacenon toxique pour combattre le cancer.

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Depuis la fin des ann es 1980, le Dr. Abulkalam Shamsuddin, un scientifique la Maryland University SchoMedicine, a t le pionnier chercheur de l IP6. Il a d couvert que lorsqu'il est bien combin avec l inositol, forme deux mol cules d'IP3 dans le corps. L Inositol, la structure de base de l IP6, a six atomes de carbone sont capables de migrer vers des mol cules de phosphate ; lorsque la totalit des six atomes de carbone estoccup e par six groupes de phosphates, l IP6 est form . Toutefois, lorsque seulement trois des groupes decarbone sont li s par le phosphate, ceci est appel IP3.

Cette chimie est importante, parce que bien que l IP6 gagne toutes les attentions, c'est vraiment l IP3 qui fatout le travail. L IP3 joue un r le important dans les cellules de notre corps. Il poss de fondamentalement lfonctions d interrupteur"ma che/a ",dans le cadre des cancers chez l'homme, selon les tudes in vitro.Lorsque les niveaux d'IP3 sont faibles (comme dans le cas des cellules canc reuses), les cellules se multiplient deviennent hors de contr le. C'est fondamentalement ce qui se passe avec le cancer. Lorsque les cellulescanc reuses baignent dans un bouillon d IP3, elles se d sactivent litt ralement. Cette action fait bien reflle r le central que joue l IP3 dans le contr le cl des fonctions cellulaires, notamment dans la r plication etcommunication.

Le Dr. Shamsuddin recommande de prendre une dose journali re quotidienne situ e entre 800 et 1.200milligrammes d'IP6, ainsi que 200 300 milligrammes d'inositol, afin de constituer une mesure pr ventivg n rale. Dans le cas de patients atteints de cancer ou risque lev de cancer, il recommande une dose situdans la fourchette de 4.800 7.200 milligrammes d'IP6 avec 1.200 1.800 milligrammes d'inositol. Ceci doit pris avec un estomac vide.

Ce produit remarquable du Dr. Shamsuddin est appel "IP6 Gold". Mon pouse Charlene et moi, prenons csuppl ment sur une base quotidienne.

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La M la nine

Saviez vous que si vous dormez avec une veilleuse, vous augmentez votre risque de cancer ? Il a t d monque l'exposition la lumi re la nuit supprime votre production de m latonine. Le r sultat de ceci peut conduire

un risque accru de cancer.

Alors, qu est ce exactement que la m latonine ? La m latonine est une hormone qui module noneurotransmetteurs. Elle est produite partir de l acide amin tryptophane, par la glande pin ale (la glande esde la grosseur d'un pois et se situe dans le cerveau) quand les lumi res s' teignent, dans la nuit. C'est la raisonpour laquelle vous avez sommeil quand il fait noir. La m latonine est galement produite par la r tine et, danune plus grande quantit , par le syst me gastro intestinal. Les niveaux de m latonine atteignent leurmaximum au cours de la nuit, mais augmentent aussi apr s les repas, c est ce qui explique pourquoi vouobtenez un d but de sommeil apr s un repas. La m latonine est tr s soluble dans les graisses et l est galemendans l'eau, ce qui lui permet ainsi de p n trer facilement dans la membrane cellulaire, le cytoplasme, et lnoyau. Selon la Dre. Eileen Lynch,"L am hi hilici de la m la nine, la ca aci ab be e e

en liai n a ec a ca aci agi c mme n an i dan en if faible, n ch la e d'i n mdan ce aine ci c n ance , n adical lib e di ec emen b e l i e me de l e c n e ldan le mic en i nnemen cha i e m al".www.lef.org/magazine/mag2004/jan2004_report_melatonin_01.htm

En raison du fait que plus de 75% des cellules canc reuses occasionnent des d g ts oxydants l ADNd claration de la Dre. Lynch ci dessus est tr s importante. En tant que capteur de radicaux libres, la m latoninentre en rivalit avec la vitamine C dans sa capacit contrecarrer les effets oxydatifs des toxines.

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Non seulement la m latonine agit comme un capteur de radicaux libres, mais elle est aussi une hormone quie les cellules canc reuses ! Selon la Dre. Lynch,La m la nine j e n le c cial, c mme h e, dan le d fen e c n e la g e i n d cance , en ac i an le me de c kine i e e ce de de c i ance, i im le l'ac i i c i e de mac hage e de m n c e.

De multiples tudes ont indiqu les effets cytotoxiques de la m latonine, y compris en se r f rant l article pen 2002, dans Tumor Biology, r dig par le Dr. K. Winczyk et ses coll gues, intitul La participation ventdes r cepteurs nucl aires RZR/ROR alpha dans l'action antitumorale de la m latonine sur le cancer colorecmurin 38 . Dans un autre article du Dr. P. Lissoni et ses coll gues dansl E ean J nal f Cance & ClinicaOnc l g de 1989, la m latonine a galement t d montr e pour stimuler le syst me immunitaire.

Dans son rapport de 2004 l'American Association for Cancer Research, le Dr. David E. Blask a signal qum latonine met les cellules canc reuses du sein en l thargie, et elle ralentit galement la croissance du cancedu sein de 70%. Les cancers du sein sont mis sous tension par les acides linol iques (graisses om gaCependant, la m latonine interagit avec l'acide linol ique. Lors d'une conf rence d information, le Dr. Blasd clar :"Ce m cani me d cance d ein i emballe, ein a l ac i n de la m la nine.

ec e la n i e n ignal an icance a i en e le cance d ein h main . Q a ecance d ein h main n de ce e cifi e ce ignal."

Blask et son quipe ont expos des souris de laboratoire avec des cancers du sein humains la lumiconstante. Devinez ce qui s'est pass :la c i ance m ale a m n en fl che. Selon le Dr. Blask :"A ec lal mi e c n an e, le me e d el en e f i l a idemen e ab ben de d'acide lin l i e. Pendan le j , le cell le canc e e n eill e e l acide lin l i e imMai la n i , le cell le canc e e 'end men . Q and n all m n le l mi e la n i e

i de de em , n im n la m la nine e e n n en a i e, dan de c nwww.webmd.com/breast cancer/news/20030714/hormone melatonin slows breast cancer

D'autres recherches, y compris une tude r volutionnaire de 2000, effectu e par trois m decins RussesRiabykh, Nikolaeva, et Bodrova, corroborent le fait que la m latonine peut tuer de nombreux types diff rentsde cellules tumorales humaines. Un rapport du Dr. R.M. Sainz et al, dans le num ro de 2003 deCell la M lec laLife Science, indique que la m latonine est une cytotoxine produite naturellement, ce qui peut induire unetumeur de mort cellulaire (apoptose). Fait int ressant, le Dr. Lissoni a galement d couvert que la m latonininhibe l'angiogen se, qui active le d veloppement de nouvelles tumeurs des vaisseaux sanguins. (Dr. P. Lissonet al, Lettre de neuroendocrinologie, 2001).

Un nombre croissant de preuves liant l augmentation de la lumi re la nuit (LAN) certains types de cancers

conduit les chercheurs soup onner que ceci pourrait tre li l'augmentation constante des cas de leuc miinfantile.

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Les scientifiques ont pr sent les r sultats de leurs recherches la Premi re Conf rence ScientifiqInternationale des Leuc mies de l Enfance, et ont dit que la lumi re la nuit ainsi que le travail de nuit, d cal(ce qui perturbe) le rythme circadien du corps, ou l'horloge interne, et ont t associ s un risque accru decancer du sein puis de cancer colorectal.

On doit se demander si la croissance rapide de l utilisation de la t l vision et des jeux vid o au cours des trenderni res ann es a contribu la croissance de la leuc mie infantile. Les enfants restent debout plus longtempet plus tard, ainsi cette attitude d augmenter la lumi re la nuit, peut supprimer la production naturelle dem latonine qui lutte contre les radicaux libres, de ce fait cela endommage l'ADN et active le cancer. Est ce jusune co ncidence que la leuc mie infantile ait litt ralement explos en m me temps que l'escalade de l utilisatide la t l vision et des jeux vid o ?

C m a e a ec d'a e femme i a aillen d an la j n e, le femme i a aillen n n i e l le e im 50% de d el e n cance d ein ,a dit William Hrushesky, du Dorn Veterans

Affairs Medical Center in Columbia, S.C. Cela explique sans doute pourquoi l tude originale d Harvard suinfirmi res, qui a t dirig e par Eva S. Schernhammer, a constat que les travailleurs faisant des quarts avaieun risque lev de cancer du sein. (Nouvelles Science, 1/17/01, p. 317).

Plus r cemment, Schernhammer et sa coll gue de Harvard, Susan E. Hankinson, ont constat que les femmequi arrivent avoir des concentrations extraordinaires de m latonine ne vont que probablement peu ou pasd velopper de cancer du sein. Celle i n de ni ea l le emblen a i n faible i e

ein ,a d clar Schernhammer. Ils ont communiqu ces donn es dans le Journal de l'Institut National du Canc(20 juillet 2005).

On pourrait mettre l'hypoth se que si la production de m latonine est d clench e par l obscurit , ceux qui auraient la plus grande production seraient les gens aveugles, cette supposition pourrait elle tre correcte ?Dans une tude r alis e en 1998 par les docteurs Feychting et Osterlund, d importants taux de m latonine on

t trouv s chez les personnes aveugles et malvoyantes, avec pour cons quence une incidence plus faible decancers, comparativement ceux ayant une vision normale, sugg rant ainsi le r le de la m latonine dans lr duction du cancer. ("R d c i n de l incidence d cance che le a e gle ." E idemi l g).

Plusieurs tudes ont montr que le rythme circadien est impliqu dans la suppression des tumeurs diverniveaux et qu il r gularise galement a r ponse immunitaire. Cela tant, il est logique que la perturbation rythme circadien conduise un affaiblissement du syst me immunitaire et la croissance des tumeurcanc reuses. Toutefois, la m latonine a t reconnue pour agir comme"a bi e ci cadien" et est capable der guler l'horloge interne du corps, maintenant ainsi le syst me immunitaire son plus haut niveau desurveillance.

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"D mi n'e a en i im an la m la nine", a dit le Dr. Russel J. Reiter, un neuroendocrinologue l'University of Texas Health Science Center San Antonio, cit dans le num ro deScience N elle, du 7 janvier2006, "... ' ".

De r centes tudes ont trouv des niveaux r duits en m latonine dans le liquide c phalo rachidien de patienatteints de la maladie d'Alzheimer par rapport l' ge des sujets t moins appari s (H. Tohgi, 1992; D. J. Ske1990). En raison du fait que les rythmes circadiens sont perturb s dans la maladie d'Alzheimer, il est int ressande se demander si la restauration de la m latonine des niveaux normaux chez ces patients permettraitd'att nuer d'autres sympt mes ; ainsi, la m latonine devrait probablement tre prise de trente minutes uneheure avant de dormir. Vous pouvez trouver de la m latonine dans tout magasin d aliments de sant . Lecerises sont une bonne source naturelle de m latonine, ainsi elles sont un grand moment de collation l heuredu coucher.

Le MMS(S l men Min al Mi acle)

Le di de de chl ea t tudi par les scientifiques depuis de nombreuses ann es, et a t mentionn dande nombreuses revues scientifiques. Toutefois, c est Jim Humble qui a introduit le dioxyde de chlore l avantgarde de la m decine alternative.

Humble, en sa qualit de chercheur d'or et de m tallurgiste, participait une exp dition dans la jungld'Am rique centrale, la recherche d'or, quand un membre de son exp dition est tomb malade du paludisme.Ils taient loign s de la mine la plus proche plus de deux jours de marche, travers la jungle paisse. Aprnombreuses ann es d'exp rience, Humble portait toujours sur lui durant de telles exp ditions, de l'oxyg nestabilis , afin de rendre l'eau locale vraiment potable. Face la possibilit d'un d c s rapide, il en donnal'homme malade, et la stup faction de tous, la sant de l'homme s est r tablie au bout de seulement quelqueheures. Il est certain que cela semblait tre un miracle, mais Humble voulut mieux comprendre ce qui s' taitpass .

Au terme de plusieurs ann es, Jim Humble comprit que ce qui rendait efficace l'oxyg ne stabilis pour traiteefficacement le paludisme n' tait pas du tout l'oxyg ne, mais plut t les traces de dioxyde de chlore qui ont tlargement utilis es comme d sinfectant par les industries alimentaires et dans l eau de boisson depuis presqueun si cle. Il s est av r tre bien plus efficace et moins nocif que le chlore pour tuer les virus, les bact ries, etprotozoaires dans l'eau.

Il a relat ses exp riences dans un livre lectronique t l chargeable, disponible sur son site Web www.miraclemineral.org. (ici en fran ais :http://lemineralmiracle.com/livres_mineral_miracle.html). Le livre estintitul , Grande D couverte : Le Suppl ment Min ral Miracle du 21e Si cle. Le Suppl ment Min ral Miracle(MMS) fonctionne en mettant une petite quantit de dioxyde de chlore dans la circulation sanguine. La solutionde MMS est compos e 28% de chlorite de sodium (d oxyg ne stabilis ) dans de l'eau distill e.

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Humble a d couvert que le chlorite de sodium peut tre transform en dioxyde de chlore s il est m lang avun "ac i a e ".C est"l'ac i a e "qui convertit le chlorite de sodium en dioxyde de chlore. Le MMS est bassur cette connaissance.

Les trois activateurs potentiels pour le chlorite de sodium sont le jus de citron fra chement press , le jus de limgalement fra chement press , ou soit 10% de poudre d acide citrique. L'acide citrique en poudre est l' l m

pr f r m langer au MMS. Toutefois, si vous ne pouvez pas obtenir d'acide citrique, vous pouvez utiliser us de citron fra chement press ou du jus de lime (que vous avez vous m me press ). Rien d'autre que cela

n'est acceptable comme activateur.

Comment a marche ? Une fois que le dioxyde de chlore est introduit dans la circulation sanguine, il effectue unacceptation tr s nergique de quatre lectrons quand il tombe sur une cellule qui est acide (pH inf rieur 7.35Cela signifie que les cellules malades sont litt ralement vaporis es sans qu aucune cellule saine ne soit affect

Vous voyez, les globules rouges (qui transportent l'oxyg ne dans le corps) ne peuvent pas distinguer ladiff rence entre le dioxyde de chlore et l'oxyg ne. Par cons quent, apr s avoir ing r le MMS, les globulrouges r coltent les ions de dioxyde de chlore et les transportent sur des parasites, des champignons, ou descellules malades qui ont toutes un pH faible. Cesen ahi e sont d truits en m me temps avec les ions dedioxyde de chlore. Si aucun envahisseur n est trouv , le dioxyde de chlore se d t riore et perd ainsi un lectrou deux. Cela lui permettra de se combiner avec une substance tr s importante que le syst me immunitaireutilise pour fabriquer de l'acide hypochloreux, qui tue des agents pathog nes, des cellules tueuses, et m medes cellules canc reuses. Le syst me immunitaire a besoin de beaucoup plus d'acide hypochloreux lorsqu unemaladie est pr sente. Anim par la solution de MMS, le dioxyde de chlore en d livre la pelle.

Prendre le MMS est simple. Mettez vos gouttes de MMS dans un verre vide, propre, et sec. Si la situation n'espas critique et que la vie ne soit pas en danger, commencez par une goutte. Si c'est une situation de maladie

aigu , vous devriez toujours limiter votre application de d part quinze gouttes de MMS. Il a t apport mattention que la r gle g n rale actuelle est de trois gouttes de chlorite de sodium pour vingt cinq livres (11,34Kg) de poids corporel.

Pour une six gouttes de chlorite de sodium, ajoutez de cuill re dessert de jus de citron fra chement pressou de jus de lime. Pour sept quinze gouttes, ajoutez cuill re dessert de jus de citron ou de jus de lime. vous utilisez l'acide citrique comme activateur, mettez le contenu d une cuill re dessert pleine de cristaudans un verre propre ou un bocal. Ajoutez alors le contenu de neuf cuill res dessert pleines d'eau distilldans le m me bocal. Quand les cristaux se sont dissous, c'est alors une solution 10%. Utilisez cinq gouttes cette solution pour chaque goutte de MMS. Proc dez pour tout le reste de la m me mani re.

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Attendez trois minutes apr s le m lange, ajoutez le jus fra chement press (de raisin, de pomme, de cannebergou d'ananas), ou l'eau, et buvez imm diatement. Si vous choisissez d'utiliser le jus, ne le prenez pas surl tag re. Il doit tre fra chement press . En outre, n'utilisez pas de jus d'orange, car il emp che la productionde dioxyde de chlore.

Fait int ressant, en 1999, l'American Analytical Society of Chemists a d clar que"Le di de de chl e e le i an e d agen a h g ne c nn ".Le dioxyde de chlore est transport dans tout le corps, tout comme

l'oxyg ne, et efface les agents pathog nes au contact.

Le protocole Humble a aid avec succ s plus de 75.000 personnes en Afrique, se d barrasser du paludisme, l'h patite, du SIDA, et du cancer. Si vous voulez en savoir plus sur le MMS, s'il vous pla t viswww.jimhumble.biz. (en Fran ais :http://lemineralmiracle.com). M me si vous tes d j familier avec le MMSvous devez lire les commentaires de Jim, notamment le premier de plusieurs articles sur le c t droit de l' cranintitul "21 c le d MMS Li e al hab i e". Vous pouvez vous procurer du MMS chez VivreNaturellement : http://www.vivrenaturellement.com/achat/produit details 258 33.html Ou :http://www.vivrenaturellement.com/achat/produit details 519 33.html Et de l eau bi distill e :http://www.vivrenaturellement.com/achat/produit details 443 33.html

Le Cham ign n M dicina

Les champignons ont t pris s par la m decine, la fois en tant que nourriture et comme m dicaments depudes milliers d'ann es. Partout dans le monde, beaucoup de gens aiment aller la chasse aux champignonssauvages en appr ciant la vari t des couleurs, des formes, et des tailles. Au Japon, les vendeurs ambulantvendent de nombreuses esp ces de champignons m dicinaux pour les citoyens soucieux de leur bien tre, qules utilisent pour maintenir leur sant et favoriser une longue vie. Certains Japonais voyagent sur des centainesde miles afin de ramasser des champignons sauvages qui ne poussent que sur de tr s vieux pruniers. De m medepuis des milliers d'ann es, les Chinois accordent beaucoup de valeur aux champignons pour leurs propri tcuratives, particuli rement toniques pour le syst me immunitaire.

La plupart des champignons m dicinaux contiennent des polysaccharides (des mol cules complexes de sucreappel s b a gl canequi augmentent l'ADN et l'ARN dans la moelle osseuse, o les cellules immunitaire(comme les macrophages et les lymphocytes T) sont fabriqu es. Au Japon, des extraits contenant diff rentstypes de b ta glucanes ont t utilis s avec succ s pour aider traiter les patients canc reux depuis les derni res ann es. Les b ta glucanes renforcent l'immunit par le biais de divers m canismes ressemblabeaucoup ceux de l' chinac e et de l'astragale.

Des chercheurs de l'Alpha Beta Technology dans le Massachusetts ont examin les effets des b ta glucanes sle sang humain. Lorsque les deux ont t incub s ensemble, les b ta glucanes ont am lior la croissance dcellules prog niteurs my lo des et m gacaryocytes (qui se d veloppent dans les cellules du syst mimmunitaire) et d clench une explosion de radicaux libres dans les globules blancs, puis renforc l'activit dcellules antibact riennes.

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Fait int ressant, la capacit des globules blancs tuer les bact ries a t proportionnelle la dose de b tglucane.

En juillet 1984 dansImm n ha mac l g, le Dr. R. Seljelid (et ses coll gues) ont rapport que le b ta glucanstimule la production de petits composants prot inaires appel s cytokines dans les cellules phagocytaires. Cettestimulation des cytokines augmente la capacit des macrophages stopper la croissance des cellules tumoraleset tue la tumeur dans son int gralit . En 1975,le J nal de l'In i Na i nal d Cance a publi les r sultatsd'une tude men e par le Dr. P.W. Mansell qui a examin les effets des b ta glucanes dans la lutte contre lcancer sur neuf patients canc reux. Les patients (qui avaient un cancer de la peau, du sein, ou du poumon) sesont vus injecter des b ta glucanes dans leurs tumeurs. Dans les neuf cas, les b ta glucanes ont ouvert unr ponse immunitaire imm diate et les tumeurs ont t r duites dans les cinq jours.

Le cham ign n Rei hiont t utilis s comme m dicaments en Asie depuis plus de 4.000 ans. En chinois, isont appel s "Ling Zhi"(traduction cham ign n de l'imm ali). Les Reishi sont connus pour promouvoir lasant respiratoire et cardiovasculaire, ainsi que les niveaux de sucre dans le sang. Une substance dans le reish(appel e canthaxanthine) ralentit la croissance des tumeurs, selon l'auteur Phyllis A. Balch et d'autres experts.

En raison de ces tonnantes capacit s anti cancer, le gouvernement Japonais reconna t officiellement le reisen tant que traitement anticanc reux. Aux Etats Unis, ce champignon roux se trouve la base des arbres feuilles caduques ( rable en particulier) partir de mai jusqu novembre.

Le cham ign n ma aksont commun ment appel s le de b ien raison de leur forme int ressante.En Japonais,"ma ak "signifie"Le cham ign n de la dan e",car il est dit que les gens dansent de joie quand ilsen trouvent. Ces champignons sont particuli rement recommand s pour l'estomac et les intestins ; et sontconnus pour r guler la glyc mie ainsi que la tension art rielle. Les ma tak contiennent galement du"g if lan"(un b ta glucane), qui a t d montr dans l'activation des macrophages du syst me immunitaire. En Chine, extrait de ma tak a t d montr pour avoir un effet anti cancer chez les patients souffrant d un cancer

l'estomac, du cancer du poumon, et de la leuc mie.Le cham ign n hii aksont utilis s pour traiter les carences nutritionnelles, pour abaisser la tensionart rielle, et pour att nuer les affections du foie. R cemment, il a t d couvert que le shiitak contiensignificativement de hauts niveaux de vitamine D, lors de la dessiccation au soleil. Au Japon, des tudecliniques ont galement t men es avec le"Len inan"(un b ta glucane) trouv dans le shiitak . Ces tudes ond montr que le traitement des patients atteints de cancer avanc avec du lentinan en intraveineuse, a eu pourr sultat d accro tre le nombre ainsi que l activit des cellules immunitaires tueuses, et de prolonger la sur(Parfois de cinq ans ou plus). Le shiitak est un champignon cultiv aux Etats Unis et ne se trouve pas dansnature.

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En 2009, une tude effectu e par l UCLA a d montr que les malades du cancer du sein qui ont mang dchampignons m dicinaux deux fois par jour ont emp ch le retour de leur cancer. Ceci a t conclu gr cel'activit anti strog ne des champignons. Alors mangez vos champignons, et ajoutez avant cela un peu d'huiled'olive et d'ail hach ... C est tr s savoureux ! Et rappelez vous que tous les champignons doivent tre cuits poen obtenir la valeur nutritive. Les parois des cellules ne peuvent tre dig r es sauf si elles ont t attendries pala chaleur.

Le G i

Le gui est en fait une puissante plante m dicinale utilis e depuis l'Antiquit . Les propri t s et r f rences du en tant que " anac e"remontent aussi loin que les anciens Grecs et les druides. Il a t utilis pendant desi cles pour traiter l' pilepsie, l'arthrite, et l'hypertension. Et si ses vertus sont puissantes pour de nombreusesutilisations, il est particuli rement meurtrier sur les tumeurs canc reuses.

Il existe deux types de gui :

1. Le gui Am ricain (l esp cePh adend n) est redoutablement toxique, c est un poison qui ne doit pas treing r . La mort a t observ dans les 10 heures suivant l'ingestion.2. Le gui Europ en (Vi c m alb m) a t utilis pour traiter certaines maladies au cours des derni res d cennies.La plante est galement connue sous le nom Rameau d Or ou Herbe de la Croix (En Anglais"he b f he c ").

Sur la base des informations pr sent es ci dessus, je pense qu'il est bien vident que nous allons voquer lusages m dicinaux du gui Europ en dans cette section du livre.

Dans l re moderne, la mise au point sur le gui comme traitement contre le cancer a commenc vers les ann e1920, et cette th rapie n'a cess de se r pandre. Dans certains pays d Europe, les produits fabriqu s partir dgui Europ en figurent parmi les traitements les plus prescrits pour les patients atteints de cancer. En fait, lesm decins en Allemagne traitent plus de 50% de leurs patients atteints de cancer avec le gui sous une forme ousous une autre. Beaucoup de ces th rapies sont d taill es dans le rapport sp cial, Une d couverte Allemandcapitale dans le domaine du cancer, qui est un guide des meilleures cliniques alternatives Allemandes decanc rologie. Mon ami et coll gue Andy Scholberg appelle le guile lae ile d'Allemagne.

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Des extraits de gui sont commercialis s sous plusieurs marques en Europe, le plus connu d entre eux eIscador . Une des principales fonctions d Iscador est qu'il stimule les parties (cellules NK) du syst mimmunitaire qui peuvent ralentir la croissance des cellules canc reuses et ce, avec des effets secondaires tr slimit s. En cons quence, un autre avantage signal est une augmentation spectaculaire de la qualit de vie touen luttant contre le cancer. Donc, si vous tes sous traitement avec le "Big 3", le gui r duira les effetind sirables de la chimioth rapie et de la radioth rapie.(N e d ad c e : I cad e en inci e inF ance ce n m, c e d nc l a ella i n Vi c m Alb m il e di ib a Weled

Dans l dition du 1er mai 2001, deTh a ie Al e na i e, le Dr. R.G. Maticek (et ses coll gues) ont publi ler sultat d'une longue tude de 30 ans (ayant r uni plus de 35.000 participants) qui a conclu que l'extrait de gu(Iscador ) am liore consid rablement le taux de survie concernant une grande vari t de cancers (notammentle cancer du sein) travers l'am lioration du syst me immunitaire, l arr t de la croissance tumorale, et dal arr t de la croissance des m tastases du cancer.

Le traitement le plus courant consiste injecter l extrait de gui sous la peau. Bien s r, la FDA ne permet pasvente ou l utilisation de gui injectable aux tats Unis, sauf pour la recherche. Donc, si vous habitez aux EtaUnis, vos seules options sont des formules orales ou de voyager dans un autre pays pour y recevoir lespr parations injectables.

Alors, la prochaine fois que vous accrocherez une branche de gui sur votre porte, vous serez plus m med'appr cier sa puissance qui vous fera obtenir un baiser pour les f tes.

L H ile d O igan

L'huile d'origan produite partir de la plante a t utilis e depuis l poque Biblique, elle est extraite des pland'origan sauvages. L'huile d'origan a t d montr e pour tuer les parasites, les virus, les bact ries, et certainstypes de champignons, tout en tant un antihistaminique.

L'huile d'origan est utilis e depuis des si cles pour traiter les infections, et elle pourrait tre ''un sauveur'' pourles personnes souffrant de colite, une inflammation du syst me gastro intestinal. Elle est d riv e de la plantorigan sauvage (membre de la famille de la menthe) qui pousse naturellement dans les montagnes de la r gionM diterran enne, et est g n ralement m lang e puis mise en bouteille avec de l huile d'olive ou de l huile denoix de coco, en raison de sa puissance.

Le principe actif de base contenu dans l'huile d'origan est le carvacrol, un puissant antimicrobien utilis pouconserver les aliments, puis les prot ger contre les moisissures et autres bact ries communes, ce qui en fait leplus important agent de gu rison pr sent dans l huile. Le thymol est le deuxi me ingr dient important le pluactif, utilis galement comme fongicide, et c est le principal agent anti halitose (c'est dire qui lutte contmauvaise haleine) pr sent dans la Listerine.

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Les autres ingr dients servent fournir un appui antibact rien suppl mentaire, pr viennent les dommagecaus s par les radicaux libres, agissent comme bloqueurs d allerg nes, et inhibent la croissance des cellulcanc reuses.

L'huile d'origan contient galement du cuivre, du calcium, de la niacine, du zinc, du bore, du b ta carot ne, dvitamines A, C, et E, du potassium et du fer, parmi d autres. Jean Valnet, dans son livre La Pratique l'Aromath rapie , d crit comment l'huile d'origan a remplac les m dicaments anti inflammatoires pour inverla douleur puis l'inflammation, et est presque aussi puissante que la morphine comme analg sique. Elle poss dun pouvoir antioxydant significatif, et stimule aussi la circulation de la bile dans le foie, ce qui facilitegrandement la digestion.

Le Dr. Cass Ingram a crit un livre intitul Le Traitement est dans l Armoire : Comment Utiliser l'Origan Avoir une Meilleure Sant , il relate sa d couverte de l'huile d'origan qui lui a sauv la vie. Cette "super huilsoutient il, est utile pour calmer ou gu rir plus de 170 affections corporelles diff rentes allant du pied d'athlusqu aux vers, de la diarrh e l' ryth me fessier, d une piq re d abeille l'essoufflement. Tout ceci vous d

maintenant envie d'aller acheter de l'huile d'origan, n'est ce pas ?

Toutefois, avant d'aller en ligne ou dans votre magasin local de plantes m dicinales, assurez vous de faire votrrecherche. Quelle que soit la marque que vous d ciderez d acheter, assurez vous que l'huile contient au moin70% de carvacrol. Il est important de noter que l'huile d'origan n'est pas recommand e pour les personnesallergiques l'origan, au thym, au basilic, la menthe, ou la sauge. L huile d origan peut galement r dl'apport en fer dans le corps, alors vous devriez donc envisager de prendre un bon suppl ment de fer. De ce fait,les femmes enceintes ne doivent pas prendre d'huile d'origan.

La preuve est faite que l'huile d'origan est consid r e de plus en plus comme un antibiotique majeur. Parmi 5

huiles de plantes test es, l'origan a t consid r avoir une action ha mac l gi e contre les microbes ounuisibles communs tels que la Candida albicans (levure), E. coli, Salmonella enterica et Pseudomonasaeruginosa. ( J nal A lied Mic bi l g, volume 86, juin 1999).

Aussi, l'huile d'origan ne doit pas tre confondue avec l'origan commun plac dans l'armoire pices de cuisine, qui est habituellement aussi appel marjolaine plut t que v ritable origan. Ma source favorite d'huild'origan (non dilu e, et qui contient 85% de carvacrol) est celle de Kurt Wilson, le"S i an d Fa e il". Sonsite web est www.se1.us. L huile d'origan de Kurt est de la pure huile essentielle 100%. (Pour la France, vpouvez vous en procurer chez :http://vivrenaturellement.com.) Cela tant, ne la mettez a directement survotre peau ou dans votre bouche. Elle va vous br ler ! Si cela se produit, rincez imm diatement avec un produ

laitier comme le lait, le yogourt ou la cr me glac e. Mais ne vous inqui tez pas, elle ne provoquera pas ddommages permanents.

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Le Pa D A c

Le lapacho est un immense arbre en forme de parasol, feuilles persistantes se trouvant dans les for tstropicales d'Am rique du Sud, en particulier au Paraguay, au Br sil, et en Argentine. La partie m dicinale l'arbre est la paroi interne de l' corce (appel e "le hl me") qui contient des compos s nomm s"na h ha in ne "(ou aussi facteurs N). Le lapacho est plus commun ment connu sous son nom Portugais de"Pa d'A c ".Il est aussi connu sous des noms autochtones tels que" aheeb "et "I e R ".

Partout en Am rique du Sud, des tribus vivant des milliers de miles de distance ont utilis Pau d'Arco, am mes fins m dicinales depuis des milliers d'ann es, que ce soit pour le traitement du paludisme, de la grippedu lupus, pour les probl mes respiratoires, la syphilis, la colite, et les infections fongiques. Il a galement utilis pour soulager les douleurs (arthrite et rhumatisme), tuer les germes, accro tre le flux urinaire, et m mcomme antidote aux poisons et aux morsures de serpent. Enfin, il a t r put pour gu rir divers types dcancers, ce qui a aliment une grande partie de la recherche au d but des ann es 1960.

Les constituants chimiques et ingr dients actifs de Pau d'Arco ont t bien document s, et les chercheurs ontconclu que l'un de ses plus importants composants actifs est le Facteur N"La ach l".Les quercitine, xylo dine,et autres flavono des sont galement pr sents et contribuent sans doute son efficacit dans le traitement destumeurs et des infections. Dans une tude de 1968, le lapachol a d montr une activit tr s importante contreles tumeurs canc reuses chez des rats.

Selon le Dr. Daniel B. Mowry,Une a ie de l'efficaci d la ach (Pa d'A c ) e eni de b e e im le la d c i n de gl b le ge dan la m elle e e. L a gmen a i

de gl b le ge am li e ai la ca aci an e l' g ne d ang. Ceci, n im lica i n im an e la an de i de l' gani me. L l men galemen n ce ade l' g ne a le gl b le ge , e le fe . Cela ai e li e l'a gmen a i n

h a e i e d la ach and il e c mbin a ec le e ba ma , ne a e lan e d'Am i e fe ; en fai , il e ne a i e a ch ne i c n i e e e j c mbine ce de eBien 'il ne fa e a c n d e e la ach i i e de n mb e e de cell le

i , bac ie , cham ign n , a a i e , e d'a e e ce de mic gani me , la b ane en e a c ne ici ignifica i e l ga d de cell le h maine aine .

www.pau d arco.com/Dr.Mowry.html

Le Pau d'Arco est devenu une forme standard de traitement pour certains types de cancer et pour toutes sortesd'infections dans les h pitaux, partout au Br sil, en Argentine, et dans d'autres pays situ s en Am rique du SudSans surprise, l utilisation du Pau d'Arco est toujours consid r e comme du charlatanisme tribal aux EtaUnis.

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Cependant, il est int ressant de noter que Big Pharma passe r guli rement au crible Pau d'Arco pour lpr sence de substances (comme le lapachol) qui pourraient constituer la base pour de nouveaux m dicaments.Bien entendu, une fois que Big Pharma, apr s ses recherches, aura isol puis copi la mati re originale et l abrevet e , elle ne fonctionnerajamai aussi bien que la substance naturelle. En outre, aucun l ment isol duPau d'Arco, n importe quelle dose, ne pourra tre gal l'activit combin e de tous les constituants (pexemple, la plante enti re).

Le Pau d'Arco est disponible dans les magasins d'aliments naturels sous forme de g lules, de comprim s, dsolutions d'alcoolis es, d' corce s ch e, et de th . bien des gards, le Pau d'Arco poss de des propri tstimulantes du syst me immunitaire, parall les celles de l' chinac e et du ginseng. La plupart des informatiocontenues dans cette section ont t recueillies partir d'un article intitul"Dan la l mi e",crit par le Dr.Daniel B. Mowry, et disponible surwww.pau d arco.com/Dr.Mowry.html

Le P bi i e /Le HSO ( OHS)

On croit commun ment que toutes les bact ries sont mauvaises, mais ce n'est pas le cas. La sant gastrointestinale optimale d pend du bon quilibre entre les bact ries b n fiques et les bact ries pathog nes. Quandune maladie survient, elle est g n ralement due au fait que les bact ries b n fiques ont diminu (bien souvenen raison des antibiotiques, d une alimentation riche en sucre, aux st ro des, la chimioth rapie, ou d'autrm dicaments). Il est bien tabli que l'infection et les toxines provenant des bact ries pathog nes, leschampignons, et les virus sont unes des causes de cancer.

Aussi longtemps que les bact ries b n fiques prosp rent, elles emp chent les bact ries pathog nes et leschampignons de coloniser. De cette fa on, les bact ries b n fiques vous aident rester en bonne sant gr ce la stimulation naturelle du syst me immunitaire. Elles produisent des antibiotiques naturels qui inhibent lcroissance et l'activit des bact ries pathog nes, tout en augmentant dans le corps la production d'interf rongamma (une mol cule antivirale importante formul e par les cellules T) et en augmentant galement lproduction d'enzymes telles que les prot ases et des lipases. Cependant, si notre environnement intestinal estperturb , les bact ries pathog nes, les champignons, et les parasites s'y d veloppent, se multiplient, etattaquent les bact ries b n fiques.

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Quiconque a d j subi un traitement par une s rie d'antibiotiques devrait tre inform de ceci. Selon le DJoseph Mercola, "Le An ibi i e d i en le bac ie n male e ec ice de l in ea le e in e inale e a cham ign n de c e de fa n inc n l e. Ce le e ing n en galemen de ine . Cela e c nd i e n d fici imm ni ai e en an le maladie a imm ne, m me a cance ".www.mercola.com

Mais oui. Les antibiotiques ne tuent pas seulement vos ennemis (les mauvaises bact ries), mais ils tuent aussvos gardes du corps (les bonnes bact ries). Lorsque vos gardes du corps sont tendus morts vous n'avez pas ded fense, alors votre digestion en souffrira et ce sera donc votre sant globale qui se d t riorera. Vous voyeznous devrions avoir un solde d'environ 85% de bonnes bact ries et 15% de bact ries nocives dans le tractintestinal. Mais la plupart d'entre nous avons aujourd'hui le ratio inverse, c est la cr ation d'un tat chroniquinsalubre.

Mais les antibiotiques ne sont pas les seuls en cause. Saviez vous que l eau chlor e, non seulement tue lbact ries nocives dans l'eau potable, mais aussi tue les bonnes bact ries dans votre tube digestif en les faisantpasser travers ? Cela n'est pas tonnant que nous soyons malades tout le temps ! Alors, comment pouvez vou

retrouver la sant , reconstituer les bact ries protectrices dans votre intestin ? Les probiotiques et lesOrganismes Hom ostatiques du Sol (HSO OHS)sont un bon d but.

Le bi i e sont des bact ries qui am liorent la sant lors de leur introduction efficace dans le tractusintestinal, ils restaurent les bonnes bact ries, aident le corps dig rer et absorber les aliments, ainsi icombattent en faisant de nombreuses victimes parmi les diff rentes maladies et affections. La plupart desbact ries amies proviennent des lactobacilles ou du groupe des bifidobact ries. En 1908, le professeur EliMetchnikoff a remport un Prix Nobel pour ses travaux sur le syst me immunitaire. Il a plus tard d couvert lactobacille (une des bact ries pr sentes dans le yogourt), et a d clar"la m c mmence dan le c l n

Le O gani me H m a i e d S l (HSO OHS) sont des bact ries b n fiques qui vivent dans la boue.Jusqu'au 19 me si cle, lorsque les aliments transform s ont remplac l'ingestion des fruits crus et des l gumesles HSO ( OHS) constituaient une partie int grante de notre alimentation. Aux environs de 1900, leurpr sence dans la cha ne alimentaire avait s rieusement diminu . Les m thodes agricoles modernes avec letrop grande d pendance sur de puissants pesticides, fongicides, germicides chimiques, et l utilisation de lachaleur la base de la transformation des aliments, sont toxiques pour lesHSO ( OHS).

L'intestin de toute personne en bonne sant contient environ 3 livres (1,60 Kg) de bact ries b n fiques quproduisent des vitamines et des hormones essentielles. Ces bact ries, dont lesHSO ( OHS) sont une sourcevitale qui aident votre syst me digestif dig rer les prot ines, les graisses, et les hydrates de carbone, ainsi qu

d composer les d chets. Plus important encore ils sont en concurrence avec les micro organismes ind sirablecomme les levures, les champignons, les bact ries, et les parasites, afin maintenir leur nombre sous contr le

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Voici quelques uns des bienfaits des probiotiques et desHSO ( OHS) :

Ils stimulent l'activit dans le thymus et la rate, puis maintiennent notre syst me immunitaire un niveauoptimal en incitant l'organisme fabriquer des anticorps naturels. Certaines souches de probiotiques prot gent contre la formation de tumeurs et favorisent la production

d'interf ron (une hormone qui prot ge contre le cancer) la fois par les lymphocytes et le thymus. (Journald'immunoth rapie, 1991; 7:4). LesHSO ( OHS) secr tent des prot ines sp ciales qui stimuleront votre syst me immunitaire pour qu il

produise plus de globules blancs et d anticorps, et cela augmentera de fa on spectaculaire votre immunit . Ils vont tous deux contribuer r duire la quantit de produits chimiques toxiques dans le corps, savoir les

bact ries pathog nes et les champignons qui produisent leurs propres toxines. Les probiotiques et lesHSO ( OHS) font r sulter une abondance de bonne sant dans la flore intestinale, et

cela permettra d'am liorer la digestion des aliments, tout ceci dans un environnement plus alcalin.

Une suppl mentation r guli re en probiotiques et enHSO ( OHS) repeuple votre tractus intestinal avec debonnes bact ries, optimisant ainsi votre syst me immunitaire et tout ceci lutte contre la maladie. Toutealimentation anti cancer devrait voir inclure la suppl mentation avec ces deux l ments l . De loin, le meillprobiotique disponible sur le march aujourd'hui est chez Natren"Heal h T ini ".Vous pouvez l'acheter ici :www.natren.com. Le meilleurHSO ( OHS) que j'ai trouv est appel Primal Defensewww.gardenoflife.com.

P andim ®

Comme nous vieillissons, notre corps devient accabl par les radicaux libres, et ceci est typiquement occasionnpar le stress oxydatif (les dommages cellulaires caus s par les radicaux libres). La plupart des gens croient que lmeilleure fa on de d barrasser l'organisme des radicaux libres et r duire le stress oxydatif est de consommerplus d'antioxydants. Apr s tout, c'est ce que nous avons tous appris, non ? Eh bien, notre corps poss deactuellement un m canisme de loin sup rieur pour se d barrasser du stress oxydatif :d clenche la d c i nde en me c mba an le adica lib e , c nn c mme la e de di m a e (SOD), la cgl a hi n.Ces enzymes ont la puissance d' liminer les radicaux libres beaucoup plus rapidement que lesantioxydants ne peuvent le faire.

Protandim est un m lange unique de phytonutriments (ashwagandha, bacopa, la curcumine, le th vert, et lechardon Marie) qui augmente naturellement la protection antioxydante de l'organisme, en induisant laproduction de ces trois enzymes protecteurs importants.

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Selon le Dr. Joe McCord, Le an i dan dinai e n limi dan le ca aci een d in en deh d d maine an i dan . Le en me de l' gani me, a

limine chac n en i n n milli n de adica lib e a ec nde an e ili . L'a an age dei amine an i dan e e e e hall cinan e .http://matthewneer.com/2010/05/protandimreview

De la perte des couleurs dans les v tements la peinture qui commence s cailler, nous pouvons voir lsignes de quelque chose qui devient de plus en plus vieux. Cependant, nos corps ont aussi des m thodesinternes pour la chronique de l' ge : les substances thiobarbituriques acido r actives ( TBARS ). Les TBARSles toxines pr sentes dans votre sang, produites par les radicaux libres dans vos cellules, et sont essentiellementles "marqueurs de laboratoire" du stress oxydatif dans le corps. La somme de ces TBARS a une corr latiodirecte dans le rythme de la vitesse laquelle vous vieillissez, laquelle nous vieillissons ; ce montant ce sont augmentations des TBARS.

Le Dr. McCord a dirig les essais cliniques de Protandim en mesurant les TBARS chez les hommes et femmes de divers groupes d ges. Le nombre des TBARS dans leur sang tait compatible avec leur ge (pexemple, plus le sujet tait g , plus grand tait le nombre des TBARS dans son sang). Les patients test s o

ensuite pris une pilule de Protandim chaque jour pendant trente jours. Les r sultats ont t remarquables.L' tude a r v l qu apr s seulement 30 jours, les niveaux de TBARS ont diminu en moyenne de 40%, cquivaut l ge d'un jeune de 20 ans !www.raysahelian.com/protandim.html

Le stress oxydatif est un facteur important dans le d veloppement du cancer, et l'association entrel'inflammation chronique et le cancer est bien tablie. Les enzymes anti oxydants de protection (en particulier lSOD) ont t d montr s pour r duire la formation de tumeurs, supprimer la prolif ration cellulaire, et aur duire l'inflammation. Les propri t s de lutte contre le cancer de Protandim n bli danun articled'avril 2009, paru dans une tude effectu e par des chercheurs de la Louisiana State University (Dr. Liu Jianfenet ses coll gues), sur PLoS ONE (www.plosone.org). Protandim est vendu via une commercialisation de

multiples niveaux, mais n ayez aucune crainte. C'est mon avis un tr s bon produit.

Le En me P l i e

La chimie de la digestion est vraiment tr s simple, avec les trois principaux types de nutriments que sont lesprot ines, les glucides, et les graisses. Mais rappelez vous, l'important n'est pas la quantit de nourriture qunous mangeons, mais plut t la quantit de nourriture que nousdig n. Et les enzymes sont les principauxcomposants intervenant dans la digestion des aliments. Comme je l'ai mentionn pr c demment, il y a auss

trois grandes cat gories d'enzymes digestives : les prot ases (pour la digestion des prot ines), les amylases(pour la digestion des glucides), et les lipases (pour la digestion des graisses). Nous dig rons les prot ines enacides amin s, les glucides en glucose et les graisses en acides gras.

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Chaque jour, le pancr as s cr te environ 1,7 litres de suc pancr atique dans l'intestin gr le. Dans ce jus trouvent des enzymes (comprenant les lipases, les prot ases, et les amylases) n cessaires la digestion et l'absorption des aliments. Les lipases, avec la bile, aident dig rer les graisses. Les amylases transformenl'amidon en mol cules de sucres plus absorbable et sont s cr t es par les glandes salivaires, ainsi que par lpancr as. Les prot ases sont s cr t es par le pancr as (trypsine, chymotrypsine, et carboxypeptidase), ellecassent les mol cules des prot ines en acides amin s simples. Il y a aussi deux prot ases base de plantes brom line ( partir des tiges d'ananas) et la papa ne ( partir des papayes pas encore m res).

Examinons de pr s les prot ases produites par notre pancr as, souvent d nomm es enzymes" l i e (digestion des prot ines). Quand un envahisseur" ange "entre dans notre syst me, ce sont nos leucocytesqui m nent la charge de notre r ponse immunitaire. Cependant, les cellules canc reuses sont quip es d urev tement de prot ines qui les rend ind ec able pour les leucocytes, et cela les emp che de d truire lescellules canc reuses. Dans ce sc nario, ne serait il pas logique de disposer de quelque chose qui d pouilleraitrev tement ext rieur des prot ines des cellules canc reuses ?Cela e ai le bien en , bien . Cette id e a faitson chemin en Europe et en Asie depuis pr s d'un demi si cle, o ils ont beaucoup tudi les enzymprot olytiques et fibrinolytiques (d voreuses du tissu cicatriciel) avec succ s contre le cancer. Au d but du livnous avons appris le cas du Dr. William Kelly qui avait re u un traitement base d'enzymes contre le cancer, qua ensuite efficacement utilis sur des dizaines de milliers de patients canc reux.

Les enzymes prot olytiques d truisent les cellules canc reuses en d composant la couche de prot ines situautour de la cellule, puis les leucocytes attaquent les cellules canc reuses restantes et les d truisent.Cependant, quand nous mangeons des aliments riches en prot ines trop cuites, qui ne disposent plus de leursenzymes alimentaires, nos propres enzymes prot olytiques sont appel s dig rer les prot ines. Nous n avonseulement qu une quantit limit e de ces enzymes prot olytiques, et si cette offre est puis e pour dig rer totalit des prot ines pr sentes dans les aliments, alors il ne reste que peu ou pas d enzymes pour briser la

couche de prot ines sur les cellules canc reuses. Ainsi, les cellules commencent se d velopper et multiplier parce que nos leucocytes ne peuvent pas les tuer.

La v rit , c est que le cancer est souvent une maladie du m tabolisme des prot ines, car l'enzyme prot olytiq"d m cani me de l e c n e le cance "peut tre submerg par la consommation d'aliments riches enprot ines des moments inopportuns ou en quantit s excessives. Le corps a besoin d'environ 12 heures chaqueour, sans aucune consommation de prot ines, pour que son m canisme des enzymes qui luttent contre le

cancer puisse fonctionner de mani re optimale.

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Vers l' ge de 30 ans, la production d'enzymes issus de votre corps diminue consid rablement, il est doncessentiel de commencer la suppl mentation imm diatement si vous tes g s de plus de 30 ans. Quelle est lmeilleure enzyme ? Ma femme et moi prenons Vit lzym tous les jours. Vit lzym contient de la serrapeptase, cune enzyme qui est produite dans l'intestin du ver soie pour abattre les parois du cocon. Cette enzyme ser v le tre une excellente alternative aux agents anti inflammatoires non st ro diens (AINS) utiltraditionnellement pour traiter l'arthrite. Cependant, si vous tes un patient canc reux, Wobenzym contientplus de trypsine et de chymotrypsine que n'importe quelle autre enzyme, alors cela pourrait tre le meilleurchoix pour vous. mon avis, vous ne pouvez pas vous tromper avec soit Vit lzym, ou Wobenzym. Vous pouveacheter Vit lzym et Wobenzym chezwww.iherb.com.

Le Re a l

Le resv ratrol est un bioflavono de qui se trouve dans la peau du raisin noir, et qui est produit naturellemenlorsque la plante est attaqu e par des agents pathog nes comme les bact ries ou les champignons. La fonctionpremi re du resv ratrol dans la nature est de prot ger les fruits contre les agents pathog nes, il serait logiqueque cet l ment montre une puissante activit antifongique dans le corps humain, c est ce qu'il fait. Il d truaussi la candida albicans.

Il a t sugg r que le resv ratrol sous tend le ph nom ne connu sous le noma ad e F an ai(le faitinexpliqu que les Fran ais, qui ont un taux de cholest rol identique au reste d'entre nous, ne sont atteints parcontre que par un tiers du taux des maladies cardiaques).P i ?Parce que les Fran ais boivent le vin enprenant les repas, et le vin rouge contient une forte concentration de resv ratrol. L'OMS a sugg r que leresv ratrol pouvait r duire les risques cardio vasculaires jusqu' un taux de 40%, car il bloque les plaquet

collantes , pr vient l'oxydation du LDL, r duit le taux de triglyc rides, et (surtout) r duit la tension art rielled tendant et en dilatant les art res.

Le resv ratrol est totalement non toxique, car apr s l'ingestion orale il est rapidement m tabolis par le foiecoupl une mol cule appel egl c na epour la d toxification, ce qui le rend inoffensif. Toutefois, auniveau tumoral, le resv ratrol est d compress par une enzyme appel e glucuronidase qui d couple glucuronate et le rend disponible pour alle a aillesur les cellules canc reuses.

En avril 2004, des chercheurs de l'Universit Cornell du Weill Medical College ont publi les r sultats d'essaisle cancer du sein et sur les cellules canc reuses du cerveau, dans le J nal de M decine Al e na i eC m l men ai e.

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Dans ces tests, le resv ratrol a t d montr pour induire l'apoptose (mort cellulaire normale) parl'interm diaire du g ne p53 qui r pare l'ADN. Dans des tudes publi es en mars 2004 dans An icance Re ea ch,il tait annonc que le resv ratrol et la curcumine freinent la croissance des cellules tumorales et induisenl'apoptose dans les neuroblastomes (tumeurs c r brales), en activant la voie du g ne p53. Dans des tudes surles neuroblastomes chez la souris, le resv ratrol a stopp la prolif ration cellulaire et a modifi la structucellulaire des tumeurs, conduisant l'apoptose. (Chi gie, juillet 2004).

En plus d induire l'apoptose, le resv ratrol semble tuer les cellules canc reuses en d polarisant (d magn i an)les membranes mitochondriales (la ce d' ne gie) dans les cellules tumorales, ce qui entra ne une diminutiondu potentiel de la cellule fonctionner.Le e a l c n ien ne d aine de m dicamen c n e lele en el en n e l. Il est un autre tueur naturel du cancer envoy par Dieu, et combat le cancer detant de mani res que les chercheurs ne peuvent pas trouver et citer de voies produisant le cancer qu il n inhibpas.

