BAE BIEN-U À CHAMBORD - ac-orleans-tours.fr · 1 - Un motif sans ... Chambord est le joyau de...
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Sommaire
I - Bae Bien U à Chambord - Présentation .................................................................................. 2
II - Exposition - Domaine national de Chambord ...................................................................... 3
III - Bae Bien-U, repères .............................................................................................................. 4
1 - Un motif sans cesse repris : le pin ...................................................................................... 4
2 - Puissance de la composition .............................................................................................. 5
3 - Peindre en photographie .................................................................................................... 5
4 - photographique : émotion et fiction ........................................................................ 6
IV - Bae Bien-U - Biographie ....................................................................................................... 7
V - Expositions personnelles (sélection) ...................................................................................... 9
VI - Expositions Collectives (sélection) ....................................................................................... 9
VII - Collections ........................................................................................................................ 10
VIII - Visites guidées de ......................................................................................... 11
1 - Visite pour le public scolaire ........................................................................................... 11
2 - Visite pour les groupes ..................................................................................... 11
IX - Visuels disponibles pour la presse ..................................................................................... 12
X - Expositions précédentes à Chambord ................................................................................. 19
XI - Evénements de la saison culturelle 2015 ........................................................................... 19
XII - Le domaine national de Chambord .................................................................................. 20
XIII - Informations pratiques .................................................................................................... 21
I - Bae Bien-U à Chambord - Présentation 27 septembre 2015 – 10 avril 2016
Chambord est le joyau de renaissante dans le monde. Construit par François 1er entre 1519 et 1539, le château est un immense monument de plus de 400 pièces, conçu selon un plan en croix grecque au centre duquel le fameux escalier à doubles révolutions inspiré de Léonard de Vinci. Fidèle à sa tradition artistique, notamment dans les domaines de la musique et des arts plastiques, le château de Chambord a mis en place depuis 2011 une programmation culturelle littéraire (7 lectures et poètes français et internationaux), musicale (Festival de musique classique) et artistique, en consacrant des expositions à des artistes tels que Djamel Tatah, Jean-Gilles Badaire, Georges Rousse, Paul Rebeyrolle, Alexandre Hollan, Frédéric Loutz, François Weil, Manolo Valdes ou Philippe Cognée. Avec Bae Bien-U, né en 1950, le domaine national de Chambord a choisi dans le cadre de son programme de résidence le plus grand photographe coréen
Il a semblé particulièrement opportun un artiste qui a passé sa vie à photographier la nature (rivages, forêts, montagnes) pour recueillir son regard singulier sur la forêt royale de Chambord, qui a servi de terrain de chasse aux différents rois de France pendant des siècles. A travers les photographies de Bae Bien-U, nous aurons la chance de présenter la vision « étrangère » d un grand photographe, qui saisit avec une puissante poésie les sites naturels. En outre, l exposition croisera les photographies prises lors de sa résidence à Chambord et les images nouvelles de la forêt de pins sacrés de Gyeongju a pour projet de réaliser, de sorte que les deux forêts feront ainsi dialoguer deux cultures dans le silence des photographies qui seront accrochées sur 600 m², au second étage du château. Dès le 27 septembre 2015, cette exposition sera un événement car elle constituera la première monographie de en France et ouvrira la saison coréenne. est prévue avril 2016, de sorte 250.000 visiteurs du château pourront avoir durant ces six mois, de la découvrir. Un catalogue bilingue français-anglais sera publié à cette occasion et un certain nombre (conférences, masterclass avec des étudiants) seront organisés en marge de Celle-ci voyagera ensuite à Paris, où elle sera accueillie pour un mois, à 2016, à
ngerie du Sénat, ce qui permettra sa visibilité auprès du public parisien et étranger.
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II - Exposition - Domaine national de Chambord
27 septembre 2015 – 10 avril 2016
L’exposition en bref :
Une cinquantaine de photographies de Bae Bien-U réunies au second étage du
château, sous les voûtes à caissons du donjon, sur 600 m2.
