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UWE - ELA - IFPMM

l’abcal est associée à l’union wallonne des entrepriseswww.abcal.org N°02

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BIMESTRIELEdito 2?? 3?? 5?? 8?? 9?? 10?? 10?? 10?? 11

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” Une prestationintellectuelle,comment ça semesure, commentça se paye ? ”

Négocier les prestationsintellectuelles"Une prestation intellectuelle, comment ça se mesure, comment ça se paye ? N’est-ce

pas du vide, les idées ? Souvent, qu’est-ce que de plus que des mots crachotés dans du

vent … ?

Et pourtant, la différence entre une entreprise qui se développe, qui va survivre, et l’autre

qui va mourir, ce n’est pas la force des Hommes de ventes comme je le croyais en

écrivant ce livre avec Dunod voilà dix ans, ce n’est même pas l’art d’Acheter mieux que

ses concurrents les matières et les composants, comme je l’ai cru avec Top Editions voici

cinq ans.

C’est l’art de trouver et de mettre en œuvre les meilleures idées.

Or les idées, ça s’achète. Et ça se paye. Mais il faut être un homme bien solide pour ne

pas se tromper sur la nature, les quantités, le prix des idées. C’est sous les traits de cet

homme-là – un véritable acheteur de Prestations Intellectuelles- que j’imagine mon

lecteur … "

Voici un extrait de l’avant-propos qu’adresse Xavier Leclercq à ses lecteurs dans le

dernier livre qu’il vient de publier chez Dunod.

Avec son style discret, ses phrases choc, il dédie ce livre à ses collègues consultants,

dont il loue l’astuce admirable, le dévouement et l’intelligence; il s’adresse essentiellement

aux acheteurs, ces gens de bonne compagnie qui ne sont pas des rigolos, dont il adopte

systématiquement le point de vue tout au long du livre, ce qui selon lui n’empêche pas les

vendeurs d’en tirer profit, car il sait que tout bon vendeur sait lire à l’envers.

Voilà un excellent livre qui méritait un édito et qui, comme les précédents, se lit et se

comprend vite et bien – mais avec ce livre, Xavier Leclercq prend des risques, il a

commis un ouvrage d’idées sur des idées, mais n’est-ce pas du vide au carré, les idées

sur les idées, qu’est-ce de plus que des mots griffonnés dans du vent … ? Le pari de

Xavier Leclercq est de voir le lecteur sourire à chaque page et peut-être rire à chaque

chapitre, le mien de faire rire mon ami Xavier à la lecture de cet édito.

Jean-Paul TRUM,

Président de l’Abcal.

édito

NEWSLETTER DE L’ABCAL

Direction

ABCAL asblc/o Union Wallonne des EntreprisesChemin du Stockoy, 1-31300 WAVRETél. 010/47.53.59 - Fax 010/45.51.80E-mail : abcal&skynet.bewww.abcal.org

Conseil de rédactionJean-Paul TRUMGeorges VINMarc FOURNYMarc COURTEJOIEJacques MOYSON

Coordination rédactionnelleAndré DRONEdgard AUBRY

Editeur responsableJean-Paul TRUMChemin du Gros Tienne, 361380 OHAIN

Mise en page et imprimée par MMM édition Belgium s.a.Complexe Arrobas. Parc Artisanal,11/13BE-4671 Blegny BarchonTél. 04/387 87 87 - Fax 04/387 90 97

“Le présent numéro est distribuégratuitement.Il ne peut être, en aucuncas, vendu ou loué.”

“Les textes et les photos publiés sont protégés par copyright. Leurreproduction est interdite sans l’accordpréalable de l’éditeur.”

“Les marques et les firmes citées dansles articles ou les légendes le sontuniquement pour rendre service auxlecteurs.”