En novembre 2008, les chercheurs du Weill Medical College de l'Universit Cornell ont indiqu que

suppl mentation alimentaire avec le resv ratrol r duit de fa on significative la formation de plaques dans lcerveau des animaux, une composante de la maladie d'Alzheimer et autres maladies neurod g n ratives. Selonl'Universit de B le, le resv ratrol augmente la viabilit des cellules en offrant des effetsne ec e etdes avantages antioxydants en augmentant dans l organisme, la production et l'assimilation du glutathion, le

ma e de an i dan .

L'un des d veloppements les plus int ressants concernant le resv ratrol est venu dans le domaine de larestriction calorique. Des tudes sur des rats d montrent que sur des carences caloriques, il r sulte unelong vit accrue : de 10% 30% de r duction calorique peut presque doubler leur dur e de vie. En 2007,chercheurs de l Harvard Medical School ont indiqu que de fortes doses quotidiennes de resv ratrol pourraien

compenser le r gime alimentaire malsain riche en calories, ce qui aurait le m me effet que la r duction decalories : c est dire une dur e de vie accrue.

Il n'est pas surprenant que le resv ratrol ait galement attir l'attention de plusieurs grandes entreprises BigPharma, qui en sont d j essayer de capturer les avantages d'un m dicament de synth se brevetable etco teux. Ma pr diction : il ne fonctionneraPAS. Toutefois, l'homme essaie de modifier ce que Dieu a fait ettente "d interf rer" sur Sa cr ation, cela ne fonctionnera jamais! Rappelez vous aussi, il est probable que pesticides ajout s ou les fruits g n tiquement modifi s ne produisent pas d'importantes quantit s deresv ratrol, car les besoins du fruit pour se prot ger naturellement contre les attaques pathog nes seraientassur s par ces moyens artificiels.

En r sum , le resv ratrol prot ge non seulement contre les bact ries, les champignons, les levures, et les virumais il combat aussi le cancer, les maladies cardiaques, le diab te, et la maladie d'Alzheimer.

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Et comme si cela ne suffisait pas, il favorise galement la long vit . Biotics Research Corporation vend produit fantastique appel ResveraSirt HP , qui contient 250 mg de resv ratrol avec de la querc tine et de l IC'est le meilleur produit base de resv ratrol que j'ai trouv dans mes recherches. Vous pouvez l'acheter chezwww.bioticsresearch.com.

Le S l ni m

Le s l nium, comme la plupart des aliments sains est quelque chose que beaucoup d'entre nous ne re oiventpas en assez grande quantit . Le s l nium est un min ral et il a t d montr dans de multiples tudes po

tre un outil efficace afin de conjurer diff rents types de cancers, dont ceux du sein, de l' sophage, del'estomac, de la prostate, du foie, et de la vessie. La plupart des Am ricains re oivent moins de la moiti de dose recommand e de deux cents microgrammes par jour, selon la Life Extension Foundation pour lapr vention et le traitement des maladies.

Le s l nium a t initialement utilis en m decine traditionnelle comme traitement contre les pellicules, mnotre compr hension des min raux a consid rablement augment au cours des 20 derni res ann es. Il est lcomposant essentiel d un puissant antioxydant fabriqu par l'organisme. Cet antioxydant nomm glutathionperoxydase, d fend sp cifiquement contre les peroxydes, un type de radial libre qui attaque les graisses.Comme les autres antioxydants, le glutathion peroxydase r duit galement le risque de d velopper un cancerdes maladies cardiaques, et stimule le syst me immunitaire, r pondant aux infections.

Les recherches ont d montr que le s l nium (lien en Anglais :http://www.naturalnews.com/selenium.html), enparticulier lorsqu'il est utilis en conjonction avec les vitamines C, E, et le b ta carot ne (lien en Angla

http://www.naturalnews.com/beta carotene.html), travaille pour bloquer de nombreuses r actions chimiquesqui cr ent des radicaux libres (http://www.naturalnews.com/free_radicals.html) dans l'organisme. Rappelezvous, les radicaux libres peuvent endommager notre ADN cellulaire, ce qui peut ventuellement conduire demaladies d g n ratives comme le cancer. Le s l nium contribue galement pr venir les mol cules Aendommag es, se reproduire et prolif rer, c est un processus appel mitose. En d'autres termes, le s l niuagit pour pr venir le d veloppement des tumeurs."Il c n ib e la m de cell le canc e ecanc e e . Le m emble e d i e a an 'elle ne li en , c n ib an ain i a

'il ne d b e",a d clar le Dr. James Howenstine dans Un Guide du M decin pour des Produits Naturels dSant qui Fonctionnent.

La recherche sur le s l nium, au cours des 20 derni res ann es a t fortement ax e sur une nouvelle forme ds l nium : la m thyls l nocyst ine (MSC). Un compos organique relativement simple du s l nium, le MSform naturellement dans diverses plantes, y compris l'ail, le brocoli, les poireaux sauvages, et les oignons qupoussent sur un sol riche en s l nium. Le MSC est facilement converti en m thyl s l nol par une enzymappel e b ta lyase, qui est largement distribu e dans l'organisme.

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Selon le Dr. Daniel Medina (Baylor College of Medicine D partement de Biologie Mol culaire et Cellulairemethyl s l nol s est r v l tre efficace dans la lutte contre le cancer, sous la forme efficace du s l nium quiles cellules canc reuses par apoptose, qui est la mort programm e des cellules.("Se m h l l n c eine n ea c m la chimi en i n d cance d ein".Nutrition & Cancer 2001, 40:12 17.) Le Meths l nol est galement connu pour inhiber l'angiogen se (cr ation de nouveaux vaisseaux sanguins) a l origides tumeurs canc reuses, et repr sente la plus s re, ainsi que la plus efficace forme anticanc reuse de s l niumdisponible aujourd'hui.

La plus importante tude en aveugle faite sur le s l nium et le cancer est une intervention r alis e en doublaveugle, elle fut men e par le Dr. L.C. Clark (et ses coll gues) de l'Universit de l'Arizona Cancer Center. Qutous les r sultats furent compil s, il est alors devenu clair que le groupe trait au s l nium avait d velopppr s de 66%, moins de cancers de la prostate, 50% en moins de cancers colorectaux, et environ 40% en moins cancers du poumon par rapport au groupe ayant re u le placebo.

La prise de suppl ments contenant du s l nium, m me sous la forme s re de MSC, doit tre limit e de 200400 mcg par jour pour une s curit maximale. J'ai entendu parler de m decins traitant le cancer de fa o

alternative, utilisant jusqu' 2000 mcg par jour, mais cette dose n'est pas recommand e si vous n' tes pas sousla supervision d'un m decin, car des doses sup rieures 850 mcg de s l nium par jour sont connues poentra ner une toxicit due l exc s de s l nium.

Quelques meilleures sources naturelles de s l nium sont les noix du Br sil, l'ail, le brocoli, et les choux Bruxelles. Tous ces aliments contiennent du s l nium sous la forme de MSC. Bien que l'ail poss de la plgrande concentration en MSC, vous n tes pas susceptibles de manger suffisamment de ce dernier pourproduire les r sultats escompt s, aussi les noix du Br sil, le brocoli, et les choux de Bruxelles sont vos meilleuchoix.

La Vi amine D

La lumi re ultraviolette provenant du soleil arrive sur deux longueurs d'ondes les ultraviolets A ("UVA") et ultraviolets B ("UVB"). Pensez aux UVA comme tant un m chant homme , et aux UVB comme tant le gars , car les UVA p n trent plus profond ment dans la peau et provoquent davantage de dommages causedes radicaux libres, tandis que les UVB aident votre peau produire de la vitamine D. Techniquement parlant, vitamine D n'est pas vraiment une vitamine en soi, mais serait plus convenablement class e dans la cat gorie

h m ne .Peu importe, la vitamine D a galement t d montr e avoir un r le essentiel dans l

pr vention du cancer. Les m canismes par lesquels la vitamine D r duit le risque de cancer sont assez biecompris. Ils comprennent l'am lioration de l'absorption du calcium, induisant la diff renciation cellulaire, progression de l'apoptose (mort cellulaire programm e), la r duction de la prolif ration des m tastases, et lar duction de l'angiogen se (formation de nouveaux vaisseaux sanguins).

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Alors, o puis je acheter les meilleurs suppl ments de vitamine D ? La v rit est dit on, qu une suppl menten vitamine D est virtuellement sans valeur. Voici pourquoi : La vitamine D pr sente dans le lait et dans plupart des suppl ments de vitamines est la vitamine D2 et est synth tique. La vitamine D2 est aussi appel"e g calcif l". Ce n'est a la forme de vitamine D dont vous avez besoin pour pr venir le cancer et lesmaladies d g n ratives. La forme de vitamine D dont vous avez besoin est la vitamine D3 (autrement dit "ch l calcif l") et elle est produite partir des rayons UVB du Soleil. C'est pourquoi je cite fr quemment lumi re du Soleil comme tant"l l men n i if le l ab dable d m nde c mba e le cancPensezy, vous pouvez obtenir un approvisionnementGRATUIT vie !

Le leil a e !i e le cance de ea ! Main ene ce b n a ail, B dd .

U ili e l de c me lai e !

Merci Mike Adams t www.NaturalNews.com pour la caricature ci dessus.

Ne tombez pas dans le pi ge du"m he de la c me lai e". Malgr ce que nous entendons de la MafiaM dicale, la lumi re du soleil est r ellement b n fique pour vous (en particulier les rayons UVB), et les filchimiques des cr mes solaires bloquent les UVB ! Les principaux agents chimiques utilis s dans les cr msolaires pour bloquer les rayons UVB sont les octylm thoxycinnamates (alias MOC ), qui ont t impliqpour tuer des cellules de souris, m me faibles doses. De plus, ils ont galement t reconnus particuli remetoxiques lorsqu'ils sont expos s la lumi re de Soleil. Et devinez quoi ?Le MOC e en dan 90% ma e de c me de ec i n lai e !

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Les marques les plus populaires de cr mes solaires contiennent galement d'autres produits chimiquestoxiques (comme ledi ben ne et l' ben ne) qui sont absorb s par la peau, o ils p n trent ainsi dans lacirculation sanguine, donnant naissance des radicaux libres, lesquels vont exercer des ravages sur le syst meimmunitaire, endommageant le foie et le c ur, pouvant m me favoriser un cancer g n ralis .

La dur e n cessaire d exposition au soleil se situe selon toute probabilit entre 15 et 30 minutes par jour. moment optimal pour que les UVB produisent la vitamine D est situ aux alentours du milieu de la journ e, l le ratio des UVB sur les UVA est le plus lev , et o les temps d'exposition requis sont les plus courts. Toutefocela ne fonctionne que lorsque le soleil est assez lev . Pendant les mois d'hiver, il est souvent impossible deproduire toute la vitamine D issue de la lumi re du Soleil, cela d pend si vous vivez plus ou moins loin du Nord

Mais vous ne voulezPAS br ler ! Si vous tes expos la lumi re du Soleil pendant de longues p riodes, voaurez besoin de prot ger votre peau des br lures. Le gel d'alo v ra est un cran solaire naturel (si vous avez lpeau sensible), et il aide aussi gu rir les coups de soleil. Nous utilisonsLa C me S lai e Na elle a Th du Dr. Mercola, si nous nous exposons au soleil pendant de longues p riodes.

Toutefois, lorsque la lumi re du Soleil (et plus pr cis ment les UVB) n'est pas disponible, il existe une excellesource de vitamine D qui fournira galement les bienfaits des om ga 3, les acides gras DHA et EPA (qui jouun r le essentiel dans la pr vention des maladies cardiaques, du cancer, et de nombreuses autres maladies),c est l huile de foie de morue. Celle disposant de la plus haute qualit , du meilleur go t, et du meilleur prix 'ai trouv e, est l huile de foie de morue Carlson, elle est disponible chezwww.iherb.com.

Vous devez tre prudent lorsque vous utilisez l'huile de foie de morue, car il existe une possibilit de surdosavec la vitamine D. Pour cette raison, l'huile de foie de morue doit seulement tre consomm e durant les moisfroids de l ann e, moins que vous puissiez tester votre taux de vitamine D afin de vous assurer qu'il n est p

trop lev . Par temps chaud, la plupart des gens disposent d assez de vitamine D provenant du Soleil, il ne fadonc pas prendre d'huile de foie de morue pendant les mois d' t .

Des chercheurs en Belgique ont semble t il t les premiers d montrer que la vitamine D diminue la prot inr active (CRP), qui constitue chez les grands malades, une mesure du niveau de l'inflammation dans le corps. Cniveau en CRP est lev quand il y a une inflammation dans le corps, et une inflammation chronique est ufacteur de risque pour un certain nombre de conditions, y compris les maladies coronariennes, le diab te, et lecancer.

L Ea Bien qu'elle conclue pratiquement le chapitre, l'eau est probablement le sujet le plus important. Sans nourriture,la plupart des humains d c dent en un mois. Sans eau, nous sommes morts en moins de dix jours.

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L'eau repr sente plus de 70% du corps, environ 90% du sang, et environ 85% du cerveau. Le probl me aveplupart d'entre nous c est qu il nous est vendu toute une addition de marchandises lorsque vous avez soivous buvez un soda, ou encore la derni re boisson sport (pleines craquer de sucre, soit dit en passant). LeAm ricains boivent du caf , des sodas, de la bi re, et toute chose pour laquelle nous avons subi uconditionnement d achat, mais la plupart d'entre nous oublie de boire suffisammentd'ea .

Beaucoup de gens boivent de l'eau distill e ou osmos e, mais mon avis ces eaux sont mortes. Oui la plupardes produits chimiques toxiques ont t enlev s, mais les min raux alcalins et l'oxyg ne sont manquant

galement Notamment dans le cas de l'eau distill e, car elle est"acide".Ma famille et moi m me buvons del eau du robinet qui a t filtr e avec notre filtre eau Big Berkey, qui filtre le plomb, l'arsenic, le chlore, le fetc... Tout ce qui reste est de l'eau pure. Nous avions l'habitude de boire de l'eau en bouteilles, mais la lixiviationdu plastique est pour nous une pr occupation, alors nous sommes pass s l'eau filtr e.

Si vous avez soif, cela signifie que vos cellules sont d j d shydrat es. Avoir la bouche s che, cela doit consid r comme le dernier signe ext rieur de la d shydratation. C'est parce que la soif ne se manifeste pastant que les liquides corporels ne sont pas appauvris au dessous des niveaux requis pour le fonctionnement

optimal. Quelques statistiques montrent que jusqu' 90% d'entre nous se prom nent dans un tat ded shydratation chronique. Une fa on de dire si vous tes d shydrat , c est de v rifier la couleur de l'urine. Si est fonc e tout le temps, vous tes probablement d shydrat .

Les m decins font rarement la promotion des propri t s curatives de l'eau, mais le dernier l avoir fait, le DFereydoon Batmanghelidj, (alias "Dr. Batman") a tudi les effets de l'eau sur le corps humain et a jug qu'el

tait l'un des meilleurs analg siques et m dicaments de th rapie pr ventive. Son travail de pionnier montre qula d shydratation chronique non intentionnelle (UCD), contribue, et va m me jusqu provoquer des douleuainsi que de nombreuses maladies d g n ratives qui pourraient tre pr venues et trait es en augmentantl'apport en eau.

Le Dr. Batman est n en Iran en 1931, et il a pratiqu la m decine au Royaume Uni avant de retourner en Iranil a jou un r le cl dans le d veloppement des h pitaux et des centres m dicaux. Lorsque la R volutiIranienne a clat , en 1979, le Dr. Batman a t incarc r dans la tristement c l bre prison d'Evin, en tant d tenu politique durant trente et un mois. C est l qu'il a d couvert les vertus curatives de l'eau. Une nuit, le DBatman avait traiter un co d tenu pr sentant un ulc re gastro duod nal paralysant, cause de la douleur. l'absence de m dicaments sa disposition, le Dr. Batman lui donna deux verres d'eau. En quelques minutes, ldouleur dont son patient tait victime a compl tement disparu. Il avait re u ensuite les instructions de boiredeux verres d'eau toutes les trois heures, et est devenu absolument exempt de douleur durant les quatre autresmois pass s la maison d arr t. En prison, le Dr. Batman a trait avec succ s, plus de 3.000 co d tenus

souffraient d ulc res gastro duod naux d s au stress, avecni emen de l'ea.

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En prison, il a men des recherches intensives sur les effets m dicinaux de l'eau pour pr venir puis soulager lnombreuses et douloureuses maladies d g n ratives. La prison d'Evin s av rait tre un"lab a i e de eid al", et au lieu d avoir accept une lib ration anticip e, le Dr. Batman a choisi de rester quatre mosuppl mentaires en prison pour terminer ses recherches sur la relation entre la d shydratation et lessaignements caus s par l ulc re gastro duod nal. Le rapport de ses conclusions a t publi en tant qu' ditodu J nal f Clinical Ga en e l gen juin 1983.

A sa sortie de prison en 1982, le Dr. Batman a fui l'Iran et est venu en Am rique. Il a crit en 1992 son lnovateur, Votre Corps R clame de l'Eau : Effets M connus de la D shydratation, qui a t traduit en 15 langueset continue d'inspirer les lecteurs du monde entier. Dans son livre, il a d clar que la bouche s che n'est pas uindicateur fiable de la d shydratation. L'organisme signale sa p nurie d'eau par le d clanchement de douleursLa d shydratation produit effectivement des douleurs, ainsi que de nombreuses maladies d g n ratives, ycompris l'asthme, l'arthrite, l'hypertension, l'angine, le diab te de l'adulte, le lupus, et la scl rose en plaques.

Le message du Dr. Batman au monde est"V n' e a malade , a e if. Ne ai e a la m dicamen ". Pour en savoir plus, allez sur le sitewww.watercure.com.

Le Z li e

Les z olites (ou z olithes) sont des min raux volcaniques naturels ayant une structure cristalline complexe eunique. En g n ral, les z olites ont t utilis es depuis pr s de 1.000 ann es comme rem de traditionnel datoute l'Asie, pour promouvoir la sant globale et le bien tre. Une propri t tonnante des z olites, c'est que cadre de leurs cavit s en forme de nid d'abeilles et canaux (en forme de cages), travaillent au niveau cellulairedans le domaine du pi geage des m taux lourds et des toxines. Comme vous le savez, des toxines et despoisons sont pr sents dans notre air, notre eau, notre nourriture, et notre corps. Selon l'EPA, 80.000 produitschimiques sont commercialement utilis s aux Etats Unis, et 75.000 d'entre eux sont potentiellement dangereuxpour notre sant . L Environmental Defense Council relat que plus de quatre milliards de livres de produchimiques toxiques sont lib r s dans l'environnement chaque ann e, dont 72 millions de livres d agencanc rig nes connus.

Les z olites font partie des rares min raux charge n gative pr sents dans la nature. Fondamentalement, ilagissent comme des aimants, attirant les m taux lourds et les toxines charge positive, les capturant et les

liminant du corps. Ils constituent un moyen extr mement efficace en tant qu agent ch lateur.

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Voici comment : Au sein de la structure des z olites, il existe descage situ es l'int rieur qui sont des ionspositifs. Les ions positifs changent de place avec les m taux lourds, les pesticides, ou les herbicides, qui sonaussi des ions positifs, puis la structure en cage des z olites se lie troitement avec eux. L incroyable qualit ces effets de cage lian e fait que les toxines et les m taux lourds sont 100% limin s. En d'autres termes, ne sont pas d l cali dans un autre endroit du corps, ils sont r ellement expuls s !

Les z olites sont efficaces contre les micro organismes difficiles tels que les bacilles, les champignons, moisissures, les staphylocoques, et les streptocoques. Elles fonctionnent comme agent antiviral large spectre,aident quilibrer les niveaux du pH dans l'organisme, r duisent les r actions allergiques, ch latent les m talourds, neutralisent les acides, augmentent les niveaux d'oxyg ne, repoussent les micro organismes, etsoutiennent le fonctionnement du syst me immunitaire. Deux des meilleures z olites sont les produits Super ZLite™ et Natural Cellular Defense (NCD™).

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C 13La Sale D aine

L e a e ce e le a che d , ebablemen le chemin menan a e d Pa adi .

D . William Ca elli

M es deux derniers chapitres ont d crit quels taient les plantes, les aliments, et les suppl ments que vousdevriez consommer. Maintenant, il va s agir de ce que vous devriez i e. J'ai nomm ce chapitre la aled aine, parce qu'il d taille les douze aliments/toxines qui peuvent poser de graves probl mes pour la sants'ils sont consomm s ou ing r s r guli rement. En fait, quelques uns d'entre eux peuvent entra ner de gravprobl mes, m me s ils ne sont seulement consomm s ou ing r s qu occasionnellement.

Est il possible d' liminer compl tement ces substances ? Probablement pas, mais au moins vous serez informsur celles qui sont les pires, puisque l alimentation et les toxines font partie int grante de l' quation du cancerEn fait, un r cent rapport de la Facult de Sant Publique de l'Universit de Columbia, estime que95% decance n ca a le gime alimen ai e e la ici en i nnemen ale.

Voici quelques statistiques des plus tonnantes :

Il y a plus de 80.000 substances chimiques produites en Am rique du Nord. Il y a plus de 3.000 produits chimiques ajout s notre alimentation. Il y a plus de 10.000 solvants chimiques, mulsifiants, et conservateurs utilis s dans la transformation des

aliments. Il y a plus de 1.000 nouveaux produits chimiques introduits chaque ann e.

Ce chapitre est un v ritable "buffet" d aliments, de toxines, et de poisons viter comme la peste si vous aveun cancer ! La premi re section est intitul e Le Alimen F anken(pour d crire les aliments du genre

Frankenstein ) et la derni re section est intitul e"Le E an able T ine ".

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Le Alimen F anken

Cette section est intitul e Le Alimen F anken parce que comme vous le remarquerez, tous les aliments ontt alt r s par rapport leur tat naturel ou ils contiennent des ingr dients qui ont t alt r s. Les 5 alime

ou ingr dients alimentaires d crits dans le pr sent article n ont pas seulement peu de valeur nutritive, mais i

donnent aussi votre corps une robuste (ou serait elle plut t insalubre ) dose de toxines canc rig nes, ce qdevrait rendre l'id e de les manger vraiment difficile a ale.

1. Le Fa e G ai e (Le G ai e T an & Le H ile H d g n

Les Graisses Trans sont des graisses transform es, fabriqu es, en poussant de l'hydrog ne dans des huilv g tales pour produire une graisse solide, d'o elles sont galement appel es huilesh d g n e ou

a iellemen h d g n e. Les graisses trans sont les aliments frits, les margarines, les produits dboulangerie, les collations emball es, les biscuits, les cookies, les p tes tartes, et les beignets. M me "sainsles muffins faible teneur en mati res grasses et les c r ales peuvent contenir des graisses trans. Le probl m

est que les graisses trans sont mauvaises pour nous, m me en quantit s infimes. Les recherches ond montr qu'elles sont impliqu es dans l augmentation des maladies cardiaques, les taux de cholest rol, etoui, lecance .

Selon le Dr. Brian Olshansky, professeur de m decine interne l'Universit d'Iowa,"Le bl me a ec le acideg a an , c'e e e c ne ai a i fai e a ec e . Le acide g a an ele alimen , de e 'il n b n g , mai e c ne e le d c m e e le ilig ai e n male n le e fle ible , mai le acide g a an n de g ai

'acc m le dan le c e c e le cha . La ece e chimi e d' n acide g a an c n i e d'h d g ne a ma ai end i . C'e c mme fab i e ne ma i e la i e".www.psa rising.com/eatingwell/transfats092003.htm

Afin de produire en masse et de distribuer des aliments riches en huiles, les fabricants de produits alimentairesont d lib r ment modifi la composition chimique des huiles, ce qui leur donne une plus longue "dur e dconservation". Un autre probl me merge avec de nombreux aliments transform s, c'est qu'ils ne sont passeulement irradi s, mais ils sont fabriqu s avec des nourritures g n tiquement modifi es. Si nous regardons lecroustilles de ma s, nous voyons un produit qui est probablement base de ma s g n tiquement modifi , putransform en acides gras trans , puis irradi . Apr s tout cela, les croustilles sont emball es dans un sac qrevendique "En i emen Na el". Mais ne vous y trompez pas il n'y a rien de naturel propos descroustilles de ma s frits.

Dans les ann es 1950, la Dre. Johanna Budwig a prouv que ces produits chimiquement modifi s, les graisshydrog n es (selon ses termes, les "pseudo" graisses) d truisent les membranes cellulaires. Elle a d montrque ces graisses ainsi que ces huiles trait es, hydrog n es, ferment le champ lectrique des cellules et nourendent sensibles aux maladies chroniques et terminales.

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La r alit : All natural (Enti rement naturel) pr tendu ici sur ce produit alimentaire

est d nu de sens. D couvrez les r alit s :www.HonestFoodGuide.org Merci Mike Adams et www.NaturalNews.com pour la caricature ci dessus.

Dans les graisses saines, il y a un nuage vital d' lectrons qui permet la graisse de se lier l'oxyg ne. Lgraisses oxyg n es saines sont capables de se lier aux prot ines, et dans ce processus, elles deviennenthydrosolubles. Cette hydrosolubilit est vitale pour tous les processus de croissance, la restauration des cellulesendommag es, le renouvellement cellulaire, le cerveau, les fonctions nerveuses de base et sensorielles, ainsique la valorisation de l nergie.

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En fait, tout le potentiel de notre production d' nergie est bas sur le m tabolisme lipidique. L'hydrog nationd truit le nuage vital d' lectrons, et par cons quent, ces "pseudo" graisses ne peuvent plus se lier l'oxyg neou avec les prot ines. Ces graisses se retrouvent perturber la circulation sanguine, endommageant le c ur,inhibant le renouvellement cellulaire, et emp chant la libre circulation du sang ainsi que celle de la lymphe.

Trois des aliments les plus populaires qui contiennent des graisses trans , sont les beignets (donuts), les friteFran aises, et les chips de pommes de terre. Les beignets ne sont que de grosses boules de sucre, de graissestrans , et de farine blanche. Ils n'onta c ne ale n i i e. La plupart des frites Fran aises et des chips onttellement t tremp es dans les graisses trans , qu il n existe pratiquement pas de valeur nutritive en elCertaines entreprises ont essay de les rendre plus saines en liminant les graisses trans , mais tous beignets, les chips, et les frites sont cuits dans de l'huile (quel que soit le type d'huile), et de ce fait, contiennentdes acrylamides canc rig nes.

Ce produit chimique, l'acrylamide, est utilis industriellement pour la fabrication de certains plastiques, et esgalement form par l' chauffement de l amidon. Et devinez quoi les trois aliments qui ont des niveaux

particuli rement lev s en ac lamide sont les beignets, les frites Fran aises, et les chips de pommes de terre.

Les acrylamides ne sont autoris s par l EPA, que dans l eau potable, et un niveau de 0,12 microgrammesportion de repas. Fait alarmant signaler, une portion de six onces (170 grammes) de frites Fran aises, servidans votre fast food local, contient entre 50 et 70 microgrammes d'acrylamides. C'est entre400 e 600 f i lalimite fix e par l EPA ! J'ai entendu dire par de nombreux m decins, que les frites Fran aises sont pires pourvotre sant que la cigarette. Je suis d'accord.

Compte tenu du fait qu'il ait t d montr qu'elles causent tant de probl mes de sant , pourquoi les fabricantsde produits alimentaires continuent ils utiliser les graisses trans ? La r ponse est simple et claire : causel'a gen . Les graisses trans prolongent grandement la dur e de conservation des aliments transform s.

2. Le S c e, le Si , & le S da

J'ai d cid de combiner ces 3 points, car ils marchent typiquement "main dans la main", dans notre soci t de "Grosse D glutition". En d pit de ce que vous entendez de la part de l industrie sucri re et de ses efforts pouemp cher la diffusion de l'information, la relation est exacte, les sucres raffin s contribuent la maladichronique. Le sucre, le sirop de ma s haute teneur en fructose (HFCS), et les sodas, sont tous "rejeter de laliste" si vous voulez obtenir une sant optimale.

Rappelez vous, les cellules canc reuses se d veloppent par la respiration ana robie. En d'autres termes, elle

font fermenter le sucre. Si vous avez d j fait du vin, vous savez que la fermentation n cessite du sucre. Il exisde nombreuses th rapies nutritionnelles du cancer, mais pas une seule n autorise des aliments riches enhydrates de carbone, et pas une seule ne permet le sucre, parce que le c e n i le cell le canc e e.

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Au cours de ma vie, le HFCS est sorti des tag res de nos aliments par le refus. Il serait pr sent (si on n y pregarde) dans presque tout ce que nous mangeons aujourd'hui, y compris les pains, les sucreries, les sodas, legruau, la sauce barbecue, le ketchup, les gel es, la confiture, le yaourt, le chocolat au lait, les pop tarts (biscuitsucr s), et les c r ales, pour n'en nommer que quelques uns. Mais le HFCS n est il pas une alternative sainesucre ? Eh bien, en un mot, non . Il y a quelques mois, je me souviens avoir vu des publicit s au sujet du HFle message essentiel tait que les HFCS sont labor s partir du ma s, n incorporent pas d ingr dients artifiont la m me teneur en calories que le sucre, et sont OK manger. Les annonces n ont pas de prix dans leupr sentation totalement inexacte des faits, et dans leur manque total de respect pour le QI de l'auditoire.

La v rit est que les HFCS n'existent r ellement nulle part dans la nature. Ils sont cr s, produits, et fabriqu sutilisant des enzymes (deux naturelles, et une de synth se) pour augmenter la teneur en fructose du sirop dema s, environ 90%. Ce super HFCS est ensuite "dilu " avec 100% de sirop de glucose de ma s, et ajoutaliments. Lorsque le HFCS est ing r , il se rend directement dans le foie, qui transforme le liquide sucr graisses. Selon l'USDA, le HFCS puise le corps en chrome, ce dernier est important pour aider le glucosepasser depuis la circulation sanguine jusque dans les cellules. Cet appauvrissement en chrome en combinaisonavec un pancr as surmen se traduit souvent par le diab te.

Mais les HFCS ne sont ils pas fabriqu s partir de ma s ? Oui, c'est absolument vrai que les HFCS sont labbase de ma s, mais cela ne signifie rien. Le biodiesel est aussi issu partir du ma s, mais vous ne voudriezmanger du biodiesel ! L'essentiel, ce n est pas parce qu un compos naturel est utilis au d part, qu usubstance finale se retrouve automatiquement sans danger, parce qu elle est d riv e de la premi re qui estsaine. Pensons cela pendant un instant. De quoi donc les leveurs se servent ils pour nourrir les vaches, quanils tiennent les engraisser pour les envoyer au march ? Du ma s bien s r ! Donc, si vous voulez ressemblune vache, tout ce que vous avez faire est de manger beaucoup de ma s, sans oublier les sous produits qui en

sont d riv s, et qui comprennent les HFCS.

Et pour ne rien arranger, deux tudes distinctes l'une publi e dans le J nal f En i nmen al Heal h,et l'autremen e par l'Institute for Agriculture and Trade Policy (IATP) ont r cemment r v l le fait que les HFCS peu

galement contenir du mercure. "Mai i m n m decin me m a il a mi en ga de c n e Rappelez vous, il n'y a pas encore si longtemps, lorsque les m decins taient r mun r s par les compagnies cigarettes, ils approuvaient effectivement les cigarettes. Il ne s'agit donc vraiment pas d une surprise, qu'ilexiste certains m decins qui se retrouvent d sempar s devant les dangers des HFCS, malgr le fait que c'est lsens fondamentalement commun toute personne qui a au moins la moiti d'un cerveau, et qui a pass plus dequelques minutes tudier la question.

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Une canette de soda contient presque 13 cuill res caf de sucres, la plupart est constitu de fructose obtenu partir du HFCS. Une autre raison d' viter les sodas gaz ifi s, c'est que leur pH est d'environ 2.0, ce qcontribuera un terrain tr s acide. Selon le Dr. James Howenstine, dans son livre Le Guide d'un M decin sur Produits Naturels de Sant qui Fonctionnent : L d ne e ience in e an e an d d' ne b i n ga e e, n a c n a e le d mmage ca a gl b le blanc , le ca a

e le bac ie g n c cci e endan e he e Le b i n c e c n iennen galan i de h h e, i, l 'il e e c , e le calci m de . Le g and c n mmc e ff i n d' e, en m me em e le a e e n end mmag e.

En 1951, le Dr. Clive McCay, un nutritionniste de la Marine l Institut de Recherche M dicale Navale, a d coque les dents humaines ont ramolli et ont commenc se dissoudre dans un court laps de temps apr s avoir td pos es dans une tasse de Coca Cola. Il a d clar que l'acidit des boissons au cola est approximativeme

quivalente celle du vinaigre, seulement elle est masqu e par la teneur en sucre. Peut tre est ce pour ceque les sodas sont galement appel s boissonsd ce parce qu'ils adoucissent les dents, et les os!!

Et si vous pensez que les sodas di t tiques sont meilleurs, d trompez vous. Les sodas di t tiques titrent un pg n ralement encore plus bas que les sodas classiques, et ils contiennent galement des dulcorants artificielsnocifs tels que l'aspartame. Si vous voulez adoucir les aliments, je vous recommande la e ia, qui est une herbetrois cents fois plus douce que le sucre. Ses usages m dicinaux comprennent la r gulation du taux de sucre danle sang, la pr vention de l'hypertension, le traitement des affections de la peau, et la pr vention de la cariedentaire. D'autres tudes montrent qu'elle est galement un agent naturel antibact rien et antiviral. De cettefa on, tandis qu'elle rendra votre nourriture savoureuse, la st via sera aussi r ellement bonne pour vous !

Pour les patients atteints d un cancer, le sucre est un Non non! d termin . Si vous d testez votre cancer, allaissez le mourir de faim. Si vous buvez r guli rement des sodas, essayez de boire de l'eau la placL' limination du sucre, du HFCS, et des sodas de votre r gime alimentaire, constitue un des moyens les pl

simples d'am liorer imm diatement votre sant .

3. Le E ci ine (Le GMS & l A a ame)

Qu'est ce qu'une excitotoxine ? Ce sont des substances, des acides amin s en g n ral, qui r agissent avec der cepteurs sp cialis s (neurones) dans le cerveau, de telle fa on qu elles conduisent la destruction dcertaines cat gories de cellules c r brales. Les tres humains manquent d'une barri re sang cerveau danl'hypothalamus, ce qui permet aux excitotoxines d'entrer dans le cerveau et de causer des dommages. Il suffitde dire, comme cela est d crit dans le livre du Dr. Russell Blaylock, Les Excitotoxines : Le Go t qui Tue, elles sontexactement comme leur nom l indique :le ine i e ci en cell le c b ale j la m

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Aucune souche de rats ou de souris n est naturellement ob se, si les chercheurs devaient en cr er une, ilferaient ces cr atures souffrant d'ob sit morbide en leur injectant du GMS (Glutamate Mono Sodique) d s leunaissance. Le GMS triple la quantit d'insuline cr e par le pancr as, les rats ainsi trait s deviennent ob ses.GMS cr e une l sion dans l'hypothalamus, ce qui met ceci en corr lation avec un d veloppement anormanotamment l'ob sit , une petite taille, et des probl mes dans la reproduction sexu e. Il a galement td montr que le GMS tue des cellules c r brales, provoque des naus es, des vomissements, des migraines, d pression, et des probl mes cardiaques. Malheureusement, le GMS est souvent d guis sous d'autresappellations, ainsi il peut ne pas vous tre possible de le d tecter dans une liste d'ingr dients.

Quelques synonymes du GMS sont,"Gl ama e, P ine Te e " ou "Acide Gl ami e, E ai de Le ou"N imen de Le e, G la ine" ou "P ine V g ale H d l e". Le GMS se dissimule sous de nombreux nomsdiff rents dans le but de tromper ceux qui le connaisse sous une seule d nomination. Les entreprisesalimentaires industrielles ont appris que le GMS peut augmenter la saveur, l'ar me, et am liorer l'acceptabilitdes produits alimentaires commerciaux, ainsi il est donc douteux qu'ils n aient jamais cess d'utiliser cet additueur de cerveau dans notre r serve alimentaire. Faites un rapide tour dans votre cuisine, v rifiez le contenu dugarde manger et du r frig rateur. Vous vous rendrez compte que le GMS est pr sent partout : Dans les potagesles chips, le r men (un mets Asiatique constitu de p tes, dans un bouillon de diff rentes saveurs), lhamburger helper, les sauces en g n ral, et en particulier les sauces salades, l'huile de ma s, les bouillons, ainsi de suite.

L a a ame fait galement partie des excitotoxines, et il a t reconnu pour roder l'intelligence, puis affecterla m moire court terme. Croyez le ou non, l'aspartame a t une fois pr sent sur une liste du Pentagonsoumise au Congr s, en tant que produit chimique de guerre biologique ! Il est fabriqu partir de deux acideamin s et de m thanol (alcool de bois). Bien que les tudes et les tests aient d montr qu'il soit extr mementoxique pour le cerveau, le gouvernement a supprim cette mise en garde, et il a t officiellement approuvcomme additif alimentaire pour une utilisation dans les boissons gazeuses en 1983. La FDA a ignor les plaint

suites aux maux de t te, aux tourdissements, aux naus es, aux vomissements, aux convulsions, auxtremblements, aux troubles de la vision, et la multitude d'autres r actions n gatives l'aspartame.

Il y a quelques ann es, nous avons regard un documentaire sur l'aspartame intitul S ee Mi e (DMi e). Ce fut inou et inqui tant. Vous pouvez voir la bande annonce, et galement prendre connaissancedes cinq premi res minutes du film, ici :http://aspartamekills.com. Plus loin dans le livre, un chapitre entier estconsacr exposer les fraudes entourant l'aspartame.

4. BGH & Ni a e de S di m

En 1994, Monsanto et la FDA ont pr sent la rBGH (hormone de croissance recombinante bovine) sur le marchIl s'agit d'un puissant m dicament g n tiquement modifi qui, une fois qu il sera inject aux vaches laiti res,obligera produire jusqu' 25% de lait en plus. Toutefois, quand une vache re oit une injection de rBGHproduction de lait est stimul e, mais pas directement. La pr sence de rBGH dans le sang de la vache, stimule production d'une autre hormone appel e Insulin Like Growth Factor (IGF). C est l'IGF qui stimule la producde lait.

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L IGF est une hormone prot ine naturelle, pr sente la fois chez la vache et chez l homme. De nombreutudes ont montr que l'IGF chez les vaches est chimiquement identique l'IGF pr sente chez les humain

L utilisation de rBGH fait augmenter les niveaux en IGF dans le lait de vache, et l'IGF n'esta d truite par lapasteurisation. Depuis que l'IGF est active chez l'homme et provoque la division cellulaire, une augmentationdes niveaux d'IGF dans le lait soul ve des questions videntes, quant savoir si elle cause des croissances et ddivisions cellulaires inappropri es, conduisant la croissance des tumeurs.

Depuis l mergence de la rBGH sur le march , en 1994, le a ind iali dan le m nde enl e ce i n de E a Uni d Am i e) n in e di le ec la BGH. Le fait est que la rBGH n'a jamais tcorrectement test e avant que la FDA n ait autoris sa mise en place sur le march . Un test standard denouveaux produits biochimiquement fabriqu s et des m dicaments v t rinaires exige 24 mois d'essais, et cesur plusieurs centaines de rats. Mais la rBGH n a t test e que pendant 90 jours, et sur 30 rats. Cette tudecourt terme chez le rat a t soumise la FDA, mais n a jamais t publi e. La FDA a refus d'autoquiconque, en dehors de cet organisme, examiner les donn es brutes de cette tude tronqu e, affirmant quecela n i ai i a ablemen Monsanto.

En f vrier 1997, deux reporters exp riment s de Fox TV, Tampa, en Floride, ont t licenci s pour avoir rede tronquer un rapport d'enqu te, et ont affirm que la rBGH peut favoriser le cancer chez les humains quiboivent du lait provenant de vaches trait es avec cette hormone synth tique. Monsanto a fait pression sur FoxTV, en offrant de payer les deux journalistes s ils partaient et gardaient le silence sur leur rapport, mais ils onrefus et ont t licenci s. Le 2 avril 1998, ils ont d pos , de leur initiative, des poursuites contre la cha nt l vision. Apr s un proc s de cinq semaines et six heures de d lib ration qui ont pris fin le 18 ao t 2000,tribunal de l' tat de Floride, l'unanimit du jury, a d termin que Fox"a agi in en i nnellemen e d lib men fal ifian en fa an le a de e e , e galemen laignan , a je de . Le jury aaccord 425.000 Dollars de dommages et int r ts.P i M n an ai elle i d e min e

nali e ilencie ?

Voici pourquoi. En 1998, des scientifiques Canadiens ont pour la premi re fois r ussi acqu rir la totalit tudes de Monsanto. Ils ont t stup faits de d couvrir que la FDA n'a m me jamais regard les donn

originales de Monsanto, sur lesquelles l'approbation de l'Agence avait t fond e. En examinant les donn esles scientifiques ont appris que les tudes "secr tes" de Monsanto ont montr que la rBGH tait li e au cancede la prostate et au cancer de la thyro de, sur les rats de laboratoire !

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En ao t 2008, Eli Lilly a accept d'acheter la rBGH de Monsanto. Cela semblait tre un choix bizarre l' poPourquoi donc, la division v t rinaire de Eli Lilly (Elanco) avait elle accept de payer 300 millions de Dollarsun m dicament que les entreprises ne veulent pas toucher avec une perche de dix pieds ? Puis j'ai commenc relier les points. Lorsque j tais au coll ge, j'ai lu l'histoire concernant le propri taire d'un atelier de carrossequi avait t arr t pour "clavetage" effectu sur des centaines de voitures. Quel moyen d'augmenter sonchiffre d'affaires ! Eli Lilly a fait l' quivalent m dicament du clavetage des voitures, et s est ensuite fait papour les r parer !

Vous voyez, Eli Lilly vend aussi des m dicaments contre le cancer. Ainsi, pendant que d un c t , Eli commercialise un m dicament lait (la rBGH) qui provoque le cancer, de l autre, ils sont d cid s "venirrescousse" avec d'autres m dicaments, pour cette fois, traiter le cancer que la rBGH vient tout juste de cr erAppelons cela les affaires parfaites, ou "double jeu de business". Mais ce n'est pas tout c'est encore mieuxpour Eli Lilly. Les vaches trait es avec la rBGH ont une incidence beaucoup plus lev e contracter la mamm(infection du pis). Vous l'avez devin . Eli Lilly est plus que content de vendre des antibiotiques pour traitel'infection. Pendant ce temps, Eli Lilly rit bien de tout cela en parcourant tout le chemin qui le m ne jusqubanque.

Le ni a e de di m (NaNO3) et son proche parent,le ni i e de di m (NaNO ) sont des conservateurs (lienen Anglais :http://recipes.howstuffworks.com/menus/food preservation8.htm)que l'on trouve dans beaucoupde viandes transform es. Dans des plats de charcuterie comme le salami, les hot dogs, les pepperoni, le chorizola mortadelle, le jambon, le bacon (m me le bacon de dinde), les aliments pour animaux (encore une autreraison pour ne consommer que de laviande bovine nourrie l herbe http://www.deliciousorganics.com/Controversies/meat.htm), et les SPAM (conserves de b uf cuit et decharcuterie), contiennent tous, normalement, du nitrate de sodium comme additif. C'est l'ingr dient qui donne

ces viandes une jolie couleur "rose rouge", plut t que leur pi tre gris naturel. Il rend les viandes,apparemment "fraiches", m me si elles ont t sur les tablettes depuis des mois.

Presque toutes les viandes transform es contiennent du nitrite de sodium, en d pit du fait qu'il est unpr curseur du cancer, et g n rant des agents chimiques appel sni amine. Une norme quantit depreuves indiquent que les nitrosamines sont canc rig nes pour l'homme. Par exemple, le tabac contient desnitrosamines sp cifiques qui constituent l'un des principaux groupes de substances chimiques canc rig nespr sents dans les produits du tabac. Rappelez vous, quand vous mangez de la mortadelle, du pepperoni, ou dubacon, vous mangez aussi du nitrite de sodium qui forme les nitrosamines, lesquels favorisent la croissance descellules canc reuses. Dans les ann es 1970, l'USDA a tent d'interdire le nitrite de sodium, mais a chou enraison des pressions exerc es par le lobbying (groupe de pression) de l'industrie de transformation des viandes.

Vous voulez des statistiques ? L'Universit d'Hawaii a men ces sept derni res ann es, une tude sur pr s d200.000 personnes. Les r sultats de ces recherches indiquent que les personnes qui ont consomm des viandestransform es (comme les hot dogs et les saucisses) ont un risque accru de67%, de cancer du pancr as, parrapport celles qui n ont mang que peu ou pas de viande. (www.naturalnews.com/007024.html).

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Maintenant, je ne dis pas que les produits carn s sont mauvais, tant donn que j'ai d j parl de la vianbovine issue de b tes nourries l herbe. Mais toutes les viandes transform es et la viande dont les vaches on

t lev es la rBGH,elle n an able ! Une des raisons, c est le nitrite de sodium. Et ce n'est que lapointe merg e de l'iceberg.

5. Le S ja

Selon la plupart des professionnels de la sant , les f ves de soja sont dot es des plus grandes qualit s, ellesont polyvalentes, naturelles, amies du c ur, ce sont quelques uns des aliments sur Terre qui am liorent lasant . Le soja est la plus importante culture rentable aux tats Unis, et il est vant comme disposant d unmyriade de bienfaits pour la sant . Mais selon le Dr. William Wong,"Le ja e n i n, n in c e Dans son article intitul "Soja : Les Semences Poison", le Dr. Wong d crit plusieurs raisons pour lesquelles le sest un poison. Le soja contient deux isoflavones (substances analogues aux oestrog nes) qui sont constitu esessentiellement d insecticides naturels utiles au soja. Il demande :Si ce i fla ne en le in ec e ,

ain le h main ? Bon point.

Selon la nutritionniste Mary Enig, Dre. en recherche,La ai n la elle il a an de ja en Am ibea c l a ce 'elle (l'ind ie d ja) a c mmenc e ai e l'h ile de ja, e l'h ile de

n g and en iel l'ind ie. A a i d i a an d h ile dan l'a i ielle e e e a ec bea c de id de ine de ja en eli a , e c mme elle

efile a anima , a f en e i e an i , elle a d e n a e ma ch. Et cet autre march qu'elle atrouv : c estle blic Am icain i ne ec e ien. Apr s avoir d pens des dizaines de millions de Dollardans la publicit pour une campagne de propagande qui aurait fait passer Hitler au rang d'amateur, et avec unintense lobbying (groupe de pressions) aupr s de la FDA, environ 75% des consommateurs Am ricains croiemaintenant que les produits base de soja sont sains.

Si vous pensez que les all gations de sant autour du soja sont trop bonnes pour tre vraies, vous venezprobablement d avoir raison. Le soja contient de lah ine, qui te les min raux essentiels tels que le fer, lezinc, et le magn sium, avant qu'ils ne puissent tre absorb s. Le soja contient galement desinhibi e de

ine Souvenez vous de la trypsine qui est essentielle dans la reconnaissance et la digestion, la fois dprot ines et des cellules canc reuses. Except cela, le soja contient galement del h maggl inine, unesubstance coagulante qui entra ne les globules rouges s'agglutiner. Ces globules rouges regroup s ainsi sonincapables de bien absorber l'oxyg ne pour en effectuer la distribution dans les tissus de l'organisme.

Selon le Dr. Tim O'Shea, Enc e ne a e ine i e e dan ce ain d i de jl al mini m, d n la ene e 10 f i l le e dan le f m le a ja n i n ba e de lai e 100 f i l le e e dan le lai n n an f m . Le ni ea n enc e l

d i d ja n h d g n . L al mini m, ne ca e de la maladie d'Al heime , e galeme end mmage le ein d n enfan i b i ne f m le ba e de ja. Pi e enc e, l'alend mmage di ec emen le ce ea de l'enfan , ca la ba i e ang ce ea n'a a enc e f

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T an f m , le ja e galemen c n eni n agen canc ig ne c nn , la l in alanine. Il 'agi dd' ne a e de ai emen a el e em age alcalin, ce i e fai en e d' limine lel'en me. M me i le f e n inc e a mie , la l in alanine d i e e b i ed ja a ec la l i n alcaline .www.camaweb.org/library/nutrition/soy_con.php

Le principal point voquer sur le soja est le suivant :le f e de ja ne c n iennen a de c m l e , ne n a n alimen na el, c n iennen l ie b ance n i ible e m me

i enfin, a E a Uni la l a de f e de ja n g n i emen m difi e. Selon le Dr. Wong,"a e a i i c n edi le fai ele ci de a a a le g an de l'ag indDaniel Midland. L e le e le end a c nnai ance de man e de mani la i n de la FDA

bli e, e and ceci e a la gemen c nn , a ende n c m n e, de ecce gen l . Il le m i e n a cen le !" Voir le chapitre 20 pour plus d'informations sur les dangers du soja.

Le E an able T ine

Les toxines r pertori es dans cette section sont pr sentes partout, faites donc attention ! Dans toute l actualitun livre entier pourrait tre consacr l'environnement et aux toxines alimentaires, mais j'ai choisi de n'en citeque quelques unes parmi les plus communes des toxines. Une tude du 21 f vrier 2004, parue dans leB i i hMedical J nal, estime que 75% de cance n ca a l'en i nnemen e le fac e li a

c m i l'e i i n a d i chimi e .

6. L amian e

Plus de trente millions de tonnes d'amiante sous des formes les plus vari es, ont t exploit es au cours dusi cle dernier. L'amiante constitue l'un des risques environnementaux les plus omnipr sents dans le monde, dufait notamment de sa pr sence dans plus de 3.000 produits manufactur s. Elle a t largement utilis e partdes ann es 1950 jusque dans les ann es 1970. L'amiante est en fait une famille de min raux qui peuvent tfil s en fibres et ensuite tiss s en toffe. Ainsi le tissu qui en r sulte ne br le pas ; de ce fait, elle a t largemutilis e dans l'industrie des isolants au feu comme ignifuge. Les probl mes surgissent lorsque le mat riadevient ancien et friable, ce stade, il lib re des fibres dans l'air, et elles sont inhal es jusque dans les poumonL'amiante ne br le pas ; et ne se dissoudra pas une fois pr sente dans le corps. Les fibres se coincent dans lespoumons et autres organes, ensuite elles irritent les tissus, provoquent des l sions, et ventuellement descicatrices.

Il existe trois maladies qui sont d clench es par l'inhalation des fibres d'amiante : l'asbestose, le m soth liomeet le cancer du poumon.

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Selon la BBC News (du 19 avril 2010) :"Le fl en dan le cend e c e de l'acide dan l'eanima , la c i n de in e in , e e de h m agie . Il e lie galemen a ec leci c la i n ang ine ; ne f e e i i n el e j end le f agile , e cela e meff i emen de den ".

La plupart des gens ne relient jamais les points entre le tragique empoisonnement de ces animaux qui estintervenu en raison d'un v nement naturel, et l'empoisonnementin en i nnel de l'homme qui a lieu chaqueour travers l'exposition excessive au fluorure. La pratique qui consiste l'ajout du fluorure dans l'eau de votr

robinet a commenc dans les ann es 1940, mais contrairement l'opinion populaire, le fluorure n'arr te pas dtout la carie dentaire. Des tudes scientifiques prouvent qu effectivement le fluorure est neurotoxique etoccasionne des malformations cong nitales, le cancer, et l'ost oporose. Le fluorure endommage les syst mesimmunitaire, digestif et respiratoire, ainsi que les reins, le foie, le cerveau, et la glande thyro de.

