Bruno Groening ~ Sur Les Traces Du Guerisseur Miraculeux

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BRUNO GROENING SUR LES TRACES DU GUERISSEUR MIRACULEUX

Le phnomne Bruno Grning (1906-1959) Sur les traces du gurisseur miraculeux , film documentaire en 3 parties (chacune denv. 95 min.) Projections publiques sur la base de dons, dans de nombreux pays. En 1949 un nom fait les gros titres des journaux : Bruno Grning. Des ditions spciales lui sont consacres. La radio et les actualits parlent de lui. On tourne un film sur lui. O quil apparaisse, des centaines, des milliers des dizaines de milliers de personnes se pressent autour de lui. Ils viennent de partout dAllemagne, dAutriche, de Suisse, mais aussi de Belgique, de France et des Etats-Unis. Grning devient un vnement mondial. Mais ceux qui se pressent autour de lui ne sont ni des disciples, ni des fans, ni des groupies. Ce sont des malades. Nombreux sont ceux pour qui il reprsente lultime espoir. Frapps par la guerre, abandonns par les mdecins ils nont quun seul dsir : gurir tre librs des misres et des douleurs. Que Bruno Grning les aide. Et il aide : Il nexiste rien dincurable. Dieu est le plus grand des mdecins ! , ce sont ses paroles. Et lincomprhensible se ralise : dinnombrables malades gurissent des paralytiques marchent, des aveugles voient Le documentaire Le phnomne Bruno Grning sur les traces du gurisseur miraculeux dpeint les vnements dramatiques de lpoque dune manire objective. Documents originaux films et enregistrs, archives, interviews de plus de 50 tmoins du temps de Bruno Grning, auxquels sajoutent des scnes dispendieusement filmes. Tout cela fait de ce film un vnement fortement impressionnant. Mais ce film est plus quun documentaire tourn vers le pass. De nombreux spectateurs disent quen le regardant, ils ont soudain ressenti une force,

un picotement, un courant dans leur corps. Exprience toute nouvelle pour la plupart dentre eux. Certains rapportent mme la disparition de douleurs, de gnes et autres affections. Film documentaire sur Bruno Grning http://www.bruno-groening-film.org Cercle des Amis de Bruno Groening. L'une des plus grandes associations de gurison par voie spirituelle du monde entier : http://www.bruno-groening.org/francais

http://video.google.com/videoplay?docid=-3617676387852515716#

Approfondissement de lenseignement de Bruno Groening"Cet enseignement, mon enseignement, contient des maximes, selon lesquelles de nombreux amis vivent dj et obtiennent des succs. Par lacceptation de cet enseignement, une conversion complte eut lieu, qui mme dans de nombreux cas a amen la sant." Bruno Groening n'a jamais formul par crit son enseignement II ne voulait pas crer une philosophie ou idologie nouvelle. Ses efforts n'avaient qu'un but: aider les personnes souffrantes. II leur donna un enseignement qui ntait pas bas sur des rflexions intellectuelles ou mme scientifiques mais qui rsultait de la sensation intuitive de la lgalit spirituelle. Celui qui approfondit cet enseignement y trouvera une

complexit imprvue et reconnatra qu'il stend bien au-del de l'aspect de la gurison. II appelait les hommes croire au bien et le mettre en pratique. Le commandement chrtien de l'amour du prochain constitue le noyau de son enseignement.