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newsUWEAcheteurs et logisticiens à la une de Dynamisme Wallon. Comme annoncé dans le dernier AbcalNews, le ‘Dynamisme Wallon’ du mois de mars, a consacré son dossier central au thème de laJournée des Cadres d’Achats et de Logistique du 8 mars dernier - Achat et logistique : to be ‘e’ ornot to be ‘e’ ? Ce dossier peut être consulté en ligne sur www.uwe.be

2002 : quelle année Internet ?Synthèse d’un article paru dans les revues " Le Marché " et " La Chronique "Tendance n° 1 : L’internet au cœur des entreprises. Tendance n° 2 : Le commerce électronique aencore un bel avenir ! Tendance n° 3 : Ne plus croire les gourous ! Tendance n° 4 : Se lancer surle web :risqué aujourd’hui ! Tendance n° 5 : Le tout mobile très bientôt. Tendance n° 6 : Voir ce quise passe ailleurs. Tendance n° 7 : Apprendre à distance. Tendance n° 8 : Anticiper la reprise.

Les technologies de l’information et des communications sont crucialespour la logistique des entreprisesLes technologies de l’information et des télécommunications (TIC) révolutionnent les rapports inter-entreprises (B2B). Quoique moins apparent dans les rapports entreprises-consommateurs (B2C),leur impact sur les entreprises est considérable. C’est ce que conclut une enquête publiéeaujourd’hui par la Commission européenne sur les répercussions des TIC sur la logistique desentreprises en Europe.

Maximiser les bénéfices pour les entreprises européennesUne communication relative à l’impact de l’économie électronique sur les entreprises européennes aété présentée par la Commission européenne au Conseil des ministres de l’Industrie de l’UE du5 décembre. La communication préconise d’intégrer systématiquement "l’e-dimension" dans lespolitiques touchant les entreprises. Elle propose également de mettre au point un agenda politiqueen 2002 pour permettre aux entreprises européennes de tirer le meilleur parti de "l’e-économie".

Enfin un rédac-chef pour l’Abcal NewsLe Comité Exécutif de l’Abcal a enfin trouvé un candidat pour cette importante fonction : Daniel Herbecq, ‘the right man in the right place’. Il a passé toute sa carrière au Département des Achats de la Cibe au sein duquel il dirigeait lesservices des Achats Généraux.De formation littéraire, il a toutes les qualités pour nous confectionner un Abcal News digne desmeilleures revues professionnelles, il connaît l’Abcal et l’Esa à la perfection pour avoir collaboré àl’une et à l’autre pendant plus de vingt années; il participait notamment à la rédaction du Bulletin del’Abcal et était responsable du ‘Coin de l’Abcal’ dans la revue ‘Le Marché’.Ayant pris sa pension à l’âge de 58 ans, il a accepté d’offrir quelques heures de son temps à l’Abcal. Le Comité Exécutif tient à l’en remercier de tout cœur.Si vous avez des messages, des idées à faire passer dans l’Abcal News, n’hésitez pas à le contacter.E mail : daniel.herbecq@belgacom.netOu via notre secrétaire Miléna Xavier : Tél : 010/47.53.59 - Fax : 010/45.51.80

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Association

Meilleures pratiques de l'Abcal sur le transportUne assemblée particulièrement nombreuse avait fait le déplacement ce 28/02 pourparticiper à la rencontre "Meilleures pratiques" de l'Abcal concernant le transport.Comme d'habitude depuis que l'Abcal, Pics et l'Otm ont décidé d'ouvrir leurs portes àleurs membres respectifs, de nombreux membres de ces dernières organisationsétaient présents, ce qui de l'avis de tous enrichit fortement les échanges.

Jean-Marie Sohier a lancé les débats en évoquant les meilleures pratiques actuelles en

matière de valeur ajoutée, de coûts de base et de facteurs de coûts. Il a ensuite évoqué les

principaux récents développements comme l'impact de la logistique collaborative, les réseaux

multi-latéraux, les nouveaux impératifs en matière d'échange de données, les différents

impacts du "e-" dans le transport, notamment dans les e-marketplaces, et les livraisons à

domicile. Il a enfin analysé les nouveaux risques rencontrés en transport, principalement en

matière de fluctuation des carburants et de réduction de mobilité. Comme exemple des

nouveaux outils à la disposition des entreprises, J.M.Sohier a mentionné l'existence de

nouvelles applications d'échanges de données de et vers des véhicules sur base d'un

browser standard du côté fixe, et d'un simple GSM Wap du côté mobile (et non pas fixe).