Un article paru en 1936 dans le Journal del'A cia i n Den ai e Am icaine a d clar qu une concentration enfluorure de 1 ppm (partie par million) est aussi toxique que l'arsenic et le plomb. Il y a plus de500 dee amin e a de ai (ac i i c llec i e de che che i ja gen de fa n c i i e ld c men an le effe n fa e d fl e, allan d cance j de l i n c b ale.

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Et pourtant, les municipalit s travers les tats Unis ach tent effectivement ce produit puis le perfuse danl'eau de l approvisionnement public. Le Dr. Charles G. Heyd, ancien Pr sident de l'AMA d clare :"Je ic n e n a la e ec i e d' ili e l'ea hic le de m dicamen . Le fl e e n

d i a de g a e effe la ba e d l ng e me. T e en a i e d' ili e l'ea de celamen able".www.apfn.org/apfn/poison.htm.

Il n'existea c ne e e cien ifi e que le fluorure soit un additif b n fique pour l'eau, et en fait, il existe despreuves scientifiques accablantes justifiant sans aucun doute que le fluorure est nocif ! Le r sultat, c'est quetoutes les agences f d rales de sant connaissent ces faits depuis des ann es, mais elles ont t mises souscontr le par les int r ts politiques des armements nucl aires, de l'aluminium, et des fabricants de phosphate,afin de garder le secret sur tout ceci. Voir le chapitre 16 pour en savoir davantage sur les dangers li s afluorure.

8. Le Me c e

Saviez vous que la plupart des poissons que nous mangeons contiennent du mercure ? Pourquoi ? Des milliede tonnes de mercure sont rejet es chaque ann e dans l'atmosph re cause de la pollution et les d chets.Finalement, il s'accumule dans les vapeurs, les oc ans, l'eau, et le sol. Il s'accumule aussi dans la chaalimentaire, de sorte que chaque poisson absorbe le mercure d j contenu dans les autres poissons, et diversorganismes qu'il mange. Plus le poisson est gros et plus il absorbe de mercure. Le requin, l espadon, le tilefish, maquereau, le bar, le marlin, le fl tan, les hu tres, le saumon, et le thon, contiennent les plus hauts niveaux dm thylmercure.

Selon le Dr. Joseph Mercola,"La ici d m h lme c e e en a ne de a e h ie , de de ble de la i i n ; d b an che le f e a c d d el emen de n i nde effe n ga if la ca aci de fi e l'a en i n, le langage, le a i de im m i e, e la c dina i n. Il e e im e de 60.000 enfan nai en cha e ann e

bl me ne l gi e d l'e i i n a m h lme c e en dan l' ".www.mercola.com/2003/jun/28/mercury_fish.htm

L'Environmental Protection Agency (EPA) a publi et adress aux consommateurs un avis sur la sant propdes poissons, en raison de leur contamination au mercure. Le simulateur"V a e d me c e ? Calc ladisponible sur :www.gotmercury.org peut vous aider d terminer combien et quels sont les type de fruits demer sans danger pour vous et votre famille. Il suffit d'indiquer votre poids, le type, et la quantit de fruits demer souhait s, puis de cliquer sur le bouton de la calculatrice. Le calculateur en ligne vous dira si votreconsommation d passe la limite de s curit fix e par l'EPA en ce qui concerne le mercure.

Qu en est il des plombages au mercure pr sents dans votre bouche ? Les amalgames au mercure, ou plombagdentaires contiennent environ 50% de mercure. Initialement, l American Dental Association (ADA) a d menti le mercure provenant de ces plombages, pouvait pr senter des fuites de vapeur, et tre absorb dans notrecorps. Mais ces derni res ann es, face de nombreuses tudes d montrant l'effet contraire, l'ADA a conc dque les plombages au mercure sont bien sujets des fuites de vapeur de mercure, ce qui est extr mementtoxique.

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Saviez vous que le mercure m tallique utilis par les dentistes pour la fabrication d'amalgames dentaires, eexp di destination du cabinet dentaire comme tant unma ia dange e ? Saviez vous que lorsque lesplombages au mercure sont enlev s, ils sont trait s comme des d chets dangereux et sont tenus d tre liminconform ment aux r glements f d raux OSHA ? Depuis ces derni res ann es, Charlene et moi avons fenlever l ensemble de nos plombages au mercure. Je vous recommande de faire de m me. Tout comme lemercure, d'autres m taux lourds (comme l'arsenic, le plomb, l'aluminium, et le cadmium) qui sont tr s courantsdans de nombreux domaines de notre environnement, peuvent s'accumuler dans les tissus mous du corps, etpeuvent entra ner une multitude de maladies d g n ratives, dont le cancer. Ces m taux lourds se retrouvendans notre eau potable, dans les poissons, les vaccinations, les pesticides, les anti transpirants, les mat riaux deconstruction, et aussi dans les amalgames dentaires :http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2004/02/18/dental health.as, pour ne citer que quelquessources (http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2005/02/09/mercury chlorine.as. Voir le chapitre 18pour plus d informations au sujet des dangers du mercure.

9. Le M c ine (T ine F ngi e )

Les mycotoxines sont des poisons produits par certaines moisissures, on les trouve essentiellement dans lescultures de c r ales et notamment de noix. Ce sont fondamentalement des poisons fongiques quiprovoquent un vaste ventail de probl mes de sant chez les humains. Le ma s est souvent contamin par dechampignons toxiques comme les aflatoxines et les fumonisines (tous deux sont connus pour leurs effetscanc rig nes). Une tude effectu e en 1993 a d fini 24 diff rents types de champignons trouv s dans larachides, y compris l'aflatoxine. (Costantini, A. " tiologie et pr vention de l'ath roscl rose"F ngalbi nicSe ie1998/99). Les champignons comestibles contiennent galement des mycotoxines.

Maintenant, je ne recommande pas que vous liminiez totalement les arachides car elles constituent une tr sbonne source de fibres, de vitamine E, de potassium, d acide folique, de zinc, et de magn sium. Les arachidecontiennent galement du resv ratrol (la substance qui se trouve dans le raisin noir), des flavono des, et deantioxydants ; l'ensemble de ces avantages pour la sant sont de plus en plus prouv s pour vous aider pr venir une grande vari t de maladies. La cl pour avoir une bonne sant en consommant des arachides, esde s'assurer qu'elles sont biologiques, cultiv es dans une r gion o le sol est sec, et o les aflatoxines n'ontdonc pas t signal es comme tant un probl me, comme par exemple au Nouveau Mexique. Ma famille aimle beurre d'arachide, ainsi nous achetons Maranatha Peanut Butter (Maranatha Beurre d'Arachide), qui estbiologique et dans lequel sont incorpor es les arachides Valencia, provenant du sol aride du Nouveau Mexique elles sont donc d pourues d'aflatoxines, de pesticides, et de produits chimiques.

Les champignons reishi, shiitake, et maitake, ont d montr des propri t s de lutte contre le cancer, je ne suidonc pas tout fait contre les champignons non plus.

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Le constituant actif anti cancer pr sent dans ces champignons est un polysaccharide appel b ta glucane, unnorme mol cule de sucre compos e de nombreuses autres petites mol cules, encha n es les unes aux autres

et li es des acides amin s. Ces sucres complexes stimulent ou modulent le syst me immunitaire en activant lcellules immunitaires telles que les macrophages et les lymphocytes T auxiliaires, puis augmentent les niveaud immunoglobuline (les immunoglobulines sont des anticorps d un type sp cifique) pour produire une r ponaccrue aux cellules trang res, que ce soit des bact ries, des virus, ou des cellules tumorales.

Pour tre honn te, tout ce qui est animal ou v g tal peut moisir. Les c r ales, les noix, les fruits, le th et caf , les herbes et les l gumes, tout moisit. Tant que les tres vivants sont en vie, les attaquants vecteurs demoisi peuvent tre tenus distance, mais d s qu'ils meurent, la putr faction commence. Les moisissureinterviennent d abord, et puis ensuite l ensemble des actions bact riennes s effectue : c'est ce qui rend lechoses biod gradables. Sans les moisissures et la putr faction, les rues de Fort Worth seraient toujoursonch es de crottin de cheval datant de l' poque des cal ches ; puis nos lacs accuseraient un niveau de trop

plein, cause des poissons morts qui flotteraient la surface. Il n'y a absolument aucun moyen que vouspuissiez utiliser pour parvenir liminer compl tement les mycotoxines pr sentes dans votre alimentationCependant, la lumi re des travaux du Dr. Tullio Simoncini, pionnier dans ses travaux de recherche concernale lien potentiel des toxines fongiques avec le cancer, je vous recommande fortement de r duire la quantit demycotoxines que vous ing rez. C'est sans aucun doute une bonne id e. Et voici quelques bonnes nouvelles poules cuisiniers : si vous fabriquez vous m me votre pain, vous pouvez prolonger sa p riode de fra cheur et il sexempt de moisissures en ajoutant un peu de vitamine C la p te. Cela permettra galement au pain de leveplus haut. Vous pouvez faire la m me chose lorsque vous cuisinez le riz.

10. Le O gan chl (S P d i d Chl e)

Le chlore gazeux est une arme qui a t utilis e durant les deux guerres mondiales, et constitue un poison

neurotoxique si d l t re qu'il a t d clar ill gal par les conventions internationales concernant les guerresne peut pas tre filtr par les poumons, y p n tre plus vite que l'oxyg ne, est imm diatement absorb dans lsang quand il est inhal , et lorsque la concentration est suffisante, la mort est instantan e. En sa qualit debiologiste mol culaire, Joe Thornton explique : Il n'e i e a c ne ili a i n d chl e e n c n id e c mme e. Pourtant, la chloration est consid r e comme l'un des progr s les plus extraordinairesamais vus en sant publique ; et dans le domaine de l'hygi ne, elle est presque universellement accept e

comme tant la m thode de choix parmi les techniques de purification d eau.

Dans la plupart des r gions aux Etats Unis, l eau potable provient d'une source d'eau de surface, qu il s agd'un lac ou d une rivi re. Ces lacs et ces rivi res sont g n ralement riches en substances organiques invisib

produites par la d composition des feuilles et des algues. Au cours de la d sinfection, le chlore s attache ahasard de ces mati res organiques pour former des milliers de compos s chimiques nouvellement cr s, le"c m gan chl ". Les compos s organochlor s ne sont pr sents naturellement nulle part dans lemonde, mais une fois qu'ils se sont form s par la combinaison du chlore avec les mati res organiques, ils sonextr mement toxiques et tr s stables. La plupart d'entre eux ne se d composent pas et r sistent durant descentaines d ann es.

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Les organochlor s sont lipophiles (stock s dans nos cellules graisseuses), et facilement absorb s dans notrecorps o ils s'accumulent. Selon le biologiste mol culaire, Joe Thornton,La chl a i n a gmen e a i em

j la ici. Un nombre croissant d' tudes ont tabli un lien entre l'eau potable chlor e et le cancerchez les humains. La plus r put e des tudes sur le cancer est une compilation de dix tudes pid miologiqus par es, portant sur l'eau potable chlor e et les cancers. Elle est connue sous l appellation de l tude MorrElle a r v l qu aux Etats Unis, les sous produits de d sinfection pr sents dans l'eau chlor e sont responsade 9% de tous les cancers de la vessie, et de 15% des cancers du rectum. Cela se traduit par 10.000 mortssuppl mentaires par an, rien que pour ces deux organes.

Selon l US Council of Environmental Quality,"Le i e de cance a mi le gen i b i en de l'ean 93% e che ce d n l'ea ne c n ien a de chl e".Une exposition prolong e a galement

d montr qu elle peut produire des malformations cong nitales, des probl mes pour le syst me immunitaire,et des troubles de la reproduction.

Bien que la d sinfection de l eau ne repr sente seulement qu un petit pourcentage de la production mondialtotale d organochlor s, l'effet sur la sant humaine est proportionnellement plus important, parce quel'exposition l'eau potable chlor e est importante et continue. Elle est canalis e directement dans nos foyers.Mais les organochlor s pr sents dans notre eau potable ne sont que la pointe merg e de l'iceberg ! Le produitorganochlor le plus toxique est ladi ine. L'EPA estime que les dioxines sont 300.000 fois plus canc rig nesque le DDT.A c n a de di ine n e c n id c mme .

Un projet de rapport publi aux Etats Unis par l'EPA en septembre 1994 pour conna tre les commentaires public, d crit clairement que la dioxine constitue une s rieuse menace pour la sant publique. La dioxine eform e la suite d un processus de combustion des d chets commerciaux municipaux ou urbains, partir

l incin ration provenant de l embrasement des carburants (comme le bois, le charbon, ou le p trole), puis ausdu papier, et de la production des industries du plastique. En 1997, leCentre International de Recherche sur leCancer http://www.iarc.fr/indexfr.php (International Agency for Research on Cancer), qui fait partie del'Organisation Mondiale de la Sant , a annonc que la dioxine la plus puissante est aujourd'hui consid rcomme un canc rig ne degroupe 1 http://monographs.iarc.fr/FR/Classification/crthgr01.php, ce qui signifie un

canc ig ne ec nn l'h mme.

En plus du cancer, les dioxines peuvent entra ner des troubles dans la reproduction et le d veloppement, desl sions h patiques, du chloracn , des ruptions cutan es, des d colorations de la peau, etc Les principalesources de dioxines sont les graisses animales. Comme les dioxines sont liposolubles, elles s'accumulent

grimpant dans la cha ne alimentaire. Un Am ricain typique recevra 93% de sa dioxine depuis les viandes et produits laitiers expos s ces poisons. Chez les poissons, ces toxines sont accumul es biologiquement dans lcha ne alimentaire, ainsi les niveaux de dioxine pr sents dans le poisson sont 100.000 fois celle dl'environnement circonvoisin. Les principales sources de dioxines sont l'industrie du papier, les industries deproduction des plastiques, et les incin rateurs qui br lent des d chets chlor s.

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Des recherches scientifiques r centes ont clairement d montr une r elle association entre les compos sorganochlor s et le cancer du sein. Des analyses de tissus graisseux issus de la poitrine de femmes atteintes ducancer du sein ont r v l que le DDT, le DDE et ses d riv s, le PCB et d autres polluants organochlorconcentrent r ellement dans le tissu canc reux lui m me, en contraste avec les tissus non canc reuenvironnants. Les organochlor s ne sont pas seulement souvent ouvertement toxiques, mais ils poss dent

galement une activit strog nique. En d'autres termes, ils miment les strog nes. Les substances chimiquesqui fonctionnent comme des strog nes sont appel es x n strog nes (litt ralement g ne ange)et font des ravages de diff rentes fa ons. Chez la femme, le contact effectu le plus t t, et qui est aussi le pludangereux se fait probablement au niveau de l'ut rus. Les x n strog nes sont li s au cancer du sein, dansl'augmentation des anomalies au niveau de la reproduction, chez les hommes dans l augmentation des cancersde la prostate et des testicules.

11. Le P ll an I d Pla i e

Lorsque vous mangez ou buvez des l ments qui sont stock s dans du plastique, quand vous les go tez, lessentez, les portez sur vous, si vous vous asseyez dessus, et ainsi de suite, le plastique s incorpore en vous. Danles faits, le plastique p n tre dans les aliments et l alimentation entre dans le plastique, puis ensuite en vousDonc, tout fait litt ralement, vous tes ce que vous mangez, buvez, et respirez. Nous devenons une le en

la i e .

Les bouteilles d'eau sont fabriqu es partir de divers types de plastiques tels que le polycarbonate (PC), lepoly thyl ne t r phtalate (PET), le polypropyl ne (PP), le poly thyl ne haute densit (PEHD), le poly thybasse densit (PEBD), le chlorure de polyvinyle (Polychlorure de vinyle, PVC ou vinyle), et d'autres. Le bisph

A (BPA) est un monom re utilis dans la synth se des mati res plastiques PC, les r sines poxy et compositesainsi que dans les stabilisateurs thermiques en PVC.

La liste des produits contenant du BPA est longue, car elle est profond ment ancr e dans les produits de lasoci t moderne. Le BPA plastique base PC est utilis comme rev tement pour les dents des enfants, poupr venir les caries, comme rev tement int rieur des bo tes de conserve afin d viter que le m tal ne soit contact direct avec les aliments, et il est aussi employ dans le plastique des r cipients alimentaires, lerayonnages des r frig rateurs, les biberons, les bouteilles d'eau, les r cipients r utilisables pour les jus, le lait el'eau, les plats allant au four micro ondes, puis dans les ustensiles de cuisine et de table.

Lorsque le plastique vieillit, le BPA migre. Des exp riences men es sur des rats d montrent que l'expositionun faible niveau de BPA durant la croissance du f tus provoque le cancer du sein chez les adultes, ainsi qu unr sistance l'insuline.

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Dans une petite tude prospective men e au Japon, des chercheurs ont constat que les niveaux de BPA sontlev s chez les femmes ayant subi des ant c dents spontan s et r p t s de fausses couches.

Le BPA est seulement un l ment d'une longue liste de polluants plastiques, une liste qui est si longue qu'elleexigerait son propre livre de fa on avoir une tude exhaustive. L'essentiel, c'est que le BPA (et d'autresmati res plastiques polluantes) est extr mement toxique et se retrouve partout ! Ce que tout cela signifie, c estque durant une grande partie de votre vie, vous aurez subir tour de bras le BPA ou une autre forme deplastique toxique.www.ourstolenfuture.org

Les phtalates sont des plastifiants utilis s pour fabriquer des produits en mati re plastique plus flexibles, etpermettent galement d'allonger la dur e de vie des parfums. Environ quatre millions de tonnes de phtalatessont produites dans le monde chaque ann e. Les phtalates sont reconnus comme des substances toxiques envertu de la loi sur l'environnement, mais les entreprises sont libres d'en utiliser des quantit s illimit es dans lecosm tiques.

Voici quelques phtalates communs et les produits qui en contiennent :

• Ph ala e de di h le (DEP): Brosses dents, pi ces automobiles, outils, jouets, emballages alimentaires,insecticides, produits r pulsifs contre les moustiques, aspirine, vernis ongles, parfums, laques fixantes pour lecheveux.• Di n b l h ala e (DBP) : Plastiques cellulosiques, solvants pour les colorants, solvants pour lescosm tiques, vernis ongles, emballages pour les aliments, parfums, produits mollients pour la peau, laquesfixantes pour les cheveux, insectifuges (r pulsifs).• B l ben l h ala e (BBP) : Plastifiants dans les adh sifs, rev tements de sol en PVC, finitions en bois,tampons jecteurs biod gradables.

Cette odeur de voiture neuve qui s av re tre particuli rement forte apr s que la voiture ait stationn au solependant quelques heures, c'est l'odeur des phtalates provenant d'un tableau de bord en plastique chaud. Etpuis ensuite, quand il se refroidit dans la soir e, les phtalates se condensent pour former un rev tement huileuxsur le pare brise, l'int rieur de la voiture. Une diss mination dans l'environnement de seulement 10 livres (4kg) de DBP doit tre signal e aux autorit s environnementales, dans le cadre de la loi du Superfund. Toutefoil'industrie cosm tique ajoute des milliers de tonnes de DBP dans les vernis ongle chaque ann e, sanscondition requise pour les tests de s curit ou ne fait de rapports personne.

Mais " i ?"Vous demandez vous. De nombreuses d cisions de justice propos de l'EPA onfondamentalement entrav la mise en uvre de la loi Toxic Substances Control Act (TSCA) de 1976. Vo

voyez, l'EPA doit prouver un"Ri e d ai nnable de d mmage "pour la sant humaine, avant de pouvoirretirer du march un produit chimique. Cependant, ils ne peuvent pas prouver un risque d raisonnable dedommages sans d'abord mener des tudes de s curit , lesquelles sont express ment interdites tant quel exposition substantielle ou importante n est pas prouv e et ne s est pas produite. Donc, c'est une bousans fin, puisque la FDA ne peut presque jamais prouver que les expositions substantielles ou significatives sproduisent r ellement, du fait que les donn es d'exposition sont extr mement difficiles obtenir. Pour dire leschoses simplement, l'EPA ne peut pas r glementer un produit chimique avant qu'il n arrive une conclusion drisque bas e sur des donn es que la loi interdit virtuellement de collecter. C'est absurde, n'est ce pas ?

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Les femmes qui sont enceintes, qui allaitent, ou pensent devenir enceintes devraient rechercher et viter tousles produits de soins personnels avec le mot phtalate crit sur l' tiquette. Les principales sources de phtalatesont, les films ou pellicules en plastique, les bouteilles en plastique, les r cipients en plastique destin s stockla nourriture, les vernis ongles, et les cosm tiques. Il a t d montr que les phtalates poss dent des effet

strog niques, ont des cons quences toxiques sur les testicules, et causent des malformations cong nitales.Ils peuvent galement provoquer le cancer, endommager le syst me endocrinien, et sont particuli rementdangereux pour les enfants.

Avez vous entendu parler du benz ne ? Pr s de 300.000 personnes par an sont expos es au benz ne dans lecadre du milieu professionnel. Le benz ne est un hydrocarbure aromatique et un compos organique volatil(COV), qui est produit par la combustion de produits naturels. C est un composant des produits d riv s dcharbon et du p trole, ainsi on le retrouve dans l'essence et dans d autres combustibles. La plupart de laproduction de benz ne est utilis e comme bloc constitutif dans la fabrication d'un certain nombre de produits,comme les produits chimiques industriels et pharmaceutiques, les plastiques, le caoutchouc, les r sines, les

fibres synth tiques, et les colorants.

La recherche a d montr que le benz ne este memen canc ig ne; il est donc connu comme agentcanc rig ne et comme tant une des principales causes de la leuc mie aux tats Unis. En g n ral, l'expositau benz ne provient de la fum e du tabac, de l'essence, et des gaz d chappement des automobiles. Lebenz ne est galement utilis comme solvant dans les cires, les peintures, les r sines, et les encres.

Cependant, il existe une autre source de benz ne qui est tr s troublante : ce sont les da . Deux agents deconservation g n ralement ajout s aux boissons gazeuses (l acide ascorbique et le benzoate de sodiumr agissent pour produire oui, vous l'avez devin : duben ne. Plus le soda se r chauffe et plus de benz ne

sera produit. La FDA et les fabricants de soda ont pris connaissance de ce sale petit secret depuis 1990, maont n glig d en avertir le public. Ainsi, pendant pr s de deux d cennies, les gens ont involontairement bu dsodas qui contiennent une substance canc rig ne reconnue. En 2007, un recours collectif a eu lieu, et plusieurfabricants de sodas (dont Coca Cola, PepsiCo, et Sunny Delight Beverages) ont tabli et convenu de r duire quantit de benz ne dans leurs boissons. Toutefois, de nombreux fabricants de boissons en sont toujours utiliser l'acide ascorbique (vitamine C) et les sels de benzoate dans de nombreuses boissons vendues travers lemonde. Le chiffre de la population expos e est norme, et se situe probablement dans l ordre de plusieursmilliards.

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On a constat que de nombreuses marques de vaisselle en plastique sont compos es de m lamine, car elle estdure, lisse, et garde bien sa forme. Saviez vous que jusqu' 90% des pr parations pour nourrissons vendues auEtats Unis, peuvent tre contamin es par des traces de m lamine ? D'apr s de r cents tests (dont les r sultasont cach s par la FDA loin du public), les pr parations pour nourrissons Nestl , Mead Johnson, et Enfamil, ontoutes t contamin es par la m lamine.

La v rit sur la m lamine n'est devenue publique qu apr s que l Associated Press n ait d pos une demFreedom of Information Act (FOIA), exigeant les r sultats des tests de la FDA. Bien s r, la FDA affirme q

faible niveau de m lamine est parfaitement s curitaire pour les b b s, et qu ils peuvent en consommer equantit illimit e. Ils en sont s rs ! Je suppose que le BPA est sans danger, lui aussi ? Qu'en est il de l'aspartamdu glutamate de sodium, des fluorures, du nitrite de sodium, et de tout autre poison ? Si vous croyez la FDAtous ces poisons sont sans danger et peuvent tre consomm s. Cependant, maintenant que nous en sommesarriv s jusqu ici dans le livre, j'esp re que vous vous rendez compte pr sent de ce qu est la FDA (et la MM dicale) qui n'est rien de plus qu'un gang l galis de criminels, engag s dans des tactiques d'intimidation e

chappant toute inculpation, pratiquant la censure et l oppression ; toutes ces caract ristiques peuvent tred crites de mani re appropri e comme tant"le e i me" de la sant .

12. Le Cide (Pe icide , He bicide , F ngicide , e In ec icide )

Pensez vous toujours que les fruits que vous mangez sont sans danger ? D trompez vous. Une tude r cenprovenant du Royaume Uni indique que les r sidus de pesticides contenus dans certains fruits courants sonanormalement lev s. Certaines pommes, poires, framboises, et raisins, contiennent des r sidus de pesticidesd passant les limites l gales. Les cerises, les laitues, les courges, tous contiennent des niveaux potentiellementdangereux de r sidus de pesticides toxiques. Et les produits ne provenaient pas seulement d'une r gion ils

taient issus de partout dans le monde, du Br sil, de l Espagne, du Canada.

Aussi, rappelez vous que quand vous vous procurez ce fruit succulent l' picerie, vous risquez par inadvertand alimenter vos enfants en pesticides aussi. Les fruits et les l gumes qui sont fortement asperg s comprennentles fraises, les melons, les poivrons, les p ches, les nectarines, le c leri, les pommes de terre, les carottes, et leraisins import s. Donc je vous recommande d acheter bio quand il s'agit de ces fruits et l gumes. Si vous npouvez pas trouver de produits biologiques, essayez de m langer vingt gouttes d'extrait de p pins depamplemousse, une cuill re soupe de bicarbonate de soude, une tasse de vinaigre, et une tasse d'eauensemble, dans un flacon pulv risateur. Vaporisez le produit, laisser reposer pendant une dizaine de minutes,puis rincer abondamment. Ce processus devrait permettre d' liminer une bonne quantit de r sidus depesticides. Les myrtilles, les pamplemousses, les bananes, le brocoli, les mangues, les choux fleurs, les avocales asperges, les oignons, le raisin de Californie, les agrumes, les ananas, et les melons, ne contiennent

habituellement pas une grande quantit de pesticides.

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Les divers cides dans la production moderne de nourriture


Sel n l'EPA, 60% de he bicide , 90% de f ngicide , e 30% de in ec icide , n c nn canc ig ne. Fait alarmant, des r sidus de pesticides ont t d tect s dans plus de la moiti des aliments au

tats Unis. La plupart des pesticides contiennent des toxines multiples et il n existe pas de classe de pesticidequi ne puisse pas potentiellement causer le cancer. Les preuves les plus convaincantes comme par lesquelles lespesticides sont des substances canc rig nes proviennent d' tudes pid miologiques. Le pesticide commun dugazon, le 2,4 D ("Weed B Gone") a t reconnu pour augmenter le risque de cancer lymphatique chez agriculteurs, et ce, de six fois le taux normal, selon un rapport de l'Institut National du Cancer. (Sinclair, W. 1

Le N elle E de M n en P i le Pe icide S n Pl Dange e e Sel n leP c demmen).322



Les scientifiques croient que l'utilisation de produits chimiques pour traiter le gazon (tels que le Weed B Gonet un facteur important dans l'augmentation de 50% des lymphomes non Hodgkiniens, au sein de la populatio

Am ricaine au cours des 20 derni res ann es. (Organisation Mondiale de la Sant , A ec En i nnemen adu2,4 D. Gen ve, Suisse, 1989.) Le pesticide 2,4 D a galement t associ un lymphome malin chez les cLes animaux domestiques sont expos s des doses plus lev es de pesticides parce qu'ils sont plus proches dusol, l o les concentrations sont les plus lev es. Des tudes montrent que le risque de lymphomes chez lechiens a doubl chez les propri taires de pelouses trait es quatre fois par an.

En 1983, l'Institut National du Cancer a tudi en Floride 3.827 applicateurs de pesticides qui avaient fait dpulv risations depuis plus de vingt ans. Ils ont constat que ces applicateurs de pesticides avaient presque troisfois plus de risques de d velopper un cancer du poumon, et deux fois plus de risques de d velopper un cancerdu cerveau. Il n'y avait aucun risque accru chez les applicateurs de pesticides qui avaient fait la pulv risatiopendant seulement cinq ans. ( J nal d NCI, juillet 1983.)

Parlant de pesticides, le DEET est un produit chimique qui a t brevet par l'arm e am ricaine en 1946, et encore largement reconnu comme tant un r pulsif efficace contre les moustiques. En fait, la plupart desinsectifuges commerciaux sont compos s et disposent de diff rentes concentrations en DEET. Actuellement, leDEET est utilis dans plus de 230 produits diff rents. Cependant, tout n'est pas bien avec le DEET. Lorsqu'il combin avec d'autres produits chimiques ou m dicaments, le DEET peut avoir des effets toxiques sur lcerveau et sur le corps. Le DEET a t d montr pour provoquer des convulsions, des dommagneurologiques, des pertes de m moire, des maux de t te, de la faiblesse, de la fatigue, des douleurs musculaireset articulaires, des tremblements, et de l'essoufflement. Les enfants sont encore plus sensibles aux variationssubtiles du cerveau caus es par les produits chimiques toxiques dans leur environnement, parce que leur peaules absorbe plus facilement. Donc, vous ne devezjamai utiliser un produit contenant du DEET sur desnourrissons !

Depuis la fin des ann es 1970, il y a eu plusieurs rapports liant les pesticides la leuc mie (cancer du sang) chles enfants. Une tude r alis e en 1987 par le NCI, a montr que les enfants vivant dans des maisons trait es apesticides avaient pr s de quatre fois plus de risques de d velopper une leuc mie. Si les enfants vivaient dandes maisons o des pesticides avaient t pulv ris s sur les pelouses et les jardins, le risque de d velopper uneleuc mie tait 6,5 fois plus grand. (Dr. John Peters, USC, J nal d NCI, juillet 1987.)

N avez vous jamais entendu parler de l'atrazine ? L'atrazine est un puissant herbicide appliqu sur plus de 7des champs de ma s en Am rique. Des traces de cette substance chimique sont r guli rement retrouv es danles cours d'eau et les puits Am ricains, et m me dans l eau de pluie ; de ce fait, les r sidus d'atrazine

retrouvent fr quemment dans notre alimentation. Et alors ?

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Eh bien, ce produit chimique toxique qui a r cemment t interdit par l'Union Europ enne est un agencanc rig ne suspect , et un perturbateur endocrinien qui a un lien av r au faible nombre de spermatozo dechez les agriculteurs. Ainsi, Tyrone Hayes, un herp tologiste l UC Berkeley, a constat en faisant recherches pour le compte de Syngenta (le fab ican de l'a a ine) que m me des concentrations aussi faiblesque 0,1 partie par milliard, l'atrazine pourra masculer chimiquement une grenouille m le et rendre ses gonadeaptes produire des ufs ; en effet, les m les mutant ainsi en hermaphrodites Je ne sais pas pour vous, maisil n'y aura aucun moyen pour que je veuille que mon fils soit expos l'atrazine !

Dans un article du NY Times de juin 2006, intitul"La fa n d n n i n a j d h i", l auteur, MichaelPollen, commente :"L'a a ine e en en dan le c d ea Am icain de c ncen

l le e e 0,1 a ie a millia d. Mai le g la e Am icain n in e di n g n alea f i le c le ca de cance c mmencen 'acc m le j ' ce e le cien ifi e

lien en e la m l c le ec e e la maladie che l'h mme, ne ca a he c l gi e. Aind nc, a m in dan le me alimen ai e am icain, c n id c mme inn cen j ' e e dni ea de e e e e memen difficile ali e , ca il de a a end e le l a deffec le e h main , e n , j e i e, n effec e n a . Je ne ai a

e e d' n ad le cen , j a ai e ec i e de main eni ne elle m l c le h de l'alimfil "

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C 14Di e N n a OGM !

"Contr lez le p trole et vous pourrez contr ler des continents entiers.Contr lez la nourriture et vous contr lerez le peuple". ~ Henry Kissinger

Un Fa Sen imen de S c i

M a majorit des consommateurs am ricains croit tort que la FDA n approuve les aliments g n tiquememodifi s, qu apr s que ces derniers aient subi des tudes long terme, rigoureuses, et en profondeur. Rien npourrait tre plus loign de la v rit que cela. Des explications sont imp ratives pour bien comprendre lgraves ramifications produites faisant suite l'ingestion de cette (si vous me pardonnez l'expression)

nourriture , cr e en laboratoire. L utilisation du g nie g n tique/la modification de la nourriture impliqueprocessus de laboratoire, ins rant artificiellement des g nes dans l'ADN des cultures vivri res ou animales. Lr sultat est appel Organisme G n tiquement Modifi ("OGM"). Les OGM peuvent tre fabriqu s avec g nes provenant de bact ries, de virus d insectes, d animaux, ou m me d tres humains. La principale raipour laquelle les plantes sont ainsi modifi es, c est pour leur permettre, fondamentalement,d ab be and mmage elle , de i n. Des g nes trangers leur sont ins r s, ce qui leur permet de survivre d unautre mani re des doses mortelles d'herbicides, de fongicides, et d insecticides toxiques.

Le seul e qui soit requis pour la s curit , est celui que le producteur d'OGM doit soumettre ; c est urapport r dig par le producteur lui m me sur la s curit des nouveaux OGM. Cette escroquerie a t conpar Michael Taylor, un ancien avocat de la FDA, qui a cr la politique du "jamais de test sur ceci ou cela", pabiais du raisonnement suivant, que les OGM sont substantiellement quivalents aux aliments, et que lnourriture a d j t d clar e s re. Taylor (le cousin au second degr de Tipper Gore) est r put pour son vvient propos de sa pr sence d un poste un autre au niveau de l'emploi au sein du gouvernement des tatsUnis et de Monsanto, puis a t choisi par Obama comme Commissaire D put la FDA charg de l aliment(alias le tsar de la s curit alimentaire ), en juillet 2009. Alors que chez Monsanto, la responsabilit principde Taylor a t l obtention de l'approbation r glementaire de l OGM canc rig ne, qu est l hormonecroissance bovine (rBGH). Alors d sormais, dans le domaine de la s curit alimentaire Am ricaine nous avmaintenant le " ena d"qui garde le" laille ".

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Vous voyez, nous avons re u un faux sentiment de s ret quant la s curit de notre approvisionnemenalimentaire. L'ignorance est la cl de cette campagne de tromperie, puisque seulement environ 25% desAm ricains savent s'ils ont, ou non, d j mang de la nourriture OGM durant leur vie ! Les cinq principaliments OGM sont, le soja, le ma s, le coton, le colza, et la betterave sucre. Leurs d riv s sont pr sents daplus de 75% des aliments achet s l' picerie. Le plus grave, c est que les OGM ont t li s des r acallergiques et des intoxications, des maladies, la st rilit , la mortalit du b tail, et des dommaconcernant pratiquement tous les organes tudi s chez l'animal de laboratoire. Les OGM alimentaires ont tinterdits par les fabricants de denr es alimentaires en Europe et dans presque tous les autres pays du monde,mais les OGM sont pr sents dans la grande majorit des aliments transform s aux tats Unis et au Canada.

Selon Jeffrey M. Smith, auteur succ s et cin aste,"Le alimen g n i emen m difi n a icdange e le femme encein e e le enfan . A e d ja GM ai d nn de

l a de le b b n m a a a a de d c de 10% che le m in nb b n i a alimen GM aien l e i , e e e ile . Le e ic le deGM n chang de c le , a an d e n mal a ble f nc . Le e me de je ne i n

galemen m difi . De emb n de i d n le a en a aien n i a ja ga aien chang d'ADN. A ignale a i e le i n ie a ec d ma GM a aien m in de

l e i . A Ha ana, en Inde, la l a de b ffle i n mang de g aine de c n Gc m lica i n en ma i e de e d c i n elle e mi e ba ma e, a emen , infe iEn i n de d aine d ag ic l e Am icain n d cla e de millie de c n da i n i a ec ce aine a i de ma GM. Ce aine ie n e de fa e ged nn nai ance de ac d'ea . De ache e de a ea a i n de en ile . Aincidence de b b de faible id la nai ance, de l'infe ili , e de la m ali infan ile, n

a ide". www.responsibletechnology.org

Le Dr. Joseph Mercola affirme :"Je c i f emen ' n de indice le l iden a je dn i e OGM, e cel i i che le je de CHAQUE e ce animale, e i il e ffec n e n alimen n n OGM. L'OGM e a i bea c de f i j a in de famine, ca le

en in i if d dange e e en e ce e n i e".http://articles.mercola.com

Monsanto est la soci t qui est en grande partie responsable de l'introduction des poisons que sont les OGMdans notre approvisionnement alimentaire. Oui, durant les 15 derni res ann es, le m me Monsanto nous adonn l'agent orange, la dioxine ; et la rBGH a t im e dans le domaine des OGM, l insu du publiAm ricain. Actuellement, les graines mutantes de Monsanto repr sentent plus de 90% des cultures de soja auEtats Unis ; 85% des cultures de ma s et des cultures de bl sont les prochaines inscrites leur programme.

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Le Ma C n amin

Les croustilles de ma s (et les chips tortilla) sont tr s populaires, surtout dans mon tat d'origine du TexaPeut tre en avez vous consomm quelques uns vous m mes cette semaine ? Eh bien voyons quel sera vsentiment propos d un futur achat ventuel, une fois que vous aurez lu cette information. Le ma s OGM (etcoton) est con u pour produire lui m me son propre pesticide int gr , appel ine B, qui est initialementproduit partir de bact ries pr sentes dans le sol"bacill h ingien i ". Lorsqu'un insecte mord dans la plante,le poison lui fend l estomac et le tue. Le ma s OGM est galement impliqu dans la mort de vaches Allemagne. Des chevaux, des buffles d'eau, et des poulets sont morts aux Philippines cause de lui. Pensez y, les g nes Bt sont galement transf r s, manger des chips de ma s pourrait transformer vos bact rintestinales en " ine i an e d i an de e icide ". Ces croustilles de ma s ne viennent ils pas de devenisensiblement moins"a i an "?

Monsanto est en train de d velopper son dernier aliment Franken exp rimental, il s agit d une nouveversion de ma s OGM comportant huit caract res de g nes anormaux, appel ma sGen i Sma S a. C'estvrai, SmartStax n a pas moins deh i an g ne (c. d. g nes mut s), combin s ouem il ensemble sixpour la r sistance aux insectes, et deux pour la tol rance aux herbicides. Pour vous donner une justeperspective, les OGM en cours de culture ne sont empil s que jusqu' trois caract ristiques chacun.

Le ma s Smarstax contient un pot pourri de transg nes pr tendant lutter contre les ravageurs venant de par lehaut (au dessus du sol), et de par le dessous du sol. Genuity, une filiale de Monsanto, utilise une combinaison dfongicides ainsi que la clothianidine (un insecticide) dans leurs semences OGM. La clothianidine est uinsecticide syst mique qui peut tre apport dans toutes les parties de la plante de ma s, dont le glandproducteur de pollen ; et le pollen est visit par les abeilles. La s lection du clothianidine pour le traitement desemences est plut t ca ali e, car elle a t impliqu e dans la r duction de la population des abeilles(Chemical & Enginee ing Ne, du 26 mai 2008.) Si les OGM effacent les pollinisateurs de surface de la Terr(comme les abeilles), ils sont de loin, beaucoup plus funestes que la simple menace qu'ils repr sentent pour leshumains et les autres mammif res.

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Le Comit de Recherche et d'Information sur le G nie G n tique (CRIIGEN), ainsi que les Universit s de Cade Rouen ont tudi trois diff rents types de ma s g n tiquement modifi de Monsanto. Les donn" lignen clai emen de im ac d fa able le ein e le f ie, le gane de d ifica i n alimain i e diff en ni ea de d mmage a c , a glande nale , la a e, eh ma i e", a signal Gilles Eric S ralini, biologiste mol culaire l'Universit de Cwww.biolsci.org/v05p0706.htm#headingA11

Mais d sormais, Monsanto impose un ma s OGM avec huit transg nes ! Ce n'est pas pour plaisanter. Si vovivez en Am rique, votre sant , celle de vos enfants et de vos petits enfants est en grand danger. Celaressemble plus une sc ne de film d'horreur qu un v nement qui se d roule l' poque de l'Am rimoderne.

Le S ja S ili an

Dans une r cente tude Russe (men e conjointement par l'Institut d'Ecologie et d Evolution de l'Acad mRusse des Sciences, et par l'Association Nationale pour la S curit des G nes), les chercheurs ont constat qu

le soja OGM a caus la st rilit de la 3me

g n ration chez des hamsters ! Les hamsters ont t nourris au sojaOGM pendant une p riode de deux ans, p riode durant laquelle les chercheurs ont pu valuer trois g n rationde hamsters. Au cours de l' tude, la 2e g n ration de hamsters nourris base de soja OGM avaient un taux dmortalit infantilecin f i l le que chez les "hamsters non nourris au soja OGM". Mais alors, unprobl me encore plus important est devenu vident, puisque presque tous les hamsters de la 3e g n ration(plus de 90%) taient devenus ile ! Fait inqui tant, cette tude provenant de Russie a utilis le m me sojaOGM que celui qui est produit sur plus de 90% de la superficie cultivant du soja aux tats Unis.

En 2005, la Dre. Irina Ermakova (travaillant galement l'Acad mie Russe des Sciences) a signal que plus50% des b b s issus de rates qui ont t nourries avec du soja OGM, sont morts dans les trois semaines suiva

leur naissance. Elle voulait effectuer d'autres tudes pour analyser les organes qu'elle avait recueillis dansl' tude, mais elle n'a jamais pu avoir cette possibilit . Selon Jeffrey Smith (auteur du best seller, Graines Tromperies, et La Roulette G n tique) :"Elle m a di a ec n g e, il aien en aE en a a i d nn n e l ba , e e n a n a ai bi de e i n de

n l i a di de ne a fai e da an age d de le OGM alimen ai e a le biai de anima .d c men n b l n b ea , de chan ill n n l dan n lab a ic ll g e a en de la c nf e en di an : "Eh bien e e e le ja GM a d

la i n la Te e". Elle n'a a im e i nn e". http://articles.mercola.com

Dans la seule tude publi e portant sur "l alimentation" humaine propos des OGM, sept volontaires on

mang des f ves de soja du d nomm Roundup ready (c. d. le soja qui poss de des g nes modifrendant r sistant aux herbicides, afin de survivre des doses mortelles de l herbicide Roundup). Sur trois dsept volontaires, le g ne modifi ins r dans le soja s est trouv transf r dans l'ADN de leurs bactintestinales, et a continu de fonctionner longtemps apr s qu ils aient cess de manger du soja OGM ! Imaginque votre tube digestif soit transform en usine Roundup , avec d'autres distorsions de signaux g n tiques smettant en place graduellement et progressivement, et en train de pourrir votre sant .

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Une des principales fonctions du foie est la d toxification. Les souris et les rats nourris au soja OGM avaient sude profonds changements au niveau de leur foie. Dans certains cas, les foies taient plus petits et seretrouvaient en partie atrophi s. Certains taient significativement plus lourds et enflamm s.

La Techn l gie Te minaDepuis le d but des ann es 1980, le gouvernement des Etats Unis et des soci t s comme Monsanto ontranquillement uvr et mis au point une technique OGM, selon laquelle les agriculteurs seraient oblig s de setourner vers leur fournisseur de graines apr s chaque r colte, afin d obtenir de nouvelles semences. Les grainene produisent seulement qu une seule r colte. Apr s r colte, les graines provenant de cette derni re ssuicident et deviennent de ce fait inutilisables.

C'est ce qu'on appelle la technologie terminator (c. d. une technologie g n tique restrictive ou GURTGenetic Use Restriction Technology). Il s'agit d'une violation majeure des droits des agriculteurs de conserver ede r utiliser leurs propres semences. Et de par le mouvement du pollen, d s la premi re g n ration, les g neterminator pourraient g n rer une "contamination crois e" des cultures produites par les fermiers. Des g nes

chapp s issus de plantes OGM peuvent tout fait tre l origine d une contamination crois e, et constituune menace pour la biodiversit agricole ainsi que pour les moyens de subsistance des agriculteurs. Il n'est pasurprenant que Monsanto ait acquis la Delta & Pine Land (DPL), la plus grande entreprise mondiale de grainede coton, qui d tient conjointement trois brevets Am ricains sur la echn l gie e mina avec l'USDA

Le GURT constitue une menace pour la s curit alimentaire, aussi bien en Am rique du Nord, en Eurooccidentale, au Japon, ainsi que partout o Monsanto et son cartel d' lite de partenaires producteurs agroalimentaires d OGM seront pr sents sur le march . Rafael Alegr a de la Via Campesina (une organisarepr sentant plus de 10 millions de paysans et d agriculteurs dans le monde entier) affirme :"Te mina e na a e di ec e c n e le ag ic l e e le c l e a ch ne , i a i c n e la

menace le bien e de e le la i n ale , le l a e ".Le GURT est la r ponse au r ve de Big Agra, de contr ler la production alimentaire mondiale. Ils n auront besoin d'embaucher de co teux d tectives pour espionner si les agriculteurs r utilisent Monsanto ou d'autressemences OGM brevet es. Les semences de ma s, de soja, ou de coton Terminator, pourraient treg n tiquement modifi es pour se suicider apr s une saison de r colte. Selon les mots de Henry Kissing"C n le la n i e e c n le e le e le".

Cette technologie pourrait potentiellement liminer la nourriture pr sente sur la plan te en une seule saison.L alimentation peut tre utilis e comme une arme. Le Cour Supr me de Justice de Scalia, a fait des remarquque la contamination crois e n'est pas"la fin d m nde".Eh bien elle a peut tre raison, mais il se peut qu ellengendre la fin de l'Am rique.

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Q e P n n fai e ?

La plupart des Am ricains disent qu'ils ne mangent pas d'OGM si cette mention est indiqu e, maicontrairement la plupart des autres pays industrialis s, les Etats Unis n exigent pas d' tiquetage. Vous pouv

remercier la FDA pour cela, car ils n'onta rendu obligatoire l' tiquetage des aliments OGM pour le motifqu ils contiennent des OGM (car ils disent qu ils sont "g n ralement reconnus comme s rs"). Toutefois, dentreprises peuvent volontairement tiqueter des produits comme tant "non OGM". Une soci t proc deainsi, il s agit de Whole Foods.

La solution est d'instruire votre famille, les amis, et surtout instruire les agriculteurs, cela est essentiel. Lameilleure fa on d' viter de vous retrouver avec des aliments OGM dans votre panier de courses, c est de faiune pr planification en utilisant le guide gratuit des achats alimentaires non OGM, disponible www.NonGMOshoppingGuide.com. Merci Jeffery Smith, le plus fervent combattant et d nonciateur d OGMau monde, qui a d velopp ce guide gratuit.

En r gle g n rale, vous devriez viter les produits issus de cultures OGM, tels que :

• MA S farine de ma s, repas pr par , huile, amidon, gluten, et sirop.• SOJA farine de soja, l cithine, isolat de prot ines, et les isoflavones.• CANOLA huile de canola (c. d. de l huile de colza, souvent OGM).• COTON huile de coton.

• SUCRE viter tout ce qui n est pas tiquet comme tant 100% du sucre de canne, jus de canne obtenu vaporation, ou sucre biologique.

Les produits certifi s biologiques ne sont pas autoris s contenir des OGM. Par cons quent, lorsque vouachetez des produits portant la mention 100% bi , bi l gi e , ou fab i a ec de ing dien bi l gices produits sont totalement non OGM. Vous pouvez trouver une multitude d'informations suppl mentaires surles OGM en visitant le site :www.ResponsibleTechnology.org

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PartPart ieie 44

LesLes FaFa iitsts

LesLes FictionsFictions &&

LesLes FraudFraud ee ss



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C 15L A a ame

La FRAUDE :L'a a ame aide e d e d id e n'a a

d effe ec ndai e n ga if .

La REALITE :L'a a ame e ne ne ine i e li e a

cance d ce ea , a c i e de g and mal, e l iea e ble d me ne e cen al.

Qu en est il des sodas all g s (light ou di t tiques) ? Les sodas all g s sont inoffensifs, exact ? Les sall g s vous aideront perdre du poids, exact ?Fa . Une pid mie mondiale fait rage. La cause en est un

dulcorant chimique, un v ritable poison appel aspartame (commercialis sous les noms de NutraSweet® ,

Equal® , et AminoSweet® ) et qui est le plus controvers des additifs alimentaires jamais approuv s. Cet additifqui nous a t amen croire qu il est compl tement s r, est en r alit un m dicament qui interagit avd'autres m dicaments, effectue des modifications chimiques dans le cerveau, et occasionne plusieurs types demaladies chroniques, dont le cancer.

En v rit , c est que la FDA a toujours connu l'aspartame comme tant un agent canc rig ne. Le regrett Adrian Gross (toxicologue la FDA) avait d clar au Congr s, que sans l'ombre d'un doute, l'aspartamd clenche des tumeurs c r brales, des cancers du cerveau, et a viol l Amendement Delaney qui interdit mettre quoi que ce soit dans les aliments lorsque l on sait qu il causera le cancer. De m me que le Dr. JamBowen a d clar la FDA que les fabricants d'aspartame ont endommag une g n ration d'enfants et devraien

tre p nalement poursuivis pour g nocide, cause de l'empoisonnement de masse perp tr aux Etats Unis, edans des centaines d'autres pays du monde.

J'ai auparavant bri vement mentionn deux fois l aspartame dans le livre, notamment cause du fait qu'il soextr mement toxique, et aussi parce qu'il s'agit d'un ingr dient pr sent autant dans les aliments que dans lesboissons. L'histoire est sordide de savoir comment il a obtenu l'approbation de la FDA, et de ce fait, j y consacun chapitre entier dans le livre.

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Comme je l'ai d j mentionn , l'aspartame est une excitotoxine, ce qui signifie simplement qu'elle excite lecellules de votre cerveau jusqu la mort. Le Dr. Russell Blaylock d clare quele ing dien (de l'a a a

im len le ne ne d ce ea , ca an la m a l i n c b ale , e ce, de de. (LesExcitotoxines : Le Go t qui Tue, 1994).

Ainsi, qu'y a t il dans l aspartame ? L'aspartame est compos de trois l ments, 50% de ph nylalanined'acide aspartique, et 10% de m thanol (alcool de bois). Le m thanol est largement distribu dans l'organisme,compris dans le cerveau, les muscles, les graisses, et les tissus nerveux. Ceci est important : lorsque ltemp rature de l'aspartame devient sup rieure 30 Celsius (86 Fahrenheit), le m thanol se convertit eformald hyde (liquide d'embaumement) et en acide formique. Quelle est la temp rature normale du corps, denouveau ? Si je m en souviens bien, elle est de 37 C (98,6 F) n'est ce pas ? Donc, quand vous ing rl'aspartame, il chauffe bien au dessus de 30 C (86 F), et le m thanol se transforme en formald hyde qui endans les cellules, puis il se lie aux prot ines et l'ADN.