Première monographie des plus grands photographes coréens
pour de croisée France-Corée.
Cette exposition est le résultat longue résidence de au château de
Chambord (10 séjours échelonnés sur 2014 et 2015).
autour du regard de sur les forêts de Chambord
et de Gyeongju, la forêt de pins sacrée du sud de la péninsule, nécropole des
anciens rois de Corée.
Un catalogue bilingue français-anglais sera publié chez Somogy Editions à
de Il comprendra des textes de Yannick Mercoyrol,
directeur de la programmation culturelle de Chambord et de Robert Fleck,
directeur de la galerie de des Beaux-Arts de Düsseldorf.
Vernissage presse le vendredi 25 septembre
(découverte de l’exposition en présence de l’artiste)
Une navette pour la presse est prévue au départ de Paris (Denfert Rochereau) le vendredi 25 septembre à 9h30 - Renseignements et réservations : par téléphone au 02.54.50.40.20 ou au 02.54.50.40.23 ou par courriel via [email protected]
Vernissage pour le grand public le samedi 26
septembre à partir de 18h30
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III - Bae Bien-U, repères
1 - Un motif sans cesse repris : le pin
Formé à la peinture traditionnelle puis au design, Bae Bien-U a appris la photographie en
autodidacte, et a toujours pratiqué son art de manière classique. A rebours ne pratique
conceptuelle, opposé à toute retouche de ses images, il a longtemps utilisé la chambre noire et
continue à travailler à La photographie consiste pour lui en un rendu
immédiat de la subjectivité, de la sensation devant le motif dont le pin est devenu, au fil des
ans, comme sa marque de fabrique. Si le succès de ses photographies de pins a conduit
à revenir sans cesse sur ce sujet, en vertu de la charge symbolique de cet arbre en
Corée. Dans la tradition coréenne, le pin est en effet fondamental : les êtres humains étaient
censés, selon diverses légendes, y naître, y vivre, y mourir, et l arbre tenait une place centrale
dans la vie quotidienne (matériau des maisons, chauffage, décoration) comme dans la vie
spirituelle, les esprits habitant volontiers ses branchages. Force, volonté, longévité, mais
également fragilité constituent les diverses vertus qui lui sont attachées. Opiniâtreté et
familiarité : qualités qui ne sont pas simplement celles de l arbre mais également celles du
photographe, qui ressent la nécessité grande proximité avec les endroits entend
saisir, revenant sans cesse sur les mêmes lieux q approche silencieusement. Cette
fréquentation assidue, répétée, aboutit à des centaines de clichés dont majorité sera
écartée suite au développement, afin de ne conserver que les rares qui trouvent grâce à ses yeux.
Pratique tenace du retour au même, qui dit également une impossibilité à reproduire, et atteste
que ce au final, pas la répétition en soi qui importe, mais obstinée, à travers la
répétition, sens à donner aux lieux, au-delà de leur reproductibilité.
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2 - Puissance de la composition
Sans doute touche-t-on là un aspect fondamental de de Bae Bien-U : il ne s agit en
effet pas pour lui de reproduire la nature, mais d en construire la tension dans l espace
photographique. Il n y a pas de recherche de profondeur de champ, tout est dans le focus de
l image dans laquelle le motif (la forêt) prend quasi toute la surface de la photo, qui devient
ainsi une fiction. Pareillement, il a pas ou de point de vue surplombant ;
le motif est souvent tronqué, parasité par des motifs adjacents, comme pour mieux dire une
maîtrise paradoxale : maîtrise d un il qui affiche sa volonté de ne pas donner d image
« totalisante » du motif choisi. Cette vision à l horizontale suscite néanmoins une forme de
puissance, de profondeur que renforce le format panoramique utilisé par l artiste, dans lequel la
tension est construite par de contraste structurant entre lumière et surfaces sombres. Ces
contrastes sont encore soulignés par les lignes très prégnantes qui construisent l espace ; chez
Bae Bien-U, la puissance de l image tient essentiellement dans sa construction très solide, quasi
géométrique, dans laquelle les lignes de force rythment l espace qui se décline dans toutes les
nuances chromatiques du noir au blanc. A ce titre, la présence essentielle du « voilé »
(brouillard, brumes, nuages) consiste à rendre visible la lumière qui y joue, reflet, selon
une grande variété chromatique et volumétrique. La subtilité des nuances du noir et blanc, la
variation des compositions témoignent recherche immédiatement sensible, qui
atteste la prégnance de la référence picturale dans ces photographies.
