35e année, numéro 11 Mercredi, 11 février 2004

Mélanie Malenfant etEmmanuelle Jean

Ordre des infirmières et infirmiers du QuébecDeux étudiantes de l'UQAR obtiennent

une bourse d'excellence de 5000 $

Deux bourses provinciales de 5000 $ de l'Ordre des infirmières etinfirmiers du Ouébec (0110) ont été attribuées à des étudiantes aubaccalauréat en sciences infirmières inscrites pour l'année 2003­2004 à l'UOAR. Emmanuelle Jean, de Rimouski, infirmière auCLSC Rimouski-Neigette, a reçu labourse octroyée par 1'0110 pourdes études à temps complet à l'UOAR. La deuxième bourse a étéattribuée dans le cadre du concours provincial ouvert à toutes lesuniversités québécoises. Mélanie Malenfant, de Cabano, infir­mière au Centre hospitalier de Notre-Dame-du-Lac, aappris lanou­velle laveille de Noël ... Félicitations aux deux lauréates.

Dans ce numéro:Augustin Ependa, de Rimouski à Rouyn p. 3Décès de Karine Gosselin p. 3Conférence d'Armande Saint-Jean et de Norbert Alter p. 5Conférences au Musée régional p. 6Nouveaux membres au C.A. de l'UOAR p. 7Exposition de Marcelle Parent et de Réal Larouche p. 12

Campagne de recrutement 2004 de la CSDT-PME

La (SDT-PME offre 14 bourses de 4000$à de futurs étudiants en génie de l'UQAR

La Corporation de soutien au développementdes entreprises, la CSDT-PME, annonce la con­clusion d'ententes avec laCommission jeunesseCôte-Nord et avec celle du Bas-Saint-Laurentafin d'offrir 14 bourses de4000$ exclusivementà des finissants des Cégeps du Bas-Saint­Laurent et de la Côte-Nord qui s'inscriront engénie à l'UOAR. En tout, c'est plus de 56000$ enbourses pour l'automne 2004 Les cégeps Jean-Hertel Lemieux,

. . .. coordonnateuradmlsslbles sont les sulvants : La Pocatière, CSDT-PME

Riviè~e-du-Loup, Rimouski (incluant le CEMEC à Amqui), Matane,Sept-Iles et Baie-Comeau.

Selon M.Michel Huard, président de laCSDT-PME : «Encore unefois, la CSDT-PME aura trouvé une solution dynamique qui nouspermettra de garder chez nous un nombre important de jeunes quivont demeurer en région afin d'entreprendre des études universi­taires l'automne prochain. Ces ressources seront très importantespour aider au développement technologique de nos entreprisesrégionales qui sont en compétition avec les entreprises des grandscentres urbains. »

La CSDT-PME a déjà offert depuis 2 ans plus de 169 000$ enbourses en génie et en informatique dans le cadre de son pro­gramme de rétention des jeunes diplômés des collèges de l'Est duOuébec et de laCôte-Nord.

Installée à l'Université du Ouébec à Rimouski, la CSDT-PME acomme mission de promouvoir le développement technologique etl'innovation dans les PME de l'Est du Ouébec et de laCôte-Nord.

..!•.1_.,.r~lfl~~Iji;:_

CSDT-PME:92 projets-stages en entreprises dans l'Est du Québec etsur la Côte-Nord

Plus de 570 000 $ ont été versés en salaires à l'été 2003La Corporation de soutien au développe­ment technologique des PME a annoncé lesrésultats de son programme des projets­stages pour l'année 2003. Encore cetteannée, laCorporation s'est affairée à mettreen relation les entreprises et les étudiantsdu Bas-Saint-Laurent et de la Côte-Nord.Ceci aura permis d'améliorer ou d'accélérerdes projets de développement dans lesentreprises tout en donnant aux étudianteset étudiants une expérience de travail asso­ciée à leur domaine d'études. Plus d'unecinquantaine d'entreprises régionalesauront bénéficié de l'expertise et dudynamisme de plus de 90 étudiantes etétu­diants en sciences et en génie de l'UQAR.

Financièrement, les étudiants ontobtenu plus d'un demi million $ au coursde l'été 2003. La CSDT-PME a contribuépour plus de 220 000 $ alors que les entre­prises participantes investissaient plus de345 000 $, des sommes considérables ver­sées en salaires aux étudiantes et aux étu­diants. De plus, au cours de l'année 2003, laCorporation aura aidé financièrement à l'in-

téçratlon de sept nouveaux diplômés engénie et en informatique dans une entre­prise régionale.

La CSDT-PME a été créée en 1997 pardes dirigeants d'entreprises afin de con­tribuer au développement de l'environ­nement technologique dans le Bas-Saint­Laurent et sur la Côte-Nord, en facilitantl'intégration des diplômés en sciences et engénie de l'UQAR dans les entreprisesrégionales. L'initiative aura permis deretenir en région plus de 50% des diplômésen génie.

Les responsables de laCorporation sontdonc fiers d'annoncer qu'ils continuent detravailler sur les objectifs suivants:- contribuer à la rétention en région des

diplômés en sciences et en génie del'UQAR;

- sensibiliser les PME à l'importance des'engager dans le développement tech­nologique;

- supporter les initiatives étudiantesfavorisant l'innovation technologique;

- développer des liens étroits entre les

professeurs en sciences et en génie etles entreprises des régions concernées;

- permettre aux étudiants en sciences eten génie d'acquérir l'expérience des PMEet de développer le goût de se lancer enaffaires;

- consolider les assises du jeune pro­gramme de génie de l'UQAR.

Le coordonnateur de la CSDT-PME, M.Jean-Hertel Lemieux, mentionne queplusieurs autres projets en partenariat avecles PME sont supportés par laCorporation.Seulement à l'automne 2003, une douzainede projets en génie auront donné à des étu­diants l'occasion d'appliquer concrètementleurapprentissage en les mettant au servicedes entreprises de l'Est du Québec. Lesretombées économiques sont donc impor­tantes pour la région.

Établie à l'UQAR, la CSDT-PME est sup­portée financièrement par Développementéconomique Canada.

L'UQAR accueiLLe Les Jeux du commerce, en janvier 2005

Une conférence de presse est prévue àl'UQAR, ce 11 février, pour présenterl'équipe d'étudiants etd'étudiantes qui s'oc­cupe d'organiser" les Jeux du commerce2005. Ces Jeux se dérouleront à Rimouski,du 7 au 9 janvier prochain. L'affiche quiidentifiera l'événement sera aussi dévoilée.

L'UQAR a obtenu la responsabilité d'or­ganiser ces 17e Jeux du Commerce. Il s'a­git d'un événement de grande envergure quiréunira, à Rimouski et dans les environs,plus de 1100 futurs gestionnaires ainsi quedes accompagnateurs, en provenance nonseulement de l'ensemble des universitésquébécoises mais aussi de l'Ontario et duNouveau-Brunswick. C'est une premièrepour Rimouski! Différentes activités definancement sont prévues dans lesprochains mois afin d'aider à la bonnemarche de ce grand rendez-vous.

Voici les noms des étudiants et étu­diantes qui font partie du Comité d'organi­sation, avec leurs fonctions et leurs lieux deprovenance.Frédéric Lee, président (originaire de Port­Cartier, maintenant dans la région deRimouski).Dave Pouliot, vice-président, directeur de lalogistique (Gros-Morne).