L'échange d'ordres et d'informations de tracking, et la gestion de transport par le chargeur

n'ont jamais été aussi ouverts et accessibles.

L'émergence du 4PL

Au cours des échanges qui ont suivi, on a d'abord remarqué un intérêt particulier pour

l'émergence du 4PL ou fourth party logistics, système dans lequel un prestataire ne prend

pas en charge les prestations logistiques elles-mêmes, mais seulement leur organisation. Ce

que font depuis longtemps, mais à un niveau moins intime et moins sophistiqué peut-être, de

nombreux expéditeurs.

Il a été intéressant de constater ensuite combien de participants remettaient en question le

bien-fondé du "one-stop-shopping", qui n'a pas toujours apporté les réductions de coûts

promises ni les performances attendues.

Jean-Marie Sohier, qui prône cette remise en question depuis longtemps, expliqua que le

one-stop shopping logistique avait été grandement favorisé par l'absence de standards en

EDI, et la maigre offre en logiciels de gestion de transport pour chargeurs. Les récents

développements dans ces deux domaines ont évidemment changé la donne et ont tendance

à déplacer l'optimum vers un panier de fournisseurs un peu plus fourni. L'optimum n'est

jamais dans le tout ou rien, le un ou l'infini.

Jean-Marie Sohier,

Administrateur, Abcal.

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To be “e” or not to be “e”

That is the questionfor buyers and thelogisticiansTel était le thème de la journée des cadres d’achat et de logistique qui a rassemblé plusde 220 participants le vendredi 8 mars dernier au Palais des Expositions de Namur.

Voici quelques extraits significatifs des différents exposés au cours desquels tous lesconférenciers ont mis en évidence le rôle de plus en plus important des acheteurs et deslogisticiens dans l’ "e-business".

Selon Bernard Garcia, Directeur de l’EIPM, les impacts du “e” sont visibles à différentsniveaux

- au niveau du "sourcing", le "e" donne un accès à des nouvelles sources d’informations ainsiqu’à de nouveaux fournisseurs.

- au niveau du benchmark, le "e" facilite le benchmark de fournisseurs.- au niveau de l’amont, le "e" favorise le “Collaborative Commerce”- au niveau de l’aval, le "e" facilite la consolidation des besoins, les transactions et

l’externalisation via catalogue.- au niveau du process, le "e" oblige à une structuration du processus achat par le recours à

la codification et à la normalisation, il permet d’éviter les “achats sauvages” et crée unnouveau comportement achat (par exemple dans le cadre des enchères inversées)

- au niveau des risques, le "e" pourrait conduire à une banalisation et à une simplification dumétier de l’Acheteur par un recours abusif aux enchères qui pourrait en donner unemauvaise image.

Bernard Garcia a conclu son intervention en insistant sur le fait que les futurs achats,quoique de plus en plus virtuels, auront encore besoin de ressources humaines avec descompétences adaptées pour gérer l’information et prendre des décisions et en constatantqu’aujourd’hui les NTI peuvent uniquement être un support au process achat mais nepeuvent pas encore remplacer l’expertise achat.

Etienne Patte, Associate Directror Purchasing pour l’activité vaccins chez Glaxo SmithklineBiologicals, a présenté l’expérience d’implémentation d’un système ERP, SAP enl’occurrence, et une approche par rapport aux nouvelles technologies. Après avoir présenté les bases de données existant sur l’Intranet GSK, quelques expériencesd’enchères inversées et les avantages générés pour les achats par l’implémentation deSAP/R/3, il tira quelques tendances découlant de l’application des nouvelles technologies auxachats.Etienne Patte termina son exposé en citant le CEO de GSB "If you are not adding value, youare adding cost".