3 - Peindre en photographie
La qualité graphique et méditative du travail de Bae Bien-U est évidente, comme si
déplaçait dans le champ photographique le rapport allusif et proche de de la
tradition picturale asiatique. Il l nonce lui-même dans un entretien : « la photographie est une
manière de comprendre et de traiter la lumière ». L essence picturale de ses uvres renvoie ainsi
à la tradition de la peinture à l encre coréenne, dite « sumukhwa », qui se définit comme un
travail en rapport à la limite, aux contrastes, aux différentes valeurs de gris, noir et blanc.
Comme dans cette peinture classique, les valeurs laissées en blanc sur la photo participent
fortement de sa composition. Bae Bien-U ne cache pas sa volonté de réinterpréter cette tradition
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picturale du paysage, citant notamment Gyeomjae Jeong Seon (1676-1759), le fameux peintre
des pins et saules-pleureurs, comme une référence majeure. Ce peintre paysagiste a été le
premier à travailler en extérieur, directement sur le motif, et à représenter des éléments du
paysage spécifiquement coréen, comme le mont Geumgang, qui l a rendu célèbre, jusqu au chef
d uvre de la maturité : aircie au mont Inwang (1751). Ce paysage magistral va fonder
classique de la peinture coréenne, faite de contrastes entre le noir de la montagne
dans la partie supérieure, exécutée avec une brosse énergique, et la brume qui entoure le village
en bas du papier. Si ces éléments sont immédiatement perceptibles dans le travail de Bae Bien-
U, le photographe démarque néanmoins en refusant le point de vue en surplomb, et par ses
cadrages utilisant des plans rapprochés, coupant le motif pour lui conférer plus de charge
expressive. là que la photographie américaine, et notamment la straight photography,
contrebalance fortement de la tradition picturale coréenne ; de sorte que, si l on veut
rester dans le champ pictural, c est tantôt à lyrique, tantôt à informel que
pourrait faire songer la pratique de Paysages, ou encore natures mortes, les clichés de
Bae Bien-U donnent à voir ce que humain ne saurait saisir, faisant signe vers un universel
détaché de toute temporalité.
4 - L’effet photographique : émotion et fiction
Nous en effet pas affaire ici à une description : plus qu un état repérable de la nature,
ces photographies nous donnent à voir une qualité d veil, une émotion débusquée par
l objectif ; elles révèlent une invariabilité qui habite au c ur des choses, immergeant le
spectateur, par la grâce des grands formats (jusqu 135 x 260 cm), dans une forme de
proximité singulière, de familiarité avec une sorte d nergie vitale. Calme, silence, force intacte :
les photographies de Bae Bien-U relèvent, pour reprendre les mots du critique Jeong-hee Lee-
kalisch, d une « contemplation tranquille ». Le pouvoir suggestif des arbres qui semblent
rejoindre, hors cadre, quelque point imaginaire, se trouve par ailleurs renforcé par une qualité
de tirage qui fait ressentir physiquement au spectateur le grain du tronc, de leur peau serait-on
tenté de Le jeu de leurs lignes torsadées enclenche une dynamique de qui
embarque le spectateur, rythme sa vision, et fait de ces espaces solitaires une image possible,
encore, forme de sublime, en construisant un lieu quasi abstrait, vide de
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toute présence humaine ou animale, qui verse peu à peu dans une dimension mythique. Forêt
de Gyeongju ou de Chambord, qui appellent tout de la forêt dans
humaine.