Louis-Martin Tremblay, trésorier (Matane).Luc Saint-Laurent, directeur des activitéssportives et sociales (Rimouski).Valérie Gagnon, directrice des bénévoles(Saint-Fabien).Priscilla Fournier, directrice des communi­cations (Rimouski).Pierre-Luc Harrison, directeur des céré­monies (Rimouski).Nathaly Corbin, directrice des technologies(Mont-Joli).Frédéric Morin, directeur des activitésacadémiques (Rimouski).Anne-Michèle Gagné, directrice marketinget commandites (Maria).Patrick Beaumont, responsable des com­mandites, région de Québec (Sainte­Catherine-de-Ia-Jacques-Cartier).

Également, M. Jacques Lavoie, desServices aux étudiants de l'UQAR, assure lerôle de personne-ressource entrel'Université et le comité organisateur.

Pour obtenir ces Jeux, l'UQAR a dûdémontrer qu'une équipe solide était prête àaccueillir tous ces invités et que la ville deRimouski disposait des infrastructuresnécessaires à la tenue d'un tel événement,dans lequel on retrouve des activitésacadémiques, sportives et sociales. Il fautdire que l'équipe de l'UQAR s'était préparéedepuis plusieurs mois, avec lacollaborationd'intervenants du milieu.

Un rassemblement de cette envergure,dans une période habituellement calme del'année, représente un haut taux d'occupa­tion pour certains établissements hôteliersde la région. De plus, pendant trois jours,les restaurants et commerces profitent desretombées de ces Jeux.

Le comité organisateur tient à remercierl'Office du tourisme et des congrès deRimouski et l'UQAR pour leur apport à lapréparation de ces Jeux.

Augustin Ependa

D'un bout à l'autre du QuébecparMario Bélanger

Décès deKarine GosseLin

Nous avons appris avectristesse le décès acci­dentel de KarineGasselin, le 31 janvierdernier. Cette jeune étu­diante aubaccalauréat enbiologie à l'UQAR étaitoriginaire de Sainte­

Blandine. Des collègues de Karine ont prisl'initiative de nous faire découvrir qui elleétait. Voici quelques-uns de leurs sou­venirs. C'est signé : Jonathan Côté, DaveJonhson, Catherine Landry, AnikSimard etJonathan St-Laurent.

Boute-en-train, Karine possédait plein dequalités qu'on adore. Un rire contagieuxauquel on ne peut échapper. Un dévoue­ment sans bornes envers sa famille, sesamis, son travail. Une patience imper­turbable et une absence de susceptibilité,malgré nos taquineries ... Sa simplicité etsajoie de vivre ont allégé les nombreuxtravaux d'équipe et ont illuminé toutes lesautres activités. Karine ne lâchait jamais.Elle était tenace.

Malgré nos petits défauts, Karine nousacceptait tels que nous étions, sans nousjuger. Nous pouvions nous permettre d'êtrenous-mêmes en toute circonstance, carnous avions fondé une camaraderie à touteépreuve. Amie fidèle! On ne peut passersous silence sa grande écoute envers tousceux qu'elle appréciait. Son rayonnement afait en sorte qu'elle fut aussi notre point deconvergence à l'UQAR! Bref, Karine laisseune empreinte indélébile dans nos vies.

Avec le temps, elle s'est laissée con­naître davantage, elle a montré d'autresfacettes de sa personnalité. Nous avons pului prodiguer beaucoup d'amour et de fousrires durant nos échanges quotidiens. Nousavons également observé son épanouisse­ment qui grandissait, autant à l'école quedans ses activités sportives ou sociales.

Elle aimait sa famille, ses amis, sonSainte-Blandine... Elle appréciait lamusique, le chocolat, le badminton Ellerêvait de faire un voyage en Suisse Elleaurait aimé devenir « matante » ... Grâce àson entourage, Karine n'aurait pu souhaiteravoir une vie meilleure. Elle était heureuse.Et il n'ya que de bons souvenirs d'elle dansnotre mémoire. Par ailleurs, nous avonsreconnu dans safamille les mêmes valeursqu'elle partageait avec nous.

L'automne dernier, Augustin Ependa asoutenu avec succès à l'UQAR sa thèse dedoctorat en développement régional (men­tion « excellent»). En dépit de son statutderéfugié et de ses conditions financièresmodestes, il a réussi ses études de docto­rat après trois ans et demi d'effort, et il tra­vaille maintenant comme professeur régu­lier à l'Université du Québec en Abitibi­Témiscamingue. Entrevue avec un Néo­Québécois bien intégré.

Ouelles sont vos fonctions actuelles àl'Université du Ouébec en Abitibi­Témiscamingue ?Actuellement, je suis professeur régulier auDépartement des sciences de développe­ment humain et social. J'enseigne dans leprogramme de développement local etrégional, les cours suivants : Planification,organisation et animation de grandsgroupes (Hiver); Stratégies d'animation etstratégies de changement (Été); etThéorieset modèles en développement régional (Étéou Automne). Mon secteur de rechercheest: ledéveloppement local dans les milieuxruraux québécois en restructuration, capitalsocial et gouvernance locale.

Pouvez-vous résumer votre thèse de doc­torat en développement régional àl'UQAR?Mathèse de doctorat a porté sur les milieuxruraux québécois. Je suis parti d'un ques­tionnement découlant du discours que toutle monde entend présentement sur la rura­litéquébécoise. Selon lediscours courant, àla suite des fermetures des services deproximité, des usines, des villages, de

l'exode des jeunes, etc., l'avenir des milieuxruraux québécois serait menacé. La catas­trophe !

Moi, je me suis demandé : est-ce quec'est toute la ruralité québécoise qui setrouve dans cette situation ? En d'autrestermes, est-ce que c'est partout que ça neva pas en milieu rural québécois? Existe-t­il encore des communautés dynamiques àcôté de celles qui sont dévitalisées? Si oui,quelle est alors l'ampleur de ladévitalisationrurale au Québec ? Où sont localisées lescollectivités rurales en déclin, combiensont-elles en termes de proportion, quel estleur portrait, quels sont les facteurs tangi­bles et intangibles qui font que certainsmilieux ruraux québécois soient en déclinalors que d'autres sont dynamiques ? Etque faire pour revitaliser les communautésrurales en grande difficulté, eu égard à lapolitique québécoise de la ruralité ?

Pour mettre en scène les réponses à cesquestions, la thèse a été divisée en deuxparties: l'une théorique et l'autre empirique.Dans lapremière partie, nous avons présen­té tous les éléments théoriques liés à laproblématique de la recherche et nous yavons exploré une revue de la littérature surquatre notions polysémiques, dont la rura­lité, ledéveloppement local, le capital socialet la gouvernance locale. Dans la deuxièmepartie, nous avons élaboré des indices decatégorisation des territoires.

Et quels sont les résultats de cetterecherche?Trois résultats découlent de ces indices :premièrement, nous sommes parvenu àdistinguer les communautés rurales québé­coises en quatre catégories : les collecti­vités locales qui sonten déclin (± 20%

) , envoie de l'être (± 28%

) , en développement(± 30%

) et celles qui sont encore trèsdynamiques (± 22%). Deuxièmement, lacartographie des indices nous a permis d'enconnaître ladistribution spatiale, d'identifieret d'étudier les cas atypiques. La plupartdes communautés rurales québécoises endéclin se trouvent dans l'est, au nord-est etdans le nord-ouest duQuébec. Alors que lescommunautés dynamiques se concentrentdans un quadrilatère : sud de l'Outaouais,Chaudière-Appalaches, Cantons de l'Est etla frontière américano-québécoise. Troi­sièmement, nous sommes parvenu à

Suite de la page 3

analyser quelques facteurs importants quisont à la base dudéclin en certains milieux.Parmi ces facteurs, certains sont tangibles(la démographie, l'économie locale,l'éloignement géographique, etc.), maisd'autres sont intangibles (le capital social,le mode de gouvernance locale, les percep­tions sociales, etc.). Grâce à ces résultats,

- nous avons proposé des stratégies dans laperspective d'un développement local ap­proprié à la ruralité québécoise en difficulté.

