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cahier de prospective bancaire & financière BANQUE STRATÉGIE n° 324 Avril 2014 ISSN 0762-4077 Mensuel - 70 euros revue-banque.fr 3 DOSSIER Évaluation complète des banques Un bilan de santé éprouvant Bilan de santé du système bancaire européen, le Comprehensive Assessment (ou Évaluation complète) mobilise les banques pendant presque un an avec une évaluation prudentielle des risques, puis une Asset Quality Review (AQR) qui se déroule en ce moment, avant de conclure sur un stress-test. Ce véritable marathon annoncé comme un examen impitoyable a incité les banques à nettoyer leur bilan. Ainsi, les besoins en fonds propres identifiés par la BCE à la suite du test pourraient être peu élevés. Les marchés en concluront-ils que le test a été indulgent ? 4 Sommaire VEILLE STRATÉGIQUE 27 Transactions Multiplication des cessions de créances par les banques européennes Julien Denis et Ricardo Pires, EY En partenariat avec

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cahier de prospective bancaire & financière

BANQUE STRATÉGIEn° 324

Avril 2014

ISSN 0762-4077Mensuel - 70 eurosrevue-banque.fr

3 DOSSIER

Évaluation complète des banques Unbilandesantééprouvant Bilan de santé du système bancaire européen, le Comprehensive Assessment

(ou Évaluation complète) mobilise les banques pendant presque un an avec une évaluation prudentielle des risques, puis une Asset Quality Review (AQR) qui se déroule en ce moment, avant de conclure sur un stress-test. Ce véritable marathon annoncé comme un examen impitoyable a incité les banques à nettoyer leur bilan. Ainsi, les besoins en fonds propres identifiés par la BCE à la suite du test pourraient être peu élevés. Les marchés en concluront-ils que le test a été indulgent ?

4 Sommaire

VEILLE STRATÉGIQUE

27 Transactions Multiplication des cessions de créances par les banques européennes Julien Denis et Ricardo Pires, EY

Enpartenariatavec

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SÉMINAIRESAtelier

BIG DATA QUELS SONT LES VRAIS ENJEUX ?

Lieu Auditorium de la FBF18, rue La fayette 75009 Paris

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ContactMagali MarchalTél.: 01 48 00 54 [email protected]

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Mardi3 juin2014

9h00 - 12h00

DIF

In

scription sur

revue-banque.fr

8h30 Accueil des participants et petit-déjeuner

9h00 Introduction et animation de la séance Alain BERRY, directeur marketing et communication, direction des grands clients France,

secteur banque & assurance, Orange Business Services

Points d’attention sur la réglementation européenne des données personnelles

• Jusqu’où faut-il aller pour protéger les données personnelles ? • Comment maîtriser une quantité de données hétérogènes ? • Comment assurer la confi dentialité des données recueillies ? Sophie NERBONNE, directrice adjointe, direction des a¦ aires juridiques,

internationales et de l’expertise, CNIL

Vision nationale et européenne de l’Open Data • Quelle exploitation de ces données croisées ? Patrick LAUNAY, responsable projet de recherche, Orange Labs

Big Data : quel rôle dans l’économie et la société numérique ? Valérie PEUGEOT, prospectiviste, Orange Labs

Pause

Quelle organisation « Informatique et Libertés » mettre en place au sein des groupes français d’envergure internationale ?

Paul-Olivier GIBERT, président, AFCDP

Les impacts majeurs du Big Data pour les établissements • Maîtriser la qualité des données (exhaustivité, exactitude, pertinence et traçabilité) • La complexifi cation de l’architecture du système d’information et les risques associés • Comment les établissements s’organisent-ils ? • Quels usages du Big Data pourraient révolutionner l’industrie bancaire et fi nancière ? Olivier CHAPRON, responsable de la sécurité des systèmes d’information et IT risk manager, Société Générale Arnaud BLANC, juriste spécialisé en protection des données, Société Générale Philippe SALAÜN, CIL et responsable de la gestion de crise, CNP Assurances

12h00 Clôture de la séance

En partenariat avec

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Banque & Stratégie n° 324 avril 2014 3