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Freddy Wansart Administrateur-délégué dela S.A. Devos François et de la S.A. "Buy onNet" présenta plus de 10 annéesd’expérience en commerce électroniqued’une PME de distribution de matériel,produits et consommables pour laboratoires.

Après avoir posé et analysé le problème, ilexpliqua la décision stratégique et décrivit lasolution mise en place ; après avoir donnésa vision actuelle, Freddy Wansart clôturason exposé par les 6 constats suivants :

- e-procurement encore trop peu développé- trop de retards importants dans beaucoup

de projets- manque de consultants expérimentés- beaucoup de projets, peu de production- pas encore de grands succès confirmés- investissements en cours très importants

Michèle Detaille, Administrateur de "No-NailBoxes", traita avec humour de l’influencedes nouvelles technologies de

communication sur la vie tranquille d’un petitproducteur luxembourgeois d’emballageindustriel; toute la démarche suivie estbasée sur une méthode trop peu connue, la"GBS" (Gros Bon Sens…) qui consiste àdéfinir les besoins, recenser les + et les -,déterminer les moyens, sélectionner lesfournisseurs, installer les logiciels, suivrel’utilisation, se tenir au courant desévolutions et recommencer la démarche.

Conclusions de Michèle Detaille :"Les ordinateurs ne changent ni leshommes, ni les femmes… le bricoleur restera bricoleurle paresseux restera paresseux …Les ordinateurs ne changent ni les hommes,ni les femmes ni les entreprises."

Il revint à Jacques Wieczorek, Director ofConsulting and System Integration chezATOS ORIGIN, de présenter un état deslieux; observateur bien informé, il dressa untableau allant de l’avènement des ERP aux

activités post ERP, dénommées "extendedERP", la gestion électronique de documentspermettant une gestion active et intégréedes documents et des dessins techniques etle "data warehousing" offrant la possibilitéaux entreprises de comparer indicateurs –performances, budgets et réalités.Selon Jacques Wieczorek, la constanterenouvelée est et restera l’intégration desapplications.

Quand à Jean-Pierre Baudoin, Directeur"d’Application Integration Services" dans ladivision Corparate Data Solutions chezBelgacom, il tenta d’apporter une réponse àla question cruciale : "Comment optimiser etsécuriser ses transactions en B2B ?"

Selon lui, le content management et le e-hubse présentent de plus en plus comme deuxéléments clés pour garder l’efficacité de l’e-business et l’optimalisation descommunications entre partenaires B2B; enoutre, une architecture cadre sécurisée

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couplée à un système de certificats digitauxse révèle indispensable afin d’assurer lafiabilité du business.

Jacques Bérard, Directeur AdministratifWatco Procurement System et Coordinateurdes achats du groupe SITA au niveaueuropéen, apporta le témoignage du groupeSuez; il rappela avec conviction que, si bienacheter reste du bon sens, il n’en demeurepas moins que les techniques ont évolué etque la formation des acteurs de ceschangements devient un prérequis. Former,former et encore former est le seul secretpour toujours pouvoir disposer desmeilleures compétences et avoir une avancesur les concurrents et sur les marchés.

Il revint à Robert Nondonfaz de présenterles rapports entre l’e-business et lalogistique. Comme chargé de cours à HEC-Liège et à l’Institut Gramme, il se devait derappeler de façon très didactique quelquesdéfinitions essentielles ; de par ses

fonctions d’expert en organisation des fluxlogistiques, il était à même de développerl’approche "logistique et B 2 B", les aspectshumains et surtout les retours d’expériences.

Quant au futur qui représente sesconclusions, Robert Nondonfaz, le voit enquatre points :

• L’e-Business répond au besoin actueld’information des entreprises

• L’e-Business est une occasion pourl’entreprise de réfléchir sur son métier debase

• L’e-Business est une occasion d’évaluerce que l’entreprise fait mieux que sesconcurrents

• L’e-Business est une occasion, soitd’améliorer, soit de sous-traiter ce quel’entreprise fait moins bien.