Quels souvenirs gardez-vous de vosétudes à l'UQAR?De mes études à l'UOAR, je garde plusieurssouvenirs dont trois sont inoubliables.Premièrement, par l'esprit qui y règne,l'UOAR est une grande université dans unpetit bâtiment. En fait, la relation « pro­fesseurs-étudiants » est l'une desmeilleures. Je n'ai jamais trouvé l'équivalentdans les autres universités où j'ai étudiéauparavant. De même, le personnel admi­nistratif est accueillant, je me sentais pra­tiquement en famille. Cela m'a permis desurmonter la solitude que nous autres, lesressortissants des pays en développementet surtout les Africains, vivons en arrivanten Occident.

Deuxièmement, à l'UOAR, il esttrès dif­ficile d'étudier sans une source de finance­ment régulier (bourse) puisqu'il y a peu desource de revenu (travail, par exemple)pour un étudiant étranger fraîchementdébarqué. Il m'a fallu des sacrifices etsurtout de la persévérance, choses aux­quelles j'étais mentalement préparé. En fait,comme le dit un proverbe congolais, « lasouffrance n'est pas une calvitie »... Çaveut dire que les difficultés sont pas­sagères, qu'on peut s'en sortir. Par ailleurs,je m'en suis sorti grâce, aussi, au soutiendes professeurs qui ont dirigé ma thèse.Ces derniers m'ont beaucoup aidé etencouragé. Troisièmement, à l'UOAR, je neme sentais pas à l'étranger, je me suis faitbeaucoup d'amis: étudiants, professeurs,chargés de cours, etc. J'ai pu nouer desrelations d'amitié à Rimouski avec plusieursfamilles, elles me manquent ici à Rouyn­Noranda. Sincèrement, j'aurai bien aimérester à Rimouski si onm'avait offert un tra­vail. Peut-être que j'y reviendrai un jour!

Au Canada, vous avez obtenu le statut deréfugié. Pouvez-vous nous dire quelquesmots sur le contexte de votre arrivée ici?Surle monde que vous avez dûquitté?Je suis arrivé au Canada avec le statut d'é­tudiant étranger, mais à la suite des événe­ments que j'avais vécus et qui ont encore

cours (rébellion) dans mon pays d'origine,la République démocratique du Congo, j'aialors demandé le statut de réfugié et celuide résident permanent. Le service d'accueildes étudiants étrangers de l'UOAR et l'or­ganisme Accueil et Intégration Bas-Saint­Laurent m'ontsoutenu dans cette démarcheet je reste profondément reconnaissant àleur égard. Chaque jour, je me dis que sil'UOAR m'a retenu, je devais continuer àrendre des services similaires aux nouveauxarrivants en difficulté ainsi qu'à ma régiond'accueil, le Bas-Saint-Laurent. Je l'aid'ailleurs fait lorsque j'animais des séancesde sensibilisation contre le rejet dans lesécoles de la région (pour le compte d'AI­BSL). Mais, je ne regrette pas d'avoir quittéRimouski, car ici en Abitibi-Témiscamingue,je suis en mission et je dois honorer, à lafois, l'Université qui m'a formé et la com­munauté québécoise dont jefais maintenantpartie.

Voyez-vous beaucoup de différence entrel'UQAT et l'UQAR? Oui, les deux fontpar­tie du réseau UQ. Les deux sont situéesaux extrémités du Québec, dans desrégions périphériques. Maisqu'est-ce quivous frappe le plus en tant que ressem­blances et différences?

Personnellement, je trouve qu'il y a beau­coup plus de ressemblances que des dif­férences. Cependant, chaque milieu a satouche particulière. Voici quelques ressem­blances et dissemblances remarquablesentre les deux universités.

Les ressemblances d'abord : l'accueildes gens d'iciestquasi similaire à celui quej'ai trouvé à l'UOAR. La problématique de ladévitalisation etde l'exode rural est au cœurdes préoccupations de deux institutionsuniversitaires. Comme à l'UOAR, certainsprogrammes de formation (sciencessociales) à l'UOAT ont de la ditticulté àrecruter les étudiants localement. A l'UOARcomme à l'UOAT, certains programmes sont

décentralisés et se donnent dans des cen­tres de formation éloignés du siège social.Cela fait que les deux universités sont descentres de rayonnement de toute unerégion.

Les différences maintenant: en ce quiconcerne la recherche et l'enseignement, ily aà l'UOAR plus de chaires de recherche etde programmes de cycles supérieurs qu'àl'UOAT. Au plan de l'administration et de lavisibilité, il me semble que les dossiers sontsouvent traités plus rapidement à l'UOATqu'à l'UOAR. Tout se règle très vite. Parcontre, on croise plus souvent le recteur del'UOAR que celui de l'UOAT...

Aussi, les entreprises régionales m'ap­paraissent davantage impliquées dans lacause et ledéveloppement de l'UOAT que nele sont les entreprises du Bas-Saint-Laurentpour l'UOAR. Par exemple, les entreprisessont très présentes dans des publicitéstélévisés invitant àcontribuer au développe­ment de l'UOAT. Elles incitent leursemployés à suivre de courtes formationsspécialisées offertes à l'UOAT. Lesreprésentants du milieu des affaires sontactifs au Conseil d'administration de l'UOATet dans plusieurs comités universitaires.J'ai été étonné parl'ampleur de ces liaisons.

UOAT

Concernant les infrastructures, l'édifice del'UOAT est de construction récente et pluspetit par rapport à l'UOAR. Les laboratoireset les salles de cours sont aussi bienéquipés qu'à l'UOAR. Il n'y a pas de rési­dences pour les étudiants. Au sujet desservices aux étudiants, la vie estudiantineest plus mouvementée à l'UOAR, du faitqu'il y a plus d'étudiants. Surprise : l'im­pression laser des documents estgratuite àl'UOAT (il n'y a pas des frais d'impression),sauf qu'il faut apporter ses feuilles de pa­pier. Enfin, la bibliothèque de l'UOAT ainsique plusieurs autres services à la clientèlesont jumelés avec ceux du Cégep.

Jeudi 12 février

Conférence d'Armande Saint-Jeansur les tendances actuelles de l'information

Le lundi 16 févrierConférence de Norbert Alter

sur l'innovationorganisationnelle

Samedi 21 février 2004 à l'Université du Québec à Rimouski

Une occasion pour les jeunes filles de l'Est du Ouébec dedécouvrir le monde fascinant des sdences et des technologies!

Mme Armande Saint­Jean, professeure àl'Université de Sher­brooke, donnera uneconférence intitulée« Préoccupations éthi­ques et dérives déon­tologiques : les ten­dances actuelles del'information média­tique au Québec -, dans le cadre d'unséminaire organisé par le Groupe derecherche Ethos, le jeudi 12 février, à19h30, au 0-340 de l'UQAR. Entrée libre.

La conférencière présentera la synthèsede ses travaux sur l'évolution qu'ont connueau Québec les pratiques professionnelles etles questions d'éthique et de déontologie en

Les entreprises du secteur des sciences ettechnologies, les établissements d'en­seignement et de recherche ainsi que desclubs et associations de loisir scientifiquetravaillent conjointement à l'organisationd'une journée d'information sur les car­rières scientifiques et technologiques,dédiées aux jeunes filles de Secondaire 2 et3.

L'objectif de la journée estde sensibiliserles adolescentes aux carrières scientifiqueset technologiques, de les convaincre queces carrières peuvent être captivantes,plaisantes et bien rémunérées et qu'il nes'agit pas seulement d'un environnement delaboratoire avec sarrau blanc!