La cause des maladies

Beaucoup d'hommes croient aujourd'hui que la maladie est due au hasard, qu'elle survient brusquement et atteint les gens comme si elle venait de nulle part. Bruno Groening disait au contraire ceci: "Plus l'homme s'est cart de Dieu, que ce soit consciemment ou inconsciemment, moins il y a de vie en son corps pour que ses organes ragissent son commandement. II ne pouvait plus, plein de force, vivre sa vie. Ici il sest loign de cette source de force. Pour finir, il a perdu la liaison la grande, divine source de force. II n'a plus t capable de capter en lui la force de Dieu. Et ainsi son corps devint-il une pave." Bruno Groening dcrit aussi la faon dont I'homme peut retrouver la sant: "Dieu a cr l'homme beau, bon et sain. II veut donc qu'il soit ainsi. A l'origine les hommes taient compltement relis Dieu, il n'y avait qu'amour, harmonie et sant, tout tait un. Mais quand le premier homme commena couter la voix, l'autre, la mauvaise voix, celle qui parlait de l'extrieur de cette unit, et quand il commena lui obir, alors ce lien se dchira et depuis lors Dieu se trouve ici et l'homme l. Entre Dieu et l'homme apparut un grand foss. II n'y a plus de lien. L'homme livr lui-mme, aussi croyant quil puisse tre et pouvant prier tant qu'il le souhaite, sera sur le chemin de sa vie tent par le mal qui l'entranera dans ses profondeurs. Sur le chemin de votre vie, vous tes arrivs l, en bas. Vous vivez le malheur, vous souffrez, vous avez des maux incurables. Je vous le dis: Ne descendez pas encore plus bas, je vous appelle la grande conversion. Venez vers le haut et, au-dessus du foss, je vous construirai un pont! Quittez le chemin de la souffrance pour aller sur le chemin divin! Sur ce chemin il n'y a pas de malheur, pas de douleurs, pas de choses incurables, l tout est bien. Ce chemin reconduit vers Dieu!"La grande conversion

Sans cesse Bruno Groening appelait les hommes la "grande conversion". II les invitait mettre en pratique la foi dans le bien, et abandonner les mauvaises habitudes. II exhortait en premier lieu les hommes ne pas penser la maladie. II faisait ressortir que la maladie vient du malin et qu'elle est le mal. Se proccuper d'elle signifie qu'on fraye avec le malin. Cela gne le processus de gurison et peut mme le rendre impossible. "Celui qui s'occupe de la maladie la retient et il barre la route la force divine." L'homme doit se sparer de la maladie, ne pas la considrer comme sa proprit, mais voir en elle un mal. "La maladie n'appartient pas l'homme!"

Bruno Groening proposait aux hommes de leur prendre les maladies :

"Donnez-moi vos maladies et vos soucis! Vous ne vous en sortez pas. Je les porterai pour vous. Mais donnez-les moi volontairement car je ne suis pas un voleur !" "Si vous vous dtachez de la maladie de faon ce que je puisse la prendre sur moi, cela est bien; mais si vous la retenez, alors je ne peux rien faire non plus. Le septime commandement l'interdit: tu ne dois pas voler! Si j'enlevais la maladie un homme contre sa volont, je commettrais un pch. Je n'ai pas le droit de voler! Celui qui aime sa maladie la retient. A celui qui peut l'oublier, je l'enlve. Mais il faut qu'il la lche, pas seulement en penses, mais aussi par ses actes. Il faut que vous m'coutiez! Je ne veux pas vous influencer. Si vous abandonnez la maladie, je vous enlve tous vos maux!" Limportance que Bruno Groening attachait la conversion intrieure de chacun en particulier est mise en relief par l'extrait suivant du livre de Kurt Trampler. "La grande conversion": "Au cours de conversations prives, jai aussi entendu Groening dire trs souvent quil porte la responsabilit devant Dieu de raliser la gurison par la pure force divine des personnes souffrantes qui ont, au moins, la bonne intention de vivre conformment aux lois divines, et dexclure de la gurison celles qui ne sont pas disposes renoncer au mal." Il disait: "Je pourrais galement effectuer une gurison de masse en disant : tous les malades dune ville ou dun pays sont guris! Mais, ce faisant, ny aurait-il pas plus de pertes que de gains? Parmi les malades, les mauvaises personnes seraient-elles alors disposes se convertir? Nabuseraient-elles pas nouveau de la sant retrouve? Non! Lhomme doit dabord raliser une conversion intrieure, il doit dabord tre dispos extirper le mal en lui et trouver le chemin vers Dieu. Cest alors seulement quil est digne dobtenir la gurison." Les paroles de Bruno Groening qui vont suivre rendent clairement ce propos et expliquent l'origine des maladies: "Comment est-il vraiment arriv que l'homme soit devenu malade? L'homme originel n'tait pas malade. Les hommes sont devenus mauvais, toujours pires, de gnration en gnration. La mchancet s'est rpandue de telle faon qu'il ne sera bientt plus possible de vivre. Des querelles et des disputes, mme dans les familles; plus de guerre que de paix parmi les peuples! Les soucis ont apport aux hommes les souffrances de l'me et se sont enracins si profondment que l'humanit ne pouvait que tomber malade. Les hommes se dtruisent psychiquement les uns les autres. Ils reoivent une mauvaise ducation, ils se sont loigns du naturel, beaucoup ont perdu la foi en Dieu. Celui qui s'carte de la voie divine s'carte aussi de sa sant." Si I'homme veut retrouver la sant par Bruno Groening, il doit tre prt renoncer la "mchancet". II doit tourner Ie dos au mal, la maladie; il doit s'en sparer, ne plus penser: "mon asthme, mon rhumatisme", etc. Ce n'est pas toujours facile, et cela demande une transformation intrieure. L'homme doit changer fondamentalement sa faon de penser. Il ne doit pas, comme il en a l'habitude, avoir foi en la maladie mais en la sant. Il doit croire que mme les maladies incurables peuvent gurir.