Le m thanol est toxique. Une exposition chronique, m me de faibles concentrations de m thanol, estsusceptible de provoquer des maux de t te, des vertiges, des naus es, des bourdonnements d'oreille, desperturbations GI (gastro intestinales), de la faiblesse g n rale, des vertiges, des frissons, des pertes dem moire, des engourdissements, des douleurs fulgurantes, des troubles du comportement, des n vrites, unevision brumeuse, une vision en tunnel, une vision floue, de la conjonctivite, des insomnies, des pertes de visiondes d pressions, des probl mes cardiaques (y compris des maladies du muscle cardiaque), et des inflammationdu pancr as. (Kavet, Nauss, 1990. La Toxicit de l'Inhalation des Vapeurs de M thanol .C i ical e ie T ic l g, Vol. 21, Issue 1, pages 21 50).

Mais certains fruits et l gumes ne contiennent ils pas du m thanol ? Oui, ils en contiennent, mais ils contiennegalement une grande quantit d' thanol qui agit comme un tampon, et neutralise le m thanol, emp chant

ainsi la conversion du m thanol en formald hyde. Dans l'aspartame, il n'y a pas ces tampons. Le niveamaximum quotidien de s curit en m thanol, comme d termin par l'EPA, est de 7,8 mg (par jour)... Un l

de soda all g en contient 56 milligrammes. Et comme si cela ne suffisait pas, n'oubliez pas que l'aspartame escompos aussi de 50% de ph nylalanine, une substance que vingt millions de personnes ne peuvent pam taboliser, et cette incapacit est g n tiquement h rit e par les enfants. L'incapacit m taboliser lph nylalanine peut conduire un retard mental chez les enfants. Cela signifie que l'aspartame provoque unea gmen a i n d i e de e a d men al de milli n d enfan .

Et en outre, la ph nylalanine contenue dans l'aspartame supprime la s rotonine ; donc, elle d clenche toutessortes de probl mes psychiatriques et comportementaux. Les tablissements psychiatriques sont remplis depatients qui ne sont victimes que de rien d'autre que de l'aspartame. Si ce n' tait pas la ph nylalanine contenuedans l'aspartame qui interf rait avec l'absorption de la L Dopa dans le cerveau, Michael J. Fox, un ancien port

parole de Diet Pepsi, n'aurait probablement jamais t diagnostiqu avec la maladie de Parkinson l' ge de 3ans. Il en serait encore, probablement faire des films et serait toujours en bonne sant , sans sa consommationde Diet Pepsi.

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L'aspartame fut d couvert accidentellement en 1965 par James Schlatter, un chimiste de la G.D. Searle Compan(Searle), qui avait l ch un peu ses doigts recouverts d'un nouveau m dicament pour traiter les ulc res, et ainsil a d couvert le go t sucr de l'aspartame. Eureka ! Vendre cette substance chimique comme additif alimentair

des centaines de millions de personnes en bonne sant , chaque jour, signifierait gagner beaucoup plus deDollars ainsi, qu en effectuant des ventes limit es un groupe beaucoup plus restreint de personnes souffrantd'ulc res. Ainsi, en 1967, Searle d buta les essais de s curit sur l'aspartame, des tests qui taient n cessairpour demander l'approbation des additifs alimentaires la FDA. Les premiers essais effectu s avec la substancont montr qu'elle avait produit des trous microscopiques, et des tumeurs du cerveau chez des sourisexp rimentales, des crises d' pilepsie chez les singes, et qu elle avait t convertie par les animaux, esubstances dangereuses, notamment en formald hyde.

En 1969, Searle embaucha le Dr. Harold Waisman, un biochimiste l'Universit du Wisconsin, afin de mener tests de s curit propos de l aspartame sur sept b b s singes qui ont t nourris avec de l aspartame m lan

du lait. Apr s 300 jours, cinq des sept singes souffraient de crises de grand mal (forme grave d pilepsie), et est d c d . (Vous rappelez vous de la sprinteuse, Flo Jo (Florence Griffith Joyner), qui buvait du Diet Cokqui mourut d'une crise de grand mal ?) Le Dr. Waisman mourut avant que toutes ses tudes n aient t men e

terme. Au cours du printemps 1971, le Dr. John Olney (un neuroscientifique) a inform Searle que ses tudmontraient que l'aspartame causait des trous dans le cerveau des nourrissons de souris. Plus tard cette ann el , l'un des propres chercheurs de Searle a confirm les constatations du Dr. Olney dans une tude similaireMais Searle n'en eut rien faire ils se pr occupaient plus de leur vache lait !

En 1973, Searle a demand l'approbation de la FDA, et lui a soumis plus de 100 tudes qui faisaiental i las curit de l'aspartame. L'un des premiers scientifiques de la FDA avoir examin les donn es de s curit l'aspartame a d clar que l'inf ma i n f nie ( a Sea le) e in ffi an e e me e d

al a i n la ici en ielle de l'a a ame .Selon le regrett Dr. Andrian Gross, Searle a i g and

in de cam fle le lac ne de l' de. C mme je le di , le de n fil e , e il n 'il laien bien l i fai e a i , e en a ic lie , en ne fai an a fig e le ch e e iblele anima ne d el en a de me , al 'elle aien bien en e l' de. Eh bimen i n de ce me che le anima .N anmoins, le 26 juillet 1974, la FDA a approuv l'aspartame pour unutilisation limit e dans les aliments secs, et mis disposition du public pour la premi re fois, les donnustificatives relatives leur d cision. Ces donn es ont ensuite t examin es par le neuroscientifique de reno

John Olney, de l'Universit Washington de St. Louis, qui a d pos la premi re objection contre l approbation l'aspartame.

Deux ans plus tard en 1976, la FDA a commenc une enqu te, d clench e par les objections d Olney pro

des pratiques du laboratoire de Searle. L'enqu te a r v l que les proc dures d'essai de Searle avaient t mex cut es, taient remplies d inexactitudes, et que les tests avaient t mani l .

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Les enqu teurs ont indiqu qu'ils n a aien jamai ien d'a i ma ai e le e de Sea le. Ensuite, en1977, une investigation gouvernementale a permis de d couvrir que Searle avait falsifi des donn es esoumettant des analyses de sang inexactes. Dans une autre tude, un examen plus attentif a r v l que destumeurs ut rines s taient d velopp es sur de nombreux animaux de laboratoire, et Searle a admis que cetumeurs taient li es l'ingestion d'aspartame. La FDA a formellement demand que le bureau du Procureudes Etats Unis entame une proc dure devant un grand jury, afin d'examiner si les actes d'accusation devraien

tre d pos s contre Searle pour avoir sciemment d form les conclusions de ses d couvertes, puis pou"di im la i n de fai ma iel im an , e fab ica i n de fa e d cla a i n " dans les tests de s curit surl'aspartame.

Levez la main si vous avez des conflitsd'int r ts financiers dans la pr sente d cision


Alors que les investigations du grand jury taient en cours, Sidley & Austin, le cabinet d avocats repr sentSearle, entama des n gociations ayant trait l'emploi avec le Procureur des Etats Unis en charge dl'enqu te, Samuel Skinner.

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En juillet 1977, Skinner d missionna et accepta un emploi dans le cabinet d'avocats d fendant Searle. Ld mission de Skinner fit d crocher l'enqu te du grand jury pendant si longtemps que le statut des limitationsdevint caduque. Finalement, l enqu te du grand jury fut abandonn e.

En 1979, la FDA mit en place un Conseil d'Enqu te Publique (PBOI Public Board of Inquiry), afin de statules questions de s curit entourant l'aspartame. Un an plus tard, le PBOI a conclu que l'aspartame ne devraitpas tre approuv en attendant d'autres enqu tes sur les tumeurs c r brales chez les animaux, et bas es sur lalimite de ses examens. Le PBIO bloqua la commercialisation de l'aspartame jusqu' ce que les tudes sur letumeurs puissent tre expliqu es. A ce stade, moins que le commissaire de la FDA n annule le Cond Enqu te Publique, l'affaire tait close. Mais en 1980, Ronald Reagan fut lu Pr sident des Etats Unis, et

quipe de collaborateurs inclut Donald Rumsfeld, qui tait aussi chef de la direction de G. D. Searle. Selon PaWood Allott, une ancienne responsable des ventes de GD Searle, Rumsfeld dit son quipe de direction dventes que si cela tait n cessaire,"Il en a elle ai le di ec e de ma ke ing, e e, i

eille ai ce e l'a a ame b ienne n a ba i n de c mme ciali a i n ce e ann e".(Gordon 1987, page499 du S nat Am ricain, 1987). Sans surprise, l' quipe de collaborateurs s lectionna le Dr. Arthur Hull Hayepour tre le nouveau commissaire de la FDA. Hayes tait largement profil et connu comme un homme qui cro

que la p riode qui permet l'approbation de nouveaux m dicaments et additifs est trop lente, parce que la FDAe ige d'inf ma i n .

En mai 1981, trois des six Internes scientifiques de la FDA qui taient charg s d'examiner les r sultats des tesur les tumeurs au cerveau, ont mis en garde contre l approbation de l'aspartame, en indiquant sur le dossierque les tests de Searle n' taient pas fiables et ne permettaient pas de d terminer la s curit de l'aspartame.Toutefois, en juillet de cette m me ann e, dans un de ses premiers actes officiels, le Dr. Hayes, le nouveacommissaire de la FDA, annula la d cision du PBOI et approuva officiellement l'aspartame dans tous les produsecs. En 1982, Searle d posa une requ te pour que l'aspartame puisse tre approuv comme dulcorant danles boissons gazeuses et autres liquides.

Presque imm diatement, le National Soft Drink Association (NSDA) demanda instamment la FDA de retardl'approbation de l'aspartame pour les boissons gaz ifi es, dans l attente d'autres tests car l'aspartame est tr sinstable dans la forme liquide. Comme je l'ai d j mentionn , lorsque le liquide contenant l'aspartame est stock

des temp ratures sup rieures 30 Celsius (86 F), il se d t riore en acide formique et en formald hydesont tous deux des toxines reconnues. Malgr les protestations du public en 1983, la FDA approuva l'aspartamedans les boissons light (all g es), et les premi res boissons gazeuses contenant de l'aspartame furent venduespour la consommation publique.

Peu de temps apr s que l'aspartame soit approuv e dans les boissons, des plaintes ont commenc arriver l

FDA. Des r actions telles que des tourdissements, des troubles de la vision, les pertes de m moire, detroubles de l' locution, des maux de t te, et des crises diverses devinrent courantes avec la consommation deboissons contenant de l'aspartame. La FDA n avait jamais re u de plaintes aussi graves que celles l , m mepropos de n importe quel autre additif alimentaire d j commercialis .

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Dans les toutes premi res ann es apr s que l'aspartame fut approuv dans les boissons, la FDA a re u plus d10.000 plaintes concernant cet additif. En f vrier 1994, le U.S. Department of Health and Human Services pula liste des effets ind sirables rapport s la FDA. tonnamment, l'aspartame repr sentait plus de 75% de touteles r actions ind sirables signal es la FDA au service des Effets Ind sirables du Syst me de SurveillanceFDA a admis elle m me ceci, ce sont moins de 1% des consommateurs qui ont des r actions d favorables produits, qui signalent leurs probl mes la FDA. Cela fait passer les dix mille plaintes r elles virtuellemenviron un million !

En 1985, le Dr. Adrian Gross a d clar au Congr s qu tant donn que l'aspartame tait capable de produire tumeurs c r brales et le cancer du cerveau, la FDA n aurait pas d permettre "d autoriser" quotidiennemecette substance en usage interne, et tout niveau. Ses derni res paroles au Congr s, ont t ,"E i la FDA i

a e l i, i e e a il ge le blic ?"(1er ao t 1985, Congressional Record, SID835:131)

De 1985 1995, les chercheurs ont effectu environ 400 tudes sur l aspartame. Le Dr. Ralph G. Waltoexamin toutes les tudes sur l'aspartame, et a trouv 166 rapports sur la s curit humaine. Parmi les 16

tudes, 74 avaient t financ es par Searle, 85 taient ind pendantes, et 7 avaient t financ es par la FDA. r sultats vous tonneront, mais ne vous surprendront probablement pas. Sur les 74 tudes financ es par Searletoutes ont donn l aspartame un certificat de substance saine pour la sant . Toutefois, sur les 85 tudes qn'avaient a t financ es par Big Pharma ou par la FDA, 84 d'entre elles ont trouv que l aspartame edangereux pour la sant de chacun.

En d but d ann e 2010, le producteur d'aspartame Ajinomoto a lanc une nouvelle initiative visant rebaptiscet dulcorant toxique, "AminoSweet ", pour nous rappeler qu'il est fabriqu partir d'acides amin s etd l ments constitutifs de prot ines. Oh, n'est ce pas extraordinaire ? Les gens vont se sentir tout r confortpuis confus, et croire qu'il vont tre en bonne sant . Apr s tout, les acides amin s sont bons et sains, n'est cpas ?

Ne mbe a dan ce a ag me de ma ke ing. C'est une tromperie, et son meilleur niveau : Ilscommencent par une bribe de v rit et puis "ils brodent" tout autour pour s'adapter votre propre contexte depens e, qui dans ce cas, semble tre de nous convaincre que ce n'est juste qu'un " dulcorant sain",confectionn partir d'acides amin s qui sont d j pr sents dans notre corps. Mais si vous appelez ceNutraSweet , ou Equal , ou AminoSweet , il est bien prouv que l'acide aspartique contenu dans l'aspartameest une "excitotoxine". Et comme je l'ai mentionn pr c demment, l'aspartame a t ins r une fois sur unliste de produits chimiques de guerre biologique dit e par le Pentagone et pr sent e au Congr s !

vrai dire, l'aspartame provoque toutes sortes de malformations cong nitales, qui vont de l'autisme la fente

palatine ; et c'est aussi un "abortif", d finissant ceci comme tant un m dicament qui provoque l'avortement.

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Il est normal que des jeunes filles attendent le mariage et des enfants. Toutefois, de nombreuses jeunes fillesboivent des petites gorg es de soda all g , sans se rendre compte que l'aspartame est un agent perturbateurendocrinien qui modifie le flux menstruel et occasionne l'infertilit . Malheureusement, beaucoup de dames quiont grandi en buvant du soda all g n ont jamais su pourquoi il leur avait t impossible d avoir des enfantssi cela ne vous donne pas suffisamment de raisons pour viter l'aspartame, sachez que des tudes ontd montr que l'aspartame est toxique pour le foie, qu il vous donne envie de glucides, qu il pr cipite le diabet qu il vous fait effectivement prendre du poids !www.mpwhi.com

Ainsi, lorsque la FDA nous dit que l'aspartame s av re tre s re, soyez assur s que c'est en fondant sconclusions sur les frauduleuses tudes de Searle (c'est dire qu ils"men en a e le den "). Ensuite,apr s que le JAMA ait examin les conclusions de la FDA (qui sont bas es sur les tudes frauduleuses de Searil a annonc que La c n mma i n d'a a ame ne en e a c n i e la an de la

e nne. Ne croyez pas cela !L a a ame e. Je vous recommande fortement de regarder "S ee Mi e "[D ce Mi e)(un documentaire sur l'aspartame]. Vous pouvez voir la bande annonce et les cinq premi resminutes ici :http://aspartamekills.com.

Malgr le fait que la FDA affirme que l'aspartame est sans danger, les effets toxiques de cet dulcorant sontdocument s par les propres donn es de la FDA. En 1995, en vertu de la loi sur la Libert de l'Information, la Fa t contrainte de communiquer une liste de 92 sympt mes dus l'aspartame, signal s par des milliers dvictimes. Il appara t que ceci n est que la pointe merg e de l'iceberg. Le Dr. H.J. Roberts a publi un tem dical,"La Maladie de l'A a ame : Une E id mie Ign e", qui contient plus de 1.000 pages propos dessympt mes et des maladies provoqu es par cette excitotoxine, y compris l'histoire sordide de son approbation.

Vous avez la dent sucr e ? Je vous recommande la stevia, un dulcorant issu de plantes, il s agit d une saalternative.

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En 1931, un dentiste PHS (du Service de Sant Publique), nomm H. Trendley Dean (alias le e de lafl a i n), a t envoy dans plus de 300 petites villes du Texas, o les puits d'eau contenaient de fortesconcentrations de fluorure, lequel tait le plus similaire au fluorure de calcium (CaF ). Sa mission tait d terminer jusqu quelle quantit de fluorure les personnes pouvaient tol rer sans subir de dommage

vidents leurs dents. Ce qu'il a trouv fut surprenant : les dents des personnes r sidant dans ces villes hautteneur en fluorures sont souvent d color es et tachet es. Toutefois, il a galement mis l'hypoth se que cela" emblai g n e " une incidence plus faible de caries dans les collectivit s ayant un dosage d environ une partipar million (1 ppm) de fluorure dans l'eau.

Dean utilisa une strat gie appel e "l'utilisation s lective des donn es", pour tenter de prouver sa th orie. Ichoisit d'utiliser les donn es de seulement 21 collectivit s (les plus int ressantes pour lui) pour eni chiff e . C'est le terme que nous utilisons dans le monde de la comptabilit lorsque nous connaissons lar ponse d sir e, et que nous n'utilisons que des chiffres pour justifier notre r ponse souhait e, puis nousatteignons ainsi notre conclusion pr d termin e. Dean ignora totalement les + de 270 autres localit s qui nmontraient aucune corr lation entre le fluorure et les caries. Plus tard, en 1955, Dean admettait (sous serment)que le fluorure ne fonctionne a comme rem de contre la carie dentaire (fl e, Vol.14, No.3, juillet 1981)Puis, en 1957, il a d admettre aux audiences de l AMA que m me l'eau qui contenait un simple .1 (1/10 me) pouvait ca e la fluorose dentaire. En outre, jamais une seule tude n a t effectu e en double aveugle pouindiquer que la fluoration pourrait tre efficace dans la r duction de la carie. PasUNE SEULE!

Mais ALCOA n'a pas laiss les faits se r aliser ainsi ! Un scientifique financ par ALCOA, Gerald J. Coxappris les r sultats de Dean, et trouv un moyen pour qu ALCOA puisse r ellement profiter du fluorure. propos que ce" d i , a a emmen d n d'in " ai r duire les caries chez les enfants (malgrl'absence de preuves). Il a d clar fi rement que le fluorure tait bon pour les dents, et en 1939 il a propos qules tats Unis devraient fluorer leur eau. C'est a, pas par un m decin, pas par un dentiste, mais par uscientifique industriel qui travaillait pour le plus grand producteur de fluorure de l'ensemble des Etats Unis.

L'industrie de l'aluminium commercialisait d j ses d chets toxiques de fluorure commein ec icide et a icide,mais ils voulaient un march beaucoup plus vaste. Cependant, un barrage mineur se dressait devant eux. En1944, dans le J nal de l'Ame ican Den al A cia i n, l'ADA avait averti que"le en iali j diciabl

a i de la fl a i n) l'em en la gemen le b nne ali ". En 1945, deux villes du Michigan furents lectionn es pour une tude comparative officielle devant durer in e an, afin de d terminer si le fluorurepouvait, en toute s curit , r duire les caries chez les enfants ; et le fluorure fut introduit dans le circuit d'eaupotable de Grand Rapids. En 1946, malgr le fait que l'exp rience officielle de quinze ans dans le Michigan av

peine commenc , plus de six villes Am ricaines furent autoris es fluorer leur eau. L'exp rience des devilles du Michigan fut alors abandonn e avant m me qu elle ne soit moiti termin e, avec ces r sultats, nconcluants . C'est la seule tude scientifiquement objective sur les avantages et la s curit potentiels propo

de la fluoration, qui n ait jamais t r alis e.

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En 1947, Oscar R. Ewing, un avocat de longue date d ALCOA, a t nomm la t te de l'Agence F d rS curit , une position qui l'a plac en charge du Service de la Sant Publique. Sous Ewing, une campagnationale de fluoration de l'eau commen a. Le strat ge des relations publiques pour ce programme n' tait autreque le neveu de Sigmund Freud, Edwin L. Bernays, connu comme tant "le P re du Tournoiement(manipulation par les phrases). Bernays ouvra la voie l'application des th ories de Freud, dans la publicit et sein du gouvernement, avec des "demi v rit s". Dans son livre La Propagande, Bernays a soutenu que lmanipulation scientifique est la cl de l'opinion publique. Il a d clar ,"Un e i n mb e ela if de e nnele ficelle i c n len l'e i d blic". La campagne de fluoration orchestr e par le gouvernement fut un deses succ s les plus durables.

Les techniques de Bernays taient simples. Pr tendre qu'il existe des r sultats de recherches favorables l'aidd'expressions telles que, "De n mb e e de n m n " ou bien "La eche che a " ou encore"Le en e cien ifi e n " mais sans ne jamais vraiment citer quoi que ce soit de concret (car ilsne disposaient que de ZERO tudes scientifiques citer). Dites le assez longtemps puis assez fort, et finalemeles gens vont y croire. Si quiconque doute de vous ou pose des questions sur les mensonges, alors attaquez leurcaract re et/ou leur intelligence. Sur une note lat rale parue quelques ann es plus tard, Bernays a contribu populariser la notion des femmes qui fument des cigarettes. N' tant pas un homme refuser un d fi, Bernays amis en place le format publicitaire ad quat qui a dur pendant pr s de 50 ans, "prouvant" que les cigarettessont "b n fiques" pour la sant .

Bernays n a jamais d vi de son axiome fondamental visant "c n le le ma e le in ". Il croyait que leplus efficace des lavages de cerveau prenait place dans les endroits o les gens n'ont pas conscience qu'ils sontmanipul s. Ainsi, sous le charme de Bernays, l'image populaire de ces insecticides et de ces raticides fuhabilement transform e en un produit b n fique, cr ateur de brillants sourires, absolument sans aucun danger,et favorable pour les enfants. Ce fut l une brillante campagne de marketing orchestr e par ALCOA ! Plut t qd'avoir payer les co ts extr mement lev s pour liminer sans danger ces d chets toxiques, ALCOA

d'autres fabricants d'aluminium) pouvait maintenant le end e aux municipalit s en change d unb n ficen me! Tous les opposants furent rapidement et d finitivement inscrits dans l'esprit du public comme tandes cingl s, des charlatans, et des idiots.

A e & Fe e

Le fl ure de calcium (CaF ), galement connu sous le nom de fluorine, se trouve naturellement dans leplantes et l'eau. Par contre, le fluorure qui est ajout l'approvisionnement en eau (et dans les dentifrices),n'est pas du fluorure de calcium. Non, l'additif incorpor l eau et au dentifrice est soit, dufl ure de sodium(NaF), de l'acide hydrofl osilicique (H SiF6), ou dufl silicate de sodium (Na SiF6), qui tous trois sont desd che i e.

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Tout simplement parce que la substance qui contient uniquement les lettres "fl " ne signifie pas que c'est lam me chose que le fluorure de calcium naturel. Mais la Mafia M dicale nous raconte que le fluorure ajout dal'eau et dans le dentifrice, c est bon pour nous. Vous voyez, ils ont ressorti le classique "App ter et Ferrersp cialement pour nous, en s'appuyant sur le fait que le "mouton" Am ricain croit tout ce qu'on lui dit. Avezvous d j lu l' tiquette

de votre dentifrice ? Je vous sugg re de le faire. L'avertissement stipule tenir hors de la port e des enfants . Jme demande bien pourquoi. C'est peut tre parce que si le contenu total d un tube de dentifrice tait ing r pun petit enfant, la dose lui serait probablementfa ale !

Selon le CDC, le fluorure le plus commun utilis dans l'approvisionnement en eau des Etats Unis, est l'ahydrofluorosilicique (63%), suivi par le fluosilicate de sodium (28%), et enfin par le fluorure de sodium (L'acide hydrofluorosilicique est un d chet toxique r glement par l EPA (Agence de Protection dl'Environnement), produit par la fum e dans les chemin es, et provenant de diff rents fabricants de produitschimiques industriels. Cette forme de fluorure repr sente un tel danger pour la sant , qu'il est r glement pal'EPA, et doit tre limin en tant que d chet toxique. En d'autres termes, il est ill gal de prendre cet acidhydrofluorosilicique et de l'enterrer dans le sol, de le d verser dans des rivi res ou des cours d'eau dans ce paysmais il est parfaitement l gal (et cela est m me exig ) de le vendre aux municipalit s pour qu'il soit vers dal'approvisionnement en eau, afin que les gens l ing re. Selon le Dr. William Hirzy de l'EPA,"S il a dan l'ai , c'e

n ll an . S il a dan l'ea l cale, c'e ne ll i n. Mai i le e ice blic l ach en e

able, ce n'e l n ll an . T c , c mme a magie, c'e ne me e b n fi ebli e".

Bien s r, ce qui y entre doit en sortir, donc nous avons finalement fait passer le fluorure (du moins, une certainequantit ) travers notre corps, puis directement dans les rivi res et les ruisseaux. Ainsi, cela nous am ne cetbizarre r alit de la fluoration : cela est dangereux pour l'environnement, il est ill gal de d verser desubstances toxiques dans les rivi res et les ruisseaux, moins qu'elles ne passent travers le corps des trehumains d'abord ; dans ce cas, ce n'est pas seulement parfaitement l gal, mais c'est en fait exig par lesdentistes. Assez bizarre, hein ? Bien s r, ce sont ces m mes personnes qui d posent toujours du mercure dansnos bouches, alors que comptez vous faire ?

Le fluor est plus toxique que le plomb, et il y a plus de 500 tudes document es valu es par les pairs sur leffets n fastes du fluorure, allant du cancer aux l sions c r brales. Pourtant, travers les Etats Unis, municipalit s ach tent toujours actuellement ce produit, puis elles le versent dans l'approvisionnement publicen eau.

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Non seulement le fluor ne prot ge a nos dents, mais il a galement t d montr qu il provoque la fluorosdentaire et r duit le quotient intellectuel. De nombreuses tudes ont d montr que le fluorure occasionne desdommages g n tiques, m me des concentrations aussi faibles qu une partie par million. Pouvez vous deviquel est le niveau moyen de la fluoration dans notre approvisionnement en eau ? C'est a une partie parmillion.

La premi re apparition de l'eau potable fluor e s est faite dans les camps de concentration Allemands. LGestapo se pr occupait peu des effets suppos s du fluor sur les dents des enfants. Leur raison all gu e poueffectuer la m dication de masse avec du fluorure de sodium dans l eau, tait pour ili e les humains etf ce le peuple la soumission puis au calme dans leurs camps de concentration. (Joseph Borkin, Crime eCh timent d'I.G. Farben). Il est int ressant de remarquer que le fluorure de sodium est galement l'un deingr dients de base contenu dans les deux produits suivants, le Prozac (Chlorhydrate de FLUox tine) et le gaSarin (Isopropyl M thyl Phosphoryl FLUORURE).

La Rela i n Na i Cance Al heime

Charles Elliot Perkins, chercheur scientifique envoy par le gouvernement des Etats Unis afin de prendre charge depuis les usines I.G. Farben en Allemagne, des m dicaments/produits chimiques, a confirm ce falorsqu il a d couvert que "Le b i able de la fl a i n de l'ea e de d i e la i ance ded mina i n, a c n le, e la e e de la libe ." Dans son rapport la Fondation Lee pour la Recherche sur laNutrition en octobre 1954, il a d clar ,"L'admini a i n e de an i infini imale de fl

em , d i la i ance d' n indi id i e la d mina i n en em i nnan e en na cne ce aine ne d ce ea , cela me a le je la l n de ce i e len le g e ne.

Quelques uns des attributs les plus nocifs du fluorure est qu'il inhibe l'activit enzymatique, paralyse leglobules blancs, et d compose le collag ne. Les enzymes, les leucocytes du syst me immunitaire, et lcollag ne, sont tous des intervenants fondamentaux dans la lutte contre le cancer. Et tous trois sont affect spar le fluorure. Le Dr. John Yiamouyiannis, un biochimiste et pr sident de la Fondation pour la Salubrit de l'Ea t l'un des deux chercheurs qui a d termin en premier le lien fluorure cancer. Yiamouyiannis met en gard"Le fl e n i n ! Il a ili c mme e icide c n e le i , le a , e an i ible . Un n i n de 10 li e (4,5 kg) ai e a 1/100 d' nce, e n ad l e d

ai e a 1/10 d' nce de fl e. Le Cen e R gi nal An i P i n d'Ak n indi e de den if ice c n ien 199 mg. de fl e, ceci e l e ffi an e n enfan de 25 li.

En 1977, les tudes pid miologiques dirig es par le Dr. Dean Burk, ancien chef de la Section de Chimie

Cellules de l Institut National du Cancer, et le Dr. Yiamouyiannis, ont montr que la fluoration est li e env10.000 d c s par cancer chaque ann e.

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Selon le Dr. Burk,"Le fl e e l de cance che l h mme, e cela n hme de a ide e a e d i chimi e". (Fluorure, le facteur de vieillissement, 1986).

Fai gaffe, T mm , ne le en e e a n e n le de fich ! CONDUITE D EAU PRINCIPALE

Le Fai : Le fl e e ellemen i e il e c n id c mmed che dange e a L Agence de P ec i n de l'En i nnemen .

Me ci Mike Adam e .Na alNe .c m la ca ica e ci de .

Le fluorure a galement t li la maladie d'Alzheimer, car l'aluminium se lie avec lui pour former du fluord'aluminium, qui est capable de passer la barri re h mato enc phalique. En janvier 1987, les exp rien

r alis es au D partement de Recherches M dicales Endocrinologiques (Newcastle upon Tyne, Angleterre), au D partement de Physique de l'Universit de Ruhana, au Sri Lanka, ont montr que l'eau fluor e, une dosd une partie par million (et lorsque des ustensiles de cuisine en aluminium sont utilis s pour la pr paration drepas) concentre l'aluminium jusqu' 600 fois plus que lorsque l'eau ne contient pas de fluor. (N elle de laScience, 131:73)

Le E e en Fl e

Une des choses que je trouve int ressante dans ce d bat sur le fluorure, c est que les dentistes et les m decinvont bondir pour d fendre la pratique de son utilisation chaque occasion.

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Pourquoi ? Est ce parce qu'il y a de bonnes preuves scientifiques que la fluoration est en quelque sorteb n fique pour le public ?NON. C'est parce que la Mafia M dicale (en particulier l'AMA et l ADA) leur a dit dsoutenir. Tout cela est si bizarre qu'une personne raisonnable ne peut que conclure que ces m decins et cesdentistes fonctionnent sur pilote automatique. Ce sont des perroquets sur n importe quels "points dediscussion" qui leur sont confi s.

Et pour couronner le tout, ils sont g n ralement extr mement arrogants sur tous les sujets. Ils agissent commes ils taient qualifi s pour parler notamment de carence nutritionnelle, et des effets du fluor sur le corps humaitout entier, car ils sont dentistes. En fait, les dentistes ne disposent pas des qualifications requises pour parlerdes effets du fluor sur le syst me nerveux humain, dans l'approvisionnement du sang, sur les maladieschroniques, dans les troubles du comportement, ou dans d'autres effets physiologiques. Les dentistes ne sontvraiment et seulement habilit s qu parler de ce qui se passe avec vos dents pas sur les m dicaments ou sles produits chimiques que vous ing rez, et qui ont un effet syst mique. Les m decins ne sont pas qualifi s poparler de la nutrition. Comme je l'ai d j mentionn , ils ont, au mieux, dispos de quelques heures de formatiosur la nutrition, mais sont en grande partie analphab tes en ce qui concerne la relation entre les carencesnutritionnelles et les maladies chroniques. En conclusion, c est que vous disposez de tout un groupe de soi

disant "e e "qui ne connaissent ien sur le sujet, mais qui amusent la galerie en pr tendant tre des ruditssur cette question.

Le E de le Fl e

Dans le milieu des ann es 1980, la plus grande tude jamais men e portant la fois sur la fluoration et surcarie dentaire a t r alis e, utilisant les donn es issues de 39.000 enfants scolaris s dans des coles situdans 84 r gions travers le pays. Les r sultats n'ont montr aucune diff rence statistiquement significativdans les taux de carie dentaire entre les villes fluor es et celles non fluor es. Surpris ? Je ne le suis pas. Mais n'est pas tout. Une tude r alis e en 1989 par l'Institut National de la Recherche Dentaire a conclu que 12% denfants vivant dans des zones artificiellement fluor es (dans un dosage compris entre une et quatre parties parmillion) ont d velopp une fluorose dentaire, une d coloration permanente et une fragilisation des dents. Une

tude pratiqu e en 2005, l Harvard School of Dental Health a r v l que le fluorure mis dans l'eau du robcontribue directement l'origine du cancer des os chez les jeunes gar ons. L' tude a conclu que"Le ga n

g de cin di an e a fl e, bi n n a acc d' a c me cance de d el e l il a n a ein n ge c m i en e 10 e 19 an ".

Au d but de l ann e 2010, deux histoires s par es qui se sont d roul es en Inde, r v lent que des enfants sdevenus aveugles et paralys s, en partie cause du fluorure ajout artificiellement leur eau potable. Dans lvillage Indien de Gaudiyan, plus de la moiti de la population a subi des d formations des os, rendant le

victimes handicap es physiques. Les enfants naissent normalement, mais apr s qu ils aient commenc boide l'eau fluor e, ils commencent d velopper des handicaps r dhibitoires au niveau des mains et des pieds.

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"En ai n d ne ene e ce i e en fl e dan l'ea able, l'a en calci m n'e ac , ca an de handica e de d f ma i n ", a d clar le Dr. Amit Shukla, un neurophysicien. Cependantet ce d'une mani re hautaine qui rendrait fi re la Mafia M dicale, les m decins du gouvernement Indien ont nque la fluoration de l'eau potable puisse avoir un lien avec les personnes handicap es, et ont refus de testerl'eau en insistant et affirmant que ces tests "ne n a n ce ai e ." Pendant ce temps, dans le village dePavagada, des enfants sont devenus aveugles apr s avoir t diagnostiqu s avec une cataracte lamellairecong nitale (une condition dans laquelle la corn e et le cristallin sont endommag s). Les m decins locaux onattribu la c cit chez les enfants, deux facteurs aux mariages consanguins, et "l ea c n enan d fl ".www.infowars.com/indian children blinded crippled by fluoride in water

Voici des extraits de ce que pensait le neveu d'Albert Einstein, le Dr. E.H. Bronner (un chimiste qui a galemet prisonnier de guerre pendant la Seconde Guerre mondiale), ceci a t crit dans une lettre publi e dansThe

Ca h lic Mi , Springfield, MA, janvier 1952, dont des extraits suivent, s par s par des ellipses :"Il e i e nini e ea d'agen b e if , a a i e 'in ellec el ' an Die , i f n ne ba e beein m me de n e na i n, e d n le amifica i n ne ce en de e d el e , de iennen l

efficace i l ala man e cha e n elle ann e, e d n le i able bjec if e de d m a

d i e n e g ande R bli e de l'in ie 'il le e en , c nf m men le lan e i n e le e in . ... La fl a i n de n me d'ea dan n e c mmde eni le a me la l b ile, en a nan c n e d g ada i n h i e e menche che e chimi e d e ience, j'ai c n i a c de ce 22 de ni e ann e , 3 in

d i chimi e e de ac ellemen licence 6 de me 53 b e e . S la ba ed'e ience a i e dan le d maine de la an alimen ai e e a ni ea d d maine chimi e, de me e en ga de : la fl a i n de l'ea able e ne f lie c iminelle, e n icide na ifai e a cela ... M me en e i e an i le fl e de di m e n i n m el leefficace n'a . Cha e e e mina e ai il agi d a icide le l efficace ... Le fl

alemen diff en d fl h ha e de calci m gani e, n ce ai e n e gani me

na e a ec la g ande P idence e l am de Die , b i i enf ce n efl h ha e de calci m gani e, i ien d'alimen a i , e n el ganin l ble dan l'ea e a imilable a le c h main, andi e le fl e de di m n n ganla fl a i n de l'ea e n i n in an an le c e alemen l ble dan l'ea . L'l'a imile ".

Le Dr. Bronner continue :"A en i n, l'e imen a i n de b nne f i en lab a i e, a c n cienchimi e a i e , e la ali de l e ience m dicale, n e de l e l

m i la " an den ai e", l'ea able fl e d i le den a an l' ge ad l e ema b e de c ice e a e a h l gie 'elle e effec i emen en elle , e

n mb e e a e a h l gie g a e dan le gani me in e ne de c i en cinc able e de i di an m decin e aden ne na i n ci ili e d'aj e l n ai e ea d'ea able.

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C'e le c mble de la f lie c iminelle. ... N gani me de P ec i n Ci ile e le agence dange de l'em i nnemen de l'ea a la fl a i n ? S n ili a i n a a e dan ddi l i n d fl e de di m dan l'ea c n i e le a icide le m in che e le l efchimi e : inc l e, in d e, in i ide, a d'an id e, a de em de, a d'e i : l'e e minain an an e de a ... La fl a i n de ea d'ea e c n i e n len icide na ili ida i n na i nale. Elle e en e ne f lie c iminelle Une ahi n !"www.rense.com/general79/hd3.htm

En 1950, malgr l'absence de preuves scientifiques pour appuyer l'utilisation du fluorure dans notreapprovisionnement en eau publique, le gouvernement Am ricain a officiellement approuv la fluoration. Depuilors, plus de 75% des r servoirs de la nation ont t fluor s, et 150.000 tonnes de fluorure toxique sont pomppar an pour parvenir ce r sultat. Au revers de la m daille, malgr la pression exerc e par les dentistes ayasubi le lavage de cerveau, plus de 90% de l'Europe a rejet , banni, ou stopp la fluoration de l eau, en raison drisques sur l'environnement, sur la sant , du point de vue juridique, ou des pr occupations thiques. Le 12 av2010,Time Maga inea class le fluorure comme tant l'une des "Dix plus dangereuses toxines domestiquescommunes", et a d crit le fluorure comme tant la fois un"ne i e e en iellemen m ig ned'inge i n". A vrai dire, dans presque tous les pays du monde (y compris aux tats Unis), c'est agir contre la l

que de "soigner en masse" toute une population avec une substance dont tout le monde admet qu elle esttoxique. Cependant, aux Etats Unis, nous le faisons quand m me

Que devez vous faire pour vous prot ger du fluorure ? Tout d'abord, vous ne devez jamais utiliser des produiqui contiennent du fluorure tels que le dentifrice fluor ou les bains de bouche. Aussi, n achetez pas d'eau ebouteilles dans laquelle du fluorure a t incorpor . Je pense que ceci est un mauvais produit pr sent sur le

tag res. Et ne buvez pas d'eau du robinet sauf si vous disposez d un bon filtre fluorure. Visitez ce proposhttp://apps.nccd.cdc.gov/MWF/Index.asp pour voir si votre approvisionnement en eau est empoisonn avec dufluorure mortel.

Je recommande fortement le livre de Christopher Bryson intitul La Tromperie du Fluorure. Dans ce livre, Brys(journaliste prim et ancien producteur la BBC) d crit les int r ts multiples qui existaient dans les ann es 1et 1950, entre l'industrie de l'aluminium, le programme Am ricain d'armes nucl aires, ainsi que l'industrdentaire, et qui ont entra n puis amen ce que le fluorure soit d clar non seulement sans danger, ma"b n fi e la an h maine".Je recommande galement l'article 50 Raisons de s'Opposer la Fluorationsur www.fluoridealert.org/50reasons.htm.

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↓ Coqueluche↓

↓ Dipht rie↓

↓ Rougeole↓

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Je suis bien conscient que les vaccins sont consid r s comme sacr s par la plupart des m deciconventionnels. En fait, les remettre en cause quivaut un blasph me. Je peux vous assurer que je necontesterais pas l'efficacit et l'innocuit de quelque chose qui serait r ellement "saint" (sacr ), alors que lesvaccinations, j'en suis absolument s r, sans l'ombre d'un doute, (et je le dis avec pr cision) ne sonta eetelles ne sont a efficace pour pr venir la propagation de la maladie.

Au cours des 60 derni res ann es, en tant que pierre angulaire de la politique de sant publique, lesvaccinations ontca , et non pas emp ch , la propagation des maladies. Si vous tes capable de regarder cesujet avec un "point de vue objectif", vous pourrez facilement voir que les vaccinations de masse sont li es aux

pid mies d' chelle mondiale, aux probl mes neurologiques et comportementaux, ainsi qu la prolif ratides maladies auto immunes dans le monde entier. H las, il est possible que vous me rejetiez en tant "qu idioou "charlatan" ; si vous croyez cela, mettez votre t te dans le sable, et emmenez de nouveau vos enfants chezle m decin pour desinjec i n l men ai e de i n.

Vous voyez, la plupart des Am ricains feront tout ce qu'on leur a dit. D s le berceau, nous ne sommesa

encourag s penser de par nous m mes. Nous sommes programm s pour placer une confiance aveugle dannotre m decin et dans la Mafia M dicale. On nous apprend nea poser de questions. La triste r alit est quela plupart des Am ricains croient tout simplement en la vaccination, m me s'il est probable qu'ils n'ont pas idde ce qui est en elle. Des d cennies d' tudes publi es dans le monde, et ce, dans les principales revuem dicales, ont document des effets ind sirables graves (y compris la mort), cause de la vaccination.

Des centaines d tudes m dicales ont t publi es, des dizaines de livres ont t crits par des m decins et chercheurs, qui ont r v l l chec de la vaccination, les effets ind sirables, et les graves lacunes r unies aubien dans la th orie que dans la pratique. Pourtant, chose incroyable, la plupart des p diatres et des parents nesont pas au courant de ces r sultats. Inexcusablement, la plupart des p diatres ne savent m me pas ce qu'il y a

dans les vaccins qu'ils administrent. Vous ne me croyez pas ? Il suffit de le leur demander et d tre pr t voun regard perplexe sur leur visage juste avant qu'ils en soient se f cher contre vous pour le fait que vousayez os poser des questions, ou m me qu ils arrivent vous menacer si vous ne vous soumettez pas lepolitique de vaccination obligatoire ! Malheureusement, la plupart des p diatres ont jalonn leur r putatiosur la s curit et sur l'efficacit pr sum es de la vaccination, de sorte qu'ils ne sont pas exactement ouvertsentendre toute opinion contraire.

Par exemple, quand notre fille a n e, Brianna, fut g e d'environ 18 mois, nous l'avons emmen e chezm decin pour un examen m dical. Le m decin nous a dit qu'il tait temps pour elle d tre vaccin e avecvaccin RRO (rougeole, rub ole et oreillons). Nous avions effectu quelques recherches sur les vaccins, et tio

un peu inquiets qu'ils pouvaient ne pas tre aussi s curitaires que ce qui tait pr tendu. Donc, nous avons dit am decin que nous nous sentions concern s, et que nous ne voulions pas que Brianna se fasse vacciner, pensantqu il aurait l'honneur d exaucer nos souhaits.

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Sa r ponse a t stup fiante."Si ch i i e de ne a la fai e accine , al elle ne a ldan ce cen e m dical. V de e alle fai e igne aille . N ne mme a achela m i n de ce ba age m dia i e ( l'a i me). Le accina i n ne en ad i n ann en b nne le enfan c n i e n bien l g and i e d'a

accina i n ". Q elle a gance !Quel pompeux hypocrite. Nous aurions d sortir de son cabinetimm diatement, mais comme des milliers d'autres parents, nous avons c d la pression et avons permis cm decin d injecter du poison notre petite fille.

De C ck ail T i e

J'ai entendu des pr cisions propos des vaccinations, qui taient d crites comme tant unc ck ail i e constitu des plus immondes substances toxiques existant sur Terre. Les vaccins sont associ s des virud animaux vivants et morts qui ont t cultiv s dans les tissus des reins de singes, de vaches, de ch vres, porcs, et m me de foetus humains avort s. Ils contiennent une combinaison des l ments suivants : thim rosa( thyl mercure), aluminium, formald hyde (liquide canc rig ne d'embaumement), ph nol, thyl ne gly(antigel), virus vivants, bact ries, et ac tone, entre autres choses.

Le Professeur Boyd Haley, de l Universit du Kentucky, affirme :"V ne ie m me a c n ide i m n e ai e le him al e . C'e im lemen i e. Si i

n animal, n ce ea e a malade. Si l'a li e de i i an , le cell le nme e dan ne b e de P i, la c l e me . L e l n ai ce ch e , il e ch an d

e l injec e n enfan an l i ca e de d mmage ".www.rollingstone.com/politics/story/7395411/deadly_immunity

Et si je prenais du mercure, du formald hyde, de l'aluminium, de l antigel, et des virus vivants cultiv s avec dtissus d animaux morts, que je m lange l ensemble avec du beurre d'arachide, que j tale tout cela sur umorceau de pain, et le donne manger mes enfants pour une collation ? Pensez vous que je serais un bonp re ? Et si je disais :Cela le em che a de mbe malade? Vous poseriez vous des questions sur ma santmentale ? Il y aurait des chances que je sois susceptible d' tre arr t pour maltraitance d'enfants. Toutefois,lorsque des m decins injectent nos enfants les m mes ingr dients (moins le beurre d'arachide), et nousdisent "Cela a le em che de mbe malade ", la plupart d'entre nous n ont m me pas d arri re pens e. Et sivous appeliez votre m decin et lui disiez que vous allez injecter du mercure votre b b , ainsi que dl'aluminium, du formald hyde et que vous lui demandiez quelle est la"d e de c i " relative cesingr dients ? Eh bien, juste apr s qu'il ait contact les Services de Protection de l'Enfance, il appellera sanaucun doute la police ! Vous voyez, il n'y aa c n d age c i ai e parce que ce sont toutes des substancestoxiques.

Les d riv s du mercure, l'aluminium, et le formald hyde sont les ingr dients contenus dans la plupart devaccins. Comment est il possible qu'ils soient sans danger ?

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La r ponse, c est que cela d pend de qui les injecte. Si vous ou moi injectons notre enfant, du mercure ou dformald hyde, nous allons en prison. Mais si une entreprise m dicale ou un m decin injecte les m mes poisontoxiques, ils sont alors parfaitement sains et sans danger. Qu'est ce qui cloche dans ce tableau ?Malheureusement, la plupart des Am ricains suivent la masse, croient ce qu on leur dit, ne se posent pas dequestions, et placent une foi aveugle en nos m decins. Mais o donc les m decins effectuent ils leur formationm dicale ? C est a la facult de m decine.

Les facult s de m decine, qui sont largement subventionn es par Big Pharma, lavent le cerveau des tudianten leur faisant croire que les vaccins sont s rs, sans danger, et pr viennent la propagation des maladiesinfectieuses. Il n'est pas surprenant qu il y ait une incitation financi re importante pour Big Pharma c l e la vaccination, car elle fait fortune sur la vente de ces cocktails toxiques. Une fois ces tudiants devenum decins, d'importantes commissions leur sont offertes pour vendre plus de vaccins aux patients et poursuivreleur foi aveugle dans la n cessit de ces poisons.

La plupart des gens acquiescent l'empoisonnement de leurs enfants parce qu ils ne peuvent tout simplementpas croire (ou ef en de croire) que leur "omniscient" m decin pourrait tenir un raisonnement erron . Ce que

nous avons, c est une foi aveugle dans les m decins, qui ont eux m mes une foi aveugle dans ce qu'ils oappris la facult de m decine dirig e par l'AMA, qui est au lit avec Big Pharma, ce dernier tant int repar les b n fices que r colteront les actionnaires, etn n a par la s curit de nos enfants.

Jenne & La Va i le

L Anglais Edward Jenner, n en 1749, est cr dit du titre deP e de accin. Il croyait en cette superstitionqui circulait parmi les laiti res, qu'une personne qui avait t atteinte par la variole de la vache ne pouvait pacontracter la variole. En 1786, pour son test initial impliquant un"c ba e h main", Jenner racla le pus issu del sions dont tait victime une fille de ferme et injecta ce pus James Phipps, un jeune gar on g de huit anPeu de temps apr s, il inocula la variole ce gar on, et la variole ne se d veloppa pas. Jenner estima qu'il avatrouv le rem de la variole. Au cours des douze ann es suivantes, Phipps fut ainsi inocul une douzaine dfois, et finit par mourir de la tuberculose l' ge de vingt ans. Le propre fils de Jenner a lui aussi t l'un de secobayes, et est galement mort de la tuberculose l' ge de vingt et un ans. Depuis ce temps, les chercheursont li la tuberculose au vaccin antivariolique. (Eleanor McBean, l'Aiguille Empoisonn e).

Au cours des ann es suivantes, Jenner rassembla la "preuve" que son vaccin antivariolique fonctionnait, et il l'aensuite pr sent au Parlement. Il a alors pris soin de ne r v ler uniquement que les donn es qui ont soutenu sath orie, sans jamais mentionner la multitude de gens qui r futaient sa th orie (c'est dire les gens qui on

contract la variole de la vache, et qui ont ensuite t victimes de la variole).

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Il avait pris grand soin de ne mentionner uniquement que les cas d'une douzaine d hommes g s, qui avaiensouffert de la variole de la vache, mais n'avaient pas contract la variole ensuite, tout ceci, en omettantcommod ment les centaines de cas qui avaient contract les deux varioles. Finalement, apr s des ann es demanipulation des donn es et un " ea finage" de sa formule de vaccination antivariolique, il a" end " sath orie de la vaccination l' lite intellectuelle ainsi galement qu aux fonctionnaires gouvernementaux.

Malgr les efforts de Jenner, la g n ralisation de la vaccination n' tait pas vraiment devenue aussi populairequ il l aurait d sir . En 1807, seulement 1.5 % des Britanniques avaient t vaccin s. Jusqu'en 1823, l'annd c s de Jenner, il n tait apparu en Angleterre, seulement que quelques ruptions r gionales de variole, rienque l'on aurait pu consid rer comme une pid mie. Durant les trente ann es suivantes, la variole s taretrouv e sous contr le. Cependant, les vaccinations devinrent obligatoires en Angleterre, en 1853 et en 1857 des amendes et des peines d'emprisonnement attendaient les personnes qui refusaient d' tre vaccin es contrela variole.

Une fois que la vaccination antivariolique fut devenue obligatoire en Angleterre, des pid mies massivescommenc rent appara tre. Entre 1857 et 1859, il y eut plus de 14,000 morts, victimes de la variole. Puis, en

1863 et 1865, il y eut plus de 20,000 d c s dus la m me maladie. Quelques ann es plus tard, ce fut presq45,000 morts, victimes galement de la variole, entre 1870 et 1872. Selon les estimations officielles, 97 % depopulation fut vaccin e (Anne Riley Hale, le Vaudou M dical). Le Japon a rendu les vaccinations obligatoires 1872. En 1892 il y avait 165,774 cas de variole, qui ont fait 29,979 morts, malgr le programme de vaccinatR l a final : le vaccin antivariolique ne fonctionnea .

Q en e il la P li m li e ?

Le vaccin contre la poliomy lite n'a t il pas sauv des millions de vies ? La population de New York, en 1950constitu e de quinze millions d habitants, et cette ann e l , il y eut treize cas de poliomy lite, et un d ccause de cette maladie, pour 100,000 personnes. peine une pid mie ! Mais se basant seulement sur la craintlimit e d'une" id mie" de poliomy lite, le docteur Jonas Salk persuada le gouvernement f d ral d'inoculer97% de la population Am ricaine, avec une culture d velopp e sur des singes verts morts. Au fur et mesuque le programme de vaccination de Salk s' tendait, les cas de poliomy lite paralytique commenc rent augmenter. En 1959, plus de 5,000 cas de poliomy lite paralytique apparurent, 50% de plus qu'en 1958, et 100de plus qu'en 1957. Cette tendance s est d velopp e malgr les 300,000,000 de doses de vaccin de Saladministr es aux Etats Unis vers la fin de 1959.

Six tats en Nouvelle Angleterre, annonc rent des augmentations de cas de poliomy lite, un an apr s que lvaccin de Salk fut introduit, ce qui porta les cas aux limites de l'augmentation de 100% dans le Vermont, etl'augmentation tonnante de celle du Massachusetts de 642%.