~!\-. . .:~

~: < ' .. ~.t~\ .~' ~

Cette activité est proposée par le Carre­fourdes sciences ettechnologies de l'Est duQuébec, en collaboration avec l'UQAR, leCégep de Rimouski, laCommission scolairedes Phares, la Corporation de développe-

journalisme. Cette présentation sera suivied'un échange.

Après avoir travaillé pendant de nom­breuses années comme journaliste, en par­ticulier à la radio et à la télévision de Radio­Canada, Armande Saint-Jean a abordé lacarrière universitaire en 1985, à l'UQAM,puis à l'Université de Sherbrooke où elle estla directrice du Département des lettres etcommunications.

Détentrice d'un Ph.D. en Communi­cations de l'Université McGill, elle s'in­téresse à l'éthique dans les communica­tions publiques et dans les médias, à l'évo­lution du journalisme et de l'information, auplan des contenus autant que des pratiquesprofessionnelles.

Bienvenue à tous!

ment des PME (CSDT- PME) et le Conseilrégional du Loisir scientifique. Le Ministèredu Développement économique et régionaldu Québec apporte un large soutien finan­cier à l'événement et nous espéronsrecevoir le complément du Fonds régionald'investissement Jeunesse.Un richeprogramme de découvertesLes participantes auront l'occasion deréfléchir aux stéréotypes et préjugés quicontinuent de restreindre le choix des filleset même d'échanger librement avec desconférencières qui, elles, s'en sontaffranchies. Elles pourront s'initier auxtechnologies de pointe dans des ateliers àcaractère scientifique et technologique oùelles mettront la main à la pâte. Elles serontguidées pardes femmes étudiant ou travail­lant dans ces domaines, des modèlesféminins qu'elles seront peut-être tentéesde suivre. Elles pourront participer à uneactivité créative de groupe (exemple: cons­truire un bolide propulsé par un ballon);écouter des témoignages de femmes descience en entreprise, en enseignement eten recherche; prendre part à deux ateliersinteractifs où les manipulations seront àl'honneur.

Il y sera question de chimie, de biologie,d'informatique, d'agronomie, de génie civil,de conception assistée par ordinateur, demathématiques... Les jeunes filles auront

M. Norbert Alter pro­pose une conférence s~

intitulée « L'innovationorganisationnelleentre croyance et rai­son », le lundi 16 fé­vrier, au J-485 del'UQAR, à 19h. Auteurde quelques ouvragessur l'innovation, M. Alter est professeur desociologie à l'Université Paris IX-Dauphineet directeur du Centre d'études et derecherches en sociologie des organisations(CERSO).

Pour innover, dit-il, « il faut y croire ».L'innovation est toujours, au début de sonprocessus, une affaire de croyance, person­ne ni aucun outil de gestion ne permettantde prendre en la matière des décisionslogiques et rationnelles. Ce n'est que pro­gressivement, par la critique et aussi par ladéviance, que l'innovation prend sens,forme etefficacité. L'effort que suppose l'in­novation débouche sur une distance accruedes acteurs par rapport à leurrôle, leurpou­voir et la raison économique. Ils se fontalors une « raison» de leur vie en organi­sation, qui consiste tout autant à savoirinvestir que désinvestir les situations d'in­novation.

M. Alter est l'invité du CRISES-UQAR(Centre de recherche sur les innovationssociales - UQAR, coordonné par le pro­fesseur Carol Saucier). Cette conférence estorganisée en collaboration avec les pro­grammes suivants: Maîtrise et Doctorat enDéveloppement régional, Maîtrise en ges­tion des personnes en milieu de travail.

Bienvenue à tous!

ainsi la chance de se familiariser avec unegrande variété de notions scientifiques etdetechnologies.

La journée, à caractère provincial, auralieu simultanément à l'École Polytechniquede Montréal et à l'UQAR. C'est gratuit!

Source: Roselyne Escarras,Carrefour des sciences et technologiesde l'Est du QuébecTéléphone: (418) 723-1880poste 2420

Les biotechnologies marines: historiques et enjeuxConférence de Pierre Blier au Musée régional de Rimouski,

Mercredi 18 février2004, 19h30

Les milieux côtiers del'Arctique canadien :

leur géolo~ieet leur vulnêrabilitê auxchangements climatiquesConférence de PatrickLajeunesse au

Musée régional de Rimouski,Mercredi 25 février2004, 19h30

On dit et on écritbeaucoup de chosessur le fameux« réchauffement dela planète », À parti r !!!!if"'

du cas des milieux ':;:;:côtiers de l'Arctiquecanadien, nous nousinterrogerons sur leseffets des variationsclimatiques. Dans quelle mesure ceux-ci sefont-ils sentir ? Est-ce un phénomèneirréversible, unique dans l'histoire? Doit-ons'en inquiéter? Nous tenterons de répondreà ces questions.

Patrick Lajeunesse afait un baccalauréatet une maîtrise en Géographie physique àl'Université de Sherbrooke. Son projet derecherche de maîtrise portait sur l'étude dupergélisol dans le centre du Ouébec­Labrador. Il a ensuite obtenu, en 2000, undoctorat en Géographie physique au Centred'études nordiques de l'Université Laval enréalisant une recherche en sédimentologieglaciaire et marine dans l'est de la Baied'Hudson. Puis, il a entrepris un postdoc­torat en Sciences de la Terre à l'Universitéde l'Alberta sur un projet portant sur lagéologie des glaciations et l'histoire desvariations du niveau de la mer dans l'ouestdu Haut-Arctique canadien. Il est main­tenant professeur à l'UQAR.

un doctorat en biologie de l'Université Laval.Il a effectué un stage post-doctoral en sci­ence et technologie des aliments (produitsmarins) à Halifax et a été professeur invitéau Scripps Institution of Oceanography del'Université de Californie à San Diego. Àl'UOAR, il enseigne la biochimie et l'éco­physiologie depuis 1992. Il est égalementun des dirigeants (V-P Recherche etDéveloppement) depuis 1995 de la seulecompagnie de biotechnologie marine duBas-Saint-Laurent: AquaBiokem.

Les biotechnologiesmarines sont-ellesvraiment un créneaud'avenir pour larégion ? D'où pro­vient notre intérêtpour ce domaine ?Quels sont les enjeuxscientifiques, écono­miques et écologi-

ques?Spécialiste en écophysiologie et en

physiologie évolutive, Pierre Blier possède

Proust ou l'écriture au « Je »Conférence de MartinRobitaille au Musée régional deRimouski,

Mercredi 11 février2004, 19h30

Le roman de Proust, aux rêves, qui organisent le récit et posentÀ la recherche du les questions du temps et de l'espacetemps perdu, est humains, grâce à une prose poétique iné-écrit au "je". Aujour- galée, À la recherche du temps perdu,d'hui cela peut pa- œuvre classique par bien des aspects, estraître banal, à l'ère résolument et courageusement moderne.des récits de vie en Nouveau professeur au Département departie autobiogra- lettres françaises de l'UQAR, Martinphiques, des confes- Robitaille détient un doctorat en Étudessions romancées, françaises de l'Université de Montréal sur la

des autofictions, des vies amoureuses et correspondance de Marcel Proust. Sessexuelles fantasmées ou vécues, tel le intérêts portent sur les nouvelles visions duPutain de Nelly Arcand. C'est qu'en fait la monde propres aux romanciers du début duplupart des romanciers du xxe siècle sont xxe siècle, principalement chez Proust etdes lecteurs, ou à tout le moins, des héri- Kafka, sur lapsychanalyse, sur les écriturestiers de Proust. Son œuvre estelle-même à de soi, ainsi que sur lanotion d'étrangeté en.~a trontlère de différents genres ro- littérature. Il a publié plusieurs articles uni-.nanesques : roman psychologique, roman versitaires en littérature française et québé-secioloçique, roman d'apprentissage, coise, ainsi que de nombreux comtes ren-roman poétique, roman philosophique, dus, etvient de faire paraître aux Presses deroman autobiographique... Elle les englobe l'Université de Montréal, dans la collectionet les dépasse tous. Grâce à l'invention d'un Espace littéraire, un essai tiré de sa thèse:narrateur qui dit "je", et qui n'est pas Proust épistolier.Proust, grâce aux souvenirs involontaires et