Mais que demande l Bruno Groening de la part des personnes en recherche d'aide! Un esprit logique ne s' insurge-t-il pas I'ide d'accepter pareille invitation? Comment des articulations dformes par les rhumatismes pourraient-elles redevenir saines, et des membres paralyss retrouver leur mobilit? Comment serait-il possible de donner ses maladies Bruno Groening sans que celui-ci n'effectue la moindre intervention et mme sans qu'on ne lui ait dcrit l'affection? N'est-ce pas l une offense pour tout homme un tant soit peu sens? C'est l en ralit une grande transformation que Bruno Groening attend des hommes; elle signifie qu'il faut mettre de ct toute faon de penser oriente vers la science et la raison logique, et qu'il faut accueillir en soi la foi en quelque chose de plus leve. Son enseignement est bas sur des principes en tout point diffrents des habituels raisonnements intellectuels d'aujourd'hui, issus d'un esprit matrialiste. Cest pour cela qu'il disait souvent: "On ne peut certainement pas me comprendre avec l'intellect."Le courant gurisseur

Bruno Groening se dcrivait lui-mme comme un intermdiaire d'une force spirituelle qui vient directement de Dieu et produit des gurisons. Cette force divine, il I'appelait "le courant gurisseur". Pour expliquer la nature du courant gurisseur, il avait recours une image. II comparait Dieu une centrale lectrique, et I'homme une ampoule lectrique. Comme I'ampoule ne peut remplir sa tche que si le courant lectrique de la centrale arrive jusqu' elle, ainsi l'homme ne peut vivre dans l'ordre divin que s'il est empli de la force de Dieu. Quant sa tche, Bruno la dcrivait comme tant celle d'un "transformateur" de courant. Il transforme les hautes nergies divines illimites de telle sorte que chaque homme n'en reoive que ce qu'il est capable de capter. Sa capacit de rception de la force tait illimite. C'est ainsi qu' Rosenheim par exemple, au Traberhof, il fut possible des milliers de personnes de sentir en mme temps la force curative, et des grandes gurisons de masse se produisirent. Bruno Groening expliquait qu' l'poque originelle il existait une liaison directe entre Dieu, c'est--dire la centrale nergtique, et l'homme, c'est--dire "le rcepteur". Les hommes vivaient sur terre comme des enfants de Dieu, en union complte avec leur Pre. Mais lorsqu ils sloignrent de Dieu, ils quittrent l'ordre divin et tombrent alors dans la misre et le besoin. La liaison entre Dieu et les hommes se dfit. Au fil du temps un abme de plus en plus grand se forma, et les hommes furent dans l'impossibilit de le traverser par leurs propres moyens. "Et parce que I'homme ne pouvait revenir sur le vritable chemin divin, le pont y conduisant ayant saut, et qu'il errait maintenant sans but, vivant dans la promiscuit sur un espace restreint, alors ce pont menant au vritable chemin divin, je l'ai bti, je lai reconstruit, et si vous utilisez ce pont, si vous le franchissez, vous arriverez sur le chemin, sur le chemin divin, l mme o vous obtenez alors la liaison la grande et unique uvre divine, o vous recevez le vrai, le vritable courant de vie divin, afin de pouvoir bien conduire votre vie, et tre en bonne sant." "Et celui qui franchit ce pont et emprunte le vritable chemin divin, celui-l connatra un tout autre sentiment. II sera tonn de tout ce qui se trouve sur cette voie et qu'il n'avait pu encore

reconnatre jusqu'alors. C'est cet endroit seulement que vous obtenez vraiment la jonction avec la grande oeuvre divine." Celui qui suit l'enseignement de Bruno Groening et s'ouvre la force divine sentira le courant gurisseur en son corps. Un sentiment de vie compltement neuf l'envahira: les douleurs, les soucis et les besoins vont diminuer, et la sant, l'harmonie et la joie vont prendre pied en lui. Il commence sentir que Dieu ne trne pas comme un juge impitoyable bien loin dans les cieux, mais qu'il se trouve prs des hommes et veut les aider. Le gouffre est franchi. L'homme retrouve son tat originel.La mise en rception