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En 1962, aux Etats Unis, durant des auditions au congr s, le Dr. Bernard Greenberg, (Chef du D partement Biostatistique pour l'Universit de la Caroline du Nord, cole de Sant publique), a t moign que non seulemeles cas de poliomy lite avaient consid rablement augment apr s que les vaccinations aient t rendueobligatoires, mais galement que les statistiques furent manipul es par le Service de Sant Publique, et par lCDC, pour donner l'impression oppos e. ( A di i n a an le C mi In e E a e d C mme ce,Chambre des D put s, 87 me Congr s, Deuxi me Session sur H.R. 10541, mai 1962, p.94).

Par exemple, apr s l'introduction du vaccin vivant contre la polio, en 1958, les CDC ont ainsi modifi la d finide " li " Les cas d'inflammation de la membrane qui prot ge le cerveau et les cellules neuronales de lamoelle pini re, entra nant une faiblesse musculaire et des douleurs (mais pas de paralysie) , et ces sympt mene seront plus depuis cette ann e l , class s comme" li ".Ils ont d , depuis, tre appel s m ningiteaseptique, m me si le virus de la poliomy lite est pr sent. Les cas signal s de m ningite aseptique, de ce fasont pass s de presque z ro, plusieurs milliers, et les cas de poliomy lite ont diminu du m me chiffre. Puquelque temps plus tard, toujours en 1958, les CDC ont modifi la d finition de" li ",une nouvelle fois ! Tousles cas de polio classique, pr sentant les sympt mes paralytiques, ont t appel s la paralysie flasque aigu . E1960, le CDC d clara triomphalement que de grandes parties du monde taient d sormais devenuese em e

de ca de li , tandis que la nouvelle paralysie flasque aigu tait"m ie emen " devenue tr s courante.

Presque 20 ans apr s les premi res inoculations du vaccin anti poliomy lite, en 1977, Salk a t moign devansous comit du S nat, que toutes les ruptions de poliomy lite, intervenues depuis 1961, ont t caus es parvaccin oral contre la poliomy lite. En 1985, le CDC a annonc que 87 % des cas de poliomy lite aux Etatsayant eu lieu entre 1973 et 1983 furent caus s par le vaccin, et la plupart des cas annonc s ont touch deindividus enti rement immunis s . Fait alarmant, le CDC a admis que le vaccin contre la poliomy lite est levecteur de la cause connue aujourd hui aux Etats Unis.

Souvenez vous, j'ai mentionn que le vaccin contre la poliomy lite fut initialement cultiv par des singes ve

morts, et ensuite contamin avec le virus SV 40 (de 1959 1965) ? Il s'av re que le SV 40 peut se transmhorizontalement ( savoir entre le p re et la m re) et verticalement ( savoir de la m re l'enfant). En fait, le S40 est souvent associ un m dulloblastome, la tumeur du cerveau la plus fr quente en p diatrie. Lorsque lescientifiques ont inject de jeunes hamsters du SV 40, plus de 80% ont d velopp des cancers du cerveau. traces de ce virus sont g n ralement trouv es dans les cancers du cerveau, chez des millions de personnes quont re u des vaccins contre la polio contamin s par le SV 40. En 1979, les m decins J. Farwell, G. DohrmanMarrett, et J. W. Meigs ont crit un article intitul : "Les Effet du Virus SV40 les Vaccins contre la PContamin s, avec Incidence et des Types de CNS N oplasmes, chez les Enfants : une Etude Bas e surPopulation". Dans ce document, ils ont signal une augmentation substantielle des tumeurs du cerveau chezl enfant, en particulier avec le m dulloblastome, lorsque les m res avaient t pr c demment inocul es av

des vaccins contenant du SV 40.

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Il est vident, en regardant le graphique ci dessous, qu au moment o le vaccin vivant contre la polio a introduit aux Etats Unis (dans les ann es 1950), l'incidence de la poliomy lite avait d j diminu de 80%.

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Ecl i n dan le Z ne Vaccin e

Saviez vous que la plupart des foyers de la maladie se d clarent au sein m me de populations compl temenvaccin es ? Au d but de l ann e 2010, une closion de cas d'oreillons s vit chez plus de 1.000 personnes York et dans le New Jersey. Ce qui est int ressant, c est qu' Ocean County, New Jersey, la porte parole

comt , Leslie Terjesen a d clar CNN, que 77% de celles et ceux qui ont attrap les oreillons, avaient d jvaccin s contre cette maladie. Si les vaccins contre les oreillons avaient effectivement rempli leur fonction, alorce que vous devriez voir, c est que les oreillons devraient se propager notamment parmi ceux qui ont refus levaccins, non ? C'est logique, n'est ce pas ? Mais, dans ce cas, la r alit s exprime avec une histoire diff reL analyse objective a obligatoirement conclu que ce sont lese nne accin e qui ont caus cette closionde cas d'oreillons.

En 1967, l'OMS a d clar que le Ghana tait parvenu au stade de "plus aucun cas de rougeole signaler", aprque 96% de sa population eut t vaccin e. Cependant, en 1972, le Ghana fut confront l'une de ses pir

pid mies de rougeole, et le taux de mortalit s av ra tre le plus lev jamais enregistr .Le J nal del'Ame ican Medical A cia i n, du 21 novembre 1990, d clara :"Bien e l de 95% de enfan d' ge ca E a Uni , ien accin c n e la ge le, de g ande cl i n de ca de ce e malad

d i e dan le c le , e la l a de ca e d i en che le enfan accin an ie e

Un article publi en mars 1987, paru dans le New England Journal of Medicine (NEJM), a indiqu qu'une clode rougeole est survenue dans une population scolaire compl tement vaccin e, Corpus Christi, au Texas. Unautre tude publi e en juillet 1994, dans le NEJM, a relat que plus de 80% des enfants de moins de cinq ans, qavait contract la coqueluche, avaient t compl tement vaccin s. Il y a litt ralement des centaines d'autreexemples d' pid mies chez les populations compl tement vaccin es, mais je pense que vous suivez mon poinde vue, n est ce pas ?

Le Vaccina i n & L A i me

Le membre du Congr s de l Indiana, Dan Burton, a commenc tenir des audiences sur la relation entre vaccins et l'autisme de l enfance, en automne 2001. Son petit fils est devenu autiste, apr s avoir re u quarantneuf fois la quantit de mercure consid r e s re par l'EPA, au cours d'une visite chez son p diatre, qui luiinject neuf vaccins en une seule fois. Au cours de ces audiences, parents apr s parents cit rent des histoirestr s semblables. Ils parl rent de la fa on dont le d veloppement normal de leurs b b s avait brusquemenbascul , peu apr s la vaccinationRRO, ou avec le vaccinDTC. L tat de sant des enfants est soudainementdescendu en spirale, la baisse, vers un tat ressemblant celui d un v g tal . C est le comportemautistique, dans lequel se retrouvent des enfants pr c demment joyeux et lumineux, qui tout coup, nepeuvent plus ni apprendre, ni communiquer, ou qui ne reconnaissent tout simplement plus leurs parents.

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Merci David Dees pour la photo ci dessus.

Cet tonnant t moignage a t r v l par des experts, exer ant dans le domaine de l'autisme. Par exemple, lDr. Michael Goldberg a expliqu comment il est impossible d'avoir une pid mie bas e uniquement sur g n tique. Car c'est notamment l excuse standard de la CDC et des NIH, qui ont utilis ce stratag me afin tenter de justifier pourquoi l'autisme a litt ralement explos en un peu plus de 2 d cennies. La Dre. MarMegson a expliqu comment l'autisme est pass du stade d inconnu en 1978 (avec une incidence d un cas10.000sujets), une pid mie en l an 2000 (avec une incidenced n ca 166 enfan). Ses recherches ontmontr une carence totale en vitamine A, chez presque tous les enfants autistes.

Pouvez vous deviner ce qui puise le taux de vitamine A du corps ? Vous avez trouv la vaccination RRtonnamment, la Mafia M dicale insiste toujours sur le fait qu il n'existe aucun rapport, entre les conservateur

toxiques au mercure pr sents dans des vaccinations obligatoires pour l enfance, et l'augmentation tonnantedes cas d'autisme, malgr les preuves scientifiques suffisantes, justifiant du contraire. Le Dr. John O'Leary, ubiologiste mol culaire Irlandais, chercheur de dimension mondiale, en utilisant l'art de la technologie des quen age, a d montr comment il a pu retrouver le virus de la rougeole dans l'intestin de96% d enfantsautistes, comparativement 6,6%d enfants normaux. Fait int ressant, ce virus ne provenait pas de la maladienaturelle ; il tait directement issu du vaccin contre la rougeole.

Finalement, le Dr. V. Singh, un sp cialiste de l'autisme, dans l'Utah, a r v l que dans plus de 400 cas d'autismles enfants ont connu un pisode de maladie auto immune, dans lequel leur corps a t soumis une attaque dla muqueuse du syst me nerveux.

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Il a d clar que 55% des familles se sont aper ues que l'autisme appara t peu apr s la vaccination RRO, et 33% des familles se sont aper ues qu il est apparu peu apr s la vaccination DTC. Ces dommages neurologiqsont en effet bien tablis sous les effets du mercure, de l'aluminium, et du formald hyde, utilis et contenu dansces vaccins.

Eh oui, le mercure est toujours pr sent comme conservateur dans la plupart des vaccins, y compris le vaccincontre la grippe. Beaucoup de gens sont sous la fausse impression qu'il a t retir des vaccins entre 2000 et2002, mais ce n'est pas exact. Le thim rosal, ou l' thylmercure, est encore utilis dans le proc d de fabricatiode presque tous les vaccins, mais le renseignement n'est plus divulgu sur l' tiquette du vaccin, car ce n'est plusconsid r comme un ingr dient "ajout ". En cons quence de ce fait, le d put membre du Congr s, DBurton, au cours d'une audition au Congr s tenue en 2003 au sujet de cette question sp cifique, a demand quedes sanctions p nales soient engag es contre le chef de la FDA et de la FTC. Pourtant, rien n'a t fait. Lm dias ont n glig de rapporter l'histoire, et le mercure continue d' tre utilis dans le proc d de fabrication dtous les vaccins.

le 26 novembre 2005, le pr sident George W. Bush a demand un tribunal f d ral, le retrait des documen

relatifs des centaines de cas d'autisme, qui auraient t caus s par le thim rosal, un des ingr dients toxiqueutilis s dans de nombreux vaccins destin s aux enfants. L'action juridique du gouvernement s'inscrit dans lfoul e d'une insertion dans le projet de loi Homeland Security, qui prot ge Eli Lilly, le g ant industriel m diqui d veloppe le thim rosal, contre les poursuites impliquant l'additif.Le je de l i ime

e n abili im able l'ind ie ha mace i e e a a i ani ai e le d c l an de ce agen de c n e a i n.

Oui, les gens pr sents dans notre gouvernement sont corrompus. Selon un article du 12 mars 2010, r dig par Wiliam Engdahl, depuis 2002, le US Center for Disease Control (CDC) a pay le Dr. Poul Thorsen, chef groupe de recherche Danois, 14,6 millions de Dollars, pour publier des tudes qui r futent les liens entre le

vaccins et l'autisme, en d pit du fait que des enqu tes ont d couvert une fraude scientifique, dans les tudesant rieures men es par Thorsen. Son partenaire, Kreesten Madsen, a d couvert r cemment une conspirationavec les autorit s du CDC, qui ont frauduleusement s lectionn uniquement les donn es favorables, afin d"prouver" l'innocuit des vaccins. La police danoise m ne actuellement une enqu te sur Thorsen pour deaccusations de fraudes criminelles, et affirme qu'il a disparu avec 2 millions de Dollars, cette somme d'argenprovenant des contribuables Am ricains, a t vers e par la CDC.

L Hi i e de Ch i ian

Ce qui suit est l'histoire de Christian, relat e par une m re d vou e, aimante, qui n' tait pas pr te accepter fait que son pr cieux fils de deux ans, ait t diagnostiqu avec l'autisme. Elle a remarqu un changement cheChristian, imm diatement apr s qu il ait re u ses vaccinations de six, et de neuf mois.

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C est l histoire de Christian, telle que racont e par sa m re :

L e m n fil f g de i m i , n mme all che le m decin ( n cabine ), hean , i a n i le cabine , a ec Ch i ian i c iai ellemen , a b d ne he e

dan n f nd mmeil endan l de a e he e . J'ai e a de le eille afin il i ce 'il lai fai e, c' ai d mi , e il a c mmenc d el e ne fi e, i a a ein

n i l , n a n a el le m decin de l'h i al, e il n a e c' ai n mal, mai d nne d T len l. J'ai e a de ef idi n c a ec de l'ea em a e ambian e ; cela abien e mal, mai ce f ne n i eff a an e. Le lendemain, j'ai emmen le b b a cabine d mdi : n ne n ien fai e c n e la fi e, j e l i d nne d T len l . Le lendemain, la m

d i e, e ce j l , j'ai chang de m decin. Le a i me j , je i all e e n n ea me c' ai ne infec i n i ale, e e cela n'a ai ien i a ec e accin . Il ai gen il e

b nne mani e d e en n che e , d nc je l ai c , e i e n e le aCh i ian a a ein e ne f m i . Une n elle f i , il e mb malade, mai n a n' ai a

d an la c den e c i e, l de e i m i . Ce e f i , la fi e e m n e j ' 38,9 Cde d mi , e n e i de ce a de mmeil, en i n ing a e he e l a d, mfa able, a la i e.

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Le enfan changen a j le j and il n i je ne . Ch i ian a c mmenc a le e m i , mai in e m i , il a ai e d la ca aci de e ime e ne ai e lemen di e n e e , n a n c mmenc le e d e, il ne ndai a n n m, a n a ec le e , e il a c mmenc le e e e le em . Il ne lai a d mi l df i , ai j en c l e e i len , il ne lai l am e a ec e e j en a ai im lemen en ie e d' e e l, e ega de la l i i n d an e la j n e. A lme anni e ai e, ing m i , n l'a n emmen en c n l a i n d c i ce i e a ai

n di 'il ai ic ime d alle gie alimen ai e , e e n de i n e a e le d i digl en, e an ca ine (GF/CF). Eh bien, n a n fai cela, mai le g aien lenme anni e ai e, n n a di 'il ff ai d'a i me ain i e de T ble En ahi an d D el

V il c mmen a c mmenc . A ec le ec l, ai c i , mai je ne a ai a ce il falem i e le ch e , le gen en i j'a ai c nfiance, e e le el je m ai n e m a aien men i e ne fai aien e ec mmence le men nge . Je ne e ai jamai l a i P ne m e i ne c nnai ai ien a je de l'a i me, ma ie e de en e elle e j ai maladie. Je lai m cc e de m n enfan endan la j n e, e a ai me n i eche che

di nible m n fil . D an le de ann e i an e , n a n cin "S ciali e ", ch a e e , e a n fai bea c de changemen de gime alimen ai e i c m enaien l men . N i n n gime GF/CF, e mme all e n gime RGS (Le

cifi e ), i lec i nne e e men le gl cide e n ce i e ne dige i n minime, ea idemen ab b ), i enfin ne alimen a i n e ic i e nan e. Pendan ce e

c n a de am li a i n , mai elle n' aien a ec ac lai e . C' ai c e , i an la f i . P le a e a en i le ili aien , cela ffi ai il ien d'im

M me a ec cela, m n fil ai main enan g de a e an , e il ne e imai je en e m , il n effec ai e e de c n ac c lai e , il ne ndai a n

m nde i n ai e le ien, e bi ai a m in i g ande c i e de c l e, a j . Il

l en f nde , e affine ce e n fai i n .Le in de ba c lemen , m i, a and j'ai c mmenc le end e alemen en cha ge, e

le l men en emble. J'ai d cid de i e , e de end e le c n le de la an de men je ne fai ai e end e im lemen le d e de ciali e , e ne fai ai e ce

fai e. J'ai al d cid de a i de n elle ba e , e a aille j a g i n c m le n m decin i ai ca able d'e c e le e de lab a i e a i , e il a ain i d

bl me de an de m n fil , e a e lemen le m me . Il a e m n fil aalimen , il a ai le me imm ni ai e, ain i e le me m ab li e, affaibli . Nc ncen le a e inci ale e i n , le d e chain m i , e len e

c mmenc i de am li a i n .

363



A ec l'a che h a e i e d c en ie , la g i n enai , n c f na ellemenmagnifi e ca aci g i l i m me. J'ai n gime alimen ai e, le el n c

i c m enai de j f ai d j . N a n im le ine a ch la i n. E en m ab li e e imm ni ai e, n c a en me e de g i . A j d'h i, m n fil e c m

i an , il e c la i dan ne cla e n male de emi e ann e, e e im li dan le ba ebalenni . A j d'h i, il e im ible de le di ing e de e ai . Le gen n en ie ble d ec e a i i e, an ie .

Ce e e ience m'a a i l'im ance de ce e fai e , e dan el d e l effecce d e l , j'a ai gagn d em , de l'a gen , e de la f a i n, en an le

.

C'e im lemen n lan i a f nc i nn n . S'il la c n l e n m decin am difica i n a in de e enfan . Ce c le e c n e i i dan l' d e, a ea c ne e ce i n. S i e le c le dan ce d e, e e i de am li a i n a

i de de em . Cela c n ib e a m i e , afin d e e fid le ! Cela m'a i 2 an

ne f i e j'ai c mmenc ce c le, mai il a c mmenc a meille m men . Cela ignifie len emen , de g , e n en fi i n a i galemen , ain i la an i i n f l facile.

L 10 P N .

1.S ' gani e , fai e de li e de ce d n a e be in, fi e n chd b e e me e en e e le changemen (n ammen i c'e bea c fai e la f in ea changemen a emaine).2.N C i ine, alimen a i n, en i nnemen , i emen , d i , le ancien m de de iehabi de .

3. L P l ea , la c i ine, l alimen a i n, l en i nnemen , le i emen , le d iie, c a i n de n elle habi de .4. L R a de fl dan l'ea able, c n mme de l ea fil e ni emen , ma

80%, e ne end e e lemen e 20% d'alimen acide , mange de e alimen idalimen bi l gi e e lemen , ien en b e de c n e e , de alimen f ai c ngel e

g amme Feing ld, bea c d'alimen iche en a i m, an el/ di m, a de iande g ai e , mange l de f i e de l g me CRUS, i e le alimen alle g ne el e bl , l

ja, le ma , l'a achide, i e le c e... a end e mange de f i le de e .5.L ' e n m decin Defea A i m N (DAN) , e c ede lab a i e, e c n mme de l men ne an a d alle gie .

6. L S (Le m hie e ne b i n lac e, e le l en f i e) (le mmie ). Se enche le j : ce 'il ne mange a a , 1 2 de j e e n n imen iche e de em la dige i n, le j de mme, de ca e n em li de i amine .

364



7. L C La ie e e, bi l gi e, e la meille e, a de d ne l e iea le l'enfan idiennemen , ili e le c mme h a ie (la c dina i n main / e

i e de di ec i n ), le enfan a ennen mie en 'am an e en ian , il f n n je a ecde lai e le e i , e de enfan ide .8. L C (d i e fai e la e i i n d' n m decin), De e ai en lab a i e n

l a En ca de ence de b ance i e , n ch la e e a ili d lacec , n e a mi le ch la e le DMSA, le a na, l'alimen a i n e le j .9. L T ... De ma i e en an i e de ali , ( a i e a i endan le ai emenmai n), l'ABA, OT (Occ a i nal he a ), El c i n, em de a le, le en i if.10.V S ... In g e ce changemen dan e ie, e ' eni . Ne e ne a

ne f i e e enfan e g i. Il e j en ain de ec n i e n c , ealemen cica i . M fie de ine e de d i chimi e .

Le c n mma e de la an , f m cela, c m i le a en inf m , ennen le cm me . Il ch i i en de m de de ie ain e age , de in de an al e na if i ne ec n an e ili a i n de d i ha mace i e , c m i n calend ie de accina i n

e e en i e le fai e d j , mai ega de de . e c h en ? Fai ePa e em le, en d nnan e enfan , de c n eil e lemen cha e emaine, e en l i fai analimen emball , gen e Fa F d, cela ne d i a a le m me l a a ec n enfalimen bi , c i in mai n, a ec n gime d d alle g ne, i mange a e b i a ain, de

el e le j de f i f ai le j , en enan in de l l c i n. Le l adiff en .

M H : Q , . Q an m i, j' ai d e e e d cid e g i m n fil . C n in e a aille

e a en i n e bjec if l ng e me i e la g i n de e enfan . Si m i a i n, c mmence a gne le c ll ge ! Cela e end e l de 2 an , mai

e en i emen d di e c h en . Ra ele , cha e a en a an e n a de l ela g i n de e enfan .

Eleni Prokopeaswww.GreenDivaMom.com

L Hi i e d Abie

Ce qui suit est une histoire inspirante, celle d'un p re d vou qui a travaill avec diligence, afin d aider son fisurmonter les sympt mes de l'autisme, pour vivre une vie normale. C'est l'histoire d'Abie, telle que racont e parson p re, le Dr. Rashid Buttar :

M n fil Abie a e d la fac l de a le , e l' ge de 14 m i . S n cab lai e limi , c m a a idemen di a en l e ace e lemen de el e emaine , a a i i me ie de a

365



S n emie m , "Ab " ( i ignifie e en A abe), a le emie di a a e. Sa md cid , e n ne li n a in c le n e fil , en ai n de la ence de him al (me cla accina i n, i, c mme men i nn , e ili c mme c n e a e . Pa an d fai e j' ail' ne de a i en lace, e eni , de emie lan dan la ic l gie de m a , il n' am en e m n fil i e a me c e. m n in , ce endan , m n e e a ai

accin admini g li emen , a ce 'elle a ai c la agande de e , che ele m decin de l'h i al, l de n acc chemen . Elle a ai fai e end e le in c la i n , le le

i a i la mai n, i l'a ai in c i e accin l ie . l' ge de ddiagn i " n e a d dan le d el emen ".

Abie e n le 25 jan ie 1999. En ma 1998, di m i a an a nai ance, e n m i a an a c ncela d ci i n de ne a i le a ien a i e , a ec n e a d l l ng dan le d el emee clai e Die a ai n lan ci m i, mai je m' l ignai d d i chemin. Main enan , jce e e ience n a ien de l n me age clai en a Die , fai an de la ench

e ai cen fai e, ca a c le fai e . Il ai iden m i e la e l ' n d lai an i i e dan n d el emen . C mme le em a ai , le dia

e la m me ch e. "Eh bien, il n a bablemen ien. A ende n e . C e e e n d el emen ". Mai je a ai e el e ch e allai mal, a ce 'il a ai e d a fac l n' ai a c mme 'il ne l'a ai jamai ac i e. L , il l'a ai e d e ! De d e in e m de

a bea c , mai c'e and m me el e ch e ! E main enan , ce m aien a i

Je ne a ai a i fai e. A an d j ai de cen aine de a ien a ein a la icil mb, je ne m' ai jamai cc , ce je , d n enfan a i je ne. Je a ai , a a i

a i e dan le a , e n c m emen ai le m me, a ec la m me d ma che, le ba emede c m emen d a im la i n i if , i e e en c amd el emen , e n indica if d' ne dimin i n de en e en ielle e cela m'a e ifi

fil n' ai a cen e c mme a. J'ai en i e a de millie d'he e la l a d'enn i , a f i e la n i die , eche che , a end e, c ie , e ie , e m n flaid , li , e menac Die . J'ai l change , a ec le C a e , la n g cia i n de me b a change d e de m n fil . T a l ng de ce e e e, Abie me ega dai j a e

c le ch c la a lai , i laien di e, "Ne in i e a , Pa a, je ai e a c m end

366



Finalemen j'ai c m i . R ali an e le me c e ai la ca e la l bable, j'ai e Abie a an n e final, e finalemen il n e en i if a me c e. En c n ence, j'ai d ede d ifica i n inn an e l i, i j e l n'a ai jamai en i ag e. Cin m i ad ifica i n, Abie e a d ne ab ence ale de langage, n cab lai e de l de cin ceal , e e i an e demi. E , c mme je l'ai a ag a ec dan le cha i e 2, le 6 mai 20an , Abie e de en le l je ne m in, c m a a e en ali de m in d a di i n deAm icain, la S C mmi i n de D i de l'H mme e d Bien e, a je de m h

ai e le ble e ne l gi e , e le dange d me c e c n en dan le accin .

A j d'h i, le gen me demanden 'il e n mal . Cela me fai i e d' en e , a ce 'il nIl e j e e a dinai e, e ce i nnellemen bea , nnammen d , de an e ai l' cma i e , e de de i ni ea en a ance, en ma h e en anglai . C e n a hl e inc

, il en e n cla emen dan le a ma ia , ne i le c nne de cham i n, di emie a m nde, dan de f me de c mba , e ce, de ann e d'affil e. Il a aille macein e n i e de ec nd deg en Taek nd . Il che cha e e nne i le enc n e, e i le M me le a en de enfan a ec le el il i ali e, iennen m i, afin de me fai e ema e e n e i if. Il e , an a c ne e ag a i n e ce i , aimen ne de l g andema ie de e. A i e de a a e en imen al, j'ai a f i e en i ne elle i e e

le e e d m nde, i ne c nna a jamai la en a i n inc able e inde c i ible d' e le

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Un in le m a l d , e je c i , e en iel de c m end e, c e la na e de la nece e emi e ca g ie de ine . En cience, ne d e l ale (DL) de e b ance, e

an i n ce ai e e ne e nne 100. Ce e me e e c nn e le n m DL1ne DL17 e ai ffi an e e 17 e nne 100. Si a e i ne DL1 de me

ffi an e 1 e nne 100), e i a e i ne DL1 de l mb (ce l mb e e nne 100), en i e, i fai e ab be ce an i a m me 100 e nne

l en emble de ce 100 e nne ! C'e de ce e fa n ne gi e e le m a l d n dan le m nde e m ne a ec l d' ne de ce ine , l in ie m me de le c .

Il a j e ne de, d n je i c n cien 'elle a men e al e le ca ac e ne gm a l d . Effec e dan le ann e 1970, elle c nce na le me c e, le l mb e le cadmi m.

a i n a aimen c mmen agi aien le effe de c e de ce ain m a , la ec d'a e m a , e ce, dan le m me indi id . Ce endan , e ce b ance n e ib n c le de d ifica i n. A ec le em , le c e e c m l emen ne

ec n i e, ne lai an a c ne lace le maladie ch ni e c mmence , an eabai e, la cha ge de ine dan e c .

Pl de i mille cin cen m decin a a Uni ab den la e i n de la ici chl d . Ce endan , la l a de ce m decin n' n a e de f ma i n l e c n e cde m a l d , e m in de de cen d'en e e , n ce ifi a le C n eil de l Ame iMe al T ic l g (ABCMT), en ic l gie de m a l d . Je gg e f emen de m decin c n eil ce ifi m decin c n eil ligible , .ABCMT. g , le i e fficiel d C n eil. Ra e

e la hi a chie m dicale ne ec nna a la ici ch ni e de m a c mme ne een i ag e, e ne ec nna a l ABCMT, ne gani a i n f nd e il a de en e an . A m

ligne , je i le iden de l ABCMT.

Pl d Inf ma i n le Vaccina i n

Le Dr. Archie Kalokerinos tait un m decin qui commen a vacciner syst matiquement les enfants aborig nen Australie, au cours de la fin des ann es 1960. Peu de temps apr s qu il eut commenc les vaccinationsremarqua qu un nombre extr mement lev de ces enfants, tomb rent tr s malades ou d c d rent.

remarqua galement, que les enfants qui taient malades au moment de la vaccination, taient plussusceptibles d' prouver des effets ind sirables.

368



Dans son livre Un Enfant sur Deux, le Dr. Kalokerinos a galement not que les enfants ayant subi des r actioind sirables, r cup raient plus facilement apr s avoir re u de fortes doses de vitamine C, et que le nombrd'enfants qui avaient subi des effets ind sirables diminuait de fa on spectaculaire lorsqu il s agissait d enfaen bonne sant pr alablement, et qui avaient pris de fortes doses de vitamine C apr s avoir t vaccin s.

"On a ai 'a end e, bien , ce e le a i 'in e en ce b e a i n , i ec ac lai e d n mb e de m de n ea n dan la ne i e m n c n le. Mai a

ceci a ec n elc n e in , le ac i n a d' ne h ili e me. Ceci me f a me la e i n de la accina i n, e l j b e ai le nemen , l je de enai ch . J' ' , . La l a de m decin n c n ainc '

ile , mai i ega de le a i i e a i e e die le ca de ce maladie , alc m e e ceci (le ec e de accin ) n'e a a i c nc e ." Interview du Dr. Archie Kalokerinos, danla Lettre d Information sur la Vaccination Internationale, juin 1995.

Une tude a r v l que 3.000 enfants meurent dans les quatre jours suivant la vaccination, chaque ann e, en

Am rique. D autres tudes effectu es par des chercheurs ont conclu que la moiti des cas de Mort Subite dNourrisson (MSN) Am ricains (mortalit infantile situ e entre 2.500 et 5.000 par an), sontca par lavaccination. (Viera Scheibner, Ph.D., Vaccination : 100 Ans de Recherche Orthodoxe Indiquent que les VaccConstituent une Agression M dicale sur le Syst me Immunitaire). Il est tonnant de voir combien la litt ratum dicale existante, documente l' chec des vaccinations. En 1989, le Center for Disease Control (CDC)rapport : Pa mi le enfan d' ge c lai e, de id mie [de ge le] e n d i e dan lea ec de ni ea de accina i n de l de 98 cen . (M bidi and M ali Weekl Re9), 12/29/89). En 1984, le CDC a m me rapport les preuves d une pid mie de rougeole, parmi une populatvaccin e 100%.

Les parall les entre les vaccins de l'enfance et la chimioth rapie sont tonnants, mais pas surprenants, tantdonn que c'est en fait, la m me industrie et les m mes fabricants qui sont responsables des deux.

• Les deux (les vaccins et la chimioth rapie) sont indiqu s pour tre efficaces par les scientifiques qui soneux m mes pay s par le fabricant.

• Les deux ont entra n des dommages et la mort.• Les deux sont extr mement rentables.• Les deux sont consid r s comme sacr s et ne seront pas s rieusement contest s.• Les deux repr sentent un paradigme, comme par lequel, le corps ne pourrait tre gu ri, partiellement ou en

totalit , que par l'utilisation exclusive de produits chimiques dangereux extrins ques.

Je sais que nous nous sommes tous mis accorder une confiance aveugle en nos m decins. Mais le fait est qu'ilne m ritent plus ce genre de confiance aveugle.

369



Les m decins font le serment de"T d'ab d, ne a n i e", mais aujourd'hui, ce qui sera inject votre enfantest d cid , non pas par des m decins, mais par Big Pharma, lequel a un incitatif financier afin de faire injecterplus grand nombre possible de vaccinations. C'est seulement en maintenant les gens dans l'ignorance, que BigPharma pourra poursuivre ses profits absurdes provenant de l'industrie de la vaccination. Nous supposons que,parce que les vaccinations sont obligatoires et prescrites par la loi Am ricaine, le gouvernement a v rifi leus curit et leur efficacit . Rien ne peut tre plus loign de la v rit que cela.

L Em i nnemen de N Enfan

Chaque jour, des millions d'enfants sont align s, et des injections de substances putrides toxiques, appel esvaccinations, leur sont administr es. Avant de commencer la premi re ann e, les enfants peuvent obtenirusqu' 36 vaccinations ! Il y a environ plus de 200 vaccinations dans le pipeline. Les sc narios pour l'ave

int grent m me l utilisation de vaccins en vaporisateur nasal, des onguents, et dans les fruits et l gumes. Cett"Ob e i n de la Vaccina i n" est all e au del de ce que n'importe qui peut ventuellement d fendre sur desbases scientifiques. Effectuer davantage de vaccinations sur nos pr cieux enfants, est en fait la limite de l accriminel.

Avec tous les enfants de la plan te, constituant un potentiel de "receveur requis" gr ce aux vaccinationsmultiples, avec tous les syst mes de soins et de sant , ainsi que les gouvernements repr sentant des acheteurspotentiels, il n'est gu re tonnant que des milliards de Dollars soient d pens s pour nourrir l'industrie de lvaccination. Sans toll g n ral du public, nous voyons de plus en plus l arriv e de nouveaux vaccins, exig s nous et pour nos enfants. Et tandis que les b n fices sont facilement calculables, les co ts humains r els sonbafou s. Le Dr. James R. Shannon (ancien directeur de l'Institut National de la Sant ) a indiqu en d cemb2003, que,"le e l accin c i ai e e cel i i n a jamai ili ".

Rappelez vous, les vaccinations sont exig es, mais elles ne sonta obligatoires ! Outre certaines lois quis'appliquent uniquement des sp cialistes m dicaux du gouvernement,IL N'EXISTE AUCUNE LOI qui imposel'utilisation obligatoire d'un vaccin aux tats Unis. Des formulaires d autorisations d exemptions personnellesreligieuses sont librement disponibles. Contraindre un traitement m dical sous l emprise de la force constituune agression et une violation du 14i me amendement.

Toutefois, certains parlementaires semblent d termin s ignorer la Constitution, et rendent certainesvaccinations (g n ralement les plus rentables), obligatoires. Prenez, par exemple, le projet de loi 10942, dl'Assembl e de New York, en 2008, introduite la demande de Richard Daines, le Commissaire du D partemede la Sant de l Etat de New York. Ce projet de loi en attente pr voit des changements dans le texte de la loafin de modifier tous les passages du texte. Par exemple, l o il est indiqu la vaccination est" ec mmand e" par le CDC , eh bien le mot sera modifi et deviendra" bliga i e". Cela concerne la vaccination pour tous lesenfants, c m i le n i n e le e i !

370



Le projet de loi permettrait aussi d administrer des vaccins aux mineurs,an le c n en emen a en al, contreles infections sexuellement transmissibles. Ce projet de loi a t surnomm le" i e je de l i accinal jamen i ag ", par un groupe d'activistes. Seul le temps pourra nous dire si nos libert s Constitutionnelles vont tremises de c t , et si nos enfants seront soumis la sanction de l'empoisonnement obligatoire d cid par legouvernement.

Fait int ressant, en mars 2008,le g e nemen Am icain a admi e le accin enfane n able de l'a i me, chez Hannah Poling, g e de neuf ans. Plus important encore, une enqu te

explosive men e par CBS News a fait constater que, depuis 1988, les tribunaux charg s des jugements et deindemnisations dans des affaires concernant les vaccins, ont souvent accord des millions de Dollarsnotamment 1.322 familles, dont les enfants avaient subi des dommages au cerveau cause des vaccins. Danbeaucoup de ces cas, le gouvernement a vers des indemnisations, suite des d cisions judiciaires pour causde pr judices et dommages corporels subis cause des vaccins, notamment des troubles de l'enfant spectreautistique.

Dans le Medical Post de d cembre 1994, la Dre. Guylaine Lanct t, une Canadienne qui a r dig le best selleMafia M dicale, a d clar :"Le a i m dicale en e iennen le men nge. La accina i n e d a e le me imm ni ai e. Elle e en fai n g and n mb e de maladie . Nchang n e c de g n i e ca e de la accina i n... Dan di an a i de main enan , n

l g and c ime c n e l'h mani a a le accin ".

Echange de C iel a ec n P dia e

Apr s la publication initiale de la premi re dition de ce livre, en ao t 2006, j'ai eu une int ressan

conversation, par courriels, avec un p diatre, concernant les vaccinations, et plus sp cifiquement le DTC. Il mnotamment accus d' tre "i e n able" pour oser pr tendre que les vaccinations sont un poison pour nosenfants. Le contenu de cette discussion est relat ici, en entier

P dia e :S le lan m i nnel, j aj e ai 'il ffi e lemen d' b e e n enfan n n imm nc el che, e cela c n i e n e em le en e ce i d nig en le imm ni a i n , e enfan n em i nn a ec le accina i n ".

Ma n e : Plus de 11,000 cas annuels d effets ind sirables aux vaccinations sont annonc s par le VAE(Signalement des D clarations d Effets Ind sirables Li s aux Vaccins), une branche de la FDA, et dont 1%

chiffre aboutit la mort. (Service d Information Technique National Springfield, VA 703.487.4650). La plion (plus de 100 par an), des d c s, est attribu e aux r actions inh rentes au vaccin anti coqueluche (le "pr sent dans DTC). On ignore exactement combien de d c s sont survenus partir du vaccin contre lcoqueluche, parce que les m decins sous estiment tous les effets ind sirables relatifs aux vaccins.

371



Dans l' tat de New York, par exemple, le National Vaccine Information Center (NVIC) a r cemment r v l seulement un cabinet de m decin sur 40, soit (2,5%), confirme qu'il signale un d c s ou des dommagcorporels, li s la vaccination. (National Vaccine Information Center (NVIC),512 Ma le A e. W. # 206, Vienna, V22180, 703 938 0342; "Ra d'En e le Signalemen de E nemen Ind i able d Vacc.)

La v rit , c est que le nombre de morts cause du vaccin, fait clipser le nombre de d c s caus par la malaqui en a fait en moyenne autour de10 annuellement, pendant les 2 derni res d cennies, selon le CDC. Commeles valuations de la FDA sont seulement situ es approximativement 10% des effets ind sirables annoncnous pouvons estimer que les risques de mourir du vaccin anti coqueluche sont100 f i l im an que lesrisques de mourir de la coqueluche elle m me.

Exprim plus simplement,le accin e 100 f i l m el e la maladie. tant donn les nombreux cas chezlesquels les populations fortement vaccin es ont contract la coqueluche, et partant du fait que la maladie taitsur le d clin, bien avant les vaccinations obligatoires (le nombre de morts par la coqueluche a d clin de 79a an l a i edes vaccins), le nombre norme de victimes cause du vaccin peut difficilement tre consid r

comme un sacrifice n cessaire pour le b n fice d'une soci t sans maladie.Aux Etats Unis en 1986, 90% de 1.300 cas de coqueluche dans le Kansas, avaient pourtant t "ad quatemvaccin s". (Neil Mille , Le Vaccin : S n il S e Efficace ? P 33). En 1993, il y eut 72% de cas d ruption dcoqueluche Chicago, ils taient pourtant enti rement jour dans leurs vaccinations. (D partement de Santde Chicago). Tristement, l'histoire des d c s li s aux vaccins ne finit pas ici. Des tudes tant nationalqu'internationales, ont montr que la vaccination est mise en cause lors de la Mort Subite du Nourrisson (VieraScheibner, Ph.D."Vaccina i n : 100 An de Reche che O h d e Indi en e le Vaccin C nAg e i n M dicale le S me Imm ni ai e"et selon W.C. Torch, "L imm ni a i n Di h ie TC el che (DTC) : ne ca e en ielle d nd me de la m bi e d n i n, (MSN)". (Acad mie Am r.

de Neurologie, 34i me

Assembl e Annuelle, du 25 avril au 1er

mai 1982).L' tude de Torch a constat que l'incidence maximale de la mort subite du nourrisson est intervenue l' ge de ans et 4 mois aux tats Unis, pr cis ment quand on donne les deux premi res immunisations de base. Il a ausmis en vidence que 3,000 enfants d c daient dans les 4 jours suivant la vaccination, chaque ann e ; et il conclu que la moiti des cas de mort subite du nourrisson (approximativement de 2,500 5,000 d c s d'enfanten bas ge, aux Etats Unis, par an) est caus e par les vaccins.

Fait int ressant, le 26 novembre 2005, l'administration Bush a demand une cour f d rale de r clamations, sceller (fermer) des documents touchant aux centaines de cas d'autisme, probablement caus s par le

thim rosal, un des ingr dients toxiques utilis s dans beaucoup de vaccins, notamment ceux pour l enfance. Ldemande gouvernementale intervenait sur l insertion d un projet de loi de S curit int rieure, qui prot ge aiEli Lilly, le g ant des compagnies pharmaceutiques ayant d velopp le thim rosal, car l'additif tait impliqu .

372



Le je de l i enl e e e n abili l'ind ie ha mace i e, e a f nc i nnaian , le ble e e la m , l an de ce i an c n e a e i e. Cela est d go tant !

Encore un autre exemple impliquant Big Pharma, et la corruption gouvernementale.

P dia e : V indi e 'il n a e lemen e 10 m , ca e de la c el che, cha e demande i il en e ain i. En 1934, a E a Uni , il e en i n 8000 m , a ib

accin an i c el che a d el a alen de ce e i de e e de en , en i nand e ili . D nc le 10 m ca e de la c el che, cha e ann e, n en ali la a

accin.

Ma n e: Il est de notori t publique, que la coqueluche, tout comme la rougeole, la scarlatine, et ladipht rie, sont des maladies beaucoup moins s v res qu'autrefois ; et l'id e g n ralement admise par lacommunaut m dicale, c est que la vaccination en a t principalement la responsable. En fait, rien ne pourr

tre plus loign de la v rit . Les cas de scarlatine ont baiss radicalement, tant dans l effet morbide que dansmortalit , sans la vaccination, et dans la plupart des cas, avant l'apparition des antibiotiques. La rougeole ad clin d'une fa on semblable, avant l'introduction des vaccinations, et puisque c'est "une maladie virale", ell

n'est pas affect e par les antibiotiques. La dipht rie a elle aussi bien baiss , avant l'apparition de la vaccinationComme je l'ai mentionn dans un courriel pr c dent, la coqueluche a elle aussi baiss de 79%,AVANT lesvaccinations.

La e e indi e e la bai e de la g a i de ce maladie e d e n a aini emen am limeille e n i i n, n meille l gemen , e ne meille e h gi ne, plut t qu' des vaccinationssp cifiques. A vrai dire, l'Angleterre a effectivement vu une baisse des d c s li s la coqueluche, lorsque taux de vaccination ont chut de 80% 30%, au milieu des ann es 1970.

L tude de l pid miologiste Su dois B. Trollfors, sur l'efficacit du vaccin anti coqueluche, et sur sa to

dans le monde entier, a tabli que"La m ali a ci e la c el che e ac ellemen ba eind iali , e a c ne diff ence ne e e di ce n e, m me a ec le a c m a a anba , m me a an de a n l de accina i n ". Il a aussi trouv que l Angleterre, le Pays de Galles, el'Allemagne de l Ouest, comptaient davantage de morts, victimes de la coqueluche en 1970, lorsque le taux dcouverture vaccinale tait lev , que durant la derni re moiti de 1980, lorsque les taux ont baiss . Je sais quvous n'aimez pas les statistiques datant d il y a 20 ou 30 ans, mais les faits ne changenta . La v rit ne change

a . Les lois de la physique ne changent a .

P dia e : Sim lemen ne la i n c m l e, d e e e indi e e le Inf ma i n Cen e , le g e i a end blic l a icle e ci e , e ne gani a i n

n lac n lien m a de en i n a ca le i e eb.

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Ma n e: Quelle diff rence cela peut il bien faire ? Devrais je vous demander de souligner que les groupque vous citez sont pro vaccination ? C'est mon point de vue, ce qui est bon pour l'oie est bon pour le jars. Soyeseulement r aliste et admettez que la plupart des documents que je cite sont issus des groupes qui s'opposent

la vaccination, tandis qu'une grande partie des tudes que vous citez sont issus de groupes pro vaccinationL astuce est de savoir qui (si ce quelqu'un existe) a manipul les donn es, et pourquoi ....$$$...

P dia e : P i le a icle e ci e da en il d d b de ann e 80 ? Je ne le ai a d' ne e ni , i n en f e l en emble de la li a e m dicale. V de e emen a

cen e (de 5 de ni e ann e ) eni ce e endica i n . Ce n e a ai ?

Ma n e: Comme je l'ai mentionn plus t t, la v rit ne changea . Les lois de la physique ont elles changau cours des 2 derni res d cennies ? Si oui, je n' tais pas au courant. Et les documents que j'ai cit s sonseulement des exemples parmi d autres sur l pid mie de coqueluche qui a clat chez les populatiovaccin es, d montrant ainsi que le DTC n est pas aussi efficace que Big M decine voudrait bien nous le fcroire. Les dates sont ce qu'elles sont. Si je voulais d montrer que le parti Nazi a effectivement commis ung nocide, alors je vous demanderais de vous r f rer aux camps de la mort Allemands datant des ann es 1940Je doute que vous demanderiez avoirde d nn e l cen e, en rejetant le fait que des millions depersonnes innocentes ont t assassin es par les Nazis, puisque, apr s tout, cela ne s est produit qu il y a plde 60 ans une e ni dan la li a e m dicale

Mais puisque que vous avez demand Le Ne England J nal f Medicine, relate que l' pid mie decoqueluche Cincinnati (1993) a frapp la population qui avait t enti rement vaccin e. Les auteurs affirmque la proportion de cas chez des enfants compl tement vaccin s, fournit une preuve de"L' chec d accin an ic el che ge me en ie ". (24/11/94 NEJM). Le propre site Web du CDC indique qu'une augmentatiosoudaine des cas, lors d une pid mie de coqueluche, aux Pays Bas en 1996,n'a a e e li e a dimin i n de la c e e accinale, celle ci tant rest e stable 96%, avec au moins trois vaccinations dans

premi re ann e de vie.www.cdc.gov/ncidod/eid/vol6no4/demelker.htm. Je pourrais num rer de nombreusesautres tudes men es durant la derni re d cennie, mais vous per u mon id e, n est ce pas ?

P dia e : S la e i n de l'a i me : La ba e de d nn e C ch ane a fai n e amen ma ia i i emen i an , i c mbine le l a de n mb e e de ne l ng

ce e ann e, en e aminan le ROR e l'a i me. Il n a en e e cen en e ne f da c n lien.

Ma n e: L' tude Cochrane est souvent cit e afin de soutenir la vaccination (en a ic lie le accin RO),elle montre qu il n'y a pas de lien avec l'autisme, d crit que les idiots anti vaccination mettent des craintes n

fond es, et annonce le vaccin ROR comme tant "tout est clair l avance". Mais c'est une charge de Bologne. plupart de ces personnes devraient commencer par lirel' de elle proprement dite, plut t que de r gurgiterla version de la presse.

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Au cours d'une enqu te concernant le mercure, HAPI a d couvert que le thim rosal, un compos contenant 50de mercure, est j ili d i e la l a de accin, et que les fabricants ne proc dentsimplement qu au filtrage du produit final. Toutefois, selon Boyd Haley, Docteur en recherche m dicaPr sident au D partement de Chimie, de l'Universit du Kentucky, le mercure se lie la prot ine antig niqdans le vaccin, et ne e e c m l emen fil 100%. La ali de 4 flac n de acc n enaien d me c e, malgr les pr tentions du fabricant, qui pr tendait que deux des flacons taientcompl tement exempts de mercure. Les quatre flacons, contenaient galement de l aluminium (l un, econtenait m me 9 fois plus que les 3 autres), ce qui aggrave consid rablement la toxicit du mercure, causant lmort neuronale dans le cerveau.www.whale.to/a/mercury7.html

C ncl i n d d ba: Apr s cette discussion par courriels, le p diatre s est retir de la conversation, et nvoulait plus r pondre mes e mails. Je suppose qu'il est trop occup empoisonner des enfants

Pour les vaccinations de masse, davantage de médecins préfèrent le fusil AK-VACCINS-47 par MERCK*D’une capacité de 36 coups de vaccins Merck !

Employé dans le monde entier, pour les programmes de vaccination obligatoire des écoliers. Approuvé par : FDA AMA CDC OMS

© 2010 Tous droits réservés. Art Dan Berger, Concept Mike Adams. NaturalNews.com - * Uniquement pour parodie. Cette caricature n’est pas approuvée ou affiliée à Merck. NaturalNews s’oppose à la

violence pratiquées contre les enfants, y compris la violence médicale.


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C 18Le Me c e & l Al heime

La FRAUDE :On a d montr que les amalgames d obturation dentaires sont s rs 100 %.

Il n'y a aucune relation entre les plombages, le mercure, et la maladie d'Alzheimer.

La REALITE :Les amalgames d obturation dentaires cr ent "des dents toxiques". Depuis plusieurs d cennies, il a t

d montr que les m taux lourds, y compris le mercure, sont une des causes de la maladie d'Alzheimer, et sontaussi l origine de multiples autres probl mes chroniques de sant .

E epuis des d cennies, la plupart des gens ont effectu une visite chez le dentiste, et ont subi peu apr s, unremplissage des alv oles dentaires, ceci tant consid r comme une proc dure n cessaire et r guli re. Le cdes effets secondaires n'a pas t r guli rement mis en lumi re, ou si peu, pour d fier le statu quoL'exp rience montre, cependant, qu'une telle proc dure apparemment inoffensive, peut avoir de graves effetspr judiciables.

Saviez vous que les amalgames d obturation dentaires (populairement appel s" l mbage en a gen "), sont enr alit constitu s de 50% de mercure ? Ce dernier tant uni n me ie, qui fait des ravages dans le corpshumain ? Le mercure contenu dans les amalgames dentaires serait consid r comme un d chet dangereux dansune rivi re, pourtant, il est install dans votre bouche, et ainsi, il s' coule lentement du mercure dans votre

organisme. Un plombage au mercure suffisamment grand, contient suffisamment de ce m tal, pour tuer unenfant, s'il est administr en une dose unique !

Q el e le bl me a ec ce e image ?

Dans ce chapitre, nous allons examiner de pr s la relation entre les amalgames des plombages dentairesl'a gen (c. d. au mercure), et la maladie d'Alzheimer.

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La F lie d Me c e

N avez vous jamais lu Alice au pays des merveilles ? Vous rappelez vous du "Chapelier Fou" ? Saviez vousterme "fou comme un chapelier" tire son origine d'une maladie inh rente la fabrication des chapeauxindustriels, dans les ann es 1800 ? Un ensemble complexe de processus tait alors n cessaire pour tourner lfourrure, afin de confectionner un chapeau. Pour obtenir des fourrures plus conomiques, la premi re tapeconsistait brosser une solution compos e de mercure sur la fourrure, afin de rendre les fibres plus rugueusesCela contraignait les chapeliers respirer les vapeurs de ce m tal hautement toxique, conduisant uneaccumulation de mercure, dans l organisme des chapeliers. Cela s'est traduit par l apparition de sympt mes teque des tremblements (alors connus comme chapeliers secou s ), troubles de l' locution, perte de lacoordination, anxi t , changements de personnalit , d pression, et perte de m moire. Tout ceci devintfinalement connu comme tant le S nd me d Cha elie F, et ce terme est encore utilis aujourd'hui pourd crire l'empoisonnement au mercure.

L'ADA continue de renier la toxicit du mercure. Dans un communiqu d informations de l ADA, du 13 juinson Pr sident, Robert Anderton, a d clar :Il n'e i e a c ne e e cien ifi e lide een e le b a i n l amalgame e le maladie mi e , le maladie ch ni e. Honte vous Dr.Anderton ! Ceci est un mensonge flagrant. Toutes les preuves indiquent que les amalgames d obturation en"argent" (qui contiennent g n ralement pr s de 50% de mercure) sont extr mement toxiques pour le corpshumain.

Le regrett Dr. Patrick St rtebecker, neurologue et crivain de renomm e mondiale, Stockholm, en Su de,crit dans son livre L'Empoisonnement au Mercure par les Amalgames Dentaires un Danger pour le Cerve

Humain , L'amalgame den ai e e n d i ha emen in able i g n e facilemen de la a eLe m en le l dange e le an de la a e de me c e, c e d' e lib de am

a e le m e e de la ca i na ale ie e, e di ec emen en di ec i n d ha , ea e de me c e n e facilemen la D e m e ( a i la ba i e ang ce ea ). Le me

a e ) e agi d' ne mani e bea c l f e a la c ncen a i n, d i le cell

Vous ne voudriez pas prendre un thermom tre qui fuit, le mettre dans votre bouche, et le laissez l vingt quatrheures par jour, n est ce pas ? Mais, selon le Dr. Michael Ziff, directeur ex cutif de l'Acad mie InternationalM decine Orale et de Toxicologie (IAOMT), c este ac emen ce i e a e, and n amalgame de em lden ai e e in all dan e b che.