Jeudi 12 février11h3011 h4514h16h

Semaine de l'étudiant et de l'étudiante à l'UQAR

Conférence de presse à l'Hôtel de villeHockey sur glace au Pavillon sportif (Vert vs Bleu)Fin du concours de sculpture sur neige et jugement4 à 7 de la St-Valentin au BaromètreChansonnier: Yves-Luc GuillemetteAssiette de dégustation des produits de l'Auriculaire: 1,50$Tire sur la neige: 1$ du bâtonnetRemise de prix pour sculpture sur neige

Vendredi 13 février12h15 Humoristes « Les Zappartistes » Atrium midi sketches19h30 Basket-bail masculin au gymnase de l'UOAR (Team Labatt vs UOAR)21 h Basket-bail féminin au gymnase de l'UQAR (Sélectes vs UQAR)

i_œ~_m'}:_[ti~j~~Conseil d'administration de l'UQAR

Deux nouveaux membresLe gouvernement duQuébec a annoncé lanomination de deuxnouveaux membresau Conseil d'admin­istration de l'UOAR.Il s'agit de MmeChristiane Hardy,directrice généraledu Cégep de LaPocatière, à titre de représentante du milieucollégial, et de M. Jean-Paul Morin, con­sultant en gestion des ressources humaines

à Matane, à titre demembre socioécono­mique. Bienvenue àl'UQAR!

Mme Hardypossède un baccalau­réat en biochimieet unemaîtrise en scienceséconomiques de l'Uni­versité de Montréal.

Avant d'arriver à La Pocatière, en 2001, ellea occupé divers postes dans la gestion etdans l'enseignement.

Pour sapart, M. Morin a obtenu un bac­calauréat en pédagogie de l'Université deSherbrooke et un certificat en administra­tion de l'UQAR. Avant de devenir consultant,il a occupé des fonctions de gestion à laCommission scolaire régionale de Monts età la Commission scolaire de Matane.

Au Conseil d'administration de l'UOAR,ils remplaceront res-pectivement M.RolandAuger, du Cégep de la Gaspésie et des Îles,et Mme Francine Julien, de Telus Québec.

Assemblée du 20 janvier 2004~

Echos du Conseil d'administrationCALENDRIER À l'UOAR, le trimestre d'au­tomne 2004 commencera par une journéed'accueil le mardi 31 août à Rimouski et lemercredi 1er septembre au Campus deLévis. Les cours débutent partout le jeudi 2septembre. La période de lecture s'étend du25au29 octobre et le trimestre prend fin lelundi 20 décembre. Tous sont invités àrevenir pour le trimestre d'hiver, du10 jan­vier au 29 avril 2005.

RECRUTEMENT Le Conseil d'administra­tionaadopté un nouveau plan des effectifsconcernant le corps professoral, en tenantcompte de ladizaine de professeurs qui ontpris leur retraite en 2003 ou qui ont annon­cé leur départ en 2004. D'une part,l'Université poursuivra son recrutementpour les postes de professeur régulier enpsychosociologie, en écologie micro­bienne et en sciences infirmières. D'autrepart, treize nouveaux postes ont été créés,dont cinq à Lévis, dans les spécialités sui­vantes: gestion des ressources humaines(relations industrielles), finance, mesure etévaluation (éducation), psychopédagogiede l'enseignement professionnel, didac­tique des mathématiques, didactique dufrançais, histoire, géographie humaine del'environnement, études littéraires, écolo­gie animale, sciences infirmières (unposte en pratique avancée, un poste ensoins critiques), et enfin, géologie marine.Des renseignements sur ces postes sontdisponibles sur le site Internet de l'UQAR[www.uqar.qc.ca].

SABBATIQUES Sept professeurs de l'UQARont obtenu un congé sabbatique d'uneannée pour 2004-2005. Il s'agit de : M.Jean-Hugues Rioux et Bruno Urli(Département d'économie et de gestion); deMmes Pauline Côté, Louise Forest et M.

Jacques Daignault (Éducation); M. PaulChanel Malenfant (Lettres); et MmeHélène Sylvain (Sciences de la santé).Deux autres professeurs ont obtenu uncongé sabbatique de six mois: M. RégisFortin (Économie, et gestion) et MmeSuzanne Dallaire (Education). Dans lamirede ces chercheurs, les projets sontvariés:activités de recherche, préparation de publi­cation, ressourcement dans le milieu pro­fessionnel, encadrement d'étudiants auxétudes avancées, stages à l'étranger(France, Afrique et même en Océanie),développement de partenariat, etc. Parailleurs, M. Dominic Voyer (éducation) aobtenu un congé de perfectionnementpour terminer son doctorat.

ÉQUIPEMENT Le Conseil d'administration aprocédé à l'acquisition, pour les besoins duprogramme de génie, d'un centre d'usinageà commande numérique de marque Mazak,modèle lntegrex 100-11 1ST. Cette machineperfectionnée de près de 400 000 $ a étéacquise grâce à une subvention de laFondation canadienne pour l'innovation(FCI). Selon le professeur Abderrazak ElOuafi, responsable du projet, il s'agit d'unemachine multifonctionnelle pour l'usinagede pièces de géométrie complexe. Sonusage s'étend à l'enseignement et à larecherche, au prototypage de nouveauxproduits, à l'analyse de laprécision des pro­duits, à l'amélioration des performancesdes systèmes de fabrication, etc. « Lamachine en question permettra d'améliorerla qualité des produits usinés, la producti­vité de l'équipement tout en limitant lescoûts de production -, explique lechercheur. La machine, qui devrait être enopération d'ici l'été prochain, sera égaIe­ment disponible pour les entreprisesintéressées à ce type de technologie.

BUDGET Le Service des finances a évaluéla situation financière de l'Université pourterminer l'année 2003-2004. Le budgetrévisé prévoit un surplus de 94 000$ sur unbudget de 44,2 M $.

COMITÉ DU BUDGET Les personnes sui­vantes feront partie du Comité du budgetpour l'année 2004-2005 : des représentantsde la direction de l'UQAR (MM. MichelRinguet, Jean Ferron, Daniel Bénéteau,Michel Bourassa, Jean-Denis Desrosierset Mme Marjolaine Viel), un membresocio-économique (M. Paul-EugèneGagnon), les professeurs Bernard Hétu etClaude Galaise, le chargé de cours SimonOuellet, l'étudiant Florent Garnerot, et lesmembres du personnel Alain Caron, DenisOuellet et Ghislain Lapierre.

COMITÉS Mme Émilie Doussantousse aété nommée au Comité de discipline pourles études de 2e et de 3e cycles, à titre d'étu­diante substitut. Par ailleurs, M. MagellaGuillemette, Mme Céline Audet et MmeCatherine Couillard ont obtenu un renou­vellement de mandat comme membres duComité de protection des animaux del'UOAR. Enfin, M. Jacques Thériault a éténommé au Comité d'éthique et de déontolo­gie à titre de membre substitut.

DÉPART Le recteur a annoncé que M.Michel Bourassa ne renouvellerait pas sonmandat à titre de vice-recteu r auxressources informationnelles et de secré­taire général. Celui-ci envisage de quitterses fonctions au terme de son mandatactuel, à la fin mai.

