Cahier pratique * Les Trois Plumes...plumes, qui s’envolèrent exactement comme les fois...

Cahier pratique * Les Trois Plumes

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Les Trois Plumes Cahier pratique

Edition Le Royaume Amoureux

Auteure Elis’Andre

Le conte Frères Grimm



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CONSIGNES POUR PROFITER AU MIEUX DES ATELIERS

Ce cahier pratique est fait pour te préparer à l’atelier ou

à la vidéo qui suivra

Ecoute d’abord le conte en audio

Ensuite répond aux questions du cahier pratique

Et en dernier écoute le rêve éveillé plusieurs fois car

à chaque écoute tu approfondiras



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Table des matières cliquable

1) Les Trois Plumes (ou le Simplet) ................................................................................ 4 2) Se voir dans le miroir du conte .................................................................................... 8 3) Répondre aux questions suivantes : ........................................................................... 10 4) Le conte est un miroir de conscience ......................................................................... 11 5) Les clés du conte ........................................................................................................ 13

Transmettre son œuvre, succéder .............................................................................. 13 Le mode aléatoire ...................................................................................................... 14 6) Mise en œuvre du conte dans ton quotidien .............................................................. 16

7) Ecoute le rêve éveillé ................................................................................................. 17 8) Prépare tes questions si tu en as ................................................................................. 17



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LE CONTE DE GRIMM

1) Les Trois Plumes (ou le Simplet)

[ 1 ] Il était une fois un roi qui avait trois fils : deux qui étaient intelligents et

instruits, alors que le troisième ne parlait guère : il était simple d’esprit et tout

le monde l’appelait le Simplet.

[ 2 ] Le roi, en vieillissant, sentant ses forces décliner et songeant à sa mort, ne

savait pas auquel de ses trois fils il devait laisser le royaume en héritage. Il leur

dit à chacun :

[ 3 ] — Partez, et celui de vous trois qui me rapportera le plus fin tapis, ce sera

lui le roi après ma mort.

[ ] Afin d’éviter toute dispute et toute contestation entre ses fils, il les

conduisit lui-même tous les trois devant la porte du château, où il leur dit : “Je

vais souffler trois plumes en l’air, une pour chacun de vous, et dans la direction

que sa plume aura prise, chacun de vous ira.” La première plume s’envola vers

l’est , la seconde vers l’ouest, et la troisième resta entre les deux et ne vola pas

loin, retombant presque tout de suite par terre. L’un des frères partit donc à

droite, l’autre à gauche, non sans se moquer du Simplet qui devait rester où sa

plume était retombée, c’est- à-dire tout près.

Le Simplet alla s’asseoir à côté de sa plume, et il se sentait bien triste.

[ 4 ] Mais voilà tout à coup qu’il s’aperçut de l’existence d’une trappe, juste à

côté de la plume ; il leva cette trappe, découvrit un escalier et descendit les

marches sous la terre. En bas, il arriva devant une seconde porte et frappa. Il

entendit une voix à l’intérieur qui criait :

Mademoiselle la reinette,



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Petite grenouillette verte,

Fille de race grenouillère,

Grenouillante gambette,

Va vite voir qui est dehors.

La porte s’ouvrit et il vit une grosse grasse grenouille entourée de tout un

monde de petites grenouilles sautillantes. La grosse grenouille lui demanda quel

était son désir.

— J’aimerais bien le plus beau et le plus fin tapis, dit-il.

La grosse appela une petite reinette et lui dit :

Mademoiselle la reinette,

Petite grenouillette verte,

Fille de race grenouillère,

Grenouillante gambette,

Apporte-moi la grosse boîte.

La jeunette grenouille alla chercher la boîte, et la grosse mère l’ouvrit pour

remettre au Simplet le fin tapis qui s’y trou vait : mais un tapis si

merveilleusement fin qu’on n’en pouvait pas tisser un pareil en haut, dans le

monde. Il remercia la grenouille et remonta sur terre.

Les deux autres frères étaient convaincus que leur cadet, qu’ils tenaient pour un

complet idiot, ne trouverait rien de rien et ne pourrait rien apporter. “À quoi

bon nous fatiguer à chercher !” se dirent-ils ; et ils se contentèrent d’enlever à la

première bergère qu’ils rencontrèrent les tissus grossiers qu’elle avait sur le

corps pour revenir au château les apporter à leur père. Au même moment le

Simplet revenait lui aussi, apportant son superbe tapis. Le roi, en le voyant, fut

tout étonné.