Les images « étendues » de Bae Bien-U touchent par leur charge affective, mais aussi parce que
leur caractère physique requiert notre propre corps, parce que nous devenons des corps tant
nous sommes requis par leur corporéité. Sans doute parce que le photographe à saisir
la nature comme phénomène physique, capturant dans son cliché les mouvements du vent
sur les végétaux (ses windscapes), le grain des Le photographe est ainsi présent dans
ses photographies, il y engage son propre corps, mettant un soin et une délicatesse infinis à
rendre la matérialité de et non simplement telle évocation nostalgique de
prétendue de la nature. Certes, la nature à travers ces clichés, mais le photographe
ajoute quelque chose qui pas de la nature. Si pas en soi représenté
dans le travail de sa présence en sous-main vient informer ses photos, de sorte que les
arbres mêmes frayent avec une humanité sous-jacente. Il a pas de vision transcendante de la
nature chez Bae Bien-U, mais au contraire une vision à hauteur dans laquelle le corps
du photographe est engagé. Ce que disent peut-être, au fond, ces clichés, une réalité et,
dans le même temps, la distance que nous éprouvons face à elle, comme si la photo figeait un
temps et un espace désormais inaccessibles. Comme si la tension sereine de donné à
voir était une fiction elle-même comme fiction, dans la beauté équilibrée
mirage silencieux.
Yannick Mercoyrol
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IV - Bae Bien-U - Biographie
Bae Bien-U est né en 1950 à Yeosu, en Corée. Diplomé de des Beaux-arts de Hong-Ik, il
vit et travaille à Séoul en Corée où il enseigne à
Bae Bien-U pratique la photographie depuis les années 1970 mais, depuis 1985, son travail
essentiellement autour de des forêts de pins typiques de la Corée. Ce
choix ne semble pas anodin puisque le pin est un arbre à la signification sacrée dans la culture
coréenne où il est considéré comme symbole de longévité. Selon lui, «les pins sont les symboles
de du peuple coréen.»
En 1988 - 19889, il est invité à de sciences appliquées de Bielefeld en Allemagne en
tant que chercheur (département de la photographie et du design).
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V - Expositions personnelles (sélection)2014 - Counterbalance, Axel Vervoordt Gallery, Avers, Belgique - Bae Bien-U: Pins de Gyeon Gju, Domaine de Chaumont sur Loire. 2013 - Windscape, Gana Art Center, Seoul, Corée du Sud. 2012 - Sailing the seas, GS Yeulmaru, Yeosu, Corée du Sud. - Windscape, Galerie RX, Paris. - Windscape, Aando Fine Art, Berlin, Allemagne. - Windscape, Christophe Guye Galerie, Zürich, Suisse. 2011 - ConvexConcave, Axel Vervoordt Gallery, Anvers, Belgique. - Bae Bien-U, Ferme de Villefavard en Limousin. 2010 -Where God and Man Collide, The House for Mozart, Salzburg Festival, Salzburg, Autriche. - Bae, Bien-U, Il Woo Space, Seoul, Corée. 2009 - Soul Garden, National Museum of Contemporary Art, Deoksugung, Seoul, Corée. - Soul Garden, Museo de Bellas Artes de Grenade, Espagne. - Sacred Wood, Galerie Aando Fine Art, Berlin, Allemagne. - Sacred Wood, Galerie Zur Stockeregg, Zurich, Suisse. 2008 - Galerie Phillips de Pury & Company, Londres, Angleterre. -Timeless Photography, Bozar-Center for Fine Arts, Bruxelles, Belgique. - Sonamu, Gana Art Center, New York, USA. 2007 - K Collection, Lee C Galerie, Seoul, Corée. - Sea & Island, Gana Art Center, Pusan, Corée. 2006 - Musée Thyssen, Madrid, Espagne. 2005 - Galerie Pollar, Francfort, Allemagne. - Beauty of Korea, Insa Art Center, Seoul, Corée. 2004 - Wind of Tahiti, Galerie Gana-Beaubourg, Paris. - Wind of Tahiti, Gana Art Center, Seoul, Corée. 2003 - Tahiti Festival de la Photographie, Tahiti. 2002 - Bae Bien-U, Art Sonje Center, Seoul, Corée. - Pine, Galerie Gana-Beaubourg, Paris. 2001 - Bae Bien-U, ISE Cultural Foundation, New York, USA. 2000 - Tree - Bae, Bien-U, Galerie Bhak, Seoul, Corée. - Bae Bien-U, Galerie Sigong, Daegue, Corée.