Selon Tom Warren, Dan le m nde il a l de 4.000 a de eche che, indi an e le me cb ance ha emen i e. C mmen le den i e e en il e a i inc n cien

e i an , de ce (5 cm) de n e ce ea ? www.whale.to/a/toxic_dentistry.html

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La preuve est maintenant d montr e que les obturations l amalgame sont constamment ab m es, et ensuitrel ch es dans la bouche. Ces minuscules particules de mercure issues des obturations sont ensuite sollicit epar les bact ries buccales et intestinales, pour produire du methyl mercure (une forme de mercure encore plustoxique, que le mercure l mentaire), avec des zones cibles tant principalement l'hypophyse, la glandethyro de, et le cerveau. C est vrai, le cerveau ! Apr s que les obturations se soient retrouv es dans la boucdes changements subtils dans la chimie du sang ont t observ s, sur un point sp cifique de la maladichronique, par exemple, le cancer, la scl rose en plaques (SEP), et la maladie d'Alzheimer. La difficultreconna tre le lien de l amalgame avec les maladies chroniques, c est que les sympt mes cliniques nemanifesteront qu au moment de l effondrement du syst me immunitaire du patient, ce qui peut n intervenque dans 40 ou 50 ans.

“Avertissement, du mercure dans les fruits de mer”- « Alors, pourquoi ne sommes-nous plus supposés manger des humains, désormais ? »

- « Parce qu'ils contiennent des niveaux toxiques de mercure. Mercià toutes les obturations à l’amalgame dans leurs dents. »


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Al , elle e d nc la an i de me c e en e dan e b che ?Il y a environ gramme de mercuredans chaque remplissage dentaire. Vous pensez peut tre que, puisque vous avez seulement un couple deplombages au mercure, ce n'est pas une grosse affaire. R fl chissez encore. Selon le Dr. Richard Fischer, anciepr sident de l'IAOMT,"L b a i n a l'amalgame den ai e (' l mbage en a gen ') c n ib e d acc m la i n c elle de me c e che l'h mme, e e le a e ce en ielleea , accin , e c) nie . Ce b a i n c n iennen 50% de me c e i e l necadmi m, m me l'a enic". Pour mettre cela dans une perspective, la quantit de mercure contenue dans unremplissage de taille moyenne, d passe la norme de l'exposition humaine fix e par l'EPA, sur une dur e de plude cent ans. En d'autres termes, il faut seulement gramme de mercure (la dose d une obturation) pourcontaminer tous les poissons d'un lac d une dizaine d acres.

Selon Pam Floener, ancienne porte parole pour l IAOMT,"Le me c e m alli e ili a le den ic nfec i nne le in den ai e , e c n en dan l'amalgame, e e di en ali de , le cabine den ai e. L e le amalgame n enle , ne ai n elc n e, il n

, i d i en e limin c nf m men a glemen a i n de l'OSHA, e il ee la b che i e e c n id e c mme n c n ene c i de ckage, ce e .

www.mercola.com/2001/apr/21/mercury.htm

Et alors, laissez moi exprimer ceci Si un dentiste d versait certains amalgames de mercure dans un lac, il eserait r duit enfreindre la loi. Mais si ce m me dentiste d pose du mercure dans votre bouche (via leamalgames d obturation dentaires), alors il est tout fait dans la l galit et cela n est plus consid r comme umenace pour l'environnement. "Je ne me en a l'ai e, a ec ne b ance, d ign e a l'AgP ec i n de l'En i nnemen , c mme e en an n dange l de l' limina i n de d che . je e la belle, l en e e dan le l, le me e dan ne d cha ge, mai a c n e, il d

le me e dan la b che de e nne .C ". Richard Fischer, D.D.S.

Le Dr. Dietrich Klinghardt, expert sur la toxicit du mercure, l'American Academy of Neural Therapy, d cla"D e el ' n bi n'im e el e de maladie m me m dical, 'il ienm i nnel , le amalgame d b a i n d i en e e i , e le id de me c e d i

l' gani me, en a ic lie d ce ea la l a in n e le maladie infec ie e chca e a ne d faillance d me imm ni ai e, mai n ne ada a i n c n cien e de ceimm ni ai e, n en i nnemen n n l al de m a l d ".

Mais ne vous attendez pas ce que votre dentiste "monte bord avec vous", si vous lui demandez de retirervos amalgames d obturation. Selon le code de l'ADA sur l thique, un dentiste qui reconna t que les obturatio

l'amalgame de mercure sont toxiques, et qui recommande leur retrait, agit contrairement l' thique.

380



Ce c n a a c m a ible an a ec la ici d me c e a ec le i c b al, d'Al heime . De l , j'ai c ncl 'il a clai emen de f i e de me c e enan de amalgame , f e babili e le e nne i n de l mbage de ce e dan le den , ien ench ni e ne faible d e c an e de f i e de me c e "

Le Dr. Haley continue : ... (Le den i e ) in i en e l amalgame de me c e e , ain, n n f i a (mai ) . Il j e le ang e le l mbage den ai e , cela ne fd e il accen e le i e de la maladie d'Al heime e de celle de Pa kin n, ain i e d'ane l gi e . Le den i e d fenden le ili a i n de amalgame a me c e, mai leinj ifiable . Je me en c mme i j' ai all di c e a ec l'i gne d illage endan h i M

: 'A .www.lef.org/magazine/mag2001

D'autres scientifiques ont d montr que des quantit s infimes de mercure peuvent causer des types de l sionsnerveuses qui sont caract ristiques des dommages retrouv s dans la maladie d'Alzheimer. Les niveauxd'exposition au mercure, utilis s dans le test, ont t bien inf rieurs ceux trouv s dans les amalgame

dentaires de beaucoup d' tres humains. La recherche a t men e l Universit de Calgary, Facult m decine, par les professeurs Fritz Lorscheider et Naweed Syed. Les professeurs trouvent que l'exposition aumercure occasionne la formation des enchev trements neurofibrillaires , qui sont l'un des deux marqueurs dediagnostics pour la maladie d'Alzheimer. Des recherches ant rieures ont montr que le mercure peut provoquerla formation de marqueurs de la maladie d'Alzheimer, avec entre autres, des plaques amylo des .

Le Dr. Lorsheider et le Dr. Syed ont not qu'aucune autre mati re ou m tal test s, y compris l'aluminium, n'oamais produit, m me de loin des r actions similaires. Ils ont galement produit la documentation visuelle d

m canisme biochimique, par lequel l'introduction du mercure induit des marqueurs de diagnosticcaract ristiques, indiff renciables de ceux vus dans le cerveau des malades de l'Alzheimer. Lorsque le D

Lorscheider a pr sent le document la revue britannique NeuroReport, qui finalement, l a publi , il a ajoutvid o en accompagnement. Il s agit d'une des rare fois o un morceau d'animation a t soumis au processud'examen par les pairs. Vous pouvez voir la vid o ici :http://commons.ucalgary.ca/mercury

D ba a e d Me c e & In e e la Maladie d Al heime

Selon le Dr. H. Richard Casdorph,"Dan ne la ge me e, ce i n ma i a la d mene e i an e de la ici d me c e, de l'al mini m, d l mb, d cadmi m, de l a enic e d

l d . Le ne ne n em i nn e . Il n an f m en ic ime de l'Al heimebiai de eff de den i e , i i en a e gl men la ligne d a i de le gani

fe i nnelle, l'ADA.

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De i 1952, la fe i n m dicale a ai le m en de d i e d' le igne e le m me Maladie d'Al heime ". Je vous recommande de lire le rapport de Tom Warren intitul "P in e e la maladd'Al heime ".

La th rapie par ch lation est le moyen de r duire ou d'inverser les signes de la maladie d'Alzheimer. Tir du mGrec chele qui signifie g iffe , le mot ch lation se r f re la fa on dont le traitement se lie avec les m taulourds, les toxines, et les d chets m taboliques du sang. Selon les M decins H. Richard Casdorph et MortoWalker, auteurs de Syndrome des M taux Toxiques : Comment les M taux Poison peuvent Affecter votrCerveau, le traitement par la ch lation t d montr pour aider au moins 50% des personnes g es souffrad'Alzheimer qui l'ont essay . Cela s est traduit par une plus grande clart mentale, l'augmentation du QI, el am lioration de la m moire. Dans leur livre, les auteurs indiquent que les patients atteints par l Alzheimer"On

b e a le che , e n en dan ne an n male e e n male. Cg a ifian e ce i a ici en a d i age e a ai emen : diagn i e , de in de an , malade , ain i e le famille e ami ".

La premi re tape dans l' limination du mercure de votre organisme, est de vous d barrasser de vos

obturations l'amalgame ! Toutefois, il existe des moyens s rs pour le faire, mais il existe galement demoyens dangereux. Si vous faites proc der l enl vement de vos obturations par un dentiste qui ne prend pade pr cautions, alors le r sultat final sera pire qu'avant. L enl vement de l'amalgame et du plombage amercure, effectu sans soin, peut lib rer dans votre organisme, encore plus de mercure que ce qui fuyait, avantque les obturations n aient t enlev es.

Lorsque nous vivions Dallas, mon dentiste tait le Dr. Ellis Ramsey. Il tait conscient des dangers du mercudepuis pr s de trois d cennies. En 2007, il a proc d au retrait de tous mes plombages au mercure. C est expert dans l'enl vement sans danger, du mercure, et je le recommande fortement si vous r sidez dans sonsecteur, il exerce dans le Nord du Texas (DFW). Si vous habitez ailleurs, assurez vous de chercher un dentis

"biologique" (holistique), de pr f rence un membre de l IAOMT, qui comprend bien les questions li es aobturations l'amalgame.

Deux pr cautions de s curit : 1) Demandez de l'oxyg ne au cours de la proc dure Ceci garantira que vrespirez de l'oxyg ne propre plut t que des mati res toxiques contenant des vapeurs de mercure, lorsque lesobturations sont for es et vacu es. 2) Demandez le barrage en caoutchouc cela retiendra et vitera que leparticules issues des obturations, ne tombent dans votre gorge ou sur votre langue.

Apr s que vous ayez eu vos obturations retir es, la prochaine tape est de ch later les m taux lourds. Lm thode de ch lation la plus rapide et la plus puissante disponible

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aujourd'hui, est le traitement ch lateur EDTA par voie intraveineuse. L agent de ch lation EDTA, est un acamin poss dant des charges n gatives qui lui sont associ es. Une fois l'int rieur du corps, il cherche de fapositive les mol cules charg es, comme le plomb, le fer, le mercure et le cadmium. Le nombre de traitementn cessaires d EDTA par IV (Intraveineuse), est g n ralement compris entre vingt et cinquante, en fonction votre tat. Cela co tera entre 2,000 et 5,000 $.

Selon Webster Kehr,"Ce ai emen e c nn de i de d cennie , mai a ce e la ch la i n ED' la m decine h d e, le ai emen a en e . Ce n'e a e la ch la i

ch e, cela c e che . Le bl me c e 'elle , e e ce a ien ne ena le m me de l'Al heime . En b ef, il n'e a a e en able Big Pha ma e il n'e

hi i , ce i ignifie 'il e im le, Big M decine. Big Pha ma e Big M decinm me , mai a le ca e ".

www.cancertutor.com

La prise d EDTA par voie orale est beaucoup moins co teuse que l'EDTA IV, entre 20 et 50 $ par mois,fonction de votre tat. L'exp rience clinique sugg re que la ch lation orale d EDTA fournit beaucoup, mais pla totalit , des avantages de la th rapie IV. Seulement entre cinq et dix pour cent d'une dose orale d'EDTA n esabsorb e dans la circulation sanguine (contre cent pour cent dans une dose IV). Pourtant, en raison de l'apportquotidien en continu, les montants s'additionnent et peuvent obtenir des avantages similaires. Globalement, lesdiff rences dans les prestations, sont celles d un degr plus lev , dans la commodit , la vitesse, et le co t pdose, plut t que dans la qualit .

Une autre arme dans notre "arsenal ch lation", est lachl ella. Des doses lev es de chlorella (10 20grammes) ont t jug es tr s efficaces pour liminer le mercure. Ceci est un volet important d'un boprogramme syst mique d' limination du mercure, car environ quatre vingt dix pour cent du mercure est liminpar les selles, et la chlorella aide l'excr tion f cale. Et souvenez vous, la chlorella est une alimentation, do

vous ne pouvez pas en manger trop ! Cependant, vous devrez travailler hauteur de vingt grammes, puisqu'ellepeut causer la diarrh e !

La Chlorella doit tre utilis e en conjonction avec lac iand e. Le Dr. Omura, un chercheur Japonais, ad couvert que la coriandre peut mobiliser rapidement le mercure et autres m taux toxiques du syst menerveux central. Toutefois, la coriandre, souvent, elle seule ne retire pas le mercure de l'organisme. C'estsouvent qu elle ne fait que d placer les m taux emmagasin s au plus profond du corps, vers des structures plusuperficielles. La coriandre aidera mobiliser le mercure hors des tissus, de sorte que la chlorella pourra se lierelle et cela permettra que le mercure soit excr t du corps. Avec la chlorella et la coriandre, vous devriecommencer manger de l'ail frais tous les jours. Cela permettra d'am liorer les r serves de soufre. Entre deux

et trois gousses par jour, cela est une excellente id e. Assurez vous d' craser l'ail pour lib rer ses principeactifs.

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Jon Barron poss de un produit fantastique, appel "Me al Magic", qui contient la fois de la chlorella et de lacoriandre. Vous pouvez l'acheter chezwww.baselinenutritionals.com.

Aussi, je sugg re de prendre aussi duMSM. Le MSM, dont nous avons discut dans le chapitre des traitementscontre le cancer ; c est une forme de soufre qui agit sur les membranes de la cellule, et qui aidera votre corps

liminer le mercure. Voici l'explication de Karl Loren, sur la fa on dont le MSM ch late les toxines et les m ta"Le ce ea e c m de millia d de cell le ne e e , ine icablemen li e le ne a a

lec n dan n ci c i lec i e. Q and en e en e de im l i n lece ce ea . La maladie d'Al heime e n ble dan le el l ie de ce cell le

d'al mini m, le bligean a c ci c i , e le ce ea en ie de im l i n la c a i n de la la c nf i n. Le MSM e la memb ane i c n ien de l'al mini m, e e me a d

d' e d e dan la ci c la i n ang ine. Le bain cha d a ec Cl e me la da i n d cain i l'al mini m. En i e, le effe de Cl e me n de le ac e de e c ".www.bulkmsm.com/research/msm/msm6.htm#alzheimer

Selon le Dr. Andrew H. Cutler,La maladie de l'amalgame e anal g e ne g e e. V e ennemi, le me

lac ne e de n dan le den e l a f ifi e a ec de l'amalgame. P i il a lanc ne a amai n. D n gane l'a e. De cell le cell le. Len emen , la ca e de e c e faig e e a ec ne f a e chi gicale. La chi gie den ai e. Pe ce ce b a i n . Enle e

n a mi ice. La l e c n e la maladie 'a e l , mai le a me de me c e n enc e me e il n a ein le b . La ch la i n en ie ne e le e cad n de la e, l'e c e deh . Pendan ce em le cell le i i en dan e c e enden a ad mmage de g e e. www.noamalgam.com

Anecd e Den ai e :

Saviez vous que le mot original ack charlatans, en Fran ais , a t utilis par les dentistes qui onpr conis l'utilisation des amalgames au mercure ?"Q albe " est l'ancien mot Allemand pour d signer le

me c e .

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C 19Le T ai emen de Cana Radic lai e

(Den d i ali e)

La FRAUDE :Le traitement des canaux radiculaires est une technique s re etest souvent n cessaire pour pr venir l extraction d une dent.

La REALITE :Une dent d vitalis e est toujours infect e, ind pendamment

de son apparence et de son manque de sympt mes.

Wous avez sans doute pens que le mercure tait le seul sujet i e le den, et vous tes chez

vous, tranquille ! Eh bien, pas, si vous avez uneden d i ali e. Environ 20.000.000 d ablations de canauxradiculaires sont effectu es annuellement aux tats Unis. Presque chaque dentiste fait cela sans se soucier desrisques graves pour la sant , que cette op ration produit. Pendant que de nombreux dentistes intelligentsrefusent de mettre des plombages au mercure dans la bouche de leurs patients, ces m mes dentistes peuventd vitaliser une dent avec plaisir, sans aucune id e de ce que ces proc dures peuvent causer comme terriblesdommages leurs patients. Selon le Dr. James Howenstine,"Bea c de maladie ch ni e , i e la l

l en de la chi gie de cana adic lai e ".

Un traitement des canaux radiculaires n'est effectu que pour sauver une dent qui autrement, aurait d treextraite. Cela n est habituellement fait que quand une grave infection s'est propag e la racine de la dent. Le

canaux radiculaires sont d troits canaux qui vont du milieu de la dent jusqu'aux racines, et qui vont se logusque dans la m choire. Dans la proc dure du traitement des canaux radiculaires, un trou est perc dans ldent pour acc der la racine des canaux, les nerfs morts ou infect s ainsi que les tissus sont enlev s, et la zondes canaux est nettoy e, st rilis e puis d sinfect e.

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Ensuite, l'int rieur de la dent est rempli, et le trou est g n ralement scell avec une couronne.

Chaque ann e, des millions de canaux radiculaires sont trait s, avec le succ s apparent d un taux de plus de 90En d'autres termes, il n'y a aucune douleur et les rayons X indiquent que la dent a t"g ie".Malheureusement, cette proc dure masque un probl me qui peut encore se produire. De nombreux dentistesreconnaissent maintenant qu'il est im ible de nettoyer tous les tissus morts, ou de st riliser une dentcompl tement. Il y a plus de 3 mille tubules (canaux minuscules) dans chaque dent, et seul un dentiste arrogant(ou insens ) peut pr tendre avoir t en mesure de nettoyer ou de st riliser 100% des 3 mille tubules. Cela laidonc des zones de tissus n cros s (morts) dans la dent, qui poursuivent leur d composition et sont infect sLes globules blancs de notre syst me immunitaire ne peuvent pas circuler dans les tubules, ni les antibiotiquesne peuvent filtrer dans ces domaines. Ainsi, les tubules deviennent un "coffre fort refuge" pour les microbes(virus, levures, champignons, moisissures, bact ries, etc ) Et puisque le tissu nerveux, les vaisseaux sanguinset les tissus vivants l'int rieur de la dent ont t supprim s, elle est maintenantm e.

En 1993, le Dr. Hal Huggins a donn une conf rence la Cancer Control Society. D'une fa on presque comiqle Dr. Huggins a d clar :Al , n en n dan le affai e de cana adic lai e , i e la

e . N' a il a el e ch e e ie me e dan le cen e de cana , i , an d e, mai ce n'e a l e le bl me.L , ' . Ve ille bien a imile cela. C e c mme di e e a e b en ne abla i n de l'a e

allie c n l e le e i e l h ni e, e e che chie e in e l c e ? Vchi gien e n a ide mi e, le el alle a ele ? V alle en a i ne b n e ? C'efai n ne den m e. N l a n e e d ne c nne en , n di ai 'elle e b

a aimen e emba mie le den m e , elle e a j m e, e a ein de cea n de bac ie , e ce bac ie n l , en e en ab ence d' g ne. En ab ence d' g

l men me en , l e ce i n de bac ie . Elle bi en n changemen , i 'a elle... c mme ne m a i n... elle a ennen i e en l'ab ence d' g ne... e main

d i en de , el e n de l i an i n e i an la lan e, adi ac if. www.whale.to/d/root2.html

Rappelez vous que le cancer et une foule d'autres maladies ont des liens avec lesmic be. Pour gu rir lecancer, les microbes doivent tre tu s dans le corps, pour que le syst me immunitaire puisse redonner l organisme son tat normal original. Car un traitement des canaux radiculaires est le parfait "terreau" pour lemicrobes. Comme le Dr. Huggins l a indiqu plus haut, certains des plus dangereux de ces microbes produisedes thio thers, y compris du sulfate de dim thyle. Un oncologue Allemand du nom de Josef Issels a pconfirmer que les thio thers lib r s par ces microbes dans les canaux radiculaires, sont tr s troitement li s auproduits chimiques utilis s par les Allemands durant la premi re guerre mondiale, lors de la cr ation du ga

moutarde. Selon l'EPA, le sulfate de dim thyle a t class comme un agent canc rig ne de Groupe 2, pol'homme. Des tumeurs ont t observ es dans les voies nasales, les poumons, et le thorax, chez des animauxexpos s au sulfate de dim thyle.www.epa.gov/ttn/atw/hlthef/di sulfa.html

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Selon la Dre. Karen Shrimplin, les thio thers sont toxiques, car ils sont liposolubles et se concentrent donc danles lipides (graisses), le cadre de la cellule, en particulier les mitochondries. Les mitochondries sont les "centrale

nerg tiques cellulaires" et sont responsables de la production d' nergie. Si les mitochondries sontendommag es, alors la cellule ne peut plus produire d' nergie par la respiration a robie, et est oblig e depasser au stade de la fermentation (respiration ana robie), pour produire de l' nergie. Rappelez vous, toutesles cellules canc reuses utilisent la fermentation comme moyen de production d' nergie.

Donc, fondamentalement, ce que la Dre. Shrimplin dit, c'est que des microbes Pl omorphiques vivent dans letubules lorsqu un traitement de canal d bute, comme d'habitude les bact ries sont a robies ; mais quand ellessont scell es dans la dent, leur environnement change, elles commencent devenir ana robies, et produisentdes toxines telles que les thio thers. Ces thio thers sont rel ch s dans l ensemble de notre organisme, eendommagent les mitochondries de nos cellules, les obligeant ainsi devenir ana robie.C'e n ce cle icie

a c mmenc a la den d i ali e ! Ces microbes ana robies prosp rent l'int rieur des canauxradiculaires, excr tent la toxicit avec la digestion des tissus n cros s, cela conduit une infection chronique aux maladies d g n ratives. Pensez cela si un organe ou un membre, meurt dans notre corps, nousl'amputons. Pas si c est uneden m e! Le Dentiste Frank J rome dit :"L'id e de c n e e ne den m

gane infec , dan le c , n e e lemen c n id c mme ne b nne id e e a le denU , ".

Revenons dans les ann es 1920, le Dr. Weston A. Price, r alisa des exp riences, qui furent d'abord salu es pl American Dental Association, mais qui ont ensuite t ignor es. Le Dr. Price soup onnait que l infecbact rienne accompagnait de nombreuses maladies d g n ratives. Il soup onnait que ces infectionsprovenaient des dents. Il d cida d implanter une dent d vitalis e sous la peau d'un animal. Il constata, que pal'implantation de la dent d vitalis e, la maladie du patient fut transf r e l animal. Quelle que soit la maladiepatient, l'animal l a contract e, avec la dent extraite sous sa peau, au point que ce soit la m me maladie que

celle du patient. Il a galement observ que, lorsque la racine a t obtur e au moyen de techniques correctesalors une vari t de probl mes de sant ont t am lior s, de l'arthrite aux probl mes r naux, et le cancer. Ca t fait sur des centaines de patients.

Le Dr. Price a constat qu'aucun, sur 100 d sinfectants utilis s, n a pu p n trer et st riliser la dentine, repr sente 95% de la structure des dents. M me les antibiotiques ne sont pas capables de st riliser les canauxradiculaires. Tr s peu de dentistes sont au courant, ou pr ts admettre que les tubules dentinaires sonttoujours infect s apr s la chirurgie des canaux radiculaires. Ces bact ries s' chappent dans le sang et proc den

lancer un grand nombre de maladies d g n ratives. La plupart des dentistes croient que les substances ded sinfection, utilis es pour traiter le canal radiculaire apr s la chirurgie, st rilisent efficacement le site du can

ce qui n est malheureusement pas vrai.

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• ORAL GUARD Il s'agit de loin, du meilleur produit unique sur le march pour traiter la maladie parodontaleAvec une impressionnante et puissante liste d'ingr dients comme le millepertuis, CoQ 10, aide folique, extrait th vert, acide lipo que, et la vitamine K1, ORAL GUARD est tout simplement la protection disponible la puissante, contre les maladies des gencives.• DMSO "DMSO, 25% dan l'ea (fac l a if). P end e ne c ill e caf la fa n d n ince b chj . Gicle len emen le genci e . Teni l ie min e . A ale ne efficaci ma ice c m l men dan i . Il c n ib e galemen a i e le ine h de ca iaj e de g e de Win e g een, a bain de b che. 50% de DMSO e ai f able, i celaDMSO d i e de ali m dicale". (Extrait de Traitement pour Tous les Cancers Avanc s, page 198).• C en me Q10 Ce suppl ment exerce son action protectrice et la renforce dans tous les tissus. Agissant partir du niveau cellulaire, il renforce les gencives, ainsi que le muscle cardiaque. De nombreux scientifiqucroient que la maladie parodontale est le bon indicateur d un faible niveau de co enzyme Q10 dans les autrtissus.• Vi amine C Je sais qu'un homme qui vit Waco, au Texas, avait une maladie parodontale. Il a pris 15.000 mde vitamine C chaque jour (5000 mg chaque repas) et sa maladie parodontale a litt ralement disparu !

Le North Carolina Institute of Technology a prouv que les d chets des bact ries qui peuplent les dents mortesn crosent les m choires (cavitation), et quelques autres probl mes dentaires peuvent provoquer dessubstances toxiques, puis inhibent les prot ines sp ciales qui prot gent g n tiquement l'organisme de laformation des tumeurs canc reuses. Si vous tes int ress par le traitement des canaux radiculaires de vodents et/ou par le traitement du cancer, qui a r sult des probl mes dentaires, je vous recommande de visiterson site web :www.breastcancercured.com.

L'essentiel retenir, c est que les traitements alternatifs contre le cancer peuvent encore chouer, si un patientcontinue avoir de l'infection dans sa bouche. L'infection chronique qui a compromis le syst me immunitairpeut venir des canaux radiculaires, tel qu il en a t discut ci dessus, mais aussi partir de dents infectd extractions, et des maladies parodontales (des gencives).Il e c cial le a ien a ein d n canfai e e e de diligence ai e le infec i n en ielle d c lan de la b che.

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C 20Le S ja : la F e Magi e ?

La FRAUDE :

Le soja est un "aliment merveilleux" qui prot ge contre le cancerdu sein et l'ost oporose. Le soja est une prot ine compl te.

La REALITE :Les produits du soja non ferment s sont indigestes. Le soja n'est pas uneprot ine compl te, ce n'est pas un aliment naturel, il contient plusieurs

substances canc rig nes dangereuses, et la plupart des grainesde soja, aux Etats Unis, ont t g n tiquement modifi es.

T elon la plupart des grands m dias du courant dominant et du mie i e al e na if ,les f ves de soja sontles plus polyvalentes, naturelles, amies du c ur, am liorent la sant , pr viennent les graisses, agissentpositivement sur la croissance, et g n ralement n fai b nne , comme jamais ne l ont tles aliments cultiv s sur la Terre verte de Dieu. Avec des all es alimentaires regorgeant de centaines de produitd riv s du soja, y compris les prot ines de soja, les barres de soja pour le petit d jeuner, les burgers de soja,cr me glac e au soja, et une gamme infinie de boissons base de soja, la bi re de soja suivra t elle bient t ?

En fait, c est d j l ! Les m decins, les athl tes, les nutritionnistes, les agriculteurs, les repr sentantsgouvernement et des compagnies r put es, font tous, un point de r cit, pour nous dire combien le soja est s ret merveilleux pour nous, et qu il est synonyme d une myriade de bienfaits pour la sant . Ils nous disent qu'il si excellent et si s r, qu'il n'a m me pas besoin d' tre num r comme ingr dient dans de nombreux alimentransform s. Mais nous n'objectons pas, n'est ce pas ? Je veux dire,chac n ai que c'est un aliment s r, c'estbien a ?

En plus d' tre devenu le nouvel aliment de la sant , le soja est aussi devenu la derni re vache lait pour desoci t s comme Monsanto.

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Dans le monde, des milliards d'hectares sont affect s la culture des f ves de soja, donc fournissant une culturrentable, en toute s curit des millions d'agriculteurs, qui volontiers, vont d bourser une ede ance Monsanto, le d veloppeur de leur f ves de soja g n tiquement modifi es. Quel est l' vangile moderne de lproduction alimentaire ?"L S B P V ".

Ou encore est ce cela ? Malheureusement, depuis plusieurs d cennies, les soci t s ont t conscientes (et lsupprim e) de la preuve que l'ingestion du soja provoque le cancer, d truit les os, et occasionne des d g ts nos syst mes hormonaux. La v rit , derri re l'int gration manifestement commerciale du soja dans notralimentation, c est qu il s agit d un conte d'affliction, de fraude, d'avidit , de propagande, de r pressid'irresponsabilit s d'entreprises, de corruption, de mauvaise science, et d'opportunisme politique.

Avez vous d j vu"de ache ja", car d o vient l expression lait de soja ? Non bien s r, si vous conscients de cela, mais vous ne pouvez pas traire une f ve de soja ! Selon Elaine Hollingsworth, dans son livLe Soja l Abominable F ve, "Afin d b eni n li ide a a emmen a i , ann n an n fl de lblanc le h , i a a an e dan le ann nce , bea c de ce n n ce ai eb e le f e em a e le e, e i en i e, d e ai e le h ile e an e a ec de

d n ce ain e en dan l alimen . Al l alimen e m lang a ec ne l i n alcaline, e an ce de a a i n c n e i e le fib e . Al , il e ci i e a , la e. cha e a e de ai emen , ne an i min c le de i n e e dan le ja".

Elle poursuit,"de g la e enden il agi d' ne an i i infime, 'elle ne c mdemande i le le a di ? E i ne en il a a en i n a cien ifi e i affi m

ai n de n acc m la i n dan l' gani me, a c de l ng e i de d'inge i n d aimen he e d'acce e l'a ance d fab ican , e cela e a fai emen e c ian i min c le de i n cha e j , e e m me l ie f i a j , j ' c

ie bl me de an ?" www.doctorsaredangerous.com

Un des nombreux stratag mes en marketing pour le soja, consiste dire qu'il contient desi fla ne , i ne en iellemen de h m ne g ale ( bien h e g ne). Malgr le fait qu'il/elle n'a aucuneid e de ce qu un isoflavone est, votre consommateur de lait de soja typique r p tera la litanie qu'il entend sules nouvelles sources d'isoflavones. Ce que vous n'entendrez pas dans ces informations, c est que lesscientifiques savent depuis des ann es que les isoflavones contenues dans les produits issus du soja, peuventdiminuer les fonctions thyro diennes, occasionner des maladies auto immunes de la thyro de, et m mprovoquer le cancer de la thyro de. Les scientifiques savent, depuis plus d un demi si cle, que le soja impacts n gatifs sur la glande thyro de.

Des recherches au Japon, ont conclu que la consommation journali re, de seulement une once (28 grammes) def ves de soja, pendant une dur e de quatre vingt dix jours, a contribu l'accroissement des probl mthyro diens, et a m me supprim le fonctionnement thyro dien. Quelques sujets ont m me d velopp dgoitres. Les sujets ont retrouv la sant , lorsqu ils ont limin le soja de leur alimentation. (Y. Ishisuki et Al,"Leeffe d ja la glande h de, l il e admini e imen alemen de je , 1991).

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L'isoflavone g nist ine du soja, inhibe la fonction thyro dienne plus efficacement que les m dicaments prescrsur ordonnance, afin de contr ler l hyperthyro die ! Selon un rapport du NIH/NCI de 1996, les Japonais (etAsiatiques en g n ral) ont des taux beaucoup plus lev s de cancers de l' sophage, de l estomac, du pancr ade la thyro de, et du foie. Cela donne un sens, et claire les faits expos s ci dessus, n'est ce pas ?

D s les ann es 1950, lesh e g ne (oestrog nes issus des plantes) se sont retrouv s li s des cas decancers, la st rilit , et la leuc mie. Selon le Dr. William Wong,"Le ja e n i n d able !"Dans sonarticle intitul "S ja : La G aine P i n", le Dr. Wong d crit plusieurs raisons qui expliquent pourquoi le soja estun poison. Deux des isoflavones phyto oestrog nes (g nist ine et daidz ine) contenues dans le soja, sontessentiellement compos es de mani re similaire, des insecticides pour le soja. Il demande :S il en lin ec e , n il b n le e h main ?. www.totalityofbeing.com/ArchivedSoyPoison.html

Le Dr. Mike Fitzpatrick, un toxicologue respect qui est la pointe de la campagne N o Z landaise contrsoja, a crit un article en 1998, citant la plupart des travaux publi s sur les dangers des isoflavones du soja, qua soumis la FDA. Ce document a galement t publi sous forme d'article dansla Re e M dicale de N ellZ lande, en f vrier 2000, intitul "Les Formules au Soja, et leurs Effets sur la Thyro de". Dans ce document, le

Fitzpatrick d clare, La ici de i fla ne en e le anima , a d'ab d le la i e de cc mm na cien ifi e, le fai e le i fla ne de ja n de e ba e cca i nnen de f nd effe end c inien n ga if e le e ce animale di e

Le i fla ne de ja a gmen en le i e de e n cance d ein Le i fla ne de c cle men el endan , e n ma im m de i m i a le admini a i n Ldi i e de g ni ine e im le le cell le d ein en e dan le c cle cell lai e D

n e im e , e le femme alimen e a ine de ja n ne incidence acci h liale.

Charlotte Gerson, de la Clinique Gerson du Cancer, a publi des recherches d taill es, prouvant que la g nist

est plus canc rig ne que le DES, un m dicament strog ne de synth se, qui a t prescrit des millions femmes enceintes, surtout entre les ann es 1938 et 1971. (Gerson Clinic :Cance Re ea ch, 1er juin 2001 61). LeDES a inflig la mort et la souffrance d innombrables femmes ainsi qu leurs filles, durant cette p riode. un article intitul Les strog nes alimentaires stimulent les cellules mammaires humaines pour entrer dans lecycle cellulaire , publi en 1997 dans le bulletin deI e f En i nmen al Heal h Pe ec i e, le Dr. Craig Dees aconstat que les isoflavones de soja occasionnent un accroissement des cellules canc reuses du sein !

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Comme si nous avions besoin de preuves plus accablantes, le soja contient aussi del'acide h i e. Lapr sence d'acide phytique dans le soja d truit compl tement la cr dibilit des revendications des industrielcomme par laquelle le soja serait une bonne source de calcium, et aiderait pr venir l'ost oporose. Voicpourquoi : l'acide phytique porte atteinte l'absorption de tous les min raux essentiels (tels que le calcium, lemagn sium, le cuivre, le fer, et le zinc), dans le tractus intestinal ! Et comme le soja contient davantage d'acidphytique que dans toute autre c r ale, il aspire litt ralement les bons l ments nutritifs hors de votre corps Seule une longue p riode de fermentation r duira de fa on significative la teneur en acide phytique contenuedans le soja. Les scientifiques sont g n ralement d'accord sur le fait que les r gimes riches en acide phytiquecontribuent des carences min rales r pandues dans les pays du tiers monde.

Le soja n'est pas une prot ine compl te, car il lui manque les acides amin s essentiels que sont la m thionine ela cystine. La prot ine de soja est difficile dig rer parce qu'elle contient des quantit s substantielled'inhibi e de ine. Rappelez vous, la trypsine est essentielle dans la digestion des prot ines, et lescellules canc reuses sont prot g es par un rev tement de prot ines, qui les rendin i ible pour tromper lesyst me immunitaire. Le soja contient galement de l h magglutinine, une substance coagulante qui fait que leglobules rouges s'agglom rent entre eux. Ces groupes de globules sont ainsi incapables d'absorbercorrectement l'oxyg ne pour le distribuer aux tissus de l'organisme, ce qui peut endommager le c ur et

galement conduire au cancer. Nous connaissons tous sur la relation existant entre l'oxyg ne et le cancer, n'estce pas ?

Selon le Dr. Tim O'Shea, Enc e ne a e ine i e e dan ce ain d i an f mc e l , ce i e ann nc e 10 f i l le dan le f m le a ja le nle f m le ba e de lai e 100 f i l le e dan le lai n n an f m . Le ni ea

le l e le d i i d ja n h d g n . L al mini m, n de agen d'Al heime , e galemen end mmage le ein en c i ance che n n i n i b i la Pi e enc e, l'al mini m e end mmage di ec emen le ce ea d n i n, ca la ba i e

a enc e f m e. Le ja an f m e galemen c n eni n agen canc ig ne ec nn , l

'agi d' n d i d' ne a e de ai emen a el e le em age alcalin, ce i e effecd' limine le inhibi e de l'en me. M me i le f e n inc e en i emen , ce de e e , e e l'in e ac i n d ja a ec la l i n alcaline .

Et juste quand vous pensiez que cela ne pourrait pas tre pire, une tude r cente sur des hommes Japonais(vivant Hawaii), a constat que la consommation de 2 portions hebdomadaires, ou davantage, de tofu, est liau d veloppement de la d mence ! (L.R. White, et al, le vieillissement c r bral et la consommation de tofu mi vie , J nal f Ame ican C llege f N i i n, avril 2000). Mais les Chinois et les Japonais ne mangent ils pabeaucoup de soja ? La r ponse est n n, ils n'en mangent pas . La majorit des produits issus du soja qu ilmangent sont ferment s (tempeh, tamari, natto, et miso). Il y a bien longtemps, ils ont d couvert que la

fermentation rend les prot ines plus facile dig rer, et l'acide phytique, les toxines, ainsi que les "antinutriments", sont de ce fait d truits. Cela tant, les produits base de soja ferment s sont acceptables, maisseulement en petites quantit s.

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En ce qui concerne le soja, d'autres pays sont des ann es lumi re en avance sur les USA. En juillet 1996,Mini e B i anni e de la Sana publi un avertissement indiquant que les phyto oestrog nes pr sents dansle soja, la base des pr parations pour les nourrissons, pourraient nuire la sant infantile. L'avertissement esclair, en indiquant que les formules base de soja ne devraient tre donn es aux b b s, que sur les conseils dprofessionnels de la sant . Ils ont indiqu qu il peut tre donn aux b b s des formules base de soseulement quand ils ne peuvent tre allait s, ou s ils sont allergiques d'autres formules.

Avec leur vache lait en jeu, le march pour le soja doit tre maintenu. Les fermiers Am ricains du s"c n ib en " pr s de 80 millions de Dollars, chaque ann e, aider le financement de ce qui doit tconsid r comme l'une des campagnes les plus efficaces, de lavage de cerveau de l'histoire. Il r sulte de toucela une campagne m diatique de forte puissance, rapide comme l clair, qui s assure que de nouvellehistoires, au sujet des myriades d avantages que procure le soja, soient nombreuses, et racont es la radio, lt l vision, et sur l'Internet. Mais ne tombez pas dans le labyrinthe des mensonges ! Le soja n est pas unprot ine compl te, il n est pas un aliment naturel, il contient plusieurs substances canc rig nes dangereuses, ela plupart des graines de soja aux tats Unis sont g n tiquement modifi es.

Et juste au cas o vous auriez besoin d'une raison de plus pour rester loin du soja, les fabricants d'aliments"na el " utilisant d sormais un produit chimique toxique appel hexane, pour transformer leurs produits base de soja. Oui, l'hexane est la m me substance contenue dans la colle, qui vous donne des vertiges et qui faitexploser l'essence. Les vapeurs de l'hexane vont directement votre cerveau et occasionnent des dommagespresque instantan ment. L'hexane est tellement toxique que l'EPA l a inscrit comme produit chimiquedangereux qui provoque des cancers, des malformations cong nitales, et m me la maladie de Parkinson.

En 2009, un laboratoire ind pendant a d couvert des niveaux de r sidus d'hexane, aussi lev s que 21 partipar million, dans de l'huile de soja et de la farine de soja (utilis es dans la formule de soja pour nourrissons e

dans les barres prot in es). Mais tout le monde faitCh ! ch ! au sujet de ce sale petit secret, parce quel'industrie du soja est puissante, et la FDA n'exige pas d analyse de l'hexane dans la formule alimentaire ou dancelle des b b s.www.naturalnews.com/026303.html. La formule base de soja est l'un des pires aliments quevous pourriez utiliser pour nourrir votre enfant. Non seulement il a de profonds effets hormonaux n gatifs, telque ceux expliqu s ci dessus, ainsi que des niveaux dangereusement lev s d'hexane, mais il contient aussi dl'aluminium, 1000% de plus que dans les formules classiques base de lait.

Mais ce n'est pas tout ! Selon OGM Compass, un petit paradis d information en ligne, sur l industrie dorganismes g n tiquement modifi s (OGM), 91% du soja cultiv aux Etats Unis, est OGM. Dans une r cente provenant de Russie, les chercheurs ont constat que le soja OGM provoque la st rilit chez le

hamsters de la 3i me

g n ration ! En 2005, la Dre. Irina Ermakova a signal que plus de 50% des b b s de ratesont t nourris avec du soja OGM, sont morts dans les trois semaines. Quand elle a voulu tudier plus en avanses documents ont t br l s.

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Conscient de la sensibilisation accrue du public sur les dangers des OGM et d sirant afficher un type d"d lici c a i e", que m me le Prince de Machiavel applaudirait, Monsanto Corporation poss de d sormaipr s de 50 millions d'acres de soja OGM, et ce, de plus en plus aux Etats Unis. Voici le pi ge : la loi Am ripermet ces cultures d tre m lang es de petites quantit s de f ves de soja biologiques, et la combinaisoqui en r sulte peut ensuite tre tiquet e bi l gi e ! Et vous pensez encore que le gouvernement ne leslaisserait pas vous mentir ? Cette "alimentation" mortelle appartient la d charge des d chets toxiques, maisles entreprises multinationales comme Monsanto s'en d barrassent, en vous les faisant absorber, votrefamille, et dans les formules pour b b s ! Pour ceux qui se demandent si le soja biologique est s r, je dis"S hai e mange de ?"

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En utilisant leur budget de marketing compos de multi milliards de Dollars, Big Pharma a lanc une campagm diatique massive de propagande, afin de d peindre le Codex comme un outil bienveillant, oeuvrant dans l

ec i n de c n mma e ; ainsi que pour entacher n gativement l'image des options de la santnaturelle, et induire en erreur les gens, afin qu ils craignent l alimentation naturelle, pour qu ils la considcomme dangereuse , de sorte qu'ils consommeront davantage de m dicaments. Contrairement lapropagande dont vous avez entendu parler sur le Codex, cela n a rien voir avec la protection deconsommateurs. Rien ! Le Codex est une vache lait qui assure la protection des m dicaments sordonnance.

Et voici le coup final Le Codex est bas sur le Code Napol onien, pas sur le Droit Coutumier. Cela signifie qvertu du Codex, quelque chose qui n'a pas t explicitement autoris est interdit. Sous le Droit Coutumier, il eestim que tout ce qui n est pas explicitement interdit est permis.C e cela i fai la diff ence enlibe de an e de la annie de an.

Merci Mike Adams et www.NaturalNews.com pour la caricature ci dessus.«A partir de maintenant, toutes les statistiques sur la santé seront appelées maladies, tous les produits

chimiques de synthèse seront appelés médicaments, et toutes les promotions sur les médicaments serontappelées Campagnes de sensibilisation.»

«Comment appellerons nous les vitamines et les plantes ?»«Illégal !»

La Dietary Supplement Health and Education Act (DSHEA) est une loi Am ricaine qui classe nos suppl mentnos plantes comme des aliments (aucune limite sup rieure ne peut tre fix e quant leur utilisation), et qui

t adopt e par consentement unanime du Congr s, en 1994. La DSHEA est la seule loi qui nous protactuellement de la VMG mortelle du Codex. Mais la DSHEA est victimed attaques l gislatives importantes en cemoment.

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Les agents ont commenc fouiller dans tous les biens appartenant la famille, une t che qui a dur deheures, et qui a abouti au bouleversement complet de chaque espace priv de la maison. De nombreux articlesont t emport s, qui ne figuraient pourtant pas sur le mandat de perquisition. En violation directe avec laConstitution des tats Unis, la famille n'a t autoris e passer aucun appel t l phonique, il ne leur a pas tquel crime ils avaient bien pu commettre, et leurs droits ne leur ont pas t lus. En outre, une valeur de plus d10.000 $ de nourriture leur a t c nfi e(vol e), y compris leur stock d aliments personnels pour l'ann e venir. Tous leurs ordinateurs et l'ensemble de leurs t l phones cellulaires ont t emport s, ainsi que deenregistrements de contacts t l phoniques.

Quel tait leur crime ? On peut supposer que Manna Storehouse pouvait ventuellement tre accus ed'exploitation sans permis, d'un tablissement de vente au d tail. Pourquoi alors cet interrogatoire de style"Ge a " pour une charge de d lit de troisi me degr ? Y a t il une nouvelle interpr tation enrag e (des lexistantes sur les m dicaments), qui consid re la nourriture comme une substance r glement e, digne d trpassible d'un raid SWAT ?

Merci David Dees et www.Deesillustration.com, pour la caricature ci dessus.

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Ce raid"Na i e e" soul ve l inqui tante possibilit que cela pourrait d ranger et devenir un crime que dproduire votre propre nourriture, acheter des oeufs provenant du fermier sur le bord de la route, ou lever vospropres poulets, pour la famille et les amis. Les Am ricains conserveront ils le droit d'acheter de la nourrituqui n'est pas contamin e par les pesticides, les herbicides, les allerg nes, les additifs, les colorants, lesconservateurs, le GMS, les OGM, les radiations ionisantes, etc ? Honn tement, j attends pour que les gepuissent se "permettre" de cultiver des jardins aux Etats Unis. Je peux pr voir des raids de la police dans demaisons, d garnir les jardins ainsi que les arri re cours, avec des familles enti res ayant des fusils point s sut te... pour le"c ime"de ne pas avoir le permis requis.

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C ncl i n

K 'esp re que ce livre vous a fait d couvrir de la fa on la plus claire, les alternatives naturelles au Big 3 , bque ces solutions de substitution n'aient pas re u le cea d'a ba i n de l'industrie du cancer ou de laMafia M dicale. Esp rons que vous vous tes d sormais rendus compte que vous n aureza empoisonner,couper, ou br ler votre corps. Sachez que vous n' tes pas limit s aux seuls traitements alternatifs contre lecancer publi s dans ce livre. Bien que les traitements d taill s dans cet ouvrage soient consid r s comme lmeilleurs, et aient t pl biscit s par les patients atteints de cancer, il existe litt ralement des centainesd'autres traitements alternatifs contre le cancer qui fonctionnent mieux que le Big 3 .

P ene ga de a l d g i en b ebi ! Les h pitaux et autres tablissements similaires qui offrent ce quel'on appelle la"n i i n de ba e", ou "h li i e", ou bien encore "in g e", car ces programmes ne sont tropsouvent que payants du bout des l vres, pour les patients demandant des traitements de remplacement contrele cancer, simplement juste pour leur admission. Cependant, une fois que vous serez l , bien souvent ilstenteront de vous convaincre que le Big 3 est votre seul espoir. Ne tombez pas dans ce mensonge. Vous savezmieux, pr sent, comment cela se passe. La fa on dont vous allez traiter e cancer est e choix. Si lem decin vous dit que votre cancer est incurable, cela signifie vraiment, qu'il est incurable, uniquement si vouutilisez le Big 3 .

Il est attristant que l'argent, plut t que l'altruisme, soit le moteur de Big Pharma et de Big M decine, mais c'estla r alit . Et il en sera toujours ainsi, car si les traitements de substitution contre le cancer en taient sg n raliser, des millions de vendeurs de produits pharmaceutiques et de chercheurs, en seraientimm diatement r duits la recherche d'un emploi, les profits des actionnaires seraient en chute libre, et lesPDG perdraient leurs parachutes dor s. Faisons face la r alit , Big Pharma m ne le bal. Ils veulent que vrestiez dans l'ignorance et "dan l' b c i ". Ceux qui profitent du cancer sont comme les propri tairesd'esclaves d il y a 200 ans. Si vous aviez dirig une plantation au temps des esclaves, vous vous seriez assur

que vos esclaves restent ob issants, dociles, et illettr s. Si un esclave avait suffisamment de culot pour d sob"a ma e",alors on le battait jusqu ce qu il n en soit plus qu un doigt de mourir. Les livres taient interainsi les esclaves taient incapables d'apprendre lire. Ces mesures avaient t prises afin de s'assurer qu'iln'auraient jamais l'audace de s'aventurer hors de la plantation, et le ma tre disposait ainsi d un"e cla e ie".

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Dans le cas de l Industrie du cancer, les patients sont comme les esclaves, et les ma tres d'esclaves veulens'assurer qu'ils demeurent asservis l esclavage en supprimant certaines informations sur les traitements desubstitution, et ils se permettent de pers cuter ceux qui osent se lever contre leur cause, remettent en questionleur autorit , ou utilisent les traitements alternatifs."Ga de le m e ". Cela semble tre leur slogan. Ce quoie r ponds :"Ne fai e a de d n !"

La prochaine fois que vous serez invit s faire un don un organisme de bienfaisance contre le cancer, s'il vopla t, gardez l'esprit que votre argent sera utilis pour soutenir une industrie qui a t consid r e, par nombd minents scientifiques, comme un chec qualifi , et par d'autres comme une v ritable escroquerie. Si vovouliez faire la diff rence, envisagez je vous prie, de faire un don d'argent la Fondation Ind pendante de lRecherche sur le Cancer (ICRF). L objectif de cette organisation but non lucratif, est de d velopper de trpuissants traitements alternatifs contre le cancer, qui fonctionnent rapidement et sont tr s efficaces sur lespatients canc reux un stade avanc . Vous pouvez visiter leur site Web surwww.new cancer treatments.org.

Me ci d a i l ce li e. J'esp re sinc rement qu'il vous a donn , la fois, les munitions et l espoir. Si Dieuveut, le jour viendra o le grand public aura libre acc s toutes les th rapies parall les contre le cancer. Ma

d ici l , peut tre ce livre sera t il une source d'informations, pour vous et vos proches, qui ont d sesp rbesoin d une aide la navigation, dans la jungle du cancer, et pour" i de la B e".

@cance h.ne

Q e Die b ni e, i d nne ne l ng e e aine ie !

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Anne e

Le Clini e c n e le Cance

La S i i ali c n e le Cance

Le E e cice E en iel

&

Da id c n e G lia h :Ja n Vale e la Mafia d Cance



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A 1Le Clini e Rec mmand e

C n e le Cance

B BB B l e de n mb e ai emen al e na if c n e le cance e en e adminiefficace la mai n, ce ain a ien a ein de cance (e le famille ) e en e en i l

ai emen e admini a n fe i nnel de la an dan n en i nnemen clini e. Lc n e le cance men i nn e dan ce e ec i n, ili en e de f midable c le de cance , e elle n e g e a de e nne dan ne l ng e e ience

cc le a ien canc e . Elle n cla e a d e al hab i e.

A i na In eg a i e Medical Cen e

Cen e M dical In g a if de l A i na

Lie : Scottsdale, ArizonaT l h ne: (480) 214 3922Si e Web: www.drstallone.com

L Arizona Integrative Medical Center est dirig par le Dr. Paul Stallone. Il exerce actuellement Scottsdale,

ses patients sollicitent son assistance dans une grande vari t de maladies, allant du rhume jusqu au cancer ephase IV.