ÉVALUATION COMPLÈTE DES BANQUES Un bilan de santé éprouvant

« Il faut donner au marché les victimes sacrificielles qu’il attend », estime Jérôme Legras, directeur de la recherche d’Axiom AI, investisseur en obligations bancaires ; charge au Comprehensive Assessment (Évaluation complète des grandes banques de la zone euro) d’identifier les établissements qui méritent d’être montrés du doigt. C’est le prix à payer pour restaurer la confiance dans le système bancaire de la zone euro.Pour réaliser un bilan de santé fiable des établissements, la BCE a conçu un examen d’une ampleur inégalée. Le directeur délégué des risques du Groupe Société Générale, Arnaud Jacquemin, récapitule : « La première partie (évaluation prudentielle des risques) s’est déroulée sur le dernier trimestre 2013. L’AQR, qui a commencé en février, va se poursuivre jusqu’en juin environ. La dernière phase, les stress-tests conduits par l’EBA, prendra place à partir de la fin du printemps et se terminera à la rentrée. Les derniers développements du Comprehensive Assessment interviendront probablement jusqu’en septembre ou octobre. L’exercice s’étale donc sur presque un an » (voir son interview, p. 8).Outre sa durée, l’examen est également très minutieux, voire trop. Robert Ophèle, second sous-gouverneur de la Banque de France admet que « passer en revue plus de 50 % des RWA des banques, c’est en effet

probablement un peu excessif, mais il faut l’assumer ». Il souligne également dans son interview (p. 6) que le Comprehensive Assessment va plus loin que l’examen mené en 2008 par les États-Unis, qui sert souvent de référence.À l’approche de l’exercice initié par la BCE, de nombreuses banques ont ajusté leur bilan (augmentation de la couverture des crédits douteux, renforcement du capital…). Ainsi, à l’issue de l’exercice, le nombre de banques identifiées comme fragiles par la BCE pourrait être peu élevé (voir l’article de Cyril Meilland, analyste bancaire chez Kepler Cheuvreux, p. 10). Le marché jugera-t-il alors que le Comprehensive Assessment a été indulgent ? Pour le moment, la crédibilité de l’exercice n’est guère remise en cause par les investisseurs.Reste à savoir comment seront traités les besoins de capital identifiés par la BCE. Selon Patrick Artus et Alan Lemangnen (Natixis), les États dans lesquels les banques concernées seront situées pourraient être mis à contribution (voir leur article, p. 17). Le lien banque-État va ainsi être resserré et la fragmentation[1] accentuée, conséquence pour le moins paradoxale de cet exercice qui constitue le prélude à la supervision unique, destinée notamment à briser le lien entre les banques et les États.[1] Fragmentation de la zone euro en plusieurs marchés nationaux.

Dossier

Dossier réalisé par Sophie Gauvent

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4 Banque & Stratégie n° 324 avril 2014

Sommaire ÉVALUATION COMPLÈTE DES BANQUES Un bilan de santé éprouvant

6 Banque de France « Le Comprehensive Assessment marque le retour de la supervision » Robert OPHÈLE, Banque de France

8 Banque « Pour être prêts dans les délais, nous avons dû anticiper les demandes » Arnaud JACQUEMIN, Groupe Société Générale

10 Transformation En route vers l’Union bancaire, les banques accélèrent leur mue Cyril MEILLAND, Kepler Cheuvreux

14 Investisseur Des stress-tests enfin crédibles ? Jérôme LEGRAS, Axiom AI

17 Économie Évaluation des bilans bancaires : comment seront traités les besoins en capital ? Patrick ARTUS et Alan LEMANGNEN, Natixis

19 Comptabilité Une méthodologie BCE spécifique pour la revue des bilans bancaires Marie-Christine FERRON-JOLYS et Fabrice ODENT, KPMG

22 Systèmes d’information La qualité des données comme vecteur de compétitivité Stefan DE LOMBAERT, SAS Risk Center of Excellence, EMEA, Asie-Pacifique

24 Calendrier Les trois phases de l’Évaluation globale Stefan DE LOMBAERT, SAS Risk Center of Excellence, EMEA, Asie-Pacifique