Mais comment l'homme peut-il capter en lui le courant gurisseur, comment peut-il s'ouvrir la force divine? Bruno Groening conseillait aux personnes en recherche d'aide de s'asseoir sans croiser les bras ni les jambes et de poser les mains sur les cuisses, paumes ouvertes vers le haut. En plus de cette position corporelle, il est important de se concentrer sur ce qui se passe dans le corps. Un tat d'esprit ouvert et confiant est une condition fondamentale. Et c'est de cette faon que l'homme peut accueillir le courant gurisseur. Bruno Groening disait : "Dieu nous donne tout le bien, mais seulement nous devons recevoir en nous tout ce qui vient de Lui, tout ce qu'il nous envoie. Alors, allez-y!" II explique de la faon suivante l'importance de la position corporelle: "Ceux qui ont encore un corps libre, mobile, souvent ils aiment tellement le crisper, cela aussi, c'est la puissance, la puissance de l'habitude. Les jambes croises, l'une sur l'autre; bien sr, de temps en temps I'homme peut paresser, laisser aller son corps, mais pas quand il veut recevoir le bien, le divin. L, il faut qu'il soit libre, les mains ouvertes, il faut qu'il s'asseye ou se tienne les mains vides!" Kurt Trampler crit dans son Iivre "La grande conversion": "II est important [...], ct de la prparation intrieure, d'avoir galement en apparence une attitude corporelle quelque peu correcte, car elle est essentielle. Il faut s'asseoir le dos dgag et ne croiser ni les jambes ni les bras. D'aprs Bruno Groening, le contact des mains entre elles court-circuite le courant de vie dans le haut du corps; de mme le contact des jambes entre elles ou leur entrecroisement amne le mme dommage dans le bas du corps. Celui qui, sur une longue priode bien entendu, commet par habitude ces erreurs peut mme s'attirer des maladies fcheuses." Bruno Groening employait l'expression "se mettre en rception" pour dire que quelqu'un captait la force de manire consciente. L'homme "se met en rception du courant gurisseur". O et quand cela s'effectue n'est pas prpondrant. Ce qui est important, c'est qu'il ait le calme en lui, se coupe de toutes les penses drangeantes et observe attentivement ce qui se passe en son corps. Bruno Groening demandait constamment ses auditeurs ce qu'ils ressentaient. "Vous n'avez qu' vous mettre en rception afin de recevoir la vraie mission divine, ou mieux, pour acqurir celle-ci. Comment faire pour acqurir cette mission, vous le constaterez vous- mmes. Mais je le rpte, vous ne pouvez l'obtenir qu' partir du moment o

vous ferez vraiment attention votre corps, partir du moment o vous ferez attention ce qui se passe en lui et moins autour de lui, seulement en lui, dans votre propre corps." Chaque homme peut faire l'exprience de sentir le courant gurisseur dans son propre corps. L'un ressent des picotements, l'autre des frissons froids ou chauds. Un troisime doit remuer les bras ou les jambes, un quatrime doit se secouer. Le courant gurisseur amne ainsi les manifestations les plus varies chez diffrentes personnes.Rgulations