Son objectif principal est d' couter et de comprendre la cause sous jacente de chaque maladie individuelle. Sconviction est que bien souvent, la cause sous jacente est une combinaison nutritionnelle, structurelle,chimique, motionnelle, et est due des facteurs li s au style de vie. Il utilise une vaste gamme de modalit s,compris les compl ments alimentaires/la nutrition, l'hom opathie, la d toxification, l acuponcture, la th rapiel ozone oxyg ne, et la th rapie intraveineuse vitamino nutritionnelle, pour traiter efficacement des maladtelles que le cancer.

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Camel Cance Ca e(S in Camel c n e le Cance )

Lie : Tulsa, OklahomaT l h ne : (918) 493 1011Si e Web: www.camelotcancercare.com

A Camelot Cancer Care, aucun" ai emen i e" au menu ! Ils utilisent de douces mais puissantes solutionsnaturelles pour essayer d att nuer les d g ts caus s par le Big 3 . Selon leur site Internet,"La m decine

adi i nnelle ai e le m me de la maladie, e le e i e a f i . N , a ec le echni e Al e na i e de M decine, n e a n en l de ai e la ca e ini iale. En ca d a a

a la m decine h d e, n me n a f i de la ci nnelle en l if. S le e ial e na i e e g e i e, la inine e ili e e n e a n de "d aine le ma ai "".

Camelot est l'une des rares cliniques utilisant le DMSO, op rant aux Etats Unis, et qui accepte les patiencanc reux. Ils n'utilisent que du DMSO pur, de qualit pharmaceutique. Camelot offre galement une gammcompl te de traitements de soutien suppl mentaire. Ils ont galement fait preuve de succ s dans le traitementdu cancer du cerveau, du cancer du c lon, et sur de nombreux sarcomes. Je vous sugg re de lire les FAQ sur leusite web.

Cen e f Ad anced Medicine & Clinical Re ea ch (CFAMCR)

Cen e la M decine de P in e & de Reche che Clini e

Lie : Huntersville, en Caroline du NordT l h ne : (704) 895 9355Si e Web: www.drbuttar.com

Au Centre pour la M decine de Pointe et de Recherche Clinique, leur engagement de mission a toujours t"N n e lemen d'acc e la ie de n a ien , mai galemen d'am li e la ali de ce

l ng e". Ils ont r alis cette mission pour lutter efficacement contre les toxicit s qui sont la cause de toutesles maladies chroniques, et ce sont les principes directeurs ainsi que le fondement du travail clinique du DrRashid Buttar. Le Dr. Buttar est l'un des meilleurs m decins des Etats Unis, et son savoir est in gal dansd toxification, la nutrition, et la ch lation des m taux lourds.

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Selon leur site Web, ils"Off en 39 h a ie IV diff en e , ien e e le inci e de la dm d la i n imm ni ai e, c m i la ch la i n de m a l d , l' g n h a ie h e ba e,bea c d'a e ai emen i d ifien e enf cen le me imm ni ai e. A c

h a ie IV effec e dan n e clini e n a ca de j dice a c n a ien , e n a nde 200.000 ai emen a ie in a eine e, a c de 11 de ni e ann e ".

Je connais personnellement le Dr. Buttar, et je recommande fortement cette clinique.

Clini e de la Bi m decine

Lie : Toronto, Ontario, CanadaT l h ne : (416) 255 3325Si e Web: www.biomedici.ca/index.html

Depuis plus d'une d cennie, la Clinique de la Biom decine a utilis une combinaison de diff rents protocolesnon toxiques contre le cancer pour traiter les tumeurs malignes.

Le programme "M ab li me de Ba e d Cance " est souvent recommand et implique une th rapie initiale de60 jours, incluant les proc dures suivantes : d toxification, ch lation, th rapie enzymatique, laetrile par Ivaccins contre le cancer, modificateurs de r ponse biologique, Iscador® (interdit en France sous cetteappellation, mais commercialis sous le nom de Viscum Album), le colostrum, la gestion du stress, des conseilsnutritionnels, et d'autres protocoles individualis s.

Leur protocole de traitement est presque identique aux traitements utilis s l'Oasis de l'Espoir, Tijuana, auMexique.

C n em a Medicine(M decine C n em aine)

Lie : Burr Ridge, IllinoisT l h ne: (630) 321 9010Si e Web: www.contemporarymedicine.net

Chez M decine Contemporaine, ils se concentrent sur le traitement des patients, parvenus au stade quatre(a anc ) du cancer. Leurs patients typiques ont essay le "Big 3" et ont ch avec cette th rapie l . Ils

pensent que les traitements conventionnels du cancer (comme le "Big 3") sont souvent pires que la maladieelle m me. Le Dr. Steven G. Ayre a tudi et effectu des recherches sur la TPI depuis plus de 30 ans, eeffectivement invent le nom"In lin P en ia i n The a "(Th rapie de Potentialisation l Insuline), en 1986.

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A M decine Contemporaine, ils se r f rent la TPI comme une"chimi h a ie l d ce, l aimable". Leurbut est de donner l'occasion aux individus, d int grer la nutrition et l'esprit corps, dans leur processus dgu rison du cancer. Ils utilisent aussi la th rapie avec la vitamine C par voie intraveineuse.

Ge man Cance Clinic(Le Clini e Allemande d Cance )

Seul un petit nombre de cliniques Allemandes du cancer, n utilisent que la m decine alternative, comml'hyperthermie, l'oxyg noth rapie, et la th rapie avec le gui, mais ces cliniques sont excellentes. Le livre UnD couverte Capitale Allemande contre le Cancer, par Andrew Scholberg, est un excellent ouvrage pour enapprendre davantage sur sept des principales cliniques allemandes, de soins alternatifs du cancer. Le grosavantage pour les cliniques Allemandes du cancer, c'est qu'elles sont dirig es par des m decins qui disposent depetites cliniques (selon les normes am ricaines), puis elles accordent beaucoup d int r t, et d'interaction auxpatients. En d'autres termes, les Cliniques Allemandes contre le Cancer sont plus des"bed and b eakfa " (lit etd jeuner) que des h pitaux. Si vous pensez que vous pourriez tre int ress par un voyage en Allemagne poule traitement, visitez s'il vous pla twww.germancancerbreakthrough.com.

D . Nich la G n ale

Lie : New York CityT l h ne : (212) 213 3337Si e Web: www.dr gonzalez.com

Le Dr. Nicholas Gonzalez a tudi les approches nutritionnelles propos du cancer puis des autres maladid g n ratives, depuis 1981, et exerce New York depuis 1987. La Dre. Linda Isaacs assiste le Dr. Gonzalez ses recherches, et dans la pratique depuis 1985. Les docteurs Gonzalez et Isaacs partagent leur concept sur letraitement du cancer avec Robert Beard ( n Emb l gi e Ec ai), et William Donald Kelley (n O h d n iTe an) qui a enregistr un remarquable succ s dans l approche m tabolique pour traiter le cancer.

Ils utilisent un protocole nutritionnel individualis agressif qui fonctionne sur de nombreux types de cancers, enparticulier sur le cancer du pancr as. Le programme Gonzalez n cessite un certain nombre de suppl mentagressifs quotidiens (130 160 g lules). Les enzymes pancr atiques (au centre de ce traitement), des vitaminedes min raux, des acides amin s, et des antioxydants, sont normalement administr s pendant 15 jours, avand' tre vacu s par l organisme, et ce durant 5 jours, et puis le protocole recommence de nouveau. Delavements au caf , une cure du foie, ainsi qu une purge de l ensemble de l organisme, avec des cosses

psyllium que le Dr. Gonzalez appellela able a e, sont essentiels pour la r ussite du programme.

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Heal hQ Mini ie (Le Mini e de Q a ie de la San )

Lie : Colorado Springs, ColoradoT l h ne : (719) 593 8694Si e Web: www.healthquarters.org

HealthQuarters est dirig par le Dr. David Frahm, qui a crit le livre Un Plan de Bataille Contre le Cancer. proposent une cure de d toxification de 10 jours, car ils estiment qu une nutrition appropri e gu rit le corps aniveau cellulaire, mais avant que les changements nutritionnels ne puissent tre efficaces, une d toxification dusyst me doit avoir lieu.

HealthQuarters est une organisation chr tienne, et il y a un tr s fort aspect spirituel inclus dans leurprogramme. Leur c ur qui bat est une aide aux personnes croyantes en Dieu, pour qu elles soient en bonnesant , la fois physiquement et spirituellement, afin qu'elles puissent servir J sus Christ plus efficacement danSon univers.

Il s'agit d'une clinique impressionnante, et le Dr. Frahm est un merveilleux Chr tien. Je vous recommandfortement HealthQuarters.

H li ic Medical Clinic f he Ca lina (Clini e M dicale H li i e de Ca lin

Lie : Wilkesboro, Caroline du NordT l h ne: (336) 667 6464Si e Web: www.holisticmedclinic.com

La Clinique M dicale Holistique de Caroline (HMCC) a commenc prodiguer des soins holistiques en juin sous la direction du Dr. R. Ernest Cohn, qui exerce la m decine depuis plus de 30 ans.

L' quipe m dicale professionnelle du Dr. Cohn, pratique la chiropractie, et les m decins naturopathes offrenune large panoplie de services, telles que la chimioth rapie alternative, l oncologie holistique, la ch lation dm taux lourds et cardiovasculaire, l'acupuncture, l'irrigation du c lon, l analyse de cellules vivantes, et ltraitements fongiques ainsi que ceux ayant trait aux levures.

Au HMCC, ils se concentrent sur la suppression des m dicaments inutiles que pourraient prendre leurs patientset l accent principal est D a eind e l bjec if afin e le a ien e en en bien. Je connais le Dr. Cohnpersonnellement, et je recommande vivement cette clinique.

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Ren In eg a i e Medical Cen e (Cen e In g a if M dical de Ren )

Lie : Reno, NevadaT l h ne : (775) 829 1009Si e Web: www.renointegrative.com

Reno Integrative Medical Center est un centre de traitement en m decine alternative et de recherche sur lecancer. Le Dr. Douglas Brodie dirigeait cette clinique, mais il mourut en 2005. Actuellement, le Dr. Bob Eslinget le Dr. David Holt, sont les m decins qui g rent la direction de ce centre.

Au RIMC, ils estiment que la canc rologie, avec quelques exceptions r centes notables, a continu dans m me direction de base depuis le dernier demi si cle ou plus, chercher l insaisissable "balle magique" pabiais du d veloppement de produits chimiques synth tiques toujours plus toxiques. Ils se concentrent r tablivotre capacit naturelle inn e du corps se d fendre lui m me. Ceci s effectue en aidant votre corps gu rim me, en utilisant la m decine alternative ainsi que d'autres th rapies, sans agresser votre corps avec destoxines nocives.

Leurs protocoles de traitement contre le cancer sont l'hom opathie, la th rapie oxydative, la th rapie par lach lation des m taux lourds, la "nouvelle m decine" Allemande, et les perfusions base de min raux et dvitamines. Leur philosophie est d embrasser de nombreuses modalit s de traitements diff rents, offrant ainsi lmeilleur des deux m thodes, traditionnelle et approche alternative aux soins de sant .

Rh hm f Life C m ehen i e Cance Ca e

(S in Onc l gi e C m le d R hme de Vie)

Lie : Mesa, ArizonaT l h ne : (480) 668 1448, (877) 668 1448Si e Web: www.rhythmoflife.com

Le Dr. Charles Schwengel est titulaire d une licence de M decin et de Chirurgien Ost opathe, ainsi que ddipl me de m decin Hom opathe. Cette licence suppl mentaire est d livr e dans l'Arizona, aux m decins qsouhaitent ajouter une dimension globale holistique suppl mentaire, leur pratique.

tre titulaire d une licence de m decin hom opathe lui permet d int grer une plus grande vari t de traitemenm dicaux de pointe qui sont couramment utilis s travers le monde, mais qui sont moins disponibles aux EtatUnis. Parmi leurs protocoles de traitement du cancer, mentionnons la TPI, le traitement par ch lation desm taux lourds, la d toxification, l'analyse des cellules vivantes, et beaucoup plus encore. Personnellement, ilsont un peu trop "ne age" mon go t, mais ils proposent d excellents traitements contre le cancer.

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Ri dan Clinic (La Clini e Ri dan)

Lie : Wichita, KansasT l h ne : (316) 682 3100Si e Web: http://riordanclinic.org

Le Dr. Hugh Riordan dirigeait la Bright Spot Clinic Wichita, au Kansas. Cependant, il mourut en 2005. s appelle d sormais la clinique Riordan, et est dirig e par le Dr. Ron Hunninghake ainsi que par une quipem decins, qui sont tous impliqu s dans la recherche orthomol culaire et dans la recherche sur d autres cancerLa m decine orthomol culaire d crit la pratique de la pr vention et du traitement des maladies, en fournissan

l'organisme une quantit optimale de substances qui sont naturelles. L'id e ma tresse de la m decinorthomol culaire est que les facteurs g n tiques influencent non seulement les caract ristiques physiques desindividus, mais aussi leur environnement biochimique.

A la Riordan Clinic, leur objectif est de trouver et de corriger les causes sous jacentes de la maladie, en valua"biochimiquement" les patients, ce qui consiste mesurer les niveaux en nutriments. Ils sont sp cialis s dancertaines approches alternatives, y compris dans les vitamines et la nutrition par voie intraveineuse, la m decinenutritionnelle, l'acupuncture, la ch lation des m taux lourds, la chiropractie, la d tection des r actionind sirables aux aliments et aux parasites cach s, ainsi que dans le massage th rapeutique.

U ia Wellne (Le Bien e U i e)

Lie : Clearwater, en FlorideT l h ne : (727) 799 9060

Si e Web: www.utopiaawaits.com

Utopia Wellness est un centre m dical de pointe, qui propose des offres int gr es, holistiques, ax es sur destraitements m dicaux sp cifiques chaque patient. Le Dr. Carlos Garcia (directeur et m decin) est un chirurgiOst opathe, ainsi qu'un m decin Hom opathe. Le Dr. Garcia utilise uniquement des m thodes naturelles dpurification interne, la d toxification, le changement de r gime alimentaire, les compl ments alimentaires, ainque tous les jours, des IV de vitamine C, du c sium/DMSO, de l'argent collo dal, du sulfate d'hydrazine, lach lation, les HRT bio identiques, ainsi que bien d autres th rapies.

Le Dr. Garcia est galement un grand ami de Bill Henderson, et ils pratiquent r guli rement le traitement ainsi

que la gu rison des malades du cancer en phase" e minale". En fait, il traite tous ses patients atteints de canceravec du fromage blanc et de l'huile de lin, tous les matins. Le Dr. Garcia est un gu risseur des plus d vou s. Il passionn par le fait de former les gens, afin de les aider se gu rir eux m mes.

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J sus, avant Sa mort, a dit : C e fini. Le texte Grec utilise le mot Te ele ai, ce qui signifie"T ein g alemen a !" J sus a accompli toute l uvre n cessaire pour assurer le salut de tous les p cheurs,

. Il n a pas pay pour les p ch s, pour qu ensuite, il soit n cessaire que les p cheurs payensolde restant avec certains rituels ou en effectuant de bonnes uvres. ph siens 2:8 9 dit :Ca c'e a lG ce e e a , a la f i, e cela a a m me , c'e le d n de Die ; n n

e e , afin e n l ne e gl ifie.

Lorsque vous confessez vos p ch s Dieu, et faites confiance en J sus comme votre Sauveur et Seigneur, vous pardonne avec empressement, instantan ment, et compl tement. Romains 10:9 10 dit :Si c nfe e d

a b che, e J e le Seigne , e i c i dan n c , e Die L a e ci de mca a ec le c d' ne e nne i c i , il l e la j ice, e a ec la c nfe i n de la b che, il.En ce moment, J sus est l , en tendant Sa main pour vous, dans une invitation.T T . J sus est leSEUL rem de votre maladie spirituelle. Vous n avez pasbesoin d'aller la punition ternelle, en enfer, pour expier vos p ch s. Peu importe o vous tes all ou ce qvous avez fait, venez Lui et Il vous accueillera bras ouverts.

Mais ne vous m prenez pas, le temps est essentiel. Ne dites pas je iend ai L i demain. Demain e neamai a i e. Esa e 55:6 7 dit :Che che le SEIGNEUR an 'Il e e ; fai e a el Lche. Q e le m chan aband nne n chemin e l'h mme d'ini i e en e ; 'il e ne

a a i i de l i, n e Die , ca Il a d nne ab ndammen an e la e. Ne remettez pas plus tard de venir Christ, car vous pensez qu il y aura un moment plus opportun, mais avouez honn tement vos p ch s, repentezvous de vos p ch s et croyez en ChristMAINTENANT.

La ec i n i an e e in i l e "Il E M P Se Pa ien ."Elle a c i e a William Pl me en 1867.

"La e en i e e malade, e le c e ff an . Rien n e en b nne an , de la e a'ecch m e , laie i e e ble e infec e !" (Esa e 1:5 6) Souvent dans les Ecritures, le p ch est d c

comme une maladie, un traumatisme, une blessure. Christ, comme le grand M decin, est le seul gu risseusouverain.

Le p ch est une e ible maladie ! Oui, c'est m me lai e des maladies ! Ce fut la emi e, d'abord, et elle estainsi devenue la plusancienne des maladies. Elle a infect l homme, tr s peu de temps apr s sa cr ation. Car p ch vieux de six mille ans a commis des ravages, et pris de l'acharnement. Aucune autre maladie n est

vieille. Le p ch est aussi une maladieni e elle ! D'autres maladies en ont tu des milliers ; mais le p ch en atu des millions !

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Nos larmes ne sont rien ; nos uvres ne sont rien ; toutes nos belles actions sont aussi sales que des haillons ;elles ne sont d'aucune utilit .

Le e l em de pour le p ch ne se trouve qu'en J sus ! Il est leM decin de me. Aucun autre m decin queLui ne peut gu rir un p ch ou une me malade. Il ne facture aucun prix pour tous Ses rem des !Il e m

Se a ien ! Son sang nettoie tous les p ch s. Avec Ses plaies nous sommes gu ris. La mort de Chriexpie les p ch s. Par Ses souffrances nous avons obtenu la r mission des p ch s. Dans tous les cas o il eappliqu ,le em de de l E angile est souverain et efficace. Il a pr valu pour le larron, le voleur mourant, pour lesanglant Saul de Tarse, pour le ge lier cruel, et pour des millions et des millions de gens qui se sont une foiestim s eux m mes aussi vils, que dignes de la mort ternelle !

Et maintenant, pauvre et faible, malade du p ch , me mourante Remettez vous ce M decin, offrez Lui vcas et recherchez en Lui le rem de de la gu rison ! Si vous restez l cart, vous mourrez !"L

".

"L J !" 1 Jean 1:7

Avez vous re u J sus ?

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A 3Le E e cice E en iel

"L exercice permet de r duire le risque de d velopper plusieurs types de cancer."

Dr. Joseph Mercola

S evenons la fin des ann es 1980 et au d but des ann es 1990, j'ai particip de nombreux concours dculturisme, et ai t prim en de multiples circonstances. Durant les comp titions, mon poids normal dconcours tait situ autour de 220 livres (100 Kg), et mon indice de masse grasse corporelle (IMG) mesur esituait autour de trois pour cent. J tais "regard " comme l'image de la sant . Toutefois, comme le dit le dicton

Le a a ence e en e a f i m e e. La r alit tait qu en raison des ann es pass es utiliser dest ro des, mon foie et mes reins taient plac s sur leurs derni res jambes .

Je me souviens d'avoir rendu visite mon m decin quand j'avais environ vingt cinq ans et il m'a alors dit quee ne m loignais pas des jus (st ro des par exemple), alors je ne passerais pas l' ge de trente ans. Eh bien

fut certainement pour moi un signal au r veil. Jeeme cie Die qu'Il m'ait sauv et je suis devenu Chr tien deuxans plus tard. Je l ve d sormais des poids dans le cadre d'un programme d exercices visant la sant globale.

J int gre cette information propos de mon exp rience sur la concurrence de bodybuilder pour deux raisonsPremi rement, je tiens souligner qu un aspect sain n'est pas n cessairement quivalent au fait "d' tr ellement en bonne sant ". Notre soci t insiste beaucoup trop sur l'aspecte ie (le visuel), et ne met pasassez l'accent sur les qualit sin ie e (ce que l on ressent), ou sur le i i el (o nous allons quand nousmourons).

Vous pouvez le voir sur ma photo ci dessous, j taisega d c mme i j tais en excellente sant . Aujourd'hui,de nombreuses personnes vont faire tout ce qu'il faut pour avoir un corps de r ve , mais la v rit est qubeaucoup d entre eux sont des gens terriblementmaladif , et ne se sentent pas vraiment tr s bien. Parexemple, l'un de mes bons amis bodybuilder est d c d l' ge de 34 ans, d'une attaque c r brale caus e pdes ann es d utilisation et de consommation de st ro des. Il ai ega d autant que s'il tait sain comme uncheval. Mais comme je l'ai dit, les apparences peuvent tre trompeuses. Maintenant, ne vous m prenez pas.L'apparence est importante. C'est pourquoi je prends une douche chaque jour, je m assure que mes v tementssont propres, et v rifie que je n'ai rien de vert coinc entre mes dents.

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De nombreuses activit s peuvent vous procurer une s ance d'entra nement a robic. Quelques exemples, avecnotamment le v lo, mais vous pouvez aussi courir, marcher, sauter la corde, nager, jouer au basket ball, fairdu roller, du skate, et de la danse. En plus de ces activit s, vous pouvez pratiquer une s ance d a robic pl exercice stationnaire sur des machines telles que les cycles, les tapis de course, les steppers d'escalier, et lemachines d'aviron. Celles ci peuvent se procurer dans un gymnase local, ou au sein d un club de sant . plupart de ces machines peuvent galement tre utilis es la maison.

Une p riode "d chauffement" et une autre de "refroidissement", qui devraient toutes deux int grer dess ances d' tirement, sont des tapes essentielles lorsque l on pratique l exercice a robic. L chauffement avotre corps se pr parer l'exercice, par l l vation lente de votre rythme cardiaque et par l accroissement la temp rature musculaire. Cela diminue galement le risque de blessure. Le refroidissement permet votrcoeur de revenir lentement un rythme normal, et fait que le sang puisse circuler tout fait librement vers lec ur.

Voici les lignes directrices g n rales pourl e e cice a bic:

• P c de a ec im lici. Si vous ne savez pas trop comment il faut proc der, commencez par les bases. Vousdevez travailler au moins 20 minutes par s ance d'entra nement, afin d obtenir un bon pompage de votre coeurcommencez d'abord comme ceci. Sortez votre calendrier, trouvez vingt minutes de temps sur trois diff rentsours, et faites quelque chose, que ce soit la marche, le jogging, allez la gym, travaillez dans la cour, nagezouez au basket ball, etc• Mi e l ac i i. Ce qui est le plus agr able dans l'exercice a robic, c est que vous pouvez choisir n'importquelle activit qui augmente votre rythme cardiaque. Vous n'avez pas faire la m me s ance d'entra nementout le temps. Si vous vous ennuyez avec votre s ance d'entra nement du moment, changez en.• B e bea c d'eaavant, pendant, et apr s votre s ance d'entra nement.

La cl de l'entra nement a robic, c est la partie a robie , c'est dire la partie qui traite de l'g ne. L'oxyg nenourrit les cellules, cr e de l' nergie, combat la fatigue, d compose les d chets produits et les toxines, fournide l' nergie n cessaire au m tabolisme des glucides, r gule l' quilibre pH du corps, renforce la d fense dsyst me immunitaire, et combat l invasion des organismes ennemis.

L'im ance de l' g n h a ie a e le e e cice a bic g lie ne a jamlign e. C'est une question de sant ou de maladie, et parfois (comme dans les tudes m dicales sur le

cancer), c est une question de vie ou de mort. Rappelez vous,le cance ne e a i e en end' g ne. Ainsi, au lieu de "stationner" sur le canap et regarder la t l vision, levez vous et faites quelqu

sauts ou faites un jogging dans le quartier. En plus, cela aidera pr venir le cancer ; rappelez vous qu'uprogramme d'exercice r gulier d a robic peut galement vous aider viter les maladies chroniques telles qules maladies cardiaques, l'hypertension, les accidents vasculaires c r braux, et le diab te.

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Reb ndi

En i c n i e le fai de eb ndi ?Un excellent choix d'exercice est celui de rebondir (sauter) sur un minitrampoline. Vous pouvez rebondir plusieurs fois par jour tout en coutant la radio ou regarder la t l vision.

La recherche a conduit de nombreux scientifiques pouvoir conclure que de monter sur un mini trampoline esprobablement l'exercice le plus efficace jamais con u par l'homme, notamment en raison de l'effet b n fiquequ a le rebond sur le syst me lymphatique.Le c h main a be in de b ge. Le syst me lymphatiquebaigne chaque cellule et transporte des nutriments cette cellule tout en retirant les toxines, telles que lescellules mortes et canc reuses, les m taux lourds, les maladies infectieuses, les virus, et d'autres d chets diversMais contrairement au sang (qui est pomp par le c ur), la lymphe est totalement d pendante des exercicesphysiques pour faire mouvement.

Les lymphocytes (les cellules primaires du syst me lymphatique) forment environ 25% de tous les globulblancs pr sents dans le corps. Comme d'autres cellules sanguines, elles sont produites dans la moelle osseuserouge. Les lymphocytes voyagent en permanence dans tout le corps, le d placement se fait travers les tissus,par le sang ou les vaisseaux lymphatiques. Il y a deux grandes classes de lymphocytes : les lymphocytes T et cellules B. La lettre "T" fait r f rence au thymus, l o les lymphocytes voluent. La lettre B se r f rmoelle osseuse, o ce groupe de lymphocytes cro t.

Les cellules T effectuent deux principales fonctions d fensives : elles tuent les envahisseurs et orchestrent ocontr lent les actions des autres lymphocytes impliqu s dans le processus immunitaire ou en r ponse.En e,le l m h c e T ec nnai en e d i en e le cell le an male d c , elle de en e canc e e .

Comme les cellules T, les cellules B sont galement programm es pour reconna tre les antig nes sur les celltrang res. Quand elles sont stimul es au cours d'une r ponse immunitaire (par exemple lorsque les celluletrang res p n trent dans l'organisme), les cellules B subissent un changement de structure. Elles produisen

alors des anticorps, qui sont des compos s de prot ines. Ces compos s se lient aux antig nes particuliers decellules trang res, ces cellules sont alors tiquet es bonnes pour la destruction .

Vous pouvez voir que les cellules B et les lymphocytes T sont des acteurs cl s dans la r ponse de notre systimmunitaire. Mais sans la contraction musculaire, l'exercice ad quat, et le mouvement, ces lymphocytes ne sonpas capables de faire leur travail, parce que la lymphe ne s' coule pas. Ainsi, les cellules du corps sont laiss es

stagner dans leurs propres d chets, et elles sont affam es d l ments nutritifs, une situation qui contribue

cancer et d autres maladies d g n ratives, comme le vieillissement pr matur .Le fai de eb ndi a d m n a gmen e le d bi l m ha i e, e ceci an alle j ' 30 f i !

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Aussi, au cours des rebondissements, toutes les cellules du corps deviennent plus fortes en r action l accroissement des "forces G", et les r sultats de cet exercice cellulaire dans les lymphocytes auto propulspeuvent se montrer jusqu' cinq fois plus actifs !

Rebondir sur un mini trampoline renforce directement le syst me immunitaire, augmente les flux du syst mlymphatique, et oxyg ne le sang. Contrairement au jogging sur les surfaces dures qui met une pression extr mesur certaines articulations comme les chevilles, les genoux, et ventuellement peut les endommager, lerebondissement fait travailler toutes les articulations et les cellules du corps galement. De plus, il n'y a pas devoitures, de chiens, et le mauvais temps pour s'inqui ter.

Le Ci c i de P id

Afin de stimuler les cellules musculaires, je vous recommande personnellement l entra nement au "circuit dpoids".

Cet entra nement au circuit des poids est une combinaison d'entra nement a robic et de r sistance, con u poutre facile suivre, vous donnant un excellent entra nement, la perte de la graisse cible, le renforcemen

musculaire, et remet en forme l ensemble c ur poumon. Typiquement, dans un gymnase, il y aura plusieurappareils de musculation strat giquement plac s dans un certain ordre qui constituent ce qu'on appelle uncircuit. Vous allez juste d'une machine l'autre jusqu' ce que vous ayez termin le circuit. Cet entra nement circuit des poids vous aidera tonifier vos muscles, renforcer vos tendons et vos ligaments, et si cela se fait urythme rapide, il peut aussi avoir un effet a robic.

Les lignes directrices g n rales pour l Entra nement au Circuit des Poids sont :

• P c de a ec d ce. Ne pas essayer de forcer. Soulever des poids l gers pendant au moins vingtr p titions par s rie. Et si vous ressentez des douleurs de n importe quelle nature (autre qu'une br lure aniveau des muscles), appuyez surSTOP. La douleur vous avertit que vous en faites trop. R duisez le poidsusqu' ce que vous puissiez atteindre les 20 r p titions.• Fai e l e e cice len emen. Des exercices sp cifiques doivent tre effectu s tr s lentement, avec un accent

sur la partie "n gative" du mouvement.• Ga de n m emen a ide. Votre entra nement complet ne devrait pas durer plus de 45 minutes. Restezuste le temps de la mise en marche d'une machine l'autre. Cela vous permettra d obtenir, la fois une s anc

d'entra nement pour b tir du muscle, et aussi de faire une s ance d a robic.• Re i e c ec emen. Ne retenez pas votre souffle lors du levage des poids. Assurez vous d'un grand

apport d'oxyg ne, d'inspirer et d expirer avec r gularit .

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Je ne vais pas entrer dans les d tails sur les sp cificit s de l entra nement avec des poids dans ce livre. Tout bentra neur personnel sera en mesure de vous aider avec un programme d halt rophilie personnalis .

PRENEZ GARDE: Du point de vue de la fonction immunitaire, le r gime d'exercice optimal est faible l me,d apr s les rapports du Dr. Roy Shephard et de ses coll gues de l'Universit de Toronto au Canada. Leuconclusions sont publi es dans un num ro r cent du J nal f S Medicine e Ph ical Fi ne. Des tudesant rieures ont montr que si l'exercice renforce le syst me immunitaire, une c d'exercice peuteffectivement avoir un effet d presseur sur ce m me syst me immunitaire. Lors d'un exercice intense, laproduction des radicaux libres est grandement accrue, ce qui est associ l'oxydation, cela cause desdommages aux muscles, au foie, au sang, et aux autres tissus.

Une des plus grandes sommit s du monde, sur les antioxydants et dans la recherche sur les radicaux libres, leDr. Ken Cooper, a d clar dans son livre intitul , La R volution des Antioxydants :Q and effec e e e cice , le fl d ang dan e c e h n l in de gane i ne n a ac idan le ce d'e e cice, el e le f ie, le ein , l'e mac, e le in e in . A lie de le al

d n e le m cle i a aillen , c m i le c e le jambe . A c d d biang, ne a ie bien l'en emble de gi n d c , de gane n n im li dan ll'e ience d' n f nd man e d' g ne (a el h ie) .

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A 4Da id c n e G lia h :

"La FDA et la FTC sont les briseurs de jambes des cartels pharmaceutiques."Dr. Gary Glum

Ja n Vale &la Mafia d cance

N a premi re exp rience avec les traitements alternatifs contre le cancer se situe en 1997. Mon p re venaide mourir, et j tais d termin apprendre tout ce que je pourrais propos des traitements alternatifs. Je nme souviens plus exactement de quelle mani re, mais je suis tomb sur quelques informations concernant la

vitamine B17, et sur une vid o de Jason Vale, un comp titeur de bras de fer qui avait gu ri son cancer en phterminale, par une alimentation base de p pins de pommes et de graines d'abricots.

Apr s que nous ayons, ma femme et moi, visionn la vid o, nous en sommes rest s sid r s. La vid o conten"Extra", il s agit d une interview r alis e lors d une mission de t l vision, qui a mis en lumi re la gumiraculeuse du cancer de Jason ; elle contenait galement une volumineuse quantit de donn es sur la vitamineB17, concernant ses effets sur les cellules canc reuses. Ce fut la gen se de ma croisade pour apprendre epropager les informations sur les traitements de remplacement du cancer. Il est normal que douze ans plus tard,e puisse enfin avoir l'occasion d'interviewer Jason. Ce chapitre entier est le synopsis d'une conversation

t l phonique, que j ai r alis e avec Jason Vale, le 24 janvier, 2009.

Jason Vale, un New Yorkais extr mement articul , a t diagnostiqu avec un cancer en phase terminale, aloqu'il n'avait que dix huit ans. J'ai e n cance de e a e, a el me d'A kin. ce e e,

e lemen e ing ca c n a de ce e de cance , e e nne n'a ai jamai g i. Leai de 100%.

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Voici la v ritable lettre adress e au Dr. Rabinowitz, ci dessous.

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(La le e indi e e malg le h a ie e , le l a final e a d ce an , e m elle, dan a i emen 100% de ca .)Jason dit que sa m re ne devait pas lui montrer la lettre du docteurpendant deux ou trois mois, car elle avait peur de sa r action. Mais Jason m'a dit aussi que quand il a finalemenvu la lettre, il n'a pas eu peur. Il ne s'est pas inqui t . Dieu lui avait donn la paix qui d passe tout entendemen"Cela l i e l ai la ic i e"dit Jason.

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Selon Jason, Je enai le in e je je ai le mme . Maman c ai le mme de la de a e. Comme une grand m re !

Il croit aussi en la puissance de la pri re."M n gli e a c mmenc ne cha ne de i e, cha e m i , demi he e el ' n d a e ai en i e la ic i e dan ce c mba . Cha e demi hej , el ' n de n ea dan ma c ng ga i n ai en i e".

Si vous revenez en arri re, au chapitre 6, vous pourrez vous rem morer, sur cette m me th rapie contre lecancer, le pr sent m canisme r el de destruction d clanch par la vitamine B17, qui est vraiment remarquablSelon Jason, "... c mme j'ai mang de g aine em lie de c an e, cela a cha le cance de mL'efficacit de la vitamine B17 dans la gu rison du cancer est tonnante ! Selon le Dr. Dean Burk, ancien chef Section Chimie des Cellules de l'Institut National du Cancer,"... L e n aj n de la i amine B1c l e de cance mic c e (en f ni an l en me gl c ida e, i d i galemen

n i le cell le canc e e m i c mme de m che !"

Jason a atteint une notori t nationale lorsqu il est apparu sur le plateau de l mission de t l vision "Extra",tant que lutteur de bras de fer, s tant gu ri lui m me du cancer avec des noyaux d'abricot, cela provoqu uaudience si grande que l' pisode a t diffus une seconde fois. Imm diatement, Jason a ouvert un site Interne(www.apricotsfromGod.info), et il a commenc approvisionner les gens en graines d'abricots, puis diffuseune vid o d'information par le biais de sa soci t , Fr res Chr tiens. Au cours des quelques ann es qui ont sudes milliers de survivants du cancer ont adress Jason des courriers lectroniques mentionnant leurs histoirepersonnelles de succ s avec la vitamine B17.

Maintenant, nous savons tous que la FDA n'est rien de plus qu un repaire de voleurs, des truands l galis s, un

bande de voyous, qui ne se soucient pas de la sant des gens, mais qui ne s'int ressent qu' la protection de lamine d or de Big Pharma. Jason tait en train de devenir rapidement une menace pour l'Industrie du CancerComme, Big Pharma est incapable de breveter ou de revendiquer des droits exclusifs sur la vitamine B17 (car eest d riv e d'une source naturelle), ils ont donc lanc des attaques vicieuses de propagande sans pr c dentcontre la vitamine B17, malgr les preuves accablantes de son efficacit dans le contr le de toutes les formesde cancer.

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Les probl mes de Jason ont commenc le 28 octobre 1998, lorsque la FDA lui a envoy une "Lettd'avertissement" de trois pages, concernant sa "promotion et sa distribution de Laetrile, m dicament nonapprouv , sous la forme de "g aine d'ab ic ", "De c m im de i amine B17" e "dd am gdaline". La lettre indiquait que"l' i e age de ce d i f n a d all ga i n h a e

a e ce d i c mme de m dicamen a en de l'a icle 201 (g), de la Fede al F d, D g an

Jason a fini par signer un document par lequel il ne favoriserait pas la promotion des graines d'abricots commerem de pour gu rir le cancer. Il n'a jamais sign aucun document attestant qu'il abandonnerait tout fait lvente des semences d'abricot. Dans l'ensemble, Jason disposait de plus de 28.000 clients dans le monde. Aumilieu de toutes ces turbulences, Jason est devenu Champion du Monde de bras de fer en 1999.

Finalement, sans m me avoir re u une seule plainte, d aucun client en dix ans, la FDA est venue, a emmengraines d'abricot, les ordinateurs, et traduit Jason devant un tribunal p nal pour avoir fait la promotion de cerem de naturel contre le cancer. La Mafia du Cancer a fait le maximum pour faire de Jason, un exemple . lib ration sous caution a t fix e 5.000 $ ? ... Non !... 25.000 $ ?... Non !. . . pas m me 100,000 $.La ca i nde Ja n a fi e 800,000 $! Durant l' t 2002, la famille de Jason avait fait des demandes d hypoth que

sur leurs biens personnels, afin de payer la caution qui avait t demand e pour sa lib ration, en attendant sonproc s.

Le juge son proc s tait John Gleeson, qui tait le procureur au proc s de John Gotti. Comme il tait concurrent, gr ce une gle de inci e, Jason a pens que le gars (selon ses propres mots), tait enprincipe ax sur l'honn tet et l'int grit , Jason a d clar qu'il pensait que le juge aurait t quitable."J'ai faic nfiance a j ge ca je en ai 'il ai in elligen ... Je en ai il i ai c n e c an ... M

ai end ... Il a ich ... il n' ai a l al". Lors du proc s, Gleeson a d clar avec arrogance que l'injonctionstipule que Jason ne pouvait pas vendre de graines d'abricots, malgr le fait que ce n'est PAS ce que l'injonctiondit. Quand Jason a essay d'expliquer Gleeson ce que l'injonction stipulait, Gleeson a d clar , A e cela

la c d'a el.Le 14 juillet 2003, Jason a perdu ses Droits Constitutionnels pouvoir continuer de raconter son histoirexpliquant comment il a vaincu le cancer gr ce aux semences d'abricots et de pommes. Il a t condamn 6mois de prison dans le p nitencier de l tat de New York. Ceci est vraiment incroyable quand on y pense. Noavons des p dophiles, des violeurs, des meurtriers, et des trafiquants de drogue marchant dans les rues, mais sivous vendez un rem de naturel contre le cancer, vous allez en prison. Est ce cela l Am rique ?

En prison, Jason a dit qu'il a pass presque une ann e dans"le "( savoir l'isolement), pour"deb ille "... Comme ne pas faire son lit correctement, ou avoir un trop grand nombre de brochures de timbres.

Il a dit qu'il a pass quatre mois dans le trou pour tre entr dans une bagarre avec trois d tenus qui voulaienregarder des vid os de "rap" la t l vision, mais que Jason voulait voir American Idol. Disons seulement que trois d tenus se sont retrouv s l'infirmerie. Je suppose qu'ils ne se rendaient pas compte que Jason est unexpert en arts martiaux.

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Et sa m re (que Dieu la b nisse) lui glissait des graines d'abricots quand elle venait lui rendre visite. Elle aimles m langer dans des sacs avec des noix, car elles ressemblent des amandes. Il disait qu'il allait s'asseoir pouparler sa m re, et manger les graines d'abricot de c n ebande, afin de l aider se pr munir de la rechute

ventuelle de son cancer, juste en face des gardes.

Au terme de pr s de cinq ans pass s au p nitencier, Jason a t lib r de prison le 15 avril 2008. Selon Jason,Cef le l bea j de ma ie. Jason est actuellement en p tition avec la FDA, afin qu il lui soit permis dvendre les semences d'abricot, sans avoir signer aucune "revendication". C'est un triste tat des choseslorsque vous devez obtenir des responsables de la FDA une approbation pour vendre des semences d'abricot,n'est ce pas ?

Bien s r, la vitamine B17 n est seulementdange e e que pour les agents parasites de la FDA, dont les salairessont financ s par les contribuables am ricains, et pour Big Pharma, qui engage et infiltre les fonctionnaires de lFDA, qui fait des milliards de Dollars de profits chaque ann e, et tue plus decen milleAm ricains avec leurspoisons artificiels.

Soyons honn tes. La FDA n est rien de plus qu'un ensemble de e gagetravaillant pour la MafiaM dicale, et qui se situe dans un tat de trahison envers n le e le. Quand il s'agit d'une fraude sur lasant , la FDA est le plus grand coupable.

Malgr tout cela, il est heureux que Jason soit d sormais un homme libre ! Quand je lui ai demand ce qu'il allfaire maintenant qu'il est libre, Jason a dit que Brooklyn Queens Experiment (une soci t de production), aachet les droits cin matographiques de l'Histoire de Jason Vale un film majeur, bas sur la vie de Jason. Je sais pas ce que vous en pensez, mais personnellement, je ne peux plus attendre pour voir le film !

Tous mes meilleurs v ux vous accompagnent, Jason ! La lutte contre la FDA aurait pu para tre comme combat de David contre Goliath, mais vous tes un G ANT dans mon livre ! Le site Web de Jason www.ApricotsfromGod.info.

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Gl ai e

Ac g nine Longues cha nes d'atomes de carbone, qui r duisent efficacement la croissance des vaisseausanguins nourrissant les cellules canc reuses, et inhibent la croissance des cellules MDR.

Acide qui a un pH bas.

Acide d ib n cl i e (ADN) porte l'information g n tique de la cellule et les caract ristiquesh r ditaires via ses nucl otides et leur s quence, capable d'auto r plication et de la synth se d'ARN.

Acide g a m ga 3 acides gras polyinsatur s que l'on trouve surtout dans les poissons, les huiles de poissonles huiles v g tales, les l gumes verts ; les acides gras om ga 3 comprennent l'acide alpha linol nique (ALAl Acide eicosapenta no que (EPA), l'acide docosahex aenoic (DHA), et l acide docosapenta no que (

Acide g a m ga 6 acides gras polyinsatur s que l'on trouve surtout dans les noix et les c r ales ; les acidegras om ga 6 sont l'acide linol ique (LA), l'acide linol ique conjugu (CLA), l acide gamma linol nique (GL

l acide dihomo gamma linol nique (DGLA ), et l'acide arachidonique (AA).Acide g a m ga 9 on les trouve dans l'huile d'olive et les avocats ; sont aussi connus que l acide ol ique.

Acide lin l i e C nj g (CLA) naturellement les acides gras libres se trouvent principalement dans lesviandes de bovins et dans les produits laitiers ; renforce les muscles et r duit la masse graisseuse ; class commun acide gras om ga 6.

Ac lamide produits chimiques canc rig nes form s par le chauffage des amidons.

Ada g ne Facult qui am liore la capacit du corps r sister un facteur de stress.

Ad n ine i h ha e (ATP) "l a gen de l ne gie"des cellules.

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Ad naline Glandes Surr nales une paire de glandes situ es au dessus des reins, qui produisent des hormoncomme l'adr naline, les cortico des, les androg nes.

A bie signifie"a ec g ne".

Alcalin qui a un pH lev .

Amalgame mat riau le plus couramment utilis pour le remplissage des cavit s, le mercure.

Amine h c cli e (AHC) substances canc rig nes form es par la cuisson de la viande (b uf, agneau,porc, volaille ou poisson) des temp ratures lev es.

Am la e l'enzyme digestive qui d compose les glucides.

Ana bie (Re i a i n) le processus de cr ation d' nergie an g ne ,galement d nomm "lem tabolisme ana robie".

An mie une condition dans laquelle la diminution du nombre de globules rouges peut entra ner dessympt mes tels que la fatigue, l'essoufflement et la faiblesse.

Angi gen e le processus physiologique permettant la croissance denouveaux vaisseaux sanguins partir de vaisseaux pr existants.

An ibi i e les m dicaments qui luttent contre les infections.

An ic une prot ine produite par les cellules plasmatiques, quand ils rencontrent des envahisseurs

trangers sp cifiques, les anticorps se lient aux envahisseurs sp cifiques (antig nes).An i dan compos s chimiques ou substances qui inhibent l oxydation.

An in la i e emp che la croissance ou le d veloppement des cellules canc reuses.

A e mort cellulaire programm e.

A imm ne (R n e) condition dans laquelle le syst me immunitaire d'une personne produit des anticorpsqui attaquent les propres tissus du corps.

AVC interruption du flux normal du sang vers le cerveau par un caillot de sang ou une h morragie.

Bac ie (a l iel : Le bac ie ) un micro organisme unicellulaire simple.

B nigne une tumeur non canc reuse ; antonyme de maligne.

B a ca ne pr curseur de la vitamine A, les carot no des sont les plus connus.

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Bica b na e de di m bicarbonate de soude ; NaHCO3.

Bile un fluide vert jaun tre produit par le foie, qui aide la digestion des graisses et l' limination des toxine

Bi ie ablation chirurgicale d un tissu destin l'examen microscopique.

Cell le ang ine existent en trois types qui sont les globules rouges, les leucocytes et les plaquettes.

Cache ie Cycle de"ga illage" de nombreux patients atteints de cancer.

Ca illai e petits vaisseaux sanguins qui fournissent de l'oxyg ne, des nutriments, et permettant d liminer led chets des cellules.

Canc ig ne substance ou agent qui provoque le cancer.

Ca cin me cancer qui d bute dans la peau ou dans la muqueuse des organes.Ad n ca cin me tumeur maligne r sultant du tissu glandulaire.Ca cin me ba cell lai e type le plus commun de cancer de la peau.Ca cin me b nchi e se situe dans les poumons, les voies respiratoires.Ca cin me d c l in cancer du col de l'ut rus.Ca cin me end m ial cancer de la muqueuse de l'ut rus.Ca cin me ide m de cancer d coulant de la peau ou d'autres structures, comme la bouche, le col ut rin,

ou les poumons.

CAT can un examen au moyen de rayons X pour cr er des images de diverses parties du corps.

CEA (an ig ne ca cin emb ni e) un marqueur tumoral du sang.

Ch la i n processus de suppression d'un m tal lourd de la circulation sanguine au moyen d'un agent ch lateur(tel que la chlorella ou la coriandre).

Chl h lle un groupe de pigments verts li s qui transforment l' nergie lumineuse en ATP et en d'autresformes d' nergie n cessaires pour les processus biochimiques ; se trouve dans les plantes vertes, les alguesbrunes et rouges, puis dans certaines bact ries a robies et ana robies.

Ci h e un type de l sion du foie dans laquelle les cellules h patiques normales sont remplac es par du tissufibreux cicatriciel.

C en me une substance organique qui contient g n ralement une vitamine ou un min ral, et se combineavec une prot ine sp cifique pour former un syst me enzymatique actif.

C llag ne la prot ine fibreuse ciment qui lie ensemble nos os, le cartilage, les tendons, les tissus conjonctifet les cellules.

C c ma pice qui contient la curcumine ; poss de de multiples effets anti canc rig nes lorsqu'il estconsomm .

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C cle de K eb cycle de la cr ation d' nergie dans nos cellules, ou cycle de l'acide citrique.

C kine "cell le me ag e " telles que les interf rons et les interleukines qui d clenchent une r action dechangements positifs en cascade dans le syst me immunitaire.

C nie faibles niveaux de cellules sanguines.

C la me la partie g latineuse d'une cellule.

Dim h l lf de (DMSO) produit 100% naturel et non toxique qui provient de l'industrie du bois.

Di ine un des nombreux produits chimiques canc rig nes qui se produisent sous forme d'impuret s dans lesherbicides d riv s du p trole.

Di accha ide une cha ne de deux mol cules de sucre (comme le lactose, qui est compos de glucose et de

galactose).EDTA (ch la i n) un traitement par lequel des administrations faibles mais r p t es d'un acide amin desynth se (EDTA, acide thyl ne diamine t tra ac tique) r duisent progressivement la plaque d'ath rome etd'autres d p ts de m taux lourds dans le syst me cardio vasculaire, en les dissolvant litt ralement au loin.

Elec n une particule l mentaire de charge n gative.

lec n (cha ne de an ) la derni re tape du cycle de Krebs.

E ile ie une explosion de l'activit lectrique anormale dans le cerveau.En me l'une des nombreuses prot ines produites par les organismes vivants et qui fonctionnent en tant quecatalyseurs biochimiques.

ide me la couche externe de la peau.

h c ai e voir"le gl b le ge ."

E ca e (Cell le ) une cellule avec un noyau et des organites.

E ci ine substances, acides amin s en g n ral, qui r agissent avec des r cepteurs sp cialis s (lesneurones) dans le cerveau, de mani re aboutir la destruction de certains types de cellules du cerveau.

Fa ci l i B ki un parasite agissant sur les humains et les porcs.

Fib e cell lai e les"m cle " de nos cellules.

Gli bla me M l if me le type le plus fr quent et le plus agressif de tumeur c r brale primaire chezl'homme, impliquant des cellules gliales.

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Gl b le blanc (le c c e ) cellules sanguines qui engloutissent et dig rent les bact ries, les champignons ;constituent une partie importante du syst me immunitaire de l'organisme ; les globules blancs sp cifiquescomprennent les lymphocytes, les granulocytes et les monocytes.

Gl b le ge ( h c e ) des cellules sanguines qui fournissent de l'oxyg ne aux tissus et leur te ledioxyde de carbone.

Gl c n g n e la formation du glucose, en particulier par le foie, partir de sources non glucidiques, tels qules acides amin s et la partie du glyc rol contenue dans les graisses.

Gl c e Un sucre monosaccharide dans le sang qui sert de principale source d' nergie du corps, il se produitdans la plupart des tissus v g taux et animaux. Aussi appel sucre dans le sang.

Gl ama e m n di e (GMS) additif alimentaire base d'acide glutamique ; c est une excitotoxine.

Gl a hi n le principal antioxydant.

Gl cane une cha ne de saccharides.

Gl c n imen environ 200 sucres naturels biologiquement actifs, monosaccharides v g taux, leschercheurs ont identifi un petit groupe de 8 glyconutriments essentiels, qui comprennent le glucose, legalactose, le mannose, le fructose, le xylose, N ac tylglucosamine, N ac tylgalactosamine, et l'acide N ac ty

G lgi (c ) une structure en forme de filet dans le cytoplasme de la cellule qui stocke l'ATP.

Gl c g ne un polysaccharide qui est la principale forme de stockage des glucides chez les animaux et se

produit principalement dans le foie et les muscles, il est facilement converti en glucose, aussi appel amidonanimal.

G an l c e globules blancs remplis de granul s de produits chimiques toxiques qui leur permettent dedig rer les microbes par un processus appel phagocytose (litt ralement"mange de cell le "). Il existe roistypes de granulocytes, les neutrophiles (qui tuent les bact ries), les osinophiles (qui tuent les parasites), et lesbasophiles.

G nad hine ch ni e (HCG) une hormone produite par le placenta qui maintient le corps jaune pendantla grossesse.

G ai e T an" e d g ai e "produites par l'hydrog nation partielle des huiles v g tales ; pr sentes dansles huiles v g tales hydrog n es, les margarines, les produits de boulangerie, du commerce, et dans lesaliments frits, augmentent le risque de cancer.

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H m gl bine la prot ine pigment e pr sente dans les globules rouges, qui contient du fer, transportel'oxyg ne vers les tissus et te le dioxyde de carbone.