Fondation uaJustine Lachance et Sophie Marticotte

obtiennent des bourses

Deux étudiantes de l'UQAR,Justine Lachance et SophieMarticotte, ont reçu cha­cune une bourse de 500$,remises par la Fondationuniversitaire de l'Universitédu Québec. Étudiante ensciences comptables auCampus de Lévis, Justine a Justine Lachance Sophie Marticotteobtenu une bourse de laFondation UQ (donateurs anonymes) alors que Sophie, étudiante àRimouski en éducation au préscolaire et enseignement au primaire,a reçu une bourse des retraités de l'Université du Québec (siègesocial). Sophie estoriginaire de Cloridorme, en Gaspésie, alors queJustine est native de Saint-jean-Chrysostome. Ces bourses sontaccordées en fonction de la qualité du dossier scolaire et desbesoins financiers.

fo rcesaveni r.qc .cawww CES

~~EJ5TR~!!:!SAVOIR

":.:.:-',:

...

:..:•.••..

:~~.::

Revue Ethica

Nouveau numéro

Sous la direction nouvelle du Pierre Fortin, la revue Ethica, pu­bliée à l'UQAR, vient de faire paraître un numéro contenant cinqréflexions de fond dans une perspective éthique. Luc Desautels(Collège de l'Assomption) s'intéresse à la relation maître-élèvedans l'enseignement de la philosophie éthique. Allen Le Blanc(Collège Ahunstic) scrute le pragmatisme propre à l'éthiqueappliquée, lequel se manifeste de façon parfois surprenante dansles comités d'éthique institutionnels. Sylvain Lavelle (Lille) ques­tionne les relations problématiques de la science et de la morale.La revue publie aussi letexte de deux conférences (en anglais) quiavaient été présentées lors d'un colloque organisé par le GroupeEthos au Campus de Lévis, en novembre 2002, sur l'éthique et lessoins à domicile. Elisabeth Peter (Toronto) et Joan Liaschenko(Minnesota) analysent la question.

Le Grand Norddans la mire

Pour les maniaques des grands espaces septentrionaux, leréseau canadien-anglais CBC diffuse dans les prochainessemaines, les mercredis soir à 19h, une série documentairesur l'Arctique, dans le cadre de l'émission The Nature ofThings, avec David Suzuki. Le 11 février : People of the Ice(reportage sur le peuple inuit). Le 18 février: Washed Away(l'impact écologique de l'industrialisation). Le 25 février :Climate on the Edge (un regard scientifique sur les effets duchangement climatique dans le Nord). Ce dernier documen­taire présente d'ailleurs des séquences prises lors d'une mis­sion exploratoire de CASES, à l'automne 2002. Des gens del'ISMER ont participé à cette mission.

En brefGALERIES La Galerie d'art de Matane (520, St-Jérôme) présentePluralité vagabonde, jusqu'au 7 mars, alors que le Musée région­al de Rimouski (35, St-Germain Ouest) propose Le Paysage selonPeterKrausz, jusqu'au 13 mars.

LANGUE On dit couramment que Sherbrooke ou Granby sont ausud du Québec. Pourtant, au sud du Québec se trouvent les Etats­Unis... Ces villes ne sontpas « au sud -. mais bien « dans le sud»du Québec.

HOCKEY Unjeune detrois ans, qui jouaitau hockey avec son père,rate le filet. « Fuck ! -. lance le garçon ... « On ne dit pas ça. Cen'est pas un beau mot -. réplique son père, un peu étonné par sonvocabulaire. « Ben oui, papa, c'est un beau mot, explique legarçon.C'est le nom d'un animal! »

La Rentréeau Campus de L'UQAR

à Lévis,janvier 2004

Photos: Jacques D'Astous

Portail jeunesse de la Gaspésie et des Î1es-de-la-Madeleine

Des outiLs en Ligne pour faciliter son établissement en régionLe Portail jeunesse de la Gaspésie et desÎles-de-Ia-Madeleine offre à un seul endroit,au [www.portailjeunesse.ca]. tous les outilsnécessaires aux jeunes de 16 à 35 ans quisouhaitent s'établir et travailler dans larégion.

Le Portail jeunesse se veut un lien entreles jeunes et la région. Le service Contact­Emploi permet aux jeunes d'inscrire leurcurriculum vitae dans une banquedisponible aux employeurs de la région surle site Internet. Un formulaire en ligne per­met aux jeunes de faire connaître leursexpériences de travail, leur scolarité, leurscompétences et leur engagement envers larégion. Grâce à un nom d'utilisateur et à unmot de passe, les participants peuvent met­tre à jour leur profil à tout moment. Le ser­vice facilite aussi la vie aux employeurs quipeuvent gérer tous leurs dossiers de façonélectronique. Différents outils sont à leurdisposition pour faire des recherches dans

la banque de CV. Les employeurs peuventmême être informés par courriel chaquefois qu'un jeune dont il recherche le profils'inscrit au Portail jeunesse. Simple et gra­tuit, Contact-Emploi est utilisé actuellementpar 400 jeunes et plus de 80 employeurs.

Le Portail jeunesse de laGaspésie etdesÎles, c'est aussi une liste des organismes dela région offrant des services aux jeunes.Les internautes peuvent également y retrou­ver de l'information sur le monde du travailet les perspectives d'emploi en Gaspésie etaux Îles.

Pour découvrir l'intensité de la vie enGaspésie et aux Îles, le Portail jeunesseprésente chaque mois un portrait d'un jeunequi se démarque dans son milieu et une vi­site d'un coin de la région. Un bulletin debonnes nouvelles" jeunesse" paraît aussimensuellement. Finalement, il est possiblede garder contact avec la région en partici­pant au forum de discussions.

Pour en savoir plus, cliquez sur[www.portailjeunesse.ca].

En bref

PÉNURIE DE PROFS Il Y a, et il y aura,pénurie de professeurs d'université auQuébec. Une étude de la Conférence desrecteurs et des principaux des universitésdu Québec (CREPUQ) confirme cette affir­mation. L'étude démontre que pour simple­ment restaurer le ratio étudiants/professeurquiprévalait en 1994-1995, avant lapériodede compressions, et tenir compte de lacroissance des effectifs étudiants qui estintervenue depuis lors, il devrait y avoir1340 professeurs de plus dans nos univer­sités cette année. De plus, des prévisions dedemandes d'effectifs professoraux, pour lapériode allant de 2004 à 2012, montrentque c'est environ 1000 professeurs parannée que les universités devront embau­cher pour tenir compte du remplacementdes professeurs qui quittent, de la crois­sance des clientèles étudiantes et de larestauration graduelle du ratio étu­diants/professeur. Il s'agit là du défi le plusimportant qu'auront à relever les universitéspour assurer aux étudiants laqualité de for­mation à laquelle ils ont droit et qui leursera nécessaire. Renseignements:[www.crepuq.qc.ca].

ENVIRONNEMENT Le professeur ClermontDugas signale laparticipation de cinq étudi­ants de géographie de l'UQAR à l'audiencedu BAPE concernant le dépotoir deRimouski. Jean-Sébastien Boucher etChantal Quintin ont présenté chacun unmémoire, Maude Corriveau et DavidOuzilleau Samson en ont présenté un con­jointement, tandis que Frédéric Lapointe aeffectué une intervention verbale. Ces étudi­ants sont tous cités dans le rapport duBAPE et certaines de leurs observations ontretenu particulièrement l'attention. Ainsi,une proposition de Jean-Sébastien Boucherpour l'utilisation de deux autres sites plusadéquats a même conduit le BAPE ademandé à laVille de Rimouski de faire desinvestigations supplémentaires. Les com­mentaires de ces étudiants ont contribué àla recommandation du BAPE pour tenterd'améliorer lasécurité du site.