Il revint à Pierre Cuisinier, Administrateur-délégué de Caterpillar Belgique, de conclurecette journée très riche par un brillant

exposé sur le thème

"Les achats… une question de principes…" de 10 principes à l’image des10 commandements de la Bible.1. Les achats, facteur de succès critique.2. Soyons les premiers.3. Achetons tout.4. Les coûts… pas les prix .5. La Belgique, un avantage.6. Des achats stratégiques.7. La segmentation.8. Les hommes.9. Prenons du plaisir.10. Des relations de qualité.

Tout un programme qui sera développé etexplicité dans le prochain Abcal News.

Jean-Paul TRUMPrésident de l’ABCAL

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De nombreux Directeurs d’achats qui,dernièrement, prônaient les bienfaits del’externalisation, sont maintenant plusnuancés : externaliser, oui, mais pasn’importe quoi, ni n’importe comment. Lanotion de responsabilité est beaucoup plusforte que dans la sous-traitance, mais endonnant plus de responsabilité, cela entraîneplus de liberté d’initiative, d’indépendanceau fournisseur. Comment ne pas perdre : - la connaissance du processus avec ses

différentes composantes permettant del’améliorer,

- la maîtrise des interfaces avec les autresmétiers de l’entreprise,

La question fondamentale :Comment faire faire, tout en conservant lesavoir faire ? Cela signifie que l’entreprise

‘donneur d’ordres’ doit être le moteur dudynamisme de sa relation avec sonfournisseur en contrôlant les initiatives et lesinnovations. Elle doit également intégrertous les aspects immatériels de cetteexternalisation, n’entrant plus en comptedans les bilans d’entreprise.Pour maîtriser l’ensemble de ces données,les services achats, doivent être composésd’acheteurs expérimentés dans lesdomaines commerciaux, financiers,techniques, juridiques et maintenant, dansl’application des nouvelles technologies decommunication (internet et/ou intranet).L’acheteur réunissant toutes cescompétences est exceptionnel, mais toutacheteur doit en posséder au moins deux.Ce qui signifie que le service achats doit

être composé d’acheteurs de profilsdifférents mais complémentaires. Sonorganisation doit lui permettre de s’adapteraux exigences des projets et actions àréaliser et cette structure à ‘géométrievariable’ assure l’adéquation entre lescritères de performances et la réactiviténécessaire face aux évolutions desmarchés.Les achats, ainsi organisés et encoordination suivie avec les autres services,peuvent choisir des externalisationsmesurées et cohérentes en conservant levrai cœur et en préservant l’âme del’entreprise.René BEAUSSIER Vice-Président Région Ile-de-France

Source : la lettre de la CDAF Ile-de-France

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Les entreprises, à force de trop se recentrer depuis plusieurs années sur le cœur deleur métier, ne vont-elles pas perdre leur âme ?

Achat

L’externalisation : une stratégie à utiliser avec discernement.

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Lecture

Négocier les prestations intellectuellesAuteur : Xavier Leclercq.Editeur : DUNOD.

Qu’y a-t-il de commun entre la formation, le consulting, le recrutement, les travaux de bureaux d’études, les développements informatiques,l’achat de relations presse et autres services d’agence de communication ?Ce sont des prestations intellectuelles, auxquelles les entreprises recourent abondamment.Par rapport aux achats de produits ou de services (type assurances) quelles sont les spécificités de ces achats ? Quels sont les réflexes à avoirau moment de les acquérir ?Cet ouvrage est le petit manuel de tout acheteur de prestations intellectuelles, qu’il soit professionnel ou occasionnel (le plus souvent).Pratique et précis, ce livre propose des méthodes et des réponses concrètes pour acheter des idées, préciser la nature du besoin, le ciblage de laressource, la qualité attendue de la prestation, évaluer son prix et assurer le suivi de sa mise en œuvre. Il montre comment optimiser, en matièrede prestations intellectuelles, la gestion de la relation " Utilisateur-Prescripteur-Acheteur ".