H m ne de c i ance ec mbinan e b ine ( BGH) hormone g n tiquement modifi e inject e aux vachespour augmenter la production laiti re, fabriqu e par Monsanto, vendue sous la d nomination commercialePosilac.

H d g ne l' l ment chimique le plus abondant ; constitue 75% de l'univers.

H d g na i n ajout d'hydrog ne un compos , en particulier pour solidifier un acide gras ou une graisse nosatur e.

H d l e d composition d'un compos chimique par r action avec de l'eau.

H ie manque d'oxyg ne l'une des principales causes de cancer.

S me Imm ni ai e le syst me du corps qui prot ge l organisme contre les substances trang res, lescellules et les tissus, par la production d une r ponse immunitaire, qui comprend le thymus, la rate, les gangliolymphatiques, les lymphocytes et les anticorps.

In line une hormone s cr t e par le pancr as qui r gule le m tabolisme des glucides et des lipides, enparticulier la conversion du glucose en glycog ne, ce qui abaisse le niveau de glucose dans le sang.

In e f n une substance chimique naturelle lib r e par l'organisme en r ponse aux infections virales.

In e le kine une substance chimique naturelle lib r e par l'organisme.

La i e (Acide) un acide gras obtenu principalement partir de l'huile de noix de coco.

Le c mie cancer des cellules sanguines.

Le c c e voir globules blancs."

L m h c e globules blancs pr sents dans le syst me lymphatique ; ils comprennent les lymphocytes T, lescellules B et les cellules NK.

L m h me cancer du syst me lymphatique qui est originaire des lymphocytes, il en existe deux types, peut

tre de Hodgkin (y compris la pr sence de cellules de Reed Sternberg) et non hodgkinien (lorsque les cellulesReed Sternberg ne sont pas pr sentes).

Li ide groupe de mol cules comprenant les graisses, les huiles et le cholest rol.

Li a e enzyme digestive qui d grade les lipides.

442



Mac hage un type de globules blancs qui ing re les mati res trang res ; ce sont les principaux acteursdans la r ponse immunitaire aux envahisseurs trangers comme les microbes infectieux, lesantig nes http://129.195.254.33/Library/Theme/Allergy/Glossary/antigen.html, et d'autres substances trang res.

Maligne (T me ) cancer, n oplasme, ou tumeur qui se d veloppe de mani re incontr l e, qui peut envahirles tissus voisins et former des m tastases (propagation) dans d'autres r gions du corps.

Mamm g a hie rayons X des sens.

M lan c e cellules qui produisent la m lanine, un pigment qui colore la peau, les cheveux et les yeux. Elle fortement concentr e dans la plupart des grains de beaut .

M lan me la forme la plus grave de cancer de la peau ; une tumeur maligne qui prend naissance dans lesm lanocytes.

M la nine une hormone produite partir de l'acide amin tryptophane par la glande pin ale, permet

d obtenir le sommeil quand il fait sombre.

Memb ane cell lai e la ea de nos cellules.

Mic be un micro organisme, en particulier une bact rie qui cause une maladie.

Min al un l ment inorganique qui favorise les r actions chimiques dans le corps et est n cessaire pour unm tabolisme cellulaire appropri .

Mi ch nd ie cen ale cell lai e ( h ://en. iki edia. g/ iki/P e _ lan e

h ://en. iki edia. g/ iki/Cell_(bi l g ); un organite dans le cytoplasme de presque toutes les celluleseucaryotes contenant du mat riel g n tique.

M n accha ide tout hydrate de carbone qui ne peut tre ventil en sucres simples.

M n c e globules blancs qui ing rent les cellules mortes ou endommag es et fournir des d fensesimmunitaires contre de nombreux organismes infectieux ; ventuellement peuvent se d velopper enmacrophages.

M n in a contenant une seule liaison double ou triple par mol cule ; les acides gras monoinsatur s

diminuent la quantit de cholest rol LDL dans le sang. Les huiles d'olive et l'avocat en contiennent.M h l lf n lm hane (MSM) essentiellement du DMSO avec un atome d'oxyg ne suppl mentaire, li l'atome de soufre.

M elle e e mat riau spongieux trouve l'int rieur des os.

M c ine toxines fongiques.

M l me tumeur maligne de la moelle osseuse.

443



N la me croissance anormale de nouveaux tissus, une tumeur.

Ne ne cellules nerveuses ; conduisent les impulsions lectriques.

Ni i e de di m substance canc rig ne utilis e pour conserver la nourriture et comme colorant alimentaire,en particulier dans les produits base de viande et de poisson.

Ni amine substances canc rig nes qui proviennent de la digestion du nitrate de sodium et/ou du nitrite desodium.

N cl ide le composant de base de l'ADN et de l'ARN.

N cle le"cen e de c n le"de la cellule ; comprend l'ADN de la cellule.

Olig accha ide une cha ne de sucres qui poss de une longueur de 3 20 mol cules.

Onc l g e m decin sp cialis dans le cancer.

O ganelle une structure diff renci e au sein d'une cellule qui exerce une fonction sp cifique.

O h m l c lai e la th orie annon ant que les maladies peuvent tre gu ries par la restauration de la quantitoptimale de substances normalement pr sentes dans le corps.

O a c me type le plus commun de cancer des os.

O da i n l'ajout d'oxyg ne un compos , avec une perte d' lectrons.

P53 prot ine qui est le produit d'un g ne suppresseur de tumeur, r gule la croissance et la prolif rationcellulaire, emp che la division cellulaire effr n e apr s des l sions chromosomiques.

Pa h g ne capable de provoquer une maladie.

H (E ilib e) l' quilibre acido basique dans notre corps ; pH = potentiel hydrog ne.

Phag c e processus du corps humain utilis pour d truire les bact ries en les entourant et en les dig rantavec des enzymes digestives ; les macrophages sont des cellules" b e " qui font partie de ce processus. Ce

terme signifie litt ralement"Mange le cell le ". Pla ma la composante de couleur jaune liquide du sang, dans lequel les cellules sanguines sont en suspension une partie du syst me immunitaire.

Pla e e le plus petit des trois types de cellules sanguines, appel es aussi thrombocytes ; leur fonctionprincipale est de pr venir les saignements.

444



Pl m hi e avoir de nombreuses formes.

P l accha ide une classe compl te d'hydrates de carbone dont les mol cules contiennent des cha nes de plude 10 monosaccharides.

P bi i e "bonnes bact ries" ; suppl ments microbiens vivants qui am liorent l' quilibre intestinal.

P ca e (cell le) une cellule (comme une bact rie) qui n'a pas de noyau.

P a e enzyme digestive qui d grade les prot ines.

P n une particule l mentaire de charge positive.

P la ma la substance complexe qui constitue la mati re vivante des cellules v g tales et animales ;compos de prot ines et de graisses ; comprend le noyau et le cytoplasme.

PSA (an ig ne a i e cifi e) test utilis pour diagnostiquer le cancer de la prostate.

Radical lib e un atome ou groupe d'atomes qui a au moins un lectron non appari , qui est donc instable ettr s r actif, et qui endommage les cellules, acc l re la progression du cancer ainsi que d'autres maladies.

Ra n X rayonnement lectromagn tique utilis pour diagnostiquer la maladie.

Re a l un compos trouv dans les raisins, le vin rouge et le jus de raisin pourpre qui inhibe la croissancdes cellules canc reuses.

Rib n cl i e (Acide) (ARN) transmet les informations g n tiques de l'ADN dans le cytoplasme et lescontr les de certains proc d s chimiques dans la cellule.

Saccha ide une mol cule de sucre.

Sa c me tumeur maligne des muscles ou les tissus conjonctifs tels que les os et le cartilage.

S l ni m oligo l ment qui agit comme un antioxydant.

Se i de un oxyde contenant trois atomes d'oxyg ne avec deux atomes (ou radicaux) de certaines autressubstances.

S e de di m a e (SOD) enzyme qui d truit les radicaux libres.

Th mb ine (TPO) cytokine qui stimule la production de plaquettes.

Th mb e d veloppement de caillots dans les vaisseaux sanguins ou dans le c ur.

445



Th de (Glande) organe la base du cou qui produit la thyroxine, et d'autres hormones impliqu es dans lar gulation du m tabolisme.

T ine Poison ou agent toxique.

T h bla e cellules qui fixent l'ovule f cond la paroi ut rine et constituent une fili re nutritive pourl'embryon.

T me croissance anormale des cellules.

Vi amine substance organique qui agit comme un co enzyme ou un r gulateur de processus m tabolique.

X n e g ne oestrog nes" ange "; ils ont t "m difi "et agissent comme des radicaux libres dansl'organisme ; d montr s pour causer divers types de cancer.

Z li he min raux volcaniques naturels ayant une structure cristalline complexe incomparable.

446



Inde

B BB B Abel, Dr. Ulrich, 71Abrahams, Dr. Jay, 274Ac tochlore, 187Ac tog nines, 164, 437Acrylamide(s), 140, 264, 304, 437Adams, Mike, xiii, 5, 12, 16, 17, 26, 35, 36, 38, 42, 53, 61, 67, 70, 78, 98, 190, 228, 240, 242, 244, 296, 303, 32

345, 376, 379, 401Adenosine Triphosphate (ATP), 82, 84, 86, 88, 117, 133, 161, 164, 206, 207, 230, 256, 305, 437, 439, 440ADA Resolution 42H 1986, 381Adverse Reaction Monitoring System (Syst me de surveillance des effets ind sirables de r action), 337Aerobic, A robie, 82 90, 117, 121 124, 150, 161, 212, 389, 424, 425, 427, 437Aflatoxine, 218, 219, 315Agropyre ou herbe de bl , 91, 229AIDS (SIDA), 55, 85, 123, 132Ail, 117, 227, 247, 259, 265, 266, 270, 283, 295, 384, 385Ajo ne, 266Albarin, 56ALCOA, 342, 343, 344Algues, 163, 242 244, 316, 439Alice in Wonderland (Alice au Pays des Merveilles), 378Alive and Well (Vivant et Bien Portant), 74Alcalin, 88 91, 122, 123, 229, 232, 243, 244, 246, 289, 298, 311, 364, 394, 396, 437Allopathe, 38, 39, 40, 41, 42Aloe Aborescens, 102 104, 135Aloe Emodin, 132Aloe Vera, 55, 56, 104, 120, 123, 244 246, 297Alpha Linol nique (Acide) (ALA), 116, 243, 262, 443Alpha Lipoic (Acide), 163Alpha Omega Labs, 195Amyotrophic Lateral Sclerosis (scl rose lat rale amyotrophique) (ALS, aka Lou Gehrig s disease), 204, 256Aluminum, 191, 273, 310, 314, 315, 342, 343, 344, 347, 350, 354, 361, 376, 382, 385, 396, 397

Amalgames, 315, 377 385, 437American Academy of Neural Therapy, 380

447



American Cancer Society (ACS), xxii, 2, 3, 4, 10, 25, 29, 44, 64, 72, 128, 167, 187American College of Sports Medicine, 424American Dental Association (ADA), 315, 343, 347, 378, 380, 383, 389American Medical Association (AMA), xxii, 2, 4, 7, 33, 35, 44, 45, 46, 49, 59, 107, 172, 236, 256, 314, 347, 35Amian e, 311, 312Amylase, 126, 173, 233, 291, 437Amyloid Plaques, 382Anaerobic, Ana robie, 83 87, 90, 94, 104, 105, 122, 123, 150, 161, 199, 212, 304, 389, 437Andersen, Dr. Ross, 220Anderton, Robert, 378Angell, Dr. Marcia, 27Angiogen se, 86, 95, 190, 219, 260, 278, 295, 296, 438Annals of Internal Medicine, 33Annonaceae, 164Anthocyanine, 231

Antibiotiques, 91, 167, 180, 217, 250, 258, 270, 287, 288, 309, 373, 388, 389, 438Anticorps, 83, 266, 289, 441Antin oplastique, 243, 438An i dan , 132, 143, 164, 230, 231, 260, 263, 264, 269, 271, 276, 289, 290, 294, 315, 413, 428, 438An i an i an , 191A le Cide Vinega ( inaig e de cid e de mme ), 91, 246, 247A e, 85, 113, 121, 123, 143, 155, 164, 168, 176, 231, 254, 261, 262, 266 268, 278, 293, 295, 296, 438A achid ni e (Acide) (AA), 116, 243, 262, 443Argent Collo dal, 112, 136, 196, 257 259, 416 A i na In eg a i e Medical Cen e , 409

A eme ia (W m d), 219A e , 58, 81, 108, 166, 223, 262, 265, 272, 292, 306A be (Amian e), 311, 312A kin' (T me d ), 429A a ag (a e ge ), 270, 321A a ame, 91, 92, 227, 306 308, 321, 333 339A a i e (Acide), 334, 338A e ge , 270, 321A agale, 247, 248, 282A aZeneca, 186, 187

A kin , D . R be , 9, 44, 264Aubergine, 196 A bel, Kenn , 67A i me, 178, 184, 269, 354, 359 368, 371 376, 400A n mic Ne S em (S me ne e a n me), 191A cad (A ca ), 202, 227, 264, 321A e, D . S e hen, 94, 151

CCCC B cells (Cellules B), 83, 248, 266, 426, 442B factor (Facteur B), 132

448



Back to the House of Health, 91Bailer, Dr. John, 9, 72Bardane (racine de), 131 Barefoot, Dr. Robert R.,124Barron, Jon, 222, 223Basal Cell Carcinoma (Carcinome baso cellulaire), 194, 438, 445Basciano, Dr. Marcia, 381Basophile, 83, 441Batmanghelidj, Dr. Fereydoon, 298Bayer Corporation, 6Baylor University, xxixBeard, Dr. John, 125, 127Beating Cancer Gently (Vaincre le Cancer Doucement), 117B champ, Antoine, 96BEC5, voir Solasodine GlycosideBecker, Dr. Robert O. , 258Bee Pollen (Pollen des Abeilles), 248Benzaldehyde, 172, 173Bernard, Claude, 97Bernays, Edwin, 16, 344B ta Carot ne, 230, 265, 285, 294B ta Glucanes, 281, 282, 283, 316B ta Glucosidase, 172, 173B ta Sitosterol, 132, 199Bible, xli, xlii, 24, 243, 417, 418Biliaire (Nettoyage du foie et de la v sicule biliaire), 215

Binzel, Dr. Philip, xx, xxi, 57, 74Bio Oxydatives (Th rapies), 104 110Bisph nol A (BPA), 318 321Bitter Almonds, 171Black Walnut Hulls (Coques de noix noires), 219Bladder Cancer, 156, 166, 170, 294, 317Blask, Dr. David E., 277Blass, Dr. F.M. Eugene, 57Blaylock, Dr. Russell, 188, 306, 334Blood Cleanse (nettoyer le sang), 215, 222

Bloodroot (sanguinaire), 195, 271Bob Beck (Protocole), 110 112Boik, John, 121Bollinger, Charlene, xliiBollinger, Conal, xxvi, xxviiBollinger, Graham, xiv, xxvi, xxvii, xxxiii, xliBollinger, Newell, xliiBollinger Taylor, Jerry, xiv, xxvi, xxvii, xxxixBorkin, Joseph, 6Bowel(s) (Intestin(s)), 106, 131, 212, 215, 216, 242, 253, 259, 266

Bowen, Dr. James, 333Brain cancer (cancer c r bral), 10, 34, 64, 71, 124, 143, 153, 159, 181, 204, 293, 323, 333, 338, 357, 411

449



Brain Tumor (tumeur au cerveau), 333, 337, 338, 357Brandt, Johanna, 112Brandt/Kerr Cure de raisin, 104, 110, 112Branyon, Dr. Fredda,414Bras (soutiens gorge), 192 193Breast Cancer (cancer du sein), xix, xxii, 64, 68, 69, 122, 129, 143, 156, 166, 185 193, 204, 213, 220, 239, 248

260, 264, 265, 274, 277, 278, 284, 293, 295, 318, 319, 395, 399Brewer, Dr. Keith,123B i i h Medical J nal, 30, 32, 188, 189, 311Brom la ne, 291Bronner, Dr. E.H., 349, 350Bross, Dr. Irwin D., 65Brusch, Dr. Charles, 131Bryson, Christopher, 350Budwig Diet (R gime Budwig), 114 118Budwig, Dr. Johanna ,114 118Burdock Root (Racine de Bardane), 131Burk, Dr. Dean, 68, 347Burzynski, Dr. Stanislaw, 34, 57Buttar, Dr. Rashid, xii, 175 184, 365, 410, 411

DDDD Cachexie, 62, 122, 135, 136, 185, 199 202, 438Cade, Helen, xxvi, xxvii, xli, 129Caf (lavements au caf ), 127, 137, 140, 413Caisse, Rene, 129, 130, 131, 132Calcium, 31, 84, 91, 207, 223, 231, 234, 235, 236, 251, 271, 276, 285, 296, 306, 313, 344, 345, 349, 396Camelot Cancer Care (Soins contre le cancer Camelot), 410Cameron, Dr. Ewan,147, 148Canaux Radiculaires, 92, 387, 388, 389, 390, 391Cancell , 133, 160Cancer c r bral, 10, 34, 64, 71, 124, 143, 153, 159, 181, 204, 293, 323, 333, 338, 357, 411Cancer de la peau, 73, 163, 185, 193 196, 438, 442, 445Cancer du poumon, 67, 73, 108, 122, 143, 156, 166, 193, 222, 257, 268, 282, 283, 295, 311, 323Cancer du sein, xix, xxii, 64, 68, 69, 122, 129, 143, 156, 166, 185 193, 204, 213, 220, 239, 248, 257, 260, 264,

277, 278, 284, 293, 295, 318, 319, 395, 399Cancer Orwellian or Utopian, 123Cancer & Natural Medicine, 121Cancer and Vitamin C, 149Cancer s Natural Enemy, 159Cansema, 195Capillaires, 81, 95, 223, 249Carbone (Dioxyde), 82, 84, 94, 106, 116, 441, 444Carcinoembryoniue (antig ne) (CEA), 438Carcinome baso cellulaire, 194, 438, 445Carlo, Dr. George, 204Carnivora , 251, 252

450



Carpenter, Dr. David, 204Cartier, Jacques, 58Casdorph, Dr. H. Richard, 382Castle Hills First Baptist Church, 129Catalase, 84, 107, 108, 289Catalyseur, 232Cat s Claw (U a de Gato) (Griffe de chat), 159, 252, 253Cayenne, 114, 253 255Cellect Budwig, 118 120Cellulaires (Fibres), 82, 438Cellulaire (Membrane), 82, 439Cellules B, 83, 248, 266, 426, 442Cell Phones Invisible Hazards of the Wireless Age, 204Center for Advanced Medicine & Clinical Research, 410Center for Disease Control (CDC), 234, 351, 357, 360, 361, 369C r bral (cancer), 10, 34, 64, 71, 124, 143, 153, 159, 181, 204, 293, 323, 333, 338, 357, 411Cerises, 61, 231, 321Cerveau (tumeur au cerveau), 333, 337, 338, 357Cervical Cancer (cancer du col de l ut rus), 65, 154, 156, 261, 262Cesium, xii, 55, 56, 91, 114, 120, 122 124, 416Chachoua, Dr. Sam, 57Cham, Dr. Bill, 196Champignons, xii, 83, 93, 94, 97, 106, 107, 111, 157, 165 168, 180, 187, 212, 216, 218, 226, 227, 246, 248 25

262, 265, 271, 272, 280, 284 289, 292, 294, 300, 315, 316, 321, 322, 325, 327, 388, 413, 442Chanvre, 141, 142, 143, 144, 262Ch lation, 274, 364, 365, 383 385, 410, 411, 413 416, 439

Chemosurgery (Chimiochirurgie), 195Cherries (cerises), 61, 231, 321Chia (graines de), 255Chlorella, 163, 242, 243, 244, 384Chlore (Dioxyde de), 279 281Chlorophylle, 229, 242, 439Cholest rol, 36, 37, 247, 262, 263, 292, 302, 442, 443Chrome, 199, 235, 237, 305Chymotrypsine, 126, 139, 173, 291, 292Circadien (Rythme), 279

Circuit d entra nement avec des poids, 427Clark, Dr. Hulda , 57, 185, 211Clark, Ernestine, xliiClinic of Biomedicine, 411Clinical Onc l g, 66Clous de girofle, 219CocoChia , 255, 256Coco (huile de noix de), 140, 227, 257, 262 264, 442CocoPure Chocolate Tea, 255, 256Cod Liver Oil (huile de foie de morue), 297

Codex Alimentarius, 399 402Coenzyme Q10, 163, 256 257, 391, 399

451



Coffee Enemas (lavements au caf ), 127, 137, 140, 413Collag ne, 146, 439Colloidal Silver (Argent Collo dal), 112, 136, 196, 257 259, 416Colon (Cancer), 122, 156, 216, 231, 259, 267, 410Congr s, 7, 27, 59, 307, 333, 338, 357Conjugu e (Acide Linoleique) (CLA), 116, 262, 439, 443Contemporaine (M decine), 411Contreras, Dr. Emesto, 173Cooper, Dr. Ken, 428Coques de noix noires, 219Coriandre, 232, 384, 385, 439Cottage Cheese (fromage blanc), 116, 117, 416Cox, Gerald J., 343Creatine, 163Curcumine (Curcuma), 155, 198, 259 260, 290, 293, 445Cured to Death The Effects of Prescription Drugs, 12Curie, Marie , 126Cutler, Dr. Andrew H., 385Cyclophosphamide, 11Cytokines, 106, 251, 277, 282, 439Cytoplasme, 86, 147, 276, 439, 440, 442, 444, 445

EEEE Day, Dr. Lorraine, 193Day, Philip, 69Death by Medicine, 33DDT, 260Dean, Trendley, 343Delaney Amendment, 333, 338Dees, Dr. Craig, 395DEET, 323, 324Deoul, Neal, 55, 123Deoxyribonucleique (acide) (DNA), 22, 23, 64, 82, 85, 89, 90, 96, 133, 183, 220, 236, 237, 259, 261, 269, 277,

281, 294, 325, 328, 334, 443, 445Detox(ification), 101, 103, 104, 106, 127, 139, 140, 157, 160, 169, 175, 211, 212, 223, 246, 266, 269, 292, 328,

410 416Devil s Weed (Mauvaises Herbes), 196Diallyle (Sulfure de), 266Diamond, Dr. John, 69Diamond Foods, 60Dietary Supplement Health and Education Act (DSHEA), 401Dimensions Ministries, xl, xliiDimethyl Sulfoxide (DMSO), 56, 120 124, 152, 266, 391, 410, 416, 439, 443Dioxine, 317Dissent in Medicine Nine Doctors Speak Out, 27

452



Di Stefano, Dr. Joe, 55Diverticulitis, 216Docosahexaenoique (Acide) (DHA), 116, 262, 297, 443Docosapentaenoique (Acide) (DPA), 116, 262, 443Donsbach, Dr. Kurt, 57Don t Waste Your Life, 91Dressed to Kill Le lien entre le cancer du sein et le soutien gorge, 192Ductal Carcinoma in Situ, 189Duke University Medical Center, 187Dvorak, Dr. Harold, 199

FFFF Eau, xxxviii, 10, 33, 45, 75, 76, 88, 89, 90, 92, 94, 95, 104, 113, 115, 116, 117, 120, 122, 127, 132, 147, 187, 19

220, 221, 223, 225, 226, 227, 232, 241, 243, 257, 276, 277, 279, 280, 281, 288, 297, 298, 299, 303, 304, 306, 314, 315, 316, 317, 318, 341, 342, 343, 344, 346, 347, 350, 364, 380, 381, 391, 402, 418, 425, 441Eau (Traitement par l Eau), 299Echinac e, 247, 260, 261, 272, 282, 287Edison, Thomas, 242EDTA, 122, 384, 439EGCG, 147Eggplant (Aubergine), 196Einstein, Albert, 20Electromagnetic Fields (Champs Electromagn tiques) (EMF), 203 208Electron(s), viii, 47, 82, 88, 105, 115, 116, 117, 204, 280, 303, 304, 385, 440, 443Electron Transport Chain, 439Eli Lilly, 361Ellagique (Acide), 113, 136, 231, 261 262Embalming Fluid (liquide d embaumement), 334, 354Enderlein, Dr. Gunther, 57Engdahl, F. William, 361Enig, Mary, 262Entelev , 160, 163Environmental Defense Council, 299Environmental Protection Agency (EPA), 107, 299, 304, 314, 334, 345, 359, 381Enzymes, 30 ,54, 82 87, 107 113, 116, 125 128, 139, 140, 147, 163, 171 174, 200, 202, 207, 217, 223 230, 2

243, 249, 250, 256, 258, 260, 269, 272, 275, 287, 289 292, 295, 305, 311, 347, 381, 391, 396, 399, 411 414, 439, 442, 444

Eosinophiles, 83, 441Epiderme, 440Epstein, Dr. Samuel, 7, 186, 188Ermakova, Dr. Irina, 328Erythrocytes, voir "Globules rouges"Escarrotique, 194Essentiels (Acides Gras) (EFA's), 95, 114, 116, 117, 140, 141, 255, 264, 275, 440Essiac (Th ), 129, 130, 132, 133Ethanol, 334

453



Ethyl Mercure (Thim rosal), 354, 361, 366, 372, 376, 379Ethyl ne Glycol, 354Eukaryotique (Cellules), 440Excitotoxines, 306, 334, 440

G GG G Fasciolopsis Buski, 218, 440Fell, Dr. J. Weldon, 195Fermentation, 84, 87, 94, 95, 104, 122, 123, 161, 305, 389, 396Feychting, Maria, 204Fife, Dr. Bruce, 263Fishbein, Morris, 45, 49Fisher, Dr. R. O., 130Fitzgerald Report, 46Fitzpatrick, Dr. Mike, 395

Dr. Patrick Flanagan, 57Flexner, Abraham, 4 7Floener, Pam, 380Fluorure, 92, 113, 233, 235, 273, 298, 312, 313, 314, 321, 341 350, 364Foie, (cancer du foie), 122, 130, 166, 218Foie, (Nettoyage du foie et de la v sicule biliaire), 215Food & Drug Administration (FDA), ix, 10, 11, 13, 27, 29, 34, 37, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 49, 52, 53, 54, 55, 57,

75, 100, 107, 121, 153, 307, 308, 311, 333, 334, 335, 336, 337, 338, 339, 351Food and Agricultural Organization (FAO), 399Formaldehyde, 334, 354Frahm, Dr. David, 413Free Radical(s) (Radicaux Libres), 110, 161, 193, 220, 230, 233, 236, 237, 257, 259, 269, 270, 277, 278, 282, 28

290, 294, 295, 297, 428, 440, 445Fr quence (G n rateurs de), 133 137Freud, Sigmund, 16Fromage blanc, 116, 117, 416Fungus/Fungi (Champignons), xii, 83, 93, 94, 97, 106, 107, 111, 157, 165 168, 180, 187, 212, 216, 218, 226, 22

248 250, 258, 260 262, 265, 271, 272, 280, 284 289, 292, 294, 300, 315, 316, 321, 322, 325, 327, 388, 413,

HHHHGagarin, Yuri, 206Galaburri, Dr. Mario, 414Galileo, 58Gallique (Acide), 113, 136Gamma Linol nique (Acide) (GLA), 116, 141, 243, 262, 443

Garcia, Dr. Carlos, 416Garden of Eden, 226

454



Garlic (Ail), 117, 227, 247, 259, 265, 266, 270, 283, 295, 384, 385GB 4000, 137GD Searle, 334, 335, 337, 338General Accounting Office (GAO), 200Genetically Modified Organism (GMO) (Organisme G n tiquement Modifi OGM), 184, 255, 276, 325 330

398, 400, 404Genuity SmartStax, 327Germ Theory (La Th orie des Germes), 97, 234German Cancer Breakthrough, 284, 412German Cancer Clinics, 412Germanium, 259, 266Germe(s), 91, 127, 171, 230, 231, 295Gerson Cancer Clinic, 395Gerson, Charlotte, 138, 141, 395Gerson, Dr. Max, 54, 137, 138Gerson (Th rapie), 137, 139, 140, 141Gingembre, 259, 267Glioblastome Multiforme, 156, 204, 440Gluconeogen se, 199, 440Glucose, xix, xx, 82, 84, 87, 89, 90, 114, 122, 124, 136, 150, 155, 172, 199, 200, 227, 230, 232, 237, 244, 245, 2

291, 305, 439, 440, 441Glutamate (GMS), 227, 306, 307, 321, 404, 440Glutathion, 84, 107, 236, 269, 270, 271, 289, 293, 294Glycog ne, 126, 441Glyconutriments, 244 246, 269, 440GMS (Glutamate Mono Sodique), 227, 306, 307, 321, 404, 440

Gold, Dr. Joseph, 200Goldberg, Dr. Michael, 360Goldenseal (Hydraste du Canada), 247, 248, 271, 272Golgi bodies, 82, 440Golumb, Dr. Beatrice, 30Gonzalez, Dr. Nicholas, 128, 412Granulocyte(s), 83, 440, 445Grass Fed Beef (B uf nourri l herbe), 264Graviola, 117, 164, 437Gregg, Dr. David, xii, 84, 86, 120, 124, 266

Greenberg, Dr. Bernard, 357Griffe de chat, 159, 252, 253Griffin, Edward, 3, 28Grismaijer, Soma, 192Gross, Dr. Adrian, 333, 338Gui, 283, 284, 412

III I HIF 1 Transcription Factor, 95Haematoxylone, 120Haensler, Viebahn, 107

455



Haley, Dr. Boyd, 354, 381Haley, Daniel, 43, 56Hardin Simmons University, xxxiv, xliHarvey, William, 58HealthQ a e Ministries, 413Hegedus, Dr. Tibor J., 186Helium, 88H magglutinine, 310H moglobine, 82, 84, 94, 115, 147, 229, 230, 274, 441Hemp (chanvre), 141, 142, 143, 144, 262Henderson, Bill, xii, 117, 390, 416H patique (Cancer), 156Herbe de bl (ou agropyre), 91, 229Herbes (Mauvaises Herbes), 196Heyd, Dr. Charles G. , 314Hidden Truth of Cancer, 90Hitler, Adolph, 4, 16, 54, 138, 310Hodgkin s (maladie de) (voir "Lymphome")Hoffer, Dr. Abram, 149Holistic Medical Clinic of the Carolinas, 413Homeland Security, 361Hom opathie, 7, 27, 410, 414, 415Hom ostasie, 96, 97, 235Howenstine, Dr. James, 154, 156, 158, 189, 257, 273, 294, 306, 387Horwin, Alexander, 10Hoxsey Cancer Clinic, 45, 46

Hoxsey, Harry, 45, 47, 49Howell, Dr. Edward, 127Huggins, Dr. Hal, 388Huile de foie de morue, 297Human Chorionic Gonadotropin (hCG), 125, 126, 441Humble, Jim, 279 281Hunninghake, Dr. Ron, 410Hunza/Hunzacuts, 171, 172Hyaluronidase, 147Hydraste du Canada, 247, 248, 271, 272

Hydrazine (Sulfate d ), 56, 200 202, 416Hydrog ne, 82, 88, 89, 105, 108, 109, 115, 116, 148, 233, 234, 302Hydrog ne (P roxyde d ), 105, 108, 109, 110, 148, 176, 272, 273, 414Hydrog nation/Hydrog n , 115, 116, 263, 276, 302, 304, 310, 396, 441, 445Hydrolosis, 441Hydroxyl ions, 88Hydrog ne (ions d ), 88Hyperthermie, 144, 145, 146Hypochloreux (Acide), 280

456



J nal f S Medicine and Ph ical Fi ne, 428J nal f he Ame ican Medical A cia i n (JAMA), 33, 35, 45, 236, 256, 338, 359

L LL L Kaali, Dr. Steven, 110Kalokerinos, Dr. Archie, 368, 369Karolinska Institute, 96, 139Karthaus, Dr. Meinolf, 167Kaufman, Dr. Doug, 167Kehr, R. Webster, vii, xxv, 13, 20, 21, 23, 28, 59, 66, 74, 76, 100, 112, 113, 114, 121, 133, 136, 149, 159, 163, 2Keller, Jimmy, 55Kellogg, Dr. John Harvey, 216Kelley, Dr. William D., 57, 65, 126

Kidney Cancer (cancer des reins), voir "Cancer r nal"Kidney Cleanse (Nettoyage des reins), 215, 220King, Martin Luther, 99Klinghardt, Dr. Dietrich, 380Krebs, Dr. Ernest T., 57, 171Krebs Cycle, 82, 83, 440, 441

M MM M Lagasse, Emeril, xxixLaibow, Dr. Rima, 402Laetrile (Vitamin B17), 50, 51, 171 174, 229, 237, 238, 284, 411, 433Lance, 30, 70, 189Lanct t, Dr. Guylaine, 27, 371Lapacho, 286Large Intestine (gros intestin), 211 216, 272Laszlo, Dr. John, 64Laurique (Acide), 263, 441Lavements au caf , 127, 137, 140, 413Leuc mie, 64, 67, 69, 71, 93, 140, 143, 154, 156, 167, 204, 220, 252, 278, 283, 320, 323, 395, 441Leucocytes (Globules blancs), 83, 85, 126, 147, 169, 170, 246, 248, 291, 347, 438, 441, 442, 445Lewis, C.S. , 13Levin,Dr. Alan, 27, 34Levures, 93, 105 108, 180, 202, 246, 263, 272, 276, 285, 288, 289, 294, 307, 388, 413Ley, Dr. Herbert, 11Lichtenstein, Paul, 96LifeOne (Th rapie), 154 158Linol ique (Acide) (LA), 116, 243, 262, 277Lipase, 233, 234, 287, 291, 442

Lissoni, Dr. P., 277Liver Cancer (cancer du foie), 122, 130, 166, 218

458



Liver/Gall Bladder Cleanse (Nettoyage du foie et de la v sicule biliaire), 215Living Fuel Rx, 275, 276Livingston, Dr. Virginia, 57L Lysine, 147Lorscheider, Fritz, 382L Proline, 147Lung Cancer (cancer du poumon), 67, 73, 108, 122, 143, 156, 166, 193, 222, 257, 268, 282, 283, 295, 311, 323Lymph Node(s)/System (Ganglions lymphatiques), xxxv, 65, 77, 83, 166, 191, 193, 213, 215, 229, 259, 426, 441Lymphocytes, 83, 155, 157, 260, 266, 289, 426, 441, 442, 445Lymphome, Hodgkinien, 64, 69, 77, 143, 154Lymphome, Non Hodgkinien, 34, 144, 154, 323Lyman, Dr. William D., 110Lynch, Dr. Eileen M., 277Lynes, Barry, 2, 49

N NN N Macrophages, 83, 245, 246, 253, 260, 277, 282, 442, 444Madaus, Dr. Gerhard, 260Mad Hatter Syndrome, 378Magn sium, 91, 178, 231, 235, 236, 237, 244, 267, 274, 275, 310, 315, 396Maitake, 282, 316Mammographie(s), 64, 185, 188, 189, 199, 442Manna Storehouse, 402, 403Margraf, Dr. Harry, 258Marijuana, voir "chanvre"Martini, Betty, 186, 187Mathe, Charles, 71Mauvaises Herbes, 196Max Plank Institute, 139Mayer, Dr. Daniel, 55Mayo, Dr. Charles , 221Mayo Clinic, 221McBean, Eleanor, 355McCabe, Ed , 116McCarrison, Dr. Robert, 172McCoy, D.E., xxvi, xxvii, xliMcCoy, Glen, xxviiMcCoy, Tim, xliiMcGill Cancer Center, 69McGrath, Dr. Kris, 191McLaughlin, Dr. Jerry, 164Medecine Alternative, 174Medina, Dr. Daniel, 295MediSin, 237Megson, Dr. M, 360Melanocytes, 194, 442

459



Melanome, 73, 156, 194, 442Melatonine, 204, 231, 276, 279, 442Mellon, Andrew W., 142, 342Melville, Arabella, 12Memorial Sloan Kettering, 49, 50, 68, 131, 173Mercola, Dr. Joseph, 30, 42, 188, 257, 288, 297, 314, 326, 328, 380Mercure, 92, 178, 179, 220, 236, 266, 273, 305, 314, 315, 346, 354, 359, 360, 368, 375 385, 387, 437M thanol, 307, 334M thyls l nocyst ine, 294M thyl Sulfonyl M thane (MSM), 120, 122, 266, 385, 443Mantle, Mickey, 222Microbe(s), 48, 83, 93, 94, 97, 105, 110, 112, 133, 134, 136, 212, 235, 263, 388, 389, 440, 442Min raux, xxviii, 113, 122, 123, 132, 140, 176, 178, 181, 199, 226, 227, 228, 230 238, 243, 247 250, 253, 260

280, 294, 298, 299, 300, 310, 311, 341, 396, 399, 412, 414, 415, 439, 445Mistletoe (Gui), 283, 284, 412Mitochondrie, 23, 82, 83, 84, 86, 147, 164, 206, 254, 256, 293, 389, 437, 442Mitose, 85, 261, 262, 294MMR (Vaccin ROR), 353, 359, 360, 361, 374, 375Miracle Mineral Solution (Suppl ment Min ral Miracle) (MMS), 279, 280, 281Mohs, Dr. Frederic, 195Monoamine Oxidase Inhibitor (MAOI), 202Monocytes, 83, 442Mononucl aires (Leucocytes), 83Monosaccharide, 244, 245, 440, 442, 444Monsanto, 307, 308, 311, 325, 398Morishita, Keiichi, 90

Mortelles (fr quences oscillatoires), 48Morue (huile de foie de morue), 297Moss, Dr. Ralph, 49, 64, 69Monosodique Glutamate (GMS), 227, 306, 307, 321, 404, 440MRS 2000+, 208Mullins, Eustace, 25Multiple Drug Resistant (MDR), 163, 164, 437Multiple Sclerosis (MS) (Scl rose en plaques), 204, 379Mycotoxines, 92, 315, 443

O OO O N ac tylcysteine (NAC), 269N ac tylgalactosamine, 245, 440N ac tylglucosamine, 245, 440N ac tylneuraminic acid, 245, 440Naessens, Dr. Gaston, 57Naked Empress or The Great Medical Fraud, 33, 44Napol onien (Code), 401NASA, 200National Cancer Institute (NCI), xxiii, 4, 7, 9, 44, 68, 69, 72, 87, 91, 164, 188, 199, 200, 278, 282, 323, 347, 395

460



National Institute for Dental Research, 348National Institutes of Health (NIH), xxiii, 59, 156, 360National Soft Drink Association, 337Natural Cellular Defense , 300Natural Killer (NK) Cells, 83, 253, 266, 268, 272, 275, 284, 441Nelson, Mildred ,47N oplasme(s), 120, 357, 443Nettoyage du foie et de la v sicule biliaire, 215Neurofibrillar Tangles (Enchev trements neurofibrillaires), 382Neurone(s), 85, 306, 334, 357, 376, 382, 440, 442Neutrophiles, 83, 441Nevada Center of Alternative & Anti Aging Medicine, 109, 414Ne England J nal f Medicine, (NEJM), 27, 30, 31, 64, 65, 69, 96, 198, 359, 374New Hope Medical Center, 414Ne Y k Time, 25, 51, 52, 187, 197, 198, 236, 324Niacine (Vitamine B3), 114, 238, 285Nieper, Dr. Hans, 57, 107Nitrilosides, 171, 174, 231, 233Nitrosamines, 309, 443Nixon, Dr. Alan C. , 71Northern Sydney Cancer Centre, 66Noix (coques de noix noires), 219Nucl otide, 443Nucleus (noyau), 81, 82, 86, 276, 440, 443, 444Null, Gary, 33Nutrition Under Seige, 226

PPPP Oasis of Hope Hospital, 173, 411OGM, Organisme G n tiquement Modifi , 184, 255, 276, 325 330, 397, 398, 400, 404Oil of Oregano (Huile d Origan), 284 286Oleander (laurier rose), 158 160Ol ique (Acide), 264, 265, 443

Olive (huile d ), 91, 222, 264, 265, 283, 285, 443O Leary, Dr. John, 360Olney, Dr. John, 335Olshansky, Dr. Brian, 302Omega 3, 116, 117, 141, 262, 263, 265, 297, 443Omega 6, 116, 122, 141, 262, 263, 277, 439, 443Omega 9. 264, 265, 443One Answer To Cancer, 65, 128, 129Organisme G n tiquement Modifi OGM, 184, 255, 276, 325 330, 397, 398, 400, 404

Organismes Hom ostatiques du Sol (HSO ou OHS), 217, 288, 289Organite(s), 82, 443Organochlor s, 187, 316

461



Origan (Huile d Origan), 284 286Orthomol culaire, 410, 443OSHA, 315, 380O Shea, Dr. Tim, 18, 233, 310, 396Ost osarcome, 348Outsmart Your Cancer, xii, 1, 96, 165Ovaire (Cancer de l ), 156, 267Oxydation, 105, 116, 147, 161 163, 230, 237, 292, 415, 438, 444Oxyg ne, xxxviii, 82 84, 86 90, 93 98, 101, 104 108, 115 117, 120 122, 124, 145 147, 161, 162, 165, 167

207, 212, 223, 229, 230, 234, 236, 242, 258, 266, 270, 272, 279, 280, 281, 286, 298, 300, 303, 310, 316, 383, 396, 411, 412, 414, 424 428, 437, 441, 444, 445

Ozel, Dr. H. Zima, 158Ozone, xii, 30, 84, 105 110, 169, 219, 272, 414

QQQQ P53, 85, 94, 95, 113, 231, 262, 275, 293, 444Pau d Arco, 286, 287PDQ! Herbal Skin Cream 195Pancr atique (Cancer du pancr as), 122, 126, 127, 128, 156, 309, 413Pancr atiques (Enzymes), voir EnzymesPapa ne, 291Paraben, 191 192Parasite (purifier les), 211, 215, 217, 219Parcells, Dr. Hazel, 218Parkinson s Second Law, 26Pasteur, Louis, 96, 234Pauling, Dr. Linus, 24, 148, 149

Papaye, 164Peau (cancer de la peau), 73, 163, 185, 193 196, 438, 442, 445Pelvien (Cancer), 122Persistants (Polluants Organiques) (POP s), 175, 179, 180, 400Pesticides, 91, 113, 165, 179, 187, 227, 232, 270, 276, 288, 293, 300, 315, 321 324, 347, 400, 401, 404Peters, Dr. Ronald, 414Pezzuto, Dr. John, 112Pfizer, 31PH (Equilibre du) , 87, 88, 89, 90, 91, 94, 96, 98, 122, 123, 227, 228, 230, 232, 237, 243, 306, 425, 437, 444Phagocytose, 83, 221, 253, 267, 282, 440, 442Phosphates, 82, 179Phthalates, 319, 320Phytique (Acide), 396Phytoestrog nes, 394, 395, 397Pierce, Tanya Harter, xii, 1, 96, 163, 165Pinckney, Dr. Neal, 239Pin ale (Glande), 231, 276, 442Piper, John, 91

462



Recombinante (Hormone de croissance Bovine) (rBGH), 186, 187, 270, 307, 308, 309, 310, 326, 445Reclaim Your Inner Terrain, xiiRed Blood Cells (Erythrocytes) (Globules rouges), 65, 81, 82, 84, 95, 116, 169, 243, 274, 280, 286, 310, 396, 4

438, 440, 444Redox, 105, 161, 163Reductase, 84, 107Reishi, 282, 316R nal Cancer (Cancer des reins), 156,Reno Integrative Medical Center, 415Resv ratrol, 112, 113, 114, 136, 155, 253, 292, 293, 294, 315, 445Reuben, Dr. Scott, 31Rhythm of Life Comprehensive Cancer Care, 415Ribonucl ique (Acide) (RNA), 249, 251, 281, 439, 443, 445Riordan, Dr. Hugh, 410Riordan Clinic, 150, 416Rivers of Living Waters, xxxviiiRoberts, Dr. H. J. , 339Rockefeller, John D., 4, 6, 7, 187Roehm, Dr. Dan C., 117Root Canal Cover up, 390Root Canal(Canaux Radiculaires), 92, 387, 388, 389, 390, 391Roy, Dr. Leo, 221Royale (Gel e), 250, 251Rife (Machine), 134, 137, 208Rife, Royal Raymond, 47, 48, 49, 134Royal Society of Medicine, 215

Ruesch, Hans, 33, 44Rumsfeld, Donald, 337

TTTT Salicylate, 173, 262Sarcome, 143, 154, 156, 159, 410Sainz, Dr. R.M., 278Salk, Dr. Jonas, 356, 357Sang (nettoyer le sang), 215, 222Sanguinaire, 195, 271Sartori, Dr. H. E., 122Sauerbruch, Dr. Ferdinand, 137Schallenberger, Dr. Frank, 109, 154, 414Schloen, Dr. Lloyd, 174Schonbein, Fridereich, 105Schulze, Dr. Richard, 216, 220 223, 255Schweitzer, Dr. Albert, 54Schwengel, Dr. Charles, 415Scl rose lat rale amyotrophique) (ALS, aka Lou Gehrig s disease), 204, 256Seeger, P.G., 86

464



S l nium, 113, 122, 136, 155, 163, 178, 199, 229, 235, 236, 237, 244, 270, 271, 274, 294, 295Semenza, Dr. Gregg L., 95Semmelwies, Ignaz, 58Sesquioxyde, 445Sheep Sorrel (Petite oseille), 130, 132, 223Shephard, Dr. Roy, 428Shepherd, Dr. Tim, 28Sheridan, Jim, 160, 161Shiitake, 283, 316Shopenaur, Arthur, 57Shrimplin, Dr. Karen, 389SIDA, 55, 85, 123, 132Simoncini, Dr. Tullio, 165Simpson, Rick, 143Singer, Sydney, 192Singh, Dr. V. , 361Skid Marks Disease (maladie des marques de d rapage), 39, 40, 41, 42Skin Cancer (cancer de la peau), 73, 163, 185, 193 196, 438, 442, 445Slippery Elm Bark, 132Slutsky, Dr. R., 31Smith, Jeffrey M., 326Sodium (Bicarbonate de), 165, 166, 167, 168, 445Sodium (Chlorite de), 280, 281Sodium (Nitrite de), 227, 310, 445Sodium Glucose Co Transport (Syst me), 124Soil Based Organisms (Micro organismes provenant du sol) (SBO s), 217, 288, 289

Soja (f ves), 116, 183, 202, 255, 262, 276, 310, 311, 326, 328, 329, 336, 364, 393 398Soja L Abominable f ve, 394Solasodine Glycoside (BEC5), 196Southam, Chester, 3Soutien gorge, 192 193Spirituel (Cancer), 417Spiruline, 163, 242, 243, 244Spontan e (R mission), 24, 59, 101

Sprout(s) (Germe(s)), 91, 127, 171, 230, 231, 295Squamous Cell Carcinoma (Carcinome Epidermo de), xix, 194, 438, 445

Stabilis Oxyg ne, 279, 280Stamey, Dr. Thomas, 198Standard Oil of New Jersey, 4Starfield, Dr. Barbara, 33Stockholm (Convention de), 400Stomach (Cancer de l estomac), xxxvi, 112, 130, 166, 268, 283St rtebecker,Dr. Patrick, 378Stubblebine, Bert, 402Sugiura, Dr. Kanematsu, 50Super Beta Prostate , 198

Super Z LiteTM, 300Superoxyde Dismutase (SOD), 84, 107, 289

465



Susan G. Komen Foundation, 186SV 40, 357Syst me de surveillance des effets ind sirables de r action, 337S me ne e a n me, 191 Sweet Misery, 307, 339

U UU UTamoxif ne, 186, 187, 239Taylor, Jack, xxxix, xl, xli, xliiT Cells (Cellules T), 83, 169, 170, 248, 252, 253, 260, 266, 272, 282, 287, 316, 426, 441Terminator (Technologie), 329, 330Testicules (Cancer des), 183, 318The 9 Steps to Keep the Doctor Away, xii

The Calcium Factor, 124The Scientific Secret of Health and Youth, 124The Crime and Punishment of I.G. Farben, 6The Cure for All Cancers, 218The Cure for All Diseases, 218The Cure for HIV and AIDS, 218The Cure is in the Cupboard: How to Use Oregano for Better Health, 285The Fluoride Deception, 350The Fungus Within Us, xiiThe Germ that Causes Cancer, 167The Gerson Institute, 141The Healing of Cancer, 2The History of the Crime Against the Food Law, 11The Medical Mafia, 27The Medical VooDoo, 356The Persecution and Trial of Gaston Naessens, 69The Poisoned Needle, 355The Politics of Cancer, 188

The Politics of Cancer Therapy, 3The Practice of Aromatherapy, 285The Truth About The Drug Companies, 27The War Between Orthodox Medicine and Alternative Medicine, 21Thermographie, 190Thim rosal, voir "Ethyl Mercure", 354, 361, 366, 372, 376, 379Thorsen, Dr. Poul, 361Tierra, Dr. Michael, 243Townsend Letter for Doctors, 65, 117Trans Membrane Potential (TMP), 207Treating Cancer With Insulin Potentiation Therapy, 152, 154Trophoblaste(s), 125, 126, 171, 173, 445Trypsine, 126, 139, 173, 291, 292, 310, 396Tryptophane, 276Tubules, 388

466



Tumeur (au cerveau), 333, 337, 338, 357Turque (Racine de Rhubarbe) , 132Turme ric (Curcuma), voir Curcumine

V VV V Ultraviolets (Irradiation du sang par les rayons) (UVBI), 168, 169, 170Understanding Cancer, 64Unintentional Chronic Dehydration (UCD), 298Universel (Microscope), 47US Air Force, 200US Congressional Hearings, 357US Justice Department, 55Ut rus (Cancer de l ), 107

Utopia Wellness, 416

WWWW Vaccins/Vaccinations, 6, 27, 32, 44, 92, 98, 109, 144, 169, 315, 351 376, 380, 402, 411Vaincre le Cancer Doucement, 117Vale, Jason, 53, 171Valnet, Jean, 285V sicule biliaire (Nettoyage du foie et de la v sicule biliaire), 215

Vimy, Dr. Murray, 381Vinaigre de cidre de pommes), 91, 246, 247Vioxx, 31, 38, 61Virus, 6, 47, 83, 91, 97, 105 108, 111, 112, 143, 145, 154, 155, 168, 169, 180, 212, 216, 221, 245, 248, 250, 252

272, 280, 284, 287, 294, 316, 325, 354, 357, 360, 388, 402, 426Vivant et Bien Portant), 74Vit lzym, 109, 272, 292Vitamine A, 122, 174, 236, 238, 249, 360

Vitamines BThiamine (B1), 238

Riboflavine (B2), 238Niacine (B3), 114, 238, 285Pantoth nique (Acide) (B5), 238, 251Pyroxidine (B6), 238Biotine (B7), 238Folique (Acide) (B9), 238, 270, 315, 391Cyanocobalamine (B12), 238Laetrile (B17), 50, 51, 171 174, 229, 237, 238, 284, 411, 433

Vitamine C, 58, 114, 146, 149, 150, 154, 196, 202, 410, 412, 415Vitamine D, 119, 171, 236, 283, 295, 296, 297

467



Z ZZ Z Yeast (Levures), 93, 105 108, 180, 202, 246, 263, 272, 276, 285, 288, 289, 294, 307, 388, 413Yiamouyiannis, Dr. John, 347Yogourt, 91, 116, 117, 202, 276, 288

Young, Dr. Robert, 87, 89

[[[[Zapper, 218Z olithes, 299, 445Zinc, 122, 174, 178, 195, 199, 231, 235, 237, 238, 239, 271, 285, 310, 315, 395

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