DÉCÈS Mme ThérèseMorin, qui a été pro­fesseure au Départe­ment des sciences del'éducation à l'UQARde 1982 à 2000, estdécédée à Québec, le1er février 2004. // M.Arthur Gauthier,retraité de l'UQAR, est

décédé à Québec le 29 janvier 2004. //Condoléances aux familles et aux amis.

MAÎTRISE ET DOCTORAT Une enquête surla formation aux cycles supérieurs et lesrelations université-milieu est en cours.L'étude est réalisée par le CIRST (Centrelnteruniversitaire de Recherche sur lesSciences et Technologies). Il s'agit de lapremière étude sur les étudiants des cyclessupérieurs. Brièvement, l'étude vise àdécrire les conditions de formation enrecherche, à évaluer l'impact de laparticipa­tion étudiante sur la recherche et à com­prendre l'insertion professionnelle. L'études'étend à l'ensemble des étudiants auQuébec, étudiants actuels ou graduésdepuis moins de 6 mois. Le questionnaireconfidentiel se remplit sur internet:[www.cirst.uqam.ca/cyclessup]. Merci devotre collaboration. L'AEEESUQAR.

PRÊTS ET BOURSES Le gouvernement duQuébec a apporté des modifications à sonprogramme de prêts et bourses pour lesétudiants. Ainsi, le nouveau programmeétablit les besoins d'aide financière en fonc­tion du calendrier scolaire, en tenantcompte davantage des grosses dépenses(frais de scolarité et frais de subsistance)qui arrivent en début de période d'études.Le premier versement sera ainsi plusimportant que les autres. De plus, l'étudiantconnaîtra dès le début de l'année scolaire lemontant total du prêtet de la bourse qui luisont accordés. Cela permet de mieux plani­fier le budget. Notez aussi que l'aide seraversée mensuellement ou périodiquementdans le compte bancaire de l'étudiant.[www.afe.gouv.qc.ca]

DROITS DE SCOLARITÉ Les Québécoiss'opposent au dégel des droits des scola­rité, titrait le quotidien LeDevoir du 24 jan­vier dernier. Selon un sondage, 57% desQuébécois sont favorables au statu quocontrairement à 35% qui préconisent l'in­dexation des frais de scolarité au coût de lavie. Chez les étudiants, 78% souhaitent lemaintien dugel, contre 18% quioptent pourl'indexation.

DROITS DE SCOLARITÉ L'1nstitutéconomique de Montréal (IEDM) a publiéune Note économique qui conclut quel'actuel gel des droits de scolarité risquede compromettre la qualité de l'éducationsupérieure au Québec sans pour autantprofiter aux étudiants moins bien nantis. Ledocument suggère qu'il serait préférable

que chaque université ait la liberté d'adapterses droits de scolarité en fonction de lamis­sion qu'elle se fixe, de ses besoins finan­ciers et de l'environnement compétitif quilui estpropre. [www.iedm.org].

SCIENCES DOUCES Le Fonds québécois derecherche sur la société et la culture(FQRSC) vient de publier un bref documentqui étale différents arguments sur l'impor­tance d'investir dans la recherche ensciences sociales et humaines, en arts eten lettres. Même si la moitié deschercheurs et près des deux tiers des étudi­ants de 2e etde 3e cycles s'investissent dansces domaines, seulement 26% du budgettotal des trois Fonds de recherche dufédéral y est consacré. Pourtant, lesrecherches dans ces domaines renforcentl'identité, stimulent laprospérité, améliorentla santé et assurent une plus grande sécu­rité. Le document estdisponibleauprès de :[nicole.cloutier@fqrsc.gouv.qc.ca].

EMPLOIS Plus de 30 000 emplois serontdisponibles dans la région Chaudière­Appalaches, d'ici 2006, a annoncé ladéputée de Lévis, Carole Théberge. Lesdeux tiers de ces emplois exigent une for­mation technique ou professionnelle. Parmiles secteurs d'emploi en fortedemande, dèsmaintenant: assurances et services finan­ciers, génie mécanique, transformation desmatières plastiques, électronique indus­trielle, etc.

ENVIRONNEMENT Un colloque sur l'É­codéveloppement des institutions d'en­seignement du Québec aura lieu au Collègede Rosemont, à Montréal, les 3 et 4 marsprochain. Ce colloque s'adresse principale­ment aux cadres scolaires désireux d'ap­prendre comment il estpossible et facile derendre écologique la gestion des activitésdes maisons d'enseignement.Renseignements: [www.aqpere.qc.ca].

ENSEIGNEMENT SECONDAIRE Le Conseilsupérieur de l'éducation a rendu public unavis intitulé L'encadrement des élèves ausecondaire: au-delà des mythes, unbilanpositif Il estpossible de consulter cet avis,ainsi que son abrégé, sur le site du Conseil[www.cse.gouv.qc.ca].

Calendrier• Mercredi 11 février: « Les états finan­

ciers : un outil pour mieux gérer sonentreprise -, déjeuner-conférence avecM. Ronald Plante, professeur auDépartement d'Économie et de Gestionde l'UQAR, devant l'Association desmarchands de Rimouski, à 7h15, àl'Hôtel Rimouski.

• Mercredi 11 février: les membres de laChambre de commerce de Rimouskisont invités à une visite industrielle àl'Institut des sciences de la mer deRimouski (ISMER), lors d'un 5 à 7.

• Jeudi 12 février : Le lien climat-zoo­plancton-recrutement dans le golfe duSaint-Laurent : évidences et applica­tions -, conférence de M. StéphanePlourde, de l'Institut MauriceLamontagne, au J-480 à 12h, dans lecadre des midis des sciences naturelles.

• Jeudi 12 février : « Préoccupationséthiques et dérives déontologiques :

SANTÉ L'Association de l'industrie destechnologies de la santé (AilS) lance la 7e

édition de son concours InnovationRecherche. Ce concours vise à favoriser lacréation de liens entre la recherche et l'in­dustrie des technologies de la santé et àreconnaître l'excellence des chercheurs.Renseignements: [www.aits.ca/concours].Date limite: 22 mars 2004.

CÉGEP DE MATANE M. Normand Lavoieest le nouveau président du Conseil d'ad­ministration du Cégep de Matane. Employécadre du Centre hospitalier d'Amqui et duCLSC de la Vallée, il a obtenu à l'UQAR unbaccalauréat en sciences infirmières et uncertificat en nursing communautaire.

ESPÈCES EN PÉRIL L'Institut Maurice­Lamontagne (Pêches et Océans Canada)publie trois nouveaux feuillets d'informationsur les espèces en péril à l'intention dugrand public. L'un porte sur le rorqual bleu,les deux autres sur les bélugas (ceux duSaint-Laurent et ceux de la baie d'Ungava etde la baie d'Hudson). Un programme derétablissement est en développement pources espèces.[especesperilqc@dfo-mpo.gc.ca]

TEMPÉRATURE Selon des chercheurs del'IML, la température de l'air dans le Golfedu Saint-Laurent a été entre 0,5et 2°C plusfroide que la normale durant l'hiver et leprintemps 2003. Par contre, la situations'est inversée à l'été et à l'automne 2003,

les tendances actuelles de l'informa­tion médiatique au Québec », con­férence de Mme Armande Saint-Jean,professeure à l'Université deSherbrooke, dans le cadre d'un sémi­naire organisé par le Groupe derecherche Ethos, à 19h30, au 0-340.Entrée libre.