1998 - Photographies du Kyungju, Galerie Jean-Luc & Takako Richard, Paris. 1993 - Meeting and Departure, Seoul Art Center, Seoul, Corée. 1989 - Landscapes, Hochschule Gallery, Bielefeld, Allemagne. 1988 -Korean Landscapes, Raiffeisen Bank Gallery, Bamberg, Allemagne. 1985 - Marado, Hanmadang Gallery, Seoul, Corée. 1982 - Seascapes, Kwan Hoon Gallery, Seoul, Corée.
VI - Expositions
Collectives (sélection) 2014 -Lost in Landscape, Museo di Arte Moderna e Conteporanea, Roverto, Italie. -Korean Beauty: Two Kinds of Nature, National Museum of Modern and Contemporary Art, Seoul, Corée. 2013 -Landscape, MART Musuem, Rovenne, Italie. - qui ne meurt pas, Théâtre Sablon, Neuilly-
sur-Seine. 2012 - Plaisir, Galerie RX, Paris. 2011 -Tra-edge of becoming, Palazzo Fortuny, Venise, Italie. - 38°n Snow south, Korean contemporary art, Galerie Charlotte Lund, Stockholm, Suède. 2010 - The Wind in the Pines 5,000 ans d art coréen, Hermitage Art Museum, Saint-Petersbourg, Russie. -Eternal Blinking, University of Hawaii at Manoa, Hawaii, USA. 2009 - Art in Busan, Busan Museum of Modern Art, Busan, Corée. - International Photography Festival, Ulsan, Corée. - Infinitum, Palazzo Fortuny, 53ème biennale de Venise, Italie. 2008 - Bozar Festival, Made in Korea, Center for Fine Art, Bruxelles, Belgique. 2007 - Void in Korean Art, Leeum Samsung Museum of Art, Seoul, Corée. 2006
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- Simply Beautiful, Centre PasquArt, Bienne, Suisse. - Simply Beautiful, Le Grand Jardin, Joinville. -The Modern Photography, Gwangju Museum of Art, Gwangju, Corée. -The 6th Photo Festival, BAE Bien-U & Elger Esser, Gana Art Center, Seoul, Corée. 2005 - BAE Bien-U & KIM Atta, Galerie Gana-Beaubourg, Paris. 2004 - Real Reality, Kukje Gallery, Seoul, Corée. 2003 - Time of Nature Time of Human, Daejon Municipal Museum of Art, Daejeon, Corée. - People Walking on the Water, Cheonggyecheon Project, Seoul Museum of Art, Seoul, Corée. 2002 -Now, What is Photo, Gana Art Center, Seoul, Corée. -15 Photographes Coréens, Galerie Photo, Montpellier. -Festival de la Photographie, Tahiti. 2001 - Central Connecticut State Univeristy, Connecticut, USA. - Internationale Fototage Herten, Herten, Allemagne. 2000 - Fotofest Contemporary Photographers from Korea, Williams Tower Gallery, Houston, USA. - Slowness of Speed, Art Sonje Center, Seoul, Corée. - Odense Foto Triennale, Odense, Danemark. 1999 - Commemorative Photograph Exhibition, The Korean Culture and Arts Foundation Art, Museum, Seoul, Corée. - Contemporary Asian Art Work from The Lewitt Collection, Montserrat College of Art Gallery, Massachusetts, USA. 1998 - Alienation and Assimilation, The Museum of Contemporary Photography, Chicago, USA. - Contemporary Art from Korea, Haus der Kulturen der Welt, Berlin, Allemagne. - Slowness of Speed , National Gallery of Victoria, Melbourne, Australie. 