Sommaire :■ Première partie :

Les Prestations Intellectuelles• Négociateur de Prestations Intellectuelles ?• Quelques familles d’achats de Prestations Intellectuelles• Définition des Prestations Intellectuelles• Cahier des charges et relations Demandeur-Acheteur• Environnement juridique des achats de Prestations Intellectuelles• Données marketing relatives à l’achat de Prestations

Intellectuelles• Données économiques et prix – valorisation de la prestation –

chiffrage de son suivi■ Deuxième partie :

Optimiser vos achats de Prestations Intellectuelles• Politiques d’achats de Prestations Intellectuelles• Organisation des achats de Prestations Intellectuelles – Installer la

fonction• Profils d’acheteurs de Prestations Intellectuelles■ Annexes :

Efficacité des actions de formation■ Glossaire

L’auteur :Xavier Leclercq, bien connu des membres de l’Abcal, entraîne leséquipes d’acheteurs des entreprises européennes dans l’art de négocierproduits, services et talents.Depuis son cabinet de Bruxelles, il a rassemblé une expérienceconsidérable dont ce livre est le fruit.Ingénieur et juriste de formation, Xavier Leclercq est également professeurvisitant à l’ESSEC et au 3ème cycle du MAI de Bordeaux.

DUNOD – http://www.dunod.com

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Lecture

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QualiGuide 2002 WallonieVoici la deuxième édition du guide du management de la qualitéréalisé sous l’égide du Mouvement Wallon pour la Qualité dont lePrésident est Monsieur J. Lecomte.

Préfacé par le Ministre-Président du Gouvernement Wallon, MonsieurJean-Claude Van Cauwenberghe sous le thème " La Qualité nes’improvise pas, elle se construit chaque jour ", ce QualiGuideconstitue une mine d’informations et de renseignements très utiles àtous les acteurs des entreprises ;

Que peut-on y trouver ?Le sommaire reproduit ci-après nous en donne un excellent aperçuChapitre 1 : Introduction à la qualité

Un peu d’histoireLa qualité en 10 conceptsLa qualité produit et la qualité système

Chapitre 2 : Gestion de la QualitéLes normes ISO 9000 – version 2000Les quatre blocs à la loupeUne approche processus pour une orientation clientLe couple cohérent 9001 – 9004

Chapitre 3 : Qualité totaleLe management par la qualité totaleLe modèle EFQMLa vision européenne de la qualitéLes organisations européennes de la qualité

Chapitre 4 : Environnement, sécurité et éthiqueManagement de l’environnementLe management de la sécuritéQualité et éthique socialeLa comptabilité qualité, sécurité et environnement

Chapitre 5 : Accréditation des laboratoiresLa norme ISO 17025Différence entre certification et accréditation

Chapitre 6 : FocusQualité et santéQualité et administration publiques

Chapitre 7 : Qualité en pratiqueLa fonction qualité dans l’organisation et son importanceLa formation du qualiticien

Comment obtenir cette publication non seulement très intéressantemais en outre gratuite ?

A commander :Par E-mail à l’adresse : Publications@mrw.Wallonie.bePar tél. au numéro vert 0800-11901Par écrit MRW – Cellule Librairie, Place de la Wallonie 1 Bat - 5100 Jambes

3ème édition du guide WEB de l’UWEDepuis la dernière parution du Guide Web de l’Entrepreneur wallon enjanvier 2001, beaucoup de nouveaux sites ont été mis en ligne, et denombreux sites ont subi de grands remodelages. D’où l’intérêt d’unenouvelle édition "papier" (le guide possédant un double en ligne misconstamment à jour sur www.uwe.be, rubrique "guide web"). Quelssont les changements par rapport à l’édition précédente ?