Lors de la mise en rception du courant gurisseur, certaines personnes ressentent des douleurs. Bruno Groening appelait ce phnomne "rgulations". C'est un signe de la rorganisation dans le corps. Les douleurs rgulatrices ne sont pas comparables celles de la maladie. Elles sont provoques par le courant gurisseur et sont l'expression d'un nettoyage des organes malades. Kurt Trampler crit ce sujet : "La douleur rgulatrice dconcerte assez souvent ceux qui cherchent de l'aide. La douleur rgulatrice doit avoir lieu. Souvent certaines personnes ont peur, lorsque la douleur rgulatrice s'est manifeste, qu'une rechute soit survenue. Elles prenaient peur et disaient: c'est encore pire, allons chez le mdecin. Groening a dit: "Pour cette raison, je vous exhorte, lorsque la douleur rgulatrice survient, la supporter. II ne se passe rien de grave; la personne est en train de gurir." Les rgulations peuvent se manifester sous diverses formes. Les douleurs peuvent ressembler celles de la maladie, parfois mme de manire plus prononce. Mais elles peuvent galement se manifester tout autrement. C'est diffrent d'une fois I'autre, car chaque personne ragit individuellement a la force divine. La douleur rgulatrice ne peut tre pargne I'homme. C'est une partie du processus de nettoyage par lequel la salet de la maladie s'vacuera par le chemin spirituel. Bruno Groening a expliqu le phnomne de rgulations par I'exemple d'une cruche lait souille. II demanda ce qu'il y aurait lieu de faire si le lait, tourn et malodorant, devait tre remplac par du bon lait frais. La rponse est vidente : d'abord il faut jeter le lait tourn, puis la cruche doit tre nettoye. C'est symboliquement pareil chez l'homme. Si on compare le corps une cruche, la maladie au mauvais lait et la sant au bon lait, alors l'homme doit tout d'abord se sparer mentalement de la maladie, vider le mauvais lait. Ensuite le corps sera nettoy de la "salet", de la maladie : ce sont les rgulations. C'est seulement dans un rcipient nettoy que le lait frais sera vers : la sant pntre en l'homme. Par une autre image il a compare I'homme une coupe de fruits: "Prenez une coupe qui est remplie de n'importe quoi, disons de fruits qui se trouvent l depuis des jours, c'est--dire qui se trouvaient l et dont personne ne savait que faire, et ils ont pourri. Vous ne pouvez plus manger ces fruits. Et ensuite vient quelqu'un qui veut vous donner de nouveaux fruits frais; ce serait une grosse btise si lon dposait ces nouveaux fruits sur les fruits avaris, car ces bons fruits seraient vite dans le mme tat que les fruits avancs. Si vous voulez avoir le fruit sain, alors vous devez dabord liminer le mauvais, le malsain, celui quon ne plus consommer ; mais pas seulement ceci, mais aussi nettoyer la

coupe aux fruits, pour recevoir alors ceux qui sont frais. Comparez ceci, la coupe avec votre corps, et les fruits avec vos organes malades et le sain est ce que vous esprez, mais cest impossible si vous ne pouvez vous dfaire du pourri, c..d. dans ce cas, si vous vous proccupez de votre maladie."Le libre arbitre

Si des douleurs surviennent, ce nest pas toujours facile de croire aux rgulations. De nombreuses personnes perdent lassurance: "Est-ce que ce sont des 'regulations' ou des symptmes de la maladie?" Un conflit interne commence, un combat pour la foi. Il se dcide ici, si lhomme conserve la maladie, ou combien de temps va durer le processus de gurison. Tout dpend, qui il croit le plus, la pense de maladie ou la pense de gurison. Sil continue croire la maladie, alors il la conservera aussi, mais sil lutte pour croire la sant, alors le processus de gurison sinstallera. La dcision dpend de lhomme. Cest un point important de lenseignement de Bruno Groening. Il a toujours soulign que lhomme dispose dun librearbitre auquel nul ne peut toucher, le plus grand cadeau que Dieu puisse faire un tre vivant. Il lve lhomme du niveau dune crature oriente celui dun enfant libre, qui ne suit pas les commandements par obligation mais par choix. Mais il donne aussi chacun la possibilit de sopposer aux commandements de Dieu. Bruno Groening respectait hautement le libre-arbitre de lhomme. Cest pourquoi il ne peut aider que celui qui est prt se laisser aider, qui est prt se sparer de la maladie. Il ne peut enlever lhomme que ce quil lui abandonne librement. Celui qui entretient une maladie, qui y pense continuellement et en parle, attendra en vain une gurison. Ainsi Bruno Groening disait: "Je peux aider un homme trouver le chemin vers le bien, mais je ne peux pas forcer sa dcision ni l'obliger au bien. Chacun doit trouver son chemin lui-mme."Le Bien et le Mal