1997 - Fast Forward, The Power Point, Toronto, Canada. - Sonahmuyeo, Sonahmuyeo Museum Hwanki, Seoul, Corée. - Inside Out, ICA, Philadelphia, USA. 1996 - Photography- New Vision, National Museum of Contemporary Art, Seoul, Corée. - An Aspect of Korean Art in 1990s, The National Museum of Modern Art, Tokyo, Japon. 1995 - Photography Today, Art Sonje Museum, Kyungju, Corée. - Territory of Mind, Mito Art Tower, Ibaraki, Japon. 1994 - Visions from the Land of Morning Calm, PIMA Community College Art Gallery, Arizona, USA. - Contemporary Photography of Korea, Seoul Art Center, Seoul, Corée. 1993 - Contemporary Photography in Seoul, Seoul Art
Center, Seoul, Corée. 1992 - Horizon of Korean Photography, Seoul Museum of Art, Seoul, Corée. 1991 - Horizon of Korean Photography, Total Museum of Art, Jang Heung, Corée. 1989 - The 150
th Anniversary of Photography Show, Bamberg Neue Residenz, Bamberg, Allemagne.
VII - Collections
- National Gallery of Victoria, Melbourne, Australie. - The National Museum of Contemporary Art, Seoul, Corée. - The National Museum of Modern Art, Tokyo, Japon. - The Contemporary Arts Museum, Houston, USA. - The Museum of Contemporary Photography, Chicago, USA. - 21C Museum, Kentucky, USA. - LEEUM Sam Sung Museum, Seoul, Corée. - The Sol Le Witt Collection, USA. - Elton John Collection, Royaume-Uni - Afinsa Collection, Allemagne. - Isac Andic Ermay, MANGO Collection, Espagne. - SISLEY Collection, Italie. - Calder Foundation, USA.
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VIII - Visites guidées de l’exposition
1 - Visite pour le public scolaire
Le service éducatif du domaine national de Chambord propose au public scolaire (élèves de
cycle 2 et 3, de collège et de lycée) une visite personnalisée de .
Celle-ci sera menée par une intervenante spécialisée en arts plastiques en milieu scolaire :
Valérie Lugon (http://www.valerie-lugon.com).
Elle pourra être adaptée en fonction des orientations que les enseignants souhaitent développer.
Tarifs :
Tarif pour une classe : 4 € / enfant (groupe de 20 enfants max)
Tarif spécifique pour les classes des Communautés de Communes du Grand Chambord, de la
Beauce ligérienne et de la Beauce et forêt : 2,5 € / enfant
Informations et réservations : 02 54 50 50 40 ou [email protected]
Pistes pédagogiques :
Pascale Josserand ([email protected])
Nathalie Henquel ([email protected])
Contact service éducatif de Chambord : Eric Johannot ([email protected])
2 - Visite pour les groupes d’adultes
Sur le même principe, des visites pour les groupes pourront également être organisées
sur demande.