• Lundi 16 février : « La reproduction :une nouvelle cible pour les contaminantsen milieu aquatique -. conférence deMme Jocelyne Pellerin, professeure àl'ISMER-UQAR, au J-480 à midi, dans lecadre des Midis des sciences naturelles.Bienvenue à tous!

• Lundi 16 février: « L'innovation orga­nisationnelle : entre croyance et rai­son -. conférence de M. Norbert Alter,au J-485 à 19h. Auteur de quelquesouvrages sur l'innovation, M. Alter estprofesseur de sociologie à l'UniversitéParis IX-Dauphine et directeur du Centre

En brefavec des températures de l'air entre 0,5 et3°C plus chaudes que la normale.

BOUCAR SUR TV5 L'humoriste rimouskoisBoucar Diouf était l'invité de l'animatriceDenise Bombardier, à l'émissionConversations, sur les ondes de lV5, le 28janvier dernier. Lors d'un voyage enGaspésie, l'animatrice bien connue pourson franc parler esttombée sous lecharmede Boucar lors d'un spectacle estival quecelui-ci y présentait. Par lasuite, les recher­chistes de Mme Bombardier ont proposé àBoucar de participer à une entrevue. Chargéde cours en biologie, Boucar Diouf est undiplômé de l'UQAR au doctorat enocéanographie. Saviez-vous que Boucaravait son propre site Web?[www.boucardiouf.com].

FEMMES ET ÉLECTIONS La Fondation uni­versitaire de l'Université du Québec fournit10 000 $ pour la création d'une École d'étévouée aux femmes désireuses de seprésenter aux élections municipales. Pourmieux développer les connaissances, lescompétences et la confiance même desfemmes au sein de l'appareil municipal, estné ce projet d'une École d'été: femmes etdémocratie municipale. La première édi­tion regroupera une quinzaine de partici­pantes choisies parunjury non-partisan quifera connaître les personnes sélectionnéesdébut avril 2004. Provenant de toutes lesrégions du Québec, celles-ci seront accueil­lies dans la Capitale où elles seront prises

d'études et de recherches en sociologiedes organisations (CERSO). M. Alter estl'invité du CRISES-UQAR. Cette con­férence est organisée en collaborationavec les programmes suivants: Maîtriseet Doctorat en Développement régional,Maîtrise en gestion des personnes enmilieu de travail. Bienvenue à tous!

• Samedi 21 février: « Les filles et les sci­ences, un duo électrisant », à l'UQAR.Une occasion pour les jeunes filles del'Est du Québec de découvrir le mondefascinant des sciences et des technolo­gies!

• Vendredi 27 février: date limite pour l'a­bandon de cours sans mention d'échecau dossier universitaire et sans rem­boursement, à l'exception des coursintensifs pour lesquels l'abandon doitêtre fait avant le début des cours.

• 1er au 5 mars : période de lecture (sus­pension des cours).

en charge pendant la durée de leur forma­tion. Renseignements : France Bilodeau,(418) 657-2747 poste 5415.

FORCES La prestigieuse revue Forces, quiprésente le Québec sur la scène interna­tionale, propose, dans sa plus récente édi­tion (Janvier 2004), un spécial sur les uni­versités au Québec. Quelques propos durecteur Michel Ringuet sur l'UQAR fontpartie de ce dossier.

REMERCIEMENTS L'équipe des Servicesaux étudiants tient à remercier tous lesgénéreux commanditaires de l'UQARNAVAL2004 : AGEUQAR, AEEESUQAR, Coop étu­diante, Cafétéria Excelso, Service des com­munications, Services aux étudiants,Service des terrains et bâtiments, Servicedes technologies de l'information (audiovi­suel) et laCage aux sports. Merci égalementà tous les participants et collaborateurs.C'est grâce à vous si cet événement fut unsuccès. Félicitations à tous les gagnants duDéfi campagnard, du concours de laduchesse et du bonhomme et des différentstournois du mercredi après-midi. Veneznous donner vos idées et participez engrand nombre aux prochaines activités de lasession!

Galerie de l'UQAR, du 23 février au 12 mars

Réal Larouche sonde la lumièredans la nature

« Il y a de la lumière, de la vie, de la couleurdans mes tableaux, explique Réal Larouche.Jepeins ce que j'aime, soit lanature, les lacs,la mer, et aussi les animaux et les vieux bâti­ments. Et j'aime bien partager avec d'autresce que je fais. »

Il sera donc possible de contempler letra­vail artistique de Réal Larouche à la Galeriede l'UOAR, du 23 février au 12 mars, à laGalerie de l'UOAR. Originaire de Saint-Mar­cellin, M. Larouche a été cultivateur, bûcheron, briqueteur, menui­

sier et ébéniste. Il fait delapeinture à l'huile depuissept ans. « Jeune, je mesouviens que j'aimais

, beaucoup dessiner. Et j'aitoujours été inspiré par lanature, par sa luminosité.Alors, j'ai trouvé le tempsde ressortir mespinceaux. » Il a participé àune dizaine d'expositionsjusqu'à maintenant.

Bienvenue à laGalerie de l'UOAR,ouverte de 9h à 21 h tousles jours. Le vernissageaura lieu le mercredi 25février, à 17h.

Galerie de l'UQAR, du 8 au 21 février

Marcelle Parent et l'art du vitrail

Marcelle Parent expose à la Galerie del'UOAR, du 8 au 21 février 2004, sous lethème « Mon uni-verre », Originaire deSainte-Angèle-de-Mérici, cette artiste de­meure à Rimouski depuis quelques années.Diplômée en sciences infirmières de l'UOAR(1992), elle travaille au CLSC de l'Estuaire, àRimouski.

Il y a peu de peintres sur verre dans larégion. Autodidacte, Marcelle Parent fait de la

peinture sur vitrail depuis près de troisans. « C'est devenu une véritablepassion -, dit-elle. En plus de faire destableaux, elle peint également sur desmiroirs, des vases et divers objets deverre.

Amante de la nature, elle nous proposedes œuvres où les animaux, tout parti­culièrement les chevaux et les oiseaux,tiennent une place de choix. Vous y verrezaussi fleurs, anges, fées, clowns, chats,etc.

Mme Parent a déjà exposé au CaféJardin d'art de Sainte-Flavie, à l'été 2002, et au Symposium desarts de Drummondville, au printemps 2003.

Bienvenue à la Galerie de l'UOAR, ouverte de 9h à 21 h tous lesjours.

300, allée des Ursulines, Rimouski (Québec) G5L 3A 1

Envoi de postes-publication, # convention no =1630547

Rédaction : Mario Bélanger, Jacques D'Astous (Lévis)Montage : Richard FournierPhotos : Mario Bélanger, Jean-Luc Théberge, Jacques D'AstousImpression : Clermont Saint-Laurent, Gervais Caron, imprimerie

UQAR-INFO est publié aux 15 jours par le Service des communications,bureau E-215, téléphone: (418) 723-1986, poste 1426; télécopieur: (418)724-1869. Ce journal est distribué gratuitement à tous les membres de lacommunauté universitaire et aux personnes de l'extérieur qui en font lademande. Toutes les informations doivent nous parvenir au plus tard huitjours avant la parution. Les articles peuvent être reproduits avec indicationde la source. Pour l'achat d'espaces publicitaires, veuillez contacter la rédac­tion. (418) 724-1446

(418) 833-8800(418) 862-5167(418) 368-1860

Ligne info-programmes: 1-800-511-3382Courrier électronique: UOAR @UQAR.OC.CASite INTERNET: HTTP://WWW.UOAR.OC.CACampus de Rimouski:Campus de Lévis:Rivière-du-Loup :Gaspé:

Dépôt légal : Bibliothèque nationale du QuébecISSN 0711-2254