— Selon la stricte justice, dit-il, le royaume devrait revenir au cadet.

[ 5 ] Mais les deux autres ne laissèrent pas de repos à leur père, lui disant qu’il

était tout à fait impossible que le Simplet, qui ne comprenait rien à rien, devînt

le roi, et qu’il fallait imposer une nouvelle condition. Ils insistèrent tellement que

le père y consentit.



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[ 6 ] — Deviendra roi celui qui me rapportera la plus belle bague, dit-il.

Ils descendit avec ses trois fils devant la porte du château, souffla les trois

plumes qui s’envolèrent comme la première fois& nbsp;: l’une vers l’est, l’autre

vers l’ouest et la troisième entre les deux, volant à peine pour aller de nouveau

tomber à côté de la trappe. Les deux aînés partirent donc à droite et à gauche,

et le Simplet alla devant lui, ouvrit la trappe et descendit vers la grosse

grenouille, lui disant cette fois qu’il avait besoin de la plus belle bague. La

grosse se fit apporter la boîte et en sortit une bague, qu’elle lui remit : une

bague étincelante de pierres rares, si belle et si finement montée qu’aucun

orfèvre sur la terre n’en pourrait travailler une pareille.

À l’idée que leur Simplet de frère eût à chercher un anneau d’or, les deux aînés

se moquèrent et se rirent, estimant une fois de plus qu’il n’était pas utile qu’ils

se fatiguassent à chercher. Ils se contentèrent d’arracher les vieux clous d’une

vieille jante de roue à une vieille charrette, et apportèrent chacun son clou au

roi, leur père. Mais le Simplet vint et lui donna la bague d’or où scintillaient les

feux des pierres précieuses, et le roi déclara cette fois encore que le royaume lui

revenait de droit.

Les deux aînés ne cessèrent de tracasser, de tourmenter leur père pour qu’il

imposât une troisième condition ; le roi finit par y consentir et promit le

royaume à celui qui reviendrait avec la femme la plus belle. Il souffla les trois

plumes, qui s’envolèrent exactement comme les fois précédentes.

[ 7 ] Le Simplet ne s’embarrassa de rien et ne fit ni une, ni deux, mais descendit

tout droit chez la grosse grenouille à laquelle il dit :

— Il faut que je revienne avec la plus belle femme au château.

— Hé, comme tu y vas ! s’exclama la grosse. La femme la plus belle ? Mais je ne

l’ai pas comme cela, sous la main& nbsp;! Attends seulement un peu : tu l’auras

tout de même !

Elle lui donna une carotte creusée, à laquelle six petites souris étaient attelées.

[ 8 ] — Qu’est-ce que je vais en faire ? demanda le Simplet tout éberlué et tout

triste.



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— Tu n’as qu’à y installer l’une de mes petites reinettes, répondit la grosse mère

grenouille.

[ 9 ] Il ne choisit pas, mais attrapa dans le cercle la première venue et la mit

dans la carotte creusée. À peine y fut-elle, qu’elle se transforma et devint une

merveilleuse demoiselle ; la carotte était un carrosse, et les six petites souris de

magnifiques chevaux. Le Simplet embrassa la belle, fouetta les chevaux et

arriva devant le roi.

Ses frères, pendant ce temps, ne s’étaient donné aucun mal, se contentant de

ramener avec eux les deux premières paysannes venues. “Elles seront toujours

plus belles que la femme qu’il pourra trouver !” se dirent-ils. Mais quand le roi

les vit, ce fut pour leur dire que le royaume reviendrait à leur cadet.

[ 10 ] Ils ne voulurent toujours rien entendre et fatiguèrent les oreilles du roi à

lui répéter : “Nous ne pouvons pas admettre que le Simplet devienne roi !” Ils

voulaient une nouvelle épreuve entre les femmes.

— Qu’elles sautent à travers le lustre suspendu au milieu de la salle, dirent-ils,

et que la préférence aille à celui qui aura amené la plus capable.

C’était un grand anneau de fer, suspendu assez haut, et ils pensaient que les

paysannes seraient assez fortes pour cet exercice, tandis que la belle demoiselle

s’y romprait les os. Le roi céda une fois de plus à leurs instances, et les deux

paysannes sautèrent, réussissant l’une et l’autre à passer dans le cercle ; mais

toutes les deux retombèrent si lourdement et si maladroitement qu’elles se

cassèrent bras et jambes, aussi gros et tout épais qu’ils fussent.