Informations et réservations : 02 54 50 50 43 ou [email protected]
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IX - Visuels disponibles pour la presse (mention obligatoire © Bae Bien-U, 2014)
Merci d’adresser vos demandes à l’adresse
ou par téléphone au 02 54 50 40 31
Contacts presse
Yannick Mercoyrol, directeur de la programmation culturelle
Tél : 02 54 50 40 18 / 06 81 19 28 48
Cécilie de Saint Venant, responsable de la communication
Tél : 02 54 50 40 31 / 06 78 12 01 65
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X - Expositions précédentes à Chambord
Manolo Valdès (2010) Djamel Tatah (2011) Jean-Gilles Badaire (2011-2012) Georges Rousse (2012) Paul Rebeyrolle (2012) Julien Salaud (2013) Alexandre Hollan (2013) François Weil (2013-2014) Frédérique Loutz et Ernesto Castillo (2013-2014) Philippe Cognée (2014)
XI - Evénements de la saison culturelle 2015
Exposition Guillaume Bruère, François Ier illimité, 12 avril 30 août 2015 Le Bourgeois gentilhomme, mis en scène par Denis Podalydès de la Comédie
française, les 22 et 23 mai à 20h 5
ème Festival de Chambord, du 3 au 18 juillet
Retrouvez toutes les informations sur le site web :
www.chambord.org
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XII - Le domaine national de Chambord
A moins de deux heures de Paris, à quelques
kilomètres de Blois, le domaine national de
Chambord est domaine royal parvenu
nous dans son intégralité. Ceint
mur de 32 kilomètres de long, le domaine
national de Chambord est, avec ses 5440
hectares, le plus grand parc clos de murs
Il accueille près de deux millions de
visiteurs par an.
Chambord, le château absolu
de génie, Chambord est le plus vaste château français de la Renaissance. Le monument,
surgi de la forêt et des étangs solognots, dégage un profond sentiment de majesté. La clarté
géométrique de son plan, de ses proportions et la fantaisie de ses toitures hérissées
de tourelles, de cheminées et de lucarnes vertigineuses sont autant de sources
Plusieurs chefs- architecturaux jalonnent la visite : les voûtes à caissons sculptés du
second étage, les terrasses, le grand escalier central à deux volées de marches dont on attribue
à Léonard de Vinci que François Ier, passionné et personnellement
impliqué dans la construction du monument, avait fait venir pour lui donner le titre
architecteur » officiel.
Un grand domaine naturel
La forêt de Chambord abrite de nombreux animaux sauvages en liberté, et notamment des
espèces protégées telles que le balbuzard pêcheur. Chênaies, pinèdes, landes et marais rythment
le paysage. Les bois de Chambord accueillent de nombreuses espèces patrimoniales, végétales
ou animales. Une attention particulière est portée à la biodiversité du milieu naturel.
Une haute tradition cynégétique maintenue à Chambord depuis François Ier. Réserve
nationale de chasse et de faune sauvage depuis 1947, le Domaine est classé Natura 2000,
réseau européen pour la préservation des habitats naturels et des espèces.
ment public de Chambord
Propriété de depuis 1930, le domaine national de Chambord est devenu en 2005 un
établissement public à caractère industriel et commercial
placé sous le haut patronage du Président de la
République et sous tutelle du Ministère de du
Ministère de griculture et du Ministère de la Culture
et de la Communication. Le conseil est
placé sous la présidence de Guillaume Garot.
public de Chambord est dirigé par M.
Jean depuis janvier 2010.
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XIII - Informations pratiques
Domaine national de Chambord
41250 Chambord
+33 (0)2 54 50 40 00
www.chambord.org
Informations et réservation
+33 (0)2 54 50 50 40 ou
www.chambord.org
Accès
Depuis Paris (moins de 2 heures), 15 km de Blois
Par autoroute A10, direction Bordeaux, sortie Mer (n°16) ou Blois (n°17)
Par train, départ gare arrêt Blois-Chambord ou Mer
Tarifs
Exposition comprise dans le droit du monument
Tarif : 11 € (tarif réduit 9 €)
Entrée du château gratuite pour les moins de 18 ans et 18-25 ans ressortissant de
européenne.
Jours :
Le château est ouvert toute sauf le 1er janvier, le 1er mardi de février et le 25 décembre
Horaires d :
Haute saison : du 01 / 04 au 30 / 09 : 9h - 18h
Basse saison : du 01 / 10 au 31 / 03 : 9h - 17h
Dernier accès ½ heure avant la fermeture du château.
Au château
Consigne gratuite
Café ouvert de février à novembre et durant les vacances de Noël.
Aux abords du château
Gîtes haut de gamme : [email protected]
Distributeur automatique de billets
Location de barques et de vélos
Promenades en calèche
Spectacle équestre
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