Si l'homme, par le libre arbitre, a la possibilit de choisir, il se pose la question :quelles sont les alternatives entre lesquelles il peut choisir? A ce sujet, Bruno Groening dit: "Ne mconnaissez pas et n'oubliez pas, chers amis, que l'homme vit entre le bien et le mal. II vit entre les deux, d'un ct le bien, d'un autre le mal, entre les deux se trouve l'homme et il dcide." L'homme a le choix. II peut faire le bien ou le mal. Si un de ses proches est dans le besoin, il peut l'aider, il peut passer ct de lui sans faire attention ou mme il peut mettre a profit le besoin de l'autre. II peut faire ce qu'il veut. Dans la vie, l'homme se trouve toujours, consciemment ou inconsciemment, devant des embranchements devant lesquels il doit choisir le bon ou le mauvais chemin. Souvent, ce sont des vnements quotidiens qui dcident du droulement de notre destin. Qu'est-ce, par exemple lorsque l'on brise de colre une amiti par une parole franche, qu'on abandonne son travail par fureur sur le patron ou que, par fiert, on refuse une occasion unique? Que de fois sont prises des dcisions spontanes qu'on regrette par la suite mais pour

lesquelles on ne peut plus faire marche arrire! Un court instant peut dcider du cours de toute une vie future vers le bien ou vers le mal. Mais comment cela arrive-t-il? Qu'est-ce qui se cache derrire les notions "Bien" et "Mal"? Toute la vie n'est-elle pas le produit d'un hasard aveugle la merci duquel se trouve I'homme, impuissant? Le bien, expliquait Bruno Groening, vient de Dieu, le mal, de son adversaire : de Satan! Celui-ci existe vraiment et il s'est donn pour tche de dtruire tout le bien, le divin. Bruno Groening disait: "Qui fait cela? Qui tente l'impossible pour dtruire le bien, le divin? D'o, vient la maladie, la maladie de tout ce qui pousse ici sur cette terre? Prenez ce que vous voulez, un fruit quelconque ou une crature quelconque, Satan essaie continuellement de tout dtruire. Aussi est-il parvenu ronger l'homme." "Le Satan qui existe sur cette terre fait tout pour dtruire le bien et le divin." "Nous trouvons Dieu l o il y a de lamour , et Satan o sont les guerres." Dans le monde spirituel, les deux ples sopposent : Dieu est la viemme, et Satan celui qui veut lanantir. Il dispose darme dtres spirituels et le combat est men avec une violence extrme. Les deux camps disposent dnergies normes. Bruno dcrivait leur tre en ces simples mots : "La force divine construit, et le mal le diabolique satanique, est destructeur." Lhomme peut capter les deux en soi et les laisser agir, aussi bien dans le corps, que au niveau de lme. Lune agit en renforant, et lautre en affaiblissant et en dtruisant. La force positive apporte la sant et la ngative la maladie. Bruno Groening disait, que la maladie vient du mal et non comme beaucoup le prtendent, serait une punition de Dieu. De telles penses, il les considre comme des mensonges et il les rejette. Dieu ne punit pas! La maladie est la consquence de penses et dactes errons. Quand la cause en est dcouverte, la consquence sen ira elle-aussi, et telle est la volont de Dieu. "Non pas comme les gens le croient, que la maladie soit une punition de Dieu. Cest comparer avec la situation du fils qui quitte la maison paternelle. Alors les parents ne peuvent plus le protger. Cest ainsi que nous aussi avons quitt notre Pre. Nous ne pouvons jamais oublier que nous ne sommes que des enfants de dieu. Il peut nous aider! Et il nous aidera, quand nous aurons retrouv le chemin qui mne vers Lui."Les penses sont des forces

Bruno Groening invitait souvent l'auditeur contrler ses penses et ne garder que les bonnes. Dieu et Satan ne sont pas seulement des sources de forces mais gaIement des sources de penses. Sans cesse, ils mettent des penses: Dieu en envoie des bonnes, Satan de mauvaises. D'aprs Bruno Groening, l'tre humain n'est pas en mesure de produire lui-mme des penses mais il possde simplement la capacit de les accepter.