[ 11 ] Alors ce fut le tour de la belle demoiselle du Simplet, qui sauta elle aussi,

mais avec toute la grâce et la légèreté d’une biche, à travers le gros anneau de

fer. Il ne pouvait plus y avoir de résistance ni d’opposition après cela ;

[ 12 ] ... et ce fut ainsi qu’il hérita de la couronne et qu’il régna longtemps dans

sa sagesse.



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2) Se voir dans le miroir du conte

Après l’écoute et/ou la lecture du conte

Prend un cahier, de quoi répondre par écrit, ou imprime ce document et

intercale des pages blanches.

Recommandations :

1) Ne pas chercher à analyser le conte,

2) Ressentir comme le font les enfants, avec innocence et spontanéité

3) Laisser venir les résonances avec ta propre histoire, sans analyser.

Autrement dit, essaie de voir comment cette histoire est ton histoire

Prend ton temps pour en rechercher les arcanes. Demande à ton intuition.

Laisse-toi inspirer !

Le but est de mettre ton histoire ou une partie de ton histoire dans un cadre de

réussite ; de lui donner la bonne direction vers le happy end,

l’accomplissement, en la faisant passer du « névrotique » (l’ego et ses

« blessures »), à une dimension de Légende.

Un autre but est de faire surgir des mémoires oubliées qui manquent pour

remettre la dynamique à l’histoire et la réorienter vers le Grand

Accomplissement (ton histoire mythique).



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Seulement après cette première étape, tu peux approfondir.



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3) Répondre aux questions suivantes :

à quoi, à qui, les différents personnages du conte me font penser ?

A quelles relations les relations du conte me font penser ?

A quelle histoire l’histoire me fait penser ?

Qu’est-ce que tu aimes dans le conte ?

Qu’est-ce que tu n’aimes pas dans ce conte ?

La fin te convient –elle ? La changerais-tu ?

Qu’aimerais-tu changer dans l’histoire (ou pas ?)

Quel personnage trouves-tu le plus sympathique ?

Quel personnage trouves-tu le moins sympathique ?

Décris les sentiments, émotions que chacun des personnages

t’inspire, que l’histoire t’inspire.

Y a-t-il quelque chose que tu réprouves, trouves injuste, amoral,

bizarre, incomplet ?

Qu’est-ce que tu ne crois pas possible, pas plausible ?

Qu’est-ce que tu rajouterais ?



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4) Le conte est un miroir de conscience

Mise en scène des personnages

Rentre maintenant dans la peau de chaque personnage

Quel personnage joues-tu le plus souvent ?

Quel personnage vois-tu plutôt jouer à l’extérieur ?

Le père

Le Simplet

Les deux frères ainés

Le monde des grenouilles

Décris ce que chaque personnage représente dans ta vie (de personne ou de

situation)

Demande toujours à ton cœur spirituel et à ton mental inspiré car ton penser

conditionné va refuser de discerner, préférer rester dans l’ignorance.

***

Ce conte a des enseignements métaphysiques à t’apporter…. et pourrait bien

te tirer d’affaire si tu ne sais à quelle part de toi-même confier la réalisation

de tes objectifs pour un grand changement.

Il t’append que tu peux réinventer ta vie selon ton principe d’inspiration, et te

familiariser à l’idée que ton quotidien devienne la terre d’expression de ton

Grand Accomplissement Spirituel de manière simple, sereine et naturelle.

De quelle manière ?



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Ce conte t’invite à t’engager pour le miraculeux de l’intelligence et du cœur

en te rapprochant au plus près du monde de Fécondité (le monde

d’inspiration) qui va, en réponse à tes questions, t’offrir tout ce dont tu as

besoin pour ré-enchanter ta réalité et la pérenniser.



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5) Les clés du conte

Tu peux envisager de « régner » sur ton royaume, mais il faut décider qui

règnera. L’instruction, (savoir) ou l’inspiration ( la nécessité de l’évolution à

infinie) ?

Transmettre son œuvre, succéder

Le roi en toi (la fonction politique) veut la pérennité du royaume. Tu dois succéder (succès) au vieux royaume. C’est une nécessité. Ce conte présente une stratégie, qui n’a rien de conventionnelle. Le roi choisit

de s’en remettre au « hasard ». Ce choix éloigne du savoir conventionnel.