Une diffusion élargie : le Guide est désormais disponiblegratuitement non seulement auprès de l’UWE, mais aussi dans tousles points de contact de la Région wallonne (les 10 centresd’informations et d’accueil, la Librairie à Jambes et lkes 5 Mobilinfos).

De nouvelles rubriques : certaines rubriques (L’Euro) n’étant pluspertinentes, d’autres ont pu faire leur apparition. Les jeunes,notamment, trouveront de l’information sur le monde de l’entreprise,les métiers, l’orientation scolaire dans la rubrique "Espritd’Entreprendre".

Une nouvelle présentation : plus attrayant grâce à la quadrichromie,le Guide comprend un index et un sommaire très fournis permettant detrouver facilement ce que l’on cherche.

Le Guide Web (32 pages) est disponible gratuitement : - Auprès de l’UWE : 010/47.19.40. ou via le formulaire de commande

en ligne, disponible sur www.uwe.be, rubrique "UWE – Nos études".- Auprès de la Région wallonne : numéro vert 0800/1 1901

Contacts UWE : Madelaine DEMBOUR (madelaine.dembour@uwe.be)et Thierry DECLOUX ( thierry.decloux@uwe.be), tél. 010/47.19.42

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AVRIL 2002

WAVRE25 avril de 17 à 19 heuresMeilleures pratiques en entreposage.ABCAL

BRUXELLES25, 26 et 27 avrilDSLO-Module 3-Mécanismesd’intégration de la chaîne logistique.ICHEC-Entreprises

MAI 2002

WAVRE14 mai de 17 à 19 heuresL’acheteur et l’office managementABCAL

BRUXELLES23, 24 et 25 maiDSLO-Module 4-Relations avec lesmarchés fournisseursICHEC-Entreprises

BRUXELLES28 et 29 maiSéminaire sur la gestion des stocksdans le cadre de la gestion desapprovisionnements.ICHEC-Entreprises

BRUXELLES28 et 30 novembre – 3 décembre“Etre un bon acheteur, cela s’apprend”Ichec – Entreprises

JUIN 2002

BRUXELLES3, 10 et 17 juin Séminaire sur la Pratique denégociation d’achatICHEC-Entreprises

JUMET7 juin de 12 à 17 heuresVisite du Centre Logistique deSystemat à JumetConférence de Jean-Claude LOGE,Administrateur-Délégué de SYSTEMATABCAL

BRUXELLES20, 21 et 22 juinDSLO-Module 5-Informatique etlogistiqueICHEC-Entreprises

SARREBRUCK12 et 13 juinForum : Logistics & ITBVL – ELA – ABCAL – ASLOG

AOUT 2002

SALZBOURG7 au 12 août8ème Université d’Eté sur les dernièresrecherches en AchatIFPMM-ABCAL

NOVEMBRE 2002

LIEGE27, 28 et 29 novembreForum E-Translogistics 2002Pôle Transport de Liège

Toutes les offres mentionnées ci-dessous sont détaillées sur notre site internetwww.abcal.org

Bourse de l’emploi

Responsable achat technique 00095-O-0473Responsable des Achats 00092-O-0134Operation Manager 00091-O-0473

Nous rappelons également à nos Membres qu'ils peuvent :- nous transmettre leurs offres (par courrier, fax ou mail) à faire paraître gratuitement sur notre site, - nous transmettre leur CV s'ils souhaitent réorienter leur carrière.

Secrétariat Abcal-EsàTél.: 010/47.53.59Fax.: 010/45.51.80E-mail: abcal@skynet.be

Secrétariat Ichec-EntreprisesTél.: 02/739.37.49Fax.: 02/739.38.49E-mail: echec.ie@euronet.be

Secrétariat BVLTél.: 0049/421.17.38.40Fax.: 0049/421.16.78.00E-mail: bvl@bvl.de

Secrétariat E-TranslogisticsAlain Gallez-Secrétaire Général duForum EventisTél.: 04/254.97.81Fax.: 04/254.97.89E-mail: alain.gallez@eventis.com

POUR INFO

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