"Le genre de penses que l'tre humain accepte est trs important car les penses sont des forces. Si l'tre humain veut le bien, Dieu l'aide; s'il veut le mal, alors c'est Satan qui l'aide." L'tre humain n'est pas livr passivement tout ce qui lui vient l'esprit. Il dcide lui-mme quelles penses il accepte et lesquelles il rejette. Pourtant il devrait faire son choix consciencieusement et non superficiellement. Derrire chaque pense se trouve une force: une pense positive remonte le moral, une pense ngative puise; une bonne nouvelle donne des ailes, une mauvaise dcourage. Les penses sont des forces spirituelles. Elles contiennent une puissance dont l'humanit actuelle ne se doute presque plus. Une pense d'amour peut amener l'homme donner sa vie pour un autre tre humain. Une pense de haine, par contre, peut le pousser en tuer un autre. "Gardez-vous de toute mauvaise pense!" "Vous devriez avoir pris conscience jusqu' prsent que lorsque vous n'acceptez qu'une seule mauvaise pense, vous avez toujours constat que d'autres mauvaises penses ont pntr en vous et que vous avez prononc ensuite de mauvaises paroles galement. Donc tout ce que vous assimiliez, vous deviez le rendre." "Si vous acceptez une seule mauvaise pense, vous devenez ainsi serviteur du mal, vous devenez vraiment serviteur de Satan! Tenez-le vous pour dit!" Qu'est ce que l'homme peut faire cependant contre des penses de dpression, de doute, de peur ou d'obsession, comment peut-il s'y opposer? Elles apparaissent subitement du nant, fondent sur lui et dsirent saisir son cur. Que doit-il faire? Satan cherche carter I'homme de sa bonne route par des penses ngatives - peu importe le ton ou la manire - il cherche le dtourner du chemin vers Dieu. II veut que l'homme ait peur, se fiche, doute du bien et droge aux commandements de Dieu. Afin d'y arriver, il jongle avec l'homme comme avec un ballon rempli de penses et de sentiments mauvais et, impuissant, livr sa merci. Cependant cela est tromperie et pur mensonge. Dieu a donn I'homme la capacit de dcider lui-mme de sa faon de penser, de parler et d'agir. Si jamais une mauvaise pense surgit dans son esprit, il peut la rejeter calmement mais fermement. S'il rsiste, le mal est oblig de cder et ne peut exercer son pouvoir sur lui. L'homme dcide lui-mme, par son libre arbitre, de son destin. "L'homme agit selon sa volont. Telle la volont, telle la pense. La pense pousse ltre humain agir." Bruno Groening montre par un simple exemple quelle immense importance revtent les penses. La premire impulsion pour construire une maison est la volont, c'est--dire le dsir de construire une maison. Puis la pense se concrtise de plus en plus jusqu' ce qu'un plan prcis soit tabli. Jusqu'ici l'difice n'existe que dans l'imagination du futur propritaire de la maison. La construction proprement dite reprsente seulement le dernier pas sur un long chemin prcd par de nombreuses rflexions et prparations. La mme chose se passe avec la gurison. Tout d'abord il faut qu'existe la volont de gurir, puis il faut que le mental se spare de la maladie et que la foi en la gurison soit accepte.

Seul le dernier pas sera la gurison qui prendra place dans le corps. Pourtant elle n'est pas l'oeuvre de l'tre humain mais une action de grce de Dieu. L'homme ne peut la gagner mais peut l'obtenir.L'tre humain est esprit