Habituellement, ce sont les aînées qui héritent automatiquement d’un

royaume, et ce ne sont jamais les « simplets » de toute façon. Donc, les

premiers arrivés et ceux qui possèdent la « science ».

Mais le roi met ses trois fils à égalité, leur donne les mêmes chances. Ce qui

l’intéresse n’est pas « ce qui se fait habituellement», la norme, les conventions,

mais de mettre à l’épreuve ses fils pour déterminer lequel des trois va

s’orienter à l’Absolu. Bien sûr, il ne le formule pas ainsi, il emploie un

stratagème, car il attend des réactions spontanées.

Pour ce faire, il s’en remet au jeté aléatoire de trois plumes. Le roi, en

demandant « le plus fin tapis, la plus belle bague, la plus belle femme » indique

que pour lui, l’aptitude à régner, la capacité à gouverner n’est pas une affaire

d’instruction, mais d’orientation à l’Absolu, et dépend d’une capacité à faire

alliance avec le monde d’inspiration et l’Absolu de la Beauté.

Les deux aînés ne sont pas du tout d’accord avec cette demande du père et ne se prennent même pas au jeu ! Le royaume leur appartient déjà de droit. C’est pour cette raison que dès la première épreuve, ils font bloc contre leur père et leur jeune frère. Tandis que les plumes des frères ainés, intelligents et instruits, prennent des

directions cardinales, celle du Simplet, leur cadet appelé ainsi parce qu’il n’est

pas instruit, retombe à ses pieds, semblant couper court à l’espoir d’aboutir.



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C’est pourtant seulement lui qui sera capable de rapporter ce que le roi

demande !

Vainqueur de la première épreuve, le Simplet aurait donc dû être désigné roi

par son père. Mais ses frères, imbus de leurs savoirs n’envisagent même pas

que le Simplet puisse tenter sa chance.

On imagine bien que jamais les ainés ne se seraient mis au niveau de ce monde

déroutant et peu reluisant de grenouilles.

Malgré son manque de moyens et son peu d’instruction, le Simplet reste

proche de son père et de sa demande. Il y adhère totalement.

Son impuissance deviendra son arme principale : l’accès à un autre monde,

une grenouillère qui s’avère être l’accès à son inspiration et répond à toutes

ses demandes. L’inspiration répond à toutes les questions. Ce n’est donc pas à

notre savoir de répondre à nos questions .

Si le roi parait écouter les demandes des ainés, ce n’est pas parce qu’il met en

doute la valeur du Simplet. Il attend seulement que ses autres fils

reconnaissent leur cadet dans sa supériorité à gouverner selon les demandes

qu’il a faites.

En effet, il y aurait risque de guerres intestines s’il ne les reconnaissaient pas, et

menace pour la pérennité du royaume.

Le roi fait donc porter au Simplet le poids des contradictions de ses deux

frères. Il provoque une tension des contraires féconde.

Le mode aléatoire

Cette histoire est ton histoire. Dois-tu faire confiance à ton cœur ou à ton

intellect pour la gestion de ton changement ?



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Ce conte enseigne que pour accéder au changement miraculeux, le désir doit

être conduit par la pensée et le jugement.

Le « roi » en nous (le jugement, la gouvernance)

doit s’orienter à la nécessité de la Fécondité, au miracle (le plus beau

tapis)

et affronter les résistances du mental conditionné (les ainés)

pour les réorienter à la fécondité (conciliation avec le cadet),

en plaçant toutes les contradictions sur le cœur

Le cœur est la part la plus intime et vulnérable, mais la seule à adhérer

totalement à l’objectif du changement.

Lequel prévaudra en toi, du Simplet ou des frères ainés ?

Entre le cœur vulnérable et l’intellect arrogant, il t’est indiqué une troisième

voie, celle de l’inspiration.

Nous apprenons ici que le mode aléatoire est le mode d’élection de ce monde

d’inspiration.

On pourrait dire : « ne méprise pas trop vite ce qui te revient ! » (la plume qui

tombe aux pieds du Simplet).

Ce que tu souhaites est déjà là ; tu n’as qu’à le saisir (le comprendre) !



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6) Mise en œuvre du conte dans ton quotidien

Pour l’exercice, je te propose un ebook pour mettre en œuvre dans ton quotidien : « La méthode des objectifs croisés » « Atteignez facilement vos objectifs avec une méthode de génie »



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7) Ecoute le rêve éveillé

8) Prépare tes questions si tu en as Tu peux me les envoyer à [email protected]



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