18, rue La Fayette 75009 ParisFax : 01 48 24 12 97

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Directeur de la publication : Valérie OhannessianSecrétaire général : Pierre CoustolsRédacteur en chef : Élisabeth Coulomb

Rédacteurs : Sophie Gauvent (54 02) ; Séverine Leboucher (54 15) ; Annick Masounave (54 14) ; Samorya Wilson (54 14)Secrétariat de rédaction : 1er SR, Alain de Seze (54 17) ; Christine Hauvette (54 10).Maquette : 1er maquettiste, Emmanuel Gonzalez (54 12) ; Alexandra Démétriadis (54 18)Directrice marketing et commercial : Valérie Dumas-Paoli (54 19)Publicité : Isabelle Conroux (54 20)Conception graphique : Rampazzo & AssociésPour nous contacter, devant chaque numéro, ajouter l’indicatif 01 48 00.

SERVICE ABONNEMENTS : REVUE BANQUE – Gladys Hypolite, 18 rue La Fayette 75009 Paris

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ISSN 0762-4077/CPPAP 0616 I 84975 - Imprimé à Pulnoy (54) par SPEI - Dépôt légal 2e trimestre 2014.

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SÉMINAIRESAtelier

STRESS-TESTSLES NOUVELLES RÈGLES DE L’EBA

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Mardi26juin

20149h00 - 12h00

DIF

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8h30 Accueil des participants et petit-déjeuner

9h00 Introductionetanimationdelaséance Stefan DE LOMBAERT, Senior Director, SAS Centre of Excellence Risk EMEA/AP

LanouvelleréglementationEBA • Calendrier et méthodologie fi nale des tests de résistance de mars 2014 • Où se situe le niveau des scénarios ? Piers HABEN, Director Oversight, European Banking Authority

Lesstress-tests:unoutild’évaluationpourlessuperviseurs • Application des stress-tests européens par les superviseurs nationaux • Les stress-tests propres à l’ACPR • Quels eff orts fournissent d’ores et déjà les banques pour réussir les stress tests ? • Comment les banques peuvent-elles transmettre des données de qualité en si peu de temps ? Frédéric VISNOVSKY, secrétaire général adjoint, ACPR

Quellevisionstratégiqueàlongtermedesstress-tests?

• Le self-assessement dans le cadre de BCBS 239 • Les points faibles des systèmes existants • Comment réconcilier rapidité, précision et répétabilité ? • Une infrastructure IT qui se veut fl exible pour répondre aux questions futures Stefan DE LOMBAERT, Senior Director, SAS Centre of Excellence Risk EMEA/AP

Lesconditionsd’efficacitédesstress-tests

- La vision du marché de l’effi cacité AQR et TdS - Les tests de résistance comme outil de communication (sur les risques et le capital) Jean-Baptiste BELLON, analyste fi nancier, SFAF

Positionnementdusecteurbancaireenmatièredestress-testing: desexigencesréglementairesauxenjeuxopérationnels

Sophie CHEMARIN, Manager au sein du département Financial Services – Risk, EY

Quelleéquationentrelepilotagestratégiqueetlesaspectsréglementaires desstress-testsauseindesétablissementsbancaires?

• Les impacts opérationnels sur les processus existants ? • Les impacts stratégiques au-delà des réponses réglementaires ? • Vers une convergence fi nance & risque : quelle réorganisation des directions ? Guillaume TABOURIN, responsable expertise réglementaire, direction des risques groupe, BPCE

12h00 Clôture de la séance

En partenariat avec

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« Le Comprehensive Assessment marque le retour de la supervision »

Exercice d'une ampleur sans précédent, l'Évaluation complète des actifs bancaires va plus loin que le stress-test américain de 2008. Est-ce pour autant un exercice périlleux, dans lequel la zone euro se lancerait sans filet ?

par dossier, vous pouvez imaginer les besoins en matière de SI !

■■ Le Comprehensive Assessment est souvent comparé à l'exercice mené par la Fed en 2008…

En effet, j'entends souvent dire cela, mais c'est inexact. Les États-Unis ont fait beaucoup moins que l'Europe, c'est incomparable. Les stress-tests de 2008 aux États-Unis ont été réa-lisés sur une courte période, sur un nombre restreint de banques et sans exercice préalable d'état des lieux. Ce que nous faisons est sans précédent.