Bruno Groening clairait son auditoire sur la vraie nature de l'tre humain: "Qui tes-vous?" demandait-il. Personne ne savait rpondre si ce n'est dire son nom. Cependant Bruno Groening n'admettait pas cela. "Etes-vous votre corps?" continuait-il. Nous, les amis, rpondions en bgayant un OUI, tant donn que nous n'en savions pas plus! Ldessus tombait un NON catgorique, et il insistait: "Qui tes-vous vraiment?" Comme il y avait un silence de notre ct, il nous expliquait que nous ne sommes pas un corps, mais un esprit. de toute ternit. Le corps nous a t prt par Dieu seulement pour cette vie terrestre, nous l'avons reu la naissance et nous le rendrons la terre lorsque nous la quitterons. Notre me tablit la liaison entre l'esprit et le corps et emporte dans l'au-del les bonnes expriences ainsi que les mauvaises vcues ici-bas. L'me est porteuse de l'tincelle divine qui rend possible la relation Dieu ds le moment o I'homme s'ouvre la foi. Cependant lorsque l'me s'enferme dans l'incrdulit, la liaison avec Dieu reste coupe. Donc le corps n'est pas l'essentiel de l'tre humain mais seulement l'enveloppe terrestre de l'esprit et de l'me. Ainsi tout n'est pas fini avec la mort du corps comme beaucoup de gens le croient de nos jours mais la vie continue, elle n'est pas lie au corps. L'tre humain est esprit, son corps est un cadeau que Dieu lui a mis sa disposition comme instrument pour une vie terrestre. Le destin propre de l'tre humain est d'utiliser le corps pour le bien et de transposer avec son aide les bonnes penses en action. Pourtant I'homme a galement la possibilit par son libre arbitre de l'utiliser pour le mal, pour voler, pour tuer, pour dtruire. Dans les actions de I'homme on peut voir avec qui il est en liaison, au service de qui il se trouve : au service de Dieu ou au service de Satan. Cela ne signifie pas que l'homme comme tel est bon ou mauvais. "L'tre humain est et reste un tre divin, jamais il n'est satanique, l'homme n'est jamais mauvais, il peut seulement tre atteint par le mal lorsqu'il quitte Dieu, qu'il s'abandonne luimme. Le mal le saisit et il doit alors le servir. Ce n'est rien attendre de bien! Mais de la mme manire, de Dieu rien de mal!" "Si l'homme est trop faible, il est pris par le mal, il dgringole et ne peut pas prendre la vole qui mne vers le haut, puisqu'il manque de force; il cde et il tombe dans les bras du mal auquel il est alors livr. Si l une main salvatrice n'arrive pas et ne l'aide pas le tirer de l, il est perdu pour un bon moment Il sera alors oblig de servir le mal." C'est donc le devoir de chaque tre humain de maintenir son corps en ordre. Car toute pense ngative, tout mot mchant, et toute action mauvaise ont un effet nuisible sur le corps; c'est-dire si l'esprit n'est pas en rapport avec Dieu mais s'abandonne la puissance ngative, cela peut entraner une maladie du corps. Cependant si l'me s'ouvre de nouveau l'influx de la force divine et se relie avec lesprit, cela aura pour consquence la gurison du corps. C'est pourquoi l'tat d'esprit est si dcisif. Une gurison ne peut jamais tre promise. Cela dpend toujours de la manire dont l'homme

s'ouvre au bien et se pntre de l'enseignement de Bruno Groening. Un traitement du corps peut seulement combattre les effets mais ne peut pas liminer la cause. Cela seul l'homme luimme peut le faire en effectuant la "grande conversion".Dieu est le plus grand mdecin

Gurir vraiment, seul Dieu le peut, et aucun homme. Dieu est le plus grand mdecin. Pour Lui, il n'existe rien d'incurable, rien d'impossible. Bruno Groening redisait toujours: "Fais confiance et crois, elle aide, elle gurit, la force divine." La seule chose qu'il attend d'une personne cherchant de l'aide est la disposition a lui confiance et reprendre la foi en Dieu, en Sa force curative et en sa propre gurison. Si un tre humain remplit ces conditions, Bruno Groening peut aider. Mme si la foi de l individu est trop faible, il offre son aide: "Si vous n'tes pas encore capable de croire aujourd'hui, alors je veux bien le faire pour vous jusqu' ce que vous croyiez vraiment. Et si vous n'tes pas encore capable aujourdhui de demander, de prier, je veux bien le faire galement pour vous." Ainsi l'aide de Dieu peut tre dvolue par Bruno Groening tout tre humain. Tous peuvent tre aids. Tous peuvent bnficier de l'aide. Tous peuvent prouver le salut. Les tres humains doivent savoir que Dieu n'est pas un juge qui punit mais un pre aimant. Tous les tres humains sont Ses enfants, et Lui est pour eux un Ami et un Sauveur. Par Bruno Groening l'homme peut de nouveau vivre les miracles de Dieu. Des paralyss marchent, des aveugles voient et des tourments jouissent de l'existence. Dieu est pour tous le plus grand mdecin qui apporte le salut. Pour Lui rien n'est impossible. Bruno Groening disait: "II y a bien des choses qui ne s'expliquent pas, mais il n'y a rien qui ne puisse arriver." http://www.bruno-groening.org/francais/lehre/vertiefung.htm