■■ Le Comprehensive Assessment tient-il suffisamment compte des spécifi-cités nationales ?

Plusieurs types de spécificités natio-nales existent. Sur le plan comptable, les banques cotées appliquent les normes IFRS, mais sur les 130 banques examinées, certains établissements de petite taille appliquent des normes nationales. C'est le cas de nombreuses banques allemandes ; or, les german gaps sont très différents des IFRS. Les données qualitatives posent également certaines difficultés. Par exemple, la définition des créances douteuses

■■ L'exercice, qui vise notamment à passer en revue 50 % des RWA 2 des banques, n'est-il pas surdimen-sionné ?

Mieux vaut trop que pas assez. Pas-ser en revue plus de 50 % des RWA des banques, c'est en effet proba-blement un peu excessif, mais il faut l'assumer. Il est d'ailleurs dif-ficile d'émettre un jugement géné-ral. En effet, cet objectif des 50 % des RWA n'est pas mis en œuvre de la même façon selon que la banque est de taille réduite et mono-activité (le contrôle porte alors sur près de 80 % du portefeuille) ou un grand établissement très diversifié (la règle des 50 % s'applique alors). Après avoir sélectionné des portefeuilles qui constituent au moins 50 % des RWA, nous formons un échantil-lon de chaque portefeuille et nous entrons dans 20 000 dossiers indivi-duels, c'est-à-dire jusqu'à 5 000 dos-siers pour une grande banque. Par ailleurs, nous mobilisons tous les fichiers de la Banque de France. Nous devons remplir 300 champs

2. Risk-Weighted Assets, actifs pondérés des risques.

■■ Quelle est la genèse du Compre-hensive Assessment ?

Restaurer la confiance dans le sys-tème bancaire de la zone euro et la fluidité des mouvements de capitaux à l'intérieur de la zone constitue une condition indispensable au rétablisse-ment d'une politique monétaire plei-nement efficace. La réalisation de cet objectif passe obligatoirement par la mise en place d'un système de super-vision unique et crédible à l'échelle de la zone pour remplacer des systèmes nationaux hétérogènes et dont la cré-dibilité a dans certains cas été atteinte par des défauts bancaires. La supervi-sion unique doit être précédée d'une évaluation complète des établissements (Comprehensive Assessment) qui permet à la BCE de réaliser une forme d'« état des lieux » du système bancaire et de rectifier les éventuelles anomalies après, à la fois, une revue des actifs et un exercice de stress-test. Mais le système de supervision unique n'est pas suffisant et il doit être complété par un système unique de résolution 1.

1. Voir Revue Banque n° 771, p. 13.

ROBERT OPHÈLE

Second sous-gouverneur

Banque de France

Banque de France

Banque & Stratégie n° 324 avril 2014

Dossier UNION BANCAIRE

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BANQUE & STRATÉGIELe complément stratégique

et prospectif de Revue Banque

70,00 € le numéro

cahier de prospective bancaire & financière

BANQUE STRATÉGIEn° 295

Septembre 2011

ISSN 0762-4077Mensuel - 70 eurosrevue-banque.fr

vEIllE STRATÉGIquE

28 Banque de détail Le moniteur des ventes : pour faciliter la conversion

à une culture « relation-client » Yves Negro, Université Université Jean Moulin Lyon 3

doSSIER

les institutions financières internationales se réinventent

Qu’elles aient pour vocation le financement du développement ou le maintien de la stabilité mondiale, les institutions financières internationales sont, avec la crise, sur le devant de la scène. Appréciées dans leur rôle de pompiers, elles essuient en revanche des critiques sur leur incapacité à prévenir la crise et résorber les déséquilibres macrofinanciers. Depuis leur création, elles ne cessent pourtant de se réinventer.

4 Sommaire

En bREf

38 La vie des affaires

À retourner au SERVICE ABONNEMENTSREVUE BANQUE18 rue La Fayette 75009 ParisTél. : 33(0)1 48 00 54 26 – Fax : 33(0)1 48 00 54 25E-mail : [email protected]

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